- ENTREE de SECOURS -



vendredi 31 juillet 2020

Allemagne - Comité d'enquête extraparlementaire sur le coronavirus


(Sous-titres français)

Dr Schiffmann, Pr Haditsch et le (présentateur) Dr Schöning

Le Pr Haditsch explique la propagande injustifiée sur le port du masque et sur l'épidémie de corona.

« Nous ne serons pas retardés plus longtemps. Nous, les citoyens, avons le pouvoir. Nous le faisons », c'est par ces mots que Heiko Schöning a annoncé la commission d'enquête extra-parlementaire sur le coronavirus (ACU) le 31 mai 2020 à Stuttgart devant 5000 manifestants. Le 3 juillet 2020, l'ACU a commencé par une conférence d'information en plusieurs langues.

Voir aussi:
COVID19 - fausse pandémie - des médecins du monde entier réunis à Madrid pour la dénoncer (Sous-titres français)


HAHAHA ! La plaisanterie du jour:

Il ne faut pas humidifier son masque de protection en pleine canicule, et voici pourquoi 


11:54 31.07.2020
Par Irina Tarassova


L’idée de se rafraîchir le visage en pleine canicule en humidifiant son masque de protection afin de mieux supporter la chaleur n’est pas bonne, car son efficacité n’est plus assurée, indique la Direction générale de la Santé.

Alors que la vigilance orange canicule a été déclarée dans une partie importante de la France, la Direction générale de la Santé prévient qu'un masque humide n'est pas efficace contre le coronavirus.

«Il ne faut jamais humidifier le masque, même si cela peut procurer une sensation de rafraîchissement. Si le masque est humide [transpiration, etc, ndlr.], il faut le changer car son efficacité n’est plus assurée» face au coronavirus, insiste la Direction générale de la Santé.

L'AFNOR (Association française de normalisation), qui certifie les masques en tissu, déconseille également de mouiller cet équipement de protection.

Citée par le journal télévisé de TF1, l’Association explique que «si on les mouille, d'abord on respire moins bien, et surtout ils filtrent beaucoup moins bien. C'est en effet notamment l'électricité statique des fibres du tissu qui arrête les gouttelettes des postillons. Or, si le masque est mouillé, cette électricité statique disparait et les gouttelettes passent plus facilement».

Le port du masque obligatoire dans les lieux publics ouverts ?

Le port du masque dans les lieux publics clos est d'ores et déjà obligatoire depuis le 19 juillet alors que la France connaît, au cœur de l'été, une résurgence des cas de contamination au coronavirus.

Les préfets pourront désormais décider par arrêté d'étendre l'obligation de port du masque aux lieux publics ouverts afin de limiter la circulation du coronavirus, a annoncé ce 31 juillet sur Twitter le ministre de la Santé, Olivier Véran.
Cette décision pourra être prise localement, en fonction de l'évolution de l'épidémie dans chaque territoire, a-t-il ajouté.

jeudi 30 juillet 2020

La vérité sur les masques


Réseau International
mer., 29 juil. 2020 20:34 UTC


De nombreuses études scientifiques et médicales prouvent l'inefficacité des masques, voici une sélection de ressources à ce sujet. 

Article du Dr Dennis Rancourt, PhD - ResearchGate, traduction Sott.net : La science est concluante : les masques n'empêchent PAS la transmission des virus

Article du Dr Russell Blaylock https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.... (Note de Sott.net : Voir aussi les articles suivants que nous avons traduits : Le danger mortel des masques - par le Dr Russell Blaylock ET Covid-19 — Porte un masque facial et savoure une partie du gaz carbonique que tu viens d'expirer)
Avis scientifique sur le port du masque : https://www.inspq.qc.ca/sites/default...

Les masques, même chirurgicaux, ne sont pas efficaces contre le coronavirus selon cette étude https://dailygeekshow.com/masques-eff...
Planétoscope : Combien de virus respirons-nous ? https://www.planetoscope.com/Le-corps...

Futura Santé : Comment le stress diminue notre immunité https://www.futura-sciences.com/sante... 7 Long-Term Side Effects of Wearing Face Masks https://www.eatthis.com/face-mask-lon...

Conférence de presse du Dr. Dan Erickson https://covidinfos.net/covid19/selon-...
Les masques, symbole de peur et de soumission https://translate.google.com/translat...

Des explications inédites concernant la respiration et le système immunitaire : La Forteresse de l'Harmonie de Pierre Lassalle https://www.editions-terre-de-lumiere...

Livre-MP3 méditation guidée sur la respiration https://www.editions-terre-de-lumiere...

Cette vidéo est une collaboration France - Québec, réalisée par André Fortier et Amélie Delalain, « quêteurs de vérité » membres du Kaya Team Universe. https://www.kaya-team-universe.org/

Les images, vidéos et musiques libres de droits utilisées à des fins éducatives.
Découvrir le site Lumière dans la matrice : http://www.lumiere-dans-la-matrice.org/

mercredi 29 juillet 2020

COMME IL N'EXISTE AUCUN MOYEN FIABLE DE DÉPISTAGE DES 3300 VIRUS 'CORONA'... VOUS SEREZ FORCEMENT 'DÉPISTÉ' 'AVEC CORONA' !


CORONAVIRUS : PLUS BESOIN D'ORDONNANCE POUR SE FAIRE DÉPISTER


 par LUDIVINE CANARD 
29/07/2020


Le test PCR pour détecter le covid-19 coûte 54 euros et est entièrement remboursé.

Alors que l’épidémie de coronavirus fait son retour en France et que 14 décès supplémentaires ont été enregistrés mardi 28 juillet 2020, le gouvernement a décidé d’élargir sa stratégie de dépistage en autorisant les tests virologiques PCR sans prescription médicale. 

Covid-19 : des tests pour tous ? 

Tout d’abord réservés aux personnes présentant des symptômes puis aux habitants de certaines communes, les tests virologiques PCR (Polymerase Chain Reaction) seront désormais accessibles sans ordonnance. Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a signé un arrêté publié le samedi 25 juillet 2020 qui « permet, dès aujourd'hui, à n'importe qui de bénéficier d'un test virologique PCR entièrement remboursé sans avoir besoin d'une ordonnance et sans avoir à se justifier de la démarche ni à présenter des symptômes », a-t-il détaillé dans Le Parisien. 

La liste des 3.200 lieux de prélèvement est accessible sur le site du gouvernement Santé.fr. Pour rappel, le PCR qui consiste à un prélèvement naso-pharyngé (gorge, nez, nasopharynx) coûte 54 euros et est intégralement pris en charge par l’Assurance maladie. Les tests PCR sont relativement fiables et détectent le virus dans 95% des cas. 

Le résultat est disponible après 3 à 4 heures.

La France est en retard dans le dépistage du coronavirus


Dès la fin du confinement, le gouvernement avait annoncé un objectif de 700.000 tests virologiques par semaine, mais 3 mois après le nombre de tests réalisés est encore loin. Même s’il augmente depuis plusieurs semaines, « il frôle désormais les 500.000 par semaine avec un taux de positivité à 1,3% », précise le ministère de la Santé. 

Pour augmenter le nombre de tests et faire face à la pénurie de biologistes médicaux, la France a autorisé les aide-soignants, les secouristes, les étudiants en santé ainsi que les pompiers et les techniciens de laboratoire à réaliser les prélèvements pour tester le Covid-19. 

Depuis le 11 juillet 2020, les tests rapides baptisés « TROD » sont réalisables dans les pharmacies françaises. En revanche, la vente d'autotests Covid-19 reste interdite.

mardi 28 juillet 2020

Pacte vert : l’Union européenne ne respecte pas ses propres traités

Comment l’UE va-t-elle procéder pour mettre en œuvre un Pacte vert qui est en contradiction avec ses propres traités ?


Par Michel Gay et Samuel Furfari1.
28 JUILLET 2020


Le Pacte vert de l’Union européenne (UE) sur l’énergie (aussi baptisé Green Deal) veut imposer aux États membres de l’UE une réduction drastique des émissions de gaz carbonique d’ici 2030, et une « neutralité carbone » d’ici 2050, mais il est en contradiction avec les traités souscrits par les États membres.

LE GREEN DEAL : UNE PURE UTOPIE

Grâce à cette doctrine, les politiciens européens, presque à l’unanimité, à Bruxelles et Strasbourg espèrent que l’énergie utilisée en 2050 sera renouvelable, et que le gaz carbonique résiduel sera piégé et stocké sous terre en capturant le carbone.

Toutefois, les énergies renouvelables intermittentes ne représentent que 2,5 % de la demande d’énergie primaire de l’UE, bien qu’elles aient été fortement encouragées à coups de milliards d’euros depuis près de 40 ans.

Le passage à 100 % n’est donc pas seulement un défi, mais une pure utopie.

La crise actuelle du Covid-19 montre que la décroissance peut effectivement réduire la consommation d’énergie et les émissions de gaz carbonique, mais ni les citoyens ni Bruxelles ne peuvent admettre cette solution pour réaliser le Green Deal.

Même le Groupement international sur le climat (IPCC) de l’ONU reconnaît que l’énergie nucléaire apporte une contribution majeure à la réduction des émissions de gaz carbonique et qu’elle représente une solution valable pour la décarbonation.

Pourtant, l’UE ne mentionne pas du tout l’énergie nucléaire dans son Pacte vert.

TRAITÉS DE MAASTRICHT ET DE LISBONNE


François Mitterrand, alors président de la République, ne voulait pas laisser l’avenir du nucléaire français entre les mains des fonctionnaires de Bruxelles.

Par la suite, une conférence interministérielle a réussi à introduire l’article 194 dans le Traité de Lisbonne de l’UE, autorisant notamment :

la promotion des énergies dites renouvelables ;
la création d’un marché unique de l’énergie ;
et le développement d’infrastructures énergétiques interconnectées.
Cependant, ce même article stipule clairement que le choix du bouquet énergétique reste de la responsabilité des États membres.

LE PACTE VERT CONTRE LE NUCLÉAIRE

Aujourd’hui, le Green Deal  permet aux projets d’énergie renouvelable de bénéficier de subventions (1000 milliards d’euros sont annoncés !), mais il exclut l’énergie nucléaire de la « taxonomie » européenne (adopté le 16 juin 2020 par la Parlement européen) qui établit une liste de technologies qualifiées de durables pour les investisseurs. Cette exclusion rend impossibles des garanties de revenus pour la production d’électricité des futurs réacteurs nucléaires.

LA POLOGNE S’ÉTONNE…

Cette difficulté n’est pas ignorée par l’UE dont 14 États membres exploitent ou ont annoncé la construction d’installations nucléaires. C’est pourquoi, à contrecœur, dans ses conclusions du 12 décembre 2019, le Conseil européen « reconnaît la nécessité […] de respecter le droit des États membres de décider de leur bouquet énergétique et de choisir les technologies les plus appropriées ».

Le 22 juin 2020, le ministre polonais du Climat a écrit à trois commissaires européens pour souligner la contradiction entre la volonté de l’UE de réduire les émissions de gaz carbonique et l’exclusion de l’énergie nucléaire :

« Nous avons été surpris que l’énergie nucléaire ne soit pas prise en compte dans les récentes politiques de l’UE, y compris le paquet « Green Deal », alors que sa place dans la taxonomie de l’UE est toujours remise en question. […]

Par conséquent, nous demandons à la Commission européenne, en tant que gardienne des Traités, y compris le Traité Euratom, de veiller à ce que la politique énergétique et climatique de l’UE soit élaborée de manière neutre sur le plan technologique et fondée sur des preuves ».

Bien que le langage soit diplomatique, c’est dit et écrit : la Commission européenne ne respecte pas de facto son Traité !

UN GREEN DEAL EN CONTRADICTION AVEC LES TRAITÉS DE L’UE

La Commission européenne a aussi annoncé qu’elle proposera 100 milliards d’euros d’investissements par le biais du « mécanisme de transition équitable » pour soutenir les énergies renouvelables intermittentes, ce qui revient à imposer aux nations le choix du bouquet énergétique pour en profiter.

Et c’est incompatible avec l’alinéa 2 de l’article 194 du Traité de Lisbonne !

En outre, le Traité sur la charte de l’énergie (TCE), signé en 1994 par l’UE et Euratom, protège sur le long terme les investissements étrangers dans les combustibles fossiles. Par conséquent, le Green Deal est aussi en contradiction avec le TCE. Pour résoudre cet imbroglio juridique, une solution serait que l’UE et ses États membres se retirent collectivement du TCE. Mais cette décision aurait de graves conséquences pour de nombreux pays qui exportent du pétrole et du gaz.

Quelques parlementaires européens reconnaissent que ce traité n’est pas « compatible avec nos engagements en matière de climat » et se préoccupent des plaintes qui s’accumulent pour le non-respect de ce traité international.

Ils veulent donc le dénaturer en excluant les énergies fossiles du texte, confirmant ainsi que le Green Deal est incompatible avec le TCE qui « garantit que tout investisseur dans l’étendue géographique du traité a le droit de protéger ses actifs investis, même jusqu’à 20 ans après le retrait d’un État du traité ». Or ce traité ne peut être modifié qu’à l’unanimité.

Et puisque le Japon qui vend des centrales au charbon partout en Asie, et que la moitié des États signataires ne s’occupent pas d’énergies renouvelables, ce traité ne sera pas modifié dans le sens voulu par l’UE.

Si l’UE ne veut plus d’énergies fossiles, elle devra donc quitter ce TCE. Ce qui peut prendre un certain temps… auquel il faut ajouter les 20 ans prévus après le retrait du traité. Des ONG environnementales osent demander la non application de cette clause, alors qu’elle est l’essence de ce traité.

Rien ne changera donc au moins avant 2050 !


La transition énergétique vers le « monde de demain » reposant sur des énergies renouvelables fatales n’est pas vraiment pour demain.

Comment l’UE va-t-elle procéder pour mettre en œuvre un Pacte vert qui est en contradiction avec ses propres traités ?

Résumé adapté par Michel Gay d’un article de Samuel Furfari initialement publié le 8 juillet 2020 sur le site de « European Scientist ». ?

lundi 27 juillet 2020

LA FRANCE VUE DE LA SUISSE

 par DANIEL MOINIER
 28/07/2020


La dette de la France est estimée à 115 % du PIB.

Je me suis permis de reprendre un article, envoyé par un confrère qui est un sondage, analyse de ce que pensent nos amis suisses de la France. J’avais d’ailleurs écrit un autre article fin 2019 (Pourquoi la Suisse va si bien et la France si mal ? Comparatif).

Le regard de la presse Suisse sur le sujet est très sévère mais très intéressant. 

Toute vérité n’est pas bonne à dire, mais ce texte vaut une lecture attentive ! 

Attention, ça déménage ! 

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Il n’existe pas de société sereine sans discipline et respect. 

Le contrat social a volé en éclats avec les Gilets jaunes, mais la tradition de la casse n’est pas nouvelle en France ! 

Si l’insurrection populaire est une tradition française, le mouvement des Gilets jaunes est inquiétant. 

Les analyses des médias français passent malheureusement à côté de l’essentiel. 

La crise actuelle est avant tout celle d’un système et d’un mode de pensée périmés. C’est la raison pour laquelle elle risque de se prolonger. 

LA BAISSE DU POUVOIR D’ACHAT VIENT D’UN DÉFICIT DE TRAVAIL 
Quel politique aura le courage de le dire ? 

On ne crée pas de la richesse — et donc du pouvoir d’achat — en regardant le foot à la télé. 

La crise de la France est celle de la paresse.

64 % de la population âgée de 15 à 64 ans travaille dans votre pays, 

Contre 79 % en Suisse, 75 % au Royaume-Uni ou en Allemagne. 

Vous travaillez également 15 % d’heures en moins par an par rapport à la moyenne de l’OCDE. 

En contrepartie, vous achetez plus à l’étranger que vous ne lui vendez ! 

Résultat déficit énorme de la balance des paiements ! (66 milliards/an !) 

Un commerçant qui ferait de même serait en faillite ! 

Et votre fonction publique, largement sous productive, occupe près de 20 % de la population active. 

Soyons concrets :


L’essence et les produits alimentaires coûtent plus cher car vous vous disputez ces biens, avec des pays qui travaillent davantage que vous. 

Leur pouvoir d’achat s’accroît et le vôtre diminue. 

L’IGNORANCE DES RÉALITÉS ÉCONOMIQUES CRÉE DE LA VIOLENCE
Vous êtes le bonnet d’âne en matière de connaissance économique selon l’OCDE. 

Les Gilets jaunes reflètent cette inculture, leur programme étant une somme d’aberrations, un concours Lépine de l’ignorance. 

Les insurgés veulent tout et son contraire. 

- Moins de taxes et plus de dépenses publiques avec par exemple le maintien de lignes de chemin de fer non rentables. 

Plus d’écologie et du diesel moins cher. 

Davantage de jobs mais le droit de casser l’appareil productif. 

Une hausse du Smic de 150 euros net (sur la base de 35h soit un net à 1369 et brut à 1728 !) et des emplois pour tout le monde. 

L’équation économique de la France est malheureusement simple à comprendre : 

- Peu de gens travaillent car le travail est lourdement taxé. 

Les taxes sont lourdes. 

Le plus effarant est qu’une majorité de la population a soutenu les Gilets jaunes. 

Si l’école enferme les esprits dans l’ignorance, les médias ne jouent pas leur rôle d’information. 

À quelques rares exceptions, les chroniqueurs ne posent jamais les bonnes questions et ne fournissent aucune donnée de contexte. 

Personne ne recadre les inepties économiques d’un Mélenchon. 

Le peuple français s’est enterré dans l’ignorance. Son absence de perspective est avant tout intellectuelle. 

L’EFFICACITÉ DES SERVICES PUBLICS DÉCROÎT ET NE VA PAS S’AMÉLIORER
Une lettre met presque une semaine pour arriver d’un point à un autre en France, contre 2 jours dans les années 1980. 

Les performances de la SNCF sont en chute libre malgré des coûts exorbitants. 

Les causes de cet enlisement sont multiples. 

Les fonctionnaires ont vieilli. Les organisations se sont empâtées et elles sont centrées sur leur propre finalité plutôt que sur les clients-citoyens. 

Quelle entreprise survivrait sans se réformer ? 

Sans licencier des salariés sous- performants ?

Sans réallouer les effectifs d’un service à l’autre quand la technologie permet des gains de productivité ? Aucune ! 

- Mais c’est le chemin que l’administration française a choisi depuis 30 ans.

L’État français, contrairement à ses concurrents anglais ou allemands a raté la transformation digitale. 

Le service aux administrés a encore empiré avec les tentatives de digitalisation. 

De par son poids, l’administration entraîne l’économie française vers le bas, et avec elle le pouvoir d’achat. 

Les mêmes causes produisent les mêmes effets. 

Le jeune disciple fonctionne à l’instar de son maître, avec un système d’exploitation étatiste conçu au XXe siècle. Le service militaire nouvelle formule, la réforme des 80 km/h, le prélèvement à la source sont des exemples de réformes technocratiques, frustrantes et inutiles. 

On a laissé de côté la réforme de l’État et de l’assistanat, ces 2 points concentrant les blocages de la France. 

LES FRANÇAIS VIVENT DANS UN MONDE VIRTUEL

Le temps passé devant les écrans augmente en permanence. 

Les Français vivent dans un monde virtuel fait de rêves, d’argent facile, de jolies filles et de fake news. 

Le capitalisme n’est pas exempt de critiques dans ce divorce avec la réalité. 

La publicité traditionnelle et numérique est d’une efficacité redoutable pour créer des frustrations et susciter l’acte d’achat. 

Avec l’extinction des idéaux, qu’ils soient religieux ou politiques, le consumérisme n’a plus de contrepouvoir. 

Symptomatiquement, les casseurs ont pillé des boutiques de luxe. Même les casseurs d’extrême gauche rêvent de s’habiller en Chanel et en Vuitton. 

Une autre promesse mensongère existe, celle que l’État promeut depuis des années.

Avec plus de 50 chaînes de télévision, des millions investis dans les campagnes de publicités diverses et variées, des écoles républicaines fortement politisées, l’État est le premier émetteur d’idéologie dans ce pays.

Il faut ajouter à cela la presse écrite largement subventionnée et les artistes qui vivent payés par l’État grâce au régime des intermittents.

Ce fantastique dispositif de propagande nous décrit un État ultra protecteur, tout-puissant, garantissant la paix et le bonheur du citoyen, de la naissance à la mort. 

Une vision imaginaire qui ne peut que décevoir cruellement. 

L’ABSENCE DE SANCTION MÈNE À LA VIOLENCE
Depuis longtemps, on a supprimé les sanctions à l’école, on ne punit plus les délits mineurs. 

L’absence de discipline est la résultante directe de l’effondrement des services publics, que ce soit l’éducation et la justice. 

Il s’est développé une idéologie permissive, notamment vis-à-vis de l’extrême gauche. 

Les syndicats ont légitimé des pratiques ultra-violentes, en toute impunité et dans le silence médiatique. 

Les Gilets jaunes constituent une version low-cost et 3.0 du syndicalisme, ils ont été formés à leur école. En plus stupides et en plus violents. 

L’exacerbation des frustrations nourries dans la virtualité allume un incendie majeur mais les pompiers n’ont pas le droit d’agir, par crainte, par inefficacité et par choix politique. 

Un prince doit prendre les bonnes décisions, celles qui créent de la richesse en minimisant les mécontentements du peuple. 

Il doit aussi savoir imposer le respect grâce à la force. »

- Fin de citation

Et voilà non seulement ce que les Suisses pensent de nous, mais ils nous l’écrivent.

Alors ? Nos Sentiments, Nos Réflexions … Sommes-nous Tous Responsables ?

La ou Les réponses se cachent probablement au fond de « Notre Conscience » …

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Une grande réflexion s’impose, mais surtout un changement radical de politique et surtout d’informations « vraies » pour éduquer nos français à la réalité.

Avec une dette estimée à 2788 Milliard d’euros fin 2020, soit 115 % du PIB ? Un déficit constant depuis 1975, la France n’est plus riche depuis longtemps comme beaucoup de français l’annoncent couramment.

Si nous retirions les 760 milliards d’aides sociales, (soit plus de 400 sortes d’aides, voir mon 6ème livre) une grande partie des français se retrouveraient moins bien que beaucoup d’africains !!!! Le pourcentage de pauvres éclaterait littéralement pour se situer proche ou égal à celui de la Roumanie !!!

A réfléchir et agir.


dimanche 26 juillet 2020

Google et les libéraux invoquent cette étude pour prouver que les masques en tissu fonctionnent, mais cela pose des problèmes ...

Dimanche 26 juillet 2020



Cette étude arrive en tête sur Google, mais pas sur Bing ou DuckDuckGo lorsque vous recherchez «quelle taille de particules les masques en tissu filtrent». Les 4 meilleurs résultats sur Google renvoient à cette étude. Donc, Google veut vraiment que vous le lisiez. Les libéraux vous y indiqueront souvent quand on discutera des masques obligatoires.

L'étude affirme que les masques faciaux, y compris certains tissus, filtrent les particules dans la petite gamme du virus covid-19. Selon le matériau, le taux de filtration est de 5% à 80% pour les particules de diamètre similaire au virus covid-19. Cela semble illogique car l'ouverture des masques en tissu est plus grande que les particules du virus covid-19. L'étude affirme que de nombreux masques en tissu ou en matériau hybride arrêteront les petites particules dues à l'électrostatique. J'ai trouvé plusieurs problèmes avec l'étude, qu'ils ont déjà été contraints de réviser une fois.

1. Ils n'ont pas testé le matériel en utilisant des particules virales réelles. Ils ont utilisé du sel.

Les particules d'aérosol sont générées à l'aide d'un générateur d'aérosol au chlorure de sodium (NaCl) commercial (TSI Particle Generator, modèle # 8026), produisant des particules de l'ordre de quelques dizaines de nanomètres à environ 10 µm.

Les atomes de sel sont naturellement ionisés. Je doute que les particules de covid-19 aient le même niveau d'ionisation, mais cela n'est pas abordé dans l'étude.

2. Ils ne vous indiquent pas le niveau d'humidité que j'ai pu trouver pendant le test. Tout le monde sait qu'une très faible humidité contribue à la charge électrostatique. Avez-vous déjà été choqué lors d'un baiser après avoir marché sur le tapis par une journée à faible humidité ? Cela ne se produit pas lorsque l'humidité est élevée.

3. Étant donné que votre haleine chaude et humide traverse le tissu, les masques en tissu vont rapidement perdre une grande partie de leur capacité de capture électrostatique. S'il fait chaud et que vous transpirez, le masque va être mouillé.

4. Ils ont essayé de simuler une fuite. Ils ont estimé une fuite de 0,5% ~ 2% autour du masque qu'ils ont simulée en forant des trous. C'est risible pour rien de moins qu'un masque N95. À l'heure actuelle, nous avons tous porté un masque en tissu et savons que la fuite est importante. L'air chaud et humide qui s'échappe est ce qui embrouille vos lunettes. De nombreuses personnes portent leurs masques de manière lâche pour améliorer leur capacité respiratoire. Ne me lancez pas dans les bandanas noués autour du visage ou les masques en tissu avec une soupape d'échappement. Ils sont risibles.

5. Ils ont uniquement testé à faible CFM pour simuler une respiration et une respiration régulières pendant l'exercice. Une respiration régulière expulse l'air à environ 7 mi / h. La toux peut atteindre 50 mi / h et les éternuements peuvent atteindre 100 mi / h.

6. Les matériaux qu'ils ont vérifiés avaient tous un niveau de difficulté respiratoire d'un masque N95 ou plus ! Les experts orientent les gens vers des masques en tissu car ils sont plus faciles à respirer, mais ce n'est pas vrai si vous superposez les matériaux et / ou utilisez des tissages très serrés. Ils ont trouvé qu'un matériau de courtepointe avec une ouate de près de 1/4 de pouce d'épaisseur était très efficace. Aimeriez-vous essayer de respirer cela toute la journée ?

Voici un graphique montrant les différences de pression qu'ils ont testées égales ou étaient beaucoup plus élevées que les masques N95.

7. L'étude porte uniquement sur la filtration granulométrique par divers matériaux de masque. Cela ne tient pas compte du fait que les gens touchent beaucoup plus leur visage lorsqu'ils portent un masque et ne changent pas ou ne lavent pas le masque aussi souvent que recommandé.

8. C'était une étude en laboratoire, pas une étude du monde réel. Les masques réduisent-ils la propagation du covid-19 dans le monde réel ? Il existe de nombreux modèles qui prédisent qu'ils «peuvent» réduire la propagation, mais si vous n'êtes pas sceptique à l'égard des modèles à ce stade, je ne peux pas vous aider. Rappelez-vous quand les modèles ont affirmé que 2,5 millions d'Américains allaient mourir de covid-19 ? Les modèles ont également affirmé que l'Arctique serait maintenant libre de glace. Ce n'est pas.

Voici un article sur une étude de la réduction de l'infection à covid-19 en public à partir des masques obligatoires. Ils ont trouvé une énorme réduction de 2%. 

Les chercheurs ont déclaré que le port de masques faciaux en public réduisait le nombre quotidien de coronavirus de 2% à Washington, DC et dans les 15 États qui ont rendu obligatoire l'utilisation du masque facial par rapport aux États qui ne l'ont pas fait.

De nombreuses personnes pensent que le port obligatoire d'un masque est une violation de leurs droits. Les masques sont certainement un fardeau pour le public. Une réduction de 2% est presque statistiquement non significative. Laissez les personnes qui veulent porter des masques les porter et laissez le reste d'entre nous faire nos propres choix de santé.

DUEL - Dennis Weaver, Jacqueline Scott, Eddie Firestone


 


  (Steven Spielberg 1971)
https://www.youtube.com/watch?v=zY9J9ICpXew

samedi 25 juillet 2020

À 19 milliards d’euros, l’EPR est encore moins cher que l’éolien

Nous nous intéressons ici uniquement à l’investissement, l’évaluation des coûts complets se heurtant à l’opacité du secteur des ENR.


25 JUILLET 2020 
Par Michel Negynas.


La comparaison des coûts entre les différentes filières de production de l’électricité est un exercice quasi impossible. En effet, les filières éoliennes et solaires sont intermittentes et produisent de manière aléatoire (les syndicats de ces filières disent de manière prévisible, certes plus ou moins, mais aléatoires quand même.)

Et elles sont prioritaires sur les réseaux, qui doivent acheter leur production quelle que soit la situation. C’est ce qui permet aux media de clamer « qu’au premier semestre de cette année, les ENR ont produit plus que les fossiles pour la première fois. »

UN CONTEXTE PERVERTI

Lorsqu’on regarde les chiffres, on constate en effet que sur les 40 % affichés par les ENR, 18 % sont le fait de l’hydraulique, non subventionnée, elle, qu’il a fallu solliciter pour compenser la variabilité des autres ENR. Et on découvre que la « performance » est essentiellement due à la baisse drastique de la consommation pendant la pandémie : les fossiles et le nucléaire devant réglementairement s’effacer devant le solaire et l’éolien, il n’est pas étonnant qu’ils aient moins produit…

Les raisonnements sur ce sujet de l’énergie sont donc plein d’embûches : comment chiffrer l’avantage d’être prioritaire, le besoin de secours durant les intermittences ? Tout cela peut donner lieu à des débats sans fin. Nous nous intéressons ici uniquement à l’investissement, l’évaluation des coûts complets se heurtant à l’opacité du secteur des ENR et  aux difficultés signalées ci-dessus.

L’énormité des investissements qu’il faudra consacrer au renouvellement de notre parc nucléaire en fait reculer plus d’un. On s’offusque du coût faramineux de Flamanville et on a raison de déplorer ce fiasco. Mais que disent les chiffres ?

Dans un but de simplification, nous allons nous livrer à l’exercice suivant : comparer les coûts d’investissement de l’éolien et du nucléaire dans le cas de la fourniture d’électricité de base, c’est-à-dire en continu tout au long de l’année. Nous partirons d’une capacité à installer de 40GW, qui est à peu près ce dont nous avons besoin au  minimum en France en été, et d’une période de 60 ans, durée de vie d’un EPR.

PREMIERS CALCULS

Le coût de l’éolien terrestre est d’environ 1,5 million d’euros/MW (éoliennes modernes de 2 à 3 MW, les plus courantes chez nous) avec une capacité effective liée à l’intermittence (c’est-à-dire la capacité qu’il faut pour  remplacer une éolienne par une centrale classique) de 25 % de sa capacité nominale, soit donc un coût équivalent de 6 millions d’euros/MW effectif.

En fait, c’est un coût minoré, car les dispositifs de raccordement et de stabilisation, rendus nécessaires à cause des caractéristiques de la fourniture de ces ENR, sont à la charge du réseau.

La durée de vie nominale d’une éolienne est de 20 ans.

Il est probable que ce coût ne va pas fortement baisser. La technologie est maintenant mature. Certes, on va encore améliorer le rendement, mais on va équiper des sites de moins en moins venteux, et on ne pourra pas aller au gigantisme comme en éolien off shore, où on annonce des engins grands comme la tour Eiffel pour 14 MW.

Un EPR a une capacité de 1600 MW et, compte tenu de son taux de marche comprenant les pannes et arrêts pour maintenance, une capacité effective de 1400 MW effectif. Sa durée de vie nominale est de 60 ans.

Pour comparer les deux, il faut intégrer qu’on va construire trois fois l’éolienne pendant la durée de vie de l’EPR. On dépensera donc trois fois plus en éolien qu’avec un EPR, soit 18 millions d’euros/MW effectif.

On voit qu’on peut donc dépenser jusqu’à 25 milliards d’euros pour un EPR sans dépasser le coût au MW effectif de l’éolien !

Le coût estimé par EDF d’une série de 6 EPR dans une situation « normale » (c’est-à-dire avec EDF en vrai maître d’œuvre, des aciéries sachant élaborer de l’acier et des soudeurs sachant souder et une stabilité des normes de sécurité) est de 7,5 milliards. Ce chiffre est crédible, les EPR chinois ont coûté 6 milliards d’euros. Pour remplacer le parc actuel, à 40 GW, il faudra 29 EPR, soit 217 milliards. C’est énorme et ça fait peur car c’est massif.

Mais pour avoir l’équivalent en éolien, sur 60 ans, il faudrait 720 milliards répartis en trois vagues… et installer 160 GW soit 53 000 éoliennes de 3MW. Certes, l’investissement éolien est plus étalé dans le temps que le nucléaire, la comparaison doit se faire entre montants actualisés.  Mais la différence est telle que cela ne change rien au raisonnement.

MAIS CE CALCUL N’EST PAS CORRECT

Il raisonne en capacité de fournir une énergie équivalente produite annuellement. Sauf que pour l’éolien, la différence c’est qu’on n’a pas toujours cette énergie au moment où on en a besoin. Pour alimenter le réseau il faut donc stocker quand il n’y a pas de vent. Et stocker une quantité énorme d’énergie pendant des temps longs : il est arrivé qu’il y ait trois semaines consécutives sans vent sur toute l’Europe.

Il faut donc évaluer les coûts d’investissement des moyens de stockage associés. C’est un exercice délicat, car il n’existe pas encore vraiment de technologie crédible à hauteur des volumes et du temps de stockage en jeu. À ce jour, et probablement définitivement, seuls le pompage et la fabrication de gaz hydrogène ou méthane semblent physiquement envisageables. Le pompage (les STEP) est actuellement de loin le moins cher et le seul opérationnel. Mais les ordres de grandeur sont effrayants.

Par exemple, pour subvenir aux besoins, il faudrait transformer quasiment toute la région Auvergne en deux lacs de retenue ! Les estimations (EDF) chiffrent l’investissement d’une STEP entre 0,5 et 2 millions d’euros/MW, mais c’est pour des installations plus modestes.

Pour profiter des vents forts, il faut installer 160 GW (capacité éolienne) moins 40 GW (fournis directement au réseau), soit 120 GW de stockage. Ce problème est d’ailleurs général pour des équipements installés en aval des énergies intermittentes : l’investissement n’est utilisé qu’à 25% de ses capacités. C’est pour cela, entre autres, que ce serait une gabegie d’installer des électrolyseurs alimentés uniquement par des ENR intermittentes.

Si on table sur un milliard d’euros par MW d’installation, cela fait 120 milliards à ajouter si la durée de vie de l’installation est de 60 ans. Et pour l’instant, on ne voit pas comment réaliser physiquement un tel investissement, pour des raisons sociales et environnementales.

Cela se complique… 

Car le stockage a un rendement qui n’est pas égal à un ! Dans le cas des STEP, c’est 80 %. Dans le cas du stockage de gaz, ce serait au mieux de 30 à 50 %… Le compte n’y est pas. Supposons que la part de l’énergie équivalente fournie pour le stockage soit égale à l’énergie fournie en direct, dans le cas des STEPS il faut 10 % d’éoliennes en plus, et dans le cas du stockage gaz,  au moins 25 %.

L’ADDITION FINALE

Pour constituer une capacité de base de 40 GW en éolien équivalente à celle qu’on aurait avec du nucléaire, ceci  sur 60 ans, il faut :

920 milliards d’euros pour l’éolien avec stockage en STEP dans une estimation très optimiste et une faisabilité très problématique ou
217 milliards d’euros pour le nucléaire type EPR dont deux exemplaires produisent déjà en Chine.
Évidemment, sur 60 ans, les coûts peuvent évoluer, des ruptures technologiques peuvent nous surprendre… mais c’est vrai pour les deux filières.

On pourrait faire le même calcul pour le solaire : ce serait pire car même à coût du MW identique, le taux  de capacité équivalente du solaire est de 11 %, contre 25 % pour l’éolien.

vendredi 24 juillet 2020

Un scientifique canadien brise le silence sur l'esbroufe du covid-19


Robert Bibeau
Les 7 du Québec
mer., 15 juil. 2020 23:34 UTC


Les gouvernements des riches s'emmêlent et s'entremêlent dans la toile de mensonges qu'ils ont tissés à partir des supputations de l'OMS, d'entreprises pharmaceutiques milliardaires et d'universitaires stipendiés... non sans l'appui de la petite bourgeoisie - chien de garde du système déclinant. 

Heureusement, l'imposition du confinement policier meurtrier a motivé certains scientifiques à briser le silence de connivence et à prendre la parole pour démasquer cette frauduleuse pandémie et les ridicules simagrées de distanciation sociale (sic). 

Comme ce chercheur canadien l'affirme, nous pensons que c'est dans l'adversité qu'il faut se regrouper et resserrer nos liens sociaux solidaires. Merci à Denis Rancourt pour son courage.

-- Commentaire : Voir aussi de Denis Rancourt :
La science est concluante : les masques n'empêchent PAS la transmission des virus
Covid-19 — Les masques et les « gestes barrières » sont inutiles selon le Prof. Denis Rancourt --


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à 18:00
Son jugement sur la nocivité du glyphosate n'est pas scientifique.

MICROBIOLOGIE: Une très curieuse culture


Une pharmacienne clinique espagnole, chef d'un laboratoire médicale, décide de faire une expérience inédite motivée par le témoignage d'une amie, laquelle était tombé malade d'une rhino-pharyngite après avoir été exposée à l'utilisation du masque, censé de nous protéger et de protéger les autres...

Voir référence: Marisa García Alonso
https://congreso.senmo.org/index.php/...