- ENTREE de SECOURS -



samedi 29 août 2020

Vaccination anti-Covid : « Humain 2.0 » et Transhumanisme - Dr. Carrie Madej



Traduction de la vidéo Guy Fawkes

“STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…” un collectif international de professionnels de santé dénonce des “mesures folles et disproportionnées”

Coronavirus : derrière l’insouciance apparente, une épidémie de dépression chez ados et jeunes adultes

Le Dr Palevsky évoque les nanoparticules d’aluminium vaccinal qui restent dans le cerveau pendant des décennies

Pr. Luc Montagnier : « On est dans un monde de fous, un monde de fous ! »

12:00 La Dr Madej parle de la nanotechnologie comprise dans l'Hydrogel. Il s'agit là de 'poussières intelligentes' (comme celles qui sont chemtraillées) et qui sont absorbées par toutes les plantes, les animaux ainsi que par les humains qui en respirent, en boivent et en mangent. Le but est de les diriger sur des longueurs d'ondes appropriées et de leur faire transmettre des messages. Ainsi, vous devenez obéissant à tout (comme par le calme grâce au fluor) et serez dirigé à accomplir des tâches contraires à votre propre idéologie, votre volonté sera compromise et pourrez devenir des personnes violentes, capables de meurtres et d'éliminer toute votre famillle !
Même si vous refusez le vaccin-exterminateur, vous courrez le danger d'être victime d'une personne qui a accepté d'être vaccinée ! (sans que vous le sachiez !).

vendredi 28 août 2020

Une expérience en cours sur l’installation Tokamak, le prédécesseur d’ITER, dans l’Institut Kourtchatov à MoscouITER, premier réacteur thermonucléaire: un projet international apolitique «dans sa structure même»

21:00 27.08.2020
Par Oxana Bobrovitch


Témoignage de la possibilité d’une coopération scientifique transversale, l’assemblage d’ITER, le réacteur thermonucléaire expérimental international, a commencé à Cadarache. Mikhaïl Makarov, représentant commercial de la Russie en France, décline pour Sputnik les incidences que ce projet pourrait avoir sur la coopération franco-russe.

Le 28 juillet dernier, le «chantier du siècle», près du centre de recherche de Cadarache, est passé à la vitesse supérieure. Ce jour-là, l’assemblage d’ITER, le plus grand réacteur thermonucléaire expérimental au monde, a officiellement commencé, un lancement notamment salué par Emmanuel Macron. Ce «soleil artificiel» sera capable de produire sept milliards de kW/h d’électricité par an. Pour l’instant, ITER est le seul projet impliquant Moscou à ne pas faire l’objet de sanctions internationales.

Mikhaïl Makarov, représentant commercial de la Russie en France, confirme dans une interview à Sputnik que ce projet industriel impliquant 35 pays, «dans sa structure même, dans son idéologie, est apolitique et non soumis à la conjoncture actuelle». L’histoire du projet est riche en exemples où les pays ont réussi à surmonter des moments politiquement difficiles.

«Il y a eu des moments où, en raison des sanctions imposées, des entreprises russes ont eu des difficultés à acquérir des équipements pour remplir leurs obligations dans le cadre du projet ITER, rappelle Mikhaïl Makarov. Dans tous ces cas, les difficultés ont été surmontées avec l’implication des structures de l’Union européenne et grâce à l’intervention du directeur général d’ITER, Bernard Bigot.»

Le directeur de la représentation commerciale russe cite notamment une anecdote remontant à fin avril, début mai 2020, quand dix semi-remorques avec de l’équipement électrique pour ITER ont fait le trajet de Saint-Pétersbourg à Cadarache.

Fusion nucléaire et coronavirus


Il s’agissait de l’un des équipements russes les plus importants et les plus volumineux sur le total des 25 systèmes dont la Russie est responsable.

«La livraison a été effectuée au moment du pic de la pandémie de coronavirus, lorsque les frontières des États européens étaient fermées au transport. Malgré cela, les véhicules avec une cargaison aussi précieuse pour la mise en œuvre du projet sont arrivés avec succès à leur destination dans le sud de la France», souligne Mikhaïl Makarov.

L’aspect unique de l’aventure humaine actuelle est que «la coopération dans le cadre du projet ITER est un tout nouveau format de coopération scientifique et technique internationale»:

«Des pays aux cultures, traditions et approches scientifiques complètement différentes ont appris à parler la même langue, au sens propre comme au sens figuré. À cet égard, ITER est un exemple éclatant de la façon dont un seul grand objectif peut effacer les différences et devenir un lien pour une coopération internationale étroite», se félicite Mikhaïl Makarov.

Le directeur exprime également la certitude que «les futurs projets de ce niveau, les projets de classe Big Science, devraient et seront construits sur le chemin que nous avons parcouru». Il n’hésite pas à citer quelques chiffres témoignant de la prouesse de la coopération russo-française en ces temps difficiles: en 2019, les échanges commerciaux entre ces pays s’élevaient à environ 15 milliards de dollars américains, qui représentent «une augmentation significative par rapport à l’année critique pour les relations économiques extérieures en 2014.»

Un projet «apolitique», mais vivant dans son temps

Mikhaïl Makarov reste persuadé que pour la France comme pour la Russie, «il s’agit d’un projet-phare d’une importance colossale, autant pour les sciences appliquées, qu’en termes d’image». Cela sous-entend pour la représentation commerciale russe le besoin de poursuivre «de manière continue» la coopération entre les deux pays.

«En 2006, l’année de la signature de l’accord international sur la création de l’Organisation ITER, l’Agence ITER de France a été créée. Ses compétences comprennent l’interaction avec les organisations internationales, les questions de contributions financières et en nature à l’organisation ITER, l’exécution de nombreux travaux sur le chantier de construction du réacteur et bien d’autres questions», détaille Mikhaïl Makarov.

Un nombre important d’employés russes travaillent dans l’organisation ITER participent à la mise en œuvre du projet et visitent régulièrement le site de construction du réacteur. Le directeur de la représentation commerciale rappelle que «des stages pour de jeunes spécialistes russes sont régulièrement organisés». Un bureau d’accueil, créé au sein de la structure d’ITER, «est impliqué dans l’assistance pratique aux employés, les aidant à résoudre les problèmes au quotidien» pour faciliter leur adaptation.

ITER, moteur des relations bilatérales

La mise en place des premiers composants du réacteur à Saint-Paul-lès-Durance a suscité beaucoup d’enthousiasme. Désormais, l’objectif principal est d’obtenir le premier plasma en 2025, une «échéance clairement définie par l’actuel directeur général d’ITER, Bernard Bigot», lors de sa prise de fonction en 2015.

«Il ne faut pas oublier qu’ITER est un équipement expérimental. Son objectif principal est de développer des processus technologiques. Par conséquent, les travaux de recherche seront menés par étapes», rappelle Mikhaïl Makarov.

Pour le représentant commercial russe, si les expériences pratiquées au sein du réacteur ITER sont couronnées de succès, selon le scénario esquissé par la communauté internationale («et nous n’en doutons pas», souligne Mikhaïl Makarov), on peut s’attendre à l’apparition «d’ici le milieu du siècle» d’une première centrale thermonucléaire internationale «plus sûre, fondamentalement nouvelle, potentiellement plus puissante.»

jeudi 27 août 2020

Le coronavirus a-t-il aussi contaminé notre État de droit ?

Jamais en temps de paix les démocraties n’ont enduré pareilles entorses aux principes qui les fondent : les libertés publiques.


Par Maître Sabine Sultan Danino, Avocat au Barreau de Paris.
26 AOÛT 2020


Il n’est pas contestable que la crise du coronavirus est considérée comme un danger qui menace la vie de la nation. Il n’est pas non plus critiquable que des mesures exceptionnelles soient prises lorsque les gouvernants estiment que pareil danger existe.

Ils ne sont pourtant pas normaux ce monde à l’arrêt depuis 5 mois, cette économie à l’agonie, ces rapports humains éclatés, cette phobie du risque zéro installée, la peur savamment distillée, cette surveillance généralisée et ces entraves inédites et acceptées à nos libertés fondamentales.

Car des mesures liberticides sont prises dans un cadre parfaitement légal au nom de l’urgence sanitaire. Et ce mouvement a cela d’inédit qu’il est mondial.

LES LIBERTÉS PUBLIQUES MISES À MAL

En France, en faisant voter à une vitesse sidérante la loi du 22 mars 2020 relative à l’épidémie, le gouvernement a ainsi pu créer l’État d’urgence sanitaire. Cette loi a permis au gouvernement d’agir dans les domaines les plus variés de l’économie, et notamment l’organisation du travail au sein des secteurs sensibles.

C’est donc un véritable régime d’exception qui a été créé. Ce régime, sorte de gouvernance politico-médicale, a habilité notamment le Premier ministre à prendre par décret des mesures générales limitant la liberté d’aller et venir, la liberté d’entreprendre et la liberté de réunion et permettant de procéder aux réquisitions de tout bien et services nécessaires afin de lutter contre la catastrophe sanitaire.

Jamais en temps de paix les démocraties n’ont enduré pareilles entorses aux principes qui les fondent : les libertés publiques. Sans remettre en question la vocation sécuritaire de la mesure ou même l’intérêt stratégique politique, sans chercher une idéologie masquée… on peut juste s’inquiéter de voir les acteurs politiques capables de construire un état d’exception devant chaque situation exceptionnelle à laquelle ils sont confrontés.

Parce qu’ils deviennent ainsi les bâtisseurs de leur propre domaine de compétence, ce qui pose déjà un problème de séparation des pouvoirs. Et surtout, l’Histoire nous a tristement montré qu’il faut toujours observer avec méfiance un pouvoir qui s’arroge, pour lui-même, des droits exorbitants en proclamant la nécessité d’une urgence nationale ou d’une menace quelconque.

La liste des entraves est longue ; restrictions, interdictions, sanctions ont été prises au nom de la précaution sanitaire. Pour ne citer que quelques exemples marquants :

La liberté d’aller et venir a été sérieusement entravée (couvre-feux, attestations dérogatoires, fermetures des frontières).

Le droit de mener une vie privée et familiale pourtant consacré par l’article 8 de la CEDH a été ignoré. Combien de familles séparées, comme dans un autre temps, par les fermetures de frontières et les quatorzaines imposées ? Combien de mariages, de célébrations annulées ? Et ces enterrements et deuils en comité ultra restreints ou en zoom…

La liberté de réunion a été restreinte voire supprimée (manifestations, événements sportifs).
Le droit à l’instruction a été mis en suspens pour des dizaines de milliers de jeunes ; sans parler des inégalités engendrées, car les enfants n’ont pas tous accès au télé-enseignement et les enseignants n’ont pas tous reçu la formation nécessaire à ces nouvelles pédagogies.

Les droits de la défense ont été extraordinairement ignorés avec, au mieux, le recours aux visio-conférences et une justice expéditive (notamment pour des étrangers en rétention) et, au pire, les fameuses procédures sans audiences… C’est-à-dire consistant à rendre des jugements sur dossier, à juge unique, sans plaidoirie des avocats et sans comparution des parties. Dit autrement, des procès… sans procès.

La liberté de prescription des médecins a été exceptionnellement règlementée. Par deux décrets des 25 et 26 mars 2020, le Premier ministre a restreint les conditions de prescription et de délivrance de deux médicaments susceptibles de soigner les patients atteints, en l’absence de consensus scientifiques remettant en question la liberté même dont jouit normalement un médecin généraliste.

La liberté de religion a été significativement affectée par la suspension des célébrations religieuses et par les restrictions liées aux enterrements.
Le droit de travailler a été restreint et son exercice a été pour certains interdit.

ÉTAT D’EXCEPTION AU QUOTIDIEN

Et aujourd’hui encore, même si le 10 juillet 2020 a été votée la fin de l’État d’urgence sanitaire, des restrictions importantes sont encore imposées :

interdiction des rassemblements de plus de 5000 personnes ;
obligation de déclarer les rassemblements de plus de 10 personnes ;
interdiction des rassemblements nocturnes ;
fermeture des salles de réunion publiques (danse, jeux, expositions, salons…) ;
obligation du port du masque dans les lieux clos ;
obligation du port du masque en centre-ville et sur les marchés ;
obligation du port du masque en entreprise ;
obligation du port du masque dans les transports en commun ;
obligation du port du masque pour les personnels des bars et restaurants ;
obligation du port du masque pour tout rassemblement de plus de 10 personnes ;
interdiction de tables de plus de 10 personnes dans les restaurants ;
fermeture des vestiaires collectifs ;
limitation des écoles de musiques, conservatoires, fanfares, etc. à 15 personnes ;
interdiction de danser lors des soirées organisées dans les salles des fêtes municipales ;
limitation des crèches à 10 enfants ;
prime de 55 euros pour tout médecin déclarant un malade du Covid ;
obligation du respect des gestes barrières ;
interdiction de transporter du matériel de sonorisation ;
annulation de très nombreuses manifestations : marathons, foires, expositions, matches ;
limitation de la liberté de prescription ;
fermeture d’établissements publics ;
quarantaines par réciprocité ;
interdiction de visite aux patients hospitalisés ;
absence de débat public sur des lois votées sans députés.

Et tout cela sans que l’on n’ait la moindre idée de l’horizon auquel pourraient être suspendues ces exceptions temporaires à la liberté.

LA DÉMOCRATIE EN SOUFFRANCE

Par ailleurs, on peut aussi s’interroger sur la proportionnalité de ces mesures, base de la légalité d’un régime d’exception, au regard d’éléments factuels, tels que la létalité. Car historiquement le principe de précaution à lui seul n’a jamais justifié un tel arsenal.

Et jusqu’où irons-nous ? Le maire de Bordeaux s’est exprimé récemment sur une éventuelle interdiction de fumer dans la rue pour lutter contre l’épidémie de coronavirus. Le traçage des clients des restaurants va-t-il se généraliser en France ? La réalité dépasse la fiction : des technologies intrusives ont été déployées dans le monde, drones, reconnaissance faciale, applications de traçage banalisant le recueil des données de santé, caméras thermiques…

Ajouté à tout ce que qui n’est pas encore illégal mais qui n’est déjà plus sanitairement correct : le droit de s’embrasser, de s’étreindre, de festoyer, de rire… Cette « distanciation sociale » qui isole davantage et qui entretient cette incroyable peur et ce clivage désormais flagrant entre les gens.

Autant de stigmates d’une démocratie en très grande souffrance. La vigilance est donc de mise car, disait Benjamin Franklin, « un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité, ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »

mercredi 26 août 2020

Un scientifique du gouvernement britannique admet que le verrouillage était une "erreur monumentale à l'échelle mondiale"


par Tyler Durden
Mer, 26/08/2020 - 05:00
Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


Un conseiller scientifique du gouvernement britannique a déclaré que le verrouillage du coronavirus était une «mesure de panique» et une «erreur monumentale à l'échelle mondiale».

Mark Woolhouse, expert en maladies infectieuses et professeur à l’Université d’Édimbourg, a reconnu que la décision de verrouiller en mars était une «mesure grossière» qui avait été adoptée parce que «nous ne pouvions penser à rien de mieux à faire».

«Le verrouillage était une mesure de panique et je pense que l'histoire dira qu'essayer de contrôler Covid-19 par le verrouillage était une erreur monumentale à l'échelle mondiale, le remède était pire que la maladie», a déclaré Woolhouse, qui appelle maintenant le gouvernement à déverrouiller la société avant que d'autres dommages ne soient causés.

«Je ne veux plus jamais voir le verrouillage national», a-t-il ajouté.

«C'était toujours une mesure temporaire qui a simplement retardé le stade de l'épidémie que nous voyons actuellement. Cela n'allait jamais rien changer fondamentalement.

Le professeur affirme que l'impact de la réponse au coronavirus sera pire que le virus lui-même.

«Je crois que le blocage des dommages fait à notre éducation, à notre accès aux soins de santé et à des aspects plus larges de notre économie et de notre société se révélera au moins aussi grave que le tort causé par le COVID-19», a déclaré Woolhouse.

Richard Sullivan, professeur de cancer au King's College de Londres, avait précédemment averti qu'il y aurait plus de décès par cancer au cours des 5 prochaines années que le nombre de personnes décédées du coronavirus au Royaume-Uni en raison de la perturbation causée par le verrouillage du coronavirus, qui est empêcher les victimes de cancer de se faire soigner.

Les chiffres montrent également qu'il y a eu plus de décès en excès pendant la saison grippale 2017-2018 (environ 50 000) que le nombre total de personnes au Royaume-Uni décédées des suites d'un coronavirus (41 433).

Cependant, une enquête menée le mois dernier a révélé que les Britanniques pensaient qu'environ 7% de la population, soit 5 millions de personnes, avaient été tués par COVID-19.

mardi 25 août 2020

Pr. Luc Montagnier : « On est dans un monde de fous, un monde de fous ! »


Révélations troublantes du prix Nobel de médecine, le Dr. Montagnier

Prenez le temps de lire (des extraits que j'ai relevés) ou d'écouter le professeur Montagnier, il fait ici des révélations extrêmement choquantes. 


lundi 24 août 2020


Faites suivre à vos proches considérant que le vaccin contre la grippe sera offert très bientôt...

Dr. Luc Montagnier, prix Nobel de médecine en 2008, est virologue et professeur émérite à l’Institut Pasteur, où il a dirigé, de 1972 à 2000, l’unité d’Oncologie virale, directeur de recherches honoraire au CNRS et membre des Académies des sciences et de médecine.

- "IL FAUT LE DIRE TRÈS FORT, SI VOUS AVEZ QUELQU'UN QUI EST ATTEINT PAR LE COVID19, SI VOUS LE VACCINEZ CONTRE LA GRIPPE, VOUS RISQUEZ DE LE FAIRE MOURIR DANS LES JOURS OU LES SEMAINES QUI SUIVENT"

- "En Italie du nord, on a vacciné contre la méningite toute une population et c'est là qu'on a vu le pic de morts augmenter de façon très importante".

- "Si quelqu'un qui a une chimiothérapie bien équilibrée contre un cancer, VOUS LE VACCINEZ CONTRE LA GRIPPE, VOUS ALLEZ LE TUER TRÈS RAPIDEMENT !"

- "Ce virus a reçu des insertions, des petits bouts d'ARN venus d'un autre virus ou même d'une synthèse chimique".

- "Ce virus a été en partie fabriqué".

- "Il y a un coverup général".

- "Les scientifiques sont achetés".

- "C'est faux, ce virus n'a pas été créé par la nature".

- "Le côté économique de cette affaire est très important".

- "Les vaccins, parfois, sont mauvais".


lundi 24 août 2020

Californie : pas de vent, pas de soleil, pas d’électricité !

Le 14 août 2020 en fin d’après-midi, un « blackout » a privé plus de 2 millions de Californiens d’électricité (500 000 foyers) durant plusieurs heures.


Par Michel Gay.
23 AOÛT 2020


La Californie découvre les joies de la production intermittente d’électricité des éoliennes et des panneaux photovoltaïques (PV) en inaugurant quatre jours consécutifs de coupures tournantes d’électricité.

Les centrales à gaz, bien que fonctionnant à plein régime (un comble pour un État qui se veut green), ne suffisent plus pour répondre aux besoins de la climatisation vitale par des températures élevées dépassant largement les 40°C.

LA CALIFORNIE, PREMIER EXEMPLE

Le 14 août 2020 en fin d’après-midi, un blackout a privé d’électricité plus de deux millions d’habitants de Californie (500 000 foyers) durant plusieurs heures.

Cette coupure d’électricité est liée à la double défaillance des énergies renouvelables (coucher du soleil et absence de vent) représentant aujourd’hui seulement près du tiers de la production d’électricité en Californie.

Que serait-il arrivé si l’État le plus peuplé des États-Unis avait produit la moitié voire la totalité de son énergie à partie de ces énergies intermittentes ?

De nombreux experts alertent depuis des années sur le risque de dépasser le seuil de 30 % d’énergies renouvelables dans le mix énergétique sans prévoir en double des unités pilotables généralement au gaz capables de prendre le relais.

LA CLIMATISATION, MAIS PAS SEULEMENT

Certes, la climatisation est en cause, mais en Californie, c’est un besoin et non un luxe !

La canicule européenne de 2003, moins sévère qu’en Californie, avait provoqué 18 000 morts supplémentaires en France.

Mais trois autres facteurs sont aussi à l’œuvre dans ce désastre :

1) Une baisse de 25 % des importations des États voisins, eux aussi soumis aux fortes chaleurs et ayant besoin de leur propre production d’électricité. Ce qui montre la fragilité des plans d’alimentation comptant massivement sur les importations des voisins. Cette démonstration par l’absurde s’applique aussi aux échanges intra-européens lors des pointes de consommation hivernales.

2) Le solaire photovoltaïque sensé produire en phase avec les besoins de climatisation (cas rare des énergies intermittentes) montre ses faiblesses : les manques de production ont concerné la plage horaire entre 15 h 00 et 22 h 00. Or, compte tenu de la latitude de la Californie, la production des photovoltaïques baisse rapidement à partir de 16 h 00 solaires. Le photovoltaïque n’a donc été d’aucune utilité entre 18 h 00 et 22 h 00, soit durant 4 heures !

3) La chute de la production éolienne prouve ses faiblesses une fois de plus, s’il en était besoin, et son absence de corrélation naturelle avec les besoins.

Tout cela pourrait être une belle leçon pour les responsables politiques de la plupart des pays européens qui soutiennent ces énergies renouvelables intermittentes et qui préparent une catastrophe généralisée en Europe. Mais ces derniers, confits dans leur idéologie et l’attention focalisée sur leur élection (ou réélection), sont-ils capables d’en avoir conscience ?

L’AVENIR RADIEUX VERS LEQUEL NOUS MARCHONS…


La production d’électricité décarbonée n’est pourtant pas un problème en s’appuyant correctement sur la technologie, et notamment sur… le nucléaire.

L’usage de l’électricité qui apporte bien-être, confort et qui sauve des vies ne doit pas être stigmatisé.

Si les politiciens californiens n’avaient pas opéré de mauvais choix de programmation énergétique cette situation ubuesque ne se produirait pas. Le seul problème est là.

Une grande centrale nucléaire produit à profusion en Arizona, l’État voisin, mais au cri de « il y a toujours du vent quelque part » et de « on pourra toujours importer de chez les voisins » (qui sont évidemment en général soumis aux mêmes aléas météorologiques)… la sortie de route était prévisible (comme en Europe).

EN CALIFORNIE… EN FRANCE ET EN EUROPE ?

Du 1er août au 15 août, le facteur de charge de l’éolien en France a été de seulement 10 %…

En Allemagne et en France, des absences de vent peuvent succéder à des vents forts ne correspondant pas aux besoins. Ces situations provoquent des périodes de prix négatifs pour écouler de force cette électricité subventionnée par les impôts des contribuables (voir les deux graphiques en annexe).

L’Allemagne a autant de puissance installée éolienne (61 790 mégawatts -MW-) que le nucléaire en France, mais sa production est tombée à 139 MW le 8 août à 10 h 15.

Pour pallier cette intermittence, ce pays possède un double parc de production électrique utilisant toujours le charbon et le gaz, ce qui en fait le plus gros émetteur de gaz carbonique de l’Union européenne, alors que la France est un des pays les moins émetteurs grâce à son énergie nucléaire.

Un des responsables du gestionnaire de réseau californien a fait cette remarquable et délicieuse déclaration au Wall Street Journal : « Nous devons prêter attention au progrès très décevant que nous avons accompli sur l’adaptation de la demande ».

C’est ballot… mais que fait la police ?

Toutefois, pour nombre de politiciens écolos, l’insuffisance de production d’électricité ne constitue pas un drame.

Jusqu’à présent en France, la production a été adaptée à la demande avec bonheur. Mais certains écologistes seraient ravis d’inverser le paradigme pour aller vers une  sobriété heureuse.

La maîtrise de la demande par l’effacement « volontaire », si nécessaire contraint par des prix artificiellement élevés et par la loi, devrait calmer nos ardeurs consuméristes.

Pour les écolos dogmatiques, réduire par la contrainte (loi, black-out, Covid,…) la production d’électricité constitue un excellent moyen de « désintoxication consumériste » et la « démonstration » qu’il est possible de sortir du nucléaire.

En effet, la production 100 % dit renouvelable doit s’accompagner d’une réduction drastique des consommations d’électricité. L’expérience douloureuse du confinement lié au Covid démontrerait (pour certains) que la baisse drastique des activités sociales, culturelles, domestiques, et industrielles est possible pour le plus grand bien de l’humanité…

La majorité des Français a-t-elle envie d’une telle cure/purge, y compris pour le bonheur de la planète qui ne demande rien ?

DÉLOCALISER LE PHOTOVOLTAÏQUE DANS LE DÉSERT ?

L’efficacité d’une cellule solaire croît avec l’ensoleillement (durée et intensité), mais elle décroît avec la température et… l’ombre (neige, poussière, sable…).

Dans les déserts, il y a de l’espace et du soleil, mais il y a aussi malheureusement du sable. Les grands projets solaires des Émirats Arabes Unis se sont ainsi fracassés dans les tempêtes de sable qui rendent les panneaux solaires inopérants en les couvrant d’une pellicule poussiéreuse. Les nettoyer à sec griffe et opacifie les panneaux et les nettoyer à l’eau de mer les couvre d’une croûte de sel, l’eau douce étant rare dans le désert.

Aussi les Émiratis ont abandonné leurs projets solaires pharaoniques et se sont tournés vers le nucléaire.

ET LE STOCKAGE ?


Il est illusoire de miser sur le stockage à grande échelle pour compenser les lacunes des renouvelables.

Comme le montre l’exemple en Californie, les renouvelables devront dans tous les cas être secourus par un ami pilotable (gaz ou charbon fortement émetteurs de gaz à effet de serre) dont la capacité devra couvrir en double la totalité de celle des renouvelables. C’est le prix à payer qui doit être pris en compte dans le prix de l’éolien ou du solaire, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.

Les prix avancés aujourd’hui (70 euros/MWh pour l’éolien et 80 euros/MWh pour le solaire) ne prennent pas en compte le prix du soutien des centrales à gaz et au charbon, ni leurs productions, et n’ont donc aucun sens économique.

Le gaz peut intervenir comme énergie de transition à court et moyen terme, mais à long terme seul le nucléaire peut conduire à se passer des énergies fossiles et à la neutralité carbone.

Le GIEC (IPCC) (Groupement international d'Etudes sur le climat) l’a bien compris en stipulant que « sans nucléaire les objectifs d’électricité verte étaient inatteignables ».

Sans nucléaire ni gaz, pas de vent, pas de soleil, pas d’électricité !

Un message simple que les écologistes antinucléaires (car il existe aussi des écologistes pronucléaires) ne semblent toujours pas avoir compris.

vendredi 21 août 2020

Épidémiologiste principal de la Suède: le port de masques faciaux est «très dangereux»

par Tyler Durden
Ven, 21/08/2020 - 03:30
Rédigé par Steve Watson via Summit News,


Le principal expert suédois du coronavirus a averti qu'encourager les gens à porter des masques faciaux est «très dangereux» car cela donne un faux sentiment de sécurité mais ne freine pas efficacement la propagation du virus.

«Il est très dangereux de croire que les masques faciaux changeraient la donne en ce qui concerne COVID-19», a déclaré Anders Tengell, qui a supervisé la réponse de la Suède à la pandémie tout en résistant à toute forme de verrouillage ou de mandat de masque.

"Les masques faciaux peuvent être un complément à d'autres choses lorsque d'autres éléments sont en place en toute sécurité", a ajouté Tengell.

«Mais pour commencer par avoir des masques faciaux et ensuite penser que vous pouvez encombrer vos bus ou vos centres commerciaux - c'est définitivement une erreur», a-t-il ajouté.

Tegnell s'est toujours prononcé contre l'utilisation de masques, déclarant le mois dernier que «les chiffres diminuant très rapidement en Suède, nous ne voyons aucun intérêt à porter un masque facial en Suède, pas même dans les transports publics.»

"Les découvertes qui ont été produites à travers les masques faciaux sont étonnamment faibles, même si tant de personnes dans le monde les portent", a exhorté Tengell.

«Je suis surpris que nous n’ayons pas plus ou de meilleures études montrant les effets réels des masques. Des pays comme l'Espagne et la Belgique ont fait porter des masques à leurs populations, mais leur nombre d'infections a encore augmenté », a également déclaré l'épidémiologiste.

La Suède, qui n'a appliqué aucune ordonnance de verrouillage obligatoire, a vu ses cas et ses décès de coronavirus ralentir jusqu'à un filet.

«Que la Suède soit descendue à ces niveaux est très prometteur», a déclaré Tegnell, ajoutant que «les courbes diminuent et les courbes pour les personnes gravement malades commencent à se rapprocher de zéro.»

Comme Newsweek l'a reconnu plus tôt ce mois-ci, le taux de mortalité par COVID-19 en Suède est inférieur à celui de l'Espagne, du Royaume-Uni et de l'Italie, pays qui ont tous imposé des verrouillages.

La baisse du PIB de la Suède de 8,6 au deuxième trimestre 2020 est également nettement moins sévère que la moyenne de 12,1 enregistrée dans la zone euro, laissant le pays scandinave en «bien meilleure forme que le reste de l'Europe».

mercredi 19 août 2020

Espagne : Lorsque la propagande se heurte en direct à la vérité


Mettre en plein écran pour lire la traduction écrite en français.

Vous remarquerez vite que l'écran est intentionnellement brouillé d'une quantité explosive d'images qui défilent très très vite afin de faire 'perdre pied' à tous les téléspectateurs espagnols ! C'est la dictature de la monarchie-dans-la-colle !

mardi 18 août 2020

Ce que nous apprennent les données de mortalité



IHU Méditerranée-Infection

https://www.youtube.com/watch?v=jkLtPq5-e_k

Les voyages vers la Lune ou Mars compromis pour les années à venir

le 18 août 2020


Capture d’écran 2020-08-16 à 11.31.41.png
Les richissimes privilégiés qui ont déjà payé une réservation pour un voyage vers la planète Mars ou encore plus modestement vers la Lune en auront pour leur argent : aucun voyage de longue durée dans l’espace proche ne sera possible avant 2050, c’est-à-dire au plus haut de l’activité solaire du cycle #26. En effet, alors que le cycle solaire #24 se termine, toutes les prévisions des astrophysiciens au sujet de l’intensité du cycle solaire #25 à suivre sont pessimistes : au mieux ce cycle d’activité solaire atteindra en intensité celle du cycle #24. Il faut remonter au tout début du XIXe siècle pour retrouver une activité solaire aussi étriquée, cette période climatique que l’on a coutume d’appeler « le petit âge glaciaire ». Sans activité magnétique solaire soutenue les voyages de longue durée dans l’espace peuvent avoir des conséquences fatales sur les êtres humains embarqués. Je me permets d’exprimer ici mon admiration pour le courage des personnels se trouvant dans la station spatiale internationale en ce moment : ils sont irradiés en permanence par des rayons cosmiques d’origine galactique de très haute énergie que le champ magnétique solaire est incapable de dévier, ceci depuis la fin du cycle solaire #23 :

Capture d’écran 2020-08-16 à 12.02.56

Ce que les astrophysiciens ont fait pour tenter d’affiner leurs prédictions, outre l’utilisation du modèle prédictif du Docteur Valentina Zharkova dont j’ai souvent mentionné les travaux sur ce blog, a été tout simplement de comparer les cycles solaires contemporains et ceux du minimum de Dalton, cycles solaires #5 et #6 (1790-1830), et du minimum de Gleissberg, cycles solaires #12 et #13 (1890-1920) partant du principe qu’il existe des variations des cycles solaires suivant des périodicités d’environ un siècle. Le cycle solaire #25 pourrait ressembler au cycle #6 ou au cycle #13 ou encore à un intermédiaire entre ces deux cycles. 

Les conséquences sont simples : 1) une diminution notable de la vitesse du vent solaire qui contribue à la déviation des rayons cosmiques selon un processus encore mal connu et une diminution durable du champ magnétique solaire jusqu’à 4,5 nT (nanoTesla) alors qu’il avait atteint au cours des années 1980-2000 des valeurs proches de 8 nT. Et 2) quant aux radiations provenant des rayons cosmiques galactiques telles que mesurées par le téléscope dédié à ce rayonnement se trouvant dans le satellite lunaire Lunar Reconnaissance Orbiter elles dépasseront largement les valeurs permises autorisées considérées comme non dangereuses de 620 mSv (milli Sievert) pour un homme et 470 mSv pour une femme. 

La limite de dangerosité est ici considérée comme ne dépassant pas une incidence de cancers de plus de 3 % par rapport à la moyenne statistique. Donc à moins d’inclure dans un vaisseau spatial à destination de la Lune ou de Mars un protection lourde et encombrante, tout voyage vers ces deux astres serait suicidaire.

Qu’en sera-t-il pour le climat terrestre ? Les tenants de l’effet direct ou indirect de l’activité solaire sur le climat de la Terre ne peuvent qu’être terrifiés par le refroidissement généralisé à venir du climat d’autant plus que les prévisions pour les cycles solaires suivants ne trouvent un regain d’optimisme qu’au delà des années 2050. Le Docteur F. Rahmanifard ne s’est pas hasardée à prédire quoi que ce soit pour le cycle solaire #26 mais si l’activité solaire venait à s’effondrer durablement comme ce fut le cas pour le minimum de Maunder alors l’humanité, hors régions intertropicales, disparaîtrait, tout simplement.

Source : F. Rahmanifard et al. doi : 10.1029/2019SW002428

lundi 17 août 2020

Ma vie à Panama après 3 ans


Charles Dereeper 

http://www.objectifeco.com/expatriation/mode-demploi/pour-expatries-confirmes/ma-vie-a-panama-apres-3-ans.html

Civaux : un cocorico nucléaire ne fait pas de mal…

Le réacteur n° 1 de la centrale nucléaire de Civaux a acquis récemment une notoriété mondiale en se classant deuxième pour la production électrique en 2019.


Par Michel Gay.
17 AOÛT 2020


Le réacteur n° 1 de la centrale nucléaire de Civaux qui en compte deux près de Poitiers a acquis récemment une notoriété mondiale dans le milieu des spécialistes en atteignant la deuxième marche du podium international pour la production électrique en 2019, selon le classement de la World nuclear association paru en juillet 2020.

CIVAUX SI PUISSANT !

En 2019, le réacteur n°1 de Civaux a produit 11,6 térawattheures (TWh). Il n’a été dépassé que par les 12 TWh de l’EPR chinois de Taishan 1 (construit avec l’aide de Français) avec ses 1660 mégawatts (MW) de puissance installée. Ce dernier est le plus puissant au monde depuis sa mise en service en 2018, devant ceux de Civaux (1495 MW).

Le réacteur n°1 de Civaux a produit à lui seul autant d’électricité en 2019 que l’ensemble des panneaux photovoltaïques installés en France (11,6 TWh)… ou que le tiers du parc éolien (34,6 TWh). Mais avec une différence colossale : cette énergie a été produite selon les besoins, hors périodes programmées de maintenance et rechargement de combustible, et non de façon chaotique.

« Accessoirement », la France est aussi régulièrement le plus grand exportateur net d’électricité au monde (première marche du podium) grâce à son faible coût de production (ce qui rapporte 2 à 3 milliards d’euros par an), et 17 % de son électricité est produite à partir de combustible nucléaire recyclé.

NUCLÉAIRE MONDIAL EN PROGRESSION

Globalement, le nucléaire progresse dans le monde. Il n’y a bien que la France pour se tirer une balle dans le pied en voulant saborder son magnifique parc nucléaire envié par les grands pays dont la Chine pour réduire à seulement 50 % sa production d’électricité, au lieu de 75 % actuellement.

Et certains écologistes voudraient même imiter leur maitre à penser antinucléaire en singeant « l’exemple » de l’Allemagne qui, elle, s’est tirée une balle dans le genou en votant la destruction totale de ses centrales nucléaires et en voulant entrainer l’Europe à sa suite !

Au milieu de cette désolante situation due à la cécité volontaire des hommes politiques au pouvoir depuis plusieurs années, un petit cocorico nucléaire ne fait pas de mal au moral…

samedi 15 août 2020

«Le port du masque ne sert absolument à rien», lance une conseillère municipale à Nice, causant une polémique

 15:24 15.08.2020


Une conseillère municipale écologiste à Nice a mis en doute, dans un message publié sur les réseaux sociaux, l'efficacité du port du masque. La polémique n’a pas tardé à retentir.

Sylvie Bonaldi, une conseillère municipale écologiste de Nice, a généré une large polémique en publiant sur les réseaux sociaux, le 11 août, un message affirmant que le port du masque ne servait «absolument à rien». Car «le virus est beaucoup plus petit que les mailles des masques».

Selon l’élue, dont le post a depuis été supprimé, ce geste sert à «mesurer la soumission du peuple» et à le «manipuler car cela fait penser que nous sommes en permanence face à un danger».

«En réalité, beaucoup de personnes sont testées positives mais asymptomatiques, certaines sont des faux positifs et c’est grave car certains tests positifs peuvent être lourds de conséquence», a encore écrit l’élue. Le message n’a pas tardé à susciter des réactions.

Ainsi, le directeur du cabinet du maire de Nice, Anthony Borré, a rapidement réagi à ce commentaire controversé en pointant son «irresponsabilité», relate France 3. Il a demandé à des élus écologistes «de se désolidariser et de présenter des excuses suite aux propos dangereux et totalement en décalage avec la réalité de Sylvie Bonaldi». Et d’ajouter que «ces affirmations peuvent mettre des vies en danger».

D’autres écolos prennent leurs distances


Juliette Chesnel-Le-Roux, l’une des personnes apostrophées dans le tweet de M.Borré, a répondu: «Bien évidemment, nous incitons nos concitoyens à respecter les gestes barrières et le port du masque.» En soulignant: «Nice Écologique apporte son soutien aux soignants».

Jean-Marc Governatori, le président de «Nice Écologique» au sein du conseil municipal, a pour sa part regretté, devant la caméra de France 3, cette prise de position individuelle, tout en soulignant que les échanges d'idées doivent être préservés. «Nous ne partageons pas la position de Mme Bonaldi. Nous nous en tenons aux règles sanitaires.»

Mme Bonaldi s’est dit choquée par les réactions soulevées par son post mais n’a pas souhaité s’exprimer sur France 3. Elle a cependant répondu sur Twitter: «Désolée si je choque des soignants. Je me suis mal exprimée. Je ne suis pas contre le port du masque en milieu clos, confiné, je suis contre l'obligation en extérieur et le fait de ne pas laisser le citoyen seul juge.»

vendredi 14 août 2020

Un expert met en garde contre une arme américaine qui serait capable de modifier le climat

16:47 14.08.2020


Le programme de recherche américain consacré à l'étude de l’ionosphère HAARP, développé initialement comme un système de défense antimissile, pourrait devenir une arme géophysique et climatique redoutable, selon l'expert militaire russe Konstantin Sivkov.

L'expert militaire russe Konstantin Sivkov a évoqué dans les colonnes de l'hebdomadaire russe Voïenno-promychlennyï kourier les menaces éventuelles que peut présenter le système américain HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) qui serait capable de modifier le climat dans certaines régions du globe.

Initialement le HAARP était développé comme un système de défense antimissile, signale l'expert.

Le fonctionnement du système se traduit par un puissant rayonnement de micro-ondes qui permet de mettre hors de service un avion ou un projectile se trouvant dans la zone de haute tension du champ électromagnétique.

Influence sur la géophysique de la Terre


M.Sivkov signale que les essais ont démontré une capacité de l'émetteur à influer sur la géophysique de la planète et sur le climat de certaines régions. Les scientifiques expliquent cette capacité par un lien entre l'ionosphère et la troposphère.
Selon lui, le HAARP présente un problème de taille car il est actuellement impossible de prévoir quelle région du globe pourrait être impactée en cas d’utilisation.

«L'absence de méthodes efficaces de prévision sur son utilisation rend l'influence produite par l'emploi du HAARP pratiquement imprévisible, y compris pour les propriétaires du système. Quand de telles méthodes de prévision verront le jour, le HAARP deviendra une arme géophysique et climatique d'une puissance exceptionnelle», résume l'expert.