Une catastrophe sanitaire est en cours à cause des vaccins et de l’obligation vaccinale d’après le Docteur Jean-Gabriel Balique
Par Catherin Medioni 11 Oct 2021 19:40
Le Docteur Jean-Gabriel Balique affirme qu’une catastrophe sanitaire est en cours à cause des vaccins et de l’obligation vaccinale Dans une lettre ouverte datée du 2 Octobre 2021 et adressée aux sénateurs et députés, le docteur Jean-Gabriel Balique, membre de l’académie de chirurgie, alerte sur les conséquences désastreuses du vaccin et invite à la remise en cause d’une obligation qui n’a aucun effet sur l’immunité collective escomptée et qui en plus semble exposer les vaccinés à des Covids plus virulents, voire mortels et à une contagiosité plus importante. Il est clair que le vaccin ne répond pas vraiment à son objectif de protection, d’autant plus qu’il faut multiplier les doses !
Le docteur Balique cite Israël en exemple pour démontrer que désormais ce sont les doublement, voire les triplement vaccinés qui occupent les lits d’hôpitaux, ce qui remet en cause la stratégie sanitaire reposant uniquement sur les vaccins, à l’exclusion de tout traitement curatif ! Le Portugal et l’Islande très vaccinés ont des résultats équivalents à Israël. Il ne comprend pas comment on peut encore continuer à imposer une vaccination qui ne fonctionne pas et qui a le terrible désavantage de provoquer de graves blessures, d’engendrer des maladies invalidantes et même des décès qui ne sont pas suffisamment remontés à la pharmacovigilance.
Il dénonce » les complications graves, mortelles, inadmissibles et éthiquement insupportables » et le rejet du serment d’Hippocrate dans toutes ses composantes : « primum non nocere » (avant tout ne pas nuire), le secret médical, le consentement libre et éclairé…dont le gouvernement se rend responsable et coupable. Le docteur Balique s’appuie sur l’agence européenne du médicament qui au 2 Octobre recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications, dont 1 million graves, et affirme que de nombreux cas ne sont pas du tout répertoriés.
Il souligne que parallèlement chez les non vaccinés sans co-morbidité, il n’y a aucun décès du Covid, alors pourquoi rendre encore obligatoire un « remède » plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques ?
L’ignorance du principe de précaution ne va-t-il pas conduire à un potentiel scandale à venir ? Comme de nombreux citoyens en France, le Docteur Balique a constaté la censure et le muselage des soignants auxquels on interdit de s’exprimer alors que nous sommes dans le pays des droits de l’homme ! Ces soignants qui redoutent à juste raison un vaccin dont ils observent dans leur pratique les effets néfastes sur les vaccinés accueillis à l’hôpital ou dans leur cabinet.
Pour toutes ces raisons, le docteur Balique demande la suppression du Pass sanitaire et l’arrêt de la propagande mensongère » tous vaccinés = tous protégés « . La pandémie ne s’accompagne que d’une mortalité de 0, 05 %, uniquement représentée par les personnes à risque et dont la moyenne d’âge des décès est de 83 ans.
Intervenant au nom des victimes du vaccin et des soignants qui le refusent, le docteur Balique insiste sur le fait que ceux qui auront pris la responsabilité de l’obligation vaccinale conduisant à de graves complications auront été prévenus, et sous entend que le jour où la vérité éclatera, car elle éclatera, ils ne pourront pas se défausser de leurs responsabilités ni des dommages qu’ils auront engendré par leurs décisions.
Je suis heureuse que ce médecin exprime exactement ce que j’ai pensé, analysé et expérimenté de la situation depuis la mise en place du scandaleux Pass sanitaire et des mesures incroyablement liberticides et attentatoires aux droits humains et citoyens accordés à tous sans aucune discrimination ni conditions. J’en ai porté témoignage et j’ai alerté à maintes reprises dans de nombreux articles dès le lendemain de l’allocution incendiaire du 12 juillet 2021 d’Emmanuel Macron, en m’exposant à des critiques très injustes, infondées et peu amènes alors que je ne gagne strictement rien à alerter mes concitoyens des risques graves encourus avec ces injections, qui rapportent beaucoup d’argent aux laboratoires et qui détruisent bien plus de santé et de vies que le virus lui-même !
Ci-dessous la lettre ouverte du docteur Jean-Gabriel Balique :
Professeur Jean Gabriel Balique Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie jgbalique@gmail.com
À propos du projet d’obligation vaccinale Lettre ouverte Le 2 octobre 2021
Mesdames les Sénatrices, Messieurs les Sénateurs, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,
Au moment où vous allez discuter de l’obligation vaccinale, il est de mon devoir en tant que médecin, père et grand-père, de vous alerter sur la catastrophe sanitaire qui se déroule sous nos yeux, à l’ombre des autorités de tutelle. Je précise d’emblée que je ne suis ni complotiste ni anti-vaccins (je me fais régulièrement vacciner contre la grippe et je n’ai pas des a priori envers les vaccins «classiques » rendus obligatoires dans notre pays).
Le vaccin contre la Covid 19, en novembre 2020, devait nous sauver et nous ramener à une vie normale. Maintenant que nous avons du recul, il devient plus « facile » de faire le bilan du bénéfice-risque de la stratégie vaccinale. La première constatation qui s’impose est que le « vaccin » ne protège pas et n’empêche pas de contaminer (cf. déclaration du Ministre de la Santé Olivier Véran devant le Conseil d’État au mois d’avril 2021). L’exemple d’Israël que nos autorités ont pris comme modèle montre que les hospitalisations et les réanimations sont débordées de personnes vaccinées ! On ne cite plus Israël actuellement ! Une étude parue dans European Journal of Epidemiology le 30 septembre 2021 confirme que les pays où le pourcentage de population vaccinée est le plus élevé, ont un nombre de cas de Covid-19 pour 1 million d’habitants plus élevé (exemple Israël, Portugal, Islande…). Nous n’avons jamais vu en médecine imposer un traitement ou une vaccination qui ne marche pas (sauf pour les personnes à risque où la balance bénéfice/risque est différente).
Ceci ne serait pas dramatique si cette stratégie n’était pas à l’origine de complications graves, mortelles, inadmissibles et éthiquement insupportables pour tout médecin qui, tous les jours, se bat, pour soulager et soigner des patients. Les médecins « du terrain » croient encore au serment d’Hippocrate qui a été leur guide depuis des siècles et que les politiques les obligent à bafouer. Les principes fondamentaux du serment dont « primum non nocere » (avant tout ne pas nuire), le secret médical, le consentement libre et éclairé… ont été rejetés d’un revers de main.
Comme vous le savez, ce vaccin est en cours de phase d’expérimentation, phase 3 de mise au point d’un médicament. Maintenant que cette phase, déclenchée au niveau mondial, a du recul, les médecins du terrain voient apparaître de nombreuses complications. Au 2 octobre 2021, l’agence européenne du médicament, l’EMA, recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications dont 1 million graves. Ces chiffres ne représentent qu’une partie des cas observés. En France, l’Agence nationale du médicament (ANSM) dans son rapport du 16 septembre 2021 rapporte 22 559 cas graves parmi lesquels des décès. De nombreux cas ne sont pas rapportés pour différentes raisons.
En France, l’expérience du terrain rapportée par les médecins de ville et hospitaliers montre clairement l’accroissement des complications survenant dans les semaines suivant la vaccination : de nombreux cas de paralysie faciale, de myocardite et péricardite dans les suites précoces de la vaccination, des complications cardio-vasculaires (Infarctus, AVC) chez des sujets relativement jeunes et pas forcément à risque cardio-vasculaire, de nombreux cas de thrombose veineuse et d’embolie pulmonaire. Les médecins signalent une élévation fréquente des marqueurs de thrombose (D-Dimères) parfois à des taux anormalement élevés, une fatigue et altération de l’état général accélérée chez les patients âgées, des cancers jusque là contrôlés, explosent après vaccination, des maladies auto-immunes comme des polyarthrites, des thyroïdites se dérèglent dans les semaines qui suivent la vaccination. L’ANSM indique comme « signaux confirmés » la myocardite et la péricardite de survenue précoce après la vaccination avec les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech) et Moderna sans donner le nombre exacts de malades et en minimisant la pathologie alors que les complications et les séquelles à long terme peuvent être graves.
Depuis le début de la vaccination des 12-18 ans, 206 cas d’effets indésirables graves (dont des décès) ont été rapportés avec le vaccin Comirnaty et 18 cas graves avec Moderna alors que nous sommes à peine à 3 mois et demi de vaccination dans ce groupe d’âge. Il s’agit de jeunes qui n’étaient pas à risque de forme grave ni de décès du Covid mais qui vont garder probablement à vie des séquelles de la vaccination. Ces derniers jours, deux adolescentes sans facteurs de risques viennent de décéder et un jeune a été amputé d’une jambe, 15 jours après le vaccin. N’est-ce pas un sacrifice que la société fait et quel est le prix à payer ? À partir de combien de décès d’adolescents diriez-vous STOP à la vaccination des jeunes qui n’ont rien à gagner car ils sont à faible risque de forme grave et de décès du Covid ?
Chez les femmes, des troubles des règles, des fausses couches ou des morts du fœtus in utero au cours des grossesses sont observés. Comment se fait-il que la Direction Générale de la Santé autorise la vaccination dès le premier trimestre de la grossesse alors que les données sur la sécurité du vaccin chez les femmes enceintes sont limitées et incomplètes ? Où est le principe de précaution ?
Toutes ces complications surviennent précocement après la vaccination chez des personnes sans antécédent ayant une vie normale. Elles surviennent aussi chez des sportifs qui ont dû arrêter leur activité après avoir été vaccinés, hypothéquant leur carrière : Jérémy Chardy, Christophe Lemaitre en sont les exemples les plus célèbres… Parallèlement dans la même population de personnes sans co-morbidité, non vaccinées il n’y a aucun décès du Covid, seules sont exposées les personnes à risque, c’est pour cette population là que le « vaccin » peut avoir une certaine protection.
Malheureusement ces complications sont passées sous silence, elles ne remontent pas aux tutelles ou celles-ci ne veulent pas les voir. Ce drame humain sanitaire ne va faire qu’empirer avec la persistance de cette vaccination et la multiplication probable des doses. La mise au point d’un essai de vaccin anti H1N1 a été arrêté pour beaucoup moins de complications. Aucun des vaccins obligatoires n’a entrainé de telles complications. Actuellement les médecins voient plus de patients en consultations pour des complications du vaccin que du COVID lui-même. La balance bénéfice/risque n’est pas en faveur du « vaccin » dans cette population. Pourquoi voulez-vous encore rendre obligatoire un « remède » plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques !
Il est urgent d’en tirer les conséquences, au moment où l’immunité naturelle se développe, où le variant Delta s’avère beaucoup moins agressif et que l’épidémie décroît. Ne recommencez pas le syndrome de Tchernobyl où l’on nous a affirmé que le nuage nucléaire radio-actif s’était arrêté à la frontière. N’oubliez pas le scandale du Sang contaminé. À ce sujet, savez-vous que l’Établissement français du sang exige un délai de 28 jours après vaccination avec vaccin atténué (Rougeole, Rubéole, Oreillons, Fièvre jaune…) mais ne prend aucune précaution quant aux donneurs de sang récemment vaccinés avec ces nouveaux vaccins dont on connaît incomplètement la biodistribution dans le corps. N’est-ce pas encore une fois une ignorance du principe de précaution et un potentiel scandale à venir ?
Même si vous n’êtes pas médecin, regardez autour de vous ce qui se passe, recherchez l’information. Vous avez le droit de vous informer car vous êtes nos représentants.
La vérité commence à éclater. Déjà le vaccin Astra Zeneca a été interdit chez les moins de 55 ans à la suite de thromboses (c’est dire l’innocuité de ces vaccins !) puis récemment le Janssen et progressivement on voit des États remettre en cause la vaccination généralisée :
• Au Royaume Uni, la vaccination est interdite aux moins de 15 ans et ils viennent de renoncer à la vaccination obligatoire. Au Texas la vaccination des jeunes est interdite.
• Au Danemark, seules sont vaccinées les personnes à risques et il y a une liberté totale retrouvée sans pass sanitaire.
• En Afrique, on observe une mortalité 10 fois inférieure à la nôtre alors qu’il n’y a que 2 % de vaccinés (on annonçait une catastrophe sanitaire !)
Tous ces soignants, médecins, infirmières, aides-soignants mais aussi pompiers qui sont montrés du doigt ne sont pas des antivaccins mais redoutent les effets d’un « vaccin » encore en expérimentation dont ils voient dans leur pratique directement les effets néfastes.
Ces soignants « du terrain » voient des vrais malades, les médecins des plateaux télé extrapolent à partir de chiffres des probabilités dont la grande majorité se sont avérées erronées.
Dans cette crise il ne doit pas y avoir de couleur politique mais un consensus pour défendre la santé des français qui vous ont élus.
Au nom de toutes les victimes, au nom de tous ces soignants muselés qui ne peuvent pas s’exprimer sous peine de sanctions, du jamais vu dans un pays soit disant de liberté, je vous demande de regarder au-delà des chiffres officiels totalement manipulés et de refuser la vaccination obligatoire, à plus forte raison pour les enfants dont on met en danger l’avenir.
• Faites au minimum un moratoire, au cours duquel vous pourrez entendre l’avis de nombreux médecins, scientifiques et autres qui essayent de se faire entendre mais qui sont systématiquement boycottés quand leur avis va à l’encontre de la politique sanitaire gouvernementale. Il faut aussi réévaluer la fiabilité des tests utilisés, discuter des traitements actuellement proposés. • Supprimer le passe sanitaire et faite arrêter la propagande honteuse et mensongère sur la vaccination : « tous vaccinés = tous protégés » slogan complètement faux, on le sait maintenant ! • Lever les sanctions de tous les soignants non vaccinés interdits d’exercer alors qu’ils sont passionnés par leur vocation et qui ne sont pas devenus plus dangereux le 15 septembre que le 15 juin. Certains hôpitaux malgré l’interdit continuent à juste titre d’employer des personnels non vaccinés pour pouvoir maintenir leur activité sans aucune conséquence sanitaire mais en créant une inégalité criante par rapport à ceux qui ne peuvent pas travailler. Rappelez-vous que vous les avez encensés lors de la première vague et qu’un certain nombre d’entre eux sont morts pendant cette vague faute de masques et de moyens de protection. La stratégie imposée est déconnectée de la réalité : c’est une pandémie qui s’accompagne d’une mortalité de 0.05 %, représentée par les personnes à risque, la moyenne d’âge des décès est de 83 ans, un peu moins actuellement car les personnes les plus fragiles sont décédées lors de la première vague. Que l’on propose une vaccination est logique à condition d’avoir un vrai vaccin ce qui n’est pas encore le cas et en respectant la volonté de chacun (il ne s’agit pas d’ Ebola, d’une méningite ou de la variole…). En attendant, en cas de maladie, il est possible de proposer, à un stade précoce, des traitements. De nombreux médecins les ont prescrits avec succès. Ils peuvent même être proposés à titre préventif chez les personnes à risque. Ces personnes sont connues et peuvent donc être protégées isolément (notamment par ce « vaccin » dont c’est la seule indication) sans pénaliser le reste de la population.
Sachez que vous aurez été informé et que le moment venu, lorsque la vérité éclatera, car elle éclatera tôt ou tard compte tenu de l’accumulation des données scientifiques et des données du terrain sur les complications, votre responsabilité risque d’être engagée.
En espérant être entendu au nom des victimes du vaccin et des soignants qui refusent cette expérimentation et en restant à votre disposition, je vous prie de croire, Messieurs et Mesdames les élus (es), en mes respectueuses salutations.
Professeur Jean Gabriel BALIQUE Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie
Article rédigé les 10 et 11 Octobre 2021 par Catherine Medioni
Pourquoi il y a des personnes qui ont été injectées avec l'expérimentation génique d'essais et n'ont pas eu d''effets secondaires' ? Parce que sur le nombre de flacon, un certain pourcentage ne contient (placebo) que du sérum physiologique (eau saline).
Pourquoi sont-ils obligés de demander aux victimes de se faire ou refaire piquer ? Contrairement à l'aluminium contenu dans tous les vaccins (depuis 1927 !) et qui donne un très grand nombre de morts d’Alzheimer ou Parkinson et qui demeure donc dans l'organisme toute la vie, les nano-particules d'oxyde de graphène s'évacueraient. Parce que dans les expérimentations géniques d'essais malgré qu'il y ait de 95 à 99 % du contenu de la seringue qui se compose de 40 000 milliards de nano-particules d'oxyde de graphène, ces nano-particules s'éliminent. (S'éliminent en combien de mois ? Je ne sais pas).
Des milliers de créatures marines mortes échouées sur les plages britanniques en piles «jusqu'à la taille»
Jeudi 28 octobre 2021 par : Cassie B.
(Natural News) Des milliers de créatures marines mortes se sont échouées sur les plages britanniques et se sont rassemblées en tas jusqu'à la taille dans un phénomène qui oblige les scientifiques à se démener pour trouver des réponses.
Sur plusieurs plages de Teesside, des tas de crustacés morts tels que des crabes et des homards peuvent être trouvés sur le rivage. D'autres créatures marines, comme des poissons et des marsouins, ont également été retrouvées parmi les morts.
Les pêcheurs de la zone ont signalé à la North Eastern Inshore Fisheries Conservation Authority (NEIFCA) qu'ils n'avaient pas pêché près du rivage parce qu'il n'y avait rien à attraper. Le responsable environnemental et scientifique principal de la NEIFCA, Tim Smith, a déclaré que les plongeurs avaient vu des crabes morts sur le fond marin, tandis que les pêcheurs signalaient que leurs casiers à homard étaient presque vides.
Certaines des plages touchées comprennent Redcar, Seaton Carew et Seaham.
Une femme qui marche sur l'une de ces plages tous les jours a décrit son choc de trouver d'énormes tas de crabes et de homards, morts et vivants, jonchés sur la plage alors qu'elle photographiait le lever du soleil.
Elle a déclaré aux médias: «J'ai suivi ma marche habituelle de Marske à Saltburn et j'ai été totalement choquée et attristée de voir, dans certaines régions, des algues jusqu'à la taille pleines de milliers de crabes et de homards morts et vivants, de toutes sortes et espèces. "
Elle a ajouté qu'elle et son mari avaient essayé de ramener ceux qui vivaient encore à la mer. Elle a déclaré que le problème s'était accumulé depuis plusieurs semaines le long de la côte et que personne ne semblait faire quoi que ce soit à ce sujet.
Sur les réseaux sociaux, les habitants ont exprimé leur inquiétude quant au fait que tout ce qui tue la faune pourrait également tuer des humains, et de nombreux résidents ont déclaré qu'ils ne laisseraient plus leurs chiens marcher le long des rives.
Qu'est-ce qui cause ces morts massives de créatures marines ?
Plusieurs théories circulent sur ce qui pourrait être à l'origine du problème. Un pathologiste de la vie marine de l'Université de Teesside, le Dr Jamie Bojko, a déclaré qu'il pensait qu'un "événement singulier" était à l'origine de la mort, en particulier à la lumière du fait que tant d'espèces différentes sont touchées.
Il a déclaré: "Il y a une série de choses qui pourraient l'expliquer, l'un pourrait être un événement météorologique extrême ou une autre possibilité est une maladie, mais il serait étrange que cela ait un effet sur une telle gamme d'espèces, avec tout, des crabes et les homards aux espèces de poissons comme l'aiguillat commun, les requins et la sole », a-t-il déclaré.
Le mois dernier, des centaines d'oiseaux de mer ont été retrouvés morts à proximité sur les rives du Northumberland, bien qu'il ne soit pas clair s'il y a un lien.
L'Agence pour l'environnement enquête, avec un porte-parole disant à TeessideLive que le bras du gouvernement pour les sciences de la mer et des eaux douces, le CEFAS, effectuait des tests : "Des échantillons d'eau, de sédiments, de moules et de crabe ont été collectés et sont envoyés à notre laboratoire pour analyse, examiner si un incident de pollution aurait pu contribuer à la mort des animaux. Nous avons également partagé des échantillons avec les laboratoires du CEFAS pour l'analyse des maladies. »
Ils ont également publié un numéro de téléphone que les gens peuvent appeler pour signaler les incidents de pollution dont ils sont témoins.
En plus des maladies et de la pollution, ils analysent également des échantillons pour la présence de certains métaux. Il est possible qu'un événement catastrophique ait eu lieu il y a jusqu'à un mois et que les effets commencent à peine à se manifester.
La mort des créatures marines devrait avoir un effet d'entraînement sur l'écosystème dans son ensemble étant donné que de nombreuses autres espèces dépendent des crustacés pour se nourrir.
Ce phénomène a été observé depuis des décennies dans le monde entier. Des centaines d'oiseaux (de la MÊME ESPÈCE) morts au sol, des centaines de poissons (de la MÊME ESPÈCE). Les animaux morts ont été analysés et il n'y a aucune blessure (ext. int.), aucun empoisonnement. Ce qui choque est que ce sont des morts de MÊME ESPÈCE ! Des centaines de grives OU de geais OU de rossignols, etc ! Des centaines de maquereaux OU des anchois OU des sardines, etc ! TOUT porte à croire qu'il s'agit d'ondes (d'une longueur adéquate aux fréquences cardiaques) qui leur a été portée ! C'est un essais ? Demain les humains ? (ou 'certains' humains ?).
Derrière des portes closes : les laboratoires de recherche médicale
Par Jon Rappoport Le blog de Jon Rappoport 29 octobre 2021
Au cours des deux dernières années, j'ai fait des commentaires sur ce qui se passe dans les laboratoires de recherche. La « science » folle, la cruauté infligée aux humains et aux animaux, qui sont les sujets de test.
Mon travail sur ce sujet remonte aux années 1980, lorsque j'écrivais mon premier livre, AIDS INC. Après avoir lu de la littérature renégat et divulgué à l'époque, j'ai fait l'évaluation suivante :
Pour prouver leurs hypothèses sur les germes causant des maladies, les chercheurs feront d'abord n'importe quoi pour affaiblir les animaux, il semble donc que leur injecter des germes (présumés) les infecte et les rend malades.
Ce « travail de préparation » pour affaiblir les animaux comprend :
Modification génétique destructrice ;
L'injection de produits chimiques et de médicaments toxiques ;
La suppression du système immunitaire des animaux ;
L'injection de sérums toxiques composés de matériel prélevé sur d'autres espèces animales ;
exposer les animaux à de fortes doses de rayonnement ;
Le greffage de matériel sur les animaux d'autres espèces ;
La mise en cage et l'isolement des animaux pendant de longues périodes, ce qui produit un stress important et une suppression du système immunitaire ;
Percer des trous chez les animaux et y attacher des dispositifs de retenue et des capteurs et à l'intérieur d'eux ;
Réprimander les animaux, les traiter comme des objets ;
Mener des recherches dans des installations insalubres et impures.
Et puis, enfin, publier des enregistrements falsifiés pour étayer les mensonges sur les résultats, afin de prouver des conclusions prédestinées.
Le catalogue entier de la torture est formulé et dissimulé dans un langage technique sec et un euphémisme. Les revues médicales ne décrivent RIEN sur les réactions des animaux à cette sauvagerie brutale. S'ils le faisaient, les chercheurs seraient exposés comme de purs sadiques, leur travail serait discrédité et, éventuellement, il y aurait un tollé public.
En ce qui concerne les sujets de test humains, vous avez peut-être entendu parler des expériences de rayonnement effectuées sur des patients dans des hôpitaux américains pendant la Seconde Guerre mondiale.
Bottom line: Les scientifiques et les responsables gouvernementaux ont décidé qu'ils avaient besoin de savoir quelle quantité de rayonnement tuerait un humain. Après tout, les ouvriers du projet Manhattan essayaient de construire une bombe atomique. Ils étaient exposés à des radiations.
Des patients « en phase terminale » ont donc été sélectionnés. Le consentement éclairé était hors de question. Les patients inconscients ont été secrètement injectés avec de fortes doses d'éléments radioactifs. Des échantillons de tissus ont été prélevés et analysés. Il s'est avéré que certains des patients n'étaient pas en phase terminale. Ils avaient été mal diagnostiqués, ou les médecins savaient d'emblée qu'ils étaient en relativement bonne santé. L'ensemble de l'étude était hautement classifié et peu de personnes connaissaient son existence.
Extrait du rapport 2017 de l'Atomic Heritage Foundation, Human Radiation Experiments, voici les descriptions de deux des patients :
« Ebb Cade a été le premier sujet de test. Cade était un homme afro-américain de 53 ans qui travaillait pour une entreprise de construction d'Oak Ridge en tant que bétonnière. Le 24 mars 1945, il a été impliqué dans un accident de voiture, qui lui a causé des fractures au bras et à la jambe. Les documents de l'époque montrent qu'il était par ailleurs en bonne santé. Au cours des deux semaines suivantes, il reçut le nom de code HP-12, HP signifiant Human Product [!]. Le Dr Friedell a écrit au Dr Hempelmann à Los Alamos qu'il avait trouvé un sujet principal pour l'expérience sur le plutonium.
« Le 10 avril 1945, le Dr Joseph Howland a administré une dose de plutonium de 4,7 microgrammes à Cade, qui attendait une intervention pour réparer ses os. De 1943 à 1945, la charge corporelle maximale possible (MPBB) pour le plutonium avait été de 5 microgrammes, sur la base des limites adoptées pour le radium. Sur la base d'expérimentations animales, Langham et Friedell avaient récemment conclu que, comme le plutonium restait dans l'os plus longtemps que le radium, le MPBB devrait en fait être fixé à 1 microgramme. La dose de Cade était près de cinq fois cette limite.
"Cade n'a été soigné pour ses blessures au bras et à la jambe que le 15 avril, cinq jours après l'injection, afin que les médecins puissent biopsier ses échantillons d'os. Cela comprenait l'extraction de 15 de ses dents, qui ont ensuite été expédiées à Wright Langham à Los Alamos. On ne sait pas si Cade souffrait d'une carie dentaire légitime. Peu de temps après que ses os aient été réparés, Cade est soudainement sorti de l'hôpital. Il a quitté le Tennessee et est décédé d'une insuffisance cardiaque le 13 avril 1953, 8 ans après l'injection d'Oak Ridge.
"Un autre cas discutable était CAL-2, un garçon de quatre ans nommé Simeon Shaw souffrant d'un cancer des os en phase terminale. Il a été transporté avec sa mère à l'hôpital de l'UCSF dans un avion militaire américain en provenance d'Australie, apparemment sous les conseils d'un médecin australien. Il arriva en Californie en avril 1946 et fut admis à l'hôpital. Pendant un certain temps, il a été séparé [de] sa mère, qui n'était autorisée que des visites périodiques. Simeon a reçu une injection de plutonium à l'UCSF sous la supervision de Joseph Hamilton et est sorti de l'hôpital en un mois. Les Shaw sont retournés en Australie et aucun suivi n'a été effectué. Siméon est mort huit mois plus tard.
« Les médecins impliqués [dans l'ensemble du projet] savaient que les procédures n'avaient aucun avantage thérapeutique et seraient préjudiciables à long terme si les patients vivaient. L'expérimentation humaine était justifiée par l'affirmation que les patients étaient en phase terminale ; cependant, cela n'était pas vrai dans tous les cas. Des erreurs répétées de diagnostic, de procédure, de documentation et de recherche ont été commises, remettant finalement en question l'efficacité des expériences elles-mêmes.
Les médecins et les bureaucrates n'avaient même pas l'éthique ou le bon sens pour rendre leurs rapports utilisables.
Rien n'a changé. Les vaccins COVID blessent et tuent un grand nombre de personnes dans le monde entier – et les gouvernements et les médias insistent pour dissimuler et déformer les faits sur la plus grande grande expérience de l'histoire de l'humanité.
Des chefs de gouvernement dans des dizaines de pays aux experts décrépits comme Noam Chomsky, le mot est passé : les non vaccinés sont des lépreux et doivent être isolés du reste de la société.
Mais parfois, les sujets de test se rebellent et sortent de leurs cages. Quand ils le font, ce ne sont pas de bons petits garçons et filles.
On les appelle alors insurgés et terroristes. Mais la vérité est beaucoup plus simple.
Les êtres vivants n'aiment pas être torturés.
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
Sujet non-abordé en films où une personne prisonnière est sommé de parler. Là, toutes personnes intelligentes peuvent se dire "Ils m'ont torturé, et, si je sortais ils seraient dénoncés. Donc, que je parle ou pas ils me tueront. Donc: si je dis la vérité ils me tueront, si je dis un mensonge ils me tueront." Que faire ? Comme la victime a à faire à des psychopathes, ils se régalent de torturer. Pour le plaisir. Des informations ils s'en foutent.
Pourquoi l'hystérie du carbone est une menace énorme pour votre liberté personnelle et votre bien-être financier
Par Doug Casey Homme international 29 octobre 2021
International Man : Les pays occidentaux mènent la charge dans la restructuration de leurs économies autour de la question du changement climatique. Ils se sont engagés dans un programme global de « décarbonisation » de leurs économies d'ici 2050.
Quel est votre avis là-dessus ?
Doug Casey : Pour résumer en un mot, c'est dingue. En deux mots, c'est criminellement insensé.
Avant la révolution industrielle, la principale source de combustible était le bois. Après cela, nous sommes passés au charbon, ce qui a grandement amélioré la densité énergétique et économique. Ensuite, nous sommes passés au pétrole, une autre amélioration considérable de la densité énergétique et de l'économie.
Ces choses se sont produites non pas à cause de mandats gouvernementaux, mais simplement parce qu'elles avaient un sens à la fois économique et technologique. Si le marché avait été laissé seul, le monde fonctionnerait sans aucun doute au nucléaire. Le nucléaire est incontestablement le type de production d'électricité de masse le plus sûr, le moins cher et le plus propre. Ce n'est pas le moment d'entrer dans les nombreuses raisons qui sont vraies. Mais si le nucléaire n'avait pas été réglementé, nous aurions déjà utilisé de petits réacteurs autonomes au thorium de cinquième génération, générant une puissance presque trop bon marché pour être mesurée. Le monde fonctionnerait déjà avec de l'électricité verte vraiment propre.
Au lieu de cela, le temps, le capital et la matière grise ont été massivement détournés vers des sources d'énergie dites « écologiques » – principalement éolienne et solaire – strictement pour des raisons idéologiques. Les pouvoirs en place veulent faire passer le monde entier à une fausse énergie verte, qu'on le veuille ou non.
Je suis tout à fait pour l'énergie verte en principe. Il ne fait aucun doute que l'énergie solaire et éolienne valent la peine et sont efficaces pour certaines applications, généralement des emplacements spéciaux petits, isolés et où le carburant conventionnel est peu pratique ou trop coûteux. L'efficacité de l'énergie solaire a été considérablement améliorée au cours des dernières décennies, tout comme l'efficacité de l'éolien. Mais ni l'un ni l'autre n'a de sens pour une puissance de base de masse dans les économies industrielles.
Avec de nouvelles avancées technologiques, ils pourraient devenir un jour plus économiques. Peut-être que les gens finiront par mettre de grands collecteurs en orbite terrestre haute et micro-ondes la puissance jusqu'à la surface. Il existe toutes sortes de possibilités de science-fiction. Mais pour le moment, « vert » n'est qu'un joli mot pour « stupide », « idéologique » ou « parrainé par le gouvernement ».
Faire les choses de manière verte enlève le pouvoir aux marchés, où les gens votent avec leur argent. Il place plutôt le pouvoir entre les mains des idéologues et des bureaucrates.
Bref, on fait la promotion de l'éolien et du solaire au moment même où l'on damne le nucléaire et les combustibles fossiles. C'est le contraire de ce qui devrait se passer et une très mauvaise tendance à tous points de vue.
Dites-moi que j'aime les oiseaux et les lapins autant que n'importe qui d'autre, mais je suis anti-vert. Quoi qu'il en soit, les écofreaks ne se soucient pas vraiment des oiseaux et des lapins. C'est juste un placage. En fait, ils détestent les gens et veulent vraiment qu'ils disparaissent. Au minimum, ils veulent les contrôler. Et la grande hystérie du réchauffement climatique/anti-combustibles fossiles est un excellent moyen de le faire.
International Man : Dans le cadre de ce programme, les États-Unis, l'UE et les pays de l'OCDE prévoient d'éliminer progressivement le pétrole, le gaz et d'autres carburants, en les remplaçant par des sources d'énergie à zéro ou à faible émission de carbone.
Quels types de perturbations pourrions-nous voir alors que la transition se fait vers des sources d'énergie qui ne sont peut-être pas aussi fiables ?
Doug Casey : Beaucoup de perturbations, dont beaucoup sont à la fois énormes et actuellement imprévues. Les États-Unis comptent 330 millions d'habitants. Pourquoi les décisions pour des centaines de millions de personnes devraient-elles être prises par des bureaucrates et des hackers politiques à Washington, DC ?
Pourquoi devraient-ils être ceux qui décident quel type de pouvoir devrait ou ne devrait pas être utilisé ? C'est une question que personne ne pose. Les gens supposent simplement que c'est ainsi que cela devrait être et font en grande partie ce qu'on leur dit. Ils ne s'arrêtent jamais et considèrent que les gouvernements ont fait reculer infiniment les progrès au cours de l'histoire. Les principaux produits du gouvernement sont les guerres, les pogroms, les confiscations, les taxes, les règlements, etc.
Des compagnies pétrolières comme Shell et BP envisagent de se retirer du secteur pétrolier. Les compagnies pétrolières, leurs employés et leurs investisseurs sont considérés comme les destructeurs du monde. Personne dans la société polie ne veut admettre qu'il est dans le secteur pétrolier.
Avant de forer un puits de pétrole n'importe où dans le monde, il est nécessaire de demander la permission à une ou plusieurs entités gouvernementales. Dans le monde occidental, où le public a été capturé par les notions de PC et d'ESG, les gouvernements répugnent à délivrer des permis de forage. Les foreurs ne veulent pas forer car les coûts sont artificiellement élevés et tout profit sera soumis à des taxes décourageantes.
Attendez-vous à une baisse de la production de pétrole dans l'Ouest. Au cours des années 50, 60, 70 et 80, plus de pétrole a été découvert qu'il n'en était utilisé. Les réserves ont augmenté. Mais ce n'est plus le cas. Ce n'est pas parce que l'huile n'est pas là ; c'est parce qu'il est trop politiquement incorrect de le chercher et de l'exploiter.
De plus, les scientifiques, les ingénieurs et les investisseurs restent à l'écart de tout ce qui a trait aux combustibles fossiles. Vous pouvez prévoir à la fois des pénuries de carburant et des coûts beaucoup plus élevés. Les marchés sont subvertis et deviennent de plus en plus politisés.
De plus, les technologies dites « vertes » ne sont pas vraiment vertes. Ils semblent juste verts à la surface. Les éoliennes géantes et les parcs solaires dépendent de quantités massives de combustibles fossiles et de métaux à fabriquer et à installer. Ils ont une durée de vie limitée et doivent être éliminés. Non seulement ils ne peuvent pas fournir des quantités massives d'électricité de manière cohérente, mais ils affichent tous des pertes, même les avantages après impôt les masquent. Cela détruit le capital. Ce ne sont pas des signes de progrès mais des monuments au gaspillage et à la destruction. Nous allons avoir d'énormes perturbations sur les marchés de l'énergie dans les années à venir, et comme le monde entier fonctionne à l'énergie, c'est vraiment grave.
International Man : De manière générale, la nouvelle « crise » du changement climatique est-elle une invitation à plus d'intervention gouvernementale dans le monde ?
Doug Casey : Oui. C'est comme inviter un vampire dans votre maison.
Pendant de nombreuses décennies, les enfants ont été endoctrinés avec des idées sur la conservation contre-productive et le verdisme. Les bandes dessinées, les manuels scolaires, les conférences des enseignants, la télévision, etc. présentent la terre comme étant attaquée par les forces des ténèbres. L'humanité, en particulier les scientifiques, les ingénieurs et les entrepreneurs, est représentée en train d'exploiter et de violer Mère Nature et ses ressources naturelles. Ils sont présentés comme mauvais.
L'ascension de l'homme de Bronowski a été subvertie en une bataille du bien contre le mal, où toutes les valeurs ont été bouleversées. Le problème a imprégné la société, et c'est encore pire dans le système éducatif.
Saint Ignace de Loyola, qui a fondé les Jésuites, et Vladimir Lénine, qui a fondé l'URSS, ont tous deux dit : « Si vous pouvez endoctriner un enfant pendant ses premières années, vous avez fondamentalement défini sa direction de pensée pour la vie. " Ils avaient raison.
Le gouvernement est toujours présenté comme noble, sage et avant-gardiste. Il est présenté comme le sauveur intervenant pour arrêter les mauvais producteurs.
C'est l'un des nombreux mèmes faux et horriblement destructeurs qui traquent la terre aujourd'hui comme des spectres. La croyance croissante dans le gouvernement comme solution magique aux problèmes diminue considérablement le niveau de vie de la personne moyenne et crée toutes sortes de distorsions dans la société. Il a transformé l'étude de l'économie en une pseudoscience, et ses incursions dans la science discréditent l'idée de science elle-même.
En fait, les deux grandes hystéries qui sévit actuellement dans le monde sont toutes deux centrées sur l'État qui s'implique dans la science – ou du moins le scientisme. L'un est COVID, une grippe relativement banale soufflée hors de toute proportion. L'autre est AGW, le réchauffement climatique anthropique, qui a été relativement récemment rebaptisé changement climatique.
À mon avis, les deux finiront par être complètement démystifiés et discrédités. Mais si vous allez à l'encontre du récit sur l'un d'eux en ce moment, vous serez annulé, licencié et/ou ostracisé.
Cela ressemble beaucoup à ce qui est arrivé à Galilée lorsqu'il s'est opposé à la sagesse dominante du Moyen Âge. En fait, ils ne brûlent plus de livres, mais seulement parce que les livres d'aujourd'hui sont principalement électroniques. Mais ils font l'équivalent de cela sur des sites comme Google et Twitter.
Il y a de fortes chances que ces gens discréditent l'idée même de science parce qu'ils se sont enveloppés dans le voile de la science. Ou, plus précisément, ce qui est devenu connu sous le nom de « La science ». Ils créent quelque chose de bien plus grave qu'une simple catastrophe économique.
International Man : Cette tendance semble prendre de l'ampleur.
Par exemple, Google Flights affiche désormais en évidence les émissions de carbone de chaque vol qu'il répertorie.
Est-ce un petit premier pas vers la facturation des individus pour le carbone qu'ils émettent ?
Doug Casey : Je peux vous assurer que je ne prête aucune attention à la quantité de carbone que je peux brûler dans un avion ou ailleurs. Cela fait partie d'une guerre psychologique que la gauche mène, utilisant la culpabilité et la honte comme armes. C'est une autre indication du lockstep, de la pensée de groupe, auquel les gens sont soumis aujourd'hui.
La vie sur cette planète est basée sur le carbone. L'élément lui-même est indestructible et essentiel, mais il s'est transformé en un ennemi mortel dans l'esprit du public. Mais si vous niez que cela détruit la terre, alors vous commettez une hérésie. C'est comme nier l'existence de Dieu au Moyen Âge. Détester le carbone et adorer « l'écologie » sont devenus les principes d'une religion laïque.
Une nouvelle taxe carbone sera mise en place. C'est définitivement dans les cartons. La plupart des gens se retourneront stupidement et diront : « Oui, c'est pour le bien de la planète. C'est un impôt que nous devrions tous payer.
Bien sûr, les gouvernements et les pouvoirs en place veulent toujours plus de ressources dirigées vers eux-mêmes. À une époque où les gouvernements sont en faillite et ne peuvent générer plus d'argent pour eux-mêmes qu'en l'imprimant, c'est une certitude absolue que la prochaine taxe aura une patine de droiture. Une taxe carbone sur les particuliers, comme sur les entreprises, coche toutes les cases.
International Man : Les crédits de carbone deviendront-ils une nouvelle « marchandise » créée par le gouvernement que les entreprises et les particuliers seront obligés d'acheter ?
Doug Casey : Sans aucun doute, c'est une façon astucieuse de transformer une taxe en quelque chose qui ressemble à un actif, un investissement.
Écoutez, il s'agit de politique et d'argent, mais déguisé en mouvement religieux, ce qui est assez intelligent. Il ne fait aucun doute que le vertisme est promu comme une nouvelle religion.
Le christianisme est un canard mort en Europe, et il se meurt en Amérique du Nord. Mais les gens ont besoin d'un certain type de religion, un remplacement du christianisme, auquel s'accrocher.
Les gens seront encouragés à traiter leurs impôts comme des dîmes pour laver leurs péchés contre Mère Nature, un peu comme ils donnaient la dîme à l'église pour effacer leurs péchés au Moyen Âge. C'est une analogie exacte. Ils achèteront des « crédits carbone » comme un analogue pour la construction de cathédrales et de monastères.
En tant qu'économiste, ainsi que quelqu'un qui lit beaucoup de science, je pense que c'est ridicule et destructeur. Toute l'histoire de l'anti-carbone, de la séquestration du carbone et du vertisme est une hystérie politique promue par des gens qui aiment contrôler les autres. Je suis totalement opposé aux crédits carbone ou aux taxes carbone de ce point de vue.
Mais quand je mets mon chapeau de spéculateur, je suis tout à fait d'accord. Il y a des entreprises qui se forment pour capitaliser intelligemment sur toutes ces absurdités destructrices. Il est encore très tôt et le public va s'entasser dans l'espace avec une combinaison de ferveur religieuse et de cupidité fin de siècle. Je m'attends à une énorme bulle dans l'espace. Je suis tout pour les bulles, si je peux acheter tôt.
Un spéculateur est un cynique, pas un philanthrope, même si je m'empresse d'ajouter que la plupart des philanthropes sont des hypocrites. C'est dommage que la grande majorité des gens aient subi un lavage de cerveau total par le vertisme, et les stocks de carbone sont un excellent moyen de transformer le citron en limonade.
Aussi con que de dire "Nous allons déoxygéner le monde ou il y a trop d'eau dans les océans faut les vider" ! est apparu l'obligation d'aller à contre-courant de la nature de ce que fait continuellement le magma. Donc, même si les scientifiques disent et prouvent que c'est la masse ferrique incandescente sous nos pieds qui gère le monde comme elle veut, et que c'est encore elle qui produit TOUS les gaz de l'atmosphère qui se recyclent immédiatement (sans quoi il n'y aurait jamais eu de vie sur terre, et que c'est encore le magma qui oxygène les mers & océans sans quoi il n'y aurait pas de vie sous-marine), l'obligation tenue par les criminels au pouvoir prime.
Toute notre enfance nous avons toutes & tous été abreuvés, inondés et au devoir de l'apprendre que tous les mensonges dits par le maître d'école doit être retenu comme étant LA vérité !
Depuis les 'Premiers hommes préhistoriques' (avant l'histoire !! HAHAHA !) qui aurait dû s'appeler les hommes préalables (et aussi les femmes oubliées dans l'histoire avant l'histoire !), qui étaient censés faire du feu avec deux silex !! (sans bidon d'essence ou bouteille de gaz à côté !!), nous sommes passés aux feuilles mortes qui tombent à l'automne sans explication. Or, il eut fallu savoir qu'à la baisse des températures estivales les arbres stoppent l'arrivée de la sève aux branches afin qu'elle ne se gèle bientôt. Par contre, en contrées froides et très froides, il existe en plein hiver des sapins et des pins qui y vivent toute l'année ! Çà alors ! Oui mais eux ont un antigel ! Antigel qui s'appelle la résine. Et, comme l'alimentation avance au très grand ralenti, les arbres ne poussent que de quelques centimètres par an.
Pourquoi malgré que des milliards de tonnes d'eaux (venues des pluies, des fleuves & des rivières) les mers et océans ne débordent-ils pas ? Parce que l'eau s'infiltre continuellement aux bassins maritimes & océaniques vers le magma où l'eau est chauffée/brûlée et ressort en vapeur vers des galeries qui alimentent toutes les sources de montagnes et nappes phréatiques en eau pure (sans odeur, sans couleur ni bactérie).
Oui mais çà faut pas le dire !! Çà alors !! Faut dire quoi alors ? Faut dire que... l'eau va manquer ! HAHAHAHA ! L'air va manquer ! HAHAHA ! Le pétrole abiotique va manquer ! HAHAHA ! et que des nano-poussières inoffensives (appelées 'virus') vont nous attaquer !! Nous manger tout crû !
À quoi s'attendre du sommet sur le climat de la COP26
PAR TYLER DURDEN JEUDI 28 OCT 2021 - 15:40 Rédigé par Irina Slav via OilPrice.com,
Le sommet sur le climat COP26 a été présenté comme l'un des événements internationaux les plus importants de ces dernières années.
Le sommet tentera de créer un plan d'action pour lutter contre le changement climatique (les saisons !) et réduire les émissions mondiales.
Cet écart entre ce que l'ONU estime qu'il faut faire pour freiner les saisons et ce que les pays sont prêts à faire est le plus grand défi que les participants à la COP26 devraient relever.
Le sommet sur le climat COP26 doit débuter dimanche prochain à Glasgow. Le sommet a été présenté comme l'un des événements internationaux les plus importants de ces dernières années, un événement où les dirigeants mondiaux tenteront de mettre en place un effort concerté pour réduire les émissions. Mais il y a plusieurs facteurs qui s'opposent au succès du sommet.
Jusqu'à 25 000 délégués devraient assister au sommet qui durera deux semaines alors que les dirigeants mondiaux tentent de s'entendre sur une série de questions couvrant ce qui doit être fait pour maîtriser les émissions et comment nous allons payer pour cela. L'objectif principal de la réunion est d'élaborer un mécanisme de mise en œuvre des objectifs de l'Accord de Paris en vue de contenir la hausse des températures mondiales à une moyenne de 1,5 degré Celsius par rapport à l'époque préindustrielle.
Les saisons ont été identifié par un certain nombre d'agences internationales, d'entreprises multinationales et d'organisations environnementales comme la plus grande menace pour l'humanité à l'heure actuelle, une action urgente est donc nécessaire. L'enjeu de la COP26 est de définir les étapes de cette action et comment elle sera menée. Cependant, il pourrait bien être en deçà des attentes.
Quelques jours seulement avant le début du sommet, la BBC a découvert des documents montrant que certains pays ont fait pression pour des changements dans le dernier rapport de l'IPCC qui a tiré des conclusions alarmantes sur l'état du climat de la planète à la suite de l'activité humaine et a appelé pour des changements urgents à notre mode de vie pour contenir les changements négatifs.
Selon le rapport, qui citait des communications divulguées sur le rapport de divers pays, certains d'entre eux ont insisté pour que le GIEC minimise l'urgence de l'action climatique. Parmi les pays qui ont fait de telles remarques figurent l'Arabie saoudite, le Japon et l'Australie, a déclaré la BBC.
Un responsable australien, par exemple, a rejeté l'appel de l'IPCC pour la fermeture de toutes les capacités de production d'électricité au charbon dans le monde. En tant que premier exportateur mondial de charbon, la position de l'Australie est tout à fait compréhensible. L'Inde, l'un des plus gros consommateurs mondiaux de combustibles fossiles, est également opposée à l'élimination de la capacité de production de charbon, d'ailleurs. La Chine aussi, bien qu'elle ne l'ait pas dit explicitement mais plutôt par l'action : l'année dernière seulement, la Chine a commencé la construction de plus de centrales électriques au charbon que le reste du monde n'en a retiré.
La Chine est un bon exemple de la raison pour laquelle, malgré toutes les bonnes intentions et la forte ambition, la COP26 peut échouer. Le gouvernement du pays a déclaré à plusieurs reprises qu'il s'engageait pour un avenir à faibles émissions, annonçant même une échéance de 2060 pour devenir une économie nette zéro. Pourtant, récemment, Pékin a changé de ton au milieu de la crise énergétique qui l'a obligé à ordonner aux services publics de faire tout ce qu'il faut pour obtenir de l'énergie pour l'hiver.
Plus tôt cette semaine, le cabinet chinois a annoncé des mesures visant à réduire les émissions et à atteindre le statut net zéro d'ici 2060, mais a ajouté une stipulation importante : que le gouvernement « gère la relation entre la réduction de la pollution et la réduction du carbone et la sécurité énergétique, la sécurité de la chaîne d'approvisionnement industrielle, la sécurité et la vie normale de la population", cité par Reuters.
Dans ce contexte, il est probablement significatif que le président chinois, Xi Jinping, ne participe pas au sommet de la COP26, comme cela a été rapporté plus tôt ce mois-ci.
Cela peut encore changer, mais l'annonce a certainement fait sensation.
Ensuite, Moscou a déclaré que le président Vladimir Poutine ne participerait pas non plus à l'événement de Glasgow.
Un autre gros pollueur, l'Inde, a des exigences quant à la répartition du financement de la transition énergétique, arguant que les pays développés riches - eux-mêmes des pollueurs non négligeables - doivent aider les pays en développement les plus pauvres comme l'Inde sur la voie du zéro net. Les pays riches eux-mêmes ne sont pas si désireux de financer la transition d'autres nations, ce qui prépare le terrain pour deux semaines difficiles à Glasgow.
Même les partisans les plus passionnés de la transition énergétique semblent avoir tempéré leurs attentes, selon un article du magazine Times. Le rapport cite l'envoyé américain pour le climat, John Kerry, disant qu'"il y aura un écart" entre les engagements que les participants devraient prendre au sommet et les engagements réels nécessaires pour que le scénario de 1,5 degré se produise.
Même le Premier ministre britannique Boris Johnson, qui s'est immortalisé plus tôt ce mois-ci en déclarant à l'Assemblée générale des Nations Unies qu'"il est facile d'être vert" déclare maintenant que les pourparlers seront "extrêmement difficiles", après avoir estimé le mois dernier les chances que les pays riches tiennent leurs promesses d'aide climatique. à "six sur 10".
Cet écart entre ce que l'ONU pense qu'il faut faire pour freiner le changement climatique et ce que les pays sont prêts à faire est, de toute façon, le plus grand défi que les participants à la COP26 devraient relever. Un autre problème est également apparu récemment : tous les pays ne seront pas représentés au sommet en raison des coûts élevés. Selon Time, les critiques de l'événement ont noté que de nombreux pays en développement et organisations à but non lucratif ne peuvent tout simplement pas se permettre le coût de la participation au sommet, qui implique apparemment la construction et la gestion de pavillons comme une exposition.
Que l'Accord de Paris fixe des objectifs ambitieux est clair depuis longtemps. Pourtant, avec chaque nouveau rapport sur le changement climatique, ces objectifs semblent de plus en plus urgents et vitaux. Les atteindre, cependant, sera loin d'être facile car cela nécessiterait de nombreux ajustements spectaculaires de l'économie mondiale. C'est en raison de la nature de ces ajustements et du fait que les intérêts nationaux de la plupart des pays sont en contradiction avec ces ajustements que la COP26 peut ne pas être à la hauteur des grandes attentes placées en elle.
La destruction de la demande énergétique conduira à une récession mondiale, prévient le président de Tellurian
PAR TYLER DURDEN JEUDI 28 OCT 2021 - 22:00
Il y a un mois, Goldman a déclaré que la seule chose qui pourrait accélérer la résolution de la crise énergétique en Europe était une simple "destruction de la demande" - c'est-à-dire une chute de la demande due à des prix trop élevés jusqu'à ce que la demande réduite entraîne une diminution de l'offre et un prix inférieur. Plus précisément, Goldman a estimé « que la capacité potentielle de substitution du gaz au pétrole pourrait être plus importante si le gaz se redressait davantage, jusqu'à 1,35 mb/j en électricité et 0,6 mb/j dans l'industrie (en Asie et en Europe), bien qu'une telle Une forte augmentation de la demande s'avérerait trop importante pour que le marché pétrolier puisse l'absorber, ce qui entraînerait une flambée des prix qui entraînerait à son tour la destruction de la demande de pétrole, la solution ultime à la rareté généralisée de l'énergie. »
Il n'y a qu'un seul problème avec cela : la "destruction de la demande", c'est-à-dire que l'arrêt forcé des installations de fabrication a un coût direct sur la production.
Et comme Charif Souki, président du conseil d'administration du développeur américain de GNL Tellurian, l'a déclaré lors du forum en ligne de l'IEF sur le gaz, la destruction de la demande résultant des prix élevés du gaz naturel pourrait conduire à une récession mondiale.
"Nous n'avons pas affaire à une crise du gaz, le gaz est simplement le cheval de bataille, mais nous avons affaire à une crise énergétique"
Faisant écho à ce que Goldman a dit il y a un mois, Souki a déclaré que la première manifestation de la destruction de la demande est le passage d'un carburant à un autre.
"Mais si tous les carburants deviennent trop chers, alors vous demandez aux gens de commencer à changer leur mode de vie, de commencer à conduire moins, d'éteindre les lumières plus souvent, de ne pas allumer la climatisation, de ne pas chauffer votre maison."
"Ma grande crainte est que le manque de planification va nous conduire à une récession mondiale." Il a également ajouté qu'un stockage de gaz adéquat est « critique », tout comme l'investissement dans les infrastructures.
Soulignant l'évidence, il a également déclaré que les prix actuels du pétrole, à environ 85 $/b pour le pétrole et l'équivalent de 200 $ pour le gaz, ne sont pas soutenables.
« A terme, après l'hiver, les prix de l'essence redescendront à un niveau plus raisonnable. Mais dans le même temps, les prix du pétrole continueront d'augmenter à un niveau plus raisonnable, afin de trouver un équilibre. »
Traduction : la récente poussée aveugle (et stupide) en faveur de l'ESG à tout prix n'a pas seulement conduit à un équilibre de production ESG viable - qui ne sera pas atteint avant des années, voire des décennies - mais le choc des prix qui a déjà été déclenché grâce aux « verts » qui a forcé les entreprises fossiles à réduire leurs dépenses sur les capacités existantes et nouvelles, sera directement responsable de la prochaine grande récession.
Ce qui, paradoxalement, a du sens : après tout, ce n'est pas un secret que la Fed n'aura pas d'autre choix que de faire encore plus de QE après la prochaine baisse (en fait, la seule question que les traders devraient se poser aujourd'hui n'est pas de savoir si le rendement actuel l'effondrement de la courbe suggère qu'une récession est à venir - bien sûr qu'elle l'est - mais quelle sera la force de la réponse de la Fed). Et avec Bank of America estimant qu'environ 150 000 milliards de dollars de dépenses devront être déboursés pour permettre la réalité du "net zéro" (comme discuté dans "Voici le programme caché de 150 000 milliards de dollars derrière la "croisade" contre le changement climatique") qui ne devront pas tous être monétisés via un QE mondial.
En tant que telle, la récession déclenchée par les fanatiques d'ESG ne sera que le catalyseur qui donnera le feu vert aux prochains 150 000 milliards de dollars d'assouplissement quantitatif mondial qui cimente la prochaine grande réinitialisation de tous les aspects de la civilisation moderne.
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 29 OCT 2021 - 06:30 Via SchiffGold.com,
combien d'or y-a-t-il dans le monde?
La réponse simple : pas grand-chose !
La rareté est l'une des caractéristiques qui donnent de la valeur à l'or.
Pensez au gravier. Il y en a partout. Vous marchez dessus et ne vous arrêtez même pas. Mais si vous repérez une pépite d'or sur le sol, vous pouvez l'apporter à la banque, littéralement.
Vous êtes probablement vaguement conscient que l'or est rare, mais le peu d'or qui existe réellement dans le monde pourrait vous surprendre.
Selon le World Gold Council, les meilleures estimations suggèrent qu'à la fin de 2019, environ 197 576 tonnes d'or avaient été extraites au cours de l'histoire. Environ les 2/3 de ce total ont été retirés du sol depuis 1950.
Si vous preniez chaque once d'or du monde et que vous la mettiez dans un cube, elle ne mesurerait qu'environ 21,7 mètres de côté. C'est juste un peu plus de 71 pieds, à peu près aussi haut qu'un immeuble de sept étages.
- voir croquis sur site -
Pour voir les choses autrement, si vous formiez tout l'or jamais extrait en barres de 400 onces et les empiliez les unes sur les autres, la pile n'atteindrait même pas la taille de la Statue de la Liberté.
Étant donné que l'or est pratiquement indestructible, à peu près tout cet or est toujours là sous une forme ou une autre.
Chaque année, l'extraction d'or mondiale ajoute environ 2 500 à 3 000 tonnes au stock d'or global en surface.
Estimer combien d'or reste dans le sol est une tâche difficile. Les analystes disent que les réserves connues totalisent environ 54 000 tonnes.
Ce qui reste est de plus en plus difficile à extraire.
La production minière a plongé en 2020 en raison de la pandémie de coronavirus, mais la production d'or avait déjà atteint un plateau avant COVID-19. Après avoir stagné pendant plusieurs années, la production des mines d'or a chuté de 1 % en 2019. Bien que cette année ait marqué la première baisse absolue de la production d'or depuis 2008, elle a poursuivi une tendance générale à la baisse de la production minière. La production de la mine d'or a augmenté de 77,72 tonnes entre 2015 et 2016, de 33,92 tonnes entre 2016 et 2017, et de seulement 28 tonnes entre 2017 et 2018.
Historiquement, la production minière a généralement augmenté chaque année depuis les années 1970. Il y a eu une baisse de la production en 2008, mais c'était une sorte d'anomalie, car elle s'est produite au début de la crise financière de 2008. Le récent ralentissement de la production minière est plus préoccupant. En fait, certains ont émis l'hypothèse que nous pourrions être au niveau ou près du « pic d'or ». C'est à ce moment-là que la quantité d'or extrait de la terre commencera à diminuer chaque année. Certains acteurs importants de l'industrie minière pensent que nous sommes proches de ce point.
Que nous ayons atteint le pic de l'or ou non, de nombreux analystes pensent que l'industrie aurifère pourrait bien entrer dans une période à long terme - et peut-être irréversible - de moins d'or disponible. Comme les sociétés minières ont plus de mal à extraire l'or de la terre, cela signifiera moins d'or pour les raffineurs à produire pour le marché de consommation.
Même aux niveaux de production actuels, l'or restera rare - et la rareté est une caractéristique importante qui donne à l'or sa valeur.
Oui mais: LA RARETÉ NE FAIT PAS SA VALEUR !! Et oui ! Le prix de cette Matière Première est BLOQUÉ ! Bloqué par un 'bureau' qui fixe son prix A LA TÊTE DU CLIENT ! C'est pourquoi l'argent (monnaie) n'a JAMAIS été adossé à l'or !
Biden veut donner 450 000 $ par personne aux immigrants illégaux séparés
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 29 OCT 2021 - 05:58
L'administration Biden réfléchit à un plan visant à offrir aux familles d'immigrants séparées sous l'administration Trump 450 000 $ par personne en compensation, selon le Wall Street Journal, citant des personnes proches du dossier.
Les paiements – qui font partie d'une solution interinstitutions à plusieurs poursuites intentées au nom de parents et d'enfants séparés pour un traumatisme psychologique durable pourraient s'élever à près d'un million de dollars par famille, bien que « les chiffres finaux puissent changer », selon le rapport.
Selon des sources, la plupart des familles entrant aux États-Unis depuis le Mexique comprenaient un parent et un enfant. Selon les circonstances, de nombreuses familles pourraient recevoir des paiements plus faibles.
L'American Civil Liberties Union, qui représente les familles dans l'un des procès, a identifié environ 5 500 enfants séparés à la frontière au cours de l'administration Trump, citant des chiffres qui lui ont été fournis par le gouvernement. Le nombre de familles éligibles dans le cadre du règlement potentiel devrait être plus petit, ont déclaré les gens, car les responsables gouvernementaux ne savent pas combien se manifesteront. Environ 940 demandes ont jusqu'à présent été déposées par les familles, ont indiqué les habitants. -WSJ
Au total, le paiement potentiel pourrait atteindre 1 milliard de dollars ou plus.
Tout au long de l'administration Trump, des milliers d'enfants ont été séparés de leurs parents (et des coyotes ont été payés pour les faire entrer dans le pays) après être entrés illégalement dans le pays depuis le Mexique. Les poursuites allèguent que certains des enfants ont souffert de diverses affections, notamment de la malnutrition, de l'épuisement dû à la chaleur, et ont été maintenus dans des chambres glaciales avec peu de soins médicaux. Certains revendiquent des problèmes de santé mentale durables dus au traumatisme d'être sans leurs parents pendant plusieurs mois.
Le montant moyen recherché par les tribunaux est d'environ 3,4 millions de dollars par famille, selon le rapport.
"Le président Biden a convenu que la politique de séparation des familles est une tache morale historique sur notre nation qui doit être entièrement corrigée", a déclaré le directeur adjoint de l'ACLU, Lee Gelernt. "Ce remède doit inclure non seulement une compensation monétaire significative, mais une voie pour rester dans le pays."
Les républicains du Sénat ont critiqué le plan jeudi après-midi à la suite du rapport du WSJ.
"Les promesses de l'administration Biden en matière de programmes de citoyenneté et de droits ont déjà provoqué la pire crise frontalière de l'histoire - une énorme récompense en espèces ne fera qu'empirer les choses", a déclaré le sénateur Tom Cotton (R-AR).
Les discussions sur les paiements ont eu lieu au cours des derniers mois entre un groupe de dizaines d'avocats privés représentant les familles et les avocats du gouvernement. Certains avocats du gouvernement ont estimé que les paiements étaient excessifs pour les personnes qui avaient enfreint la loi en traversant la frontière, ont déclaré les gens. Un avocat du gouvernement a menacé de retirer son nom de l'affaire en désaccord avec l'offre de règlement potentielle, ont déclaré les gens. -WSJ
"Il s'agit d'un litige compliqué et complexe" - essayant de résoudre des centaines de poursuites distinctes en même temps, et "parfois encore plus complexe de juger les affaires", a déclaré Margo Schlanger, qui dirigeait le bureau des droits civils pendant l'administration Obama. au Department of Homeland Security et enseigne maintenant à la faculté de droit de l'Université du Michigan.
Une émeute de migrants dans une ville française, attaque la police et les pompiers
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 29 OCT 2021 - 02:00 Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Des migrants dans la ville d'Alençon, en France, ont déclenché des émeutes, incendié des véhicules et attaqué des policiers et des pompiers après que les autorités ont arrêté un suspect de 16 ans pour trafic de drogue.
Une vingtaine de jeunes hommes sont descendus dans les rues pour semer le chaos en réponse à l'arrestation, lançant des feux d'artifice sur le personnel d'urgence, une tactique courante lors des émeutes de migrants.
"Nous déplorons cette nuit de violences urbaines à Perseigne, à Alençon, au cours de laquelle il y a eu une dizaine de véhicules incendiés", a déclaré à BFMTV Françoise Tahéri, préfète de l'arrondissement de l'Orne.
Des photos prises ce matin montrent les restes de véhicules incendiés.
Apparemment, l'État a récemment dispersé les migrants dans toute la région dans le but de les aider à mieux « s'intégrer ».
Cela semble avoir été un franc succès.
Les villes et villages de France sont régulièrement en proie à des émeutes de migrants déclenchées par de violents affrontements entre policiers et criminels.
En mai de l'année dernière, des migrants à Paris ont organisé des troubles pendant plusieurs nuits, attaquant la police et incendiant des véhicules pour protester contre la mort accidentelle d'un motocycliste.
Certaines zones sont tellement incontrôlables que lors du premier verrouillage du COVID-19, un haut responsable du gouvernement a déclaré que des restrictions ne devraient pas être imposées aux zones à forte densité de migrants en raison de la menace d'émeutes.
Les troubles dans les banlieues notoires à forte criminalité en France sont monnaie courante et un signe clair que le multiculturalisme a échoué, bien que les médias aient tenté à plusieurs reprises de présenter l'existence même des zones interdites comme une théorie du complot.
Cependant, la question est traitée de manière mortelle en France, les migrations de masse devenant un problème central pour les électeurs à l'approche de l'élection présidentielle de l'année prochaine.
Comme nous le verrons ci-dessous, un nouveau sondage a révélé que la majorité des Français craignent d'être remplacés par des migrants musulmans et que le christianisme va « s'éteindre ».
L’actuel marché unique de l’électricité européen est un échec. Les règlementations et la politique européennes étouffent ce marché.
Par Samuel Furfari. 29 OCTOBRE 2021
Afin de ne pas être mal compris, je commencerai par dire que je suis un Européen convaincu au point d’avoir consacré 36 ans de ma vie professionnelle à développer la politique énergétique au sein de la Commission européenne. Mais aujourd’hui, il est urgent et essentiel pour l’avenir de l’Union de dénoncer l’échec de l’actuel marché unique de l’électricité.
Commençons par dire que la Commission européenne a voulu l’ouverture du marché et non pas comme on le dit à tort sa libéralisation, l’État pouvant rester propriétaire en tout ou en partie de l’entreprise électrique. D’ailleurs, EDF reste la plus grande entreprise électrique au monde et l’État français en est l’actionnaire à plus de 83,6 %.
UN MARCHÉ DE L’ÉLECTRICITÉ EUROPÉEN NON CONCURRENTIEL
Deux principes de base ont conduit à cette ouverture. D’abord le démantèlement de l’intégration verticale des entreprises qui a consisté à séparer les activités de génération d’électricité, de transport (le réseau électrique) et de distribution de l’électricité aux consommateurs industriels ou privés. L’autre est la possibilité des entreprises de générer de l’électricité dans tous les États membres.
La France a résisté longtemps à l’ouverture du marché, mais lors du sommet de Barcelone le 15 mars 2002 Jacques Chirac et Lionel Jospin ont fini par l’accepter ; ils ont voulu sauver la face en exigeant que des interconnexions transfrontalières soient établies à 10 % de la capacité de chaque État membre afin de permettre à la France de vendre son électricité aux autres (on est très loin du compte 20 ans plus tard). Pourquoi cette exigence ? Mais tout simplement parce que l’électricité nucléaire française étant moins chère, il devait être possible d’en vendre aux autres.
Las ! C’était sans compter sur Angela Merkel qui 4 ans plus tard exigeait auprès de M. Barroso d’établir une feuille de route pour développer les énergies renouvelables, ce qui a conduit en 2009 sous l’impulsion de la présidence française de Sarkozy à décider d’obliger la production d’électricité renouvelable.
Or, contrairement à ce qu’on entend dire partout de manière simpliste, celle-ci conduit immanquablement à une augmentation du prix de vente de l’électricité. Il suffit de voir l’évolution ces dernières années malgré les promesses faites au consommateur…
Le simple fait qu’il faille une directive européenne pour obliger leur production démontre qu’elle n’est pas concurrentielle !
Non seulement il y a obligation de production d’énergies renouvelables, mais aussi obligation de donner la priorité à leur distribution. L’UE force donc en priorité la distribution d’une électricité chère à produire et subventionnée. C’est donc tout le contraire d’un marché.
Cela fait 20 ans que l’UE s’évertue à mettre des emplâtres sur la jambe de bois… rendant les choses que plus en plus complexes. Le consommateur ne s’y retrouve pas. Il est temps d’en finir sans délai avec ce marché bancal ! Le signal donné par le ministre de l’Économie Bruno Lemaire signe-t-il la fin de la récréation ?
La production de cette électricité qualifiée de verte étant en effet par nature variable et intermittente n’est de ce fait pas toujours disponible. En moyenne sur cinq ans dans l’UE les panneaux solaires photovoltaïques produisent 11 % du temps et les éoliennes terrestres 23 % (on appelle cela le facteur de charge).
Ce qui signifie que ces productions ne peuvent exister que parce qu’il y en a d’autres qui elles sont pilotables. Afin de compenser la pénalisation de ces dernières pour la priorité de distribution de l’électricité d’origine renouvelable, on leur accorde des subventions (on appelle cela le marché de capacité, on finance l’existence et non pas la production).
UNE DESTRUCTION DU MARCHÉ À CAUSE DES RÉGLEMENTATIONS
Puisque le marché unique tend à rapprocher les prix, la forte croissance du prix de l’électricité dans un pays (actuellement à cause de la demande de gaz naturel en Chine), implique que même ceux qui peuvent produire à moindre coût doivent vendre cher leur électricité.
De plus, les activistes antinucléaires de la Commission européenne font tout pour interdire le financement de l’énergie nucléaire, alors que « gardienne des traités » elle devrait appliquer le traité Euratom qui promeut le développement de cette énergie.
Formellement, ils ne peuvent s’opposer à ce financement puisque l’article 194.2 du Traité de Lisbonne donne la pleine liberté aux États membres de choisir leurs énergies primaires.
Mais par la taxonomie, un acte délégué que la Commission est parvenue à décrocher du Conseil et du Parlement européens – institutions qui détiennent le pouvoir législatif –hésite encore à attribuer la qualification de « durable » à la principale source d’énergie pour la génération d’électricité dans l’UE (28 % pour le nucléaire et 7 % pour l’ensemble solaire et éolien) qui est pourtant décarbonée. Et ce malgré un rapport scientifique, produit par son Centre Commun de recherche, confirmant cette durabilité.
La faute originelle en revient aux juges de l’UE qui, ignorant tous de la physique, ont décrété que l’électricité est une marchandise comme le sucre ou le yaourt alors que c’est un bien public. La seconde faute est d’avoir détruit le marché en obligeant la production d’énergies renouvelables.
Soit on abandonne la notion de marché soit on laisse ce dernier décider des investissements. La démonstration du désastre annoncé depuis des années par les experts est arrivée de manière flagrante et douloureuse pour les citoyens et l’industrie.
Dans La Revue de l’Énergie (juillet-août 2020) Claude Desama, l’ex-député européen qui fut le rapporteur au Parlement européen de la première directive sur l’ouverture du marché, a eu le courage de dénoncer l’erreur : il qualifie ce soi-disant marché de « caduc ».
Nous l’avons déjà écrit, l’UE suit aveuglément l’Allemagne dans son EnergieKatastrophe. Il est plus que temps de sauver l’avenir de l’UE en abandonnant tout ce que l’Allemagne nous a imposé. Que la France refuse l’acte délégué de la taxonomie si le nucléaire d’aujourd’hui et de demain n’y est pas inscrit comme durable une fois pour toutes.
Les pères fondateurs ont créé la Communauté européenne – comme on l’appelait alors – dans le but de disposer d’« énergie abondante et bon marché » (déclaration de Messine du 2 juin 1955). On a fait l’inverse. Nous sommes arrivés au moment de vérité, au bord de la falaise… il n’y a qu’une chose à faire… machine arrière.
Briser les atomes : l'histoire de l'uranium et de l'énergie nucléaire
PAR TYLER DURDEN JEUDI 28 OCT 2021 - 23:20
L'uranium existe depuis des millénaires, mais ce n'est que récemment que nous avons commencé à comprendre ses propriétés uniques.
Aujourd'hui, le métal radioactif alimente des centaines de réacteurs nucléaires, permettant une production d'énergie sans carbone à travers le monde. Mais, détaille ci-dessous Govind Bhutada de Visual Capitalist, comment l'uranium et l'énergie nucléaire sont-ils apparus ?
L'infographie ci-dessous, du Sprott Physical Uranium Trust, décrit l'histoire de l'énergie nucléaire et met en évidence le rôle de l'uranium dans la production d'énergie propre.
- voir grand tableau sur site -
De la découverte à la fission : à la découverte de l'uranium Comme toute matière, l'histoire de l'uranium et de l'énergie nucléaire remonte à l'atome.
Martin Klaproth, un chimiste allemand, a découvert l'uranium pour la première fois en 1789 en l'extrayant d'un minéral appelé "pitchblende". Il a nommé l'uranium d'après la planète alors nouvellement découverte, Uranus. Mais l'histoire de l'énergie nucléaire a vraiment commencé en 1895 lorsque l'ingénieur allemand Wilhelm Röntgen a découvert les rayons X et les radiations, lançant une série d'expériences et de découvertes, dont celle de la radioactivité.
En 1905, Albert Einstein a ouvert la voie à l'énergie nucléaire avec sa célèbre théorie reliant la masse et l'énergie, E = mc2. Environ 35 ans plus tard, Otto Hahn et Fritz Strassman ont confirmé sa théorie en envoyant des neutrons dans des atomes d'uranium, ce qui a produit des éléments plus légers que l'uranium. Selon la théorie d'Einstein, la masse perdue au cours de la réaction s'est transformée en énergie. Cela a démontré que la fission - la division d'un atome en éléments plus légers - s'était produite.
"L'énergie nucléaire est incomparablement supérieure à l'énergie moléculaire que nous utilisons aujourd'hui." - Winston Churchill, 1955.
À la suite de la découverte de la fission, les scientifiques ont travaillé au développement d'une réaction nucléaire en chaîne autonome. En 1939, une équipe de scientifiques français dirigée par Frédéric Joliot-Curie a démontré que la fission peut provoquer une réaction en chaîne et a déposé le premier brevet sur les réacteurs nucléaires.
Plus tard en 1942, un groupe de scientifiques dirigé par Enrico Fermi et Leo Szilard a déclenché la première réaction nucléaire en chaîne à travers le Chicago Pile-1. Fait intéressant, ils ont construit ce réacteur de fortune en utilisant des briques de graphite sur un court de squash abandonné à l'Université de Chicago.
Ces expériences ont prouvé que l'uranium pouvait produire de l'énergie par fission. Cependant, la première utilisation pacifique de la fission nucléaire n'a eu lieu qu'en 1951, lorsque le réacteur expérimental I (EBR-1) dans l'Idaho a généré la première électricité d'origine nucléaire.
La puissance de l'atome : l'énergie nucléaire et l'énergie propre
Les réacteurs nucléaires exploitent les propriétés de l'uranium pour produire de l'énergie sans aucune émission de gaz à effet de serre. Si la radioactivité de l'uranium le rend unique, il possède trois autres propriétés qui se démarquent :
Densité du matériau : L'uranium a une densité de 19,1 g/cm3, ce qui en fait l'un des métaux les plus denses sur Terre. Pour référence, il est presque aussi lourd (et dense) que l'or.
Abondance : À 2,8 parties par million, l'uranium est environ 700 fois plus abondant que l'or et 37 fois plus abondant que l'argent.
Densité énergétique : L'uranium est extrêmement dense en énergie. Une pastille d'uranium d'un pouce de hauteur contient la même quantité d'énergie que 120 gallons de pétrole.
Grâce à sa densité énergétique élevée, l'utilisation du combustible à l'uranium rend l'énergie nucléaire plus efficace que les autres sources d'énergie. Cela inclut les énergies renouvelables comme l'éolien et le solaire, qui nécessitent généralement beaucoup plus de terres (et plus d'unités) pour générer la même quantité d'électricité qu'un seul réacteur nucléaire.
Mais l'énergie nucléaire offre plus qu'une simple empreinte terrestre réduite. C'est également l'une des sources d'énergie les plus propres et les plus fiables disponibles aujourd'hui, prête à jouer un rôle majeur dans la transition énergétique.
L'avenir de l'uranium et de l'énergie nucléaire
Bien que l'énergie nucléaire soit souvent laissée de côté dans la conversation sur l'énergie propre, la crise énergétique actuelle l'a ramenée au centre des préoccupations.
Plusieurs pays passent au nucléaire dans le but de réduire leur dépendance aux combustibles fossiles tout en construisant des réseaux énergétiques fiables. Par exemple, l'énergie nucléaire devrait jouer un rôle de premier plan dans le plan du Royaume-Uni visant à atteindre zéro émission nette de carbone d'ici 2050. En outre, le Japon a récemment approuvé le redémarrage de trois de ses réacteurs nucléaires après avoir initialement abandonné l'énergie nucléaire à la suite de l'accident de Fukushima.
La résurgence de l'énergie nucléaire, en plus des réacteurs qui sont déjà en construction, entraînera probablement une augmentation de la demande d'uranium, d'autant plus que le monde adopte l'énergie propre.
(...) Densité énergétique : L'uranium est extrêmement dense en énergie. Une pastille d'uranium d'un pouce de hauteur contient la même quantité d'énergie que 120 gallons de pétrole. (...)
Une pastille (cylindre de 1 cm de diamètre et 1 cm d'hauteur) de 7 gr. est l'équivalent de 1 tonne de pétrole. Chaque barre (tube appelé 'crayon) de 4 m d'hauteur en contient donc 400 (400 t de pétrole) et, il y a une centaine de crayons par panier plongés dans l'eau du réacteur.
😎 CAPACITÉ CALORIFIQUE DES COMBUSTIBLES
Charbon...........................13-30 Mj/kg Feu de bois.......................16 Mj/kg Gaz naturel......................39 MJ/m3 Pétrole brut......................45-46 MJ/kg Uranium (réacteur REP) : 500 000 Mj/kg
CNN exige de tuer des arbres sains pour sauver la planète ; L'effondrement d'Evergrande risque un chaos financier mondial
Jeudi 28 octobre 2021 par : Mike Adams
(Natural News) Dans la dernière folie écologique venant des médias lamestream, CNN demande maintenant que des arbres sains soient coupés et enterrés dans des fosses communes afin de sauver la planète. (C'est vrai. Lien ci-dessous.)
On prétend que c'est un moyen de réduire les concentrations de gaz carbonique dans l'atmosphère, même si le CO2 est précisément le nutriment gazeux qui rend la planète verte et aide à reboiser le monde. (Oui, le CO2 est bon pour reverdir la planète, même selon la NASA.)
Le problème avec les arbres, dit CNN, c'est que lorsqu'ils meurent, ils pourrissent et libèrent du gaz carbonique dans l'atmosphère. Pour arrêter cela, les arbres ne peuvent pas être autorisés à mourir seuls, affirme CNN. Au lieu de cela, ils doivent être tronçonnés à mort puis enterrés dans des fosses communes ou coulés au fond des lacs afin de préserver le gaz carbonique qu'ils contiennent.
Cela signifie que les écologistes qui ont autrefois enfoncé des pointes métalliques dans les arbres pour arrêter les opérations d'exploitation forestière commenceront probablement à abattre des arbres avec des tronçonneuses en scandant « GAIA ! » En Californie, bien sûr, ils seront limités aux tronçonneuses à batterie qui sont rechargées par de l'électricité produite en grande partie à partir du charbon et d'autres combustibles fossiles.
Extrait de l'article de CNN exigeant que nous abattions des arbres sains :
… Des savants ont proposé d'abattre des arbres ou de ramasser des bûches tombées et de les ranger intentionnellement. Cela pourrait signifier les couler au fond des lacs, les enterrer dans des mines abandonnées ou les enterrer dans des tranchées spécialement creusées.
Comment ces tranchées / fosses communes vont-elles être creusées ? En brûlant des combustibles fossiles pour alimenter des bulldozers et des excavatrices, bien sûr.
Ce niveau de pensée dangereusement délirant ne pouvait venir que de CNN. Brûlons du carburant diesel pour construire des fosses communes pour enterrer des arbres sains après les avoir abattus avec des tronçonneuses à essence, le tout dans le but de « sauver la planète ».
J'ai une meilleure idée. Pourquoi les éco-fous ne s'enterrent-ils pas et ne laissent-ils pas vivre les forêts ? Seule la gauche folle pourrait prétendre que les hommes peuvent avoir des bébés et abattre des arbres sains est bon pour «verdir» la planète. Leur Green New Deal n'est vraiment qu'une secte suicidaire éco-terroriste.
Tous les détails dans ce rapport podcast (13 minutes) :
Les écouvillons Covid contiennent un produit chimique cancérigène
Les écouvillons de test Covid, quant à eux, se sont avérés contenir des niveaux alarmants d'oxyde d'éthylène, un gaz toxique utilisé pour stériliser le matériel médical. Apparemment, chaque fois que quelqu'un est écouvillonné pour covid, il reçoit une dose d'un produit chimique cancérigène.
Notamment, les vaccins contre le covid contiennent des nanoparticules de protéines de pointe qui détruisent le système immunitaire, permettant aux tumeurs cancéreuses de s'accélérer rapidement dans tout le corps. Ainsi, l'écouvillon semble fonctionner en conjonction avec les vaccins pour créer une « pandémie de cancer ».
Attendez-vous à ce que les décès par cancer montent en flèche à des niveaux vraiment insensés au cours des trois prochaines années. Un syndicat de la santé a demandé la suspension des écouvillons Covid en raison du produit chimique toxique qu'ils contiennent.
Evergrande s'effondre et les faux médias du monde entier conspirent pour dissimuler la catastrophe financière imparable qui se déchaîne Un excellent article d'analyse d'Encouraging Angels révèle que le soi-disant «paiement d'obligations» de dernière minute d'Evergrande n'a peut-être jamais eu lieu. Il semble y avoir une dissimulation médiatique coordonnée pour prétendre qu'Evergrande paie les détenteurs d'obligations alors que ce n'est pas le cas.
L'enjeu est la solvabilité financière de plus de 120 grandes institutions financières et banques, dont Blackrock, Fidelity, HSBC et bien d'autres. Un effondrement total de la capacité d'Evergrande à effectuer des paiements sur ses dettes enverrait des ondes de choc financières à travers la planète et pourrait conduire à un effondrement financier mondial, selon le Dr Metzler (ci-dessous).
"La faillite du développeur dangereusement vacillant n'est que la première étape d'une réaction en chaîne financière qu'une telle faillite est susceptible de déclencher", conclut le Dr Marco Metzler dans une annonce publique.
Il continue à brosser un tableau de plus en plus sombre de la direction que tout cela peut prendre :
De plus, une faillite d'Evergrande est susceptible de ralentir considérablement la croissance économique chinoise. Les problèmes économiques de la Chine deviendront alors encore plus apparents. Mots-clés : pénurie d'énergie et de matières premières, fermetures d'usines et de ports, et surendettement de l'État, des entreprises et des particuliers. Le taux d'endettement représente déjà 230% de la production économique annuelle du pays. « Cela pourrait avoir des conséquences dévastatrices pour l'économie mondiale. Les chaînes d'approvisionnement seraient mises à rude épreuve encore plus qu'elles ne le sont déjà aujourd'hui – si elles ne se brisent pas complètement », prédit l'auteur du rapport Marco Metzler. Ceci, à son tour, conduirait inévitablement à une inflation galopante aux États-Unis et en Europe.
De l'avis des auteurs du rapport, une faillite d'Evergrande a le potentiel de conduire à une perturbation extrême du système financier mondial - avec des faillites d'acteurs qui sont toujours considérés comme solides aujourd'hui. "Déclenché par un virus financier chinois appelé Evergrande, le monde pourrait être confronté à une" grande réinitialisation "- l'effondrement final du système financier mondial actuel", conclut avec pessimisme le Dr Marco Metzler.
Si Metzler a raison, l'effondrement financier est déjà un événement factuel, et ce n'est qu'une question de temps avant que les mensonges des médias et la propagande officielle ne puissent plus cacher la vérité au monde. Un effondrement en cascade de la dette pourrait se répercuter sur la planète à la vitesse des nouvelles numériques, entraînant une contagion de la bombe de la dette qui brûlerait à travers les institutions financières à fort effet de levier comme un napalm à travers des cure-dents.
Stan Szymanski écrit :
Un tsunami vient de l'Est. Vous devez vous rendre sur les hauteurs pour ainsi dire. Ce tsunami a le potentiel (pas une garantie-ce n'est pas un conseil financier-consultez votre conseiller) de détruire la vie telle que nous l'avons connue. Pouvez-vous faire confiance au PCC pour vous dire la vérité sur Evergrande ? Et la presse occidentale ?
Obtenez tous les détails sur tout cela dans la mise à jour de la situation d'aujourd'hui, qui présente également une histoire hilarante sur la « laitue grasse » et mes interactions avec les animaux de la ferme « super grignoteuses » :
Trouvez de nouvelles interviews chaque jour, y compris les interviews à venir avec le Dr Paul Cottrell, Robert F. Kennedy, Jr., le Dr Zev Zelenko et bien d'autres sur :
Nouveau problème s'ajoutant aux problèmes de la chaîne d'approvisionnement nationale : obtenir des pièces de rechange pour les plates-formes de semi-remorque qui tombent en panne
Jeudi 28 octobre 2021 par : JD Heyes
(Natural News) Il y a plusieurs aspects à l'échec de la chaîne d'approvisionnement mondiale et chacun d'eux frappe durement l'Amérique parce que pendant des décennies, nous avons permis à nos dirigeants politiques de délocaliser la fabrication américaine dans des pays comme la Chine qui ne veulent pas simplement nous dominer , ils veulent nous détruire — mais pas avant d'avoir soutiré jusqu'au dernier dollar possible à nos concitoyens.
Nous avons signalé le fait qu'il y a des centaines de porte-conteneurs ancrés au large des principaux ports le long des côtes est et ouest, et nous avons noté qu'une pénurie de dockers, de débardeurs et de chauffeurs de camion s'ajoute à un goulot d'étranglement croissant qui conduit à des étagères des magasins.
Maintenant, il y a un nouveau problème associé à la rupture de la chaîne d'approvisionnement qui va en fait accélérer l'effondrement : une pénurie de pièces de rechange non seulement pour les véhicules ordinaires mais pour les camions routiers qui sont vitaux pour le système de transport de notre pays, comme l'a noté Zéro couverture :
Une pénurie mondiale de semi-conducteurs a réduit la production de voitures neuves et stimulé la demande de voitures d'occasion. L'âge moyen des voitures d'occasion sur les autoroutes américaines a atteint 12,1 ans cette année, un record, et a déclenché un boom de la réparation. Mais avec des chaînes d'approvisionnement grincheuses, les ateliers de réparation automobile ont eu des difficultés à se procurer des pièces et ont dit aux clients que leurs voitures pourraient prendre des semaines à réparer, selon Bloomberg.
Paul McCarthy, directeur général de l'Automotive Aftermarket Suppliers Association, a déclaré que l'industrie des pièces détachées et de la réparation automobile est critiquée comme tout le monde – des retards de plusieurs semaines en raison de la congestion des ports ont produit d'importants retards [sic].
"Il s'agit de l'environnement de chaîne d'approvisionnement le plus difficile que j'aie jamais vu", a déclaré le PDG d'AutoZone Inc., William Rhodes, lors d'un appel aux résultats le mois dernier. Il a poursuivi en disant que la franchise de pièces fonctionnait actuellement au "niveau de stock le plus bas dont je me souvienne".
Le propriétaire de Valley Automotive Repair and Electric à Covington, Washington, Bryan Kelley, a déclaré qu'il avait dû attendre des mois pour obtenir des pièces automobiles pour son magasin de la banlieue de Seattle. Il a noté dans un cas qu'un capteur de vilebrequin avait mis entre deux et trois mois pour arriver, ajoutant qu'avant la COVID, il fallait moins d'une journée pour obtenir la pièce.
Un client, a-t-il dit, était sur le point de renoncer à avoir son Dodge Ram 1500 parce que l'arriéré de la censure est passé du ridicule à l'absurde.
"Il est allé jusqu'à dire:" Je vais le remorquer et acheter un autre camion "", a déclaré Kelley, qui est également président du groupe commercial Automotive Service Association Northwest. "Cela s'est aggravé quand il a découvert qu'il ne pouvait pas simplement descendre et en acheter un."
Les semi-remorques et autres véhicules de transport souffrent également de pénuries de pièces, ce qui aggrave encore la crise de la chaîne d'approvisionnement.
« Les flottes ont désespérément besoin de nouvelles fourgonnettes sèches pour compenser la pénurie de nouveaux camions et chauffeurs dans l'environnement actuel de capacité limitée. Il y a une quantité croissante de fret à déplacer et l'industrie continue de lutter pour le livrer à temps », a déclaré Don Ake, vice-président des véhicules commerciaux de FTR, dans un communiqué en août.
« La plupart des commandes non produites seront reportées au premier trimestre 2022. Si ces mois sont déjà bien remplis, cela crée encore plus de maux de tête pour l'industrie. Les choses n'atteindront aucun degré de normalité avant des mois », a ajouté Ake dans un communiqué.
"Les puces électroniques étant la pointe de l'iceberg, cela montre que la chaîne d'approvisionnement est assez faible et trop complexe", a déclaré au Wall Street Journal le PDG de Cleveland-Cliffs Inc., Lourenco Goncalves.
L'arriéré de copeaux empêche également les constructeurs automobiles de terminer de nouvelles plates-formes de tracteurs, camionnettes et autres véhicules utilisés pour transporter des marchandises (ainsi que des tracteurs pour la production alimentaire).
Si seulement nos dirigeants politiques n'avaient pas vendu notre capacité de fabrication il y a des années.
Les agriculteurs du monde entier craignent que la crise de la chaîne d'approvisionnement n'affecte la récolte de l'année prochaine
Jeudi 28 octobre 2021 par : Arsenio Toledo
(Natural News) Les agriculteurs du monde entier craignent que la crise actuelle de la chaîne d'approvisionnement n'ait un effet désastreux sur leurs récoltes 2022.
Les prix des intrants - ou tous les coûts qui entrent dans une récolte - rendent déjà difficile pour les agriculteurs des États-Unis de fonctionner normalement. Selon la société de services financiers StoneX Group, les prix de gros des engrais dans le Midwest ont augmenté d'environ 434 $ depuis le 10 septembre. Cela représente une augmentation de 65 % en un mois, ou 72 $ par semaine.
L'engrais n'est pas le seul élément essentiel dont le prix a augmenté. Pratiquement tous les secteurs du secteur agricole ont été touchés par des hausses de prix similaires. La situation a été exacerbée par une pénurie persistante de main-d'œuvre.
Selon une enquête menée par le Conseil national des coopératives agricoles, 77 % des coopératives agricoles ont eu des problèmes pour retenir les travailleurs qualifiés pendant la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19). D'autres facteurs obligent les agriculteurs à dépenser plus, tels que l'augmentation des coûts d'expédition des produits agricoles et le manque de disponibilité des équipements et des pièces.
Des incidents météorologiques exceptionnels ont également rendu difficile l'exploitation des agriculteurs. On estime que 75 % de l'ouest des États-Unis et des Dakotas ont récemment connu une grave sécheresse, obligeant les éleveurs à liquider une plus grande partie de leurs troupeaux et les agriculteurs à payer plus pour l'irrigation.
« Après de nombreuses années de bas prix agricoles, les récentes augmentations de prix étaient sur le point d'aider à augmenter les rendements nets du marché. Compte tenu de ces problèmes de chaîne d'approvisionnement, cet optimisme s'est transformé en un désir de ne pas faire pire que ces années difficiles », lit-on dans un communiqué publié par l'Agriculture CEO Council, une association de PDG des principales entreprises du secteur agricole.
« Les chaînes d'approvisionnement qui sont essentielles pour les intrants et les ventes de marchandises sont confrontées à des défis multiples et simultanés. Cela a conduit à des prix plus élevés pour les intrants, à des prix plus bas pour les produits et, dans certains cas, à l'incapacité d'acheter des biens ou des services quel que soit le prix.
Les agriculteurs brésiliens souffrent également de la crise de la chaîne d'approvisionnement Les agriculteurs d'Amérique du Sud, en particulier au Brésil, font face à des perspectives tout aussi désastreuses pour leurs futures récoltes.
Michael Langemeier, économiste agricole à l'Université Purdue, estime que la situation que vivent les agriculteurs brésiliens pourrait être pire que celle que vivent les agriculteurs américains.
Langemeier souligne que l'une des plus grandes préoccupations des agriculteurs brésiliens est la grave pénurie d'engrais. "Je crois comprendre que le Brésil importe la plupart de ses besoins en engrais - encore plus que nous", a-t-il déclaré. (Connexe : la Chine impose des restrictions supplémentaires sur les exportations d'engrais pour protéger ses propres stocks d'engrais alors que les approvisionnements diminuent.)
Jim Mintert, un autre économiste agricole de Purdue, estime que la production du Brésil pour la saison des récoltes 2022 est un « joker ». La production sud-américaine joue un rôle essentiel dans la demande globale de produits agricoles.
"Du côté de la demande, je pense que le plus gros problème est de savoir quand verrons-nous une reprise et une demande d'exportations, en particulier vers la Chine", a déclaré Mintert. Il pense que le Brésil contrôlera en partie la demande future de bon nombre des plus grandes cultures cultivées aux États-Unis, telles que le maïs et le soja.
"Mais [il y a] une énorme incertitude quant à ce que cette augmentation des prix des intrants va faire à la production l'année prochaine", a poursuivi Mintert.
Les agriculteurs brésiliens craignent que la pénurie d'engrais ne dure jusqu'en 2022. Les approvisionnements en engrais pour l'année ont été suffisants jusqu'à présent, mais les stocks du pays diminuent rapidement. De nombreux agriculteurs pensent déjà à réduire la quantité d'engrais qu'ils utilisent, ce qui affectera les rendements globaux des cultures.
Un autre facteur qui pourrait affecter la future production brésilienne est quelque chose qu'aucun agriculteur du pays ne peut contrôler : la météo.
La dernière saison de récolte, la production de maïs du Brésil a souffert des conditions météorologiques extrêmes. La sécheresse a dévasté près de la moitié de toute la production dans certains endroits du pays. Avec 67 % de l'approvisionnement énergétique au Brésil provenant de centrales hydroélectriques, la sécheresse a affecté le montant que les agriculteurs devaient payer pour l'électricité.
Découvrez comment la crise de la chaîne d'approvisionnement affecte les agriculteurs du monde entier en lisant les derniers articles sur Harvest.news.
Julian Assange, le cofondateur de WikiLeaks, a été arrêté et expulsé de force de l'ambassade équatorienne à Londres, après sept ans passés cachés dans les limbes diplomatiques et juridiques. Au cours de près d'une décennie, Assange a été accusé de trois crimes majeurs par trois gouvernements distincts. Premièrement, en 2010, il a été accusé d'avoir violé et agressé sexuellement deux femmes en Suède ; deuxièmement, il est accusé d'avoir violé les conditions de mise en liberté sous caution au Royaume-Uni ; et troisièmement, et plus récemment, il est accusé d'avoir enfreint la Computer Fraud and Abuse Act par le ministère de la Justice des États-Unis.
Les États-Unis enquêtent également sur lui pour espionnage, publication de documents gouvernementaux sensibles et coordination avec la Russie.
Comme le détaille Florian Zandt de Staista ci-dessous, la façon dont Assange s'est retrouvé à l'ambassade équatorienne a commencé avec la première accusation en Suède, qui a poussé Assange à quitter la Suède pour le Royaume-Uni. À la fin de 2010, il s'est transformé en forces de l'ordre britanniques et peu de temps après, il a été libéré sous caution. Cela a déclenché une série de batailles juridiques au Royaume-Uni pour savoir si le Royaume-Uni pouvait l'extrader vers la Suède. Assange craignait que le gouvernement suédois ne l'extrade ensuite vers les États-Unis, où il pourrait être accusé d'avoir divulgué par WikiLeaks des documents classifiés des guerres en Irak et en Afghanistan en 2010.
- voir sur site -
Infographie : Julian Assange : une chronologie des événements | Statistique Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Après de nombreux appels, la Cour suprême du Royaume-Uni a décidé qu'Assange devait être extradé vers la Suède en 2012. Assange a ensuite demandé l'asile politique à l'ambassade d'Équateur à Londres, ce qui lui a été accordé plus tard la même année, lui permettant de rester à l'ambassade jusqu'à son arrestation en avril 2019. En 2017, le gouvernement suédois avait abandonné son enquête sur les allégations d'agression et de viol. À la fin de cette année-là, les États-Unis ont publié un acte d'accusation scellé contre Assange l'accusant de complot en vue de publier des documents américains classifiés.
Alors que ces batailles juridiques concrètes se déroulent, la bataille publique sur Julian Assange le symbole, se poursuit. Le cœur de sa pertinence symbolique repose sur la publication par WikiLeaks 2010 de documents militaires américains classifiés sur les guerres en Irak et en Afghanistan. Les défenseurs de la liberté de la presse considèrent ses arrestations et ses poursuites comme une attaque contre le journalisme d'investigation qui pourrait créer un dangereux précédent juridique s'il devait être jugé pour espionnage. Les partisans de la sécurité nationale considèrent les actions d'Assange comme une menace sérieuse pour les troupes et le pays.
Le 24 février 2020, la première semaine de son affaire d'extradition a commencé au tribunal de la Couronne de Woolwich avec un ajournement prévu jusqu'au 18 mai. En toile de fond de la procédure judiciaire, Assange, détenu dans la prison voisine de Belmarsh depuis son arrestation en 2019, a connu une détérioration significative de sa santé, provoquant un groupe croissant de médecins du monde entier à lancer une série de plaidoyers. La plus récente - une lettre ouverte publiée dans The Lanceton le 17 février - exigeait "la fin (de ses) tortures et négligences médicales".
Ces problèmes médicaux et témoignages d'experts psychiatriques ont conduit la juge Vanessa Baraitser à se prononcer contre une demande d'extradition des États-Unis en janvier 2021.
Après qu'Assange a été déchu de la citoyenneté équatorienne qui lui a été accordée alors qu'il se cachait à l'ambassade du Royaume-Uni du pays, l'audience d'appel demandée par l'administration Biden concernant la décision d'extradition a commencé le 27 octobre. La procédure devrait durer au moins deux semaines, avec une décision finale très probablement encore retardée : après la fin des audiences de ce tour, la partie perdante a toujours la possibilité de faire appel devant la Cour suprême, ce qui prolongerait considérablement la bataille pour l'extradition d'Assange.
Un rein de porc greffé avec succès sur une femme aux États-Unis
le 29/10/2021 à 17:02 - Mise à jour à 17:03
Les porcs sont des donneurs d'organes très intéressants pour les êtres humains
Une équipe américaine a réussi à faire fonctionner un rein de porc sur une patiente en état de mort cérébrale. Une avancée importante dans les recherches sur les xénogreffes, ces transplantations d’organes d’animaux sur une autre espèce. Si elles posent de nombreuses questions éthiques, elles pourraient aussi sauver la vie de milliers d’êtres humains dans les années à venir…
Les porcs sont sans doute l’avenir de l’homme ! C’est en tout cas l’espoir d’un éminent spécialiste de la greffe d’organes américain, le Dr Robert Montgomery. Directeur du centre médical NYU Langone Health, il explique en effet dans les colonnes du New York Times, qu’un rein génétiquement modifié greffé sur une femme en état de mort cérébrale a fonctionné « presque immédiatement » et pendant trois jours : rattaché aux vaisseaux sanguins et maintenu en état de fonctionnement à l’extérieur du corps, ce rein porcin a montré qu’il assurait parfaitement son rôle de filtre. « Le taux de créatine de la patiente a retrouvé son niveau normal immédiatement après la greffe, ce qui montre que le rein assurait bien ses fonctions, explique le professeur Montgomery. Cela a donné des résultats encore meilleurs qu’avec certains reins humains de personnes décédées. » Une prouesse scientifique et, à terme, l’espoir de sauver des milliers de vies en attente d’un don d’organe : « Plus de la moitié des patients dialysés voient leur état se dégrader fortement ou meurent avant de pouvoir être greffés », poursuit le médecin.
L’expérience de l’équipe du Dr Montgomery pourrait mener à des greffes sur des patients vivants en stade avancé de déficience rénale d’ici à un deux ans.
Les xénogreffes posent des questions éthiques évidentes
Cependant, l’idée est loin de faire l’unanimité. Les animaux peuvent-ils être considérés comme des réservoirs de « pièces détachées » ? C’est inenvisageable pour les défenseurs des animaux, qui, à l’instar du porte-parole de la fondation Brigitte Bardot interrogé par Positivr, estiment que ce genre de recherche est tout simplement indigne.
La greffe d’organes d’un animal sur un autre animal (en l’occurrence ici, l’homme) est testée depuis des décennies. La première a eu lieu en 1984 : un bébé, surnommé « baby Fae », avait survécu 21 jours avec un cœur de babouin. Mais, c’est davantage vers les porcs que les recherches se sont depuis orientées : leurs organes sont de taille semblable à celles des humains.
D’ailleurs, nombre d'entre eux reçoivent déjà des valves cardiaques, de tendons, des morceaux de peau et même des rétines de porc en guise de greffons temporaires ou définitifs. En 2018, un babouin avait survécu six mois avec un cœur de cochon.
Au-delà de l’aspect éthique qui rebute certains, reste cependant aujourd’hui à répondre à d’importantes interrogations : une xénogreffe est-elle viable dans la durée ? Y a-t-il un risque pour qu’elle favorise le passage du virus du porc chez l’humain ? Pour le Dr Montgomery en tout cas, le risque reste moins important que celui de voir des patients en attente de greffe décéder faute de donneur…
Une catastrophe sanitaire est en cours à cause des vaccins et de l’obligation vaccinale d’après le Docteur Jean-Gabriel Balique
RépondreSupprimerPar Catherin Medioni
11 Oct 2021 19:40
Le Docteur Jean-Gabriel Balique affirme qu’une catastrophe sanitaire est en cours à cause des vaccins et de l’obligation vaccinale
Dans une lettre ouverte datée du 2 Octobre 2021 et adressée aux sénateurs et députés, le docteur Jean-Gabriel Balique, membre de l’académie de chirurgie, alerte sur les conséquences désastreuses du vaccin et invite à la remise en cause d’une obligation qui n’a aucun effet sur l’immunité collective escomptée et qui en plus semble exposer les vaccinés à des Covids plus virulents, voire mortels et à une contagiosité plus importante. Il est clair que le vaccin ne répond pas vraiment à son objectif de protection, d’autant plus qu’il faut multiplier les doses !
Le docteur Balique cite Israël en exemple pour démontrer que désormais ce sont les doublement, voire les triplement vaccinés qui occupent les lits d’hôpitaux, ce qui remet en cause la stratégie sanitaire reposant uniquement sur les vaccins, à l’exclusion de tout traitement curatif ! Le Portugal et l’Islande très vaccinés ont des résultats équivalents à Israël. Il ne comprend pas comment on peut encore continuer à imposer une vaccination qui ne fonctionne pas et qui a le terrible désavantage de provoquer de graves blessures, d’engendrer des maladies invalidantes et même des décès qui ne sont pas suffisamment remontés à la pharmacovigilance.
Il dénonce » les complications graves, mortelles, inadmissibles et éthiquement insupportables » et le rejet du serment d’Hippocrate dans toutes ses composantes : « primum non nocere » (avant tout ne pas nuire), le secret médical, le consentement libre et éclairé…dont le gouvernement se rend responsable et coupable. Le docteur Balique s’appuie sur l’agence européenne du médicament qui au 2 Octobre recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications, dont 1 million graves, et affirme que de nombreux cas ne sont pas du tout répertoriés.
Il souligne que parallèlement chez les non vaccinés sans co-morbidité, il n’y a aucun décès du Covid, alors pourquoi rendre encore obligatoire un « remède » plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques ?
L’ignorance du principe de précaution ne va-t-il pas conduire à un potentiel scandale à venir ? Comme de nombreux citoyens en France, le Docteur Balique a constaté la censure et le muselage des soignants auxquels on interdit de s’exprimer alors que nous sommes dans le pays des droits de l’homme ! Ces soignants qui redoutent à juste raison un vaccin dont ils observent dans leur pratique les effets néfastes sur les vaccinés accueillis à l’hôpital ou dans leur cabinet.
RépondreSupprimerPour toutes ces raisons, le docteur Balique demande la suppression du Pass sanitaire et l’arrêt de la propagande mensongère » tous vaccinés = tous protégés « . La pandémie ne s’accompagne que d’une mortalité de 0, 05 %, uniquement représentée par les personnes à risque et dont la moyenne d’âge des décès est de 83 ans.
Intervenant au nom des victimes du vaccin et des soignants qui le refusent, le docteur Balique insiste sur le fait que ceux qui auront pris la responsabilité de l’obligation vaccinale conduisant à de graves complications auront été prévenus, et sous entend que le jour où la vérité éclatera, car elle éclatera, ils ne pourront pas se défausser de leurs responsabilités ni des dommages qu’ils auront engendré par leurs décisions.
Je suis heureuse que ce médecin exprime exactement ce que j’ai pensé, analysé et expérimenté de la situation depuis la mise en place du scandaleux Pass sanitaire et des mesures incroyablement liberticides et attentatoires aux droits humains et citoyens accordés à tous sans aucune discrimination ni conditions. J’en ai porté témoignage et j’ai alerté à maintes reprises dans de nombreux articles dès le lendemain de l’allocution incendiaire du 12 juillet 2021 d’Emmanuel Macron, en m’exposant à des critiques très injustes, infondées et peu amènes alors que je ne gagne strictement rien à alerter mes concitoyens des risques graves encourus avec ces injections, qui rapportent beaucoup d’argent aux laboratoires et qui détruisent bien plus de santé et de vies que le virus lui-même !
Ci-dessous la lettre ouverte du docteur Jean-Gabriel Balique :
Professeur Jean Gabriel Balique
Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie
jgbalique@gmail.com
À propos du projet d’obligation vaccinale
RépondreSupprimerLettre ouverte Le 2 octobre 2021
Mesdames les Sénatrices, Messieurs les Sénateurs,
Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,
Au moment où vous allez discuter de l’obligation vaccinale, il est de mon devoir en tant que médecin, père et grand-père, de vous alerter sur la catastrophe sanitaire qui se déroule sous nos yeux, à l’ombre des autorités de tutelle. Je précise d’emblée que je ne suis ni complotiste ni anti-vaccins (je me fais régulièrement vacciner contre la grippe et je n’ai pas des a priori envers les vaccins «classiques » rendus obligatoires dans notre pays).
Le vaccin contre la Covid 19, en novembre 2020, devait nous sauver et nous ramener à une vie normale. Maintenant que nous avons du recul, il devient plus « facile » de faire le bilan du bénéfice-risque de la stratégie vaccinale. La première constatation qui s’impose est que le « vaccin » ne protège pas et n’empêche pas de contaminer (cf. déclaration du Ministre de la Santé Olivier Véran devant le Conseil d’État au mois d’avril 2021). L’exemple d’Israël que nos autorités ont pris comme modèle montre que les hospitalisations et les réanimations sont débordées de personnes vaccinées !
On ne cite plus Israël actuellement ! Une étude parue dans European Journal of Epidemiology le 30 septembre 2021 confirme que les pays où le pourcentage de population vaccinée est le plus élevé, ont un nombre de cas de Covid-19 pour 1 million d’habitants plus élevé (exemple Israël, Portugal, Islande…). Nous n’avons jamais vu en médecine imposer un traitement ou une vaccination qui ne marche pas (sauf pour les personnes à risque où la balance bénéfice/risque est différente).
Ceci ne serait pas dramatique si cette stratégie n’était pas à l’origine de complications graves, mortelles, inadmissibles et éthiquement insupportables pour tout médecin qui, tous les jours, se bat, pour soulager et soigner des patients. Les médecins « du terrain » croient encore au serment d’Hippocrate qui a été leur guide depuis des siècles et que les politiques les obligent à bafouer. Les principes fondamentaux du serment dont « primum non nocere » (avant tout ne pas nuire), le secret médical, le consentement libre et éclairé… ont été rejetés d’un revers de main.
Comme vous le savez, ce vaccin est en cours de phase d’expérimentation, phase 3 de mise au point d’un médicament. Maintenant que cette phase, déclenchée au niveau mondial, a du recul, les médecins du terrain voient apparaître de nombreuses complications. Au 2 octobre 2021, l’agence européenne du médicament, l’EMA, recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications dont 1 million graves. Ces chiffres ne représentent qu’une partie des cas observés. En France, l’Agence nationale du médicament (ANSM) dans son rapport du 16 septembre 2021 rapporte 22 559 cas graves parmi lesquels des décès. De nombreux cas ne sont pas rapportés pour différentes raisons.
RépondreSupprimerEn France, l’expérience du terrain rapportée par les médecins de ville et hospitaliers montre clairement l’accroissement des complications survenant dans les semaines suivant la vaccination : de nombreux cas de paralysie faciale, de myocardite et péricardite dans les suites précoces de la vaccination, des complications cardio-vasculaires (Infarctus, AVC) chez des sujets relativement jeunes et pas forcément à risque cardio-vasculaire, de nombreux cas de thrombose veineuse et d’embolie pulmonaire. Les médecins signalent une élévation fréquente des marqueurs de thrombose (D-Dimères) parfois à des taux anormalement élevés, une fatigue et altération de l’état général accélérée chez les patients âgées, des cancers jusque là contrôlés, explosent après vaccination, des maladies auto-immunes comme des polyarthrites, des thyroïdites se dérèglent dans les semaines qui suivent la vaccination. L’ANSM indique comme « signaux confirmés » la myocardite et la péricardite de survenue précoce après la vaccination avec les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech) et Moderna sans donner le nombre exacts de malades et en minimisant la pathologie alors que les complications et les séquelles à long terme peuvent être graves.
Depuis le début de la vaccination des 12-18 ans, 206 cas d’effets indésirables graves (dont des décès) ont été rapportés avec le vaccin Comirnaty et 18 cas graves avec Moderna alors que nous sommes à peine à 3 mois et demi de vaccination dans ce groupe d’âge. Il s’agit de jeunes qui n’étaient pas à risque de forme grave ni de décès du Covid mais qui vont garder probablement à vie des séquelles de la vaccination. Ces derniers jours, deux adolescentes sans facteurs de risques viennent de décéder et un jeune a été amputé d’une jambe, 15 jours après le vaccin. N’est-ce pas un sacrifice que la société fait et quel est le prix à payer ? À partir de combien de décès d’adolescents diriez-vous STOP à la vaccination des jeunes qui n’ont rien à gagner car ils sont à faible risque de forme grave et de décès du Covid ?
Chez les femmes, des troubles des règles, des fausses couches ou des morts du fœtus in utero au cours des grossesses sont observés. Comment se fait-il que la Direction Générale de la Santé autorise la vaccination dès le premier trimestre de la grossesse alors que les données sur la sécurité du vaccin chez les femmes enceintes sont limitées et incomplètes ? Où est le principe de précaution ?
Toutes ces complications surviennent précocement après la vaccination chez des personnes sans antécédent ayant une vie normale. Elles surviennent aussi chez des sportifs qui ont dû arrêter leur activité après avoir été vaccinés, hypothéquant leur carrière : Jérémy Chardy, Christophe Lemaitre en sont les exemples les plus célèbres… Parallèlement dans la même population de personnes sans co-morbidité, non vaccinées il n’y a aucun décès du Covid, seules sont exposées les personnes à risque, c’est pour cette population là que le « vaccin » peut avoir une certaine protection.
RépondreSupprimerMalheureusement ces complications sont passées sous silence, elles ne remontent pas aux tutelles ou celles-ci ne veulent pas les voir. Ce drame humain sanitaire ne va faire qu’empirer avec la persistance de cette vaccination et la multiplication probable des doses. La mise au point d’un essai de vaccin anti H1N1 a été arrêté pour beaucoup moins de complications. Aucun des vaccins obligatoires n’a entrainé de telles complications. Actuellement les médecins voient plus de patients en consultations pour des complications du vaccin que du COVID lui-même. La balance bénéfice/risque n’est pas en faveur du « vaccin » dans cette population. Pourquoi voulez-vous encore rendre obligatoire un « remède » plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques !
Il est urgent d’en tirer les conséquences, au moment où l’immunité naturelle se développe, où le variant Delta s’avère beaucoup moins agressif et que l’épidémie décroît. Ne recommencez pas le syndrome de Tchernobyl où l’on nous a affirmé que le nuage nucléaire radio-actif s’était arrêté à la frontière. N’oubliez pas le scandale du Sang contaminé. À ce sujet, savez-vous que l’Établissement français du sang exige un délai de 28 jours après vaccination avec vaccin atténué (Rougeole, Rubéole, Oreillons, Fièvre jaune…) mais ne prend aucune précaution quant aux donneurs de sang récemment vaccinés avec ces nouveaux vaccins dont on connaît incomplètement la biodistribution dans le corps. N’est-ce pas encore une fois une ignorance du principe de précaution et un potentiel scandale à venir ?
Même si vous n’êtes pas médecin, regardez autour de vous ce qui se passe, recherchez l’information. Vous avez le droit de vous informer car vous êtes nos représentants.
La vérité commence à éclater. Déjà le vaccin Astra Zeneca a été interdit chez les moins de 55 ans à la suite de thromboses (c’est dire l’innocuité de ces vaccins !) puis récemment le Janssen et progressivement on voit des États remettre en cause la vaccination généralisée :
• Au Royaume Uni, la vaccination est interdite aux moins de 15 ans et ils viennent de renoncer à la vaccination obligatoire. Au Texas la vaccination des jeunes est interdite.
• Au Danemark, seules sont vaccinées les personnes à risques et il y a une liberté totale retrouvée sans pass sanitaire.
• En Afrique, on observe une mortalité 10 fois inférieure à la nôtre alors qu’il n’y a que 2 % de vaccinés (on annonçait une catastrophe sanitaire !)
Tous ces soignants, médecins, infirmières, aides-soignants mais aussi pompiers qui sont montrés du doigt ne sont pas des antivaccins mais redoutent les effets d’un « vaccin » encore en expérimentation dont ils voient dans leur pratique directement les effets néfastes.
Ces soignants « du terrain » voient des vrais malades, les médecins des plateaux télé extrapolent à partir de chiffres des probabilités dont la grande majorité se sont avérées erronées.
RépondreSupprimerDans cette crise il ne doit pas y avoir de couleur politique mais un consensus pour défendre la santé des français qui vous ont élus.
Au nom de toutes les victimes, au nom de tous ces soignants muselés qui ne peuvent pas s’exprimer sous peine de sanctions, du jamais vu dans un pays soit disant de liberté, je vous demande de regarder au-delà des chiffres officiels totalement manipulés et de refuser la vaccination obligatoire, à plus forte raison pour les enfants dont on met en danger l’avenir.
• Faites au minimum un moratoire, au cours duquel vous pourrez entendre l’avis de nombreux médecins, scientifiques et autres qui essayent de se faire entendre mais qui sont systématiquement boycottés quand leur avis va à l’encontre de la politique sanitaire gouvernementale. Il faut aussi réévaluer la fiabilité des tests utilisés, discuter des traitements actuellement proposés.
• Supprimer le passe sanitaire et faite arrêter la propagande honteuse et mensongère sur la vaccination : « tous vaccinés = tous protégés » slogan complètement faux, on le sait maintenant !
• Lever les sanctions de tous les soignants non vaccinés interdits d’exercer alors qu’ils sont passionnés par leur vocation et qui ne sont pas devenus plus dangereux le 15 septembre que le 15 juin. Certains hôpitaux malgré l’interdit continuent à juste titre d’employer des personnels non vaccinés pour pouvoir maintenir leur activité sans aucune conséquence sanitaire mais en créant une inégalité criante par rapport à ceux qui ne peuvent pas travailler. Rappelez-vous que vous les avez encensés lors de la première vague et qu’un certain nombre d’entre eux sont morts pendant cette vague faute de masques et de moyens de protection.
La stratégie imposée est déconnectée de la réalité : c’est une pandémie qui s’accompagne d’une mortalité de 0.05 %, représentée par les personnes à risque, la moyenne d’âge des décès est de 83 ans, un peu moins actuellement car les personnes les plus fragiles sont décédées lors de la première vague. Que l’on propose une vaccination est logique à condition d’avoir un vrai vaccin ce qui n’est pas encore le cas et en respectant la volonté de chacun (il ne s’agit pas d’ Ebola, d’une méningite ou de la variole…). En attendant, en cas de maladie, il est possible de proposer, à un stade précoce, des traitements. De nombreux médecins les ont prescrits avec succès. Ils peuvent même être proposés à titre préventif chez les personnes à risque. Ces personnes sont connues et peuvent donc être protégées isolément (notamment par ce « vaccin » dont c’est la seule indication) sans pénaliser le reste de la population.
Sachez que vous aurez été informé et que le moment venu, lorsque la vérité éclatera, car elle éclatera tôt ou tard compte tenu de l’accumulation des données scientifiques et des données du terrain sur les complications, votre responsabilité risque d’être engagée.
En espérant être entendu au nom des victimes du vaccin et des soignants qui refusent cette expérimentation et en restant à votre disposition, je vous prie de croire, Messieurs et Mesdames les élus (es), en mes respectueuses salutations.
Professeur Jean Gabriel BALIQUE
Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie
Article rédigé les 10 et 11 Octobre 2021 par Catherine Medioni
https://www.sxminfo.fr/128255/11/10/2021/une-catastrophe-sanitaire-est-en-cours-a-cause-des-vaccins-et-de-lobligation-vaccinale/
Pourquoi il y a des personnes qui ont été injectées avec l'expérimentation génique d'essais et n'ont pas eu d''effets secondaires' ? Parce que sur le nombre de flacon, un certain pourcentage ne contient (placebo) que du sérum physiologique (eau saline).
SupprimerPourquoi sont-ils obligés de demander aux victimes de se faire ou refaire piquer ? Contrairement à l'aluminium contenu dans tous les vaccins (depuis 1927 !) et qui donne un très grand nombre de morts d’Alzheimer ou Parkinson et qui demeure donc dans l'organisme toute la vie, les nano-particules d'oxyde de graphène s'évacueraient. Parce que dans les expérimentations géniques d'essais malgré qu'il y ait de 95 à 99 % du contenu de la seringue qui se compose de 40 000 milliards de nano-particules d'oxyde de graphène, ces nano-particules s'éliminent. (S'éliminent en combien de mois ? Je ne sais pas).
Rappel:
SupprimerINTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU UNE PANDÉMIE
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT SANS FAIRE UNE SÉROLOGIE PRÉCÉDEMMENT
Des milliers de créatures marines mortes échouées sur les plages britanniques en piles «jusqu'à la taille»
RépondreSupprimerJeudi 28 octobre 2021
par : Cassie B.
(Natural News) Des milliers de créatures marines mortes se sont échouées sur les plages britanniques et se sont rassemblées en tas jusqu'à la taille dans un phénomène qui oblige les scientifiques à se démener pour trouver des réponses.
Sur plusieurs plages de Teesside, des tas de crustacés morts tels que des crabes et des homards peuvent être trouvés sur le rivage. D'autres créatures marines, comme des poissons et des marsouins, ont également été retrouvées parmi les morts.
Les pêcheurs de la zone ont signalé à la North Eastern Inshore Fisheries Conservation Authority (NEIFCA) qu'ils n'avaient pas pêché près du rivage parce qu'il n'y avait rien à attraper. Le responsable environnemental et scientifique principal de la NEIFCA, Tim Smith, a déclaré que les plongeurs avaient vu des crabes morts sur le fond marin, tandis que les pêcheurs signalaient que leurs casiers à homard étaient presque vides.
Certaines des plages touchées comprennent Redcar, Seaton Carew et Seaham.
Une femme qui marche sur l'une de ces plages tous les jours a décrit son choc de trouver d'énormes tas de crabes et de homards, morts et vivants, jonchés sur la plage alors qu'elle photographiait le lever du soleil.
Elle a déclaré aux médias: «J'ai suivi ma marche habituelle de Marske à Saltburn et j'ai été totalement choquée et attristée de voir, dans certaines régions, des algues jusqu'à la taille pleines de milliers de crabes et de homards morts et vivants, de toutes sortes et espèces. "
Elle a ajouté qu'elle et son mari avaient essayé de ramener ceux qui vivaient encore à la mer. Elle a déclaré que le problème s'était accumulé depuis plusieurs semaines le long de la côte et que personne ne semblait faire quoi que ce soit à ce sujet.
Sur les réseaux sociaux, les habitants ont exprimé leur inquiétude quant au fait que tout ce qui tue la faune pourrait également tuer des humains, et de nombreux résidents ont déclaré qu'ils ne laisseraient plus leurs chiens marcher le long des rives.
Qu'est-ce qui cause ces morts massives de créatures marines ?
Plusieurs théories circulent sur ce qui pourrait être à l'origine du problème. Un pathologiste de la vie marine de l'Université de Teesside, le Dr Jamie Bojko, a déclaré qu'il pensait qu'un "événement singulier" était à l'origine de la mort, en particulier à la lumière du fait que tant d'espèces différentes sont touchées.
Il a déclaré: "Il y a une série de choses qui pourraient l'expliquer, l'un pourrait être un événement météorologique extrême ou une autre possibilité est une maladie, mais il serait étrange que cela ait un effet sur une telle gamme d'espèces, avec tout, des crabes et les homards aux espèces de poissons comme l'aiguillat commun, les requins et la sole », a-t-il déclaré.
Le mois dernier, des centaines d'oiseaux de mer ont été retrouvés morts à proximité sur les rives du Northumberland, bien qu'il ne soit pas clair s'il y a un lien.
L'Agence pour l'environnement enquête, avec un porte-parole disant à TeessideLive que le bras du gouvernement pour les sciences de la mer et des eaux douces, le CEFAS, effectuait des tests : "Des échantillons d'eau, de sédiments, de moules et de crabe ont été collectés et sont envoyés à notre laboratoire pour analyse, examiner si un incident de pollution aurait pu contribuer à la mort des animaux. Nous avons également partagé des échantillons avec les laboratoires du CEFAS pour l'analyse des maladies. »
Ils ont également publié un numéro de téléphone que les gens peuvent appeler pour signaler les incidents de pollution dont ils sont témoins.
RépondreSupprimerEn plus des maladies et de la pollution, ils analysent également des échantillons pour la présence de certains métaux. Il est possible qu'un événement catastrophique ait eu lieu il y a jusqu'à un mois et que les effets commencent à peine à se manifester.
La mort des créatures marines devrait avoir un effet d'entraînement sur l'écosystème dans son ensemble étant donné que de nombreuses autres espèces dépendent des crustacés pour se nourrir.
Les sources de cet article incluent :
DailyStar.fr
ITV.com
BBC.com
https://www.naturalnews.com/2021-10-28-dead-sea-creatures-wash-up-uk-beaches.html
Ce phénomène a été observé depuis des décennies dans le monde entier. Des centaines d'oiseaux (de la MÊME ESPÈCE) morts au sol, des centaines de poissons (de la MÊME ESPÈCE). Les animaux morts ont été analysés et il n'y a aucune blessure (ext. int.), aucun empoisonnement.
SupprimerCe qui choque est que ce sont des morts de MÊME ESPÈCE ! Des centaines de grives OU de geais OU de rossignols, etc ! Des centaines de maquereaux OU des anchois OU des sardines, etc !
TOUT porte à croire qu'il s'agit d'ondes (d'une longueur adéquate aux fréquences cardiaques) qui leur a été portée !
C'est un essais ?
Demain les humains ? (ou 'certains' humains ?).
Derrière des portes closes : les laboratoires de recherche médicale
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
29 octobre 2021
Au cours des deux dernières années, j'ai fait des commentaires sur ce qui se passe dans les laboratoires de recherche. La « science » folle, la cruauté infligée aux humains et aux animaux, qui sont les sujets de test.
Mon travail sur ce sujet remonte aux années 1980, lorsque j'écrivais mon premier livre, AIDS INC. Après avoir lu de la littérature renégat et divulgué à l'époque, j'ai fait l'évaluation suivante :
Pour prouver leurs hypothèses sur les germes causant des maladies, les chercheurs feront d'abord n'importe quoi pour affaiblir les animaux, il semble donc que leur injecter des germes (présumés) les infecte et les rend malades.
Ce « travail de préparation » pour affaiblir les animaux comprend :
Modification génétique destructrice ;
L'injection de produits chimiques et de médicaments toxiques ;
La suppression du système immunitaire des animaux ;
L'injection de sérums toxiques composés de matériel prélevé sur d'autres espèces animales ;
exposer les animaux à de fortes doses de rayonnement ;
Le greffage de matériel sur les animaux d'autres espèces ;
La mise en cage et l'isolement des animaux pendant de longues périodes, ce qui produit un stress important et une suppression du système immunitaire ;
Percer des trous chez les animaux et y attacher des dispositifs de retenue et des capteurs et à l'intérieur d'eux ;
Réprimander les animaux, les traiter comme des objets ;
Mener des recherches dans des installations insalubres et impures.
Et puis, enfin, publier des enregistrements falsifiés pour étayer les mensonges sur les résultats, afin de prouver des conclusions prédestinées.
Le catalogue entier de la torture est formulé et dissimulé dans un langage technique sec et un euphémisme. Les revues médicales ne décrivent RIEN sur les réactions des animaux à cette sauvagerie brutale. S'ils le faisaient, les chercheurs seraient exposés comme de purs sadiques, leur travail serait discrédité et, éventuellement, il y aurait un tollé public.
En ce qui concerne les sujets de test humains, vous avez peut-être entendu parler des expériences de rayonnement effectuées sur des patients dans des hôpitaux américains pendant la Seconde Guerre mondiale.
Bottom line: Les scientifiques et les responsables gouvernementaux ont décidé qu'ils avaient besoin de savoir quelle quantité de rayonnement tuerait un humain. Après tout, les ouvriers du projet Manhattan essayaient de construire une bombe atomique. Ils étaient exposés à des radiations.
Des patients « en phase terminale » ont donc été sélectionnés. Le consentement éclairé était hors de question. Les patients inconscients ont été secrètement injectés avec de fortes doses d'éléments radioactifs. Des échantillons de tissus ont été prélevés et analysés. Il s'est avéré que certains des patients n'étaient pas en phase terminale. Ils avaient été mal diagnostiqués, ou les médecins savaient d'emblée qu'ils étaient en relativement bonne santé. L'ensemble de l'étude était hautement classifié et peu de personnes connaissaient son existence.
Extrait du rapport 2017 de l'Atomic Heritage Foundation, Human Radiation Experiments, voici les descriptions de deux des patients :
« Ebb Cade a été le premier sujet de test. Cade était un homme afro-américain de 53 ans qui travaillait pour une entreprise de construction d'Oak Ridge en tant que bétonnière. Le 24 mars 1945, il a été impliqué dans un accident de voiture, qui lui a causé des fractures au bras et à la jambe. Les documents de l'époque montrent qu'il était par ailleurs en bonne santé. Au cours des deux semaines suivantes, il reçut le nom de code HP-12, HP signifiant Human Product [!]. Le Dr Friedell a écrit au Dr Hempelmann à Los Alamos qu'il avait trouvé un sujet principal pour l'expérience sur le plutonium.
RépondreSupprimer« Le 10 avril 1945, le Dr Joseph Howland a administré une dose de plutonium de 4,7 microgrammes à Cade, qui attendait une intervention pour réparer ses os. De 1943 à 1945, la charge corporelle maximale possible (MPBB) pour le plutonium avait été de 5 microgrammes, sur la base des limites adoptées pour le radium. Sur la base d'expérimentations animales, Langham et Friedell avaient récemment conclu que, comme le plutonium restait dans l'os plus longtemps que le radium, le MPBB devrait en fait être fixé à 1 microgramme. La dose de Cade était près de cinq fois cette limite.
"Cade n'a été soigné pour ses blessures au bras et à la jambe que le 15 avril, cinq jours après l'injection, afin que les médecins puissent biopsier ses échantillons d'os. Cela comprenait l'extraction de 15 de ses dents, qui ont ensuite été expédiées à Wright Langham à Los Alamos. On ne sait pas si Cade souffrait d'une carie dentaire légitime. Peu de temps après que ses os aient été réparés, Cade est soudainement sorti de l'hôpital. Il a quitté le Tennessee et est décédé d'une insuffisance cardiaque le 13 avril 1953, 8 ans après l'injection d'Oak Ridge.
"Un autre cas discutable était CAL-2, un garçon de quatre ans nommé Simeon Shaw souffrant d'un cancer des os en phase terminale. Il a été transporté avec sa mère à l'hôpital de l'UCSF dans un avion militaire américain en provenance d'Australie, apparemment sous les conseils d'un médecin australien. Il arriva en Californie en avril 1946 et fut admis à l'hôpital. Pendant un certain temps, il a été séparé [de] sa mère, qui n'était autorisée que des visites périodiques. Simeon a reçu une injection de plutonium à l'UCSF sous la supervision de Joseph Hamilton et est sorti de l'hôpital en un mois. Les Shaw sont retournés en Australie et aucun suivi n'a été effectué. Siméon est mort huit mois plus tard.
« Les médecins impliqués [dans l'ensemble du projet] savaient que les procédures n'avaient aucun avantage thérapeutique et seraient préjudiciables à long terme si les patients vivaient. L'expérimentation humaine était justifiée par l'affirmation que les patients étaient en phase terminale ; cependant, cela n'était pas vrai dans tous les cas. Des erreurs répétées de diagnostic, de procédure, de documentation et de recherche ont été commises, remettant finalement en question l'efficacité des expériences elles-mêmes.
Les médecins et les bureaucrates n'avaient même pas l'éthique ou le bon sens pour rendre leurs rapports utilisables.
RépondreSupprimerRien n'a changé. Les vaccins COVID blessent et tuent un grand nombre de personnes dans le monde entier – et les gouvernements et les médias insistent pour dissimuler et déformer les faits sur la plus grande grande expérience de l'histoire de l'humanité.
Des chefs de gouvernement dans des dizaines de pays aux experts décrépits comme Noam Chomsky, le mot est passé : les non vaccinés sont des lépreux et doivent être isolés du reste de la société.
Mais parfois, les sujets de test se rebellent et sortent de leurs cages. Quand ils le font, ce ne sont pas de bons petits garçons et filles.
On les appelle alors insurgés et terroristes. Mais la vérité est beaucoup plus simple.
Les êtres vivants n'aiment pas être torturés.
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2021/10/jon-rappoport/behind-closed-doors-medical-research-labs/
Sujet non-abordé en films où une personne prisonnière est sommé de parler. Là, toutes personnes intelligentes peuvent se dire "Ils m'ont torturé, et, si je sortais ils seraient dénoncés. Donc, que je parle ou pas ils me tueront. Donc: si je dis la vérité ils me tueront, si je dis un mensonge ils me tueront."
SupprimerQue faire ?
Comme la victime a à faire à des psychopathes, ils se régalent de torturer. Pour le plaisir. Des informations ils s'en foutent.
Pourquoi l'hystérie du carbone est une menace énorme pour votre liberté personnelle et votre bien-être financier
RépondreSupprimerPar Doug Casey
Homme international
29 octobre 2021
International Man : Les pays occidentaux mènent la charge dans la restructuration de leurs économies autour de la question du changement climatique. Ils se sont engagés dans un programme global de « décarbonisation » de leurs économies d'ici 2050.
Quel est votre avis là-dessus ?
Doug Casey : Pour résumer en un mot, c'est dingue. En deux mots, c'est criminellement insensé.
Avant la révolution industrielle, la principale source de combustible était le bois. Après cela, nous sommes passés au charbon, ce qui a grandement amélioré la densité énergétique et économique. Ensuite, nous sommes passés au pétrole, une autre amélioration considérable de la densité énergétique et de l'économie.
Ces choses se sont produites non pas à cause de mandats gouvernementaux, mais simplement parce qu'elles avaient un sens à la fois économique et technologique. Si le marché avait été laissé seul, le monde fonctionnerait sans aucun doute au nucléaire. Le nucléaire est incontestablement le type de production d'électricité de masse le plus sûr, le moins cher et le plus propre. Ce n'est pas le moment d'entrer dans les nombreuses raisons qui sont vraies. Mais si le nucléaire n'avait pas été réglementé, nous aurions déjà utilisé de petits réacteurs autonomes au thorium de cinquième génération, générant une puissance presque trop bon marché pour être mesurée. Le monde fonctionnerait déjà avec de l'électricité verte vraiment propre.
Au lieu de cela, le temps, le capital et la matière grise ont été massivement détournés vers des sources d'énergie dites « écologiques » – principalement éolienne et solaire – strictement pour des raisons idéologiques. Les pouvoirs en place veulent faire passer le monde entier à une fausse énergie verte, qu'on le veuille ou non.
Je suis tout à fait pour l'énergie verte en principe. Il ne fait aucun doute que l'énergie solaire et éolienne valent la peine et sont efficaces pour certaines applications, généralement des emplacements spéciaux petits, isolés et où le carburant conventionnel est peu pratique ou trop coûteux. L'efficacité de l'énergie solaire a été considérablement améliorée au cours des dernières décennies, tout comme l'efficacité de l'éolien. Mais ni l'un ni l'autre n'a de sens pour une puissance de base de masse dans les économies industrielles.
Avec de nouvelles avancées technologiques, ils pourraient devenir un jour plus économiques. Peut-être que les gens finiront par mettre de grands collecteurs en orbite terrestre haute et micro-ondes la puissance jusqu'à la surface. Il existe toutes sortes de possibilités de science-fiction. Mais pour le moment, « vert » n'est qu'un joli mot pour « stupide », « idéologique » ou « parrainé par le gouvernement ».
Faire les choses de manière verte enlève le pouvoir aux marchés, où les gens votent avec leur argent. Il place plutôt le pouvoir entre les mains des idéologues et des bureaucrates.
RépondreSupprimerBref, on fait la promotion de l'éolien et du solaire au moment même où l'on damne le nucléaire et les combustibles fossiles. C'est le contraire de ce qui devrait se passer et une très mauvaise tendance à tous points de vue.
Dites-moi que j'aime les oiseaux et les lapins autant que n'importe qui d'autre, mais je suis anti-vert. Quoi qu'il en soit, les écofreaks ne se soucient pas vraiment des oiseaux et des lapins. C'est juste un placage. En fait, ils détestent les gens et veulent vraiment qu'ils disparaissent. Au minimum, ils veulent les contrôler. Et la grande hystérie du réchauffement climatique/anti-combustibles fossiles est un excellent moyen de le faire.
International Man : Dans le cadre de ce programme, les États-Unis, l'UE et les pays de l'OCDE prévoient d'éliminer progressivement le pétrole, le gaz et d'autres carburants, en les remplaçant par des sources d'énergie à zéro ou à faible émission de carbone.
Quels types de perturbations pourrions-nous voir alors que la transition se fait vers des sources d'énergie qui ne sont peut-être pas aussi fiables ?
Doug Casey : Beaucoup de perturbations, dont beaucoup sont à la fois énormes et actuellement imprévues. Les États-Unis comptent 330 millions d'habitants. Pourquoi les décisions pour des centaines de millions de personnes devraient-elles être prises par des bureaucrates et des hackers politiques à Washington, DC ?
Pourquoi devraient-ils être ceux qui décident quel type de pouvoir devrait ou ne devrait pas être utilisé ? C'est une question que personne ne pose. Les gens supposent simplement que c'est ainsi que cela devrait être et font en grande partie ce qu'on leur dit. Ils ne s'arrêtent jamais et considèrent que les gouvernements ont fait reculer infiniment les progrès au cours de l'histoire. Les principaux produits du gouvernement sont les guerres, les pogroms, les confiscations, les taxes, les règlements, etc.
Des compagnies pétrolières comme Shell et BP envisagent de se retirer du secteur pétrolier. Les compagnies pétrolières, leurs employés et leurs investisseurs sont considérés comme les destructeurs du monde. Personne dans la société polie ne veut admettre qu'il est dans le secteur pétrolier.
Avant de forer un puits de pétrole n'importe où dans le monde, il est nécessaire de demander la permission à une ou plusieurs entités gouvernementales. Dans le monde occidental, où le public a été capturé par les notions de PC et d'ESG, les gouvernements répugnent à délivrer des permis de forage. Les foreurs ne veulent pas forer car les coûts sont artificiellement élevés et tout profit sera soumis à des taxes décourageantes.
Attendez-vous à une baisse de la production de pétrole dans l'Ouest. Au cours des années 50, 60, 70 et 80, plus de pétrole a été découvert qu'il n'en était utilisé. Les réserves ont augmenté. Mais ce n'est plus le cas. Ce n'est pas parce que l'huile n'est pas là ; c'est parce qu'il est trop politiquement incorrect de le chercher et de l'exploiter.
RépondreSupprimerDe plus, les scientifiques, les ingénieurs et les investisseurs restent à l'écart de tout ce qui a trait aux combustibles fossiles. Vous pouvez prévoir à la fois des pénuries de carburant et des coûts beaucoup plus élevés. Les marchés sont subvertis et deviennent de plus en plus politisés.
De plus, les technologies dites « vertes » ne sont pas vraiment vertes. Ils semblent juste verts à la surface. Les éoliennes géantes et les parcs solaires dépendent de quantités massives de combustibles fossiles et de métaux à fabriquer et à installer. Ils ont une durée de vie limitée et doivent être éliminés. Non seulement ils ne peuvent pas fournir des quantités massives d'électricité de manière cohérente, mais ils affichent tous des pertes, même les avantages après impôt les masquent. Cela détruit le capital. Ce ne sont pas des signes de progrès mais des monuments au gaspillage et à la destruction. Nous allons avoir d'énormes perturbations sur les marchés de l'énergie dans les années à venir, et comme le monde entier fonctionne à l'énergie, c'est vraiment grave.
International Man : De manière générale, la nouvelle « crise » du changement climatique est-elle une invitation à plus d'intervention gouvernementale dans le monde ?
Doug Casey : Oui. C'est comme inviter un vampire dans votre maison.
Pendant de nombreuses décennies, les enfants ont été endoctrinés avec des idées sur la conservation contre-productive et le verdisme. Les bandes dessinées, les manuels scolaires, les conférences des enseignants, la télévision, etc. présentent la terre comme étant attaquée par les forces des ténèbres. L'humanité, en particulier les scientifiques, les ingénieurs et les entrepreneurs, est représentée en train d'exploiter et de violer Mère Nature et ses ressources naturelles. Ils sont présentés comme mauvais.
L'ascension de l'homme de Bronowski a été subvertie en une bataille du bien contre le mal, où toutes les valeurs ont été bouleversées. Le problème a imprégné la société, et c'est encore pire dans le système éducatif.
Saint Ignace de Loyola, qui a fondé les Jésuites, et Vladimir Lénine, qui a fondé l'URSS, ont tous deux dit : « Si vous pouvez endoctriner un enfant pendant ses premières années, vous avez fondamentalement défini sa direction de pensée pour la vie. " Ils avaient raison.
Le gouvernement est toujours présenté comme noble, sage et avant-gardiste. Il est présenté comme le sauveur intervenant pour arrêter les mauvais producteurs.
C'est l'un des nombreux mèmes faux et horriblement destructeurs qui traquent la terre aujourd'hui comme des spectres. La croyance croissante dans le gouvernement comme solution magique aux problèmes diminue considérablement le niveau de vie de la personne moyenne et crée toutes sortes de distorsions dans la société. Il a transformé l'étude de l'économie en une pseudoscience, et ses incursions dans la science discréditent l'idée de science elle-même.
RépondreSupprimerEn fait, les deux grandes hystéries qui sévit actuellement dans le monde sont toutes deux centrées sur l'État qui s'implique dans la science – ou du moins le scientisme. L'un est COVID, une grippe relativement banale soufflée hors de toute proportion. L'autre est AGW, le réchauffement climatique anthropique, qui a été relativement récemment rebaptisé changement climatique.
À mon avis, les deux finiront par être complètement démystifiés et discrédités. Mais si vous allez à l'encontre du récit sur l'un d'eux en ce moment, vous serez annulé, licencié et/ou ostracisé.
Cela ressemble beaucoup à ce qui est arrivé à Galilée lorsqu'il s'est opposé à la sagesse dominante du Moyen Âge. En fait, ils ne brûlent plus de livres, mais seulement parce que les livres d'aujourd'hui sont principalement électroniques. Mais ils font l'équivalent de cela sur des sites comme Google et Twitter.
Il y a de fortes chances que ces gens discréditent l'idée même de science parce qu'ils se sont enveloppés dans le voile de la science. Ou, plus précisément, ce qui est devenu connu sous le nom de « La science ». Ils créent quelque chose de bien plus grave qu'une simple catastrophe économique.
International Man : Cette tendance semble prendre de l'ampleur.
Par exemple, Google Flights affiche désormais en évidence les émissions de carbone de chaque vol qu'il répertorie.
Est-ce un petit premier pas vers la facturation des individus pour le carbone qu'ils émettent ?
Doug Casey : Je peux vous assurer que je ne prête aucune attention à la quantité de carbone que je peux brûler dans un avion ou ailleurs. Cela fait partie d'une guerre psychologique que la gauche mène, utilisant la culpabilité et la honte comme armes. C'est une autre indication du lockstep, de la pensée de groupe, auquel les gens sont soumis aujourd'hui.
La vie sur cette planète est basée sur le carbone. L'élément lui-même est indestructible et essentiel, mais il s'est transformé en un ennemi mortel dans l'esprit du public. Mais si vous niez que cela détruit la terre, alors vous commettez une hérésie. C'est comme nier l'existence de Dieu au Moyen Âge. Détester le carbone et adorer « l'écologie » sont devenus les principes d'une religion laïque.
Une nouvelle taxe carbone sera mise en place. C'est définitivement dans les cartons. La plupart des gens se retourneront stupidement et diront : « Oui, c'est pour le bien de la planète. C'est un impôt que nous devrions tous payer.
Bien sûr, les gouvernements et les pouvoirs en place veulent toujours plus de ressources dirigées vers eux-mêmes. À une époque où les gouvernements sont en faillite et ne peuvent générer plus d'argent pour eux-mêmes qu'en l'imprimant, c'est une certitude absolue que la prochaine taxe aura une patine de droiture. Une taxe carbone sur les particuliers, comme sur les entreprises, coche toutes les cases.
RépondreSupprimerInternational Man : Les crédits de carbone deviendront-ils une nouvelle « marchandise » créée par le gouvernement que les entreprises et les particuliers seront obligés d'acheter ?
Doug Casey : Sans aucun doute, c'est une façon astucieuse de transformer une taxe en quelque chose qui ressemble à un actif, un investissement.
Écoutez, il s'agit de politique et d'argent, mais déguisé en mouvement religieux, ce qui est assez intelligent. Il ne fait aucun doute que le vertisme est promu comme une nouvelle religion.
Le christianisme est un canard mort en Europe, et il se meurt en Amérique du Nord. Mais les gens ont besoin d'un certain type de religion, un remplacement du christianisme, auquel s'accrocher.
Les gens seront encouragés à traiter leurs impôts comme des dîmes pour laver leurs péchés contre Mère Nature, un peu comme ils donnaient la dîme à l'église pour effacer leurs péchés au Moyen Âge. C'est une analogie exacte. Ils achèteront des « crédits carbone » comme un analogue pour la construction de cathédrales et de monastères.
En tant qu'économiste, ainsi que quelqu'un qui lit beaucoup de science, je pense que c'est ridicule et destructeur. Toute l'histoire de l'anti-carbone, de la séquestration du carbone et du vertisme est une hystérie politique promue par des gens qui aiment contrôler les autres. Je suis totalement opposé aux crédits carbone ou aux taxes carbone de ce point de vue.
Mais quand je mets mon chapeau de spéculateur, je suis tout à fait d'accord. Il y a des entreprises qui se forment pour capitaliser intelligemment sur toutes ces absurdités destructrices. Il est encore très tôt et le public va s'entasser dans l'espace avec une combinaison de ferveur religieuse et de cupidité fin de siècle. Je m'attends à une énorme bulle dans l'espace. Je suis tout pour les bulles, si je peux acheter tôt.
Un spéculateur est un cynique, pas un philanthrope, même si je m'empresse d'ajouter que la plupart des philanthropes sont des hypocrites. C'est dommage que la grande majorité des gens aient subi un lavage de cerveau total par le vertisme, et les stocks de carbone sont un excellent moyen de transformer le citron en limonade.
Reprinted with permission from International Man.
https://www.lewrockwell.com/2021/10/doug-casey/why-the-carbon-hysteria-is-a-huge-threat-to-your-personal-freedom-and-financial-wellbeing/
Aussi con que de dire "Nous allons déoxygéner le monde ou il y a trop d'eau dans les océans faut les vider" ! est apparu l'obligation d'aller à contre-courant de la nature de ce que fait continuellement le magma. Donc, même si les scientifiques disent et prouvent que c'est la masse ferrique incandescente sous nos pieds qui gère le monde comme elle veut, et que c'est encore elle qui produit TOUS les gaz de l'atmosphère qui se recyclent immédiatement (sans quoi il n'y aurait jamais eu de vie sur terre, et que c'est encore le magma qui oxygène les mers & océans sans quoi il n'y aurait pas de vie sous-marine), l'obligation tenue par les criminels au pouvoir prime.
SupprimerToute notre enfance nous avons toutes & tous été abreuvés, inondés et au devoir de l'apprendre que tous les mensonges dits par le maître d'école doit être retenu comme étant LA vérité !
Depuis les 'Premiers hommes préhistoriques' (avant l'histoire !! HAHAHA !) qui aurait dû s'appeler les hommes préalables (et aussi les femmes oubliées dans l'histoire avant l'histoire !), qui étaient censés faire du feu avec deux silex !! (sans bidon d'essence ou bouteille de gaz à côté !!), nous sommes passés aux feuilles mortes qui tombent à l'automne sans explication.
Or, il eut fallu savoir qu'à la baisse des températures estivales les arbres stoppent l'arrivée de la sève aux branches afin qu'elle ne se gèle bientôt. Par contre, en contrées froides et très froides, il existe en plein hiver des sapins et des pins qui y vivent toute l'année ! Çà alors ! Oui mais eux ont un antigel ! Antigel qui s'appelle la résine. Et, comme l'alimentation avance au très grand ralenti, les arbres ne poussent que de quelques centimètres par an.
Pourquoi malgré que des milliards de tonnes d'eaux (venues des pluies, des fleuves & des rivières) les mers et océans ne débordent-ils pas ? Parce que l'eau s'infiltre continuellement aux bassins maritimes & océaniques vers le magma où l'eau est chauffée/brûlée et ressort en vapeur vers des galeries qui alimentent toutes les sources de montagnes et nappes phréatiques en eau pure (sans odeur, sans couleur ni bactérie).
Oui mais çà faut pas le dire !! Çà alors !!
Faut dire quoi alors ?
Faut dire que... l'eau va manquer ! HAHAHAHA ! L'air va manquer ! HAHAHA ! Le pétrole abiotique va manquer ! HAHAHA ! et que des nano-poussières inoffensives (appelées 'virus') vont nous attaquer !! Nous manger tout crû !
À quoi s'attendre du sommet sur le climat de la COP26
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 28 OCT 2021 - 15:40
Rédigé par Irina Slav via OilPrice.com,
Le sommet sur le climat COP26 a été présenté comme l'un des événements internationaux les plus importants de ces dernières années.
Le sommet tentera de créer un plan d'action pour lutter contre le changement climatique (les saisons !) et réduire les émissions mondiales.
Cet écart entre ce que l'ONU estime qu'il faut faire pour freiner les saisons et ce que les pays sont prêts à faire est le plus grand défi que les participants à la COP26 devraient relever.
Le sommet sur le climat COP26 doit débuter dimanche prochain à Glasgow. Le sommet a été présenté comme l'un des événements internationaux les plus importants de ces dernières années, un événement où les dirigeants mondiaux tenteront de mettre en place un effort concerté pour réduire les émissions. Mais il y a plusieurs facteurs qui s'opposent au succès du sommet.
Jusqu'à 25 000 délégués devraient assister au sommet qui durera deux semaines alors que les dirigeants mondiaux tentent de s'entendre sur une série de questions couvrant ce qui doit être fait pour maîtriser les émissions et comment nous allons payer pour cela. L'objectif principal de la réunion est d'élaborer un mécanisme de mise en œuvre des objectifs de l'Accord de Paris en vue de contenir la hausse des températures mondiales à une moyenne de 1,5 degré Celsius par rapport à l'époque préindustrielle.
Les saisons ont été identifié par un certain nombre d'agences internationales, d'entreprises multinationales et d'organisations environnementales comme la plus grande menace pour l'humanité à l'heure actuelle, une action urgente est donc nécessaire. L'enjeu de la COP26 est de définir les étapes de cette action et comment elle sera menée. Cependant, il pourrait bien être en deçà des attentes.
Quelques jours seulement avant le début du sommet, la BBC a découvert des documents montrant que certains pays ont fait pression pour des changements dans le dernier rapport de l'IPCC qui a tiré des conclusions alarmantes sur l'état du climat de la planète à la suite de l'activité humaine et a appelé pour des changements urgents à notre mode de vie pour contenir les changements négatifs.
Selon le rapport, qui citait des communications divulguées sur le rapport de divers pays, certains d'entre eux ont insisté pour que le GIEC minimise l'urgence de l'action climatique. Parmi les pays qui ont fait de telles remarques figurent l'Arabie saoudite, le Japon et l'Australie, a déclaré la BBC.
Un responsable australien, par exemple, a rejeté l'appel de l'IPCC pour la fermeture de toutes les capacités de production d'électricité au charbon dans le monde. En tant que premier exportateur mondial de charbon, la position de l'Australie est tout à fait compréhensible. L'Inde, l'un des plus gros consommateurs mondiaux de combustibles fossiles, est également opposée à l'élimination de la capacité de production de charbon, d'ailleurs. La Chine aussi, bien qu'elle ne l'ait pas dit explicitement mais plutôt par l'action : l'année dernière seulement, la Chine a commencé la construction de plus de centrales électriques au charbon que le reste du monde n'en a retiré.
La Chine est un bon exemple de la raison pour laquelle, malgré toutes les bonnes intentions et la forte ambition, la COP26 peut échouer. Le gouvernement du pays a déclaré à plusieurs reprises qu'il s'engageait pour un avenir à faibles émissions, annonçant même une échéance de 2060 pour devenir une économie nette zéro. Pourtant, récemment, Pékin a changé de ton au milieu de la crise énergétique qui l'a obligé à ordonner aux services publics de faire tout ce qu'il faut pour obtenir de l'énergie pour l'hiver.
RépondreSupprimerPlus tôt cette semaine, le cabinet chinois a annoncé des mesures visant à réduire les émissions et à atteindre le statut net zéro d'ici 2060, mais a ajouté une stipulation importante : que le gouvernement « gère la relation entre la réduction de la pollution et la réduction du carbone et la sécurité énergétique, la sécurité de la chaîne d'approvisionnement industrielle, la sécurité et la vie normale de la population", cité par Reuters.
Dans ce contexte, il est probablement significatif que le président chinois, Xi Jinping, ne participe pas au sommet de la COP26, comme cela a été rapporté plus tôt ce mois-ci.
Cela peut encore changer, mais l'annonce a certainement fait sensation.
Ensuite, Moscou a déclaré que le président Vladimir Poutine ne participerait pas non plus à l'événement de Glasgow.
Un autre gros pollueur, l'Inde, a des exigences quant à la répartition du financement de la transition énergétique, arguant que les pays développés riches - eux-mêmes des pollueurs non négligeables - doivent aider les pays en développement les plus pauvres comme l'Inde sur la voie du zéro net. Les pays riches eux-mêmes ne sont pas si désireux de financer la transition d'autres nations, ce qui prépare le terrain pour deux semaines difficiles à Glasgow.
Même les partisans les plus passionnés de la transition énergétique semblent avoir tempéré leurs attentes, selon un article du magazine Times. Le rapport cite l'envoyé américain pour le climat, John Kerry, disant qu'"il y aura un écart" entre les engagements que les participants devraient prendre au sommet et les engagements réels nécessaires pour que le scénario de 1,5 degré se produise.
Même le Premier ministre britannique Boris Johnson, qui s'est immortalisé plus tôt ce mois-ci en déclarant à l'Assemblée générale des Nations Unies qu'"il est facile d'être vert" déclare maintenant que les pourparlers seront "extrêmement difficiles", après avoir estimé le mois dernier les chances que les pays riches tiennent leurs promesses d'aide climatique. à "six sur 10".
Cet écart entre ce que l'ONU pense qu'il faut faire pour freiner le changement climatique et ce que les pays sont prêts à faire est, de toute façon, le plus grand défi que les participants à la COP26 devraient relever. Un autre problème est également apparu récemment : tous les pays ne seront pas représentés au sommet en raison des coûts élevés. Selon Time, les critiques de l'événement ont noté que de nombreux pays en développement et organisations à but non lucratif ne peuvent tout simplement pas se permettre le coût de la participation au sommet, qui implique apparemment la construction et la gestion de pavillons comme une exposition.
Que l'Accord de Paris fixe des objectifs ambitieux est clair depuis longtemps. Pourtant, avec chaque nouveau rapport sur le changement climatique, ces objectifs semblent de plus en plus urgents et vitaux. Les atteindre, cependant, sera loin d'être facile car cela nécessiterait de nombreux ajustements spectaculaires de l'économie mondiale. C'est en raison de la nature de ces ajustements et du fait que les intérêts nationaux de la plupart des pays sont en contradiction avec ces ajustements que la COP26 peut ne pas être à la hauteur des grandes attentes placées en elle.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/markets/what-expect-cop26-climate-summit
La destruction de la demande énergétique conduira à une récession mondiale, prévient le président de Tellurian
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 28 OCT 2021 - 22:00
Il y a un mois, Goldman a déclaré que la seule chose qui pourrait accélérer la résolution de la crise énergétique en Europe était une simple "destruction de la demande" - c'est-à-dire une chute de la demande due à des prix trop élevés jusqu'à ce que la demande réduite entraîne une diminution de l'offre et un prix inférieur. Plus précisément, Goldman a estimé « que la capacité potentielle de substitution du gaz au pétrole pourrait être plus importante si le gaz se redressait davantage, jusqu'à 1,35 mb/j en électricité et 0,6 mb/j dans l'industrie (en Asie et en Europe), bien qu'une telle Une forte augmentation de la demande s'avérerait trop importante pour que le marché pétrolier puisse l'absorber, ce qui entraînerait une flambée des prix qui entraînerait à son tour la destruction de la demande de pétrole, la solution ultime à la rareté généralisée de l'énergie. »
Il n'y a qu'un seul problème avec cela : la "destruction de la demande", c'est-à-dire que l'arrêt forcé des installations de fabrication a un coût direct sur la production.
Et comme Charif Souki, président du conseil d'administration du développeur américain de GNL Tellurian, l'a déclaré lors du forum en ligne de l'IEF sur le gaz, la destruction de la demande résultant des prix élevés du gaz naturel pourrait conduire à une récession mondiale.
"Nous n'avons pas affaire à une crise du gaz, le gaz est simplement le cheval de bataille, mais nous avons affaire à une crise énergétique"
Faisant écho à ce que Goldman a dit il y a un mois, Souki a déclaré que la première manifestation de la destruction de la demande est le passage d'un carburant à un autre.
"Mais si tous les carburants deviennent trop chers, alors vous demandez aux gens de commencer à changer leur mode de vie, de commencer à conduire moins, d'éteindre les lumières plus souvent, de ne pas allumer la climatisation, de ne pas chauffer votre maison."
"Ma grande crainte est que le manque de planification va nous conduire à une récession mondiale." Il a également ajouté qu'un stockage de gaz adéquat est « critique », tout comme l'investissement dans les infrastructures.
Soulignant l'évidence, il a également déclaré que les prix actuels du pétrole, à environ 85 $/b pour le pétrole et l'équivalent de 200 $ pour le gaz, ne sont pas soutenables.
« A terme, après l'hiver, les prix de l'essence redescendront à un niveau plus raisonnable. Mais dans le même temps, les prix du pétrole continueront d'augmenter à un niveau plus raisonnable, afin de trouver un équilibre. »
RépondreSupprimerTraduction : la récente poussée aveugle (et stupide) en faveur de l'ESG à tout prix n'a pas seulement conduit à un équilibre de production ESG viable - qui ne sera pas atteint avant des années, voire des décennies - mais le choc des prix qui a déjà été déclenché grâce aux « verts » qui a forcé les entreprises fossiles à réduire leurs dépenses sur les capacités existantes et nouvelles, sera directement responsable de la prochaine grande récession.
Ce qui, paradoxalement, a du sens : après tout, ce n'est pas un secret que la Fed n'aura pas d'autre choix que de faire encore plus de QE après la prochaine baisse (en fait, la seule question que les traders devraient se poser aujourd'hui n'est pas de savoir si le rendement actuel l'effondrement de la courbe suggère qu'une récession est à venir - bien sûr qu'elle l'est - mais quelle sera la force de la réponse de la Fed). Et avec Bank of America estimant qu'environ 150 000 milliards de dollars de dépenses devront être déboursés pour permettre la réalité du "net zéro" (comme discuté dans "Voici le programme caché de 150 000 milliards de dollars derrière la "croisade" contre le changement climatique") qui ne devront pas tous être monétisés via un QE mondial.
En tant que telle, la récession déclenchée par les fanatiques d'ESG ne sera que le catalyseur qui donnera le feu vert aux prochains 150 000 milliards de dollars d'assouplissement quantitatif mondial qui cimente la prochaine grande réinitialisation de tous les aspects de la civilisation moderne.
https://www.zerohedge.com/energy/energy-demand-destruction-will-lead-global-recession-tellurian-chairman-warns
Combien d'or y-a-t-il dans le monde ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 29 OCT 2021 - 06:30
Via SchiffGold.com,
combien d'or y-a-t-il dans le monde?
La réponse simple : pas grand-chose !
La rareté est l'une des caractéristiques qui donnent de la valeur à l'or.
Pensez au gravier. Il y en a partout. Vous marchez dessus et ne vous arrêtez même pas. Mais si vous repérez une pépite d'or sur le sol, vous pouvez l'apporter à la banque, littéralement.
Vous êtes probablement vaguement conscient que l'or est rare, mais le peu d'or qui existe réellement dans le monde pourrait vous surprendre.
Selon le World Gold Council, les meilleures estimations suggèrent qu'à la fin de 2019, environ 197 576 tonnes d'or avaient été extraites au cours de l'histoire. Environ les 2/3 de ce total ont été retirés du sol depuis 1950.
Si vous preniez chaque once d'or du monde et que vous la mettiez dans un cube, elle ne mesurerait qu'environ 21,7 mètres de côté. C'est juste un peu plus de 71 pieds, à peu près aussi haut qu'un immeuble de sept étages.
- voir croquis sur site -
Pour voir les choses autrement, si vous formiez tout l'or jamais extrait en barres de 400 onces et les empiliez les unes sur les autres, la pile n'atteindrait même pas la taille de la Statue de la Liberté.
Étant donné que l'or est pratiquement indestructible, à peu près tout cet or est toujours là sous une forme ou une autre.
Chaque année, l'extraction d'or mondiale ajoute environ 2 500 à 3 000 tonnes au stock d'or global en surface.
Estimer combien d'or reste dans le sol est une tâche difficile. Les analystes disent que les réserves connues totalisent environ 54 000 tonnes.
Ce qui reste est de plus en plus difficile à extraire.
La production minière a plongé en 2020 en raison de la pandémie de coronavirus, mais la production d'or avait déjà atteint un plateau avant COVID-19. Après avoir stagné pendant plusieurs années, la production des mines d'or a chuté de 1 % en 2019. Bien que cette année ait marqué la première baisse absolue de la production d'or depuis 2008, elle a poursuivi une tendance générale à la baisse de la production minière. La production de la mine d'or a augmenté de 77,72 tonnes entre 2015 et 2016, de 33,92 tonnes entre 2016 et 2017, et de seulement 28 tonnes entre 2017 et 2018.
Historiquement, la production minière a généralement augmenté chaque année depuis les années 1970. Il y a eu une baisse de la production en 2008, mais c'était une sorte d'anomalie, car elle s'est produite au début de la crise financière de 2008. Le récent ralentissement de la production minière est plus préoccupant. En fait, certains ont émis l'hypothèse que nous pourrions être au niveau ou près du « pic d'or ». C'est à ce moment-là que la quantité d'or extrait de la terre commencera à diminuer chaque année. Certains acteurs importants de l'industrie minière pensent que nous sommes proches de ce point.
Que nous ayons atteint le pic de l'or ou non, de nombreux analystes pensent que l'industrie aurifère pourrait bien entrer dans une période à long terme - et peut-être irréversible - de moins d'or disponible. Comme les sociétés minières ont plus de mal à extraire l'or de la terre, cela signifiera moins d'or pour les raffineurs à produire pour le marché de consommation.
Même aux niveaux de production actuels, l'or restera rare - et la rareté est une caractéristique importante qui donne à l'or sa valeur.
https://www.zerohedge.com/commodities/how-much-gold-there-world
Oui mais: LA RARETÉ NE FAIT PAS SA VALEUR !!
SupprimerEt oui ! Le prix de cette Matière Première est BLOQUÉ ! Bloqué par un 'bureau' qui fixe son prix A LA TÊTE DU CLIENT !
C'est pourquoi l'argent (monnaie) n'a JAMAIS été adossé à l'or !
Biden veut donner 450 000 $ par personne aux immigrants illégaux séparés
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 29 OCT 2021 - 05:58
L'administration Biden réfléchit à un plan visant à offrir aux familles d'immigrants séparées sous l'administration Trump 450 000 $ par personne en compensation, selon le Wall Street Journal, citant des personnes proches du dossier.
Les paiements – qui font partie d'une solution interinstitutions à plusieurs poursuites intentées au nom de parents et d'enfants séparés pour un traumatisme psychologique durable pourraient s'élever à près d'un million de dollars par famille, bien que « les chiffres finaux puissent changer », selon le rapport.
Selon des sources, la plupart des familles entrant aux États-Unis depuis le Mexique comprenaient un parent et un enfant. Selon les circonstances, de nombreuses familles pourraient recevoir des paiements plus faibles.
L'American Civil Liberties Union, qui représente les familles dans l'un des procès, a identifié environ 5 500 enfants séparés à la frontière au cours de l'administration Trump, citant des chiffres qui lui ont été fournis par le gouvernement. Le nombre de familles éligibles dans le cadre du règlement potentiel devrait être plus petit, ont déclaré les gens, car les responsables gouvernementaux ne savent pas combien se manifesteront. Environ 940 demandes ont jusqu'à présent été déposées par les familles, ont indiqué les habitants. -WSJ
Au total, le paiement potentiel pourrait atteindre 1 milliard de dollars ou plus.
Tout au long de l'administration Trump, des milliers d'enfants ont été séparés de leurs parents (et des coyotes ont été payés pour les faire entrer dans le pays) après être entrés illégalement dans le pays depuis le Mexique. Les poursuites allèguent que certains des enfants ont souffert de diverses affections, notamment de la malnutrition, de l'épuisement dû à la chaleur, et ont été maintenus dans des chambres glaciales avec peu de soins médicaux. Certains revendiquent des problèmes de santé mentale durables dus au traumatisme d'être sans leurs parents pendant plusieurs mois.
Le montant moyen recherché par les tribunaux est d'environ 3,4 millions de dollars par famille, selon le rapport.
"Le président Biden a convenu que la politique de séparation des familles est une tache morale historique sur notre nation qui doit être entièrement corrigée", a déclaré le directeur adjoint de l'ACLU, Lee Gelernt. "Ce remède doit inclure non seulement une compensation monétaire significative, mais une voie pour rester dans le pays."
Les républicains du Sénat ont critiqué le plan jeudi après-midi à la suite du rapport du WSJ.
RépondreSupprimer"Les promesses de l'administration Biden en matière de programmes de citoyenneté et de droits ont déjà provoqué la pire crise frontalière de l'histoire - une énorme récompense en espèces ne fera qu'empirer les choses", a déclaré le sénateur Tom Cotton (R-AR).
Les discussions sur les paiements ont eu lieu au cours des derniers mois entre un groupe de dizaines d'avocats privés représentant les familles et les avocats du gouvernement. Certains avocats du gouvernement ont estimé que les paiements étaient excessifs pour les personnes qui avaient enfreint la loi en traversant la frontière, ont déclaré les gens. Un avocat du gouvernement a menacé de retirer son nom de l'affaire en désaccord avec l'offre de règlement potentielle, ont déclaré les gens. -WSJ
"Il s'agit d'un litige compliqué et complexe" - essayant de résoudre des centaines de poursuites distinctes en même temps, et "parfois encore plus complexe de juger les affaires", a déclaré Margo Schlanger, qui dirigeait le bureau des droits civils pendant l'administration Obama. au Department of Homeland Security et enseigne maintenant à la faculté de droit de l'Université du Michigan.
Qu'en pensera la foule des réparations ?
https://www.zerohedge.com/political/biden-wants-give-separated-illegals-450000-person
Ce n'est qu'un prix d'appel !!
Supprimerou comment remplacer 330 millions d'Américains par 400 millions d'étrangers qui approuvent la dictature ! (comme en Europe).
Une émeute de migrants dans une ville française, attaque la police et les pompiers
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 29 OCT 2021 - 02:00
Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Des migrants dans la ville d'Alençon, en France, ont déclenché des émeutes, incendié des véhicules et attaqué des policiers et des pompiers après que les autorités ont arrêté un suspect de 16 ans pour trafic de drogue.
Une vingtaine de jeunes hommes sont descendus dans les rues pour semer le chaos en réponse à l'arrestation, lançant des feux d'artifice sur le personnel d'urgence, une tactique courante lors des émeutes de migrants.
"Nous déplorons cette nuit de violences urbaines à Perseigne, à Alençon, au cours de laquelle il y a eu une dizaine de véhicules incendiés", a déclaré à BFMTV Françoise Tahéri, préfète de l'arrondissement de l'Orne.
Des photos prises ce matin montrent les restes de véhicules incendiés.
Apparemment, l'État a récemment dispersé les migrants dans toute la région dans le but de les aider à mieux « s'intégrer ».
Cela semble avoir été un franc succès.
Les villes et villages de France sont régulièrement en proie à des émeutes de migrants déclenchées par de violents affrontements entre policiers et criminels.
En mai de l'année dernière, des migrants à Paris ont organisé des troubles pendant plusieurs nuits, attaquant la police et incendiant des véhicules pour protester contre la mort accidentelle d'un motocycliste.
Certaines zones sont tellement incontrôlables que lors du premier verrouillage du COVID-19, un haut responsable du gouvernement a déclaré que des restrictions ne devraient pas être imposées aux zones à forte densité de migrants en raison de la menace d'émeutes.
Les troubles dans les banlieues notoires à forte criminalité en France sont monnaie courante et un signe clair que le multiculturalisme a échoué, bien que les médias aient tenté à plusieurs reprises de présenter l'existence même des zones interdites comme une théorie du complot.
Cependant, la question est traitée de manière mortelle en France, les migrations de masse devenant un problème central pour les électeurs à l'approche de l'élection présidentielle de l'année prochaine.
Comme nous le verrons ci-dessous, un nouveau sondage a révélé que la majorité des Français craignent d'être remplacés par des migrants musulmans et que le christianisme va « s'éteindre ».
https://www.zerohedge.com/geopolitical/migrants-riot-french-town-attack-police-and-firefighters
Des migrants fuient leurs pays de merdes pour refaire leur tas (État) ailleurs !
SupprimerLe marché de l’électricité européen est caduc
RépondreSupprimerL’actuel marché unique de l’électricité européen est un échec. Les règlementations et la politique européennes étouffent ce marché.
Par Samuel Furfari.
29 OCTOBRE 2021
Afin de ne pas être mal compris, je commencerai par dire que je suis un Européen convaincu au point d’avoir consacré 36 ans de ma vie professionnelle à développer la politique énergétique au sein de la Commission européenne. Mais aujourd’hui, il est urgent et essentiel pour l’avenir de l’Union de dénoncer l’échec de l’actuel marché unique de l’électricité.
Commençons par dire que la Commission européenne a voulu l’ouverture du marché et non pas comme on le dit à tort sa libéralisation, l’État pouvant rester propriétaire en tout ou en partie de l’entreprise électrique. D’ailleurs, EDF reste la plus grande entreprise électrique au monde et l’État français en est l’actionnaire à plus de 83,6 %.
UN MARCHÉ DE L’ÉLECTRICITÉ EUROPÉEN NON CONCURRENTIEL
Deux principes de base ont conduit à cette ouverture. D’abord le démantèlement de l’intégration verticale des entreprises qui a consisté à séparer les activités de génération d’électricité, de transport (le réseau électrique) et de distribution de l’électricité aux consommateurs industriels ou privés. L’autre est la possibilité des entreprises de générer de l’électricité dans tous les États membres.
La France a résisté longtemps à l’ouverture du marché, mais lors du sommet de Barcelone le 15 mars 2002 Jacques Chirac et Lionel Jospin ont fini par l’accepter ; ils ont voulu sauver la face en exigeant que des interconnexions transfrontalières soient établies à 10 % de la capacité de chaque État membre afin de permettre à la France de vendre son électricité aux autres (on est très loin du compte 20 ans plus tard). Pourquoi cette exigence ? Mais tout simplement parce que l’électricité nucléaire française étant moins chère, il devait être possible d’en vendre aux autres.
Las ! C’était sans compter sur Angela Merkel qui 4 ans plus tard exigeait auprès de M. Barroso d’établir une feuille de route pour développer les énergies renouvelables, ce qui a conduit en 2009 sous l’impulsion de la présidence française de Sarkozy à décider d’obliger la production d’électricité renouvelable.
Or, contrairement à ce qu’on entend dire partout de manière simpliste, celle-ci conduit immanquablement à une augmentation du prix de vente de l’électricité. Il suffit de voir l’évolution ces dernières années malgré les promesses faites au consommateur…
Le simple fait qu’il faille une directive européenne pour obliger leur production démontre qu’elle n’est pas concurrentielle !
Non seulement il y a obligation de production d’énergies renouvelables, mais aussi obligation de donner la priorité à leur distribution. L’UE force donc en priorité la distribution d’une électricité chère à produire et subventionnée. C’est donc tout le contraire d’un marché.
RépondreSupprimerCela fait 20 ans que l’UE s’évertue à mettre des emplâtres sur la jambe de bois… rendant les choses que plus en plus complexes. Le consommateur ne s’y retrouve pas. Il est temps d’en finir sans délai avec ce marché bancal ! Le signal donné par le ministre de l’Économie Bruno Lemaire signe-t-il la fin de la récréation ?
La production de cette électricité qualifiée de verte étant en effet par nature variable et intermittente n’est de ce fait pas toujours disponible. En moyenne sur cinq ans dans l’UE les panneaux solaires photovoltaïques produisent 11 % du temps et les éoliennes terrestres 23 % (on appelle cela le facteur de charge).
Ce qui signifie que ces productions ne peuvent exister que parce qu’il y en a d’autres qui elles sont pilotables. Afin de compenser la pénalisation de ces dernières pour la priorité de distribution de l’électricité d’origine renouvelable, on leur accorde des subventions (on appelle cela le marché de capacité, on finance l’existence et non pas la production).
UNE DESTRUCTION DU MARCHÉ À CAUSE DES RÉGLEMENTATIONS
Puisque le marché unique tend à rapprocher les prix, la forte croissance du prix de l’électricité dans un pays (actuellement à cause de la demande de gaz naturel en Chine), implique que même ceux qui peuvent produire à moindre coût doivent vendre cher leur électricité.
De plus, les activistes antinucléaires de la Commission européenne font tout pour interdire le financement de l’énergie nucléaire, alors que « gardienne des traités » elle devrait appliquer le traité Euratom qui promeut le développement de cette énergie.
Formellement, ils ne peuvent s’opposer à ce financement puisque l’article 194.2 du Traité de Lisbonne donne la pleine liberté aux États membres de choisir leurs énergies primaires.
Mais par la taxonomie, un acte délégué que la Commission est parvenue à décrocher du Conseil et du Parlement européens – institutions qui détiennent le pouvoir législatif –hésite encore à attribuer la qualification de « durable » à la principale source d’énergie pour la génération d’électricité dans l’UE (28 % pour le nucléaire et 7 % pour l’ensemble solaire et éolien) qui est pourtant décarbonée. Et ce malgré un rapport scientifique, produit par son Centre Commun de recherche, confirmant cette durabilité.
La faute originelle en revient aux juges de l’UE qui, ignorant tous de la physique, ont décrété que l’électricité est une marchandise comme le sucre ou le yaourt alors que c’est un bien public. La seconde faute est d’avoir détruit le marché en obligeant la production d’énergies renouvelables.
Soit on abandonne la notion de marché soit on laisse ce dernier décider des investissements. La démonstration du désastre annoncé depuis des années par les experts est arrivée de manière flagrante et douloureuse pour les citoyens et l’industrie.
RépondreSupprimerDans La Revue de l’Énergie (juillet-août 2020) Claude Desama, l’ex-député européen qui fut le rapporteur au Parlement européen de la première directive sur l’ouverture du marché, a eu le courage de dénoncer l’erreur : il qualifie ce soi-disant marché de « caduc ».
Nous l’avons déjà écrit, l’UE suit aveuglément l’Allemagne dans son EnergieKatastrophe. Il est plus que temps de sauver l’avenir de l’UE en abandonnant tout ce que l’Allemagne nous a imposé. Que la France refuse l’acte délégué de la taxonomie si le nucléaire d’aujourd’hui et de demain n’y est pas inscrit comme durable une fois pour toutes.
Les pères fondateurs ont créé la Communauté européenne – comme on l’appelait alors – dans le but de disposer d’« énergie abondante et bon marché » (déclaration de Messine du 2 juin 1955). On a fait l’inverse. Nous sommes arrivés au moment de vérité, au bord de la falaise… il n’y a qu’une chose à faire… machine arrière.
https://www.contrepoints.org/2021/10/29/409671-le-marche-de-lelectricite-europeen-est-caduc
Briser les atomes : l'histoire de l'uranium et de l'énergie nucléaire
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 28 OCT 2021 - 23:20
L'uranium existe depuis des millénaires, mais ce n'est que récemment que nous avons commencé à comprendre ses propriétés uniques.
Aujourd'hui, le métal radioactif alimente des centaines de réacteurs nucléaires, permettant une production d'énergie sans carbone à travers le monde. Mais, détaille ci-dessous Govind Bhutada de Visual Capitalist, comment l'uranium et l'énergie nucléaire sont-ils apparus ?
L'infographie ci-dessous, du Sprott Physical Uranium Trust, décrit l'histoire de l'énergie nucléaire et met en évidence le rôle de l'uranium dans la production d'énergie propre.
- voir grand tableau sur site -
De la découverte à la fission : à la découverte de l'uranium
Comme toute matière, l'histoire de l'uranium et de l'énergie nucléaire remonte à l'atome.
Martin Klaproth, un chimiste allemand, a découvert l'uranium pour la première fois en 1789 en l'extrayant d'un minéral appelé "pitchblende". Il a nommé l'uranium d'après la planète alors nouvellement découverte, Uranus. Mais l'histoire de l'énergie nucléaire a vraiment commencé en 1895 lorsque l'ingénieur allemand Wilhelm Röntgen a découvert les rayons X et les radiations, lançant une série d'expériences et de découvertes, dont celle de la radioactivité.
En 1905, Albert Einstein a ouvert la voie à l'énergie nucléaire avec sa célèbre théorie reliant la masse et l'énergie, E = mc2. Environ 35 ans plus tard, Otto Hahn et Fritz Strassman ont confirmé sa théorie en envoyant des neutrons dans des atomes d'uranium, ce qui a produit des éléments plus légers que l'uranium. Selon la théorie d'Einstein, la masse perdue au cours de la réaction s'est transformée en énergie. Cela a démontré que la fission - la division d'un atome en éléments plus légers - s'était produite.
"L'énergie nucléaire est incomparablement supérieure à l'énergie moléculaire que nous utilisons aujourd'hui."
- Winston Churchill, 1955.
À la suite de la découverte de la fission, les scientifiques ont travaillé au développement d'une réaction nucléaire en chaîne autonome. En 1939, une équipe de scientifiques français dirigée par Frédéric Joliot-Curie a démontré que la fission peut provoquer une réaction en chaîne et a déposé le premier brevet sur les réacteurs nucléaires.
Plus tard en 1942, un groupe de scientifiques dirigé par Enrico Fermi et Leo Szilard a déclenché la première réaction nucléaire en chaîne à travers le Chicago Pile-1. Fait intéressant, ils ont construit ce réacteur de fortune en utilisant des briques de graphite sur un court de squash abandonné à l'Université de Chicago.
Ces expériences ont prouvé que l'uranium pouvait produire de l'énergie par fission. Cependant, la première utilisation pacifique de la fission nucléaire n'a eu lieu qu'en 1951, lorsque le réacteur expérimental I (EBR-1) dans l'Idaho a généré la première électricité d'origine nucléaire.
La puissance de l'atome : l'énergie nucléaire et l'énergie propre
RépondreSupprimerLes réacteurs nucléaires exploitent les propriétés de l'uranium pour produire de l'énergie sans aucune émission de gaz à effet de serre. Si la radioactivité de l'uranium le rend unique, il possède trois autres propriétés qui se démarquent :
Densité du matériau : L'uranium a une densité de 19,1 g/cm3, ce qui en fait l'un des métaux les plus denses sur Terre. Pour référence, il est presque aussi lourd (et dense) que l'or.
Abondance : À 2,8 parties par million, l'uranium est environ 700 fois plus abondant que l'or et 37 fois plus abondant que l'argent.
Densité énergétique : L'uranium est extrêmement dense en énergie. Une pastille d'uranium d'un pouce de hauteur contient la même quantité d'énergie que 120 gallons de pétrole.
Grâce à sa densité énergétique élevée, l'utilisation du combustible à l'uranium rend l'énergie nucléaire plus efficace que les autres sources d'énergie. Cela inclut les énergies renouvelables comme l'éolien et le solaire, qui nécessitent généralement beaucoup plus de terres (et plus d'unités) pour générer la même quantité d'électricité qu'un seul réacteur nucléaire.
Mais l'énergie nucléaire offre plus qu'une simple empreinte terrestre réduite. C'est également l'une des sources d'énergie les plus propres et les plus fiables disponibles aujourd'hui, prête à jouer un rôle majeur dans la transition énergétique.
L'avenir de l'uranium et de l'énergie nucléaire
Bien que l'énergie nucléaire soit souvent laissée de côté dans la conversation sur l'énergie propre, la crise énergétique actuelle l'a ramenée au centre des préoccupations.
Plusieurs pays passent au nucléaire dans le but de réduire leur dépendance aux combustibles fossiles tout en construisant des réseaux énergétiques fiables. Par exemple, l'énergie nucléaire devrait jouer un rôle de premier plan dans le plan du Royaume-Uni visant à atteindre zéro émission nette de carbone d'ici 2050. En outre, le Japon a récemment approuvé le redémarrage de trois de ses réacteurs nucléaires après avoir initialement abandonné l'énergie nucléaire à la suite de l'accident de Fukushima.
La résurgence de l'énergie nucléaire, en plus des réacteurs qui sont déjà en construction, entraînera probablement une augmentation de la demande d'uranium, d'autant plus que le monde adopte l'énergie propre.
https://www.zerohedge.com/energy/smashing-atoms-history-uranium-and-nuclear-power
(...) Densité énergétique : L'uranium est extrêmement dense en énergie. Une pastille d'uranium d'un pouce de hauteur contient la même quantité d'énergie que 120 gallons de pétrole. (...)
SupprimerUne pastille (cylindre de 1 cm de diamètre et 1 cm d'hauteur) de 7 gr. est l'équivalent de 1 tonne de pétrole. Chaque barre (tube appelé 'crayon) de 4 m d'hauteur en contient donc 400 (400 t de pétrole) et, il y a une centaine de crayons par panier plongés dans l'eau du réacteur.
😎 CAPACITÉ CALORIFIQUE DES COMBUSTIBLES
Charbon...........................13-30 Mj/kg
Feu de bois.......................16 Mj/kg
Gaz naturel......................39 MJ/m3
Pétrole brut......................45-46 MJ/kg
Uranium (réacteur REP) : 500 000 Mj/kg
CNN exige de tuer des arbres sains pour sauver la planète ; L'effondrement d'Evergrande risque un chaos financier mondial
RépondreSupprimerJeudi 28 octobre 2021
par : Mike Adams
(Natural News) Dans la dernière folie écologique venant des médias lamestream, CNN demande maintenant que des arbres sains soient coupés et enterrés dans des fosses communes afin de sauver la planète. (C'est vrai. Lien ci-dessous.)
On prétend que c'est un moyen de réduire les concentrations de gaz carbonique dans l'atmosphère, même si le CO2 est précisément le nutriment gazeux qui rend la planète verte et aide à reboiser le monde. (Oui, le CO2 est bon pour reverdir la planète, même selon la NASA.)
Le problème avec les arbres, dit CNN, c'est que lorsqu'ils meurent, ils pourrissent et libèrent du gaz carbonique dans l'atmosphère. Pour arrêter cela, les arbres ne peuvent pas être autorisés à mourir seuls, affirme CNN. Au lieu de cela, ils doivent être tronçonnés à mort puis enterrés dans des fosses communes ou coulés au fond des lacs afin de préserver le gaz carbonique qu'ils contiennent.
Cela signifie que les écologistes qui ont autrefois enfoncé des pointes métalliques dans les arbres pour arrêter les opérations d'exploitation forestière commenceront probablement à abattre des arbres avec des tronçonneuses en scandant « GAIA ! » En Californie, bien sûr, ils seront limités aux tronçonneuses à batterie qui sont rechargées par de l'électricité produite en grande partie à partir du charbon et d'autres combustibles fossiles.
Extrait de l'article de CNN exigeant que nous abattions des arbres sains :
… Des savants ont proposé d'abattre des arbres ou de ramasser des bûches tombées et de les ranger intentionnellement. Cela pourrait signifier les couler au fond des lacs, les enterrer dans des mines abandonnées ou les enterrer dans des tranchées spécialement creusées.
Comment ces tranchées / fosses communes vont-elles être creusées ? En brûlant des combustibles fossiles pour alimenter des bulldozers et des excavatrices, bien sûr.
Ce niveau de pensée dangereusement délirant ne pouvait venir que de CNN. Brûlons du carburant diesel pour construire des fosses communes pour enterrer des arbres sains après les avoir abattus avec des tronçonneuses à essence, le tout dans le but de « sauver la planète ».
J'ai une meilleure idée. Pourquoi les éco-fous ne s'enterrent-ils pas et ne laissent-ils pas vivre les forêts ? Seule la gauche folle pourrait prétendre que les hommes peuvent avoir des bébés et abattre des arbres sains est bon pour «verdir» la planète. Leur Green New Deal n'est vraiment qu'une secte suicidaire éco-terroriste.
Tous les détails dans ce rapport podcast (13 minutes) :
- voir clips sur site -
Brighteon.com/a2be818a-ea21-476c-8d9a-b442aef374d9
Les écouvillons Covid contiennent un produit chimique cancérigène
RépondreSupprimerLes écouvillons de test Covid, quant à eux, se sont avérés contenir des niveaux alarmants d'oxyde d'éthylène, un gaz toxique utilisé pour stériliser le matériel médical. Apparemment, chaque fois que quelqu'un est écouvillonné pour covid, il reçoit une dose d'un produit chimique cancérigène.
Notamment, les vaccins contre le covid contiennent des nanoparticules de protéines de pointe qui détruisent le système immunitaire, permettant aux tumeurs cancéreuses de s'accélérer rapidement dans tout le corps. Ainsi, l'écouvillon semble fonctionner en conjonction avec les vaccins pour créer une « pandémie de cancer ».
Attendez-vous à ce que les décès par cancer montent en flèche à des niveaux vraiment insensés au cours des trois prochaines années. Un syndicat de la santé a demandé la suspension des écouvillons Covid en raison du produit chimique toxique qu'ils contiennent.
Evergrande s'effondre et les faux médias du monde entier conspirent pour dissimuler la catastrophe financière imparable qui se déchaîne
Un excellent article d'analyse d'Encouraging Angels révèle que le soi-disant «paiement d'obligations» de dernière minute d'Evergrande n'a peut-être jamais eu lieu. Il semble y avoir une dissimulation médiatique coordonnée pour prétendre qu'Evergrande paie les détenteurs d'obligations alors que ce n'est pas le cas.
L'enjeu est la solvabilité financière de plus de 120 grandes institutions financières et banques, dont Blackrock, Fidelity, HSBC et bien d'autres. Un effondrement total de la capacité d'Evergrande à effectuer des paiements sur ses dettes enverrait des ondes de choc financières à travers la planète et pourrait conduire à un effondrement financier mondial, selon le Dr Metzler (ci-dessous).
"La faillite du développeur dangereusement vacillant n'est que la première étape d'une réaction en chaîne financière qu'une telle faillite est susceptible de déclencher", conclut le Dr Marco Metzler dans une annonce publique.
Il continue à brosser un tableau de plus en plus sombre de la direction que tout cela peut prendre :
De plus, une faillite d'Evergrande est susceptible de ralentir considérablement la croissance économique chinoise. Les problèmes économiques de la Chine deviendront alors encore plus apparents. Mots-clés : pénurie d'énergie et de matières premières, fermetures d'usines et de ports, et surendettement de l'État, des entreprises et des particuliers. Le taux d'endettement représente déjà 230% de la production économique annuelle du pays. « Cela pourrait avoir des conséquences dévastatrices pour l'économie mondiale. Les chaînes d'approvisionnement seraient mises à rude épreuve encore plus qu'elles ne le sont déjà aujourd'hui – si elles ne se brisent pas complètement », prédit l'auteur du rapport Marco Metzler. Ceci, à son tour, conduirait inévitablement à une inflation galopante aux États-Unis et en Europe.
De l'avis des auteurs du rapport, une faillite d'Evergrande a le potentiel de conduire à une perturbation extrême du système financier mondial - avec des faillites d'acteurs qui sont toujours considérés comme solides aujourd'hui. "Déclenché par un virus financier chinois appelé Evergrande, le monde pourrait être confronté à une" grande réinitialisation "- l'effondrement final du système financier mondial actuel", conclut avec pessimisme le Dr Marco Metzler.
RépondreSupprimerSi Metzler a raison, l'effondrement financier est déjà un événement factuel, et ce n'est qu'une question de temps avant que les mensonges des médias et la propagande officielle ne puissent plus cacher la vérité au monde. Un effondrement en cascade de la dette pourrait se répercuter sur la planète à la vitesse des nouvelles numériques, entraînant une contagion de la bombe de la dette qui brûlerait à travers les institutions financières à fort effet de levier comme un napalm à travers des cure-dents.
Stan Szymanski écrit :
Un tsunami vient de l'Est. Vous devez vous rendre sur les hauteurs pour ainsi dire. Ce tsunami a le potentiel (pas une garantie-ce n'est pas un conseil financier-consultez votre conseiller) de détruire la vie telle que nous l'avons connue. Pouvez-vous faire confiance au PCC pour vous dire la vérité sur Evergrande ? Et la presse occidentale ?
Obtenez tous les détails sur tout cela dans la mise à jour de la situation d'aujourd'hui, qui présente également une histoire hilarante sur la « laitue grasse » et mes interactions avec les animaux de la ferme « super grignoteuses » :
Brighteon.com/f69388c3-f80a-494c-a98d-c8170a735f0a
Trouvez de nouvelles interviews chaque jour, y compris les interviews à venir avec le Dr Paul Cottrell, Robert F. Kennedy, Jr., le Dr Zev Zelenko et bien d'autres sur :
https://www.brighteon.com/channels/hrreport
https://www.naturalnews.com/2021-10-28-cnn-killing-healthy-trees-save-planet-evergrande-collapse-global-financial-chaos.html
Nouveau problème s'ajoutant aux problèmes de la chaîne d'approvisionnement nationale : obtenir des pièces de rechange pour les plates-formes de semi-remorque qui tombent en panne
RépondreSupprimerJeudi 28 octobre 2021
par : JD Heyes
(Natural News) Il y a plusieurs aspects à l'échec de la chaîne d'approvisionnement mondiale et chacun d'eux frappe durement l'Amérique parce que pendant des décennies, nous avons permis à nos dirigeants politiques de délocaliser la fabrication américaine dans des pays comme la Chine qui ne veulent pas simplement nous dominer , ils veulent nous détruire — mais pas avant d'avoir soutiré jusqu'au dernier dollar possible à nos concitoyens.
Nous avons signalé le fait qu'il y a des centaines de porte-conteneurs ancrés au large des principaux ports le long des côtes est et ouest, et nous avons noté qu'une pénurie de dockers, de débardeurs et de chauffeurs de camion s'ajoute à un goulot d'étranglement croissant qui conduit à des étagères des magasins.
Maintenant, il y a un nouveau problème associé à la rupture de la chaîne d'approvisionnement qui va en fait accélérer l'effondrement : une pénurie de pièces de rechange non seulement pour les véhicules ordinaires mais pour les camions routiers qui sont vitaux pour le système de transport de notre pays, comme l'a noté Zéro couverture :
Une pénurie mondiale de semi-conducteurs a réduit la production de voitures neuves et stimulé la demande de voitures d'occasion. L'âge moyen des voitures d'occasion sur les autoroutes américaines a atteint 12,1 ans cette année, un record, et a déclenché un boom de la réparation. Mais avec des chaînes d'approvisionnement grincheuses, les ateliers de réparation automobile ont eu des difficultés à se procurer des pièces et ont dit aux clients que leurs voitures pourraient prendre des semaines à réparer, selon Bloomberg.
Paul McCarthy, directeur général de l'Automotive Aftermarket Suppliers Association, a déclaré que l'industrie des pièces détachées et de la réparation automobile est critiquée comme tout le monde – des retards de plusieurs semaines en raison de la congestion des ports ont produit d'importants retards [sic].
"Il s'agit de l'environnement de chaîne d'approvisionnement le plus difficile que j'aie jamais vu", a déclaré le PDG d'AutoZone Inc., William Rhodes, lors d'un appel aux résultats le mois dernier. Il a poursuivi en disant que la franchise de pièces fonctionnait actuellement au "niveau de stock le plus bas dont je me souvienne".
Le propriétaire de Valley Automotive Repair and Electric à Covington, Washington, Bryan Kelley, a déclaré qu'il avait dû attendre des mois pour obtenir des pièces automobiles pour son magasin de la banlieue de Seattle. Il a noté dans un cas qu'un capteur de vilebrequin avait mis entre deux et trois mois pour arriver, ajoutant qu'avant la COVID, il fallait moins d'une journée pour obtenir la pièce.
Un client, a-t-il dit, était sur le point de renoncer à avoir son Dodge Ram 1500 parce que l'arriéré de la censure est passé du ridicule à l'absurde.
RépondreSupprimer"Il est allé jusqu'à dire:" Je vais le remorquer et acheter un autre camion "", a déclaré Kelley, qui est également président du groupe commercial Automotive Service Association Northwest. "Cela s'est aggravé quand il a découvert qu'il ne pouvait pas simplement descendre et en acheter un."
Les semi-remorques et autres véhicules de transport souffrent également de pénuries de pièces, ce qui aggrave encore la crise de la chaîne d'approvisionnement.
« Les flottes ont désespérément besoin de nouvelles fourgonnettes sèches pour compenser la pénurie de nouveaux camions et chauffeurs dans l'environnement actuel de capacité limitée. Il y a une quantité croissante de fret à déplacer et l'industrie continue de lutter pour le livrer à temps », a déclaré Don Ake, vice-président des véhicules commerciaux de FTR, dans un communiqué en août.
« La plupart des commandes non produites seront reportées au premier trimestre 2022. Si ces mois sont déjà bien remplis, cela crée encore plus de maux de tête pour l'industrie. Les choses n'atteindront aucun degré de normalité avant des mois », a ajouté Ake dans un communiqué.
"Les puces électroniques étant la pointe de l'iceberg, cela montre que la chaîne d'approvisionnement est assez faible et trop complexe", a déclaré au Wall Street Journal le PDG de Cleveland-Cliffs Inc., Lourenco Goncalves.
L'arriéré de copeaux empêche également les constructeurs automobiles de terminer de nouvelles plates-formes de tracteurs, camionnettes et autres véhicules utilisés pour transporter des marchandises (ainsi que des tracteurs pour la production alimentaire).
Si seulement nos dirigeants politiques n'avaient pas vendu notre capacité de fabrication il y a des années.
Les sources comprennent :
WSJ.com
TransportDive.com
ZeroHedge.com
https://www.naturalnews.com/2021-10-28-more-national-supply-chain-woes-getting-parts-tractor-trailer-rigs.html
Les agriculteurs du monde entier craignent que la crise de la chaîne d'approvisionnement n'affecte la récolte de l'année prochaine
RépondreSupprimerJeudi 28 octobre 2021
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Les agriculteurs du monde entier craignent que la crise actuelle de la chaîne d'approvisionnement n'ait un effet désastreux sur leurs récoltes 2022.
Les prix des intrants - ou tous les coûts qui entrent dans une récolte - rendent déjà difficile pour les agriculteurs des États-Unis de fonctionner normalement. Selon la société de services financiers StoneX Group, les prix de gros des engrais dans le Midwest ont augmenté d'environ 434 $ depuis le 10 septembre. Cela représente une augmentation de 65 % en un mois, ou 72 $ par semaine.
L'engrais n'est pas le seul élément essentiel dont le prix a augmenté. Pratiquement tous les secteurs du secteur agricole ont été touchés par des hausses de prix similaires. La situation a été exacerbée par une pénurie persistante de main-d'œuvre.
Selon une enquête menée par le Conseil national des coopératives agricoles, 77 % des coopératives agricoles ont eu des problèmes pour retenir les travailleurs qualifiés pendant la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19). D'autres facteurs obligent les agriculteurs à dépenser plus, tels que l'augmentation des coûts d'expédition des produits agricoles et le manque de disponibilité des équipements et des pièces.
Des incidents météorologiques exceptionnels ont également rendu difficile l'exploitation des agriculteurs. On estime que 75 % de l'ouest des États-Unis et des Dakotas ont récemment connu une grave sécheresse, obligeant les éleveurs à liquider une plus grande partie de leurs troupeaux et les agriculteurs à payer plus pour l'irrigation.
« Après de nombreuses années de bas prix agricoles, les récentes augmentations de prix étaient sur le point d'aider à augmenter les rendements nets du marché. Compte tenu de ces problèmes de chaîne d'approvisionnement, cet optimisme s'est transformé en un désir de ne pas faire pire que ces années difficiles », lit-on dans un communiqué publié par l'Agriculture CEO Council, une association de PDG des principales entreprises du secteur agricole.
« Les chaînes d'approvisionnement qui sont essentielles pour les intrants et les ventes de marchandises sont confrontées à des défis multiples et simultanés. Cela a conduit à des prix plus élevés pour les intrants, à des prix plus bas pour les produits et, dans certains cas, à l'incapacité d'acheter des biens ou des services quel que soit le prix.
Les agriculteurs brésiliens souffrent également de la crise de la chaîne d'approvisionnement
RépondreSupprimerLes agriculteurs d'Amérique du Sud, en particulier au Brésil, font face à des perspectives tout aussi désastreuses pour leurs futures récoltes.
Michael Langemeier, économiste agricole à l'Université Purdue, estime que la situation que vivent les agriculteurs brésiliens pourrait être pire que celle que vivent les agriculteurs américains.
Langemeier souligne que l'une des plus grandes préoccupations des agriculteurs brésiliens est la grave pénurie d'engrais. "Je crois comprendre que le Brésil importe la plupart de ses besoins en engrais - encore plus que nous", a-t-il déclaré. (Connexe : la Chine impose des restrictions supplémentaires sur les exportations d'engrais pour protéger ses propres stocks d'engrais alors que les approvisionnements diminuent.)
Jim Mintert, un autre économiste agricole de Purdue, estime que la production du Brésil pour la saison des récoltes 2022 est un « joker ». La production sud-américaine joue un rôle essentiel dans la demande globale de produits agricoles.
"Du côté de la demande, je pense que le plus gros problème est de savoir quand verrons-nous une reprise et une demande d'exportations, en particulier vers la Chine", a déclaré Mintert. Il pense que le Brésil contrôlera en partie la demande future de bon nombre des plus grandes cultures cultivées aux États-Unis, telles que le maïs et le soja.
"Mais [il y a] une énorme incertitude quant à ce que cette augmentation des prix des intrants va faire à la production l'année prochaine", a poursuivi Mintert.
Les agriculteurs brésiliens craignent que la pénurie d'engrais ne dure jusqu'en 2022. Les approvisionnements en engrais pour l'année ont été suffisants jusqu'à présent, mais les stocks du pays diminuent rapidement. De nombreux agriculteurs pensent déjà à réduire la quantité d'engrais qu'ils utilisent, ce qui affectera les rendements globaux des cultures.
Un autre facteur qui pourrait affecter la future production brésilienne est quelque chose qu'aucun agriculteur du pays ne peut contrôler : la météo.
La dernière saison de récolte, la production de maïs du Brésil a souffert des conditions météorologiques extrêmes. La sécheresse a dévasté près de la moitié de toute la production dans certains endroits du pays. Avec 67 % de l'approvisionnement énergétique au Brésil provenant de centrales hydroélectriques, la sécheresse a affecté le montant que les agriculteurs devaient payer pour l'électricité.
Découvrez comment la crise de la chaîne d'approvisionnement affecte les agriculteurs du monde entier en lisant les derniers articles sur Harvest.news.
Les sources comprennent :
AgWeb.com
NationalHogFarmer.com
FarmProgress.com
https://www.naturalnews.com/2021-10-28-farmers-worried-supply-chain-crisis-affect-harvest.html
Julian Assange : une chronologie des événements
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 29 OCT 2021 - 04:15
Julian Assange, le cofondateur de WikiLeaks, a été arrêté et expulsé de force de l'ambassade équatorienne à Londres, après sept ans passés cachés dans les limbes diplomatiques et juridiques. Au cours de près d'une décennie, Assange a été accusé de trois crimes majeurs par trois gouvernements distincts. Premièrement, en 2010, il a été accusé d'avoir violé et agressé sexuellement deux femmes en Suède ; deuxièmement, il est accusé d'avoir violé les conditions de mise en liberté sous caution au Royaume-Uni ; et troisièmement, et plus récemment, il est accusé d'avoir enfreint la Computer Fraud and Abuse Act par le ministère de la Justice des États-Unis.
Les États-Unis enquêtent également sur lui pour espionnage, publication de documents gouvernementaux sensibles et coordination avec la Russie.
Comme le détaille Florian Zandt de Staista ci-dessous, la façon dont Assange s'est retrouvé à l'ambassade équatorienne a commencé avec la première accusation en Suède, qui a poussé Assange à quitter la Suède pour le Royaume-Uni. À la fin de 2010, il s'est transformé en forces de l'ordre britanniques et peu de temps après, il a été libéré sous caution. Cela a déclenché une série de batailles juridiques au Royaume-Uni pour savoir si le Royaume-Uni pouvait l'extrader vers la Suède. Assange craignait que le gouvernement suédois ne l'extrade ensuite vers les États-Unis, où il pourrait être accusé d'avoir divulgué par WikiLeaks des documents classifiés des guerres en Irak et en Afghanistan en 2010.
- voir sur site -
Infographie : Julian Assange : une chronologie des événements | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Après de nombreux appels, la Cour suprême du Royaume-Uni a décidé qu'Assange devait être extradé vers la Suède en 2012. Assange a ensuite demandé l'asile politique à l'ambassade d'Équateur à Londres, ce qui lui a été accordé plus tard la même année, lui permettant de rester à l'ambassade jusqu'à son arrestation en avril 2019. En 2017, le gouvernement suédois avait abandonné son enquête sur les allégations d'agression et de viol. À la fin de cette année-là, les États-Unis ont publié un acte d'accusation scellé contre Assange l'accusant de complot en vue de publier des documents américains classifiés.
Alors que ces batailles juridiques concrètes se déroulent, la bataille publique sur Julian Assange le symbole, se poursuit. Le cœur de sa pertinence symbolique repose sur la publication par WikiLeaks 2010 de documents militaires américains classifiés sur les guerres en Irak et en Afghanistan. Les défenseurs de la liberté de la presse considèrent ses arrestations et ses poursuites comme une attaque contre le journalisme d'investigation qui pourrait créer un dangereux précédent juridique s'il devait être jugé pour espionnage. Les partisans de la sécurité nationale considèrent les actions d'Assange comme une menace sérieuse pour les troupes et le pays.
RépondreSupprimerLe 24 février 2020, la première semaine de son affaire d'extradition a commencé au tribunal de la Couronne de Woolwich avec un ajournement prévu jusqu'au 18 mai. En toile de fond de la procédure judiciaire, Assange, détenu dans la prison voisine de Belmarsh depuis son arrestation en 2019, a connu une détérioration significative de sa santé, provoquant un groupe croissant de médecins du monde entier à lancer une série de plaidoyers. La plus récente - une lettre ouverte publiée dans The Lanceton le 17 février - exigeait "la fin (de ses) tortures et négligences médicales".
Ces problèmes médicaux et témoignages d'experts psychiatriques ont conduit la juge Vanessa Baraitser à se prononcer contre une demande d'extradition des États-Unis en janvier 2021.
Après qu'Assange a été déchu de la citoyenneté équatorienne qui lui a été accordée alors qu'il se cachait à l'ambassade du Royaume-Uni du pays, l'audience d'appel demandée par l'administration Biden concernant la décision d'extradition a commencé le 27 octobre. La procédure devrait durer au moins deux semaines, avec une décision finale très probablement encore retardée : après la fin des audiences de ce tour, la partie perdante a toujours la possibilité de faire appel devant la Cour suprême, ce qui prolongerait considérablement la bataille pour l'extradition d'Assange.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/julian-assange-timeline-events
Un rein de porc greffé avec succès sur une femme aux États-Unis
RépondreSupprimerle 29/10/2021 à 17:02 - Mise à jour à 17:03
Les porcs sont des donneurs d'organes très intéressants pour les êtres humains
Une équipe américaine a réussi à faire fonctionner un rein de porc sur une patiente en état de mort cérébrale. Une avancée importante dans les recherches sur les xénogreffes, ces transplantations d’organes d’animaux sur une autre espèce. Si elles posent de nombreuses questions éthiques, elles pourraient aussi sauver la vie de milliers d’êtres humains dans les années à venir…
Les porcs sont sans doute l’avenir de l’homme ! C’est en tout cas l’espoir d’un éminent spécialiste de la greffe d’organes américain, le Dr Robert Montgomery. Directeur du centre médical NYU Langone Health, il explique en effet dans les colonnes du New York Times, qu’un rein génétiquement modifié greffé sur une femme en état de mort cérébrale a fonctionné « presque immédiatement » et pendant trois jours : rattaché aux vaisseaux sanguins et maintenu en état de fonctionnement à l’extérieur du corps, ce rein porcin a montré qu’il assurait parfaitement son rôle de filtre. « Le taux de créatine de la patiente a retrouvé son niveau normal immédiatement après la greffe, ce qui montre que le rein assurait bien ses fonctions, explique le professeur Montgomery. Cela a donné des résultats encore meilleurs qu’avec certains reins humains de personnes décédées. » Une prouesse scientifique et, à terme, l’espoir de sauver des milliers de vies en attente d’un don d’organe : « Plus de la moitié des patients dialysés voient leur état se dégrader fortement ou meurent avant de pouvoir être greffés », poursuit le médecin.
L’expérience de l’équipe du Dr Montgomery pourrait mener à des greffes sur des patients vivants en stade avancé de déficience rénale d’ici à un deux ans.
Les xénogreffes posent des questions éthiques évidentes
Cependant, l’idée est loin de faire l’unanimité. Les animaux peuvent-ils être considérés comme des réservoirs de « pièces détachées » ? C’est inenvisageable pour les défenseurs des animaux, qui, à l’instar du porte-parole de la fondation Brigitte Bardot interrogé par Positivr, estiment que ce genre de recherche est tout simplement indigne.
La greffe d’organes d’un animal sur un autre animal (en l’occurrence ici, l’homme) est testée depuis des décennies. La première a eu lieu en 1984 : un bébé, surnommé « baby Fae », avait survécu 21 jours avec un cœur de babouin. Mais, c’est davantage vers les porcs que les recherches se sont depuis orientées : leurs organes sont de taille semblable à celles des humains.
D’ailleurs, nombre d'entre eux reçoivent déjà des valves cardiaques, de tendons, des morceaux de peau et même des rétines de porc en guise de greffons temporaires ou définitifs. En 2018, un babouin avait survécu six mois avec un cœur de cochon.
Au-delà de l’aspect éthique qui rebute certains, reste cependant aujourd’hui à répondre à d’importantes interrogations : une xénogreffe est-elle viable dans la durée ? Y a-t-il un risque pour qu’elle favorise le passage du virus du porc chez l’humain ? Pour le Dr Montgomery en tout cas, le risque reste moins important que celui de voir des patients en attente de greffe décéder faute de donneur…
https://www.francesoir.fr/societe-sante/un-rein-de-porc-greffe-avec-succes-sur-une-femme-aux-etats-unis
Les produits cosmétiques, shampooings, vaccins, etc, contiennent du porc.
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