- ENTREE de SECOURS -



samedi 30 juin 2018

Genève, escale des dictateurs

10:08  Note de frais du dictateur camerounais: 
800.000 CHF = 690.662,76€ (avion)
115.000.000 CHF = 99.291.519,35 € (total en 35 ans)

https://www.youtube.com/watch?v=FequAfnkAbo

jeudi 28 juin 2018

La mesure absurde de la pauvreté américaine

par Tyler Durden
Jeu, 28/06/2018 - 19:05
Rédigé par Ryan McMaken via The Mises Institute,


L'Organisation des Nations Unies est de retour avec un autre rapport sur la pauvreté aux États-Unis - et comment les choses pourraient s'améliorer grandement si les États-Unis augmentaient les impôts. Cette fois, la dénonciation par l'ONU des Etats-Unis a soulevé la colère de l'ambassadeur américain Nikki Haley qui a qualifié le rapport de "manifestement ridicule".

Plus précisément, Haley répondait à un rapport du 18 juin du fonctionnaire des Nations Unies, Philip Alston. Alston a conclu que les taux de pauvreté aux États-Unis sont parmi les pires en Amérique du Nord ou en Europe.

Comment Alston est-il arrivé à cette conclusion ?

Eh bien, tout d'abord, il est important de noter qu'il n'a pas recueilli de nouvelles informations.

Le rapport arrive à la fin d'une visite de deux semaines aux États-Unis effectuée en décembre 2017. À l'époque, Alston a publié un rapport préliminaire similaire.

Le nouveau rapport au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies n'est qu'une mise à jour de l'ancien rapport.

De plus, Alston aurait facilement pu rédiger le rapport s'il était simplement resté à la maison. Le rapport est basé simplement sur des données existantes déjà collectées et publiées par des agences telles que le US Census Bureau et l'OCDE. Amy premier cycle aurait pu écrire un rapport similaire en utilisant des données qu'il a trouvées en ligne.

Un exemple de cette méthode se trouve dans les rapports d'Alston sur la pauvreté.

Selon le rapport:

Environ 20 % des enfants vivent dans une pauvreté monétaire relative [aux États-Unis], alors que la moyenne de l'OCDE est de 13 %.

Ici, Alston a essentiellement coupé et collé le texte d'un rapport existant de l'OCDE. Il n'y a rien de mal à cela, à part le fait qu'Alston a laissé entendre qu'il a récemment complété un sondage approfondi sur la pauvreté aux États-Unis - même si ce n'est clairement pas le cas.

Ce rapport de novembre 2017 de l'OCDE se lit comme suit:

[L] es taux relatifs de pauvreté relative du revenu sont très élevés - environ 20% des enfants aux États-Unis vivent dans une pauvreté de revenu relative, contre un peu plus de 13% en moyenne dans les pays de l'OCDE.

Le rapport inclut également ce graphique:


Mais il y a un problème avec l'utilisation des données par Alston. Le rapport de l'OCDE fait référence à la «pauvreté relative du revenu», ce qui n'est pas ce que la plupart des gens pensent que c'est. La plupart des gens pensent qu'un taux de pauvreté devrait mesurer les revenus par rapport au coût du maintien d'un certain niveau de vie de base. Mais cette mesure «relative» de la pauvreté n'est pas ce genre de mesure. C'est juste une mesure de combien de personnes dans un pays font 50% ou plus du niveau de revenu médian de ce pays.

Donc, si vous avez un pays avec un revenu médian très bas et un niveau de vie très bas, il est possible d'avoir des taux de pauvreté très bas - tant que la plupart des gens gagnent plus de cinquante pour cent du revenu médian.

Cela permet à l'OCDE d'affirmer - comme dans le graphique - que les États-Unis ont des taux de pauvreté plus élevés que le Mexique.

Pour mieux comprendre cela, examinons la mesure de l'OCDE du revenu médian disponible pour chacun de ses pays membres (données de 2015) dans le graphique A:


Ces chiffres comprennent à la fois le revenu salarial ordinaire et l'aide en espèces des programmes d'aide sociale. Il est également ajusté en fonction du pouvoir d'achat local et libellé en dollars internationaux.

Maintenant, notez dans la note de bas de page du graphique de l'OCDE ci-dessus que vous êtes pauvre - peu importe où vous êtes - si vous gagnez 50 % du revenu médian local. Ainsi, 50 % du revenu médian en Grèce (avec un revenu médian de 13 000 $) ou 50 % du revenu médian en Norvège (avec un revenu médian de 39 000 $) sont tous deux simplement de la «pauvreté».

Mais regardons à quel point ces différences peuvent être énormes. Si nous regardons les revenus au niveau de 50% pour chaque pays, nous obtenons dans le graphique B:


Si vous êtes pauvre par cette mesure, vous aurez un revenu plus élevé aux États-Unis que dans de nombreux autres pays. Par exemple, les pauvres aux États-Unis au niveau de pauvreté médian ont des revenus 34 % plus élevés que les pauvres médians en Italie. Lorsque l'on compare les États-Unis et l'Espagne, les États-Unis se situent à 40% plus haut.

En d'autres termes, si vous gagnez 15 000 $ aux États-Unis, vous êtes pauvre. Mais si vous gagnez 15 000 $ en France, en Allemagne, au Royaume-Uni ou en Italie, vous n'êtes pas pauvre. Pourquoi ? Parce que les revenus médians globaux dans ces pays non américains sont plus bas.

Fondamentalement, par cette mesure, la pauvreté a peu à voir avec les ressources dont vous disposez. C'est plus ou une mesure de combien vous faites par rapport à ce que les autres font. C'est une mesure de l'inégalité des revenus, pas de la pauvreté.

Le problème de faire des comparaisons de cette façon peut également être illustré en regardant le revenu au niveau de la pauvreté des États-Unis par rapport au revenu médian des autres pays. Par exemple, le revenu au niveau de la pauvreté des États-Unis est si élevé qu'il se situe à 70% du revenu médian en Espagne et 67% du revenu médian en Italie dans le graphique C:

Si vous avez un revenu médian de la pauvreté aux États-Unis, votre revenu est de 95 % de la taille du revenu médian de tous les ménages au Portugal. En gros, on peut dire que les ménages pauvres aux États-Unis ont à peu près le même revenu que l'ensemble de la population portugaise. Ou, on pourrait dire que le niveau de revenu médian de la pauvreté aux États-Unis est près des deux tiers aussi élevé que le revenu médian global de tout le monde au Royaume-Uni.

Il est clair que si un ménage pauvre aux États-Unis a un revenu supérieur de 40 % à celui d'un ménage pauvre en Espagne - alors ces deux types de «pauvreté» ne sont pas les mêmes.

Mesurer la pauvreté selon les normes de vie réelles

Une façon plus honnête de mesurer la pauvreté consisterait à examiner les indicateurs réels du niveau de vie. Cela inclurait les équipements ménagers, l'espace de vie, les appareils ménagers, les divertissements, etc.

Par exemple, l'espace de vie aux États-Unis, même parmi les pauvres, est sensiblement plus abondant qu'ailleurs. Comme l'a souligné Robert Rector à la Heritage Foundation:

L'espace de logement peut également être mesuré par le nombre de pieds carrés par personne. L'enquête sur la consommation d'énergie résidentielle menée par le ministère de l'Énergie des États-Unis montre que les Américains ont en moyenne 721 pieds carrés d'espace de vie par personne. Les Américains pauvres ont 439 pieds carrés. Des données internationales raisonnablement comparables sur les pieds carrés sont fournies par le Programme d'indicateurs du logement du Centre des Nations Unies pour les établissements humains, qui a examiné les conditions de logement dans les principales villes de 54 pays différents. Cette enquête montre que les États-Unis ont, de loin, les unités de logement les plus spacieuses, avec 50 % à 100 % de pieds carrés de plus par habitant que les citadins des autres pays industrialisés.

Les pauvres des États-Unis se comparent favorablement à la population générale des autres pays en termes de superficie en pieds carrés. L'Américain pauvre moyen a plus de pieds carrés d'espace de vie que la personne moyenne vivant à Londres, Paris, Vienne et Munich. Les Américains pauvres ont près de trois fois l'espace de vie des citadins moyens dans les pays à revenu intermédiaire comme le Mexique et la Turquie. Les ménages américains pauvres ont sept fois plus d'espace de logement par personne que la population urbaine générale des pays à très faible revenu tels que l'Inde et la Chine.

Comme le note le Recteur, «il existe un vaste fossé entre la pauvreté telle qu'elle est comprise par le public américain et la pauvreté telle qu'elle est actuellement mesurée par le gouvernement». Cela est dû à une grande variété de raisons. L'une des raisons est que les enquêtes sur les revenus ne prennent pas en compte les programmes d'aide à la pauvreté non monétaires. Cela signifie que les programmes comme Medicaid et les coupons alimentaires ne sont pas inclus dans les revenus des ménages à faible revenu en Amérique. Cela fait que ces revenus semblent beaucoup plus bas qu'ils ne le sont.

Les mesures de lutte contre la pauvreté ne peuvent pas non plus prendre en compte les chefs de famille qui ont un faible revenu, mais qui n'ont pas d'hypothèque car ils sont déjà payés. Ce n'est pas un facteur insignifiant dans la mesure de la pauvreté chez les personnes âgées.

Tout cela est important parce que dans le rapport d'Alston à l'ONU, il s'appuie sur les données du gouvernement américain en utilisant les mesures traditionnelles de taux de pauvreté. Il les combine ensuite avec les mesures «relatives» de la pauvreté de l'OCDE pour conclure que la pauvreté est «scandaleusement» répandue aux États-Unis.

Cependant, un examen plus approfondi des données suggère que les choses sont plus compliquées.

Rien de tout cela ne veut dire que la pauvreté n'existe nulle part. Bien sûr, il existe, et des problèmes comme l'itinérance et la vraie pauvreté sont réels pour certaines personnes. Des affirmations radicales comme celles d'Alston nous disent très peu de choses sur l'état réel de la pauvreté aux États-Unis.

Le '9-11' chinois sans hologramme d'avion !

16:44 28.06.2018

Un hôtel de 15 étages a été détruit (en 10 sec.) par une explosion contrôlée dans le sud-est de la Chine sous les yeux des habitants venus dire adieu à l'établissement emblématique.

Après avoir perdu la guerre pour la rentabilité, le Zhongshan Yuyan Hotel situé dans le district de Nantou de la province du Guangdong a été transformé en ruines. La métamorphose n'a pris qu'une dizaine de secondes, le tout grâce à une explosion contrôlée, filmée par de nombreux témoins:

Selon les médias locaux, les autorités ont pris la décision de démolir l'établissement après avoir échoué à lui trouver un repreneur.

Avant la destruction, l'hôtel quatre étoiles comptait environ 200 chambres et était, comme l'affirme le réseau de télédiffusion de Zhongshan, mal géré.

Plusieurs rues avoisinantes ont dû être fermées à la circulation pendant les opérations de démolition. Pour le moment, on ignore quel projet prendra la place du Zhongshan Yuyan Hotel.

samedi 23 juin 2018

Énergies renouvelables : le ministre allemand critique les objectifs

Par Michel Quatrevalet.
24 JUIN 2018


Lors d’une réunion des ministres de l’Énergie à Luxembourg le 11 juin, reportée par Euractiv, Peter Altmaier, le ministre allemand, avait fustigé les objectifs « irréalisables » de l’Union en termes d’énergies propres. Pour lui, cela fait partie des raisons pour lesquelles les électeurs ne font plus confiance aux cercles politiques.

ÉNERGIES RENOUVELABLES : UN MINISTRE ALLEMAND RÉALISTE OU PATHÉTIQUE ?

« L’Allemagne soutient des objectifs responsables, mais atteignables », a indiqué Peter Altmaier dès le début de la rencontre, soulignant les efforts consentis par Berlin pour faire passer la part des énergies vertes à 15 % dans le pays.

Des efforts qui coûtent cher aux citoyens allemands, soit environ 25 milliards d’euros par an, selon lui.

Et si nous adoptons des objectifs qui dépassent les 30 %, cela impliquerait plus d’un doublement de cet effort dans les dix ans à venir.

Quant à l’objectif de mettre 1 million de voitures électriques en circulation d’ici 2020 sur les routes allemandes, « nous n’y parviendrons pas », estime-t-il.

Aucun pays européen ne peut faire ça. Et même si nous parvenions à mettre en circulation assez de véhicules électriques, nous n’aurions pas assez d’énergie propre pour les alimenter.

Il est donc favorable à « un compromis sans objectifs irréalisables » au niveau européen.

Les citoyens de toute l’Europe perdent confiance dans la politique. Quand ils nous voient instaurer des objectifs très ambitieux puis, quelques années, les manquer, nous ne répondons pas à leurs attentes.

L’intervention du ministre allemand a été qualifiée de « pathétique » par Claude Turmes, principal négociateur du Parlement sur le dossier, qui deviendra ministre de l’Énergie au Luxembourg d’ici la fin du mois.

Vous avez bien lu ! L’Allemagne, qui est truffée d’éoliennes, de panneaux solaires, de centre de méthanisations, de champs de maïs à méthaniser, de chaudières à bois… dit qu’elle ne peut aller plus loin que 15 %… Et c’est le ministre du Luxembourg, minuscule confetti tirant ses ressources de dumping financier, qui fait la leçon au ministre allemand !

ÉNERGIES RENOUVELABLES : LES OBJECTIFS SONT-ILS RÉALISTES ?

Lorsqu’on examine la situation à 2015, soit 15 ans avant l’échéance, que constate-t-on ?

Les pays bien placés sont soit ceux qui sont pourvus naturellement en hydraulique (Suède, Norvège, Autriche) par rapport à leurs besoins, soit les pays très pauvres, peu industriels, où tout le monde se chauffe (plus ou moins d’ailleurs) au bois et consomme peu d’électricité et ne voyage guère.

L’Europe était à 18 %, les 5 pays qui représentent plus de 60 % du PIB européen et  210 millions d’habitants étaient respectivement : France à 16 %, Allemagne 15 %, Royaume uni 8 %, Italie 18 %, Espagne 17 %…

Résultat : on va passer de 27 %, dernier objectif pour 2030, à 32 %, c’est-à-dire dans douze ans alors qu’on est à peine à 20 ! Et c’est le ministre allemand qui est pathétique ?

Pour une fois, un homme politique, qui plus est de la plus grande puissance économique allemande, dit que le roi est nu.

Les citoyens de toute l’Europe perdent confiance dans la politique. Quand ils nous voient instaurer des objectifs très ambitieux puis, quelques années, les manquer, nous ne répondons pas à leurs attentes.

Puissent les décideurs français s’imprégner de cette sage constatation, en particulier pour la programmation pluriannuelle de l’énergie,  sous peine de sabordage démocratique.

Parce que vous êtes une conne ou un con désigné !

Il y a quelques années un dénommé Bill Gates 'prétendait' qu'une population terrienne idéale serait de 500 000 personnes !!! (Bien sûr en comptant qu'il y en aurait 499 999 de trop). Car, cet idiot (un multi-milliardaire n'est pas forcément la crème des pois), ne se rendait pas compte que cette diminution hégémonique des agriculteurs dans le monde étaient les SEULS irremplaçables !!!

TOUT ce qui est consommé tous les jours par plus de 7 milliards d'habitants VIENT DE L'AGRICULTURE. Et, ce n'est pas en 'cours de formation' de quelques semaines à quelques années que l'on devient paysan ! Car, il faut PLUSIEURS générations pour que les paysans soient dans la disponibilité de nourrir la planète ! PLUSIEURS !

Suffit d'écouter, d'observer les fermes dans le monde. Une 'montagne' de matériel !! Rendez-vous compte, avoir plus de 10 clés de 12 ou de 13, 14, 64, palans, fourches, pelles et un nombre incalculable de 'vieux appareils' et tracteurs-essence qui démarrent à la manivelle, sulfateuses (atomiseurs) a compression automatique, faucheuses et batteuses mécanique, etc, etc, etc !

Car TOUT ce matériel (qui serait d'après des idiots de la ville bons à jeter aux ordures) est INDISPENSABLE à la vie d'un paysan. Pensiez que le manque d'un boulon peut être résolu en '5 minutes' par appel téléphonique ou trajet en drone ou voiture ? Allez-y ! Et vous verrez très vite ce qu'il vous en coûtera !!! 
Pensez bien que vous mêmes êtes entourés de matériels de merde ?! Votre 'téléphone' (sur écoute), votre voiture 'GPS', votre imprimante ou appareil photographique numérique qui - çà alors ! - ne fonctionnent plus après 1 an et 1 jour de garantie !!! Çà alors !!! HAHAHAHA ! SONT commandités.

Aujourd'hui, ce sont TOUS les véhicules fabriqués (voitures, motos, camions, tracteurs, moteurs à jardinage, etc, etc), qui sont DIRIGÉS ! CONDAMNES/ESPIONNES par satellites ! TOUS ! SANS EXCEPTION !

Pourquoi ? Pourquoi y a t-il encore cette dictature mondiale au 21 ème siècle ??!! Parce que, la disparition des agriculteurs est inscrite aux programmes. Plus de nourriture ? = Plus d'êtres humains sur Terre. Simple, rapide, efficace.

De plus, les États-Unis se vantaient d'être Maître de la météo en 2020/2025. Les forces scalaires d'HAARP en Alaska le sont depuis le PREMIER JOUR !!!
Un champs brûlé par le soleil, un champs inondé par la pluie, le vent, la grêle, la neige, un tremblement de terre ? Oui, tout est possible aujourd'hui. TOUT !

Alors, pensez bien que votre putain de tondeuse à gazon à la con qui dure 8 jours... HAHAHAHA ! Il y a même des idiots qui ont acheté jusqu'à 8 tronçonneuses avant de se rendre compte qu'ils étaient pris pour des cons !!!  8 !! HAHAHAHA !

Payés pour cambrioler TOUTES les demeures du plus riche (avec systèmes d'alarme 'infaillibles' au plus pauvre qui n'a rien), payés pour tuer n'importe qui, n'importe quand n'importe ou ! SANS ÊTRE CONDAMNABLES par AUCUN 'tribunal' !!!

Le monde comptait plus de 4 % de surdoués en 2010 (soit plus de 280 millions de têtes bien pleines au-dessus de la dictature en place) et, ce chiffre est aujourd'hui facilement multipliable par 4 !
C'est ÇÀ qui fait peur à la dictature en place ! Pourquoi les monarchies, républiques ou empires ne parlent-ils JAMAIS de la Suisse ? Parce qu'elle est le SEUL PAYS AU MONDE en Démocratie ! Le Seul !
Rendez-vous compte que les Suisses proposent... LEURS propres lois et votent eux-mêmes LEURS propres lois !!!

A propos... Connaissez-vous le nom de la cheffe ou du chef d'ÉTAT Suisse ? ... 'Non' ?!!! Et... pourquoi ne connaissez-vous pas le nom de la SEULE CHEFFE D'ÉTAT OU SEUL CHEF D'ÉTAT DÉMOCRATIQUE AU MONDE Où LA CHEFFE OU CHEF D'ÉTAT OSE SORTIR DE CHEZ ELLE OU DE CHEZ LUI SANS GARDE DU CORPS ???  POURQUOI ????!

Parce que vous êtes une conne ou un con désigné(e) !

vendredi 22 juin 2018

L’OMS doit occuper ses fonctionnaires en définissant des nouvelles maladies : mort de rire !

le 22 juin 2018


L’OMS, organisme onusien bien connu pour ses prises de position au sujet du glyphosate s’intéresse aussi aux nouvelles maladies car il faut bien que ses fonctionnaires grassement payés avec les impôts de tous les contribuables du monde entier justifient leurs salaire et leur passeport diplomatique. À force de se gratter le sommet du crâne ils ont fini par statuer sur deux déviances modernes qui n’existaient pas il y a encore 30 ans : le transexualisme et l’addiction aux jeux vidéo.

Pour le transexualisme qui était jusqu’alors considéré comme une maladie mentale (personnellement je suis tout à fait d’accord avec ce classement) une telle classification a été considérée par l’OMS comme stigmatisante selon Lale Lay, personnalité éminente en charge du département de santé reproductive dans cet organisme. Selon cette personne dont je ne me suis pas donné la peine d’établir le sexe « réduire cette stigmatisation contribuerait à une meilleurs acceptation de ces personnes (transexuelles) par la société et même à augmenter leur accès aux soins de santé » (sic). Il faut rappeler ici que la France, le premier pays au monde à ce sujet, avait supprimé le transexualisme de la liste des maladies considérées comme relevant de la psychiatrie.

Et comme il ne fallait pas frustrer la corporation des psychiatres une nouvelle maladie a été ajoutée à leur gagne-pain : l’addiction aux jeux vidéo, ben voyons ! Enfin l’OMS s’est aussi penché ardemment sur la médecine traditionnelle considérant que des dizaines de millions de personnes dans le monde ont recours aux cornes de rhinocéros pour soigner les troubles de l’érection et à la poudre d’ailerons de requin séchés pour soigner les troubles digestifs. Toutes les recettes des sorciers d’Afrique et des boutiquiers chinois et indiens seront-elles bientôt en vente dans les pharmacies des quartiers chics de Genève, ville où siège l’OMS ?

Source : AFP

jeudi 21 juin 2018

Seuls les pauvres acceptent la dictature

Pourquoi lorsqu'il y a beaucoup plus de riches y a t-il forcément beaucoup plus de pauvres ? Là vous me direz que c'est une question de transfert. Ok. Mais... quand on est riche... on dépense plus. Donc: l'argent gagné est redistribué. Ok. Mais... il ne l'est pas toujours !! D'où le vrai sens de "lorsqu'il y a beaucoup plus de riches y a t-il forcément beaucoup plus de pauvres".

Mais à quoi cela sert-il si l'on est riche de ne pas dépenser son argent ? Après tout, si le riche ne dépense pas il est un 'nouveau pauvre' (?) ! Oui mais, un pauvre contraint !

Car, s'il est difficile d'être riche il est facile d'être pauvre ! Suffit de se renseigner dans quel pays les 'pouvoirs publics' sont les moins voleurs ! Et donc, il est difficile de dépenser son argent sans se faire voir !! (car dans certains pays nazis il est mal vu d'être riche !). D'où tout une foultitude de problèmes qui se présentent en commençant par s'entourer d'un bon entourage car, lorsque l'on est riche... c'est fou ce que l'on peut avoir comme amis !! Et, je ne parle pas seulement des 'tire-laine' mais aussi des 'tire-la-gâchette' !!

Suffit de voir ces pays appelés 'paradis tropicaux' qui n'ont pourtant pas leurs rues pavées d'or ni l'électricité pour tous !
Faut dire tout de même que ces pays (plutôt petits et entourés d'eau) n'ont pas un PIB resplendissant car, la canne à sucre, ananas et bananes s'exportent mal et, quand on veut acheter voiture, faut bien la payer avec quelque chose. Donc, le chef de l'État a intérêt à fermer les yeux (et sa gueule aussi) sur les yachts amarrés aux pontons et les petits avions qui atterrissent la nuit.

Je ne parle pas du riche qui achète maison, terrain, meubles & bateau et s'en va à la pêche mais du riche milliardaire. Celui qui sait qu'il a tout ce qu'il faut pour vivre heureux jusqu'à la fin de ses jours et craint d'investir quelque part car, dans ce n'importe quoi il y a toujours des Bourses où des gens vivent de rapines.


Mais il n'y a pas que cette histoire de transfert d'une poche vers l'autre, il y a que des nouvelles valeurs se créent tous les jours ! Et, ce n'est pas le peuple qui manque ni les robots ! D'où la question: Pourquoi aujourd'hui au 21 è siècle n'est-on pas tous riches ?? Après tout, avec les esclaves (robots) qui travaillent gratos, on devrait tous baigner dans l'aisance. Oui mais... au prix qu'est l'aisance... (même s'il y a des lieux faits pour çà) les 'pouvoirs publics' s'en mêlent et créent (tous les jours) de nouvelles nouvelles taxes ! Des taxes sur tout ! Même des taxes sur les taxes !

Sans parler de l'eau gratuite qu'il faut payer, l'air gratuit qu'il faut payer et même, les 'énergies gratuites' hors de prix !! Car, faut pas prendre les gens pour des cons, si demain devait y avoir une 'énergie gratuite'... ce sont TOUS les marchands d'énergies qui mettraient leur holà en empêchant que cela se fasse.

mercredi 20 juin 2018

L’uranium de l’eau de mer : c’est faisable

le 20 juin 2018


Il y a eu lors d’une coopération entre la France et le Japon une tentative de récupération de l’uranium présent dans l’eau de mer qui s’est soldée par un semi-échec car les quantités de ce métal sous forme ionisée étaient très faibles. Cette fois-ci c’est le laboratoire national du Nord-Ouest (PNNL) aux USA qui a enfin réussi à piéger cet uranium dans les « filets » ioniques d’un tissu tout à fait courant mais modifié par voie chimique sur les polymères duquel a été greffée une molécule qui chélate spécifiquement l’ion uranium. Un tout petit aparté pour expliquer brièvement comme les choses se passent : les agents chélatants sont des molécules parfois complexes dont la structure se présente sous forme d’une cage ionisée également et il faut que sa dimension soit adaptée à l’atome ciblé. Après un peu de cogitation et comme l’uranium est l’atome le plus gros et le plus lourd naturellement présent sur la planète il a fallu quelques années pour obtenir un tel agent chélatant qui puisse être aisément greffé sur des fibres textiles.

En laissant durant quelques mois un kilo de fibres modifiées chimiquement baigner dans de l’eau de mer circulant à l’aide d’une petite pompe, les ingénieurs chimistes du PNNL ont réussi à récupérer 5 grammes d’uranium après l’avoir détaché de sa « cage chimique » spécifique par un traitement acide doux. Le textile a été récupéré en bon état et peut être utilisé à nouveau. Cinq grammes ce n’est pas beaucoup, certes, mais la quantité d’eau de mer est inépuisable et celle d’uranium non plus même si la teneur en uranium de l’eau de mer est ridiculement faible, de l’ordre de 3 parties par milliard (3 milligrammes par mètre-cube) alors qu’il y a en moyenne dans la croute terrestre 2,7 ppm d’uranium – 1000 fois plus que dans l’eau de mer – et que dans certains gisements les teneurs atteignent plus de 1 %.


Il suffira dans un proche avenir réaliser une telle extraction spécifique à grande échelle pour obtenir d’une manière très économique, presque gratuite si l’on peut dire, de l’uranium sans courir le risque d’appauvrir le gisement océanique qui est virtuellement infini.

Actuellement pour un coût global de 130 dollars le kg de « yellow cake » il y a des gisement exploitables contenant au bas mot 3,7 millions de tonnes d’uranium et les océans, après avoir prouvé la validité de la technique développée au PNNL, renferment 4 milliards de tonnes d’uranium ! Autant dire que l’énergie nucléaire civile a un bel avenir devant elle avec un combustible ayant un prix dérisoire. Le Japon, la Chine et l’Arabie Saoudite qui veut trouver des alternatives au pétrole pour dessaler l’eau de mer sont aussi sur ce coup fantastiquement économique.

Source et illustration (yellow cake – oxyde d’uranium – provenant de l’eau de mer) : LCW Supercritical Technologies (lcwsupercritical.com). La fibre modifiée a été développée par l’entreprise basée à Seattle pour initialement piéger du vanadium dans les eaux de rivière.

mardi 19 juin 2018

L’effet de serre du gaz carbonique : réalité ou fiction ?

le 19 juin 2018


Les ingénieurs experts dans l’industrie des radiations infra-rouges, en particulier celle du chauffage domestique, sont formels : la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique atmosphérique est fausse. Seuls les modèles fantaisistes des climatologues prennent en considération cette théorie pour expliquer le réchauffement du climat d’origine humaine. Revenons aux origines de la physique c’est-à-dire à la loi de Newton sur le refroidissement qui stipule que « La vitesse de perte de chaleur d’un corps est proportionnelle à la différence des températures entre celle de ce corps et celle de son environnement« . Il s’agit de la loi de physique qui définit le flux de chaleur entre deux corps physiques en contact et dans le cas qui nous préoccupe entre la l’atmosphère et la surface de la Terre et des océans. Elle s’écrit ainsi :

k est une constante à déterminer et qui requiert des calculs dont aucun d’entre eux n’a de lien avec la radiation infra-rouge émise par le corps considéré.

La théorie de l’effet de serre tente de définir les transferts de chaleur entre la Terre et l’atmosphère en utilisant la loi de Stefan-Boltzmann relative aux radiations infra-rouges qui nécessite un facteur qui est absent dans ce cas : la partie la plus basse de l’atmosphère devrait selon cette loi être séparée de la surface de la Terre par du vide, or elle est directement en contact avec la surface terrestre et celle des océans. Seule la loi du refroidissement de Newton peut donc s’appliquer dans le cas du système Terre-atmosphère. N’est-il pas axiomatique de ne pas pouvoir obtenir la bonne réponse quand on utilise la mauvaise loi pour décrire un phénomène ? Puisque Newton est mentionné ici auriez-vous la prétention d’utiliser la loi de la chute d’une sphère d’une hauteur de 5 mètres pour déterminer son volume ?

La question qui nous intéresse est donc de savoir si oui ou non il est possible de chauffer l’atmosphère à l’aide de radiations infra-rouges. Et si c’est le cas comment un tel transfert de chaleur entre la surface de la Terre et l’atmosphère selon la loi de Newton du refroidissement est-il affecté.

Plutôt que de faire des spéculations examinons ce que des centaines d’expériences scientifiques et des millions d’heures de retour d’expérience de chauffage domestique ont montré. D’abord considérons les travaux de John Tyndall (1820-1893), un physicien du XIXe siècle qui réalisa un grand nombre d’expériences dans son laboratoire pour tester l’aptitude de divers gaz à bloquer la transmission des rayons infra-rouges qu’il appela à l’époque les « rayons calorifiques ». Il testa par exemple le gaz carbonique jusqu’à une concentration de 80000 ppm, soit 200 fois plus que la teneur actuelle en ce gaz dans l’atmosphère et il conclut ainsi :

« Le gaz carbonique est l’un des plus faibles (feeblest dans le texte de Tyndall) absorbants de la chaleur radiante émise par une source solide. Il est par exemple extrêmement transparent au rayons émis par la plaque de cuivre chauffée à laquelle nous nous référons » (voir le lien en fin de billet).

Tyndall nota aussi qu’aux concentrations atmosphériques le gaz carbonique n’avait aucun effet sur la température de l’air quelle que soit la quantité de « radiations calorifiques » la traversant. Il écrivit : « À travers l’air (…) les ondes de l’éther passent sans absorption, et la température de ces gaz n’est pas sensiblement modifiée par les plus puissantes radiations calorifiques. »

En dépit de ces observations Svante August Arrhenius (1859-1927) spécula 30 ans après ces travaux de Tyndall que le gaz carbonique augmente la température du sol non pas selon la loi de Newton mais selon celle de Stefan-Boltzmann. Pour tester l’hypothèse d’Arrhenius le physicien suédois Knut Ångström (1857-1910) publia en 1900 des expériences qu’il réalisa dans son laboratoire dans un article intitulé « De l’importance de la vapeur d’eau et du gaz carbonique dans l’absorption de l’atmosphère« . (Annalen der Physik Bd3. 1900, p720-732). L’expérience d’Angström consistait à remplir un tube de verre avec un gaz contenant du gaz carbonique simulant une colonne d’air en contact avec le sol et atteignant le sommet de l’atmosphère. Il fit varier la teneur en gaz carbonique de moitié puis en la doublant et il fut incapable d’observer un quelconque changement de la température du gaz contenu dans cette colonne de verre quelle que soit l’intensité de la source d’infra-rouges.

Les observations d’Angström ont été confirmées par des millions d’heures d’utilisation des chauffages domestiques à infra-rouges par les ingénieurs et techniciens de cette discipline. Voici ce qu’ils en disent : « L’énergie infra-rouge se déplace à la vitesse de la lumière sans chauffer l’air qu’elle traverse car les radiations infra-rouges ne sont absorbées par le gaz carbonique, la vapeur d’eau et les autres gaz présents dans l’atmosphère que de manière négligeable. Les appareils de chauffage infra-rouge atteignent les objets présents dans une pièce mais n’affectent en rien l’air contenu dans une pièce. C’est le rayonnement diffus qui en résulte qui fait qu’une personne se sent confortable dans une pièce chauffée par un tel système de chauffage« .

Ainsi ce dont nous disposons est d’une part une somme d’ expérimentations scientifiques et d’autre part les observations du monde réel dans le domaine de l’application des rayons infra-rouges qui démontrent que les radiations IR ne chauffent pas l’air, et pourquoi ? Tout simplement parce qu’il a été démontré depuis la fin du XIXe siècle qu’une molécule de ces gaz composant l’atmosphère absorbent les rayons infra-rouges mais les réémettent tout aussitôt. John Tyndall écrivit aussi : « Selon cette expérience il a pu être prouvé qu’un arrangement moléculaire rendant un gaz un puissant absorbant de radiations calorifiques le rend aussi un puissant émetteur de ces radiations. Ainsi, alors que les atomes des gaz élémentaires de l’atmosphère font qu’ils sont incapables d’émettre de la chaleur radiante ils ont pu être montrés comme des perturbateurs de l’éther environnant« . En d’autres termes – disons « plus modernes » – accroître la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère accroît aussi l’émissivité de l’atmosphère. La loi de Stefan-Boltzmann définit la relation entre l’atmosphère et l’espace et un paramètre de cette loi décrit l’émissivité de l’atmosphère. Il a depuis longtemps été démontré qu’une constante d’émissivité élevée permet à la matière d’émettre la même quantité d’infra-rouges à une température plus basse. L’hypothèse de l’effet de serre suggère au contraire qu’accroître l’émissivité de l’atmosphère en ajoutant des « gaz à effet de serre » aura l’effet inverse et nécessitera alors que l’atmosphère soit plus chaud afin d’émettre la même quantité de rayonnement infra-rouge vers l’espace.

Comment peut-on ne pas comprendre que certaines personnes soient sceptiques au sujet d’une théorie qui d’une part utilise la mauvaise loi de la physique pour définir la relation entre l’atmosphère et l’espace extra-planétaire et qui d’autre part applique la loi de Stefan-Boltzmann à l’inverse de sa définition première !

Traduction aussi fidèle que possible d’un article écrit par Carl Brehmer, ingénieur thermicien dans l’industrie du chauffage domestique, en 2012 et paru sur le site de John Sullivan. Il est parfois salutaire de réexaminer les résultats scientifiques acquis il y a près de 150 ans.

De récentes publications scientifiques confirment les travaux de Tyndall qui ne disposait pas de thermomètre sensible au centième de degré. Par exemple un récent article du docteur B. M. Smirnov (lien) démontre que ce qui est suggéré dans l’article de Brehmer, à savoir la réémission du rayonnement infra-rouge par les molécules des gaz constituant l’atmosphère conduit à un élargissement des bandes d’absorption de ces derniers et que par conséquent un doublement de la teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère provoquerait un accroissement d’au plus 0,4 °C au sol. Or comme la quantité totale du gaz carbonique atmosphérique produite directement par l’activité humaine n’est que de 5 % du total de ce gaz carbonique la contribution d’origine humaine dans l’évolution récente de la température de la planète Terre n’est que de 0,02 °C ! Il n’y a pas lieu de s’alarmer plus avant car il y a encore de la marge pour tous être grillés comme des toasts comme le clamait il y a quelques années la Directrice du FMI Christine Lagarde.

Tyndall J., Fragments of Science : A series of Detached Essays, Addresses ans Reviews, (1879) disponible sur le site http://www.gutenberg.org

B.M. Smirnov, Journal of Physics D, doi : 10.1088/1361-6463/aabac6

Fiscalité = vol

Par Jeff Thomas
Homme international
19 juin 2018


Le vol est défini comme «la prise de biens ou de services d'une autre personne sans la permission ou le consentement de cette personne».

Presque invariablement, les gouvernements adoptent des lois fiscales et fixent des taux d'imposition sans consulter les citoyens. En outre, aucune approbation finale n'est demandée par les citoyens qu'ils consentent à la taxe ou les taux. C'est simplement imposé.

La plupart d'entre nous ont tendance à ne pas considérer la taxation comme un vol, mais, par définition, c'est exactement ce que c'est.

Mais certains pays, notamment les États-Unis, vont plus loin en dissimulant le vol en déclarant que le paiement de la taxe est «volontaire». Personnellement, je ne connais aucun cas où une personne ou une société a décidé de ne pas payer de taxe. si découvert, a été autorisé à rester impuni. Une pénalité typique est une amende égale au montant de la taxe, plus les intérêts composés sur l'impôt et l'amende. Une telle condition est tout sauf volontaire.

Les États-Unis ont aussi pour habitude de considérer le paiement de l'impôt comme «patriotique». Éviter l'impôt est considéré comme antipatriotique - les citoyens devraient donc être fiers de payer des impôts et, en fait, de nombreux Américains prétendent être fiers de payer. Il semblerait aussi probable que certains taxent la fiscalité, mais veulent paraître patriotique, alors que d'autres portent vraiment la fiscalité comme une chemise de cheveux avec fierté.

Cependant, si nous définissons la fiscalité comme ce qu'elle est - le vol - il serait beaucoup moins probable que l'une ou l'autre de ces factions prenne cette position. Après tout, personne n'est fier d'être volé.

Certains pays (encore une fois, notamment les États-Unis) décrivent les paradis fiscaux comme des juridictions qui cherchent à saper les régimes fiscaux d'autres juridictions. À ce titre, les refuges sont harcelés et menacés par ces derniers et qualifiés de centres criminels de blanchiment d'argent.

Eh bien, nettoyons l'air sur celui-là pendant que nous y sommes.

Un paradis fiscal est tout simplement une juridiction qui a un régime fiscal ou non fiscal. Il vole moins de l'argent des gens que les juridictions à fiscalité élevée, ou ne vole rien de leur argent.

Il est ironique que les États-Unis soient à l'avant-garde de la persécution des paradis fiscaux, car les États-Unis sont apparus en 1776 à la suite d'une taxation abusive par le roi George d'Angleterre. (A cette époque, le roi exigeait une taxe colossale de 2 %, et les colons étaient indignés.)

Les États-Unis ne sont certainement plus la patrie de l'idéal américain. En fait, il est lentement transformé pour devenir exactement le contraire. Si l'un des pères fondateurs américains devait réapparaître aujourd'hui, on pourrait leur pardonner s'ils disaient: «Je ne pense pas que nous soyons en Amérique, Toto.

Pourtant, les États-Unis, ainsi que l'UE, l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) et d'autres ont exercé des pressions à répétition sur les paradis fiscaux et ont menacé ou imposé des sanctions économiques contre eux.

Mais, pourquoi cela devrait-il être ? Après tout, la plupart des paradis fiscaux existent dans les petits pays où les déposants se voient tout simplement offrir une bonne affaire. Et, il est important de noter que ce qu'ils offrent n'est en aucun cas criminel. Alors, pourquoi les juridictions plus grandes et oppressives sont-elles si vexées par les paradis fiscaux ?

Eh bien, tout d'abord, il est important de comprendre que les gouvernements n'existent pas dans le but de servir les gens, comme ils le prétendent si souvent. Leur véritable affaire est de scalper la population autant que possible, à moins de créer un soulèvement.

Vu sous cet angle, il est plus facile de voir qu'ils ne cherchent pas l'équité ou l'opportunité pour leur peuple, ils cherchent à les dépouiller de leur richesse, simplement et simplement. Ergo, tout l'argent qui passe de leurs citoyens à un paradis fiscal, même si c'est fait à 100% légalement, c'est de l'argent que le gouvernement n'a pas volé ... et ils veulent mettre la main dessus.

En plus de cela, l'existence même d'un pays qui a un régime fiscal avantageux ou non fiscal met en lumière un pays défavorisé. Les paradis fiscaux rappellent que la fiscalité directe n'est même pas nécessaire pour diriger un pays.

Si cela semble aujourd'hui impossible aux Américains, il suffit de rappeler que l'impôt sur le revenu a été introduit il y a à peine cent ans, en 1913. Les États-Unis ont traversé la révolution industrielle et couvert la carte de voies ferrées d'un océan à l'autre ... la période la plus productive du pays - sans impôt sur le revenu.

Bien sûr, si vous arrêtez de voler des gens, ils prospéreront et seront plus productifs.

Par conséquent, il est compréhensible que le gouvernement ne souhaite pas qu'on rappelle à sa population qu'un gouvernement (même dans un très grand pays) n'a pas besoin de compter sur une imposition directe.

Enfin, les États-Unis sont le foyer des paradis fiscaux les plus importants au monde. (Andrew Penney de Rothschild & Co a décrit les États-Unis comme «le plus grand paradis fiscal du monde».)

Les normes bancaires du Nevada, du Delaware, du Montana, du Dakota du Sud, du Wyoming et de New York sont bien en deçà de ce que les États-Unis exigent de paradis tels que Jersey, Panama et les Bahamas.

En fait, les États-Unis ont fermement refusé de se conformer à la FATCA (Foreign Account Tax Compliance Act), qui exige des autres pays ... même si cela implique que le non-respect des règles suggère un comportement criminel.

Mais, il y a une différence significative dans les États-Unis paradis fiscaux et les paradis fiscaux à l'étranger. Les refuges à l'étranger sont ouverts à tous, y compris les populations locales. Les refuges basés aux États-Unis sont ouverts à tous sauf aux Américains.

Essentiellement, ce que cela signifie, c'est que «si vous êtes de la France et que vous estimez que votre gouvernement vous vole trop d'argent par le biais de la fiscalité, nous sommes heureux de vous aider à échapper à ses griffes. Mais, si vous êtes américain, nous avons l'intention de continuer à vous voler. "

Benjamin Franklin était célèbre pour dire, "dans ce monde, rien ne peut être dit à l'exception de la mort et des impôts."

C'est tout à fait vrai, mais il est regrettable que la déclaration ait jamais été faite, car les gens acceptent n'importe quel type d'impôt, quel que soit le degré d'imposition. Étant donné que M. Franklin a accepté le concept, il a créé une acceptation générale de toute imposition de taxe.

C'est le plus malheureux. Il y a des pays dans le monde où toute nouvelle taxe et / ou toute augmentation du taux d'imposition est combattue avec ferveur - et la population gagne souvent. Un refus d'acceptation de la fiscalité directe, en particulier, a permis à au moins une juridiction d'être exempte à 100 % de toute imposition directe dans l'ensemble de son histoire de plus de 500 ans. (En fait, un moyen sûr pour un politicien d'être rejeté est de suggérer l'introduction de la fiscalité directe.)

Par conséquent, le vol par son gouvernement ne doit jamais être considéré comme acquis. Dans de nombreux pays, l'individu n'a aucun espoir d'échapper au vol du gouvernement. Et il est indéniable que républicain ou démocrate, travailliste ou tory, tous les politiciens cherchent à voler leurs subordonnés par l'impôt.

Cependant, la victime ne devrait jamais devenir complaisante ou apathique. Chaque fois qu'un gouvernement élu vole un électeur, l'acte doit être identifié comme étant ce qu'il est.

Après tout, c'est cette identification même de l'impôt qui a apporté la liberté aux colonies américaines en premier lieu.

Reprinted with permission from International Man.

lundi 18 juin 2018

Énergies renouvelables Échec: combustibles fossiles, charbon, même dominance de notre mix énergétique qu'il y a 20 ans

June 17th, 2018



Malgré 20 ans de propagande ininterrompue et de dénigrement belliqueux, étrangement, les politiques vertes des experts n'ont absolument rien donné à ce qu'ils ont dit viser. Le charbon a fourni 38 % de notre énergie en 1998 et il est toujours le même 38 % en 2017. Le secteur des carburants non fossiles a en fait diminué légèrement à mesure que les armes nucléaires diminuent.

Nous avons dépensé des milliards pour faire exactement ce qui était demandé. Peut-être suivre les conseils de personnes qui pensent que le débat est terminé et que «denier» est un terme scientifique pourrait ne pas être la meilleure politique énergétique nationale ?

BP Energy Review, Graph, Fuel shares in power generation, 2018.
BP Energy Review, Graphique, Parts de carburant dans la production d'électricité, 2018.

Carburant part dans la production d'énergie mondiale pour les 20 dernières années | BP Energy Review, 2018.

La domination à long terme des combustibles fossiles est incontestée
Graham Lloyd, L'Australien

La demande mondiale de charbon et de gaz pour produire de l'électricité était de nouveau à la hausse l'année dernière ...

Le plus frappant a été l'échec des énergies renouvelables à avoir un impact sur la part des énergies fossiles dans la production d'électricité, a déclaré l'économiste en chef du groupe BP, Spencer Dale.

«Malgré la croissance extraordinaire (mondiale) des énergies renouvelables ces dernières années et les efforts considérables déployés pour encourager le passage du charbon à des carburants moins polluants et plus sobres, le mélange énergétique n'a pratiquement pas progressé au cours des 20 dernières années," il a dit.

La part du charbon dans le secteur de l'électricité était de 38 % en 1998, exactement comme en 2017.

"La part des combustibles non fossiles en 2017 est en réalité un peu inférieure à ce qu'elle était il y a 20 ans, car la croissance des énergies renouvelables n'a pas compensé la baisse de la part du nucléaire", a déclaré M. Dale.

h / t Pat.

Les ingénieurs et autres sceptiques ont prédit que cela arriverait. À ce stade, les Verts honnêtes qui se soucient des émissions de gaz carbonique demanderaient de l'aide. Comme ils ne le sont pas, nous pouvons supposer que les politiques vertes des experts atteignent ce que les Verts veulent, ils ne sont tout simplement pas honnêtes.

Si les énergies renouvelables étaient peu coûteuses et fiables, le monde en développement se précipiterait vers l'Ouest. Les Chinois ne sont pas stupides, ils signent des pactes pour ne rien faire pendant qu'ils utilisent du charbon et des armes nucléaires. Ils ont essayé l'énergie solaire, mais ils ont réalisé que c'était toxique, qu'ils coûtaient plus cher et qu'ils réduisaient les subventions.

Ne vous méprenez pas, les politiques en matière d'énergies renouvelables atteignent des objectifs «verts»

Les politiques prétendant réduire le gaz carbonique ont réduit le rôle du marché libre, transformé un cinquième de toutes les maisons en Australie en générateurs subventionnés, et le contrôle gouvernemental accru de notre énergie en tant que secteur plus large devient dépendant de la distribution. Ils ont diabolisé les producteurs d'énergie indépendants, créé une crise et utilisent cette crise pour blâmer la «privatisation» et le marché libre. Ils ont pollué le concept d'un marché libre au point où les gens en sont venus à penser qu'un marché fictif où le gouvernement a entièrement et artificiellement fixé l'offre et la demande était «libre». Ils ont pollué le mot pollution ...

Si les Verts / Travaillistes se souciaient vraiment du gaz carbonique, ils feraient quelque chose de différent.

BP maîtrise parfaitement la ligne de la Classe de Décision
Pourquoi ne pas BP ? Elle en profite - les ventes de gaz augmentent avec une production éolienne et solaire plus incertaine, et le proxénétisme tient les intimidateurs à distance.

Spencer Dale, économiste en chef du groupe chez BP, grince des dents, "Oh Woe"

Le secteur de l'électricité compte vraiment. C'est de loin le plus gros marché de l'énergie: il absorbe plus de 40% de l'énergie primaire l'année dernière. Et il est à la pointe de la transition énergétique, à mesure que les énergies renouvelables se développent et que le monde électrise. L'examen statistique de cette année comprend pour la première fois des données complètes sur la composition du carburant dans le secteur de l'énergie, ce qui nous aide à mieux comprendre ce secteur clé.

La production mondiale d'électricité a augmenté de 2,8 % en 2017, près de sa moyenne décennale. Presque toute cette croissance est venue du monde en développement. La demande des pays de l'OCDE a légèrement augmenté, mais le découplage de la croissance économique et de la demande d'électricité au sein de l'OCDE s'est poursuivi au cours des dix dernières années, le pouvoir de l'OCDE ayant stagné au cours de la dernière décennie.

Repérer un problème: la moitié de la croissance de la production totale d'électricité et pourtant seulement 8 % de la puissance totale ?

L'augmentation de la production mondiale d'énergie est tirée par la forte croissance des énergies renouvelables, tirée par les éoliennes (17 %, 163 TWh) et l'énergie solaire (35 %, 114 TWh), qui représentent près de la moitié de la croissance pour seulement 8% de la production totale. Bien que le vent ait continué dans son rôle de cousin plus grand et plus établi, c'est l'énergie solaire qui a fait toutes les vagues.

C'est frappant et inquiétant, et nous recommandons ... de faire plus de la même chose.

Retournant du détail de ce qui s'est passé l'an dernier, le graphique le plus frappant - et le plus inquiétant - de l'ensemble de cette revue statistique est l'évolution du mix énergétique dans le secteur de l'électricité au cours des 20 dernières années.

Heureux: en dépit de la croissance extraordinaire des énergies renouvelables ces dernières années et des énormes efforts déployés pour encourager le passage du charbon à des carburants moins polluants et moins polluants, le mix énergétique n'a pratiquement pas progressé au cours des 20 dernières années. La part du charbon dans le secteur de l'électricité en 1998 était de 38 % - exactement la même qu'en 2017 - avec une légère baisse ces dernières années qui a simplement renversé la tendance au début des années 2000 associée à l'expansion rapide de la Chine. La part des non-fossiles en 2017 est en réalité un peu inférieure à ce qu'elle était il y a 20 ans, car la croissance des énergies renouvelables n'a pas compensé la baisse de la part du nucléaire. Je n'avais aucune idée que si peu de progrès avaient été faits jusqu'à ce que j'ai regardé ces données.

Inquiétant: parce que le secteur de l'électricité est la source d'émissions de carbone la plus importante de la consommation d'énergie, représentant plus d'un tiers de ces émissions en 2017. Pour avoir une chance d'atteindre les objectifs climatiques de Paris, il faudra des améliorations significatives dans le secteur de l'énergie. Mais c'est un domaine où, au niveau mondial, nous n'avons même pas fait un pas en avant, nous sommes restés immobiles: parfaitement immobile depuis 20 ans. Ce tableau devrait servir d'avertissement pour nous tous.

Reste calme et continue de faire ce que nous faisons

Conclusion: En 2017, les marchés mondiaux de l'énergie ont reculé en termes de transition vers un système énergétique à plus faible émission de carbone: la croissance de la demande d'énergie, la consommation de charbon et les émissions de carbone ont augmenté. Mais cela devrait être vu dans le contexte des résultats exceptionnels enregistrés au cours des trois dernières années. Certains reculs étaient presque inévitables. La route vers la réalisation des objectifs climatiques de Paris risque d'être longue et difficile, avec de nombreux rebondissements, des glissements vers l'avant et des trébuchements rétrogrades. Pour naviguer dans notre progression, il faudra des données opportunes, complètes et pertinentes. C'est le rôle de l'analyse statistique de BP.

Rappelez-vous que le charbon et les armes nucléaires sont l'ennemi du gaz.

REFERENCE
BP Statistical Review of World Energy, 2018.