- ENTREE de SECOURS -



vendredi 31 août 2018

Des cas de bilharziose en Corse

le 31 août 2018


D’aucuns diront tout de suite que c’est à cause du réchauffement climatique : des cas de bilharziose ont été identifiés en Corse dans la rivière Cavu. Plusieurs dizaines de personnes, tant de France que d’Allemagne, qui n’ont pourtant jamais mis les pieds dans un pays tropical ont été diagnostiquées infectées par le ver plat schistosome avec l’aide d’un spécialiste français des maladies tropicales, le Docteur Jérome Boissier de l’Université de Perpignan. Le climat en Corse n’a rien à voir avec celui du Sénégal ou du Cameroun, des pays où cette maladie parasitaire est endémique et pas seulement en Afrique. L’OMS estime que plus de 230 millions de personnes sont infectées, le schistosome étant le parasite le plus répandu dans le monde après celui de la malaria.

L’équipe du Docteur Boissier a réalisé une véritable enquête policière avec tests ADN à l’appui pour comprendre pour quelle raison ce parasite était présent dans cette rivière mais également d’autres rivières de Corse. La bilharziose affecte presque tous les mammifères et son hôte intermédiaire est un petit escargot d’eau douce et effectivement des petits escargots (Bulinus truncatus) ont été trouvés dans la rivière Cavu. Les tests ADN ont montré que le schistosome présent chez les malades était en fait un hybride de S. haematobiotum, qui infecte normalement les humains, et de S. bovis qui infecte les bovins et qui avait déjà été identifié au Sénégal en 2008. L’équipe du Docteur Boissier a montré en outre que cet escargot ne pouvait être l’hôte ni du S. haematobiotum ni du S. bovis mais acceptait parfaitement l’hybride.



Après avoir terminé la séquence complète de l’ADN de ce ver hybride il est apparu que cet ADN était composé pour les trois quarts de celui du ver qui affecte les humains et le reste provenait du ver affectant les bovins. Mais la structure de l’ADN lui-même excluait une hybridation récente et celle-ci devait être le résultat de nombreuses générations. De telles hybridations ont été décrites chez d’autres vers parasites par le passé mais il est probable qu’elles sont largement sous-estimées. Toujours est-il que la provenance des cas décrits et identifiés comme provenant de la rivière Cavu est probablement le Sénégal où un vacancier infesté dans ce pays a uriné dans la rivière et par un effet du hasard la présence de l’escargot et le fait que le schistosome est un hybride accepté par cet escargot particulier a fait le reste. Il n’y a donc pas lieu d’incriminer un réchauffement du climat.

Source : http://dx.doi.org/101101/387969 et aussi sur ce blog :


jeudi 30 août 2018

10 inepties populaires sur les OGM

Retour sur les contre-vérités colportées sur les OGM qui se sont transformées en vérités médiatiques.

Par Marcel Kuntz.
31 AOÛT 2018


1. LES OGM SONT DÉFINIS RÉGLEMENTAIREMENT

La première n’est pas à proprement parler une contre-vérité, plutôt l’illustration de l’imagination sans borne de l’Union européenne lorsqu’il s’agit de pondre des réglementations aussi absurdes que contre-productives. En 1990, les États-membres ont ainsi créé le concept d’OGM.

La Directive définit par la loi ce qu’est une modification génétique et ce qui ne l’est pas (mais qui l’est quand même scientifiquement), tout en exonérant de la réglementation des modifications génétiques qu’elle reconnait comme telles plus haut dans le texte de la Directive.

Il reste donc au final une technique, la plus récente à l’époque (la transgénèse), sur laquelle pèsera, sans preuve d’une quelconque nécessité scientifique, des contraintes d’évaluations lourdes et coûteuses. Il faut garder en mémoire pour ce qui suit qu’un OGM est défini réglementairement par une méthode d’obtention dudit organisme et non par ses propriétés, ce qui serait plus pertinent.

2. LES OGM SONT STÉRILES

La meilleure illustration de « la post-vérité » sur les OGM est l’allégation qu’ils seraient stériles. Ce mythe provient d’une extrapolation abusive : des brevets décrivent effectivement des concepts pour produire des graines stériles. Mais sur le terrain, aucune variété de plante dans cette catégorie réglementaire des OGM n’est stérile.

3. LES OGM SONT ENVAHISSANTS

La « post-vérité » n’a pas besoin d’être cohérente : ainsi ces allégations de stérilité sont en contradiction manifeste avec d’autres affirmant que les OGM vont se disséminer partout. Alors, « stériles » ou « envahissants », il faut choisir ! En fait, ce n’est ni l’un ni l’autre.

4. LES OGM INTERDISENT L’AGRICULTEUR DE SEMER LE GRAIN RÉCOLTÉ

L’agriculteur n’aurait plus le droit de re-semer une partie de sa récolte à cause des brevets. Cet argument a permis aux opposants de mobiliser une partie de la société civile contre les OGM, sur le thème d’une « appropriation » des semences, voire d’un « contrôle sur notre alimentation ». Pourtant c’est un mensonge : la législation européenne sur les brevets concernant les inventions biotechnologiques permet à l’agriculteur de produire des semences de ferme pour son propre usage (voir la Directive Européenne 98/44/EC et l’article 14 du règlement (CE) n° 2100/94).

5. L’AGRICULTEUR DOIT PAYER DES ROYALTIES SI DES TRACES D’OGM SONT DÉTECTÉES DANS SON CHAMP

Bobard apparenté au précédent, un agriculteur pourrait être contraint de payer alors que l’OGM est arrivé par hasard dans son champ. En réalité, aucun agriculteur, dans aucun pays, n’a à payer de royalties si des traces d’OGM sont détectées dans son champ, par exemple à la suite d’une pollinisation fortuite d’un champ voisin. Ce mythe a été construit autour de l’agriculteur canadien Percy Schmeiser.

Les lobbies anti-OGM ont ici habilement exploité le thème de David (le « gentil petit agriculteur ») face à Goliath (la « méchante grande multinationale ») à la suite d’un procès intenté par Monsanto à cet agriculteur. En réalité la justice canadienne a établi qu’il y a eu des actes délibérés de l’agriculteur pour s’approprier des semences sans s’acquitter des royalties selon la réglementation canadienne.

6. LES OGM SONT UN ÉCHEC : LEURS RENDEMENTS NE SONT PAS MEILLEURS

Il faut d’abord noter qu’aucun de ces organismes n’a été amélioré pour augmenter les rendements, mais plutôt pour éviter des pertes de rendements (dues à des insectes ravageurs ou à des mauvaises herbes). La réalité est que environ 18 millions de fermiers dans 26 pays (dont 19 pays en développement) ont choisi des OGM, là où ils étaient libres de le faire (ce qui n’est pas le cas dans la plupart des pays européens).

7. DES RAPPORTS DÉMONTRENT DES EFFETS TOXIQUES DANS L’ALIMENTATION

Si cela était le cas, sachant que de nombreux pays utilisent des OGM pour nourrir leur bétail depuis 1996, cela aurait été constaté par les éleveurs et les vétérinaires.

Il suffit pour se rendre compte des manipulations sur ce sujet d’examiner les photographies propagées par le chercheur-militant Séralini en septembre 2012 : chacun a vu sur internet ces photos de rats affligés de tumeurs monstrueuses. Est-ce la preuve ? Regardons de plus près les photos : un rat avait mangé un OGM, l’autre bu un herbicide et le troisième mangé l’OGM ET bu le produit chimique (pendant 2 ans). Oui, mais où est le rat témoin (sans consommation d’OGM et sans avoir bu l’herbicide) ? Il n’est jamais montré, et pour cause : il avait aussi des tumeurs, tout simplement parce que les rats de cette race développent fréquemment des tumeurs lorsqu’ils sont âgés.

8. LES OGM AFFECTENT « LA BIODIVERSITÉ »

En réalité, il faut distinguer cas par cas.

Certains organismes (comme le maïs MON810 qui a obtenu une autorisation européenne en 1998) ont été améliorés pour produire eux-mêmes une protéine aux effets extrêmement spécifiques contre certains insectes ravageurs. Le même principe actif combat également des insectes nuisibles, en agriculture (biologique) et jardinage, cette fois par épandage. Et cela depuis des décennies ! Sans problème constaté !

9. DES SUPER-MAUVAISES HERBES SONT APPARUES

En fait, si on utilise année après année le même herbicide (ou tout autre produit), les organismes visés deviennent résistants. Rien de nouveau, ni spécifique aux OGM. Cela est le cas pour tous les herbicides utilisés. Le problème vient d’une mauvaise gestion agronomique de ces phénomènes (cela peut exister), pas du fait d’être ou pas dans la catégorie juridique des OGM.

10. LES OGM SONT INSUFFISAMMENT ÉTUDIÉS OU UNIQUEMENT PAR LES INDUSTRIELS

En réalité, les évaluations imposées par la réglementation européenne sont disproportionnées par rapport aux risques réels (très faibles et de même nature que ceux des autres méthodes d’amélioration des plantes non soumises à de telles évaluations). Elles continuent à être alourdies sans raison scientifique.

Indépendamment des industriels, la recherche publique, dans de nombreux pays (y compris la Pologne), a réalisé des études dans tous les domaines (santé et environnement). Il en existe des milliers. On peut citer les études toxicologiques du projet européen GRACE ou encore du projet G-TwYST (qui ont notamment répété les expériences de Séralini et collègues, en les infirmant). Les études sérieuses ne justifient aucun alarmisme.

Il n’existe aucun organisme scientifique digne de ce nom qui confirme les allégations sur les risques des opposants.

Ce qui devrait nous inquiéter ce n’est pas la catégorie réglementaire des OGM, mais que des mensonges maintes fois répétés puissent devenir vérité médiatique en démocratie…


En attendant les sanctions extraterrestres...

Chaque personne au monde a connu - dès sa prime-jeunesse - un état d'auto-suffisance. C'est 'le bon-vouloir-de-sa-fortune' ou appelé 'budget' voire 'plein ou rien dans les poches !'. Comment et pourquoi le clochard peut-il vivre ?! Parce que premièrement: il ne paie pas d'impôt (ou si peu au travers de la TVA pour acheter son pain ou son litre de rouge), et, deuxièmement, comme dans d'autres pays pauvres: il a appris à faire avec !

Et, c'est pour tout le monde pareil !

Né(e) avec ou sans une cuillère en argent enfoncée dans le cul, ils ou elles ont appris à vivre avec ce que l'on a. Remarquez bien que dans le 'on a' il y a le contribuable. Et, LUI SEUL fait vivre (comme les paysans) le monde entier !

Car, dès lors qu'émerge le progrès avec l'invention de la voiture, arrive tout de suite une 'vignette pour les vieux' (collée au pare-brise), mais, comme cette obole ne suffisait pas, le détournement de l'argent (parce que les vieux n'ONT RIEN EU !) a continué sous la forme d'un autre mensonge (escroquerie) appelé: 'Le Choc Pétrolier' !

Ââh ! Ce 'choc pétrolier' !! (de 73/puis 79, 2008) il a bon dos ! Bon dos car: les pays producteurs n'ONT RIEN REÇU ! (ou presque ou sinon des bombes !). Explicationné par 'guerre', 'trouble', 'pénurie aux derricks' ou 'démangeaisons au trou de cul' !

Pensez donc qu'en  1990 'Guerre du golfe', au bon temps de Saddam Hussein, le litre de pétrole à la pompe de Bagdad coûtait la modique somme de 0,5 centime de franc ! Soit: 200 litres pour 1 franc (15 centimes d'€) !! Et que, comme la décantation se fait toute seule, seul le prix du transport pouvait en justifier le coût !
Or, à moins de 50 centimes d'euro la tonne transportée sur 1000 kilomètres, pas de quoi monter le prix à la pompe de plus de 1 centime !
Mais alors... où est allé l'argent ?? Devinez !


Si vous aviez été en Démocratie, vous en auriez reçu les émoluments; mais, comme la république (le mot évoque déjà à quoi s'attendre !) est une dictature: l'argent, VOTRE argent est détourné vers le grand feu de joie ! Car, l'argent (qui vaut que dalle !) n'est retiré des mains du Peuple QUE pour le ruiner et le conserver pauvre et non pour les riches qui s'en fabrique à la photocopieuse (planche-à-billets) voire - comme aujourd'hui - en laissant son doigt appuyé sur la touche zéro de son clavier pour gonfler son compte.

C'est tout l'art d'être riche ou pauvre. Remarquez que dernièrement a été évoqué la possibilité de supprimer les billets de banque ! Pourquoi ? Non pas parce que cela permettrait de faire travailler des gens 'au noir' (car, ces travailleurs non déclarés, dépensent leur argent comme les autres !!! et paient donc autant de TVA que les autres ! D'où le retour INTÉGRAL de l'argent gagné !), mais seulement pour en priver les riches d'en avoir !

Et toc ! 

Car: comme 'tout l'or du monde' représente un cube de 20,50 m d'arête, nul ne peut en avoir autant aujourd'hui ! et donc de se contenter d'acheter (placement ? Hahahaha !) de l'or-papier ! ou de la ferraille. D'où l'incertitude d'être riche un jour et de le demeurer !! Car, dans la rubrique du 'dans quoi investir ?' il n'y a d'autre fortune que celle des armes !

Car, ce sont elles qui gouvernent le monde et non la loi ou le 'Peuple'. Depuis toujours et pour toujours.

mardi 28 août 2018

Le béret vert à la retraite: le virus Ebola du Congo était-il un casse-tête dans la jungle ?

par Tyler Durden
Lun, 08/27/2018 - 23:00

Auteur: Jeremiah Johnson (Nom de plume d'un béret vert à la retraite des forces spéciales de l'armée américaine) via SHTFplan.com,


La théorie malthusienne considère que la dépopulation (ou croissance démographique nulle) est une nécessité pour contrôler une espèce (à savoir l'humanité) qui reproduit et consomme des ressources naturelles sans limites. Il s’agit d’un mantra du "Nouvel Âge" adopté au début par les communistes dès Marx et Lénine. Le bal a été porté successivement par Edward House et Woodrow Wilson et exacerbé par de tels "gemmes" comme Kissinger, Bill Gates, Al Gore, etc. Une grande partie du public et de presque tous les jeunes (un sondage récent a montré que les jeunes préféraient le socialisme au capitalisme) est tombé sous le coup de ce mantra.

Le «problème» pour eux est de savoir comment avancer rapidement: la guerre est une réponse et la maladie en est une autre.

Il y a eu une autre épidémie d'Ebola au Congo, avec l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) estime que 1500 personnes ont été exposées. Le Daily Mail a un bon article à ce sujet qui a été publié le 17/08/18, intitulé à cet effet. C'est une bonne lecture, car elle résume avec brièveté les paramètres de la maladie elle-même.

C'est ainsi qu'ils "préparent le terrain" pour ce "malheur" prévu lié à la récente épidémie. Lisez cet extrait très attentivement pour voir l'agenda caché:

L'Organisation mondiale de la santé a déclaré vendredi [17/08/18] qu'au moins 1 500 personnes avaient potentiellement été exposées au virus Ebola dans la région du Nord-Kivu en République démocratique du Congo, où la peur des milices locales zones. Mais on s'attend à ce que plus de personnes soient infectées et ne soient pas sûres d’avoir identifié toutes les chaînes par lesquelles le virus se propage dans l’est du pays, où sévissent des milices violentes. La région est particulièrement hantée par les forces de défense alliées, un groupe rebelle islamiste ougandais accusé de centaines de morts de civils au cours des quatre dernières années.

Maintenant, c'est le scénario: les vaillants médecins et les travailleurs humanitaires sont incapables de briser le flot et la transmission de la maladie à cause de ces rebelles rebelles islamistes ... la milice, pour être précis. En outre, n'oubliez pas d'attendre "plus de personnes à être infectées !" Nous avons eu plus que quelques craintes au cours des deux dernières années avec des précautions élaborées pour transporter les patients infectés par Ebola aux États-Unis pour un traitement: une action absurde la possibilité d'une libération dans ce pays.

Quand ces patients étaient là, pensez-vous que Ft. Detrick, Maryland, où se trouve le principal centre de recherche américain sur les armes biologiques ... pensez-vous qu’ils ont reçu des échantillons de sang de ces patients ?

Vous avez misé votre dollar le plus bas qu'ils ont fait. Lisez "The Hot Zone" et "Devil in the Freezer", qui traitent des événements avec des maladies telles que Ebola et Anthrax respectivement concernant les rejets accidentels et les protocoles des nations concernant la guerre biologique. Il y a quelques années, ils ont ressuscité des virus gelés dans la région arctique, au milieu des protestations de plusieurs scientifiques qui (avant d'être «muselés») se sont disputés sur la létalité potentielle de ces virus, même s'ils n'étaient pas armés. Peu importe. La variole a été éradiquée sauf par les gouvernements et leurs installations de stockage en laboratoire: la guerre biologique et toutes ses recherches, traitements, tests et médicaments associés (soutenus par des sociétés pharmaceutiques) sont des affaires importantes.

En ce qui concerne Ebola, un documentaire intitulé "Ebola: les combattants de la peste" a été publié en 1996 par NOVA. Ce film, très bien réalisé, montre une épidémie d’Ebola au Zaïre en mai 1995 et des conditions médicales presque inexistantes. les actions inefficaces des médecins étrangers et des travailleurs humanitaires. Au Congo, de telles conditions sordides et primitives, le manque d’installations et le traitement inefficace sont pratiquement inchangés depuis vingt ans, comme le montre le documentaire au Zaïre.

Si un gouvernement veut le libérer, la maladie (en l’occurrence Ebola) n’est toujours pas aussi meurtrière qu’elle en a besoin. Rassurez-vous, ils travaillent tous à régler ces problèmes afin de suivre le plan qui a pris naissance avec Thomas Malthus. Nous assistons à une expérience de laboratoire contrôlée en Chine concernant la surveillance: un système de surveillance totale qui sera testé sur leurs citoyens, puis adopté (et adapté) par d'autres pays pour être utilisé par leurs propres citoyens.

Les conditions sont parfaites pour ce type de «laboratoire», car la Chine est un pays communiste contrôlé et la technologie est suffisamment élevée pour être perfectionnée, car la société est déjà conforme et soumise à un contrôle gouvernemental complet. Ce type de "laboratoire" ne serait pas réalisable dans les pays africains où l'électricité et l'eau courante sont rares et ne peuvent pas supporter toutes les infrastructures nécessaires à l'état du réseau de surveillance en Chine.

Pour tester les armes biologiques, les pays africains (en particulier ceux du Congo et du Zaïre) sont parfaits pour libérer des virus créés et d’autres armes biologiques sur mesure. Son farfelu ? Considérez les rejets de Bacillus subtilis par le gouvernement américain pour "tester" la propagation de micro-organismes dans les installations civiles de transport en commun telles que les métros et les bus il ya quelques années seulement. Considérez toutes les fois que le gouvernement a testé des armes nucléaires et biologiques sur des soldats et des civils.

L'Afrique est parfaite pour qu'ils prennent les maladies existantes et les structurent pour encore plus de létalité. Lorsque le moment est venu, les quarantaines pourraient être inefficaces et permettre aux passagers infectés de prendre place à bord d’un avion et de propager la maladie au cours de leur voyage. Ou ils pourraient simplement transporter un patient infecté et permettre à la maladie de s'échapper de la quarantaine et du verrouillage contrôlé.

Si vous doutez de ce potentiel, il vous suffit de lire à propos de la croyance de Bill Gates et de sa charmante épouse dans la dépopulation comme moyen de "réparer" la planète. Il s’agit du même Bill Gates qui, avec un consortium d’entreprises d’investissement et de start-up technologiques, envisage de placer 500 satellites en orbite pour permettre le suivi en temps réel de chaque centimètre de la surface du globe… été.

Le virus Ebola est une maladie grave, mais ce qui est encore plus mortel et grave, c’est le groupe de personnes et les intérêts financiers qui souhaitent former un gouvernement mondial. Ils ont les relations politiques, l’argent et les alliances pour modifier efficacement chaque facette d’une nation et même la détruire militairement. Aucune action haineuse n'est hors de leur portée. Ironiquement, tous ces gens… tous… croient que le dépeuplement est le seul moyen d’accomplir efficacement cette gouvernance mondiale «utopique».

Ces oligarques et contrôleurs considèrent que ceux qui ne sont pas en leur compagnie et de leurs semblables sont moins que des insectes à écraser et, tout au plus, sont leurs esclaves et leurs serviteurs. La dépopulation est leur objectif, et une maladie mortelle le permettrait sans faute. Cette épidémie d'Ebola est plus probablement un "incident planifié" dans un laboratoire avec des êtres humains comme sujets d'essai. Les résultats de ces expériences pourraient éventuellement être utilisés contre des populations sans méfiance pour atteindre l'état final de la règle mondiale, moins quelques milliards de vies.

lundi 27 août 2018

La face cachée d’Amazon : Inquiétant !

le 27 août 2018


Inutile de disserter sur l’activité d’Amazon communément appelée « e-commerce » que tout le monde connaît. En quelques chiffres concernant seulement les USA Amazon détient 49 % de toutes les activités de e-commerce loin devant eBay (6,6 %) ou Apple avec seulement 3,9 % et c’est à peu près la même situation en Europe ou au Japon. Cette activité d’Amazon comprend les ventes directes et celles d’autres sociétés qui utilisent Amazon comme plateforme. C’est dans cette dernière catégorie représentant 69 % de toute l’activité de ventes qu’Amazon réaliserait le plus de profits apparents.

En réalité ce n’est pas le cas car Amazon est aussi leader mondial dans le domaine de ce qui est appelé en anglais le « Web Service ». Les services offerts par Amazon dans ce secteur, via sa filiale Alexa, comprennent le « Cloud », les offres vidéo et les objets connectés.


Ce positionnement nouveau d’Amazon peut être considéré comme inquiétant car cette société contrôle déja 33 % de l’infrastructure du Cloud loin devant Microsoft, 13 %, et Google, 6 %. Enfin l’autre aspect inquiétant de cet état de choses est que les technologies de l’information et du commerce en ligne sont dominées par des entreprises nord-américaines et il ne fait aucun doute qu’il existe une porosité entre toutes ces entreprises et les services de renseignements américains quand on sait que par exemple le Pentagone va finaliser en septembre prochain un accord pluriannuel de 10 milliards de dollars avec Amazon Web Services (AWS) détronant ainsi Azure de Microsoft, Google-Cloud et SmartCloud d’IBM. Ce contrat est appelé JEDI, acronyme de Joint Enterprise Defense Infrastructure, ça ne s’invente pas et ce n’est pas de la fiction …

samedi 25 août 2018

Une démonstration de taekwondo à couper le souffle impressionne la Toile

https://fr.sputniknews.com/sports/201808251037811611-demonstration-taekwondo-reaction-toile/

Mais où est passé le « réchauffement climatique » ?

le 25 août 2018


En reprenant les données de l’Agence Météorologique Japonaise (JMA) Kirye (@Kirye.net), excluant toutes les stations météo japonaises situées dans des zones urbaines ou sub-urbaines, a pu montrer clairement que depuis 1997 il n’y a pas eu de réchauffement appréciable ! C’est bien dérangeant pour les politiciens et les groupes de pression écologistes qui veulent que les pays occidentaux – au moins – décarbonent leurs économies au pas de course – pour sauver le climat – quitte à provoquer des crises économiques sans précédent dans l’histoire. Sans précédent en effet car toute cette histoire ubuesque de réchauffement ou de changement climatique n’est fondée que sur des informations entièrement truquées qui ont été littéralement imposées aux dirigeants par cet appendice idéologique de l’ONU qu’est l’IPCC.

À l’heure où l’on parle de « fake news » dont la meilleurs traduction en français est « nouvelles mensongères » il en est une dont personne ne parle ou n’est autorisé à mentionner c’est bien le réchauffement climatique qui n’a pas eu lieu depuis 1997 et qui n’aura probablement pas lieu avant la fin du XXIe siècle …

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Les données des stations météo japonaises situées en zone rurale (première illustration) ont montré par exemple pour quatre d’entre elles (illustration ci-dessus) la tendance générale de l’évolution des températures moyennes même si ce type d’approche consistant à réaliser des moyennes de températures peut être contesté. Mis à part les épisodes El Nino de 2004 et 2016 cette évolution est désespérément plate depuis 20 ans. Cherchez l’erreur !

Source et illustrations : https://twitter.com/Kirye.net via le blog NoTricksZone de Pierre Gosselin.

jeudi 23 août 2018

Alors que le riche troupeau atteint les principales villes des deux côtes, la pauvreté et le suicide augmentent dans les zones rurales

par Tyler Durden
Jeu, 23/08/2018 - 13:47
Auteur de Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,


L'Amérique devient de plus en plus une nation divisée.

Ceux qui ont de l’argent affluent vers les grandes villes des deux côtes, tandis que bon nombre de ceux qui ne fuient pas s’enfuient vers les zones rurales.
En conséquence, les conditions économiques peuvent être très différentes selon l'endroit où vous vivez. Dans les grandes villes des côtes est et ouest qui ont été fortement "embourgeoisées", les temps peuvent sembler meilleurs. Alternativement, il y a certaines régions de l'Amérique rurale où on a l'impression d'être au cœur d'une horrible dépression économique qui ne semble jamais se terminer. Certains élitistes qualifient de façon dérisoire les zones rurales situées entre les côtes est et ouest et ont peu de sympathie pour les luttes des Américains ruraux. Mais ces luttes sont bien réelles et vous verrez dans cet article que les taux de pauvreté et de suicide montent en flèche dans les régions non urbaines du pays.

Une nouvelle étude qui vient d’être publiée contient des données concrètes sur le "tri des revenus" à l’échelle nationale. Selon CBS News, l’étude a révélé que ceux qui s’installent dans des villes chères gagnent beaucoup plus d’argent que ceux qui partent, et que ceux qui s’installent dans des villes plus pauvres gagnent beaucoup moins que ceux qui partent pour des pâturages plus verts…

Selon une nouvelle étude, les ménages fortunés des États-Unis s’installent de plus en plus dans les villes côtières des deux côtés du pays, mais ceux qui ont des revenus plus modestes sont soit en train de déménager, soit d’être poussés dans la ceinture de rouille du pays.

Cela crée un «tri des revenus» à travers le pays, avec des villes chères comme Los Angeles, New York et Seattle attirant des résidents plus riches. Par exemple, les Américains qui déménagent à San Francisco gagnent près de 13 000 dollars de plus que ceux qui déménagent, selon l’étude. À l’inverse, ceux qui s’installent dans des villes intérieures moins chères, comme Detroit ou Pittsburgh, gagnent jusqu’à 5 000 $ de moins que ceux qui partent.


L'une des conséquences de ce phénomène est que les prix de l'immobilier sont extrêmement différents selon l'endroit où vous habitez. Alors que les riches ont progressivement migré vers des villes chères telles que New York et San Francisco, les prix des logements sont tombés dans la stratosphère ...

La tendance risque non seulement de nuire aux résidents les plus démunis qui sont expulsés, mais aussi aux riches Américains qui déménagent dans les villes côtières. Les résidents aisés qui déménagent dans des villes déjà chères comme San Francisco font grimper les prix de l'immobilier jusqu'à ce que la propriété devienne inabordable pour toutes les familles sauf les plus riches. Beaucoup finissent par louer - jusqu'à ce que cela aussi devienne inabordable.

La bulle immobilière californienne a atteint des sommets vertigineux ces dernières années. Plus tôt dans la journée, je suis tombé sur un article sur un éleveur du comté de Marin qui, à contrecœur, a décidé de vendre son ranch, et il semblait plutôt triste.

Alors, qu'est-ce qui l'a poussé à déclencher ?

Eh bien, le ranch qu'il a déjà payé 40 000 $ vaut maintenant 5 millions de dollars ...

Mark Pasternak est un éleveur basé à Marin County qui produit des produits de viande de spécialité pour les acheteurs locaux et certains des restaurants les plus toniques de la région de la baie. En 1971, il acheta son Ranch de 75 acres (30,35 ha) à Devil's Gulch, dans le comté de Marin, dans l’ouest du comté de Marin, pour 550 dollars l’acre (4046,85 m²). La ferme est un élément incontournable de la communauté locale, ce qui a choqué beaucoup lorsque Pasternak a annoncé la vente du ranch.

Il a dit qu'il vendait en raison du saut de valeur. La terre autour de lui a déjà été récupérée par des gens fortunés pour des ranchs privés avec de grandes maisons. La propriété que Pasternak a été achetée pour moins de 40 000 dollars pour revendue environ 5 millions de dollars.

Pendant ce temps, les choses continuent de s’aggraver dans de nombreuses régions rurales du pays.

Selon le Département américain de l’agriculture, près d’un enfant sur quatre en Amérique rurale vit dans la pauvreté ...

Selon les estimations du Département américain de l’agriculture, près d’un quart des enfants qui ont grandi en Amérique rurale étaient pauvres en 2016, contre un peu plus de 20 % dans les zones urbaines.

Selon le rapport, c'était un État du sud-ouest, l'Arizona, qui affichait le taux le plus élevé d'enfants ruraux, avec 36 %.

Sans surprise, le rapport a trouvé les plus fortes concentrations de pauvreté chez les enfants, dans l'ensemble, dans le Delta du Mississippi, les Appalaches et les réserves amérindiennes.

De nos jours, la plupart des bons emplois sont concentrés dans les grandes villes. Les petites entreprises et les exploitations familiales ont toujours été le moteur des communautés rurales, mais notre «économie moderne» n’a pas été favorable aux petites entreprises et aux exploitations familiales.

En Amérique rurale, les temps sont durs, et c'est l'une des raisons pour lesquelles le taux de suicide est beaucoup plus élevé dans les zones rurales que dans les grandes villes. Ce qui suit vient de CNN ...


Le taux de suicide en Amérique rurale est 45 % plus élevé que dans les grandes zones urbaines, selon une étude publiée l'automne dernier par les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis. Un rapport plus récent du CDC indique que le taux de suicide au Montana est le plus élevé au pays, atteignant presque le double de la moyenne nationale. Une troisième étude CDC, actuellement à l'étude, en cours de révision, a répertorié l'agriculture dans le groupe professionnel, avec la pêche et la foresterie, avec le taux le plus élevé de décès par suicide.

Selon Jennifer Fahy, directrice de la communication pour Farm Aid, organisation à but non lucratif, cette étude professionnelle reposait sur les données de 2012, alors que l’agriculture était forte et qu’elle atteignait son apogée en 2013. Le revenu net des agriculteurs a chuté de 50 % depuis 2013 et devrait atteindre son plus bas niveau en 12 ans cette année, selon le Département américain de l'agriculture.

Si les choses vont mal maintenant, à quoi cela ressemblera-t-il lorsque les conditions économiques commenceront à se détériorer ?

Nous vivons à une époque où le fossé entre les riches et les pauvres explose, ce qui pèse énormément sur notre société. À une certaine époque, les riches vivaient dans les «bons» quartiers de nos grandes villes et les pauvres vivaient dans les «quartiers défavorisés», mais les pauvres sont maintenant complètement chassés de nos villes chères à grande échelle.

C'est certainement une histoire de deux Amériques, et je ne pense pas que cela va avoir une fin heureuse.

mercredi 22 août 2018

Moment où un chien sauve la fille qui joue dans la mer


Matyas nageait dans l'océan près de Gouville-sur-Mer, en France, avec la petite-fille de son propriétaire quand une petite ondulation s'est écrasée sur elle. Décidant que c'était trop dangereux pour que la petite continue à nager tranquillement, le toutou attrapa doucement sa chemise avec ses dents et la traîna vers la plage. Le jeune a trouvé cela très amusant et a laissé sortir des perles de rire alors qu’elle était guidée vers la sécurité.

lundi 20 août 2018

Une nouvelle étude révèle une explosion dans les permis d'armes de transport dissimulés, en particulier chez les femmes


par Tyler Durden
Dim, 08/19/2018 - 23:00


Une nouvelle étude de l'économiste et auteur John Lott du Centre de recherche sur la prévention du crime révèle que les Américains ont demandé des permis pour transporter des armes dissimulées (CCW) en nombre record, en particulier chez les femmes.

Selon Lott, 890 000 permis CCW ont été délivrés en 2017, tandis que 4,6 millions ont été délivrés entre 2007 et 2018, selon les statistiques officielles, ce qui signifie que 2017 a connu un bond de près de 24% en un an.

"Nous avons vu une augmentation de 4,6 millions de permis en 2007 à 17,25 millions maintenant, le nombre augmentant chaque année", a déclaré à Fox News Lott, auteur du livre très cité More Guns, Less Crime.

En 1999, il y avait 2,7 millions de détenteurs de permis d'armes de poing cachés, 4,6 millions en 2007, 8 millions en 2011, 11,1 millions en 2014 et maintenant 17,25 millions en 2017. La croissance des permis a été continue. Centre de recherche sur la prévention de la criminalité

"Les États qui ont constaté un ralentissement des permis ont été principalement ces États de portage constitutionnel où un permis n’est plus requis, certains de ces États ayant même vu leur nombre diminuer même si le nombre de places ont sans aucun doute augmenté », a ajouté Lott.

Le rapport note également que malgré l’hypothèse courante selon laquelle les demandes de CCW seraient abandonnées après les élections de 2016, le contraire s’est produit.

"La sagesse conventionnelle a tenu que la forte hausse des ventes d'armes à feu pendant la présidence d'Obama a été, au moins en partie, tirée par la menace du contrôle des armes à feu", indique l'étude. "C'est pourquoi tout le monde s'attendait à ce que les ventes d'armes diminuent après la victoire de Trump."

Autres faits saillants:

Le nombre de femmes et de minorités titulaires de permis CCW a continué d'augmenter, avec des femmes noires et asiatiques en tête.



L'intérêt pour les permis de CCW a correspondu à diverses fusillades de masse, comme l'illustre Lott à la page 40.


Après 2014, le taux de meurtres a commencé à augmenter avec le taux de détenteurs de CCW, mais une augmentation des crimes violents a été comparativement modérée:

samedi 18 août 2018

L'effondrement de la Turquie pourrait envoyer des millions de réfugiés en Europe

par Tyler Durden
Ven, 08/17/2018 - 12:21


Comme accolades Turquie pour une nouvelle série de sanctions américaines au milieu d'une lire en chute libre et ce que le président turc Recep Tayyip Erdogan dit est « guerre économique » avec Washington sur la détention du pasteur américain Andrew Brunson, des millions de réfugiés - principalement en provenance d'Afrique du Nord et la Syrie voisine, Selon Newsweek, l’économie turque s’effondrerait probablement en Europe.

Plus de 3,5 millions de réfugiés vivent maintenant en Turquie après avoir échappé au conflit brutal qui dure depuis plus de sept ans dans la Syrie voisine. Dans le même temps, au moins un demi-million de réfugiés d’autres régions du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord vivent également dans le pays transcontinental.

Bon nombre de ces migrants se sont installés dans le pays en raison d'un accord conclu entre Ankara et l'Union européenne en 2016. -Newsweek

"Il y a 4 millions de réfugiés en Turquie. Bien qu'ils n'aient pas intégré la société turque, ils ont bénéficié d'un gouvernement d'accueil. Erdogan dit avoir dépensé 20 milliards de dollars de fonds non budgétisés pour ces personnes. Il est clair que ce sont des dépenses non budgétées qu'il est prêt à dépenser. Mais si vous ajoutez un million de plus à cela, qui sait ? », A déclaré à Newsweek Bulent Alizira, directeur du programme sur la Turquie au Centre d'études stratégiques et internationales basé à Washington.

Erdogan était convaincu d'amener l'afflux de migrants européens sous contrôle en échange de 6,6 milliards $ en aide, mais cela peut être intenable que l'économie turque va plus loin dans une spirale de la mort, et un autre million de migrants peuvent franchir la frontière après une imminente soutenu par la Russie Offensive du gouvernement syrien dans le fief jihadiste de la province d'Idlib.

La Turquie, quant à lui, a menacé d'ouvrir la porte à l'Europe dans le passé - comme ministre des Affaires étrangères Süleyman Soylu avertissant que Ankara pourrait envoyer « 15.000 réfugiés à vous ... chaque mois et souffler votre esprit », tout en menaçant Bruxelles en payer la facture multi -billion dollar deal.

Un tel scénario "pourrait avoir des conséquences politiques majeures pour les politiciens comme la chancelière allemande Angela Merkel", dont les luttes internes au sein de son gouvernement de coalition l'ont laissé dans une situation précaire après avoir

Mme Merkel a exhorté l'administration Erdogan à maintenir l'indépendance de la banque centrale d'Ankara, soulignant l'importance d'un "quartier économiquement stable", alors que l'on parle de Bosnie cette semaine. "Personne ne s'intéresse à la déstabilisation économique de la Turquie, mais bien sûr tout doit être fait pour que, par exemple, une banque centrale indépendante puisse fonctionner, etc.", a-t-elle ajouté.

Cela dit, les experts cités par Newsweek ont déclaré que la majorité des migrants susceptibles de fuir un effondrement économique en Turquie seraient probablement inondés en Grèce et non en Allemagne.

"Erdogan a parlé de renvoyer des gens en Syrie que la Turquie contrôle. Mais beaucoup de réfugiés viennent des régions que [le président syrien Bashar] al-Assad contrôle, ils ne voudront pas aller dans le nord de la Syrie, "dit Alizira. "La soi-disant route des Balkans a été fermée. Si la Turquie ouvre le robinet, ce qui est une façon terrible de faire référence aux réfugiés, elle ira en Grèce. Si les bateaux quittent la Turquie, ce sera un problème pour Grèce. Au-delà, je ne pense pas que cela nuira à l'UE. "

"Il est clair que si la crise économique persiste en Turquie, si le gouvernement doit sérieusement contrôler le financement public, le financement des programmes de réfugiés devra être réduit", a déclaré à Newsweek Ross Wilson, expert de la Turquie au Conseil Atlantique de Washington. "Mais je doute qu'il y ait beaucoup d'impact à court terme."

vendredi 17 août 2018

TSA brise le silence et défend un programme secret de surveillance domestique

par Tyler Durden
Mar, 08/14/2018 - 18:25


La TSA a rompu son silence pour défendre son programme de surveillance domestique alarmant appelé "Quiet Skies", qui permet à l’agence d’utiliser des équipes de Maréchaux Aériens armés pour suivre, suivre et surveiller pratiquement tout le monde. L’administrateur de la TSA, David Pekoske, a déclaré à CBS lors d’une récente interview que l’émission "... est extrêmement logique, de pouvoir examiner certains risques que nous pensons exister sur certains vols et de mettre des officiers de l’aviation sur ces vols".

Nous avons été l’un des premiers à rendre compte du programme «Quiet Skies» à la fin du mois de juillet, après que le Boston Globe l’a dévoilé dans un long et révélateur exposé. Le programme secret a été mis en place pour surveiller les citoyens américains sans antécédents et qui n’entraînent pas le déclenchement de drapeaux rouges à l’aéroport. Les personnes surveillées par ce programme sont, selon un mémo de la TSA cité par l’article original du Globe, «qui n’ont fait l’objet d’aucune enquête et ne figurent pas dans la base de données sur le dépistage du terrorisme».

Maintenant, deux semaines après le rapport du Globe, la TSA parle enfin du programme à CBS News:

"Notre travail en tant qu'agence, en particulier, et les agents aériens, en vol, veillent à limiter les risques pouvant survenir dans les avions à 10 000, 20 000 et 30 000 pieds", a déclaré Pekoske à CBS News. entretien depuis que le programme "Quiet Skies" a été dévoilé au public. "Si une agence responsable de la sécurité dispose d’informations susceptibles d’indiquer que l’accent peut être mis sur un plus grand risque avec un passager en particulier, fournir des mesures d’atténuation ou une certaine gestion des risques est une chose très importante et rassurante pour moi."

Dans une pente glissante qui pourrait conduire la TSA à presque tous les voyageurs, Pekoske a déclaré que "différents passagers présentent des niveaux de risque différents" et que la TSA souhaitait être "présente" avec des passagers tombant en dessous du seuil les empêcherait de voler:

"Dans tout le système, différents passagers présentent différents niveaux de risque", a déclaré M. Pekoske. "Les passagers ont le droit de voler et si jamais nous pensons que le risque atteint le point où le passager ne doit pas voler, nous avons le pouvoir de refuser le vol pour ce passager particulier."

"Mais comme vous pouvez vous en rendre compte, certains passagers se situent en dessous de ce seuil, mais ils suscitent toujours un certain niveau de préoccupation - nous estimions que nous devions être présents sur les vols sur lesquels ils volaient", a-t-il déclaré.

Selon la TSA, les voyageurs susceptibles de présenter un risque devraient être autorisés à voler indépendamment de la situation. Bien entendu, ces commentaires interviennent après que la TSA n’a pas confirmé de manière définitive l’existence du programme (ou s’il a provoqué des arrestations ou des arrêts de crimes) à la fin du mois de juillet. Le Boston Globe a dû utiliser des documents comme celui-ci pour vérifier l’existence du programme.

Depuis le rapport du Globe, le programme a également été marqué par des réactions négatives de la part de membres du Congrès, comme le sénateur Ed Markey, qui a qualifié cette définition de "Big Brother". violations de leurs droits ". Markey a souligné d’autres préoccupations, y compris les critères utilisés pour sélectionner les personnes à surveiller, dans une lettre qu’il avait adressée à la TSA, selon le journal CBS.

En outre, comme nous l’avons indiqué dans notre article original, des experts juridiques, tels que Jonathan Turley, professeur de droit à l’Université George Washington, ont déclaré que «s’il s’agissait de citoyens étrangers, le gouvernement aurait un pouvoir considérable. Citoyens américains - Les citoyens américains ne perdent pas leurs droits simplement parce qu’ils sont dans un avion à 30 000 pieds. "

Que recherchent exactement les Air Marshals armés lorsqu'une "petite équipe" vous observe lorsque vous rentrez chez vous pour rendre visite à des parents ou pour les vacances? Étonnamment, les "déclencheurs" du drapeau rouge pour la surveillance en profondeur impliquent des comportements auxquels tous les passagers sont sensibles, tels que:

que les passagers agitent ou non s'ils utilisent ou non un ordinateur sur le vol qu'ils regardent ou non dans l'espace toucher le visage émotions exagérées si un sujet a perdu ou pris du poids avec les informations fournies aux autorités si le sujet a ou non les poils du visage, les tatouages, les piercings, s'ils n'ont pas dormi pendant le vol s'ils n'utilisent pas la salle de bain sur le vol comment ils ont été ramassés quand ils arrivent.

À l'instar d'Edward Snowden et de la NSA, le Globe a souligné que la répression contre ce type de profilage aveugle augmente à mesure que "des dizaines de commissaires aériens ont soulevé des préoccupations concernant le programme Quiet Skies auprès de hauts responsables et de collègues, le programme de surveillance, selon des entretiens et des documents examinés par le Globe. "

La plus grande ironie, comme plusieurs observateurs aériens l’ont fait remarquer, est que le programme potentiellement illégal qui porte atteinte à la vie privée et aux droits constitutionnels des citoyens américains est également financé par ces mêmes citoyens américains - comme avec la NSA.

Même le président de l’Air Marshal Association a dénoncé le programme:

John Casaretti, président de l’Air Marshal Association, a déclaré dans un communiqué: "L’Association du maréchal de l’air estime que les missions basées sur des services de renseignement reconnus ou en soutien aux enquêtes fédérales en cours constituent les critères appropriés pour la programmation des vols. Actuellement, le programme Quiet Skies ne répond pas aux critères que nous jugeons acceptables.

"Le public américain serait mieux servi si ces [officiers de l'air] étaient affectés à des contrôles aéroportuaires et à des vérifications dans les zones afin que les événements de tir actifs puissent être rapidement terminés et que les violations des crimes fédéraux puissent être résolues."

Cependant, les objections des commissaires à la navigation aérienne utilisés par le TSA pour une telle surveillance ne semblent pas avoir d’importance pour Pekoske, qui continue de suivre la ligne de parti donnée à CBS par le TSA le mois dernier "Veiller à ce que les passagers et les membres de l'équipage soient protégés pendant les voyages aériens", les droits individuels à la vie privée étant condamnés.

jeudi 16 août 2018

La censure est ce qui arrive quand des personnes puissantes ont peur

par Tyler Durden
Mar, 08/14/2018 - 08:11
Auteur de Mike Krieger via le blog Liberty Blitzkrieg,


"Seuls les faibles ont frappé la mouche avec un marteau."
- Bangambiki Habyarimana

Toute personne qui vous raconte la récente escalade de la censure par les géants américains de la technologie n'est que le reflet des décisions prises par des sociétés privées qui mentent ou sont dangereusement ignorantes.

Dans le cas de Facebook, le chemin de la pseudo-plate-forme à un outil volontaire et enthousiaste des acteurs de l'implantation est assez simple. Cela a vraiment commencé plus tôt cette année lorsque les problèmes liés aux violations flagrantes de la vie privée dans le cas de Cambridge Analytica (des choses qui duraient depuis des années) pouvaient enfin être liés à la campagne Trump. C'est à ce moment-là que des forces puissantes et infâmes ont vu une opportunité de tirer parti de l'influence gigantesque de la société pour diffuser des informations et des opinions à leurs propres fins. Plutôt que de demander des comptes aux dirigeants et de démanteler l’entreprise, le choix s’est porté sur la réquisition et l’armement de la plate-forme. C'est ici que nous sommes aujourd'hui.

Ne blanchissons pas l'histoire cependant. Ces entreprises de haute technologie se sont conformées à la réglementation, les gouvernements ont pris des pièges pendant longtemps. Grâce à Edward Snowden, nous sommes conscients de la coopération profonde et de longue date entre ces laquais et les agences de renseignement américaines dans le domaine de la surveillance de masse. À ce titre, la transformation la plus récente de ces sociétés en gardiens d’information à part entière devrait être considérée dans son contexte propre; simplement comme une continuation dangereuse et une expansion d'une réalité déjà enracinée.

Mais tout est ouvert maintenant. Facebook ne cache même pas le fait qu’il confie une grande partie de son analyse des «fausses informations» au Conseil de l’Atlantique, un groupe de réflexion financé par l’OTAN, les États du Golfe et des entreprises de défense. Tel que rapporté par Reuters:

Facebook a commencé à chercher de l'aide extérieure malgré les critiques pour ne pas avoir maîtrisé la propagande russe avant les élections présidentielles de 2016 ...

Avec des dizaines de professionnels de la cybersécurité et des revenus annuels de 40 milliards de dollars en 2017, Facebook pourrait ne pas avoir besoin d'aide extérieure.

Il n'a pas besoin d'une aide extérieure, il a besoin d'une couverture politique, ce qui est le véritable moteur.

Mais le laboratoire et le Conseil de l'Atlantique apportent une expertise géopolitique et permettent à Facebook de se démarquer des déclarations sensibles. Lors de l’appel de la semaine dernière aux journalistes, Alex Stamos, le responsable de la sécurité de Facebook, a déclaré que la société ne devrait pas identifier ou accuser certains gouvernements pour toutes les campagnes qu’elle détecte.

"Les entreprises comme la nôtre n'ont pas les informations nécessaires pour évaluer la relation entre les motivations politiques que nous déduisons à propos d'un adversaire et les objectifs politiques d'un Etat-nation", a déclaré Stamos. Université. Au lieu de cela, il a déclaré que Facebook s'en tiendrait à la collecte de preuves numériques et à la transmission aux autorités et aux chercheurs.

Il serait également difficile pour Facebook d’accuser un gouvernement de méfaits lorsque l’entreprise tente d’entrer ou de se développer sur un marché sous le contrôle de ce gouvernement.

En mai, Facebook a donné un montant non divulgué au laboratoire, a déclaré Graham Brookie, qui dirige le laboratoire, afin de placer la société en tête de la liste des donateurs du Conseil atlantique, aux côtés du gouvernement britannique.

Au cours des derniers mois, les employés de Facebook ont déclaré en privé que le directeur général Mark Zuckerberg souhaitait externaliser un grand nombre des décisions politiques les plus sensibles, laissant aux groupes de médias et à la géopolitique le contrôle des faits. Plus il réussit, moins il y a de complications pour l'expansion de Facebook, plus sa masse salariale est petite et plus son positionnement en tant que plateforme neutre est plausible. Facebook n'a pas répondu à une demande de commentaire.

Gardez cela à l’esprit et consultez la liste des donateurs du Conseil de l’Atlantique et tous les personnages douteux de son conseil.

Abby Martin
@ AbbyMartin
 Les membres du conseil du Conseil Atlantique comprennent Kissinger, Michael Hayden, chef de la CIA, Mike Morell (qui a déclaré que les Etats-Unis devraient tuer les Russes et les Iraniens en Syrie), Michael Chertoff (inventeur du graphique terroriste). Financé par Lockheed Martin, Chevron, EAU, OTAN

Brian Becker
@BrianBeckerDC
Facebook est maintenant le premier bailleur de fonds du Neocon Atlantic Council. Son laboratoire de recherche scientifique numérique est dirigé par un ancien conseiller du Conseil national de sécurité Obama. Le laboratoire a dit à Facebook quelles pages sont "fausses". La semaine dernière, ils ont fermé la page des organisateurs du rassemblement anti-nazi du 12 août à Washington.
5h10 - 9 août 2018

Maintenant qu'il a été établi que Facebook est en fait en train de censurer en se basant sur les conseils fournis par d'anciens fantômes et d'autres charlatans de l'establishment, parlons de ce que cela signifie. Je pense qu'il y a deux points à retenir.

En premier lieu, toute la pression en faveur d’une désarchivage arbitraire des géants de la technologie, la nouvelle norme, prouve que l’établissement a peur de mourir. Les gens très puissants habitués à manipuler et à façonner le monde via la création narrative ne sont pas terrifiés par ce que dit Alex Jones, ils sont terrifiés à l'idée que ce soit populaire. Les "élites" de l’établissement sont dans un tel déni des conséquences du monde qu’elles ont créé, tout ce qu’elles peuvent faire, c’est attaquer de manière spasmodique les symptômes. Trump ne divisait pas la société américaine et Alex Jones n’avait pas causé notre méfiance généralisée (et tout à fait légitime) envers les institutions; le système du statu quo le faisait grâce à ses échecs spectaculaires. L'élection de Trump et la popularité d'Alex Jones ne sont que les symptômes d'un paradigme de statu quo incroyablement corrompu et raté, dont les responsables refusent continuellement de jeter un regard dans le miroir, acceptent les reproches et les réformes.

À mon avis, deux événements clés du 21ème siècle ont directement conduit à la situation dans laquelle nous nous trouvons actuellement. Le lancement de la guerre en Irak sur la base de fausses preuves diffusées par les agences de renseignement, les politiciens et les médias, et la décision de renflouer les banquiers et de les protéger de la prison après la crise financière. Combinées, ces deux choses ont créé un environnement de colère et de méfiance dans lequel presque tout devient possible politiquement et socialement. Trump et Alex Jones sont les symptômes d'une société défaillante, pas les causes profondes de celle-ci.

Si je ne me trompe pas, la censure de ces voix par les milliardaires de SilIcon Valley aura un effet spectaculaire. Alex Jones est maintenant devenu un martyr des oligarques technologiques et des groupes de réflexion étatiques profonds, ce qui lui donne plus de crédibilité que par le passé. La dé-plate-forme ne fait rien au côté demande de l’équation en ce qui concerne son contenu, comme nous l’avons vu avec son application Infowars dans les charts peu après la purge. Si les gens veulent trouver Alex Jones et Infowars, ils le trouveront. De plus, d'autres communautés commencent à se rendre compte à quel point tout cela est dangereux. Par exemple, la semaine dernière, nous avons vu un nombre croissant de Bitcoiners créer des comptes chez Mastodon, une solution décentralisée alternative à Twitter, au cas où Jack Dorsey déciderait d'y renforcer la censure.

En fin de compte, il est plus sûr pour la société d’avoir des forums publics ouverts où toutes les idées - que vous les considériez comme dangereuses ou insensées - peuvent être exprimées ouvertement les unes à côté des autres. De cette façon, nous pouvons voir ce qui se passe et les débattre ou les démystifier devant des publics nombreux et diversifiés.

Nous sommes en 2018 et la déconstruction du contenu populaire ne le fera pas disparaître. Il ne fera que passer à des domaines de l’Internet que vous ne pouvez pas voir, où il s’aggravera et se renforcera au fil du temps dans des chambres d’écho encore plus intenses et radicalisées. Vous penserez qu'il a disparu de la société car il a été nettoyé en toute sécurité de votre calendrier Facebook d'entreprise, mais il peut devenir encore plus fort dans l'ombre. C'est particulièrement le cas dans une nation dominée par une classe d'élitistes retranchée, corrompue et irresponsable. Celui qui refuse de se confronter à la réalité de ses échecs monumentaux, et choisit plutôt d'observer soi-même l'intérêt pour ce qui n'est que des symptômes d'un empire décadent en déclin.

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