- ENTREE de SECOURS -



samedi 16 octobre 2021

Les particularités du jujubier, un végétal « genré »

  le 16 octobre 2021

L’huile de jujubier (Simmondsia chinensis)* est réputée pour ses applications en cosmétique car elle est très riche en acide eicosenoique. Cette huile remplace avantageusement l’huile de baleine en parfumerie. Le jujubier contrairement à ce qu’indique son nom scientifique est originaire des déserts de l’Arizona et de Californie du sud mais a été parfaitement acclimaté dans les contrées semi-désertiques de Chine, le premier producteur d’huile de jujubier. Le jujubier est un buisson résistant aux sécheresses et il présente la particularité d’être une plante dioïque, c’est-à-dire qu’il existe une plante mâle et une plante femelle. L’une des plantes dioïque qui me vient à l’esprit est le papayer mais il en existe d’autres comme le cannabis puisque presque 6 % du règne végétal à fleurs est dioïque. Il existe à propos du jujubier un dimorphisme sexuel : la plante mâle est plus petite que sa contre-partie femelle.

Le génome du jujubier a été récemment élucidé et ce travail réalisé dans le cadre d’une collaboration entre l’Université du Queensland à Brisbane et l’Université King Faisal à Al Hofuf en Arabie saoudite a permis de percer le secret de la nature dioïque du jujubier. Si le génome diffère de seulement 10 millions de bases (Mb) entre le mâle et la femelle, 832 Mb pour le mâle et 822 Mb pour la femelle la différence est très marquée au niveau des chromosomes sexuels comme l’indique l’illustration ci-dessous :

Deux insertions présentes dans le chromosome X ne sont pas présentes dans le chromosome Y alors que ce dernier possède deux insertions Y1 et Y2 absentes dans de chromosome X et ces deux insertions codent pour 429 gènes totalement absents dans le reste du génome. Par comparaison le chromosome Y de l’homme code pour 78 gènes et le chromosome X pour 70 gènes alors que l’ensemble du génome du jujubier code pour 26300 gènes, un peu plus que chez l’homme. De tels travaux semblent fondamentaux et ne peuvent intéresser que les férus de génétique des plantes. Et pourtant en raison du réchauffement du climat annoncé (mais qui tarde à se concrétiser) tout un pan de la recherche en biologie végétale consiste à déterminer quels gènes d’une plante donnée, dans le cas présent le jujubier, pourraient induire dans une autre plante cette exceptionnelle résistance à la sécheresse. D’autre part le chromosome Y de ce buisson maintenant cultivé à des fins commerciales pourrait coder pour des gènes peut expliquer pourquoi il existe une différence entre le nombre de jujubiers femelles par rapport aux mâles selon l’exposition au soleil. Cette différence que peut expliquer ces études génomiques pourrait faciliter, toujours dans le cadre encore hypothétique de transfert de gènes, une plus grande fertilité des plantes en cas de stress hydrique, l’une des hantises des agro-biologistes si le réchauffement du climat venait à se concrétiser. 

En conclusion l’étude du génome des plantes dioïques devient d’un coup un domaine de recherche qui pourrait avoir des applications inattendues.

Source : The Plant Journal, doi : 10.1111/tpj.15509 . *Note. L’article en français de Wikipedia décrit une plante d’origine tropicale qui est différente, il s’agit d’une Rhamnacée du genre ziziphus. Erreur ou négligence ?

https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/10/16/les-particularites-du-jujubier-un-vegetal-genre/

40 commentaires:

  1. Une pénurie prolongée d'approvisionnement énergétique se profile alors que les prix du pétrole et du gaz naturel montent en flèche


    vendredi 15 octobre 2021
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Les prix du pétrole et du gaz naturel ont augmenté de façon prolongée, une tendance qui avertit l'Amérique que les pénuries d'approvisionnement énergétique deviendront bientôt plus courantes.

    Lundi 11 octobre, le prix du pétrole brut américain a augmenté de 1,5% pour atteindre 80,52 dollars le baril. C'est la première fois que le prix du pétrole brut clôture au-dessus de 80 $ depuis fin 2014. Cela représente également une augmentation de 125 % du prix du pétrole depuis fin octobre 2020.

    Les tendances actuelles montrent que la hausse du prix du pétrole est en passe de dépasser la croissance du cuivre pour la première fois depuis 2002. Le pétrole brut est également en tête de l'indice des matières premières avec la plus grande marge depuis plus d'une décennie, selon Dow Jones Market Données.

    La croissance du prix du gaz naturel dépasse également celle de la plupart des autres produits de base. Les contrats à terme sur le gaz naturel américain ont atteint un sommet de près de 13 ans le 5 octobre après avoir atteint 6,31 $ par million d'unités thermiques britanniques.

    La hausse des prix du pétrole et du gaz naturel se poursuit alors que le monde entier craint des pénuries potentielles d'approvisionnement énergétique. Cela montre que de nombreux commerçants s'attendent à ce que la faiblesse de l'offre gonfle les prix et augmente les coûts du carburant pour les consommateurs et les entreprises.

    La flambée des prix de l'énergie menace la reprise économique
    L'augmentation incessante du prix du pétrole et du gaz naturel a entraîné une flambée des prix de l'énergie domestique.

    Les prix du pétrole brut ont augmenté de plus de 65% cette année jusqu'à présent. Les prix du gaz naturel ont augmenté de plus de 112 % depuis janvier. Depuis octobre de l'année dernière, le prix de l'essence a augmenté en moyenne d'environ 1,10 $ le gallon. Le sans plomb est maintenant au prix de 3,27 $ le gallon en moyenne.

    "Ce qui est différent à ce sujet, c'est normalement que c'est le pétrole qui mène à une crise énergétique", explique Daniel Yergin, vice-président du fournisseur d'informations financières IHS Markit. "Mais dans ce cas, c'est la queue qui est agitée par le gaz naturel, le charbon et les énergies renouvelables."

    "Le pétrole se remplit pour compenser le fait que le gaz naturel liquéfié est au maximum et que le vent en Europe a été beaucoup plus faible que la normale", ajoute-t-il.

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  2. Yergin prévient que si le prix du gaz naturel continue d'augmenter, les fabricants et les fournisseurs d'électricité pourraient commencer à utiliser le pétrole comme substitut. Entre 600 000 et 800 000 barils de pétrole par jour pourraient être utilisés comme substitut du gaz naturel en Europe et en Asie.

    La flambée des prix intérieurs de l'énergie et les perturbations importantes des chaînes d'approvisionnement mondiales déjà tendues ont alarmé certains analystes économiques. Ils craignent que la reprise économique des États-Unis à la suite des blocages dévastateurs de la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) ne s'arrête bientôt.

    Ils commencent à se demander si la « tempête parfaite » des augmentations de prix et des pénuries d'approvisionnement en énergie pourrait s'aggraver et provoquer une récession. (Connexes : le Liban est plongé dans l'obscurité, l'Inde est confrontée à des pannes d'électricité progressives, les pharmacies de NYC sont NUES alors que l'effondrement mondial s'accélère, entraînant des pannes d'électricité progressives à travers les États-Unis.)

    Mais certains analystes financiers pensent que les Américains ne devraient pas trop s'inquiéter pour l'instant.

    Bruce Kasman, économiste en chef chez JPMorgan Chase, fait partie de ces optimistes. Il pense que la hausse des prix ne rendra pas encore négative la croissance économique américaine. Mais les conséquences de l'aggravation des problèmes mondiaux auront des conséquences que les Américains ordinaires ressentiront pendant un certain temps, notamment des coûts énergétiques plus élevés.

    « Les périodes de tendance des prix du pétrole ont tendance à ne pas être un problème », explique Kasman. « Les périodes de flambée des prix du pétrole ont tendance à être ce qui vous cause des ennuis. Ils ont tendance à être largement axés sur l'offre et ils ont tendance à avoir des éléments perturbateurs qui sont plus larges en termes de freins potentiels à la croissance. »

    Kasman ajoute que la hausse des coûts de l'énergie entraînera un ralentissement de la croissance économique au cours du quatrième trimestre 2021. "Ce n'est pas à un point où nous mettons en garde contre la récession", dit-il. "Mais c'est au point où vous devez vous inquiéter que cela nuise à la croissance de manière matérielle."

    "Nous envisageons une croissance du PIB de l'ordre de 4 à 6 %", déclare Anwiti Bahuguna, responsable de la stratégie multi-actifs de la société de gestion d'actifs Columbia Threadneedle. « Il faudrait que nous assistions à un doublement et à un triplement massif des prix du pétrole pour que cela ait un effet si néfaste que nous atteignions une croissance négative. »

    Découvrez comment la pénurie d'approvisionnement énergétique rend l'Amérique plus vulnérable à un krach économique en lisant les derniers articles sur MarketCrash.news.

    Les sources comprennent :

    WSJ.com
    CNBC.com

    https://www.naturalnews.com/2021-10-15-extended-energy-supply-shortage-looms.html

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  3. Les prix de l'aluminium grimpent à leur plus haut niveau depuis 13 ans; les besoins extrêmes en énergie pour la fabrication incitent la Chine à arrêter la production


    vendredi 15 octobre 2021
    par : Ramon Tomey


    (Natural News) Les prix de l'aluminium ont atteint un sommet de 13 ans au milieu des pénuries d'énergie en cours dans le monde. Ces pénuries d'énergie à travers la Chine ont entraîné l'arrêt de la production d'aluminium en Chine, étant donné les apports énergétiques extrêmes nécessaires pour purifier et fabriquer l'aluminium.

    La décision de la Chine a des répercussions sur de nombreuses autres industries qui utilisent de l'aluminium transformé pour leurs produits.

    Le prix de l'aluminium a grimpé à 3 064 $ la tonne, en hausse de 3,3 %, à la Bourse des métaux de Londres le 11 octobre. cuivre en hausse de 1,9%.

    Les initiés de l'industrie affirment que la production d'aluminium nécessite beaucoup d'énergie. Chaque tonne d'aluminium a besoin d'environ 14 mégawattheures pour produire, ce qui est suffisant pour faire fonctionner une maison au Royaume-Uni pendant plus de trois ans. Les initiés ajoutent que l'industrie de l'aluminium serait le cinquième plus gros consommateur d'électricité au monde si c'était un pays.

    Les besoins énergétiques élevés de l'aluminium ont fait des usines de transformation du métal les premières cibles des efforts du gouvernement chinois pour réduire la consommation d'énergie industrielle. Pékin a également limité la future capacité de production d'aluminium du pays – élevant la possibilité de profonds déficits mondiaux d'un métal utilisé dans différents produits tels que les canettes de bière et les avions.

    Mark Hansen, PDG de la maison de négoce de matières premières Concord Resources Ltd., a déclaré que plusieurs usines d'aluminium en Chine ont cessé leurs activités car la production du pays "a probablement atteint un pic, du moins à court terme". Cependant, il prévient que les prix de l'aluminium pourraient atteindre 3 400 $ la tonne l'année prochaine. (Connexe : la flambée des prix des métaux peut retarder la transition en cours vers l'énergie propre.)

    James Luke, gestionnaire de fonds de matières premières à la société d'investissement Schroders, décrit la poursuite de la production d'aluminium par la Chine comme une « exportation nette de ressources énergétiques ». Il déclare : "Compte tenu de l'acuité des pénuries d'électricité et des réductions que nous avons observées, il ne semble tout simplement pas rationnel que la Chine exporte ce volume de produits en aluminium chaque mois."

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  4. Les répercussions de l'industrie de l'aluminium se font sentir dans le monde entier

    Selon l'Aluminium Association (AA), la production chinoise d'aluminium « a augmenté à un rythme alarmant ». À partir d'environ 11 % de l'aluminium mondial en 2000, la Chine produit désormais plus de 50 % de l'approvisionnement mondial en aluminium. « Pendant de nombreuses années, la Chine a absorbé la quasi-totalité de ce métal au niveau national. [Mais] alors que l'économie se ralentissait et que la demande diminuait, les producteurs n'ont pas répondu aux signaux du marché », explique l'association.

    L'AA ajoute : « Les incitations artificielles, les subventions et la planification centrale du gouvernement chinois ont été à l'origine d'une grande partie de cette activité. Ce comportement a conduit la Chine à construire des installations de production, même si cela n'avait guère de sens économique ou environnemental. »

    Les dégrèvements fiscaux soutiennent la fabrication d'aluminium en Chine malgré la pression de la production nationale et la poursuite de la hausse de la demande d'aluminium. Cependant, les analystes du marché affirment que Pékin peut potentiellement réduire ou supprimer les remises de taxe sur la valeur ajoutée sur les exportations pour ralentir le taux de sortie de métal de Chine.

    Les investisseurs guettent un éventuel impact sur les exportations chinoises d'aluminium, à condition que le pays continue d'importer des métaux primaires et d'exporter d'énormes volumes d'aluminium transformé. Le pays étant susceptible de continuer à importer d'énormes volumes de métal brut l'année prochaine, une potentielle pénurie mondiale d'aluminium se profile – parallèlement à une flambée soudaine du prix du métal.

    L'action récente de l'Union européenne visant les importations d'aluminium chinois vendues à des prix inférieurs à la cote a également contribué à la hausse des prix du marché. L'UE a imposé des sanctions antidumping sur l'aluminium laminé plat chinois le 11 octobre. Une déclaration de l'UE du même jour a défendu cette décision comme un moyen de "contrer les pratiques commerciales déloyales".

    Les sanctions antidumping vont de 14,3 % à 24,6 % et dureront cinq ans.

    « Une enquête a révélé que les importations chinoises [d'aluminium], vendues à des prix de dumping, ont causé un préjudice à l'industrie [européenne de l'aluminium]. Ces produits en aluminium sont une marchandise importante sur le marché de l'UE, avec une valeur marchande de 700 millions d'euros [812,7 millions de dollars] », indique le communiqué.

    Cependant, l'UE note dans la même déclaration qu'elle a retardé la mise en œuvre des droits de neuf mois en raison de « changements temporaires et exceptionnels des circonstances du marché ». Les sanctions antidumping seront imposées à partir du 11 juillet 2022.

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  5. Eoin Dinsmore, directeur du groupe CRU pour l'aluminium primaire et la recherche sur les produits, déclare : « Le marché mondial des métaux en 2022 sera le plus serré qu'il n'ait jamais été. Le reste du monde ne peut pas livrer ces quantités à la Chine indéfiniment. » (Connexe : Les pénuries d'électricité en Chine peuvent entraîner une flambée des prix mondiaux des denrées alimentaires et des matières premières.)

    Metals.news a plus d'articles sur les prix de l'aluminium et d'autres métaux.

    Sources include:

    Bloomberg.com
    Aluminum.org
    Trade.EC.Europa.eu

    https://www.naturalnews.com/2021-10-15-aluminum-prices-jump-to-13-year-high.html

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  6. 10 pénuries qui s'aggravent


    vendredi 15 octobre 2021
    par : rédacteurs en chef


    (Natural News) La chaîne d'approvisionnement mondiale est en lambeaux. Des dizaines de milliers d'articles et de services sont rares ou introuvables. Cela entraîne une hausse des prix, une inflation par les coûts et une diminution générale du pouvoir d'achat de toutes les monnaies fiduciaires, que ce soit le dollar américain, le yen japonais ou l'euro.

    (Article de Kerry Lutz republié à partir de FinancialSurvivalNetwork.com)

    Le choix des éléments à inclure ici pourrait remplir des volumes. Nous avons choisi des choses qui semblent souvent très obscures, comme le ketchup ou les palettes et qui sont pourtant des incontournables de la vie moderne.

    Palettes

    Les palettes d'expédition en bois sont nécessaires pour transporter presque tout ce qui est imaginable, y compris : des articles en papier, des produits alimentaires, des pièces automobiles, des couches, etc. Jusqu'à présent, elles ont toujours été abondantes et considérées comme allant de soi. Au cours de la dernière année, les prix des palettes ont plus que doublé, passant de moins de 7 $ à plus de 15 $ maintenant. Selon Bloomberg, les palettes sont désormais un produit très prisé, ce qui a conduit à la thésaurisation et même au vol. Alors que les prix du bois d'œuvre ont récemment diminué, les prix des palettes ont continué d'augmenter et continuent de le faire, tandis que les approvisionnements resteront extrêmement serrés dans un avenir prévisible.

    Aluminium

    L'aluminium est encore un autre produit banal qui a connu un déficit d'approvisionnement. Les pénuries actuelles sont sans précédent; les prix ne cessent d'augmenter. 2021 a vu une augmentation des prix de plus de 50%. Les confinements et les quarantaines sont en grande partie responsables. Le résultat a été une augmentation de la consommation de boissons à la maison avec plus de canettes de boisson consommées. Une concurrence mondiale pour l'approvisionnement entre les producteurs de soda et de bière a éclaté. Ils parcourent les quatre coins de la planète à la recherche de fournitures adéquates.

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  7. Gaz carbonique

    Contrairement aux croyances des alarmistes climatiques, il y a en fait une pénurie continue de gaz carbonique. Les opposants peuvent se réjouir que son prix ait quintuplé au cours de la dernière année. Il a une pléthore d'utilisations peu connues telles que la carbonatation des boissons gazeuses et des boissons alcoolisées, favorisant la croissance des plantes en serre, gardant les aliments au frais pendant le transport, prolongeant la durée de conservation des viandes emballées, des aliments pour bébés et des produits de boulangerie, etc. Le gaz carbonique est un sous-produit produits par les usines d'engrais, dont un certain nombre ont fermé en raison de la hausse rapide des prix des matières premières du gaz naturel.

    Chauffeurs de camion

    Aux États-Unis et à l'étranger, la pénurie de chauffeurs de camion dure depuis des années. Les chauffeurs de camion sont l'épine dorsale de la chaîne d'approvisionnement, mais ils sont aussi son Rodney Dangerfield. Ils ne reçoivent aucun respect et pas beaucoup d'argent non plus. Les chauffeurs de camions long-courriers américains étaient autrefois très syndiqués et recevaient une rémunération et des avantages sociaux généreux. Aujourd'hui, la plupart sont des propriétaires-exploitants. Une compression des salaires a conduit un grand nombre de conducteurs qualifiés à abandonner l'industrie. Les coûts de camionnage ont également augmenté : le carburant (en hausse de 85 %), les pneus (en hausse de 20 %), les assurances (en hausse de 10 %) et les péages routiers, réduisant ainsi encore les salaires. La seule façon d'amener plus de camionneurs sur la route est de leur payer des salaires plus élevés. Cela est peu probable étant donné les autres contraintes de coût.

    Ketchup et condiments

    Croyez-le ou non, Heinz est confronté à des pénuries de production de ketchup. La situation est si mauvaise qu'il a dévoilé un nouveau type de paquet à rouleaux qui permet aux utilisateurs de presser la toute dernière goutte de Ketchup. Depuis la pandémie, le condiment préféré des États-Unis est en pénurie quasi constante. Les approvisionnements d'autres condiments, tels que la moutarde et la relish, sont également limités. Comme prévu, les prix augmentent et le consommateur paie plus.

    Champagne

    Cette boisson pétillante populaire pourrait se diriger vers une pénurie majeure de Noël. Les fermetures de 2020 ont diminué la demande, peu de gens célébraient pendant la pandémie. Les maisons de champagne ont réagi en réduisant les bouteilles produites. Cependant, à mesure que les choses s'améliorent, de plus en plus de gens célèbrent leur liberté retrouvée et la demande de champagne augmente. Il ne fera qu'augmenter à mesure que nous arrivons à la période des Fêtes.

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  8. Matériaux de construction

    Avant la pandémie, le cycle de construction culminait et les approvisionnements se resserraient déjà. C'est typique. Cependant, une enquête récente a révélé que 71 % des entrepreneurs sont confrontés à au moins une pénurie de matériaux. Le bois d'œuvre a été le plus cité, suivi de l'acier, des fournitures électriques et d'éclairage. 2021 a marqué le début d'énormes augmentations des prix de l'acier et du bois d'œuvre. Avec des arriérés de port presque désastreux, il faudra un certain temps avant de voir un retour à la normale.

    Charbon/Énergie

    Selon le Washington Post, les pénuries de charbon poussent certaines provinces chinoises à rationner l'électricité ; Les Européens paient des prix exorbitants pour le gaz naturel, les centrales électriques en Inde sont sur le point de manquer de charbon et le prix moyen du gallon d'essence ordinaire aux États-Unis est passé de 1,72 $ en avril à 3,25 $ maintenant.

    La crise énergétique pas si soudaine exerce une pression supplémentaire sur les chaînes d'approvisionnement déjà effilochées. Cela a déclenché une compétition mondiale pour les ressources et a contribué à faire de la révolution de l'énergie verte une priorité moindre. La situation en Europe s'aggrave en raison de la réduction de l'approvisionnement en gaz nat de la Russie. Un hiver froid pourrait très bien mettre le monde en mode catastrophe.

    Travailleurs de la santé

    Les mandats de vaccination des travailleurs de la santé réduiront considérablement la disponibilité des travailleurs pour soigner les malades et les personnes âgées. Rien qu'à New York, on estime que 70 000 travailleurs de la santé perdront leur emploi. Pour régler le problème, le gouverneur Hochel a fait appel à la garde nationale. Cependant, il n'y a pas assez de gardes formés médicalement pour combler la différence. Cela se répétera dans d'autres États du pays et pourrait entraîner une catastrophe majeure.

    Mécaniciens et techniciens automobiles

    L'auteur a rencontré cette situation en visitant un magasin de pneus automobiles. Le responsable nous a informés que notre véhicule ne serait prêt que tard dans la journée car il manquait de personnel. Assez choquant, car il s'agissait d'emplois bien rémunérés avec de nombreux preneurs. Il s'est plaint qu'il était presque impossible de trouver des mécaniciens et des techniciens qualifiés ; ceux qu'il a embauchés travaillaient souvent un jour ou deux, puis partaient. Cette situation se répète dans les stations-service, les concessionnaires automobiles et les centres de service à travers le pays. Avec le passage aux véhicules électriques, il faut se demander d'où vont venir les techniciens hautement qualifiés et qualifiés ?

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  9. Bonus – Capacité d'expédition de fret portuaire La pandémie a considérablement comprimé le cycle d'expédition. Pendant des mois, le commerce international s'est arrêté et rien n'a quitté les ports. La levée des restrictions sanitaires a déclenché une ruée mondiale sur le transport maritime. Tout le monde essayait de rattraper le temps perdu pour répondre à la demande de Noël. Actuellement, le port de Long Beach compte 134 navires en attente de déchargement. Des événements similaires se produisent dans les ports du monde entier. En seulement un an, le monde a dépassé la totalité de la capacité de ses ports d'expédition. Et il n'y a pas de fin en vue.

    Avec de plus en plus de pénuries en cascade dans le monde entier, ce sera un hiver long et froid et un Noël pas si joyeux.

    Read more at: FinancialSurvivalNetwork.com

    https://www.naturalnews.com/2021-10-15-10-shortages-that-are-getting-worse.html

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  10. LE MONDE A FAIM : les prix des engrais devraient atteindre un niveau record en 2022


    Vendredi 15 octobre 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Comme si les choses n'étaient pas déjà assez mauvaises, les dernières projections suggèrent que les engrais chimiques nécessaires à la production alimentaire devraient atteindre des prix presque records en 2022.

    Le spécialiste de la gestion agricole Gary Schnitkey de l'Université de l'Illinois (UoI) prévient que les principaux engrais dans l'Illinois, un État agricole de la « ceinture de rouille », ont déjà augmenté d'environ 50 % en 2021. La situation ne devrait qu'empirer jusqu'en 2022.

    "La hausse des prix des matières premières, les pénuries de main-d'œuvre, la situation du COVID et la forte demande globale de maïs et de soja en ce moment nous conduisent à où nous en sommes actuellement", a déclaré Schnitkey à propos de ce qu'il pense être les causes de tout cela.

    Bien que Schnitkey ne s'attende pas personnellement à ce que les prix des engrais atteignent les mêmes niveaux vertigineux qu'en 2008 - bien qu'ils le pourraient, juste pour être clair - l'écriture est sur le mur pour encore plus d'inflation et de pénuries.

    « 746 $ la tonne pour l'ammoniac anhydre, en hausse de 53 % par rapport à l'an dernier », dit-il. "Le DAP est de 717 $ la tonne, ce qui représente une augmentation de 327 $ et la potasse est de 600 $ la tonne."

    Les agriculteurs, selon Schnitkey, devraient tenir compte de ces prix plus élevés des engrais dans leurs budgets de maïs et de soja de 2022, car la flambée des coûts pourrait avoir un impact sur les cultures qu'ils décideront de planter la saison prochaine.

    Les chaînes d'approvisionnement sont intentionnellement brisées alors que les mondialistes font avancer le monde vers un effondrement hyperinflationniste
    Les prix des engrais montent également en flèche en Europe, ce qui entraîne déjà des pénuries sur l'ensemble du marché.

    Étant donné que l'un des sous-produits de la production d'engrais est le gaz carbonique, qui est utilisé pour gazéifier les boissons et transporter des denrées périssables comme la viande, sans gaz carbonique, la chaîne d'approvisionnement alimentaire s'effondrera.

    "C'est un produit chimique important utilisé pour étourdir les poulets et les porcs avant l'abattage, ainsi qu'un emballage pour prolonger la durée de conservation et de la glace sèche qui maintient les articles périssables congelés pendant la livraison", a déclaré Zero Hedge.

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  11. "Sans elle, les chaînes d'approvisionnement alimentaire se brisent."

    Les blocages du gouvernement contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sont en grande partie à blâmer pour cette perturbation de la chaîne d'approvisionnement mondiale, tout comme les schémas de Ponzi en monnaie fiduciaire (c'est-à-dire la Réserve fédérale) qui continuent de pomper artificiellement la masse monétaire, créant une inflation massive et finalement hyperinflation.

    Si nous n'avions pas des psychopathes absolus qui dirigeaient tout, en d'autres termes, rien de tout cela ne serait une réalité. Mais en raison de la complaisance généralisée et de la confiance aveugle dans les politiciens corrompus de tous bords politiques, ce pays et une grande partie du reste du monde se dirigent droit vers l'abîme.

    "La seule raison pour laquelle les prix montent est due au prix des matières premières", a écrit un commentateur de Brownfield Ag News.

    « Les entreprises d'engrais en profitent et essaient de garder l'argent hors des mains des agriculteurs, elles veulent juste une part du gâteau. Ils ne sont pas différents des concessionnaires d'équipement, car le prix des équipements neufs et d'occasion a explosé. Les prix peuvent augmenter rapidement mais sont très lents à reculer. Et si les prix des matières premières baissent, le prix des intrants baissera-t-il, je doute qu'ils le fassent. Il n'y a pas de problèmes d'approvisionnement.

    Un autre a écrit que les agriculteurs ont d'autres options et n'ont pas besoin de payer des prix exorbitants. Il s'agit simplement de magasiner et d'employer d'autres méthodes de culture, apparemment.

    Selon l'écrivaine de Bloomberg Elizabeth Elkin, "les conditions météorologiques extrêmes" sont également à blâmer pour les pénuries d'engrais, ainsi que "les fermetures d'usines, les sanctions et la hausse des coûts de l'énergie", bien que cela n'explique pas pourquoi les coûts de l'énergie augmentent.

    "C'est presque comme une tempête parfaite de différentes raisons qui a probablement beaucoup d'avantages dans le prix de différents macronutriments", explique Samuel Taylor, directeur exécutif de la recherche chez Rabobank à Cleveland.

    Pour suivre les dernières nouvelles sur l'effondrement économique mondial, assurez-vous de visiter Collapse.news.

    Les sources de cet article incluent :

    BrownfieldAgNews.com
    NaturalNews.com
    FarmPolicyNews.Illinois.edu

    https://www.naturalnews.com/2021-10-15-hungry-fertilizer-prices-record-high-2022.html

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  12. Les blocages de COVID-19 amplifient la pression sur la chaîne d'approvisionnement mondiale


    vendredi 15 octobre 2021
    par : Nolan Barton


    (Natural News) Pour comprendre pourquoi les chaînes d'approvisionnement sont brisées, vous devez comprendre ce qui les a brisées. La petite explication : les confinements.

    Bien sûr, la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) en est la cause première. Mais la réaction collective des gouvernements du monde entier y est plus liée que la maladie elle-même.

    De nombreux pays ont répondu à la pandémie en imposant des confinements ou des restrictions de mouvement. En conséquence, les détaillants et les fabricants ne récupèrent pas leurs cargaisons et leurs conteneurs parce que leurs entrepôts sont soit pleins, soit fermés.

    Certains ports restent ouverts mais avec une main-d'œuvre réduite, ce qui aggrave la congestion des marchandises. Cela a maintenant causé une perturbation de la chaîne d'approvisionnement, en particulier la circulation des biens et des denrées alimentaires essentiels. Les cargaisons non collectées dans les ports créent des encombrements et prennent de la place, réduisant leur capacité à accueillir les cargaisons et les conteneurs entrants.

    Les demandes des consommateurs ont radicalement changé tout au long de la pandémie. Les produits essentiels ont connu une augmentation vertigineuse de la demande, en particulier les produits désinfectants, les fournitures médicales, les produits d'épicerie et les articles en papier. (Connexe: les problèmes de la chaîne d'approvisionnement de Covid s'aggravent à mesure que les prix montent en flèche, les étagères se vident.)

    Le fret aérien a également connu une augmentation globale de son utilisation pendant la pandémie, les marchandises essentielles étant transportées à travers le monde. Certains avions de passagers ont même été modernisés pour transporter plus de fret à l'intérieur de la cabine.

    Mais les fabricants – en grande partie en raison de pénuries de main-d'œuvre – ont eu du mal à répondre à la demande, ralentissant l'ensemble de l'industrie du fret. Alors que les avions sont prêts à voler et les chauffeurs de camion sont prêts à transporter du fret à travers le pays, les marchandises, malheureusement, ne sont pas là pour faire le voyage.

    Les prix des denrées alimentaires continuent d'augmenter alors que le monde manque de travailleurs
    Bloomberg a publié le mois dernier un article qui prédisait que les prix alimentaires mondiaux continueraient d'augmenter alors que "le monde manque de travailleurs".

    Au Vietnam, l'armée participe à la récolte du riz ; au Royaume-Uni, les agriculteurs jettent du lait parce qu'il n'y a pas de camionneurs pour le récupérer. Au Brésil, les grains de café robusta ont mis 120 jours à récolter cette année, au lieu des 90 habituels. Aux États-Unis, les emballeurs de viande tentent d'attirer de nouveaux employés avec des incitations tandis que les chaînes de restauration rapide augmentent les prix des hamburgers et des burritos.

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  13. Les pénuries de main-d'œuvre ont perturbé l'écosystème alimentaire mondial. Certains employeurs sont désormais contraints d'augmenter les salaires malgré des difficultés financières. Les travailleurs exigent également une plus grande protection contre le COVID-19. Pendant ce temps, les employés de la restauration dans les villes avec des mandats de vaccination comme New York choisissent de démissionner plutôt que d'obtenir des vaccins expérimentaux COVID-19 ou servent de police des vaccins au travail.

    Les fermetures éloignent les équipages des navires

    Les fermetures ont contribué à la pénurie de main-d'œuvre dans l'industrie du transport maritime. (Connexe : « Effondrement du système » : les employés de la chaîne d'approvisionnement mettent en garde contre une panne imminente, car les fermetures de COVID ont épuisé la main-d'œuvre et aggravé les pénuries de produits.)

    Les Philippines, la Chine, l'Inde et l'Indonésie sont parmi les plus gros fournisseurs de membres d'équipage. Mais les blocages et autres restrictions pandémiques ont bloqué des milliers de membres d'équipage dans le monde.

    Les restrictions des compagnies aériennes et des ports dans la plupart de ces pays ont rendu presque impossible le retour des membres d'équipage chez eux si les gouvernements ne prennent pas de dispositions spéciales. Même si un navire atteint un port ouvert, les membres d'équipage peuvent toujours ne pas avoir de chance car la plupart du trafic aérien international est bloqué.

    Beaucoup de ces membres d'équipage ont décidé de chercher d'autres emplois, créant un trou énorme dans la main-d'œuvre de l'industrie du transport maritime.

    Les chaînes d'approvisionnement déjà tendues avant la pandémie

    La pandémie a mis en évidence la fragilité des chaînes d'approvisionnement mondiales. Mais certains disent que les chaînes d'approvisionnement se dirigent déjà vers le sud indépendamment de la pandémie et des restrictions qui en résultent.

    En regardant en 2019, les taux au comptant étaient essentiellement stables, le marché du fret traversant un cycle d'offre excédentaire et de demande stagnante. Beaucoup craignaient qu'une récession ne soit imminente.

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  14. Un secteur industriel atone dans lequel la croissance de la production industrielle a été négative pendant près d'un an a indiqué une stagnation des investissements dans les entreprises et les infrastructures, signe que l'économie entrait dans une phase d'aversion au risque et de consolidation.

    Le gouvernement américain a pu adopter rapidement un plan de relance qui a stimulé la demande des consommateurs vers de nouveaux sommets. Les consommateurs ont pris les rênes de la reprise économique en utilisant l'argent de la relance et les économies réalisées en ne conduisant pas pour se rendre au travail, en achetant de nouveaux vêtements et en dînant au restaurant pour rénover leur maison et acheter des appareils électroniques.

    L'assaut d'une demande inattendue a pris la plupart des expéditeurs et des transporteurs au dépourvu alors qu'ils s'attendaient à la prochaine dépression. Ils ont rapidement constaté que leurs stocks jadis surstockés étaient épuisés et devaient commander plus de marchandises - en une seule fois.

    Les expéditeurs ont commencé à commander non seulement pour le réapprovisionnement, mais pour l'avenir afin d'éviter de manquer des revenus.

    La plupart des biens durables comme l'électronique et les meubles proviennent d'Asie, tandis que la plupart des consommateurs de ces produits vivent dans la moitié orientale des États-Unis. Il faut plusieurs semaines à compter de la date de commande initiale pour acheminer les marchandises de la Chine à New York. Pour éviter les ruptures de stock, les expéditeurs doivent commander des mois à l'avance.

    Les expéditeurs ont appris à augmenter le volume de leurs commandes à mesure que la production devenait tendue ; mais à ce moment-là, les fournisseurs de transport réduisaient leur capacité. Cela signifie que la demande a rapidement dépassé l'offre à plusieurs niveaux. Celles-ci se produisaient avant la pandémie.

    Mais sans aucun doute, la pandémie et les blocages et autres restrictions qui en résultent ont amplifié la tension dans la chaîne d'approvisionnement mondiale.

    Suivez Pandemic.news pour plus d'informations sur les blocages et autres mesures mises en œuvre par les gouvernements pendant la pandémie de coronavirus.

    Sources include:

    FreightWaves.com
    Maritime-Executive.com
    MehaffyWeber.com
    Bloomberg.com

    https://www.naturalnews.com/2021-10-15-lockdowns-magnify-strain-in-global-supply-chain.html

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  15. Le Green Deal entraîne probablement une baisse des rendements agricoles


    16 Octobre 2021
    Wageningen University & Research*
    (Source)


    D'ici 2030, la Commission Européenne veut réduire de moitié l'utilisation des pesticides dans l'agriculture. L'utilisation d'engrais devrait être réduite selon les plans de l'Europe. Ces mesures visent à lutter contre le changement climatique et la perte de biodiversité. Une conséquence probable, cependant, est que les rendements des cultures agricoles vont diminuer. Une production plus faible entraîne une hausse des prix, une diminution des exportations européennes et une augmentation des importations de produits agricoles en provenance de l'extérieur de l'Europe. C'est ce qu'ont calculé des chercheurs de l'Université et de la Recherche de Wageningen dans une étude commandée par CropLife Europe et CropLife International, avec la participation d'autres acteurs de la chaîne d'approvisionnement alimentaire.

    - voir cadre sur site -

    Dans cette étude, les chercheurs se sont concentrés sur l'impact des stratégies Farm2Fork (F2F – de la ferme à la table) et Biodiversity (BD), qui font toutes deux partie du Green Deal (Pacte Vert). Ils ont examiné des cultures annuelles (blé, colza, maïs, betterave à sucre, houblon et tomates) et des cultures pérennes (pommes, olives, raisins et agrumes). Les chercheurs ont cartographié l'impact sur la base de quatre scénarios, qui ont été dérivés des stratégies mentionnées. Le premier scénario suppose une réduction de 50 % des pesticides, y compris le groupe des pesticides les plus nocifs pour l'environnement. Le scénario 2 envisage une réduction de moitié des pertes de nutriments et une réduction de 20 % de l'utilisation d'engrais, tandis que le scénario 3 utilise au moins 25 % des terres agricoles pour la production biologique. Enfin, le scénario 4 combine les objectifs des deux premiers scénarios avec l'objectif de laisser au moins 10 pour cent des terres agricoles à la nature. Ce dernier scénario donne le meilleur aperçu de l'impact combiné des mesures proposées.

    Études de cas détaillées

    Dans le cadre de l'étude, les chercheurs ont d'abord réalisé des études de cas détaillées sur 25 exploitations agricoles de l'Union Européenne. Dans chaque cas, ils ont décrit les ajustements que les agriculteurs apporteraient à l'application de pesticides et d'engrais si la nouvelle politique européenne devenait réalité. Les chercheurs ont ensuite calculé l'impact sur le rendement des cultures. Les résultats ont été extrapolés au niveau des États membres de l'UE et utilisés dans des modèles économiques pour évaluer les répercussions sur le marché.

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  16. Une baisse de 10 à 20 % de la production

    Selon Johan Bremmer, chercheur à WageningenUniversity & Research, l'étude montre que la mise en œuvre des stratégies F2F et BD a un impact négatif sur les rendements des cultures et la production agricole : « Le scénario 4 analyse un impact cumulatif de plusieurs objectifs de la ferme à la table. Pensez à la réduction de l'utilisation des pesticides et à la prévention de la perte de nutriments. Ce scénario montre une baisse moyenne de la production comprise entre 10 et 20 %. Certaines cultures souffrent plus que d'autres. Le volume de production peut diminuer jusqu'à 30 %, mais il y a aussi des cultures qui ne souffrent pratiquement pas de la stratégie F2F.

    « En outre, la réduction de l'utilisation des pesticides et des engrais peut entraîner des problèmes de qualité. Par exemple, si l'on utilise moins de pesticides, les céréales peuvent devenir sensibles aux toxines fongiques, ce qui les rend impropres à l'alimentation humaine ou animale. La réduction de l'utilisation d'éléments fertilisants et de pesticides peut entraîner une baisse du rendement par hectare de pommes, une réduction de la taille des fruits et une altération des peaux. Les fruits de moindre qualité sont moins appréciés par les consommateurs. Par conséquent, s'il n'y a pas de changement du côté de la demande, cela signifie qu'il faut s'attendre à davantage de rareté – et donc à une augmentation des prix. Cela a également des conséquences négatives sur la balance commerciale européenne, car les exportations diminuent et les importations augmentent. »

    Des terres agricoles supplémentaires sont nécessaires en dehors de l'UE

    L'étude précise également que la diminution de la production dans l'UE nécessitera des terres agricoles supplémentaires en dehors de l'UE. Johan Bremmer : « Si la demande reste inchangée, l'Europe devra combler le manque en important davantage. Plus encore : si l'Europe exporte moins, les pays hors d'Europe devront eux-mêmes produire davantage. Nous avons calculé combien d'hectares de terres agricoles en dehors de l'UE sont nécessaires pour absorber cette combinaison d'effets. Dans tous les scénarios, ce changement indirect d'affectation des terres est considérable. »

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  17. Les avantages pour le climat et la biodiversité n'ont pas été pris en compte

    L'étude se concentre purement sur les conséquences économiques des stratégies du Green Deal pour les secteurs des cultures. Johan Bremmer : « C'est la première fois que nous avons cartographié ce qui arrive à la production agricole lorsque les entreprises mettent leurs stratégies en matière de pesticides et d'engrais en conformité avec les objectifs de la Commission européenne. Il est bon de savoir que la stratégie européenne vise à obtenir des avantages en termes de climat et de biodiversité. Ces bénéfices ne font pas partie du champ d'application de cette étude. »
    _________________

    * Source : Green Deal probably leads to lower agricultural yields - WUR

    Ma note : Les financements proviennent aussi d'Euroseeds, du COPA-COGECA et de Fertilizers Europe selon Euractiv.

    Selon le résumé, la mise en œuvre de l'objectif des 25 % entraînera une baisse de la production de moins de 10 % et s'accompagnera d'une augmentation des prix d'un peu moins de 13

    - voir cadre sur site -

    https://seppi.over-blog.com/2021/10/le-green-deal-entraine-probablement-une-baisse-des-rendements-agricoles.html

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  18. Drs. Steven Hotze et Peter McCullough discutent des dangers des protéines de pointe et des réponses de santé publique – Brighteon.TV


    vendredi 15 octobre 2021
    par : Ramon Tomey


    (Natural News) Le cardiologue de renom, le Dr Peter McCullough, se joint au PDG du Hotze Health & Wellness Center, le Dr Steven Hotze, pour parler de la pandémie actuelle de coronavirus de Wuhan (COVID-19).

    - voir clip sur site -

    Au cours de l'épisode du 11 octobre de "The Dr. Hotze Report" sur Brighteon.TV, les deux ont parlé des directives inadéquates et contradictoires des responsables de la santé publique concernant la pandémie de COVID-19 et la protéine de pointe SARS-CoV-2.

    Hotze cite l'exercice simulé Event 201 comme le précurseur de la pandémie en cours. L'exercice Event 201 a été mené en octobre 2019 par le Center for Health Security (CHS) de l'Université Johns Hopkins. Le site Web de la SCH indique que l'événement 201 « a simulé une série de discussions facilitées basées sur des scénarios associées à la réponse à une pandémie hypothétique mais scientifiquement plausible ».

    La SCH a ensuite publié une déclaration en janvier 2020 clarifiant le but de l'événement au milieu de l'épidémie initiale de COVID-19 en Chine. Il a déclaré que la SCH et ses partenaires "n'ont pas fait de prédiction lors de notre exercice sur table". Le communiqué ajoute : « Pour le scénario, nous avons modélisé une pandémie fictive de coronavirus, mais nous avons explicitement déclaré qu’il ne s’agissait pas d’une prédiction. Au lieu de cela, l'exercice a servi à mettre en évidence les défis de préparation et de réponse qui surgiraient probablement dans une pandémie très grave. »

    « Ils allaient avoir une simulation de réunion sur la façon dont nous gérerions le monde si le coronavirus se présentait, ce qu’il a fait deux mois plus tard. Ils étaient avec la Fondation Bill & Melinda Gates et le Forum économique mondial pour parler d'une crise imminente, d'une pandémie à laquelle nous devions nous préparer – et il s'est avéré que c'était COVID-19 », a déclaré Hotze.

    McCullough : la réponse des responsables de la santé publique est inadéquate
    McCullough dit qu'il "ne pouvait pas croire à quelle vitesse les décès dus au COVID-19 ont été catégorisés en mars [l'année dernière]". Mais il note que "différents membres du personnel des agences de santé publique n'étaient absolument pas préparés à une situation de nombreuses victimes".

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  19. Hotze souligne les directives incohérentes des responsables de la santé publique au début de la pandémie. "Nous avons entendu Anthony Fauci, Deborah Birx et le reste des responsables de la santé publique dire au départ" vous n'avez pas à vous soucier des masques, les masques ne veulent rien dire ". Et puis le lendemain, ils disent" tout le monde devait se masquer en place, avoir une distanciation sociale, se mettre en quarantaine et fermer des entreprises, des écoles et des églises. » [Ils] ont déployé cette chose à travers les États-Unis et dans le monde », a déclaré Hotze.

    McCullough ajoute au point de Hotze: «Chaque élément de réponse à la pandémie que vous avez mentionné n'a pas résolu le problème. Le problème était que les Américains tombaient gravement malades avec une maladie respiratoire, et une petite fraction est tombée vraiment malade et s'est retrouvée à l'hôpital, et certains d'entre eux sont malheureusement décédés.

    Le cardiologue note qu'il ne se concentrerait pas sur les masques et la distanciation sociale s'il supervisait les opérations de réponse à la pandémie. Il dit à Hotze : « Tout aurait été à propos du patient. Nous aurions organisé une réponse au traitement immédiatement. Nous aurions fait venir à Washington des médecins qui ont de l'expérience dans le traitement des patients atteints de maladies respiratoires en ambulatoire et ils auraient immédiatement formulé un plan. » (Connexe: infirmière Erin Olszewski: HCQ et zinc meilleurs traitements pour Covid – Brighteon.TV.)

    Hotze et McCullough discutent des dangers de la protéine de pointe
    L'animateur de « The Dr. Hotze Report » a déclaré : « Il est apparu par toute pensée raisonnable qu'il s'agissait d'un plan bien pensé, que cela s'était produit. Rien de tel n'arrive par accident. Quelqu'un a planifié cela, et ils ont tout le pays dans l'hystérie et la peur parce qu'ils voulaient les pousser vers une chose - la soi-disant vaccination.

    Hotze ajoute que le vaccin COVID-19 est en fait une « injection expérimentale de modification génétique qui insère un ARNm fabriqué en laboratoire dans votre système et amène vos cellules à fabriquer la protéine de pointe qui tue les gens ».

    McCullough explique les effets de la protéine de pointe SARS-CoV-2, qui est utilisée dans les injections COVID-19, sur la santé humaine.

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  20. «Ce que nous avons appris, c'est que le [coronavirus] est tel que décrit dans les dessins animés – comme une balle [with] la protéine de pointe à la surface. Les épines à la surface du virus, c'est là que se produisent tous les dangers », dit-il.

    « C’était l’avantage apporté à l’Institut de virologie de Wuhan pour ce virus – il peut facilement pénétrer dans les cellules. Et puis, une fois à l'intérieur des cellules, la protéine de pointe elle-même endommage les cellules endothéliales [et] provoque des caillots sanguins. [Il est également] distribué dans tout le corps, soit dit en passant. Il pénètre facilement dans le cœur, le cerveau, les poumons, les reins et les nerfs.

    Selon McCullough, le SARS-CoV-2 est très différent du virus responsable du rhume en raison de la manipulation génétique du premier. « Le rhume [virus] reste dans le nez et la bouche, dans l'arbre trachéobronchique. Les modifications [génétiques] apportées en laboratoire ont rendu le virus [du rhume] désormais capable d'envahir le corps et de causer des dommages aux organes », dit-il. (Connexe : BIOWEAPON : une nouvelle étude révèle une protéine de pointe dans les vaccins contre le coronavirus responsable des effets indésirables.)

    Regardez l'épisode complet du 11 octobre de "The Dr. Hotze Report" ci-dessous. "The Dr. Hotze Report" est diffusé tous les lundis de 17h à 18h. sur Brighteon.TV.

    Pandemic.news a plus d'articles sur la façon dont les responsables de la santé publique réagissent à la pandémie de COVID-19.

    Sources include:

    Brighteon.com
    CenterForHealthSecurity.org 1
    CenterForHealthSecurity.org 2

    https://www.naturalnews.com/2021-10-15-hotze-mccullough-spike-protein-public-health-responses.html

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  21. Le secrétaire à l'Intérieur Haaland a déclaré que des éoliennes pourraient bientôt recouvrir les côtes américaines


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 16 OCT 2021 - 19:30
    Écrit par Nathan Worcester via Epoch Times


    S'exprimant lors d'une conférence sur l'industrie éolienne organisée par l'American Clean Power Association, la secrétaire à l'Intérieur Deb Haaland a annoncé le projet du Bureau of Ocean Energy Management (BOEM) d'organiser sept ventes de baux offshore le long des côtes américaines d'ici 2025, conformément au Décret exécutif de l'administration Biden, « Lutter contre la crise climatique à la maison et à l'étranger », qui a ordonné au secrétaire de l'Intérieur de « [doubler] l'éolien offshore d'ici 2030 ».

    Les sites proposés comprendraient la côte nord et centrale de la Californie, la côte de l'Oregon, le golfe du Mexique, la baie Carolina Long, l'Atlantique central, la baie de New York et le golfe du Maine.

    La conférence américaine sur l'énergie propre à laquelle le secrétaire Haaland a pris la parole a également comporté des remarques du sénateur Ed Markey (D.-Mass.) et de divers initiés de l'industrie éolienne, et a été parrainée par GE Renewable Energy, Siemens Gamesa, Shell, Vineyard Wind et d'autres sociétés. avec une participation financière dans l'éolien.

    "Le ministère de l'Intérieur élabore une feuille de route ambitieuse alors que nous faisons avancer les plans de l'administration pour faire face au changement climatique, créer des emplois bien rémunérés et accélérer la transition du pays vers un avenir énergétique plus propre", a déclaré le secrétaire Haaland.

    «Ensemble, nous atteindrons nos objectifs en matière d'énergie propre tout en répondant aux besoins des autres utilisateurs de l'océan et des communautés potentiellement touchées.»

    Dans son communiqué de presse sur l'annonce, BOEM a affirmé qu'il utiliserait "la meilleure science disponible ainsi que les connaissances des utilisateurs de l'océan et d'autres parties prenantes pour minimiser les conflits avec les utilisations existantes et la vie marine" tout en réalisant l'objectif d'ajouter 30 gigawatts supplémentaires d'éolien offshore. puissance d'ici 2030.

    Pourtant, certaines personnes, dont la directrice du groupe WindAction, Lisa Linowes, soutiennent que BOEM et d'autres agences gouvernementales n'ont pas fait assez pour lutter contre les impacts environnementaux potentiels des projets d'énergie éolienne le long des côtes du pays.

    Dans un échange d'e-mails avec Epoch Times, Linowes a mis en évidence une action en justice contre le projet d'énergie éolienne de 800 mégawatts de Vineyard Wind le long de Martha's Vineyard.

    Le procès allègue que BOEM et la National Oceanic and Atmospheric Administration/National Marine Fisheries (NOAA/Fisheries) n'ont pas fait assez pour protéger la baleine noire de l'Atlantique Nord, en voie de disparition, des dommages causés par le projet.

    Les projets éoliens en mer peuvent également entraver la pêche commerciale, violant potentiellement la loi américaine sur les terres du plateau continental extérieur de 1953.

    Alors que le ministère de l'Intérieur de l'administration Trump a publié une note en décembre 2020 affirmant que la loi empêche les projets éoliens offshore qui interfèrent de manière déraisonnable avec la pêche, l'administration Biden a renversé cette opinion en avril 2021.

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  22. « Les obligations du secrétaire d'assurer la 'protection de l'environnement', la 'prévention des déchets', la 'protection des intérêts de sécurité nationale des États-Unis' et le 'retour équitable aux États-Unis' peuvent peser en faveur de Des actions de secrétariat pour maximiser la production d'électricité renouvelable à faibles émissions à partir d'installations éoliennes offshore, mais, dans certaines circonstances, l'emplacement et l'exploitation de ces installations peuvent ne pas permettre de manière optimale d'autres « utilisations raisonnables » de la zone économique exclusive », écrit Robert Anderson, avocat principal adjoint du ministère de l'Intérieur, dont les publications en tant que professeur de droit comprennent des recherches visant à «protéger les zones offshore contre la location de pétrole et de gaz».

    Linowes a déclaré: «Le Biden [administration] joue vite et librement avec nos lois afin de percuter une industrie éolienne offshore. C'est certain de produire plus de procès et finalement de retourner le public contre ces projets. Le nombre de personnes vivant le long de la côte est qui s'opposent à ces projets augmente rapidement.

    « Les risques pour les oiseaux et les chauves-souris sont réels. Quinze milles au large, ce n'est pas très loin », a ajouté Linowes.

    Interrogé sur ce qu'il fera pour s'assurer que sa capacité de turbine n'est pas nocive pour la vie océanique, les populations d'oiseaux et les pêcheurs, un porte-parole du DOI a déclaré à Epoch Times par e-mail que « BOEM continue de travailler avec la communauté des pêcheurs, d'autres agences fédérales, les tribus, l'industrie , des organisations de conservation et d'autres utilisateurs et parties prenantes clés de l'océan pour s'assurer que le développement de l'énergie offshore et le processus d'examen réglementaire du BOEM sont éclairés par les données et les informations qu'ils fournissent, ainsi que par les meilleures sciences et connaissances disponibles.

    Mais Linowes a exprimé son scepticisme quant à l'engagement de l'agence et de l'industrie à travailler avec les pêcheurs et autres parties prenantes, déclarant que ces groupes "n'ont pas réussi à parvenir à un accord avec Vineyard Wind et d'autres projets au large des côtes du NJ et de New York".

    Interrogé sur qui nettoierait les anciennes éoliennes et les infrastructures associées, le porte-parole du DOI a répondu que «les locataires sont responsables du déclassement des projets proposés à la fin de leur bail. Cela comprend le retrait ou le déclassement de toutes les installations, projets, câbles et obstructions.

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  23. Sur Twitter, les remarques de Haaland ont été accueillies avec enthousiasme par certains.

    "Ce doit être mon annonce préférée pour sortir de #OffshoreWind21 jusqu'à présent ! Un grand merci à la secrétaire Deb Haaland pour avoir fait le voyage. Cela a de nombreuses implications pour la région de #NewYork, en particulier en ce qui concerne les #infrastructures #ports et la transmission électrique », a déclaré David Brezler, qui se décrit sur LinkedIn comme un professionnel de l'analyse de données et de la gestion de projet travaillant actuellement sur l'éolien offshore et d'autres projets d'énergie renouvelable.

    D'autres ont répondu à l'annonce en soulignant les problèmes de fiabilité et de coût de l'énergie éolienne.

    Alors que le ministère de l'Énergie de Biden a affirmé que 30 gigawatts d'énergie éolienne supplémentaires pourraient « alimenter 10 millions de foyers », les sources d'énergie intermittentes telles que le vent nécessitent également une alimentation de gaz naturel ou d'autres sources d'électricité fiables lorsque le vent ne souffle pas, ajoutant ce que l'on appelle coûts d'équilibrage de charge.

    En Allemagne, où l'énergie éolienne s'est rapidement développée, les prix de l'énergie pour les ménages ont atteint les plus hauts de l'Union européenne (UE) et devraient augmenter cet hiver, conformément aux projections pour les États-Unis.

    La dépendance de l'Allemagne à l'égard des sources d'énergie étrangères, y compris la Russie et d'autres rivaux géopolitiques, est également élevée ; en 2019, l'Allemagne dépendait des importations pour 71% de son approvisionnement énergétique selon l'Energy Information Administration, une légère baisse par rapport à 2000, selon la Deutsche Bank.

    « Les parcs éoliens ne peuvent pas « combattre » le changement climatique. Seuls les fraudeurs prétendent, et les idiots croient à de telles absurdités. Les parcs éoliens ne font que voler les contribuables avec une électricité inutilement chère et peu fiable », a déclaré Steve Milloy, propriétaire de JunkScience.com, qui a fait partie de l'équipe de transition de l'Environmental Protection Agency (EPA) du président Trump.

    https://www.zerohedge.com/energy/interior-secretary-haaland-tells-wind-industry-wind-turbines-may-soon-line-us-coasts

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    1. Sans parler que c'est tous les jours qu'il y a des milliards d'oiseaux et d'abeilles abattues par les verts !

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  24. Le scandale ivermectine


    Par Jean-Loup Izambert
    Mondialisation.ca,
    16 octobre 2021



    Ce livre-document n'est pas construit par chapitres. La raison en est simple : son écriture suit, jour après jour, l'enquête menée par l'auteur, journaliste d'investigation indépendant et écrivain :

    - découverte de décisions injustifiées de dirigeants de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), de l'Union européenne, du président et du gouvernement français comme d'administrations du ministère français des Solidarités et de la Santé sur un médicament, l'Ivermectine, dont les caractéristiques d'efficacité et de sûreté contre la maladie covid-19 sont dissimulées ;

    - recherche des principales études scientifiques vérifiées publiées au fil des mois sur l'Ivermectine ;

    - analyse du jeu trompeur de dirigeants de sociétés transnationales étasuniennes de la pharmacie avec les dirigeants de l'Union européenne et de l'OMS pour imposer leurs pro- duits ;

    - procès en cours contre ces dirigeants politiques et respon- sables d'administrations qui ont ainsi laissé mourir des dizaines de milliers de personnes au seul profit de fabricants de « vaccins » peu sûrs et potentiellement dangereux.

    L'auteur montre, point par point, dans une succession de courts paragraphes très documentés, comment et pourquoi l'Ivermectine, médicament efficace et sûr, a été écarté du traitement de personnes atteintes de la covid-19.

    Il répond ainsi aussi précisément que possible aux questions que ne manquera pas de se poser le lecteur en suivant étape par étape le cours de cette enquête surprenante sur cette affaire qui pourrait bien devenir le scandale sanitaire du siècle.

    DÉDICACE

    À la mémoire de Maryan Baquerot1, universitaire, ancien directeur exécutif de la gestion et du management de l'Organisation mondiale de la santé, fonctionnaire compétent, intègre et humain, complice discret et amical de mes enquêtes (2001-2002) sur le fonctionnement des organisations internationales du système onusien

    ****

    PRÉAMBULE : AVEC OU SANS

    Imaginez un pays de 3,28 millions de kilomètres carrés, six fois plus grand que la France ; un pays de 1,4 milliard d'habitants vingt- deux fois plus peuplé que l'Hexagone et trois fois plus que les vingt- sept États membres de l'Union européenne.

    Imaginez ce pays dont les dirigeants, contrairement à ceux de l'Union européenne et de la France, ne suppriment pas des milliers d'emplois dans le secteur de la Santé, ne ferment pas les structures de soins et des milliers de lits d'hôpitaux, mais programment dans le budget 2021-2022 de l'État des investissements pour la santé à hauteur de 26,02 milliards d'euros (10,94 milliards d'euros en 2020- 2021) ; un pays dont « les soins de santé sont devenus l'un des secteurs les plus importants à la fois en termes de revenus et d'emplois »2.

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  25. Imaginez ce grand pays, membre de l'Organisation de la coopération de Shanghai (OCS)3 au cœur de grands projets parmi lesquels la création de 90 millions d'emplois non agricoles entre 2023 et 2030 ; un grand pays dynamique qui projette un objectif de croissance de son PIB de 11 % pour l'exercice 2022 quand celui de la France est de moins 8,1 %, celui de l'Union européenne de moins 6,21 %4 et que ceux-ci, à la suite des États-Unis, s'enfoncent dans une crise économique et financière sans précédent.

    Imaginez ce pays, fédération de 28 États, qui compte vingt métropoles entre 1,8 et plus de 18 millions d'habitants, une densité de population de près de 418 habitants au kilomètre carré, durement touché par la maladie covid-19 en 2020.

    Dans ce grand pays très peuplé, des États vont faire le choix, comme les dirigeants de l'Union européenne et français, d'appliquer la « recommandation » de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) du 31 mars 2021 « de ne pas utiliser l'Ivermectine chez les patients atteints de Covid-19, sauf dans le cadre d'un essai clinique ». Pourtant, l'Ivermectine est le médicament efficace, sûr et peu coûteux contre la covid-19.

    D'autres États, au contraire, vont se référer aux nombreuses études scientifiques réalisées dans plusieurs pays et vérifiées par des pairs et utiliser massivement ce médicament dès le milieu de l'année 2020.

    Résultats au bout de quelques mois ?

    Sans l'Ivermectine, les premiers qui se sont alignés sur l'incroyable décision de l'OMS vont voir la maladie progresser et le nombre de décès exploser.

    Avec l'Ivermectine, les seconds, qui feront confiance aux études scientifiques sur ce médicament avant même la décision de l'OMS, endigueront la pandémie en réduisant radicalement le nombre de malades et de décès.

    Dès le mois d'avril 2021, le ministère indien de la Santé préconisera l'Ivermectine comme traitement de la covid-19. La République de l'Inde va alors être l'objet de multiples pressions de la part de dirigeants de l'OMS et de lobbies de sociétés transnationales de la pharmacie.

    Le 10 mai, la scientifique en chef de l'OMS, Soumya Swaminathan, envoie un texte sur les réseaux numériques (tweet) rappelant la décision de l'OMS du 29 mars déconseillant l'utilisation de l'Ivermectine pour traiter les patients atteints de la covid-19.

    Le 13 mai, la Haute Cour de Justice de Bombay, après un récapitulatif des données sur l'Ivermectine par un groupe d'experts médicaux des secteurs public et privé, et après avoir entendu les déclarations sous serment des gouvernements de l'État et de l'Union, confirme l'usage du médicament comme traitement contre la covid- 19. Le vice-secrétaire d'État à la Santé, Vikas Gaunekar, déclare sous serment que « diverses études menées dans différents pays ont montré que le médicament a un effet positif sur la prévention et le traitement/guérison des patients ». De plus, dit-il, « certains rapports ont révélé que l'analyse de l'OMS sur ce médicament est erronée et que le taux de mortalité est en réalité beaucoup plus faible si ledit médicament est utilisé pour un traitement précoce, ainsi que pour la prophylaxie (traitement préventif) »6.

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  26. Malgré le jugement de la Haute Cour de justice, les prises de position et surtout les résultats très positifs et incontestables obtenus avec l'Ivermectine, des dirigeants de l'OMS maintiennent leur campagne de désinformation contre le médicament.

    Aussi, l'Indian Bar Association, l'association nationale du barreau indien, va-t-elle mettre en demeure la directrice scientifique de l'OMS à l'origine de cette décision, Soumya Swaminathan, de s'expliquer sur « une campagne de désinformation contre l'Ivermectine en supprimant délibérément l'efficacité du médicament Ivermectine comme prophylaxie et pour le traitement de la Covid-19, malgré l'existence de grandes quantités de données cliniques compilées et présentées par des médecins et des scientifiques estimés, hautement qualifiés et expérimentés ».

    Puis, des plaintes sont déposées à l'encontre de plusieurs dirigeants de l'OMS. Parmi celles-ci, une action en justice ouverte le 25 mai 2021 contre la scientifique en chef de l'OMS, accusée d'avoir causé la mort de citoyens indiens en les trompant sur l'Ivermectine.

    Une autre, du 13 juin, vise également le Directeur général de l'OMS et le Directeur général des services de santé (DGHS) de l'Inde .

    Un autre encore, le 30 du même mois, est déposée par le Secrétaire général du Conseil de sécurité des Droits de l'homme (HRSC) - une ONG basée en Inde -, Ashif Shaikh, contre le Docteur Soumya Swaminathan et d'autres pour « leur complot et les infractions graves commises contre l'humanité lors de la pandémie de Covid-19 »8.

    En France, le président de la République, le Premier ministre, son ministre de la Santé et des dirigeants d'administrations continuent de laisser s'aggraver la situation de malades qui pourraient être soignés et en laissent mourir d'autres en ne recommandant pas le traitement Ivermectine.

    Voici comment et pourquoi les autorités politiques et administratives de l'Union européenne et françaises ont empêché une utilisation massive du médicament qui permet de soigner la covid-19. Avec à la clé des dizaines de milliards de dollars de profits pour les sociétés transnationales US de la pharmacie, fabricants de « vaccins ». Et un pourrissement de la vie des Français par une destruction économique et sociale dramatique du pays.

    L'ENQUÊTE

    Le médicament pour soigner la covid-19 existe ! Il s'appelle Ivermectine.

    Rien à voir avec l'Hydroxychloroquine ou d'autres tant ce médicament a déjà prouvé ses effets bénéfiques contre les maladies depuis plus de trente ans. Découvert en 1975, mis au point et utilisé pour la première fois sur l'homme en 1988, il a déjà permis de soigner et de sauver des millions de vies à travers le monde.

    Médicament à spectre large, allait-il être également efficace et sûr contre la maladie provoquée par le virus SRAS-CoV-210 ?

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  27. C'est ce qu'ont cherché à savoir des chercheurs de plusieurs pays dès le début de la pandémie de la maladie covid-19, en janvier 2020.

    De très nombreuses études réalisées et vérifiées par des pairs vont prouver qu'il peut aussi soigner la maladie du SRAS-CoV-2.

    Les résultats de plusieurs méta-analyses (études Abdulamir et al., 2021 ; Kory, 2021 ; Lawrie, 2021 et bien d'autres depuis) sont tous concordants sur l'efficacité et la sûreté de l'Ivermectine pour traiter la covid-19 à tous les stades de la maladie.

    Dès le mois de novembre 2020, la base de données mise en ligne sur internet à l'adresse www.ivmmeta.com répertorie toutes les études réalisées sur l'Ivermectine. Chaque étude y est présentée, analysée et des données statistiques synthétisent l'ensemble des résultats. Créée aux États-Unis par des doctorants, universitaires et scientifiques, elle est accessible gratuitement au grand public. Bien que ses comptes, qui ne publient que des analyses scientifiques soient censurés par Twitter11 sans aucune notification ni explication, la plate-forme internet est régulièrement mise à jour. Sauf omission, www.ivmmeta.com est la base de données la plus complète et précise au monde sur l'Ivermectine.

    Le traitement par l'Ivermectine sur des patients atteints de la covid-19 permet « une baisse de la mortalité entre 65 % à 90 %, et une baisse du risque d'infection en prophylaxie de plus de 80 %, ainsi qu'une diminution significative de la durée d'hospitalisation et du délai de guérison», indique de son côté Réinfocovid, l'un des principaux sites internet des professionnels de santé et scientifiques français .

    Dans de nombreux autres pays, des médecins et chercheurs ont fait le même constat. Pourtant, vous n'en avez rien su, ou si peu...

    Vous ne pouviez vous imaginer que des responsables politiques et administratifs dissimuleraient un traitement peu coûteux, efficace et sûr en pleine urgence sanitaire au profit d'autres, tous très chers qui, pour certains, s'avèrent inefficaces quand ils ne sont pas potentiellement dangereux.

    Quel est ce médicament et pourquoi les autorités de l'Union européenne et françaises le marginalisent-elles au profit de produits géniques expérimentaux, bien plus chers et dangereux ?

    Le scandale Ivermectine ?

    Il est difficile de qualifier autrement le fait que des dirigeants de l'OMS, de l'Union européenne et tout particulièrement des responsables politiques et fonctionnaires français aient dissimulé les qualités d'un médicament pour lutter contre la maladie covid-19. Agissant ainsi, ils ont laissé la maladie prospérer alors qu'elle pouvait être stoppée massivement. Il en résulte une aggravation du nombre de malades et de leur situation comme du nombre de décès dont ils portent la responsabilité.

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  28. Le fait est d'autant plus scandaleux que l'efficacité, la sûreté et le peu d'effets secondaires de ce médicament sont non seulement prouvés par de très nombreuses études scientifiques, mais également par le traitement sur des millions de personnes dans d'autres pays non membres de l'Union européenne.

    Scandaleux également car, dans le même temps où ils dissimulent ces données scientifiques et ces faits, ces politiciens et fonctionnaires mènent une campagne liberticide au pas de charge pour contraindre la population à se faire injecter des produits qualifiés de « vaccins » qui ne sont pas au point et s'avèrent surtout beaucoup moins efficaces et bien plus dangereux que l'Ivermectine.

    Le lecteur ne peut imaginer que les dirigeants de l'Union européenne et français, politiques et administratifs, aient trompé à ce point l'opinion publique.

    Aussi, avant de voir les origines et caractéristiques de ce médicament, comprendre comment il agit contre la maladie du virus SRAS-CoV-2, comment et pourquoi il a été écarté d'un traitement massif qui aurait permis au niveau mondial d'épargner des millions de malades et de décès, il est nécessaire de présenter l'importance de cette vérité qui, en ce début du mois de juillet 2021, ne fait que commencer de « remonter à la surface ».

    Qui mieux que maître Dipali Ojha, avocate indienne diplômée de l'Université de Mumbai, qui a travaillé dans plusieurs cabinets d'au- dit internationaux (Deloitte, Ernst and Young et Pricewaterhouse- Coopers), spécialisée en gestion d'entreprise et finance, membre de l'Association nationale du barreau indien - l'Indian Bar Association (IBA) -, qui vient de déposer plusieurs plaintes contre des dirigeants de l'OMS et fonctionnaires pour dissimulation de preuves scienti- fiques, peut révéler les dessous de cette affaire ? Maître Dipali Ojha connaît d'autant mieux le sujet que son pays a été au cœur du débat sur la question du traitement de l'Ivermectine.

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  29. Dans son pays aussi, les lobbies de sociétés transnationales de la pharmacie et fondations étasuniennes ont multiplié les pressions de toutes sortes afin d'écarter l'Ivermectine du traitement de masse pour tenter d'imposer leurs « vaccins ». Ils échoueront et l'Inde les renverra dans leur foyer, comme elle le fit déjà par le passé. Certains dirigeants de quelques États ont cédé à ces pressions en appliquant la directive de l'OMS de ne pas utiliser l'Ivermectine. Mal leur en a pris : au bout de quelques mois, le nombre de malades et de décès par la covid-19 explosait quand les États recourant à l'Ivermectine endiguaient et venaient à bout de la maladie. N'en déplaise aux faiseurs de «vaccins miracles» étasuniens, les dirigeants de la République de l'Inde n'ont pas oublié les batailles de leurs ancêtres pour proclamer l'indépendance de leur pays par un beau 15 août 1947. Au mois d'avril 2021, en toute indépendance, le ministère indien de la Santé préconisera l'Ivermectine comme traitement de la covid-19. Pour arrêter sa décision, le ministère de la Santé de ce grand pays prendra en compte les nombreuses études scientifiques publiées à travers le monde sur l'efficacité de l'Ivermectine contre la covid-19. Mais il s'appuiera aussi, et surtout, sur les résultats remarquables obtenus par le traitement de millions d'Indiens dans les États de l'Union indienne par les médecins. Un vrai laboratoire géant fonctionnant 24 heures sur 24 dans lequel les médecins et les administrations se sont engagés résolument. «Nous considérons comme un devoir solennel envers l'humanité de faire de notre mieux pour sauver des vies grâce à la sensibilisation autour de l'Ivermectine et d'autres médicaments qui sauvent des vies, qui se sont avérés efficaces », me dit maître Dipali Ojha lorsque, courant août 2021, je m'entretiens avec elle de mon travail d'enquête et des actions qu'elle mène avec l'Indian Bar, l'association nationale des avocats indiens.

    Entretien.

    FIN DE L'EXTRAIT.

    Il vous reste 90% du livre à découvrir sur la version complète. Date de parution le 22 octobre 20221.

    https://www.is-edition.com/contacter-is-edition/

    Notes :

    1. Maryan Baquerot est décédé brutalement en mai 2003, au moment de la pu- blication de la première partie de mon enquête sur les organisations de l'ONU sous le titre ONU violations humaines (Éd. Carnot, avril 2003). La seconde partie sera publiée en août 2004 sous le titre Faut-il brûler l'ONU ? aux Édi- tions du Rocher, et la troisième partie en février 2017 sous le titre Trump face à l'Europe chez IS Édition (www.is-edition.com).

    2. Source : Indian Brand Equity Foundation - IBEF - (www.ibef.org). À pro- pos du taux de croissance de l'économie indienne et des statistiques, avril 2021.

    3. Lire Trump face à l'Europe, par Jean-Loup Izambert, IS Édition (www.is- edition.com).
    4. Source : Banque mondiale (www.donnees.banquemondiale.org), Croissance du PIB (% annuel) - Union européenne, année 2020.

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  30. 5. Inde : Covid et Ivermectine, suite, par le Docteur Gérard Maudrux (www.blog-gerard.maudrux.fr), 28 mai 2021.

    6. Interview de Me. Dipali Ojha, émission Les Debriefings, FranceSoir, site in- ternet www.francesoir.fr, L'Ivermectine, utilisée en Inde avec succès, confirmée comme traitement Covid par la Haute Cour de Bombay, 5 juin 2021.

    7. Barreau indien, www.indianbarassociation.in, 13 juin 2021.

    8. Barreau indien, www.indianbarassociation.in, 3 juillet 2021.
    9. Covid-19, un simple changement de méthode et c'est fini, par le Docteur Pas- cal Sacré, anesthésiste-réanimateur spécialisé en soins intensifs. Article très complet et documenté publié sur le site internet www.mondialisation.ca, 3 jan- vier 2021.

    10. Le nom du virus est en langue française : Syndrome Respiratoire Aigu Sé- vère-CoV-2 pour coronavirus 2 (SRAS-CoV-2). Équivalent en langue anglaise de Severe Acute Respiratory Syndrome (SARS-CoV-2). Selon la langue des in- tervenants et travaux scientifiques cités, le nom employé peut apparaître sous l'une ou l'autre forme.

    11. Twitter est dirigé en juillet 2021 par Patrick Pichette, ancien vice-président principal et directeur financier de Google. Son conseil d'administration com- prend notamment Mimi Alemayehou, senior vice president for public - pri- vate partnership chez Mastercard ou Robert Zoellick, ancien président du conseil d'administration d'Alliance Bernstein Holding LP et de Goldman Sachs. Ancien président du groupe de la Banque mondiale et Secrétaire d'État adjoint sous la présidence de George W. Bush, Zoellick est lié aux milieux im- périalistes étasuniens. Partisan de la guerre contre l'Irak, il a notamment parti- cipé au Projet pour un nouveau siècle américain (PNAC) qui travailla au développement de l'influence US.

    12. Source : Réinfocovid (www.reinfocovid.fr), L'Ivermectine dans le traite- ment de la Covid ? par le Collectif Reinfocovid, 16 mars 2021.

    https://www.mondialisation.ca/le-scandale-ivermectine/5661409

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  31. Les décès à Taïwan dus à la vaccination contre le COVID-19 dépassent les décès dus au COVID-19.


    Marc Wathelet
    le 13 oct. 2021


    Le nombre de décès dus à la vaccination contre le COVID-19 à Taïwan dépasse pour la première fois le nombre de décès dus au COVID-19.

    (Observer Network News) Le 7 octobre, le nombre de morts après la vaccination à Taïwan a atteint 852, tandis que le nombre de morts après le diagnostic du COVID-19 était de 844. Le nombre de décès après la vaccination a dépassé pour la première fois le nombre de décès confirmés.

    Selon un « avis d'événements indésirables après la vaccination contre le COVID-19 » publié par le département de la santé de Taïwan. Taïwan a commencé la vaccination depuis le 22 mars de cette année. Depuis ce jour jusqu'au 6 octobre, le nombre de morts après vaccination à Taïwan a atteint 849.

    Traduction du tableau : depuis le début de la vaccination, le nombre total d'effets indésirables est de 8.861, dont 4,248 effets indésirables sévères, y compris 28 chocs anaphylactiques, 849 décès et 3.371 effets indésirables sévères n'ayant pas entrainé la mort.

    Parmi eux, le nombre de morts après vaccination avec AZ était le plus important, atteignant 643 ; le nombre de morts après la vaccination avec Moderna était de 183 et le nombre de morts après la vaccination avec le Medigen” vaccine autoproduit par Taïwan était de 22.

    https://medicaltrend.org/2021/10/10/taiwan-death-from-covid-19-vaccination-exceeds-death-from-covid-19/?fbclid=IwAR0vYeqXFCsY6kJ0e-3CeaH9thqlSLgTc4AQY93jvNRNZpZZSHz2_XZzz0o

    https://fr.linkedin.com/pulse/les-décès-à-taïwan-dus-la-vaccination-contre-le-au-marc-wathelet

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  32. Lidl, la fin du hard discount

    Lidl Montauban: SANS MASQUE !
    Déco: zéro ! (Noir & blanc !! morgue ?)

    https://www.youtube.com/watch?v=lGmtyyYXnDE

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  33. Seul un empereur romain d'Occident sur quatre est mort de causes naturelles


    15 OCTOBRE 2021
    par la FAPESP


    L'Empire romain était gouverné par 175 hommes, d'Auguste (63 BCE-19 EC) à Constantin XI (1405-53), y compris l'Empire oriental ou byzantin après la scission en 395 EC, mais à l'exclusion de ceux qui n'ont pas régné de leur propre chef. juste parce qu'ils étaient mineurs pendant les régences ou co-empereurs.

    Seuls 24,8% des 69 dirigeants de l'Empire d'Occident sont morts de causes naturelles. Les autres moururent de mort violente sur le champ de bataille ou dans les complots du palais. Sur les 175, 30% ont été assassinés, se sont suicidés ou sont morts au combat.

    Des chercheurs de l'Institut de mathématiques et d'informatique de l'Université de São Paulo (ICMC-USP) à São Carlos (État de São Paulo, Brésil) ont étudié les modèles mathématiques sous-jacents associés aux règnes des empereurs romains, montrant qu'ils suivaient ce que les statisticiens appellent une "loi de puissance".

    Un article sur l'étude est publié dans la Royal Society Open Science, une revue scientifique à comité de lecture de la Royal Society du Royaume-Uni.

    "Bien qu'elles semblent être aléatoires, les distributions de probabilités en loi de puissance se retrouvent dans de nombreux autres phénomènes associés à des systèmes complexes, tels que la taille des cratères lunaires, la magnitude des tremblements de terre, la fréquence des mots dans les textes, la valeur marchande des entreprises et même le nombre de "Les suiveurs" ont sur les réseaux sociaux", a déclaré à Agência FAPESP le data scientist Francisco Rodrigues, professeur à l'ICMC-USP et chercheur principal de l'étude.

    Tous les phénomènes mentionnés par Rodrigues présentent un schéma souvent appelé principe de Pareto ou règle des 80/20. En termes simples, cela signifie que dans tous ces cas, la probabilité d'un événement commun est d'environ 80% et celle d'un événement rare est d'environ 20%. Par exemple, 80% des cratères lunaires sont relativement petits, tandis que 20% sont vraiment grands. Sur les réseaux sociaux, 80% des utilisateurs ont au plus quelques dizaines de followers, tandis que 20% en ont des milliers voire des millions. Dans le cas des empereurs romains, l'événement rare n'était pas d'être assassiné.

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  34. « La première personne à observer ce ratio fut l'économiste italien Vilfredo Pareto (1848-1923). En étudiant la répartition des richesses en Europe, il découvrit que 80 % de la propriété italienne appartenait à 20 % de sa population. La majorité avait peu de ressources, et un minorité possédait la majeure partie de la richesse », a déclaré Rodrigues.

    En plus de la règle des 80/20, un autre modèle peut être observé dans les carrières des empereurs romains. "Lorsque nous avons analysé le temps jusqu'à la mort de chaque empereur, nous avons constaté que le risque était élevé lorsque l'empereur monta sur le trône. Cela pourrait avoir quelque chose à voir avec les difficultés et les exigences du travail et le manque d'expertise politique du nouvel empereur. Le risque puis diminue systématiquement jusqu'à ce que l'empereur ait régné pendant 13 ans. À ce stade, il augmente à nouveau fortement », a déclaré Rodrigues.

    Si la règle des 80/20 est un modèle bien connu, la forte baisse de la courbe de survie vers la 13e année est une découverte inédite. « Nous avons envisagé plusieurs explications possibles pour ce tournant. Il se peut qu'après le cycle de 13 ans, les rivaux de l'empereur aient conclu qu'il était peu probable qu'ils montent sur le trône par des moyens naturels. Une crise a pu survenir en raison de tous ces facteurs combinés. Il est à noter que le risque retombe après ce tournant », a déclaré Rodrigues.

    Le changement à 13 ans est une question sans réponse, mais dans sa poursuite d'une longue lignée d'historiographie quantitative, l'article montre que l'analyse statistique peut être une ressource complémentaire importante dans l'étude des phénomènes historiques. "Les formations historiques sont des systèmes complexes dans lesquels les joueurs interagissent, collaborent et se disputent le pouvoir et les ressources. Les actions imprévisibles des individus peuvent produire des modèles prévisibles de comportement collectif qui peuvent être étudiés mathématiquement", a déclaré Rodrigues.

    https://phys.org/news/2021-10-western-roman-emperors-died-natural.html

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  35. Le Gulf Stream et le courant de Kuroshio se sont synchronisés sur une échelle de temps décennale


    par Bob Yirka , Phys.org
    RAPPORT DU 15 OCTOBRE 2021

    - voir schéma sur site -


    Une équipe de chercheurs dont les membres sont affiliés à un grand nombre d'institutions à travers le Japon a découvert que le Gulf stream et le Kuroshio sont synchronisés sur une échelle de temps décennale. Dans leur article publié dans la revue Science, le groupe décrit leur étude de décennies de données satellitaires météorologiques et le lien entre les deux courants océaniques. Paola Cassi, de la Scripps Institution of Oceanography de l'Université de Californie, a publié un article Perspective sur le travail effectué par l'équipe au Japon dans le même numéro de revue.

    Le Gulf Stream est un courant océanique qui commence dans le golfe du Mexique et s'étend au-delà de la pointe sud de la Floride. Il suit ensuite la côte est des États-Unis avant d'entrer en collision avec les courants de l'océan Atlantique Nord. Kuroshio est un type de courant similaire qui coule du sud du Japon dans la mer de Chine orientale jusqu'à ce qu'il entre en collision avec Oyashio, un courant plus au nord. Des recherches antérieures ont montré que les deux influencent fortement les conditions météorologiques dans l'hémisphère nord; par exemple, les grosses tempêtes surviennent généralement aux points où elles rencontrent des courants plus froids. Dans ce nouvel effort, les chercheurs ont découvert que les deux courants sont synchronisés sur une échelle de temps décennale.

    Pour en savoir plus sur une éventuelle connexion entre les deux courants, les chercheurs ont collecté et étudié une quantité massive de données météorologiques et créé des modèles pour montrer comment les deux systèmes pourraient s'influencer l'un l'autre.

    Ils ont découvert que les jets de l'ouest transportaient l'énergie des deux courants tout autour du globe. Alors que la chaleur de Kuroshio était transportée dans l'atmosphère, par exemple, où elle rencontrait Oyashio, des tempêtes se sont produites qui se sont déplacées d'ouest en est, tout au long des parties nord de l'océan Pacifique. Le Jet Stream a ensuite transporté cette énergie à travers les États-Unis continentaux et jusqu'à l'Atlantique. Là, il est entré en collision avec la chaleur transportée dans l'atmosphère par le Gulf stream alors qu'il entrait en collision avec le courant du Labrador. Les grandes distances impliquées signifiaient qu'il fallait beaucoup de temps pour que l'énergie de l'un des courants ait un impact sur l'autre. Mais le résultat final était un certain degré de synchronisation des deux courants, une découverte qui pourrait améliorer les prévisions météorologiques dans l'hémisphère nord à l'avenir.

    https://phys.org/news/2021-10-gulf-stream-kuroshio-current-synchronized.html

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  36. Une étude révèle que la couverture forestière et le ruissellement sont influencés par les températures glaciales à la fin de la période glaciaire du Paléozoïque


    par l'Université Baylor
    15 OCTOBRE 2021


    Une nouvelle recherche menée par le doctorant en biologie de l'Université Baylor William J. Matthaeus et le professeur de biologie Joseph White, Ph.D., examine comment l'intolérance au gel des plantes a affecté la couverture forestière et l'hydrologie au cours de la période pennsylvanienne, il y a environ 340 à 285 millions d'années au cours de l'ère paléozoïque, proposant des améliorations aux projections climatiques pour le passé et l'avenir avec des données sur la fonction des plantes.

    Ce projet hautement interdisciplinaire et collaboratif comprenait le chercheur postdoctoral en géologie de Baylor, Jon Richey, ainsi que des climatologues, des géologues et des paléobotanistes de plusieurs autres institutions américaines et européennes.

    L'étude, publiée dans les Actes de la National Academy of Sciences, suggère que le gel des plantes aurait limité la répartition géographique de la couverture forestière à travers le supercontinent Pangée. Pendant ce temps, il y a eu des cycles glaciaires-interglaciaires et des périodes prolongées de basses températures. Selon les limites de la physiologie des plantes tolérantes au gel, les températures minimales de congélation ont probablement limité la capacité des plantes arboricoles à survivre.

    "Les plantes peuvent nous dire des choses sur le moment et l'endroit où elles ont poussé parce que les plantes ont des besoins fondamentaux, un peu comme les gens. Mais parce que les plantes ne peuvent pas se déplacer pour obtenir ce dont elles ont besoin, elles doivent construire leur" corps "pour bien fonctionner pour où ils grandissent », a déclaré Matthaeus. "Pour cette raison, les fossiles de plantes contiennent des informations sur le fonctionnement de ces plantes, mais aussi sur les conditions auxquelles elles ont été confrontées, il y a même 300 millions d'années."

    Le faible couvert forestier a augmenté le ruissellement de surface d'eau douce et de sédiments dans certaines régions. Le ruissellement induit par le gel a considérablement changé entre les périodes glaciaires et interglaciaires à travers la Pangée, et peut avoir entraîné des différences spécifiques à l'emplacement des niveaux de minéraux, de sédiments, de matière organique et de nutriments dans le ruissellement d'eau douce dans les environnements marins riverains, riverains et côtiers.

    Les chercheurs ont combiné la modélisation du climat et la modélisation des processus écosystémiques pour simuler la végétation arboricole à la fin de la période glaciaire du Paléozoïque. Étant donné que les projections de modélisation du climat mondial existantes ne tiennent pas compte des différences de traits fonctionnels des plantes entre les plantes contemporaines et paléozoïques, les chercheurs ont utilisé des données de traits végétaux dérivés de fossiles pour simuler les processus écosystémiques mondiaux.

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  37. "Même avec l'échantillon limité des archives fossiles utilisées ici, des indices sur l'impact du gel sur les communautés végétales vieilles de 300 millions d'années sont évidents. Nous combinons l'inférence fossile sur la fonction des plantes avec la modélisation du climat mondial pour apporter De la Terre à la vie. Il s'agit d'un couple essentiel de disciplines pour assembler le puzzle de l'histoire naturelle », a déclaré Matthaeus.

    La modélisation du climat mondial a montré que les températures de congélation étaient presque mondiales et probablement un facteur limitant dans la répartition du couvert forestier, même dans les sujets. Moins de 25 % des terres non glaciaires qui pourraient supporter la végétation sont restées au-dessus du point de congélation toute l'année. Les chercheurs suggèrent que l'exposition généralisée et répétée des plantes à des températures glaciales pendant le Pennsylvanien a influencé l'évolution d'aspects notables de la physiologie végétale du Paléozoïque ultérieur.

    « Les modèles climatiques sont généralement utilisés pour étudier les tendances de la température moyenne sur des échelles de temps mensuelles ou plus longues dans le passé de la Terre. Cependant, cette approche ignore les températures extrêmes qui sont connues pour être critiques pour le fonctionnement et la survie des plantes aujourd'hui. Un aspect nouveau de cette étude est que nous nous concentrons sur les changements de température quotidiens simulés par le modèle que les plantes ont probablement enduré pendant le Pennsylvanien », a déclaré Sophia I. Macarewich, co-auteur et doctorante en paléoclimatologie et calcul scientifique à l'Université du Michigan.

    L'incorporation de données paléobotaniques dérivées de fossiles dans la modélisation climatique en temps profond peut améliorer les projections et la compréhension des systèmes terrestres passés, ainsi que contribuer aux futurs modèles de changement climatique, selon les auteurs.

    "Le développement ultérieur de ces méthodes peut servir de pont pour comprendre les fondements des écosystèmes mondiaux à travers l'ancien passé de la Terre. En comprenant comment les choses ont fonctionné tout au long de l'histoire naturelle, nous avons une meilleure chance de comprendre notre propre avenir", a déclaré Matthaeus.

    White considère que l'étude renforce Baylor en tant que leader dans le domaine, en particulier en ce qui concerne les études doctorales et la réussite scolaire.

    "Le succès de M. Matthaeus peut être attribué à son esprit intrinsèquement curieux et à ses compétences informatiques exceptionnelles qui, avec ses diplômes universitaires en biologie évolutive et en mathématiques, lui ont fourni l'esprit préparé pour réussir à résoudre une question aussi difficile", a-t-il déclaré. "Il est également extrêmement cultivé et a bénéficié d'une interaction directe avec les experts de la discipline, dont beaucoup sont ses co-auteurs, en plus du mentorat d'autres professeurs de Baylor tels que le paléobotaniste Dr Dan Peppe, professeur agrégé de géosciences , et le Dr Bernd Zechmann, directeur et professeur agrégé de recherche au Centre de microscopie et d'imagerie."

    https://phys.org/news/2021-10-forest-runoff-temperatures-late-paleozoic.html

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    1. 'Au début' la planète était recouverte de glace, puis elle a fondu sous l’Équateur puis sous les Tropiques. C'est donc de là que sont arrivés les premières femmes et premiers hommes.
      Puis sont arrivés les courants marins, les tremblements de terre séparant l'Amérique Nord-Sud de l'Europe-Afrique-Asie. Il a pu donc naître des humains en Amérique avant, pendant ou après ceux d'Afrique.

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