- ENTREE de SECOURS -



mardi 31 mars 2020

Trump: la Russie a envoyé un «très, très grand avion» d'équipements médicaux aux USA

08:22 31.03.2020


Le Président états-unien a annoncé qu’un «très, très grand avion rempli de fournitures médicales» avait été envoyé aux États-Unis par les autorités russes afin de lutter contre le coronavirus.

Un avion transportant des fournitures médicales a été envoyé aux États-Unis par la Russie pour faire face à la pandémie de coronavirus, a indiqué Donald Trump lors d’une conférence de presse.

«La Chine nous a envoyé quelque chose, c’était formidable. La Russie nous a envoyé un très, très grand avion rempli de fournitures médicales, c’était très agréable. D'autres pays nous ont envoyé beaucoup, j'ai été agréablement surpris», a déclaré M.Trump.

Le Président états-unien n’a toutefois pas fourni davantage d'informations au sujet de l’aide provenant de Russie.

Trump et Poutine s’entretiennent par téléphone

Le 30 mars, Vladimir Poutine et Donald Trump ont eu un entretien téléphonique. Les deux chefs d’État ont notamment exprimé leurs préoccupations face à la propagation à grande échelle du coronavirus, a précisé le Kremlin. 

Ils ont également discuté des possibilités d'une interaction plus étroite entre les deux pays dans ce sens.

16 avions affrétés par la Russie en Italie

La Russie a déjà envoyé 16 avions transportant des respirateurs artificiels, des fournitures médicales ainsi que des virologues en Italie suite à un entretien téléphonique entre le Président russe et le Premier ministre italien. Le 16e avion a atterri à Vérone le 30 mars.

Les virologues et épidémiologistes russes ont déjà commencé leur travail, comme l’a montré la télévision italienne dans un reportage.

lundi 30 mars 2020

Les 2 vrais problèmes à horizon 15 ans pour les français...


Charles Dereeper 
lundi, 30 mars 2020 07:21


Dans cette vidéo. Le virus a deux atouts majeurs. Il permet de tuer les plus faibles dont les pensions ne seront pas à verser, sachant que le sujet des retraites en Occident est insurmontable. Et en plus, le virus permet de freiner la croissance économique mondiale, donc de calmer les tensions sur les ressources et matières premières. Une récession oblige aussi à endetter toujours plus les gouvernements qui se retrouveront ainsi avec une excuse béton vis à vis de la retraite... y a pas d'argent ! Il y a 2500 milliards pour sauver le corona virus. Mais il n'y a pas 20.000 milliards à horizon 20 ans pour payer les paby boomers US... Enfin le virus est un outil très efficace pour contrôler la quantité d'humains sur terre.

La Chine annonce la fin de l’épidémie de coronavirus sur son territoire

 21:48 29.03.2020


Les autorités chinoises ont annoncé la fin de l’épidémie de Covid-19 dans le pays où le nombre des personnes infectées se situe autour de 3.000.

La Chine, qui compte actuellement près de 3.000 cas de coronavirus, a réussi à arrêter la propagation du Covid-19 sur le territoire national, a annoncé dimanche 29 mars le représentant du Comité d’État chinois pour la santé publique, Mi Feng.

Selon les données officielles chinoises au 29 mars, la Chine compte actuellement 3.509 cas de coronavirus dont 693 cas importés de l’étranger. Le nombre total des personnes infectées dans ce pays depuis le début de l’épidémie a atteint 82.421.

Près de 75.500 personnes ont guéri et 3.300 sont décédées des suites de Covid-19.

Selon l’université Johns-Hopkins, les États-Unis sont le pays où le nombre des patients atteints du coronavirus est aujourd’hui le plus important, à savoir près de 125.000. En France, 40.174 cas ont été confirmés ce 29 mars et 300 nouveaux décès.

vendredi 27 mars 2020

Le coronavirus N'EST PAS originaire de Chine - Les médecins de Lombardie font face à d'« étranges pneumonies » depuis au moins NOVEMBRE

Liu Zhen - South China Morning Post
Sott.net
jeu., 26 mar. 2020 14:58 UTC


Une « étrange pneumonie » circulait déjà dans le nord de l'Italie en novembre dernier, quelques semaines avant que les médecins ne soient informés de la nouvelle épidémie de coronavirus en Chine, a déclaré cette semaine l'un des principaux experts médicaux du pays européen. 

-- Commentaire : Cela signifie presque certainement que le virus n'est PAS originaire de Chine et qu'il circule dans le monde depuis de nombreux mois — même s'il le fait peut-être sous ses formes mutantes les plus récentes. -- 

Wuhan — comme Bergame, le centre de l'Iran et Madrid — s'avère alors être un « point chaud », probablement en raison d'un certain nombre de facteurs LOCAUX. 

Giuseppe Remuzzi, vend la mèche : « Des médecins ont vu des pneumonies très étranges, très graves, en particulier chez les personnes âgées, en décembre, et même en novembre ».

« Ils [les médecins généralistes] se souviennent avoir vu des pneumonies très étranges, très graves, en particulier chez les personnes âgées en décembre et même en novembre », a déclaré Giuseppe Remuzzi, le directeur de l'Institut Mario Negri pour la recherche pharmacologique à Milan, dans une interview donnée à la Radio publique nationale des États-Unis. Remuzzi ajoute :
« Cela signifie que le virus circulait, au moins dans [la région nord de] la Lombardie et avant que nous ayons eu connaissance de cette épidémie en Chine. »

Au moment où les commentaires de Remuzzi deviennent publiques, les scientifiques poursuivent toujours leurs recherches quant à l'origine du Covid-19. L'expert chinois en maladies respiratoires Zhong Nanshan avait précédemment déclaré que même si la Chine a été la première à signaler l'agent pathogène, il n'était pas possible de connaître avec certitude sa provenance réelle. 

-- Commentaire : La Chine a fondamentalement résolu un problème mondial dont les autorités occidentales — y compris les médecins — n'avaient pas conscience jusqu'en janvier. En conséquence, ils se font traiter de « terroristes du virus ». --

Remuzzi a indiqué n'avoir que récemment entendu parler de la maladie via des médecins italiens, ce qui signifie qu'elle existait et se propageait à l'insu des individus. 

Bien que l'Italie n'ait signalé ses premières infections à coronavirus transmises localement — en Lombardie et seulement le 21 février, tandis que les cas précédents étaient tous des cas importés —, elle a depuis connu plus de 53 000 cas confirmés et 4 825 décès dus au Covid-19, la maladie induite par l'agent pathogène. En comparaison, la Chine a enregistré un peu plus de 81 000 cas et 3 261 décès. L'Italie a suspendu tous ses vols vers la Chine le 31 janvier, et elle fut la première nation à le faire. 

--Commentaire : Cette mesure, comme toutes les autres mesures de confinement, s'est avérée totalement inutile : ce virus est PARTOUT depuis longtemps. --

Dans la ville de Wuhan, en Chine centrale, où l'épidémie a été identifiée pour la première fois, les médecins ont commencé à observer des « pneumonies de cause inconnue » en décembre. La première infection connue dans la ville remonte au 1er décembre. Selon un rapport du South China Morning Post, le premier cas chinois aurait pu se déclarer dès la mi-novembre, mais cette information n'a pas été confirmé par Pékin. 


La communauté scientifique pense actuellement que la première infection en Lombardie est le résultat d'un contact entre un Italien et un Chinois fin janvier. Cependant, s'il peut être démontré que le nouveau coronavirus — officiellement connu sous le nom de SRAS-CoV-2 — était en circulation en Italie en novembre, cette théorie serait alors caduque. 

Le débat sur l'origine possible de l'agent pathogène a également été au cœur d'échanges virulents entre Pékin et Washington, le président états-unien Donald Trump l'ayant qualifié à plusieurs reprises de « virus chinois » et le secrétaire d'État Mike Pompeo de « virus de Wuhan », ce qui a en retour provoqué la colère de Pékin. 

Le porte-parole du ministère chinois des affaires étrangères, Zhao Lijian, s'est exprimé sur Twitter pour contester ces affirmations :

« En l'appelant "virus chinois" et en suggérant ainsi son origine sans aucun fait ou preuve à l'appui, certains médias veulent clairement faire porter le chapeau à la Chine, et leurs arrière-pensées sont étalées au grand jour. »
Il a ensuite suggéré que l'épidémie de coronavirus pourrait avoir débuté aux États-Unis avant d'être propagée à Wuhan par l'armée états-unienne. 

Source de l'article : South China Morning Post 
Traduction : Sott.net

-- Commentaire : Une question demeure : pourquoi une province — Bergame — d'une région — Lombardie — du nord de l'Italie est-elle si durement touchée ? --

Nous n'avons pas précisément la réponse à cette question... 
Mais il est intéressant de noter que la Chine a pris cette situation suffisamment au sérieux pour placer Wuhan en quarantaine, identifier le coupable (« Covid-19 »), craquer son génome, et en informer le monde, y compris en partageant les protocoles à même ou pas d'atténuer ses effets et de sauver autant de vies que possible. 

L'Italie, l'Union européenne, les États-Unis, l'OTAN et le hautain « Ordre occidental » NE L'ONT PAS FAIT. 

Soit dit en passant, cette révélation d'une « étrange épidémie de pneumonie » l'automne dernier correspond à notre propre expérience directe. L'un de nos rédacteurs a contracté début décembre ce que nous soupçonnions être une « pneumonie cryptogénique » — terme général utilisé par les experts pour désigner une « pneumonie d'origine inconnue ». 

Plusieurs médecins n'ont cependant pas pu la diagnostiquer, croyant plutôt que ce qu'ils voyaient sur les scanners pulmonaires était un cancer. Les biopsies ont cependant permis d'écarter cette hypothèse. Même à cette époque, ils ne considéraient PAS qu'il s'agissait d'une source virale ! 

Le coronavirus pourrait très bien être présent dans la population mondiale depuis bien plus longtemps que ce que l'on pensait. Si c'est le cas, cela montre à quel point la panique actuelle est sans fondement — et pire encore, comment elle est alimentée par des intérêts géopolitiques et d'ingénierie sociale malveillants.

jeudi 26 mars 2020

POLÉMIQUE EN SUÈDE, LA VIE PRESQUE COMME AVANT

Écoles, bars et restos ouverts, pas de confinement: malgré les critiques, la Suède rejette toute mesure drastique de lutte contre la pandémie.

Dimanche dernier, ce restaurant en extérieur était très fréquenté à Stockholm. En Suède, les écoles, bars ou commerces sont toujours ouverts.


26.03.2020


A l'heure où de plus en plus de pays européens confinent leur population pour endiguer la propagation du nouveau coronavirus, la Suède a choisi une autre voie, plus souple, laissant écoles primaires, restaurants et bars ouverts.

Ce contraste saisissant fait débat dans l'opinion publique: et si la Suède n'en faisait pas assez pour protéger sa population ? «Nous ne pouvons pas permettre de répéter en Suède le désespoir humain de Wuhan et de Bergame. Ce serait un pari qui violerait le principe le plus fondamental de la société: que chaque individu a une valeur propre», a écrit le rédacteur en chef du quotidien de référence «Dagens Nyheter», appelant à des mesures plus sévères, ou à un dépistage généralisé de la population.

Des recommandation, pas d'interdictions

Dimanche dernier, le Premier ministre social-démocrate Stefan Löfven s'est adressé à la population dans une rare allocution télévisée, exhortant chacun à «prendre ses responsabilités» et à suivre les recommandations du gouvernement: télétravail et distanciation sociale notamment.

Les autorités recommandent aussi à toute personne «à risque» de rester chez elle. Les rassemblements de plus de 500 personnes sont interdits (la limite est de deux personnes en Allemagne), les lycées et universités sont fermés.Mardi, le gouvernement a exhorté les bars et les restaurants à se limiter aux services à table, afin d'éviter les files d'attente et assurer une distance minimale entre chaque client. Mais, pour beaucoup, la vie continue normalement.

Transports pris d'assaut


Mais samedi dernier, bars et restaurants de la capitale ont fait le plein, et les transports continuent d'être pris d'assaut aux heures de pointe.

Toutefois, comme chez la plupart de ses partenaires européens, les frontières suédoises sont désormais fermées aux voyages jugés «non-essentiels». Le Parlement suédois a aussi accéléré l'adoption d'un projet de loi permettant la fermeture d'écoles primaires et maternelles si nécessaire.

Pourquoi cette attitude face à la propagation du virus? s'interrogent les médias suédois. Le gouvernement répond qu'il suit les recommandations de l'Agence de santé publique et affirme être prêt.

Accusations de mise en danger

Si les autorités sanitaires n'ont pas encore demandé aux écoles de fermer, c'est car ce sont les personnes âgées qui doivent rester à la maison, pas les enfants, justifient-elles. «Dès que l'Agence de santé publique demandera au gouvernement de prendre une décision, nous le ferons aussi rapidement», avait déclaré mi-mars, en claquant des doigts, la ministre suédoise de la Santé, Lena Hallengren.

La confiance accordée par le gouvernement aux autorités sanitaires ne fait pourtant pas l'unanimité. Plusieurs experts et personnalités publiques ont accusé l'Agence de mettre la vie des gens en danger.

Sortir profiter du soleil

Alors même que la pression sur le gouvernement suédois et l'Agence de santé publique s'accroît, les autorités campent sur leur position, rejetant toutes mesures drastiques qu'elles n'estiment pas assez efficaces pour justifier leur impact sur la société.

Lundi, Johan Giesecke, ancien épidémiologiste de l'Institut national suédois de contrôle des maladies infectieuses et actuel conseiller au sein de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), a même encouragé les Suédois à sortir et à profiter du soleil printanier. «Amenez un ami et marchez à un mètre l'un de l'autre. N'étreignez pas votre voisin. Apportez un thermos et asseyez-vous sur un banc. C'est aussi mauvais pour la santé de rester assis à la maison», a affirmé M. Giesecke sur la chaîne publique SVT.

Reste à savoir si la Suède va s'en tenir à cette stratégie. Ce jeudi quelque 2500 cas de nouveau coronavirus avaient été détectés dans le royaume scandinave de quelque 10 millions d'habitants, pour une soixantaine de morts.

AFP/lematin.ch

« Green New Deal » : game over

C’est l’ensemble de la transition énergétique des États européens qui risque de s’étioler.


26 MARS 2020
Par Drieu Godefridi.


Le Green New Deal de la Commission européenne1 a vécu. Annoncé avec fracas et l’enthousiasme d’une presse acquise aux thèses écologistes échevelées, ce grand deal d’un coût de 1000 milliards d’euros ne survivra pas à la crise.

Le motif en est simple : le Green New Deal (GND) comme l’ensemble de la « transition énergétique » repose, entre autres mais principalement, sur un mécanisme qui consiste à forcer la consommation d’énergies dites renouvelables aux dépens des énergies fossiles et du nucléaire. Ce forçage prend différentes formes, dont l’ajout d’une ligne « énergie renouvelable » sur la facture des consommateurs d’énergie.

DES ÉNERGIES RENOUVELABLES INTERMITTENTES

En effet, les énergies renouvelables (éolien, solaire)2 sont intermittentes ; leur production implique

le maintien alternatif de sources non renouvelables et nucléaires
l’adaptation du réseau de distribution électrique à des sources intermittentes pour lesquelles il n’est pas conçu ; par exemple, pour gérer la surabondance en cas de grand vent ou l’absence totale d’aucune production.
Tenant compte des coûts impliqués par leur caractère intermittent, les énergies renouvelables sont et resteront plus onéreuses que les autres sources d’énergie.

Par conséquent, ces énergies ne peuvent être mises en service que par la sanction de l’État, qui oblige à les produire, les consommer et les financer. Rien ne distingue, par nature, cette obligation de payer — fût-ce par le moyen de la facture électrique — d’un impôt.

Au-delà des énergies dites renouvelables, il n’est pas une seule rubrique du « Deal » qui ne se laisse réduire, en dernière analyse, à un surcoût imposé au contribuable et au consommateur, en direct ou via le mécanisme de l’impôt. Quand on force le propriétaire d’un bâtiment à l’isoler ou le rénover, fût-ce par la mise en paiement d’une prime finançant partiellement les travaux, la charge économique finale est supportée à la fois par le propriétaire du bâtiment, et par le contribuable. A fortiori en va-t-il de même de l’instauration, prévue par le GND, de mécanismes apparentés à une « taxe carbone ».

MILLE MILLIARDS D’IMPÔTS SUPPLÉMENTAIRES


Ainsi le « Green New Deal » revient-il, en dernière analyse, à faire supporter aux Européens 1000 milliards d’impôts supplémentaires, répartis dans l’infinie variété des instruments fiscaux à la disposition de nos États.

Ce qui est possible, et concevable dans une société de (relative) abondance économique, qui reste « liquide » (monétairement parlant), devient inconcevable dans une société qui subit un choc économique sans précédent depuis 1945.

Dans une telle société, aucun impôt supplémentaire ne peut être levé car il n’existe aucune base taxable qui le permette. En réalité, par la réduction brutale de la base imposable, c’est une fraction notable du pouvoir d’imposition des États qui vient à disparaître.

En résumé, nos États devront sacrifier une fraction significative des impôts actuels, fût-ce au titre d’un « moratoire » ; ils ne pourront en aucune façon, même par le moyen de l’emprunt, ajouter de nouvelles impositions, a fortiori d’une ampleur aussi pharaonique que le « Green New Deal ». Exit le deal.

Par les mêmes motifs, c’est l’ensemble de la transition énergétique des États européens — qualifiée superbement de « irréversible » et « juste » par les élites de l’UE — qui risque de s’étioler.

Pour de nombreux ménages, la crise implique à commencer par les plus modestes et ce qui reste de la classe moyenne3, un retour aux fondamentaux : se nourrir, se déplacer, se vêtir, pourvoir aux besoins élémentaires des siens.

En Europe comme partout ailleurs, l’énergie est au fondement de la satisfaction de chacun de ces besoins vitaux. On ne se déplace pas sans énergie, pas plus qu’on ne peut produire de nourriture, se vêtir, ni rien produire sans énergie4.

Différents modes de production énergétique sont à notre disposition ; de plus coûteux, et de moins coûteux. Les plus coûteux — les énergies dites renouvelables, qui ne sont consommées qu’en raison et proportion de la sanction de l’État — laisseront par nécessité la place aux moins coûteux.

Cette tendance est renforcée par l’effondrement du prix du pétrole qui, en raison de la dissolution de l’« OPEC+ » par la Russie, puis la suspension de fait de l’OPEC par l’Arabie Saoudite, restera avec nous pour le futur prévisible.5

La transition énergétique autoritaire ira bientôt rejoindre dans sa tombe pharaonique le « Green New Deal ».

1 - Label officiel The European Green Deal: https://ec.europa.eu/info/sites/info/files/european-green-deal-communication_en.pdf ?
2 - L’hydroélectrique, qui répond à des conditions géologiques spécifiques et qui est largement antécédent à l’écologisme comme idéologie, n’est pas intermittent. ?
3 - Christophe Guilluy, No society. La fin de la classe moyenne occidentale, Flammarion, 2018. ?
4 - Samuele Furfari, Énergie 2019: Hystérie climatique et croissance des énergies fossiles, 2020. ?
5 - « Putin Won’t Blink First: Putin Rejects Potential US ‘Intervention’ In Russia-Saudi Oil War », Zerohedge, 20 mars 2020. ?

mercredi 25 mars 2020

Quelques remarques sur la crise du « virus couronné » … encore !

le 25 mars 2020


Je suis assez satisfait d’avoir levé, via le discours de Jean-Pierre Chevallier, le lièvre de la supercherie planétaire du coronavirus et rétrospectivement puisque j’ai écrit quelques billets à ce sujet mais également des centaines de billets relatifs au réchauffement climatique, l’une de ces impostures également mondialisée par les médias, alors mon vieux cerveau qui fonctionne encore a éprouvé quelques étincelles de clarté ce soir du 22 mars ou plutôt ce matin 23 mars de la glorieuse année 2020 qui restera pour les générations futures un repère incontournable.

Je ne reviendrai que brièvement sur l’autre monstrueuse supercherie tant scientifique qu’informationnelle relative au réchauffement climatique (cf. un prochain billet). Cette manœuvre a donné lieu à tellement de manipulations graphiques, de mensonges, de déformations sciemment préméditées de la réalité factuelle qu’elle a atteint un niveau jamais atteint de ridicule, un peu comme à l’époque où la papauté affirmait que la Terre était plate ou que l’Univers avait été créé en 7 jours. On y revient, rassurez-vous ! Vingt-cinq pour cent des Américains croient fermement que la Terre est plate et que l’univers a été créé en 7 jours par un être suprême inventé de toutes pièces. De même que l’existence de dieu est un mythe, le réchauffement climatique est un mythe. Et pourquoi ?

Tout simplement parce que l’homme n’a aucun pouvoir sur la météorologie ni sur la rotation de la Terre, ni sur le fait qu’elle est sphérique et qu’elle tourne autour du Soleil, ni sur la précession des équinoxes, ni sur les rayons cosmiques. Et il n’existe aucune preuve de l’existence d’un quelconque dieu. C’est assez renversant de constater qu’il y a sur la Terre des milliards de « croyants » tous aussi incapables les uns que les autres d’apporter la moindre preuve de l’existence de dieu, qu’ils soient chrétiens, judaïques ou musulmans. Pour ce qui concerne le climat, celui-ci a été par le passé froid puis chaud puis froid à nouveau et ce ne sont pas les quelques dizaines de milliers d’êtres humains dispersés sur la Terre il y a une douzaine de milliers d’années qui ont provoqué la fin de la dernière grande glaciation. Aujourd’hui, malgré l’activité humaine, le climat de la Terre continuera d’évoluer. Alors pourquoi faire tout un pataquès au sujet du climat ?

Pour ce qui concerne le nouveau virus, il n’est pas plus létal, plutôt moins en réalité, que le banal Influenza qui a eu pour habitude de tuer des dizaines de milliers de personnes chaque année en Italie ainsi que dans d’autres pays et il semble que les politiciens ont oublié (ou sciemment occulté) cette simple constatation. De plus, et là la situation est devenue très grave, et je cherche avec mes modestes moyens d’information « qui » tire les ficelles pour que tous les pays occidentaux sans exception soient tombés dans le panneau de la prétendue dangerosité de ce virus.

Il y a diverses hypothèses qui paraissent toutes aussi vraisemblables les unes que les autres, ou invraisemblables selon les opinions politiques. La première est que les hedge funds localisées dans les paradis fiscaux ne trouvent plus de sources de revenus appréciables puisque les taux d’intérêt presque dans le monde entier ont atteint une limite inimaginable, c’est-à-dire proche de zéro ou pire en dessous de zéro. Alors ces organismes financiers de l’ombre, occultes par définition, ont décidé de mettre un terme à ce foutoire financier organisé par les banques centrales. Et l’effondrement économique inévitable provoqué par ce virus pourrait être mis à profit afin que ces dizaines de milliers de milliards de dollars profitent de cet effondrement. Mais cette éventualité me paraît peu probable, encore que, ça peut se discuter.

La deuxième éventualité, que JP Chevallier a évoqué, est le DNC qui craint pour sa survie, miné par des difficultés financières et sa corruption endémique au sujet desquelles la justice américaine devrait se préoccuper si les Etats-Unis étaient encore une démocratie (DNC est le Democratic National Committee qui a propulsé Joe Biden comme candidat possible pour les prochaines élections présidentielles américaines). Cette hypothèse paraît séduisante car le Deep State américain est étroitement lié à la gauche démocrate américaine. Il pourrait alors s’agir d’une manœuvre de diversion très opportune pour le parti démocrate américain que de provoquer une grave crise économique en Europe qui, je le rappelle comme le suggérait JP Chevallier, aura des répercussions impossibles à maîtriser outre-Atlantique. Une telle dégradation de la situation économique américaine déroulerait alors le tapis rouge pour l’élection éventuelle de Joe Biden. En réalité je ne crois pas trop non plus à ce scénario.

Se pose donc encore la question de l’énigmatique organisation de cette psychose mondiale totalement disproportionnée. Il pourrait s’agir d’une répétition générale en vraie grandeur de la mise en place d’une gouvernance mondiale totalitaire. Quand les populations sont sciemment assaillies d’une propagande incessante – c’est le cas du changement climatique – dont le seul objectif est d’alimenter la peur, celles-ci deviennent beaucoup plus malléables et elles finissent par être consentantes. Pour le climat les puissances politiques et financières de l’ombre ainsi que les institutions onusiennes, le « deep state » mondial, ont presque atteint leur but. Par exemple pour instituer et rendre opérationnelle une taxe carbone à l’échelle mondiale il faudra une gouvernance mondiale, une condition préalable incontournable. Cette histoire de « virus couronné » préfigure ce que pourrait être un système de gouvernance mondiale totalitaire. Tout d’abord un véritable suivi détaillé des activités quotidiennes de chaque individu via leur téléphone portable – ce qui s’est passé en Corée pour juguler avec succès l’épidémie virale – puis une surveillance faciale systématique, la suppression de la monnaie – on ne pourra payer qu’avec son téléphone portable et c’est ce qui se développe aujourd’hui – et enfin des procédés d’espionnage de la sphère privée comme si ça ne suffisait pas avec le téléphone !


Tous les ingrédients technologiques existent pour établir une gouvernance d’abord à l’échelle de chaque pays puis une véritable gouvernance mondiale pour imposer des lois et des règlements à chaque individu et le priver de sa liberté, lui-même consentant puisqu’il a toujours à la main ou dans sa poche l’outil essentiel, devenu incontournable dans sa vie de tous les jours, son téléphone portable, l’incroyable outil de la servitude volontaire (cf. Etienne de la Boétie) … George Orwell avait raison, il était un grand visionnaire !

mardi 24 mars 2020

I am Steve McQueen

24 Mars 1930 - 7 Novembre 1980
https://www.youtube.com/watch?v=CtZ07CRnYjU

Pandémie: l'invention d'une maladie appelée peur

par Tyler Durden
Lun., 23/03/2020 - 22:05
Écrit par Julain Rose via Counterpunch.org,


Le mot «pandémie» présente une similitude avec le mot «panique» et même «pandémonium». En fait, la «pandémie» évoque une vague de peur presque instantanée chez ceux qui sont facilement manipulés par les médias de masse, avant même que des détails aient même touché la surface ou le contexte dans lequel le mot est utilisé.

Ceux qui planifient les grands mouvements sur l'échiquier du contrôle humain secret savent qu'en menant avec le mot "pandémie" ils ont une arme instantanément efficace à leur disposition pour affaiblir psychologiquement la résistance des individus vulnérables aux mentalités irrationnelles et impressionnistes.

Ainsi, dans un monde fortement conditionné par les proclamations des médias, l'arme de la peur a un énorme pouvoir psychologique.

Comme nous en avons tous été témoins au cours des derniers mois, l'histoire du Coronavirus a été déclenchée avec une joie lascive à peine contenue par les médias sous les ordres des pourvoyeurs de missions malveillantes contre l'humanité. Gonflé au volume maximum et dispersé dans le monde, le message de peur délibérément conçu a pour effet immédiat de rendre la majorité des gens impuissants. Le gros problème est général - et nous, les gens, nous sentons petits. C'est le début du piégeage qui colore tous les aspects de la vie quotidienne.

La majeure partie de l’humanité a subi un processus d’éducation qui dépend, pour son efficacité, du pouvoir perçu d’une certaine «autorité» d’exercer une influence incontestable sur la direction générale de la vie. Une source d'influence qui dépend pour son efficacité continue de ne jamais être soumise à un examen rationnel ou à un véritable examen d'aucune sorte. Tel est le pouvoir séduisant de l'endoctrinement complet.

Dans la bataille qui fait rage pour «qui contrôle le monde», certains des agents de contrôle de la vie planétaire en grande partie cachés ou déguisés apparaissent maintenant à la surface. Et c’est pourquoi le chaos et la peur sont vraiment la «saveur du mois». La Corona Contagion est pleine à craquer d'idiosyncrasies; en fait, il y a tellement de facteurs absurdes associés aux tentatives des médias de rendre compte de ce qui se passe, que l'on ne peut se sentir étourdi et confus que si l'on essaie de suivre le script en temps réel.

Cependant, ce qui est devenu trop clair, c'est le fait qu'un grand nombre de personnes sont rassemblées - et ne résistent pas. Les tactiques de peur utilisées sont plus dangereuses que le virus qui est l'excuse pour les déployer. Dans cet état de psychose induit, toutes sortes de trucs peuvent être perpétrés sur l'humanité - et c'est précisément ce que nous assistons en ce moment.

Beaucoup de ceux qui lisent ceci connaissent déjà les ambitions de l’élite de l’État profond dominant et savent qu’une phase pré-planifiée de chaos social et économique est un facteur clé dans leur tentative de déploiement du nouvel ordre mondial totalitaire. Nous sommes maintenant dans cette phase. Son succès dépend d'un grand nombre de personnes suivant les instructions transmises par les marionnettes politiques de l'État profond et par la répétition lâche de ces instructions par les médias grand public.

Encore une fois, la carte de peur joue un rôle clé. Cette fois, en gardant un niveau constant d'anxiété et d'hystérie à ébullition, tout en veillant à ce que ceux qui sont capables de reconnaître la véritable nature de l'arnaque soient contraints de ne pas sortir de la ligne, risquant ainsi leur emploi, leur sécurité ou leur statut au sein de la relation maître / esclave rigoureusement appliquée du statu quo.

L'ensemble de l'édifice malade maintient son élan basé sur la pure tromperie et l'exploitation pures. Pourtant, les destinataires choisissent largement de ne pas être conscients du fait qu’ils sont utilisés et maltraités au profit d’un idéal fasciste. En ne se rebellant pas face à un tel traitement - mais en s'y conformant - une population muette établit la base de son propre avilissement et de son esclavage.

Ces méthodes ont été pratiquées maintes et maintes fois dans l'histoire du monde et, à chaque fois, le recul révèle la motivation d'avoir été une obsession du pouvoir et du contrôle, et les auteurs d'être un petit nombre de despotes psychopathes. Qu'il prenne la forme d'une puissance militaire, d'un dogme religieux ou de phénomènes de contrôle des sociétés et des banques modernes, à condition que le drame soit bien géré par la scène et que la «puissance ait fait peur», les hégémons obtiennent leur chemin.

Dans quelle mesure le déploiement est-il géré par étapes à cette occasion - et quel est le plan ?

En raison des liens transplanétaires qui ont lieu aujourd'hui, le «plan directeur» n'est plus une affaire régionale ou nationale, mais mondiale. Les principaux acteurs ont élaboré l'intrigue bien avant que chacun d'entre nous ne le sache et des réunions comme le sommet économique de Davos et les réunions de Bildergerger sont utilisées pour obtenir un consensus sur le calendrier et les méthodes à déployer.

Dans le cas de Covid-19, son apparition sur la scène - ou du moins la diffusion de l'histoire de quelque chose de méchant sous ce nom - est programmée pour détourner l'attention de l'accélération de l'installation de ce qui est jugé important. porte-parole dans la création d'un nouvel ordre mondial totalitaire. Par exemple, le déploiement du WiFi modulé par micro-ondes 5G; un réseau intelligent numérique et un «Internet des objets»; un système de transport robotisé; programmes de surveillance de la population par reconnaissance faciale; de nouvelles souches d'organismes génétiquement modifiés et de vaccins, etc. Cependant, le plan de match prédominant consiste à «redéfinir» la finance mondiale de manière à sembler soutenir le New Deal vert nommé euphémiquement avec son Saint-Graal «Zero Carbon».

Le fait que la Chine ait probablement été la cible initiale des armes biologiques ne nuit pas à un objectif plus répandu de perturber l'économie mondiale dans son ensemble.

L’efficacité de cette perturbation dépend du fait que la plus grande partie du populus est entraînée dans une bulle de croyance aveugle en l’authenticité du scénario «virtuel». Une ligne qui masque l'imposition très réelle d'un État fasciste.

Je dirais que la gestion de scène est assez mauvaise cette fois-ci. La pléthore d'actions de répression contradictoires et irrationnelles imposées au nom de la contention du boguey accroît la crédibilité de l'opération jusqu'au point de freinage. En fait, c'est une farce; mais une farce qui implique des morts réelles et le soutien d'un État policier, ne peut pas être simplement ridiculisée.

Au lieu de cela, il peut être mis sous les projecteurs et être vu pour ce qu'il est, une manipulation planifiée des personnes et des ressources de cette planète, dont le principal outil de goading consiste en l'art bien répété de répandre la peur et la panique. Et cela, à son tour, pour saper le don rationnel et basé sur le bon sens dont nous avons tous été bénis depuis la naissance, et qui - lorsqu'il est en bon ordre - peut clairement voir à travers la façade et maintenir la ligne de la raison et de la vérité.

Beaucoup ont vu ce drame «sortir du chaos» venir pendant des années. Le bit de chaos est avec nous en ce moment et très visible. L’ordre est à suivre et consiste en l’émergence d’un pacificateur - ou plan de paix - qui implique que les principaux croupiers ratissent les jetons de la roulette et les encaissent dans leur satisfaction temporaire. Permettant ainsi une petite période de vacances au cours de laquelle les genoux faibles peuvent se réjouir de leur survie et bénir l'émergence du «nouvel ordre», sous l'autorité de qui ou de quoi, tant qu'ils peuvent croire que le monde a été sauvé de l'anarchie et de la ruine.

Chacun de nous dont les genoux ne se sont pas transformés en gelée et dont le cerveau ne s'est pas transformé en pulpe contrôlée par l'esprit doit prendre ce moment pour se déclarer, hardiment et résolument avec ces quatre mots «Nous ne consentons pas».

Il y a une surprise en réserve pour les lâches imposants du chaos - c'est notre heure qui vient et - pas la leur. Car le nôtre est le Vrai Ordre Mondial qui s'aligne sur la Loi Universelle, et non les fausses lois d'un statu quo manipulé.

C'est notre mariage réémergeant avec Universal Truth qui va évincer cette pandémie effrayante et toutes les manifestations similaires de tromperie du côté obscur qui ont saisi cette planète pendant trop longtemps. Notre véritable ordre mondial va affronter cette dynastie obsédée et démoniaque, de sorte qu'elle trébuche, tombe et ne remonte plus.

Saisissez ce moment propice - et rejoignons-nous dans un engagement inébranlable à nous mettre à genoux et à rester fermes dans la cause de la défaite des fantômes du chaos et de la peur.

lundi 23 mars 2020

Message de Poutine aux Français

https://www.youtube.com/watch?v=yZ47oPIbtj4&feature=emb_logo

Coronavirus et Italie : pourquoi tant de propagande ?

le 22 mars 2020


Mes lecteurs n’ignorent pas que je suis un peu contrarien. Alors, quand je constate que les médias ne parlent plus ou n’écrivent plus que des articles au sujet de l’épidémie de coronavirus qui se répand dans le monde entier à l’exclusion de tout autre sujet susceptible de présenter un certain intérêt, je trouve cela plutôt suspect. Le cas de l’Italie est exemplaire dans ce domaine que je qualifierai de désinformation ou de « surinformation » agressive et voici ce qui m’a convaincu d’écrire ce billet. Un article paru en novembre 2019 et soumis pour publication le 31 mai de la même année dans une revue scientifique à comité de lecture, travail effectué sous la direction du Docteur Aldo Rosano de l’Institut National de la Santé à Rome en Italie, fait état de l’évolution de la mortalité de la grippe à Influenza dans ce pays au cours des périodes hivernales depuis 2013-2014 jusqu’en 2016-2017, ILI signifiant « Influenza Like Illness ». La mortalité due au virus Influenza a été estimée en utilisant l’index Goldstein qui est le produit du pourcentage de patients présentant des signes de maladie similaire à l’Influenza par le pourcentage de patients détectés comme positifs pour le virus. Cet indice donne un idée de l’excès de morts au cours de la grippe dite saisonnière.

Effectuer une simple soustraction entre le nombre de décès au cours des 5 mois d’hiver et le nombre de décès au cours des 5 mois d’été peut donner une autre indication du surnombre de décès dus à la grippe mais il englobe aussi les décès provoqués par les basses températures, la mortalité par les basses températures étant très supérieure à celle provoquée par les températures dites caniculaires.

Et que constate-t-on ? Au cours de la période d’étude environ 9 % de la population italienne totale a souffert de la grippe saisonnière, la plus forte incidence étant constatée chez les enfants de moins de 5 ans. Le taux de mortalité a été le plus élevé chez les personnes de plus de 65 ans. Ce taux de mortalité atteignait 40 % chez les personnes âgées de 75 ans et plus. Entre 2013 et 2017 il y eut en Italie 1 457 038 décès provoqués par le virus Influenza. Dans le détail, pour chaque période hivernale de 2013-2014 jusqu’à 2016-2017 inclus il y a eu respectivement 345 168 morts puis 366 507, 340 226 et enfin 366 859 décès … vous avez bien lu, il n’y a pas d’erreur.

Il s’agit des statistiques les plus élevées de l’Union européenne en raison du vieillissement accéléré de la population italienne. Revenons donc au « virus couronné » millésime 2019. Comme pour l’Influenza ce virus touche aussi en majeure partie les seniors de plus de 65 ans et les jeunes de moins de 15 ans, le plus souvent porteurs asymptomatiques du virus ou ne présentant que des cas cliniques bénins  et qui constituent le principal facteur de dissémination du virus de l’Influenza.  Il est très probable qu’il en est de même pour le coronavirus. La question que s’est posé avec raison l’Institut National de la Santé d’Italie est l’opportunité de vacciner aussi les jeunes de moins de 15 ans contre la grippe saisonnière même si ce vaccin n’est pas toujours aussi efficace qu’on ne l’espère en début de campagne de vaccination.

Venons-en donc à l’objet de ce billet. Chaque année passée les médias européens ont-ils insisté sur le nombre de décès particulièrement élevés provoqués en Italie par la grippe saisonnière ? La réponse est non. Alors pour quelle raison, en cette année 2020, la situation italienne fait-elle l’objet d’une intense campagne d’information, accusant le gouvernement italien de toux les maux ? Comme l’indique clairement l’illustration en début de billet le pic de décès provoqués par la grippe saisonnière varie entre le mois d’avril et le mois de juillet selon les années. La pyramide des âges en Italie a une forme de sapin de Noël culminant avec la tranche d’âge 45-55 ans et hors population d’immigrés récents le taux de fertilité en Italie est de 1,29 enfant par femme féconde. La situation grippale de l’Italie ne va donc pas s’améliorer durant les années à venir. Incriminer le gouvernement italien pour son manque de préparation à cette grippe à coronavirus est inapproprié et privilégier le coronavirus pour expliquer la situation sanitaire sévissant présentement en Italie relève d’une propagande mensongère.

Source et illustration : https://doi.org/10.1016/j.ijid.2019.08.003

Ne comptez pas sur l’État : protégez vous !

Confinement généralisé, les vaches à l’étable. Oublions le modernisme. On comptera les bouses après la foire mais il se pourrait que les modernes Coréens aient terrassé ces ânes de Français. Témoignage.


23 MARS 2020 
Par Denis Dupuy, chirurgien.


Je n’ai pas écouté le discours du président, je n’en écoute aucun… La substance en est limpide. Un tsunami fonce sur nous, nous allons l’amortir et pleurer, collectivement comme individuellement.

La faute à qui ? À personne, enfin. C’est le virus, le méchant… Pouvons-nous en vouloir aux éléments ?

Cela posé, le chef des fonctionnaires est aux commandes. On nous a assez répété qu’il était largement plus intelligent que nous. Un génie, en quelque sorte. Eh bien… Que nous propose-t-il ?

Comme toujours en cette nation, la contrainte, chacun chez soi, embastillé. Est-ce idiot ? Non, c’est pire : c’est médiocre.

En Corée du Sud, on a testé la population, mené les enquêtes dans l’entourage des contaminés et isolé et traité les patients. On n’a pas cloîtré tout le monde, à l’arrache, débordés et imprévoyants.

Quant à la ruine économique, on verra après, avec les subventions et davantage d’impôts encore. Les faramineuses taxes collectées dans ce pays ne suffisent donc pas à payer ce qui nous revient, des masques FFP2, du gel et des tests. Imaginez le stock que vous possèderiez si vos impôts étaient abaissés. Ah non : impensable. L’État seul peut gérer votre pognon.

Ça me fait penser à la sécurité routière : les automobilistes sont traités comme un troupeau de meuglants, « parce que nous savons, nous, êtres pensants au pouvoir ». Les Français sont des veaux.


Pourtant, ce sont bien les veaux qui ont conçu les airbags, les châssis déformables, les ceintures, les systèmes embarqués… Les veaux ne sont-ils pas ceux qui vous extorquent le blé au kilomètre/heure alors que, les automobiles, bientôt, se conduiront seules sans risque d’accident ?

Alors confinement généralisé, les vaches à l’étable. Oublions le modernisme. On comptera les bouses après la foire mais il se pourrait que les modernes Coréens aient terrassé ces ânes de Français. Vive le progrès…

Allez, vous voulez un conseil : ne comptez pas sur l’État. Protégez-VOUS. La vie est précieuse.

samedi 21 mars 2020

Coronavirus au Vietnam : Vivre dans une ville fantôme


dimanche, 22 mars 2020 01:01

La vidéo précédente tournée la semaine dernière ayant suscité pas mal de vues et réactions en commentaire, j'ai décidé de vous faire une mise à jour.

Mise à jour importante puisque la situation a pas mal évolué au Vietnam :

Beaucoup de lieux ont été mis en quarantaine, je prend d'ailleurs la moto et je vous montre quelques rues de cette ville fantôme.
Cette vidéo est tournée en direct de l'équivalent des "Champs Elysées" à Ho Chi Minh ville pour faire le point ensemble, vous allez voir c'est désert !
Des centaines de touristes, vietnamiens et expatriés ont été bloqué dès leur arrivée et placés sous surveillance.
On parle chiffre: combien de contaminés au Vietnam, quelle est l'évolution ces derniers jours ?
Je vous explique comment fonctionnent les mises en quarantaine, comment les hopitaux et le gouvernement vietnamien s'organisent pour prendre des mesures strictes afin de bloquer l'évolution de la pandémie.

Enfin vous trouverez en fin de vidéo mon ressenti global sur la situation. On en parle en commentaire si vous voulez qu'on en discute ensemble de la vie d'expatrié au vietnam et plus spécifiquement de la gestion de la crise sanitaire en ce moment. Si vous voulez par exemple échanger sur les différences de mesures prises entre la France et le Vietnam, on en parle ci-dessous.

Coronavirus : seul le nucléaire peut assurer notre approvisionnement énergétique

Pour une question de sécurité nationale, il est vital de mettre en état de fonctionnement tous les moyens de production destinés à fournir de l’électricité en cas de difficulté majeure.


Par Jean-Louis Bultré.
21 MARS 2020


Nous sommes en guerre, a déclaré le président Emmanuel Macron tandis que l’épidémie due au coronavirus progresse chaque jour en France.

Une  électricité abondante et fiable est vitale pour la sécurité de notre pays et elle ne saurait être fournie par des moyens intermittents tels que des éoliennes dont les résultats dépendent uniquement du vent.

Avant-hier à 17 heures, les 8000 éoliennes que compte notre pays et qui totalisent une puissance nominale de plus de 13 000 MW ont fourni 759 MW, soit 1 % du total de l’ensemble de production totale de l’électricité, contre 64 % pour le nucléaire, 13 %  pour les barrages et bien loin des 11 % pour les centrales thermiques.

EDF a déclenché son plan pandémie à la centrale de Flamanville dans le Cotentin, un des foyers du virus. Le  groupe a annoncé qu’il étudiait actuellement la possibilité de mettre en place des équipes réservistes pour déployer ce plan sur d’autres centrales et barrages si nécessaires dans les prochains jours.

Hier jeudi 19 mars 2020 EDF a publié un nouveau communiqué déclarant que la centrale nucléaire de Gravelines était prête à faire face :

« Pour la centrale nucléaire de Gravelines, c’est vital. Le scénario d’une épidémie existe à la centrale nucléaire de Gravelines, la plus grosse d’Europe occidentale, avec ses six réacteurs.

Il permet de fonctionner pendant douze semaines, avec un quart du personnel en moins et, en cas d’aggravation de la crise sanitaire, avec 40 % d’absents, pendant au moins deux semaines. Et la centrale peut anticiper, en mettant à l’abri des personnels, en les laissant chez eux en cas de besoins futurs.

Le but est de continuer à produire de l’électricité, tout en maintenant le programme de travaux obligatoires sur les réacteurs. Ainsi la tranche 2 doit être arrêtée pour rechargement de combustible dans les jours à venir. Concrètement,  EDF a surtout besoins d’agents de maintenance et de conduite. En temps normal, il y a 7 équipes fonctionnant en quart, qui peuvent passer à 2, en mode très dégradé. »


Toutes ces informations concordantes mettent en évidence que la sécurité du fonctionnement de 57 réacteurs nucléaires EDF situés sur 19 sites pourrait se dégrader du fait de la diminution du nombre des équipes habilitées assurant leur fonctionnement en 5 x 8.

Pour EDF organiser le télétravail à partir d’un ordinateur domestique relié par une liaison internet, pour beaucoup de ses salariés est possible.

Par contre il ne semble pas imaginable de pouvoir piloter un réacteur nucléaire à distance pour assurer la fourniture d’électricité au pays.

Pour une question de sécurité nationale, il est donc désormais vital de mettre en état de fonctionnement tous les moyens de production destinés à fournir de l’électricité en cas de difficulté majeure.

Le réacteur n° 1 de la centrale de Fessenheim doit être remis en fonctionnement et le processus de fermeture du second réacteur doit être suspendu pour permettre d’assurer 1700 MW fiables en cas de pénurie électrique majeure.