mercredi 6 juin 2012
Pourquoi TEPCO satisfait-il les Dirigeants ? Parce que entre cons on se comprend mieux et que personne chez les 'élus' ne peut mieux faire que TEPCO. Donc, il est démontré que les dés son pipés d'avance, que l'on prend les mêmes et que l'on continu et, que ce soit des gouvernements de gauche ou de droite cela ne résout jamais le problème quelque soit le pays (les exemples ne manquent pas). Regardons simplement le déroulement des opérations quant à l'admission des candidats à la candidature aux élections présidentielles: il leur est demandé 500 signatures. Mais là attention - c'est là qu'est l'astuce - pas 500 signatures de n'importe qui ! (alors que c'est 'n'importe qui' qui est appelé ensuite à voter !!!) 500 signatures de maires ! Et pourquoi donc 'de maire' ? Parce qu'ils sont là les éléments les plus corruptibles qui puissent exister ! Quel maire va accorder sa signature à un candidat qui se dit 'révolutionnaire' au risque de ne plus recevoir le retour juste - pour sa commune - des impôts en cas de demande d'accord de crédit/subvention ?
Pourquoi ne demandent-ils pas à ce que ce soit le peuple qui signe a leurs places ? Pour la bonne et simple raison que les candidats soucieux de développer/prouver leurs performances n'hésiteraient pas à dépasser les quotas de 500 et en ramener des millions ce qui prouverait tout de suite tout l'intérêt que porte le peuple à la liberté !
Ainsi, la monarchie républicaine serait vite un lointain souvenir grâce à cette forme de révolution silencieuse et sans manifestation physique et qui - de plus - serait une forme de vote avant vote ou vote pré-électoral. Ainsi, ceux qui sont appelés à voter éliraient leur propre candidat plutôt que de reléguer cette tâche au premier magistrat de la ville qui est susceptible de corruption face à des 'candidats' choisis par les hommes de l'ombre et qui n'offrent le choix que d'être tous pareils ! (et aussi cons les uns que les autres). De sorte que de cette forme nouvelle à s'exprimer ne naîtrait pas une nouvelle république (dont rien que le nom dit bien ce qu'il veut dire) mais une liberté qui s'appellerait Démocratie. Ainsi la devise "Liberté, Égalité, Fraternité" ne serait plus un objectif à atteindre - et ressemblant plus à "demain on rase gratis" - (indéfiniment repoussé aux calendes grecques) mais une réalité présente comme "Travail, Famille, Patrie". Notez quand même que ce que je dis là, aucun candidat dit 'de l'opposition' (comme de la 'majorité') ne l'a proposé et pour cause !!!...
Ainsi, le peuple qui signe la demande de représentativité du candidat aux élections n'aurait-il rien à craindre contrairement aux maires qui peuvent se voir débarqués de leur fauteuil pour avoir ou pas soutenu tel ou tel candidat.
Donc, pour en revenir au 'TEPCO lointain', il est vrai que si cette situation avait lieu en autre pays les gestionnaires n'auraient pas attendus un an avant d'être mis en charpies ! Pareil où aux États-Unis le '9-11' n'aurait pas attendu plus de 10 ans pour avoir une réponse sur l'enquête sur les hologrammes et la déchéance du pays qui en a suivi. (après tout, n'ont-ils pas leur 'petit Fukushima' chez eux et appelé 'TSA' ?).
https://huemaurice5.blogspot.com/2012/06/les-fameuses-500-signatures.html
Les États-Unis mettent fin à l'aide étrangère aux pays de la «caravane» d'Amérique centrale; Guatemala, Honduras et El Salvador coupés
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 30/03/2019 - 20:00
L’administration Trump a coupé toute aide étrangère aux pays d’Amérique centrale que sont le Guatemala, El Salvador et le Honduras - pays du Triangle du Nord.
"Sur l'ordre du secrétaire, nous suivons les instructions du président et mettrons fin aux programmes d'assistance étrangère du Triangle du Nord pour les exercices 2017 et 2018", lit-on dans une déclaration du porte-parole du département d'État à The Hill.
Cette décision intervient après une déclaration vendredi de la secrétaire d'Etat à la Sécurité intérieure, Kirstjen Nielsen, qui a déclaré avoir signé un pacte régional "historique" avec le Triangle du Nord, visant à "lutter contre le trafic et le trafic d'êtres humains, à réprimer les criminels transnationaux alimentant la crise et à renforcer sécurité frontalière pour empêcher la migration irrégulière ".
Plus tard vendredi, le président Trump a déclaré que ces pays "mettraient en place" des caravanes de migrants, selon CNN.
"Nous leur payions des sommes énormes. Et nous ne les payons plus. Parce qu'ils n'ont rien fait pour nous. Ils ont mis en place ces caravanes", aurait déclaré Trump.
"Sur l'ordre du secrétaire, nous suivons les instructions du président et mettons fin aux programmes d'assistance étrangère pour les exercices 2017 et 2018 dans le Triangle du Nord", a déclaré un porte-parole du département d'Etat. "Nous engagerons le Congrès dans le cadre de ce processus."
Cette décision intervient après des informations controversées selon lesquelles la "mère de toutes les caravanes" se rassemblerait au Honduras. Mercredi, la secrétaire à l'Intérieur du Mexique, Olga Sánchez Cordero, a averti "Nous avons des informations selon lesquelles une nouvelle caravane est en train de se former au Honduras, qu'ils appellent" la mère de toutes les caravanes ", et ils pensent qu'il pourrait y avoir plus de 20 000 personnes."
Trump, quant à lui, n'a pas mâché ses mots vendredi, menaçant de fermer la frontière avec le Mexique s'ils n'arrêtaient pas les dernières caravanes.
En décembre, Trump a menacé de couper l'aide aux pays d'origine des caravanes et "ne fait rien pour les États-Unis si ce n'est de prendre notre argent".
Alors que les partisans de Trump ont salué cette initiative, d’autres ont suggéré que réduire l’aide étrangère déstabiliserait davantage la région et causerait des problèmes plus graves, notamment une migration accrue.
Sénateur Bob Menendez (D-NJ) - démocrate au classement au sein de la commission des relations extérieures du Sénat, a dénoncé le mouvement.
"Si elle était exécutée, la décision irresponsable du président Trump de couper notre aide à El Salvador, au Guatemala et au Honduras porterait atteinte aux intérêts américains et mettrait en péril notre sécurité nationale", a-t-il déclaré.
"L’aide étrangère américaine n’est pas une œuvre de charité; elle fait avancer nos intérêts stratégiques et finance des initiatives qui protègent les citoyens américains. Ce dernier mouvement signalé montre que l’administration ne comprend toujours pas que les États-Unis suppriment à leurs risques et périls l’aide étrangère vers l’Amérique centrale."
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-30/us-halts-foreign-aid-central-american-caravan-countries-guatemala-honduras-and-el
"C’est un effondrement à l’échelle du système" - La ville frontalière du Texas submergée par "l’afflux" de migrants en Amérique centrale
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 30/03/2019 - 18:00
Les démocrates se moquent des avertissements du président Trump au sujet d'une crise à la frontière sud comme une "fausse urgence" qui repose sur des chiffres "absurdes" sur le flux de migrants. Ils ont même essayé, sans succès, de mettre fin à sa déclaration d'urgence, ce qui a également déclenché une série de poursuites judiciaires, mais cela ne changera rien au fait que la première tranche de fonds provenant du mur élargi de la frontière de Trump a déjà été approuvée par le DoJ.
Et le moment n'aurait pu être mieux choisi, car le mois dernier, dans la presse, le nombre de familles de migrants déclarant l'asile entre deux points de contrôle frontaliers atteignant un record absolu a été repris par la presse traditionnelle. désastre à la frontière est soudainement devenu difficile à ignorer. Même le peso, qui avait pour la plupart échappé à ses menaces précédentes, a chuté quand Trump a annoncé qu'il fermerait la frontière la semaine prochaine si le Mexique n'essayait pas d'empêcher les illégaux d'entrer aux États-Unis.
Et dans le dernier rapport qui, comme les autres, sera difficile pour le public de céder à la terreur plus conservatrice, USA Today a publié samedi un article sur une ville frontalière où les ressources publiques ont été submergées par la libération des demandeurs d'asile. ville à un taux de plus de 800 par jour.
McAllen, au Texas, a connu une recrudescence d'afflux d'immigrants envahissant les églises et autres ressources de la communauté, ICE ayant été contraint de libérer davantage de demandeurs d'asile dans l'attente de leurs audiences d'immigration. Les abris ICE sont tout simplement devenus surpeuplés et l'agence, qui peut retenir les migrants jusqu'à 20 jours, soit plus longtemps que les 72 heures de la patrouille des frontières, a peu d'alternatives.
Sous un pont reliant les États-Unis au Mexique, des dizaines de familles de migrants s'entassent dans un camp de fortune créé par la douane et la protection des frontières des États-Unis. Les familles sont présentes parce que les installations de traitement permanent sont à court de ressources.
À sept cents kilomètres à l'est, bus après bus, des migrants épuisés et éreintés se rassemblent dans le centre humanitaire de répit humanitaire de Charities à McAllen, au Texas. Les organisateurs ont l'habitude de traiter 200 à 300 migrants par jour. Ces derniers temps, les migrants arrivaient à environ 800 vidéos par jour, débordant du centre de répit et pesant sur les ressources de la ville.
"C’est ahurissant", a déclaré Roy Rodriguez, directeur de la ville de McAllen. "Vraiment, nous n’avons jamais rien vu de tel."
Le long de la frontière entre le Texas et le Mexique - d'El Paso à Eagle Pass en passant par la vallée du Rio Grande - de nombreux migrants ont franchi la frontière en nombre sans précédent, submergeant les centres de rétention fédéraux et envoyant des dirigeants locaux et des volontaires se démener pour faire face aux vagues incessantes de personnes .
Alors que la patrouille des frontières s'apprêtait à appréhender 100 000 migrants au cours du mois de mars - un nouveau record mensuel - le commissaire aux douanes et à la protection des frontières, Kevin McAleenan, a déclaré mercredi lors d'un discours à El Paso que la frontière avait atteint son "point de rupture". Il a exhorté le Congrès à faire quelque chose - même s'il semble que la Chambre dirigée par les démocrates soit préoccupée par le blocage des efforts républicains visant à obtenir plus d'argent pour la sécurité des frontières. "L'augmentation du nombre de personnes accable tout simplement le système", a déclaré McAleenan.
Theresa Brown, directrice de la politique d'immigration et transfrontalière au Bipartisan Policy Center, qui était conseillère du CBP sous la présidence des présidents Obama et Bush, a dit encore plus brutalement: "Il s'agit d'un effondrement du système".
RépondreSupprimerLorsque les migrants qui ont réussi la première étape du processus d’asile arrivent à McAllen, ils sont généralement remis aux organisations caritatives catholiques de la ville, qui sont également devenues débordées.
À McAllen, les migrants considérés comme ayant des cas d’asile crédibles sont relâchés dans le centre de répit des organismes caritatifs catholiques, où ils ont le droit de prendre une douche, qui reçoivent des soins médicaux et qui leur permettent d’obtenir un billet de bus ou d’avion pour leur destination finale.
Sœur Norma Pimentel, qui supervise le refuge, a déclaré qu'elle avait reçu un appel téléphonique il y a deux week-ends d'un responsable de la patrouille des frontières lui annonçant que les chiffres étaient sur le point de monter en flèche. Le lendemain, environ 800 migrants se sont présentés au refuge, a-t-elle déclaré.
Mercredi, des groupes de migrants ont envahi les salles du centre. Les files d'attente s'étendaient dans les longs couloirs, tandis que les migrants attendaient d'utiliser la douche ou de prendre des couches. Des équipes de volontaires ont appelé les parents des migrants pour obtenir des billets de bus. Toutes les 20 minutes environ, un nouveau bus de tournée arrivait et amenait 50 autres migrants dans l'abri.
Alors que le centre de répit de l'organisme de bienfaisance commençait à déborder, la ville s'est impliquée, ouvrant de nouveaux abris et faisant appel à des bus de la ville. Les responsables locaux demandent des subventions fédérales aux sinistrés pour les dédommager des centaines et des milliers de dollars déjà retirés des coffres de la ville.
Malgré le béguin, Pim
Malgré la cohue, Pimentel a déclaré qu'elle continuerait à accueillir les migrants. "Si vous les déposez dans la rue, ils ne sauront pas quoi faire", a-t-elle déclaré. "Nous allons avoir le chaos. Nous allons avoir un problème terrible."
Lorsque le centre de répit a commencé à déborder la semaine dernière, les responsables de la ville se sont impliqués, en ouvrant de nouveaux abris et en achetant des bus pour amener les migrants directement aux abris au lieu de les regrouper autour de la gare routière du centre-ville.
Rodriguez, le directeur de la ville, a déclaré qu’il avait chargé plusieurs responsables de la ville d’aggraver le problème et que la ville dépensait des milliers de dollars des contribuables par jour en autobus et autres services.
Il a fait pression sur le gouvernement fédéral pour obtenir le remboursement, mais il n’a pas trop d'espoir. En 2014, quand un nombre similaire d'immigrants d'Amérique centrale ont mis à rude épreuve les ressources de la ville, les responsables locaux ont demandé 600 000 USD de fonds fédéraux pour les sinistres. Après des années de querelles, ils n'ont reçu que 140 000 dollars, a-t-il déclaré.
"Cela ressemble beaucoup à ce que nous avons vu à l'époque", a déclaré Rodriguez. "Ce sont de vraies personnes, en temps réel et en argent réel."
Nancy Pelosi, dites-nous encore une fois comment la crise frontalière est une "urgence inventée ?" ?
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-30/system-wide-collapse-texas-border-city-overwhelmed-surge-central-american-migrants
Enfants non vaccinés déchirés par leurs parents dans un raid effroyable tard dans la nuit SWAT
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 30/03/2019 - 22h30
Écrit par Dagny Taggart via le blog Organic Prepper,
Avertissement: Si vous vous souciez des droits parentaux, cette histoire vous rendra furieux.
Le 25 février, une mère enceinte a emmené son fils de 2 ans à la clinique du Southwest College of Naturopathic Medicine à Tempe, en Arizona, en raison d'une fièvre de plus de 100. Le médecin a demandé à la mère de l'emmener à l'urgence car il n'est pas vaccinée et elle craignait une méningite.
Le médecin a appelé la salle d’urgence du centre médical pour enfants Banner Cardon à Mesa pour leur faire savoir que le garçon arriverait.
Mais après avoir quitté le bureau du médecin, le garçon a montré des signes d’amélioration. Il riait et jouait avec ses frères et sœurs et sa température s'est rapprochée de la normale. Vers 18 h 30, la mère a appelé le médecin pour lui faire savoir que le tout-petit n’avait plus de fièvre et qu’elle ne le conduirait pas aux urgences.
En Arizona, les parents peuvent refuser les vaccinations pour leur enfant sur la base d'exemptions personnelles, religieuses ou médicales, mais la mère craignait toujours que le Département de la sécurité des enfants de l'Arizona (DCS) ne la poursuive. On ne peut lui reprocher d’avoir peur, car des familles non vaccinées ont été la cible de la répression dystopique et de la chasse aux sorcières.
Le médecin a assuré que son médecin ne viendrait pas la chercher. Selon les dossiers de la police, la mère a alors accepté d'emmener son fils à l'hôpital.
C’est à ce moment que la situation a pris une tournure particulièrement désagréable, rapporte AZCentral:
Environ trois heures plus tard, l’hôpital a contacté le médecin pour l’informer que l’enfant ne s’était pas présenté et que la mère ne répondait pas à son téléphone, d’après les dossiers de la police. Le médecin a contacté DCS.
Un agent chargé des dossiers du DCS a appelé la police de Chandler et "a demandé aux agents de vérifier le bien-être d'un bébé de deux ans", selon les dossiers de la police. Un travailleur social a dit qu'il se rendait à la maison.
Il était environ 10h30. lorsque deux policiers ont frappé à la porte de la famille. Les officiers ont entendu quelqu'un tousser.
L'agent Tyler Cascio a écrit dans un rapport de police qu'il avait frappé à la porte à plusieurs reprises, mais personne n'avait répondu. (la source)
La police a ensuite demandé à un voisin d'appeler la mère pour l'informer qu'elle souhaitait lui parler. Pendant ce temps, le père du garçon a contacté la police:
La police a dit aux policiers qu’un homme se trouvant à la maison avait appelé pour leur demander de l’appeler. Ils ont appelé et l’homme s’est identifié comme étant le père du garçon malade.
L'officier a déclaré qu'ils avaient informé le père qu'ils devaient entrer dans la maison afin que DCS puisse surveiller l'enfant. Le père a refusé, expliquant que la «fièvre de son fils avait éclaté et qu'il allait bien», selon les dossiers de la police. (la source)
Puis les choses ont dégénéré.
Malgré les efforts du père pour assurer la police que son enfant allait bien, les choses ont dégénéré.
L'intervenante a informé les agents que DCS prévoyait d'obtenir un «avis de garde temporaire» d'un juge afin de retirer l'enfant de l'aide médicale d'urgence.
RépondreSupprimerLes agents ont ensuite consulté le bureau des enquêtes criminelles de la police et le SWAT.
Oui, SWAT.
Je sais - c'est scandaleux et terrifiant.
Après 1 heure du matin, les agents ont ouvert la porte à la porte de la famille.
Un policier portait un bouclier, tandis qu'un autre avait été décrit comme ayant une «couverture meurtrière». Les policiers ont pointé leurs armes en criant «Département de police de Chandler» et sont entrés dans la maison.
Le père est venu à la porte. Les policiers l'ont menotté et l'ont emmenée avec la mère à l'extérieur. (la source)
Aucun des parents n'a été arrêté.
Les autorités ont emmené les trois enfants au centre médical Banner Cardon.
Arrêtons-nous ici un instant pour réfléchir à quelque chose: les autorités ont pris les enfants sous l’apparence de se soucier de leur bien-être. Le fait que des étrangers armés arrachant des enfants loin de leurs parents et de leurs frères et sœurs au milieu de la nuit puisse être, je ne sais pas - TRAUMATIQUE - ne semble pas leur avoir traversé l’esprit.
Incroyable.
Ensuite, le «processus judiciaire» a pris 10 jours.
Les parents ont dû attendre 10 jours pour voir un juge et commencer à se battre pour récupérer leurs enfants.
Les avocats des parents ont déclaré que les enfants ne s'étaient pas vus depuis qu'ils avaient été emmenés de la maison de leurs parents. Les parents n'avaient eu qu'une seule visite avec leurs enfants plus âgés. Les responsables de la DCS ont dit aux parents que le bambin ne pouvait pas se rendre à cette visite car il était à un rendez-vous médical.
L’avocat de l’état a déclaré que les enfants ne devraient pas encore être rendus à leurs parents car ils étaient hostiles aux travailleurs du DCS et n’avaient pas coopéré. Il a ajouté que les parents avaient assisté à une visite du DCS avec des membres du groupe de supervision du DCS d’Arizona, qui étaient combatifs à l’égard des travailleurs du DCS. Il a ajouté que le grand-père avait essayé de filmer une réunion avec DCS et que l'enregistrement n'était pas autorisé à protéger la vie privée des enfants. (la source)
DCS souhaitait que les parents subissent des évaluations psychologiques, le père devait subir un test de dépistage de drogue et les grands-parents ont accepté de vérifier leurs antécédents de manière à pouvoir devenir les gardiens temporaires des enfants.
Bien que tout dans cette affaire soit horrible, il y a quelques bonnes nouvelles.
La famille a un puissant allié:
La représentante Kelly Townsend, R-Mesa, qui a aidé à élaborer une législation exigeant que le DCS obtienne un mandat avant de retirer un enfant de leurs parents ou tuteurs dans des circonstances non urgentes, a déclaré qu'elle était scandalisée par la réaction de la police et des responsables du DCS dans cette affaire.
"Ce n'était pas l'intention (de la loi) que le niveau de force après l'obtention d'un mandat ait été de faire entrer une équipe SWAT", a déclaré Townsend. «Les images sont horribles. Qu'est-ce que notre pays est devenu maintenant que nous pouvons détruire la porte d'une famille qui a un enfant avec une forte fièvre qui n'est pas d'accord avec son médecin? "(Source)
RépondreSupprimerEn Arizona, DCS avait l'habitude de pouvoir retirer des enfants de leurs maisons sans mandat, mais cela a changé en juillet dernier lorsque les législateurs ont désigné des circonstances limitées pour retirer un enfant de leurs parents sans mandat:
Le SAD doit avoir des motifs probables de croire qu'un enfant court un risque imminent de préjudice et il n’ya pas d’alternative moins intrusive que le renvoi, ou le SDS doit avoir une cause probable de croire qu’un enfant est victime de violence sexuelle ou physique qui ne peut être évaluée que par des personnel médical…
… Les préoccupations relatives à l'utilisation abusive de lacunes dans le système par le DCS ont conduit à une deuxième série de lois en 2018. Les restrictions désignaient des «situations d'urgence» lorsque le DCS pouvait retirer des enfants sans mandat. Retrait de l’enfant doit être si grave qu’il n’ya plus de temps à utiliser le système électronique pour obtenir l’autorisation d’un juge disponible 24h / 24 et 7j / 7. (la source)
Townsend veut une révision de cette législation.
Townsend demande aux législateurs de revoir les procédures qui ont conduit la police à recourir à la force, à traumatiser une famille et à placer trois enfants sous la garde de l'État.
Elle a dit que le fait que DCS ait obtenu un mandat approuvé par le tribunal prouve qu’il n’y avait pas de danger critique.
En dehors du palais de justice, Townsend a déclaré qu’elle ne connaissait pas personnellement les parents mais avait été perturbée par l’affaire.
"Il a été porté à mon attention que ces parents pourraient avoir été ciblés par la communauté médicale car ils n'avaient pas vacciné leurs enfants", a-t-elle déclaré.
Townsend a déclaré que les parents qui ne vaccinent pas leurs enfants pour des raisons médicales ne sont pas des criminels et ne devraient pas être traités comme tels. Elle craignait que les médecins l'utilisent comme raison de renvoyer les parents à la DCS.
"Je pense que si DCS décidait d'utiliser cela comme facteur, ils violeraient le droit d'un parent de bénéficier d'une exemption personnelle, d'une exemption pour religion et peut-être d'une exemption pour soins médicaux", a-t-elle déclaré. (la source)
La famille veut avertir les autres à propos de DCS.
Le père a envoyé à la République une déclaration. Sa famille a peur, dit-il, mais ils se sentent obligés d'avertir les autres familles:
Nous avons vécu une expérience très traumatisante lors de notre rencontre avec DCS. Nous aimerions que les autres parents sachent et se rendent compte de la quantité d’énergie dont dispose DCS pour le bien-être de vos enfants. Même si nous restons confiants en notre innocence grâce à notre cause, il est immédiatement difficile de savoir quoi faire ou ne pas faire. Même si vous n'êtes pas d'accord avec eux ou avec le processus dans lequel ils suivent.
Nous pensions qu'ils n'avaient pas le droit de surveiller nos enfants parce qu'ils allaient mieux, d'après ce qu'ils avaient entendu dire pour la dernière fois. Nous étions dans notre maison en train de soigner nos enfants malades et nous ne voulions pas être dérangés par cette période difficile de la maladie. Avec plusieurs enfants, il est difficile de subvenir à leurs besoins quand ils sont malades, et être dérangé au milieu de la nuit par DCS n'était pas quelque chose que nous étions prêts à aborder.
RépondreSupprimerPeu importe ce que nous pensions être juste, cela a été tragique avec l'enlèvement de tous nos enfants. À notre avis, le processus d'éloignement était injustifié et nous aimerions voir la législation / le processus évoluer en ce qui concerne l'enlèvement rapide d'enfants.
Nos enfants ont vécu une expérience traumatisante et espèrent ne pas avoir été blessés psychologiquement ou émotionnellement, car nous sommes une famille très heureuse qui s'aime et qui ferait n'importe quoi les uns pour les autres.
Nous espérons voir un résultat positif pour notre procès, mais nous nous inquiétons de ce que les enfants ont été. Nous souhaiterions que le SDS fasse une sorte d’annonce de service public pour informer les autres parents que cela pourrait leur arriver, car personne, en particulier les enfants, ne devrait avoir à subir ce que nous traversons. Nous aimons nos enfants et faisons tout notre possible pour nous les renvoyer. (la source)
"Qu'en est-il du droit des parents de décider de ce qui convient le mieux à leur enfant ?", A déclaré Townsend. «Les parents ont estimé que l'enfant allait bien. La prochaine chose que nous savons, la Gestapo est à leur porte. "
Les trois enfants ont été placés chez leurs grands-parents et les parents peuvent les voir mais ne savent pas quand ni s'ils vont les récupérer.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-30/unvaccinated-children-torn-parents-horrifying-late-night-swat-raid
« Légitimité de l’autodéfense », d’Éric Werner
RépondreSupprimerSi l’État, qui tire sa légitimité de la protection des personnes, n’en assure plus la sécurité, il ne leur reste plus d’autre choix que de recourir à l’autodéfense, ce qui est contraire aux intérêts de l’État.
Par Francis Richard.
31 MARS 2019
« Les pages qui suivent traitent d’une espèce particulière de guerre, celle dont le sujet est l’individu lui-même […]. Traditionnellement c’est l’État qui est le sujet de la guerre. »
Car, avant, d’aucuns parlaient de la détention par l’État du monopole de la violence physique légitime. C’est lui qui faisait la guerre à l’ennemi et qui la lui déclarait. Il en était le sujet.
Maintenant des groupes affrontent l’État asymétriquement en menant contre lui une guerre de partisans qu’ils considèrent comme légitime. Et cette guerre peut se réduire à celle d’un individu.
Face à l’insécurité qui en résulte le discours officiel est de dire, non pas de se défendre, mais de s’adapter. À la défense il faudrait préférer la résilience, un autre mot pour l’adaptation à la réalité.
Le devenir des milieux naturels est fait de déséquilibres en chaîne. Les affaires humaines seraient analogues, sauf que l’Homme a besoin de stabilité et qu’il n’y parvient qu’en se défendant.
Si l’État, qui tire sa légitimité de la protection des personnes, n’en assure plus la sécurité, il ne leur reste plus d’autre choix que de recourir à l’autodéfense, ce qui est contraire aux intérêts de l’État.
L’individu agit alors comme bon lui semble pour se protéger et protéger sa famille. Puisqu’il décide de se défendre ou non s’il est attaqué, c’est lui qui devient ou redevient le sujet de la guerre.
Se défendre peut signifier ne pas livrer bataille. Face à un puissant, il est judicieux de privilégier la retraite flexible, le repli stratégique ; c’est le début d’une errance, transitoire pour cet animal social.
Face au développement de l’État qui dispose d’un grand nombre d’informations sur lui, l’individu a les moyens de gagner en invisibilité, de gagner en autonomie, de disparaître des radars.
Le rôle de l’État est d’assurer la sécurité. Il maintient l’ordre par la contrainte. Il y a de plus en plus recours, mais ce recours est à géométrie variable et parfois illégal, le temps d’adopter une loi.
Éric Werner remarque, à raison, que très peu d’États aujourd’hui, dans le monde, échappent à la corruption. Mais il en donne une explication qui est en contradiction avec ce qui précède. Il écrit :
« Ce trait s’est encore renforcé au cours de la période récente, avec le triomphe de la vague néolibérale et l’effacement corrélatif de l’ancienne sphère étatique et le monde des affaires ».
Ce qu’il appelle triomphe de la vague néolibérale n’a en effet rien à voir avec le libéralisme, néo ou pas, mais tout à voir avec une lame de fond étatiste qui se traduit par le capitalisme de connivence…
Dans le même esprit, Éric Werner remet en cause la libre circulation des personnes et des biens :
« Les frontières disparaissent et avec elles la protection qu’elles offraient autrefois aux populations. »
Dans Libéralisme, paru en 2000, Pascal Salin explique que l’État moderne étatise (s’approprie) la nation (qui est sentiment d’appartenance à une communauté), son territoire et ses citoyens. Ce qui est aberrant
Le problème insoluble de l’immigration est la conséquence de cette étatisation, de la production collectiviste de biens publics, fournis gratuitement ou à coût réduit à ceux qui se trouvent sur le territoire.
RépondreSupprimerA contrario, dans une société libre, où les droits de propriété individuels sont respectés,
« la liberté de migration ne signifie (…) pas qu’un « étranger » a le droit d’aller là où il veut, mais qu’il peut aller librement là où on veut bien le recevoir… »
Dans la conclusion de son livre où il convoque l’histoire et des penseurs classiques, Éric Werner écrit :
« Descartes disait : je pense donc je suis. C’est déjà quelque chose. On peut aussi dire, comme Elsa Dorlin : je réplique donc je suis. C’est presque mieux encore. »
Il ajoute :
« Beaucoup ont fait ce choix, ne pas penser. L’État les y aide de différentes façons. Mais on peut faire ce qu’a fait Descartes, se mettre à penser… »
Éric Werner, Légitimité de l’autodéfense, 112 pages, Xenia
https://www.contrepoints.org/2019/03/31/340462-legitimite-de-lautodefense-deric-werner
En Algérie, «l’armée ne destitue Bouteflika que pour remettre le pouvoir au peuple»
RépondreSupprimer09:23 31.03.2019
Pour Akram Kharief, analyste algérien spécialiste des questions de sécurité, l’allusion du chef de l’armée algérienne à la disposition constitutionnelle affirmant que le «peuple est la source de tout pouvoir» est une réponse à ceux qui l’accusaient de vouloir destituer le Président pour prendre le pouvoir.
Le chef d'état-major de l'armée algérienne, Ahmed Gaïd-Salah, a déclaré samedi 30 mars, que la solution à la crise qui secoue l'Algérie ne peut être envisagée en dehors des articles 7 et 8 de la constitution, qui font notamment du «peuple, la source de tout pouvoir».
Ces dispositions devront être mises en œuvre conjointement avec l'article 102 de la constitution qui permet de déclarer l'état d'empêchement du chef de l'État, notamment «pour cause de maladie grave et durable.»
L'article 7 de la constitution algérienne dispose que «le peuple est la source de tout pouvoir. La souveraineté nationale appartient exclusivement au peuple». L'article 8, de son côté, énonce que le «pouvoir constituant appartient au peuple». Celui-ci pouvant exercer «sa souveraineté par l'intermédiaire des institutions qu'il se donne.»
«C'est une réponse à ceux qui l'accusaient d'avoir utilisé l'article 102 de la constitution pour faire un coup d'État. C'est une façon de dire qu'il ne destitue Abdelaziz Bouteflika que pour remettre le pouvoir au peuple», analyse pour Sputnik Akram Kharief, analyste politique algérien et expert des questions de sécurité.
Le 25 mars, le chef d'état-major de l'armée, qui occupe en même temps le poste de vice-ministre de la Défense, s'était prononcé pour l'application de l'article 102 de la constitution, en déclarant inapte le Président algérien, 82 ans, et gravement diminué depuis le printemps 2013.
Le Président de la République, qui cumule les fonctions de ministre de la Défense, n'a pas réagi, jusqu'à samedi soir, à cet appel lancé par son subordonné hiérarchique.
Par ailleurs, le Conseil constitutionnel n'a pas encore donné suite à l'appel du chef d'état-major, en manquant de se prononcer, sur l'état d'empêchement du Président de la République.
«L'article 7, qui dispose que le peuple est la source de tout pouvoir et que la souveraineté nationale appartient exclusivement au peuple, pourrait ainsi avoir été cité par le chef d'état-major afin d'inciter le Conseil constitutionnel à enclencher la procédure visant à reconnaître l'état d'empêchement du Président», estime, pour sa part, Massensen Cherbi, ATER en droit public à Sciences Po Toulouse.
Les Algériens ont manifesté en grand nombre, vendredi 29 mars, pour la sixième semaine consécutive, pour dire leur refus de la perpétuation du «système» et d'une transition conduite par les figures de l'actuel régime, telle que prévue par la constitution.
Beaucoup ont invoqué l'article 7, pour exprimer leur préférence de la «table rase», en dénonçant des «demi-mesures», voire des «manœuvres» de la part du pouvoir.
D'autres ont accueilli favorablement l'appel du chef d'état-major de l'armée, à condition qu'elle soit assortie d'un certain nombre de garanties allant dans le sens de leurs revendications de changement.
Le général de corps d'armée Gaïd-Salah a affirmé de son côté, que «la majorité du peuple algérien, à travers les marches pacifiques, a accueilli favorablement la proposition de l'ANP [Armée nationale populaire, ndlr] ».
«Toutefois, certaines parties malintentionnées s'affairent à préparer un plan visant à porter atteinte à la crédibilité de l'ANP et à contourner les revendications légitimes du peuple», a dénoncé le général Gaïd-Salah, sans préciser, s'il s'agissait, ou non, de partisans de l'actuel Président de la République.
RépondreSupprimerL'Algérie connaît, depuis le 22 février, une vague de contestation inédite, née de l'annonce par M.Abdelaziz Bouteflika, au pouvoir depuis 1999, de sa candidature à un cinquième mandat consécutif.
L'ampleur des manifestations, et le ralliement de larges pans de la société algérienne à la contestation populaire, ont contraint le pouvoir à multiplier les concessions.
Après l'annonce d'un cinquième mandat «écourté» et l'organisation d'une conférence nationale souveraine chargée d'élaborer une nouvelle constitution, la présidence a proposé un report de la présidentielle, jusqu'à l'adoption d'une nouvelle loi fondamentale.
Ces différentes propositions, annoncées par des lettres présidentielles, n'ont pas convaincu un grand nombre d'Algériens qui ont continué à manifester massivement pour exiger le départ inconditionnel du «régime».
https://fr.sputniknews.com/afrique/201903311040559575-algerie-bouteflika-destitution-armee-peuple-pouvoir/
Ne nous leurrons pas ! L'Algérie est une république, ("Le pouvoir au Peuple" Hahahaha !) donc: dans la même merde que la France puisque le Peuple (sévèrement réprimé comme en France quand il ose ouvrir sa gueule) n'a AUCUN pouvoir contrairement à une Démocratie où c'est le Peuple qui propose SES propres lois et vote SES propres lois !
SupprimerN’ayons plus peur de la Chine !
RépondreSupprimerLa Chine a besoin du reste du monde plus que le reste du monde n’a besoin de la Chine.
Par Yves Montenay.
31 MARS 2019
L’époque est à la crainte de la Chine. C’est un peu tard à différents sens du terme. C’est un peu tard par ce qu’il y a longtemps que nous aurions dû nous réveiller. Mais c’est un peu tard aussi parce que notre crainte de la Chine est de moins en moins justifiée au fur et à mesure que ses fragilités s’accentuent. D’ailleurs la parole chinoise est maintenant beaucoup moins brutale et se veut séduisante.
Commençons par une brève histoire de l’image de la Chine en Europe, pour illustrer que nous avons toujours temps de retard dans nos analyses.
L’OCCIDENT A TARDÉ À COMPRENDRE LA RUINE DE LA CHINE PAR MAO
Beaucoup imaginaient que la prise de pouvoir des communistes en 1949 allait enfin mettre de l’ordre dans ce pays déchiré par la guerre civile et ruiné par l’invasion japonaise. Pas du tout : derrière une campagne de communication à destination de l’Occident pour donner une image raisonnable du nouveau régime, avait lieu une sévère répression avec 5 millions de propriétaires terriens exécutés, puis, en 1957, la campagne des « Cent fleurs » pour que les opposants se démasquent et soient ensuite éliminés…
Puis « le grand bond en avant » (1958-60), regroupement des kolkhozes en immenses exploitations censées s’industrialiser, fut de nouveau bien vendu à l’Occident, alors que les dirigeants en connaissaient l’échec et éliminaient Mao en mai 1961.
Enfin « La révolution culturelle » (1966-76) fut vécue avec enthousiasme à Saint-Germain-des-Prés alors qu’il s’agissait d’une reprise sanglante du pouvoir par le même Mao détruisant ce qui restait de l’économie, de l’enseignement et de pans entiers de la civilisation chinoise. Dans Une vie chinoise, un ancien garde rouge raconte qu’il paierait très cher aujourd’hui pour récupérer un morceau des multiples chefs-d’œuvre qu’il avait détruits alors. La Chine était tombée à un niveau de pauvreté extrême.
… ET A TARDÉ ÉGALEMENT À COMPRENDRE SON REDRESSEMENT
Les réformes de plus en plus libérales (par rapport à l’époque Mao) conduisirent à un rattrapage tout à fait normal. Le reste du monde vit d’abord dans la Chine un réservoir de sous-traitants bon marché, puis « l’usine du monde » puis, en exagérant à peine, « le nouveau modèle économique mondial » destiné à abattre des démocraties cafouilleuses, tant économiquement que militairement et culturellement.
Avec à chaque fois un temps de retard : les sous-traitants se révélèrent des entreprises dynamiques et certains sont maintenant des géants, « l’usine » se révélait de plus en plus qualifiée, lançait des entreprises mondiales, couvrait la mer de Chine du Sud de navires militaires et menaçait Taiwan. D’où un mélange d’admiration et de crainte qui est en gros l’état d’esprit actuel.
… ET ENFIN À EN RÉALISER LES LIMITES
Cependant dès juin 2014, je publiais un article intitulé « Quand la Chine s’effondrera », suivi d’une série d’autres analysant les progrès impressionnants mais absolument pas miraculeux, les tricheries statistiques gonflant la croissance, la décadence démographique et, plus récemment, le changement de cap politico-économique avec l’arrivée du président Xi qui rend la Chine plus dangereuse à court terme mais probablement plus faible à long terme.
Parallèlement, quelques mois après ce premier article, et de manière plus en plus précise, les observateurs de terrain constataient concrètement les incohérences statistiques et les points faibles que nous allons évoquer, et qui sont parfaitement connus des dirigeants chinois.
L’OFFENSIVE AMÉRICAINE COMME RÉVÉLATEUR
RépondreSupprimerDepuis un an, le Premier ministre chinois, Li Keqiang, multiplie les discours alarmistes : montée du chômage, hostilité américaine, et allusion à des « problèmes graves, intérieurs et extérieurs ». Il a rappelé que la Chine était toujours « un pays en développement », beaucoup moins riche par tête que les États-Unis.
Il semble que l’offensive de Donald Trump ait surpris et ébranlé les dirigeants chinois. Cette offensive verbale mais aussi économique comprend l’augmentation des droits de douane sur les produits chinois importés aux États-Unis. Augmentation en partie réalisée et en partie brandie comme menace si la Chine persiste dans le pillage technologique et les multiples brimades infligées aux entreprises étrangères.
Cette offensive de Donald Trump comprend également le blocage de plusieurs acquisitions d’entreprises américaines par des entreprises chinoises et l’arrestation au Canada de la directrice financière de Huawei à la demande des États-Unis.
Cette entreprise est certes privée, mais soumise de mille façons à la tutelle de Pékin et notamment juridiquement obligée par la loi chinoise de coopérer au renseignement politique. La Chine a même craint un moment un embargo sur les semi-conducteurs américains qui aurait gravement menacé son industrie.
LA CHINE EST MALADE DE SA POLLUTION ET DE SON VIEILLISSEMENT
Un autre « grave problème » soulevé par le Premier ministre chinois est celui de l’intense pollution de l’air, de la terre et de l’eau, qui suscite chaque année des milliers d’émeutes locales. Le pouvoir central est résolu à s’y attaquer, mais manque de moyens car des échelons exécutifs sont largement corrompus par les pollueurs. Et on voit venir le moment où ce ne seront plus les États-Unis, mais la Chine et l’Inde qui seront pointés du doigt comme empoisonnant la planète.
Il faut revenir aussi sur la faiblesse démographique, invisible à court terme mais déterminante à long terme. Le pouvoir a enfin réussi à démanteler la puissante organisation imposant l’enfant unique, source de pouvoir et de corruption. Mais la fécondité n’est pas remontée, et si la population augmente encore doucement avec le nombre de vieillards, celui des actifs diminue depuis plusieurs années, ce qui rend plus que jamais nécessaire une hausse rapide de la productivité individuelle.
ET L’ACCENTUATION DU TOTALITARISME EST CONTRE-PRODUCTIVE
Mais c’est justement en matière de productivité que le règne quasi dictatorial du président Xi est contre-productif : le retour à l’autorité du parti même dans les entreprises privées, la préférence aux entreprises d’État qui prive le secteur privé de financements, l’encadrement social généralisé par reconnaissance faciale qui permettra de noter chaque individu et « la Grande muraille » qui coupe l’Internet chinois du reste du monde ne peuvent, à mon avis, que peser sur la productivité tant physique qu’intellectuelle. Et cette analyse politique qualitative, souvent ignorée par les hommes d’affaires « s’intéressant au concret », est de plus en plus répandue chez les observateurs plus politiques de la Chine.
Enfin les grandes visées impériales comme « les routes de la soie » (BRI : belt and road initiative) ou la « Chinafrique », si elles sont toujours appréciées comme une source de financement et d’infrastructure par les pays pauvres, commencent à susciter des craintes et des réactions.
Tout cela mène la Chine a une attitude plus prudente, qui n’est peut-être qu’un simple changement de présentation.
UNE DIPLOMATIE DE L’INFLUENCE ET DU CHÈQUE
Le président Xi est arrivé à Paris avec un beau cadeau à Emmanuel Macron et Angéla Merkel : la commande de 300 Airbus franco-allemands. Il venait de promettre de grands investissements portuaires à l’Italie dans le cadre des routes de la soie. Il espère que cela divisera l’Europe.
Les banques chinoises avaient déjà arrosé l’Afrique de chèques, sans poser les questions stupides des Occidentaux sur l’usage de l’argent et les droits de l’homme. Pas de folie toutefois, il s’agit de prêts finançant des infrastructures, dont la réalisation est confiée à des entreprises chinoises.
RépondreSupprimerCela a le double avantage de faciliter l’accès aux matières premières dont la Chine a besoin et d’utiliser les surplus de sa production industrielle, l’acier par exemple, pour atténuer les problèmes des entreprises d’État. Et en prime, on ferme les yeux sur les « fuites » au bénéfice des amis politiques des pays « amis ».
Il n’y a pas que les chèques aux États. À l’image des États-Unis de jadis et de l’Arabie Saoudite d’aujourd’hui, le soft power (l’influence politique par la culture) est en marche. Depuis plusieurs années les Instituts Confucius se multiplient, les agences de presse et télévisions chinoises multiplient les informations, et maintenant les films dans les principales langues de la planète.
Les accréditations de journalistes étrangers en Chine sont difficiles, mais les recrutements de journalistes chinois pour l’étranger se comptent par centaines. La Chine est même candidate à la direction de l’Unesco pour la presse. L’association Reporters Sans Frontières accumule les exemples permettant d’accuser la Chine de mettre en place un système mondial de l’information à son profit, alors qu’à l’intérieur les journalistes et autres défenseurs des droits doivent obéir au doigt et à l’œil et sinon vont rapidement en prison, où ils peuvent mourir faute de soins.
Et tout cela est l’occasion de la poursuite de « la diplomatie par le chèque » à l’échelon individuel ou professionnel cette fois par la multiplication des bourses d’études en Chine ou le financement d’écoles de journalisme à l’étranger.
UNE NOUVELLE GUERRE FROIDE ?
Tout cela rappelle des souvenirs précis à ma génération, qui a vécu la guerre froide à une époque où l’URSS n’était pas encore discréditée. Le système était loin d’être aussi performant que proclamé, les faiblesses internes s’accroissaient, mais le reste du monde était sidéré par un mélange de crainte et d’admiration. C’était la même guerre d’influence qu’aujourd’hui contre les systèmes démocratiques et libéraux, guerre froide en Europe, mais très chaude ailleurs dans le monde.
Le tournant psychologique a eu lieu en 1979 avec l’invasion de l’Afghanistan par l’URSS pour y soutenir le régime communiste menacé. L’URSS remplaçait les États-Unis dans le rôle du « vilain », l’effrayante armée rouge se révélait inefficace ; dix ans après tout s’écroulait.
Le parallèle est tentant, mais la Chine a appris des déboires de l’URSS et surveille de très près tout ce qui pourrait ressembler à des faiblesses sur le plan intérieur. Surtout ne pas se lancer dans « la glasnost et la perestroïka » (en gros, la liberté de l’information) de Gorbatchev. De plus le succès économique est là, même s’il faut le relativiser.
Toutefois la crispation autoritaire actuelle du régime, si elle lui donne une liberté d’action bienvenue par rapport à des démocraties empêtrées dans leurs problèmes internes, me paraît un très lourd handicap à moyen terme.
À moins que le président Xi n’ait quelques ennuis, s’étant fait trop d’ennemis… sinon, il va falloir jouer serré, et notamment exiger la réciprocité à chaque pas ! Déjà Pékin a reculé en adoptant une loi limitant le pillage technologique, et a médiatisé un procès gagné par une firme étrangère. Comme à l’époque de la guerre froide, il ne faudra pas se contenter de bonnes paroles et ne pas hésiter à revenir sur une facilité accordée si la réciproque n’a pas suivi dans les faits, malgré les beaux discours. La Chine a besoin du reste du monde plus que le reste du monde n’a besoin de la Chine !
https://www.contrepoints.org/2019/03/31/340432-nayons-plus-peur-de-la-chine
(...) La Chine a besoin du reste du monde plus que le reste du monde n’a besoin de la Chine ! (...)
SupprimerCe qui totalement faux ! La Chine a plus fait pour le bien de l'Afrique que tous pays durant des siècles de colonisation et 'd'après colonisation' !
La Chine a cet avantage sur tout autre pays d'avoir beaucoup de monde (1 milliard 400 millions d'habitants !), et, comme toujours, existes les pourcentages. Pourcentages de gens incultes comme pourcentages de gens instruits. Et, dans ce pourcentage de gens instruits existe forcément plus de grosses têtes que partout ailleurs !
De plus, il y a les robots ! Robots refusés en Europe et en Amérique pour 'sauver des emplois'. Or, on s'est tous aperçu que c'était bien le contraire et que les robots (nouveaux esclaves autorisés) sont nécessaires ! Ils travaillent gratos pour vous 24/24 h ! Qui dit mieux ? Personne !
C'est-à-dire que cette avancée est irrattrapable par 'le reste du monde' comme disait Mr Sylvestre aux Guignols de l'info.
Le réchauffement climatique va-t-il provoquer une catastrophe imminente ?
RépondreSupprimerle 31 mars 2019
Traduction d’un éditorial paru le 28 mars 2019 dans le Los Angeles Times sous la plume de Myron Ebell (note en fin de billet).
Selon Donald Trump la science climatique doit être auditée par des experts.
Le Président Trump a souvent dit qu’il ne pensait pas que le changement du climat était une menace alors même que son administration continuait à publier des rapports officiels l’avertissant que c’était le cas. Le Président saura qui a raison en convoquant une commission de haut niveau (Presidential Commission on Climate Security, PCCS) pour procéder à un examen critique de la quatrième évaluation du climat (IPCC, Fourth Climate Assessment, Novembre 2018) ainsi que d’autres rapports gouvernementaux. Curieusement, la plupart des sciences du climat financées par le gouvernement fédéral (US) n’ont jamais fait l’objet d’un examen aussi rigoureux et exhaustif comme il est courant de traiter d’autres questions scientifiques importantes ou d’ingénierie.
Par exemple lorsque la NASA a préparé son projet d’alunissage d’astronautes sur la Lune chaque pièce d’équipement et chaque calcul étaient soumis à un examen sous tous les angles possibles tout simplement parce que si quelques chose se passait mal alors la mission échouerait. Des scientifiques éminents tels que par exemple le Professeur William Happer de Princeton ont mentionné à maintes reprises de graves problèmes et faiblesses dans le domaine de la climatologie officielle. Ils ont ensuite été écartés par les organismes fédéraux chargés de produire les rapports d’évaluation, alors que, paradoxalement, les conclusions et prévisions de ces rapports climatologiques officiels constituent la base des politiques énergétiques qui pourraient coûter des des dizaines de milliers de milliards de dollars au cours des décennies à venir.
Compte tenu de l’ampleur des coûts potentiels il est tout simplement stupide de faire confiance aux processus bureaucratiques qui ont abouti à un consensus officiel. Ainsi, l’examen que doit entreprendre la Commission sur la sécurité climatique présidée par Donald Trump se fait attendre depuis longtemps. Ne mentionnons que trois problèmes majeurs parmi bien d’autres qui devraient être examinés.
Premièrement, les modèles informatiques utilisés depuis près de 30 ans ont prédit une réchauffement beaucoup plus important que ce qui a été observé au cours des 40 dernières années. Pourquoi tous ces modèles ont échoué et pourquoi sont-ils toujours utilisés sont des questions importantes.
Deuxièmement, les prévisions des divers impacts négatifs du réchauffement, tels que l’élévation du niveau de la mer, sont dérivées de scénarios extrêmement irréalistes et les impacts positifs, tels que les tempêtes hivernales moins violentes, sont minimisés ou ignorés. À quoi ressemblerait un inventaire plus honnête de tous les impacts possibles du changement climatique ?
Troisièmement, les ensembles de données sur la température de surface semblent avoir été manipulés pour montrer un réchauffement plus marqué au cours du siècle dernier qu’il ne l’a été en réalité. La nouvelle commission devrait insister pour que le débat se base sur des données scrupuleusement fiables.
Depuis que la nouvelle de l’examen proposé a été divulguée en février dernier, la bureaucratie fédérale chargée du climat et ses alliés du complexe industriel climatique ont lancé une campagne acharnée pour y mettre un terme. À première vue cela semble déroutant. Si les alarmistes sont convaincus que la science contenue dans les rapports officiels est parfaite, ils devraient se féliciter d’un examen qui dissiperait enfin les doutes qui ont été exprimés. D’un autre coté, leur opposition suggère que la science derrière le consensus sur le climat est hautement suspecte et ne peut résister à un examen critique. En d’autres termes il colportent des « fake news » et sont sur le point d’être découverts. Un comité de presse émanant d’un groupe de pression alarmiste était intitulé : « 58 hauts responsables de l’armée et de la sécurité nationale dénoncent la commission d’examen sur le climat ». Dénoncer une évaluation par un expert semble une réponse tout à fait inappropriée, et en particulier une réponse conçue pour être ouverte et sujette à un examen approfondi par d’autres experts tels que les Académies nationales des sciences.
RépondreSupprimerC’est à se demander si des groupes de pression environnementaux ont déjà dénoncé la réalisation d’une autre examen environnemental comme par exemple celui du pipeline Keystone XL qu’ils tentent de stopper. Deux éminents défenseurs de l’alarmisme face au réchauffement de la planète ont récemment publié un éditorial dans lequel ils accusent l’administration Trump d’utiliser une ‘tactique stalinienne » pour tenter de discréditer le consensus sur la science du climat.
Espérons que ces individus ne sont pas aussi ignorants de la science qu’ils le sont de l’histoire. Ce sont ces mêmes personnes qui soutiennent l’orthodoxie climatique et sont opposés à un débat ouvert sur cette question qui utilisent une tactique stalinienne.
Myron Ebell est directeur du département Energie et Environnement au sein du Competitive Enterprise Institute. Il peut être contacté à l’adresse suivante : CEI, 1310 L Street NW, Washington DC, 20005 USA
Note. La mise en place de la « PCCS » a été l’élément initiateur de la violente campagne démocrate menée par « AOC », membre de l’aide ultra-gauche du parti démocrate pour mettre en place le « Green New Deal ». Selon l’éminent Professeur William Happer il n’existe aucune évidence d’un danger climatique :
https://youtu.be/Gm8WJLR28Ys
Et si c’était Donald Trump qui sera le prochain prix Nobel de la Paix pour avoir démoli l’imposture, planétaire maintenant, de l’effet néfaste du gaz carbonique sur le climat ?
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/03/31/le-rechauffement-climatique-va-t-il-provoquer-une-catastrophe-imminente/
« Bienvenue les vers de terre »... bienvenue à la bande annonce
RépondreSupprimer30 Mars 2019 ,
par Seppi
Quel plaisir d'avoir trouvé cette bande annonce sur le site du Réseau Mondial des Agriculteurs !
Et quel plaisir, encore plus grand, de la visionner ! On attend le document entier avec impatience...
Et tant qu'à faire, je reproduis l'ensemble du commentaire du site Vimeo :
« Le documentaire "Bienvenue les vers de terre" aborde comme sujet l'agriculture de conservation et de régénération des sols. Cette agriculture a une dimension historique en étant un changement complet de paradigme dans la façon de cultiver la terre et dans l’objectif que se fixe cette agriculture. Un objectif qui est de maintenir un équilibre entre des choix économiques, sociaux et environnementaux.
C’est une rupture dans l’histoire des hommes qui pour la première fois depuis qu’ils cultivent le font en régénérant les sols et non pas en les épuisants.
Réaliser ce documentaire a donc été un véritable défi par la diversité des enjeux et des acteurs. Le film aborde le sujet en s’appuyant sur les témoignages d’agriculteurs.
Si vous souhaitez soutenir la production de ce film, produit par l'association IDÉtorial, il est possible d'envoyer vos dons à l'ordre d'IDÉtorial, rue du château 46350 Payrac.
http://seppi.over-blog.com/2019/03/bienvenue-les-vers-de-terre.bienvenue-a-la-bande-annonce.html
Propagande pour bobos. Ils pensent que les vers de terre (Supermans souterrains) vont remuer la terre mieux qu'une charrue, bêche ou griffon ! HAHAHAHA !
SupprimerPuuuuutaing ! Ils ont du boulot !!
Le CIRC, les « experts » et les avocats prédateurs : les Bâtards du Benzène (1)
RépondreSupprimer30 Mars 2019
par Seppi
Épisode 3/7 du SlimeGate : épisode 2/4 de l'arnaque des cherche-beurre – première partie
Risk-monger*
Notre ami le Risk-monger s'est lancé dans une série à tiroirs de longs articles qui m'ont plongé dans un abîme de perplexité s'agissant de la traduction des jeux de mots.
Voici l'un des derniers de la série, que je traduis en premier parce qu'il me semble essentiel : la corruption du CIRC et ses « liens » avec des avocats prédateurs états-uniens est une longue histoire... et en l'occurrence un long et passionnant article.
« SlimeGate » ne pose pas de réel problème. Le slime est une pâte gluante visqueuse, souvent colorée et très malléable. Cela décrit bien le processus de déliquescence dans lequel le CIRC est embarqué.
Pour « Tort-Tort », le Risk-monger a écrit qu'il s'agissait de « récidivistes de la recherche prêts à abandonner le processus scientifique approprié pour obtenir des paiements lucratifs et des jets privés ». Ils se font leur beurre en se mettant au service des avocats prédateurs en tant que consultants scientifiques pour leurs procédures et témoins experts. Allons pour « cherche-beurre »
Enfin, « Prédatort » désigne les « avocats prédateurs », les cabinets spécialisés dans la tort law, le droit de la responsabilité civile. Ils montent des affaires contre des défendeurs aux poches profondes en recrutant des plaignants qui ne paieront pas d'honoraires aux avocats mais toucheront (éventuellement, en cas de succès) une partie des dommages-intérêts. Ces avocats investissent donc dans une procédure, dans l'espoir de toucher le pactole à la suite soit de jugements, soit d'une transaction extrajudiciaire.
Cette pratique de rémunération au pourcentage des dommages-intérêts – illustrée au cinéma par Erin Brockovich – est interdite en France. Mais il se développe une pratique un peu similaire, illustrée par les « pisseurs involontaires de glyphosate » : des plaintes individuelles sont organisées et centralisées par une association qui s'assure le concours d'un avocat (et, grâce aux médias, une belle publicité qui favorise le recrutement de plaignants et une pression sur le processus judiciaire).
Erin Brockovitch relatait une affaire dans laquelle le défendeur était vraiment en tort. Mais la « litigation industry » – l'industrie du contentieux – crée maintenant son fond de commerce avec le concours de scientifiques prompts à devenir des cherche-beurre. Une étude suggère-t-elle qu'un médicament augmente le risque d'une maladie ? Les avocats prédateurs sont sur le coup et les cherche-beurre font la queue devant les cabinets. On peut en savoir plus sur cette association à profits mutuels en visitant le site de M. Nathan A. Schachtman (également conseillé aux amateurs de droit, de science et de statistiques).
Voici donc la première partie de l'épisode 3/7 du SlimeGate : épisode 2/4 de l'arnaque des cherche-beurre.
(Source)
La deuxième partie du chapitre « l'arnaque des cherche-beurre » de « SlimeGate » n’est pas seulement une illustration de la violation délictuelle des procédures scientifiques à des fins d'enrichissement personnel, mais aussi une mise en accusation de la façon dont le CIRC a abandonné l’intégrité académique et contribue sciemment à la stratégie des avocats prédateurs. Un petit réseau de scientifiques prospérant en tant que consultants en contentieux semble contrôler le CIRC en fonction des opportunités de lancer des procès en responsabilité civile. Cet exposé sur le benzène fournira l’historique de ce qui est probablement arrivé aussi au glyphosate. Il révélera les points suivants :
RépondreSupprimerLes scientifiques qui travaillent avec des cabinets d'avocats spécialisés en droit de la responsabilité civile, et faisant valoir l'effet néfaste sur la santé d'un produit ou d'une substance, contraignent le CIRC à produire des monographies dans le but d'accroître leurs opportunités de gains en tant que consultants en contentieux ;
Les responsables du CIRC en sont conscients et sont complices du processus ;
Des scientifiques déclarant ouvertement des avantages financiers découlant de leurs relations avec les cabinets d'avocats prédateurs sont toujours autorisés à servir en tant que membres de panels (groupes de travail) de monographies du CIRC ;
La liste des substances de la monographie 112 a été étendue au glyphosate sur la base d'une décision apparemment artificielle. Il ne fait guère de doute que le même processus de « persuasion » de la part des avocats prédateurs a été appliqué à la monographie du glyphosate et à celle(s) portant sur le benzène ;
Le CIRC a récemment mis à jour – discrètement – plusieurs publications liées aux monographies afin de masquer ou de modifier les informations sur les conflits d'intérêts des membres des groupes de travail correspondants ;
Cette agence de l’OMS accorde une préférence préjudiciable à son réseau de « Good Old Boys », de vieux copains (notamment au profit des membres du Collegium Ramazzini) et s’appuie sur eux pour littéralement attaquer toute personne qui interpelle le CIRC.
° o O o °
Le benzène est omniprésent dans la vie occidentale moderne. Lorsque vous remplissez le réservoir de votre voiture, vous respirez des vapeurs contenant des traces de benzène. On en trouve des émanations issues de la pétrochimie dans les plastiques, les caoutchoucs et les peintures d'usage courant. Le benzène est présent dans les savons, les produits pharmaceutiques, les cosmétiques, les vêtements et les meubles. Certains prétendent qu'il est détectable dans les cigarettes électroniques. Mais nous y sommes exposés à des doses si faibles (et de plus en plus faibles) que nos dispositifs de détection précis ont du mal à trouver des données d'exposition significatives.
Le benzène a été associé à diverses formes de cancer, mais à quelle dose et pour quelle durée d'exposition ? On estime qu’aux États-Unis, jusqu’à 238.000 personnes pourraient avoir contracté un cancer résultant d’une exposition professionnelle au benzène. En dehors d'une exposition professionnelle directe, la population n'est pas menacée par des contacts de bas niveau avec le benzène (et comparé à d'autres expositions quotidiennes à des agents cancérigènes courants, une telle peur du benzène est ridicule… de nombreux activistes y succombent donc).
Bien qu'il soit absurde de penser que la population devrait vraiment s'en inquiéter, il y a un groupe de scientifiques (principalement des statisticiens et des épidémiologistes) qui croient que tout niveau d'exposition au benzène, aussi petit soit-il, causera le cancer. Ils ont fait une belle carrière en prêtant leur crédibilité aux cabinets d'avocats prédateurs qui réclament des dommages et intérêts aux producteurs et aux utilisateurs de benzène. Ce sont les Bâtards du Benzène.
RépondreSupprimerComment utiliser une agence des Nations Unies à des fins de profits personnels
Le Centre International de Recherche sur le Cancer, le CIRC, a publié trois monographies déclarant le benzène comme cancérogène du groupe 1 (cancérogène certain). Cela peut sembler être une utilisation excessive des ressources de l'agence, à moins que l'on considère l'avantage que le CIRC procure aux plaideurs américains en matière de responsabilité civile. SlimeGate est une série d'articles (qui deviendront peut-être un livre) montrant comment ces avocats prédateurs ont besoin de nouveaux liens scientifiques entre produits ou substances et cancers, comment le CIRC est devenu le pivot de leur modèle économique et comment un groupe de scientifiques (cherche-beurre) du réseau du CIRC influencent le CIRC et les régulateurs pour le compte de ces cabinets d'avocats prédateurs.
Les monographies du CIRC sur le benzène ont servi de preuves pour des poursuites en responsabilité civile invoquant les effets du benzène sur la santé. [ma note : il y a quatre monographies qui traitent du benzène, ce qui est exceptionnel : 29 (groupe de travail en 1981, publication en 1982 – quelques substances chimiques industrielles et colorantes), 45 (groupe de travail en 1988, publication en 1989 – expositions professionnelles dans le raffinage du pétrole ; pétrole brut et principaux carburants pétroliers), 100F (groupe de travail en 2009, publication en 2012 – agents chimiques et risques professionnels) et 120 (groupe de travail en octobre 2017, publication en ligne en décembre 2018 – benzène).] Il est intéressant de noter que de nombreux cabinets d’avocats impliqués dans la course au butin sur le benzène se sont engagés dans cette course une fois que le pot de miel de l'amiante a été vidé. Le second rapport sur le benzène publié par le CIRC n’a toutefois pas permis de lier suffisamment la substance au lymphome non hodgkinien (LNH) et certains cherche-beurre ont estimé que les niveaux d’exposition dangereux étaient trop élevés. Alors que les cabinets d’avocats prédateurs alignaient un grand nombre de victimes du LNH qui pouvaient prétendre qu'il était lié à une exposition au benzène (qui n’a jamais inhalé de vapeurs émanant de produits contenant du benzène ?), il a fallu établir un lien. Solution : le CIRC devait revoir sa copie et produire une nouvelle monographie du benzène (pour le plus grand plaisir des avocats prédateurs) qui établirait un lien clair entre le benzène et le LNH.
Des scientifiques tels que Bernard Goldstein, Peter Infante et Martyn T. Smith se remplissent les poches en tant que consultants dans les litiges en matière de responsabilité civile liés au benzène depuis plus d'une décennie. Tous les trois ont participé au groupe de travail de 2009 du CIRC sur, en partie, le benzène (monographie 100F) et se sont tous plaints de la qualité des travaux du CIRC sur cette monographie. Infante a publié un article en 2010 exigeant que le CIRC révise sa monographie de 2009 sur le benzène (100F). Straif et d'autres membres du CIRC ont répondu qu'ils avaient confiance en la qualité de leur travail et qu'ils ne réexamineraient pas la recherche.
RépondreSupprimerIl y avait en fait un quatrième cherche-beurre, Melvyn Kopstein, qui a aussi tenté de mettre du beurre dans les épinards et consolider sa pension personnelle en obligeant le CIRC à revenir sur ses positions et à rouvrir la monographie du CIRC sur le benzène afin d'ouvrir la voie à davantage de poursuites judiciaires ; mais Straif a rejeté l'idée de but en blanc en 2015. Kopstein, frustré, s'est adressé aux médias pour raconter son histoire (ignorant à quel point le fait qu'il soit un cherche-beurre animé par la cupidité déshonorait la profession scientifique). Les Bâtards du Benzène avaient beau être d’accord avec les arguments de Kopstein et sympathisaient avec lui, ils (et Straif) ne le laissèrent pas entrer dans leur bac à sable. Je suppose que si vous ne faites pas partie de leur cercle Ramazzini, vous ne pouviez pas être autorisés à « partager le gâteau ».
- voir tableau sur site -
En 2015, Kurt Straif a été clair : le CIRC ne réexaminera pas le benzène !
Dans un message non signé, le CIRC a fermement réfuté les doutes suscités sur ses procédures dans l'article de Reuters sur le benzène. Il voulait en bref que tout le monde s'en aille.
Détourner les procédures du CIRC
Kopstein ne représentait pas l’industrie des avocats prédateurs et n’avait aucun lien avec le CIRC ; il a été facile de l'ignorer. Mais l'argument tenait toujours : une monographie du benzène plus stricte se traduirait par de meilleurs gains dans les procédures judiciaires. Les cabinets d’avocats ont laissé la tâche de créer un lien entre le LNH et le benzène aux trois Bâtards du Benzène (mais comme les victimes du cancer étaient recrutées en vue de procès, le temps était compté). Donc, un an plus tard, en 2016, la question a été soulevée à nouveau.
Cette section est fondée sur des documents récents obtenus en vertu des FOIA (Freedeom of Information Acts, dispositions sur le droit d'accès à l'information) qui ont révélé certaines des conversations des protagonistes du CIRC sur la troisième [ou quatrième] décision relative à la monographie du benzène.
Goldstein et Infante ont été chargés de faire pression sur le responsable du programme des monographies du CIRC, Kurt Straif, afin qu’il convoque un nouveau groupe d’experts du CIRC sur le benzène, en faisant valoir que cela était essentiel car, sans l'ensemble des preuves liant le benzène à un lymphome non hodgkinien (LNH), il serait « plus difficile pour les plaignants de poursuivre les industriels en justice ».
…tout cela pour faire les poches de l’industrie avec tous ces frais de conseil en contentieux, et rien d'autre !
Goldstein a-t-il eu l'impression que le rôle du CIRC est de produire des documents dans le but de multiplier les litiges « pour mettre l'industrie dans un mode préventif ». Traitez-moi d'idiot, mais j'avais toujours pensé que c'était à l'autorité de réglementation de décider, et non à un groupe de scientifiques liés à des cabinets d'avocats disposant et d'un réseau à Lyon. Dans tous les cas, le point était clair pour Kurt Straif. En tant que responsable du programme des monographies du CIRC, il devait faire appel à un autre groupe de travail sur le benzène pour que les poursuites judiciaires puissent se multiplier aux États-Unis. Bernie et Peter pouvaient en tirer profit car ils « extraient la justice » de l'industrie.
Le grossier courrier électronique de Goldstein se poursuit par une leçon à Straif sur les processus de réglementation et les philosophies de prévention :
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Désolé, Bernie, retourne à l'école. L'identification de dangers est pratiquement inutile pour la prévention.
Je pourrais écrire un article expliquant simplement à quel point Goldstein se trompe en ce qui concerne les risques et les dangers, les processus réglementaires et la prévention (je garde cela pour un débat de la société d'analyse des risques (SRA)) ; mais pour le propos de cet article, il est clair que le motif pour une nouvelle monographie du benzène était d'aider les cabinets d'avocats prédateurs à poursuivre l'industrie à plus grande échelle. Ce message a été envoyé à Straif sur le ton de « faites-moi une faveur ».
Mais Kurt Straif n'était pas du tout disposé à cela. Il savait que le but d’une monographie du CIRC sur le benzène et le LNH était de faire plaisir à aux prédateurs. Straif a répondu, une fois de plus comme l'année précédente (mais plus poliment), qu'il n'y avait aucune intention de produire une monographie supplémentaire.
Et même si Kurt avait voulu aider ses camarades de Ramazzini à se nourrir dans l'auge, il ne ne l'aurait pas pu. Le responsable du programme des monographies doit respecter les procédures internes appropriées du CIRC. Le rapport du comité consultatif du CIRC de 2014 (présidé par le toujours neutre et impartial Chris Portier) n'avait pas recommandé de nouvelle monographie du benzène dans ses priorités pour les cinq années suivantes, le dossier étant clos. Sachant combien Straif a déclaré publiquement que le CIRC était meilleur que l'EFSA ou le BfR dans la mesure où il dispose de règles et de procédures, il aurait été très embarrassant pour Kurt de les violer pour aider des amis dans une situation économique difficile.
Comme le CIRC n’avait pas l’intention de produire une nouvelle monographie du benzène, le responsable du programme des monographies du CIRC, Kurt Straif, avait besoin d’un peu de « persuasion ». Goldstein et Infante produisirent un poster sur les liens entre le LNH et le benzène qu'ils présentèrent devant 2.000 scientifiques lors de la conférence du 50e anniversaire du CIRC en 2016 (Goldstein a même été si arrogant qu'il a dicté au CIRC le moment choisi pour sa présentation pour que cela cadre avec ses envies personnelles). Straif a été prévenu qu'ils allaient venir à Lyon pour faire pression pour une nouvelle monographie du benzène. Les procédures peuvent toujours changer lorsque les opportunités sont lucratives...
Aucun fonctionnaire scientifique intègre ne se laisserait manipuler par des cherche-beurre égoïstes, et mesquins en chasse pour des honoraires de consultance… ou peut-être pas. Peut-être que l'on pouvait persuader Kurt en personne !
Cinq mois plus tard, en novembre 2016, le CIRC annonçait une réunion de monographie sur le benzène… à nouveau. Ka-ching ! Bingo !
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La troisième monographie du benzène a été publiée en décembre dernier [2018] et elle établissait les liens avec le LNH nécessaires pour plaire aux avocats prédateurs et faire avancer leurs nombreuses poursuites judiciaires en matière de benzène/LNH. Mission accomplie.
C’est peut-être pour cette raison que Kurt Straif n’est plus à la tête du programme des monographies du CIRC depuis… décembre dernier. La seule chose qui déplaise à cette nouvelle est que Kate Guyton, la seule personne au CIRC qui soit encore plus cavalière en matière de procédures et de conduite morale que Straif, dirige maintenant le programme des monographies. Curieusement, le groupe des monographies étant composé exclusivement de femmes, qu'est-ce que cela signifie maintenant pour le réseau des «vieux copains» ? S'agit-il simplement d'un affichage symbolique de vertu ou Elisabete [Weiderpass] a-t-elle quelque chose en tête ?
Pourquoi Kurt devait partir
RépondreSupprimerLe responsable du programme des monographies du CIRC a cédé à la pression des Bâtards du Benzène et, agissant en dehors du protocole habituel de l'agence, il s'est empressé de publier une nouvelle monographie sans objet autre que d'aider ses amis à identifier encore davantage d'opportunités de poursuites lucratives et de leur permettre d'apporter leur expertise. Il s’agit là d’un avantage certain pour les scientifiques du réseau du CIRC qui arrondissent leurs retraites en tant que cherche-beurre.
Mais ce n'est là que le premier scandale.
Le processus des monographie du CIRC consiste à fournir des études fondées sur les recommandations en matière de priorités du comité consultatif externe (celui dont Kurt a confié la présidence à son ami Chris Portier). En 2015, aucune autre monographie du benzène n'avait été recommandée (je suppose que Portier était en train de se renseigner sur les types de revenus qu'un cherche-beurre pourrait générer). Portier lui-même co-présidait le groupe de travail sur la monographie 100F du CIRC (sur le benzène). Par conséquent, si une nouvelle monographie était nécessaire, il l'aurait certainement pris en compte lors de la rédaction du rapport sur les priorités.
J’ai contacté Kurt Straif au début de l’automne pour obtenir sa réponse concernant l’oubli de procédure concernant la production d’une troisième monographie, mais il a répondu à mes messages par le silence. Je suppose que je ressemble à Voldemort (celui dont le nom ne peut pas être prononcé) à ces fonctionnaires ridiculement impuissants qui estiment ne pas avoir à répondre à qui que ce soit. Straif savait ce qui se passait avec la course au butin des cherche-beurre et y participait. L'hypocrisie est ici totale et scandaleuse.
Pire encore, pour le glyphosate, Straif a utilisé sa position pour attaquer d'autres agences (qui avaient correctement évalué les risques), indiquant même qu'il était inquiétant de voir que ces agences étaient influencées par des sociétés telles que Monsanto, tout en alimentant la bête immonde des avocats prédateurs avec des mensonges et de la mauvaise science. Bon débarras !
Mais juste au moment où vous pensez que le CIRC ne pourrait pas sombrer plus profondément dans la honte, quelque chose d'autre apparaît pour que même le plus optimiste Risk-monger hoche la tête.
Un cherche-beurre a un conflit d'intérêts
Si vous êtes payé 500 dollars de l’heure pour préparer et présenter des dépositions et témoigner devant un tribunal, en tant que témoin expert pour les plaignants poursuivant des organisations pour des cancers qu’ils auraient contractés suite à une exposition à certaines substances, et que vous présentez ensuite votre candidature pour siéger dans un groupe de travail du CIRC, produire une monographie reliant cette substance aux cancers pour lesquels vous êtes payés, il semble évident que vous êtes en situation de conflit d'intérêts. Il y a bien souvent des millions de dollars en jeu, et il faut que « les choses aillent comme on veut »
Martyn T. Smith (qui tiendra également un rôle important dans la troisième partie de ce chapitre) en est un bon exemple. Au moment de la deuxième monographie du benzène du CIRC, en 2009, Martyn avait de lucratives activités annexes. Voir ci-dessous une liste des dépositions (la plupart liées au benzène) tirée de son CV de cette période et demandez-vous s'il avait le temps de faire autre chose. Les dépositions impliquent généralement la fourniture de documents de recherche et d'informations de base (beaucoup plus s'il y a une audience Daubert [une procédure par laquelle le juge décide, en dehors de la présence du jury, de l'admissibilité de témoignages et de preuves d'experts ou de scientifiques et de preuves techniques]) et peuvent prendre des mois. Le CV de Smith ne mentionnant que deux cours de toxicologie, Berkeley n’a peut-être pas eu trop besoin de lui à l’époque.
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Au moins un million de dollars d'honoraires pour des dépositions sur le seul benzène (Source : CV de Smith)
Compte tenu de cet investissement personnel dans les litiges, Martyn T. Smith ferait encore mieux si le CIRC renforçait son évaluation du cancer du benzène.
Il est tout à fait possible que de nombreux cherche-beurre aient une « prédisposition pour la vertu ». Certains pensent qu'ils servent l'humanité en aidant les victimes à obtenir réparation. Il y a un fort parti pris anti-industrie dans la communauté de l'épidémiologie, donc je peux supposer que de nombreux cherche-beurre ont trouvé la foi et se considèrent comme des « anges » rendant la justice. Qu'ils en tirent grand profit, n'est que « de l'aumône généreuse pour les croisés ».
Voici un exemple de feuille de temps pour la préparation et la rédaction d'un rapport d'expertise unique (remise par Chris Portier à Weitz & Luxenberg pour sa déposition sur le glyphosate).
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Multipliez ce montant par 16 et vous pourrez avoir une idée des chiffres de base pour Smith ; et c'est avant même que le cherche-beurre se présente devant un tribunal pour y déposer. Une prédisposition pour la vertu ? Désolé, Martyn, je regarde ces chiffres et je vois les choses différemment.
Du PDF original de Lancet Oncology
Smith et Bernie Goldstein ont eu l'audace de participer au deuxième groupe de travail du CIRC en 2009, alors même qu'ils servaient en tant que consultants des cabinets d'avocats poursuivant des fabricants de benzène (au moins Infante a reconnu le conflit et n'a assisté qu'en tant qu'observateur). Plus audacieuse encore est la façon dont Smith a admis avoir pris de l’argent à la fois de la défense et des plaignants dans le cadre de poursuites concernant le benzène.
Comment ces cherche-beurre n'ont-ils pas pu reconnaître que le fait de recevoir des centaines de milliers de dollars par cas pour déposer et attester que le benzène est un cancérogène, est considéré comme un conflit d'intérêts quand il s'agit de déterminer si la substance est effectivement un cancérogène ? Pire encore, comment le CIRC a-t-il pu non seulement accepter ces deux personnes dans son groupe de travail, en pleine connaissance de cause, mais encore l'annoncer fièrement (voir la publication dans Lancet Oncology) ?
RépondreSupprimerEn soi, ce mépris flagrant pour les règles régissant les conflit d’intérêts qui a présidé à l’engagement de Goldstein et de Smith montre à quel point le programme des monographies du CIRC et ses responsables peuvent être aussi déraisonnables que cavaliers en ce qui concerne les règles, la méthodologie et les principes éthiques en faveur de certains de leurs « bons vieux copains ». Gardez à l'esprit que ce conflit d'intérêts n'est rien comparé au caractère moralement répugnant de l'obligation faite au CIRC de tenir une réunion d'une semaine pour produire une monographie et améliorer leurs chances de décrocher des contrats de consultance auprès des cabinets d'avocats auxquels ils sont liés.
Mais vous n'avez pas encore tout vu !
Et pour ménager le suspense (et la vue du traducteur), c'est à suivre…
http://seppi.over-blog.com/2019/03/le-circ-les-experts-et-les-avocats-predateurs-les-batards-du-benzene-1.html
SupprimerLe lobbying est énorme ! Monsanto a dû sentir le vent venir et a vite refilé son entreprise à l'Allemagne qui va - sous dictature de Bruxelles - interdire le désherbage des cultures ! C'est-à-dire (ne le cachons pas): la FIN de l'agriculture !
Vous voulez manger ? Il vous faut BEAUCOUP de sous ! BEAUCOUP ! Car, toute l'alimentation de demain sera importée de pays où tous les traitements sont autorisés (même les plus toxique ! Hahaha !) et collés d'une étiquette 'Merde Super-bio' ! Hahahaha !
L’utilisation de charbon en Chine explose, les États-Unis sont le premier pays au monde en matière de réduction de gaz carbonique, des médias alarmistes dissimulent tout cela et bien plus encore
RépondreSupprimer30 mars 2019
Larry Hamlin
Dans le monde farfelu et scientifiquement dépourvu d'alarmes climatiques et de hystérie médiatique, le public est menacé d'affirmations selon lesquelles notre pays doit se suicider sur les plans économique et politique en abandonnant tout combustible fossile producteur de gaz carbonique, sinon le changement climatique provoquera la destruction de la planète.
Le fait que cette arnaque purement politiquement élaborée soit motivée par des projections de modèles informatiques défectueux et ratés que le GIEC américain a proclamé il y a longtemps comme étant irréalisable est malhonnêtement caché du public par les alarmistes du climat et leurs agents de propagande médiatique.
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Les alarmistes du climat ont également soigneusement dissimulé à la vue du public le fait que, contrairement aux États-Unis, les pays en développement du monde contrôlent non seulement la croissance future de la consommation d'énergie et des émissions de gaz carbonique de la planète, mais également que la croissance future de l'énergie et des émissions des États-Unis est sans importance pour l'avenir. croissance mondiale de ces deux critères.
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En outre, les partisans des alarmistes du climat ne voient pas que l'opinion publique et les pays en développement du monde soient non seulement à l'abri de la consommation future d'énergie et de la croissance de leurs émissions, mais également du fait que les États-Unis sont en train de conduire tous les pays du monde à réduire les émissions de gaz carbonique de leur marché. une politique énergétique extrêmement efficace et couronnée de succès, contrairement à ce qui s'est passé avec les échecs de la politique énergétique de l'UE.
Aucun autre pays n'a été en mesure de réduire ses émissions de gaz carbonique autant que les États-Unis au cours de la dernière décennie, avec plus de 870 millions de tonnes métriques d'émissions de gaz carbonique réduites jusqu'en 2017 par rapport aux niveaux record de 2007, les projections de l'EIE prévoyant une nouvelle augmentation à 1 milliard de tonnes métriques en réductions d'ici 2050.
En comparaison, l'UE et l'Allemagne, leader du marché, et son programme de transition vert «Energiewende» extrêmement coûteux n'ont réussi à réduire les émissions de gaz carbonique qu'environ 260 millions de tonnes au cours de la dernière décennie, ce qui est bien inférieur à ses objectifs initiaux.
Les projections d’émission d’EIE montrent que les États-Unis ont réduit leurs émissions de gaz carbonique de plus de six fois d’ici à 2050 par rapport à l’Union européenne, avec ses systèmes d’utilisation écoénergétique et défaillants sur la base d’économies d’énergie coûteuses et peu fiables.
Aux États-Unis, les énormes réductions d’émissions ont été obtenues principalement en remplaçant l’utilisation de combustible à base de charbon par un combustible à coût réduit, d’efficacité supérieure et à moindre émission obtenu grâce à la technologie de fracturation.
Les alarmistes du climat occultent également l'opinion publique de l'échec politique majeur récent de l'UE qui a dû abandonner complètement ses plans visant à fixer des objectifs et des engagements spécifiques pour le climat-climat de l'an 2050 pour tous les pays de l'UE.
RépondreSupprimerContrairement aux États-Unis, où la consommation et les émissions de charbon ont diminué, la Chine, qui domine et dirige la croissance mondiale de la consommation d'énergie et des émissions, accélère désormais son utilisation accrue du charbon, comme récemment souligné ci-dessous, où de nouvelles données ont révélé la nouvelle politique énergétique adoptée. augmentation de l'utilisation du charbon.
«La Chine s’est engagée à plusieurs reprises à réduire sa dépendance au charbon, source majeure de smog et de gaz à effet de serre qui réchauffe le climat, et a ramené la part du charbon dans son bouquet énergétique total, passant de 68,5% en 2012 à 59%.
Cependant, des images satellitaires montrent que la Chine a «repris tranquillement» la construction en 2011 de dizaines d'installations précédemment classées, ce qui en fait une «exception flagrante au déclin mondial», indique un rapport conjoint des groupes environnementaux Global Energy Monitor, Greenpeace et Sierra Club.
Le rapport a averti que la Chine pourrait construire 290 GW supplémentaires, soit plus que la totalité de la capacité de charbon des États-Unis, tout en restant dans les limites du plafond de 1 300 GW proposé par le Conseil de l'électricité de Chine pour la production nationale d'électricité à partir de charbon. groupe industriel influent.
La Commission nationale pour le développement et la réforme de la Chine et son administration nationale de l’énergie n’ont pas immédiatement répondu aux demandes adressées par télécopie pour commenter les conclusions du rapport. "
La Chine a pris ces mesures malgré les affirmations politiques bidon de la Californie selon lesquelles la Chine est le partenaire de l’État dans la lutte contre le «changement climatique».
Le nouvel accent mis par la Chine sur l’augmentation de la consommation de charbon est bien entendu masqué de la part du public par la propagande alarmiste des médias sur le climat.
La Chine est de loin le plus gros consommateur de charbon, de même que les autres pays de la région Asie-Pacifique, qui dominent l’utilisation mondiale du charbon, ainsi que des émissions croissantes qui dominent complètement les niveaux d’émission de gaz carbonique dans le monde.
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La Chine et les pays en développement connaissent une croissance considérable et dominent déjà la consommation d'énergie et les niveaux d'émissions, dictés par l'utilisation de charbon, démontrent à quel point les accords de Paris «mondiaux» étaient parfaitement incompétents et irréfutables et démontraient de manière concluante qu'il s'agissait d'un pur charabia politique destiné à et à tort justifier l'augmentation du pouvoir mondial dans la bureaucratie élitiste non élue de l'ONU.
Ici aux États-Unis, les deux conspirations alarmistes sur le climat qui reposent sur des affirmations alarmistes non fondées scientifiquement ne reposant que sur des spéculations et des conjectures fondées sur des modèles informatiques invalides, associées à l'absence de pertinence mondiale de la consommation énergétique et de la croissance des émissions aux États-Unis, dissimulent les principales avancées américaines en matière de réduction des émissions. et une campagne politique diabolique menée par des alarmistes et leurs alliés politiques qui tentent de détruire nos libertés et possibilités d'améliorer notre vie et celle de nos enfants et des générations futures.
Les alarmistes téméraires et hystériques du climat et leurs facilitateurs médiatiques dissimulent malhonnêtement le rôle de premier plan mondial des États-Unis dans la réduction des émissions au cours de la dernière décennie, dissimulent les réductions d'émissions supplémentaires prévues aux États-Unis, dissimulent les avantages extraordinaires de notre politique énergétique axée sur le marché, qui augmente l’utilisation du gaz naturel pour réduire la consommation de charbon, réduire les coûts énergétiques et améliorer l’efficacité énergétique, dissimuler les projections spéculatives et climatologiques sous-jacentes au modèle informatique invalide et supprimer le fait que la consommation, les émissions et la croissance énergétiques des États-Unis ne sont pas pertinentes pour la planète. niveaux à la fois maintenant et plus encore à l'avenir.
RépondreSupprimerLes alarmistes du climat ont inventé des schémas et des affirmations factices sur l’énergie et les émissions qui méritent clairement d’être rejetés et le plus tôt sera le mieux.
https://site-qui-n'accepte-pas-les-commentaires-vrais
Le Gros mensonge vient des éléments dits pollutifs. Ils mélangent à souhait les pollutions de particules où ces dernières ne disparaissent pas et les gaz qui se recyclent continuellement et ne représentent donc aucune pollution sinon en ville où les constructions d'hautes maisons sont faites pour empêcher la ventilation de se faire et en locaux fermés.
SupprimerIl ne faut donc pas confondre les particules diesel qui sont mortelles mais dont les dictateurs s'en moquent continuellement et ne vont surtout pas les interdire et, le gaz carbonique qui est absorbé par la végétation qui nous fournit l'oxygène et le phytoplancton présent dans les eaux de pluies, de brouillards, flaques, lacs, mers & océans qui le transforme en nano-particules de carbone (charbon).
Il est temps de réparer les dégâts causés par le grand mensonge du réchauffement climatique en commençant par l’avertissement de Voltaire
RépondreSupprimer"Si vous souhaitez converser avec moi, définissez vos termes." - Voltaire
Dr. Tim Ball
30 mars 2019
Le grand mensonge que les humains causent le changement climatique se propage à mesure qu'il est promu par ceux qui ont un agenda politique et utilisent une technique familière pour piéger des personnalités de premier plan. Cette pratique est une forme d'argument fallacieuse appelée Argumentum Ad Verecundiam définie comme
… Un appel au témoignage d’une autorité extérieure à son domaine de compétence particulier.
La dernière personnalité connue exploitée de cette manière est le producteur de documentaires Sir David Attenborough, qui a été pris au piège de la fausse histoire du réchauffement climatique anthropique (AGW). Il semble qu'il ait laissé ses opinions socialistes l'emporter sur tout sens de la science qu'il pourrait avoir. Le problème, c’est qu’il ne semble pas avoir de formation scientifique. Il est diplômé de la English Grammar School et s’identifie comme un naturaliste. Cela ressemble à la pratique des personnes qui s’identifient comme des environnementalistes. La vérité est que nous sommes tous naturalistes et environnementalistes. Cela indique simplement qu'une personne se soucie de lui, mais ce n'est pas une mesure de ses connaissances ou de sa compréhension.
Malheureusement, si vous ne savez pas ou ne comprenez pas, il est très facile de craquer pour le plus grand mensonge de l’histoire scientifique, surtout si vous êtes politiquement et émotionnellement disposé. La question est de savoir comment Attenborough pourrait passer tout ce temps à regarder la géologie de la planète sans voir dans quelle mesure le climat change naturellement tout au long de 4,5 milliards d’années. S'il a regardé, il est étonnamment évident que la situation climatique actuelle se situe bien dans cette plage naturelle. Vous ne pouvez que conclure que son manque d'objectivité scientifique et sa réaction humaine au culte des héros font de lui un proie facile pour les fournisseurs d'un faux message.
Quelqu'un en contact avec Attenborough, de préférence quelqu'un qui prétend connaître le climat, va-t-il lui montrer le dernier graphique de température de la troposphère inférieure? Les données sont disponibles pour quiconque veut les consulter, comme David Archibald l'a récemment fait dans son article «Le climat: au cas où vous vous demanderiez» (Figure 1). Il montre 41 années sans augmentation de la température, une période qui couvre la majeure partie de la vie adulte d’Attenborough et la période où il a parcouru le monde en filmant la nature. Pendant ce temps, les niveaux de gaz carbonique ont continué à augmenter, en contradiction totale avec la théorie initiale. La ligne rouge de la figure 1 marque 2004, année au cours de laquelle les créateurs et les promoteurs du grand mensonge ont tenté d'ignorer les preuves montrant que leur théorie était fausse. La preuve qu'ils savaient, c'est qu'ils ont changé le nom du réchauffement climatique au changement climatique.
Une option lorsqu'un grand mensonge est exposé est de l'admettre. Cependant, la nature du mensonge empêche que cela se produise. Vous comprenez cela lorsque vous apprenez la définition historique originale et les objectifs du grand mensonge.
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RépondreSupprimerFigure 1 de l’essai d’Archibald
«Si vous dites un mensonge assez gros et que vous le répétez, les gens finiront par y croire. Le mensonge ne peut être maintenu que pendant le temps où l'État peut protéger le peuple des conséquences politiques, économiques et / ou militaires du mensonge. Il devient donc vital pour l'État d'utiliser tous ses pouvoirs pour réprimer la dissidence, car la vérité est l'ennemi mortel du mensonge et, par extension, la vérité est le plus grand ennemi de l'État. "
La définition est de Joseph Goebbels et décrit le grand mensonge du nazisme avec son objectif ultime d'un Troisième Reich de gouverner le monde pendant mille ans. Cela s'applique tout aussi bien au grand mensonge sur le réchauffement climatique anthropique (AGW) qui vise à établir un gouvernement mondial par le biais de l'ONU.
Les promoteurs d'AGW savaient dès le départ que c'était un mensonge. Le climatologue Stephen Schneider a donné le ton quand il a déclaré dans le magazine Discover en 1989:
D'un côté, nous sommes éthiquement liés à la méthode scientifique, promettant en fait de dire la vérité, toute la vérité et rien que &, ce qui signifie que nous devons inclure tous les doutes, les mises en garde, les si et les mais. D'autre part, nous ne sommes pas seulement des scientifiques, nous sommes également des êtres humains. Et comme la plupart des gens, nous aimerions voir le monde meilleur, ce qui, dans ce contexte, signifie que nous travaillons à réduire le risque de changement climatique potentiellement désastreux. Pour ce faire, nous devons obtenir un large soutien afin de capter l’imagination du public. Cela implique bien sûr d’obtenir beaucoup de couverture médiatique. Nous devons donc proposer des scénarios effrayants, faire des déclarations simplifiées et dramatiques et faire peu de place aux doutes que nous pourrions avoir. Ce double lien éthique dans lequel nous nous trouvons fréquemment ne peut être résolu par aucune formule. Chacun de nous doit décider quel est le bon équilibre entre l'efficacité et l'honnêteté. J'espère que cela signifie être les deux.
Quatre ans plus tard, le sénateur Timothy Wirth a déclaré que cela ne voulait pas dire les deux.
«Nous devons surmonter le problème du réchauffement climatique. Même si la théorie du réchauffement de la planète est fausse, nous agirons comme il convient en termes de politique économique et de politique environnementale. »
Les créateurs et les promoteurs du grand mensonge ont commencé par réduire le nombre de variables à peu d’importance. Puis, avec la fausse hypothèse qu'une augmentation du gaz carbonique entraînerait une augmentation de la température, il a raconté le grand mensonge, dissimulé dans la mystique de la projection d'un modèle informatique. Ils se sont trompés car, dans le record historique, la température augmente avant le gaz carbonique; par conséquent, il ne cause pas et ne peut causer le réchauffement planétaire ou le changement climatique.
Les modèles informatiques du Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations Unies (GIEC) sont le seul endroit au monde où une augmentation de gaz carbonique entraîne une augmentation de température. C'est la raison principale pour laquelle les prédictions du modèle sont toujours fausses. Cependant, l'objectif d'un grand mensonge est de passer outre à la vérité le plus longtemps possible. Une façon de le faire est de confondre le message en créant un langage différent ou «Newspeak», comme le disait George Orwell dans son livre de 1949, 1984.
Newspeak était un langage prisé par les sbires de Big Brother et, selon les termes d’Orwell, «conçu pour diminuer la portée de la pensée». Il se caractérisait par l’élimination ou la modification de certains mots, la substitution d’un mot à un autre, l’interchangeabilité des parties du discours, et la création de mots à des fins politiques. Le mot a fait son chemin dans l'usage courant pour parler de jargon bureaucratique trompeur ou trompeur.
RépondreSupprimerChaque jour, vous entendez des mots et des phrases sur la météo, le climat et les changements climatiques utilisés de manière incorrecte ou inappropriée. Tout cela fait partie du complot délibéré d'utiliser la science pour l'agenda politique et de blâmer les humains pour ce qui est des conditions climatiques naturelles. Il a été délibérément orchestré pour créer la confusion et la langue était au cœur.
Le GIEC a créé la confusion en examinant les changements climatiques causés par l'homme, mais a laissé croire au public qu'il étudiait tous les changements climatiques. Ils n’avaient pas à faire ou à dire beaucoup, car la plupart des gens ne connaissaient même pas la différence entre météo et climat. Les médias les ont constamment confondus.
Météo; est la condition atmosphérique à un endroit et à une heure spécifiques. Lorsque vous vous tenez dehors, c'est la somme de tout, du rayonnement cosmique de l'espace à la chaleur du fond de l'océan, et de tout ce qui se trouve entre les deux.
Climat; est la moyenne des conditions météorologiques dans le temps ou dans une région. C’est une statistique que résume le commentaire astucieux de Mark Twain selon lequel «le climat, c’est ce que vous attendez du temps, c’est ce que vous obtenez».
À ce stade, la discussion nécessite le contexte historique car le développement de l’apprentissage de la météo et du climat n’était pas logique. Aujourd'hui, la plupart des gens sont plus familiarisés avec la météorologie qu'avec la climatologie et avec les météorologues qu'avec les climatologues, mais la météorologie est un sous-ensemble de climatologues. Le climat est venu en premier, mais peu le savent.
La climatologie est l'étude du climat, un mot qui provient du mot grec pour l'inclination. Les Grecs ont compris que la température à différentes latitudes est fonction de l’angle auquel le Soleil frappe la surface à midi et de son évolution au cours du jour et de l’année (Figure 1).
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Figure 1
À partir de cette connaissance, les Grecs ont déterminé trois zones climatiques, la Frigid, la Temperate et la Torrid dans la figure 2.
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Figure 2
Aristote a écrit un livre intitulé Meteorologica qui ne portait pas sur la météorologie, bien que ce soit une petite partie du concept. Il parlait plutôt de la vision grecque du cosmos total avec sa ligne de séparation sur la lune. Théophraste, son élève, a abordé le côté pratique du climat dans son livre On Weather Signs. Ceci est une collection de folklore sur les événements réguliers qui sont le climat parce qu'ils ont évolué à partir d'observations météorologiques à long terme. Les Grecs ont également examiné la relation entre les traits physiques humains et la personnalité, ainsi que la géographie et le climat. Ils croyaient que la géographie créait le déterminisme environnemental et le climat créait le déterminisme climatique.
Ces idées ont prévalu à travers Montesquieu (1689-1755) et d’autres jusqu’au 18ème siècle. Comme l’a écrit un commentateur de l’histoire,
RépondreSupprimerDans son célèbre livre, "The Spirit of Laws", le philosophe français Montesquieu propose une théorie controversée selon laquelle la géographie et le climat peuvent influer sur la nature des hommes et des sociétés.
Ces idées se sont perdues dans le miasme de l’ouvrage Anthropogeographie (version française) de Friedrich Ratzel, qui est devenu le fondement pervers des idées hitlériennes sur la supériorité des habitants des climats froids sur ceux des climats chauds. Pendant ce temps, le changement était loin du climat et de retour au temps. La vie de Ratzel de 1844 à 1904 s’étend sur la transition. Les avions ont été inventés et en 1914 ont été un facteur majeur dans la guerre. Ils avaient besoin de prévisions météorologiques détaillées et à court terme modifiant l'orientation des statistiques du climat à la physique et aux mathématiques de l'atmosphère. Il a évolué en Météorologie: l'étude de la physique de l'atmosphère, considérée comme un entraînement essentiel pour les prévisionnistes. Les météorologues ont continué de travailler après la guerre, ne travaillant initialement que dans les aéroports, mais ont été progressivement intégrés au triumvirat des médias: informations, météo et sports. Cela a continué jusqu'à après la Seconde Guerre mondiale, quand ils sont devenus synonymes dans l'esprit du public de la météo, à l'exclusion du climat et des climatologues. Jusqu'à récemment, les météorologues avaient reçu peu ou pas de formation en climatologie, raison pour laquelle un si grand nombre de présentateurs de médias étaient si mal informés sur la question du réchauffement planétaire. Étant donné qu’elles étaient la principale source d’information publique, la confusion régnait.
Après la Seconde Guerre mondiale, très peu de personnes, dominées par Hubert Lamb et Reid Bryson, s'intéressaient même au climat. Tous deux ont compris que si vous voulez améliorer les prévisions, vous devez d'abord créer une base de données complète dans l'espace et dans le temps. Leurs travaux n’ont pas retenu l’attention car le refroidissement global de 1940 à 1980 n’avait d’incidences politiques que sur des groupes tels que la CIA, qui ont publié des rapports sur les conséquences du refroidissement sur les défaillances de la production alimentaire et les troubles sociaux qui ont suivi.
Cela a changé après 1988, lorsque le sénateur Wirth et d'autres invités ont invité James Hansen de NAAS GISS à produire le mensonge scientifique nécessaire à la promotion du grand mensonge politique selon lequel le gaz carbonique humain provoque un réchauffement climatique rapide qui détruit la planète. Maintenant commence la terminologie qui déforme, distrait, déroute et limite la compréhension.
L’atmosphère de la Terre ne fonctionne pas comme une serre. Il n’y a donc pas d’effet de serre. Par exemple, dans la serre, le verre bloque 100% des rayons ultraviolets (UV). Dans l'atmosphère, les UV interagissent avec l'oxygène pour créer de l'ozone (O3), mais une partie atteint la surface. Le principal mouvement d'énergie dans l'atmosphère se fait par conduction, advection et changement de phase de l'eau. Seule la conduction se produit dans une serre. La serre est un système fermé; c'est-à-dire que la chaleur ne peut sortir que si vous ouvrez une fenêtre, une porte ou un évent. L'atmosphère est toujours ouverte sur l'espace. Cependant, le terme était approprié car il correspond au récit politique du réchauffement climatique. Cette théorie erronée reposait sur l'hypothèse erronée qu'une augmentation du gaz carbonique atmosphérique entraînerait une augmentation de la température. Malgré les efforts des créateurs du grand mensonge pour cacher la vérité, l’absence de réchauffement est devenue aveuglante.
En 2004, dans tous les médias, le terme de réchauffement de la planète a été remplacé par le terme de changement de climat, en parlant du travail du GIEC et de la menace qui pèse sur le monde. La même année, des courriels volés entre «Nick» du Minns / Tyndall Center et le groupe impliqué dans la gestion des relations publiques pour les personnes de l'unité de recherche sur le climat (CRU) ont identifié leur dilemme. Nick a écrit:
RépondreSupprimer"D'après mon expérience, le gel du réchauffement climatique est déjà un problème de relations publiques avec les médias."
Bo Kjellen, alarmiste suédois et expert du climat au sein du GIEC, a répondu:
"Je suis d'accord avec Nick sur le fait que le changement climatique pourrait être un meilleur étiquetage que le réchauffement climatique."
Beaucoup de gens ont remarqué le changement de terminologie, mais cela ne faisait que créer davantage de confusion. Le réchauffement de la planète en fuite était une aberration, alors l'idée que les humains étaient à blâmer était facile à vendre. Cependant, beaucoup de gens savaient que les changements climatiques changeaient, de sorte que la revendication d'ingérence humaine devenait moins plausible.
Comme l’a prédit Goebbels, la vérité sur le changement climatique, qui s’est produite tout au long de l’histoire de la Terre, était l’ennemi du grand mensonge.
https://site-qui-n'accepte-pas-les-commentaires-vrais
Un Gilet jaune violemment matraqué à la tête par un policier à Besançon (vidéo choc)
RépondreSupprimer12:30 31.03.2019
Par derrière, un policier a porté un violent coup de matraque à la tête d’un manifestant, lui infligeant une blessure sanguinolente, samedi à Besançon. Filmé par une journaliste, le Gilet jaune avait l’air calme, mais la préfecture se défend en affirmant qu’il était en train de ramasser une grenade lacrymogène.
Une vidéo réalisée par une journaliste de Média 25 montre un policier frapper à la tête avec sa matraque un Gilet jaune lors de l'acte 20 à Besançon. Isolé des autres, le manifestant a l'air pacifique. Alors que l'homme est tourné de dos, un policier arrive par derrière et lui porte un violent coup de matraque à la tête avant de s'en aller.
Entre-temps, un autre membre des forces de l'ordre ramasse au sol un objet ressemblant à une grenade lacrymogène.
Alors que la caméra s'approche du manifestant blessé, on peut voir ce dernier porter sa main à sa blessure qui saigne abondamment.
Citée par France Bleu, la préfecture «affirme que le manifestant aurait été vu en train de ramasser une grenade de gaz lacrymogène et rappelle que la manifestation n'était pas déclarée».
Les Gilets jaunes se sont réunis à travers toute la France samedi 30 mars pour participer à l'acte 20 du mouvement. Les chiffres des participants diffèrent en fonction des sources. Selon le ministère de l'Intérieur, 33.700 personnes dont 4.000 à Paris ont pris part à la mobilisation, en baisse par rapport à la semaine précédente. Depuis le début du mouvement, les chiffres officiels sont contestés par les Gilets jaunes qui ont eux-mêmes dénombré 102.713 manifestants participants ce samedi, selon la page Facebook le Nombre jaune.
https://fr.sputniknews.com/france/201903311040560038-gilet-jaune-matraque-tete-policier-besancon/
Quand un policier reçoit l'ordre de tirer sans état d'âme, sans pitié sur la foule non-armée, et de tuer père et mère et même l'enfant qui lui crie "PAPA ! NE ME TUES PAS ! PAPAÂâaa..." c'est du meurtre félicité, de la remise de médaille, du gain d'échelon, de l'ascension hiérarchique dans le sentiment d'avoir bien fait pour l'amour de la patrie en danger de mort, c'est la promotion au tableau d'honneur et le respect qui lui est dû en tant qu'assassin marron.
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RépondreSupprimerUn trompe-l'œil autour de la pyramide du Louvre dégradé par des visiteurs
10:22 31.03.2019
L’existence d’une installation géante de l’artiste JR réalisée à l’occasion des 30 ans de la pyramide du Louvre a été brusquement écourtée samedi après-midi. À peine dévoilée, elle a vite fini en lambeaux sous les pieds des nombreux visiteurs.
Le collage géant intitulé «Le secret de la grande pyramide» et réalisé par l'artiste JR à l'occasion des 30 ans de l'inauguration de la pyramide du Louvre n'a pas résisté à l'afflux des visiteurs. Sur des photos prises le 30 mars dans l'après-midi, on voit cette œuvre en trompe l'œil réduite en lambeaux.
Certains internautes ont souligné que ces dégradations n'étaient pas volontaires.
La réalisation de ce projet a pris quatre jours. 400 bénévoles ont aidé l'artiste à installer les lés de ce collage qui recouvrait l'ensemble de la cour Napoléon. Il aurait dû être visible jusqu'à ce dimanche.
Ce n'est pas le premier projet de JR consacré à la pyramide du Louvre. En 2016, il l'avait faite disparaître en créant sur la surface de la pyramide une reproduction en trompe-l'œil de la façade du Louvre.
https://fr.sputniknews.com/france/201903311040559780-trompe-oeuil-louvre-degrade-visiteur/
Une merde collée devant une autre merde ! C'est le souvenir de la Waffen ss nazional socialiste qui est partie aux chiottes ! Merde alors ! HAHAHAHAHA !
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