- ENTREE de SECOURS -



jeudi 30 mai 2019

Réacteur nucléaire EPR : et de deux

Le nucléaire a de l’avenir dans le monde (452 réacteurs sont en fonctionnement et 54 en constructions)… et peut-être en France si le gouvernement et la population veulent favoriser une production d’énergie décarbonée.


Par Michel Gay.
30 MAI 2019


Le deuxième réacteur nucléaire EPR de nouvelle génération au monde a démarré à Taishan dans le sud de la Chine avec le soutien d’EDF, a annoncé son PDG Jean-Bernard Lévy sur Europe 1.

Pendant que le monde politique s’échine à mettre en route une « transition énergétique » fondée sur les éoliennes et les panneaux photovoltaïques inefficaces et ruineux, les industriels avancent vers un monde plus performant et plus propre, et donc plus écologique.

LE DEUXIÈME EPR EST ENCORE CHINOIS…

Jean-Bernard Lévy aussi indiqué que le premier réacteur EPR mis en service au monde en juin 2018, et couplé au réseau électrique chinois en décembre 2018, « fonctionne très bien« .

EDF est actionnaire à hauteur de 30 % de la coentreprise chargée de construire et d’exploiter les réacteurs. Les groupes chinois CGN et Yuedian ont des participations respectives de 51 % et de 19 %.

L’EUROPE PROGRESSE DOUCEMENT

Deux autres EPR sont en construction à Flamanville (Manche) et en Finlande, mais ces chantiers ont connu d’importants retards et des surcoûts.

Jean-Bernard Lévy a reconnu que la réalisation de tels chantiers avait été « sous-estimée » après plusieurs années d’arrêts de construction de réacteurs. « On a des difficultés qui sont liées à la manière de construire« .

Toutefois, « le chantier de l’EPR de Flamanville est quasiment terminé. Nous avons commencé les essais finaux qui se sont déroulés de façon tout à fait normale« , a également indiqué le PDG d’EDF.

LA FRANCE RÉFLÉCHIT…

Le gouvernement français souhaite disposer en 2021 des informations nécessaires pour se décider à construire éventuellement de nouveaux EPR en France pour renouveler le parc des 58 réacteurs nucléaires existants qui assurent les trois-quarts de la production française d’électricité.

Le nucléaire a de l’avenir dans le monde (452 réacteurs sont en fonctionnement et 54 en constructions)… et peut-être en France si le gouvernement et la population veulent favoriser une production d’énergie décarbonée. Notre pays est actuellement encore un des leaders mondiaux dans ce domaine.

Ce serait bon pour notre balance commerciale (moins d’importations de gaz et de pétrole) et pour « la planète » en émettant moins de gaz à effet de serre et de polluants !…

mercredi 29 mai 2019

Interdit d'interdire : Faut-il interdire le glyphosate ?

https://www.youtube.com/watch?v=LXgcN-3stgU

« L’urgence climatique est un leurre » (François Gervais)

par Thierry Godefridi
le 25 mai 2019 


Qui n’a rencontré un scientifique qui lui dise, « le réchauffement – changement, dérèglement, etc. – climatique, je n’y croirai plus le jour où je lirai un article dans une revue scientifique qui démontre que c’est du pipeau ! » ?

« L’urgence climatique est un leurre », le livre de François Gervais, physicien et expert reviewer du rapport AR5 du GIEC (Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat), professeur émérite de l’université de Tours et ancien directeur d’un laboratoire du CNRS, contient des dizaines de références aux travaux, déclarations, articles dans des revues scientifiques à comité de lecture de spécialistes du climat qui démontrent que la propagande climatique est la fumisterie la plus éhontée et la plus dispendieuse de l’Histoire de l’Humanité.

Le gaz carbonique, ce polluant, a été déclaré coupable des pires maux de la terre : la disparition de la banquise (en retard de quelques années – décennies ? siècles ? millénaires ? Qu’importe ! – sur les prédictions qu’Al Gore a proférées en 2008), la hausse du niveau des mers, les sécheresses, les inondations, les canicules, les blizzards, les séismes, les tsunamis, certaines maladies… Qu’en est-il ?

En fait, relève François Gervais, la combustion des ressources fossiles a entraîné une augmentation du taux de gaz carbonique dans l’air de 0,03% à 0,04% en volume, c’est à dire que, « parmi 10.000 molécules d’air sec, on compte à peu près 7.808 molécules d’azote, 2.096 molécules d’oxygène, 92 atomes d’argon, gaz qualifié de « rare », et seulement 4 molécules de gaz carbonique. » Le fait de passer de 3 à 4 molécules de gaz carbonique, une molécule supplémentaire parmi 10.000 molécules d’air sec ou 10.500 molécules d’air humide, justifie-t-il un tel émoi ?

Outre que l’effet prétendument néfaste de cette molécule supplémentaire est indiscernable, François Gervais rappelle que le carbone n’est nullement un polluant, bien au contraire. Il est irremplaçable pour notre organisme, indispensable pour la faune et pour la flore. Lutter contre ce fertilisant gratuit pour la végétation et la chaîne marine se ferait au détriment des 70% de la population mondiale qui vivent dans des zones rurales ou côtières.

Depuis la fin du siècle dernier, le réchauffement du climat s’est avéré moindre (jusqu’à dix fois!) que les modèles ne le prévoyaient et de nombreuses observations font valoir que le soleil exerce dans les variations du climat une influence beaucoup plus déterminante que l’Homme.

Selon certains travaux, nous pourrions même être à la veille d’une période de refroidissement climatique. Non seulement il n’y a pas de quoi nous taxer tant et plus pour éviter un quelconque réchauffement, mais encore cela devrait-il nous inciter à préserver nos sources d’énergie abondante à coûts réduits et à nous méfier de la précarité des sources intermittentes afin de nous prémunir contre le froid, car ce dernier tue beaucoup plus sûrement que la chaleur. « Dans l’histoire de la planète, constate François Gervais, des concentrations <de gaz carbonique > très supérieures à la valeur actuelle n’ont pas empêché des glaciations. »

Antero Ollila, de l’Ecole de science et de technologie de l’Université d’Aalto (Finlande), est parvenu à construire un modèle combinant variabilité naturelle du climat depuis le dernier petit âge glaciaire de 1630 à 2015 et contribution anthropique. Ce modèle reproduit l’évolution passée du climat à 0,09° C près, bien plus fidèlement que ne le permettent les modèles utilisés par le GIEC. Envisageant une augmentation du gaz carbonique dans l’atmosphère supérieure à la moyenne des observations et différents scénarios d’irradiance solaire, le professeur finlandais arrive à la conclusion que, dans tous les scénarios, la température de la planète baisserait de quelques dixièmes de degrés à partir de 2020 !

Cette étude, qui est l’une des plus complètes sur l’avenir climatique de la planète, n’a rien d’alarmiste. « Gageons qu’à ce titre, conclut François Gervais dans L’urgence climatique est un leurre, un livre remarquable de limpidité, à lire de toute urgence (climatique), il est à craindre que cette étude n’intéresse pas les médias. Taxer le soleil, les planètes, les nuages ? Sans doute nos dirigeants trouveront-ils plus commode et plus rentable de continuer à taxer le carbone. »

« Alors, avant de voter, réfléchissez quand même un peu ! », pourrions-nous donc ajouter, en cette veille d’élections européennes, fédérales et régionales en Belgique, comme l’avait lancé une polémiste sur une chaîne de télévision belge à forte audience lors d’un débat qui lui a coûté son job.

L’urgence climatique est un leurre, François Gervais, 304 pages, Editions du Toucan, L’Artilleur.

mardi 28 mai 2019

Environnementalisme: les preuves suggèrent qu'il s'agissait toujours et uniquement d'un gouvernement mondial

 27 mai 2019
Dr. Tim Ball


Il est de bon sens de protéger notre environnement, mais cela fait 50 ans que cette idée d’agenda socialiste est exploitée. Nous avons perdu 50 ans à croire que les humains ne sont pas naturels et que tout ce qu'ils font est destructeur. Nous avons gaspillé et continuons de gaspiller des milliards de dollars en politiques inutiles et en technologies inutiles, toutes basées sur de fausses hypothèses, une pseudoscience et une intimidation émotionnelle.

Nous savons maintenant, 50 ans plus tard, que toutes les prédictions concernant la disparition de la Terre et de ses habitants dans le Rapport sur la journée de la Terre étaient fausses. Nous savons également que toutes les revendications supplémentaires, telles que la surpopulation, le réchauffement de la planète, l’élévation du niveau de la mer, la désertification, la déforestation et l’effondrement de la banquise, entre autres, étaient erronées. Je mets au défi quiconque de produire des preuves empiriques qui prouvent que tout ce qui se passe aujourd'hui est en dehors de tout enregistrement à long terme d'activité naturelle.

Convaincre le peuple que le monde entier est menacé et convaincre qu’aucun pays ne peut le sauver. Il est alors facile de les convaincre qu'un gouvernement mondial est le seul moyen de sauver la planète. Le problème est que rien de tout cela n'est vrai. Le monde se porte bien et les habitants vivent plus longtemps et en meilleure santé dans tous les pays.

Comme la majorité des gens, Elaine Dewar a supposé que les environnementalistes étaient des personnes louables, même héroïques. Elle a commencé la recherche d'un livre chantant leurs louanges. Il n’a pas fallu longtemps pour apprendre que le principe de base était faux. En suivant la méthodologie traditionnelle et appropriée, rarement vue de nos jours, Dewar a identifié les doublons impliqués dans le mouvement environnemental canadien et les a exposés dans son livre Cloak of Green. Elle a passé cinq jours à l'ONU avec le Canadien Maurice Strong, l'architecte mondial de l'environnementalisme officiel. Il a été excessivement loué, comme dans cet article «Le monde en deuil un de ses plus grands: Maurice Strong meurt, son héritage continue de vivre». Un autre article a reconnu le mal qu'il incarnait: «Qui est le propagandiste Maurice Warm, spécialiste du réchauffement planétaire ? jours, conclut Dewar,

«Strong utilisait les États-Unis comme plate-forme pour vendre une crise environnementale mondiale et le programme de gouvernance mondiale.»

Le mouvement écologiste en tant que base d’un gouvernement mondial socialiste était dans l’esprit de gens comme Strong et des membres du Club de Rome à la fin des années 1960. Cependant, il a été lancé sur le monde le 22 avril 1970 par un petit groupe de l'Université de Stanford. La date est critique car c'était le premier Jour de la Terre. Il est également très important de savoir que le choix était délibéré car c'est l'anniversaire de Vladimir Lénine. Le mouvement écologiste était un programme délibéré visant à imposer le communisme au monde.

Le thème sous-jacent du mouvement écologiste émet les fausses hypothèses suivantes.

Ce changement est presque toujours le résultat de l'activité humaine. À l'aide de modèles informatiques, l'ONU affirme que plus de 95 % de l'augmentation de la température depuis 1950 est due au gaz carbonique produit par l'homme. Cela fonctionne parce qu'ils ne considèrent pas les causes les plus naturelles.

Que les humains ne sont pas naturels. Le «Rapport de Greenpeace sur le réchauffement de la planète» de 1990 indique que le gaz carbonique est ajouté à l'atmosphère «naturellement et de façon non naturelle». Oui, cette production non naturelle provient de l'homme.

Que nous ne faisons pas partie de la nature. Ingrid Newkirk, co-fondatrice de People pour le traitement éthique des animaux (PETA), explique.

«L’humanité est un cancer; Nous sommes le plus gros fléau du monde. »« Si vous n’avez pas pensé à l’extinction volontaire de l’humain, l’idée d’un monde sans personnes pourrait sembler étrange. Mais, si vous lui en donnez la chance, vous conviendrez peut-être que l'extinction d'Homo Sapiens signifierait la survie de millions, voire de milliards d'espèces terrestres. L'élimination progressive de la race humaine résoudra tous les problèmes de la planète, qu'ils soient sociaux ou environnementaux ».

Que nous devrions être éliminés ou considérablement réduits en nombre. En mai 2015, le pape a publié Laudate Si, une encyclique sur sa vision de l'état de la Terre. C'est une diatribe socialiste, mais ce n'est pas surprenant puisque le principal contributeur était Hans Schellnhuber, un panthéiste. Ce groupe pense que la population mondiale devrait être inférieure à 1 milliard de personnes.

Que si le monde occidental réduit les niveaux de production de gaz carbonique, le reste du monde suivra. La Chine compte 2 363 centrales au charbon et en construit 1 171 autres. Les États-Unis en ont 15 et n'en construisent aucun.

Les États-Unis peuvent construire autant de centrales au charbon à combustion propre qu’ils le souhaitent et brûler du charbon sans pollution. Ils n’ont pas à s’inquiéter du gaz carbonique car ce n’est pas un polluant et ne cause pas le changement climatique. Aucun problème environnemental important ne menace le monde. Toutes les histoires sur la catastrophe environnementale imminente sont des fictions créées délibérément pour amener les gens à céder le contrôle au gouvernement. Il est temps de briser l'emprise émotionnelle de ceux qui ont utilisé l'environnement pour créer un socialisme mondial.

lundi 27 mai 2019

Visualiser la quantité d'huile dans un véhicule électrique ?

par Tyler Durden
Samedi, 25/05/2019 - 22h30


Lorsque la plupart des gens pensent au pétrole et au gaz naturel, la première chose qui leur vient à l’esprit est l’essence dans le réservoir de leur voiture. Mais, comme le note Nicholas LePan de Visual Capitalist, le rôle du pétrole est bien plus important que ce que l’on pourrait croire ...

Le pétrole, ainsi que le gaz naturel, a des centaines d'utilisations différentes dans un véhicule moderne utilisant la pétrochimie.

L’infographie d’aujourd’hui nous parvient d’American Fuel & Petrochemicals Manufacturers et explique pourquoi le pétrole est un matériau essentiel pour la révolution EV.

Propriétés pliables

Il s'avère que les nombreux matériaux de tous les jours sur lesquels nous comptons, du caoutchouc synthétique aux plastiques en passant par les lubrifiants, proviennent tous de produits pétrochimiques.

L'utilisation de divers polymères et plastiques présente plusieurs avantages pour les fabricants et les consommateurs:

Poids léger
Peu coûteux
Copieux
Facile à façonner
Durable
Ignifuge

Aujourd’hui, les plastiques peuvent représenter jusqu’à 50% du volume d’un véhicule, mais seulement 10% de son poids. Ces plastiques peuvent être aussi solides que l'acier, mais suffisamment légers pour économiser le carburant tout en maintenant l'intégrité structurelle.

Cela n’a pas toujours été le cas, car l’utilisation du pétrole a évolué et augmenté avec le temps.

Pas le caddy de votre grand-père
Les plastiques ne constituaient pas toujours un matériau essentiel dans l'industrie automobile, mais avec le temps, des plastiques tels que le polypropylène et le polyuréthane sont devenus indispensables dans la production de voitures.

Rolls Royce a été l'un des premiers constructeurs automobiles à se vanter de l'utilisation de plastiques dans son intérieur. Au fil du temps, les plastiques sont devenus un matériau essentiel pour réduire le poids total des véhicules, permettant plus de puissance et de commodité.

Chronologie:

1916
Rolls Royce utilise de la résine phénol-formaldéhyde dans les intérieurs de ses voitures

1941
Henry Ford expérimente une voiture «tout plastique»

1960
Environ 20 lb de plastique est utilisé dans la voiture moyenne

1970
Les fabricants commencent à utiliser du plastique pour la décoration intérieure

1980
Les phares, les pare-chocs, les ailes et les hayons deviennent en plastique

2000
Les polymères techniques apparaissent d'abord dans les parties semi-structurelles du véhicule

Présent
La voiture moyenne utilise plus de 1000 pièces en plastique

Electric Dreams: Pétrochimie pour l'innovation dans les véhicules électriques
Les plastiques et autres matériaux fabriqués à partir de produits pétrochimiques améliorent l'efficacité des véhicules en réduisant leur poids, pour un coût très raisonnable.

Pour chaque réduction de poids de 10%, l'économie de carburant d'une voiture s'améliore d'environ 5% à 7%. Les VE doivent réduire leur poids, car les batteries qui les alimentent peuvent peser plus de 1000 lb, ce qui nécessite plus de puissance.

Aujourd'hui, les plastiques et les polymères sont utilisés pour des centaines de pièces détachées dans un véhicule électrique.

Le pétrole et l'avenir de l'EV
Le pétrole est surtout connu comme source de carburant, mais les produits pétrochimiques ont également de nombreuses autres propriétés physiques utiles.

En effet, les produits pétrochimiques joueront un rôle crucial dans l’adoption massive des véhicules électriques en réduisant leur poids, en améliorant leur autonomie et leur efficacité. Selon IHS Chemical, la voiture moyenne utilisera 775 lb de plastique d’ici 2020.

Bien que cela paraisse contre-intuitif, les produits pétrochimiques dérivés du pétrole et du gaz naturel rendent possibles les avancées majeures des véhicules électriques d’aujourd’hui - et l’utilisation continue de ces produits signifiera que le SVE et les véhicules traditionnels deviendront encore plus légers, plus rapides et plus efficaces.

Les néologisticiens

Le 'néolithique est une période charnière de nos très lointains ancêtres et pourtant si proches il y a plus de 5000 ans mais estimée jusqu'à plus de 10 000 ans !

C'est l'époque ou les 'voyageurs éternels' qui ne vivaient que de chasses et de cueillettes se sont arrêtés de se déplacer pour découvrir sous un noyer (?) une petit plant qui poussait à quelque mètres et qui avait les mêmes feuilles ! Voyant que des plants ou des herbes se desséchaient en dehors des pluies, l'une ou l'un de nos ancêtres pris la décision d'arroser le pauvre plant chétif qui crevait de soif ! Le plant grandit et donna des noix. L'agriculture était lancée ! Les graines donnait à manger ! Les pépins de pommes, les grains de blé, les noyaux de pêches ou graines de tomates pouvaient... LES NOURRIR : (a condition de les arroser !).

Fini de courir le monde d'un continent à l'autre à poursuivre du gibier plus malin et rapide que les chasseurs ! Fini d'attendre que les fruits mûrissent en régions où il n'y en a pas ! Les humains s'établissaient en 'Amérique' non encore séparée du continent EuropeAfriqueAsie. Puis, les tremblements de terre arrivants, les continents se dessinèrent et chacun s'éloigna de l'autre sans pouvoir dire où le premier singe était né ! (Obamaalors j'y ai marché dedans !).

C'était l'époque ou la joie de vivre existait et n'avait point de 'dieux', de 'paradis' ou d''enfers', c'était le temps où TOUT était GRATUIT ! GRA-TUIT de chez GRATUIT ! On bouffait gratos ! On logeait gratos ! On chiait gratos et respirait gratos !

Puis un jour, un mauvais jour arriva quelqu'un d'armé qui leur demanda de payer l'air qu'ils osaient respirer ! De payer la terre qu'ils osaient fouler ! de payer le gibier, les fruits & légumes qu'ils bouffaient tous les jours ! et surtout, surtout de payer 'dieu' !

'Dieu' ??! Qui c'est ce con là ? C'est celui qui pousse les nuages pour créer les sécheresses, c'est celui qui cause des tremblements de terre pour tuer des gens et, c'est celui qui noie des millions de personnes aux pluies diluviennes ! C'est celui qui t'a épargné ! Alors: tu payes !
- "A qui ?"
- "A moi ! Au gros con qui te dirige, je suis son élu aux 'élections européennes' !"

samedi 25 mai 2019

Le cycle de la vie

Le monde (notre Terre) est à considérer comme étant un immense chauffage central ou cafetière électrique d'où partent les échanges calorifiques. Le chaud et le froid. La chaleur intense de sphères ferriques en feu (étoiles lointaines ou centre de notre planète) avec l'espace glacial qui entoure ces éjections d'un 'big bang'.

L'eau froide est chauffée, elle monte et pousse l'eau froide qui revient vers la chaudière ou résistances électrique. C'est le circuit. L'univers 'sans fin' où tout redevient 'comme avant'.

Tout se recycle. TOUT ! L'eau se recycle éternellement. L'eau sale des mers et océans (qui contiennent toutes les déjections imaginables en plus de tous les produits les plus toxiques qui sont émis par le magma) s'infiltre continuellement aux planchers maritimes & océaniques où elle est chauffée/brûlée et ressort toute propre à quelques mètres ou kilomètres plus loin ou sous terre pour remplir les nappes phréatique et ressortir aussi aux sources de montagnes.

Pareillement pour tous les gaz émis par le magma et recyclés par l'intermédiaire d'autres gaz. Ni l'humain, ni les animaux n'y peuvent rien. Nul ne peut contribuer à modifier le climat terrestre. Personne !

Dans le ciel brillent des milliers d'étoiles (boules de fer en fusion) mais on ne voit pas les boules de fer en fusion qui sont éteintes et qui sont des milliers de fois plus nombreuses ! On les appelle aussi des 'météorites', des bolides qui dévient leur course par une rencontre brutale, se fractionnent ou sont attirées par l'aimantation de sphères gigantesques. Exemple du 'système solaire' où nous habitons l'une des sphères attirées.

Rien ne peut manquer sur Terre car: TOUT vient de la terre. Nous sommes 100 % construits de ce que contient notre planète. Tout est gratuit, tout est abondant et tout suffit à chacun à faire vivre chaque espèce. Les poissons vivent dans des eaux les plus polluées du monde, proches des gaz les plus toxiques qui remontent à la surface et, le poisson s'en accommode. Il vit dans les déchets, se nourrit de déchets et nous, nous nous nourrissons de déchets.

Apprentissage contradictoire en quelques plans de modèles de tête parlants neuronaux réalistes

https://www.youtube.com/watch?time_continue=11&v=p1b5aiTrGzY

Le mirage de l’autonomie énergétique

Sortez la tête du sable moelleux de l’écologiquement correct. Les beaux discours sur les énergies éoliennes et photovoltaïques ne sont que du vent !


Par Michel Gay.
25 MAI 2019


Des affairistes liés à des groupes anti-nucléaires dogmatiques et autres altermondialistes décroissants ont fait rêver nos élus avec du soleil et du vent pour produire de l’électricité « locale et gratuite » au nom d’une radieuse idéologie « verte ».

Cela a été d’autant plus facile que ces élus, issus majoritairement d’une formation littéraire, sont sensibles à un discours simpliste d’autonomie énergétique. C’est tellement plus simple à faire passer auprès de leurs électeurs prêts à croire, eux aussi, aux contes de fées.

DU RÊVE GRATUIT…

Bercé par des présentations idylliques et flatteuses, le gouvernement soutient toujours financièrement (avec l’argent des contribuables et des consommateurs) le développement des éoliennes et des panneaux photovoltaïques. Le Premier ministre l’assure encore le 21 mai 2019 à l’Assemblée nationale : « Si nous voulons développer ces énergies renouvelables, nous devons les financer et ça passe en effet par un prélèvement sur le prix de l’électricité ». C’est un engagement « forcément » bon pour la planète et nos enfants, et les Français paieront… pour rien !

Dans ce contexte, et sans le prévoir, ces élus et le gouvernement ont favorisé le gaz dont un gazoduc en provenance de Russie passe par l’Allemagne.

Et, contrairement aux Allemands qui utilisent abondamment leur charbon, la France n’a pas de ressources énergétiques dans son sous-sol. L’Allemagne se donne une bonne conscience écologique (ruineuse) avec ses éoliennes et ses panneaux photovoltaïques, mais elle reconstruit des centrales au charbon qu’elle extrait d’immenses mines à ciel ouvert pour la vraie production d’électricité.

L’alimentation en énergie d’un pays (carburants, électricité, chauffage…) est un vaste sujet parfois difficile à comprendre. Les élus préfèrent donc se laisser berner (volontairement ?) par des activistes et des militants de la cause verte par démagogie pour caresser leurs électeurs dans le sens du poil plutôt que de faire preuve de pédagogie… Le courage politique fait souvent défaut pour défendre un intérêt général lointain.

Ainsi, furent instituées de pharaoniques et scandaleuses subventions à fonds perdus (121 milliards d’euros engagés en avril 2018 selon la Cour des comptes) au profit des énergies renouvelables fatales inutiles et nuisibles aux intérêts des citoyens.

UNE HISTOIRE DE BOUQUET ET DE PANIER

Les élus et l’ADEME répètent inlassablement, à tort, que l’Europe a besoin d’un « mix énergétique« , encore appelé « bouquet énergétique« , composé notamment d’éoliennes et de panneaux photovoltaïques.

Au nom de quoi ? Pour faire plaisir à qui ?

Attention ! Il y a des fleurs fanées dans le bouquet !

Et s’il s’agit de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier, encore faut-il ne pas mettre des œufs pourris dans les autres paniers car ils ne seront d’aucun secours en cas de famine…

UNE ABERRATION ÉCOLOGIQUE, ÉCONOMIQUE ET TECHNIQUE

L’importation et la subvention d’éoliennes, et surtout de panneaux photovoltaïques, vont coûter des dizaines de milliards d’euros pendant vingt ans… pour rien.

Ce développement va accroître l’importation de gaz, les émissions de gaz carbonique, le montant de la facture d’électricité et, plus généralement de tous les produits manufacturés nécessitant de l’électricité. Joli travail mesdames et messieurs !

N’est-ce pas la véritable noblesse de l’élu de ne pas céder à des effets de mode et de savoir discerner dans le long terme ce qui est bon pour la France ?

Or, malheureusement, certains se comportent davantage en représentant de lobbies locaux qu’en défenseurs de l’intérêt général des Français.

Ah, bien sûr, il faut se faire réélire… Et la place paraît bonne !

ATTENTION À LA DANSE MACABRE !

Mesdames et messieurs les élus de tous bords, ouvrez les yeux sur les difficultés techniques et économiques que l’Allemagne rencontre avec ses éoliennes, ses panneaux photovoltaïques et son réseau électrique ! Prenez le temps de lire et de comprendre les arguments techniques qui sont à votre disposition, même si le chant des sirènes de Greenpeace semble plus attirant et tellement plus facile à écouter.

Arrêtez le délire financier et technique des énergies renouvelables (hors hydroélectricité) dans lequel vous avez engagé la France et même l’Europe.

Sortez la tête du sable moelleux de l’écologiquement correct. Les beaux discours sur les énergies éoliennes et photovoltaïques ne sont que du vent et un phare éblouissant qui vous empêchent de voir les leurres qui conduisent l’Europe de l’énergie dans le caniveau.

En continuant dans la voie tracée par la loi de transition énergétique pour la croissance verte (LTECV), la France se retrouvera dans la nécessité de reconstruire des centrales à gaz pour éviter des coupures de courant.

Et ce gaz (qui est majoritairement du méthane) importé de l’étranger à 99 % vient de Norvège, de Russie, d’Algérie, du Qatar, et bientôt des États-Unis qui regorgent de gaz de schiste…

Alors, après avoir rêvé de vent et de soleil « gratuits » vantés par l’ADEME et les politiques, les Français risquent d’entamer une danse macabre.

vendredi 24 mai 2019

« OUI, LA COUR PÉNALE INTERNATIONALE EST DANGEREUSE » - LESLIE VARENNE



Macron Castaner passibles de la Cour pénale internationale ?


Faut-il condamner la Cour pénale internationale ? 

Trisomickeys au Débiland-Park

Les jeunes accusent de plus en plus le «changement climatique» de ne pas épargner pour leur retraite


par Tyler Durden
Vendredi, 24/05/2019 - 12:15
Écrit par Mac Slavo via SHTFplan.com,


Un nombre croissant de jeunes Américains reprochent au changement climatique de ne pas mettre de l'argent pour leur propre retraite. Ils disent que parce que le monde n’existera pas quand ils prendront leur retraite (à cause du changement climatique), il n’est pas nécessaire d’économiser de l’argent.

Mais si nous appliquons cette logique à tout, il n’est jamais nécessaire de préparer l’avenir de quoi que ce soit et l’idéologie libérale s’écroule sur elle-même.

Market Watch a utilisé un jeune professionnel comme exemple de cette pensée erronée. Lori Rodriguez, une professionnelle de la communication âgée de 27 ans à New York, n’économise pas en vue de sa retraite, et ce n’est pas nécessairement parce qu’elle n’en a pas les moyens, mais parce qu’elle ne s’attend pas à ce que cela ait de l’importance. Comme beaucoup de gens de son âge, Rodriguez a adhéré à la propagande et croit religieusement que le changement climatique aura des effets catastrophiques sur notre planète. Quelque 88 % des millennials (un pourcentage plus élevé que tout autre groupe d'âge) croient en la religion du changement climatique et 69 % affirment que cela va avoir un impact sur leur vie.

"Je veux espérer le meilleur et planifier un avenir stable et sûr, mais quand je regarde les événements actuels et le monde que nous prédisons, je ne vois pas comment les choses ne pourraient pas être chaotiques dans 50 ans", Rodriguez dit.

"Les systèmes météorologiques sont déjà désactivés et je ne pense pas que ce soit hyperbolique d’être un peu apocalyptique."

Les grands médias n’aident pas non plus. En utilisant des techniques de manipulation, les médias plongent la population dans un flot continu d’actualités déprimantes et haineuses. À tel point que beaucoup de jeunes sont sceptiques quant à l’épargne pour un avenir, on leur dit constamment qu’il n’existera pas.

Pour clarifier, pour ces jeunes gens, le héros libéral Al Gore avait prédit en 2008 qu'il n'y aurait pas de calottes glaciaires dans trois à cinq ans en raison du réchauffement de la planète. Cependant, la «vérité qui dérange» est que les calottes glaciaires sont toujours là (plus de dix ans plus tard).

Il est intéressant de noter que, juste après avoir déclaré que les jeunes Américains n’épargnaient pas pour la retraite, estimant que le changement climatique détruirait le monde, Market Watch a précisé que la santé mentale pouvait être un problème.

Selon une étude publiée en mars dans le Journal of Anormal Psychology, les problèmes de santé mentale des jeunes adultes et des adolescents américains ont considérablement augmenté au cours de la dernière décennie. Le nombre de personnes âgées de 18 à 25 ans signalant des symptômes de dépression majeure a augmenté de 52% entre 2005 et 2017, tandis que les adultes plus âgés n’ont connu aucune augmentation du stress psychologique à cette période et que certains groupes d’âge ont même connu une diminution. – Surveillance du marché

Jean Twenge, auteur de l'étude citée par Market Watch, affirme que cette hausse des problèmes de santé mentale peut être attribuée à l'utilisation accrue des médias numériques. La technologie a changé les modes d'endoctrinement juste assez pour avoir un impact sur la vie sociale et la communication. Selon un rapport publié en 2018 par l'American Psychological Association, les millennials souffriraient également d'inquiétude écologique, 72% d'entre eux affirmant que leur bien-être émotionnel est affecté par l'inévitabilité du changement climatique, contre seulement 57% l'âge de 45 ans.

Selon l'Institut national sur la sécurité de la retraite, les deux tiers des millennials (définis par Pew comme la génération née entre 1981 et 1996) n'ont rien épargné pour la retraite. Et nous savons maintenant pourquoi certains n’économisent pas. La religion du changement climatique pèse lourdement sur leur stabilité mentale.

Ce n’est pas que nous ne voulons pas prendre la planète. Ceux qui ne souscrivent pas à la religion de l'hystérie du changement climatique croient simplement que les gens devraient prendre soin de la Terre du mieux qu'ils peuvent. Mettre le salut de la Terre entre les mains de quelques bureaucrates ne résoudra rien. Après tout, les responsables gouvernementaux ne peuvent même pas nettoyer une pile de déchets dans le paradis des démocrates à Los Angeles. Si le changement climatique était vraiment un problème, il n’y a aucun moyen pour les autoritaires de le résoudre et ils ne le voudraient pas non plus. Il y a tout simplement trop d’argent à gagner avec les masses crédules.

Certaines personnes veulent juste regarder le monde brûler.

jeudi 23 mai 2019

Des scientifiques découvrent un monde meurtrier: d'où viennent les produits chimiques détruisant l'ozone

par Tyler Durden
Mer., 22/05/2019 - 21:05
Écrit par Carly Cassella via Science Alert,


Cela fait exactement un an que des scientifiques américains ont annoncé une mystérieuse poussée de produits chimiques destructeurs de l'ozone, appelés chlorofluorocarbures (CFC).

Interdit en 1987 en vertu du Protocole de Montréal signé à l'échelle mondiale, il n'existait qu'une seule explication: ailleurs, dans un lieu inconnu, quelqu'un devait être devenu un voyou, retardant d'au moins une décennie les progrès du trou dans la couche d'ozone.

Après de nombreuses spéculations, les recherches scientifiques ont confirmé l'emplacement et l'ampleur de ces émissions nocives. Comme l'avaient déjà indiqué des reportages dans le New York Times, ils semblent provenir de la côte nord-est de la Chine continentale.

Depuis que le Protocole de Montréal a été déclaré un succès en 2013, cette région hautement industrielle a continué à émettre, accidentellement ou non, du CFC-11: le deuxième chlorofluorocarbone en importance dans l’atmosphère. En fait, entre les périodes 2008-2012 et 2014-2017, les émissions de CFC-11 ont augmenté d'environ 110% ici.

"Cette augmentation représente une fraction substantielle (au moins 40 à 60%) de la hausse mondiale des émissions de CFC-11", écrit une équipe internationale de chercheurs dans un nouveau rapport.

"Nous ne trouvons aucune preuve d'augmentation significative des émissions de CFC-11 en provenance d'autres pays d'Asie orientale ou d'autres régions du monde où des données sont disponibles pour la détection des émissions régionales."

Ces violations ne sont probablement pas signalées car, même si le CFC-11 est illégal, il constitue également l'un des moyens les moins coûteux de produire de nouveaux isolants en mousse dans les réfrigérateurs et les bâtiments.

Après avoir retrouvé des documents et des sources internationales, les journalistes du New York Times et des enquêteurs indépendants ont découvert que dans certaines usines en Chine, l'utilisation illégale de CFC se glissait entre les mailles du filet depuis des années.

Les exemples donnés sont basés à Xingfu, une ville industrielle rurale de la province chinoise du Shandong, et d'ailleurs, c'est la même province que celle sur laquelle les scientifiques se sont rendus.

En collectant les observations atmosphériques en Corée du Sud et au Japon, les chercheurs ont comparé les données de surveillance mondiales et les mouvements chimiques dans l'atmosphère pour déterminer si ces émissions provenaient de l'Asie orientale - la région la plus suspectée comme source de CFC-11.

Avec le Shandong, la province voisine de Hebei était également impliquée. Les deux régions sont de gros producteurs industriels fortement impliqués dans la fabrication du pays, et bien que le produit chimique ne soit peut-être pas réellement produit ici, il est certainement émis à des taux alarmants quelque part dans les environs.

"Une telle augmentation (...) nécessiterait de nouvelles émissions résultant de l'élimination et de la destruction des réfrigérateurs plus de 10 fois supérieures aux estimations récentes pour l'ensemble de la Chine entre 2014 et 2017", écrivent les auteurs, "ou davantage augmentation rapide des émissions résultant de la démolition d'anciens bâtiments par rapport aux prévisions antérieures pour le monde entier sur une période de 20 ans (2020-2040) ".

Que ces usines sachent ce qu'elles font ou non (et le rapport du NYT suggère certainement qu'elles le comprennent), leurs actions constituent une menace sérieuse non seulement pour la couche d'ozone, mais également pour la crise climatique. Le CFC-11 exerce un puissant effet de piégeage de la chaleur dans l'atmosphère. Par conséquent, si les émissions continuent telles quelles, les experts affirment qu'il équivaudrait à la quantité de gaz carbonique produite par 16 centrales au charbon chaque année.

La Chine produit actuellement environ un tiers de la mousse de polyuréthane dans le monde et les émissions jusqu'à présent ne représentent peut-être qu'une fraction de ce qui a déjà été fabriqué. Le reste du CFC-11 peut toujours être emprisonné dans une réserve de mousse à émission lente, et la seule façon de le savoir est de trouver celui qui en est responsable.

Malheureusement, la nouvelle étude ne permet pas de mieux cerner le coupable. Il est donc difficile de déterminer si ces émissions sont généralisées dans ces deux régions chinoises ou dispersées entre quelques sources. Pour l'instant, la chasse continue.

Cette étude a été publiée dans Nature.

mercredi 22 mai 2019

L’incohérence du projet de loi énergie – climat

Le projet de loi relatif à l’énergie et au climat présenté par le ministre de l’Écologie François de Rugy, au nom du Premier ministre Édouard Philippe, est incohérent !


Par Michel Gay.
22 MAI 2019


Le projet de loi relatif à l’énergie et au climat qui doit être présenté en procédure accélérée au Parlement début juin 2019 est incohérent.

Il confond les objectifs et les moyens et assigne des objectifs irréalistes au motif, selon Jean-François Carenco, président de la Commission de régulation de l’énergie, « qu’il faut regarder vers les étoiles et non pas vers nos pieds ». Il serait bon aussi de garder les pieds sur Terre… et un œil sur les factures d’énergie des Français, ce que lui a rappelé aussi le député Julien Aubert.

Extraits et commentaires

DES OBJECTIFS « AMBITIEUX »…

« La France s’est fixée d’autres objectifs ambitieux en termes de baisse de la consommation d’énergie, de développement des énergies renouvelables »,

À quel titre ? Les énergies renouvelables sont un mauvais moyen d’arriver à un objectif de décarbonation de la production d’électricité. Pourquoi mélanger objectifs et moyens ?

« afin d’atteindre 32 % en 2030, et de diversification de son mix électrique, avec l’objectif de baisser la part du nucléaire à 50 % ».

Encore une fois à quel titre ? Vouloir diminuer la part du nucléaire qui est une énergie décarbonée n’est pas un objectif de décarbonation de la production d’énergie. C’est un mauvais moyen déguisé en objectif. Et il est contradictoire avec celui de baisser les émissions de gaz à effet de serre indiqué dès la première ligne du projet présenté « La France s’est dotée dès 2000 d’objectifs et de plans stratégiques pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre… »

La ligne suivante du projet est fausse !

« Tous ces objectifs concourent à la baisse de nos émissions de gaz à effet de serre ».

Non. Vouloir diminuer la production décarbonée nucléaire pour augmenter la part des énergies fatales et intermittentes comme l’éolien ou le photovoltaïque nécessitant d’être adossées à des centrales à gaz (carbonées) ne concourent pas à la baisse de nos émissions de gaz à effet de serre.

… MAIS IRRÉALISTES !

« En 2016, la France a adopté la première Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE), qui fixe à 2023 des objectifs ambitieux d’efficacité énergétique et de développement des énergies renouvelables ».

Lire « des objectifs irréalistes », mais le projet ajoute en plus :

« … le gouvernement a rehaussé son ambition, en fixant, au sein du Plan climat de juillet 2017, l’objectif d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050 ».

Allons-y, folle farandole ! C’était déjà irréaliste en 2016, mais en 2017 « le gouvernement » accélère.

« … et correspond à une division des émissions par un facteur supérieur à six ».

Et ça ne choque personne qu’avec des « ambitions » amalgamant objectifs et moyens contradictoires, le gouvernement puisse arriver à diviser par six des émissions de gaz à effet de serre ? Il y a quelqu’un « là-haut » où bien vivent-ils « hors-sol » ?


« Les travaux, menés en grande concertation avec l’ensemble des acteurs, ont montré l’impossibilité de respecter en même temps tous les objectifs climatiques et énergétiques fixés par la loi de transition énergétique. Réduire à 50 % la part de nucléaire dès 2025 aurait nécessité de construire de nouvelles centrales au gaz, en contradiction avec nos objectifs climatiques ».

Il fallait au moins une « grande concertation » pour découvrir benoîtement que les objectifs « ambitieux » étaient irréalisables…

TOUJOURS PLUS HAUT, MAIS PLUS TARD…

« Il est donc proposé de porter ce délai à 2035, permettant d’engager une transition réaliste et pilotée. À l’inverse, les travaux ont montré qu’il était possible d’accélérer la baisse des consommations d’énergies fossiles à – 40 % en 2030 au lieu de – 30 % ».

Ce délai à 2035 ne pourra pas être tenu non plus, mais c’est plus tard…

« Les travaux menés dans le cadre de ces deux exercices ont permis de décrire une trajectoire ambitieuse et crédible, permettant de diversifier notre mix énergétique, tout en réaffirmant la priorité consacrée à la lutte contre le changement climatique et à la baisse des émissions de gaz à effets de serre ».

Non, la trajectoire n’est pas « ambitieuse et crédible » mais irréaliste et farfelue en affirmant des priorités opposées ! Comment oser affirmer tout et son contraire en une seule phrase ?

Non, diminuer la production nucléaire décarbonée ne fera pas « baisser les émissions de gaz à effet de serre » malgré cette « priorité » clamée !

Les dogmatiques antinucléaires seraient-ils si bien infiltrés au Gouvernement et dans les rouages administratifs décisionnels ?

« Une transformation d’une telle ampleur doit être nourrie par un bilan régulier de la politique climatique de l’État et de sa mise en œuvre concrète et opérationnelle dans tous les secteurs ».

Et le parlement, même s’il a voté à l’époque, en août 2015, la stupide loi de transition énergétique pour la croissance verte (LTECV), il n’existe plus ?

UN DOUTE QUAND MÊME ?

« C’est pourquoi le président de la République a annoncé la création d’un Haut Conseil pour le climat […]. Fort de l’expertise de ses membres, il devra évaluer si la stratégie nationale bas-carbone de la France est suffisante, alerter si elle est insuffisamment mise en œuvre ou si les décisions prises par les autorités publiques ne sont pas cohérentes avec les objectifs que la France s’est fixée, et le cas échéant recommander des actions pour redresser la trajectoire ».

Alerter si les décisions prises par les autorités publiques ne sont pas cohérentes avec les objectifs ? Redresser la trajectoire ?

Il suffit de commencer par :

arrêter de vouloir détruire des réacteurs nucléaires et, au contraire, de promouvoir une politique de renforcement et de remplacement à échéance technique des centrales nucléaires par des EPR, puis par des réacteurs surgénérateurs.
stopper toute subvention à fonds perdus dans les éoliennes et le photovoltaïque nécessitant un soutien par des centrales réactives au gaz émetteur de… gaz à effet de serre, bientôt importé massivement de Russie et des États-Unis.
Ces deux mesures urgentes constitueraient un bon début…

ALERTE !

Un mix énergétique, dont l’ambition affichée est de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier ne devrait pas mettre des œufs pourris (éolien, solaire, hydrogène…) dans les autres paniers. Ils ne servent à rien, ils coûtent chers et, pire, ils peuvent contaminer les œufs sains dans le bon panier utile.

Alerte à tous les députés et les élus !

Le projet de loi relatif à l’énergie et au climat présenté par le ministre de l’Écologie François de Rugy, au nom du Premier ministre Édouard Philippe, est incohérent !

mardi 21 mai 2019

Les Gilets Jaunes de France: Six mois de lutte

par Tyler Durden
Mar., 21/05/2019 - 03:30
Écrit par Richard Greeman via Counterpunch.org,


Je vous écris depuis Montpellier, en France, où je suis un observateur participant du mouvement Yellow Vest, qui continue de bien se porter après six mois, malgré le manque d'informations dans les médias internationaux.

Mais pourquoi devriez-vous prendre le temps d'en apprendre davantage sur les gilets jaunes ? La réponse est que la France est depuis plus de deux siècles le modèle classique de l’innovation sociale et que ce mouvement social unique et original a une énorme portée internationale. Les Gilets jaunes ont déjà réussi à briser le mythe capitaliste de la «démocratie représentative» à l'ère du néolibéralisme. Leur soulèvement a révélé les mensonges et la violence du gouvernement républicain, ainsi que la duplicité d'institutions représentatives telles que les partis politiques, les syndicats bureaucratiques et les principaux médias.

De plus, les Gilets jaunes représentent la première fois dans l’histoire qu’un mouvement social spontané et auto-organisé tienne pendant six mois en dépit de la répression, tout en conservant son autonomie, en résistant à la cooptation, à la bureaucratisation et aux scissions sectaires. Pendant ce temps, résistant à la répression gouvernementale à grande échelle et à la propagande ciblée, il constitue une alternative réelle et humaine à la déshumanisation de la société sous le règne du «marché» capitaliste.

Il y a six mois, le 17 novembre 2018, les vestes jaunes éclataient littéralement «de nulle part». Des unités locales autonomes se développaient dans toute la France, comme des champignons, manifestant sur les ronds-points et les barrières de péage, défilant tous les samedis en ville. y compris Paris. Mais contrairement à toutes les révoltes précédentes, elle n'était pas centrée sur Paris. Le sol humide de novembre à partir duquel ces champignons ont germé était la frustration quasi universelle des Français face à la faillite abjecte de la CGT et d’autres syndicats de s’opposer efficacement à l’imposition par Macron du rouleau compresseur à vapeur de ses «réformes» historiques de Thatchérite: un néo programme libéral de réduction des avantages, des droits des travailleurs et de la privatisation ou de la réduction des services publics, tout en éliminant le soi-disant impôt sur la fortune destiné aux pauvres.

La cause immédiate de cette hausse massive spontanée était de protester contre une taxe inéquitable sur le carburant (justice fiscale), mais les revendications des Gilets jaunes se sont rapidement étendues pour inclure la restauration des services publics (transports, hôpitaux, écoles); des salaires plus élevés, des allocations de retraite, des soins de santé pour les pauvres, une agriculture paysanne, des médias libres du contrôle d'un milliardaire et du gouvernement, et, ce qui est remarquable, une démocratie participative. En dépit de leur tactique perturbatrice, les vestes jaunes étaient d’emblée très populaires auprès des Français moyens (approbation à 73%), et elles le sont toujours plus que le gouvernement Macron après six mois d’épuisantes occupations dangereuses de l’espace public, de violentes manifestations hebdomadaires propagande diffamatoire contre eux.

Fatigués d’être menti, trompé, manipulé et méprisé, les Gilets jaunes ont instinctivement refusé dès le début d’être instrumentalisés par les institutions corrompues «représentatives» de la démocratie capitaliste - y compris les partis politiques, les bureaucraties syndicales et les médias (monopolisés par des milliardaires et subventionnés par le gouvernement). gouvernement). Jaloux de leur autonomie, un concept que les intellectuels radicaux explorent depuis des années, les Gilets jaunes ont évité les «dirigeants» et les porte-parole, même dans leurs propres rangs, et apprennent même très progressivement à se fédérer et à négocier leur convergence avec d'autres mouvements sociaux.

Dès le début, les rassemblements non autorisés non violents de la veste jaune ont été réprimés massivement par la police: gaz lacrymogènes, flashballs, passages à tabac, 10 000 arrestations, procès immédiat avec tête de tambour, peines sévères pour des infractions mineures. Le gouvernement Macron vient d'adopter une nouvelle loi «anti-vandalisme» rendant pratiquement impossible toute démonstration légale. La république française néolibérale orthodoxe de Macron* est sans doute devenue aussi répressive que les régimes «populistes» de droite polonais, hongrois et turcs, de l’opposition nationale.

La répression violente de l’opposition politique exercée par Macron a fait au moins deux morts, 23 manifestants aveuglés d’un œil et des milliers de blessés graves. Il a été condamné par les États-Unis et l'Union européenne. Mais Macron n'a jamais reconnu ces blessures, qui sont rarement montrées dans les médias. Les nouvelles télévisées se concentrent sur des images sensationnelles de la violence (à la propriété) des vandales du Black Block en marge des manifestations de Yellow Vest, jamais sur les victimes humaines de la violence systématique du gouvernement. Un slogan populaire proclamé dans Magic Marker sur le gilet jaune d'un manifestant se lit comme suit: «Réveillez-vous ! Éteignez votre téléviseur ! Rejoignez-nous !"

Depuis que les gilets jaunes n'ont plus de porte-parole reconnu, la propagande gouvernementale, encouragée par les médias, a les mains libres pour les déshumaniser afin de justifier leur traitement inhumain. Macron, du haut de sa présidence monarchique, a d'abord fait semblant d'ignorer leur soulèvement, puis a tenté de les acheter avec des miettes (très peu de miettes qui ont été rejetées) et les a ensuite dénoncés comme "une foule haineuse." Dans la réalité, les Gilets jaunes sont en majorité des personnes d'âge moyen à faible revenu avec des familles des provinces dont la marque de commerce est la gentillesse et des barbecues improvisés.) Pourtant, pour Macron et les médias, ils constituent un complot infaillible de «40 000 militants du extrême droite et l’extrême gauche »souvent qualifiés d’ «antisémites», qui menacent la République.

Il n’est pas étonnant que, soumis à une violence croissante et à des calomnies continuelles, le nombre de Gilets jaunes disposés à sortir dans la rue pour manifester chaque semaine ait diminué en 27 semaines. Mais ils sont toujours là-bas et leur chant préféré est: «Nous y sommes ! Nous voilà ! Et si Macron ne l’aimait pas ? Nous y sommes ! ”(On est là ! Même si Macron ne veut pas, On est là !)

Heureusement, ces dernières semaines, la Ligue pour les droits de l'homme et d'autres groupes humanitaires de ce type se sont enfin manifestés pour protester contre les brutalités policières, tandis que des comités d'artistes et d'universitaires ont signé des pétitions en faveur de la lutte des Gilets jaunes pour les droits démocratiques, condamnant le gouvernement et les médias. Dans le même temps, les vestes jaunes convergent de plus en plus avec les écologistes («Fin du mois / la fin du monde / Même ennemi / Même lutte») et les féministes (les femmes jouent un grand rôle dans le mouvement).

Aussi avec les travailleurs, beaucoup d'entre eux actifs en tant qu'opposants à la bureaucratie dans leurs syndicats. Les autocollants rouges CGT apposés sur les vestes jaunes sont désormais fréquemment utilisés lors des démonstrations. Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, jusqu'alors sarcastique et négatif à propos des Gilets jaunes, est désormais obligé d'admettre que leur montée est due à l'échec des syndicats, «à l'image de tous les déserts syndicaux. ”Il faisait référence à “des petites et moyennes entreprises, des retraités, des personnes pauvres, des personnes sans emploi et beaucoup de femmes” (la démographie des gilets jaunes) que les syndicats ont ignorés.

Les gilets jaunes sont toujours là, dans la mêlée, tenant la brèche ouverte. La crise en France est loin d'être terminée. Si et quand les autres groupes opprimés et en colère en France - les travailleurs organisés, les écologistes, les immigrés nord-africains, les étudiants luttant contre les "réformes" éducatives de Macron - éteignent également leurs télévisions et descendent dans la rue, la situation pourrait changer radicalement. L’objectif déclaré des Gilets jaunes est d’arrêter la France et d’imposer un changement par le bas.

Et s'ils réussissent ? Nous savons à quoi a conduit le «succès» de partis structurés tels que Syriza en Grèce et Podemos en Espagne. Peut-être qu'une fédération horizontale de groupes de base autonomes essayant de réinventer la démocratie pourrait faire mieux.

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*NOTA: Depuis le 1er Janvier 2017 la France n'a plus de Constitution.
Le 'Président de la république' est dont illégitime, comme le sont TOUS ses ministres et dépendants.
TOUS les Députés sont illégitimes et la moitié du Sénat est illégitime. Toutes les lois votées depuis le 1er Janvier 2017 sont illégitimes.
Donc, TOUTES les actions menées par 'les forces de l'ordre' sont illégitimes et ne viennent donc d'aucun pouvoir hiérarchique.

Macron doit être renversé. 

Dernière étape avant la chute

Comme le chef de l'État est illégitime il ne peut rétablir la Constitution qu'il a de lui-même effacé. Il est donc nécessaire que soient lancées de nouvelles élections qui désigneront le chef de l'État.
Notons que, comme la majorité des manifestants du samedi veulent la Démocratie à la place de la république, il ne peut y avoir prochainement d'élection de 'président de la république' mais uniquement un (ou une) chef(fe) de l'État comme en Suisse (seule Démocratie au monde).