- ENTREE de SECOURS -



samedi 31 octobre 2020

Electricité : la France rallume le charbon !


 Le choix d’arrêter des réacteurs nucléaires oblige la France à se tourner vers une production d’électricité polluante et émettrice de gaz carbonique, au charbon !


Par Michel Gay.

1 NOVEMBRE 2020


C’était prévisible, la France a rallumé en septembre et en octobre ses quatre centrales à charbon fortement émettrices de gaz carbonique, et d’une puissance presque identique aux deux réacteurs nucléaires de Fessenheim fermés en début d’année 2020 qui n’émettaient pas de gaz à effet de serre…

Demain, elle construira des centrales au gaz importé de Russie et des États-Unis pour compenser les 14 fermetures de réacteurs nucléaires prévues par la délirante Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE)

LE RETOUR DES CENTRALES À CHARBON !

Le choix paradoxal d’arrêter des réacteurs nucléaires oblige la France et l’Europe à se tourner vers une production d’électricité polluante et émettrice de CO2, au charbon ou au gaz, lorsque le vent faiblit et que le soleil brille peu ou… pas du tout la nuit. Pilotés par les dieux Eole et Hélios, ces productions n’ont aucune raison de correspondre aux moments où les hommes en ont besoin.

Et les insurmontables difficultés techniques ainsi que le coût astronomique du stockage d’énergie, y compris par inertie dans des volants en béton, pour compenser les productions intermittentes des éoliennes et des panneaux photovoltaïques (PV) sont passés sous silence pour mieux présenter ce leurre.

Pourtant, le nucléaire a été déclaré « bon pour le climat » par l’État français dans le plan de relance de l’économie publié le 3 septembre 2020.

Une centrale à charbon d’une puissance de 1000 MW utilisée la moitié de l’année (environ 5000 heures) rejette chaque année 5 millions de tonnes (Mt) de gaz carbonique dans l’atmosphère (chaque kilowattheure produit émet presque 1 kilogramme de gaz carbonique), et produit des cendres contenant des métaux lourds (cadmium, nickel, mercure, plomb…) et autres produits toxiques (antimoine, arsenic, béryllium, fluor…), ainsi que plusieurs tonnes d’uranium et de thorium avec ses descendants radioactifs : radium, radon, polonium…. qui ne sont pas gérés contrairement à ceux produits dans le cycle nucléaire.

Pendant ce temps, une campagne de dénigrement est menée contre le transport aérien dont les vols intérieurs (y compris Outre-mer) émettent moins de 5 Mt de gaz carbonique. Et l’ensemble des vols ne comptent que pour 3 % des émissions de gaz  à effet de serre en France (qui elle-même n’émet que 1 % des émissions mondiales…).

Les autres 17,9 Mt sont imputés au transport aérien international… qui ne peut pas être remplacé par le train.

CHARBON ET POLITIQUE ANTINUCLÉAIRE COÛTEUSE

Le 14 septembre 2020 EDF a acheté cher (jusqu’à 4 fois le prix habituel du marché soit 120 euros par mégawattheure) de l’électricité presque totalement produite ce jour-là par du charbon et du gaz en Allemagne pour faire face à la demande, alors que la production EDF est presque entièrement décarbonée.

Ces tensions ont une nouvelle fois montré à l’Europe et au monde entier que la consommation des énergies fossiles (charbon et surtout gaz), n’est pas prête de diminuer en Europe et dans le monde.

La consommation de charbon stagne en Allemagne et en Pologne. Elle est même en augmentation dans le monde (Inde, Chine…).

Les recommandations du Groupement International d'Etudes sur le Climat (GIEC) de développer le nucléaire ne semblent toujours pas prises en compte… Ce rapport a clairement montré que l’Europe doit saisir l’opportunité du nucléaire pour réduire sensiblement l’utilisation des combustibles fossiles.

Se mettre la tête dans le sable ne servira à rien, sinon à cacher l’évidence : le charbon, le gaz « naturel » ou de schiste et le nucléaire ont un grand avenir en Europe et dans le monde !

Autant prendre en compte la réalité du futur et la gérer au mieux…

RETOUR DU NUCLÉAIRE

Les États de l’Union européenne actuellement les plus dépendants du charbon comme la Pologne, l’Allemagne et la République Tchèque (qui ne possède ni le vent de l’Allemagne du nord, ni le soleil de l’Espagne) ne pourront pas passer à des sources d’énergie moins émettrices de gaz carbonique, et économiquement soutenables, sans le nucléaire.

Les compétences tchèques dans le domaine de l’énergie nucléaire sont solides depuis longtemps. Le pays a déjà développé son industrie et sa propre chaîne d’approvisionnement. L’élimination du charbon et son remplacement par le nucléaire font partie de la politique énergétique tchèque depuis 2015. Les centrales nucléaires à Dukovany et Temelin fournissent actuellement plus du tiers de l’électricité du pays et cette part devrait atteindre 50 % en 2040.

Les pays du groupe de Visegrád (Hongrie, Pologne, République Tchèque et Slovaquie) soutiennent le nucléaire, ce qui agace… les Allemands.

La Pologne, qui dépend actuellement à 80 % du charbon pour ses besoins en électricité, souhaite disposer de sa première centrale nucléaire d’ici 2033.

Les prévisions pour 2040 indiquent que 32 % de son énergie sera produite à partir du charbon et 18 % à partir du nucléaire.


QUEL SYSTÈME DE STOCKAGE CHOISIR

L’hydraulique a presque atteint ses limites techniques, environnementales et sociales en France et l’hydrogène n’est pas une solution viable car sa production consomme trois fois plus d’électricité que celle restituée au réseau.

Physiquement, économiquement et écologiquement, un système photovoltaïque et éolien autonome est impossible à mettre en place à grande échelle, quel que soit le moyen de stockage envisagé en parallèle.

Depuis deux ans RTE assure que  « la sécurité d’approvisionnement sera assurée« . RTE a simplement oublié de préciser que ce serait avec les centrales à charbon restantes… Que fera RTE pour faire face à une demande d’électricité soutenue lors d’un hiver rigoureux avec peu de vent dans toute l’Europe durant deux semaines et peu d’ensoleillement (donc aucun la nuit) ?

Une mouvance verte voudrait faire croire que les énergies renouvelables du vent et du soleil pourraient être « autonomes ». C’est tout simplement une escroquerie intellectuelle de plus.

Des promoteurs éoliens ne se gênent plus pour cracher sur la démocratie à chaque partie perdue devant des consultations populaires. Et ils se trouvent toujours des Verts pour voler au secours de ces promoteurs éoliens et solaires irresponsables.

Divers lobbies verts et industriels ont démontré leur capacité à nuire à la cohésion sociale pour servir leurs intérêts de promoteurs peu soucieux du respect de la démocratie et des droits humains.

C’est à vomir.

La plus grosse erreur à faire pour ceux qui veulent « sauver le climat » serait de voter pour les Verts antinucléaires car leur programme est à l’opposé de ce qu’il serait urgent de faire.

Pour les autres partis, un immense travail d’information semble nécessaire afin de leur éviter de construire eux aussi des scénarios bidons fondés sur les énergies renouvelables (hors hydraulique) pour verdir bêtement leur programme… contre les lois de la physique et de l’économie.

Et tous les partis politiques feraient bien de prendre conscience que, à ce jeu détestable de surenchère du plus gros mensonge vert ruineux, la démocratie est davantage en danger que la planète, car ce comportement contribue à nuire à leur image dans l’opinion publique.

https://www.site-de-merde-aux-cookies-espions-obligatoires

Sean Connery, James Bond éternel

 L’acteur écossais, légendaire interprète de James Bond, est décédé ce samedi à l’âge de 90 ans. Retour sur une carrière qui a marqué plusieurs générations.

Plus célèbre serviteur de Sa Majesté dans le rôle de James Bond, Sean Connery a clos à jamais son regard séducteur à l’âge de 90 ans, laissant en héritage une carrière éclectique et un engagement profond pour son Écosse natale.

À 80 ans passés, il continuait à incarner un certain idéal masculin, du genre viril, mû par un irrésistible charisme, un détachement cynique derrière ses sourcils en accent circonflexe et une voix délicieusement rocailleuse.

Un homme, un vrai, un alpha mâle comme on n’en ferait plus, et capable d’être élu homme le plus sexy de la planète au bel âge de 59 ans. Bref un tombeur, à l’image de James Bond, ce personnage qui lui collera à la peau pour l’éternité.

Mais avant de siroter des vodka-martini aux bars des plus somptueux casinos et de conquérir les plus belles femmes dans le rôle de 007, Sean Connery a d’abord cherché à fuir sa condition, particulièrement modeste.

«Né dans la pauvreté abjecte des faubourgs d’Édimbourg, son rêve unique et primaire consiste à s’échapper. C’est la pauvreté qui a mis Sean Connery en route», souligne l’un de ses biographes, Michael Feeney Callan.

Il quitte l’école tôt et s’engage à 16 ans dans la Marine. L’expérience s’achève sur les quais de Portsmouth où il perfectionne ses passe-temps favoris: football – il est doué au point de se voir offrir un contrat par Manchester United -, boxe et filles.

C’est de cette époque que datent ses deux tatouages – «Mum and dad» et «Scotland forever» – sur l’avant-bras droit. Famille et Écosse, les deux priorités de sa vie.

Polisseur de cercueils

Rendu à la vie civile au bout de trois ans après un ulcère, il enchaîne les petits boulots: maître-nageur, maçon, routier mais aussi livreur de charbon, garde du corps et polisseur de cercueil.

«Pour plaire aux filles», il se lance dans le culturisme et termine troisième au concours de Mister Univers 1950.

Son 1,88 m et son charme vont devenir son passeport pour la gloire. Il a 27 ans quand, repéré dans un téléfilm pour la BBC, il signe avec la 20th Century Fox.

Invité à passer un essai pour l’adaptation d’un roman d’espionnage, il refuse net. «Vous me prenez comme je suis ou vous ne me prenez pas». Le bluff paye, et le rôle de 007 dans «Dr No» en 1962 lui revient pour 16.000 dollars.

Succès immédiat, il va incarner à six reprises (sans compter le non-officiel «Jamais plus jamais») l’agent secret qui fera fantasmer des hordes de jeunes filles et rêver les garçons.

«Il est impossible d’être un enfant des sixties sans avoir regretté à un moment ou un autre de ne pas être Sean Connery», écrit Christopher Bray dans «Sean Connery: A Biography».

Propulsé star internationale, Sean Connery tourne dès lors avec les plus grands, en conservant en toutes circonstances son accent écossais. Il gagne un Oscar avec «Les Incorruptibles» et interprète de plus en plus des rôles de père spirituel, dans «Highlander», «Le nom de la rose» ou «Indiana Jones et la dernière croisade».

Le tout en devenant au fil des années «plus séduisant que jamais», comme le souligne le spécialiste du cinéma Christian Dureau. En 1989, le magazine People le consacre «homme vivant le plus sexy», alors qu’il va allègrement sur ses 60 ans.

«En exil»

Sa popularité ne sera jamais démentie: en 2013, il est élu acteur britannique préféré des Américains, dix ans après sa «retraite» au bout de 64 films.

Seul son combat pour l’autonomie de son Écosse natale fait lever quelques sourcils. Il aurait aussi retardé jusqu’en juillet 2000 son anoblissement par la reine Elizabeth II.

«En exil» en Espagne ou aux Bahamas (pour des raisons fiscales), il a vécu ces dernières années à New York avec sa deuxième femme, la portraitiste française Micheline Roquebrune, rencontrée sur les greens de golf et aussitôt épousée, en 1975.

«Comme elle ne parlait pas anglais et que je ne parlais pas français, il y avait peu de chances qu’on sombre dans des discussions ennuyeuses. C’est pourquoi on a convolé si rapidement», plaisantait Sean Connery, marié une première fois à une actrice australienne, Diane Cilento, avec laquelle il a eu un fils, Jason, né en 1963.

Annoncé comme mort dès 1993 par des agences de presses australiennes et japonaises, il a fini par rendre les armes samedi à 90 ans. Car il est vrai: «On ne vit que deux fois».

https://www.lematin.ch/story/sean-connery-james-bond-eternel-867139805962

vendredi 30 octobre 2020

Didier Raoult va porter plainte pour mise en danger de la vie d'autrui contre l'ANSM

 TVL

jeu., 29 oct. 2020 19:08 UTC 

Depuis le début de la crise sanitaire, les débats autour de l'hydroxychloroquine, une molécule utilisée dans le protocole de soins du professeur Didier Raoult, ont fleuri partout, au point de transformer une question scientifique en hystérie générale. Il y a une semaine, l'ANSM, l'agence nationale de sécurité du médicament, a refusé une RTU, une recommandation temporaire d'utilisation pour l'hydroxychloroquine à l'infectiologue marseillais. Un refus infondé selon Didier Raoult qui rappelle que la molécule est utilisée depuis des décennies. Mais sa colère ne s'arrête pas là, au contraire. En effet, face au refus de tester dans des conditions sérieuses l'hydroxychloroquine, les autorités de santé ont consenti il y a plusieurs mois à délivrer une ATU, autorisation temporaire d'utilisation, au médicament du laboratoire américain Gilead, le Remdesivir. Un médicament reconnu comme dangereux par la HAS, la Haute Autorité de Santé.

Face à ce « deux poids deux mesures », Didier Raoult a donc décidé de saisir la justice en déposant une plainte pour mise en danger de la vie d'autrui contre l'ANSM. Son avocat, maître Fabrice di Vizio, nous explique cette affaire complexe.



Financer une expatriation par un placement immobilier - cas pratique du Brésil

 Charles Dereeper

http://www.objectifeco.com/expatriation/mode-demploi/pour-expatries-confirmes/financer-une-expatriation-par-un-placement-immobilier-cas-pratique-du-bresil.html

Covid 2ème bouclage - la stratégie à méditer pour vous protéger

 Charles Dereeper

http://www.objectifeco.com/expatriation/mode-demploi/debuter-choisir-son-pays/covid-2eme-bouclage-la-strategie-a-mediter-pour-vous-proteger.html

mercredi 28 octobre 2020

Hydrogène : j’y ai cru !


 L’hydrogène est fondamental dans la chimie industrielle, mais la « civilisation hydrogène » est un piège dangereux pour l’Europe toute entière.


28 OCTOBRE 2020 

Par Michel Gay.


« L’hydrogène, j’y ai cru ! » s’exclame dans son dernier livre « L’utopie hydrogène » le professeur Samuel Furfari, ingénieur-chimiste, qui a travaillé 36 ans dans le domaine de l’énergie et de l’environnement à la Commission européenne.

L’hydrogène est, et restera, fondamental dans la chimie industrielle. Mais il y a longtemps qu’il a compris que la « civilisation hydrogène » soutenue par le gourou du gotha Jérémy Rifkin ne menait nulle part et, pire, que c’était un piège dangereux pour l’Europe toute entière.

UNE ILLUSOIRE STRATÉGIE HYDROGÈNE

En juin 2020, l’Allemagne a annoncé une « stratégie hydrogène » ridicule. Etrangement, le mois suivant la Commission européenne lui emboite le pas en copiant l’Allemagne qui mène la danse de la folle transition énergétique européenne avec son « EnergieWende ».

Cette incroyable stratégie hydrogène n’aurait-elle d’autre but que de sauver l’EnergieWende ?

Un plan de relance européen avec des centaines de milliards d’euros à la clé est annoncé. Tous les chasseurs de subventions se frottent les mains devant ce pactole et rivalisent d’ingéniosité pour accaparer à leur profit cet argent « gratuit » qui coutera cher aux prochaines générations.

Samuel Furfari se désole de constater que la Commission européenne néglige l’expérience de ses propres fonctionnaires, ainsi que 50 ans de recherche européenne antérieure, pour se lancer dans une voie déjà connue pour être sans issue.

Les médias, toujours friands de science-fiction écologique, ont donné un écho favorable, et même parfois enthousiaste, à la résolution du Parlement européen relançant une stupide « stratégie hydrogène » le 20 janvier 2020, tandis que certains experts de la Commission européenne faisaient part de leur dépit en privé.

Le mot « juste » y figure 15 fois pour mieux masquer son injustice sociale et le mot « financement » y figure 47 fois pour mieux signifier son coût… en filigrane.

L’IGNORANCE DE LA CHIMIE


Samuel Furfari explique pourquoi cette stratégie hydrogène relève du « n’importe quoi » par ignorance de la chimie. Et il le sait d’autant mieux qu’il a cru aussi un moment à l’illusion hydrogène « énergie » avant de comprendre que c’était une impasse.

Il explique en 160 pages dans « L’utopie hydrogène » (également disponible en anglais) pourquoi tous les rêves sur l’hydrogène (et sur les biocarburants) sont voués à l’échec parce que fondés sur une idéologie politique ignorant la science. Pourtant, certains politiciens de haut rang comme l’Allemande Angela Merkel (physicienne) ont été des scientifiques.

Mais la puissance de la politique (qui pour certains consistent à faire rêver et à enchanter par le mensonge) prévaut sur la science…

L’auteur montre, page après page, en se fondant sur les échecs des expériences passées depuis au moins 40 ans, que l’utilisation de l’hydrogène pour stocker de l’électricité, ou en produire, ou comme carburant dans les transports est une totale ineptie.

Il s’étonne aussi que les décideurs d’aussi ridicules « stratégies » ne soient pas alertés par leurs administrations respectives.

UNE ERREUR ASSUMÉE ?

Samuel Furfari se demande si cette illusion collective n’est pas une erreur assumée par certains politiciens cyniques  pour couvrir une autre erreur antérieure : celle du développement à marche forcée des énergies renouvelables intermittentes, poussée par l’Allemagne,… pour favoriser le gaz !

Et cette erreur stratégique ruineuse pour les populations européennes actuelles et futures est d’autant plus facile à commettre et à « assumer » que les responsables de cette gabegie ne seront plus aux commandes quand elle deviendra manifeste pour tous !

C’est pourquoi le premier chapitre de son livre destiné à démonter l’illusion hydrogène s’intitule « J’y ai cru ! » et que le dernier se conclut par « La course vers nulle part ».

https://www.contrepoints.org/2020/10/28/383075-hydrogene-jy-ai-cru

mardi 27 octobre 2020

Follow The Science - 1.2 Million COVID Deaths Edition













par Tyler Durden

Mar, 27/10/2020 - 08:48

Rédigé par Mark Jeftovic via OutOfTheCave.io,


Ce message était à l'origine mon commentaire à une personne sur Facebook, que quelqu'un a ensuite supprimé. Cette personne jette à plusieurs reprises le chiffre de 1,2 million de décès dans le monde et je l'ai finalement perdu et lui ai posté une réponse après qu'il ait réprimandé les gens pour «répandre de la désinformation et ne pas écouter la science». Il a en fait dit aux personnes contestant l'hystérie de la deuxième vague de «se taire et d'écouter le gouvernement et la science».

Comme l'un de mes économistes préférés de tous les temps, Thomas Sowell, dirait…. «Oh mon Dieu, par où commencer ?»

1 million ou 1,2 million de morts dans le monde sonne comme un grand nombre et à lui seul, vous pouvez l'utiliser pour faire taire les «Covidiots», c'est-à-dire jusqu'à ce que vous le regardiez réellement.

Pour commencer, regrouper un nombre, n'importe quel nombre isolé n'a pas de sens. Pour qu'un nombre ait une quelconque pertinence, pour quoi que ce soit, il doit faire partie d'un ensemble de données ou faire partie d'une comparaison significative.

Si nous prenons les 1,2 million de décès COVID dans le monde, en face (plus à ce sujet ci-dessous), la question évidente devient alors «est-ce bon ou mauvais?»

Le signal le plus utile que nous pouvons obtenir d'un bilan mondial de décès COVID est de savoir comment il se compare à ce que l'on appelle globalement les «taux absolus de mortalité», qui sont simplement le taux de tous les décès de toutes causes.


Source https://ourworldindata.org/excess-mortality-covid Vous pouvez choisir différents pays. Le Canada n'était pas une option, mais la plupart des courbes se ressemblent.

À partir des graphiques, nous pouvons clairement le voir, il y avait beaucoup de surmortalité en mars et avril, puis, comme toutes les autres mesures significatives autour du coronavirus, il diminue radicalement et commence à se stabiliser, avec une légère hausse saisonnière alors que nous nous dirigeons. en hiver.

Fait intéressant, dans la Suède «sans verrouillage», il s'avère que leur nombre absolu de morts est bien inférieur à ce que l'on pourrait penser:

Source: https://www.statista.com/statistics/525353/sweden-number-of-deaths/

Il pourrait éventuellement baisser d'ici la fin de l'année, mais sinon, il ne sera pas beaucoup plus élevé. Pas aussi élevé que, disons, les États-Unis ou l'Angleterre.

Si l'objectif est de réduire le nombre de décès, il existe un moyen beaucoup plus simple de le faire

Malheureusement, beaucoup de gens meurent chaque jour, et je suis sûr que vous avez vu des mèmes sur les réseaux sociaux sur le nombre de personnes qui meurent d'autres causes comme la tuberculose (1,4 million en 2019) que le COVID-19.

Aux États-Unis, où le nombre de morts du COVID est actuellement de 225K, on ​​estime que la faute professionnelle médicale tue 250K Américains par an.

Mais un nombre encore plus grand, selon l'OMS, est que l'abus d'alcool tue 3 millions de personnes par an, et ce nombre augmentera sûrement encore cette année compte tenu de la flambée massive de la maladie mentale, de la violence domestique, de la maltraitance des enfants, de la dépression et du suicide causé par les verrouillages.

S'il s'agit de sauver des vies, nous pourrions littéralement ramener à zéro ces décès liés à l'alcool, en l'éteignant comme un simple interrupteur en instituant une interdiction mondiale de l'alcool. On pourrait le faire demain. Devrions nous ? Les vies que nous sauvons peuvent inclure les vôtres.

En fait, si nous interdisions l'alcool, nous pourrions laisser le coronavirus fonctionner et être encore en avance de près de 2 millions de décès évitables par an, à condition que le COVID-19 continue avec la même intensité qu'il se déroulait en mars et avril, ce qui n'est clairement pas le cas (voir ci-dessous) .

Bien sûr, personne n’aurait sérieusement pensé à cela, et ils pourraient probablement articuler une logique décente sur les raisons pour lesquelles nous ne devrions pas le faire.

Mais ils peuvent le rejeter sans considérer à quel point l'approche de verrouillage visant à réduire les décès dus au COVID est analogue à une interdiction mondiale de l'alcool pour éliminer les décès liés à l'alcool. D'autant que nous savons aussi qu'une grande partie des décès dus aux coronavirus meurent avec le COVID-19 et de nombreuses autres comorbidités * que de celui-ci (cependant, voir ma note de bas de page à ce sujet à la fin de cet article).

En ce sens, le carnage lié à l'alcool est très similaire. Rares sont les alcooliques qui se boivent à mort. Comparativement, plus de personnes se suicident (et d'autres) dans des accidents de voiture, se suicident ou détruisent généralement leur foie, leur cœur, leurs reins, leur cerveau ou s'épuisent généralement si bas que presque tout le reste les achever.

Hystérie de la seconde vague

Le nombre de cas augmente clairement à nouveau dans le monde, c'est vrai et nous avons des tonnes de données pour le suivre. Avec lui, viennent les craintes de la redoutable «deuxième vague» de décès.

Dans la grippe espagnole de 1918, souvent citée, le gros des décès est survenu dans la deuxième vague. Cependant, la grippe espagnole était une pandémie très différente de celle que nous connaissons aujourd'hui. Celui-ci a attaqué les gens dès les premières années de la courbe des âges dans la force de l'âge:

Source: https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3734171/

Les scientifiques pensent que la nature de cette souche a provoqué des «tempêtes de cytokines», le phénomène où le système immunitaire réagit de manière excessive et s'attaque lui-même. Dans une tournure perverse du destin, cela a rendu la population dotée du système immunitaire le plus fort plus vulnérable à la grippe.

Contraste avec le COVID-19 où personne ne conteste que les membres les plus vulnérables de la population sont les personnes âgées et celles qui ont des conditions médicales sous-jacentes qui les rendent immuno-compromises. En ce sens, comparer 1918 à COVID-19 n'est ni précis ni utile.

Source: https://www.statista.com/chart/20860/coronavirus-fatality-rate-by-age/

Alors, gardez cela à l'esprit lorsque j'ai indiqué dans le graphique ci-dessous comment se déroule la deuxième vague du coronavirus en ce qui concerne le nombre de cas par rapport aux décès:

Note de bas de page sur les comorbidités

(* Le nombre que vous voyez beaucoup regroupé est de 94 % de tous les décès dus au COVID-19 avaient des comorbidités. Ce nombre ne tient pas compte des données du CDC selon lesquelles seulement 6% des décès répertorient uniquement le COVID-19 comme une morue. Si vous regardez les données du CDC sur les comorbidités, le plus important représentant près de la moitié de tous les décès, en particulier chez les personnes âgées, est la pneumonie et la grippe. Je pense qu'il est inexact de simplement éliminer tous ces cas et de les rejeter comme comorbidités, car c'est une des formes les plus courantes de manifestation des virus respiratoires. Mais cela dit, les données, quand on considère les comorbidités et le manque de précision avec lequel le COVID est ajouté à la morue, tout cela signifie que le numéro de titre pour les décès est la limite supérieure. Ils ne sont pas 'pas plus haut, et ils sont probablement à toutes fins pratiques, plus bas). Deuxième vague d'hystérie pour «se taire et écouter le gouvernement et la science».

En tant que l'un de mes économistes préférés de tous les temps, ThomaScientists pense que la nature de cette souche a provoqué des «tempêtes de cytokines», le phénomène où le système immunitaire réagit de manière excessive et s'attaque à lui-même. Dans une tournure perverse du destin, cela a rendu la population dotée du système immunitaire le plus fort plus vulnérable à la grippe.

Contraste avec le COVID-19 où personne ne conteste que les membres les plus vulnérables de la population sont les personnes âgées et celles qui ont des conditions médicales sous-jacentes qui les rendent immuno-compromises. En ce sens, comparer 1918 à COVID-19 n'est ni précis ni utile.

Alors, gardez cela à l'esprit lorsque j'ai indiqué dans le graphique ci-dessous comment se déroule la deuxième vague du coronavirus en ce qui concerne le nombre de cas par rapport aux décès:

Si nous étions dans un dépassement de décès de la deuxième vague de style 1918, nous le verrions dans les données. Comme je l'ai souligné dans mon article précédent, les données ci-dessus proviennent de la province de l'Ontario, mais à peu près tous les graphiques des régions subissant une deuxième vague dans le nombre de cas, se ressemblent. Les décès sont sur le plancher (ce «pic» dans le décompte des décès était une correction des données où ils ont pris les données précédemment manquées des 90 jours précédents, et les ont tous ajoutés à 2 points de données), mais le nombre de cas augmente, car sont le nombre de tests.

À l'heure actuelle, la pente du nombre de cas dépasse de loin la pente des décès.

Pour que les morts arrivent n'importe où près du scénario de la Seconde Vague de 1918, la pente de la ligne de mortalité doit maintenant décoller dans une ligne presque verticale. Dans l’interview d’Ivor Cummins, il a mentionné le travail du Dr Sunetra Gupta indiquant que le COVID semble s’éteindre quand il touche 20 % de la population (mais je ne trouve pas la citation). Si c'est vrai, il est difficile d'envisager un scénario où cela est mathématiquement possible.

Si ce n'est pas vrai, et que nous sommes sur le point de connaître une deuxième vague de décès, il serait impossible de se produire sans le voir dans les données et pour le moment, toutes les données montrent partout une augmentation modérée avec saisonnalité, ou un agrégée, diminution globale des décès.

Tout cela devrait être une bonne nouvelle, mais pour une raison quelconque, les gens deviennent très contrariés lorsque vous essayez de les guider. Je suis ouvert à toutes les objections ou contre-points fondés sur la logique, les données et la science sur les points où je me trompe, sachant que «LA FERMETURE ET ÉCOUTEZ LE GOUVERNEMENT ET LA SCIENCE» n’est pas logique, scientifique ou axée sur les données contre argument.

Que faire ensuite.

Je terminerais par deux exercices de lecture supplémentaires, l’un, j’allais regarder et signer la déclaration de Great Barrington et deux, j’examinerais la comparaison de la déclaration de Great Barrington avec ce que l’on appelle «le mémorandum de John Snow».

Note de bas de page sur les comorbidités

(* Le nombre que vous voyez beaucoup regroupé est de 94 % de tous les décès dus au COVID-19 avaient des comorbidités. Ce nombre ne tient pas compte des données du CDC selon lesquelles seulement 6% des décès répertorient uniquement le COVID-19 comme une morue. Si vous regardez les données du CDC sur les comorbidités, le plus important représentant près de la moitié de tous les décès, en particulier chez les personnes âgées, est la pneumonie et la grippe. Je pense qu'il est inexact de simplement éliminer tous ces cas et de les rejeter comme comorbidités, car c'est une des formes les plus courantes de manifestation des virus respiratoires. Mais cela dit, les données, quand on considère les comorbidités et le manque de précision avec lequel le COVID est ajouté à la morue, tout cela signifie que le numéro de titre pour les décès est la limite supérieure. Ils ne sont pas pas plus élevé, et ils le sont probablement à toutes fins pratiques, inférieurs).

https://www.zerohedge.com/medical/follow-science-12-million-covid-deaths-edition

LES ORDRES - Un film de Michel Breault (1974)

Film basé sur les témoignages authentiques fournis par les victimes de la loi des mesures de guerre de la dictature monarchique.

Le film aborde l'emprisonnement et le mauvais traitement de citoyens innocents  par le gouvernement du Canada (Pierre Elliot Trudeau) de la Loi des mesures de guerre durant la Crise d'octobre 1970 au Québec. 

https://www.youtube.com/watch?v=4dlGOb366EY&feature=share

lundi 26 octobre 2020

Record de froid et de neige dans le nord des États-Unis pour aider les pompiers

 

par Tyler Durden

Lun, 26/10/2020 - 09:35

Rédigé par Mike Shedlock via MishTalk,

Le Colorado reçoit de l'aide de la météo. La Californie n'est pas aussi chanceuse.


Couvertures de neige Centre-Nord

Accuweather rapporte un froid record sur le centre-nord des États-Unis.

Cela commence à ressembler beaucoup à l'hiver dans certaines régions du centre-nord des États-Unis alors qu'une tempête de neige cible des millions d'Américains. Le mélange hivernal se propage dans des régions beaucoup plus au sud, y compris certaines qui ne ramassent généralement la neige que beaucoup plus tard dans la saison.

«L'air froid continuera à marcher régulièrement vers le sud au début de la semaine, de nombreuses régions voient à nouveau les records remis en question», a déclaré le météorologue d'AccuWeather Maxwell Gawryla. "Comme des températures nettement inférieures à la moyenne restent en place, de nombreux autres records seront probablement battus au cours de la première moitié de la semaine."

Avec cette tempête qui fait suite aux récents temps hivernaux qui ont brisé un record de chutes de neige vieux de 115 ans dans les villes jumelles, les résidents des plaines et du haut Midwest peuvent consulter leur calendrier deux fois pour s'assurer que c'est toujours octobre.

Avec cette tempête qui fait suite aux récents temps hivernaux qui ont brisé un record de chutes de neige vieux de 115 ans dans les villes jumelles, les résidents des plaines et du haut Midwest peuvent consulter leur calendrier deux fois pour s'assurer que c'est toujours octobre.

Billings, Montana, est tombé à 16 degrés F (-8,8°C) samedi matin, battant le précédent record de 19 degrés pour ce jour établi en 1976. Vendredi, Idaho Fall, Idaho, est tombé à 13 (-10,5°C) avec un précédent record de 16 établi en 1980 et Casper, Wyoming, a battu son précédent record quotidien de 11 en 1984 avec -5.

Spokane, Washington, a brisé son record de chutes de neige pour ce jour-là samedi avec près de 8 pouces de neige, tandis que le record précédent était de 0,2 pouce en 1957.

Certaines parties du sud-ouest frappé par la sécheresse pourraient également recevoir leurs premiers épisodes de précipitations depuis des semaines alors que la tempête continue de plonger vers le sud d'ici lundi prochain. Les résidents de Flagstaff, en Arizona, pourraient même voir des flocons de neige voler au début de la semaine prochaine.


La neige aide les pompiers du Colorado, mais pose de nouveaux défis

Dans le Colorado, les équipes de gestion des incendies ont la neige, le temps froid qu'elles espéraient, mais cela pose ses propres défis.

L'incendie de Cameron Peak est le premier à voir des chutes de neige ce matin, avec environ trois à cinq pouces dans les parties les plus au nord de l'incendie, selon l'équipe de gestion des incidents.

«Des quantités plus légères à mesure que vous avancez vers le sud, les parties sud de l'incendie, généralement autour de deux à quatre pouces, jusqu'à présent», a déclaré le météorologue de l'incident Dan Byrd dans une mise à jour Facebook. «Les températures du jour au lendemain seront très froides sur tout le feu. La plupart des incendies verront des conditions inférieures à zéro ce soir, probablement autour de cinq à sept sous zéro, puis des températures à un chiffre dans la basse altitude. "

À partir de ce matin, les températures dans la zone de l'incendie gênant est, qui est passée à 192 560 acres (77926 ha), étaient encore dans les basses années 40, a déclaré le météorologue Byrd. L'incendie s'est précipité vers Estes Park samedi. À la fin de la journée, il avait brûlé dans la région du parc Moraine du parc national des Rocheuses, mais il n'avait pas atteint Bear Lake Road.

Les incendies pourraient voir entre 10 et 18 pouces de neige au total d'ici lundi. Selon le système d'information sur les incidents, il devrait y avoir «un comportement très limité du feu» au cours des prochaines 24 heures pour les quatre incendies grâce à la tempête de neige.

«Nous profiterons de la météo tant que nous le pouvons», a déclaré le commandant de l'incident de East Troublesome Fire, Noel Livingston, ajoutant que les avions n'étaient pas en mesure de voler et de faire des largages de godets en raison des conditions de vent samedi. Il prévoyait pouvoir faire plus aujourd'hui. «Je prévois une journée productive.»

Et la Californie ?

C'est la plupart des bonnes nouvelles concernant le Colorado.

La Californie, malheureusement, est une autre affaire.

Le Fresno Bee rapporte les mises à jour de Creek Fire, le 25 octobre: ​​«Une activité d'incendie extrême est possible», des pannes de courant prévues

Des conditions météorologiques critiques d'incendie sont attendues dans la région de Creek Fire et au-delà de dimanche soir à mardi soir en raison de forts vents d'est et d'une faible humidité, ce qui a déclenché un avertissement de drapeau rouge du Service météorologique national.

L'avertissement est en vigueur à partir de 17 heures. Dimanche à 17 h Mardi et couvre le centre et le sud de la Sierra Nevada et les contreforts.

«Une activité de feu extrême est possible», ont déclaré les responsables de Creek Fire, «et s'il y a un nouveau départ ou les lignes de confinement des issues de secours, vous pouvez vous attendre à des taux de propagation rapides.

Avertissements de drapeau rouge

La neige aide le Colorado et l'Idaho, mais la Californie n'a que les vents.

https://www.zerohedge.com/medical/record-cold-and-snow-pound-northern-us-aiding-firefighters

dimanche 25 octobre 2020

samedi 24 octobre 2020

Le nombre de morts s'élève... mais pas à cause du Covid !


 ven., 23 oct. 2020 18:36 UTC 


LES VICTIMES DU DIABÈTE ONT AUGMENTÉ DE 86% EN SIX MOIS SEULEMENT

LE CANCER DE LA PROSTATE A AUGMENTÉ DE 53%

LA MALADIE DE PARKINSON A AUGMENTÉ DE 79%

LE CANCER DU SEIN A AUGMENTÉ DE 47%

LE CANCER DES INTESTINS A AUGMENTÉ DE 46%

Le nombre de personnes qui meurent à domicile de maladies autres que le Covid-19 a explosé depuis le confinement.

Les chiffres de l'Office des statistiques nationales pour la période de mars à septembre révèlent que près de 1.000 décès sont enregistrés chaque semaine, soit 26.000 de plus qu'à la même période l'année dernière.

Parmi les principales causes de décès figurent le diabète (+ 86 %), la maladie de Parkinson (79 %), le cancer de la prostate (53 %), le cancer du sein (47 %) et le cancer de l'intestin (46 %). Le nombre de décès chez les femmes atteintes de démence a augmenté de 75 %. Le professeur Karol Sikora, directeur du centre de soins contre le cancer Rutherford Health, a déclaré qu'il était temps de poser « des questions difficiles pour éviter encore plus de décès inutiles ». L'éminent oncologue a ajouté : « Le Covid-19 tue... mais le confinement aussi ».

Fiona Carragher, de la Société Alzheimer et ancienne directrice scientifique adjointe du NHS en Angleterre, a blâmé les « terribles effets secondaires du confinement ». Elle a ajouté : « L'isolement, la peur et la suspension des services de santé et d'aide sociale ont contribué à l'augmentation catastrophique du nombre de décès de personnes atteintes de démence. Nous l'avons vu dans les maisons de soins et nous en voyons maintenant l'impact dans la communauté ».

80 autres décès dus à des coronavirus ont été enregistrés hier, ainsi que 18 804 nouveaux cas - contre 1 982 dimanche.

Les chiffres de l'ONS révèlent qu'il y a eu 27 millions de consultations médicales de moins entre mars et août qu'à la même période l'année dernière.


Le Covid-19 est désormais la septième cause de décès à domicile pour les hommes, et la onzième pour les femmes. Quatre-vingt pour cent des décès concernent des personnes de plus de 70 ans, et les maladies cardiaques sont la principale cause de mortalité, avec 12 029 décès au cours de cette période, soit 2 343 de plus que la normale.

La plupart de ces décès auraient normalement dû se produire à l'hôpital, et les gens ont été soit réticents à y aller, soit découragés de s'y rendre, soit les services ont été perturbés », a déclaré le professeur David Spiegelhalter, de l'université de Cambridge. On ne sait pas combien de ces vies auraient pu être prolongées si elles étaient allées à l'hôpital ».

Cancer Research UK a calculé que 350.000 orientations de patients vers des spécialistes ont été manquées depuis le mois de mars. Et les organisations caritatives ont averti que des milliers de personnes en phase terminale sont privées de soins.

L'accès à des soins de fin de vie de haute qualité est crucial », a déclaré Adrienne Betteley, du Macmillan Cancer Support.

Malheureusement, nous constatons une demande sans précédent de soins de fin de vie dans les maisons privées, alors que les équipes sont déjà débordées.

Mike Brookes, 78 ans, de Rochdale, a été diagnostiqué avec la maladie d'Alzheimer pendant le confinement et a besoin d'une chirurgie cardiaque. Il s'est énormément détérioré au cours de cette période », a déclaré sa femme Liz, qui est également sa soignante. Bien qu'ils disent qu'il n'y a pas de coronavirus à l'hôpital, comment pouvez-vous en être sûr ?

Pendant ce temps, les derniers chiffres du gouvernement montrent qu'il y avait 5.402 patients atteints de Covid-19 à l'hôpital en Angleterre lundi, tandis que 528 étaient dans des lits de ventilation, contre 42 sept jours plus tôt.

Source

https://www.pressreader.com/uk/metro-uk/20201020/281496458768622

https://fr.sott.net/article/36201-Le-nombre-de-mortss-eleve-mais-pas-a-cause-du-Covid

vendredi 23 octobre 2020

Covid : l’ivermectine souligne les méfaits de la politique du médicament

Vendre un produit ou financer une activité à un prix en dessous de sa valeur ne peut être une politique durable, c’est une politique qui ignore volontairement et méprise l’avenir, donc une très mauvaise politique.

Par Gérard Maudrux.

23 OCTOBRE 2020


L’industrie pharmaceutique française, à la pointe au niveau mondial il y a quelques décennies existe-t-elle encore quand on voit l’Institut Pasteur faire appel au mécénat ou aux dons pour tester un vieux médicament courant. Pourquoi et comment ?

L’ivermectine est un autre exemple d’un système destructeur. Il s’agit d’un traitement avancé par certains en phase précoce de la maladie. Les publications sont nombreuses et certains pays l’ont même adopté comme traitement conseillé pour la Covid.

Pour ceux qui veulent creuser, voici la liste d’une soixantaine d’études consacrées à l’ivermectine, qui, à l’inverse de la chloroquine, ne subit pas une avalanche d’études à charge menées en général par des personnes ayant ou ayant eu des rapports financiers avec de gros laboratoires qui verraient d’un très mauvais œil l’émergence d’un traitement bon marché de la Covid.

Ce médicament est reconnu par la FDA comme « antiparasitaire dont l’activité antivirale à large spectre a été démontrée in vitro, capable d’effectuer une réduction d’environ 5000 fois l’ARN viral à 48 h après l’infection Vero- Cellules hSLAM 2 h par le SRAS-CoV-2 « .

MedinCell, biotech montpelliéraine, s’y intéresse de près et lance une étude, avec comme objectif l’obtention d’une AMM en 2021. Pour envisager une AMM, nous sommes dans du sérieux, pas dans l’élucubration d’internautes comme le pensent certains. Rappelons que c’est à l’origine un traitement antiparasitaire, commercialisé dans 90 pays, essentiellement pour la gale mais aussi efficace contre 183 espèces de nématodes, 129 espèces d’insectes et d’acariens et plusieurs virus. Très utilisé chez les vétérinaires.

Fin mars je proposais ici que face à l’urgence les autorités reprennent systématiquement les observations de médecins sur le terrain pour en vérifier leurs résultats de traitements atypiques, ce que fait MedinCell pour l’ivermectine. J’en parlais début juin, et plus en détails il y a un mois.

L’Institut Pasteur en collaboration avec Apteeus n’a rien fait d’autre en testant plus de 2000 molécules, mais sans se préoccuper des constatations de terrain qui auraient évité un travail long et fastidieux et quelques mois qui se chiffrent en milliers de vies. Au passage, s’ils ont vraiment tout testé in vitro comme ils l’affirment, je suis étonné qu’ils n’évoquent pas ivermectine ou hydroxychloroquine, dont l’efficacité in vitro n’est contestée par personne.

Je vois toutefois un hic majeur dans la démarche de MedinCell. Alors que l’ivermectine est utilisée depuis des décennies en dose unique, à titre thérapeutique dans plusieurs indications et dans la Covid dans certains pays ainsi que chez nous par nombre de médecins, le laboratoire cherche à élaborer une forme retard, pour la prescrire à titre préventif une fois par mois, ne s’intéressant pas au traitement des patients touchés par la Covid.

L’étude qui vient d’être lancée va dans un premier temps tester les effets de prises prolongées, effets inconnus car depuis sa sortie, il n’est prescrit qu’en dose unique (ou deux prises pour le VIH par la FDA).


Nous avons affaire à des laboratoires, entreprises privées. Pour survivre, ces laboratoires doivent en permanence innover. Pour financer la recherche, il faut des bénéfices, et sans bénéfices, pas de recherche, et sans recherche, plus de laboratoire. C’est ainsi que l’industrie pharmaceutique française a quasiment disparu.

Regardez le prix de médicaments phares : la boîte de clamoxyl est à 1,99 euro, la boîte de bactrim à 1,78 euro ! Ces prix comprennent la marge du pharmacien, le grossiste et sa marge, ainsi que le transport. Que reste-t-il au laboratoire pour la recherche après le prix du produit, de sa fabrication, de l’emballage avec toutes les contraintes sanitaires afférentes, et après impôts et taxes diverses, et non des moindres.

On vous dit que le médicament n’est pas soumis à TVA, mais on vous cache l’URSSAF, dont on se demande ce qu’elle vient faire ici.

Pour information, outre les cotisations URSSAF habituelles, l’industrie pharmaceutique est soumise à nombre de contributions URSSAF :

la contribution vente en gros (article L138-1 du CSS)

la contribution sur les dépenses de promotion des médicaments (article L245-1 du CSS)

la contribution sur les dépenses de promotion des dispositifs médicaux (article L245-5-1 du CSS)

la contribution sur les premières ventes de dispositifs médicaux (article L245-5-5-1 du CSS)

la contribution sur le chiffre d’affaires (article L245-6 du CSS)

la contribution au titre de médicaments destinés au traitement de l’hépatite C (article L138-19-1 du CSS)

les contributions taux « Lv/Lh » (article L138-10 duCCS)

Taxes logiques ou racket de la haute administration qui a pondu ces textes signés par des ministres ? Le résultat est l’asphyxie de la recherche française.

Pourquoi, au lieu d’une étude débouchant sur un traitement immédiat éprouvé et rapide, MedinCell part sur une étude sur un nouveau traitement incertain et destiné à ceux qui ne sont pas certains de contracter la Covid, pas à ceux qui en sont porteurs ? Aberrant ?

Non simplement et probablement une histoire de gros sous, liée à la politique du médicament. Lancer une étude à quelques millions d’euros pour prouver l’efficacité d’un médicament qui sera vendu par d’autres à un prix dérisoire est un bon moyen de couler l’entreprise. Par contre, en élaborer une nouvelle forme, avec possibilité de commercialisation à un prix correct avec exclusivité pendant quelques années, là c’est économiquement plus crédible, même si cela l’est moins sur le plan santé publique. Ils n’ont pas le choix.

Vous comprendrez ainsi l’état de l’industrie pharmaceutique française, son peu d’intérêt pour les anciens médicaments, et son grand intérêt pour caser les nouvelles molécules. Vous comprendrez pourquoi aucun labo dans le monde n’a fait d’étude pour promouvoir l’hydroxychloroquine, mais pourquoi certains dépensent des milliards pour d’hypothétiques remdésivir, lopinavir et autre ritonavir. Vous comprendrez pourquoi Pasteur fait appel à la charité publique et au mécénat pour tester un vieil antibiotique retiré du commerce depuis 15 ans.

Par contre, comme moi vous comprendrez moins pourquoi en situation d’urgence sanitaire les frais pour des études sur des médicaments tombés dans le domaine public ne sont pas pris en charge par les autorités sanitaires bien qu’étant d’intérêt général avec pour conséquence la dépense de milliards pour les effets secondaires plutôt que des millions pour essayer de les éviter.


Pour encore mieux comprendre, un traitement complet du Covid à l’ivermectine, c’est 8,51 euros, avec le plaquénil c’est 4,17 euros, et pour le remdesivir, c’est 2085 euros.

Actuellement c’est le largactil, la ranitidine, la cyclosporine, dernièrement le clofoctol (Pasteur), et d’autres qui sont essayés, avec des mois de retard. Ces études auraient dû être menées et financées par les autorités. Ne l’envisageant pas, veulent-elles vraiment traiter la Covid ?

Au lieu de voir un laboratoire financer une transformation de l’ivermectine, pourquoi ne pas leur financer une étude sur 2-300 patients, faciles à trouver actuellement sur 20 000 par jour, avec résultats en une semaine. C’est négatif, on arrête d’en parler pendant des mois ; c’est positif, on confirme et on affine avec des études randomisées (pourquoi pas ?), avec une autorisation temporaire avant AMM donnée si les études confirment.

Pourquoi randomiser si cela ne marche pas alors qu’on peut avoir la réponse en une ou deux semaines ? Aujourd’hui on randomise et on met 8 mois pour constater que cela ne marche pas ! Ces procédures ne fonctionnent pas dans une situation d’urgence. Regardez Discovery : on a tout bloqué, autres prescriptions comprises, pour constater 8 mois plus tard qu’il faut repartir de zéro, aucun produit testé n’étant efficace.

Échec total de la méthode se traduisant par des milliers de morts. Notre président par ailleurs chef des armées a dit que nous sommes en guerre. Je ne suis pas militaire mais je me pose une question : est-ce qu’un bon général n’envoie pas des éclaireurs avant la cavalerie lourde pour rien ?

Voici les résultats in vitro de l’ivermectine. Il faut une à deux semaines et quelques centaines d’euros pour savoir si cela se reproduit in vivo, pouvant déboucher sur une autorisation temporaire en attendant le résultat d’études randomisées plus poussées pour AMM. Ne serait-ce pas mieux que de mettre un an pour une éventuelle forme préventive sortant une fois l’épidémie terminée ? Testons, traitons aujourd’hui, et non peut-être demain.

Tout savoir sur l’Ivermectine ici:

https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/wp-content/uploads/2020/09/Ivermectine.pdf

Vendre un produit ou financer une activité à un prix en dessous de sa valeur ne peut être une politique durable, c’est une politique qui ignore volontairement et méprise l’avenir, donc une très mauvaise politique. Lorsqu’il s’agit du médicament, de petites économies pour un résultat à court terme coûtent bien plus cher à moyen et long terme, et sur le pan financier, et sur le plan humain.

https://www.contrepoints.org/2020/10/23/382732-covid-livermectine-souligne-les-mefaits-de-la-politique-du-medicament

mercredi 21 octobre 2020

Réflexions géopolitiques à la suite de Fritz Vahrenholt


 le 21 octobre 2020

Le Professeur Vahrenholt a été très clair dans ses propos : les dispositions prises par la Présidente Ursula van der Layen sur une transition « post-covid » résolument écologiste, soutenable et solidaire devant conduire à une réduction drastique des émissions de carbone conduira fatalement à la ruine de l’Europe. Sur ce point il n’est même pas utile de discuter, c’est une évidence. Les énergies renouvelables relèvent d’un doux rêve, l’hydrogène également et les voitures électriques aussi. Cette volonté de la Présidente de l’Union européenne de tout vouloir changer tout de suite ne pourra que précipiter la catastrophe, je veux parler de la destruction totale de l’économie européenne. L’Union européenne en la personne de sa Présidente ne cache même plus ses intentions puisque c’est la société française EDF, le géant européen de la production d’électricité totalement décarbonée, qui est la cible de la Commission. Le nucléaire ça ne plait pas aux Allemands : ils vont terminer le nettoyage de leur pays de toute trace d’uranium, ils ont finalement obtenu la fermeture de la centrale de Fessenheim grâce à l’appui du parti vert allemand représenté en France par Corinne Lepage et maintenant ils décident de s’attaquer de front au seul dernier fleuron industriel français qui reste.

La situation de l’industrie automobile tant en France qu’en Italie, en Espagne et, il ne faut pas l’oublier, en Allemagne est alarmante. Les voitures électriques ne seront certainement pas la panacée car il faudra en cas d’incitation massive d’achat par les particuliers de véhicules électriques non seulement fabriquer sur le sol européen ces véhicules, ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui, mais également de produire de l’électricité disponible 24/24 heures et à un coût abordable. Ce n’est donc certainement pas en tentant de saborder l’énergie nucléaire que cet objectif pourra être atteint.

L’Europe a également interdit les plantes génétiquement modifiées et l’usage de nombreux produits phytosanitaires. La conséquence, sur une durée qui peut se compter en quelques années, va être la disparition de toute une série de productions agricoles, depuis des fruits comme les pommes ou les poires jusqu’au sucre, on l’a vu récemment avec cette interdiction stupide des néonicotinoïdes sur les plantations de betteraves alors que les racines de cette plante sont récoltées avant que la plante ne fleurisse la deuxième année. La liste des industries et des productions agricoles attaquées par les décisions bruxelloises est longue mais il est certain que l’Europe va devenir le fantôme d’elle-même.


Comme la nature a horreur du vide qui va occuper cet espace admirablement pourvu d’infrastructures, de villes magnifiques, de terroirs uniques au monde ? Les migrants vont arriver massivement par pleins bateaux ou tout simplement à pied comme au Ve siècle car ils ne reculeront devant rien pour vivre et manger à leur faim. Il existe pourtant une solution. Il faut que les technocrates qui gouvernent l’Europe, ces technocrates non élus qui ne connaissent rien aux réalités quotidiennes des peuples qui forment l’Union européenne, se rendent à l’évidence. Ils doivent oeuvrer, et c’est urgent, pour un rapprochement entre la Russie et l’Europe …

Cette proposition (que je ne partage qu’avec moi-même) nécessitera un long travail diplomatique, certes, mais il faut se rendre à l’évidence : l’Europe aurait pu devenir la plus grande puissance économique et industrielle du monde, loin devant la Chine, mais les Etats-Unis ne veulent pas de cette puissance alors ils ont par tous les moyens fait en sorte que l’Europe s’embrouille dans de faux problèmes d’environnement, de carbone et d’interdictions stupides d’OGMs, entre parenthèses « made in USA » afin d’inhiber toute montée en puissance de l’Union européenne. Les Américains ont tout fait pour torpiller le projet NordStream-2. Ils réussissent à affaiblir l’Europe mais dans le même temps ils favorisent la montée en puissance de la Chine. Je ne sais pas si mon analyse est exacte mais le résultat est là.

Alors se posera (et se pose déjà) la légitimité de l’OTAN. Trump a déploré que l’OTAN était une charge financière insupportable pour son pays, oui peut-être, mais comment demander aux Européens de mettre un « pognon de dingue » au pot alors que tous les pays européens de débattent dans une crise économique qui ne date pas du SARS-CoV-2. Cependant un rapprochement entre l’Europe et la Russie pourrait également réussir sans l’appui des Américains si seulement les gouvernements des différents Etats européens ainsi que la Commission elle-même cessaient de suivre aveuglément la politique anti-russe de la Maison-Blanche. Je ne suis pas un spécialiste de la géopolitique mais je laisse à mes lecteurs ce billet pour alimenter leur réflexion sur l’avenir de l’Europe, avenir qui me paraît incertain sinon périlleux …

https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/10/21/reflexions-geopolitiques-a-la-suite-de-fritz-vahrenholt/

mardi 20 octobre 2020

Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)

 par Tyler Durden

Dim, 18/10/2020 - 08:45


Dernièrement, les plus grandes menaces du monde ont été de taille microscopique.

De la pandémie mondiale de COVID-19 aux incendies de forêt qui ravagent la côte ouest des États-Unis, il semble que nos poumons ne puissent pas prendre une pause, ou plus exactement, un souffle.

Mais, comme le demande Carmen Ang de Visual Capitalist, quelle est la taille des particules que nous combattons actuellement? Et comment leur taille se compare-t-elle à d'autres petites molécules?

Les taches sont trop petites pour être vues

Bien que le coronavirus à l'origine du COVID-19 soit de taille relativement petite, ce n'est pas la plus petite particule virale du marché.

Le virus Zika et le bactériophage T4 - responsables d'E. Coli - ne représentent qu'une fraction de la taille, bien qu'ils n'aient pas presque fait autant de morts que le COVID-19 à ce jour.

Les particules de coronavirus sont plus petites que les globules rouges ou blancs, cependant, une seule cellule sanguine est toujours pratiquement invisible à l'œil nu. Pour l'échelle, nous avons également ajouté un seul cheveu humain en tant que référence dans la partie supérieure de la gamme de tailles.

AVEC ou SANS masque vous respirez:

Zika virus:::::::::::::::::::::::::::: 0,045 µ
T4 Bactériophage::::::::::::::::: 0,225 µ
Coronavirus:::::::::::::::::::::::: 0,1 µ à 0,5 micron
Fumée de feu de forêt::::::::::: 0,4 à 0,7 µ
Bactérie (microbe)::::::::::::::: 1 à 3 microns
Particule de poussière (PM 2.5): 2,5 microns

Les masques (FFP2 et N95 3 µ) empêchent ces nano-particules de pénétrer:

Gouttelette respiratoire:::::::::: 5 à 10 µ
Globule rouge::::::::::::::::::::::7 à 8 µ
Particule de poussière (PM 10):: 10 µ
Grain de pollen::::::::::::::::::: 15 µ
Globule blanc::::::::::::::::::::: 25 µ
VISIBLES A L'ŒIL NU:
Grain de sel:::::::::::::::::::::::: 60 µ
Sable fin de plage:::::::::::::::::90 µ
Cheveu humain::::::::::::::::::: 50 à 180 µ

À l'autre extrémité du spectre, le pollen, le sel et le sable sont nettement plus gros que les virus ou les bactéries. En raison de leur taille relative plus élevée, notre corps est généralement capable de les bloquer - une particule doit être inférieure à 10 microns avant de pouvoir être inhalée dans vos voies respiratoires.

Pour cette raison, le pollen ou le sable sont généralement piégés dans le nez et la gorge avant d'entrer dans nos poumons. Les particules plus petites, cependant, peuvent se glisser plus facilement.

Smoky Skies: Pollution atmosphérique et incendies de forêt

Bien que le virus responsable du COVID-19 soit certainement la particule la plus d'actualité à l'heure actuelle, ce n'est pas la seule tache qui pose un risque pour la santé. La pollution atmosphérique est l’une des principales causes de décès dans le monde - elle est en fait plus mortelle que le tabagisme, le paludisme ou le sida.

Les particules, qui peuvent contenir des particules de poussière, de saleté, de suie et de fumée, constituent une source majeure de pollution atmosphérique. D'une moyenne d'environ 2,5 microns, ces particules peuvent souvent pénétrer dans les poumons humains.

À juste une fraction de la taille entre 0,4-0,7 microns, la fumée des feux de forêt pose encore plus de risques pour la santé. La recherche a également lié les expositions aux feux de forêt non seulement à des problèmes respiratoires, mais aussi à des problèmes cardiovasculaires et neurologiques.

Voici une carte animée de Flowing Data, montrant comment les choses se sont réchauffées pendant la haute saison des feux de forêt entre août et septembre 2020:

- voir clip sur site -

Quelle est la principale chose à retenir de tout cela?

Il existe de nombreux types de taches plus petites que l'œil ne peut voir, et il vaut la peine de savoir comment elles peuvent avoir un impact sur la santé humaine.

https://www.zerohedge.com/medical/visualizing-relative-size-particles-covid-19

Les actions du tabac depuis 20 ans (un ex bon business)

 http://www.objectifeco.com/bourse/actions/blue-chips/les-actions-du-tabac-depuis-20-ans-un-ex-bon-business.html

lundi 19 octobre 2020

La prochaine pandémie sera mentale

 Séraphin Lampion

Agoravox

dim., 18 oct. 2020 18:54 UTC


Alors que les journaux publient les scores quotidiens de contaminations et les records toutes catégories de générations spontanées de foyers d'infections qui défient les exorcistes médiatiques, les médecins de quartiers, eux, constatent l'apparition massive de cas de dépressions et de crises d'angoisse.

L'inquiétude et l'anxiété sont des réactions normales à des événements qui créent des niveaux élevés d'incertitude, en particulier lorsque ces événements touchent à des aspects cruciaux de nos conditions de vie, comme le travail, les ressources, le logement, l'éducation et la santé ( la nôtre et celle de nos proches).

Plus les conséquences sociales et économiques des « mesures d'exception » gouvernementales s'aggraveront, plus les effets à long terme sur la santé mentale seront préoccupants, et il faut s'attendre en ce domaine à une augmentation notable des problèmes persistants qui nécessiteront une prise en charge, un soutien et un suivi.

Paradoxalement, la détresse émotionnelle de longue durée est rarement la conséquence de conflits armés, même chez les combattants, ou de bouleversements politiques radicaux, alors qu'on observe toujours une augmentation des problèmes de santé mentale et des suicides après les crises économiques majeures (comme le krach financier de 1929 ou celui de 2008) et les périodes d'austérité qui les suivent. Or, pandémie ou pas, la destruction de secteurs économiques entiers touchant en particulier les TPE et PME aura forcément des conséquences économiques durables et les pertes d'emplois à grande échelle dans les mois à venir.

Ces perspectives sombres risquent de fragiliser la trame du tissu social qui sous-tend tout l'édifice d'une nation. Les problèmes de santé mentale empiètent sur tous les aspects de la vie. Ils affectent la capacité à apprendre, à travailler, à nouer et à entretenir des relations.

Les médias alertent les téléspectateurs sur le risque de saturation des services hospitaliers à cause d'un deuxième vague du virus, mais rien n'est dit sur la dégradation psychique de la population. Pourtant, une augmentation importante de la demande en matière de prise en charge de ces pathologies risque d'exercer une pression fatale sur les services de santé mentale déjà sollicités et sous-financés. Les coûts directs et indirects d'une augmentation des problèmes de santé mentale sont considérables. Faut-il attendre que cette crise-là devienne grave pour mettre en place un soutien dans les écoles, les lieux de travail et les quartiers ?

Les conséquences sociales et économiques des mesures liées au confinement et à ses suites révèlent et exacerbent les inégalités existantes et les facteurs connus déterminants dans la déstabilisation de l'équilibre mental s'aggravent : chômage, insécurité de l'emploi, difficulté à se chauffer et se nourrir correctement, la violence familiale.

Ceux qui sont déjà désavantagés, ceux qui ont déjà des problèmes de santé mentale plus ou moins graves, ceux qui sont socialement isolés marginalisés et isolés seront les plus durement touchés, et c'est particulièrement vrai pour les jeunes. Si les restrictions sociales, les fermetures d'écoles et la bérézina des examens ont eu un impact sur l'ensemble de la population, pour de nombreux jeunes vivant dans des ménages défavorisés, ces impacts sont aggravés par le manque d'accès aux ordinateurs et à un Internet à haut débit fiable, par des conditions de logement exiguës et par des tensions familiales liées à la pauvreté, à l'insécurité de l'emploi des parents, etc.

Les problèmes de santé mentale qui se développent pendant l'enfance et l'adolescence persistent à l'âge adulte, avec des effets profonds sur l'éducation, le travail et les relations. Une forte augmentation des problèmes de santé mentale chez les jeunes se répercutera désormais dans les années à venir, creusant davantage les inégalités.

L'idéologie libérale à l'origine des réductions budgétaires drastiques et les politiques de privatisation des services de santé qui qui se sont succédées sans discontinuer au cours des 40 dernières années ont laissé le pays dépourvu pour répondre efficacement aux situations de détresse qui ne manqueront pas d'accompagner la crise économique qui s'annonce. Le rétablissement des infrastructures de leur prise en charge doit-il être laissé aux bénévoles et aux organismes de bienfaisance. La réponse apportée à cette question est liée au choix de société de chacun, mais justement, prévenir une crise grave de santé mentale généralisée signifie anticiper sur la catégorie dans laquelle nous projetons notre propre avenir : rêve ou cauchemar ?

La prochaine pandémie sera mentale, et il n'y aura pas de vaccin.

Commentaire : Pas de vaccin mais des bons et gros médicaments. Encore une fois ... devinez qui va augmenter son revenu ?

https://fr.sott.net/article/36186-La-prochaine-pandemie-sera-mentale

LA RÉALITÉ D'UN ÉCHEC PRÉVISIBLE DES ÉNERGIES RENOUVELABLES

 par JACQUES MARTINEAU

 20/10/2020 


Selon le dernier bilan électrique de RTE, le nucléaire représente 77% de la production d'énergie totale en France en 2014.

Parmi les énergies renouvelables, l'éolien, le solaire et la voiture électrique sont les plus cités et les plus encouragés par le « politique ». L'Europe se veut à la tête de ce développement, sans mise en doute d'un résultat attendu dans les trente prochaines années à la « botte » de certains milieux industriel et financier multinationaux. L'hydrogène est à l'étude ? Et alors ?

La France veut s'associer aux recherches, dans des dépenses douteuses au service de son voisin allemand. Pour réduire la consommation du pétrole, du gaz et du charbon, l'éolien et le photovoltaïque sont favorisés outre-Rhin. Le résultat est sans appel : l'Allemagne veut mettre en service de plusieurs centrales à charbon, qualifiées de « modernes » pour faire taire leurs détracteurs. Mais « tout le monde » européen se tait…

De nombreux auteurs et de chercheurs ont déjà insisté depuis des années pour démontrer que l'éolien et le voltaïque ne peuvent pas être considérées comme des énergies renouvelables. Le dire c'est bien, le répéter c'est nécessaire, mais le prouver c'est mieux. François-Marie Bréon, chercheur au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement. A partir de données du gestionnaire du Réseau de Transport Électrique (RTE) pour l'année 2019, il a établi des graphiques originaux de consommation et de production électrique.

En ce qui concerne l'énergie produite par le nucléaire et l'hydroélectrique, le constat journalier est éloquent, présenté en TWh. La consommation est plus importante en hiver qu'en été. Elle correspond à la production potentielle (nucléaire), parfois complétée par quelques besoins en situation de « surchauffe ».

                                                               Production nucléaire + hydraulique / consommation– source : RTE 

L'éolien comme le solaire se retrouvent trois ordres de grandeur en dessous (GW/TWh) de ces premières sources d'énergie et à peine à la hauteur de l'ensemble des autres sources complémentaires comme la biomasse, le gaz et le charbon. Les données sont sans appel.

La disponibilité instantanée d'énergie n'est absolument pas garantie. La production est erratique et aléatoire. Non stockable, elle dépend des conditions atmosphériques, du vent ou de la luminosité, sans parler des pertes dans le transport de l'énergie. Ce ne sont pas ces filières énergétiques non performantes pour la production d'électricité qui réduiront les émissions de gaz carbonique.



                                                              Production / consommation électrique pour l’éolien et le solaire – source : RTE

Qualifier l'éolien et le solaire d'énergies renouvelables n'a pas de sens. Les « politiques », à l'échelle nationale et européenne, ont trouvé là une issue de secours pour calmer les défenseurs irréductibles du climat et de l'environnement, même si le sujet est d'une importance fondamentale et ne peut en aucun cas être laissé pour compte.

La production, la construction et la mise en place de ces grands ensembles (plusieurs dizaines de milliers d'unités) détruiront aussi les paysages et les espaces naturels tout en provoquant de graves perturbations dans les voisinages. Leur coût est déjà prohibitif. Il est en train de dépasser celui de l'implantation du nucléaire. La majeure partie de la matière première ou des infrastructures proviennent de pays étrangers (Allemagne et Chine), même si certaines sous-traitances ou exploitations sont ou seraient laissées à la France.

Favoriser ces filières pour satisfaire des « ego » n'est pas acceptable…

http://www.economiematin.fr/news-realite-echec-previsible-energies-renouvelables