- ENTREE de SECOURS -



jeudi 30 septembre 2021

#5 : Dr. Harald Walach sur le pouvoir des masques


voir aussi:

Dépossession totale - Conférence de M. Ernst Wolff sur la crise Covid-19


😎  Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)

mardi 20 octobre 2020


😎  Une neurologue allemande met en garde contre le port du masque : « La privation d'oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles »

Dr Griesz-Brisson

vendredi 9 octobre 2020


mercredi 29 septembre 2021

#6 : L'impuissance des médecins

https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/06-White-Binder-Hoffe:6 

Bienvenue dans un monde sans cholestérol et longue vie aux statines !

 le 29 septembre 2021

Les statines sont des molécules relativement simples qui sont des inhibiteurs d’une des activités enzymatiques de la voie de biosynthèse du cholestérol. Depuis leur découverte il y a maintenant 40 ans ces produits constituent, toutes statines confondues, le groupe de médicaments le plus prescrit dans le monde. Naturellement les laboratoires pharmaceutiques se sont gavés de milliards de dollars jusqu’à la fin de validité des brevets. Qu’à cela ne tienne une bonne petite étude randomisée en double-aveugle organisée par un laboratoire pharmaceutique dans le but de mettre en évidence une amélioration aussi minime soit-elle d’un dérivé d’une statine existante après avoir introduit un minuscule atome d’oxygène ou d’azote et le pactole est renouvelé pour 20 ans. Le laboratoire Pfizer compte parmi les spécialistes dans de genre d’escroquerie. Non contents de constater que leurs profits s’amenuisent ces mêmes laboratoires pharmaceutiques ont exercé une pression sournoise mais bien réelle pour que les autorités de santé nationales apportent quelques petites modifications dans le seuil de dangerosité de la teneur en cholestérol total dans le sang. Oubliez les millimoles par litre, c’est trop compliqué. Pour faire plus « vrai » dans une analyse sanguine le choix de la métrique s’est arrêté sur les milligrammes par décilitre. Dès lors la teneur en cholestérol s’exprime en centaines de milligrammes par décilitre, c’est plus sérieux.


Je me suis plié à une analyse sanguine il y a quelques jours et j’ai eu la surprise de constater que le seuil admissible de la teneur en cholestérol sérique était maintenant de 200 mg/dL. Au delà de cette valeur votre ticket de vie n’est plus valable et vous devez avaler des statines tous les jours ! Comme je suis un peu vieux jeu cette unité métrique signifie 2 grammes par litres. Seul le ministre des finances français ne comprendrait pas cette rapide conversion. Bref, avec 2,1 grammes par litre je suis éligible pour un traitement avec des statines ou alors pour un profond changement dans mes habitudes alimentaires plutôt malsaines puisque je mange au moins 4 œufs par semaine et que je me gave de fromages français. Quelle horreur, moi qui ne mange jamais de légumes ! Les médecins préconisent donc des régimes alimentaires pauvres en graisses pour tenter de maîtriser une trop forte teneur en cholestérol sanguin. Cette affirmation est l’une des plus grandes impostures sanitaires de cette fin de vingtième siècle.

Je ne suis pas du tout convaincu par cette science car le précurseur du cholestérol se trouve être l’hydroxy-méthylglutaryl-coenzyme A immédiatement transformé en acide mévalonique par l’enzyme, une réductase à NADPH, qui est précisément la cible des statines. Or l’HMG-CoA est « fabriqué » dans le foie à partir d’acétyl-coenzyme A. Vous avez certainement commencé à avoir mal à la tête en lisant ces quelques lignes mais il fallait que je les écrive pour bien préciser que le cholestérol n’est pas fabriqué à partir d’acides gras mais à partir de sucres, en l’occurence du glucose, la seule source d’acétyl-coenzyme A dans la cellule ! Morale de ce petit aparté de biochimie : il faut réduire sa consommation de sucre pour être en meilleure santé. Il y a 5 ans mon taux de cholestérol total était de 3,5 grammes par litre et le médecin m’a conseillé de prendre des statines. À l’époque le seuil fatal était de 3 g/L ou si vous voulez 300 mg/dL. J’ai fermement manifesté mon hostilité aux statines à ce médecin pollué par la propagande des laboratoires pharmaceutiques. Je n’ai jamais modifié mon régime alimentaire à un détail près : je m’administre tous les jours 12,5 grammes de levure de boulangerie fraiche. Mon taux de cholestérol est ainsi passé de 3,5 à 2,5 g/L. En conséquence quel que soit le changement de seuil d’alarme qui est tout simplement scandaleusement modifié par les autorités de santé sur ordre des laboratoires pharmaceutiques, je ne prendrai jamais de statines.

Enfin, le Docteur Ioannidis de l’Université de Stanford l’a dit à plusieurs reprises : les médecins traitants ne savent pas, dans la très grande majorité des cas, de quoi ils parlent et plus de 80 % des publications scientifiques médicales ne sont d’aucune qualité ou d’aucune utilité (liens ci-dessous) et un lien sur un exposé du Docteur Michel de Lorgeril au sujet du cholestérol.

https://www.atherosclerosis-journal.com/article/0021-9150(96)05851-0/pdf

https://journals.plos.org/plosmedicine/article?id=10.1371/journal.pmed.0020124

https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/09/29/bienvenue-dans-un-monde-sans-cholesterol-et-longue-vie-aux-statines




mardi 28 septembre 2021

EN OCTOBRE 2021, LE GAZ VA COÛTER 31,9% PLUS CHER QU'EN JANVIER 2019

 par PAOLO GAROSCIO

  28/09/2021 


Les tarifs réglementés du gaz vont augmenter de 13,9% en octobre 2021.

Les prix du pétrole s’emballent en Bourse : le 27 septembre 2021, le Brent a dépassé les 80 dollars, le WTI les 75 dollars… du jamais vu depuis 2018 voire 2014 pour le WTI. Et le prix du gaz suit cette tendance : la Commission de Régulation de l’Énergie, le 27 septembre 2021, a annoncé une énième hausse faisant atteindre au gaz des prix record. Les ménages vont devoir se serrer la ceinture cet hiver 2021-2022…

Le gaz augmente de 13,9% en France

C’est l’énième hausse : depuis l’été 2021, le prix du gaz (les tarifs réglementés d’Engie) sont en augmentation constante. Octobre 2021 ne dérogera pas à la règle avec la confirmation, par la Commission de Régulation de l’Énergie (CRE) d’une nouvelle hausse de 13,9% du prix du gaz en moyenne pour les ménages français. La tendance haussière se poursuit donc et ce alors que les mois hivernaux approchent à grands pas et que, dans certaines régions, les foyers ont rallumé leur chaudière.

Or, ce sont bien les ménages qui se chauffent avec le gaz qui voient les prix augmenter le plus : 14,3% en octobre 2021 pour ceux n’utilisant le gaz que pour le chauffage et l’eau chaude, 9,1% pour les ménages à qui le gaz sert également à la cuisson. Les foyers qui n’utilisent le gaz que pour la cuisson s’en sortent plutôt bien, avec une hausse du prix de l’énergie de 4,5% en octobre 2021.

Le gaz est 33% plus cher que début 2015… et ce n’est pas la seule hausse


Selon les données de la CRE communiquées le 27 septembre 2021, désormais les tarifs réglementés sont 33% plus élevés que leur niveau de référence, janvier 2015. Mais cette augmentation est d’autant plus marquante que les tarifs d’Engie sont 31,9% supérieurs à ceux d’avant-crise de la Covid-19, soit janvier 2019.

Les ménages vont également devoir composer avec une potentielle forte hausse des tarifs de l’électricité attendue en février 2022, estimée à 10% selon l’UFC-Que Choisir, mais aussi avec la hausse du prix du pétrole en Bourse qui fait flamber les prix du carburant à la pompe. Le gazole frôlerait ainsi 1,50 euro le litre fin septembre 2021 tandis que l’essence a dépassé les 2 euros le litre dans certaines stations de France.

http://www.economiematin.fr/news-hausse-prix-gaz-octobre-2021-facture-menages-energie 

lundi 27 septembre 2021

Apprendre son métier d hérétique en comprenant le game

Charles Dereeper

https://www.objectifeco.com/expatriation/mode-demploi/pour-expatries-confirmes/apprendre-son-metier-d-heretique-en-comprenant-le-game.html 

mardi 21 septembre 2021

Dr Pierre Kory - C'est de plus en plus visible, les gangsters ont le contrôle et ne veulent plus rien lâcher !!!

 Les assassins psychopathes ne se cachent même plus, et ne cherchent plus aucune excuse, ils censurent à tout va et interdisent le moindre remède qui soit efficace et viable de paraître, préférant continuer le génocide qu'ils ont entamé. Pourtant une étude majeure sur l'Ivermectine, a été vérifiée par ses pairs, mais tout de même retirée par une revue, bref, ils ont le contrôle.

Comment est-il encore possible de ne pas comprendre qu'ils ne veulent pas soigner les gens !!!

Vidéo très courte (2:20) du Docteur Pierre Kory qui s'insurge !!!

https://rumble.com/embed/vdmgj7/?pub=4

lundi 20 septembre 2021

« Il ne s'agit pas de guérison. » Le point de vue d'une ancienne représentante pharmaceutique

Efficacité de la vaccination : Il manque plus de la moitié des décès !

https://www.youtube.com/watch?time_continue=282&v=hLARwm6jqbA&feature=emb_logo 

On voulait juste voir ce que vous pouviez tolérer

le 20/09/2021 à 11:08 - Mise à jour à 13:24

C'est juste une illustration

Dans une vidéo de trois minutes postée sur TikTok, l'Américain Damani Bryant Felder souligne la banalité perverse de l'escalade du contrôle social, en listant tous les efforts que l'on nous a demandé de faire, toutes les contraintes que l'on nous a imposées, comme si cela ne coûtait rien :

"C'est juste deux mètres de distance" ; "C'est juste une injection" ; "C'est juste quelques licenciements"...

Ce faisant, il énumère la foule de mesures que nous avons respectées, et nous fait prendre conscience que justement, cela n'était pas rien.

"Le mot juste est devenu le plus dangereux de l'histoire car il voulait juste voir ce que vous pouviez tolérer". Puis, inversant le paradigme, il met l'accent sur le fait que nous pourrions aussi "juste refuser de nous soumettre", "juste décider d'être libres", "juste défendre nos droits"... 

Connu pour ses prises de positions politiques, Damani Felder est devenu une star en multipliant les apparitions sur les réseaux sociaux, principalement TikTok et YouTube.

Voici sa tirade inspirée, qui se veut un appel au réveil :

Version française [doublage par Quantum Leap]  

jeudi 16 septembre 2021

(VF) La protéine Spike provoque des lésions irrémédiables-Dr Charles Hoffe

Le Dr Charles Hoffe, qui pratique dans la communauté de Lytton, en Colombie-Britannique, déclare : « J'ai 62 % de D-dimères élevés chez les vaccinés, ce qui signifie que les caillots sanguins ne sont pas rares. Seuls les gros caillots sont rares. »  Les vaisseaux sont endommagés de façon définitive, ce qui peut provoquer une extrême fragilité cardiaque irrémédiable »

(Extrait d’une vidéo de The Canadian Business Daily )


Lien vers le transcript en Français : https://textup.fr/569059ZM



▪Dr. Charles Hoffe : 62 % des patients vaccinés contre le COVID ont des dommages cardiaques permanents : https://odysee.com/@cv19:b/Un-avertissement-du-Dr-Charles-Hoffe:8?r=5neiRbDwzVLN41vxMGgwhctBsog3JSMt

▪« Canada : Le Dr Charles Hoffe sanctionné pour avoir mis en lumière des troubles neurologiques suite à l’injection du vaccin Moderna »

▪Dr. Charles Hoffe : 62 % des patients vaccinés contre le COVID ont des dommages cardiaques permanents : https://lesmoutonsenrages.fr/2021/07/18/dr-charles-hoffe-62-des-patients-vaccines-contre-le-covid-ont-des-dommages-cardiaques-permanents/

▪Open Letter to Dr. Bonnie Henry from BC Physician re: Moderna Vaccine Reactions : https://vaccinechoicecanada.com/in-the-news/open-letter-to-dr-bonnie-henry-from-bc-physician-re-moderna-vaccine-reactions/

DU JAMAIS VU DANS L'HISTOIRE DE LA 'VACCINATION' !

Sir Christopher Chope, membre du Parlement Britannique détaille la liste des effets secondaires

https://rumble.com/vmf8i5-du-jamais-vu-dans-lhistoire-de-la-vaccination-.html 

jeudi 9 septembre 2021

L'affaire AstraZeneca

INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU UNE PANDÉMIE

INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT SANS FAIRE UNE SÉROLOGIE PRÉCÉDEMMENT

https://odysee.com/@SEMINERIOSalvatore:5/Laffaire-AstraZeneca:9 

mercredi 8 septembre 2021

Paris à 30 km/h : l’ère des immobilités

La mobilité est une liberté fondamentale. La suppression de toute liberté modale est une des facettes du mouvement liberticide général qui irrigue les sociétés occidentales.


Par Yannick Harrel.

 8 SEPTEMBRE 2021

 

C’est dorénavant acté : depuis le 1er septembre, toute l’agglomération parisienne se traverse sous la chape des 30 kilomètres-heure et la vitesse sur le périphérique, ceignant icelle, est ramenée à 50 kilomètres-heure. Cette mesure, qui est la queue de toute une série de bien d’autres mesures ayant contribué à rendre la capitale française de moins en moins accessible aux classes moyennes et populaires ainsi qu’aux populations périphériques est hautement symbolique d’une mentalité, d’un état d’esprit, bref d’une philosophie où l’obsession est à terme d’immobiliser les mobilités.

LA VITESSE, UNE COUPABLE TROP IDÉALE

C’est imparable : tout choc entre un piéton et un véhicule est aggravé par la vitesse, donc l’énergie cinétique pour résumer, et selon la formule suivante : ½ m*v2 = Ec, où m correspond à la masse, v à la vitesse en mètre-seconde au carré et Ec = Énergie cinétique.

Par exemple, un piéton de 70 kilos développe en déplacement citadin (3 km/h) une énergie cinétique de 24 joules, un trottineur (25 km/h) avec assistance électrique non modifiée développe 1,9 kilojoule, un cycliste confirmé (30 km/h) sur un vélo moderne sans assistance électrique pesant 8 kilos développe 2,7 kilojoules, un cycliste lambda (25 km/h) sur un vélo avec assistance électrique non modifiée pesant 23 kilos développe 2,2 kilojoules, un scooter non débridé (45 km/h) de 130 kilos aboutit à 15,6 kilojoules, une citadine d’une tonne (50 km/h) équivaut à 96,3 kilojoules. Les chiffres prennent en considération la présence d’un individu témoin de 70 kilos pour chaque mode de transport, d’où majoration de son poids à celui du véhicule.

Sur ce plan la logique est imparable : une voiture à l’arrêt occasionnera zéro dégât par rapport à un véhicule avec une énergie cinétique conséquente de plusieurs milliers de joules. Là n’est cependant pas la question : lorsqu’un accident se produit, la factorialité doit permettre de déterminer quelle est la part exacte de la vitesse dans le dommage corporel et/ou matériel. L’aspect exogène doit aussi être pris en compte : ainsi, un accident aurait-il été identique si le paramètre visibilité n’avait pas été affecté (en cas de nappe de brouillard très localisée par exemple) ? Le questionnement des infrastructures et de la gestion des flux de circulations est tout autant primordial : la voie de circulation était-elle adaptée à la cohabitation entre deux modes de déplacement à la vitesse et au gabarit très différenciés ?

Las, ces éléments sont systématiquement écartés par les responsables politiques nationaux comme locaux. Seule la vitesse est, comme toujours, la coupable idéale. Pour une raison très simple : elle est facilement pondérable, c’est-à-dire qu’elle peut être déterminée avec précision par un cinémomètre, et que l’on peut fixer arbitrairement une vitesse limite pour une voie sans prise en considération de facteurs très divers, tant endogènes (les capacités intrinsèques du véhicule et de son conducteur) qu’exogènes (l’environnement extérieur physique et humain). Il s’agit bien d’arbitraire, donc de positionnement idéologique sur une base scientifique (l’énergie cinétique développée par un véhicule).

Ce que les intéressés ne prennent d’ailleurs pas la peine de contester, fondant leur politique sur le principe rampant du fait accompli, sachant pertinemment jouer sur l’inertie judiciaire, qu’elle soit administrative ou civile, et sur l’opacité d’une bureaucratie prompte à protéger son propre corps. La norme édictée perdure ainsi dans le temps, sans que l’on ne se souvienne pourquoi elle fut décidée à l’origine : c’est l’application du théorème du singe.

Ainsi dans le cas présent, les limitations à 30 km/h perdureront, quand bien même les futurs véhicules seraient encore plus propres, plus silencieux, plus sécurisés, plus réactifs y compris au milieu d’infrastructures améliorées.

LE DOUBLE SOPHISME DE LA POLITIQUE CONTRE LES MOBILITÉS


Le procédé repose aussi sur un double sophisme.

1) La confusion entre la responsabilité du véhicule et celle du conducteur. Or le premier est sous le contrôle du second, ce qui accrédite bien la thèse d’une cabale envers un mode de déplacement et non la recherche causale de l’accident. Ainsi selon ces mêmes élus, rouler à 40, 50 ou 90 km/h en ville serait tolérable dès lors qu’il ne s’agirait plus le fait d’automobiles.

2) C’est omettre que selon l’ONISR (Observatoire national interministériel de la sécurité routière) les voies les plus sûres sont… les autoroutes où précisément les vitesses y sont les plus élevées (7,9 % des décès routiers en 2020). Rien de magique à cela puisqu’il s’agit d’infrastructures adaptées précisément pour que le parcours assure à ses usagers visibilité et fluidité du trafic

Un troisième point conditionnel pourrait aussi être avancé : l’évolution forcée du marché pour délaisser la mobilité thermique au profit de la mobilité électrique s’accompagne, malgré la croissance artificielle de cette dernière (selon Carsalesbase, les ventes d’électromobiles auraient représenté 11,4 % du volume global européen en 2020), de mesures tout à fait attentatoires à la mobilité.

Et cette symétrie ne manque pas d’accréditer le fait que ce sont précisément les automobiles qui sont dans le viseur, quelque puisse être leur motorisation. En corollaire, il serait illusoire de penser que l’électromobilité comme gage de bonne volonté des consommateurs force les politiques à un abandon de ces mesures à terme : il est constant que plutôt que de se dédire d’une politique erronée, une classe politique préfèrera invariablement saupoudrer des aides, stigmatiser toute ou partie de la population ou poursuivre une fuite en avant que d’avouer avoir conduit ses administrés dans les ornières.

SAVONAROLE EST DÉJÀ DANS LA CITÉ

Sur un plan argumentatif, il est assez symptomatique de constater que lorsqu’ils daignent répondre, les décideurs changent leur discours au gré de l’angle des contradicteurs, se balançant d’une causalité à l’autre : tantôt la sécurité d’un côté, tantôt la salubrité de l’autre. Procédé rhétorique (une variante du non sequitur) bien rôdé qui amène ainsi à brouiller les pistes et à embrouiller le citoyen.

Sur le plan de la qualité de l’air, l’on peut opportunément s’en référer à la très récente étude du CEREMA (Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement) publiée en avril 2021, où il est démontré que des vitesses ridiculement basses (20 ou 30 km/h produisent des émissions d’oxydes d’azote, de particules fines et gaz à effet de serre proches de 100 km/h). Difficile dans ces conditions d’accréditer la thèse d’un air moins nocif avec des réductions de vitesse.

Sur un plan sonore, le gain d’une telle réduction de vitesse serait (nous restons dans le conditionnel) entre 1,5 et 3 décibels. Soit une différence tellement infime que l’oreille humaine aurait grand peine à la déceler, a fortiori lorsque d’autres facteurs de propagation sonore interviennent et qu’une homéostasie puisse survenir (ex. l’afflux de scooters remplaçant le départ des automobiles).

En somme, la posture est idéologique et prouve que les Savonarole sont déjà au pouvoir.

Pis, comme le rappelait si bien le journaliste Éric Leser en son ouvrage Automobile, France d’en haut contre France d’en bas :

La condamnation systématique de la voiture, et surtout de ceux qui l’utilisent, est un mode de pensée dangereux… Il ne fait que désigner, dénoncer et sanctionner des coupables. Et dans la plupart des cas, ces derniers n’ont pas d’autre choix que de l’être.


LA GRANDE BATAILLE POUR LES LIBERTÉS

La solution a déjà été exposée ici-même, elle est du ressort philosophique avec des applications pratiques. Tant qu’un vent libéral ne soufflera pas sur l’Europe (il serait indélicat de croire que le phénomène est circonscrit au seul territoire français, les premières mesures de ce genre étant apparues aux Pays Bas et en Allemagne dans les années 1970 et 1980), les zones urbaines poursuivront leur dégradation sociale et économique, jusqu’à devenir des écomusées à ciel ouvert dont les cubiques verrues urbaines, loin des espaces verdoyants promis par les édiles, sont le legs architectural emblématique de cette politique.

N’oublions pas que la mobilité est une liberté fondamentale. La suppression de toute liberté modale est une des facettes du mouvement liberticide général qui irrigue les sociétés occidentales. Il est patent que la logique sous-jacente de toutes ces mesures vise à contraindre, et même à punir, une catégorie d’usagers de la route, avant de s’en prendre à une seconde dès lors que la première sera en passe de disparaître. L’éleuthérophobie par la jouissance de contraindre des milliers, voire des millions d’individus, est le carburant le plus commun du personnel politique. Il convient de ne pas se perdre dans les détails : c’est une guerre philosophique, c’est-à-dire civilisationnelle, à laquelle nous assistons.

Que ce soit pour votre sécurité et/ou pour votre santé, ces locutions adverbiales bien connues ne manqueront jamais de vous déresponsabiliser et de vous priver de votre libre arbitre.

Ainsi je me dois de répéter que la seule sortie à cette aporie est la suivante :

Prospérité, sécurité, équité et libertés sont le plus à même d’être garanties par un tel mouvement [libéral] que par tout autre. Cela implique en revanche d’affronter le changement de paradigme civilisationnel auquel nous faisons face et qui nous tire vers les abysses. Pour assurer cette renaissance libérale, il faudra aller au contact.

Concluons par ces propos emplis de sagesse du Premier ministre d’alors, et futur Président, Georges Pompidou (1966) :

Mais arrêtez donc d’emmerder les Français ! Il y a trop de lois, trop de textes, trop de règlements dans ce pays ! On en crève ! Laissez-les vivre un peu et vous verrez que tout ira mieux ! Foutez-leur la paix ! Il faut libérer ce pays !

https://www.contrepoints.org/2021/09/08/404884-paris-a-30-km-h-lere-des-immobilites

jeudi 2 septembre 2021

La grande illusion humaine

 le 2 septembre 2021

Presque chaque semaine un article scientifique relatif à une vie extra-terrestre est publié. Il est ensuite repris par les médias et cette nouvelle sensationnelle de la découverte d’une exo-planète peut-être favorable à la vie agite les esprits. Dans la même veine des multimilliardaires songent à implanter une colonie humaine sur la planète Mars. Ils ont oublié un détail d’une importance capitale : vivre durablement sur cette planète du système solaire, notre système planétaire, est suicidaire en raison des rayons cosmiques et du vent solaire et les scientifiques qui n’ont pas la tête dans les étoiles le savent très bien. De plus une telle entreprise est techniquement irréalisable, dans l’état actuel des connaissances techniques. J’ai commencé à visionner un documentaire titré « Allo la Terre, vous avez un message ? ». Je n’ai pas tenu plus de deux minutes et je vais expliquer pourquoi, un élève de collège de bon niveau comprendra.

Il y a encore 20 000 ans l’homme utilisait des outils rudimentaires puis il lui fallut plusieurs milliers d’années pour découvrir le cuivre et enfin le fer. Personne ne sait exactement comment ces découvertes furent possibles, toujours est-il que les hommes utilisèrent ces métaux pour fabriquer des armes afin de s’entretuer allègrement … Il y a 15 000 ans c’était déjà la principale préoccupation des hommes.

Il fallut attendre la fin du XVIIIe siècle pour assister à la découverte de l’électricité par Franklin avec son cerf-volant par temps d’orage et ce n’est que l’Italien Volta qui finalement en 1800 produisit de l’électricité avec sa fameuse pile pour s’astreindre des montages compliqués de production dérisoire d’électricité d’origine dite électrostatique. L’utilisation de l’électricité pour émettre dans l’espace de faibles signaux électromagnétiques apparut plus d’un siècle plus tard avec la télégraphie sans fil, la radio, et les perfectionnements incessants de la technologie ont permis la télévision, les communications par satellite et enfin l’informatique et internet. Depuis 100 ans jamais personne n’a envoyé de réponse à tous les signaux électromagnétiques dont l’homme a inondé son espace proche, au mieux le système solaire. Toutes ces émissions électromagnétiques en provenance de la Terre ne sont pas précisément orientées vers un objet extra-terrestre où une forme de vie pourrait s’être développée. Ils passent donc inaperçus, disons inaudibles ou indétectables. Il ne faut donc pas espérer entrer en contact avec une « civilisation » extra-terrestre. Tout cela relève de la fiction.

La question qui a l’air de préoccuper l’humanité toute entière est de savoir s’il existe dans notre galaxie une planète sur laquelle l’apparition de la vie est possible, une planète ressemblant donc à la Terre. La réponse est statistiquement positive mais cette réponse ne résout rien. Si une forme de vie existe sur une autre planète tournant autour d’une autre étoile dans notre galaxie à quel stade de son évolution se trouve-t-elle aujourd’hui et surtout par quelle distance est-elle séparée de notre Terre ? Voilà la question cruciale à laquelle personne ne peut répondre. Il a été nécessaire à l’oeuvre de l’évolution plus de deux milliards d’années pour que le vivant primitif sous forme de bactéries elles-mêmes primitives conduise finalement à l’homme tel que nous le connaissons aujourd’hui sur la Terre. S’il en a été de même sur une autre planète favorable à l’apparition de la vie pour communiquer avec d’éventuelles créatures intelligentes au niveau de l’évolution depuis une bactérie primitive à une forme évolué et intelligente ça risque d’être très compliqué pour avoir quelque chance d’échanger un signal électromagnétique.

En effet, nous les hommes ne sommes capables d’émettre des signaux électromagnétiques (qui se propagent à la vitesse de la lumière) que depuis quelques dizaines d’années. Un peuple intelligent se trouvant sur une autre planète située à 1000 années-lumière de notre Terre devra attendre 1000 ans pour être capable de nous répondre et à notre tour il nous faudra attendre 1000 ans supplémentaires pour recevoir cette réponse. Il y a 1000 ans nous étions juste sur le point de construire des cathédrales et dans 1000 ans l’humanité existera-t-elle toujours ? Et si une telle population intelligente existait sur cette planète distante de nous il y a 1000 années-lumière a-t-elle perduré pour recevoir dans 1000 ans un signal de réponse aussi puissant soit-il en provenance de la Terre et émis aujourd’hui ? Cette simple remarque rend la probabilité d’entrer en contact avec des extra-terrestres infime sinon nulle. Que sera devenue l’humanité dans 1000 ans et que sera devenue dans le même temps cette population intelligente extra-terrestre ?

Par conséquent un autre paramètre qui n’a pas l’air de préoccuper ceux qui sont avides d’une prise de contact avec des créatures extra-terrestres est la durée de vie au cours de l’évolution d’une espèce donnée. Les dinosaures ont disparu, certes, mais bien d’autres créatures vivantes ont aussi disparu plus tard : c’est la loi de l’évolution et l’espèce humaine n’échappera pas à cette loi, il ne faut pas se faire d’illusion. Pascal disait que l’homme est un roseau pensant, en d’autres termes un être fragile mais mortel et condamné à sa disparition. Dans ces conditions l’homme serait avisé de ne plus se prendre pour un dieu, ne plus prétendre qu’il a un effet sur le climat, ne plus prétendre qu’il est éternel et accepter la réalité telle qu’elle est. Il n’entrera jamais en contact avec d’autres « civilisations extra-terrestres », il ne pourra jamais survivre ailleurs que sur la Terre, il n’y a pas de plan B, et il doit accepter qu’un jour il disparaîtra … s’il ne décide pas de s’exterminer lui-même pour précipiter le cours naturel de l’évolution.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/09/02/la-grande-illusion-humaine/

mercredi 1 septembre 2021

Visualiser la taille des fusées du monde, passées et présentes

 PAR TYLER DURDEN

MARDI 31 AOÛT 2021 - 18:30


Le vaisseau spatial SpaceX pourrait être la prochaine fusée à emmener des humains sur la lune ; et bien que ce ne soit pas le premier, et ce ne sera probablement pas le dernier.

À partir du milieu du 20e siècle, note Omrio Wallach de Visual Capitalist, l'humanité a exploré l'espace plus rapidement que jamais. Nous avons lancé des satellites, des télescopes, des stations spatiales et des vaisseaux spatiaux, tous attachés à des lanceurs propulsés par fusée qui les ont aidés à percer notre atmosphère.

Cette infographie du designer Tyler Skarbek rassemble les nombreuses fusées différentes du monde côte à côte, montrant quel pays les a conçues, quelles années elles ont été utilisées et ce qu'elles (pourraient) accomplir.

Comment les fusées du monde s'empilent-elles ?

Avant d'être utilisées pour les voyages dans l'espace, les fusées ont été produites et développées pour être utilisées comme missiles balistiques.

La première fusée à atteindre officiellement l'espace - définie par la Fédération Aéronautique Internationale comme traversant la ligne Kármán à 100 kilomètres (62 miles) au-dessus du niveau moyen de la mer de la Terre - était la fusée V-2 produite par l'Allemagne en 1944.

Mais après la Seconde Guerre mondiale, la production de V-2 est tombée entre les mains des États-Unis, de l'Union soviétique (URSS) et du Royaume-Uni.

Au cours des décennies suivantes et du déroulement de la guerre froide, ce qui a commencé comme une course aux armements nucléaires de missiles balistiques supérieurs s'est transformé en course à l'espace. Les États-Unis et l'URSS ont essayé d'être les premiers à réaliser et à maîtriser les vols spatiaux, entraînant la production de nombreuses fusées nouvelles et différentes.

À la fin de la course à l'espace, les États-Unis se sont avérés être le plus gros producteur de fusées différentes. La dissolution éventuelle de l'URSS en 1991 a transféré la production de fusées soviétiques à la Russie ou à l'Ukraine. Plus tard, l'Europe (par l'intermédiaire de l'Agence spatiale européenne) et le Japon ont également augmenté la production de fusées.

Plus récemment, de nouveaux pays ont rejoint la course, notamment la Chine, l'Iran et l'Inde. Bien que l'infographie ci-dessus montre de nombreuses familles différentes de roquettes, elle n'inclut pas toutes, y compris la fusée chinoise Kuaizhou et les roquettes iraniennes Zuljanah et Qased.

Explication de la portée des fusées et poursuite des aspirations spatiales

Concevoir une fusée qui peut atteindre loin dans l'espace tout en transportant une charge utile lourde - les objets ou entités transportés par un véhicule - est extrêmement difficile et précis. Cela ne s'appelle pas la science des fusées pour rien.

Lorsque les fusées sont conçues, elles sont créées avec une plage spécifique à l'esprit qui prend en compte le carburant nécessaire pour voyager et la vitesse réalisable. Alternativement, ils ont des charges utiles différentes en fonction de ce qui est réalisable et fiable en fonction de la plage cible.

Suborbital : atteint l'espace extra-atmosphérique, mais sa trajectoire coupe l'atmosphère et redescend. Il ne sera pas en mesure d'effectuer une révolution orbitale ou d'atteindre la vitesse d'échappement.

LEO (Low Earth Orbit): atteint une altitude allant jusqu'à environ 2 000 km (1242,74 miles) et orbite autour de la Terre à une période orbitale de 128 minutes ou moins (ou 11,25 orbites par jour).

SSO (orbite héliosynchrone) : atteint environ 600 à 800 km au-dessus de la Terre en altitude, mais orbite à une inclinaison d'environ 98 °, ou presque d'un pôle à l'autre, afin de maintenir un temps solaire constant.

GTO (orbite de transfert géosynchrone) : se lance sur une orbite hautement elliptique qui s'approche aussi près en altitude que LEO et aussi loin que 35 786 km (22 236 miles) au-dessus du niveau de la mer.

TLI (Injection trans-lunaire) : Se lance sur une trajectoire (ou accélère depuis l'orbite terrestre) pour atteindre la Lune, à une distance moyenne de 384 400 km (238 900 miles) de la Terre.

Mais il existe d'autres portées et orbites aux yeux des astronautes potentiels. Mars, par exemple, une cible élevée aux yeux de SpaceX et du milliardaire fondateur Elon Musk, se situe entre environ 54 et 103 millions de km (34 et 64 millions de miles) de la Terre à son approche la plus proche.

L'exploration spatiale devenant de plus en plus courante et suffisamment lucrative pour justifier des poursuites d'un milliard de dollars pour l'attribution de contrats, jusqu'où iront les futures fusées ?

https://www.zerohedge.com/technology/visualizing-size-worlds-rockets-past-present

Covid 19 : vaccins et autopsies - Dr. Ryan Cole

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Coronavirus Alexandra Henrion-Caude explique le vaccin à ARN messager genre Pfizer BioNTech

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