- ENTREE de SECOURS -



mardi 26 octobre 2021

KW et kWh nucléaires : une méconnaissance de nos dirigeants

L’Europe va peut-être manquer d’électricité juste parce que la classe politique et les journalistes n’ont pas compris ce que sont des KW et des kWh nucléaires.


Par Michel Negynas.

27 OCTOBRE 2021


Cela paraît ubuesque, mais l’Europe va peut-être manquer d’électricité juste parce que la classe politique et les journalistes n’ont pas compris ce qu’est un KW et un kWh.

Dans une récente interview, Mme Pompili disait :

« RTE estime qu’on va avoir 20 % de besoins en électricité en plus d’ici 15 ans. Nous n’avons pas le temps d’ici là de construire une nouvelle centrale nucléaire. Il va falloir développer le renouvelable. »

Autrement dit, nous allons manquer d’électricité, on va combler vite fait avec du renouvelable (c’est-à-dire, en pratique, de l’éolien et du solaire)

Notre Président lui-même a dit :

La France s’est engagée dans une réduction de la part du nucléaire. La part du renouvelable doit ainsi augmenter.

La loi de transition écologique et la PPE prévoient d’arrêter 14 centrales nucléaires, soit environ 10 GW, et d’installer 30 GW d’éoliennes supplémentaires (soit un équivalent pleine charge de 7 GW) et 30 GW de solaire en plus (soit l’équivalent de 3 GW à pleine charge)… Le compte est bon !

Et on retrouve partout chez les institutionnels cet élément de langage : il faut baisser le nucléaire et augmenter le renouvelable pour pallier un risque systémique du nucléaire.

Ben non, pas de chance, le compte n’est pas bon. D’ailleurs, c’est pour ça qu’EDF demande 6 EPR de plus, ça fait 9,6 GW. Là, le compte est bon !

QUELQUES NOTIONS DE BASE SUR LES KW ET KWH NUCLÉAIRES

La puissance (on dit aussi, pour un réseau électrique, la capacité) c’est l’énergie qu’on peut délivrer par unité de temps. La relation entre puissance et énergie est analogue à la relation entre vitesse et distance. La puissance est en quelque sorte un flux, ou un débit, d’énergie.

En physique, la puissance est exprimée en KW. En électricité, on a coutume de comptabiliser l’énergie en kWh (c’est-à-dire des KW multipliés par des heures).

La plupart des journalistes des médias non spécialisés confondent encore KW et kWh ; certains nous donnent même du KW/h ce qui serait en fait une variation de puissance, ce qui n’a rien à voir.

Il faut dire que les promoteurs d’éolien et de solaire entretiennent la confusion car elle tourne à leur profit, puisque le taux de marche (donc le nombre d’heures où ils délivrent de la puissance,) de ces engins est faible.

L’électricité est un vecteur d’énergie qui ne permet pas de stocker, du moins avec les technologies connues et en quantité nécessaire. Il faut donc à la seconde près équilibrer l’offre et la demande.

L’indicateur premier d’un réseau de production électrique est ainsi la puissance qu’il peut délivrer à chaque instant au cours de l’année, c’est-à-dire le débit d’énergie disponible, et pas l’énergie qu’il peut produire.

Pour assurer la sécurité d’alimentation d’un réseau il faut donc qu’il soit capable de délivrer à tous les coups la puissance (KW) maximale demandée par les consommateurs ; c’est généralement autour de 19 heures entre décembre et février lorsqu’il fait très froid.

C’est ce qui dimensionne le réseau. Et si le réseau est capable de cela, il sera forcément capable de délivrer l’énergie (les kWh) demandée sur une année.

LES CONSÉQUENCES TECHNIQUES DE LA DIFFÉRENCE KW ET KWH NUCLÉAIRES

Le vent et le soleil fluctuent, et l’antienne répétée inlassablement par les défenseurs de l’éolien et du solaire est qu’il y a toujours du soleil et du vent quelque part. Sauf que c’est faux. La nuit, dans une situation météo d’anticyclone sur toute l’Europe, plusieurs fois par an, on n’a rien. Nada.

Mais on pourrait objecter que d’un jour sur l’autre, ou même d’une semaine sur l’autre, la météo faisant des progrès, il est possible de prévoir la puissance probable que le vent ou le soleil donneront. Certes, mais le dimensionnement du réseau est un travail à très long terme, et doit tenir compte de toutes les situations possibles.

Dans ces conditions, la puissance (ou capacité) en KW des énergies intermittentes doit être comptée pour… zéro.

On ne peut donc « remplacer » des KW nucléaires par des KW d’énergies intermittentes et aléatoires.

L’ambigüité entre KW et kWh, puissance et énergie, est totale. Elle se retrouve aussi dans l’objectif de réduire à 50 % la part du nucléaire. Parlons-nous d’un mix en capacité (KW ?) ou en énergie (kWh) ? Personne ne le précise, jamais.

En énergie, si on truffe la France d’éoliennes et de panneaux solaires, on peut évidemment augmenter leur production, en arrêtant les centrales nucléaires quand il y a du vent et du soleil. Le mix énergétique peut alors passer à 50 %.

Mais arrêterons-nous définitivement ces centrales ? Bien sûr que non, puisque nous risquons d’en avoir besoin certaines nuits d’hiver.

On peut « remplacer » des kWh nucléaires par des kWh d’énergies intermittentes, mais on ne peut donc pas « remplacer » des KW nucléaires par des KW d’énergies intermittentes et aléatoires.

LES CONSÉQUENCES SOCIALES ET ÉCONOMIQUES


Le résultat est que l’on construit un double réseau : un réseau intermittent, finalement non nécessaire sur un plan technique, et un réseau pilotable à la demande, indispensable pour assurer la sécurité d’alimentation. Si ce dernier est nucléaire, le réseau intermittent n’épargne aucune émission de gaz carbonique. Il ne sert qu’à économiser un tout petit peu d’uranium. C’est marginal.

On fragilise la situation du nucléaire, sur le plan économique, sur celui des compétences, et de la sécurité en le faisant fonctionner en yo-yo.

Toute installation alimentée uniquement par les énergies intermittentes, et elles seules, ne peut avoir que le taux de marche dégradé de celles-ci. L’investissement de ladite installation est donc mal rentabilisé. Par exemple, si on veut produire de l’hydrogène, c’est en aval d’un réacteur nucléaire qu’il faut le faire, pas en aval d’une éolienne.

COMMENT EN SORTIR ?

Les lecteurs de Contrepoints vont dire que c’est du rabâchage… sauf que ni les médias, ni le personnel politique, ni même certains experts autoproclamés ne semblent l’avoir compris.

C’est quand même bête d’emmener toute l’Europe au désastre sur l’incompréhension d’un concept enseigné en classe de seconde…

Appelons-en aux conseillers, à l’entourage, aux conjoints : pitié,  s’il vous plaît, révisez votre physique de seconde et  apprenez à Mme Pompili, à M Macron, M Jadot, M Mélenchon, Mme Hidalgo et même à tout le personnel politique  ce qu’est un KW et un KWh….

https://www.contrepoints.org/2021/10/27/409620-kw-et-kwh-nucleaires-une-meconnaissance-de-nos-dirigeants

 

40 commentaires:

  1. Pourquoi le prix des aliments est-il plus élevé en France ?


    le 26/10/2021 à 16:32


    La France se trouve à la quatrième place du classement européen des pays qui font payer cher pour leurs aliments

    Vous avez sûrement déjà eu l’impression, en traversant les frontières des pays limitrophes de la France, que tout d’un coup la facture semblait moins élevée au supermarché. Cela n’est pas qu’une impression : le prix des courses est vraiment plus élevé en France que dans les pays voisins. Alors, dans un contexte d’augmentation des prix, en raison des pénuries qui se généralisent dans le monde, nous vous expliquons pourquoi les produits alimentaires coutent 15 % plus chers que dans le reste de l’Union européenne.

    Un prix plus élevé pour les aliments en France, qui ne cesse de croître

    Le média spécialisé 60 millions de consommateurs à analysé les différences de prix. L’Espagne et le Royaume-Uni sont les pays dans lesquels les aliments sont les moins chers (6 % en dessous de la moyenne européenne). De son côté, la France, malgré la puissance de son industrie agroalimentaire, qui permet à 80 % des aliments consommés d’être produits localement, se trouve à la quatrième place du classement des pays qui font payer cher pour leurs aliments, derrière le Danemark, le Luxembourg et l’Autriche. Et, la situation ne cesse de s'aggraver : en 2016, la France vendait ses aliments 12 % plus chers que la moyenne européenne, contre seulement 8 % plus cher que la moyenne en 2013. Quelles sont les causes de ces disparités ?

    Les supermarchés français sont responsables des prix élevés

    Carrefour, Auchan, ces grandes surfaces sont un des symboles de l'économie française. Mais, à la différence des chaînes allemandes par exemple, elles ne visent pas que le “discount”, et préfèrent proposer une large gamme de produits et de prix, des produits bon marché, ou d’origine locale, ou bien plus éthiques, et cela a tendance à tirer les prix vers le haut. Compte tenu de ce large choix, et des différentes qualités proposées, les produits de PME locales ne sont pas forcément beaucoup plus chers que ceux produits en masse ailleurs.

    Le coût de la production agricole en France est plus cher qu’ailleurs

    En France, les PME sont soumises à des coûts plus importants. L’heure de travail s’établit à 37,30 €, contre une moyenne de 27,80 € dans l’Union européenne. La loi Egalim, adoptée en France fin 2018, impose aussi une marge de 10 % sur le seuil de revente à perte ajoutée aux prix, restituée aux producteurs agricoles. En raison de cette marge ajoutée au prix des aliments, le budget alimentaire des ménages a augmenté de 1,6 milliard d’euros en deux ans. Consolation : certaines catégories d’aliments sont moins chères en France. Les produits frais sont 6 % moins chers qu’en Allemagne et 14 % moins chers qu’en Belgique. Les produits d’épicerie sont aussi moins bon marché en Allemagne. Dans la catégorie des liquides, les Français paient 3 % moins cher que les Allemands, et jusqu'à 13 % moins cher que les Belges, selon le rapport de 60 millions de consommateurs.

    https://www.francesoir.fr/societe-economie/pourquoi-le-prix-des-aliments-est-il-plus-eleve-en-france

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  2. Les conflits de visions qui ont façonné l'Amérique


    Par Jacob G. Hornberger
    Fondation L'avenir de la liberté
    27 octobre 2021


    Il y a eu deux visions contradictoires dans l'histoire américaine qui ont façonné notre nation. Alors que les conditions aux États-Unis continuent de s'aggraver, il est important que les Américains s'engagent dans un examen de conscience sérieux pour déterminer quelle vision devrait être adoptée à l'avenir.

    La vision originelle

    La première vision était celle qui a caractérisé le peuple américain depuis la fondation des États-Unis jusqu'au début du 20e siècle. Il existe différentes étiquettes que nous pouvons mettre sur cette vision particulière : un système de marché libre, un système capitaliste, un système de libre entreprise et une république à gouvernement limité. Quelle que soit l'étiquette utilisée, il ne fait aucun doute qu'il s'agissait du système politico-économique le plus inhabituel de l'histoire.

    Pensez-y : il existait autrefois une société dans laquelle il y avait :

    Pas d'impôt sur le revenu et pas d'IRS. Les Américains étaient libres de garder tout ce qu'ils gagnaient et de faire ce qu'ils voulaient avec leur propre argent : économiser, dépenser, amasser, faire un don ou l'investir.

    Aucun organisme de bienfaisance mandaté par le gouvernement, y compris la sécurité sociale, les subventions agricoles, l'aide sociale, les bourses d'études ou tout autre type de philanthropie fournie par le gouvernement. La charité était considérée comme une action entièrement volontaire.

    Pas de bourses d'études, d'aide étrangère, de renflouements d'entreprises, de prêts SBA, de subventions gouvernementales ou d'autres types d'aide sociale.

    Pas d'assurance-maladie ou de Medicaid. Pas de centres de contrôle des maladies. Pas de FDA. Pas de lois sur les licences médicales. Les hôpitaux appartenaient à des particuliers. Essentiellement, aucune implication du gouvernement dans les soins de santé.

    Aucun contrôle d'immigration. Les gens du monde entier étaient libres de venir aux États-Unis, presque sans poser de questions. Il n'y avait pas de limites sur les nombres. Il n'y avait pas de diplômes ou de formation requis. Il n'y avait pas de tests d'alphabétisation. Même la connaissance de l'anglais n'était pas une condition préalable à l'entrée. Tant qu'on n'avait pas de tuberculose ou d'une autre maladie infectieuse et qu'on n'était pas un « imbécile », l'entrée était automatique.

    Peu de régulations économiques. Pas de lois sur le salaire minimum et de contrôle des prix.

    Aucune loi sur le contrôle des armes à feu. Les Américains ont compris que le droit de détenir et de porter des armes était la clé d'une société libre. Ils n'auraient jamais permis aux représentants du gouvernement de promulguer des lois sur le contrôle des armes à feu.

    Pas de système d'enseignement public. Pas de lois sur la fréquentation scolaire obligatoire. L'éducation était privée et fondée sur les principes du marché libre.

    Pas de Pentagone ni de complexe militaro-industriel. Les Américains se sont opposés aux « armées permanentes ». C'est pourquoi il n'y avait qu'une armée de base relativement petite tout au long des années 1800.

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  3. Pas d'empire de bases militaires nationales et étrangères.

    Pas de CIA. Aucun assassinat parrainé par l'État. Pas de coups d'État ni d'opérations de changement de régime à l'étranger. Pas de torture.

    Pas de NSA. Pas de programmes secrets de surveillance de masse.

    Pas de FBI. La criminalité était considérée comme une affaire d'État et locale. Les Américains ne voulaient pas de ce que le président Truman appelait une entité semblable à la Gestapo.

    Pas de guerres dans les pays européens, asiatiques ou africains. Pas d'aide étrangère, d'interventions étrangères et de guerres d'agression.

    Pas de système de réserve fédérale. Pas de monnaie fiduciaire (c'est-à-dire papier). Les pièces d'or et les pièces d'argent étaient la monnaie officielle du peuple américain.

    Aucun département américain de l'Éducation, du Commerce, du Travail, de la Santé et des Services sociaux, du Logement et du Développement urbain, des Transports, de l'Énergie et de la Sécurité intérieure.

    Aucune Commission des valeurs mobilières des États-Unis, Agence de protection de l'environnement, Commission fédérale du commerce, Administration de la sécurité et de la santé au travail, Commission fédérale des communications, Société fédérale d'assurance des dépôts, Commission du commerce interétatique, Conseil national des relations du travail et de nombreuses autres commissions de réglementation.

    L'Amérique avait autrefois le meilleur système de santé de l'histoire, basé sur les principes du marché libre. Les prix des soins de santé étaient si bas et stables que presque personne n'avait ou n'avait besoin d'une assurance médicale majeure. Aller chez le médecin, c'était comme aller à l'épicerie. De plus, les médecins et les hôpitaux soignaient les pauvres sur une base purement volontaire.

    Je ne suggère pas, bien sûr, qu'il s'agissait d'une société 100 % libertaire. Il y avait l'esclavage. Les femmes n'avaient pas le droit de vote. Il y avait des tarifs. Il y avait le Sherman Antitrust Act en 1890 et le Chinese Exclusion Act de 1882.

    Je suggère, cependant, que les Américains du 19ème siècle ont prouvé qu'il est possible de réaliser tous ces principes libertaires énumérés ci-dessus.

    Le résultat de ce mode de vie unique a été l'un des événements les plus phénoménaux de l'histoire. À la fin des années 1800 et au début des années 1900, le niveau de vie du peuple américain montait en flèche. Personne n'avait jamais rien vu de tel dans l'histoire. Les gens passaient des haillons à la richesse en une, deux ou trois générations. Des milliers d'immigrants sans le sou affluaient en Amérique pour participer à ce «rêve américain», dont beaucoup ne parlaient même pas anglais.

    Au début de l'histoire des États-Unis, le niveau de vie était relativement bas pour presque tout le monde. Beaucoup de gens ont lutté juste pour survivre. Cependant, à chaque génération, les familles économiseraient une partie de leurs revenus. Ces économies iraient dans les banques. Les banques le prêteraient aux employeurs qui l'utiliseraient pour rendre leurs entreprises plus productives.

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  4. À mesure que la productivité augmentait, les revenus et les bénéfices de l'entreprise augmentaient également. Cela a permis aux entreprises de payer des salaires plus élevés à leurs travailleurs. Les employeurs augmentaient les salaires non pas parce qu'ils étaient motivés par la charité mais plutôt par la concurrence. Les employés iraient dans les entreprises qui paient les meilleurs salaires.

    L'argent solide a également joué un rôle dans le processus. Les gens n'étaient plus préoccupés par la possibilité que le gouvernement efface la valeur de leur épargne par l'avilissement du papier-monnaie. C'est parce que la Constitution exigeait que le gouvernement fédéral et les gouvernements des États n'utilisent que des pièces d'or et des pièces d'argent comme monnaie officielle de la nation. Le gouvernement ne pouvait pas imprimer de l'or comme il pouvait papier-monnaie. Les gens étaient prêts à investir dans des obligations de sociétés à 100 ans parce qu'elles étaient remboursables en or.

    Dans une nation où les gens étaient libres d'accumuler des richesses, il y avait la plus grande explosion d'activité caritative que l'humanité ait jamais vue. C'est ainsi que les églises, les hôpitaux, les musées, les collèges et les universités ont été construits - avec l'argent que les multimillionnaires gagnaient dans une société où les gens étaient libres d'accumuler des richesses illimitées. Alors que l'augmentation du niveau de vie commençait à offrir aux gens le luxe du temps libre, de nombreuses personnes en ont profité pour participer à des activités philanthropiques. Après la visite d'Alexis de Tocqueville aux États-Unis dans les années 1830, dans son livre Democracy and America, il s'émerveille devant l'énorme quantité d'associations bénévoles et d'activités philanthropiques en Amérique.

    Parfois, j'ai pensé que si je pouvais choisir où et quand je voulais vivre, mon choix serait les États-Unis d'environ 1880 à 1910. Cela a dû être une période incroyablement excitante pour vivre. Oui, je sais - pas de climatisation, d'ordinateurs, de GPS et de téléphones portables. Mais de nouvelles inventions naissaient chaque jour. Le niveau de vie des gens montait en flèche. Plus important encore, c'était la période au cours de laquelle la liberté économique atteignit son apogée.

    La croissance de l'étatisme

    À la fin des années 1800, cependant, un segment d'Américains a commencé à se battre pour le changement - vers le socialisme, l'empire et la gestion gouvernementale et le contrôle de l'activité économique. Ils ont vu toute cette richesse naître et ont voulu que le gouvernement la confisque et la distribue aux pauvres et aux nécessiteux. Ils ont vu des femmes et des enfants travailler dans des usines et voulaient que le gouvernement y mette un terme. Ils ont vu que d'autres nations avaient des colonies d'outre-mer et croyaient que c'était la voie vers la grandeur nationale.

    En 1890, ils ont réussi à faire promulguer la Sherman Antitrust Act au motif que les grandes entreprises prospères étaient un danger pour les consommateurs. En 1882, sur la base de motifs raciaux, ils ont fait promulguer la première loi sur le contrôle de l'immigration - la loi sur l'exclusion des Chinois. En 1898, ils entraînent les États-Unis dans la guerre hispano-américaine, qui devient un tournant vers l'empire et l'intervention. C'est alors que les États-Unis ont acquis son centre de torture et de prison à Guantanamo Bay à Cuba. Au début des années 1900, les interventionnistes ont incité certains États à promulguer des lois sur le salaire minimum et une législation sur les heures maximales.

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  5. En 1913, ils ont réussi deux réalisations étatiques majeures : la promulgation du 16e amendement et du système de la Réserve fédérale, qui tous deux fourniraient le moteur de la confiscation des richesses, à la fois directement par l'impôt sur le revenu et indirectement par l'avilissement de la monnaie.

    Ils ont fait entrer les États-Unis dans la Première Guerre mondiale et ont promulgué une loi sur la conscription pour forcer les hommes américains à y combattre. Ils ont également promulgué des lois prévoyant des poursuites pénales contre les personnes qui se sont prononcées contre la conscription ou la guerre. L'intervention a établi les conditions de l'accession au pouvoir d'Hitler.

    Après que la Réserve fédérale a provoqué le krach boursier de 1929 et la Grande Dépression qui en a résulté, le président Franklin Roosevelt a profité de la crise pour achever la transformation de l'Amérique en un État-providence et une économie gérée et régulée par le gouvernement. Dans le processus, il a nationalisé l'or, ordonnant à tous les Américains de remettre leurs pièces d'or au gouvernement fédéral. Déclarant que le papier-monnaie irrécupérable était désormais la monnaie officielle de la nation, Roosevelt a ouvert les vannes à des décennies futures de dépenses fédérales incontrôlables et de débauche monétaire.

    Le joyau de la couronne de l'État-providence de Roosevelt était la sécurité sociale, un concept socialiste importé des socialistes allemands. Il était basé sur le concept d'utiliser le gouvernement pour prendre de l'argent à Pierre afin de le donner à Paul. Au fil du temps, génération après génération, les Américains sont devenus psychologiquement dépendants de ce stupéfiant politique, convaincus que les gens mourraient dans la rue sans lui.

    Au début du 20e siècle, l'école publique a commencé à exister, accompagnée de lois sur la fréquentation obligatoire. Les Américains s'habituent à ce que leurs enfants soient endoctrinés par l'État. Au fil du temps, ils sont devenus convaincus que sans l'enseignement public, les enfants ne seraient pas scolarisés. L'école publique réussit à atteindre une citoyenneté déférente, obéissante, réglementée et passive.

    Dans les années 1960, le président Lyndon Johnson a créé Medicare et Medicaid, qui ont détruit le meilleur système de santé de l'histoire. Ces deux programmes socialistes sont à l'origine de la crise perpétuelle des soins de santé aux États-Unis. Ils sont à l'origine de l'envolée des dépenses de santé. Comme pour la Sécurité sociale, de nombreux Américains sont convaincus que sans ces deux programmes socialistes, les gens mourraient dans la rue.

    Après la Seconde Guerre mondiale, les interventionnistes ont réussi à convertir le gouvernement fédéral d'une république à gouvernement limité en un État de sécurité nationale. Cette conversion a donné naissance à un vaste établissement permanent, vorace et vicieux du renseignement militaire pour mener une «guerre froide» contre le partenaire et allié de l'Amérique pendant la Seconde Guerre mondiale, l'Union soviétique. Cela serait suivi par un empire géant de bases militaires, non seulement au niveau national mais aussi partout dans le monde.

    La CIA et la NSA ont été appelées à exister, accompagnées de leurs pouvoirs omnipotents et totalitaires d'assassinat et de surveillance secrète de masse. Ce qui a suivi ont été des décennies de coups d'État, d'assassinats, d'enlèvements, de torture, de surveillance secrète, de guerres d'agression, d'opérations de changement de régime, d'aide étrangère et d'alliances avec des régimes dictatoriaux brutaux.

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  6. Dépendance de l'État-providence

    Aujourd'hui, le peuple américain est désespérément dépendant des largesses du gouvernement. Les notions d'autonomie et d'indépendance qui caractérisaient les Américains du XIXe siècle ont disparu. Les Américains d'aujourd'hui considèrent que le gouvernement fédéral a leur père ou, pire encore, leur dieu. Dans leur esprit, il s'occupe d'eux avec les indemnités de retraite, les services médicaux, l'éducation, la nourriture, le logement et d'autres éléments essentiels de la vie et les protège des communistes, des musulmans, des terroristes, de la Russie, de la Chine et d'autres ennemis officiels.

    Dans le même temps, les Américains restent les personnes les plus effrayées au monde. Ils sont convaincus que tous ces ennemis officiels, ainsi que les immigrés clandestins et les trafiquants de drogue, viennent les chercher. Ils voient le gouvernement fédéral comme leur sauveur qui les protégera de tous les gens effrayants qui sont censés venir les chercher. Ironiquement, plus le gouvernement fédéral devient puissant, plus le peuple américain devient craintif.

    Le pire, c'est que la plupart des Américains n'ont aucune idée des deux visions complètement opposées qui ont gouverné notre nation. Ils croient honnêtement que c'est toujours le même système. Ils restent convaincus que Roosevelt a « sauvé » la libre entreprise grâce à un État-providence et une économie régulée/gérée. Ils sont convaincus aujourd'hui qu'ils vivent dans un pays libre.

    En d'autres termes, malgré le fait qu'ils vivent sous un type de système politico-économique totalement différent de celui de leurs ancêtres, les Américains d'aujourd'hui sont convaincus qu'ils sont aussi libres que leurs homologues du XIXe siècle. Ils incarnent parfaitement les mots du grand penseur allemand Johann Goethe : Personne n'est plus désespérément esclave que ceux qui croient à tort qu'ils sont libres.

    La deuxième pire partie de tout cela, c'est que lorsque les Américains d'aujourd'hui examinent la nature dysfonctionnelle massive de la société américaine - par exemple, la flambée des taux de suicide chez les jeunes, la toxicomanie, l'alcoolisme, les abus de la police et les actes irrationnels de violence de masse - ils la blâment sur la liberté et la libre entreprise, ce qui les pousse à vouloir faire avancer l'Amérique vers le socialisme et l'interventionnisme.

    Deux visions opposées. Lequel les Américains devraient-ils adopter à l'avenir ? Cela me semble bien sûr une évidence.

    This article was originally published in the September 2021 edition of Future of Freedom.

    https://www.lewrockwell.com/2021/10/jacob-hornberger/the-conflicts-of-visions-that-shaped-america/

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    1. La Démocratie n'a duré juste le temps aux explorateurs de découvrir l'Amérique ! Après s'est établie la dictature avec l'arrivée de monarchie, de république et pourquoi pas d'empire ?! S'en était fini avec la Démocratie recherchée par les nouveaux arrivants qui fuyaient leurs pays de merde.

      Le criminel-en-chef assis sur son trône ordonna que ses ordres soient communiqués par la presse avec l'invention de presses dites 'd'opposition' qui feraient même des (faux) sondages où le chef ou Congressistes seraient notés (tous près du fameux '50 %').

      Puis l'invention d'ennemis ! de 'terroristes' (le mot est plus terrible que simple 'ennemi' comme le mot 'virus' a remplacé le mot 'microbe' car il serait plus terrible !! Hahaha !), et donc d'armements. Car... ces nouvelles armes' n'étaient PAS destinées à combattre un hypothétique ennemi mais à repousser une quelconque rébellion à l'intérieur du pays !

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  7. Si vous étiez une mère enceinte et que des médecins souriants venaient vous voir avec le meurtre en tête


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    27 octobre 2021


    J'ai écrit une série d'articles démontrant qu'une grande partie de la recherche médicale repose sur le meurtre de nourrissons.

    En particulier, la recherche sur les vaccins.

    Plusieurs lignées cellulaires clés sont dérivées du tissu fœtal. Et les médecins obtiennent ce tissu en prélevant les fœtus des mères enceintes ; les fœtus sont vivants ; les médecins tuent ensuite les fœtus en coupant leurs reins ou leur cerveau ou leur cœur.

    Comment ces femmes enceintes ont-elles été (et sont-elles) approchées par les médecins ?

    Les mères reçoivent-elles quelque chose qui ressemble à un consentement éclairé ? Les mères signent-elles des accords pour garder le silence sur ce que les médecins vont faire à leurs bébés ? Combien de mères n'ont aucune idée de ce qui va se passer ? Les mères sont-elles payées ?

    Il y a des mères qui peuvent s'exprimer. Elles devraient.

    Si VOUS étiez une mère enceinte, que diriez-vous si un médecin vous disait : « Nous comprenons que vous ne voulez pas de votre bébé. Amende. Nous voulons planifier votre avortement et le programmer. Nous y serons. Vous pouvez contribuer à la recherche médicale en nous permettant de retirer votre bébé de votre ventre, entièrement intact et vivant. Ensuite, nous prendrons les reins de votre nourrisson, pour obtenir des tissus pour la recherche de vaccins. En enlevant les reins de votre bébé, nous le tuerons. Il ou elle sera sur la table, respirant, le cœur battant, et nous le tuerons. »

    Que dirais-tu ?

    Selon vous, combien de mères au cours des cent dernières années ont été informées de cette manière, après quoi elles ont donné leur consentement ? Zéro ?

    C'est de cela que parle ma série d'articles actuels.

    La lignée cellulaire fœtale appelée HEK 293 a été utilisée pour tester les vaccins COVID. Les preuves disponibles et des facteurs physiologiques évidents indiquent le meurtre d'un bébé de sexe féminin pour récolter ses tissus pour HEK 293.

    J'ai souligné, et je continuerai de souligner, que cet horrible meurtre en série de nourrissons exige sûrement que toutes les personnes de foi rejettent le vaccin.

    Mais bien sûr, je ne parle pas seulement des 5 milliards de personnes dans le monde qui prétendent être religieuses. Je parle de tout le monde. Tout le monde avec une perte de conscience a une raison impérieuse et urgente de se détourner du vaccin. Un vaccin qui, soit dit en passant, est manifestement destructeur.

    Les médecins qui ont pratiqué ces avortements et commis ces meurtres ont de nombreux alliés qui les protègent. Des alliés médicaux, politiques, médiatiques et religieux, qui dansent à claquettes, mentent, obscurcissent, nient, confondent les non-informés.

    À mon avis, et de l'avis d'autres, le conseil interne aux sociétés pharmaceutiques de ne pas parler de recherche sur les tissus fœtaux revient à vouloir cacher un meurtre.

    C'est le secret au fond de la « science » putride.

    Ainsi, lorsque vous entendez des représentants du gouvernement attaquer les refus de vaccins et les blâmer, et dire que les non vaccinés empêchent le monde de résoudre la « pandémie » ; lorsque vous entendez le procureur général des États-Unis ordonner à ses troupes du FBI d'enquêter sur les parents qui se présentent aux réunions du conseil scolaire et protestent, entre autres, contre un mandat de vaccination visant leurs enfants ; lorsque vous entendez des suggestions selon lesquelles ces parents pourraient être des « terroristes domestiques » ; SAVOIR OU EST TROUVÉ LE VRAI CRIME HORRIFIQUE.

    Voir quelque chose; dis quelquechose. Continuez à le dire.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2021/10/jon-rappoport/if-you-were-a-pregnant-mother-and-smiling-doctors-came-to-you-with-murder-on-their-minds/

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  8. Directeur du CDC : des policiers non vaccinés et des agents du gouvernement seront envoyés pour « éducation et conseil »


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 26 OCT 2021 - 09:15
    Rédigé par Steve Watson via Summit News,


    Apparaissant dimanche sur Fox News, la directrice du CDC, Rochelle Walensky, a déclaré que le régime de Biden prévoyait de fournir à la police et aux autres fonctionnaires hésitants en matière de vaccins « une éducation et des conseils » pour les mettre « à l'aise » de se faire vacciner.

    Walensky a déclaré à Chris Wallace que "Nous avons vu que ces mandats font vacciner de plus en plus de personnes".

    "Ce que nous savons des effectifs de la police, c'est qu'il y a eu plus de décès dus au coronavirus au cours de la dernière année et demie que toutes les autres causes de décès pour cet effectif combiné", a-t-elle affirmé, ajoutant "Nous pensons donc qu'il est très important d'obtenir ces personnes ont été vaccinées.

    Puis vint le botteur.

    « Il existe un plan, si ces personnes ne veulent pas être vaccinées, vers l'éducation et le conseil pour obtenir les informations dont elles ont besoin afin qu'elles se sentent à l'aise de se faire vacciner », a déclaré Walensky.

    Regarder:

    Comme nous l'avons continuellement noté, la police et les pompiers partout aux États-Unis ont formé des groupes de résistance contre les mandats de vaccination, et de nombreux officiers ont réalisé des vidéos d'eux-mêmes après avoir été contraints de démissionner.

    Le soldat de l'État de Washington, Robert LaMay, qui a tristement signé après 22 ans de service en disant au gouverneur démocrate Jay Inslee de « m'embrasser le cul », a averti que l'administration Biden avait « réveillé le géant endormi » et qu'un nombre « extrême » de la police quitte le travail.

    Regarder:

    L'ancien chef de la police de Cincinnati et de Détroit, James Craig, a déclaré à Tucker Carlson la semaine dernière que « tout cela est voulu. Ce n'est pas par accident », déclarant en outre que les démocrates forçant les bons flics à licencier sont la continuation du programme de « dépenser totalement ridicule la police ».

    Regarder:

    - voir clip sur site :

    https://www.zerohedge.com/political/cdc-director-unvaccinated-police-government-workers-be-sent-education-and-counseling

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  9. Pfizer confirme que les personnes vaccinées contre le COVID peuvent transmettre des protéines de pointe et nuire aux personnes non vaccinées


    Une nouvelle étude a confirmé que les personnes qui ont été vaccinées contre le COVID produisent des protéines de pointe excessives capables de passer la barrière hémato-encéphalique et de causer des dommages irréparables au cerveau. Les documents de Pfizer préviennent que les personnes vaccinées excrètent en fait ces protéines de pointe excessives, ce qui expose les personnes non vaccinées à des risques…


    Mon May 3, 2021 - 1:14 pm EDT
    Patrick Delaney


    LOS ANGELES, Californie, 3 mai 2021 (LifeSiteNews) – Dans leur dernière note d’information, les America’s Frontline Doctors (AFLDS) ont mis en garde contre la capacité des protéines de pointe issues des vaccins expérimentaux de thérapie génique COVID-19 à 1.) traverser la “barrière hémato-encéphalique” en provoquant des dommages neurologiques, 2.) être “excrétées” par les vaccinés, provoquant des maladies chez les enfants et les adultes non vaccinés, et 3.) provoquer des saignements vaginaux irréguliers chez les femmes.

    Publié la semaine dernière et intitulé “Identifying Post-vaccination Complications & Their Causes : an Analysis of Covid-19 Patient Data“, l’objectif déclaré du document est de “fournir des informations supplémentaires aux citoyens concernés, aux experts de la santé et aux décideurs politiques sur les événements indésirables et autres problèmes post-vaccination résultant des trois vaccins expérimentaux COVID-19 actuellement administrés sous EUA (autorisation d’utilisation d’urgence)” par la Food and Drug Administration (FDA) américaine.

    L’organisation à but non lucratif a mis en évidence les milliers d’événements indésirables liés à ces “vaccins” et recensés par le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC). “Pourtant, ces complications n’ont reçu qu’une fraction de l’attention accordée à la controverse de J&J sur la coagulation du sang“, ont-ils déploré avec consternation, en demandant “pourquoi ?”.

    En examinant de plus près ces données, l’AFLDS présente “certaines catégories majeures de préoccupations qui n’ont pas encore été abordées publiquement par la FDA ou le CDC”, affirmant que le fait que ces organismes de réglementation “ne tiennent pas compte de ces inconnues et d’autres “inconnues connues” est un manquement à la recherche médicale fondamentale”.

    Ils décomposent leurs catégories générales de préoccupations comme indiqué ci-dessous :

    Tout d’abord, il existe des craintes importantes concernant la distribution à grande échelle de ces nouveaux vaccins, qui font appel à une nouvelle technologie et ne sont qu’expérimentaux sans l’approbation complète de la FDA. Au lieu d’utiliser une réponse antigénique atténuée – comme c’est le cas avec les vaccins classiques – ces agents expérimentaux introduisent dans l’organisme une protéine dite “spike”.

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  10. “Il faut des années pour être sûr que quelque chose de nouveau est sûr”, confirme le document de l’AFLDS. “Personne ne connaît définitivement les implications à long terme sur la santé du corps et du cerveau, en particulier chez les jeunes, liées à cette protéine de pointe. De plus, si des problèmes documentés liés à cette protéine surviennent, il n’y aura jamais aucun moyen d’inverser les effets indésirables chez les personnes déjà vaccinées.”

    Deuxièmement, contrairement aux vaccins conventionnels, ces protéines de pointe, ainsi que les “nanoparticules lipidiques”, ont la capacité de traverser la “barrière hémato-encéphalique” qui assure une protection spéciale de ces zones sensibles du corps.

    “Il n’y a tout simplement pas eu assez de temps pour savoir quels problèmes cérébraux et à quelle fréquence un problème cérébral se développera à partir de cela”, avertit le document.

    Les risques d’une telle pénétration comprennent “une inflammation et une thrombose (coagulation) chroniques dans le système neurologique, contribuant à des tremblements, une léthargie chronique, un accident vasculaire cérébral, une paralysie de Bell et des symptômes de type SLA”. Les nanoparticules lipidiques peuvent potentiellement fusionner avec les cellules du cerveau, entraînant une maladie neurodégénérative retardée. Et la protéine spike induite par l’ARNm peut se lier aux tissus cérébraux 10 à 20 fois plus fortement que les protéines spike qui font (naturellement) partie du virus original.”

    Troisièmement, étant donné que ces vaccins expérimentaux produisent plusieurs trillions de protéines de pointe chez leurs destinataires, ces individus vaccinés “peuvent excréter certaines de ces particules (de protéines de pointe) à des contacts proches”, provoquant ainsi la maladie chez eux.

    Dans une correspondance électronique avec LifeSiteNews, le Dr Simone Gold, fondatrice de l’AFLDS, a dirigé cet auteur vers un tweet du 29 avril où elle a posté un document des essais expérimentaux de Pfizer dans lequel le géant pharmaceutique “reconnaît ce mécanisme” d’excrétion potentielle, a-t-elle écrit.

    Comme l’indique le document, on peut être “exposé à l’intervention de l’étude en raison d’une exposition environnementale”, notamment “par inhalation ou contact cutané” avec une personne participant à l’étude ou avec une autre personne ayant été exposée de la même manière.

    Et cela, selon l’AFLDS, peut être dangereux. Comme le poursuit la note d’information, “les protéines de pointe sont pathogènes (“causent des maladies”) tout comme le virus lui-même”. En outre, ces “protéines de pointe se lient plus étroitement que le virus entièrement intact” et, par conséquent, des cas dans le monde entier de “péricardite, de zona, de pneumonie, de caillots sanguins dans les extrémités et le cerveau, de paralysie de Bell, de saignements vaginaux et de fausses couches ont été signalés chez des personnes se trouvant à proximité de personnes vaccinées”. Cette excrétion “semble également être à l’origine d’une grande variété de maladies auto-immunes (où le corps attaque ses propres tissus) chez certaines personnes”.

    En outre, d’autres dangers plus graves sont possibles, même pour les personnes non vaccinées, du fait que ces “protéines de pointe peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique, contrairement aux vaccins traditionnels.”

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  11. Quatrièmement, cette excrétion rend les enfants vulnérables s’ils se trouvent à proximité de parents et d’enseignants qui ont reçu ces vaccins expérimentaux. Bien que la menace que représente le COVID-19 pour les jeunes soit à juste titre décrite comme “non pertinente“, avec notamment un taux de survie de 99,997% pour les moins de 20 ans, l’AFLDS craint que certains enfants ne deviennent symptomatiques en raison de cette proximité avec les vaccinés. Il existe alors un risque que les “bureaucrates de la santé publique” utilisent ces cas pour “spéculer que la maladie d’un enfant est liée à une “variante” du SRAS-CoV-2″, alors qu’elle résulte d’un contact avec des adultes vaccinés.

    “Notre autre préoccupation est que les enfants pourraient développer une maladie auto-immune chronique à long terme, y compris des problèmes neurologiques, en raison du fait que les enfants ont des décennies devant eux et des billions de protéines de pointe mentionnées ci-dessus.”

    Cinquièmement, “l’AFLDS a connaissance de milliers de rapports faisant état de saignements vaginaux, de saignements vaginaux post-ménopausiques et de fausses couches après la vaccination par le COVID-19, ainsi que de rapports anecdotiques faisant état d’effets indésirables similaires chez les personnes en contact étroit avec les vaccinés”. Bien qu’à ce stade, l’organisation de médecins indépendants “ne puisse pas faire de commentaire définitif sur les contacts étroits”, si ce n’est qu’elle mentionne qu’elle “a entendu des rapports à ce sujet dans le monde entier”, les nombreux incidents signalés de saignements vaginaux post-vaccination établissent un “lien clair entre le vaccin et les saignements irréguliers.”

    “Malgré cette preuve évidente, les modifications du cycle menstruel ne figuraient pas dans la liste des effets secondaires courants de la FDA chez les participants à la phase trois de l’étude clinique. La santé reproductive des femmes doit être prise au sérieux plutôt que d’être balayée d’un revers de main par des responsables de la santé publique motivés par leur agenda”, peut-on lire dans le mémoire.

    Enfin, reconnaissant “l’incitation économique irrépressible des sociétés pharmaceutiques” à commercialiser des vaccins infantiles contre le COVID, des rappels et autres, inutiles et dangereux, l’AFLDS insiste pour que “les experts en santé publique s’arrêtent et évaluent les données sur les effets secondaires possibles des vaccins et les questions post-vaccinales connexes avant qu’il ne soit trop tard”.

    https://www.lifesitenews.com/news/americas-frontline-doctors-covid-vaccinated-can-shed-spike-protein-harming-unvaccinated/

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  12. Martinique : un millier de manifestants à Fort-de-France contre l'obligation vaccinale des soignants


    26 oct. 2021, 13:07-


    Environ 1 000 soignants ont manifesté le 25 octobre dans les rues de Fort-de-France (Martinique) à l'appel d'organisations syndicales. Tous les soignants devaient avoir reçu au moins une dose de vaccin anti-Covid pour pouvoir continuer d'exercer.

    Ils étaient un peu plus d'un millier, selon la radio RCI. Le calendrier récemment présenté par l'Agence régionale de santé (ARS) sur la mise en place de l'obligation vaccinale et le pass sanitaire avait prévu que chaque soignant devait avoir reçu sa première dose. Mais les organisations syndicales qui soutiennent les soignants qui s'y opposent ont répondu par une manifestation dans les rues de Fort-de-France, qui a réuni aussi bien les soignants et salariés du CHU de Martinique (CHUM) que les étudiants infirmiers, les assistants dentaires, ou encore les employés médico-sociaux, tels que ceux de l'Etablissement français du sang (EFS), et des employés de pharmacies.

    «Les suspensions ont commencé dans certaines pharmacies où les employés savent désormais qu'ils ne peuvent plus travailler s'ils ne sont pas vaccinés. Les demandes de dérogation n'ont pas été validées», ont expliqué des employés de pharmacie. Si des incertitudes persistent sur l'application effective de mesures de suspension par la direction du CHU, le dialogue reste tendu, puisque grévistes et agents hospitaliers exercent leur droit de retrait depuis plusieurs semaines contre le pass sanitaire et l'obligation vaccinale. «Pensons aux patients.

    La liberté de manifester est un droit fondamental mais elle doit s'exprimer en dehors du CHUM», a ainsi twitté la préfecture de Martinique. Serge Letchimy, président du conseil exécutif de Martinique, a quant à lui lancé un appel à la médiation le 23 octobre pour ramener la sérénité au CHU. Six syndicats de la santé ont fait savoir ce même jour, en présence d'un collectif d'avocats, leur intention de déposer plainte contre X pour des manquements présumés dans la gestion de la crise sanitaire en Martinique.

    https://francais.rt.com/france/91992-martinique-un-millier-manifestants-a-fort-de-france-contre-obligation-vaccinale-soignants

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  13. Santé publique ou patrimoine privé ? Comment les passeports de vaccins numériques ouvrent la voie à un capitalisme de surveillance sans précédent


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 25 OCT 2021 - 23:50
    Rédigé par Jeremy Loffredo et Max Bluemnthal via TheGrayZone.com,


    Les titans du capitalisme mondial exploitent la crise de Covid-19 pour instituer des systèmes d'identification numérique de type crédit social à travers l'Occident...

    La mort de faim d'Etwariya Devi, une veuve de 67 ans de l'État indien rural de Jharkhand, aurait pu passer sans préavis si elle n'avait pas fait partie d'une tendance plus répandue.

    Comme 1,3 milliard de ses compatriotes indiens, Devi avait été poussée à s'inscrire à un système d'identification numérique biométrique appelé Aadhaar afin d'accéder aux services publics, y compris son allocation mensuelle de 25 kg de riz. Lorsque son empreinte digitale n'a pas été enregistrée dans le système de mauvaise qualité, Devi s'est vu refuser sa ration alimentaire. Au cours des trois mois suivants en 2017, elle s'est vu refuser à plusieurs reprises de la nourriture jusqu'à ce qu'elle succombe à la faim, seule chez elle.

    Premani Kumar, une femme de 64 ans également originaire du Jharkhand, a connu le même décès que Devi, mourant de faim et d'épuisement la même année après que le système Aadhaar a transféré ses paiements de pension à une autre personne sans sa permission, tout en coupant sa nourriture mensuelle. rations.

    Un sort tout aussi cruel a été réservé à Santoshi Kumari, une fillette de 11 ans, également originaire de Jharkhand, qui serait morte en mendiant du riz après l'annulation de la carte de rationnement de sa famille parce qu'elle n'avait pas été liée à leur carte d'identité numérique Aadhaar.

    Ces trois victimes déchirantes faisaient partie d'une vague de décès dans l'Inde rurale en 2017, résultat direct du système d'identification numérique Aadhaar.

    Avec plus d'un milliard d'Indiens dans sa base de données, Aadhaar est le plus grand programme d'identification numérique biométrique jamais construit. En plus de servir de portail aux services gouvernementaux, il suit les mouvements des utilisateurs entre les villes, leur statut d'emploi et les dossiers d'achat. Il s'agit d'un système de crédit social de facto qui sert de point d'entrée clé pour accéder aux services en Inde.

    Après avoir qualifié le créateur d'Aadhaar, le milliardaire Nandan Nilekani, de « héros », les initiatives soutenues par l'oligarque technologique Bill Gates ont longtemps cherché à introduire « l'approche Aadhaar dans d'autres pays ». Avec le début de la crise de Covid-19, Gates et d'autres mavens de l'industrie de l'identification numérique ont une opportunité sans précédent d'introduire leurs programmes dans les pays riches du Nord global.

    Pour ceux qui aspirent à la fin des restrictions liées à la pandémie, des programmes d'accréditation certifiant leur vaccination contre Covid-19 ont été commercialisés comme la clé de la réouverture de l'économie et du rétablissement de leur liberté personnelle. Mais la mise en œuvre des passeports d'immunité accélère également la mise en place d'une infrastructure mondiale d'identité numérique.

    Comme l'a récemment déclaré la société de surveillance militaire et l'entrepreneur de l'OTAN Thales, les passeports vaccinaux "sont un précurseur des portefeuilles d'identification numérique".

    Et comme l'a souligné le PDG d'iProove, une société d'identification biométrique et un sous-traitant de la sécurité intérieure, à Forbes, « l'évolution des certificats de vaccins entraînera en fait l'ensemble du domaine de l'identification numérique à l'avenir. Donc, par conséquent, il ne s'agit pas seulement de Covid, il s'agit de quelque chose d'encore plus grand. »

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  14. Pour l'État de sécurité nationale, les passeports d'immunité numériques promettent un contrôle sans précédent sur les populations partout où de tels systèmes sont mis en œuvre. Ann Cavoukian, ancienne commissaire à la protection de la vie privée de l'Ontario, au Canada, a décrit le système de passeport vaccinal déjà actif dans sa province comme "un nouveau réseau de surveillance incontournable avec des données de géolocalisation suivies partout".

    Pour les oligarques technologiques tels que Bill Gates et les institutions néolibérales telles que le Forum économique mondial, les systèmes d'identification numérique et de monnaie numérique ont déjà permis l'extraction de profits incroyables dans les pays du Sud, où des centaines de millions de personnes restent « non bancarisées » et donc en dehors de la sphère des systèmes de paiement électronique.

    Aujourd'hui, alors que les manifestations populaires se multiplient contre un régime d'exclusion des passeports vaccinaux, les capitaines du capitalisme mondial font campagne avec plus d'urgence que jamais pour apporter l'identification numérique à l'Occident.

    Pour ces intérêts d'élite, la numérisation des passeports d'immunité représente un outil essentiel dans une transformation économique et politique planifiée de longue date.

    « Sans Covid Pass, ma femme et moi sommes bannis de la société »
    Partout dans le monde, la certification de la vaccination contre le COVID-19 est déjà une exigence pour participer à la vie quotidienne.

    En Indonésie, les vaccins contre le COVID-19 sont obligatoires et ceux qui refusent s'exposent à des amendes ou se voient refuser l'accès aux services publics. En Grèce, les résidents doivent présenter une immunité pour travailler ou entrer dans les bars, théâtres et autres espaces publics intérieurs.

    La France a également exigé des résidents qu'ils soient munis d'un laissez-passer sanitaire pour accéder à tous les restaurants, bars, trains et tout lieu pouvant accueillir plus de 50 personnes, une décision qui a alimenté de nombreuses protestations dans tout le pays. L'ancien candidat socialiste français à la présidentielle Jean-Luc Mélenchon a qualifié les nouvelles restrictions d'"absurdes, injustes et autoritaires".

    L'Italie a imposé son Green Pass pour tous les travailleurs, les menaçant de licenciement et de suspension de salaire. L'Italie exige également le laissez-passer pour utiliser les transports en commun italiens. Des scènes d'application excessive du Green Pass par la sécurité privée et d'exclusion des personnes âgées italiennes des services essentiels ont déjà commencé à devenir virales sur les réseaux sociaux.

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  15. Les restrictions pour les Lituaniens qui ne sont pas doublement vaccinés ou incapables de démontrer une infection antérieure récente de Covid-19 représentent certaines des plus sévères au monde. Ils sont interdits dans les restaurants, tous les magasins non essentiels, les centres commerciaux, les services de beauté, les bibliothèques, les banques ou les agences d'assurance, les universités, les soins médicaux aux patients hospitalisés et les voyages en train.

    Gluboco Lietuva, un « père lituanien » autoproclamé qui a refusé la vaccination, a déclaré sur Twitter : « Sans Covid Pass, ma femme et moi sommes bannis de la société. Nous n'avons aucun revenu. Interdit de la plupart des achats. Peut à peine exister.

    Quatre provinces canadiennes sur dix exigent actuellement que les citoyens présentent une preuve de vaccination contre le COVID-19 pour entrer dans les lieux publics intérieurs comme les restaurants et les théâtres. Tous les fonctionnaires fédéraux et certains autres travailleurs doivent être vaccinés pour conserver leur emploi.

    Le gouvernement du premier ministre canadien Justin Trudeau exige également que tous les voyageurs aériens et voyageurs interprovinciaux en train soient vaccinés. La province canadienne de l'Alberta est allée plus loin dans les mesures en septembre lorsqu'elle a annoncé que ceux qui ne peuvent pas prouver la vaccination complète contre le COVID ne seront plus autorisés à socialiser à l'intérieur en groupes de plus de 12.

    En Israël, pendant ce temps, seuls ceux qui ont reçu trois doses peuvent travailler ou faire leurs courses à l'intérieur et aller au restaurant ; les citoyens qui ont reçu deux injections il y a plus de six mois sont désormais considérés comme non vaccinés. Cette règle a consolidé ce que même le New York Times a qualifié de « système à deux vitesses pour les vaccinés et les non vaccinés… soulevant des questions juridiques, morales et éthiques ».

    Aux États-Unis, le président Joe Biden « va de l'avant avec les exigences de vaccination partout où [il] le peut ». Biden, qui a déclaré que sa « patience s'amenuise » avec les Américains non vaccinés, a récemment annoncé de nouvelles exigences fédérales exigeant qu'environ 80 millions d'Américains – y compris tous ceux qui travaillent dans des entreprises de plus de 100 employés – doivent soit être vaccinés, soit subir un test de dépistage du COVID. -19 hebdomadaire.

    Biden a également exigé que ceux qui travaillent dans des établissements recevant Medicare ou Medicaid doivent prouver leur immunité pour conserver leur emploi. Selon AP, le président Biden envisage une preuve d'immunité pour les voyages interétatiques, une restriction réclamée par son ancien conseiller en santé publique, Ezekiel Emanuel.

    Dans l'État du Colorado, le système hospitalier de l'UCHealth a annoncé qu'il n'autoriserait pas les greffes d'organes sur des patients non vaccinés, incitant certains à se rendre au Texas pour des procédures vitales.

    New York City offre un aperçu du programme en magasin pour le reste du pays. L'exigence « Key to NYC » de la ville, qui est entrée en vigueur le 13 septembre, exige une preuve de vaccination pour travailler ou assister à des restaurants intérieurs, des salles de fitness intérieures et des lieux de divertissement comme les musées, les stades, les arcades et les théâtres.

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  16. « Si vous voulez participer pleinement à notre société, vous devez vous faire vacciner », a déclaré le maire De Blasio. "[New York City] est un endroit miraculeux littéralement plein de merveilles… si vous n'êtes pas vacciné, malheureusement, vous ne pourrez pas participer."

    Les mandats liés à la COVID pourraient être permanents
    Alors que des médias comme CNN ont qualifié les passeports vaccinaux de «mesure utile et temporaire», il est de plus en plus évident que la preuve des restrictions d'immunité imposées aux populations occidentales pourrait ne pas disparaître de sitôt.

    Le ministère australien de la Santé de la Nouvelle-Galles du Sud, le Dr Kerry Chant, a déclaré que les citoyens « doivent s'habituer à être vaccinés avec des vaccins COVID pour l'avenir… ce sera un cycle régulier de vaccination et de revaccination ».

    Albert Bourla, PDG de la société Pfizer qui a vu ses actions monter en flèche pendant la pandémie, a fait remarquer que le «scénario le plus probable» est des vaccins contre le coronavirus obligatoires sur une base annuelle.

    Comme le disait un titre de février Nature, « le coronavirus est là pour rester ». Ou, comme le dit le Dr Mike Ryan, directeur exécutif du Programme d'urgence sanitaire de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) : il est « très, très, peu probable » que le COVID-19 disparaisse un jour.

    « Éradiquer ce virus du monde en ce moment, c'est un peu comme essayer de planifier la construction d'un tremplin vers la Lune », a déclaré Michael Osterholm, épidémiologiste à l'Université du Minnesota à Minneapolis. "C'est irréaliste."

    « C’est notre vie à partir de maintenant, par vagues », a reconnu le tsar israélien du coronavirus, Salman Zarka.

    Déjà, Zarka a préparé des plans pour imposer une quatrième dose aux Israéliens.

    Les mandats COVID doivent être appliqués numériquement
    Alors qu'un tapis roulant de boosters mandaté par l'État peut sembler peu attrayant pour beaucoup, voire carrément infernal, pour d'autres, le cauchemar représente l'opportunité d'une vie. Dès mai 2020, sept semaines seulement après la déclaration de la pandémie, le milliardaire américain de la technologie Bill Gates a prédit que « nous aurons finalement des certificats numériques pour montrer qui s'est rétabli ou a été testé récemment ou quand nous avons un vaccin qui l'a reçu. "

    Aujourd'hui, plus d'un an plus tard, un nombre croissant de gouvernements locaux et nationaux exigent une forme de preuve numérique de vaccination ou d'immunité naturelle contre le COVID-19.

    Ceux qui souhaitent voyager au Canada, par exemple, doivent télécharger une application qui vérifie le statut vaccinal des voyageurs entrants. Le gouvernement prévoit également d'introduire un passeport numérique fédéral pour les vaccins à l'échelle du Canada au cours des prochains mois.

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  17. Lorsque l'Union européenne (UE) s'est ouverte aux touristes étrangers cet été, elle a introduit un « certificat numérique COVID » qui accordait l'entrée aux personnes vaccinées contre le COVID-19, à celles qui ont eu un test négatif ou à celles qui se sont récemment remises d'une infection. Son «certificat vert numérique» proposé a été présenté comme un moyen de faciliter la libre circulation en toute sécurité à l'intérieur de l'UE pendant la pandémie.

    Le gouvernement français s'associe à une société de technologie biométrique appelée IDEMIA pour « permettre à ses citoyens de prouver plus facilement leur identité et d'effectuer des transactions en ligne à l'aide d'un smartphone ». La nouvelle application « permettra aux citoyens français de placer leurs cartes nationales d'identification électronique [introduites en France en tant que réponse COVID-19 en août 2021] … au dos de leurs smartphones et de voir leur identité confirmée instantanément. » IDEMIA aide également la France à certifier les données d'immunité des voyageurs avec sa suite Health Travel Pass.

    Les États-Unis acceptent toujours les dossiers de vaccination papier et le président Biden a insisté sur le fait qu'aucune application nationale n'était en préparation. Cependant, sept États américains (Californie, New York, Louisiane, Colorado, Illinois, New Jersey et Hawaï) ont déjà mis en place des applications certifiant la vaccination contre le COVID-19 et ont mis en place divers degrés de mandats de vaccination contre le COVID-19.

    ImmunaBand, un bracelet portable, dont la mission de l'entreprise est « de rapprocher un peu plus le monde à une époque de pandémie de COVID-19 et pour vous de démontrer au monde votre statut vaccinal », a également été approuvé par la ville de New York comme preuve de vaccination.

    « À la manière américaine typique, le gouvernement américain relègue la création de certifications de vaccination numériques au secteur privé », a déclaré l'association à but non lucratif Data & Society.

    En effet, derrière la poussée pour les passeports vaccinaux numériques se trouve une coterie d'institutions néolibérales supranationales guidées par des donateurs oligarchiques de l'industrie technologique.

    Les intérêts des entreprises d'élite derrière les passeports numériques COVID
    Les méga-entreprises, les institutions financières internationales et les fondations privées soutenues par des milliardaires ont joué un rôle essentiel dans le lobbying et la mise en œuvre des passeports d'immunité numérique.

    Le système mondial de passeport sanitaire en plein essor a été coordonné sous l'égide de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) des Nations Unies. Cependant, cette institution est si étroitement liée à de riches intérêts privés qu'elle peut difficilement être qualifiée d'organisme de santé « public ».

    Comme l'a dit l'ancienne directrice de l'OMS Margaret Chan à la réalisatrice Lilian Franck, « ​​seulement 30 % de mon budget est constitué de fonds prévisibles. Les 70 % restants, je dois prendre un chapeau et faire le tour du monde pour mendier de l'argent. Et quand ils nous donnent de l'argent, [it] est fortement lié à leurs préférences, à ce qu'ils aiment.

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  18. Le principal de ces bailleurs de fonds privés est le deuxième homme le plus riche du monde, Bill Gates, et sa Fondation Bill et Melinda Gates, qui se trouve être le deuxième donateur de l'OMS.

    Bill Gates avec le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom

    La Fondation Gates a récemment aidé à financer un document de l'OMS fournissant des « orientations de mise en œuvre » pour la preuve des certifications de vaccination à travers le monde. Les auteurs ont rédigé le document aux côtés de la Fondation Rockefeller et avec les conseils de plusieurs représentants de haut niveau de la Banque mondiale.

    Selon les Affaires étrangères, "peu d'initiatives politiques ou de normes normatives fixées par l'OMS sont annoncées avant d'avoir été approuvées de manière informelle et officieuse par le personnel de la Fondation Gates". Ou, comme d'autres sources l'ont dit à Politico en 2017, "les priorités de Gates sont devenues celles de l'OMS".

    Le Forum économique mondial (WEF) est également à l'avant-garde du passage aux informations d'identification numériques. "Le Forum est impliqué dans le groupe de travail de l'OMS pour réfléchir à ces normes [exigences relatives aux vaccins] et réfléchir à la manière dont elles seraient utilisées", lit-on dans un article du WEF de mai.

    Sur le papier, le WEF (également connu sous le nom d'Organisation internationale pour la coopération public-privé) est une ONG et un groupe de réflexion « engagés à améliorer l'état du monde ». En réalité, il s'agit d'un réseau international de certaines des personnes les plus riches et les plus influentes de la planète. Le Forum se positionne comme le leader d'opinion du capitalisme mondial.

    L'organisation est surtout connue pour son rassemblement annuel de la classe dirigeante mondiale. Chaque année, des gestionnaires de fonds spéculatifs, des banquiers, des PDG, des représentants des médias et des chefs d'État se réunissent à Davos pour « définir les programmes mondiaux, régionaux et sectoriels ». Comme le dit le ministère des Affaires étrangères, « le WEF n'a pas d'autorité formelle, mais il est devenu le principal forum où les élites peuvent discuter des idées et des priorités politiques ».

    En 2017, l'économiste allemand et fondateur du WEF, Klaus Schwab, a introduit le concept de « La quatrième révolution industrielle » avec le titre du livre qu'il a publié cette année-là. La quatrième révolution industrielle (4IR) désigne la « révolution technologique » actuelle qui change la façon dont les gens « vivent, travaillent et se rapportent les uns aux autres », et avec des implications « contrairement à tout ce que l'humanité a connu », selon Schwab.

    Pour lui, le 4IR est la « fusion des mondes physique, numérique et biologique ». Schwab a même déclaré que le 4IR allait inévitablement basculer vers le transhumanisme, ou l'édition du génome humain.

    En janvier 2021, plusieurs partenaires du WEF, dont Microsoft, Oracle, Salesforce et plusieurs autres « poids lourds », ont annoncé un partenariat pour lancer la Vaccine Credential Initiative (VCI) afin de développer des outils d'authentification de vaccination numériques, selon Forbes.

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  19. Visant à instituer une « carte de santé SMART » unique pour le monde, le VCI entend que ses cartes de santé SMART soient reconnues « à travers les frontières organisationnelles et juridictionnelles ».

    Aux États-Unis, certains États déploient déjà les cartes de santé SMART développées par le VCI. Ces cartes de santé SMART ont jeté les bases d'une norme nationale de facto pour les informations d'identification des vaccins.

    "Si suffisamment d'États adoptent la technologie, cela pourrait devenir une norme nationale de facto et éviter à l'administration Biden d'avoir à énoncer des exigences fédérales à des fins nationales", a noté Politico.

    La dernière version d'iOS d'Apple, iOS 15, inclut même la prise en charge de SMART Health Card.

    À partir d'aujourd'hui, ceux qui ont reçu un vaccin en Californie, à Hawaï, en Louisiane, à New York, en Virginie ou dans certains comtés du Maryland peuvent obtenir une carte de santé SMART de l'État.

    Dans la plupart des autres États, une carte de santé SMART est disponible pour ceux qui ont été vaccinés dans l'une des 17 100 chaînes de pharmacies CVS, Walgreen ou Rite Aid à l'échelle nationale.

    « Davantage d'États, de pharmacies et de systèmes de santé commenceront à émettre des cartes de santé SMART très bientôt », promet le site du Commons Project, l'un des fondateurs de l'initiative VCI.

    Le PDG de Commons Project, Paul Meyer, est un « jeune leader » du WEF.

    PDG du projet Commons et jeune leader du Forum économique mondial Paul Meyer

    En Inde, les oligarques de la technologie utilisent l'identification numérique pour imposer le crédit social aux pauvres des zones rurales, engendrant l'exclusion et même la mort
    En 2015, la Fondation Gates a fourni des fonds de démarrage à un projet de l'école de santé publique de Yale qui deviendrait connu sous le nom de Khushi Baby. Désormais à but non lucratif, Khushi Baby fabrique des colliers équipés de puces électroniques qu'un enfant peut porter à tout moment pour suivre son statut vaccinal et établir une surveillance continue depuis ses premières vaccinations jusqu'à l'âge adulte. L'organisation à but non lucratif affirme qu'elle utilise désormais les données de plus de 35 000 villages en Inde pour créer des algorithmes qui "prédisent les résultats pour la santé des mères et des enfants".

    Du site Web de KhushiBaby.org

    En 2016, IDEMIA, la société de sécurité qui travaille désormais avec le gouvernement français sur la vaccination et la vérification d'identité, a conçu les colliers équipés de puces électroniques. Les colliers ont été utilisés pour suivre les données de santé de 13 millions de personnes en Inde depuis le début de la pandémie.

    Ces programmes ont été commercialisés par des consultants d'entreprise comme des outils essentiels pour améliorer l'égalité et l'inclusion dans les pays du Sud. « L'identification numérique est la clé d'une croissance inclusive », a déclaré McKinsey, le cabinet de conseil mondial, en 2019.

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  20. « Quelque chose comme 1 milliard de personnes pourrait être plus inclus financièrement et participatif », a déclaré Mike Kubzansky, associé directeur du réseau Omidyar du fondateur et magnat des médias d'Ebay, Pierre Omidyar, lors d'un panel du WEF explorant comment « l'identification numérique offre une opportunité significative pour la création de valeur ».

    Comme Gates, Omidyar est fortement investi dans l'avancement des systèmes d'identification numérique et de monnaie via son réseau Omidyar, qui collabore avec le Forum économique mondial sur l'initiative Good ID.

    Un examen plus approfondi de la poussée pour « l'inclusion » par les géants de l'entreprise révèle leur langage altruiste comme un peu plus que la couverture des relations publiques pour des motifs de profit brut, entraînant la marginalisation et même la mort pour beaucoup de ceux qui sont attachés à leurs systèmes d'identification numérique.

    En plus de servir de plate-forme pour l'entreprise Khushi Baby, l'Inde est devenue un laboratoire pour les systèmes de suivi et d'identité numériques. Avec le soutien d'organisations capitalistes occidentales comme la Fondation Gates et la Banque mondiale, le pays est devenu le site de la plus grande base de données d'identification numérique au monde, connue sous le nom d'Aadhaar.

    Le système Aadhaar tire son nom d'un numéro à 12 chiffres qui sert de preuve d'identité et d'adresse, entre autres marqueurs, partout en Inde. À ce jour, 1,3 milliard d'Indiens ont été inscrits dans le système, ce qui en fait la plus grande base de données d'identification biométrique jamais construite. Il contient des scans d'iris et des empreintes digitales des deux mains de chaque utilisateur. La technologie de ce système a été fournie par nul autre que la société de sécurité française IDEMIA.

    Nandan Nilekani, créateur du système d'identification numérique Aadhar, avec Bill Gates

    Aadhaar a été mis en œuvre en 2014, l'année où Narendra Modi, spécialiste du libre marché et centré sur la technologie, est entré au bureau du Premier ministre. Son créateur, le milliardaire technologique Nandan Nilekani, a été qualifié de « Bill Gates of Bangalore », célébré par des passionnés de mondialisation comme Thomas Friedman, et salué par nul autre que Gates comme un « héros » altruiste. La fondation Gates a collaboré avec Nilekani dans le cadre de son projet « Co-impact » aux côtés du cofondateur milliardaire d'eBay, Jeffrey Skoll’s Skoll Foundation.

    "Aadhaar est un énorme atout pour l'Inde", a déclaré Gates dans une interview en 2019 avec le réseau indien Times Now. « Le fait que vous puissiez effectuer des paiements numériques et ouvrir un compte bancaire si facilement, l'Inde est un leader dans ce domaine. Il y a d'énormes avantages à pouvoir obtenir de l'argent numérique du gouvernement pour le bénéficiaire. »

    Mais derrière la tournure néolibérale, le système d'identification numérique Aadhar de Nilekani a fait des ravages dans la vie des populations les plus vulnérables et stigmatisées de l'Inde.

    Dans l'État indien du Jharkhand, dans l'est de l'Inde, une vague de décès a eu lieu en 2017 lorsque des citoyens appauvris ont été coupés des rations alimentaires subventionnées par le gouvernement par le système Aadhaar. Dans plusieurs cas, des veuves vieillissantes se sont vu refuser du riz pendant plusieurs mois parce que le système a rejeté leurs empreintes digitales.

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  21. À peu près à la même époque, trois frères sont morts de faim après avoir échoué à s'inscrire correctement auprès d'Aadhaar et se sont par la suite vu refuser des rations pendant six mois. Le même sort cruel a été infligé à la famille Kumari, qui n'a pas pu obtenir une carte d'identité électronique Aadhaar, a perdu sa carte de rationnement et a vu sa fille de 11 ans, Santoshi, mourir de faim.

    « De nombreuses personnes dans le Jharkhand ont été victimes de la même privation de droits alimentaires au cours des derniers mois », a rapporté India’s Scroll. "La principale raison est que l'authentification biométrique basée sur Aadhaar est désormais obligatoire dans environ 80% des magasins de rationnement de l'État."

    Selon Scroll, un échantillon aléatoire de 18 villages où l'authentification biométrique était obligatoire a révélé que 37% des titulaires de carte n'étaient pas en mesure d'acheter leurs rations alimentaires.

    En plus de faire d'Aadhaar la clé pour obtenir des services gouvernementaux, le gouvernement Modi a intégré les données collectées par Aadhar pour établir une « base de données à 360 degrés » qui « suit automatiquement [s] lorsqu'un citoyen se déplace entre les villes, change d'emploi ou achète une nouvelle propriété. », selon le Huffington Post.

    Lorsque Covid-19 a atteint l'Inde pour la première fois au début de 2020, Nilekani a proposé d'utiliser Aadhar comme base d'un programme de vaccination et de suivi anti-Covid. "Nous devons nous assurer que tout le monde reçoive un certificat numérique avec la date de vaccination, le nom du vaccin et par l'intermédiaire de quel fournisseur et à quel endroit", a-t-il déclaré en 2020.

    Sans surprise, le système de surveillance de masse de Nilekani s'est avéré beaucoup plus efficace pour collecter des données qu'il ne l'a été pour les protéger. En 2018, le journal Indian Tribune a pu acheter les informations personnelles de presque tous les utilisateurs d'Aadhaar via des vendeurs anonymes sur WhatsApp. Le processus n'a pris que 10 minutes et a coûté environ 6 USD, a rapporté le journal.

    Les atteintes à la vie privée en série du système ont même incité certains Indiens séropositifs à abandonner les programmes de traitement antirétroviral nécessitant la carte Aadhaar. Bien que l'Aadhaar soit dit volontaire, des personnes séropositives se sont plaintes auprès des médias indiens d'avoir subi des pressions pour s'inscrire au programme d'identification et d'avoir été menacées de perdre leurs services médicaux.

    Les défenseurs américains de la protection de la vie privée ont qualifié les programmes d'identité nationale numérique comme Aadhaar d'outils de surveillance gigantesques qui jettent les bases d'un système de crédit social.

    S'adressant au comité américain des services financiers en juillet 2021, Elizabeth Renieris du Technology Ethics Lab de Notre-Dame a averti : « Le numéro Aadhaar en Inde est capable de suivre votre activité dans toutes les facettes de votre vie, de l'emploi aux soins de santé, à l'école, à peu près tout ce que vous faites. Vous ne pouvez pas conserver l'autonomie sur des domaines spécifiques de votre vie. Vous ne pouvez pas séparer votre réputation personnelle et professionnelle. Vous ne pouvez pas avoir ce genre d'identité personnelle contextualisée. Je pense que c'est vraiment problématique.

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  22. "Nous devons éviter de construire des systèmes et des infrastructures d'identité numérique d'une manière qui étend et renforce davantage l'État de surveillance, comme le fait le système d'identité national en Inde", a poursuivi Renieris.

    Mais c'est l'aspect global du crédit social d'Aadhaar qui a rendu Gates si attaché au système.

    S'adressant aux principaux décideurs politiques de l'Inde en 2016, le deuxième homme le plus riche du monde a déclaré : « Au fil du temps, toutes ces transactions créent une empreinte et donc, lorsque vous sollicitez un crédit, la possibilité d'accéder à l'historique sur lequel vous avez payé vos factures de services publics. temps, que vous avez économisé de l'argent pour l'éducation de vos enfants, toutes ces choses dans votre parcours numérique, accessibles de manière appropriée, permettent au marché du crédit de [évaluer correctement le risque].“

    ID4D étend l'identification numérique pour suivre plus d'activités humaines que jamais
    En 2016, la Fondation Gates a financé un projet de la Banque mondiale appelé l'Initiative Identité pour le développement (ID4D) dans le but déclaré d'apporter « l'approche Aadhaar à d'autres pays ».

    À ce jour, la Banque mondiale a investi 1,2 milliard de dollars dans l'initiative ID4D, dans le but officiel de créer des « systèmes d'identification utilisant des solutions du 21e siècle ».

    Parmi les quatre partenaires financiers qui ont créé l'initiative se trouvaient deux opérations familières soutenues par Big Tech : la Fondation Gates et le réseau Omidyar, ainsi qu'Australian Aid et UK Aid. Selon la Banque mondiale, les « contributions catalytiques » de la Fondation Gates ont notamment transformé le projet d'une idée en une initiative fonctionnelle de la Banque mondiale.

    Nilekani d'Aadhaar siège actuellement au conseil consultatif de l'Initiative ID4D.

    Selon la Banque mondiale, ID4D "promou[s] l'utilisation de systèmes d'identification numérique pour la libre circulation et la prestation de services, en créant des liens entre les systèmes qui permettent aux utilisateurs de s'authentifier pour des services clés tels que recevoir des paiements de transfert social, effectuer des transactions financières, et franchir les frontières.

    Les supports promotionnels encadrent cette entreprise comme une cause humanitaire centrée sur l'aide aux femmes pauvres et sur l'assurance que les individus « non bancarisés » (ceux qui n'ont pas de compte bancaire) tels que les réfugiés et les migrants sont inclus dans l'économie moderne.

    Pourtant, un examen plus attentif des partisans de l'initiative et de leur agenda révèle un objectif de longue date des capitaines du capitalisme mondial : créer un système d'identité centré sur le numérique qui permet aux puissantes institutions publiques et privées de suivre plus d'activité humaine que jamais.

    « L'identification numérique… peut être exploitée par les plateformes gouvernementales et commerciales pour faciliter diverses transactions numériques, y compris les paiements numériques », explique la Banque mondiale.

    Dans un livre blanc d'août 2021, la Banque mondiale a appelé les pays africains à créer un «marché numérique unique» et à assouplir les réglementations sur les infrastructures numériques afin de réduire les risques pour les investisseurs. Le document a révélé les véritables intentions derrière la pression de la Banque mondiale pour combler la fracture numérique : ouvrir le continent aux investissements étrangers. « La réglementation gouvernementale », déclare le journal, « doit aplanir la voie vers la transformation numérique dans la région ».

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  23. « En accélérant la transformation numérique de l'Afrique, les entreprises peuvent en récolter les bénéfices », a proclamé le Forum économique mondial (WEF) dans un article de 2020 intitulé « L'Afrique a le potentiel de stimuler la croissance mondiale ».

    « Il y aura […] des opportunités lucratives en Algérie, en Angola, en Éthiopie, au Ghana, au Kenya, au Maroc, au Soudan et en Tunisie […] un bon pari pour les entreprises cherchant à pénétrer de nouveaux marchés », a conseillé le WEF.

    Comme l'a récemment écrit le Forum économique mondial, « COVID-19 a mis en évidence les avantages de la création d'une économie numérique. » Pourtant, les avantages dont parle le groupe tomberont probablement du côté de ses parties prenantes.

    Les partenaires de la « Platform for a Good Digital Identity » du Forum économique mondial comprennent la société d'identification biométrique Accenture, Amazon, Barclays Bank, Deutsche Bank, HSBC Bank, Mastercard, la société de technologie biométrique Simprints et le géant du crédit Visa.

    Les parties prenantes de l'initiative représentent les principaux bénéficiaires d'un système d'identification biométrique imposé aux pays du Sud, les sociétés financières multinationales occidentales servant de passerelle permettant à ses habitants de participer à l'économie mondiale.

    Le WEF a également clairement indiqué que l'« objectif final » de son programme est d'étendre le modèle qu'il a établi en Inde jusqu'à ce que chaque personne dans le monde possède une identification numérique unique.

    Dans un article intitulé « L'identification numérique est le catalyseur de notre avenir numérique », Mohit Joshi, un « jeune leader » du WEF, a fait valoir que « les gouvernements devraient utiliser [Aadhaar] pour rationaliser la fourniture de services et de paiements, et augmenter massivement l'inclusion financière. "

    Dans un autre article, cependant, le WEF a concédé que le nouveau système numérique n'offrira pas nécessairement aux utilisateurs la libération qui leur a été promise : « L'identité numérique de la quatrième révolution industrielle déterminera à quels produits, services et informations nous pouvons accéder – ou, inversement , ce qui nous est fermé », a déclaré le WEF.

    ID2020 tire parti des vaccinations pour aller au-delà des identifications numériques et des paiements « au-delà de la dystopie »
    En 2016, l'Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI) de Bill Gates, Microsoft, Accenture et la Fondation Rockefeller ont créé un nouveau consortium pour fournir des certificats d'identification numérique aux nourrissons lorsqu'ils reçoivent leurs vaccinations de routine. Ils l'ont appelé ID2020, le nommant incidemment pour l'année où une pandémie mondiale serait déclarée.

    ID2020 dit qu'il est "dédié à être le fer de lance d'une norme mondiale d'identité biométrique numérique", et affirme que les identifiants numériques conduiront à "l'indépendance financière".

    Les partenaires de l'initiative ID2020 incluent le géant des cartes de crédit Mastercard et Simprints, une entreprise de technologie biométrique soutenue par l'Agence américaine pour le développement international, une organisation de façade traditionnelle pour le renseignement américain.

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  24. - voir clip sur site -

    Extrait de la vidéo de l'introduction des données biométriques par l'USAID en mai 2018 dans les camps de réfugiés en Ouganda

    Le projet « community pass » de Mastercard vise à capturer les données biométriques de 30 millions d'individus dans les régions reculées de l'Afrique au cours des trois prochaines années et à leur délivrer une carte à puce biométrique Mastercard Community Pass, qui fournira à son tour aux Africains une identité biométrique numérique et un compte bancaire.

    ID2020 opère actuellement au Bangladesh, où il administre l'inscription biométrique et l'identification numérique aux nourrissons lorsqu'ils reçoivent des vaccinations de routine. Le PDG de GAVI, Seth Berkely, a déclaré qu'il prévoyait d'étendre le programme à travers le monde sous-développé, en travaillant avec des méga-entreprises telles que Facebook et Mastercard pour lier le statut de vaccination à un système d'identification biométrique.

    « Quatre-vingt-neuf pour cent des enfants et adolescents sans identification vivent dans des pays soutenus par Gavi », a déclaré Berkley. « Nous sommes enthousiasmés par l'impact potentiel de ce programme non seulement au Bangladesh, mais en tant que quelque chose que nous pouvons reproduire dans les pays éligibles à Gavi. »

    Avec la déclaration de l'OMS d'une pandémie mondiale en mars 2020, une opportunité sans précédent s'est présentée pour les forces faisant progresser les identifications numériques. Comme Andrew Bud, PDG de la société de technologie biométrique et sous-traitant du Département de la sécurité intérieure iProov, s'est enthousiasmé : « L'évolution des certificats de vaccins entraînera en fait tout le domaine de l'identification numérique à l'avenir. Donc, par conséquent, il ne s'agit pas seulement de Covid, il s'agit de quelque chose d'encore plus grand. »

    L'année suivante, ID2020 et la société d'identification biométrique partenaire de l'USAID, Simprints, avaient obtenu un financement de la Fondation Gates pour publier un article intitulé « La livraison du vaccin COVID-19 : une opportunité de mettre en place des systèmes pour l'avenir ». Les auteurs ont fait valoir que les vaccins COVID-19 dans les pays du Sud pourraient être utilisés comme « levier potentiel » pour fournir des identifiants biométriques numériques.

    Ils ont ensuite admis que de tels systèmes biométriques numériques resteraient en place longtemps après la fin de la pandémie de COVID-19 et seraient exploités à diverses fins après le déploiement : « La biométrie a l'avantage d'être agnostique en cas d'utilisation » les co-auteurs ont écrit, "ce qui signifie qu'ils peuvent connecter différents systèmes pendant ou même après le déploiement".

    De Simprints.com

    Elizabeth Renieris du Notre Dame-IBM Tech Ethics Lab a démissionné de son rôle de conseillère technique sur ID2020, citant des "risques pour les libertés civiles" après que l'initiative s'est associée à des géants de la technologie pour concevoir des passeports d'immunité COVID soutenus par la technologie expérimentale de blockchain.

    Renieris a poursuivi en dénonçant le système d'identification en plein essor comme un cauchemar pour les libertés civiles : normes et une technologie hautement expérimentale et potentiellement contraire aux droits comme la blockchain, est au-delà de la dystopie. »

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  25. Les spécialistes de l'identification numérique s'attaquent aux pauvres du monde

    Alors que lier une identification biométrique numérique aux finances des individus est presque certain d'exclure des masses de personnes, et a même tué certains en coupant les citoyens appauvris des services gouvernementaux, les institutions financières et de crédit prédatrices considèrent la technologie comme le moyen idéal pour capitaliser sur des ressources inexploitées et inexploitées. marchés en développement.

    Un rapport de septembre 2021 de BankservAfrica, la plus grande chambre de compensation automatisée des paiements numériques en Afrique, dirigée par d'anciens dirigeants de MasterCard, VISA et IBM, a exhorté l'Afrique du Sud à adopter un système d'identification numérique biométrique.

    Le rapport proclamait : « Le moment est venu pour les consommateurs, les investisseurs et les secteurs privé et public de travailler collectivement pour atteindre l'objectif commun de permettre une identité numérique solide, sécurisée et fiable pour l'Afrique du Sud.

    La plate-forme de paiement numérique de BankServAfrica est actuellement testée en Namibie, au Zimbabwe et en Tanzanie avec le soutien financier de la Banque mondiale, de l'USAID et de la Fondation Bill & Melinda Gates.

    « La pandémie de COVID-19 a montré à quel point une identification numérique est critique », a insisté le directeur commercial de BankServAfrica.

    Le rapport de BankservAfrica a fait valoir qu'un système d'identification numérique biométrique robuste aidera l'Afrique du Sud à réaliser des « processus FICA [cote de crédit] plus simples » et « un marché du crédit à la consommation juste, transparent, compétitif, durable, responsable, efficient et efficace ».

    Mais derrière la noble rhétorique néolibérale déployée par l'industrie financière se cache un bilan sordide de profit et d'invasion de la vie privée à grande échelle.

    En 2007, Vodafone et Safaricom ont lancé mPesa, un système qui permet aux utilisateurs de déposer, retirer, transférer et payer numériquement avec de l'argent. Le projet a permis de « mettre le crédit et le capital de croissance à la disposition de millions de personnes qui n'avaient jamais eu accès au crédit auparavant », selon Areiel Wolanow, qui a dirigé l'équipe qui a conçu et construit le moteur de notation de crédit pour mPesa au Kenya.

    Mais une étude de l'économiste Alan Gibson a révélé que c'était le secteur financier – et non la population rurale des pays du Sud – qui bénéficiait véritablement de mPesa. Pendant ce temps, les conditions de vie des participants pour la plupart appauvris du système ne se sont pas du tout améliorées :

    « Ce qui est incontestable, c'est que l'offre du marché financier a largement bénéficié des dix dernières années. Les ventes des banques ont augmenté de 2,5 fois et les bénéfices de 3,5 fois, avec des marges bénéficiaires également augmentées ; les années d'inclusion ont sans aucun doute été de bonnes années pour les banques. Ce contraste apparent entre le succès flagrant du côté de l'offre et une économie toujours pauvre… soulève des questions sur le rôle du secteur financier. En particulier, cela soulève des questions sur qui/qu'est-ce qu'il est là pour servir, et sur les incitations qui motivent le comportement.

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  26. Dans un autre acte d'accusation contre les systèmes de paiement numérique prétendument « inclusifs », la Revue de l'économie politique africaine a constaté que « la majeure partie de cette valeur [mPesa] ne va pas aux pauvres. Au contraire, une telle fintech est très clairement conçue pour aspirer de la valeur et la déposer entre les mains d'une étroite élite mondiale de la finance numérique qui sont les principales forces derrière la révolution fintech.

    Malgré les preuves d'inégalités croissantes, Bill Gates – dont la fondation dépense des centaines de milliards de dollars pour promouvoir les services financiers numériques pour les pauvres – a fait l'éloge de mPesa.

    "M-Pesa est un excellent programme", a déclaré Gates sur Twitter dans l'un des nombreux tweets saluant le système de paiement numérique.

    Gates est lié à un article faisant la promotion du programme par NPR, le radiodiffuseur public américain qui a reçu plus de 17,5 millions de dollars de Gates tout en produisant des centaines d'articles louant le milliardaire de la technologie et ses initiatives à travers le monde.

    De retour aux États-Unis, pendant ce temps, la campagne ID2020 de Gates a collaboré avec les forces qui font avancer un système qui enregistre le statut de vaccination des Américains auprès de la même société qui calcule leur pointage de crédit financier.

    L'industrie américaine du crédit et les équipes d'identification de l'immunité numérique collaborent sur « d'énormes opportunités pour le secteur commercial »
    Dans l'Illinois, les résidents sont actuellement tenus de vérifier qu'ils ont reçu le vaccin COVID-19 via un portail en ligne appelé Vax Verify, qui fonctionnera de concert avec le passeport vaccinal de Chicago qui sera bientôt mis en œuvre.

    Pour enregistrer leur preuve de vaccination, les résidents de l'Illinois doivent se tourner vers Experian, le premier service de pointage de crédit au monde.

    Déjà, le portail Vax Verify fait face à des réactions négatives pour avoir fourni des informations inexactes sur l'état du vaccin. Il fait également l'objet de graves problèmes de sécurité étant donné le bilan d'Experian en matière de violations qui ont divulgué les données personnelles de millions de citoyens du Brésil vers l'Afrique du Sud.

    De plus, le portail en ligne exige que tout résident dont le crédit est gelé doit le dégeler avec Experian avant d'enregistrer une vaccination.

    "L'utilisation d'Experian est certainement l'un des pires [passeports vaccinaux] que j'ai jamais vus", a commenté Alexis Hancock, directeur de l'ingénierie d'Electronic Frontier Foundation à Yahoo News.

    Après que l'Illinois soit devenu le premier État américain à forger une relation formelle entre les certifications de vaccins et Experian, le membre du Congrès de l'Illinois et le chéri de l'industrie financière Bill Foster ont introduit une législation qui imposerait une identification biométrique numérique à l'ensemble de la population américaine.

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  27. La loi sur l'amélioration de l'identité numérique de 2021, introduite par Foster en juillet, appelle le secteur public, et en particulier le ministère de la Sécurité intérieure, à travailler avec le secteur privé pour développer une nouvelle infrastructure d'identification numérique biométrique pour les États-Unis.

    En novembre 2020, l'ID2020 sponsorisé par Gates a fourni un forum en ligne à Foster pour promouvoir son projet de loi. Au cours de l'événement, le membre du Congrès a plaidé en faveur d'un "système de certificat d'immunité numérique biométrique de confiance" tout en expliquant que son projet de loi obtiendrait la biométrie de chaque citoyen afin que les entreprises privées puissent ensuite "l'exploiter" pour générer d'énormes profits.

    Le représentant Bill Foster était à la tête du webinaire ID2020 soutenu par Gates en novembre 2020

    « Une fois que le gouvernement vous aura [pris] ces données biométriques assez sérieuses, il y aura d'énormes opportunités pour le secteur commercial d'en tirer parti », a-t-il déclaré. « Et pour essayer de faire démarrer tout cela, j'ai introduit la loi sur l'amélioration de l'identification numérique. »

    Les sociétés bancaires et de cartes de crédit font partie des nombreux « secteurs commerciaux » dont bénéficiera la facture de Foster grâce aux identifiants biométriques numériques. Le projet de loi indique clairement que le système d'identification d'entreprise donnera « aux personnes sous-bancarisées et non bancarisées un meilleur accès aux services financiers numériques », masquant l'ouverture des marchés pour les géants de la finance dans le même langage éveillé qu'ID4D et ID2020.

    Mais alors que les oligarques technologiques et leurs partenaires des secteurs financier et de la sécurité nationale tirent parti de l'épidémie de coronavirus pour instituer un appareil lucratif de surveillance numérique, la dissidence éclate dans les pays où les passeports vaccinaux ont commencé à exclure des millions de personnes.

    Des manifestations éclatent contre les passeports vaccinaux et «des gens qui ont très peu à voir avec le parlement»
    À New York – point zéro du déploiement du passeport de vaccination américain – où plus de 80% de toutes les arrestations pour distanciation sociale de Covid ont été menées contre des résidents noirs en 2020, les tensions latentes ont débordé lorsque trois convives noirs ont déclenché une bagarre avec le personnel de Carmine's, un restaurant de l'Upper West Side qui les a empêchés de dîner sans leur preuve de vaccination.

    L'incident a suscité la condamnation d'un chapitre local de Black Lives Matter, qui a accusé les autorités de la ville d'exploiter les mandats de masque et les passeports vaccinaux pour exclure et incarcérer les résidents noirs. "Ce que nous voyons ici, c'est le NYPD et les restaurants utilisant la preuve de vaccination comme raison de discriminer les Noirs", a déclaré Kimberly Bernard, militante du BLM.

    La France a été le théâtre de certaines des plus grandes manifestations au monde contre le système de passeport vaccinal imposé sous la direction de l'ancien banquier et président Emanuel Macron. Le 14 août, plus de 210 000 personnes sont descendues dans la rue lors de plus de 200 manifestations à travers la France contre le régime de sécurité biomédicale naissant.

    Perforant le catalogage des manifestants par les médias corporatifs comme des troupes de choc d'extrême droite, Le Monde les a décrits comme « seuls, accouplés, ici avec leur famille ou leurs amis, de tous âges, blancs, noirs, employés, retraités, certains vaccinés, d'autres qui refusent de se faire tirer dessus.

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  28. La journaliste française Pauline Bock a noté que dans son pays, « le seul métier exempté de la vaccination obligatoire – la police – sera celui qui veillera à ce que tout le monde obéisse. La politique est mûre pour un abus autoritaire.

    En Italie, pendant ce temps, le Premier ministre italien et ancien président de la Banque centrale européenne Mario Draghi a exigé que tous les employés des entreprises publiques et privées produisent un Green Pass prouvant la vaccination afin d'entrer sur leur lieu de travail.

    Le système de passeport vaccinal Green Pass a déjà exclu les personnes non vaccinées des restaurants, des gymnases, ainsi que des trains, des bus et des vols intérieurs à travers le pays. Les chiffres officiels du gouvernement montrent que le laissez-passer n'a pas réussi à augmenter la vaccination.

    Avec l'extension du Green Pass aux lieux de travail, les Italiens se sont soulevés dans certaines des plus grandes manifestations que le monde ait connues contre le régime de biosécurité naissant.

    Le 9 octobre, des centaines de milliers de manifestants ont envahi les rues italiennes de Rome à Trente pour exprimer leur rejet de la politique de Draghi. À Rome, où la police a réprimé des manifestants pacifiques avec des matraques et des boucliers anti-émeute, un groupe d'une vingtaine de hooligans d'extrême droite a attaqué un bureau syndical local alors que la police se tenait à côté. Le ministre de l'Intérieur Carlo Sibilia a exploité l'incident pour affirmer que "des groupes néo-fascistes se cachent derrière les soi-disant anti-vaccins".

    Le secrétaire d'une faction du Parti communiste italien, Marco Rizzo, qui a condamné le système de passeport comme "un outil discriminatoire et de division qui oppose les uns aux autres", a jeté des soupçons sur l'incident.

    Dans une déclaration du 10 octobre, Rizzo a averti que l'incident de "violence fasciste" de la veille avait joué directement entre les mains du gouvernement néolibéral et s'était demandé si une nouvelle "stratégie de tension" était en jeu. Le dirigeant communiste faisait référence à la militarisation secrète par l’État italien des militants d’extrême droite au cours des « années de plomb » des années 1970 pour fomenter la violence et neutraliser les organisations marxistes.

    Les manifestations se sont maintenant étendues à la ville portuaire de Trieste, où les dockers syndiqués ont refusé de décharger les marchandises jusqu'à ce que le Green Pass soit révoqué. Le 18 octobre, la police italienne a tenté de briser la grève des travailleurs avec des canons à eau, des gaz lacrymogènes et une forte répression.

    Deux jours avant que les manifestations anti-Green Pass n'éclatent à travers l'Italie, le célèbre philosophe Giorgio Agamben a comparu devant la Commission des affaires constitutionnelles du Sénat italien pour publier une déclaration dramatique d'opposition au Green Pass.

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  29. Agamben est surtout connu pour son concept d'Homo Sacer, ou vie nue, dans lequel un individu est dépouillé de ses droits et réduit à son essence biologique dans un régime extra-légal justifié par la guerre ou d'autres urgences. Lorsque les autorités italiennes ont déclaré le premier verrouillage en mars 2020, le philosophe a appliqué la théorie aux restrictions sévères de son propre pays.

    « Le trait caractéristique… de cette grande transformation qu'ils tentent d'imposer, c'est que le mécanisme qui la rend formellement possible n'est pas un nouveau corps de lois, mais un état d'exception – en d'autres termes, non pas une affirmation, mais la suspension de de garanties constitutionnelles », a expliqué le philosophe dans l’avant-propos de son recueil d’écrits de 2020 sur Covid-19, « Où sommes-nous maintenant : l’épidémie en tant que politique ?

    Dans ses remarques devant le Sénat italien, Agamben a souligné un programme sinistre derrière la justification officielle des passeports vaccinaux : « Il a été dit par des scientifiques et des médecins que le Green Pass n'a aucune signification médicale en soi mais sert à forcer les gens à se faire vacciner. Au lieu de cela, je pense qu'il faut dire le contraire : que le vaccin est un moyen de forcer les gens à avoir le Green Pass. C'est-à-dire un appareil qui permet de surveiller et de suivre les individus, une mesure sans précédent. »

    Le philosophe a conclu son discours en visant les forces supranationales – Bill Gates, le Forum économique mondial et la Fondation Rockefeller, entre autres – déterminées à imposer un système d'identification numérique et de crédit social de haute technologie à une grande partie de la population humaine. que possible.

    « Je crois que dans cette perspective », a averti Agamben, « il est plus urgent que jamais que les parlementaires se penchent sur la transformation politique en cours, qui à terme est vouée à vider le parlement de ses pouvoirs, le réduisant à une simple approbation – dans le nom de biosécurité – décrets émanant d'organisations et de personnes qui ont très peu à voir avec le parlement.

    - voir clip sur site -

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/public-health-or-private-wealth-how-digital-vaccine-passports-pave-way-unprecedented

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    1. Des virus (poussière nano-métrique inoffensive) nous en avons (comme des microbes) respiré DES milliards depuis ce matin et DES milliards de trains de milliards depuis notre naissance et NOUS NE SOMMES PAS MOOOOORT(E)S !!

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  30. Le gouvernement américain a conspiré avec des entités étrangères pour coordonner les «activités de préparation» à la pandémie avant covid


    Lundi 25 octobre 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) De nouvelles preuves sont apparues pour suggérer que le gouvernement fédéral s'est coordonné avec des gouvernements étrangers pour mener un « exercice de préparation » à la pandémie peu de temps avant l'annonce du coronavirus de Wuhan (Covid-19).

    Les documents du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) décrivent un plan stratégique pour imposer le fascisme en réponse à une menace présumée. Son objectif était de « renforcer les activités internationales de préparation aux niveaux national, régional et mondial », y compris par le biais d'« exercices » en cas de pandémie.

    Quelques mois seulement avant que les médias grand public ne commencent à parler du virus chinois, le Department of Homeland Security (DHS), qui a été créé par George W. Bush en réponse au 11 septembre, a mené un exercice que certains pensent maintenant être ce qui est devenu « live » devenir la Fauci Flu.

    Ces dernières révélations sur le HHS et d'autres agences fédérales américaines conspirant avec des gouvernements étrangers ne font que soutenir davantage cette théorie, suggérant que la grippe chinoise était vraiment une plandémie qui avait été planifiée avant de devenir «réelle».

    Cette pandémie « falsifiée », comme beaucoup l'appellent maintenant, a une longue trace écrite qui sert de preuve de malversation. La Fauci Grippe n'est pas apparue par hasard, en d'autres termes : c'est le produit de la mauvaise volonté du gouvernement.

    "Il existe une quantité importante d'informations qui suggèrent que le gouvernement fédéral américain, en coordination avec les gouvernements internationaux, a peut-être prévu de mener (ou mène actuellement) un" exercice de préparation "de préparation à une pandémie internationale et pluriannuel falsifié", a rapporté LifeSiteNews. .

    "Il a été précédemment décrit qu'une méthode pour déterminer si COVID-19 est une pandémie falsifiée est de suivre la" piste papier "pour ainsi dire."

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  31. Bush, Obama et Trump ont tous contribué à nous apporter la plandémie
    Au cours de sa présidence, Donald Trump a promulgué la « Loi de 2019 sur la préparation à la pandémie et à tous les risques et l'avancement de l'innovation », qui a essentiellement « légalisé » la création d'un faux exercice de pandémie qui durerait plusieurs années.

    Cette loi a été votée par le Congrès et signée par Trump le 24 juin 2019, quelques mois seulement avant l'apparition des premiers « cas » de grippe chinoise à Wuhan. Quelques mois plus tard, les premiers cas domestiques seraient annoncés à Seattle.

    "L'un des principaux points à garder à l'esprit, cependant, est que la loi tente de renforcer l'autorité légale du ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) et du secrétaire adjoint à la préparation et à la réponse (ASPR) pour mener à bien potentiellement « exercices et exercices opérationnels » nationaux et continus », explique LifeSiteNews.

    « Ces exercices et exercices peuvent inclure des exercices et des exercices en cas de pandémie qui peuvent être effectués ‘sans préavis’. »

    Un autre document intitulé « U.S. Département de la santé et des services sociaux Bureau du secrétaire adjoint pour la préparation et la réponse au plan stratégique pour 2020-2023 », abrégé en « Plan stratégique ASPR pour 2020-2023 », ajoute à la loi sur la pandémie de 2019.

    Dans ce document, ce document fournit de multiples exemples de la façon dont un faux exercice plandémique « pluriannuel » pourrait être légalement imposé aux masses pour aider le gouvernement à répondre à ses « besoins de préparation, de réponse et de rétablissement en matière de santé ».

    Cela aussi a été promulgué sous Trump et s'est appuyé sur les lois précédentes qui ont été appliquées sous Barack Hussein Obama pour transformer l'Amérique en un État policier médicalement fasciste.

    En d'autres termes, un démocrate et un républicain ont travaillé ensemble dans leurs administrations respectives pour nous faire avancer jusqu'au point que nous avons actuellement atteint en tant que société. Obama et Trump, et bien sûr Bush en créant le DHS en premier lieu, ont contribué à instaurer cette « nouvelle normalité » sous laquelle nous souffrons actuellement.

    "Une" politique d'ordre supérieur " que le plan stratégique ASPR 2020-2023 cite est la "directive de politique présidentielle / PPD - 8" du président Obama sur la "préparation nationale", publiée en 2011", explique LifeSiteNews.

    « C’est un autre document qui mérite d’être étudié de près pour déterminer si le gouvernement fédéral américain a peut-être planifié un exercice pandémique falsifié. »

    Les dernières nouvelles sur la tromperie du virus chinois peuvent être trouvées sur Fascism.news.

    Les sources de cet article incluent :

    LifeSiteNews.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-10-25-america-conspired-foreign-entities-pandemic-preparedness-covid.html

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    1. L'immunologie c'est la présence en soi de gardes-du-corps comme l'est notre intelligence qui est réputée intouchable. Or, des étrangers (criminels) s'en prennent à nos défenses jugées insignifiantes pour proposer d'imposer l'entrée en vos lieux de mercenaires terroristes qui leur apporteraient une aide !!! Aide destinée à prendre d'assaut la forteresse, y renverser les tours, y enfoncer les portes et jeter de l'huile bouillante sur les opposants !! Après quoi le drapeau serait descendu et remplacé vite-fait par le cœur originel de l'étoile jaune: la croix gammée !

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  32. Walensky du CDC menace les flics qui refusent les piqûres de covid, dit qu'ils seront envoyés dans des camps de rééducation


    Mercredi 27 octobre 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Tous les policiers qui refusent de se faire administrer les doses recommandées de «vaccin» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) seront bientôt tous emmenés dans des camps pour «l'éducation et le conseil», selon Rochelle Walensky des centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC).

    Il reste à voir précisément qui transportera (peut-être des troupes étrangères?)

    "Il existe un plan, si ces personnes ne veulent pas se faire vacciner", a déclaré Walensky à Chris Wallace de Fox News.

    Pas seulement des policiers, mais tous les fonctionnaires seront placés dans ces camps de rééducation, dit Walensky, dès qu'elle et ses copains seront prêts à être exécutés.

    "Nous avons vu que ces mandats font vacciner de plus en plus de personnes", a ajouté Walensky.

    «Ce que nous savons des effectifs policiers, c'est qu'il y a eu plus de décès dus au coronavirus au cours de la dernière année et demie que toutes les autres causes de décès pour cet effectif combiné. Nous pensons donc qu'il est très important de faire vacciner ces personnes. »

    Walensky a poursuivi en expliquant que l'argent des contribuables américains sera utilisé pour « obtenir aux gens les informations dont ils ont besoin pour qu'ils se sentent à l'aise de se faire vacciner ».

    Les mandats de Covid jab ont réveillé le « géant endormi »
    Partout aux États-Unis, des policiers, des pompiers et d'autres fonctionnaires se font dire qu'ils doivent recevoir les injections « Operation Warp Speed » ou bien être licenciés de leurs postes.

    Walensky et son mari ont beaucoup d'argent à retirer de tout cela, après tout, ils ont donc besoin de la conformité de tout le monde pour remplir leurs comptes bancaires.

    Beaucoup ne se conforment pas, cependant, à beaucoup de frais pour eux-mêmes. Il s'avère que des milliers d'Américains, et peut-être plus, ont encore des principes et une conscience. Beaucoup se rendent également compte maintenant que tout cela est une imposture et ne seront pas bousculés par des gens comme Walensky.

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  33. Un nombre « extrême » de policiers auraient quitté le travail en raison de mandats venant à la fois localement et au niveau fédéral concernant les vaccins contre la grippe Fauci, qui ont été lancés à une « vitesse de distorsion » grâce à Donald « père du vaccin » Trump.

    Le soldat de l'État de Washington, Robert LaMay, par exemple, a quitté son poste après 22 ans de service, disant au gouverneur démocrate Jay Inslee d'"embrasser [his] a **". LaMay a poursuivi en avertissant le régime Biden qu'il "a réveillé le géant endormi" avec ces mandats.

    L'ancien chef de la police de Cincinnati et de Détroit, James Craig, a dit à peu près la même chose à Tucker Carlson l'autre soir, avertissant que "tout cela est par conception" et "pas par accident".

    Les démocrates, dit-il, s'efforcent de chasser tous les bons flics dans le cadre de leur programme de «financement complètement ridicule de la police». À terme, seuls les méchants flics « complètement vaccinés » resteront.

    « Est-ce qu'Hitler et les Chinois n'ont pas de camps de rééducation ? » a demandé un commentateur à Infowars.

    "Le gouvernement prévoit d'"informer" les hésitants après qu'ils n'aient pas informé correctement à l'avance quiconque, par la propagande et la coercition vile, est tombé dans le piège", a écrit un autre.

    Une autre encore a souligné que Walensky avait les yeux noirs comme toutes les autres « femmes méchantes » de l'équipe « .

    « Noir comme des serpents », a écrit cette personne.

    D'autres ont réitéré le fait que la coercition médicale sans consentement éclairé est toujours de la tyrannie, représentant le type de fascisme contre lequel Antifa, s'il s'agissait vraiment d'un groupe antifasciste, protesterait.

    Pour en savoir plus sur les dernières nouvelles concernant Walensky, Fauci, Biden et les autres terroristes criminels au pouvoir à Washington, D.C., rendez-vous sur Fascism.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Infoguerres.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-10-27-cdc-walensky-threatens-cops-covid-reeducation-camps.html

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  34. Le House Intelligence Committee demande l'ARRESTATION et la POURSUITE du Dr Anthony Fauci


    Mercredi 27 octobre 2021
    par : Lance D Johnson


    (Natural News) Le membre éminent du House Intelligence Committee, le représentant américain Devin Nunes (R-CA), appelle à la poursuite du Dr Anthony Fauci. Devin Nunes rejoint une liste croissante de membres du Congrès et de femmes qui demandent l'arrestation de Tony Fauci. Les National Institutes of Health (NIH) ont finalement admis avoir financé des recherches controversées sur les virus de gain de fonction à Wuhan, en Chine. Cette recherche était autrefois interdite aux États-Unis, mais a ensuite été délocalisée par le Dr Fauci par l'intermédiaire du Dr Peter Daszak d'EcoHealth Alliance et expliquée par le Dr Ralph Baric.

    L'arrestation et les poursuites de Fauci approchent

    Fauci a nié à plusieurs reprises son implication dans la recherche en virologie de gain de fonction, mentant au Congrès à plusieurs reprises lors d'un témoignage sous serment. Lorsque Fauci s'est présenté devant le Sénat américain, le sénateur Rand Paul a fourni des preuves détaillées de la gamme dangereuse de recherches en virologie sur le gain de fonction de Fauci. Le Dr Paul a interrogé le Dr Fauci sur la recherche controversée, le tenant pour responsable. Fauci a nié à plusieurs reprises les allégations, alors qu'il tentait de dissimuler son rôle de premier plan dans la recherche sur les armes biologiques. Fauci a commis un parjure, tout en niant l'essence même de la recherche dont il est l'auteur.

    Pour cette raison, "il devrait être poursuivi ici [au Sénat]", a déclaré le représentant Devin Nunes à Fox News. « S'il était prévenu, notre comité faisait une enquête d'un an. Nous en avons parlé dans votre émission en mai, nous avons publié un rapport officiel. Il était donc clairement prévenu à ce moment-là. Le représentant Nunes a déclaré que Fauci avait été interrogé à deux reprises par le sénateur Rand Paul. "Il [Fauci] a dit que [la recherche sur le gain de fonction] n'avait pas eu lieu, et ce n'est tout simplement pas vrai", a déclaré Nunes.

    "Et je ne pense pas que ses e-mails, quand vous regardez l'heure en arrière, montrent qu'il ne saurait rien non plus à ce sujet. Il est donc averti depuis longtemps, il le sait, et maintenant la question est de savoir si le ministère de la Justice fera quelque chose à ce sujet », a-t-il déclaré.

    "Écoutez, nous avons entendu le Dr Fauci dire simplement" Je ne sais pas combien de fois je peux le dire "", a déclaré Richard Grenell, directeur par intérim du renseignement national. «Je pense que nous devrions le reprendre et nous devrions compter combien de fois il l'a dit, car ce n'est pas seulement une, deux ou trois fois. Il a été catégorique en niant cela. Ceci est un vrai problème. Il a non seulement doublé, triplé, mais il a promis sans équivoque que ce n'était même pas proche, ce n'était pas un tour.

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  35. "Et je pense que sa tromperie totale est ce qui se passe à Washington D.C.", a déclaré Grenell. « Regardez, ceux d'entre nous à l'extérieur de Washington, nous regardons ce spectacle de clowns et nous disons comment est-ce possible ? Comment le DOJ ne s'en prend-il pas immédiatement à eux ? » Grenell a poursuivi: "C'est vraiment effrayant pour les États-Unis de ne pas avoir de ministère de la Justice et de procureur général pour sauter dessus immédiatement, poursuivre le gars."

    Les crimes contre l'humanité de Fauci sont clairement visibles

    Le sénateur Rand Paul demande la démission de Fauci depuis des mois. Il est maintenant rejoint par le sénateur du Tennessee Bill Hagerty et le représentant californien Doug LaMalfa, qui dénoncent maintenant les actions illégales de Fauci. LaMalfa a déclaré : « Nous avons la preuve incontestable qu'il [Fauci] a intentionnellement menti au Congrès. "Dr. Fauci doit démissionner et devrait être poursuivi pour parjure », a-t-il déclaré.

    En tant que directeur de longue date du NIH, Fauci a supervisé plusieurs études de gain de fonction et a même approuvé des recherches qui attachaient des cuirs chevelus de bébés à des rongeurs pour étudier les réponses immunitaires. Fauci est coupable d'expérimentation humaine inhumaine et est responsable du développement d'armes biologiques et de virus chimériques conçus pour exploiter le système immunitaire humain. Sous la surveillance du Parti communiste chinois, cette recherche peut être utilisée à des fins encore plus néfastes.

    L'un des objectifs déclarés de cette recherche est de développer une nouvelle technologie de vaccin qui transcrit les propriétés de l'arme biologique dans les cellules humaines, interférant avec la façon dont les cellules lisent leurs propres instructions génétiques. Cette expérimentation génétique de force est actuellement menée sur des populations enfermées et restreintes, des libertés civiles menacées et des libertés volées. Fauci a été à l'avant-garde de cette expérience terroriste mondiale, publiant des décrets de tyrannie médicale qui sont délégués par les gouvernements pour l'assujettissement complet de l'esprit et du corps des gens.

    Les sources comprennent :

    ConservativeBrief.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-10-27-house-intelligence-committee-calls-for-arrest-prosecution-fauci.html

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  36. L'AMA devient un régime de mort en complotant pour interdire l'ivermectine afin que plus de patients meurent


    Mardi 26 octobre 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) L'American Medical Association (AMA) veut que des gens meurent du coronavirus de Wuhan (Covid-19).

    La raison pour laquelle nous pouvons dire cela en toute sécurité est que le groupe commercial fait des heures supplémentaires pour restreindre l'accès des Américains à l'hydroxychloroquine (HCQ) et à l'ivermectine, deux remèdes de traitement précoce sûrs, efficaces et peu coûteux pour le virus chinois.

    Au lieu de reconnaître que chaque individu a le droit donné par Dieu de choisir ce qui entre dans son corps, l'AMA prend une position de fascisme médical qui ne reconnaît même pas le droit des médecins de prescrire les médicaments qu'ils jugent appropriés pour leurs patients.

    En 1996, l'ivermectine a été approuvée par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour une utilisation chez l'homme. Aujourd'hui, l'ivermectine est hors brevet et disponible de manière générique pour traiter une variété de pathologies.

    Cependant, parce que l'utilisation de l'ivermectine brise le script plandémique – tout le monde est censé simplement se masquer et se « vacciner », nous disent-ils – l'AMA essaie de rendre impossible l'obtention (sauf pour le marché noir, peut-être).

    « L'American Medical Association (qui ne représente que 12 % des médecins en exercice et reçoit plus d'argent du gouvernement fédéral que de ses cotisations décroissantes) et deux associations nationales de pharmacies (qui reçoivent le soutien des fabricants de « vaccins » COVID-19, Pfizer, AstraZeneca et Johnson & Johnson) ont décidé que l'ivermectine ne devrait pas être utilisée pour traiter ce virus malgré le succès d'un traitement généralisé avec ce médicament (découvert à la fin des années 1970 et utilisé chez l'homme depuis 1988) », écrivent Robert Marshall et le Dr Bernard, Pegis, MD , pour LifeSiteNews.

    « L'ivermectine est actuellement disponible en vente libre dans de nombreux pays. Si les pharmacies américaines mettent en œuvre cette politique dangereuse, de nombreuses vies seront perdues. »

    L'AMA hypocrite a soutenu la prescription hors indication de médicaments aussi récemment qu'en 2020
    Dans un communiqué de presse du 1er septembre, l'AMA, ainsi que l'American Pharmacists Association (APHA) et l'American Society of Health-System Pharmacists (ASHP), ont expliqué qu'ils "s'opposent fermement à la commande, la prescription ou la distribution d'ivermectine pour prévenir ou traiter le COVID-19 en dehors d'un essai clinique.

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  37. "Nous sommes alarmés par les informations selon lesquelles la prescription et la délivrance d'ivermectine en ambulatoire ont été multipliées par 24 depuis avant la pandémie et ont augmenté de manière exponentielle au cours des derniers mois", indique cette annonce.

    Même s'il n'y a presque aucun risque associé à la prise d'ivermectine normalement prescrite, l'AMA, l'APHA et l'ASHP paniquent à l'idée que certains médecins l'administrent à leurs patients malades.

    La prescription hors indication de produits pharmaceutiques est une pratique courante depuis de nombreuses décennies. Maintenant que le covid est là et qu'il est hautement politisé par la gauche, cependant, c'est tout à coup un péché mortel aux yeux de l'establishment médical d'essayer même d'utiliser l'ivermectine pour traiter les germes chinois.

    Juste avant l'apparition de la grippe Fauci, l'AMA a en fait publié une directive politique officielle confirmant qu'elle offre un "fort soutien" à la prescription hors indication de produits pharmaceutiques chaque fois qu'un médecin le juge utile.

    «Notre AMA confirme son ferme soutien à l'autorité de décision clinique autonome d'un médecin et qu'un médecin peut légalement utiliser un produit médicamenteux ou un dispositif médical approuvé par la FDA pour une indication hors AMM lorsqu'une telle utilisation est fondée sur des preuves scientifiques solides ou avis médical », a confirmé l'organisation à l'époque.

    Maintenant que le régime Biden veut que tout le monde soit "vacciné", l'AMA fait tout son possible pour restreindre l'accès à l'ivermectine, ce qui aurait franchement mis fin à cette fausse "pandémie" il y a très, très longtemps.

    « Jésus a été sévèrement critiqué pour avoir guéri un aveugle le jour du sabbat (Jean 9 :13-30) », a rapporté LifeSiteNews.

    «Aujourd'hui, les médecins en exercice qui sauvent des vies grâce à la pharmacothérapie sont ostracisés. La médecine traditionnelle semble rejeter les efforts de lutte contre le COVID-19 avec des médicaments en faveur de « vaccins » expérimentaux à ARNm. »

    Alors que l'establishment médical poursuit son assaut sur des remèdes sûrs et efficaces contre la grippe de Wuhan, nous vous tiendrons au courant des dernières nouvelles sur Fascism.news.

    Les sources de cet article incluent :

    LifeSiteNews.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-10-26-ama-death-regime-ban-ivermectin-patients-die.html

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