- ENTREE de SECOURS -



lundi 31 mai 2021

Conférence en Suisse avec Louis Fouché

 https://odysee.com/@AgoraTVNEWS:5/Conf%C3%A9rence_Louis_Fouch%C3%A9:c

Électricité et biocarburant dans les véhicules en France

La prévision de substitution totale du gaz naturel par du biométhane dans le réseau national se heurtera à une impasse : d’où et avec quoi sera fabriquée cette énorme quantité de biométhane ?



Par Michel Gay et Christian Bailleux.

31 MAI 2021 


Pour la mobilité terrestre, trois voies de développement sont en concurrence dans la transition écologique actuelle :


l’électrique à batteries

l’électrique à hydrogène (H2) via les piles à combustibles (PAC)

le biocarburant de synthèse (carboneutre) à partir de biométhane

Le véhicule thermique hydrogène (moteur à explosion classique) est ici écarté car son mauvais rendement global est rédhibitoire.

QUANTITÉ ET QUALITÉ GARANTIES OU ALÉATOIRES

La consommation française annuelle de carburant à usage automobile est d’environ 50 millions de m3 (50 milliards de litres), et 1 litre d’essence = 9 kWh

L’énergie primaire consommée sous forme de carburant liquide est donc de 450 térawattheures (TWh).

Après les différentes pertes et rendements1, la voie thermique actuelle conduit à une consommation énergétique finale « aux roues » d’environ 125 TWh.

LA VOIE ÉLECTRIQUE À BATTERIES

Après les différentes pertes et rendements2, la production d’électricité nécessaire pour passer des carburants pétroliers à l’électricité dans les véhicules à batteries s’élève à 305 TWh par an.

Remarque : le chauffage de l’habitacle des voitures actuelles classiques durant l’hiver est fourni gratuitement par les pertes thermiques des moteurs à explosion. Ce n’est pas le cas pour les voitures électriques qui doivent consommer l’électricité de la batterie pour chauffer l’habitacle.

VOIE HYDROGÈNE ET PILES À COMBUSTIBLES (H2 + PAC)

Le rendement global du véhicule électrique H2 + PAC s’établit3 à 23 % depuis l’alimentation des électrolyseurs.

L’électricité devant être fournie par le réseau électrique pour fournir 125 TWh « aux roues » des véhicules via l’H2 + PAC s’élèvera donc à 544 TWh par an (125 / 0,23).

COMPARAISON DES DEUX SOLUTIONS ÉLECTRIQUES ENVISAGÉES

La production électrique française annuelle actuelle totale est d’environ 534 TWh.

Un réacteur nucléaire EPR de 1600 MW fournit en moyenne annuelle 11 TWh. D’où les besoins en réacteurs supplémentaires pour alimenter les véhicules électriques suite à l’abandon des carburants d’origine fossile :

véhicules à batteries seules : 305 TWh, soit 28 réacteurs EPR

véhicules H2 + PAC seules : 544 TWh, soit 50 réacteurs EPR

La solution H2 + PAC est la seule capable de stocker des quantités d’énergie nettement supérieure à celles des batteries pour les liaisons longues distances (camions,…).

Dans l’hypothèse d’un mix comportant 90 % de véhicules à batteries et 10 % de véhicules H2 + PAC, les besoins annuels en énergie électrique s’élèveraient à environ 330 TWh (305 x 0,90 + 544 x 0,10).

Les besoins en réacteurs nucléaires seraient alors de 30 réacteurs nucléaires EPR supplémentaires.

Le programme gouvernemental d’élimination des émissions de gaz carbonique fossile au plus tard en 2050 par l’électrification des véhicules terrestres n’est pas réalisable dans l’état actuel des prévisions. La seule solution serait de mettre en chantier deux réacteurs EPR par an à partir de 2025 pour une mise en service à partir de 2035 pendant 15 ans jusqu’en 2050 (avec une durée prévue de chantier de 10 ans).

Mais :


Le passage aux véhicules électriques, y compris H2 + PAC, nécessite une modification totale des chaines de construction de véhicules et de distribution de l’énergie (passage de carburants liquides à l’électricité et à l’H2).

Doter des stations-service d’électrolyseurs assurant sur place la production d’hydrogène posera de graves problèmes d’exploitation. Il existe certes de petits électrolyseurs d’un mégawatt mais ils sont complexes à gérer (poste électrique, électrolyseur, unité de purification et de compression, stockage…). Ce sont des unités chimiques de type Seveso interdites en ville. Leur mise en œuvre ne peut se faire que dans de grands espaces.

LA VOIE CARBURANT LIQUIDE VERT (CARBONEUTRE), UNE SOLUTION ALTERNATIVE ?

La synthèse de carburant vert liquide pour succéder à l’essence, au diesel, et au kérosène d’origine fossile, débute avec du biogaz épuré en biométhane qui, par vapocraquage, donne du méthanol conduisant à un biocarburant synthétique (carboneutre).

Cette transformation consomme en électricité (décarbonée…) environ 10 % de la valeur énergétique du biométhane d’origine (450 TWh), soit un besoin supplémentaire d’environ 45 TWh (450 x 10 %) d’électricité.

La première usine de fabrication à grande échelle de biocarburant est en construction à Delfzijl, dans le nord des Pays-Bas.

Cette solution à l’énorme avantage de pouvoir continuer à utiliser les voitures thermiques, ainsi bien entendu que les véhicules hybrides en mode thermique, partout dans le monde, car un problème mondial (réchauffement climatique et épuisement du pétrole) nécessite une solution applicable au niveau mondial.

Et comme il a fallu un siècle pour établir l’actuel réseau mondial de distribution de carburant, il sera le seul réseau encore disponible au cours de ce siècle.

La priorité devrait donc être donnée à la fabrication carburant vert via le biométhane.

Mais… à partir de quoi ?

Cette solution n’apparait réalisable qu’en déterminant d’où et de quoi (bois, cultures, déchets alimentaires, boues, fumiers, résidus de récoltes…) proviendra cette gigantesque quantité de biométhane nécessaire à la production de 450 TWh de biocarburant liquide uniquement pour la France ?

La ressource ne suffira pas en France qui importe déjà une partie de son bois et de ses pellets de l’étranger.


BIOCARBURANT : DES PRÉVISIONS AMBITIEUSES OU IRRÉALISTES ?

La prévision de substitution totale du gaz naturel (méthane) par du biométhane dans le réseau national (430 TWh) se heurtera à la même impasse : d’où et avec quoi sera fabriquée cette énorme quantité de biométhane ?

Enfin, s’il était décidé le passage total au biocarburant vert pour les véhicules à partir de biométhane (450 TWh), et en même temps la substitution totale du gaz naturel dans le réseau national par du biométhane (430 TWh) en 2050, il s’agirait alors de produire près de 900 TWh de biométhane par an !

C’est bien sûr impossible (avec quoi ?), sauf à transformer le gaz naturel fossile russe ou le gaz de schiste américain surabondant en carburant liquide plus commode à manier et guère plus onéreux à produire qu’à partir de pétrole brut.

Vouloir remplacer le gaz naturel, même partiellement, par du biométhane issu de biomasse dans le réseau actuel de gaz n’est pas sérieux et confine au délire idéologique.

Jusqu’à récemment, la seule information sur le développement de carburants verts était l’annonce au colloque de San Antonio (2019) sur les carburants de synthèse.

Exxon Mobil, associé à l’Air Liquide et à l’allemand Lurgie, y avait présenté la première usine pilote de synthèse d’essence verte à partir de biométhane.

Le procédé a été mis au point par Mobil vers 1985. La première usine a été réalisée en Nouvelle-Zélande. Exxon a été suffisamment intéressé par cette réalisation pour lancer une OPA de 85 milliards de dollars pour prendre le contrôle de Mobil, autour de l’an 2000.

En février 2021 Shell annonce la synthèse de kérosène vert au colloque de La Haye sur les carburants de synthèse pour l’aviation. Cette société révèle que, depuis une quinzaine d’années, elle travaille sur un procédé de synthèse d’une série d’essences conformes aux spécifications de toutes les essences européennes. Elle s’est associée à Volkswagen pour les tester et obtenir leur validation.

Ces annonces ont conduit BP à présenter son programme de développement de carburants verts de synthèse conduit avec la multinationale américaine Dupont.

Porsche vient également de procéder à des essais de synthèse de carburants verts.

Ces entreprises pétrolières entameront certainement bientôt une action concertée auprès des gouvernements français et allemands pour qu’ils reviennent sur leur décision d’arrêter prochainement la vente de voitures thermiques.

Seule la compagnie française Total semble avoir choisi la voie des batteries. Ce choix pourrait être dangereux pour son avenir si elle n’a pas travaillé en parallèle sur un projet de synthèse de carburant « vert » à partir de gaz « naturel »…

Les pertes et rendements de la voie thermique actuelle à partir de carburants liquides se répartissent comme suit :

le rendement de l’approvisionnement par camions citernes depuis la sortie des raffineries jusqu’aux stations-services (consommation de 3,5 % de la consommation des carburants routiers, soit un rendement de 96,5 %)

le rendement moteur d’environ 30 %

les pertes énergétiques mécaniques des véhicules estimées à 4,5 % (rendement de 95,5 %)

(450 TWh x 0,965 x 0,30x 0,955 = 124,4 TWh). ↩

Il est nécessaire de prendre en compte :

l’alimentation des bornes de recharge (chez les particuliers et dans les stations-service) conduit à une perte d’environ 6 %, soit un rendement d’approvisionnement : 94 %

le rendement de charge des batteries d’environ 80%

le rendement à la décharge d’environ 70 %

l’autodécharge de la voiture pendant sa durée d’immobilisation estimée à 5 %

l’aval de la fourniture d’électricité (transmission et moteurs électriques) dont le rendement est estimé à 96,5 %

la consommation moyenne estimée pour le chauffage estimée à 6 %

autres pertes des fonctions électriques (éclairage, essuie-glaces, dégivrage,…) estimées à 2%

Le rendement global de la voie batterie est donc de 41 %

(125 TWh / 0,94 x 0,80 x 0,70 x 0,93 x 0,95 x 0,965 x 0,94 x 0,98 = 125 / 0,41 = 305 TWh). ↩

Il est nécessaire de prendre en compte :

le rendement de l’alimentation des électrolyseurs (98 %)

le rendement de l’unité d’électrolyse (60 %)

le rendement de la distribution de l’hydrogène aux stations-services (89 %)

le rendement des PAC (47,5 %)

l’aval de la fourniture d’électricité de la voiture (96,5 %)

les besoins en chauffage de l’habitacle l’hiver partiellement effectués par la chaleur récupérée au niveau de la pile à combustible (rendement 96 %)

(0,98 x 0,60 x 0,89 x 0,475 x 0,965 x 0,96 = 0,23) ↩

https://www.contrepoints.org/2021/05/31/398587-electricite-et-biocarburant-dans-les-vehicules-en-france

vendredi 28 mai 2021

Des millions de masques faciaux officiellement déclarés dangereux

Par Jon Rappoport

Le blog de Jon Rappoport

29 mai 2021


Ce n'est pas un article sur le fonctionnement des masques faciaux.

Comme mes lecteurs le savent, depuis un an, je démontre que l’existence du virus SARS-CoV-2 n’a jamais été prouvée. [1] Par conséquent, les masques faciaux ne sont ni plus ni moins qu'un rituel de contrôle mental. [2] [2a]

Cependant, on a beaucoup écrit sur les dommages causés par les masques.

Et maintenant, nous avons une déclaration officielle. Le 2 avril 2021, Santé Canada a émis un avis, avertissant les gens de ne pas «utiliser de masques faciaux étiquetés pour contenir du graphène ou du graphène de biomasse».

Andrew Maynard couvre cette question dans un article de medium.com, "Les fabricants utilisent du graphène dérivé de la nanotechnologie dans les masques faciaux - il y a maintenant des problèmes de sécurité." [3]

Ces préoccupations ? Les masques peuvent créer des problèmes pulmonaires.

Bien sûr, puisque le COVID-19 est prétendu être une maladie pulmonaire, vous pouvez voir où cela mène: le remède s'avère causer ce qu'il est censé empêcher. Je pourrais écrire un livre détaillant combien de fois cette «coïncidence» apparaît dans le domaine de la médecine.

L'article de Maynard retrace les problèmes de sécurité à un fabricant chinois de masques, le Shandong, mais souligne que des millions de masques contenant du graphène sont utilisés dans le monde, produits par une multitude d'entreprises.

Jusqu'à présent, il n'est pas clair si les nanoparticules de graphène dans les masques contiennent également des métaux - qui sont hautement destructeurs.

La littérature courante sur le graphène est ambiguë: oui, il est probablement toxique pour les poumons; peut-être pas sérieusement; peut-être seulement temporairement; il y a plus de questions que de réponses.

Puisqu'il y a plus de questions, pourquoi ces masques ont-ils été certifiés partout dans le monde pour un usage public ? Pourquoi les CDC et l’OMS n’ont-ils pas fait des déclarations définitives sur les problèmes de sécurité ?

Sur materialstoday.com, nous avons: "Le graphène est-il sûr ?" [4]


«Mais c'est la nature même du graphène qui peut être préoccupante: les particules minces et légères, mais résistantes et insolubles sont notoirement inquiétantes en termes d'effets néfastes qu'elles peuvent avoir sur notre santé, en particulier lorsqu'elles sont respirées…»

«Ken Donaldson est un toxicologue respiratoire à l'Université d'Édimbourg et lui et ses collègues sont parmi les premiers à lever le drapeau d'avertissement sur le graphène, au moins pour les plaquettes nanoscopiques du matériau. Il n'est pas trop difficile d'imaginer comment de si minuscules flocons de carbone pourraient être transportés au plus profond des poumons, comme les fibres d'amiante et la poussière de charbon. Une fois logées à l'intérieur, il n'y a aucun mécanisme probable pour l'élimination ou la décomposition de ces particules inertes et elles pourraient résider sur ces tissus sensibles, déclenchant une réponse inflammatoire chronique ou interférant avec les fonctions cellulaires normales.

Est-ce que cela permet à une personne sensée de se sentir en sécurité en portant un masque et en respirant ces particules de graphène toute la journée ?

En fait, vous pourriez à juste titre appeler les masques transporteurs d'inhalation de graphène.

«Nous avons une nouvelle idée et un nouveau produit. Il est conçu pour vous forcer à respirer des nanoparticules de graphène. Qui sait ? Il pourrait y avoir des avantages pour la santé. Essayez-le et voyez. "


Oui, essayez-le. Et si vous développez ensuite une infection pulmonaire, puisque cela s'appelle un symptôme de pandémie cardinal, vous pourriez toucher le jackpot et gagner un diagnostic de COVID-19.

À ce stade, le plaisir commence vraiment, alors que vous essayez d'expliquer à votre médecin que la cause n'est pas un virus, mais plutôt des nanoparticules de graphène dans votre masque. Si vous jouez correctement vos cartes, vous pourriez vous retrouver dans le service psychiatrique avec d'autres «théoriciens du complot».

«Pouvez-vous le croire, infirmière ? J'ai eu ce type il y a quelques heures en train de tousser et de faire couler du mucus partout. Poumons enflammés. Boîtier COVID classique. Mais il me dit qu'il respire des NANOPARTICULES. Je lui ai donné un sédatif et je l'ai envoyé au Crazy Pen. D'où ces personnes tirent-elles ces histoires ? Avez-vous déjà entendu parler du graphène ? C’est ce qu’ils ont mis dans des crayons, non ? »

«Je ne sais pas, Doc. Ma cousine pense qu'elle respire aussi ces nanos. Je lui ai dit qu'elle avait besoin d'un goutte-à-goutte de Thorazine.

Il y a de fortes chances que les masques soient des promoteurs de diagnostic COVID. Première étape: respirez des nanoparticules de graphène. Deuxième étape: développez donc un soi-disant symptôme majeur du COVID: l'infection pulmonaire. Troisième étape: testez un faux positif sur le test PCR (cela se produit des millions de fois, comme je l’ai documenté). Et boum, vous êtes un cas COVID.

Conformément aux lois locales, j'ai demandé une licence pour posséder un masque en tant qu'arme. Si j'obtiens l'approbation, je prévois de le sceller dans une boîte en verre et de le monter sur le mur à côté de mon lance-grenades et de mon boulet de canon de la guerre civile.

SOURCES:

[1] https://blog.nomorefakenews.com/2021/05/20/the-pandemic-virus-that-doesnt-exist/

[2] https://blog.nomorefakenews.com/2020/04/17/a-message-to-the-pod-people-wearing-masks/

[2a] https://blog.nomorefakenews.com/2020/04/28/a-message-about-suicide-to-the-pod-people-wearing-masks/

[3] https://medium.com/edge-of-innovation/how-safe-are-graphene-based-face-masks-b88740547e8c

[4] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1369702112701013

Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

https://www.lewrockwell.com/2021/05/jon-rappoport/millions-of-face-masks-officially-declared-dangerous/

Réouverture du Texas : le désastre sanitaire n’a pas eu lieu

Une nouvelle étude confirme que la réouverture totale du Texas n’a pas eu d’impact perceptible sur l’incidence ou le nombre de décès liés au Covid-19.


28 MAI 2021

Par Jacob Sullum.

Un article de Reason


Après que le Texas est devenu le premier État à supprimer début mars à la fois l’obligation de porter un masque et les jauges dans les commerces, le président Joe Biden a déclaré que cette décision relevait d’une « pensée néandertalienne. »

Gilberto Hinojosa, président du parti démocrate du Texas, a qualifié l’ordonnance du gouverneur Greg Abbott d' »extraordinairement dangereuse », avertissant qu’elle « tuerait des Texans ».

Anthony Fauci, principal conseiller de Biden pour le COVID-19, a dit que la fin de l’obligation de porter un masque était « vraiment très risquée », car « lorsque l’on supprime des mesures de santé publique, on assiste invariablement à une recrudescence » des cas et des décès.

Rochelle Walensky, directrice du Centre de contrôle et de prévention des maladies, a déclaré avoir un « sentiment oppressant » de « malheur imminent », avertissant qu’un relâchement prématuré des « stratégies de prévention de santé publique » pourrait entraîner une « quatrième vague ».

Plus de deux mois après, le désastre de santé publique prédit par les détracteurs d’Abbott ne s’est pas produit.

Une nouvelle analyse réalisée par trois économistes confirme que la décision du gouverneur n’a eu aucun impact tangible sur les cas de Covid-19 ou les décès au Texas.

LA RÉOUVERTURE DU TEXAS N’A PAS EU D’IMPACT SIGNIFICATIF SUR L’ÉPIDÉMIE

« Nous ne trouvons aucune preuve que la réouverture du Texas ait entraîné des changements substantiels dans la mobilité sociale, y compris dans la fréquentation d’un large ensemble d’établissements commerciaux au Texas », rapportent Dhaval Dave, économiste à l’université Bentley, et ses deux coauteurs dans un document de travail du National Bureau of Economic Research.

« Nous ne trouvons aucune preuve que la réouverture du Texas ait affecté le taux de nouveaux cas de Covid-19 pendant les cinq semaines qui ont suivi la réouverture. » Ils affirment que leurs résultats « soulignent les limites, en fin de période pandémique, des politiques de réouverture ayant pour but de modifier les comportements individuels. »

Dhaval Dave, Joseph Sabia, économistes à l’université d’État de San Diego, et Samuel Safford, chercheur à l’université d’État de San Diego, ont étudié les données de mobilité des smartphones fournies par SafeGraph et les données Covid-19 recueillies par le New York Times.

Ils ont comparé les tendances au Texas avant et après l’entrée en vigueur de l’ordonnance de M. Abbott, le 10 mars, aux tendances d’un ensemble de données provenant d’autres États ayant maintenu leurs restrictions Covid-19, mais qui avaient été par ailleurs similaires.


« Nous constatons que la réouverture du Texas a eu peu d’impact sur le comportement des personnes qui restent à la maison ou sur le trafic piétonnier dans de nombreux lieux commerciaux, notamment les restaurants, les bars, les lieux de divertissement, les magasins, les bureaux, les cabinets médicaux et les épiceries », écrivent Dave et al.

« Nous ne trouvons aucune preuve que la réouverture ait affecté le taux d’incidence du Covid-19 dans la période des cinq semaines qui ont suivi la réouverture. En outre, nous constatons que le taux de mortalité du Covid-19 au niveau de l’État n’a pas bougé depuis la réouverture du 10 mars. « 

Ces résultats nuls étaient globalement les mêmes dans une autre étude qui excluait Austin et le comté de Travis, qui avaient maintenu des arrêtés locaux de port du masque après que Abbott en avait levé l’exigence à l’échelle de l’État.

Ces résultats sont également restés les mêmes lorsque les chercheurs ont comparé les comtés plus urbains aux comtés moins urbains et lorsqu’ils ont comparé les comtés plutôt pro-Biden lors de l’élection de 2020, aux comtés plutôt pro-Trump, certaines recherches antérieures ayant démontré que les partisans de Trump étaient moins enclins à porter des masques chirurgicaux et à appliquer les autres mesures de protection contre le Covid-19.

Dave et al. suggèrent plusieurs raisons possibles pour lesquelles la réouverture du Texas n’a pas eu l’impact que ses opposants avaient prévu.

POURQUOI LA RÉOUVERTURE DU TEXAS N’A PAS EU DE CONSÉQUENCES DÉLÉTÈRES

Premièrement, l’augmentation de la vaccination (une tendance dont les détracteurs d’Abbott étaient sûrement conscients) « a peut-être atténué les effets de contagion des interactions sociales » entre les membres de différents foyers.

Deuxièmement, « il se peut que le respect et l’application du port du masque ou des exigences en matière de jauges n’aient pas été respectées avant la réouverture du 10 mars. »

Troisièmement, la suppression des jauges, qui étaient auparavant de 75 % de la capacité pour la plupart des commerces et de 50 % pour les bars et les salles de sport professionnelles, a peut-être été un changement trop mineur pour « modifier la mobilité sociale nette de la population et la propagation de Covid-19 à l’échelle de l’État ».


Enfin, selon les auteurs, « il se peut que les types d’individus qui ont été affectés par la politique » aient été « trop peu nombreux » et « le moins susceptibles d’affecter le taux d’incidence du Covid-19 ».

Ou peut-être que « toute augmentation de la mobilité sociale ou du Covid-19 causée par ces individus a été compensée par d’autres membres de la communauté texane qui ont adopté des comportements d’évitement des risques en réponse à la réouverture ».

Il aurait dû être clair, lorsque Abbott a annoncé la réouverture le 2 mars, que les changements qu’il prévoyait étaient peu susceptibles d’avoir un impact direct sur la transmission du virus. Bien qu’il ait déclaré que les masques chirurgicaux ne seraient plus légalement obligatoires, il a exhorté les Texans à continuer à les porter en public, et les entreprises sont restées libres de les exiger.

À Dallas (qui, à cet égard, peut être représentatif ou pas de l’ensemble de l’État), je n’ai observé aucun changement dans les politiques des entreprises en matière de masques ou dans le comportement du public. Et il semblait peu plausible que la suppression de la jauge de 75 % (celle qui s’applique à la plupart des entreprises) ait eu un effet médicalement significatif, même dans les entreprises qui se heurtent fréquemment à cette limite.

C’EST SURTOUT LES DÉCISIONS INDIVIDUELLES QUI ONT UN EFFET

Pourtant, il était possible que l’annonce d’Abbott affecte le comportement des gens en modifiant leur perception des risques. Cela ne s’est apparemment pas produit non plus, ou du moins l’effet n’a pas été assez important pour augmenter de manière mesurable la transmission du virus.

« Même si l’adoption initiale de restrictions est efficace et suscite une réaction de la population », notent Dave et al. « à mesure que les individus réfléchissent sur leur évaluation des risques et accumulent des informations sur la pandémie, leurs comportements peuvent devenir très rigides au fil du temps. »

Cette étude ne prouve pas que les confinements ou les restrictions moins sévères n’ont eu aucun impact initial sur les comportements à risque. Mais elle souligne la primauté des décisions privées des individus et des entreprises.

Bien qu’il existe des preuves que l’ordre de rester à la maison et de porter le masque « ont été efficaces pour freiner la propagation du Covid-19 au début de la pandémie aux États-Unis », disent Dave et al., « un certain nombre d’études ont montré que [ces interventions] représentent une part relativement faible de la variation totale du comportement des individus en matière d’atténuation du Covid-19 ».

Ces études indiquent que « la majeure partie de la variation peut être attribuée à des réponses privées volontaires (non liées à la politique) du côté de la demande, probablement dues à des informations nouvelles ou actualisées sur le coronavirus ; ou parce que les individus ont modifié leur évaluation du risque de contagion et du développement de symptômes graves liés au Covid-19″.

Quant au débat sur les coûts et les avantages des restrictions légales, cette observation va dans les deux sens. « Il est prouvé qu’une grande partie de l’augmentation du chômage au niveau local pendant la pandémie n’est pas attribuable aux politiques de confinement, mais plutôt à des adaptations volontaires du côté de la demande », notent Dave et al.


En d’autres termes, même sans mesures de confinement, les entreprises auraient souffert de la réduction des sorties et des dépenses des consommateurs craignant d’attraper le Covid-19.

De même, les restrictions d’Abbott qui subsistent concernant le Covid-19 étaient loin d’être le seul obstacle à une reprise économique complète au Texas. « Trop de Texans ont été écartés des opportunités d’emploi », a déclaré Abbott lorsqu’il a annoncé la réouverture. « Trop de propriétaires de petites entreprises ont eu du mal à payer leurs factures. Cela doit cesser. Il est maintenant temps d’ouvrir le Texas à 100 %. »

Contrairement à la supposition selon laquelle la réouverture du 10 mars réduirait le chômage, Dave et al. n’ont trouvé aucune preuve que ce soit le cas

https://www.contrepoints.org/2021/05/28/398450-reouverture-du-texas-le-desastre-sanitaire-na-pas-eu-lieu

jeudi 27 mai 2021

Comment les plantes repoussent un monde dangereux d'agents pathogènes

27 MAI 2021

par Bill Hathaway, Université de Yale


Les plantes du monde, immobiles et enracinées dans un sol qui contient des micro-organismes potentiellement mortels, sont constamment menacées par des agents pathogènes envahissants. Ces dernières années, cependant, les scientifiques ont découvert que les espèces végétales emploient des stratégies immunitaires sophistiquées qui diffèrent - mais partagent également des similitudes avec - la façon dont les humains combattent les infections.

Dans une étude publiée le 26 mai dans la revue Nature, les scientifiques de Yale décrivent un interrupteur moléculaire clé "marche-arrêt" qui permet aux plantes de mobiliser l'immunité face aux agents pathogènes microbiens. Les résultats ont non seulement des implications directes pour la gestion des cultures et éventuellement la protection des plantes contre les effets du changement climatique, mais aussi pour une meilleure compréhension du système immunitaire humain.

«Les plantes sont plus liées à nous, à certains égards, que nous ne le pensons communément», a déclaré l'auteur principal John MacMicking, chercheur de l'Institut médical Howard Hughes, membre de l'Institut de biologie des systèmes de Yale sur le campus ouest et professeur agrégé de pathogenèse microbienne et immunobiologie à la Yale School of Medicine. "Par exemple, ils ont de nombreuses familles de gènes immunitaires innés qui sont similaires aux nôtres, et historiquement les plantes ont été utilisées pour établir les principes fondamentaux des défenses de l'hôte et de la tolérance aux maladies."

Contrairement aux humains, les plantes n'ont pas de système immunitaire adaptatif qui "se souvient" des agents pathogènes spécifiques et organise ensuite une défense adaptée. Dans l'étude, MacMicking et ses collègues ont exploré les programmes sophistiqués de défense autonome des cellules que les plantes utilisent contre les agents pathogènes. Il s'avère que ce qui leur manque en anticorps sur mesure, ils le compensent en élargissant considérablement leur répertoire de réponses immunitaires innées, qui constituent une défense plus généralisée contre toutes les infections.

Par exemple, l'une de ces stratégies implique des protéines immunitaires innées qui se transforment en un état «semblable à un gel» afin de déclencher des réponses immunitaires. Ce processus, appelé séparation de phase liquide-liquide, permet de concentrer les activités biologiques dans des compartiments sans membrane à l'intérieur des cellules. L'équipe de Yale a découvert que les protéines immunitaires végétales, connues sous le nom de GTPases de type protéine de liaison au guanylate (GBPL), créent des compartiments de type liquide dans le noyau qui créent une concentration de protéines qui stimulent l'activité des gènes de défense de l'hôte pendant l'infection. Ce compartiment à phase séparée exclut également les protéines inhibitrices à l'extérieur du noyau dans le cadre d'un interrupteur «marche-arrêt» spatialement séparé.

La séparation de phase liquide-liquide est une nouvelle frontière pour comprendre comment les cellules compartimentent leurs activités biologiques, a déclaré MacMicking.

"Tous les organismes, des bactéries unicellulaires aux plantes en passant par les humains, défendent leur génome contre les menaces extérieures", a déclaré MacMicking. "La séparation de phase peut être un mécanisme évolutif omniprésent pour organiser ces activités de défense dans le cadre de la réponse immunitaire autonome des cellules."

https://phys.org/news/2021-05-ward-dangerous-world-pathogens.html

mercredi 26 mai 2021

Les falsifications des relevés de température : un autre scandale mondial

  le 26 mai 2021

Pour étayer la propagande mondialement organisée afin d’instituer des règlements internationaux devant conduire à une diminution des émissions de carbone les manipulations graphiques grossières opérées par les organismes onusiens ne cessent d’être dénoncées par tous ceux qui s’en émeuvent. Mais l’opinion publique et les gouvernements sont maintenant intimement persuadés que le réchauffement du climat pour des raisons d’origine humaine ne pourra être contrecarré que si le monde entier devient frugal en énergie et se contente de quelques heures par jour d’une production électrique entièrement « verte ». Ces énergies vertes sont en effet par nature intermittentes et la puissance disponible n’atteindra jamais celle fournie par les usines consommant du pétrole, du gaz naturel, du charbon ou de l’uranium. Les pays occidentaux seront les plus affectés par cette nouvelle religion que les élèves des écoles apprennent soigneusement dès l’âge de dix ans et que les politiciens mettent déjà en place à grands renforts de taxes et d’investissement pharaoniques inutiles.

Les relevés de la station météorologique de Reykjavik sont un exemple caricatural de ces manipulations. Leur but est de faire croire que, oui, il a bien un « échauffement » du climat depuis 120 ans. De plus il faut triturer les données brutes des relevés de température afin d’obtenir une évolution qui suit de près l’augmentation de la teneur atmosphérique en gaz carbonique, sinon il n’y aurait rien de convaincant. L’IPCC, organisme onusien en charge de répandre cette propagande, est en cela aidé par la NASA, la NOAA et d’autres organisations connexes voire des universitaires complaisants en mal de crédits de recherche prêts à vendre leur âme à ces fonctionnaires internationaux grassement payés avec nos impôts. Et choisir la station météo de Reykjavik est d’autant plus caricatural que l’électricité produite en Islande est d’origine exclusivement géothermique. Bref, le Goddard Institute for Space Studies, émanation de la NASA, ajuste les relevés de température bruts, les « nettoie » (on ne sait pas ce que cela signifie) et les homogénéise (on ne sait pas non plus ce que cela signifie) pour d’une part faire disparaître l’optimum climatique des années 1920-1970 et d’autre part amplifier le réchauffement qui se serait accéléré depuis les années 1980. Un prouesse graphique !

Tony Heller est un remarquable « limier » pour débusquer les malhonnêtetés de l’IPCC et dans le cas précis de la station météo de Reykjavik les malhonnêtetés de la NOAA et de la NASA. Chaque jour ou presque il débusque une de ces manipulations scandaleuses et il les relate sur son site realclimatescience.com. Il faut croire Heller dont le curriculum est long comme le bras ( https://realclimatescience.com/who-is-tony-heller/ ).

Voici donc l’une de ses dernières découvertes, d’abord les relevés de température à Reykjavik moyennées chaque année depuis 1900 :

Et voici les données ajustées, nettoyées et homogénéisées :

Cherchez l’erreur !

https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/05/26/les-falsifications-des-releves-de-temperature-un-autre-scandale-mondial/

Café de Paris (Les charlots) 10 Avril 1974

 Sandwiches: Jambon de Paris, saucisson: 1,70 franc (soit 1 fr = 15 cts d'€ / 25 centimes d'euro !!). Pâté: 1,50 Fr = 22 centimes d'euro). 18 cts d'€ le demi ! 10 cts de franc le café (1,5 centime d'euro !!) ! Y a 47 ans. La politesse, le respect. La vie. Et puis le jeux de l''enculette', le 'sauvage' (1 carte ou 2 ou 3 distribuées).

https://www.youtube.com/watch?v=_ImuuoSEL3M

mardi 25 mai 2021

Le coup de gueule Pierre Barnérias, réalisateur du film Hold-Up

 Philippe Carhon

Le Salon Beige

dim., 23 mai 2021 19:08 UTC


Pierre Barnérias, réalisateur du film Hold-Up, commente le nombre de morts réels de la Covid en France (certifiés électroniquement) et la stratégie vaccinale du gouvernement à partir de documents officiels consultables par tous :

La vidéo vient d'être censurée par You Tube mais on peut la retrouver sur facebook ou encore sur Odysee pour l'instant.



Le document de Santé Publique France est accessible en téléchargement sur ce lien et on peut effectivement y lire les informations suivantes pages 42 et 43:
Mortalité issue de la certification électronique des décès

Parmi les certificats de décès rédigés par voie électronique et transmis à Santé publique France depuis le 1er mars 2020, 41 502 certificats contenaient une mention de COVID-19 parmi les causes médicales de décès renseignées (Tableau 10).

- L'âge médian au décès était de 85 ans et 92,7% des personnes avaient 65 ans et plus.

- Les hommes représentaient 55% de ces décès.

- 55 % de ces certificats de décès contenaient une mention d'infection au SARS-CoV-2 confirmée.
Des comorbidités étaient renseignées pour 27 031 décès, soit 65 % des certificats de décès présentant une mention de COVID-19. Une mention de pathologie cardiaque était indiquée pour 35 % de ces décès et d'hypertension artérielle pour 22 %
Sur l'ensemble des décès certifiés électroniquement, 2% des personnes décédées ne présentaient pas de comorbidité (ou pas de comorbidité renseignée) et étaient âgées de moins de 65 ans. (...)

lundi 24 mai 2021

Éolien off shore : personne n’en veut mais on l’aura quand même

 À Dunkerque, outre les riverains, la Ligue de protection des oiseaux et six partis politiques demandent un référendum : les malheureux ! L’écologisme idéologue se rit des référendums !

 25 MAI 2021 

Par Michel Negynas.


Lorsqu’on fait remarquer aux aficionados de l’éolien qu’il faut 4 GW d’éolien pour remplacer un GW de nucléaire ou de gaz, et qu’en plus, on ne sait pas quand on les aura, la réponse est souvent : mais avec les éoliennes off shore, tout change…

Or on a déjà l’exemple de l’Allemagne. Elle en a installé près de 8 GW, avec des engins de près de 200 mètres de hauteur.



Au hasard, prenons la courbe des capacités éoliennes en Allemagne de la dernière semaine : l’offshore est en bleu… on voit bien qu’il varie exactement comme le on shore. Certes, le bilan global est un peu meilleur, soit environ 40 % au lieu de 25 %, mais il est tout aussi intermittent que le on shore. Il ne résout donc en rien le problème principal des énergies aléatoires : il leur faut en parallèle un réseau équivalent de centrales pilotables à la demande.

En outre, les coûts d’investissement sont énormes, surtout si on inclut les coûts de raccordement au réseau continental. Il est vrai que RTE en fait cadeau aux investisseurs, aux frais des consommateurs et des contribuables. À Dunkerque, il en coûte 250 millions d’euros pour raccorder 600 MW d’éoliennes.

Enfin, tous les possesseurs de bateau savent que la mer est un milieu d’une agressivité constante : bonjour les frais de maintenance !

ENVERS ET CONTRE TOUT

Le 22 mai, La Tribune titrait : « Feu vert à un nouveau parc éolien au sud de la Bretagne. »

Le gouvernement a donné son feu vert au projet d’implantation d’un parc éolien flottant au sud de la Bretagne, à l’ouest de Belle-île, selon une décision parue au Journal officiel. La zone retenue est située au sud de l’île de Groix et à l’ouest de Belle-île. Cette décision intervient alors que les projets éoliens dans la baie de Saint-Brieuc et au large de Dunkerque suscitent de fortes tensions.

Personne ne veut de ces engins en mer. Même le gouvernement Belge s’émeut pour le projet de Dunkerque :

Le gouvernement belge, préoccupé entre autres par l’impact visuel pour le tourisme et pour les routes maritimes du port d’Ostende, avait proposé de modifier l’implantation des éoliennes pour en faire un parc franco-belge, bien plus loin des côtes.

Ainsi, les Belges s’inquiètent pour la saison touristique de Knokke-le-Zoute, mais le cas de Belle-Ile ne semble pas ébranler Mme Pompili.

À Dunkerque, outre les riverains, la Ligue de protection des oiseaux et six partis politiques demandent un référendum : les malheureux ! Ils ont oublié l’affaire de l’aéroport de Notre Dame des Landes ! L’écologisme idéologue se rit des référendums !

C’est la même chose à Saint Brieuc, où il y a même des actions violentes de protestation.

LE PROJET DE BELLE-ILE

Ce projet fait partie d’un pilote de quatre fermes éoliennes flottantes en eau profonde : Faraman, Gruissan, Leucate, Groix-Belle-Ile. En effet, la France a un potentiel assez limité en on shore posé sur le fond marin : ses plateaux continentaux peu profonds sont assez étroits. L’éolien flottant pourrait résoudre le problème.

On pourrait se réjouir de voir s’éloigner ces engins de la côte. C’est oublier qu’on court aussi après le gigantisme : en Écosse, le projet Hywind comporte des éoliennes de 260 mètres de hauteur, de 80 à 120 mètres de structure immergée, avec des rotors de 154 mètres de diamètre. Même loin en mer, ça ne passera pas inaperçu. Et on ne peut quand même pas aller trop loin : pour ses 30 MW de capacité, Hywind nécessite 10 millions d’euros juste pour les câbles de raccordement !

Ces quatre projets sont destinés à préparer 2050, car selon RTE, il paraît que nous en aurons besoin à cette échéance pour atteindre 50 GW en offshore.

Selon une étude de Bearing Point, on recense aujourd’hui un potentiel de 240 GW en éolien flottant dans le monde. En France, selon l’association professionnelle France Énergie éolienne, on estime le potentiel à 6 GW ! Soit tout de même 1000 éoliennes de 6 MW grandes comme la Tour Eiffel, qui donneront au mieux l’énergie équivalent à moins de deux EPR…

On prend donc le risque de casser dès maintenant le tourisme sur nos plus belles façades maritimes pour, éventuellement, en 2050, produire l’équivalent de deux EPR… On prépare l’éolien pour 2050, dont les équipements durent 25 ans, alors qu’il n’a encore pas été pris de décision pour le nucléaire, dont les centrales durent 60 ans…

Et que représentent 50 GW d’off shore, cités comme objectif en 2050 par RTE ?  Même avec des tours Eiffel de 12 MW, le maximum envisagé, cela fait 4000 engins, 1000 km de côtes sur une file et 50 GW de réserve pilotable à terre pour les périodes d’anticyclones.

ET TOUT ÇA POURQUOI ?

À l’occasion d’un point presse ce mardi 11 mai, Régis Boigegrain, directeur exécutif des affaires maritimes de RTE, le gestionnaire du réseau de transport électrique : «

L’éolien flottant en France va être nécessaire pour tenir nos objectifs de neutralité carbone.

En refusant le référendum aux Dunkerquois, la ministre avait déclaré :

L’éolien offshore est vital dans une logique de décarbonation, une énergie très compétitive, incontournable pour atteindre l’objectif de 40 % d’énergie renouvelable dans notre mix électrique en 2030.

Mme Pompili, Sciences Po Lille, et Régis Boisgegrain, école des Postes, ignorent que le nucléaire n’émet pas de gaz carbonique, et que KW et KWh ce n’est pas la même chose. Cela peut se comprendre de par leur formation.

Mais pourquoi diable sont-ils à ces postes de responsabilité, sur un sujet qui nécessite quand même un minimum de compréhension technique ?

https://www.contrepoints.org/2021/05/25/398168-eolien-off-shore-personne-nen-veut-mais-on-laura-quand-meme

Vaccins, Science et Vérités, Professeur Didier Raoult (14 mars 2018)

  https://odysee.com/@EddyM:0/vaccins-science-et-v%C3%A9rit%C3%A9s-professeur-didier-raoult:7

Pr Didier Raoult ! Vous voulez attraper le covid 19 alors vaccinez vous !!! #covid #vaccins

 https://odysee.com/@Onvapassementir:5/Pr-Didier-Raoult-!-Vous-voulez-attraper-le-covid-19-alors-vaccinez-vous-!!!:1

jeudi 20 mai 2021

Nanotechnologie dans le vaccin COVID 19 - Le Dr Madej tire la sonnette d'alarme !!!

https://odysee.com/@fabroots2:3/nanotechnologie-dans-le-vaccin-covid-19:f 

Épidémie et Pass sanitaire - Intégration du virus dans le génome humain

Pr Didier Raoult

egaliteetreconciliation.fr

mer., 19 mai 2021 23:14 UTC


Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents !

Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection

« La meilleure vaccination du monde, c'est la maladie naturelle. »

« Il n'y a pas du tout d'évidence que la vaccination diminue le portage du virus. »

Note :

Lien vers article : https://www.pnas.org/content/pnas/118/21/e2105968118.full.pdf

https://fr.sott.net/article/37307-Epidemie-et-Pass-sanitaire-Integration-du-virus-dans-le-genome-humain 

mardi 18 mai 2021

Fabrice Di Vizio balance tout sur le dossier du Covid-19

 egaliteetreconciliation.fr

lun., 17 mai 2021 19:46 UTC

Fabrice Di Vizio


Me Di Vizio n'a pas sa langue (haut perchée) dans sa poche. Comme avocat, il y a une certaine logique à cela, mais lui enfume beaucoup moins que ne peuvent avoir tendance à le faire ses confrères (c'est même souvent pour cela qu'on les paye). Dans cette interview, il balance sur à peu près tous les sujets gravitant autour de la crise sanitaire, et on peut dire qu'il commet presque un sans-faute, en tout cas de notre point de vue.

Vidéo donc à faire suivre à son entourage, mais pas sur YouTube qui a très rapidement supprimé la vidéo, par trop complotiste probablement, et en tout cas bien mal-pensante. Re-téléchargée de nombreuses fois sur Odysee, nous vous proposons ci-dessous une copie de la vidéo originale. En attendant que YouTube meure enfin d'avoir trop supprimé de contenus et de n'être devenu plus qu'une compilation insipide de propagandes officielles, de tutos maquillages, de modelage de l'arrière-train, de mignons petits chats ou d'influenceurs abrutis et abrutissants.

https://fr.sott.net/article/37277-Fabrice-Di-Vizio-balance-tout-sur-le-dossier-du-Covid-19

https://odysee.com/@CheminFaisant:4/Covid-19-_-Fabrice-Di-Vizio-pulvérise-tout-le-monde---Le-Samedi-Politique:7

lundi 17 mai 2021

Transition énergétique : l’Allemagne s’inquiète (enfin !)

La politique actuelle de transition énergétique met en danger l’économie de l’Allemagne. Les coûts sont hors de contrôle et la menace d’une pénurie d’électricité plane.


 16 MAI 2021

Par Michel Gay.


Selon le journal Welt, la Cour des comptes fédérale allemande lance un avertissement au gouvernement allemand : sa politique actuelle de transition énergétique (Energiewende) met en danger l’économie de l’Allemagne. Les coûts sont hors de contrôle et la menace d’une pénurie d’électricité plane.

Les questions soulevées sont exactement les mêmes qu’en France. Quelle est la demande future ? Quelle est le besoin de flexibilité pour faire face à l’intermittence des énergies renouvelables intermittentes (EnRI) ?

Quelle est l’acceptabilité des prix élevés de l’électricité et des carburants à cause des taxes de plus en plus élevées pour subventionner ces EnRI ?

LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE DEVIENT UN DANGER POUR L’ALLEMAGNE

La Cour des comptes fédérale allemande avait rendu il y a trois ans un rapport très critique sur l’Energiewende dont elle jugeait déjà les coûts hors de contrôle.

Elle réitère sa critique en l’assortissant d’une alerte sur la sécurité d’approvisionnement en électricité et elle accuse le ministère fédéral de l’Économie de contrôle insuffisant et de mauvaise gestion de la transition énergétique.

Lors de la présentation du deuxième rapport spécial, la présidente du Contrôle fédéral des finances, Kay Scheller a déclaré :

Cette critique de la politique énergétique a été renouvelée dans un autre rapport incluant une analyse explosive sur la sécurité d’approvisionnement.

Lors de la présentation du deuxième rapport spécial, la présidente du Contrôle fédéral des finances, Kay Scheller a déclaré :

« Depuis notre dernier examen en 2018, trop peu de choses ont été faites pour façonner avec succès la transition énergétique […]Cela donne à réfléchir. »

LA MENACE D’UNE HAUSSE CONSTANTE DES PRIX DE L’ÉLECTRICITÉ À CAUSE DE LA POLITIQUE DE TRANSITION ÉNERGÉTIQUE

S’il s’agissait auparavant de maîtriser les coûts de la transition énergétique, il s’agit maintenant également de la sécurité de l’approvisionnement en électricité de l’Allemagne.

Et le résultat est alarmant.


L’étude indique que le gouvernement fédéral « n’a pas une vision suffisante des dangers réels et émergents pour la sécurité de l’approvisionnement » et que le suivi de la transition énergétique est « incomplet« .

De même, « des prix toujours plus élevés de l’électricité » sont à craindre dans le système actuel. Le rapport cite une étude selon laquelle il faudrait dépenser 525 milliards d’euros supplémentaires pour l’approvisionnement en électricité, y compris l’extension du réseau, entre 2020 et 2025.

Les prix de l’électricité pour les ménages privés sont déjà supérieurs de 43 % à la moyenne européenne.

Lors de la présentation du rapportKay Scheller a averti :

« Cette forme de transition énergétique met en danger l’économie de l’Allemagne et sollicite de manière excessive la viabilité financière des entreprises consommatrices d’électricité et des ménages privés […]Cela peut alors mettre en danger, à terme, l’acceptation sociale de la transition énergétique. »

UN RAPPORT EXPLOSIF

Les auteurs de ce rapport explosif accusent également le gouvernement allemand d’avoir sous-estimé les conséquences de l’abandon progressif du charbon sur la sécurité de l’approvisionnement.

Le rapport relève des incohérences dans la feuille de route officielle qui compte étrangement sur une capacité garantie plus importante à partir de 2022 après l’abandon du charbon.

Il en résulte un « déficit de planification ».

Malgré la suppression du charbon, le ministère de l’Économie prévoit une « probabilité d’équilibrage du réseau » de près de 100 % (99,94 %), ce dont doute le rapport :

« Le calcul de la probabilité d’équilibrage des charges par le gouvernement est fondé sur des hypothèses en partie irréalistes, ou qui sont dépassées par les développements politiques et économiques actuels ».

Par exemple :

« Il n’est pas réaliste de penser que les objectifs de développement des énergies renouvelables seront atteints dans les difficiles conditions d’acceptations actuelles, en particulier pour les projets d’énergie éolienne ».

DES RÉSERVES INSUFFISANTES ?

La Cour des comptes allemande « doute que le ministère fédéral de l’économie ait rempli son obligation légale de vérifier l’étendue de la réserve de capacité ».

En cas de pénurie d’électricité, il est déjà prévu que les entreprises industrielles puissent volontairement arrêter temporairement leur production moyennant une compensation financière. Le ministère de l’économie table sur un potentiel de 16 gigawatts « d’effacement » d’ici 2030.

Mais la Cour des comptes demande pourquoi une étude de l’Agence fédérale pour l’environnement n’aboutit de son côté qu’à un potentiel de 6 gigawatts ?

Apparemment, il n’y a pas de consensus au sein du gouvernement allemand sur le chiffre du « délestage » (effacement) possible pour contribuer à stabiliser le réseau électrique rendu instable par les EnRI.

DES HYPOTHÈSES FARFELUES ?

D’autres hypothèses du gouvernement allemand pourraient également ne plus correspondre à la réalité, avertit le rapport.

Par exemple, les prévisions de la demande d’énergie reposent sur une hypothèse de population inférieure à 75 millions d’Allemands en 2050.

Au contraire, l’Office fédéral de la statistique estime « avec un degré de probabilité élevé, qu’il y aura entre 77,6 et 83,6 millions de personnes en 2050 dans les trois principales variantes examinées ».

Concernant la sécurité d’approvisionnement en électricité, le rapport souligne que les hypothèses du ministère de l’économie sont « en partie trop optimistes et en partie peu plausibles », et que ce dernier a omis d’examiner un scénario conjuguant plusieurs facteurs prévisibles qui la mettrait en péril.


DÉSACCORD SUR L’ÉVOLUTION DE LA DEMANDE D’ÉLECTRICITÉ

Le rapport indique que l’expansion du réseau pourrait être retardée et que, dans le même temps, la capacité de transmission transfrontalière soit limitée.

Le ministère fédéral de l’économie répond : « un empilement de différents scénarios défavorables n’a pas de sens en l’état de la discussion technique ».

Les auteurs ont estimé que cette réponse n’était « pas convaincante ». Ils ne partagent pas non plus l’hypothèse du gouvernement fédéral qui estime que la demande d’électricité restera stable jusqu’en 2030 (électrification des transports, hydrogène…).

Et le rapport conclut sévèrement : « que des hypothèses essentielles sur lesquelles repose l’évaluation actuelle de la sécurité d’approvisionnement du marché de l’électricité sont irréalistes ou dépassées ».

En France, les travaux « ambitieux » de l’ADEME prévoyant 100% d’énergies renouvelables en 2050 en France sont également totalement irréalistes et les Français devraient aussi s’inquiéter !

https://www.contrepoints.org/2021/05/16/397534-transition-energetique-lallemagne-sinquiete-enfin

samedi 15 mai 2021

La bombe humaine : effets de la « vaccination » ARNM sur les personnes non vaccinées ?

 Theara Truth news

Mondialisation.ca

sam., 15 mai 2021 08:38 UTC


Des centaines, des milliers de personnes NON « VACCINÉES « rapportent avoir des « effets secondaires » des vaccins Pfizer et Moderna , mais SANS être vaccinées. Avril 2021, États-Unis :des milliers de femmes rapportent avoir des problèmes de saignements, de menstruations anormales, de fausse couches, très graves.

Le FAIT EST QUE ces femmes ne SONT PAS « VACCINÉES « mais ont été en contact avec des personnes " vaccinées'. D'autres personnes rapportent des péricardites, maladies auto immunes, zona, thromboses, paralysie de Bell après contact étroit avec des ' vaccinés».

INTRODUCTION:

L'ex président de Pfizer Michael Yeadon avait déjà prévenu il y a quelques mois avec 'précaution', que la spike protéine injectée par le Vaccin ARN messager, Pfizer comme Moderna , a une affinité de nature et d'accroche, avec les protéines du placenta et des systèmes reproductifs féminins et masculins et pourrait créer des dommages dans ces systèmes ainsi que d'autres effets secondaires graves.

Il a récemment écrit que cette massive injection de technologies « géniques » était folle, contraire à la Science et présentait des risques incalculables pour l' Humanité. (theredelephants.com)

Ici un médecin américain explique très bien TOUS les risques de l'injection de SPIKE protéine sars cov 2 ARN messager dans l'organisme humain.

Il parle des risques pour des personnes qui PRENNENT cette injection, et aussi à la fin de la vidéo, des risques pour les autres :

C'est deja confirmé: le « vaccin » mRNA à spike protéine synthétique + Hydrogel nanotechnologique, produit de nombreux cas d'effets secondaires sur le système reproductif féminin, plus des milliers d'autres cérébraux, cardiaques, neurologiques, neuromusculaires, caillots sanguins, thromboses, des milliers de décès aussi, à présent que la vaccination s'est amplifiée dans le monde .

Les courbes de la ' pandémie ' et les statistiques montrent que le nombre de personnes soi disant malades de « covid nouveaux variants » (selon la propagande officielle ) est en explosion dans tous les pays qui ont 'vacciné' massivement comme Israel, Bresil, Inde, USA, Monaco, etc.

La liste d' effets secondaires sur les systèmes reproductifs féminin et masculin est répertoriée de manière officielle (pour les personnes qui SONT « VACCINÉES » ) avec seulement 1% des cas reportés (thetruedefender.com).

Le gouvernement britannique a enregistré, dans le cadre de son système de signalement des effets indésirables des vaccins, plus de 2 200 rapports faisant état de troubles de la reproduction dus à l'administration du vaccin. Parmi les conséquences, citons des saignements excessifs, des saignements absents ou retardés, des hémorragies vaginales, des fausses couches et des mortinaissances.

Le Yellow Card * des effets indésirables a également enregistré 2 233 rapports de troubles de la reproduction et du sein dus aux vaccins d'AstraZeneca et de Pfizer.

En outre, 1 465 ont été enregistrés concernant les systèmes reproducteurs et 19 fausses couches, cinq accouchements prématurés et deux mortinaissances liés au vaccin AstraZeneca.

Les rapports comportent :

255 cas de saignements utérins anormaux

242 rapports de douleurs et de gonflements inhabituels des seins

182 femmes ayant eu des menstruations absentes ou retardées

175 cas de saignements menstruels abondants

[Le Yellow Card Scheme est le système britannique de collecte d'informations sur les effets indésirables suspectés des médicaments. Le programme permet de surveiller la sécurité des médicaments et vaccins qui sont sur le marché.]

A Propos de L' HYDROGEL nano technologique qui 'enrobe' la protéine Spike » dans les injections mRNA Pfizer et Moderna : il n'est pas lui même quelque chose d'anodin, cela n'a jamais été utilisé dans des « vaccins « pour l'Homme, pas plus que la technologie ARN messager .

Voici un lien avec analyses, et un PDF avec photos au microscope fait par des médecins slovaques, sur la nature et les propriétés de cet hydrogel présent aussi bien dans les tests naso pharyngés que dans les ' vaccins' ARN:

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Morgellons

LA BOMBE HUMAINE

Selon des rapports US faits en avril 2021:

Des centaines ,des milliers de personnes NON VACCINÉES rapportent avoir des « effets secondaires » des vaccins Pfizer et Moderna , mais SANS être vaccinées .

Avril 2021 , USA :des centaines de femmes rapportent avoir des problèmes de saignements, de menstruations anormales, de fausses couches , très graves.

Le FAIT EST QUE ces femmes ne SONT PAS VACCINÉES.

On note sur les réseaux sociaux, dont Telegram (posts aussitôt censurés ) des centaines de témoignages venant de femmes non « vaccinées », qui déclarent avoir des effets secondaires comme ceux du vaccin sur leur système génital , effets graves ou gravissimes, (règles énormes, caillots sanguins, ET fausses couches ) mais elle ne SONT PAS VACCINÉES . Elles déclarent qu'elles ont juste été en contact proche avec des gens vaccinés:

Voir vidéo ici (anglais):

https://www.banned.video/watch?id=607883e137494025d4bda2ae

Rapidement, des médecins américains s'interrogent sur comment des personnes non vaccinées pourraient » attraper' des effets secondaires du vaccin mRNA à protéine Spike affectant le système génital et reproductif notamment, en étant juste 'autour' de gens vaccinés, sans relation sexuelle pour autant.

De graves effets sur le système génital féminin, affectant à présent des centaines de femmes, et d'enfants de sexe féminin ou de femmes déjà ménopausées : pertes de sang, règles débordantes, fausses couches, caillots , saignements, y compris chez des fillettes . Problèmes aussi pour des hommes pour leurs organes génitaux (hommes non vaccinés)

Des femmes non vaccinées affirment avoir des cycles menstruels et des fausses couches inhabituels après avoir côtoyé des personnes récemment vaccinées.

ICI, REGARDEZ ATTENTIVEMENT :

Une vidéo originale des 4 ou 5 médecins américains (ces médecins font des hypothèses très élaborées, mais n'ont pas encore de réponse sure et certaine sur le « comment cela se produit » )

Lien vidéo ici

Un EXTRAIT de cette vidéo en français :

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https://odysee.com/@NeufdeCoeur:1/Northrup-impact-des-personnes-vaccinées-sur-les-autres:1

Cette vidéo est le premier extrait doublée de cet échange entre 5 médecins le 22 avril 2021 autour des conséquences de la vaccination ARNm sur les personnes non vaccinées. En effet, depuis que des rapports ont fait surface ces derniers jours selon lesquels des personnes qui ont choisi de NE PAS recevoir les injections expérimentales de COVID-19, mais ont été exposées à ceux qui les ont reçues et ont souffert de ce qui semble être des infections provenant de ces personnes entièrement «vaccinées», affectant principalement les femmes qui ont signalé des problèmes de menstruation, des saignements abondants, des fausses couches et une réduction du lait maternel...

29 avril 2021 : USA. la BOMBE MÉDIATIQUE : la pire inquiétude pour toutes les femmes et l'Humanité.

Les preuves s'ajoutent jour après jour. En France, et dans les pays francophones, il n'y a aucune information.

Une bombe sort sur INFOWARS et dans des médias alternatifs de grande qualité aux USA sur ce qui serait l'explication POSSIBLE de cette ' fuite' vers les non vaccinés de « quelque chose, » (la PROTÉINE SPIKE synthétique injectée?) (MRNA spike protein sars cov 2 enrobée dans hydrogel NANO ) ,qui serait « communiqué » à des personnes non vaccinées par des personnes vaccinées ) et la preuve en est trouvée dans le document de PFIZER :

Publication internet 2 = vidéo de Infowars, avec des documents de la société Pfizer :

- IMAGE -

Publication internet 3 = vidéo sur le même thème :

- IMAGE -

Publication internet 4 :

Ici:

https://blazingpress.com/wp-content/uploads/2021/04/C4591001_Clinical_Protocol_Nov2020_Pfizer_BioNTech.pdf

DOCUMENT de PFIZER /pages 67, 68, 69. Extrait:

On constate qu'une femme est enceinte alors qu'elle est exposée ou a été exposée à l'intervention de l'étude en raison d'une exposition environnementale. Voici des exemples d'exposition environnementale pendant la grossesse :

- Un membre féminin de la famille ou un prestataire de soins de santé signale qu'elle est enceinte après avoir été exposée à l'intervention de l'étude par INHALATION ou par contact avec la peau. »

8.3.5.3.Exposition professionnelle Une exposition professionnelle se produit lorsqu'une personne reçoit un contact direct non planifié avec l'intervention de l'étude, qui peut ou non conduire à la survenue d'un EI.Ces personnes peuvent être des prestataires de soins de santé, des membres de la famille et d'autres rôles qui sont impliqués dans les soins du participant à l'essai.L'investigateur doit signaler l'exposition professionnelle à Pfizer Safety dans les 24 heures suivant sa prise de conscience, qu'il y ait ou non un EI associé. L'information doit être communiquée à l'aide du formulaire de rapport sur les effets indésirables des vaccins.

Une femme allaite alors qu'elle est exposée ou a été exposée à l'intervention de l'étude (c'est-à-dire une exposition environnementale). Un exemple d'exposition environnementale pendant l'allaitement est une femme membre de la famille ou un fournisseur de soins de santé qui signale qu'elle allaite après avoir été exposée à l'intervention de l'étude par INHALATION ou par contact cutané.

Voici des exemples d'exposition environnementale pendant la grossesse:

- Une femme membre de la famille ou un professionnel de la santé déclare qu'elle est enceinte après avoir été exposée dans le cadre d'une intervention de l'étude par inhalation ou par contact avec la peau. - Un membre masculin de la famille ou un professionnel de la santé qui a été exposé à une intervention liée à l'étude par inhalation ou par contact avec la peau expose alors sa partenaire féminine avant ou à peu près au moment de la conception.

Les essais, appelés à tort vaccination, ont donc lieu partout dans le monde sous l'égide des représentants de la haute finance internationale. Et ces produits posent eux-mêmes de gros soucis, ce qui a fait dire à certains que nous avons dorénavant à gérer un double problème: la pandémie d'une part et les conséquences de la vaccination d'autre part.

Est-ce que des 'vaccins' (de biotechnologie)peuvent être technologiquement réalisés pour se ' disséminer' dans les populations ? (Were COVID-19 Vaccines Made To "Self-Spread" To Non-Vaccinated People ?)

La science moderne dit OUI: en tout cas, cela se fait pour les ANIMAUX. Et la faisabilité en a été discutée pour les humains en 2018 au centre John Hokins, dont Bill Gates fait partie.

Des documents émanant de Pfizer, Johns Hopkins et d'autres organismes évoquent la possibilité que les vaccins COVID-19 se « propagent » aux personnes non vaccinées qui entrent en contact avec une personne récemment vaccinée.

Voir le document ici

Je cite :

« Vaccins auto-diffusants » : Les vaccins auto-diffusants sont génétiquement conçus pour se déplacer dans les populations comme les maladies transmissibles, mais plutôt que de provoquer une maladie, ils confèrent une protection. La vision est qu'un petit nombre d'individus dans une population cible pourrait être vacciné, et la souche du vaccin circulerait ensuite dans la population comme un virus pathogène, ce qui entraînerait une immunité rapide et généralisée ».

ATTENTION : un document scientifique , parle de la possibilité de transfection passive' par RNA INHALE :


L'ARN messager (ARNm) comme moyen d'immunisation passive a été largement étudié pendant des années. Les premières études depuis les années 1990 ont montré que l'ARNm exogène pouvait diriger l'expression des protéines in vivo, cimentant l'ARNm en tant que technologie de plate-forme médicamenteuse prometteuse. Plusieurs études ont démontré par la suite l'utilité de l'ARNm dans le développement de vaccins et conférant une protection contre les cancers et les maladies infectieuses. De plus, l'immunisation passive à l'ARNm rencontre également moins de problèmes de sécurité en raison de sa nature non intégrative et transitoire, cette dernière contribuant à un meilleur et / ou un contrôle plus facile de l'expression des protéines. Le rôle potentiel de la vaccination à l'ARNm dans la lutte contre le SRAS-CoV-2 est mis en évidence par les essais de vaccin COVID-19 de phase I en cours menés par plusieurs sociétés pharmaceutiques, y compris le vaccin ARNm-1273 de Moderna Therapeutics, qui a des résultats prometteurs. La faisabilité de l'ARN INHALE pour la TRANSFECTION PASSIVE a également été prouvée dans un certain nombre d'études. Sur le plan mécaniste, l'ARN inhalé peut conduire à une SYNTHÈSE PASSIVE de protéines de pointe non infectieuses à l'aide de la machinerie de transfection cellulaire, conduisant ainsi à l'immunisation de l'individu.

https://www.researchgate.net/publication/346643240_Passive_inhaled_mRNA_vaccination_for_SARS-Cov-2

Et ils s'en vantent !!

On touche le fond de la folie humaine et du risque émergent de ELE par bio technologie ' vaccinatoire'.

Post 6 : autre preuve que des techniques d'inhalation de vaccins RNA messager existent déjà, ce qui peut être ou non relié à cette affaire : https://news.mit.edu/2019/inhalable-messenger-rna-lung-disease-0104?fbclid=IwAR2sjAtPRjEFrdxJv1A1G0axjvKSCdpEzmkInjPFefGwF0sxmqqnmtq_68M

Mis à jour le 2 mai 2021 : cette vidéo est le deuxième extrait doublé de cet échange entre 5 médecins USA 22 avril 2021 autour des conséquences de la vaccination ARNm sur les personnes non vaccinées.

Dr. Carrie Madej nous fait part de ses réflexions et de ses inquiétudes concernant la présence de particules de nano lipides dans les vaccins Pfizer et Moderna.

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Hydrogel réactif aux Ondes EMF artificielles??

Darpa a développé une 'substance ' insérable sous la peau , qui ne soit pas rejetée par le corps et contient des ' sensors':

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Voir également les liens suivants :

https://childrenshealthdefense.org/child-health-topics/military-vaccines/microchips-nanotechnology-and-implanted-biosensors-the-new-normal/

https://www.darpa.mil/program/in-vivo-nanoplatforms

https://profusa.com/injectable-body-sensors-take-personal-chemistry-to-a-cell-phone-closer-to-reality/

L' « innocent » hydrogel du vaccin ARN messager est une substance pour envelopper l'ARN messager dans une couche de polymères nanos et nano particules lipidiques, de sorte que cela ne soit pas considéré par le système immunitaire comme un élément étranger et que l'ARN messager parvienne jusque à la cellule: (statnews.com)

« Un système de nanocarrier composé de nanoparticules lipidiques ou POLYMERIQUES peut amener l'ARNm dans les cellules pour leur donner l'ordre de fabriquer des antigènes et stimuler le système immunitaire pour qu'il fabrique des anticorps contre le SRAS-CoV-2. Ces lipides et polymères sont conçus pour échapper aux enzymes qui pourraient dégrader rapidement l'ARNm ou limiter son absorption par les cellules. »

N 'oublions pas que le rêve du Great Reset du World Economic Forum (La Grande Réinitialisation du Forum économique mondial) est d'injecter la terre entière avec ces 'vaccins' bio tech ( Klaus Schwab, Gavi alliance , Bill Gates ) et que chaque être humain aie un ID numérique lié à la « vaccination ».

https://id2020.org/digital-identity

https://id2020.org/alliance

De mixer l'Homme avec le computer, la smart Grid 5G, et la Nano technologie :

https://www.scientificamerican.com/article/the-internet-of-things-goes-nano/?fbclid=IwAR3Vb_NCegpsXuh276JRQWKkMU5fZBYtn2roC1m1tcDT1y8fkNsk3ZWkZag

Aussi nous ne pouvons qu'enquêter davantage sur le fait que la 'transmission' puisse être aussi favorisée ou amplifiée par des fréquences, par des ' bio sensors' injectés, par la smart Grid 5G et la nano technologie .

TRANSHUMANISME :

Liliane Held-Khawam, Reset de la médecine par la nanotechnologie. Transhumanisme en vue, le 29 décembre 2020.

- voir cadre sur site -

Le 5 mai 2021, l'info est également sorti sur des sites français tel que cogiito.com.

Theara Truth news

Sources et références :

USA :Médecins et épidemiologistes américains

Chaines et médias de sauvetage de l'information : Rumble. Odysee, wordpress.infowars

Témoignages par les réseaux sociaux de milliers de femmes

Malades qui témoignent

Articles scientifiques

Document dePfizer

Darpa

https://fr.sott.net/article/37248-La-bombe-humaine-effets-de-la-vaccination-ARNM-sur-les-personnes-non-vaccinees

Energies renouvelables : encore une autre élucubration ?

  le 15 mai 2021

 

Au Danemark, l’un des pays d’Europe dont la dépendance aux énergies renouvelables est la plus critique, la recherche de moyens de stockage de l’énergie éolienne est devenue tout aussi critique. Les chercheurs et techniciens de l’Université d’Aarhus s’en donnent donc à coeur-joie depuis le véritable fiasco du stockage de l’électricité à l’aide de batteries construites et fournies par la société d’Elon Musk en Nouvelle-Galle-du-Sud. De plus la disponibilité en cobalt et en lithium limite sérieusement les projets de stockage à grande échelle. Le procédé imaginé par l’Université et confié à la société Stiesdal. Elle développe ce procédé appelé GridScale qui consiste en deux grands réservoirs calorifugés remplis de cendres volcaniques de type basaltique. Les moulins à vent alimentent une pompe à chaleur qui va refroidir l’un des réservoirs pour chauffer les petites particules de basalte se trouvant dans l’autre réservoir jusqu’à une température de 600 degrés.


Lorsqu’il n’y a pas de vent le système est inversé et alimente un alternateur qui produira alors de l’électricité. Le fluide caloporteur semble être un gaz, probablement du gaz carbonique dont les propriétés caloporteuses ont été exploitées dans les centrales nucléaires ancien modèle dites graphique-gaz. La machinerie consiste donc en une pompe à chaleur et un compresseur dans le sens froid vers chaud et une turbine dans le sens chaud vers froid et également d’un autre compresseur pour recharger le réservoir « froid ».

Tout semble pouvoir fonctionner sans problèmes. Curieusement il n’y a pas dans ce système d’échangeur de chaleur pour refroidir le fluide après détente dans la turbine actionnant l’alternateur. Il y a peut-être une astuce cachée dans ce système … La société Stiesdal indique que la maintenance pourra être assurée par un technicien sans formation particulière. Un prototype d’une puissance de 2 MW doit être opérationnel dans le courant de l’année 2022. Le prix du kW devrait être 50 fois inférieur à celui stocké dans des batteries cobalt-lithium, l’investissement faisant appel à des technologies disponibles sur le marché. Le projet de prototype d’un coût de 4,7 millions d’euros (35 millions de couronne danoise) devrait être capable d’alimenter quelques maisons durant une période sans vent n’excédant pas deux jours.

Bref, si cette technologie est validée non seulement le paysage sera irrémédiablement défiguré par des moulins à vent gigantesques mais également par des réservoirs tout aussi monstrueux. C’est l’avenir nous dit-on …

https://www.stiesdal.com/storage/the-gridscale-technology-explained/

https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/05/15/energies-renouvelables-encore-une-autre-elucubration/

vendredi 14 mai 2021

Pr Luc Montagnier : « Les variants viennent des vaccinations »

 Egalité et Réconciliation

jeu., 13 mai 2021 14:17 UTC


Le grand scientifique Luc Montagnier expose les dangers de la vaccination qui fait croire qu'elle lutte contre la pandémie. Or, c'est le contraire, elle la nourrit ! De plus, le virus variant résiste à la vaccination : « les nouveaux variants sont créés par la sélection des anticorps produits par la vaccination ».

 

« C'est une énorme erreur, c'est une erreur scientifique et une faute médicale inexplicable, l'histoire fera le bilan un jour de tout ça, car c'est effectivement la vaccination qui a créé le variant. »

- voir clip (11:01) sur sites:

https://fr.sott.net/article/37224-Pr-Luc-Montagnier-Les-variants-viennent-des-vaccinations

Sur Odysee: (Hold Up médias)

https://odysee.com/@GEPETO:9/Le-professeur-Luc-Montagné-explique-que-les-variants-ne-sont-dus-qu'au-vaccin:3

https://holdup-lefilm.fr

https://odysee.com/@BobTremblay:6/3313:b

jeudi 13 mai 2021

Pénurie de gaz - Papier toilette 2.0

Par Craig Rucker

 12 mai 2021


Pourquoi voler des banques ? «C’est là que se trouve l’argent.»

Pourquoi attaquer l'énergie ? C’est ce qui anime l’économie.

J'ai dû visiter trois stations-service aujourd'hui pour trouver suffisamment de carburant pour faire une course pour mon enfant et ensuite faire une réunion.

La côte Est connaît le genre de pénurie de gaz aujourd'hui que nous ne voyons habituellement que lors des grands ouragans. Cela rappelle également à ceux d'entre nous assez vieux pour se souvenir, les longues files d'attente et les pompes fermées que nous avons endurées pendant la crise énergétique de l'ère Carter.

Une entreprise criminelle basée en Russie nommée «DarkSide» a lancé une cyberattaque contre la Colonial Pipeline Company qui a conduit à une fermeture. L'attaque était un «ransomware»; conçu pour entraver les opérations jusqu'à ce que la rançon soit payée.

La bonne nouvelle, c'est que malgré l'attaque, il y a suffisamment d'approvisionnement pour rétablir les opérations normales.

La mauvaise nouvelle est que la demande est bien au-dessus de la normale en raison de la panique alimentée par les médias. Comme l'a dit un membre du conseil d'administration du CFACT, il s'agit de papier toilette 2.0.

La leçon évidente est que nous devons protéger l'économie, en particulier notre approvisionnement énergétique, contre les cyberattaques.

La leçon la plus importante est de se réveiller et de réaliser à quel point notre infrastructure énergétique est essentielle.

Le WSJ l'a dit clairement:


C'est le monde que veut le lobby du changement climatique. L’administration Biden devrait investir de l’argent pour renforcer les cyber-vulnérabilités, mais au lieu de cela, elle utilise le label «infrastructure» pour refaire l’économie de l’énergie, réduire les combustibles fossiles et rendre le réseau plus vulnérable, pas moins.

Le président Biden a arrêté le pipeline Keystone XL. Le gouverneur Andrew Cuomo a empêché toute la Nouvelle-Angleterre d'assurer un approvisionnement fiable en gaz naturel en refusant de laisser les pipelines passer par New York. C'est scandaleux, d'autant plus que les blessures sont entièrement auto-infligées.

L'Amérique peut surmonter les menaces étrangères qui pèsent sur notre approvisionnement énergétique.

Les cybercriminels sont une menace que nous pouvons vaincre.

Les fanatiques anti-énergie domestiques représentent une menace bien plus grande.

https://www.cfact.org/2021/05/12/gas-shortage-toilet-paper-2-0/