- ENTREE de SECOURS -



samedi 30 décembre 2023

Comment nous avons évité la polycrise

PAR TYLER DURDEN

VENDREDI 29 DÉCEMBRE 2023 - 05h30


Heureusement que l’Inde n’a pas adhéré aux sanctions, explique Andrew Korybko.

Il y a peut-être là une leçon pour davantage de personnes et de pays.

Et peut-être qu’il est trop tard pour certains.

Même si la désindustrialisation de l’Allemagne vient à peine de commencer.

Rédigé par Andrew Korybko via le blog The Automatic Earth,

Un représentant du ministère indien du Pétrole et du Gaz naturel a déclaré devant une commission parlementaire permanente que les importations de pétrole russe de son pays avaient contribué à stabiliser le marché mondial de l’énergie et à empêcher des ravages, selon un récent rapport de The Indian Express. Ce qui suit sont les extraits qu’ils ont cités de cet événement, qui seront ensuite analysés afin que le lecteur puisse pleinement apprécier la dernière contribution de l’Inde au monde :

« S’ils (les raffineurs indiens) n’avaient pas importé de pétrole russe en Inde, ce qui pourrait représenter une quantité importante de 1,95 million de barils par jour, cette carence aurait fait des ravages sur le marché du pétrole brut et les prix auraient grimpé d’environ 30 dollars. -40.

Le marché du pétrole brut est tel que sur un marché de 100 millions de barils par jour, si l'OPEP (Organisation des pays exportateurs de pétrole) déclare qu'elle va le réduire d'un ou deux millions de barils par jour, les prix augmentent de 10 à 20 pour cent et atteindre jusqu'à 125-130 $.

Si l’Inde n’absorbe pas – j’appellerais cela une absorption – 1,95 million de barils par jour, ces prix auraient atteint 120-130 dollars. Cela aurait fait des ravages. Sur le plan diplomatique, nous sommes un pays souverain et pouvons dire que nous avons fait ce qui est bon pour le pays ainsi que pour le monde. »

Cette idée s’aligne sur ce qui a été partagé précédemment dans ces cinq analyses de juin 2022 à mars 2023 :

* 14 juin 2022 : « La diplomatie énergétique russo-indienne aide Delhi à équilibrer Washington »

* 30 novembre 2022 : « La géopolitique énergétique de la Russie avec la Chine et l'Inde »

* 16 janvier 2023 : « Les États-Unis ont discrédité leurs propres sanctions en achetant des produits pétroliers raffinés russes via l’Inde »

* 8 février 2023 : « Les sanctions anti-russes de l’Occident ont rendu l’Inde indispensable au marché mondial de l’énergie »

* 1er mars 2023 : « La Russie maintiendra le rythme de ses exportations de pétrole vers l’Inde malgré l’augmentation de la demande chinoise »

Si l’Inde n’avait pas résisté aux pressions occidentales, c’est la communauté internationale tout entière qui en aurait souffert.

Pour expliquer cela, de nombreux États du Sud avaient déjà du mal à faire face aux problèmes de dette liés au COVID avant que les sanctions anti-russes occidentales n'aggravent leur insécurité alimentaire. Une crise des prix de l'énergie, en plus de cela, aurait pu les pousser à bout dans une situation incontrôlable. polycrise. Non seulement cela aurait pu conduire à une spirale de troubles qui auraient pu se propager dans toute cette partie du monde, mais les conséquences sécuritaires et humanitaires auraient également déstabilisé l’Occident.

Les pays de ce bloc de la nouvelle guerre froide qui dépendent de leurs ressources et de leurs marchés auraient pu se sentir obligés de lancer des interventions militaires unilatérales, tandis que des flux de réfugiés à grande échelle auraient pu déferler sur leurs sociétés, avec tout ce que cela implique d’exacerber les tensions préexistantes. Ce pire scénario a été évité grâce à la neutralité de principe de l’Inde à l’égard du conflit ukrainien, qui a vu cette grande puissance d’importance mondiale résister aux pressions occidentales visant à boycotter l’énergie russe.

Si Delhi avait capitulé devant leurs exigences, le retrait brutal d’une grande partie de l’énergie du marché l’aurait plongé dans le chaos. Les producteurs restants n’auraient pas pu remplacer la part perdue de la Russie, ce qui a conduit à une concurrence entre les pays les plus riches (à savoir la Chine et l’UE) pour acheter leurs ressources restantes. Pendant ce temps, les pays du Sud, assiégés par la dette et confrontés à une nouvelle insécurité alimentaire, auraient été incapables de maintenir leurs besoins énergétiques minimaux, déclenchant ainsi la polycrise.

Comme l’a déclaré au Parlement le responsable indien anonyme, « nous avons fait ce qui est bon pour le pays ainsi que pour le monde », ce qui met en évidence la convergence croissante entre les intérêts nationaux de l’Inde et ceux de la communauté internationale. Cette grande puissance d’Asie du Sud pratique ce qui peut être décrit comme une grande stratégie hyperréaliste dans laquelle l’Inde non seulement donne la priorité à ses intérêts nationaux tels que les décideurs politiques les conçoivent, mais reconnaît franchement cette approche et détaille également ces mêmes intérêts.

Ce faisant, l’Inde lève toute ambiguïté sur ses intérêts, ce qui en fait donc le partenaire le plus prévisible que l’on puisse avoir. Cette politique repose sur la confiance que l’Inde a cultivée avec tout le monde, car ils n’ont aucune raison de remettre en question la sincérité de ses représentants lorsqu’ils parlent de leurs intérêts nationaux. Certains peuvent avoir des points de vue différents et même ne pas aimer la politique indienne, mais personne ne peut prétendre de manière crédible que ces représentants mentent sur ce qu’ils veulent et pourquoi.

Le ministre russe des Affaires étrangères Lavrov a salué cette approche et le multialignement qui en découle naturellement lors d'une conférence de presse avec son homologue indien mercredi, en déclarant :

"Je pense que cette politique n'est pas seulement importante pour la Russie et tous les autres pays du monde, mais c'est la seule politique qui vaille la peine d'être menée, qui garantira le respect et la réputation et sera bénéfique dans la coopération de l'Inde avec d'autres pays qui font preuve du même respect envers tous les membres de l'Inde. la communauté internationale. »

L’Occident n’appréciera jamais ce que l’Inde a fait pour le monde, mais les pays du Sud commencent à se rendre compte que la polycrise dont beaucoup de leurs responsables craignaient qu’elle ne se déclenche peu après la promulgation des sanctions anti-russes a été largement évitée grâce aux importations considérablement accrues de ce produit par l’Inde. le pétrole du pays. Cela a stabilisé le marché, ce qui leur a permis de gérer plus facilement leur dette et leurs problèmes de sécurité alimentaire, évitant ainsi que cette partie du monde ne sombre dans une instabilité totale au détriment de tous.

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https://www.zerohedge.com/geopolitical/how-we-averted-polycrisis

 

CENSURE TOTALE - et après ? (par Ivo Sasek)

 

jeudi 28 décembre 2023

Étiquetage des nanomatériaux sur les produits alimentaires : la Commission européenne remet sur la table une définition similaire à celle rejetée par le Parlement en 2014

France-Soir

 le 27 décembre 2023 - 12:50


La définition et la réglementation des nanomatériaux peuvent varier en fonction des secteurs d'activité et des réglementations spécifiques.

SANTE - Comment définir ce qui échappe à notre perception par sa taille si infime mais qui peut constituer un danger pour la santé publique ? C’est le marathon que mène l’Union européenne (UE) depuis plus d’une décennie pour définir les nanomatériaux, c’est-à-dire les matériaux dont la taille ou la structure sont d’une dimension n’excédant pas les 100 nanomètres environ et qui peuvent être présents dans des produits alimentaires ou cosmétiques. La Commission européenne a publié en novembre un projet d’acte délégué, afin d’apporter une modification à la définition de nanomatériau énoncée par le règlement nouveaux aliments de 2015. Cet acte délégué s’appuie sur une recommandation de définition publiée en juin 2022, et qui suscite de nombreuses critiques. La cause : le champ des nanomatériaux pris en compte et le seuil de leur présence à partir duquel les produits doivent être étiquetés... ou pas. 

Un projet d'acte délégué dans le droit européen est un acte non législatif adopté par la Commission européenne, visant à compléter ou modifier certains éléments non essentiels d'un acte législatif précédent, dont les éléments essentiels ne peuvent être modifiés. Cette procédure est très utilisée dans de nombreux domaines, comme le droit de la consommation et la politique agricole européenne.

Une définition jugée “restrictive” 

En novembre, la Commission européenne a mis en ligne un projet d'acte délégué visant à intégrer une nouvelle définition du nanomatériau dans la législation alimentaire européenne, en particulier le règlement nouveaux aliments n°2015/2283. La définition actuelle remonte à 2011 et entend par le terme de nanomatériau “un matériau naturel, formé accidentellement ou manufacturé contenant des particules libres, sous forme d’agrégat ou sous forme d’agglomérat, dont au moins 50 % des particules, dans la répartition numérique par taille, présentent une ou plusieurs dimensions externes se situant entre 1 nm et 100 nm”.

La recommandation de 2011 précise que “lorsque cela se justifie pour des raisons tenant à la protection de l’environnement, à la santé publique, à la sécurité ou à la compétitivité, le seuil de 50 % fixé pour la répartition numérique par taille peut être remplacé par un seuil compris entre 1 % et 50 %”. Le même document considère “les fullerènes, les flocons de

graphène et les nanotubes de carbone présentant une ou plusieurs dimensions externes inférieures à 1 nm” comme étant des nanomatériaux.

En 2014, une proposition de la Commission européenne visant à modifier la définition des nanomatériaux manufacturés a été rejetée par le Parlement européen. Cette définition suggérait qu'un nanomatériau devrait être composé “d'au moins 50 % de particules dont la taille est comprise entre 1 et 100 nanomètres”. Les eurodéputés ont rejeté cette définition car elle exclut les additifs alimentaires nanométriques qui étaient déjà sur le marché des exigences d'étiquetage.

La Commission européenne a révisé sa proposition pour en proposer une autre en 2022, cette fois-ci adoptée. Cette fois, l’UE restreint les nanomatériaux à des “particules solides”, qui “sont présentes soit individuellement, soit en tant que particules constitutives identifiables dans des agrégats ou des agglomérats, 50 % au moins de ces particules, dans la répartition numérique par taille”. La recommandation maintient la même dimension (de 1 nm à 100 nm) mais précise la forme de la particule : “allongée, fibre ou tube”. 

La nouvelle définition a suscité des critiques de la part d’associations et d’ONG, qui lui reprochent le fait de ne pas prendre en compte l’ensemble des nanomatériaux comme les micelles ou les émulsions.

Tenir compte “des progrès de la science”

Dans un projet d'acte délégué publié le 30 novembre 2023, dont l’appel à contribution est ouvert jusqu’au 12 janvier 2024, la Commission européenne dit s’appuyer sur les “progrès techniques et scientifiques ou aux définitions convenues au niveau international” pour proposer une nouvelle définition des nanomatériaux. Il s’agit, en d’autres termes, d’harmoniser les différentes interprétations qui complexifient le travail de déclaration des producteurs, importateurs et marchands de produits. L’institution opte pour un acte non législatif pour modifier un élément essentiel du règlement nouveaux aliments, à savoir cette définition qui a des implications directes sur la santé publique et l'environnement.

La nouvelle proposition reprend la définition rejetée par le Parlement européen en 2014 et évoque, de nouveau, le “nanomatériau manufacturé”. Il s’agit, selon l’acte délégué, de “matériaux solides contenant des particules présentes soit seules, soit sous forme d’agrégat ou sous forme d’agglomérat, et où 50 % ou plus de ces particules dans la distribution de taille basée sur le nombre” remplit les conditions de dimensions déjà évoquées ci-dessus.

Les nanomatériaux présents dans un aliment ne figureraient pas dans son étiquetage tant qu’il s’agit de micelles ou tant que les ingrédients contiennent moins de 50% de particules de taille inférieure à 100 nm.

La définition et la réglementation des nanomatériaux peuvent varier en fonction des secteurs d'activité et des réglementations spécifiques. Dans l'UE, différentes réglementations transversales, comme REACH, ou sectorielles (alimentation, cosmétiques, etc.) régissent l’étiquetage des produits contenant ces matériaux. Dans le secteur du cosmétique, les nanomatériaux sont plutôt décrits par la Commission comme un “matériau insoluble ou bio-persistant, fabriqué intentionnellement et se caractérisant par une ou plusieurs dimensions externes, ou une structure interne, sur une échelle de 1 à 100 nm”.

En France, où a été instaurée la déclaration obligatoire des nanomatériaux à travers son registre R-Nano, l'étiquetage nanomatériaux est obligatoire dès que la teneur en nanoparticules est supérieure à 10 %. L’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES) a déjà alerté, dans un rapport publié en 2022, sur la définition actuelle, évoquant des “confusions de vocabulaire” et ses difficultés à la mettre en œuvre. 

https://www.francesoir.fr/societe-sante/etiquetage-des-nanomateriaux-sur-les-produits-alimentaires-la-commission-europeenne

Nicole & Gérard Delépine dans Le Samedi Politique - L’idéologie contre la science et la médecine

 


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mardi 26 décembre 2023

Le monde et a nous (2:36:00) + jusqu'à 4:11:00

 Dr ASTRID STUCKELBERGER, Guillaume Bousquières, Sébastien Lozzia (next dose), Ricardo Delgado, Dominique Guillet,Dr Jackie Cassou (TV ADP).

 22 décembre 2023 

 Clip (4:11:35) à voir sur site:

 (...) Ricardo Delgado: "Avec ces tanscrepteurs de nanologies de graphène, c'est une nanologie intra-corporelle qu'on appelle l'Internet des corps, alors tout cela est relié aux versions officielles chez la port-dissidence.(...) C'est le graphène qui constue le 'SARS-COV 2'. Comme le graphène est radio-modulable, il va d"pendre de l'intensité de radiations, la première déclaration est une déchirure de la membrane autour des cellules coronaires.  Et aussi le système coronaire répond à des sytophyses déversées,(...) Ici nous paons de nano- echnologies. Avec le graphène nous pouvons moduler les pensées. On peut insérer des pensées.  On peut effacer des mémoires, on peut insérer des vécus,  On peut neuro-stimuler des personnes, des nouvelles façons de fonctionner. Et bien évidemment monitorer, regarder ce que pense et fait la personne. 

 Donc, toutes ces informations bio-médicales peuvent être envoyées quelque part,  mais l'objectif principal reste le cerveau.  Et de là on voit apparaître les 'vaccins' intra-naseaux.  Et de nouveau - la question suivante - pourquoi font-ils cela ?

 Qui peut-être intéressé de faire çà ?

 (...) Il a [Lierd] aussi parlé de structures cristalines qui ressemblent beaucoup (...) 

 Astrid Stuckelberger: (55:02) "Les 'vaccins' n'ont aucun phosphore ou nitrogène. (...) Nous trouvons des éléments fibreux  Il a simplement des éléments qui manquent (1:00:00) le fer, le zinc, le magnésium et le potassium.

(1:17:00) Astris Stuckelberger.

(Traductions d'Yliana pour Ricardo Delgado).

à 4:11:035 "15 cargos (porte-containers) polluent plus que toutes les voitures du monde" (et il y en a plus de 800 qui circulent !)

https://tvadp.fr/jeudi-21-decembre-2023/

vendredi 22 décembre 2023

Respirer est-il perturbateur pour le climat ?

 le 21 décembre 2023


Comme les lecteurs de ce blog le savent bien je continuerai à dénoncer l’escroquerie du dérèglement du climat par l’activité humaine ainsi que les visées totalitaires de l’OMS qui désire contrôler la santé des citoyens de toute la planète. Vivant maintenant depuis dix-huit mois à Tahiti parler de réchauffement du climat ici est une blague et en ce qui concerne la santé des Polynésiens, certes ils ont payé un lourd tribut lors de l’épidémie de coronavirus, pour des raisons génétiques et alimentaires, des aliments tels que les bananes à cuire le fruit de l’arbre à pain ou encore les patates douces sont très riches en sucre et comme ceci a été prouvé maintes fois c’est le sucre qui provoque un sur-poids et non les graisses animales. Puisqu’il est question d’alimentation les diététiciens répètent et répètent encore qu’il faut déguster des mets riches en fibres supposées faciliter le transit intestinal. Voilà une riche idée ! Une récente étude parue dans la revue PlosOne a jeté un pavé dans la mare de la certitude des diététiciens. L’étude a consisté à analyser les exhalaisons d’un échantillon de personnes soumises à un régime carné, un régime n’incluant de la viande que deux fois par semaine et un régime végétarien strict. Il n’y avait aucune corrélation dans la teneur des exhalaisons ( respiration normale) pour ces trois groupes en ce qui concerne les teneurs en méthane ou gaz carbonique alors que la teneur en oxyde d’azote N2O semblait être liée à la propreté de la dentition ! L’étude s’est donc focalisée sur les exhalaisons de méthane et de gaz carbonique qui sont considérés comme particulièrement dangereux pour le climat.

En effet (!) la teneur en méthane dans l’air rejeté lors de la respiration outre le gaz carbonique  varie entre 12 et 20 ppm, c’est énorme, c’est une catastrophe pour le climat … tandis que les émissions d’oxyde d’azote restaient stables à un petit détail près, elles augmentent avec l’âge. L’être humain n’est pas directement fautif dans cette histoire, ce sont les bactéries intestinales qui font leur travail, tout simplement. Et si l’homme dégage du méthane c’est une conséquence de la dégradation par ces bactéries d’aliments contenant de longues chaines carbonées, l’excès de méthylènes et de méthyles étant éliminés sous forme de méthane. Il est opportun de rappeler que lors d’une expiration normale la teneur en gaz carbonique  est de l’ordre de 4,4 % soit 10000 fois plus que dans l’atmosphère. Ce gaz carbonique  provient de tous les mécanismes d’oxydation produisant dans la cellule de l’énergie comme par exemple le glucose : C6H12O6 + 6O2 → 6CO2 + 6H2O. Sans ces mécanismes d’oxydation toute vie est impossible car non seulement les être humains en dépendent mais également tous les animaux, toutes les bactérie et tous les champignons ainsi que les végétaux au cours de la nuit. Va-t-on instituer une « taxe-carbone » en raison de cette exhalaison de gaz carbonique ? Cela serait synonyme de taxe sur la vie, et un tel raisonnement explique le penchant malthusien des responsables onusiens du climat reprenant les thèses du Club de Rome.

Il reste une petite consolation pour les hommes : ils dégagent statistiquement moins de méthane que les femmes et ceci ne peut que s’expliquer par une différence de microbiome intestinal entre l’homme et la femme. Il faut toutefois rester optimiste car cette étude mentionne que tout le gaz carbonique  exhalé par les britanniques ne représente que 0,05 % de l’ensemble des émissions de ce même gaz répertoriées dans le Royaume et pour le méthane seulement 0,1 % par ce même calcul. Pour conclure sur une note d’optimisme le massacre de tous les bovins britanniques et des mesures vexatoires de taxation de la vie n’auront strictement aucun effet sur l’évolution naturelle du climat. Source : https://doi.org/10.1371/journal.pone.0295157

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/12/21/respirer-est-il-perturbateur-pour-le-climat/

Astrid Stuckelberger, (le 20 décembre 2022)

 

jeudi 21 décembre 2023

Visualiser le commerce mondial du café

 PAR TYLER DURDEN

VENDREDI 22 DÉCEMBRE 2023 - 05:20


Du café filtre aux lattés décadents, chaque tasse de café commence son voyage à partir du humble grain de café. Un commerce mondial massif de café déplace ces grains des fermes d’un pays vers les cafés d’un autre.

Dans cet article, Airi Ryu utilise les données de Resourcetrade.earth de Chatham House pour suivre le commerce mondial des grains de café non torréfiés et non décaféinés en 2019, mettant en lumière les principaux exportateurs et importateurs de café au monde.

Les plus grands exportateurs du commerce mondial du café

Près de 84 % des exportations mondiales de grains de café proviennent de seulement 10 pays.

Tous ces pays se trouvent dans la « Ceinture du Haricot » entre le tropique du Cancer et le tropique du Capricorne, là où le café pousse le mieux. Ces principaux pays producteurs de café comprennent le Brésil, le Vietnam et la Colombie.

Voici les principaux pays exportateurs de café en 2019 :

Les pays sud-américains du Brésil, de la Colombie et du Pérou exportent près de 42 % des grains de café mondiaux. Le Brésil a exporté plus de 2,2 millions de tonnes rien qu’en 2019, soit plus d’un quart du commerce mondial du café.

De l'autre côté du Pacifique, le Vietnam et l'Indonésie ont exporté ensemble 23,4 % des grains de café mondiaux en 2019. Parmi les autres principaux exportateurs figurent les pays d'Amérique centrale du Honduras et du Guatemala, qui représentent ensemble 8,7 % des exportations mondiales de grains de café, ainsi que les pays africains de l'Ouganda et de l'Éthiopie. avec 6,7% combinés.

Les plus grands importateurs de grains de café, par pays

De l’autre côté du commerce mondial du café se trouvent les pays ayant une forte demande de café et qui dominent les importations. Beaucoup de ces pays importateurs réexportent également des grains de café vers d’autres régions du monde sous leurs propres marques locales.

Voici les principaux pays importateurs de café en 2019 :

Les États-Unis sont le plus grand importateur de grains de café au monde, avec 1,5 million de tonnes de grains de café non torréfiés en 2019, soit 19,3 % de toutes les exportations de cette année-là. Si le Brésil et la Colombie sont ses principales sources de café, les grains importés d'Asie et d'Amérique centrale prospèrent également grâce à une forte culture du café de spécialité.

L’Europe est également une destination massive pour les exportations de grains de café. L'Allemagne était en tête avec 14,2 % des importations mondiales de café, tandis que l'Italie représentait 8,3 %.

La culture du café au Japon a fait du pays un acteur majeur dans le commerce mondial du café. En 2019, le Japon était le quatrième importateur mondial de grains de café et, de loin, le premier importateur en Asie.

Alors que le désir de café continue de se répandre dans le monde entier et que le changement climatique met à rude épreuve la production de café (et vice versa), les flux de grains de café vont certainement changer dans les décennies à venir.

https://www.zerohedge.com/commodities/visualizing-global-coffee-trade

Faites votre part pour le réchauffement climatique : arrêtez de respirer !

PAR TYLER DURDEN

JEUDI 21 DÉCEMBRE 2023 - 11H00

Rédigé par Pete Colan via AmericanThinker.com,


Comme si nous n’étions pas déjà incroyablement las de l’hystérie climatique où tout est à blâmer, des pets de vaches à votre tondeuse à gazon, alerte spoiler : ce n’est pas encore fini.

Ce n’est que lorsque la terre sera complètement désinfectée avec le désinfectant de la marque Globalist Elite que nous cesserons d’entendre parler de toutes les façons étonnantes dont nous, les humains, détruisons la terre.

Mais il semble maintenant que le train du réchauffement climatique soit entré dans la gare et ne puisse plus aller plus loin, car hélas, la respiration humaine est désormais en cause. Oui mes amis, votre simple existence, et pas seulement la voiture que vous conduisez, est une menace existentielle pour le climat terrestre.

Oh, et ce n’est pas le gaz carbonique que vous expirez, c’est quelque chose de bien plus sinistre.

Une récente étude britannique évaluée par des pairs a déterminé « ... que l'haleine humaine expirée peut contenir des gaz à effet de serre, du méthane (CH4) et de l'oxyde nitreux (N2O), qui ont tous deux un potentiel de réchauffement climatique beaucoup plus élevé que le gaz carbonique»

Mais heureusement, tous les gens ne sont pas des destructeurs du climat.

Curieusement, seulement 31 % des personnes atteignent leur seuil de « producteurs de méthane » ou députés, comme le prétend l’étude citée.

Les personnes âgées et les femmes étaient plus susceptibles d'être députés. Ils ne savent pas pourquoi.

Curieusement, les chercheurs n’ont également trouvé aucune corrélation statistiquement pertinente entre les niveaux d’émissions humaines de gaz à effet de serre et l’alimentation, alors n’ayez crainte ; ce n’est pas une affirmation immédiate de « tu mangeras des insectes à partir de maintenant » (encore). Au lieu de cela, ils insistent pour que davantage de recherches soient menées.

  "La conversion d'un régime alimentaire à haute teneur en viande et en protéines vers des options végétariennes à plus forte teneur en fibres pour atténuer les émissions de gaz à effet de serre provenant de la production de viande (animaux de ferme) entraîne potentiellement une production plus élevée de gaz dans l'intestin humain, et un élément d'échange de pollution pourrait se produire."

L’étude ne considère pas la contribution de la respiration humaine au réchauffement climatique comme insignifiante, ce qui est ce qui fait peur.

« En termes d’ampleur, ces valeurs représentent environ 0,05 % et 0,1 % des émissions totales de CH4 et de N2O signalées dans les inventaires nationaux de gaz à effet de serre du Royaume-Uni. »

Donc, s’ils s’en prennent à votre cuisinière à gaz, ils pourraient s’en prendre à vous tous, les députés.

Bientôt, ils distribueront des kits de test MP comme s’ils distribuaient des tests COVID.

Ne riez pas ; comme vous le savez tous, les théories du complot les plus stupides de la dernière décennie se sont presque toutes réalisées. Surveillez vos arrières.

https://www.zerohedge.com/political/do-your-part-global-warming-stop-breathing

mardi 19 décembre 2023

Un volcan entre en éruption en Islande, près d'une centrale électrique, dans le « pire scénario »

PAR TYLER DURDEN

MARDI 19 DÉCEMBRE 2023 - 04h00


Un volcan dans la région sud-ouest de l'Islande est entré en éruption lundi, envoyant des geysers de lave chaude jusqu'à 330 pieds. L'éruption s'est produite près de la centrale géothermique de Svartsengi, près de la ville de Grindavík, qui a été évacuée le mois dernier en raison d'une augmentation de l'activité sismique, rapporte le New York Times.

"Nous envisageons le pire des cas", a déclaré le volcanologue islandais Thorvaldur Thordarson, ajoutant que "l'éruption semble importante, et à seulement environ deux kilomètres des principales infrastructures".

Au cours des deux derniers mois, des milliers de tremblements de terre ont été détectés en Islande, entraînant des évacuations en novembre, les maisons et les routes ayant été endommagées par les événements. La situation s'est détériorée si rapidement que les autorités ont déclaré l'état d'urgence et évacué Grindavík, où vivent plus de 3 000 personnes vivant à proximité du volcan.

- voir clip sur site -

Récemment, le bureau météorologique a mis en garde contre une « probabilité importante d'une éruption volcanique dans les prochains jours ».

Au cours des deux dernières années seulement, trois éruptions ont eu lieu sur la péninsule de Reykjanes, la région la plus peuplée d’Islande et qui abrite sa capitale. Lorsque Grindavik a reçu l'ordre d'être évacué le 11 novembre, les autorités ont déclaré dans un communiqué que le pays était « hautement préparé à de tels événements ». -NYT

"L'Islande dispose de l'une des mesures de préparation aux volcans les plus efficaces au monde", peut-on lire sur le site Internet local.

Les autorités ont également élevé l'alerte aérienne à l'orange en raison des dangers que représente le volcan pour les avions volant dans l'Atlantique Nord en cas de rejet de cendres dans le ciel.

En 2010, le volcan islandais Eyjafjallajokull est entré en éruption après avoir été en sommeil pendant près de deux siècles. Même si personne n'est mort, l'impact a été important puisque le nuage de cendres qui en a résulté a cloué au sol une grande partie du transport aérien européen pendant plus d'une semaine.

L'Islande compte environ 400 000 habitants et environ 130 volcans. En fait, depuis le 19ème siècle, il n’y a pas eu une seule décennie sans qu’une éruption n’éclate. Selon le site touristique, les éruptions sont « entièrement aléatoires ».

https://www.zerohedge.com/weather/worst-case-scenario-volcano-erupts-iceland-near-power-plant

lundi 18 décembre 2023

La « respiration » des humains nuit à l’environnement, affirment des scientifiques britanniques

17/12/2023

 Ethan Huff


Une nouvelle recherche menée par le Dr Nicholas Cowan, physicien de l'atmosphère au Centre britannique d'écologie et d'hydrologie d'Édimbourg, affirme que les gaz expirés par les humains lorsqu'ils respirent sont un facteur majeur du réchauffement climatique.

Selon le Dr Cowan et son équipe, le simple fait de respirer libère dans l'air des gaz réchauffants qui contribuent au réchauffement atmosphérique et à l'ébullition des océans.

"Il a été rapporté que l'haleine humaine expirée peut contenir des gaz à effet de serre, du méthane (CH4) et de l'oxyde nitreux (N2O), qui ont tous deux un potentiel de réchauffement climatique beaucoup plus élevé que le gaz carbonique", explique l'étude.

"Là où les chaînes d'hydrocarbures (types d'aliments) sont consommées par les humains et transformées en CH4 (et en N2O provenant de l'apport d'azote), le potentiel de réchauffement climatique n'est plus neutre et la respiration humaine a un effet net de réchauffement sur l'atmosphère."

"Nous invitons à la prudence quant à l'hypothèse selon laquelle les émissions humaines sont négligeables."

(Connexe : Selon les médias, l’augmentation soudaine des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux après la diffusion des vaccins contre le COVID est en fait la faute du changement climatique.)

Arrêtez de respirer, sauvez le monde

Pour leur étude, les chercheurs ont examiné les niveaux de méthane et d'oxyde nitreux dans l'haleine humaine de 104 volontaires adultes de la population générale du Royaume-Uni.

Chaque volontaire devait prendre une profonde inspiration, la retenir pendant cinq secondes, puis expirer dans un sac en plastique refermable. Au total, 328 échantillons d'haleine ont été collectés auprès des participants, chacun d'entre eux étant enregistré en fonction de l'âge, du sexe et des préférences alimentaires.

Après analyse, tous les échantillons d'haleine contenaient de l'oxyde nitreux, tandis que seulement 31 % contenaient du méthane, le même gaz que l'on trouve dans les « pets de vache » que les sectateurs du climat tentent également d'éliminer.

Les 69 % restants des participants qui n'ont pas libéré de méthane dans leur respiration étaient déterminés à "libérer le gaz sous forme de flatulences", c'est-à-dire des flatulences.

Les femmes de plus de 30 ans sont les plus susceptibles d’exhaler du méthane dans leur haleine, bien que les chercheurs disent ne pas savoir pourquoi.

Globalement, sur la base de tous les échantillons, les chercheurs ont déterminé que la proportion des émissions de « gaz à effet de serre » du Royaume-Uni provenant de l'haleine humaine est de 0,05 % pour le méthane et de 0,1 % pour l'oxyde nitreux.

Pour être clair sur ce que cela signifie, le Dr Cowan a souligné que ces deux pourcentages concernent spécifiquement les deux gaz respectifs. Les deux pourcentages ne couvrent pas la totalité des émissions de gaz à effet de serre du Royaume-Uni.

Pour autant qu’ils puissent en juger, il n’y a aucun lien entre les gaz présents dans l’haleine et ce que les gens mangent, même si les chercheurs ont pris soin d’exprimer leurs préjugés contre les mangeurs de viande, affirmant qu’ils alimentent la crise climatique à un degré bien plus élevé que les végétariens et les végétaliens. .

L’étude n’a également porté que sur les émissions de gaz à effet de serre provenant de l’haleine. Les chercheurs n’ont fourni aucune estimation des émissions totales d’une personne ou de son empreinte carbone globale.

"J'adore le réchauffement climatique", a écrit un intervenant. "Cela nous encourage à respirer pour que les plantes puissent devenir vertes."

"Eh bien, nous savions tous que cela allait arriver !" en a écrit un autre.

"Je voudrais suggérer que le Dr Nicholas Cowan soit le premier à mettre un sac en plastique sur sa tête, à scotcher le sac sur son corps et à s'assurer qu'il n'y a pas d'espace, et à respirer profondément pour réduire la population !"

Pour en savoir plus sur les dernières nouvelles du culte du climat, rendez-vous sur Climate.news.

Les sources de cet article incluent :

100percentfedup.com

NaturalNews.com

https://www.naturalnews.com/2023-12-17-breathing-harms-the-environment-uk-scientists-claim.html

Grande manifestation à Karlsruhe : les Droits de l’homme de TOUS les êtres humains plutôt que la privation collective de droits

 

samedi 16 décembre 2023

Destruction intentionnelle : premier COVID, vient maintenant « la grande prise »

PAR TYLER DURDEN

SAMEDI 16 DÉCEMBRE 2023 - 16H30

Rédigé par Matthew Smith via la sous-pile Take de Doug Casey,


La Grande Dépression était un plan bien exécuté visant à saisir les actifs, à appauvrir la population et à refaire la société. La suite est pire...

Un livre récent de David Webb jette un nouvel éclairage sur ce qui s’est exactement passé pendant la Grande Dépression. Selon Webb, il s’agissait d’un coup monté.

Webb est un ancien banquier d'investissement et gestionnaire de fonds spéculatifs à succès possédant une expérience aux plus hauts niveaux du système financier. Il a publié il y a quelques mois The Great Taking et l'a récemment complété par un documentaire vidéo. Complet, concis, compréhensible et GRATUIT. Pourquoi ? Parce qu’il veut que tout le monde comprenne ce qui se fait.

The Great Taking décrit la feuille de route pour effondrer le système, réprimer le peuple et saisir tous vos actifs. Et cela inclut les reçus.

Vous ne possédez déjà rien

Le livre de Webb illustre, entre autres choses, comment les modifications apportées au Uniform Commercial Code ont transformé la propriété d’actifs en un droit à la sécurité. La désignation de « droit » faisait des biens personnels une simple réclamation contractuelle. La personne « ayant droit » est un propriétaire « véritable », mais pas le propriétaire légal.

Dans le cas où une institution financière est insolvable, le propriétaire légal est « l’entité qui contrôle le titre doté d’une sûreté ». En substance, les actifs des clients appartiennent aux banques. Mais c’est bien pire que ça. Il ne s’agit pas simplement de perdre votre argent à cause d’un renflouement bancaire. L’ensemble du système financier a été programmé pour une démolition contrôlée.

Webb décrit en détail comment le piège a été tendu et comment la Grande Dépression a créé un précédent. En 1933, FDR a déclaré un « jour férié ». Par décret, les banques ont été fermées. Plus tard, seuls ceux approuvés par la Fed ont été autorisés à rouvrir.

Des milliers de banques ont été laissées pour compte. Les gens qui avaient de l’argent dans ces institutions défavorisées ont tout perdu, ainsi que tout ce qu’ils avaient financé (maisons, voitures, entreprises) et qu’ils ne pouvaient plus payer. Ensuite, quelques banques « choisies » ont consolidé tous les actifs du système.

Centralisation et risque systémique

Comme le montre Webb, le gâteau est cuit depuis des années. Mais cette semaine est arrivé un signe qu’il sortait du four. Lundi dernier, Bloomberg a admis que les mesures prises pour prétendument « protéger le système » amplifiaient en réalité le risque.

À la suite de la crise financière de 2008, les « dirigeants » du G20 ont exigé que tous les produits dérivés standardisés de gré à gré (OTC) soient compensés par l'intermédiaire de contreparties centrales (CCP), apparemment pour réduire le risque de contrepartie et accroître la transparence du marché. La contrepartie centrale la plus connue aux États-Unis est la Depository Trust and Clearing Corporation (DTCC), qui traite chaque jour des milliers de milliards de dollars de transactions sur titres.

Avant 2012, les transactions sur dérivés de gré à gré étaient bilatérales et le risque de contrepartie était géré par les parties à une transaction. Lorsqu’elles faisaient affaire directement avec d’autres entreprises, chacune devait s’assurer qu’elle faisait affaire avec des parties fiables. S’ils avaient une mauvaise réputation ou n’étaient pas solvables, les contreparties pourraient les considérer comme toxiques et les exclure des transactions. Selon les sages dirigeants du G20, cela était trop risqué.

Avec l’introduction des mandats de compensation centrale, le risque de contrepartie via les contreparties centrales a été transféré des entreprises effectuant la transaction vers le système lui-même. La solvabilité et la réputation ont été remplacées par des garanties et des modèles complexes.

Les courtiers, les banques, les gestionnaires d'actifs, les hedge funds, les entreprises, les compagnies d'assurance et autres « parties de compensation » participent au marché en déposant d'abord des garanties sous la forme de marge initiale (IM) auprès de la CCP. C'est à travers ce GI et un fonds de défaillance (DF) distinct et beaucoup plus petit détenu auprès de la CCP que le risque de contrepartie est géré.

« Mutualiser » les pertes

Déplacer le risque des parties individuelles vers le collectif est une source de problèmes. Mais comme l’explique un récent rapport de la BRI, c’est pire que cela. La structure des CCP elles-mêmes peut provoquer des « spirales de marge » et des « risques à contre-courant » en cas de turbulences du marché.

Lors des épisodes de fuite vers la sécurité, les contreparties centrales augmentent leurs exigences de marge. Selon la BRI,

"Des hausses soudaines et importantes de l'IM forcent le désendettement des contreparties dérivées et peuvent précipiter des ventes en feu qui conduisent à une plus grande volatilité et à des hausses supplémentaires de l'IM dans ce que l'on appelle les spirales de marge."

Nous avons déjà eu un avant-goût de ce à quoi cela peut ressembler. Des spirales de marge similaires « se sont produites début 2020 (Covid-19) et 2022 (invasion de l’Ukraine), reflétant la nature sensible au risque des modèles de GI ».

Les obligations d’État, source de problèmes

Le deuxième domaine de risque systémique est la double utilisation des obligations d’État comme garantie et comme actifs sous-jacents dans les contrats dérivés. La volatilité du marché des obligations d'État peut conduire à une demande de garanties supplémentaires sous-jacentes aux marchés dérivés, précisément lorsque les prix des obligations d'État sont en baisse. La baisse des prix des obligations érode la valeur du GI existant. Les demandes de garanties montent en flèche au moment même où la valeur des garanties actuelles et potentielles s’évapore.

Encore une fois, la BRI :

Une dynamique de risque à rebours semble avoir joué un rôle lors de la crise de la dette souveraine irlandaise de 2010-2011. À cette époque, les investisseurs avaient liquidé leurs positions en obligations d’État irlandaises après qu’une contrepartie centrale ait augmenté les décotes sur ces obligations lorsqu’elles étaient utilisées comme garantie. Cela a entraîné une baisse des prix des obligations d'État irlandaises, déclenchant de nouvelles décotes, de nouvelles fermetures de positions et, finalement, une spirale descendante des prix.

Conçu pour échouer

La BRI ne l’admet pas, mais Webb affirme que les PCC eux-mêmes sont délibérément sous-capitalisés et conçus pour échouer. Le démarrage d'un nouveau CCP est planifié et préfinancé. Lorsque cela se produira, ce seront les « créanciers garantis » qui prendront le contrôle de TOUTES les garanties sous-jacentes.

Une fois de plus, la BRI :

…pour mutualiser les pertes potentielles en cas de défaut supérieures à IM, les CCP exigent également que leurs membres contribuent à un fonds de défaut (DF). En conséquence, les contreparties centrales contrôlent de vastes pools d’actifs liquides.

Ce « grand pool d’actifs liquides » représente l’univers complet des titres négociés.

En cas d’effondrement du marché, les actions et obligations que vous pensez posséder seront aspirées dans le fonds par défaut (DF) comme garantie supplémentaire pour la valeur évaporée du complexe de produits dérivés. C'est « La Grande Prise ».

La célèbre phrase de Buffett sonne juste : « On ne découvre qui nage nu que lorsque la marée se retire. » La plupart d’entre nous sont sur le point d’apprendre que c’est nous qui sommes sans vêtements.

Si vous n’avez pas lu « The Great Taking » ni regardé le documentaire, je vous recommande de vous servir un verre et de le regarder maintenant :

https://www.youtube.com/watch?v=dk3AVceraTI&embeds_referring_euri=https%3A%2F%2Fwww.zerohedge.com%2F&source_ve_pat

h=OTY3MTQ&feature=emb_imp_woyt

https://www.zerohedge.com/geopolitical/intentional-destruction-first-covid-now-comes-great-taking 

Extraire l’uranium de l’eau de mer est aujourd’hui envisageable

le 15 décembre 2023


Alors que la COP28 a entériné le caractère « énergie verte » de l’énergie nucléaire suivant ainsi la décision des instances dirigeantes de l’Union européenne, des pays comme la Chine et la Russie confirment leur avance technologique dans le domaine des réacteurs nucléaires de nouvelle génération, en particulier l’utilisation des réacteurs à neutrons rapides qui sont déjà ponctuellement utilisés comme «poubelles » pour se débarrasser des actinides de haute activité, en particulier en Russie. La France était un précurseur dans le domaine des réacteurs à neutrons rapides avec le réacteur expérimental Phénix de Marcoule et surtout l’usine de Creys-Malville qui fut fermé et démantelé à la suite d’une décision du gouvernement français de gauche, non pas progressiste mais obscurantiste, ayant cédé aux injonctions idéologiques des opposants à l’énergie nucléaire. Quelle serait aujourd’hui l’attitude d’un Jospin compte tenu des décisions de l’Union européenne et de la COP28 ?

Ce n’est pas l’angoisse alimentée par le gaz carbonique qui a favorisé ces décisions mais l’augmentation du prix des carburants d’origine fossile, phénomène mondial lié au tarissement des investissements dans la prospection de nouveaux gisements tant de pétrole que de gaz en raison de l’application des critères « ESG » eux-mêmes promus par ces mêmes idéologues qui obtinrent la fermeture de l’usine NERSA en France. Si on doute encore des effets destructeurs de l’idéologie verte irraisonnée il suffit d’examiner le cas de l’Allemagne, naguère leader économique de l’Europe et maintenant en voie de « tiers-mondisation » : une inflation incontrôlable, des faillites destructrices du tissu industriel, des troubles sociaux soigneusement dissimulés, des retraités dont l’avenir est incertain … un tableau tellement alarmant que le rejet des idéologies « vertes » a favorisé le regain des partis nationalistes comme l’AfD, ce qui ne présage rien de bon pour l’Europe, une relecture de l’histoire est là pour le démontrer.

Bref, de nombreux pays optent pour l’énergie nucléaire mais les leaders scientifiques et industriels dans ce domaine ne sont plus les Occidentaux mais la Russie et la Chine et dans le cadre du « Club » des BRICS cette position ne pourra que se renforcer. 

La Chine forme chaque année des dizaines de millions d’ingénieurs de haut niveau et encore plus de techniciens hautement spécialisés dans le domaine de l’énergie nucléaire.

 Qui est le principal partenaire d’EDF dans le projet Hinkley Point C en Grande-Bretagne ? Réponse : la Chine ! 

 Qui effectue des travaux de recherche sophistiqués afin de tenter de récupérer de manière rentable les dizaines de milliards de tonnes d’uranium qui se trouve dans les océans ? Réponse la Chine ! 

 Car à terme l’exploitation de l’uranium « terrestre » deviendra problématique. 

 Par exemple le projet d’exploitation d’un site en Namibie, quatrième producteur mondial d’uranium métal surtout produit sous forme de « yellow cake », ne produira de l’uranium que durant 14 ans. Cette situation se renouvellera dans les 7 autres principaux pays producteurs d’uranium que sont le Kazakhstan, le Canada, l’Australie, le Niger, la Russie, l’Uzbekistan et la Chine, sans oublier la sécurisation des sites miniers en fin d’exploitation.

Or la quantité d’uranium dissous dans l’eau de mer correspond à 1000 fois l’ensemble des réserves terrestres prouvées dont l’exploitation est rentable à ce jour. Une équipe d’ingénieurs a pour cette raison mis au point un polymère sous forme de mousse fixé sur un substratum textile de carbone, polymère alliant des sites réactifs et catalytiques permettant de piéger l’oxyde d’uranium sous forme insoluble par action électrolytique directe, c’est-à-dire au cours du processus de piégeage dans l’eau de mer pouvant durer plusieurs semaines.

 Les illustrations ci-dessous sont des résumés graphiques de la publication relative à ce travail innovant https://doi.org/10.1021/acscentsci.3c01291 ) en accès libre :

En 24 jours de processus de fixation de l’uranium d’eau de mer l’efficacité est de l’ordre de 12,6 mg par gramme de polymère poly-aromatique greffé, une prouesse puisque la teneur en ion uranium de l’eau de mer est de 3,3 parties par milliard avec une quantité très abondante d’autres ions interférant avec ce piégeage qui est efficace dans la mesure où le procédé électrochimique associé transforme l’ion uranyle UO2 ++ soluble en oxyde d’uranium UO2 insoluble par réduction électrochimique cyclique comme indiqué dans ces illustrations. À n’en pas douter ce procédé est protégé par une multitude brevets et la Chine se positionne déjà comme leader mondial de cette technologie peu coûteuse et … respectueuse de l’environnement terrestre et atmosphérique !

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/12/15/extraire-luranium-de-leau-de-mer-est-aujourdhui-envisageable/

jeudi 14 décembre 2023

La centrale nucléaire chinoise de 4e génération désormais ENTIÈREMENT OPÉRATIONNEL



 Richard Brown  13/12/2023


La première centrale nucléaire (NPP) de quatrième génération au monde, basée dans la province chinoise du Shandong, a officiellement commencé ses opérations commerciales.

L'Administration nationale chinoise de l'énergie (NEA) a annoncé que la centrale nucléaire de Shidao Bay, communément connue sous le nom de Shidaowan, était désormais en ligne. La centrale électrique utilise un réacteur refroidi au gaz à haute température (HTGR), qui a effectué un test continu de 168 heures avant d'être opérationnel.

Selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), les réacteurs innovants tels que le HTGR peuvent générer jusqu'à 70 fois plus d'énergie ; améliorer la durabilité de l'énergie nucléaire; et contribuer à réduire le volume, la toxicité et la durée de vie des déchets radioactifs.

Dans le même temps, l'AEN a déclaré que la Chine a atteint une position de leader mondial dans la recherche, le développement et l'application des technologies nucléaires de quatrième génération. La mise en service de la centrale nucléaire de Shidao Bay devrait soutenir le développement sûr de l'énergie nucléaire et renforcer les capacités d'innovation scientifique et technologique de la Chine. (Connexe : La Russie et la Chine dominent l’industrie de la production d’électricité nucléaire devant les États-Unis)

Zhang Zuoyi, concepteur en chef du programme de centrale nucléaire HTGR, a souligné l'élément clé de la « sécurité ». Il a souligné la capacité du réacteur à maintenir un état sûr et à éviter une fusion ou une fuite de matières radioactives. Même en cas de perte totale de capacité de refroidissement, le réacteur serait en mesure de maintenir cette capacité sans intervention.

Le projet Shidaowan a commencé ses travaux préliminaires en mars 2002 lorsque le groupe public China Huaneng Group (CHNG) a collaboré avec la China National Nuclear Corp. (CNNC) et l'Université Tsinghua sur le projet de démonstration de centrale nucléaire.

Bien que le plan de mise en œuvre ait été approuvé en mars 2011, il a connu des retards suite à l'accident radiologique de la centrale nucléaire de Fukushima au Japon, survenu le même mois en raison d'un tremblement de terre et du tsunami qui a suivi. Le projet Shidaowan a été officiellement lancé en décembre 2012, et la première production d'électricité aura lieu neuf ans plus tard, en 2021.

La Chine se classe au troisième rang mondial pour la production d'énergie nucléaire, après la France et les États-Unis, selon l'AIEA. Le pays devrait devenir le leader mondial en termes de capacité nucléaire installée d’ici 2030.

HTGR utilise de l'hélium gazeux au lieu de l'eau pour le refroidissement

Le HTGR de Shidaowan – co-développé par CHNG, CNNC et Tsinghua – utilise de l'hélium gazeux pour le refroidissement au lieu des méthodes traditionnelles de refroidissement par eau. Cela améliore la sécurité, ouvrant la voie à un plus grand nombre de centrales nucléaires intérieures qui ne dépendent pas de la proximité d'une source d'eau.

Les réacteurs à haute température comme le Shidaowan HTGR ont le potentiel de produire de la chaleur, de l’électricité et de l’hydrogène, contribuant ainsi aux efforts mondiaux visant à atteindre la neutralité carbone. Cette conception de réacteur de quatrième génération vise à succéder aux réacteurs nucléaires refroidis à l’eau existants à l’échelle mondiale, en donnant la priorité à la sécurité, à la durabilité et à l’efficacité.

Zhang, qui est également doyen de l'Institut des technologies nucléaires et des énergies nouvelles de Tsinghua, a souligné l'impact environnemental positif et le potentiel de production d'énergie neutre en carbone grâce à des réacteurs à haute température. La conception du réacteur se concentre sur des températures plus élevées, permettant la production d'électricité et d'hydrogène contribuant à un mix énergétique plus propre.

L'installation de Shidaowan comprend deux réacteurs thermiques de 250 mégawatts et un générateur de vapeur de 200 mégawatts. Environ 93,4 pour cent des matériaux utilisés dans le HTGR provenaient de sources nationales. La conception intègre des caractéristiques de sécurité inhérentes, garantissant la stabilité du noyau en cas de panne soudaine ou de perturbation externe.

Les réacteurs de quatrième génération, y compris le Shidaowan HTGR, s'alignent sur les objectifs du Gen IV International Forum (GIF), un cadre de coopération internationale regroupant les principales nations nucléaires. GIF vise à limiter l’impact environnemental, à réduire les déchets nucléaires, à minimiser le risque de fusion nucléaire et à freiner les opportunités de prolifération nucléaire.

Bien que Shidaowan soit le premier HTGR à entrer en exploitation commerciale à l’échelle mondiale, d’autres projets chinois de quatrième génération sont en cours. Le projet pilote de réacteur rapide refroidi au sodium de Xiapu dans la province du Fujian, géré par CNNC, est en cours de construction et devrait être connecté au réseau d'ici 2025. Les réacteurs rapides refroidis au sodium, contrairement aux HTGR, peuvent recycler l'uranium appauvri pour la réutilisation du combustible, améliorant ainsi la durabilité. .

La capacité nucléaire croissante de la Chine la positionne comme un leader mondial dans le secteur, avec des plans pour augmenter considérablement sa capacité nucléaire installée d'ici 2030. Malgré les progrès, l'énergie nucléaire ne représente actuellement que cinq pour cent de la production d'énergie de la Chine, ce qui met en évidence la dépendance continue au charbon, selon à l'Association Nucléaire Mondiale.

Visitez Nuclear.news pour plus d’histoires sur les centrales nucléaires dans le monde.

Regardez cette vidéo sur la Chine limitant ses exportations de graphite, ce qui impacte 90 % de la production mondiale.

Cette vidéo provient de la chaîne Cynthia's Pursuit of Truth sur Brighteon.com.

Plus d'histoires connexes:

Percée en matière d'énergie propre : le microréacteur nucléaire eVinci de Westinghouse reçoit un contrat du DOE.

L’économie allemande s’effondre après que le pays a abandonné l’énergie nucléaire – les prix montent en flèche, les industries implosent.

De nombreux pays investissent dans la production d’énergie nucléaire tandis que l’Amérique LANGUE dans la recherche d’énergies renouvelables moins performantes.

Sources include:

RT.com

SCMP.com

Brighteon.com

https://www.naturalnews.com/2023-12-13-chinas-4th-generation-nuclear-plant-fully-operational.html

mardi 12 décembre 2023

Des composants électroniques dans les injections - Ana Mihalcea

 

Brève. Un rapport co-écrit par quatre médecins déclare que la vaccination contre le SARS-CoV-2 a provoqué la mort 'non intentionnelle' (?) de 17 millions de personnes dans le monde

 le 12 décembre 2023


Ce rapport de 175 pages dont je ne viens que de commencer la lecture est limité aux pays suivants : Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande et Uruguay. Cet ensemble de pays ne représente que 9 % de la population mondiale et 10 % du nombre total d’injections de vaccin. Le taux de mortalité provoquée par cette vaccination constitue un événement iatrogène s’ajoutant indubitablement à toutes les autres causes de mortalité ; Il représente 0,213 % de la population des pays étudiés dans ce rapport. Extrapolé à la totalité de la population mondiale, exercice non dénué d’incertitudes, ce taux représente 17 +/- 0,5 millions de morts supplémentaires exclusivement provoqués par l’injection de vaccins de toute provenance confondue.

Sur ce blog j’avais évalué le nombre de décès provoqué par l’injection d’ARN messager codant pour la sous-unité 1 de la protéine spike du SARS-CoV-2 à 8,5 millions en estimant que les alertes provenant des médecins traitants pour signaler ces décès étaient rejetées ou ne parvenaient pas aux services de veille sanitaire comme le VAERS aux USA. J’étais donc bien en deçà de la réalité dévoilée dans ce rapport.

 Les objectifs de décimation de la population mondiale par l’oligarchie transnationale pour juguler le prétendu réchauffement du climat, un prétexte mensonger, n’ont pas été atteints et on ne peut que redouter l’apparition d’un nouvel agent pathogène manipulé par des laboratoires secrets dont l’objectif sera de tuer massivement les peuples sans rendre inutilisable un territoire comme le ferait un tapis de bombes H. Le mandat accordé à l’OMS pour contrôler autoritairement la santé mondiale est tout à fait révélateur de ce qui attend l’Humanité …

Lien : https://correlation-canada.org/covid-19-vaccine-associated-mortality-in-the-Southern-Hemisphere/

Et pour rappel sur ce blog :

 https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/05/31/france-retour-sur-le-coronavirus-il-y-aura-des-grincements-de-dents/ https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/04/12/apres-le-coronavirus-loms-prepare-un-traite-coercitif-de-prevention-des-pandemies/ ethttps://jacqueshenry.wordpress.com/2023/05/13/le-vaccin-anti-coronavirus-est-une-loterie-5-de-chances-de-mourir-ou-detre-gravement-malade/ 

 enfin 

  : https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/03/29/le-complot-mortel-de-la-vaccination-contre-le-sars-cov-2/  

 Mais il faudra attendre pour les grincements de dents ! Une analyse succincte de ce considérable rapport fera l’objet d’un article sur ce même blog dans quelques jours car je lis toujours un article scientifique dans son intégralité afin de ne pas laisser de côté des contradictions entre l’Introduction et la discussion dont l’éditeur en chef de la revue peut exiger une modification pour que l’article soit publié.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/12/12/breve-un-rapport-co-ecrit-par-quatre-medecins-declare-que-la-vaccination-contre-le-sars-cov-2-a-provoque-la-mort-non-intentionnelle-de-17-millions-de-personnes-dans-le-monde/

lundi 11 décembre 2023

Lancement d’une campagne visant à tripler la capacité nucléaire d’ici 2050

9 décembre 2023


L’Association nucléaire mondiale et l’Emirates Nuclear Energy Corporation (ENEC), avec le soutien de l’Agence internationale de l’énergie atomique, « Atoms4NetZero » et du gouvernement britannique, ont lancé l’initiative « Net Zero Nuclear » une collaboration sans précédent entre les gouvernements, les dirigeants de l’industrie et la société civile avant la COP28.

Le lancement de la nouvelle campagne – par Mohamed Al Hammadi, directeur général d’ENEC, Sama Bilbao y León, directrice générale de l’Association nucléaire mondiale (WNA, World Nuclear Association), Andrew Bowie, ministre britannique du Nucléaire et des Réseaux – a eu lieu le premier matin du Symposium nucléaire mondial 2023, auquel ont participé 700 personnes de toute l’industrie mondiale. L’objectif de la campagne est de garantir que le potentiel de l’énergie nucléaire « soit pleinement réalisé en facilitant la décarbonisation des systèmes énergétiques mondiaux en promouvant la valeur de l’énergie nucléaire et en supprimant les obstacles à sa croissance », en particulier avant la COP28 qui a lieu aux Émirats arabes cette année. Il indique que la modélisation des données récentes suggère que la capacité d’énergie nucléaire doit au moins tripler d’ici 2050 pour atteindre les objectifs climatiques, ce qui nécessiterait environ 40 GW de nouveau nucléaire par an, soit environ six fois le taux de déploiement de la dernière décennie.

Lors du lancement, Al Hammadi a déclaré que la carboneutralité « ne sera pas possible sans l’énergie nucléaire » et a déclaré qu’en plus d’apporter une énergie propre jour et nuit, sa capacité à décarboniser l’industrie lourde et les transports signifiait une collaboration encore plus grande pour assurer sa croissance. « Parler, c’est bien, mais livrer, c’est encore plus grand », a-t-il ajouté. Bilbao y León a déclaré : « L’augmentation de la capacité d’énergie nucléaire à au moins trois fois sa taille actuelle nécessite la volonté politique des dirigeants du secteur de l’énergie, ainsi que la mobilisation rapide et efficace des financements nécessaires. Nous n’avons pas de temps à perdre… grâce au nucléaire carboneutre, nous espérons faciliter les mesures dont notre industrie a besoin pour croître ».

Grace Stanke , une étudiante en génie nucléaire qui passe son année en tant que Miss America à sensibiliser sur l’énergie nucléaire et les sources d’énergie zéro carbone, a déclaré que de nombreux jeunes s’étaient impliqués dans le nucléaire en raison du changement climatique, et a déclaré que les phénomènes météorologiques extrêmes signifiaient que les changements climatiques étaient une « question urgente avec laquelle nous avons grandi – nous n’avons pas peur d’agir, parce que si nous n’agissons pas aujourd’hui, nous n’aurons pas de lendemain », ajoutant qu’il était « important d’avoir cette conversation au niveau international … Commençons par le haut parce que si ça ne se passe pas partout, sur cette planète, à quoi bon ? ».

Le ministère de la Sécurité énergétique et de la Carboneutralité du Royaume-Uni a annoncé lors du lancement qu’il se joindrait à Net Zero Nuclear en tant que premier partenaire du gouvernement, Bowie rappelant qu’il ne pourrait pas y avoir de carboneutralité sans le nucléaire. Il a souligné les plans du Royaume-Uni pour de nouvelles capacités nucléaires – grandes centrales et petits réacteurs modulaires – et a souligné la nécessité d’une collaboration internationale.

Plus tôt, en ouverture de la conférence annuelle, le président de l’Association nucléaire mondiale, Bohdan Zronek, directeur de la division énergie nucléaire de la République tchèque, Bilbao y León a décrit les principaux développements dans le secteur de l’énergie nucléaire au cours de l’année écoulée, ainsi que les plans de développement d’un nouveau nucléaire dans les pays existants et nouveaux arrivants, et a également mis en évidence une série d’exemples de collaboration dans l’ensemble de l’industrie.

Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (IAEA), Rafael Mariano Grossi, s’est également joint à eux pour la séance du matin, sur le nucléaire pour la croissance et la prospérité mondiales, qui a donné son appui à la campagne Net Zero Nuclear et a déclaré que « il est clair que nous sommes à un moment clé pour le nucléaire » avec l’extension de la durée de vie des centrales existantes ainsi que le développement de petits réacteurs modulaires et l’intérêt croissant pour le nucléaire des nouveaux pays.

Il a déclaré que l’AIEA aidait les pays sur cette voie et poursuivait également des initiatives pour favoriser l’harmonisation, ce qui aurait des avantages plus larges pour accélérer le déploiement de la capacité nucléaire future. Il a déclaré que « tout comme la technologie et l’industrie s’adaptent », le processus réglementaire devrait également s’adapter. Grossi a également souligné que, surtout, la priorité restait la sûreté et la sécurité des centrales nucléaires en Ukraine, en disant que toute attaque contre elles, ou tout ce qui va mal à l’intérieur, signifierait que les « visions, les plans, les idées et les aspirations » étant discutées « seront beaucoup plus difficiles », pour persuader les gens et les politiciens de soutenir l’énergie nucléaire. Le député américain Chuck Fleischmann a déclaré qu’il était essentiel pour le futur nucléaire « que nous, qui soutenons le nouveau nucléaire, informions nos circonscriptions respectives que le nouveau nucléaire est sûr ». Il a également souligné la collaboration entre les États-Unis et le Canada qui leur a permis d’apprendre et de tirer profit de cette collaboration.

Enfin Joo Ho Whang, président et chef de la direction de Korea Hydro & Nuclear Power, a décrit les perspectives positives actuelles et prévues pour le nouveau nucléaire en Corée du Sud. Il a également souligné l’importance des chaînes d’approvisionnement dans le secteur nucléaire, en donnant l’exemple du nombre de producteurs de ciment de qualité nucléaire qui est passé de trois à un sous le gouvernement sud-coréen précédent, qui avait une politique d’élimination progressive du nucléaire. Il a dit qu’avec de nouveaux projets planifiés, il était important, au niveau national et international, d’avoir une chaîne d’approvisionnement solide.

Liens pour poursuivre la documentation : https://www.iaea.org/atoms4netzero

https://www.world-nuclear.org/our-association/publications/global-trends-reports/world-nuclear-performance-report-2023.aspx

Peu de jours après cette réunion l’Union européenne a adopté la classification de l’énergie nucléaire comme énergie « verte », c’est-à-dire « décarbonée » au même titre que l’hydroélectricité. Quant à l’aspect « renouvelable » de l’énergie nucléaire seuls la Russie, la Chine et dans une moindre mesure le Japon sont impliqués dans le développement de réacteurs à neutrons rapides dont le premier avantage est de produire plus de combustibles qu’ils n’en consomment en transformant l’uranium-238 en plutonium-239 tout en « consommant » les autres transuraniens de haute activité pour produire de l’énergie. L’avance technologique de la France dans ce domaine de la surrégénération (« breeders » en anglais) s’est évaporée pour des raisons idéologiques et à nouveau la France pour ces mêmes raisons a investi plus de 100 milliards d’euros pour installer des moulins à vent dont la durée de vie moyenne, légèrement supérieure à 20 ans, ne permet pas d’obtenir un bilan carbone positif.

Il existe actuellement deux breeders en opération commerciale en Russie sur le site de Beloyarsk de puissances électriques nominales respectivement de 560 MW et 880 MW et fonctionnant depuis 1980 et 2016 sans incident majeur. Un Breeder d’une puissance électrique de 600 MW est en cours de construction en Chine et le réacteur japonais expérimental en cours de réparation devrait à nouveau fonctionner dans les prochains mois. Le devenir non encore résolu des déchets de haute activité ne pourra être résolu à l’avenir que si l’IAEA stimule une collaboration étroite entre les pays dotés d’installations électronucléaires et les pays dotés de surrégénérateurs afin de résoudre ce problème … qui n’a pas été abordé avec ce point de vue. Ce sera une urgence lorsque le prix des hydrocarbures augmentera dans des proportions insupportables quand leur raréfaction deviendra prégnante !

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/12/09/lancement-dune-campagne-visant-a-tripler-la-capacite-nucleaire-dici-2050/

« Le virus est-il fictif » ? Les laboratoires américains ne parviennent pas à détecter le COVID-19 dans l'un des 1 500 tests positifs

Le CDC est poursuivi pour fraude massive : des tests effectués dans 7 universités sur TOUTES les personnes examinées ont montré qu'elles n'étaient pas atteintes du Covid, mais seulement de la grippe A ou B – Statistiques de l'UE : « Corona » a pratiquement disparu, même en termes de mortalité.


Par Xander Nieuws

Recherche mondiale, 

10 décembre 2023

 

Un chercheur clinicien et immunologiste-virologue d'un laboratoire du sud de la Californie affirme que lui et ses collègues de sept universités poursuivent le CDC pour fraude massive. La raison : aucun des 1 500 échantillons de personnes testées « positives » n’a pu détecter le Covid-19. TOUTES les personnes ont simplement été atteintes de la grippe A et, dans une moindre mesure, de la grippe B. Cela concorde avec les découvertes précédentes d'autres scientifiques, dont nous avons parlé à plusieurs reprises.

Dr Derek Knauss : « Lorsque mon équipe de laboratoire et moi-même avons soumis les 1 500 échantillons supposément positifs au Covid-19 aux postulats de Koch et les avons soumis au SEM (microscope électronique), nous n'avons trouvé AUCUN Covid dans les 1 500 échantillons. Nous avons constaté que les 1 500 échantillons contenaient principalement du virus de la grippe A et un peu de virus de la grippe B, mais aucun cas de Covid. Nous n’avons pas utilisé le test PCR des taureaux***.

Dans 7 universités, pas une seule fois le COVID n’a été détecté

« Lorsque nous avons envoyé le reste des échantillons à Stanford, Cornell et quelques laboratoires de l'Université de Californie, ils sont arrivés au même résultat : AUCUN COVID. Ils ont trouvé les grippes A et B. Ensuite, nous avons tous demandé au CDC des échantillons viables de Covid. Le CDC a déclaré qu'ils ne pouvaient pas les donner, car ils n'avaient pas ces échantillons.

« Nous sommes donc arrivés à la dure conclusion de toutes nos recherches et travaux de laboratoire que le Covid-19 était imaginaire et fictif. La grippe s'appelait seulement « Covid », et la plupart des 225 000 décès étaient dus à des comorbidités telles que des maladies cardiaques, le cancer, le diabète, l'emphysème pulmonaire, etc. Ils ont attrapé la grippe, ce qui a encore affaibli leur système immunitaire, et ils sont morts. '

"Ce virus est fictif"

«Je dois encore trouver un échantillon viable avec Covid-19 avec lequel travailler.» Nous qui avons effectué les tests en laboratoire avec ces 1 500 échantillons dans les 7 universités, poursuivons désormais le CDC pour fraude au Covid-19. Le CDC ne nous a toujours pas envoyé d’échantillon viable, isolé et purifié du Covid-19. S’ils ne peuvent pas ou ne veulent pas, alors je dis qu’il n’y a pas de Covid-19. C'est fictif.

« Les quatre articles de recherche décrivant les extraits du génome du virus Covid-19 n’ont jamais réussi à isoler et purifier les échantillons. Les quatre articles ne décrivent que de petits morceaux d’ARN qui ne mesurent que 37 à 40 paires de bases. Ce n'est PAS un VIRUS. Un génome viral comporte normalement 30 000 à 40 000 paires de bases.

"Maintenant que le Covid-19 est censé être si grave partout, comment se fait-il qu'aucun laboratoire au monde n'ait complètement isolé et purifié ce virus ? C'est parce qu'ils n'ont jamais vraiment trouvé le virus. Tout ce qu’ils ont découvert, ce sont de petits fragments d’ARN qui, de toute façon, n’ont pas été identifiés comme étant le virus. Nous avons donc affaire à une autre souche de grippe, comme chaque année. Le Covid-19 n'existe pas et est fictif .

« Je crois que la Chine et les mondialistes ont mis en place ce canular du Covid (la grippe déguisée en nouveau virus) pour établir une tyrannie mondiale et un État policier de contrôle totalitaire. Cette intrigue comprenait (également) une fraude électorale massive visant à renverser Trump.

Le CDC lui-même admet ne pas avoir de virus identifiable

Profondément caché dans un document officiel sur le Covid-19 , le CDC a admis avec regret dès l'été 2020 qu'il ne disposait pas de virus mesurable : 'Comme aucun objet viral isolé quantifié (= mesuré) du 2019-nCoV n'est disponible à l'heure actuelle... » (page 39 du « Panel de diagnostic RT-PCR en temps réel du CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) » (13 juillet). En d’autres termes, le CDC, en tant que l’une des principales autorités médicales au monde, ne pouvait pas , et je ne peux toujours pas , démontrer l’existence d’un virus.

À propos du test PCR scientifiquement totalement démystifié, mais toujours abusé sans vergogne, le CDC a écrit sous la rubrique « limites » : « La détection de l'ARN viral ne peut pas démontrer la présence d'un virus infectieux, ni que le 2019-nCoV est l'agent causal. des symptômes cliniques . Et d'ajouter : "Ce test ne peut pas exclure d'autres maladies causées par d'autres agents pathogènes bactériens ou viraux."

En d’autres termes, nous ne pouvons pas prouver que les personnes qui tombent malades et sont hospitalisées, et qui décèdent très occasionnellement, ont été contaminées par un nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2, ni que cela les a amenées à développer une nouvelle maladie appelée « COVID-19 [feminine.' Il pourrait tout aussi bien s’agir d’un virus différent et d’une maladie différente. (Et comme tous les symptômes, y compris une pneumonie sévère, correspondent parfaitement à ce que la grippe peut historiquement provoquer chez les personnes vulnérables… « si ça ressemble à un canard et marche comme un canard, c'est un canard ».

Récompense de 265 000 $ pour avoir démontré le coronavirus

Plus tôt cette année, l'équipe allemande de Samuel Eckert et le Isolate Truth Fund ont promis une récompense d'au moins 265 000 dollars pour tout scientifique capable de fournir la preuve irréfutable que le virus SARS-CoV-2 a été isolé et existe donc. Ils ont également souligné qu’aucun laboratoire au monde n’a encore réussi à isoler ce virus corona.

Oui, les scientifiques des systèmes prétendent l'avoir fait, mais cet « isolement » consiste uniquement en un échantillon du corps humain, qui est une « soupe » pleine de différents types de cellules, de restes de virus, de bactéries, etc. À l'aide de produits chimiques (toxiques), on recherche ensuite des particules (résiduelles) qui pourraient indiquer un virus qui a existé ou qui pourrait encore exister, après quoi cela est désigné comme « preuve ».

L'équipe canadienne n'a également reçu aucune preuve malgré 40 demandes en vertu de la Loi sur l'accès public

Fin décembre 2020, une initiative similaire à celle de l’Allemagne a été lancée. Une équipe autour de la journaliste d'investigation canadienne Christine Massey a soumis pas moins de 40 demandes de loi sur l'accès public aux autorités médicales du monde entier avec la simple demande de preuve que le virus SARS-CoV-2 a été isolé et que son existence peut donc être objectivement prouvée. Aucune des agences et autorités auxquelles nous avons écrit n’a été en mesure de fournir cette preuve.

"Impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19"

Les Drs Tom Cowan, Andrew Kaufman et Sally Fallon Morell ont récemment publié une déclaration sur « la controverse persistante quant à savoir si le virus SARS-CoV-2 est isolé ou purifié ». Mais sur la base de la définition officielle d'Oxford de « l'isolement » (« le fait ou la condition d'être isolé ou isolé, une séparation d'autres choses ou de personnes, seul »), le bon sens, les lois de la logique et les règles de la science dictent que toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. En conséquence, aucune confirmation de l'existence du virus ne peut être donnée.

«Les implications logiques et scientifiques de ce fait sont que la structure et la composition de quelque chose dont l'existence ne peut être prouvée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction d'hypothétiques pointes ou d'autres protéines.» La séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été découvert ne peut être connue, pas plus que les « variantes » (mutations) de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée. Il est donc impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19.»

Test PCR combiné pour le corona et la grippe « car il n'y a pratiquement aucune différence »

Sans surprise, la plus grande entreprise de biotechnologie au monde, la société chinoise BGI, a récemment lancé un nouveau test PCR capable de tester simultanément la grippe A, la grippe B et le corona. Outre le fait avéré, reconnu par diverses poursuites, qu'un test PCR ne peut prouver une infection par quelque virus  que ce soit, l'explication de BGI selon laquelle les deux maladies sont si difficiles à distinguer l'une de l'autre et qu'ils n'ont donc effectué qu'un seul test, en dit plus qu'assez . Peut-être qu'il n'y a aucune différence, « Covid » n'est qu'un autre nom pour les virus de la grippe « vieux familiers », et ceci n'est qu'une autre astuce marketing astucieuse ?

La plupart des gens ont été trompés par la propagande de peur

Avec la propagande alarmiste mondiale, contrôlée 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par les médias, la plupart des gens en sont venus à croire qu'il existe effectivement un virus potentiellement mortel qui rend les gens malades beaucoup plus rapidement et plus gravement que la grippe saisonnière. Cependant, même dans ce dernier cas, ce n’est manifestement pas le cas. La grippe A est depuis des années la principale cause de décès par pneumonie dans les pays développés.

Mais envoyez les personnes désignées comme patients gravement atteints de Covid dans quelques unités de soins intensifs, installez constamment des caméras sur elles, demandez à quelques médecins de ne discuter que des cas les plus graves, et vous avez votre « pandémie télévisée ». L'argument selon lequel « nous le faisons parce que sinon les soins seront surchargés » a été sapé par les gouvernements eux-mêmes il y a quelque temps, en rejetant les offres de lits ou de personnel de soins intensifs supplémentaires, parce que « ce n'est pas nécessaire ». (Était-ce peut-être la première et la seule fois où la vérité était dite ?)

Chiffres officiels : rien d'inquiétant (pourtant, ça ne revient jamais à la normale)

Maintenant que les chiffres officiels montrent qu'après la saison normale de la grippe, tout va bien et que, selon les statistiques de l'UE (EuroMOMO), la mortalité est même nettement inférieure, la société - s'il s'agissait vraiment d'un virus et de santé publique - devrait revenir immédiatement à la normale pour commencer à réparer les énormes dégâts causés par les politiques gouvernementales.

Cependant, comme vous le savez, cela ne se fera jamais, et c'est parce que ce canular pandémique soigneusement planifié met en œuvre un programme idéologique, la « Grande Réinitialisation » du Forum économique mondial , qui vise à démolir en grande partie la société et l'économie occidentales. puis le soumettre à une dictature technocratique mondiale du vaccin climatique, dans laquelle toutes nos libertés, nos droits civils et nos droits à l’autodétermination seront supprimés une fois pour toutes.

C'était du moins leur plan.

https://www.globalresearch.ca/laboratories-us-cant-find-covid-19-one-1500-positive-tests/5754978