- ENTREE de SECOURS -



samedi 2 octobre 2021

Nucléaire : comment il peut nous sauver du gaz


Les Européens commencent à découvrir les premières conséquences financières de cette ruineuse orientation énergétique « verte ». Le nucléaire peut y pallier.


Par Michel Gay.

2 OCTOBRE 2021


Les prix de vente aux particuliers du gaz et de l’électricité vont s’envoler dans les pays de l’Union européenne (UE). En France, la hausse de 12,6 % des tarifs réglementés de vente de gaz naturel (TRVG) au 1er octobre 2021 concerne environ trois millions de « consommateurs résidentiels ».

Le gaz avait déjà augmenté en 2021 de 8,7 % au 1er septembre, de plus de 5 % en août, et près de 10 % en juillet. Ces hausses successives sont une des conséquences néfastes de la folle politique énergétique verte de l’UE. Elles atteignent près de 50 % depuis le 1er janvier 2020 !

Les Européens commencent benoitement à découvrir les premières conséquences financières de cette ruineuse orientation énergétique dite verte fondée sur du vent et du soleil intermittents : le prix du gaz naturel explose dans l’UE et vient d’atteindre le 20 septembre un sommet historique à 79 euros par mégawattheure MWh) soit une augmentation de 30 % en une semaine.

Le prix de l’électricité (majoritairement produit par le gaz en Europe) va suivre le mouvement.

Toutefois, les consommateurs résidentiels ayant des contrats à prix fixe sur plusieurs années (environ la moitié des clients) ne sont pas concernés à court terme par cette hausse. Ils la paieront plus tard.

POURQUOI CETTE HAUSSE HISTORIQUE ?

Cette hausse d’une ampleur inédite est observée dans tous les pays européens. Elle s’expliquerait par une offre limitée en Europe, par des niveaux de stockages au plus bas depuis des années, par la modération des exportations russes en raison de l’incendie cet été d’un des deux gazoducs d’importation du gaz russe vers l’UE, et par « la reprise économique mondiale observée depuis plusieurs mois » selon la Commission de régulation de l’électricité (CRE).

La mise en service du gazoduc Nord Stream 2 devrait permettre de fournir davantage de gaz à partir de 2022 et de limiter la hausse, mais dans l’immédiat les prix du gaz en Europe resteront élevés tout au long de l’hiver.

AIDES AUX MÉNAGES MODESTES

Un ménage chauffé au gaz dépense en moyenne 1500 euros TTC par an selon la CRE.

En France, l’association UFC-Que Choisir estime que les tarifs d’électricité pourraient encore bondir de 10 % au début de l’année 2022, soit « une augmentation moyenne de 150 euros sur la facture annuelle d’électricité d’un ménage l’utilisant pour le chauffage ».

Afin d’essayer de compenser cette hausse des prix, le gouvernement a annoncé mi-septembre le versement en décembre d’une aide exceptionnelle et dérisoire de 100 euros pour près de 6 millions de ménages modestes.

Les politiques commencent à trembler, car la population (gilets jaunes ?) pourrait ne pas accepter cette désastreuse dérive haussière.

En Espagne, un nouveau train de mesures visant à faire baisser les factures d’électricité, allant d’une réduction de la taxe spéciale sur l’électricité à une réduction temporaire de la rémunération perçue par les centrales électriques n’émettant pas de gaz carbonique a été approuvé le 15 septembre dernier.

L’Italie envisage de permettre l’utilisation de fonds de son enveloppe dévolue au plan européen de relance covid pour aider les familles qui éprouvent des difficultés à régler leur facture d’énergie.

L’ÉLECTRICITÉ

Les tarifs réglementés de vente de l’électricité sont révisés deux fois par an. En 2021, ils ont augmenté de 1,6 % en février, puis de 0,48 % en août. Mais les prix flambent actuellement sur les marchés de gros, faisant craindre une forte hausse des tarifs réglementés en février 2022.

Même si la France produit principalement (75 %) son électricité avec ses centrales nucléaires, son prix est établi à partir du coût de mise en route du dernier moyen de production d’électricité appelé pour satisfaire la demande. Et ce dernier fonctionne le plus souvent au gaz.

Enfin, le prix de l’électricité est aussi influencé par la hausse des prix des quotas d’émission du CO2 obligatoirement achetés par ceux qui consomment des énergies fossiles comme le gaz.

Plus les engagements climatiques de l’Union européenne sont contraignants, plus ces quotas se vendent chèrement… et plus le prix de l’électricité grimpe.

Alors que la responsable du prix du CO2 à la Commission européenne a déclaré qu’elle allait œuvrer pour que cette hausse cesse, le vice-président en charge du « sauvetage de la planète » (Timmermans) se réjouissait de son côté que l’énergie soit chère pour obliger les gens à changer de comportements…

MAIS QUE SE PASSE-T-IL ?

Aujourd’hui, la demande de gaz est forte en Asie et en particulier en Chine dont l’objectif est de dominer le monde d’ici 2050 grâce à son développement économique qui nécessite une augmentation de la consommation d’énergies (fossiles et nucléaire) abondante et bon marché. Les méthaniers sont donc plus attirés vers l’Asie que vers l’UE, mais ce n’est qu’un fonctionnement normal et marginal du marché.

Or, le prix du gaz naturel livré par quelques méthaniers en Chine ou en Corée peut varier sans influencer le prix du gaz russe, algérien ou norvégien vendu dans l’UE.

En effet, la grande majorité du marché est régie par des contrats à long terme avec un prix fixe. Il n’y a aucune raison pour que les prix de l’énergie s’emballent à cause de l’augmentation du prix sur des quantités marginales en Asie.

Et pourtant, ce prix élevé sur de faibles quantités de gaz lointain se répercute en Europe en profitant aux professionnels spéculateurs sur le dos des consommateurs priés de payer ou de… se restreindre, ce qui doit réjouir le vice-président de l’UE en charge de « sauver la planète ».

La flambée des prix du gaz et de l’électricité n’est donc pas techniquement justifiée. Les spéculateurs savent identifier la bonne occasion pour s’enrichir aux dépens des consommateurs. Tout ce petit monde d’affairistes y gagne, y compris les États qui récupèrent d’une main via les taxes ce qu’ils redonnent en partie de l’autre. Seul le pauvre citoyen contribuable-consommateur, qui n’y comprend plus rien, doit payer !

De son côté, l’UE s’oriente naïvement vers une énergie éolienne et solaire peu abondante et chère… dont l’inanité pour « sauver la planète » se révèle chaque jour un peu plus en étant incapable de remplacer le gaz et le nucléaire à cause de sa nature intermittente et variable, connue de tous…

Cette énergie renouvelable aléatoire restera marginale (actuellement 2,5 % de la demande primaire de l’UE).

Les 1000 milliards d’euros déversés par l’UE durant presque 50 ans, et les trois directives européennes imposant d’acheter prioritairement leur production n’y changeront rien.

RETOUR DES GILETS JAUNES ?

Les factures du gaz et de l’électricité vont augmenter sans aucun impact sur les émissions mondiales de gaz carbonique à cause de cette folle « transition énergétique » européenne vers le gaz, soutenue par l’Allemagne, fondée sur des énergies éoliennes et solaires soit-disant gratuites, mais chères en réalité car diffuses, importées, aléatoirement variables et intermittentes.

Devant l’incompétence et le dogmatisme idéologique des responsables des pays de l’UE dans le domaine énergétique, les Européens et les Gilets jaunes en France devront-ils brûler de rage des drapeaux bleus étoilés pour se chauffer ?

ANNEXE TECHNIQUE SUR LE NUCLÉAIRE ET LES AUTRES ÉNERGIES

La note « Évolution des puissances pilotables des puissances pilotables installées en France et en Allemagne depuis 2005 » indique que ces deux pays ont perdu plus de 34 gigawatts (GW) de puissance pilotable depuis 2005, ce qui est considérable.

Cette perte est due à la fois à l’ouverture vers une pseudo-concurrence des marchés de l’électricité, mais aussi à l’intoxication des décideurs par les prévisions de l’Energiewende en Allemagne et de l’ADEME en France (influencée par l’association antinucléaire Négawatt) qui donnaient globalement une chute de la consommation d’électricité de 40 % en France et de 45 % en Allemagne entre 2010 et 2020.

Ces deux prévisions allaient contre toute logique alors que la neutralité carbone exigeait, au contraire, un remplacement des énergies fossiles par de l’électricité décarbonée, donc que la consommation d’électricité irait en augmentant d’ici 2050, et non en baissant, comme l’indique depuis plusieurs années l’association Sauvons le climat dans son scénario Négatep.

UN LOBBY CONTRE LE NUCLÉAIRE

En réalité, les antinucléaires allemands et français voulaient prouver qu’il était facile de sortir facilement du nucléaire pour passer à 100 % d’énergies renouvelables intermittentes (EnRI).

À force de belles démonstrations absurdes, ils ont abusé les pouvoirs publics qui ont programmé des baisses de moyens pilotables avec une naïveté confondante, alors que depuis 10 ans (tout de même) la consommation d’électricité ne baisse pas en Allemagne et en France.

Au contraire, la neutralité carbone exigera le remplacement des fossiles par de l’électricité décarbonée.

Les Allemands qui affichaient une baisse de la consommation d’électricité de 637 TWh à 350 TWh en 2050 annoncent maintenant qu’il faut viser une consommation de plus de 1000 TWh et, en France, l’Académie des Sciences annonce de l’ordre de 900 TWh en 2050.

Les pouvoirs publics allemands et français ont été abusés en adoptant en 2020 la folle programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE).

La France a perdu les marges indispensables pour passer les pointes de consommation tout en se ruinant avec des électricités intermittentes qui n’assument aucun service au système électrique ni aucune responsabilité dans l’équilibre offre-demande.

L’augmentation des prix sur le marché « spot » est totalement révélatrice de cette situation. Les acheteurs sur « le spot » sont les électriciens qui doivent faire face à une défaillance d’un moyen de production, ou bien des revendeurs qui n’assurent que 95 % de leurs ventes par contrat d’achat et bouclent par des achats sur le spot.

Désormais, les quantités disponibles sur ce marché « spot » sont de plus en plus faibles. Résultat : les prix s’envolent.

LES DÉGÂTS DE L’ARRÊT DU NUCLÉAIRE

Et le pire est à venir puisque les Allemands vont arrêter près de 3 GW de nucléaire et 7 GW de centrales à charbon-lignite.

En résumé, les prix montent par manque de moyens pilotables en Europe et les délestages (coupures de courant) approchent.

Les États européens devraient se rendre à l’évidence et décider en urgence la construction de moyens pilotables… à gaz.

Pour la France, la PPE est à enterrer et les arrêts de tranches nucléaires ne sont plus d’actualité. Il faudra lancer à la fois les EPR2 et des centrales à gaz plus rapides à construire, et donc remettre la neutralité carbone au-delà de 2050.

Voilà comment des idéologues amènent la France et toute l’Europe dans le mur à la fois pour la tenue de l’équilibre électrique et pour l’objectif de neutralité carbone.

Le tarif public ne dépend pas du prix du gaz, mais les fournisseurs alternatifs achètent une partie de leur électricité sur le marché. Si les prix du marché grimpent, leurs coûts montent et ils doivent répercuter cette hausse sur leurs clients.

Les fournisseurs alternatifs sont producteurs à partir de centrales au gaz (comme ENGIE ou Total Energies) et/ou revendeurs d’électricité nucléaire achetée à EDF grâce à l’Accès régulé à l’électricité nucléaire (ARENH). Ils sont donc frappés par la hausse du prix du gaz, mais peuvent modérer leur prix de l’électricité grâce à l’ARENH.

Ceux qui ne sont que des revendeurs d’électricité achetée sur l’ARENH, c’est le bonheur, ils alignent leur prix de l’électricité sur ceux d’ENGIE et de Total énergies, et ils gagnent plus qu’avant !

Pour qu’ils soient compétitifs, la CRE va augmenter les tarifs régulés de vente (TRV) de l’ordre de 10 à 12 % en février 2022, car les prix du marché « spot » devraient augmenter au fur et à mesure que les excédents mis par les électriciens sur le marché vont se rapprocher de zéro.

La CRE va donc augmenter le tarif régulé pour que les (pseudos) « producteurs alternatifs » soient compétitifs. Ainsi, lorsque les prix spots sont bas, les alternatifs peuvent vendre au-dessous du tarif régulé, et lorsque les prix spots sont hauts, le tarif régulé augmente pour ne pas les pénaliser.

Après 10 ans d’ARENH, les alternatifs n’ont développé aucun nouveau moyen de production.

Or c’était l’objectif de la Commission Champsaur repris ensuite dans la loi NOME. Cette disposition ruine EDF et n’apporte rien en termes de vraie concurrence.

Le pire est que les électricités intermittentes ont immobilisé une grande partie des capitaux indispensables à la construction de moyens de production pilotables.

Et le consommateur est toujours perdant.

À la fin 2021, la somme des puissances pilotables en France et en Allemagne est de 178 GW, sans compter la perte de 10 GW entre nucléaire et thermique en Allemagne.

La puissance appelée à la pointe en Allemagne est de 82 GW et, en France, de 100 GW.

Mais tous les moyens mobilisables ne sont pas disponibles en même temps. La France cet hiver ne pourra pas compter sur plus de 80 GW.

Ceux qui clament que l’Europe peut encore arrêter 48 GW induisent les décideurs politiques en erreur, comme ils le font depuis 10 ans. En réalité, ils raisonnent en énergie annuelle. Or tous les électriciens de métiers savent qu’un parc adapté en énergie est sous-adapté à la pointe par absence de stockage.

ÉVOLUTION DES PUISSANCES PILOTABLES INSTALLÉES EN FRANCE ET EN ALLEMAGNE ENTRE 2005 ET 2020

2005

France Allemagne

THERMIQUE À FLAMME 27 387 MW 80 365 MW

NUCLÉAIRE 63 363 MW 21 439 MW

HYDRAULIQUE 15 000 MW 5 000 MW

TOTAL 105 753 MW 106 804 MW

TOTAL 2005 FRANCE + ALLEMAGNE = 212 557 MW

2021

FRANCE ALLEMAGNE

THERMIQUE À FLAMME 7 800 MW 67 700 MW

BIOMASSE 800 MW 9 000 MW

NUCLÉAIRE 61 500 MW 8 107 MW

HYDRAULIQUE 15 000 MW 5 000 MW

TOTAL 92 300 MW

85 100 MW (réels)

89 807

TOTAL 2020 FRANCE + ALLEMAGNE = 177 907 MW

BAISSE 2020-2005 = 34 650 MW

L’Allemagne va perdre 10 GW (6 GW Thermique et 4 GW nucléaires) entre 2021 et 2022.

L’Espagne et l’Italie sont structurellement déficitaires comme la Belgique et le Royaume-Uni qui sont presque toujours importateurs, ainsi que la Pologne, la Roumanie et la Turquie.

Si au lieu de faire la part belle aux idéologues de l’énergie, le gouvernement s’appuyait sur de vrais professionnels, il éviterait bien des bêtises, et surtout de graves soucis d’alimentation en énergie pour les Français demain.

Les pays de l’UE ont une politique énergétique incohérente qui conduit à l’appauvrissement et à de graves problèmes sociaux et humains.

https://www.contrepoints.org/2021/10/02/407148-nucleaire-comment-il-peut-nous-sauver-du-gaz

70 commentaires:

  1. ÉOLIENNES OU NUCLÉAIRE IL FAUT CHOISIR !


    par LOUIS MARIN
    30/09/2021


    Fessenheim produisait 2,2% de l'électricité en France.

    Alors que la France va présider l’Union Européenne en janvier 2022, le Figaro vient de publier un dossier complet sur les enjeux énergétiques de la France au moment du lancement de la campagne des élections présidentielles par Eric Zemmour. Notre pays par son modèle basé sur le nucléaire et l'hydroélectricité qui représente plus de 80% de ses ressources électriques est depuis des années champion du monde en terme de décarbonation. Il a pour ainsi dire déjà atteint ses objectifs dans la lutte contre le réchauffement climatique. L’installation d’éoliennes même en complément du nucléaire ne sert strictement à rien en France.

    L’Allemagne de son côté qui assure son approvisionnement électrique par les éoliennes et les usines au charbon émet 10 fois plus de gaz à effet de serre que la France et diffuse dans notre pays par les vents d’est une pollution aux particules fines issues de ses centrales aux énergies fossiles. Le modèle électrique Allemand d’Energiwende reposant sur les énergies renouvelables est un échec retentissant et sa propre cour fédérale des comptes a dénoncé en 2021 la politique risquée qui allait conduire à une explosion des factures électriques des consommateurs allemands et une déstabilisation du réseau électrique avec des risques accentués de coupures.

    Cette situation n’est pas une surprise et a été dénoncée par de nombreux spécialistes qui ont alerté sur le danger de la sortie du nucléaire en France pour le remplacer ou le compléter par les éoliennes. En effet comme le nucléaire n’est pas pilotable ou à la marge, lorsque les éoliennes ne produisent pas d’électricité (elles ne produisent que 25% de leur capacité maximale de production) il est nécessaire de compenser ce défaut d’approvisionnement électrique par des usines au charbon ou au gaz fortement émettrices de gaz à effet de serre. La sortie du nucléaire en France et son remplacement par des éoliennes associées à des usines au gaz conduit in fine à une augmentation des émissions de gaz à effet de serre.

    Dans le rapport du Ministère de l’Ecologie, « Stratégie nationale bas carbone » publié en mars 2020, il est confirmé que la baisse du nucléaire en France à hauteur de 50% et son remplacement par des énergies renouvelables conduirait à la nécessité de construire 20 centrales au gaz d’ici 2027 avec une explosion de nos émissions de gaz à effet de serre. Le Ministère confirme ainsi qu’installer des éoliennes en complément ou en remplacement de nos centrales nucléaires oblige notre pays à se rapprocher de l’Allemagne très mauvaise élève de l’UE pour ses émissions de gaz à effet de serre.

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  2. La fermeture en France de la centrale nucléaire de Fessenheim qui produisait 2,2% d’électricité décarbonée oblige théoriquement à remplacer cette source de production par 2500 éoliennes de 2 mégawatts pour un investissement de 7 milliards d’euros. Les 7 centrales éoliennes prévues au large des côtes françaises auraient une puissance installée totale de 3500 mégawatts avec 450 éoliennes occupant 500 kilomètres carré ce qui correspond à la puissance de la seule centrale nucléaire de Bugey qui n’occupe que 1 kilomètre carré et produit 50% de plus d’électricité.

    La politique d’installation d’éoliennes en France est un gâchis humain, écologique et financier monumentale !

    En la matière il n’y a pas de en même temps. Vouloir coupler les éoliennes avec le nucléaire constitue une hérésie politique grossière. Vouloir satisfaire simultanément les « amishs » décroissants et les écologistes attachés aux paysages portés par Stéphane Bern n’a aucun sens. Eoliennes ou nucléaire il faut choisir ! Ce n’est pas l’un avec l’autre : c’est l’un ou l’autre.

    Il n’est pas possible de cautionner une politique d’installation d’éoliennes dont la construction et les raccordements génèrent une dépense publique de 250 milliards d’euros pour produire une électricité qui ne sert à rien et surtout en aucun cas à la décarbonation objectif voulu derrière leurs installations.

    Aujourd’hui la France a besoin de cet argent pour inventer, innover, développer un nouveau nucléaire seul garant de notre indépendance énergétique mais aussi pour répondre aux enjeux exposés par le GIEC qui dans son rapport de 2018 a recommandé une multiplication de deux à six de la capacité nucléaire dans le monde afin de répondre aux enjeux climatiques.

    A l’heure de l’explosion du cours de l’électricité et du gaz, la concentration des efforts de la France dans le sens du développement du nucléaire est la seule solution qui permettra par ailleurs de développer les emplois de la 3ème filière industrielle française qui pèse déjà 400 000 emplois non délocalisables et qui sera amenée à se développer fortement si un grand projet nucléaire suite du plan Messmer est déployé dans notre pays.

    http://www.economiematin.fr/news-eolienne-nucleaire-choix-energie-france-decarbonation-marin

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  3. Climat : censure à tous les étages


    le 2 octobre 2021


    Le 6 juin 2021 j’avais relaté les résultats exposés par le Docteur Pascal Richet au sujet des carottages glaciaires dans l’Antarctique sur le site Vostok. D’abord qui est Pascal Richet ? Physicien, Richet a longtemps été collaborateur de l’équipe de glaciologie fondée par l’éminent Claude Lorius dont l’un des membres est Jean Jouzel. Cette équipe étudia les carottes de glace et l’une de ses missions, dans le cadre d’une vaste collaboration internationale, fut d’une part de dater la glace, un processus très complexe dont certains aspects sont toujours controversés, mais également de déterminer aussi précisément que possible la température existant à l’interface atmosphère – surface lors des chutes de neige formant quelques centaines d’années plus tard une glace compacte pouvant être étudiée sans risques d’erreurs. Cette science est toujours en évolution. Elle comprend notamment l’étude des micro-bulles de gaz emprisonnées dans la glace dont en particulier le gaz carbonique. Les températures existant lors d’une chute de neige sont évaluées par étude du rapport entre isotopes 16 et 18 de l’oxygène de l’eau. Les techniques modernes de spectrographie de masse ont permis d’aboutir à un corpus de résultats qui ne sont plus contestables.

    Et pourtant l’un des derniers articles de synthèse de Pascal Richet au sujet duquel j’avais laissé un billet sur ce blog en juin dernier vient d’être censuré par un organisme allemand basé à Göttingen appelé Copernicus Publications.

    Cet organisme a émis une sorte de code à l’intention des éditeurs d’articles scientifiques qui ne dissimule pas ses intentions : il faut que les articles scientifiques soient conformes aux orientations politiques. Comme dans le cas des avanies mises en ligne par certains investigateurs vicieux au sujet des travaux du Professeur Didier Raoult relatifs au SARS-CoV-2 l’organisme Copernicus, mandaté par les politiciens convaincus de la validité de l’effet du gaz carbonique sur l’évolution du climat, a fini par trouver une faille dans l’article de Richet. En effet, cet article innocente le gaz carbonique dans l’évolution du climat puisque toutes les études réalisées sur ces carottes glaciaires montrent que l’augmentation de la teneur en ce gaz dans l’atmosphère est toujours consécutive à l’augmentation de température et non l’inverse. Ce résultat était déjà pressenti par d’autres études mais le fait que Pascal Richet l’expose clairement a clairement énervé les réchauffistes de tout poil et Copernicus a fait son travail de dénigrement. La revue History of Geo- and Space Sciences a donc été contrainte de retirer cet article.

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  4. Les pays occidentaux sont donc confrontés aujourd’hui à une censure organisée par des officines idéologiquement orientées qui agissent sur ordre des décideurs politiques. Il ne faut pas s’illusionner : les censures de YouTube et de Facebook sont le résultat d’ordres directs des gouvernements. L’Europe a donc rétrogradé de plus de 60 ans en copiant presque mot pour mot les pratiques de l’ère stalinienne ou du maccarthysme américain. Si les scientifiques sont censés douter de leurs résultats afin de faire progresser leurs recherches la mise en doute de leurs résultats par des organismes en charge de vérifier le « politiquement correct » de ces articles scientifiques revus par des comités de lecture est tout simplement scandaleux. Force est de constater la pénétration insidieuse des partis écologistes dans la mise en place de ce type de censure. On ne peut qu’espérer qu’un jour prochain les mensonges répétés de l’IPCC seront ouvertement dénoncés et que le peuple prendra conscience qu’il a été abusé par la propagande climatique …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/06/06/rechauffement-ou-refroidissement-co2-ou-pas-co2/
    Version française de l’article de Richet : https://www.climato-realistes.fr/wp-content/uploads/2021/06/Pascal-Richet-vostok.pdf

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/10/02/climat-censure-a-tous-les-etages/

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  5. LE ROYAUME-UNI S'ENFONCE DANS LA CRISE ÉNERGÉTIQUE


    par RÉDACTEUR
    04/10/2021


    20% de l'électricité britannique est produite par l'éolien offshore.

    Pour Ofgem, le régulateur britannique des marchés du gaz et de l’électricité, la situation est « sans précédent ». Les prix du gaz sont six fois supérieurs à ce qu’ils étaient il y a un an, augmentant de 70 % en août. Et personne ne sait combien de temps cela va durer...

    « Je comprends que les entreprises et consommateurs soient inquiets. Nous travaillons dur pour atténuer l’impact de la montée mondiale des prix du gaz », déclarait dimanche 19 septembre le ministre britannique des Entreprises, Kwasi Kwarteng. De petits fournisseurs d’énergie subissaient déjà des pressions à cause de la flambée soudaine des prix mondiaux du gaz. Mais après consultations avec le régulateur, le ministre se voulait rassurant : « Si un fournisseur fait faillite, Ofgem s’assurera que ses consommateurs voient leur approvisionnement en électricité et gaz se poursuivre sans interruption ».

    Une semaine plus tard, le Royaume-Uni continue de s’enfoncer dans la crise énergétique. La flambée des prix de l’énergie, il est vrai, concerne toute l’Europe. Mais le Royaume-Uni est particulièrement sous pression à cause de sa forte dépendance au gaz naturel pour générer de l’électricité. Le prix du gaz britannique pour livraison, qui avait atteint mercredi 15 septembre un prix historique de 194,94 pence par thermie, reste en hausse de près de 70 % sur un mois à 171,75 pence par thermie. Les prix du gaz dans le pays sont en hausse de 44 % depuis le début du mois et de 218 % depuis le début de l’année. Les tarifs de l’électricité ont quant à eux grimpé de près de 300 % depuis un mois (à 422 livres par mégawattheure à la mi-septembre).

    Ces cours, dopés par l’incendie de la liaison électrique IFA (Interconnexion France-Angleterre) le 15 septembre, font craindre de fortes hausses de tarifs pour les consommateurs à l’approche de l’hiver.

    Effets secondaires du Brexit

    D’autant que, contrairement à l’Allemagne et à la France, qui disposent de l’énergie nucléaire et du charbon pour faire face à la flambée des prix du gaz, le Royaume-Uni mise particulièrement sur l’éolien offshore. Mais les vents ont été faibles ces dernières semaines, et les stocks se retrouvent au plus bas après un hiver 2020-2021 particulièrement prolongé. Résultat : pour Ofgem, la situation est désormais « sans précédent ». Le président du régulateur britannique souligne que les prix du gaz « sont six fois supérieurs à ce qu’ils étaient il y a un an », qu’ils ont « augmenté de 70 % en août » et qu’il est « très difficile de savoir combien de temps cela va durer ».

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  6. Ce qui est sûr, c’est que les conséquences sont déjà dramatiques. Sept énergéticiens ont fait faillite depuis le début de l’année, et d’autres pourraient suivre. Parmi eux, Bulb, qui approvisionne 1,7 million de ménages en gaz et en électricité. Le Times estime que seule une dizaine de fournisseurs pourraient survivre à la crise, sur la quarantaine que compte le Royaume-Uni aujourd’hui. Le ministre Kwarteng, qui considère cette estimation excessive, annonce par ailleurs que le gouvernement continuera de plafonner les tarifs pour les ménages à des prix bien en deçà du taux actuel du marché.

    La flambée du gaz a en outre entraîné l’arrêt de deux usines d’engrais appartenant au groupe américain CF Industries, qui produisent 60 % du gaz carbonique du Royaume-Uni. Ce dernier est essentiel pour l’étourdissement des porcs et des poulets avant l’abattage, l’emballage de la viande et des produits frais, la croissance des légumes sous serre ou encore la carbonatation de l’eau et d’autres boissons. Or, le Brexit empêche le Royaume-Uni de s’allier à d’autres pays de l’Union européenne pour des achats groupés massifs de gaz à des prix concurrentiels, comme le souligne le journaliste et essayiste Marc Roche.

    « Déconfiture économique »

    La sortie du Royaume-Uni de l’UE a par ailleurs entraîné le départ de 20 000 chauffeurs de poids lourds originaires du continent ainsi que des milliers de travailleurs est-européens dans l’agriculture et l’agroalimentaire. Les pénuries d’essence et de produits alimentaires qui en ont résulté, combinées à une reprise économique plus forte que prévu après le déconfinement, se traduisent par un taux d’inflation prévu à 4%.

    Une estimation préoccupante, la plupart des prêts immobiliers étant à taux variables directement liés au prix du loyer. « Les ménages les plus précaires devraient en souffrir », analyse Marc Roche, pour qui le Royaume-Uni est en réalité « confronté à la brutale déconfiture de sa situation économique ». En déplacement à New York pour l’assemblée générale des Nations unies, Boris Johnson concédait qu’il y avait « beaucoup de problèmes de court terme pas seulement dans notre pays mais autour du monde à cause de l’approvisionnement en gaz et de pénuries de toutes sortes ». Si le premier ministre insiste sur la nécessité de « s’assurer que les entreprises dont nous avons besoin ne font pas faillite », son ministre des Entreprises rappelle que le Royaume-Uni peut compter sur une production nationale ainsi que sur l’approvisionnement provenant de « partenaires très très fiables, comme la Norvège ».

    Il n’empêche que pour faire face à la crise, Londres a également dû se résoudre à faire tourner ses centrales à charbon. Particulièrement polluantes, celles-ci ont « joué un rôle essentiel en maintenant les lumières allumées alors que le système énergétique est soumis à une pression considérable », selon l’énergéticien britannique Drax. La société énergétique, qui exploite la plus grosse centrale à charbon du pays dans le Yorkshire, avait prévu d’arrêter ce combustible dès cette année. Mais elle affirme aujourd’hui que l’utilisation du charbon pourrait être indispensable afin de maintenir l’équilibre du réseau électrique.

    http://www.economiematin.fr/news-crise-energie-royaume-uni-penurie-risque-redacteur

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    Réponses
    1. (...) 20% de l'électricité britannique est produite par l'éolien offshore. (...)

      Pendant 1 jour ou 1 heure ?

      Ils sont allé jusqu'à dire que la Chine manquait... d'électricité !! HAHAHAHA ! (pour justifier les embouteillages aux ports !!et les rayons vides aux supermarchés !!) HAHAHAHA !

      Premièrement, la Chine ne manque ni d'énergie ni de travailleurs.
      Deuxièmement, les commandes diminuent au point presque zéro tant les centrales d'achats s'attendent à une dépopulation colossale (4 milliards de morts !) sitôt que la 5G sera mise en place de partout.
      Troisièmement, les embouteillages aux ports sont dus au manque de personnels pour effectuer les manœuvres de charger/décharger. Faut dire que les dockers doivent se faire inoculer 'Le vaccin de la mort' avant d'aller travailler !!!

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  7. GAZ ET ÉLECTRICITÉ : UN « BOUCLIER TARIFAIRE » POUR LIMITER LES HAUSSES


    par PAOLO GAROSCIO
    01/10/2021


    Les tarifs réglementés du gaz vont augmenter de 12,6% TTC en octobre 2021.

    Ce 1er octobre 2021, les tarifs réglementés du gaz, pratiqués par Engie, augmentent de 12,6% en moyenne : une des hausses mensuelles les plus élevées depuis 2015. Face au risque d’une explosion des factures, le gouvernement a donc annoncé un « bouclier tarifaire » pour limiter l’impact de l’augmentation des tarifs de l’énergie sur le budget des ménages.

    Le « bouclier tarifaire » : prix du gaz gelé, hausse de l’électricité limitée

    Après avoir annoncé un coup de pouce pour les ménages les plus défavorisés sous la forme d’un chèque énergie exceptionnel de 100 euros pour tous les foyers touchant cette aide, Jean Castex, invité du 20H de TF1 le 30 septembre 2021, a fait des annonces très attendues : le gouvernement met en place son « bouclier tarifaire » afin de préserver les ménages « contres ces hausses de tarifs ». Deux mesures ont été annoncées.

    La première concerne le gaz : après l’augmentation de 12,6% de ce 1er octobre 2021, sur laquelle le gouvernement n’aura pas agi, les tarifs seront gelés. Une bonne nouvelle alors que pour novembre une nouvelle augmentation, estimée à environ 15% selon les informations du Parisien, devait avoir lieu.

    La seconde concerne l’électricité : si le gouvernement ne prévoit pas un gel des tarifs de l’électricité, il en limite la hausse. Annoncée à 12% pour le mois de février 2022, elle sera artificiellement limitée à 4%.

    Rien pour les carburants et clause de revoyure au printemps 2022

    Le prix des carburants, tiré vers le haut par la hausse du prix du pétrole en Bourse qui a atteint, la semaine du 27 septembre 2021, un prix record depuis 2018 (et même 2014 pour le WTI), ne bénéficiera toutefois pas de mesures particulières. Essence et gasoil continueront d’évoluer comme prévu, malgré un prix qui, dans certaines stations très particulières, a dépassé les 2 euros le litre.

    Enfin, le Premier ministre a fixé au printemps 2022 une sorte de clause de revoyure : il estime que dès avril 2022, les prix du gaz et de l’énergie en général devraient commencer à fortement baisser. Si tel est le cas, ce « bouclier tarifaire » devrait être levé.

    http://www.economiematin.fr/news-hausse-prix-gaz-electricite-bouclier-tarifaire-castex-annonces

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  8. Une éolienne allemande s'effondre mystérieusement un jour avant son inauguration officielle


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 02 OCT 2021 - 07:35


    Une énorme éolienne dans la ville de Haltern, en Allemagne, s'est effondrée quelques heures seulement avant son inauguration cette semaine.

    L'énorme dispositif d'énergie alternative arborait des pales de rotor à une hauteur de 784 pieds (239 m), selon un rapport d'AP. Il est tombé, sans prévenir, tard mercredi cette semaine.

    La turbine devait être officiellement lancée le lendemain et était connectée au réseau électrique depuis plus de six mois.

    Cela fait partie d'un effort plus large en Allemagne pour utiliser les énergies renouvelables alors que le pays tente de s'éloigner non seulement des combustibles fossiles, mais aussi du nucléaire.

    Rappelez-vous, vendredi matin, nous avons écrit à propos d'une lettre récemment écrite par des professeurs d'Oxford, de Harvard et de l'Université américaine aux côtés d'un groupe d'écologistes, encourageant l'Allemagne à reporter sa sortie de l'énergie nucléaire.

    Notant que de nombreux Allemands ne sont pas satisfaits du travail que font les politiciens pour lutter contre le changement climatique, la lettre note que "les émissions de l'Allemagne augmentent à nouveau fortement, à un moment où elles doivent chuter rapidement".

    Les émissions en 2021 "devraient se situer à seulement 37 % en dessous du niveau de référence de 1990, toujours 3 % en deçà de l'objectif 2020 d'une réduction de 40 % (qui a en fait été manquée)", indique la lettre.

    Le prochain objectif du pays d'une réduction de 65 % d'ici 2030 est en "grave danger", affirme-t-il.

    La lettre note ensuite que l'Allemagne "ne tire pas pleinement parti de toutes les possibilités" et qu'elle ferme ses réacteurs nucléaires deux décennies avant le moment où elle en a besoin. Ces réacteurs nucléaires produisent "8 gigawatts de production d'électricité à faible émission de carbone, répondant actuellement à 10 pour cent de la demande nationale de jour".

    La lettre demande instamment le report de la fermeture de ces réacteurs, car d'autres types d'énergies renouvelables sont mis en ligne dans l'intervalle. La lettre concluait avec force :

    Il est encore temps de remettre les choses au clair. L'Allemagne pourrait encore changer de cap et ajuster son ordre de priorité pour sortir du charbon avant le nucléaire. Il suffirait d'un trait de plume pour rétablir les anciennes prolongations de vie, convenues en 2010, des usines entre 2030 et 2036.

    Un politicien est-il assez courageux pour mettre en œuvre ce changement concret qui aurait un impact positif sans équivoque sur les émissions, à un moment critique de la crise climatique ? Cette action d'urgence - un report de la sortie du nucléaire, pas une annulation - mériterait à juste titre le respect de la jeune génération.

    On a dit que le sabotage n'était pas suspecté avec l'éolienne.

    https://www.zerohedge.com/markets/german-wind-turbine-mysteriously-collapses-one-day-it-was-supposed-officially-be

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  9. Les serres néerlandaises s'assombrissent alors que la crise énergétique s'aggrave ; Les craintes d'inflation alimentaire montent en Europe


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 02 OCT 2021 - 08:45


    La flambée des prix européens du gaz et de l'électricité s'aggrave de jour en jour, forçant un vaste réseau de serres néerlandaises, le plus grand du continent, à limiter la production ou à devenir complètement noir, selon Bloomberg. Cela pourrait avoir un impact dévastateur sur les approvisionnements alimentaires et faire grimper les prix avant les fêtes de fin d'année.

    Les Pays-Bas sont devenus un géant agricole et sont le deuxième exportateur mondial de produits alimentaires en valeur, principalement grâce à ses 25 000 acres de serres qui approvisionnent l'Europe en légumes comme les concombres, les tomates, les poivrons et les fleurs. En 2020, les exportations néerlandaises de produits agricoles produits en serre s'élevaient à 10,7 milliards de dollars, mais cette année pourrait être beaucoup moins élevée, car les prix élevés du natgas et de l'électricité entraînent l'extinction de certaines opérations.

    - voir graphique sur site -

    Cindy van Rijswick, analyste principale chez Rabobank, a déclaré que l'hyperinflation des prix européens du gaz et de l'électricité a un "impact massif" sur les serres et a contraint certains producteurs à réduire l'éclairage, à terminer la saison de croissance plus tôt ou à planter au printemps lorsque les prix du natgas se calmer.

    - voir graphique sur site -

    "Ce sont des mesures drastiques qui réduisent la production et le rendement et ont des conséquences économiques majeures pour les entreprises", selon l'association industrielle Glastuinbouw Nederland. "Nous ne pouvons pas exclure si les consommateurs paieront également plus pour leurs légumes, fleurs et plantes."

    Un producteur de tomates basé à Maasdijk, appelé Lans, qui produit 80 millions de livres de légumes par an, a déjà réduit sa production. Erwin van der Lans, directeur opérationnel de l'entreprise, a déclaré que les factures d'énergie avaient considérablement augmenté et que la capacité des serres était de 50 à 80 %.

    "Finalement, vous produirez moins", a déclaré Lans. "Cela commence maintenant. Notre production est maintenant réduite d'environ 10%, cela peut aller jusqu'à 20%. Finalement, les clients commenceront petit à petit à payer plus."

    Une entreprise de fleurs appelée Marcel van der Lugt de Lugt Lisianthus a déclaré que les prix de l'électricité avaient quadruplé et augmenté les coûts de 20 à 25 %. Les fleurs sont exportées vers l'Allemagne, la France et la Russie.

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  10. L'Europe a du mal à réagir à la crise énergétique alors que les prix du gaz naturel ont de nouveau grimpé en flèche après que la Russie a réduit ses approvisionnements de manière inattendue. Le continent n'est pas suffisamment approvisionné avant l'hiver, ce qui laisse présager que la crise énergétique va se poursuivre.

    Plus important encore, la crise énergétique a jusqu'à présent eu un impact sur la chaîne d'approvisionnement alimentaire, des usines d'engrais britanniques aux serres néerlandaises, aggrave l'inflation alimentaire, les prix alimentaires mondiaux atteignant déjà des sommets de la décennie. Il y a très peu de choses que les banquiers centraux peuvent faire à part tweeter ou faire des déclarations dans les médias grand public pour calmer tout le monde sur le fait que la flambée de l'inflation n'est rien de plus que « transitoire ».

    https://www.zerohedge.com/commodities/dutch-greenhouses-go-dark-energy-crisis-worsens-food-inflation-fears-mount-europe

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  11. LA FIN DU SYSTÈME BANCAIRE


    par BILL BONNER
    03/10/2021


    Selon la FED, en 2023 l'inflation va atteindre 2,2% aux États-Unis.

    Le secteur bancaire a des défauts (nombreux)… mais peut-on vraiment compter sur une agence gouvernementale pour le réformer ? Bill Bonner a des doutes sur la question.
    Cette semaine, nous cherchons à déterminer comme se déroulera « la fin du monde ».

    Aujourd’hui, nous faisons la connaissance d’une femme qui a l’intention de le tuer – l’ange exterminateur en personne – Saule Omarova.

    Née au Kazakhstan, ayant fait ses études à Moscou, Madison et Chicago, et désormais nommée par la bande à Biden à la tête de l’OCC (Office of the Comptroller of the Currency, un organisme gouvernemental chargé de la surveillance des banques implantées aux Etats-Unis)…

    … Mme Omarova ne cherche pas à dissimuler ce qu’elle mijote. Elle annonce qu’elle a pour objectif de « mettre fin à l’industrie bancaire telle que nous la connaissons ».

    En d’autres termes, elle veut remplacer un secteur entier – qui a évolué sur des centaines d’années, grâce aux efforts de milliers de banquiers en concurrence… lesquels ont servi des millions de clients – par un monstre qu’elle aura elle-même inventé.

    « Remodeler » la finance
    Par ailleurs, détruire « l’industrie bancaire » n’est que le début de ses ambitions.

    Mme Omarova n’a jamais travaillé pour une banque ni géré une entreprise… elle n’a jamais lancé d’entreprise ou fait en sorte de payer des employés…

    … En fait, elle n’a jamais eu d’emploi hors de l’université ou d’un cabinet d’avocats (nous ne comptons pas sa période en tant que « conseillère spéciale » pour la politique réglementaire auprès du sous-secrétaire des Finances nationales en 2006-2007 comme étant un véritable emploi).

    Pourtant, elle pense savoir ce qu’il y a de mieux pour 330 millions d’Américains (et peut-être le monde entier)… et a l’intention de mettre tout ça en place qu’ils le veuillent ou non. Elle explique :

    « Mon nouveau document de travail […] préconise une réforme complète de la structure et de la fonction systémique du bilan de la Fed comme base pour redessiner l’architecture centrale de la finance moderne. Il propose un plan pour transformer le bilan de la Fed en ce qui est appelé le ‘Grand livre de comptes du peuple’ : la plateforme publique ultime pour générer, moduler et allouer la monnaie et le crédit souverains dans une économie démocratique. »

    Rien que ça… Mme Omarova pense que la finance moderne a été « conçue »… et qu’elle a le droit de la remodeler, en allouant l’argent comme elle le juge bon.

    Oui, elle se propose d’être décisionnaire non pas seulement pour le gouvernement, mais aussi pour le secteur privé.

    En particulier, elle propose de mettre en place une structure ressemblant au Gosplan de l’Union soviétique – une « Autorité nationale de l’investissement » (NIA) qui serait chargé de « formuler, financer et exécuter une stratégie coordonnée de développement économique durable et socialement inclusif ».

    En d’autres termes, les autorités ont fait des investissements si extraordinaires ces dernières années… donnons-leur encore plus d’argent à exploiter !

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  12. Retour à l’ère soviétique ?
    Attendez, ce n’est pas tout…

    La NIA « agirait directement sur les marchés financiers en tant que prêteur, garant, titrisateur et capital-risqueur, largement mandaté pour mobiliser, amplifier et diriger les capitaux publics et privés là où ils sont le plus nécessaires ».

    Oui, elle propose réellement une Gosbank, la banque centrale de l’Union soviétique.

    Pourquoi pas ? La planification centrale a largement fait ses preuves en URSS, après tout. Quelle gentillesse de vouloir l’implanter aux Etats-Unis ! A présent, comme le kudzu ou la punaise diabolique, elle se répand partout.

    Pas mal, non, comme « fin du monde tel que nous le connaissons » !

    Pour plus d'informations et de conseils de ce genre, c'est ici et c'est gratuit

    http://www.economiematin.fr/news-systeme-bancaire-fin-defaut-gouvernement-argent-bonner

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    1. Pourquoi cette fin du papier-monnaie ? Payer avec un billet est un justificatif de valeur pour l'achat d'une valeur correspondante. Donc, une sorte de troc. Tandis que de passer à l'argent-électrique c'est tout autre chose ! Pensez donc: Jusqu'à présent tout les dépôts en banques appartenaient au banquiers et non à vous, mais maintenant, le changement est dans la gestion des comptes. Le banquier peut vider votre compte (c'est le sien !) et vous vous vous retrouvez sans un sou ! SANS UN SOU !
      C'est programmé, c'est voulu, c'est comme çà !
      Donc: remise à zéro pour 7 milliards de personnes. Chacune aura 200 dollars par mois sur son compte. A vous de vous démerder pour vivre avec ou crever.

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  13. Les banques du monde entier souffrent de grosses pannes, laissant des millions de clients dans l'embarras au pire moment possible


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 01 OCT 2021 - 17:00
    Rédigé par Nick Josse via NakedCapitalism.com,


    Vingt banques (certaines souffrant de pannes à répétition), six pays (une en lock-out), cinq continents, des dizaines de millions de clients mécontents.

    Il n'y a jamais de bon moment pour que le système informatique de votre banque tombe en panne. Mais peu peuvent être pires qu'au milieu d'un verrouillage. Il est difficile de quitter la maison, votre agence locale peut ne pas être ouverte et, par conséquent, vous dépendez plus que jamais des services bancaires numériques. En Nouvelle-Zélande, maintenant dans sa septième semaine de verrouillage à l'échelle nationale, l'un des plus grands prêteurs du pays, Kiwibank, a fait faillite mardi, laissant bon nombre de ses clients dans l'embarras. Il fait partie d'une série de pannes informatiques dont la banque a souffert au cours des trois dernières semaines, après qu'une attaque DDoS contre le troisième plus grand fournisseur d'accès Internet de Nouvelle-Zélande a provoqué des pannes informatiques chez un certain nombre de prêteurs, dont Commonwealth Bank et Anz Bank.

    Lors d'une attaque DDoS, les pirates informatiques submergent un site en obtenant un grand nombre de robots qui s'y connectent tous en même temps, le rendant inaccessible. Les serveurs ne sont pas violés, les données ne sont pas volées, mais cela peut toujours causer de nombreuses perturbations.

    24 millions de clients mécontents

    La Nouvelle-Zélande n'est pas le seul pays à avoir subi des pannes majeures au sein de son système bancaire ces dernières semaines. Les autres pays incluent le Royaume-Uni, le Japon, l'Afrique du Sud, le Venezuela et le Mexique, bien qu'il y en ait sans aucun doute plus (si vous en connaissez, ce serait formidable si vous pouviez fournir des détails dans la section commentaires).

    Le 12 septembre, des défaillances de fonctionnement de la plus grande banque du Mexique, BBVA Mexico, ont empêché 24 millions de titulaires de compte d'utiliser les 13 000 guichets automatiques de la banque, son application mobile ou les paiements en magasin pendant près de 20 heures. Comme c'était un dimanche, les clients ne pouvaient même pas profiter des services de trésorerie en succursale du prêteur. La banque a imputé la panne à un échec de la mise à jour du système et a proposé de compenser les clients avec des bonus en espèces sur les achats lors de l'utilisation de leurs cartes de crédit ou de débit. La banque s'est également efforcée de leur assurer que leurs données financières n'étaient pas compromises.

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  14. "Cela n'avait rien à voir avec le monde extérieur", a déclaré Jorge Terrazas, directeur de la communication et de l'identité d'entreprise de la banque. « La banque et les informations de ses clients sont sécurisées. Ce que nous avons fait, c'est d'annuler les modifications apportées au système et de tout remettre tel qu'il était. »

    Moins d'une semaine après la panne de BBVA, Santander Mexico, une autre banque mexicaine appartenant à des intérêts espagnols, a subi une panne qui a empêché les clients de tout le pays d'utiliser leurs cartes de débit au guichet automatique ou dans les magasins. Encore une fois, il a été imputé à des problèmes internes.

    Ces dernières années, le Mexique est devenu un marché important pour les données volées – suffisamment pour lui valoir la huitième place mondiale en termes de vol d'identité, selon la banque centrale du pays, Banco de Mexico (Banxico en abrégé). Cela est en partie dû à l'impunité généralisée dont jouissent les cybercriminels dans le pays, en raison du manque d'application des lois existantes et de l'absence d'outils juridiques adéquats. Le cybervol au Mexique n'est pas seulement l'apanage de pirates informatiques isolés vivant dans des sous-sols, mais également d'organisations criminelles hautement professionnelles.

    Même le système de virement interbancaire SPEI de Banxico, une itération du système de paiement mondial SWIFT, a été la cible de braquages ​​numériques, comme le rapporte WIRED :

    En janvier 2018, un groupe de pirates informatiques, qui travaillerait désormais pour le groupe d'État nord-coréen Lazarus, a tenté de voler 110 millions de dollars à la banque commerciale mexicaine Bancomext. Cet effort a échoué. Mais quelques mois plus tard, une série d'attaques plus petites mais toujours élaborées a permis aux pirates de siphonner 300 à 400 millions de pesos, soit environ 15 à 20 millions de dollars des banques mexicaines. [Cliquez ici pour lire comment ils l'ont fait].
    Depuis lors, les banques mexicaines ont subi des pannes répétées, dont l'une des plus importantes a eu lieu lors du "Buen Fin" de l'année dernière, un événement commercial annuel à l'échelle nationale inspiré du Black Friday. Les sites Web bancaires en ligne et les applications mobiles de nombreuses grandes banques du pays, dont BBVA et Citibanamex, se sont effondrés le même jour, empêchant de nombreux clients de finaliser leurs achats.

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  15. « Une tendance croissante »

    Au Royaume-Uni, la Financial Conduct Authority est « profondément préoccupée » par le nombre croissant de pannes technologiques depuis plusieurs années. Lors de la réunion publique annuelle de la FCA en 2019, la directrice exécutive de la supervision du régulateur, Megan Butler, a déclaré que le nombre d'incidents de "ruptures de résilience opérationnelle" signalés en termes de défaillances informatiques avait augmenté de 300 % d'une année sur l'autre. Et cela, a-t-elle dit, serait probablement "une tendance croissante", bien que cela soit en partie dû à l'augmentation des rapports sur les événements.

    Le 22 juillet de cette année, les sites Web de six grandes banques et sociétés de crédit immobilier - Lloyds, HSBC, TESCO Bank, Bank of Scotland, Halifax et Barclays - ont été fermés par une panne Internet mondiale prétendument causée par une mise à jour logicielle bâclée du service d'hébergement Akamai. . Moins d'un mois plus tard, les applications de cinq prêteurs et sociétés de crédit immobilier - Natwest, TESCO Bank, TSB, Santander UK et Halifax - ont toutes disparu en quelques jours seulement. La panne, apparemment déclenchée par un problème avec la société de paiement américaine TSYS, a empêché les consommateurs d'accéder aux services de leur carte de crédit et aux informations de leur compte. Depuis lors, HSBC, Barclays Bank et la Cooperative Bank ont ​​toutes subi de brèves pannes.

    Certaines pannes peuvent durer beaucoup plus longtemps et perturber beaucoup plus la vie des gens. En 2018, la migration informatique bâclée de Banco Sabadell de sa filiale britannique TSB – qualifiée de « plus grande catastrophe informatique de l'histoire bancaire britannique – a empêché des centaines de milliers de clients d'accéder à leurs comptes en ligne pendant des semaines. Certains clients ont perdu financièrement. Beaucoup ont vu leur cote de crédit se détériorer en conséquence directe. Les clients commerciaux n'étaient pas en mesure de payer leurs factures ou d'effectuer leurs paies et les versements hypothécaires ont été manqués. Plus de 1 300 clients ont été victimes d'attaques frauduleuses. La crise a coûté à Sabadell des centaines de millions de livres, 80 000 clients et un PDG. Cela a probablement été un facteur clé pour faire échouer le rachat de Sabadell par BBVA à la fin de l'année dernière.

    « Une cyberattaque intense et agressive »

    À près de 5 000 milles du Royaume-Uni, de l'autre côté de l'Atlantique, 16 millions de clients de la plus grande banque du Venezuela, Banco de Venezuela, ont récemment dû endurer cinq jours sans la plate-forme en ligne de la banque. Comme cela a tendance à se produire dans ces cas, la panne est devenue apparente lorsque les clients des banques ont commencé à exprimer leur colère sur les réseaux sociaux. Lorsque la plate-forme a finalement été restaurée, le 20 septembre, la vice-présidente du Venezuela, Delcy Rodríguez, a blâmé le gouvernement américain, qu'elle a accusé d'avoir lancé une cyberattaque « intense et agressive » contre le système informatique de la banque.

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  16. L'attaque était apparemment une tentative de faire dérailler les plans de Caracas de lancer une nouvelle monnaie, qui a été mise en ligne aujourd'hui (1er octobre) avec six zéros de moins. Que les allégations de Rodríguez soient vraies ou non, il est impossible de le dire, mais Washington en a certainement la capacité et la forme. De plus, il est engagé dans une guerre économique sans merci contre le Venezuela.

    Parfois, c'est la fréquence plutôt que la durée des pannes qui est le plus gros problème pour les clients des banques. Hier (30 septembre), Mizuho Bank, l'une des trois mégabanques du Japon, a connu la huitième défaillance de son système informatique jusqu'à présent cette année, soit près d'une par mois. Dans le dernier épisode, un problème système a retardé certaines transactions de change. Les pannes du système à Mizuho remontent à près de deux décennies et ont été largement imputées à son échec à intégrer les cultures et les systèmes de la fusion à trois voies de la Dai-ichi Kangyo Bank, Fuji Bank et IBJ qui a donné naissance à la banque, tous il y a 21 ans. La banque a déjà dépensé 3,6 milliards de dollars pour essayer de résoudre les problèmes, mais sans grand succès apparent.

    Les fusions de grandes banques ont tendance à laisser derrière elles de graves problèmes de système informatique, comme Clive et moi l'avons souligné dans un article de NC publié en décembre de l'année dernière. Cela est particulièrement vrai dans le cas des fusions transfrontalières. L'une des principales raisons à cela est que de nombreuses banques fonctionnent encore en grande partie sur des systèmes hérités grinçants construits dans les années 1970, ce qui rend pratiquement impossible la fusion de systèmes informatiques sans stocker de gros problèmes plus tard. Dans une enquête du comité restreint du Trésor en 2019 sur ce qui n'a pas fonctionné chez Banco Sabadell, Alison Barker, directrice de la supervision spécialisée à la Financial Conduct Authority, a été interrogée sur la mesure dans laquelle les systèmes hérités sont toujours utilisés dans le secteur bancaire de détail du Royaume-Uni. Voici ce qu'elle a dit :

    « C'est encore assez répandu, j'en ai peur… certains systèmes assez centraux fonctionnent toujours sur l'héritage. Ils utilisent encore du code des années 1970 sur certains de ces systèmes, et ils viennent de s'appuyer dessus. »

    Pourtant, bon nombre de ces mêmes banques tentent toujours de rivaliser avec une flotte de challengers plus jeunes et plus petits dont les systèmes informatiques sont beaucoup plus modernes et flexibles. Et cela pose de sérieux problèmes.

    Fragilité inhérente des systèmes hérités

    "Si vous êtes une grande banque de détail au Royaume-Uni, vous avez probablement affaire à des systèmes hérités", a déclaré le directeur général adjoint de la Prudential Regulation Authority, Lyndon Nelson, à l'enquête. Mais à mesure que les entreprises fintech ajoutent de nouvelles fonctionnalités à leurs applications, elles souhaitent faire de même "pour des raisons de concurrence".

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  17. Nelson a ajouté que bien que certaines banques envisagent de supprimer progressivement leurs systèmes hérités, il faut un courageux directeur de la technologie pour envisager cela, en raison du risque inhérent à la modification des systèmes. La tentative désastreuse de Sabadell de mettre à niveau le système du TSB n'aura guère encouragé les autres à faire de même. Comme l'a récemment noté S&P Global, les changements informatiques ratés sont l'un des principaux responsables des pannes et des perturbations dans les institutions financières britanniques. Une dépendance excessive à l'externalisation pourrait aggraver les problèmes.

    Un autre problème mis en évidence par Nelson (et NC en 2016) est qu'il ne reste que peu de programmeurs capables d'utiliser COBOL, le principal langage de programmation utilisé dans les systèmes hérités des banques. Cela, dit Nelson, a poussé les responsables informatiques de nombreuses banques à se poser la question : « Combien de fois par semaine pouvons-nous changer une application sans qu'elle ne tombe ? »

    Lorsqu'une application bancaire « s'effondre » ou qu'un système informatique tombe en panne, cela peut laisser le chaos dans son sillage. Il y a dix ans, Mizhuo Bank a subi une panne qui a retardé les transferts d'argent à la suite du tremblement de terre et du tsunami du Grand Est du Japon. Sa septième panne cette année, début septembre, a apparemment été la goutte d'eau pour les régulateurs financiers japonais, qui ont demandé à Mizuho de soumettre un plan de travail pour la maintenance et la mise à jour du système, « dans un geste rare pour superviser efficacement le système d'une mégabanque », a rapporté Nouvelles de Kyodo.

    Une autre banque qui a été en proie à des problèmes répétés de système informatique est le plus grand prêteur d'Afrique du Sud, Standard Bank. Fin avril, la banque a subi des "problèmes matériels" qui ont interrompu ses canaux Internet, mobiles et distributeurs automatiques pendant plus d'une semaine, empêchant les clients de payer leurs factures ou d'accéder à des espèces. Début septembre, l'application mobile de la banque était à nouveau en panne, causant des tracas aux clients sans fin. Mardi cette semaine, l'application mobile d'une autre banque sud-africaine, Capitec, est également tombée en panne.

    Toutes ces pannes bancaires se produisent pour diverses raisons, des problèmes internes au sein du système informatique d'une banque (Mizuho, Sabadell) à une mise à jour bâclée (BBVA), à une cyberattaque (Kiwibank), à la panne d'un service d'hébergement ( l'effondrement des sites bancaires dans le monde le 22 juillet). Mais une chose qu'ils mettent tous en évidence est la fragilité inhérente des systèmes informatiques des banques, à une époque où de nombreuses personnes utilisent de moins en moins d'argent liquide et deviennent de plus en plus dépendantes des services bancaires numériques.

    https://www.zerohedge.com/markets/banks-around-world-are-suffering-big-outages-leaving-millions-customers-lurch-worst

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  18. La liste définitive de la façon dont nous vivons en 1984


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 01 OCT 2021 - 16:20


    Alors que certains peuvent penser que nous vivons davantage une existence à la ferme des animaux (les porcs font un coup d'État et renversent les humains, pour se retrouver dans un état pire grâce à un dictateur nommé Napoléon qui utilise la propagande pour masquer son incompétence), Sarah A. Downey - le partenaire opérationnel de Accomplice VC (et fan de Dune, joueur et cosplayer) a rassemblé un fil Twitter complet sur les raisons pour lesquelles nous vivons réellement dans l'autre travail notable d'Orwell - 1984, un récit édifiant de la vie sous le communisme.

    Présenté pour votre édification (et cliquez ici ou faites défiler vers le bas pour l'interview de Downey de juillet 2020 avec Benjamin Boyce où elle se prononce sur la liberté d'expression, l'annulation de la culture et plus encore) :

    - voir sur site -
    Suite via Threadreader

    Notez que je ne dis pas que le paysage infernal dystopique et totalitaire de 1984 est exactement ce qui se passe aujourd'hui. Cependant, ces dernières années ont vu émerger des parallèles inquiétants.

    Le concept de 1984 aura un emoji pour représenter Big Brother

    L'expression actuelle que nous voyons dans la société aura un emoji

    * * *

    🥸 Décourager les bonnes relations entre les sexes en n'autorisant au mariage que les personnes peu attirées ; transformer la frustration sexuelle en rage politique

    Qualifier les comportements masculins stéréotypés de « toxiques » ; le faible taux d'avoir des relations sexuelles, en particulier chez les Millennials/Gen-Z

    * * *

    🥸 Changer instantanément le sens des mots/phrases courants et punir ceux qui ne s'adaptent pas

    📅 La redéfinition (littéralement) du jour au lendemain de phrases comme « préférence sexuelle » (autrefois c'était bien ; soudainement « fanatique » et réécrit dans le dictionnaire)

    https://reclaimthenet.org/sexual-preference-websters-rewrite/

    * * *

    🥸 Changements de langage tactique, suite

    📅 Modification des définitions du « racisme » (à peu près tout ce qui entraîne des résultats disparates entre les races) et de la « suprématie blanche » (à… à peu près tout ce qui implique des Blancs)

    https://newdiscourses.com/tftw-white-supremacy/

    * * *

    La présence omniprésente de la technologie qui vous délivre du contenu mais sert surtout à vous espionner (principalement le Téléécran mais aussi les caméras, les micros, etc.)

    📅 Amazon Echos, Google Homes, téléviseurs intelligents, applications mobiles qui vous surveillent secrètement (ahem, Facebook)

    * * *

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  19. L'attaque contre la réalité objective comme moyen de démoraliser et de contrôler les gens ; "2+2=5"

    📅 Les gens qui disent 2+2=4 sont une sorte de « mathématiques racistes » washingtonexaminer.com/news/math-prof… Des affirmations que tout le monde sait être vraies (par exemple, les hommes et les femmes sont biologiquement différents) sont devenues « indicibles »

    * * *

    La novlangue, la langue du Parti en 1984, conçue pour éliminer la pensée critique, le libre arbitre, l'identité personnelle, l'expression de soi et les descriptions de la réalité objective

    📅 Politiquement correct, entraînant un langage déshumanisant comme « corps avec des vagins » pour « femmes »

    * * *
    🥸 La tactique de la novlangue consistant à renommer les mots/phrases afin que le désaccord soit difficile (par exemple, supprimer "mauvais" comme mot et remplacer par "mauvais")

    📅 Des slogans comme « les vies noires comptent », où la largeur de la phrase rend difficile l'expression d'un désaccord avec ses méthodes

    * * *

    🥸 "Mémoire trouée", où le gouvernement de contrôle efface efficacement une personne, un mot ou un événement de l'histoire

    📅 « disparition » dirigée par le gouvernement d'individus non coopératifs (par exemple, l'actrice fan Bingbing du PCC) businessinsider.com/fan-bingbing-c…

    * * *

    🥸 Le Parti changeant le statu quo en temps réel, puis agissant comme s'il en avait toujours été ainsi ("nous avons toujours été en guerre avec l'Eurasie")

    📅 Par exemple, Biden disant en 2020 que les vaccins ne seront pas obligatoires (bbc.com/news/world-us-…), puis les rendant obligatoires pour des millions de personnes en 2021

    * * *

    🥸 Un autre exemple de « nous avons toujours été en guerre avec l'Eurasie » ci-dessous :

    📅 Le changement soudain à l'été 2020 de « si vous êtes dans de grands groupes, vous tuez littéralement des gens » à « si vous ne manifestez pas dans de grands groupes, vous êtes une mauvaise personne » cbc.ca/radio /asithapp…

    * * *

    🥸 Un autre exemple de « nous avons toujours été en guerre avec l'Eurasie » ci-dessous :

    📅 Par exemple, l'administration actuelle exprimant des hésitations à propos de *certains coups* sous Trump, et se comporte maintenant comme si une telle hésitation était inconcevable

    * * *

    Société étagée : le Parti élitiste Intérieur en tête, puis le Parti Extérieur, puis les Proles ; la partie intérieure a des privilèges spéciaux et des exemptions de règles

    📅 "Des règles pour toi mais pas pour moi ;" par exemple. Dîner de blanchisserie française de @GavinNewsom; seul le personnel portant des masques au Met Gala

    * * *

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  20. Double pensée/parole (phrases manifestement fausses mais déclarées vraies) : « LA LIBERTÉ EST L'ESCLAVAGE ; L'IGNORANCE EST UNE FORCE."

    📅Par exemple, CNN rapporte des "manifestations principalement pacifiques" devant des bâtiments en feu thehill.com/homenews/media…
    « 2 semaines pour ralentir la propagation » d'une durée de 563 jours

    * * *

    Doublethink, suite

    📅 « Mon corps, mon choix » s'appliquant aux droits à l'avortement mais pas aux mandats de vaccination ; les féministes qui « soutiennent les sports féminins » mais ne voient aucun problème avec les personnes qui ont vécu plus de 30 ans en tant qu'hommes biologiques participant à ces sports apnews.com/article/2020-t…

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    Le ministère de la Vérité, « qui s'est occupé de l'information, du divertissement, de l'éducation et des beaux-arts » et fait de la propagande

    📅La relation trop étroite entre les grandes technologies, les médias et le gouvernement et leur lutte contre la "désinformation", AKA quelles que soient les idées qu'ils n'aiment pas

    * * *

    Le ministère de la Vérité, suite

    Les médias/grandes technologies déclarant que cette histoire sur l'ordinateur portable de Hunter Biden n'était pas vraie quand elle l'était ; la même déclaration que Russiagate était vraie quand ce n'était pas le cas, du moins en partie greenwald.substack.com/p/the-indictme…

    * * *

    🥸Le mandat selon lequel il n'y a qu'un seul parti politique « correct » et un ensemble d'opinions (celles du Parti)

    📅L'insistance répétée de nombreuses personnes sur le fait qu'elles sont « du bon côté de l'histoire » et le manque croissant de tolérance pour toute diversité d'opinions washingtontimes.com/news/2016/oct/…

    * * *

    « Vaporisation : » « Votre nom a été retiré des registres, chaque enregistrement de tout ce que vous avez fait a été effacé, votre existence unique a été niée puis oubliée. »

    📅Annulations sévères où l'on devient un « non-personne » : licencié, isolé socialement, etc.

    * * *

    🥸 Endoctrinement des enfants pour qu'ils deviennent des espions qui accusent leurs parents de « malveillance »

    📅La position de plus en plus politique de nombreux enseignants qui prennent sur eux de transmettre des convictions politiques aux enfants plutôt que de les éduquer de manière neutre/factuelle

    * * *

    La Police de la Pensée qui surveille la population à la recherche du moindre indice qu'une personne ne soutient pas pleinement le Parti

    📅 Analyse des médias sociaux, par exemple, la police se présentant chez les gens en Australie pour les interroger sur leurs messages reclaimthenet.org/australia-poli…

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  21. 🥸 Contrôler la parole pour contrôler (et empêcher) la pensée

    📅Plateformes de médias sociaux faisant taire les gens (comme @NICKIMINAJ), appliquant des avertissements de « désinformation », bloquant les hashtags/partage de liens autour de convos qu'ils ne veulent pas exister

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    🥸 Utiliser les citoyens pour s'espionner les uns les autres et signaler un « comportement inapproprié »

    📅 Par exemple, la loi du Texas sur l'avortement de 6 semaines encourageant les citoyens à signaler toute personne enfreignant newsweek.com/texas-abortion…
    Encourager les citoyens à dénoncer ceux qui ne suivent pas les mesures de confinement police.vic.gov.au/palolr

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    🥸 Le tribalisme : le parti contre la fraternité

    📅Tribalisme : vaccinés contre non vaccinés, gauche contre droite, républicains contre démocrates, etc. Et si nous nous concentrions sur quelque chose sur lequel nous pouvons tous nous mettre d'accord : éviter un avenir comme 1984 ?

    - voir clip sur site :

    https://www.zerohedge.com/political/definitive-list-how-were-living-1984

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  22. Comment les armes autonomes pourraient être plus déstabilisantes que les armes nucléaires


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 01 OCT 2021 - 23:00
    Rédigé par James Dawes via TheConversation.com,


    Selon un récent rapport du Conseil de sécurité des Nations Unies sur la guerre civile libyenne, les systèmes d'armes autonomes – communément appelés robots tueurs – pourraient avoir tué des êtres humains pour la première fois de l'histoire de l'année dernière. L'histoire pourrait bien identifier cela comme le point de départ de la prochaine grande course aux armements, qui a le potentiel d'être la dernière de l'humanité.

    Les systèmes d'armes autonomes sont des robots dotés d'armes mortelles qui peuvent opérer de manière indépendante, en sélectionnant et en attaquant des cibles sans qu'un humain n'intervienne sur ces décisions. Les militaires du monde entier investissent massivement dans la recherche et le développement d'armes autonomes. Les États-Unis à eux seuls ont budgété 18 milliards de dollars américains pour les armes autonomes entre 2016 et 2020.

    Pendant ce temps, les organisations humanitaires et de défense des droits humains se précipitent pour établir des réglementations et des interdictions sur le développement de telles armes. Sans de tels contrôles, les experts en politique étrangère avertissent que les technologies d'armes autonomes perturbatrices déstabiliseront dangereusement les stratégies nucléaires actuelles, à la fois parce qu'elles pourraient changer radicalement les perceptions de la domination stratégique, augmentant le risque d'attaques préventives, et parce qu'elles pourraient se combiner avec des attaques chimiques, biologiques, radiologiques et les armes nucléaires elles-mêmes.

    En tant que spécialiste des droits de l'homme axé sur la militarisation de l'intelligence artificielle, je trouve que les armes autonomes rendent les équilibres instables et les garanties fragmentées du monde nucléaire - par exemple, l'autorité minimalement limitée du président américain pour lancer une frappe - plus instables et plus fragmenté.

    Erreurs mortelles et boîtes noires
    Je vois quatre dangers principaux avec les armes autonomes.

    Le premier est le problème de l'identification erronée. Lors de la sélection d'une cible, les armes autonomes seront-elles capables de faire la distinction entre les soldats hostiles et les enfants de 12 ans jouant avec des pistolets-jouets ? Entre des civils fuyant un site de conflit et des insurgés effectuant une retraite tactique ?

    - voir clip sur site -

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  23. Les robots tueurs, comme les drones du court métrage de 2017 « Slaughterbots », ont longtemps été un sous-genre majeur de la science-fiction. (Attention : représentations graphiques de la violence.)

    Le problème ici n'est pas que les machines feront de telles erreurs et pas les humains. C'est que la différence entre l'erreur humaine et l'erreur algorithmique est comme la différence entre envoyer une lettre et tweeter. L'échelle, la portée et la vitesse des systèmes de robots tueurs - régis par un algorithme de ciblage, déployé sur tout un continent - pourraient faire des erreurs d'identification par des humains individuels, comme une récente frappe de drones américains en Afghanistan, comme de simples erreurs d'arrondi en comparaison.

    L'expert en armes autonomes Paul Scharre utilise la métaphore du pistolet en fuite pour expliquer la différence. Une mitrailleuse défectueuse est une mitrailleuse défectueuse qui continue de tirer après le relâchement d'une gâchette. L'arme continue à tirer jusqu'à ce que les munitions soient épuisées car, pour ainsi dire, l'arme ne sait pas qu'elle fait une erreur. Les armes à feu sont extrêmement dangereuses, mais heureusement, elles ont des opérateurs humains qui peuvent briser le lien des munitions ou essayer de pointer l'arme dans une direction sûre. Les armes autonomes, par définition, n'ont pas une telle garantie.

    Il est important de noter que l'IA armée n'a même pas besoin d'être défectueuse pour produire l'effet d'arme à feu d'emballement. Comme l'ont montré de nombreuses études sur les erreurs algorithmiques dans tous les secteurs, les meilleurs algorithmes - fonctionnant comme prévu - peuvent générer des résultats corrects en interne qui propagent néanmoins rapidement des erreurs terribles à travers les populations.

    Par exemple, un réseau neuronal conçu pour être utilisé dans les hôpitaux de Pittsburgh a identifié l'asthme comme un facteur de réduction du risque dans les cas de pneumonie ; le logiciel de reconnaissance d'images utilisé par Google a identifié les Afro-Américains comme des gorilles ; et un outil d'apprentissage automatique utilisé par Amazon pour classer les candidats à un poste, attribuant systématiquement des notes négatives aux femmes.

    Le problème n'est pas seulement que lorsque les systèmes d'IA se trompent, ils se trompent en masse. C'est que lorsqu'ils se trompent, leurs créateurs ne savent souvent pas pourquoi ils l'ont fait et, par conséquent, comment les corriger. Le problème de la boîte noire de l'IA rend presque impossible d'imaginer un développement moralement responsable de systèmes d'armes autonomes.

    Les problèmes de prolifération

    Les deux dangers suivants sont les problèmes de prolifération bas de gamme et haut de gamme. Commençons par le bas de gamme. Les militaires qui développent des armes autonomes partent maintenant du principe qu'ils seront capables de contenir et de contrôler l'utilisation d'armes autonomes. Mais si l'histoire de la technologie des armes a appris quelque chose au monde, c'est ceci : les armes se sont propagées.

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  24. Les pressions du marché pourraient entraîner la création et la vente à grande échelle de ce que l'on peut considérer comme l'équivalent en arme autonome du fusil d'assaut Kalachnikov : des robots tueurs bon marché, efficaces et presque impossibles à contenir lorsqu'ils circulent dans le monde entier. Les armes autonomes « Kalachnikov » pourraient tomber entre les mains de personnes échappant au contrôle du gouvernement, y compris des terroristes internationaux et nationaux.

    Le Kargu-2, fabriqué par un entrepreneur turc de la défense, est un croisement entre un drone quadricoptère et une bombe. Il dispose d'une intelligence artificielle pour trouver et suivre des cibles, et pourrait avoir été utilisé de manière autonome dans la guerre civile libyenne pour attaquer des personnes. Ministère de la Défense de l'Ukraine, CC BY

    La prolifération haut de gamme est tout aussi mauvaise, cependant. Les nations pourraient rivaliser pour développer des versions de plus en plus dévastatrices d'armes autonomes, y compris celles capables de monter des armes chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires. Les dangers moraux de l'escalade de la létalité des armes seraient amplifiés par l'escalade de l'utilisation des armes.

    Les armes autonomes haut de gamme sont susceptibles de conduire à des guerres plus fréquentes car elles diminueront deux des principales forces qui ont historiquement empêché et raccourci les guerres : la préoccupation pour les civils à l'étranger et la préoccupation pour ses propres soldats. Les armes sont susceptibles d'être équipées de régulateurs éthiques coûteux conçus pour minimiser les dommages collatéraux, en utilisant ce que la rapporteure spéciale des Nations Unies, Agnes Callamard, a appelé le "mythe d'une frappe chirurgicale" pour réprimer les protestations morales. Les armes autonomes réduiront également à la fois le besoin et les risques pour ses propres soldats, modifiant considérablement l'analyse coûts-avantages que les nations subissent lorsqu'elles lancent et maintiennent des guerres.

    Les guerres asymétriques – c'est-à-dire les guerres menées sur le sol de nations dépourvues de technologies concurrentes – sont susceptibles de devenir plus courantes. Pensez à l'instabilité mondiale causée par les interventions militaires soviétiques et américaines pendant la guerre froide, de la première guerre par procuration au retour de flamme vécu dans le monde aujourd'hui. Multipliez cela par chaque pays visant actuellement des armes autonomes haut de gamme.

    Briser les lois de la guerre

    Enfin, les armes autonomes saperont le dernier palliatif de l'humanité contre les crimes de guerre et les atrocités : les lois internationales de la guerre. Ces lois, codifiées dans des traités remontant à la Convention de Genève de 1864, constituent la fine ligne bleue internationale séparant la guerre d'honneur du massacre. Ils partent de l'idée que les gens peuvent être tenus responsables de leurs actes même en temps de guerre, que le droit de tuer d'autres soldats au combat ne donne pas le droit de tuer des civils. Slobodan Milosevic, ancien président de la République fédérale de Yougoslavie, a été inculpé d'accusations contre l'humanité et de crimes de guerre par le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie des Nations Unies.

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  25. Mais comment rendre des comptes aux armes autonomes ? Qui est à blâmer pour un robot qui commet des crimes de guerre ? Qui serait jugé ? L'arme ? Le soldat ? Les commandants du soldat ? La société qui a fabriqué l'arme ? Les organisations non gouvernementales et les experts en droit international craignent que les armes autonomes ne conduisent à un grave manque de responsabilité.

    Pour tenir un soldat pénalement responsable du déploiement d'une arme autonome qui commet des crimes de guerre, les procureurs devraient prouver à la fois l'actus reus et la mens rea, termes latins décrivant un acte coupable et un esprit coupable. Ce serait difficile sur le plan juridique, et peut-être injuste sur le plan moral, étant donné que les armes autonomes sont intrinsèquement imprévisibles. Je pense que la distance qui sépare le soldat des décisions indépendantes prises par les armes autonomes dans des environnements en évolution rapide est tout simplement trop grande.

    Le défi juridique et moral n'est pas facilité en déplaçant le blâme vers le haut de la chaîne de commandement ou vers le site de production. Dans un monde sans réglementation qui impose un contrôle humain significatif des armes autonomes, il y aura des crimes de guerre sans criminels de guerre à tenir pour responsables. La structure des lois de la guerre, ainsi que leur valeur dissuasive, seront considérablement affaiblies.

    Une nouvelle course mondiale aux armements
    Imaginez un monde dans lequel les militaires, les groupes d'insurgés et les terroristes internationaux et nationaux peuvent déployer une force meurtrière théoriquement illimitée avec un risque théoriquement nul aux moments et aux endroits de leur choix, sans aucune responsabilité légale qui en résulte. C'est un monde où le genre d'erreurs algorithmiques inévitables qui affligent même les géants de la technologie comme Amazon et Google peuvent désormais conduire à l'élimination de villes entières.

    À mon avis, le monde ne devrait pas répéter les erreurs catastrophiques de la course aux armements nucléaires. Il ne devrait pas entrer en somnambulisme dans la dystopie.

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    https://www.zerohedge.com/geopolitical/how-autonomous-weapons-could-be-more-destabilizing-nukes

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  26. Point de vue : Les législateurs états-uniens font à nouveau pression pour l'étiquetage obligatoire de l'origine, mais à quel prix ?


    2 Octobre 2021
    Michelle Miller, AGDAILY*


    Les éleveurs américains seront bientôt à nouveau divisés sur une question controversée. Depuis près de deux décennies, divers politiciens tentent d'établir une règle concernant les produits bovins : l'étiquetage obligatoire du pays d'origine (MCOOL – mandatory country of origin labeling). Le 8 septembre 2021, les sénateurs Jon Tester (D-MT), John Thune (R-SD), Mike Rounds (R-SD) et Cory Booker (D-NJ) ont présenté un projet de loi qui viserait à nouveau à rendre obligatoire l'étiquetage du pays d'origine pour les produits bovins. Cette nouvelle loi, intitulée American Beef Labeling Act, modifierait l'Agricultural Marketing Act de 1946.

    Les organisations populaires du secteur du bœuf sont divisées sur la question de savoir si l'étiquetage du pays d'origine doit être imposé par le gouvernement ou faire partie de programmes volontaires gérés par l'industrie. Le MCOOL exige essentiellement que les produits vendus au détail – comme dans les épiceries, mais pas dans les restaurants – soient vérifiés et étiquetés comme « Produit des États-Unis » ou « Né, élevé et transformé aux États-Unis » ou avec des phrases similaires.

    Pour le commun des mortels, il s'agit probablement d'un attribut positif sur une étiquette. Alors pourquoi est-ce si controversé ?

    Eh bien, les États-Unis ont essayé de mettre en place le MCOOL depuis le Farm Bill de 2002, avec diverses méthodes. La première mise en œuvre a été bloquée en raison des coûts exorbitants que le processus de vérification aurait entraîné pour les producteurs de bétail américains – et il n'y avait aucune preuve qu'ils auraient été répercutés au point de vente. Dans le Farm Bill de 2008, des modifications ont été apportées pour réduire les coûts associés au processus de vérification, et le MCOOL a été officiellement mis en œuvre en mars 2009.

    L'entrée en vigueur du MCOOL a suscité une réaction mondiale massive, qui a particulièrement perturbé les échanges commerciaux avec le Canada et le Mexique.

    Le Canada et le Mexique ont uni leurs forces et saisi un groupe spécial de règlement des différends auprès de l'Organisation Mondiale du Commerce en novembre 2009. L'OMC facilite les importations et les exportations dans le monde entier, contribuant à notre marché mondial et essayant de promouvoir des politiques équitables. Le groupe spécial de règlement des différends a été chargé d'essayer de « régler » les problèmes que le Canada et le Mexique rencontraient avec les normes MCOOL des États-Unis.

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  27. Les voisins américains ont déclaré que MCOOL violait les accords commerciaux, dans lesquels la valeur des produits importés ne devait pas être diminuée par une action législative. La norme MCOOL a la légère prémisse d'impliquer que les produits américains sont supérieurs et ont donc plus de valeur, que ce soit le sens voulu ou non. En bref, l'OMC a décidé que la législation devait être modifiée ou supprimée. En 2013, les États-Unis ont donc modifié le MCOOL pour tenter d'apaiser le Canada et le Mexique.

    Cependant, le différend s'est poursuivi, et le Canada et le Mexique ont fait appel à l'OMC pour initier plus de 3 milliards de dollars de droits de rétorsion, dont 1 milliard a été approuvé. En conséquence, le MCOOL américain a été abrogé en 2015, trois jours seulement avant l'entrée en vigueur des tarifs.

    Comme le Canada et le Mexique n'ont pas clos leur différend à l'OMC, toute promulgation d'un programme MCOOL pourrait entraîner l'application de ces 1 milliard de dollars de tarifs douaniers. Le Canada et le Mexique étant deux de nos trois principaux partenaires commerciaux, toute législation susceptible d'avoir un impact sur ces pays suscite de vives inquiétudes.

    L'étiquetage du pays d'origine pose un problème important de perception. Percevons-nous les produits américains comme étant supérieurs à ceux des autres pays ? Peut-être, mais nous savons aussi que les produits alimentaires internationaux sont inspectés et soumis aux mêmes normes de sécurité et de qualité que les produits américains. Il ne s'agit donc pas nécessairement de supériorité, mais plutôt d'une question de priorité accordée à l'agriculteur américain.

    Mais l'étiquetage du pays d'origine est une question qui concerne l'industrie et qui n'est généralement pas perçue du côté des consommateurs. Sur 12 attributs que les consommateurs recherchent dans la viande, une université de l'État du Kansas a déterminé que le pays d'origine était le 11e. Il est clair que l'origine des produits alimentaires n'est pas une préoccupation pour les consommateurs, et qu'ils ne seront probablement pas prêts à payer plus cher pour des produits américains, d'autant plus que le coût global des aliments augmente.

    Donc, si le MCOOL n'est pas motivé par les consommateurs, pourquoi les législateurs sont-ils si prompts à mettre en place cette obligation ?

    Il convient d'examiner sérieusement les impacts – tant positifs que négatifs – que le MCOOL pourrait avoir sur le système bovin américain ainsi que sur d'autres produits alimentaires et industries en général. Il est clair que peu ou pas d'étiquetage obligatoire de l'origine satisfera nos partenaires commerciaux internationaux, alors à quel prix sommes-nous prêts à rompre ces relations ?

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  28. Enfin, nous devons jeter un coup d'œil aux législateurs qui tentent de mettre en œuvre ces mesures. Par exemple, tout récemment, Booker a présenté un projet de loi intitulé Farm System Reform Act qui aurait un impact sérieux sur notre système agricole actuel. Booker est un végan bien connu et a introduit ou soutenu par le passé des actions qui auraient pu avoir des impacts majeurs sur l'élevage. Alors pourquoi, tout à coup, quelqu'un comme lui serait-il un ami de l'éleveur américain ?

    Si ce projet de loi remonte la chaîne de commandement, il est important que nous, en tant qu'industrie, examinions de plus près ce qui sera perdu et ce qui sera gagné en conséquence, et que nous prenions nos décisions en fonction de cela. D'ici là, continuez à fournir des aliments sains, sûrs et de haute qualité au peuple américain et au monde entier !
    ______________

    * Michelle Miller, la « Farm Babe », est une agricultrice, une conférencière et une autrice qui a travaillé pendant des années avec des cultures en ligne, des bovins et des moutons. Elle pense que l'éducation est essentielle pour combler le fossé entre les agriculteurs et les consommateurs.

    Source : Legislators again push for mandatory COOL, but at what cost? | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2021/10/point-de-vue-les-legislateurs-etats-uniens-font-a-nouveau-pression-pour-l-etiquetage-obligatoire-de-l-origine-mais-a-quel-prix.html

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  29. Stratégie européenne « de la ferme à... », quoi donc ? Trois articles ravageurs dans l'Opinion


    2 Octobre 2021
    Glané sur la toile 892



    Le 1er octobre 2021, l'Opinion a publié trois articles ravageurs, sous la plume de Mme Emmanuelle Ducros, sur la stratégie – ou faut-il écrire « stratégie » avec des guillemets d'ironie et de doute ? – de l'Union Européenne « de la ferme à la fourchette » (farm to fork), laquelle se combine notamment avec une « stratégie » « biodiversité pour 2030 ».

    - voir cadre sur site -
    (Source)

    « Un suicide européen »

    Mme Emmanuelle Ducros écrit en introduction de « Stratégie agricole: un suicide européen » :

    « La stratégie agricole européenne à 2030, appelée Farm to fork, découle de la volonté de parvenir à la neutralité carbone en 2050. Elle consiste, entre autres, à pousser à 25 % la part de l’agriculture biologique, à ramener à zéro les importations de soja, à baisser de moitié les usages de pesticides et d’antibiotiques vétérinaires, de 20 % les épandages d’engrais, et à diminuer de 10 % les surfaces cultivées sur le continent. Economistes, agriculteurs, spécialistes de la géopolitique tirent la sonnette d’alarme. C’est un sacrifice économique à l’échelle du continent pour des effets environnementaux nuls, voire pire ! »

    Une fois les présentations des divers avertissements et études faites, elle s'est lancée dans une longue et lancinante litanie de chiffres.

    La dernière étude mise sur le marché médiatique, de chercheurs de l'Université de Kiel, est encore plus catastrophiste que les analyses du Département Américain de l'Agriculture et du Centre Commun de Recherche (JRC) de la Commission Européenne. Celle du JRC est tellement dérangeante que la Commission l'a publiée en catimini juste avant le grand départ pour les vacances estivales.

    J'en connais au moins un qui a posé une question assassine...

    (Source)

    Mais rassurez-vous... Le document du JRC n'est pas une étude d'impact ; le Commissaire à l'Agriculture, Janusz Wojciechowski, répète : ce n'est pas une étude d'impact. Dormez tranquilles, braves gens : la catastrophe annoncée n'est pas certaine...

    (Source)

    Relevons ce commentaire :

    « Soviet suprême. Pour Yves Madre, économiste et responsable du think tank bruxellois FarmEurope, "c’est un plan digne du Soviet suprême. On fixe des objectifs et ensuite, cela doit devenir ce qu’on a décidé. Pour la com’, c’est attrayant. Mais personne ne s’est demandé si c’était crédible, si cela nourrirait les citoyens européens. Qui peut se permettre de payer son alimentation 10 % à 15 % plus cher ? 75 % à 80 % de la population européenne n’en ont pas les moyens ! Et qui peut accepter qu’il y ait une alimentation à deux vitesses, avec du local pour les riches, et de l’importé pour les pauvres ? On ne va pas créer un système européen de l’assistanat alimentaire… D’autant que cela financera d’autres agricultures, les études ne prennent pas en compte l’appel d’air qui sera créé en Europe pour les productions à prix compétitif venu d’ailleurs." »

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  30. Un autre personnage est interrogé. Il semble conscient de l'énormité de la « cagade », mais se doit de rester politiquement correct, surtout en cette période pré-électorale :

    « Clauses miroir. Que faire maintenant que ce constat catastrophique est là ? Pour Julien Denormandie, le ministre français de l’Agriculture, "il ne faut pas prendre Farm to fork pour autre chose qu’une feuille de route politique, qui doit encore être traduite en lois, pendant deux ou trois ans. Il va falloir être vigilants dans l’application, sur les moyens mis en œuvre. Les enjeux sont importants." »

    En fait, il y aurait une autre réponse, plus rationnelle : « Press delete » et « Reboot »... Mais ce sera dur, même pour un ministre compétent et réaliste, tant son « patron » a joué sur les ambiguïtés et les calculs politiciens.

    Espérons que ne se réalisera pas, au cours des six mois de présidence de l'Union Européenne par la France, l'aphorisme qui faisait les délices – entre gens se faisant confiance – des Genossen de l'ex-République Démocratique Allemande : « Letztes Jahr standen wir noch vor dem Abgrund... Dieses Jahr sind wir einen großen Schritt weiter! » – l'année dernière, nous étions encore au bord de l'abîme... Cette année, nous avons fait un grand pas en avant !

    Pas sûr que les assiettes soient aussi bien garnies si la stratégie est mise en œuvre (source)

    Prêts pour la relève ?

    C'est plutôt une affirmation : « L’Amérique prête à se substituer à l’Europe pour nourrir la planète ».

    En fait, ce sont les États-Unis d'Amérique et d'autres pays exportateurs de produits agricoles selon la terminologie consacrée (il s'agit en grande partie de produits alimentaires) qui sont prêts ; d'autres pays que M. Tom Vilsack, Secrétaire à l'Agriculture, a déjà commencé à rameuter :

    « C’était à Florence, le 18 septembre, lors de la rencontre des ministres de l’Agriculture du G20. The Fence Post, un magazine américain spécialisé dans les questions agricoles, rapporte les propos tenus par le secrétaire d’Etat a l’Agriculture à des reporters au cours d’une conférence téléphonique : Tom Vilsack explique être en train d’essayer de rallier une coalition de pays autour des Etats-Unis pour faire croître leurs productions agricoles, afin de "contrer" la stratégie européenne Farm to fork. Il dit craindre la réduction de la productivité mondiale si d’autres pays que l’Europe adoptent une voie similaire à celle du plus important exportateur agricole du monde. »

    Ce que l'USDA pense de F2F (source – page principale)

    - voir cadre sur site -

    Nous marquerons cependant notre désaccord sur le chapô :

    « Le retrait de l’Europe de la scène agricole mondiale, que risque de provoquer la stratégie "Farm to fork" de Bruxelles, se traduira par le remplacement de nos productions par d’autres, moins vertueuses environnementalement et socialement ».

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  31. Il n'est pas du tout dit que les productions de ces pays soient moins vertueuses. Il serait judicieux de sortir des raisonnements binaires fondés principalement sur l'idée que le plus vertueux des itinéraires techniques est nécessairement celui qui utilise le moins de pesticides et d'engrais – de synthèse évidemment. Ou que la production brésilienne implique nécessairement une déforestation.

    Notons aussi que « counter », traduit par son équivalent le plus courant, a aussi le sens de « pallier », « compenser », « contrebalancer ».

    Cet article revient aussi, avec force, sur l'irresponsabilité de la stratégie. Notamment :

    « Paradoxe : la population européenne pourrait être supérieure de 200 à 300 millions d’habitants à celle d’aujourd’hui, du fait des migrations climatiques. Personne n’a pensé, en imaginant la réduction drastique des volumes de nourriture européens, qu’il faudrait, aussi, les alimenter... Laissera-t-on cette tâche, avec une dépendance alimentaire organisée, aux Etats-Unis, au Brésil, ou à la Russie qui se réarme massivement d’un point de vue agricole ? »

    Et :

    « [Pour] Sébastien Abis, spécialiste de la géopolitique agricole, à la tête du think tank Demeter […] l’attitude stratégique de l’Europe est incompréhensible géopolitiquement. Il pointe le fait que le Moyen-Orient et le Maghreb, climatiquement sinistrés et démographiquement dynamiques, auront bientôt besoin de deux fois plus d’importations qu’il y a trente ans. [...] »

    Il y a encore un socialiste

    Troisième volet du tryptique, « Paolo de Castro (Parlement européen): "La Commission oublie que nous avons une population à nourrir" » est, comme son titre l'indique, une interview.

    M. Paolo de Castro, membre du groupe de l'Alliance Progressiste des Socialistes et Démocrates, est vice-président de la Commission de l'Agriculture et du Développement Rural et fut notamment, par deux fois, Ministre de l’Agriculture en Italie.

    En résumé :

    « La stratégie Farm to Fork de la Commission européenne "se contente de fixer des objectifs (-50% de pesticides, -20% d’engrais) sans jamais se soucier de la façon dont on y parviendra", déplore l’eurodéputé italien. "Les fermiers européens utilisent ces produits parce qu’ils ont des récoltes à protéger, une population à nourrir." »

    Et, en bref, il faudra selon lui expliquer au Parlement Européen les tenants et aboutissants de la stratégie.

    Souhaitons lui bon courage et, surtout, bonne chance ! Il y a, par exemple, dans son groupe un Tartarin de l'Aude qui ne partagera sans doute pas son avis et déploiera toute sa capacité de nuisance. « ...une population à nourrir » n'est plus une préoccupation majeure de nombre de « socialistes », contrairement à... enfin voyez les prises de position de M. Éric Andrieu.

    M. Paolo de Castro a en effet été titillé sur un sujet connexe :

    « Vous aimez dire que l’agriculture a besoin de la science...

    Oui. L’Europe doit autoriser les nouvelles technologies de sélection variétales (NBT), qui permettent de produire des plantes résistantes aux maladies, à la sécheresse, plutôt que d’utiliser des pesticides. Ce sont des techniques légères, peu coûteuses, même les petites universités peuvent s’en servir. Pour l’heure, la distinction entre OGM et NBT n’a pas été faite par la Cour européenne de Justice. La Commission a ouvert la porte à une clarification, mais elle n’est pas aidée par l’idée fausse que ce sont de "nouveaux OGM". […] Sans vision globale, nous mangerons chinois. »

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  32. Post scriptum

    L'article de The Fence Post contient un passage entre guillemets dont on ne sait pas s'il rapporte des propos de M. Tom Vilsack ou du COPA-COGECA :

    « Nous ne pouvons pas accepter une approche contre-productive du F2F, axée sur les objectifs. Nous avons été frappés cette semaine par le fait que l'agriculture n'a même pas été mentionnée dans le discours sur l'état de l'Union. La Commission doit ouvrir un véritable dialogue avec sa communauté agricole, travailler sur des solutions concrètes si nous espérons trouver des réponses collectives, sur les questions fondamentales de la fuite de carbone, de la souveraineté alimentaire et de la répartition équitable des efforts. »

    Nous avons un gros problème à Bruxelles.

    https://seppi.over-blog.com/2021/10/strategie-europeenne-de-la-ferme-a.quoi-donc-trois-articles-ravageurs-dans-l-opinion.html

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  33. Compter les calories


    1 Octobre 2021
    Chuck Dinerstein*


    Que la source soit les glucides, les protéines ou les graisses, une calorie est une calorie. Et pour réduire notre poids, il faut équilibrer les entrées de calories par des sorties de plus de calories. Il s'avère que de nouvelles mathématiques alimentaires, basées sur le microbiome, indiquent qu'une calorie peut être mangée non pas par nous, mais par nos compagnons bactériens, modifiant ainsi l'équilibre.

    Ces délicieuses calories que nous avalons sont décomposées lorsque nous les mâchons, puis dissoutes par les acides de l'estomac, qui les libère ensuite dans notre tractus intestinal, où nous absorbons les nutriments et envoyons le reste à notre microbiome. Les différents groupes taxonomiques du microbiome convertissent nos restes en nutriments supplémentaires que nous pouvons absorber – la « récompense » de leurs efforts étant de manger le reste pour eux-mêmes. De nouvelles études suggèrent que certains groupes du microbiome facturent davantage leurs services que d'autres. Par conséquent, la composition de notre microbiome peut influencer la facilité avec laquelle nous pouvons perdre du poids.

    Ce qui constitue l'obésité reste mal défini. La caractérisation des constituants de notre microbiome, d'un point de vue métabolique, ne permet pas de distinguer le surpoids sain de toute autre présentation de l'excès de poids, les phénotypes de l'obésité. Des études montrent que ce que nous mangeons, disons des fibres, entraînera une perte de poids significative en présence de certaines bactéries qui trouvent dans les fibres leur aliment préféré – il semble y avoir un signal métabolique à identifier.

    Les chercheurs ont fait appel à des participants à un programme commercial de perte de poids. Ils en ont identifié 239 (sur 5.000) dont les échantillons de sang et de selles étaient disponibles pour l'analyse. Ils ont stratifié le groupe en deux catégories : ceux qui perdaient >1% de leur poids corporel par mois pendant six à douze mois et ceux qui maintenaient leur poids corporel – l'étude a donc porté sur 105 personnes. L'âge des groupes et leur taux de glucose (une mesure du diabète) étaient les mêmes au début de l'intervention. Mais le groupe qui a finalement perdu du poids avait un poids et un taux de HDL plus élevés au départ. Le groupe qui a maintenu son poids n'était pas aussi en surpoids au départ ; 50 % étaient considérés en surpoids ou obèses, contre 100 % dans le groupe de perte de poids.

    Ceux dont l'IMC (poids) de départ était plus élevé ont perdu plus de poids que ceux dont l'IMC de départ était plus faible.

    Le groupe « perte de poids » a montré une « large amélioration » des biomarqueurs associés à l'inflammation et aux « dérèglements » métaboliques – la perte de poids les a rendus métaboliquement plus sains.

    Aucune des mesures de fréquence alimentaire ou des métabolites sanguins de base n'était associée à la perte de poids. La diversité du microbiome ne l'était pas non plus.

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  34. Mais la présence de 31 gènes fonctionnels dérivés du microbiome était associée à la perte de poids. Ces gènes étaient liés à la dégradation des polysaccharides et des protéines et aux réponses au stress et à la respiration.

    Mais qu'est-ce que cela signifie ?

    La présence de certaines espèces bactériennes crée une concurrence plus efficace pour les polysaccharides que nous mangeons. Elles les métabolisent en premier et nous restituent des « sous-produits de fermentation moins denses en énergie », plus précisément des acides gras à chaîne courte qui, pense-t-on, réduisent l'inflammation et nous apportent moins de calories dans le processus. Cette réduction de l'énergie et la conversion en sous-produits plus bénéfiques est le paiement auquel je faisais allusion dans le premier paragraphe.

    Il est de plus en plus évident que ce n'est pas seulement ce que nous mangeons qui détermine si nous prenons, perdons ou maintenons notre poids. La composition de notre microbiome, comme l'a démontré cette étude, peut exiger des « frais de traitement » plus élevés pour sa contribution, ce qui se traduira par des nutriments plus bénéfiques et moins caloriques pour nous.

    L'étude est préliminaire ; elle est encore à la recherche d'un signal plus fort de ce qui se passe. L'échantillon est de petite taille et les résultats sont peut-être certains, mais leur signification reste floue. Mais elle suggère que pour comprendre l'obésité, il ne suffit pas de savoir combien d'exercices physiques nous faisons et combien de calories nous ingérons. Comme pour tout ce qui est dans notre nature, c'est complexe, et les parties agissent les unes par rapport aux autres d'une manière que nous commençons tout juste à comprendre.

    Source : Baseline Gut Metagenomic Functional Gene Signature Associated with Variable Weight Loss Responses following a Healthy Lifestyle Intervention in Humans (signature des gènes fonctionnels de la métagénomique intestinale de base associée à des réponses variables à la perte de poids à la suite d'une intervention pour un mode de vie sain chez l'homme) mSystems, DOI:10.1128/mSystems.00964-21
    ___________

    * Le Dr Charles Dinerstein, M.D., MBA, FACS, est directeur du département de médecine de l'American Council on Science and Health. Il a plus de 25 années d'expérience en chirurgie vasculaire.

    Source : Counting Calories | American Council on Science and Health (acsh.org)

    https://seppi.over-blog.com/2021/10/compter-les-calories.html

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  35. Camps de détention COVID-19 : les rafles du gouvernement des résistants dans notre avenir ?


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 01 OCT 2021 - 23:40
    Rédigé par John W. Whitehead & Nisha Whitehead via The Rutherford Institute,


    « Sans aucun doute, les camps de concentration étaient un moyen, une menace utilisé pour maintenir l'ordre.
    - Albert Speer, Procès de Nuremberg

    Il ne s'agit plus de savoir si le gouvernement va enfermer les Américains pour avoir défié ses mandats, mais quand.

    C'est ce que nous savons : le gouvernement a les moyens, le muscle et la motivation pour détenir des individus qui résistent à ses ordres et ne se conforment pas à ses mandats dans un vaste éventail de prisons, de centres de détention et de camps de concentration de la FEMA payés avec l'argent des contribuables.

    C'est juste une question de temps.

    Peu importe quel peut être le sujet brûlant (mandats pour les vaccins, immigration, droits des armes à feu, avortement, mariage homosexuel, soins de santé, critiquer le gouvernement, protester contre les résultats des élections, etc.) ou quel parti exerce son pouvoir comme un marteau.

    Les bases sont déjà posées.

    En vertu de la disposition sur la détention illimitée de la National Defense Authorization Act (NDAA), le président et l'armée peuvent détenir et emprisonner des citoyens américains sans accès à leurs amis, à leur famille ou aux tribunaux si le gouvernement les considère comme des terroristes.

    Il n'est donc pas surprenant que le simple fait de critiquer le gouvernement ou de s'opposer à un vaccin COVID-19 puisse vous faire étiqueter comme terroriste.

    Après tout, il ne faut plus grand-chose pour être considéré comme un terroriste, d'autant plus que le gouvernement aime utiliser les mots « antigouvernemental », « extrémiste » et « terroriste » de manière interchangeable.

    Par exemple, le Department of Homeland Security définit les extrémistes comme des individus, des vétérans militaires et des groupes « qui sont principalement antigouvernementaux, rejetant l'autorité fédérale en faveur de l'autorité étatique ou locale, ou rejetant entièrement l'autorité gouvernementale ».

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  36. Les vétérans militaires de retour d'Irak et d'Afghanistan peuvent également être qualifiés d'extrémistes et de menaces terroristes potentielles au niveau national par le gouvernement, car ils peuvent être « mécontents, désillusionnés ou souffrir des effets psychologiques de la guerre ».

    En effet, si vous croyez et exercez vos droits en vertu de la Constitution (à savoir, votre droit de parler librement, de pratiquer librement votre culte, de vous associer à des personnes partageant vos opinions politiques, de critiquer le gouvernement, de posséder une arme, d'exiger un mandat avant d'être interrogé ou fouillé, ou toute autre activité considérée comme potentiellement antigouvernementale, raciste, fanatique, anarchique ou souveraine), vous pourriez être en tête de la liste de surveillance du terrorisme du gouvernement.

    De plus, comme le met en garde un éditorial du New York Times, vous pouvez être un extrémiste anti-gouvernemental (alias terroriste domestique) aux yeux de la police si vous craignez que le gouvernement complote pour confisquer vos armes à feu, si vous pensez que l'économie est à peu près s'effondrer et le gouvernement déclarera bientôt la loi martiale, ou si vous affichez un nombre inhabituel d'autocollants politiques et/ou idéologiques sur votre voiture.

    Selon le FBI, vous pourriez également être classé comme une menace terroriste domestique si vous épousez des théories du complot ou si vous osez souscrire à des opinions contraires à celles du gouvernement.

    Le gouvernement dispose également d'une liste croissante – partagée avec les centres de fusion et les organismes chargés de l'application de la loi – d'idéologies, de comportements, d'affiliations et d'autres caractéristiques qui pourraient signaler une personne comme suspecte et l'amener à être qualifiée d'ennemi potentiel de l'État.

    C'est ce qui se passe lorsque vous mettez non seulement le pouvoir de déterminer qui est un danger potentiel entre les mains des agences gouvernementales, des tribunaux et de la police, mais donnez également à ces agences le pouvoir libéral d'enfermer des individus pour des torts perçus.

    C'est un système qui ne demande qu'à être abusé par des bureaucrates assoiffés de pouvoir désespérés de conserver leur pouvoir à tout prix.

    C'est déjà arrivé.

    Comme le montre l'histoire, le gouvernement américain n'hésite pas à enfermer ses propres citoyens à ses propres fins.

    Il suffit de remonter aux années 1940, lorsque le gouvernement fédéral a proclamé que les Japonais-Américains, qualifiés de dissidents potentiels, pourraient être placés dans des camps de concentration (ou d'internement) en fonction uniquement de leur origine ethnique, pour voir jusqu'où le gouvernement fédéral ira. afin de maintenir « l'ordre » dans la patrie.

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  37. La Cour suprême des États-Unis a validé le programme de détention dans Korematsu c. États-Unis (1944), concluant que la nécessité pour le gouvernement d'assurer la sécurité du pays l'emportait sur les libertés individuelles.

    Bien que cette décision Korematsu n'ait jamais été officiellement annulée, le juge en chef Roberts a déclaré dans Trump v. Hawaii (2018) que « la réinstallation forcée de citoyens américains dans des camps de concentration, uniquement et explicitement sur la base de la race, est objectivement Autorité présidentielle.

    Les déclarations de Roberts offrent peu d'assurance de sécurité à la lumière de la tendance du gouvernement à contourner la primauté du droit lorsque cela lui convient. Soulignant que de telles détentions manifestement illégales pourraient se reproduire – avec la bénédiction des tribunaux – le juge Scalia a un jour averti : « En temps de guerre, les lois se taisent.

    En fait, la création de camps de détention au niveau national fait depuis longtemps partie du budget et des opérations du gouvernement, relevant de la compétence de la FEMA, l'Agence fédérale de gestion des urgences.

    L'histoire trouble de la FEMA remonte aux années 1970, lorsque le président Carter l'a créée au moyen d'un décret exécutif fusionnant de nombreuses agences gouvernementales de secours en cas de catastrophe en une seule grande agence.

    Au cours des années 1980, cependant, des rapports ont commencé à faire surface sur des exercices d'entraînement secrets de type militaire menés par la FEMA et le ministère de la Défense. Sous le nom de code Rex-84, 34 agences fédérales, dont la CIA et les services secrets, ont été formées à la gestion des troubles civils nationaux.

    Le rôle de la FEMA dans la création de camps d'internement américains top secrets est bien documenté.

    Mais faites attention à qui vous partagez cette information : il s'avère que le fait d'exprimer des inquiétudes concernant l'existence des camps de détention de la FEMA fait partie de la liste croissante d'opinions et d'activités qui peuvent faire croire à un agent fédéral ou à un fonctionnaire du gouvernement que vous êtes un extrémiste (alias terroriste ), ou sympathisant avec des activités terroristes, et vous qualifier ainsi pour une détention indéfinie en vertu de la NDAA. Sont également inclus dans cette liste de points de vue « dangereux » la défense des droits des États, estimant que l'État est inutile ou indésirable, la « théorisation du complot », l'inquiétude au sujet des camps présumés de la FEMA, l'opposition à la guerre, l'organisation pour la « justice économique », la frustration envers « » idéologies dominantes », opposition à l'avortement, opposition à la mondialisation et stockage de munitions.

    Maintenant, si vous allez avoir des camps d'internement sur le sol américain, quelqu'un doit les construire.

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  38. Ainsi, en 2006, il a été annoncé que Kellogg Brown and Root, une filiale d'Halliburton, avait remporté un contrat de 385 millions de dollars pour la construction de centres de détention américains. Bien que le gouvernement et Halliburton n'aient pas indiqué où ni quand ces centres de détention nationaux seraient construits, ils ont rationalisé leur besoin en cas d'« afflux d'urgence d'immigrants ou pour soutenir le développement rapide de nouveaux programmes » en cas de d'autres situations d'urgence telles que les « catastrophes naturelles ».

    Bien sûr, ces camps de détention devront être utilisés pour toute personne considérée comme une menace pour le gouvernement, y compris les dissidents politiques.

    Ce n'est donc pas un hasard si le gouvernement américain a, depuis les années 1980, acquis et maintenu, sans mandat ni ordonnance du tribunal, une base de données de noms et d'informations sur les Américains considérés comme des menaces pour la nation.

    Comme le rapporte Salon, cette base de données, qui aurait été surnommée «Main Core», doit être utilisée par l'armée et la FEMA en cas d'urgence nationale ou en vertu de la loi martiale pour localiser et rassembler les Américains considérés comme des menaces pour la sécurité nationale. Il y a au moins 8 millions d'Américains dans la base de données Main Core.

    Avance rapide jusqu'en 2009, lorsque le Department of Homeland Security (DHS) a publié deux rapports, l'un sur « l'extrémisme de droite », qui définit largement les extrémistes de droite comme des individus et des groupes « qui sont principalement antigouvernementaux, rejetant l'autorité fédérale en faveur de l'État ou de l'autorité locale. , ou rejetant entièrement l'autorité du gouvernement », et une sur « L'extrémisme de gauche », qui qualifiait d'extrémistes les groupes de défense de l'environnement et des droits des animaux.

    Incroyablement, les deux rapports utilisent les mots terroriste et extrémiste de manière interchangeable.

    La même année, le DHS a lancé l'opération Vigilant Eagle, qui appelle à la surveillance des vétérans militaires revenant d'Irak, d'Afghanistan et d'autres endroits éloignés, les qualifiant d'extrémistes et de menaces terroristes nationales potentielles parce qu'ils peuvent être « mécontents, désabusés ou souffrant de les effets psychologiques de la guerre.

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  39. Ces rapports indiquent que pour le gouvernement, le soi-disant extrémisme n'est pas une affaire partisane. Toute personne perçue comme s'opposant au gouvernement, qu'elle soit de gauche, de droite ou quelque part entre les deux, est une cible, ce qui nous ramène, boucle bouclée, à la question de savoir si le gouvernement exercera le pouvoir qu'il prétend posséder pour détenir toute personne perçue comme une menace, c'est-à-dire quiconque critique le gouvernement.

    La réponse courte est oui.

    La réponse plus longue est plus compliquée.

    Malgré ce que certains peuvent penser, la Constitution n'est pas une incantation magique contre les actes répréhensibles du gouvernement. En effet, c'est seulement aussi efficace que ceux qui s'y conforment.

    Cependant, sans tribunaux disposés à faire respecter les dispositions de la Constitution lorsque les représentants du gouvernement ne les respectent pas et un citoyen suffisamment informé pour être indigné lorsque ces dispositions sont sapées, il offre peu ou pas de protection contre les raids de l'équipe SWAT, la surveillance domestique, les tirs de la police sur des citoyens non armés, une durée indéterminée détentions, etc.

    Franchement, les tribunaux et la police ont tellement intégré leur réflexion que tout est permis quand c'est fait au nom de la sécurité nationale, de la lutte contre le crime et du terrorisme.

    Par conséquent, l'Amérique ne fonctionne plus sous un système de justice caractérisé par une procédure régulière, une présomption d'innocence, une cause probable et des interdictions claires sur les abus du gouvernement et les abus de la police. Au lieu de cela, nos cours de justice ont été transformées en tribunaux d'ordre, défendant les intérêts du gouvernement, plutôt que de défendre les droits des citoyens, tels qu'ils sont inscrits dans la Constitution.

    Nous semblons boucler la boucle sur de nombreux fronts.

    Considérez qu'il y a vingt ans, nous discutions de la question de savoir si les non-citoyens - par exemple, les prétendus combattants ennemis détenus à Guantanamo Bay et les musulmans américains rassemblés à la suite du 11 septembre - avaient droit à des protections en vertu de la Constitution, en particulier en tant que elles concernent la détention indéfinie. Les Américains n'étaient pas trop préoccupés par les droits des non-citoyens à l'époque, et maintenant nous sommes ceux dans la position peu enviable d'être la cible d'une détention indéfinie par notre propre gouvernement.

    De même, la plupart des Américains n'étaient pas indûment inquiets lorsque la Cour suprême des États-Unis a donné le feu vert aux policiers de l'Arizona pour arrêter, fouiller et interroger quiconque – apparemment ceux correspondant à un profil racial particulier – qu'ils soupçonnaient d'être un immigrant illégal. Une décennie plus tard, les flics ont largement carte blanche pour arrêter tout individu, citoyen ou non-citoyen, qu'ils soupçonnent de faire quelque chose d'illégal (rappelez-vous, en cette ère de surcriminalisation, cela peut aller de nourrir les oiseaux à faire pousser des orchidées exotiques).

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  40. De même, vous avez encore aujourd'hui une partie importante de la population indifférente à la pratique du gouvernement d'espionner les Américains, ayant subi un lavage de cerveau en lui faisant croire que si vous ne faites rien de mal, vous n'avez rien à craindre.

    Ce ne sera qu'une question de temps avant qu'ils n'apprennent à leurs dépens que dans un État policier, peu importe qui vous êtes ou à quel point vous prétendez être juste, car finalement, vous serez mis dans le même sac que tout le monde et tout ce que vous faire sera « faux » et suspect.

    En effet, cela se produit déjà, la police s'appuyant sur des logiciels de surveillance tels que ShadowDragon pour surveiller les activités des médias sociaux et autres sites Web, qu'ils soient ou non soupçonnés d'un crime, et potentiellement l'utiliser contre eux lorsque le besoin s'en fait sentir.

    Il s'avère que nous sommes Soylent Green, cannibalisés par un gouvernement qui cherche avidement à nous arracher la moindre goutte.

    Le film de 1973 Soylent Green, avec Charlton Heston et Edward G. Robinson, se déroule en 2022 dans une ville de New York surpeuplée, polluée et affamée dont les habitants dépendent des aliments synthétiques fabriqués par la Soylent Corporation pour survivre.

    Heston incarne un policier enquêtant sur un meurtre qui découvre la vérité macabre sur le principal ingrédient de la galette, Soylent Green, qui est la principale source de nourriture pour une population affamée. «Ce sont des gens. Soylent Green est fait de personnes », déclare le personnage de Heston. «Ils fabriquent notre nourriture avec des gens. La prochaine fois, ils nous élèveront comme du bétail pour la nourriture.

    Oh, comme il avait raison.

    Soylent Green est en effet des personnes ou, dans notre cas, Soylent Green est nos propres données personnelles, récupérées, reconditionnées et utilisées par des entreprises et le gouvernement pour nous piéger dans les prisons de notre propre fabrication.

    Sans protections constitutionnelles en place pour se prémunir contre les empiètements sur nos droits lorsque le pouvoir, la technologie et la gouvernance militariste convergent, il ne faudra pas longtemps avant que nous nous retrouvions, un peu comme le personnage d'Edward G. Robinson dans Soylent Green, regardant le passé avec nostalgie. , retour à une époque où nous pouvions parler à qui nous voulions, acheter ce que nous voulions, penser ce que nous voulions et aller où nous voulions sans que ces pensées, mots et mouvements soient suivis, traités et stockés par des géants de l'entreprise tels que Google, vendus aux agences gouvernementales telles que la NSA et la CIA, et utilisé contre nous par la police militarisée avec son armée de technologies futuristes.

    Nous n'en sommes pas encore tout à fait là, mais comme je le précise dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, ce moment de jugement se rapproche de minute en minute.

    https://www.zerohedge.com/political/covid-19-detention-camps-are-government-round-ups-resistors-our-future

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  41. Un éminent médecin et chercheur demande que les vaccins COVID-19 soient retirés du marché


    Vendredi 01 octobre 2021
    par : Cassie B.


    (Natural News) Un éminent chercheur et médecin a récemment fait une présentation de 90 minutes expliquant pourquoi les vaccins expérimentaux COVID-19 devraient être retirés du marché.

    Le Dr Peter McCullough a déclaré, entre autres préoccupations, que la plupart des décès attribués au COVID-19 peuvent être évités grâce à des traitements précoces qui ont jusqu'à présent été supprimés par les décideurs.

    Le Dr McCullough est rédacteur en chef de deux revues médicales en plus de travailler comme cardiologue, interniste et épidémiologiste. Il a dirigé les comités de surveillance de la sécurité de plusieurs essais de médicaments majeurs et est également président de la Cardio Renal Society of America et rédacteur en chef adjoint de l'American Journal of Cardiology. Il a auparavant été professeur de médecine à la Baylor University School of Medicine. Avec plus de 600 publications évaluées par des pairs à son actif, y compris des revues de premier plan comme le Journal of the American Medical Association, The Lancet et le New England Journal of Medicine, il est sûr de dire que sa conclusion mérite un examen plus approfondi.

    En novembre dernier, le Dr McCullough a témoigné devant le Sénat américain contre ce qu'il a qualifié de politisation des soins de santé pendant la pandémie de COVID par le gouvernement fédéral en bloquant la disponibilité de traitements efficaces et bon marché tels que l'ivermectine et l'hydroxychloroquine.

    Une diapositive de sa présentation du 20 août disait : « Les vaccins génétiques COVID-19 ont un profil d'innocuité défavorable et ne sont pas cliniquement efficaces, ils ne peuvent donc pas être généralement pris en charge dans la pratique clinique pour le moment. »

    L'une des plus grandes erreurs médicales de l'histoire

    McCullough a déclaré dans un podcast récent qu'il pensait que le programme de vaccination de masse forcée en Amérique finirait par être considéré comme l'une des plus grandes erreurs médicales de l'histoire. "Les Américains vont faire les frais de ce qui sera invariablement un programme de vaccination de masse raté qui deviendra l'un des plus meurtriers, l'un des plus préjudiciables et des plus coûteux de l'histoire de l'humanité."

    Il a déclaré qu'un examen des données du système américain de déclaration des événements indésirables des vaccins, ainsi que des données de la Grande-Bretagne et d'Israël, où les cas de COVID ont augmenté parmi les personnes vaccinées, l'avait laissé "profondément inquiet" pour l'avenir de l'Amérique.

    Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont annoncé qu'ils avaient cessé de suivre les cas de COVID-19 parmi les personnes vaccinées qui n'ont entraîné ni hospitalisation ni décès. Ils fonctionnent désormais sur l'hypothèse que les nouveaux cas de virus se trouvent parmi des personnes non vaccinées, sauf indication contraire, ce qui est un moyen utile de fausser les chiffres pour donner l'impression que les personnes non vaccinées propagent la maladie.

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  42. Le Dr McCullough a appelé le CDC pour cette tromperie, déclarant: "Ce programme intentionnel de désinformation et de propagande a été utilisé pour provoquer une incroyable fureur de mandats de vaccination" pour les agences gouvernementales, les écoles et les collèges malgré l'absence d'épidémies majeures dans bon nombre de ces endroits .

    Israël a été l'une des premières nations à vacciner en masse sa population grâce à un accord avec le fabricant de vaccins Pfizer, qui a fourni le vaccin en échange de données de santé publique, ce qui équivaut à une expérience sur son peuple. Bien que 80% des adultes israéliens soient complètement vaccinés, les cas de COVID-19 et les hospitalisations graves ont été multipliés par 20 dans le pays depuis début juillet.

    Pendant ce temps, au Royaume-Uni, où environ 76 % de la population adulte est désormais entièrement vaccinée, le nombre de patients COVID hospitalisés a été multiplié par sept depuis début juin. Dans un rapport britannique sur les « variantes préoccupantes », 54 % des décès dus au COVID concernaient des individus entièrement vaccinés, et 12% supplémentaires étaient notés chez des personnes qui avaient reçu leur première dose.

    McCullough a déclaré que ces données illustrent que "les vaccins échouent". Lorsque l'on considère également le fait que les personnes vaccinées sont capables d'acquérir et de se transmettre le virus, les arguments en faveur de l'obtention du vaccin sont encore plus affaiblis.

    Il a ajouté : « Il est clair que nous ne pouvons pas nous en sortir par la vaccination. »

    Les sources de cet article incluent :

    WND.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-10-01-doctor-wants-vaccines-pulled-from-market.html

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  43. Dr Bryan Ardis : Il existe un médicament bon marché, efficace et APPROUVÉ pour COVID-19 – Brighteon.TV


    vendredi 01 octobre 2021
    par : Nolan Barton


    (Natural News) Le Dr Bryan Ardis dit à ses téléspectateurs qu'il existe un médicament bon marché et efficace approuvé par les National Institutes of Health (NIH) qui peut traiter une infection par le coronavirus de Wuhan (COVID-19): l'ivermectine.

    Ardis partage un document du site Web du NIH montrant l'ivermectine comme l'un des trois médicaments dans un tableau intitulé « Caractéristiques des agents antiviraux approuvés ou en cours d'évaluation pour le traitement du COVID-19 ». Les autres médicaments du tableau sont le remdesivir et le nitazoxanide.

    « C'est un tableau extrêmement important. Tout le monde doit l'avoir », déclare Ardis dans The Dr. Ardis Show sur Brighteon.TV.

    Si vous avez un être cher qui lutte contre le COVID-19 dans un hôpital, Ardis dit que vous pouvez prendre une copie de ce tableau et montrer aux médecins que l'ivermectine est un médicament approuvé pour traiter la maladie. "Vous sauverez la vie de vos proches et pouvez tenir les hôpitaux responsables des doses - les médecins ne peuvent pas vous dire qu'ils ne savent pas comment utiliser ce médicament, le NIH vous dit comment utiliser ce médicament", Ardis fait remarquer.

    Ce tableau aurait pu sauver la vie de Veronica Wolski, une patriote connue de Chicago décédée de COVID-19 au centre médical AMITA Health Resurrection. Selon son amie Nancy Ross, Wolski avait demandé de l'ivermectine à l'hôpital, mais ses demandes avaient été refusées à plusieurs reprises.

    Le remdesivir est un médicament antiviral qui cible une gamme de virus. Les coronavirus ont des génomes constitués d'acide ribonucléique (ARN). Le remdesivir interfère avec l'une des enzymes clés dont le virus a besoin pour répliquer l'ARN, empêchant le virus de se multiplier.

    Cependant, de nombreux patients ayant reçu du remdesivir ont développé une défaillance multiviscérale et/ou une insuffisance rénale aiguë. Ces effets indésirables graves sont en fait répertoriés dans le tableau des NIH.

    Ardis partage un autre document qui peut aider à expliquer pourquoi les hôpitaux préfèrent traiter les patients COVID-19 avec du remdesivir. Ce tableau, intitulé New COVID-19 Treatments Add-On Payment (NCTAP), provient du site Web des Centers for Medicare & Medicaid Services (CMS).

    Grâce au NCTAP, le programme Medicare offre un paiement amélioré pour les cas d'hospitalisation éligibles qui utilisent certains nouveaux produits avec l'approbation actuelle de la Food and Drug Administration (FDA) ou une autorisation d'utilisation d'urgence pour traiter le COVID-19. Le seul médicament qui entre dans cette catégorie est le remdesivir.

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  44. Ce paiement amélioré fait référence à un bonus de 20 % accordé aux hôpitaux pour tous les patients COVID-19 qu'ils choisissent de traiter avec le remdesivir plutôt que tout autre médicament.

    "Ils soudoient en fait les hôpitaux et les médecins pour qu'ils sélectionnent le remdesivir", déclare Ardis, notant que le CMS verse actuellement 2 400 $ pour un traitement de cinq jours au remdesivir. Cela signifie que les hôpitaux reçoivent 480 $ supplémentaires pour chaque patient qu'ils soumettent au protocole remdesivir.

    À titre de comparaison, l'ivermectine coûte moins de 2 $ par comprimé.

    Pour les non-initiés, le seul traitement de la maladie approuvé par la FDA implique le remdesivir. Il est approuvé pour une utilisation chez les adultes et les enfants d'au moins 12 ans qui pèsent au moins 88 livres (40 kilogrammes).

    Ivermectine prouvée sûre et efficace

    Mis à part les effets indésirables graves, la corruption et l'énorme différence de prix, Ardis affirme que le remdesivir n'est tout simplement pas aussi efficace que l'ivermectine pour traiter les patients atteints de COVID-19. « L'ivermectine s'est avérée sûre et efficace. Il n'a jamais tué personne ni causé d'insuffisance rénale aiguë. C'est un médicament très approuvé.

    Le 1er juin, le Desert Review a rapporté que l'ivermectine réduisait considérablement les infections au COVID-19 à Delhi, en Inde, qui compte plus de 30 millions d'habitants.

    Les autorités sanitaires de Delhi ont commencé à traiter les patients à l'ivermectine le 20 avril. À l'époque, elles traitaient près de 30 000 nouveaux cas par jour. Fin mai, les cas de COVID-19 dans la région métropolitaine ont chuté à moins de 1 000 nouveaux cas par jour. (Connexe: l'utilisation généralisée d'ivermectine a provoqué une baisse de 97% des cas de coronavirus à Delhi, en Inde.)

    L'OMS n'a pas vendu le remdesivir

    Pendant ce temps, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a émis une recommandation conditionnelle contre l'utilisation du remdesivir chez les patients hospitalisés, quelle que soit la gravité de la maladie, car il n'y a aucune preuve que le remdesivir améliore la survie et d'autres résultats chez les patients.

    La recommandation fait partie d'une directive vivante sur les soins cliniques pour la COVID-19. Il a été développé par un groupe international de développement de lignes directrices, qui comprend 28 experts en soins cliniques, quatre patients-partenaires et un éthicien.

    Le budésonide plus efficace que le remdesivir
    Le budésonide est un autre traitement plus efficace et moins risqué pour COVID-19 par rapport au remdesivir.

    Des chercheurs de l'Université d'Oxford ont découvert qu'un traitement précoce du budésonide inhalé réduisait jusqu'à 90 % le besoin de soins d'urgence et d'hospitalisation chez les personnes atteintes de COVID-19. L'étude a également révélé que le budésonide inhalé administré aux patients atteints de COVID-19 dans les sept jours suivant les symptômes réduit le temps de récupération.

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  45. Les participants ont attribué à l'inhalateur de budésonide une résolution plus rapide de la fièvre, des symptômes et moins de symptômes persistants après 28 jours. L'étude a également démontré qu'il y a une réduction des symptômes persistants chez ceux qui ont reçu du budésonide.

    Les médecins prescrivent le budésonide depuis plus de 20 ans comme médicament préventif pour les asthmatiques. Le Dr Richard Bartlett, un fervent partisan du médicament, a écrit un article avec des rapports de cas décrivant des résultats favorables pour deux de ses patients avec le régime. Une étude en laboratoire aux États-Unis a également montré que le budésonide inhibait la capacité d'un coronavirus à se répliquer et à enflammer les voies respiratoires.

    Regardez l'épisode du 29 septembre de The Dr. Ardis Show ici :

    - voir clip sur site -

    Vous pouvez regarder de nouveaux épisodes de The Dr. Ardis Show avec le Dr Bryan Ardis tous les mercredis de 10h à 11h sur Brighteon.TV.

    Suivez Pandemic.news pour plus d'actualités et d'informations sur la pandémie de coronavirus.

    Sources include:

    Brighteon.com
    Covid19TreatmentGuidelines.NIH.gov
    CMS.gov
    TheDesertReview.com

    https://www.naturalnews.com/2021-10-01-ivermectin-cheap-effective-approved-for-covid-treatment.html

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  46. Le gouvernement britannique tente de contourner le Parlement pour accélérer l'approbation du passeport pour le vaccin contre le coronavirus


    Vendredi 01 octobre 2021
    par : Zoey Sky


    (Natural News) Il semble que le gouvernement britannique tente de contourner le Parlement pour mettre en œuvre des passeports vaccinaux contre le coronavirus (COVID-19), même si la mesure a déjà été rejetée la première fois qu'elle a été suggérée.

    Les passeports vaccinaux auraient été supprimés plus tôt en septembre
    Dans une interview sur les passeports vaccinaux, le secrétaire d'État à la Santé et aux Affaires sociales, Sajid Javid, a déclaré que certaines politiques ne devraient pas être appliquées simplement parce que d'autres pays et gouvernements les approuvent.

    Certains pensaient que le plan, qui a été critiqué par le public et certains députés, serait présenté d'ici la fin septembre. Plus tôt dans le mois, le ministre des Vaccins, Nadhim Zahawi, a défendu la mesure, affirmant qu'il s'agissait du "meilleur moyen" de maintenir l'industrie de la nuit ouverte.

    Si le plan avait été approuvé, les citoyens du Royaume-Uni auraient dû présenter une preuve de double vaccination, un test de coronavirus négatif ou de terminer l'auto-isolement après un test PCR positif avant de pouvoir entrer dans les clubs et autres événements surpeuplés.

    La suggestion de passeports vaccinaux est venue du parti libéral-démocrate. Même le leader Ed Davey a déclaré que les passeports vaccinaux étaient « source de division, impraticables et coûteux ».

    Javid a ajouté qu'il était lui-même contre l'idée de demander aux gens de montrer leurs papiers avant de pouvoir être autorisés à "faire ce qui n'est qu'une activité quotidienne". Après mûre réflexion, il a déclaré que, pour l'instant, l'idée de passeports vaccinaux est rejetée. Cependant, il est conservé comme option de sauvegarde.

    Javid a également nié que le gouvernement britannique revenait sur sa politique après les critiques de ses propres députés d'arrière-ban. Il a ajouté que les passeports étaient inutiles car d'autres choses dans le « mur de [défense] », comme plus de personnes se faisant vacciner, tester, surveiller et de nouveaux traitements.

    Les passeports vaccinaux font toujours partie du « plan B » du gouvernement britannique
    Il semble que le passeport vaccinal ait déjà été rejeté, mais un jour seulement après que Javid a déclaré que la politique avait été abandonnée, le gouvernement a alors annoncé que les passeports vaccinaux seraient un élément essentiel de sa réponse hivernale au coronavirus s'il y avait une augmentation des cas et hospitalisations.

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  47. Dans le cadre du « Plan B », les passeports vaccinaux constitueraient une « première ligne [de défense] » contre une vague d'infections hivernales, même s'ils se sont avérés inefficaces en Israël. Le gouvernement a également affirmé que la proposition permettrait à davantage d'entreprises et de lieux d'ouvrir en dehors des « boîtes de nuit, salles de concert, festivals en plein air, concerts et événements sportifs ».

    Si la politique est introduite, le gouvernement exigera des passeports vaccinaux pour ces lieux et événements :

    Toutes les discothèques et autres lieux ouvrent après 1 h du matin et proposent de la musique, de la danse et de l'alcool.
    Tous les événements en salle avec 500 participants ou plus où les gens pourraient se tenir debout et se mêler à un degré significatif, ou se déplacer pendant l'événement, comme dans les salles de concert ou les grandes réceptions.
    Dans des environnements extérieurs surpeuplés avec 4 000 participants ou plus se tiennent debout ou se mêlent pendant l'événement, comme les festivals en plein air.
    Tous les paramètres avec 10 000 participants ou plus, comme les grands stades sportifs et musicaux.
    Et puisque le gouvernement britannique est conscient qu'il pourrait avoir du mal à faire approuver un système de passeport vaccinal par un vote parlementaire, il lance maintenant une "consultation publique" pour recueillir davantage de soutien en faveur de la politique inutile et oppressive. Étant donné que le gouvernement refuse de s'engager dans un vote, la majorité des répondants considèrent cette décision comme faisant partie d'un effort pour contourner le Parlement. (Connexe : après avoir qualifié les passeports vaccinaux de « théorie du complot », le gouvernement britannique dit maintenant que tout le monde devra montrer une preuve de vaccination pour vivre.)

    Le gouvernement britannique a continué de mentir au public sur ses intentions concernant les passeports vaccinaux. Tout d'abord, Javid a annoncé que la proposition était abandonnée, puis un jour plus tard, le gouvernement a annoncé que ses passeports vaccinaux étaient intégrés au « Plan B ». Qui sait quand le gouvernement mettra en œuvre la politique oppressive ?

    Rendez-vous sur Pandemic.news pour découvrir comment les gouvernements du monde entier gèrent la pandémie de coronavirus.

    Les sources comprennent :

    InfoWars.com
    BBC.com
    Gov.uk

    https://www.naturalnews.com/2021-10-01-british-government-bypasses-parliament-coronavirus-vaccine-passport.html

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  48. Les personnes vaccinées commencent à se ranger du côté des non-vaxxés au milieu de l'urgence des droits civiques


    vendredi 01 octobre 2021
    par : rédacteurs en chef


    (Natural News) Un hôte ESPN, un officier de police de Washington et des centaines de citoyens italiens défendent tous les droits des non vaccinés alors que les gouvernements du monde entier commencent à les séparer de la société.

    (Article de Kelen McBreen republié sur Infowars.com)

    Le premier exemple de protestation des vaccinés pour la défense des vaccins réfractaires est survenu le mois dernier lorsque des centaines d'Italiens ont brûlé leurs passeports de vaccin Covid en solidarité avec les non vaccinés.

    « Pas de laissez-passer vert ! scandaient des manifestants alors que des Italiens vaccinés mettaient le feu à leurs cartes.


    Les personnes vaccinées en Italie brûlent leurs passeports vaccinaux en solidarité avec les personnes non vaccinées.

    C'est ainsi que se gagne la liberté, dans l'unité ! pic.twitter.com/7qKzM3EJmR

    – Calvin (@calvinrobinson) 8 août 2021

    Plus tôt cette semaine, l'ancre ESPN Sage Steele est apparue sur le podcast "Uncut with Jay Cutler" où elle a exprimé son dégoût envers le réseau sportif pour avoir mandaté le vaccin Covid pour tous ses employés.

    "Je travaille pour une entreprise qui l'exige et j'avais jusqu'au 30 septembre pour le faire ou je m'en vais", a déclaré Steele à Cutler, un quart-arrière de la NFL à la retraite qui a passé 12 ans dans la ligue.

    Le personnel d'ESPN a été mandaté par la société mère du magasin, la Walt Disney Company, pour obtenir le coup avant le 30 septembre ou être licencié.

    - voir clip sur site -

    Steele a reçu un vaccin Covid quelques jours seulement avant la date limite de l'entreprise malgré le fait qu'elle a admis à contrecœur qu'elle "ne voulait pas le faire" et qu'elle s'est sentie "vaincue" par la suite.

    "Je respecte la décision de chacun, vraiment, mais le mandater est malade et me fait peur à bien des égards", a déclaré Steele. "Je ne suis pas surpris que cela en soit arrivé à ce point, surtout avec Disney, je veux dire une entreprise mondiale comme celle-là."

    La personnalité à l'antenne d'ESPN a affirmé que certaines des plus grandes stars du sport du pays l'avaient contactée en privé pour la soutenir, mais elle s'est plainte qu'aucune d'entre elles ne le ferait publiquement par crainte de l'annulation de la foule culturelle.

    Pendant ce temps, Steele a retweeté l'attaquant partant d'Orlando Magic Jonathan Isaac mardi après s'être prononcé contre la ligue en faisant pression sur les joueurs prenant le vaccin Covid.

    Mardi, un officier de police de l'État de Washington a posté une vidéo virale sur TikTok déclarant: "Même si je suis complètement vacciné, je soutiendrai mes familles bleues pour choisir !!"

    Après avoir passé 23 ans dans l'armée américaine et dix de plus en tant que flic, l'adjoint Bailey du département du shérif du comté de King rend son badge.

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  49. @echopnw
    Même si je suis complètement vacciné, je garderai le droit de choisir avec mes familles bleues !!
    ##copsoftiktok
    ## flics
    ##kcso
    ##droitdechoisir
    ##pour toujours10
    /7
    ? son original – Dani Marie

    "J'ai fini", a-t-il dit à ses partisans. "Je pense qu'après tout ce que nous avons traversé - le financement, la haine, la démotivation des flics - tout ce qu'ils nous ont fait subir, je suis toujours allé au travail chaque jour motivé et prêt à faire mon boulot."

    Bailey a poursuivi: «Je m'en fichais si d'autres personnes en dehors de l'organisation ne se souciaient pas beaucoup de nous, tout était une question de famille. Mais quand cela a commencé à devenir toxique de l'intérieur, quand les gens ont cessé de se soucier les uns des autres de l'intérieur… "

    Il est plus important que jamais pour les peuples du monde d'arrêter d'écouter les médias mondialistes qui divisent et de s'unir en faveur des libertés individuelles.

    Pour en savoir plus : Infowars.com et HealthFreedom.news.

    https://www.naturalnews.com/2021-10-01-vaccinated-people-beginning-to-side-with-unvaxxed.html

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  50. La France par temps de covid (2) : la vérité officielle médiatisée

    OPINION : dans cette France par temps de Covid nous assistons au spectacle de l’actualité sanitaire marquée par les images de réanimations ou du port du masque.


    Par Julien Plouchart.
    3 OCTOBRE 2021


    Nous avons assisté à une saturation de l’espace médiatique par l’actualité sanitaire dès mars 2020. Cette stratégie politique de la saturation médiatique entraîne une diffusion omniprésente et permanente de l’information littéralement covidifiée. Le paradoxe de la diffusion d’une information concentrée illustre le règne du spectaculaire intégré prédit par Guy Debord dans ses Commentaires sur la société du spectacle. Cette spectacularisation de l’actualité sanitaire est marquée par l’importance de la visibilité de la maladie marquée par les images de réanimations ou du port du masque en extérieur et par la mécanique du protocole avec la mise en œuvre du pass sanitaire et les files d’attente masquées et espacées dans l’espace public.

    LES MASS MÉDIAS OMNIPRÉSENTS EN FRANCE PAR TEMPS DE COVID

    L’actualité sanitaire a été en grande partie orientée à partir de mi-mars 2020. La déclaration de guerre des dirigeants français à l’ennemi covidien s’est immédiatement accompagnée de la mise en branle d’une redoutable communication, une propagande renouvelée. Les médias les plus suivis, que ce soit les chaînes d’information, les chaînes généralistes, nombre de sites de journaux en ligne, se sont révélés à maintes reprises les vecteurs de l’information officielle. De nombreux journalistes ont eu pour rôle de réaliser la transmission massifiée de l’information officielle en relayant la communication gouvernementale sans reprise critique.

    La diffusion d’inexactitudes scientifiques telles que l’absence de contamination par les vaccinés afin de justifier le pass sanitaire ou la capacité des vaccins à protéger à 95 % les gens vaccinés contre le Covid quel que soit le variant afin de pousser à la vaccination la population permet d’imposer une technologie politique du traitement de la maladie.

    En fait, nous avons assisté à une instrumentalisation de la connaissance. C’est dans cet ordre d’idées qu’un penseur comme Jean-François Lyotard a expliqué que le savoir est devenu une marchandise informationnelle dans les sociétés postmodernes. Au cours de la crise du covid, la diffusion massifiée d’une information a permis d’en imprimer la véracité auprès de la population. La reprise de certaines études dans les médias a donné le vernis scientifique à une décision politique.

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  51. La fermeture des restaurants sur la période de novembre 2020 à mai 2021 fut ainsi prise avec pour justification principale l’étude Comcor de l’équipe du professeur Fontanet, et ce alors que de nombreux pays ont laissé les restaurants ouverts sur la même période sans constater d’impact significatif sur le cours de l’épidémie. La donnée officialisée est devenue une arme politique : la manipulation statistique comme la décontextualisation de modélisations ont été mises au service de la décision politique. Il y a à la fois manipulation des chiffres et biais de l’interprétation. De manière exemplaire, la confusion entretenue entre lits de réanimation et lits de soins critiques a été mise en œuvre afin de dramatiser la situation sanitaire.

    L’UTILISATION DE LA PEUR

    Au cours de cette crise du Covid, la manipulation de la population s’est révélée d’autant plus efficace qu’elle jouait sur la peur de la mort. Le président Macron insista ainsi dans son discours d’octobre 2020 sur le risque d’avoir 400 000 morts au cours de l’automne et de l’hiver 2020 en France et de la certitude de l’occupation par des malades du covid d’au moins 9000 lits de réanimation en novembre 2020. Au cours d’une interview en octobre 2020, le président du conseil scientifique Delfraissy affirmait que le covid était diabolique. Jouer sur la peur de la mort permet d’avoir l’assentiment de la population.

    Dans son roman La naissance de l’Odyssée, Jean Giono dit d’Ulysse :

    Par-dessus la besace à mensonges, il avait de tout temps porté la peur.

    La capacité d’Ulysse par sa parole mensongère à transformer la réalité et à instiller la peur s’applique à la stratégie gouvernementale. Dans le roman covidien, Olivier Véran est l’Ulysse du navire français.

    En mars 2021, Olivier Véran affirmait ainsi que les patients atteints du Covid admis en réanimation étaient de plus en plus souvent jeunes. En août 2021, il affirmait que les malades du covid aux Antilles étaient très jeunes. Ces assertions médiatisées en contradiction avec la réalité d’une maladie qui se révèle sévère dans la très grande majorité des cas chez des sujets âgés ont eu pour but de dramatiser la situation afin de justifier des mesures telles que le confinement d’avril 2020 en France ou le confinement d’août 2021 aux Antilles.

    La médiatisation du décès d’une lycéenne en Ile-de-France en mars 2020 ou du décès d’un nourrisson en PACA en juillet 2021 répondait à la volonté d’apeurer la population avec le message que le Covid était une maladie grave pour toutes les tranches d’âge, y compris pour les enfants et les adolescents. Dans ces deux cas, cette médiatisation a accompagné des mesures de restrictions des libertés telles que le confinement de mars à mai 2020 ou la réimposition du port du masque en extérieur dans certaines localités en juillet août 2021. L’actualité covidifiée emplie de récits tragiques permet d’aliéner les individus en les dépossédant de leurs aptitudes et de leurs destinées.

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  52. Il y eut bien quelques réactions de personnalités engagées comme le 10 septembre 2020 une tribune signée par des chercheurs, médecins et penseurs dans le quotidien Le Parisien remettant en cause la communication officielle fondée sur la peur, le recours au confinement et l’imposition du masque en extérieur. Cette tribune n’a guère eu d’écho public puisque peu médiatisée. En revanche, la médiatisation de la peur permet la mise en place d’une société de surveillance et de contrôle dans le cadre d’une stratégie de l’aliénation de l’individu. C’est dans ce contexte que l’idée du pass sanitaire prend tout son sens et c’est dans cette logique que la pérennité de cette idée est probable.

    Cette stratégie communicationnelle explique à la fois l’omniprésence médiatique de médecins alarmistes promoteurs de l’idée de confinement entre le printemps 2020 et l’été 2021 et les campagnes de dénigrement menées contre des médecins et experts comme Didier Raoult remettant en cause la stratégie de gestion du Covid.

    La brièveté de l’exposition médiatique de Jean-Michel Claverie est elle aussi exemplaire de la marginalisation de la conception dite rassuriste de l’évolution de l’épidémie. L’exposé de cet expert sur la faiblesse de la quatrième vague en France durant l’été 2021 au cours d’une interview fin juillet 2021 sur LCI entraîna sa disparition quasi immédiate des chaînes d’information à la ligne éditoriale alarmiste.

    Avec l’imposition du pass sanitaire nous avons assisté au cœur de l’été 2021 à l’achèvement du processus d’unanimisme médiatique autour de la gestion du covid : il y a eu à la fois le soutien des penseurs médiatiques au pass sanitaire tandis que les opposants à cette idée étaient souvent présentés dans les médias comme des antivax et des extrémistes ce qu’ils pouvaient bien sûr parfois être, et étaient affublés du terme définitif de conspirationnistes.

    La crise du Covid a en fait permis le déclenchement d’une infodémie d’une ampleur inconnue jusqu’alors en France. Le retour à la rationalité est la seule solution pour sortir du piège informationnel covidien. Le concept du cogito cartésien peut permettre à l’individu de repenser par lui-même la situation actuelle.

    L’idée clé que le fait de penser par soi-même permet de s’assurer et de son existence individuelle et de son autonomie de décision est le moyen d’affronter l’emprise mentale de l’appareil de communication du Covid. Seul le retour à la raison permet de libérer l’individu. La résistance doit partir de l’individu afin de briser la tyrannie mentale impulsée par le pouvoir central et entretenue par de nombreux médias.

    Comme l’écrivait La Boétie dans son Discours sur la servitude volontaire :

    Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres.

    https://www.contrepoints.org/2021/10/03/407033-la-france-par-temps-de-covid-2-la-verite-officielle-mediatisee

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    Réponses
    1. On ne peut pas dire que le monde se souviendra longtemps de la plus vaste escroquerie mondiale appelée 'covide19' puisque le but affiché (dans 'Dépopulation21') est d'éliminer 7 milliards de personnes par inoculation d'une substance mortelle (oxyde de graphène) et délivrée par une longueur d'onde adéquate émise par la 5G.

      Ainsi, dès les premiers jours, la gestapo a sélectionné les traîtres, les criminels pour faire la promo des masques dits 'antivirus' !!! HAHAHAHA ! alors qu'il ne peut exister de masque anti virus car premièrement, un virus (poussière inoffensive) mesure de 0,1 à 0,5 micron alors que les masques 'bleus-blanc' on un écart de mailles de 150 microns !!! Hahahaha ! et, deuxièmement il ne peut s'agir d'un virus mais d'UN MICROBE ! Seul le microbe apporte une maladie. Le microbe est vivant.
      Troisièmement tous les masques proposés sont infectés de nano-particules d'oxyde de graphène (comme les écouvillons naseaux) qui sont respirés, aspirés et qui tuent. Quatrièmement a été proposé un faux vaccin (expérimentation génique d'essais) qui lui contient bien le microbe (maladie) 'covide19'. Donc, celle ou celui qui se fait inoculer l'a ! Elle ou il l'a et peut donc infecter les autres personnes !

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  53. Vaccination : Big Pharma s’attaque aux femmes enceintes et aux enfants


    le 2 octobre 2021


    Total mondial des décès à la suite de la vaccination contre le covid : 15 937 morts (dont 7 215 aux Etats-Unis). Ce sont les chiffres officiels du programme américain de surveillance (VAERS) sur la période du 14 décembre 2020 au 24 septembre 2021.

    Big Pharma s’attaque aux femmes enceintes

    The Defender déplore que, malgré les milliers d’effets indésirables signalés, les autorités de santé américaines (CDC) incitent les femmes enceintes et celles qui ont récemment accouché à se faire vacciner. La raison alléguée est que 161 femmes enceintes sont mortes du covid, dont 22 en août et que le covid peut provoquer des naissances prématurées ou des bébés malades nécessitant des soins intensifs. En réalité les effets de la vaccination sont plus nombreux que ceux du covid : 3 823 femmes enceintes vaccinées ont signalé des effets indésirables, dont 1 144 fausses couches ou naissances prématurées (données VAERS et CDC au 24 septembre).

    Une femme (parmi d’autres) appelle à l’aide, mais Pfizer fait pression…

    Kristi Dobbs, 40 ans, a reçu sa première et unique dose du vaccin covid de Pfizer le 18 janvier. Depuis, elle est incapable de travailler et de s’occuper de sa famille. Elle a consulté 16 médecins et a essayé 22 médicaments pour traiter plus de 20 symptômes, qu’elle n’avait pas avant d’être vaccinée. Après avoir fourni aux National Institutes of Health (NIH) des échantillons de sang, elle a passé neuf mois à demander aux autorités de faire des recherches. En vain.

    Avec d’autres personnes victimes de lésions neurologiques après un vaccin covid, elle a fait part de son expérience à un journaliste. Article jamais publié. Selon le journaliste, un cadre de Pfizer a fait pression pour que l’agence de presse abandonne l’affaire.

    Pfizer demande d’autoriser d’urgence son vaccin pour les 5 à 11 ans

    La demande d’autorisation du vaccin Pfizer-BioNTech pour les 12-15 ans a été rapidement agréée par la FDA. A présent les mêmes laboratoires s’attaquent aux 5 à 11 ans. La demande officielle aux autorités pour une utilisation « d’urgence » (autrement dit, les essais du vaccin ne seront pas terminés…) sera faite dans les semaines à venir.

    Des enfants meurent de la vaccination

    Cette semaine 21 jeunes de 12 à 17 ans sont décédés aux États-Unis. Un garçon de 17 ans atteint d’un cancer, a été vacciné le 17 avril, testé positif au covid le 20 juillet, hospitalisé, puis décédé le 29 août. Une fille de 16 ans est morte d’une embolie pulmonaire neuf jours après la première dose de Pfizer.

    Les sportifs risquent leur saison avec les vaccins

    Quelques basketeurs de premier plan, Jonathan Isaac, et Andrew Wiggins, font les gros titres en défendant leur choix de ne pas se faire vacciner. Le Midi Libre prévoit que cela va affecter leur saison. Pourquoi ne pas avoir dit, inversement, au joueur de tennis Jérémy Chardy qu’il risquait sa saison avec la vaccination ? Ce dernier a déclaré en effet que sa saison 2021 était terminée en raison d’une « série de problèmes » après avoir reçu un vaccin covid entre les jeux Olympiques et l’US Open.

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  54. L’université de Harvard joue le jeu et pourtant…

    L’université de Harvard donne ses cours en télétransmission. Pour 75 000 $ par an, ça fait cher la séance de télé ! Quant à la qualité de vie, voyez un peu ce que le site de l’université préconise : « Dînez en petits groupes de 2 à 4 personnes. Évitez de changer de table. Envisagez de dîner systématiquement avec les mêmes personnes plutôt qu’avec un groupe différent à chaque repas. Consommez votre repas et relevez immédiatement votre masque lorsque vous avez terminé. Lorsque vous buvez, abaissez votre masque, buvez une gorgée, puis couvrez-vous rapidement la bouche et le nez. Si vous prenez votre temps entre les bouchées et les gorgées, remettez votre masque. » Malgré les 95 % d’étudiants et 96 % d’employés vaccinés et toutes ces précautions, le virus progresse ! Tout ça sans doute à cause des 5 % d’étudiants et 4 % de salariés qui continuent obstinément à se tester.

    Broadway lève ses rideaux, puis les baisse

    Après une fermeture depuis le 12 mars 2020, la réouverture des théâtres de Broadway s’annonce difficile. La représentation de Aladdin est annulée. « The View », un talk-show sur ABC, a connu une alerte lorsque deux animatrices ont été testées positives quelques instants avant une interview avec la vice-présidente Kamala Harris. Elles ont d’ailleurs été testées négatives par la suite… Selon la politique de la Broadway League, les 41 théâtres de New York exigent que spectateurs, équipes, artistes et autres membres du personnel soient vaccinés contre le covid. Malgré toutes ces précautions, les nouveaux cas de covid se multiplient !

    Qui met en scène le Coronacircus ?

    Le Coronacircus oscille du tragique au comique. Ne pas pouvoir aller au théâtre, ce n’est pas bien grave. En revanche, les décès s’accumulent, les prochaines victimes sont annoncées parmi des enfants de plus en plus jeunes, les cris des personnes handicapées sont étouffés. Le tragique quotidien est censuré par les médias aux ordres. Aux ordres de qui ? Question que ces mêmes médias qualifient d’antisémite, alors qu’il suffit de faire un petit tour sur Wikipédia, pourtant bien sous tous rapports, pour savoir qui se cache derrière Big Pharma et ses médias. Quelques noms chez Vanguard : Edmond De Rothschild, la famille Bush, la famille royale britannique, la famille du Pont, les Morgan, les Vanderbilt et les Rockefeller. Et chez BlackRock : Rothschild, Elisabeth II, Al Gore, Warren Buffett, George Soros, Carlos Slim. Valérie Bugault vous explique également qui se cache derrière le virus. A voir là.

    Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.

    https://lemediaen442.fr/vaccination-big-pharma-sattaque-aux-femmes-enceintes-et-aux-enfants/

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  55. Territoires d’outre-mer : entre chaos présent et futur

    OPINION : les Territoires d’outre-mer comme Mayotte et la Réunion renvoient des images de la Métropole. Une image inquiétante car chaotique.


    Par Claude Robert.
    3 OCTOBRE 2021


    Lorsque l’on vient de séjourner à Mayotte puis à la Réunion, il est complètement troublant de voir combien ces deux territoires d’outre-mer nous renvoient une image de la métropole selon deux stades de sa propre organisation, l’un passé et l’autre à venir.

    MAYOTTE OU LE RETOUR DU CHAOS

    Lors du référendum du 22 décembre 1974 lancé par le gouvernement Chirac au sujet de l’indépendance des Comores, Mayotte avait été la seule île de l’archipel à voter contre. Dont acte, depuis lors1, elle est à la fois région et département français.

    Aujourd’hui, les chiffres officiels de sa population ne traduisent pas encore le tsunami en cours : près de 50 % de ses habitants sont en effet des migrants en provenance principalement des actuelles Comores, ces îles qui 48 ans plus tôt se sont déterminées pour l’indépendance. La plupart de ces migrants sont jeunes ou analphabètes, tous en situation irrégulière, et espèrent obtenir leur naturalisation. Ils ne sont pas renvoyés chez eux, ils ne sont pas non plus pris en charge sur le plan linguistique, social et scolaire, si ce n’est marginalement. Ils sont tout simplement sur le sol français, attendent et survivent dans la débrouille.

    De fait, des mineurs bloquent régulièrement les routes, caillassent voire rackettent les véhicules de passage. Bien sûr, la police les disperse à coups de grenades lacrymogènes, le temps de libérer les routes. Mais la marée humaine s’intensifie. Tout récemment, un incendie criminel contre une mairie a eu lieu en réaction à la destruction de 350 habitations illégales. La situation est devenue ingérable, le nombre de ces bidonvilles et leur dispersion échappent à tout contrôle.

    Depuis le référendum, les citoyens mahorais ont bénéficié d’un nombre important d’avantages liés à leur rattachement volontaire à l’Hexagone. Les infrastructures routières, piétonnières, l’eau potable courante, les écoles et les lycées, la relative tranquillité et propreté des centres-villes différencient de plus en plus Mayotte de sa voisine Madagascar.

    Hélas, ces Mahorais naturalisés, progressivement assimilés et bénéficiant du confort qui avait justifié leur vote, souffrent à présent du chaos dont ils ne voulaient plus. À cela s’ajoute un État de droit clairement bafoué : garer sa voiture sur un trottoir suscite systématiquement un procès-verbal, des pseudo-contrôles d’identité ont lieu à l’embarcation de la barge reliant les deux îles mahoraises, barge que prennent les actifs à qui rien n’est pardonné, tandis que les hordes de racketteurs sont juste dispersées, car trop nombreux, trop jeunes, parce que l’État comorien n’en veut pas.

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  56. LA RÉUNION, OU UNE SUISSE EN SUSPENS

    De l’autre côté de Madagascar, pratiquement à l’opposé de Mayotte, se trouve La Réunion, territoire français de très longue date et d’une superficie beaucoup plus grande en comparaison. Mais côté ressemblance, c’est plutôt vers la Suisse qu’il faut se tourner, pas seulement du fait des montagnes dignes des Alpes et de son Piton des neiges planté au beau milieu de l’Océan Indien.

    Population avenante, habitat soigné et élégant, routes et trottoirs propres, véhicules récents, conducteurs courtois, deux roues conformes et peu bruyants, absence quasi totale de tags, espaces verts entretenus, gestion des ordures efficace, cette île a quelque chose d’irréel et de paradisiaque. Certes, il existe des zones de non-droit. Mais le visiteur ne peut se soustraire à cette impression d’être parvenu dans un coin de France qui aurait échappé à l’enlaidissement entropique qui la frappe depuis maintenant plusieurs décennies.

    Une telle surprise pose question. Est-ce le seul climat cyclonique qui a forgé de telles mentalités ? Est-ce l’ancienneté de l’assimilation qui a adouci à ce point les mœurs ? Est-ce parce que l’île n’est pas en proie à une immigration génératrice de chaos comme à Mayotte ? Est-ce parce qu’origines indiennes, créoles et asiatiques font bon ménage et partagent des pratiques quotidiennes homogènes et parfaitement compatibles ?

    Cette impression de paradis, dont l’urbanisme rappelle à la fois les cartes postales de Saint-Barth et les Alpes suisses, paraît néanmoins bien fragile tant l’économie réunionnaise est en grande partie fonctionnarisée. Les industries y sont rares et peu développées. Le taux de chômage est très élevé2, en particulier chez les jeunes. Combien de temps ce calme va-t-il durer ?

    LA MÉTROPOLE : UNE RÉUNION PERDUE, UNE MAYOTTE EN DEVENIR ?

    Difficile de se séparer de cette impression qu’avec La Réunion, on a une évocation de ce que l’Hexagone aurait pu devenir, ou rester, s’il n’avait pas été percuté de plein fouet par cette entropie qui le mine depuis la fin des Trente glorieuses. Difficile également de ne pas voir, dans le chaos qui s’installe à Mayotte, la situation qui nous est promise si rien n’est entrepris rapidement…

    1 - En dépit des questions juridiques suscitées à l’époque concernant l’interprétation du résultat référendaire par le gouvernement français ↩
    2 - 17 % fin 2020 selon l’INSEE (on parle de 30 % chez les jeunes) ↩

    https://www.contrepoints.org/2021/10/03/407317-territoires-doutre-mer-entre-chaos-present-et-futur

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    1. (...) LA RÉUNION, OU UNE SUISSE EN SUSPENS (...)

      !!? L'île de la Réunion fait partie d'une dictature (république) et non de son contraire une Démocratie !

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  57. GUERRE TOUTES SUR LA FORCE DE VIE


    28 septembre 2021
    Julian Rose, Contributeur
    Heures de réveil


    « La ruse » et « la ruse » sont deux mots qui figurent rarement dans la langue vernaculaire moderne, mais nous en avons besoin maintenant – car notre espèce est soumise à un niveau sans précédent d’attaques soutenues – et c’est la ruse et la ruse qui sont utilisées pour déguiser cette attaque comme une forme de protection bienveillante. L'effet hypnotique que cette tromperie a sur l'humanité menace de faire disparaître notre espèce.

    Qui devinerait ? Après tout, ceux qui croient ce qu'ils lisent dans la presse et voient à la télévision sont sûrs qu'ils sont "sauvés" et non sacrifiés.

    Sauvés du Covid, du réchauffement climatique, des Russes et bien sûr des « terroristes ». Alors que les individus en possession d'un degré raisonnable de conscience reconnaissent que ceux qui prennent les devants essaient de réaliser un grand plan qui les laissera en charge de toutes les voies matérielles de la vie quotidienne. Ce que Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial aime appeler « vous ne posséderez rien et vous serez heureux ».

    Ce qui se traduit correctement par "Nous posséderons tout et vous aurez de la chance si vous êtes toujours en vie".

    Pourtant, ce n'est en fait qu'un niveau d'une attaque à plusieurs volets en préparation contre l'humanité. Cela va beaucoup plus loin.

    À un niveau plus profond, nous sommes confrontés à une lutte avec nos propres esprits pour saisir l'ampleur du sombre programme proposé pour la vie sur terre. Beaucoup d'entre nous ne peuvent même pas commencer à comprendre le fait qu'il ne s'agit pas simplement d'une nouvelle tentative d'introduction d'une dictature totalitaire, mais qu'il s'agit en fait d'une guerre totale contre la force vitale elle-même. Une tentative de transformer à jamais notre ADN même - conçu - en quelque chose de totalement étranger à ce qui conduit la dynamique évolutive de la vie sur terre.

    Les origines de cette persuasion anti-vie remontent à loin. Ils commencent par un refus de reconnaître la composition spirituelle essentielle de toute matière. Qu'à son essence, la vie - dans toutes ses formes animées et inanimées - est une manifestation de ce qui a été amené à la naissance par une entité cosmique de pur esprit - sur une grande période de temps - au cours de laquelle elle s'est transformée en ce que nous appelons " question'.

    La matière est un pur esprit figé dans une substance matérielle. C'est pourquoi Jésus est cité comme disant "Fendez du bois, et je suis là." Nos anciennes roches, sols, fougères, protozoaires, micro-organismes aérobies, insectes, reptiles - et finalement l'homme - forment une grande diversité et un continuum d'expressions d'un point de source cosmique omnipotent que nous appelons Dieu.

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  58. Initialement, l'expression de la vie ici sur terre était de nature très simple et manquait de toute forme de conscience de soi. Pourtant, toute matière apparemment inanimée contient la graine de l'animation. C'est, après tout, "toute énergie" - mais le fait que nous ne puissions pas voir les atomes tourbillonnants qui forment la composition d'une roche ne signifie pas qu'ils ne sont pas réels. Qu'il n'est pas vivant.

    Le point de source créatif de toute vie est présent même dans les montagnes et les minéraux les plus anciens de notre planète.

    Tous aspirent à devenir plus qu'ils ne le sont. Ils ont tous la capacité de mouvement constant vers une expression supérieure d'eux-mêmes. Ainsi, ils se « transforment » et passent, pour ainsi dire, en des formes d'expression plus subtiles de leur forme originale. C'est le vrai sens du mot « évolution ».

    Nous – l'humanité – sommes à la limite supérieure de ce processus d'évolution, mais nous sommes toujours informés par toutes les étapes qui nous ont amenés ici. Nous les reconnaissons comme des expressions évoluant progressivement dans le cadre du développement de nos propensions psycho-spirituelles et physiques uniques.

    Ainsi, nous pouvons aujourd'hui, si nous le souhaitons, nous sentir « en harmonie » avec l'environnement naturel qui nous entoure, simplement parce que nous le sommes – et c'est nous. Il n'y a jamais eu de point de séparation, juste un continuum d'expression évolutive du point source pur d'où est née la « vie ».

    Cependant, quelque part le long de la ligne, à un stade bien développé du continuum - avec le cerveau humain déjà actif, une déviation du mouvement évolutif naturel est devenue manifeste.

    Nous ne spéculerons pas sur ce que c'était exactement, mais reconnaîtrons son existence. Cette déviation pourrait se produire en raison du «libre arbitre» accordé à l'origine à l'homme «pensant» indépendant.

    Le libre arbitre est la condition que nous appelons « liberté » aujourd'hui ; cependant, seulement lorsque son intention est la manifestation continue de la grande diversité de l'espèce et une autre manifestation de ses origines divines. Un État que j'appelle « la responsabilité de la liberté ».

    Cette « vraie liberté » est précisément ce qui a été attaqué il y a plusieurs millénaires. La motivation de l'attaque était basée sur le désir que les richesses que le monde matériel fait naître soient vues et adorées uniquement comme une matière inerte, complètement dépourvue d'esprit. En d'autres termes, un déni de l'existence d'un créateur (cosmique) qui se reflète dans toutes les formes de vie – et une appropriation du monde matériel (la matière) comme une « possession » dont l'objectif principal est l'enrichissement personnel.

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  59. Ainsi la source divine a été dépouillée de la manifestation de sa propre création.

    De là, gorgés de la richesse du pouvoir tridimensionnel, les faux aspirants ont continué - poussés par un engouement insatiable pour la possession, à essayer de capturer non seulement le matériel - mais aussi l'expression spirituelle innée de l'évolution humaine et planétaire.

    Ils virent qu'en dépit de leur influence dominante sur l'humanité, la force vitale restait irrépressible. Cela suscita une profonde jalousie chez « celui qui serait dieu-roi » ; et le seul moyen de rassasier cette jalousie était de se venger de cette force vitale épris de liberté. Une force qui ne se permettrait pas de passer sous le contrôle d'une autorité impie.

    De grandes guerres ont été déclenchées par les jaloux. Le cœur de chacun était « diviser l'homme contre lui-même ». Qu'il se détruise.

    Mais même le carnage empesté par ce stratagème maléfique n'a pas complètement vaincu le véritable humain, poussé comme il l'est par l'esprit d'aspiration qui monte vers le haut, écho résonnant de l'Unique Pur Esprit. Ce grand mystère qui stimule le désir de réaliser consciemment son unité avec la Source.

    Nous arrivons donc à aujourd'hui.

    Aujourd'hui, les jaloux, meurtris, mais plus vindicatifs que jamais – grâce à leurs échecs passés – visent à attaquer et à déformer l'ADN même de la vie. Afin d'y coller les codes de leur vide mécaniste numérique sans esprit, afin de créer l'esclave-concepteur robotique "ex-humain" - celui qui a toutes ses facultés génétiquement modifiées, jusqu'au point de non-retour synthétique. Pas de retour à la nature. Pas moyen de rentrer.

    Ainsi les meurtriers cherchent à s'introniser en tant que dieux-rois de leur empire satanique.

    Maintenant, ils ont déclaré la guerre ouverte à la Terre ainsi qu'à l'humanité – et se lancent dans la jugulaire.

    Alors que cette cabale très petite et très malade ouvre la voie, leur armée de fantassins marche derrière, regardant dans leurs téléphones portables et leurs téléviseurs grand écran, attendant les prochaines instructions. Leurs esprits d'esclaves créateurs se sont déjà livrés à la lente marche vers l'oubli spirituel. Leurs corps se sont pliés avec le déni. Les transmissions vitales de leurs âmes étouffaient sous une lourde couverture de pensées incontrôlées et empoisonnées, dont l'ingrédient principal est la peur.

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  60. Nous connaissons le plan - et nous connaissons la passivité rétrograde de l'humanité qui a permis à ce plan d'aller aussi loin.

    Nous avons appris que le Covid jab, les chemtrails-aluminium, le WiFi et le fluorure se combinent pour calcifier la glande pinéale et bloquer sa fonction de récepteur principal des énergies cosmiques vibrationnelles supérieures.

    Nous avons appris que les OGM et les pesticides font une chose très similaire au règne végétal qui est là pour nous nourrir. Et nous savons qu'une grande partie de la chaîne alimentaire porte le fardeau de cette toxicité.

    Nous savons que toutes ces attaques brutales contre cette planète vivante et ses occupants découlent d'une perception grossièrement déformée de ce qu'est la vie. Un renversement, en fait.

    Mais nous savons aussi une autre chose. Qu'une marée montante de l'éveil de l'humanité a reconnu la tromperie et est en train d'établir une formidable résistance. Et ce faisant, a découvert ses pouvoirs intérieurs et trouvé la volonté de défier directement les architectes de la destruction.

    Nous commençons à comprendre comment les périodes d'obscurité profonde peuvent être des précurseurs de périodes d'illumination brûlante. Comme une grande métamorphose de la vie sur terre est dans l'air.

    Une manifestation qui apportera avec elle ce que nous cultivons dans nos cœurs et envisageons dans nos esprits. Nous, gardiens du drapeau de la vérité et avant-garde d'une nouvelle société fondée sur l'honneur, la sagesse, la justice et la vérité.

    C'est une bataille royale, ne vous y trompez pas. Le chemin de la paix n'est pas sécurisé par la passivité et les vœux pieux. Pas du tout. Pas même la prière.

    Le grand Sadhu indien Prabat Rajan Sarkar l'a ainsi déclaré : « Il n'y a pas d'autre moyen d'établir la paix qu'en luttant contre les raisons qui perturbent la paix.

    Alors combattons-nous, jusqu'à ce que nous gagnions.

    A propos de l'auteur

    Julian Rose est l'un des premiers pionniers et praticiens de l'agriculture biologique au Royaume-Uni ; un entrepreneur et porteur de projets visant à créer des communautés autosuffisantes basées sur l'offre et la demande locales ; professeur d'approches holistiques de la vie et auteur de quatre livres - dont l'un « Solutions créatives pour un monde en crise » présente des lignes directrices détaillées pour la transformation de la société en communautés bienveillantes fondées sur la conscience écologique et spirituelle, la justice et la coopération . Voir le site Web de Julian pour plus d'informations www.julianrose.info

    https://www.wakingtimes.com/all-out-war-on-the-life-force/

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    1. Claire Severac a existé.
      Toutes les rues, places ou boulevards devraient s'appeler 'Claire Severac'.

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  61. Quelle est la profondeur de ce marais ? Les articles scientifiques ont été réduits au silence. Même l'ancien chef du MI-6 a été contraint de garder le silence


    October 3rd, 2021


    Même l'ancien chef du MI-6 a été prévenu de ne rien dire sur les origines de Covid. Le marais est si profond, et la corruption ou l'infiltration de l'Occident est si complète, que même aux plus hauts niveaux des conseils gouvernementaux et de la science, les gens étaient censurés.

    Remarquez comment les collectivistes ont changé le sens du mot « conspiration ». Comment pouvons-nous discuter « d'un plan secret d'un groupe pour faire quelque chose d'illégal ou de nuisible ». alors que même le mot que nous voulons le plus utiliser est maintenant utilisé comme étiquette d'injure, cela implique que l'utilisateur est délirant. La dérision est désormais automatiquement assumée. A qui ça sert ?

    Même Sharri Markson utilise le terme « complot » avec la nouvelle définition.

    Notre langue est détruite. Peu à peu, les mots clés sont militarisés contre les libres penseurs.

    - voir clip sur site -

    L'article de Piplani et al (y compris le professeur Petrosky) qui a été rejeté à plusieurs reprises sans même que l'article soit examiné. Les auteurs s'attendaient à une réponse très différente lorsqu'ils l'ont soumis. Normalement, ce genre d'article controversé d'actualité aurait été rapidement accepté par les revues souhaitant faire la une des journaux.

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  62. Il a finalement été publié dans Nature en 2021. L'article a montré que le SRAS-2 était extrêmement bien adapté pour se fixer aux récepteurs ACE2 humains, bien plus que n'importe quelle version animale de l'ACE2.

    Ces résultats montrent que les premiers isolats connus du SRAS-CoV-2 étaient étonnamment bien adaptés pour se lier fortement à l'ACE2 humain, aidant à expliquer sa transmission respiratoire efficace d'humain à humain. (Piplani et al)

    Cela suggère que le virus n'était pas le produit de forces naturelles. Le chemin évolutif normal dans un «saut» d'une espèce à l'autre trouverait un virus qui pourrait se lier en partie aux récepteurs de deux espèces en même temps. Après avoir « sauté » sur une nouvelle espèce, différentes forces de sélection l'amèneraient alors à s'adapter à la nouvelle espèce.

    Le dernier homme à prendre la parole dans la vidéo ci-dessus était David Asher, le principal enquêteur du département d'État américain examinant les origines de Covid.

    David Asher parle plus loin – il a été surpris que le renseignement américain en sache autant, mais ait dit et fait si peu pendant si longtemps.

    Il n'était au courant de l'étrange grippe des Jeux militaires d'octobre 2019 à Wuhan que 14 mois plus tard, lorsqu'un militaire l'a appelé.

    - voir clip sur site -

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  63. Remarquez aux Jeux militaires – est-ce que le président Xi l'a lancé ? Aurait-il sciemment sorti une arme biologique hautement infectieuse lors d'un événement auquel il était présent ? Peut-être que s'il savait qu'il ne serait pas publié avant son départ.

    Enfin, l'interview de Bolt avec Sharri Markson expliquant comment l'ABC fonctionne efficacement pour la Chine.

    - voir clip sur site -

    Vendez l'ABC maintenant. Cela fonctionne pour la Chine contre les Australiens qui sont obligés de payer pour cela.

    RÉFÉRENCE
    Piplani et al (2021) Comparaison in silico des affinités de liaison de la protéine de pointe SARS-CoV-2-ACE2 entre les espèces et implications pour l'origine du virus, Rapports scientifiques volume 11, Numéro d'article : 13063 (2021)

    https://joannenova.com.au/2021/10/how-deep-is-that-swamp-science-papers-silenced-even-the-former-head-of-mi-6-was-pressured-to-stay-silent/

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  64. Performance de maître de Rand Paul : « Vous, monsieur, êtes celui qui ignore la science »


    October 3rd, 2021


    Les personnes qui ont la science de leur côté n'ont pas besoin d'utiliser des injures comme des « terrestres plats ».

    Rand Paul tranches et dés Xavier Becerra, le secrétaire du ministère de la Santé et des Services sociaux

    - voir clip sur site -

    Il n'a pas lu cette étude de 2,5 millions de personnes, mais à 4h45, il dit : "notre équipe a examiné toutes les études qui existent".

    Pourquoi y a-t-il une telle pression pour vacciner ceux qui ont une immunité naturelle ?

    L'hiver arrive et les « experts » veulent licencier le personnel soignant même qui a risqué sa vie, attrapé le covid et qui en est désormais immunisé ?

    Facture H/t en AZ

    https://joannenova.com.au/2021/10/rand-pauls-master-performance-you-sir-are-the-one-ignoring-science/

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    1. Le 'covide19' EST dans la seringue. UNIQUEMENT dans la seringue.

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