- ENTREE de SECOURS -



samedi 30 octobre 2021

Comment Big Oil a conquis le monde entier ? Part 1/2 (1:17:24)

Le 28 Août 1859 (Pennsylvanie) Premier pétrole sorti ($40/Bl)

1884 Première voiture électrique (28% de celles aux États-Unis).

1910 L'éthanol (23:48) Taxe de 14 c$ au lieu de 20c$ (pétrole)

Borlaug (1:05:00) Contre la faim dans le monde.

La découverte (le progrès) mène au profit. Mais, il y a abus lorsque les ressources destinées à l'investissement se tournent vers l'oligarchie. La dictature est faite pour imposer ses découvertes et tout faire pour empêcher la concurrence de nouvelles découvertes personnelles.

La dictature est aussi faite pour empêcher la communication entre les personnes savantes et le déploiement de leurs idées personnelles. La dictature est l'imposition. L'impôt pour rendre les personnes imposables dans la pénurie, la soumission et l’appauvrissement dès lors que les sommes récoltées ne sont pas redistribuées.

1:15:00 Le combat contre les saisons !! Le 'changement climatique' ou pourquoi le matin il fait frais et à midi plus chaud ! Pourquoi l'été est plus chaud que l'hiver !!

Après le coût de l'eau gratuite qui ne manquera jamais, le coût de l'air respiré/expiré !!

https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/yt1s.com---LOiligarchie-de-Rockefeller-Rothschild--cie:3 

50 commentaires:

  1. Pfizer et l’éthique scientifique : de quoi avoir peur … mais c’est trop tard !


    le 30 octobre 2021


    Pfizer a trouvé 2268 enfants pour réaliser une étude en double aveugle sur l’effet de leur mixture d’ARN messager. L’histoire ne donne aucun détail sur le recrutement de ces enfants ni dans quel pays l’étude a été réalisée. Le premier résultat encourageant est le suivant : « efficace à 90 % ». Il faut noter que ni dans le groupe « essai » ni dans le groupe « témoin » il a pu être observé un effet secondaire sévère et aucune infection par le coronavirus. La seule évidence de cette efficacité est l’apparition d’anticorps circulants dirigés contre la protéine spike codée par l’ARN messager constituant cette thérapie. Le groupe « essai » comprenait 1518 enfants âgés de 5 à 11 ans et le groupe témoin 750 enfants dans la même tranche d’âge. Ce nombre limité a été délibérément choisi pour éviter statistiquement tout effet secondaire. De plus le suivi des enfants a été interrompu 17 jours après le deuxième injection pour les mêmes raisons.

    Autre évidence du non respect de l’éthique scientifique : toutes les possibilités ont donc été effacées à propos de ces effets secondaires potentiels puisque le suivi des enfants volontaires (?) a été interrompu à dessein trop tôt. Mais il y a pire encore. Non seulement les enfants n’ont pas été testés préalablement pour savoir s’ils avaient été en contact avec le virus et, ce qui est très courant à cet âge, avaient développé les symptômes d’une simple grippe mais parmi les volontaires (?) il est apparu que ceux de ces enfants exprimant des anticorps anti-SARS-CoV-2 au début de l’étude ont été exclus sans que Pfizer n’en rende compte. Ceci, encore une fois, est contraire à l’éthique. Il apparaît donc que Pfizer a ciblé ces enfants pour obliger leur système immunitaire à ne reconnaître que la protéine spike. Cette limitation du processus de « vaccination » a abouti à une amplification de cette réponse immunitaire chez des centaines de millions d’adultes au contact du virus après « vaccination ». Cf. Israël, l’Islande ou encore Gibraltar.

    L’un des fait le plus troublant concernant cette étude est le fait que Pfizer a déclaré avoir perdu le contact avec 4,9 % des enfants enrôlés dans l’essai, soit 111 enfants. Qu’est-il arrivé à ces 111 enfants ? Pas de réponse de Pfizer. L’autre fait qui devrait condamner Pfizer relève de la fraude. Les enfants du groupe témoin ont, à la fin de l’essai, tous reçu les deux doses de « vaccin » et ce stratagème empêche toute comparaison ultérieure. Il est intéressant d’ajouter ici que Moderna, Johnson&Johnson et Astra-Zeneca ont procédé de la même façon lors de leurs essais cliniques en 2020 avec naturellement l’approbation de la FDA et du CDC. L’approbation pour la « vaccination » des enfants de 5 à 11 ans est maintenant entérinée par la FDA. Cependant le seul critère retenu par ces organismes est le risque de myocardite survenant après l’administration intra-musculaire de l’ARN messager. Ce risque peut apparaître à n’importe quel moment après la première ou les deux injections. Or Pfizer n’a pas mis en place de suivi suffisamment long pour détecter d’éventuelles myocardites, les 111 enfants exclus de l’étude ? Un calcul simple issu de l’estimation par la FDA du nombre de myocardites de 106 par million d’enfants de cette tranche d’âge après « vaccination » conduirait pour seulement les Etats-Unis à tout de même 3000 myocardites en excès dans cette tranche d’âge.

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  2. Il semble que les règles éthiques ont été ignorées car tout autre vaccin conduisant à un tel désastre sanitaire concernant surtout des jeunes enfants qui représentent 0 % de tous les morts depuis le début de l’épidémie coronavirale à quelques très rares exceptions d’enfants gravement atteints par d’autres maladies, tout autre vaccin, disais-je, serait immédiatement interdit. Ce seul fait conduit à réfléchir à la vraie finalité de cette décision de vacciner les enfants, décision qui sera suivie par les pays européens à n’en pas douter. Pour qui et dans quel but ces états dans les états que sont ces groupes industriels richissimes travaillent-ils ? Il est clair que les interdictions de l’hydroxychloroquine et de l’ivermectine ont été télécommandées par ces firmes tentaculaires qui se moquent de l’éthique et du bien-être de l’humanité et y compris de la vie des individus puisque selon le Docteur Anthony Hinton, ancien consultant du National Health System, pour des enfants exposés à un risque favorisant l’apparition de myocardite, ce qu’il n’est pas possible de nier pour ce « vaccin », le taux de mortalité sera de 20 % au bout de 2 ans et de 50 % après la cinquième année.

    En réalité si le but immédiat de laboratoires comme Pfizer n’est pas de tuer des enfants de moins de dix ans l’objectif est tout autre. Lors de l’injection de l’ARN messager l’organisme synthétise des quantités massives de protéine spike, synthèse totalement dérégulée probablement à dessein. Cette protéine envahit la plupart des tissus mais préférentiellement les gonades. Aucune étude n’a été publiée au sujet du devenir de cette protéine au cours du temps comme par exemple l’effet de cette protéine sur les gonades elles-mêmes ou encore sur le cerveau ou le foie, plus prosaïquement. Non, rien ! Par contre, faut-il le répéter, les anticorps dirigés contre cette protéine et apparaissant après l’injection de cet ARN messager reconnaissent la syncytine. Ceci explique la forte augmentation du nombre de fausses-couches chez les femmes s’étant retrouvées enceintes après la « vaccination » puisque cette protéine est essentielle pour le maintien de l’implantation du placenta au niveau de l’endomètre de l’utérus. Quant au rêve de Bill Gates il pourrait se concrétiser mais il faudra attendre que les enfants qui vont bientôt subir cette thérapie génique soient en âge de procréer. L’approbation par la FDA de la « vaccination » des enfants de 5 à 11 ans est donc un crime contre l’humanité orchestré par les laboratoires pharmaceutiques avec la complicité de Bill Gates qui contrôle l’OMS.

    À propos de Bill Gates, l’article publié par le mensuel The Sovereign Independent en juin 2011 a fait l’objet d’une récente controverse, dix ans plus tard, c’est très curieux sinon suspect, et cet article était prémonitoire pour diverses raisons. D’abord le fait que les recherches sur le gain de fonction du SARS-CoV-2 qui ne datent pas d’hier se soient focalisées sur les interactions entre la protéine spike et divers organes en utilisant des souris dites « humanisées » ne soit pas anodin. D’autre part, si on exclut l’appât du gain tout à fait justifié des laboratoires pharmaceutiques, il reste quelques points également très suspects au sujet de ces pseudo-vaccins. Les études sur les effets secondaires ont été bâclées voire inexistantes, le fait que la syncytine soit reconnue par les anticorps dirigés contre la protéine spike était connu des biologistes des firmes pharmaceutiques, il suffit de faire un western blot pour s’en rendre compte, et enfin pour être certain que cette « vaccination » atteindra ses objectifs, non pas de protéger les populations contre une infection par le coronavirus, mais de tout simplement stériliser des générations entières en vue de diminuer la population mondiale est donc un fait réel. Encore une fois les biologistes des firmes pharmaceutiques l’ont certainement observé avec ces souris humanisées, il faut être idiot pour le nier.

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  3. Et qui nie cela ? Les « fact-checkers » de Reuters qui ont réexaminé l’article paru en 2011 dans The Sovereign Independent ! Cette « vaccination » est un coup monté par l’OMS dont Bill Gates est un contributeur financier important, par la FDA et le CDC, nécessairement informées des détails des expérimentations faites au sein des laboratoires pharmaceutiques, et un coup monté des instances internationales apatrides comme le WEF en premier lieu. Dans dix ans je ne serai certainement plus de ce monde mais on assistera à une baisse brutale de la fécondité au niveau mondial, la « Zero Carbon Solution », et c’est la raison pour laquelle Gates encourage et finance avec son immense fortune une « vaccination » généralisée et autoritaire dans les pays africains, sud-américains ainsi qu’en Asie. Hitler, Staline et Mao étaient des enfants de choeur en regard des visées malthusiennes de Bill Gates.

    Pour conclure ce billet il est hautement improbable que les laboratoires pharmaceutiques aient été capables de mettre au point naïvement ces ARNs messagers en quelques mois. L’information relative au gain de fonction, recherche financée par les Etats-Unis au sein du laboratoire P4 de Wuhan, a abouti à une séquence d’ARN codant pour la protéine spike communiquée à ces laboratoires avant même que la pandémie soit déclarée par l’OMS. Il n’y a pas d’autre alternative. C’est clair ! C’est d’autant plus clair car les virologistes payés en partie par les Américains à Wuhan savaient que leur virus manipulé génétiquement était dangereux et qu’ils ont immédiatement informé les autorités locales qui ont mis sous « cocon » strict la totalité de la ville pour surtout juguler la dissémination de ce virus artificiellement modifié en Chine, et ils ont remarquablement réussi. Il a fallu néanmoins rapatrier des milliers d’Européens et d’Américains vivant dans cette ville et c’est ainsi que ce virus s’est répandu dans le monde entier.

    Je ne suis pas complotiste mais j’analyse les informations et les faits. Antony Faucy qui a sévi lors de l’administration Trump et est toujours, étrangement, aux manettes sous l’administration Biden travaille pour Bill Gates. C’est une question existentielle qu’on peut se poser car aujourd’hui on va forcer les enfants à être « vaccinés » … C’est là le plus criminel aspect de ce coup monté par les Etats-Unis avec l’aide de la Chine et l’appui de Bill Gates et probablement dans l’ombre l’appui du World Economic Forum et de BlackRock toujours présent dans les coups juteux en investissant des dizaines de milliards de dollars dans ces laboratoires. Ainsi le monde de la finance, bien propre sous tous rapports, est complice de cette machination …

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  4. Mais alors quid des enfants qui, comme mes deux petits-enfants franco-japonais, ont souffert du SARS-CoV-2 ? Il y a une très grande différence entre l’infection par le virus lui-même et le « vaccin ». Le virus est une particule immédiatement reconnue par le système immunitaire pour le détruire et dans le même temps ce système immunitaire produit des anticorps qui vont servir de support à cette élimination. Si des dizaines de millions de particules virales envahissent les voies respiratoires les personnes en bon état de santé en arrivent à bout rapidement comme l’organisme arrive dans la majorité des cas à bout du virus de la grippe. Avec ce pseudo-vaccin à ARN messager ce sont des centaines de milliards de molécules de la protéine spike qui produites sans aucune régulation et qui envahissent la totalité du corps bien avant que le système immunitaire commence à réagir. Voilà le détail clé qui éclaire ceux qui douteraient encore de l’aspect diabolique de ce pseudo-vaccin.

    Sources :

    https://tobyrogers.substack.com/p/ten-red-flags-in-the-fdas-risk-benefit

    https://en.wikipedia.org/wiki/Syncytin-1

    https://www.reuters.com/article/uk-factcheck-newspaper-idUSKBN27X2VR

    - voir clip sur site -

    et aussi l’attitude de Pfizer tout à fait révélatrice :

    - voir clip sur site -

    https://finance.yahoo.com/news/children-health-defense-robert-f-154600321.html?guccounter=1&guce_referrer=aHR0cHM6Ly93d3cuZ29vZ2xlLmNvbS8&guce_referrer_sig=AQAAAD2NrsR22xq-FN6N7VD9QOp1QUGlqrV7SNyg2srqvkBSXpayqzgmSy9w6RxwhsbsI3T66YoQJXO5HwyO1vCY2kFITFAgkMJziPZT7U4VndsTx3u6lBcESpqvG8wFvLb17EL8lJD6z6IBaTeUoYgs99psgjE1j6q9k8_9dK1Gp576

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/10/30/pfizer-et-lethique-scientifique-de-quoi-avoir-peur-mais-cest-trop-tard/

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    1. Zéro sérologie avant et après la (ou les) piqûres !
      Combien y a t-il de placebos dans les inoculations ?

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  5. Robert F. Kennedy jr.: Appel à une grève mondiale pour le 3 novembre 2021.


    Par Robert F. Kennedy Jr
    Mondialisation.ca,
    29 octobre 2021


    Le neveu du Président John F. Kennedy, fils de l’ex Ministre de la Justice Bob Kennedy, tous deuxassassinés par la Cabale, fondateur de Children’s Health Defense appelle à une « grève mondiale »pour le 3 novembre, contre la perte de libertés, pour le retour aux principes démocratiques, contre les mandats illégaux et les gouvernements tyranniques.

    La situation est grave, nous ne pouvons plus attendre de ces gouvernements d’assassins qu’ils répondent à nos demandes car ils sont missionnés pour le génocide vaccinal et la mise en place du Nouvel Ordre Mondial.

    Nous ne sommes ni des complotistes ni des illuminés mais des Éveillés plus informés que la masse des hypnotisés par les médias mainstream, chargés de désinformer et manipuler l’opinion publique. Nous pourrions publier la longue liste de leurs mensonges, nous pouvons prouver et démontrer ce que nous affirmons car leurs propres déclarations les condamnent.

    Le Système tyrannique qui nous est imposé depuis bientôt 2 ans n’a rien à voir avec la crise sanitaire car comment expliquer que des médecins et des infirmiers ayant gérée l’épidémie à ses débuts, sans moyens, sans masques, sans aucune aide de l’État, soient aujourd’hui mis à pied alors qu’on nous fait croire à une fausse pandémie ?

    Les chiffres des morts décédés du Covid publiés par l’Istituto Superiore della Sanità italien (ISS – Institut Supérieur de la Santé) prouvent que le gouvernement italien ment à son peuple en lui faisant croire que plus de 130.000 personnes seraient mortes du Covid alors qu’elles ne sont « que » 3783 !!

    Et même si la même campagne de diffamation qu’a vécue le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine quand il a déclaré que le virus est un « produit de laboratoire » est maintenant déclenchée par les médias terroristes contre l’ISS considéré jusqu’à hier comme LA référence absolue en matière de santé, ils ne pourront plus cacher la vérité très longtemps car partout le narratif officiel se fissure, prouvant que l’ensemble des gouvernements des pays de l’OTAN, du Canada jusqu’à l’Australie et la Nouvelle Zélande en passant par la France et l’Italie, mentent à leurs peuples !

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  6. Tous les jours des êtres humains meurent à cause des faux vaccins. Les effets secondaires sont dramatiques, des personnes jeunes et en bonne santé deviennent soudain paralysées. Des jeunes meurent de crises cardiaques ! Des familles et des vies sont brisées et nos gouvernements font semblant de croire que tout va bien, s’appuyant sur un « bénéfice/risque » totalement mensonger et criminel !

    Les plus grands virologues, chercheurs, biologistes, infectiologues mondiaux lancent des cris d’alerte et jugent cette campagne vaccinale au mieux « irresponsable » et au pire criminelle, parlant même de « crimes contre l’humanité« !

    Des collectifs d’avocats internationaux se sont constitués pour dénoncer ce génocide programmé mais malgré leurs efforts, toutes les instances internationales comme la Cour Européenne des Droits de l’homme ou même nos tribunaux corrompus, se refusent à appliquer le droit et répondre à la demande de justice de groupements de citoyens déposant plainte sur plainte.

    Comment ne pas faire le lien avec le discours historique du Président John Kennedy quand il a voulu avertir l’Amérique et le monde d’une « conspiration monolithique et sans merci » ayant pour objectif de mettre l’humanité en esclavage ?

    Comment ne pas faire le lien avec les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial gravés dans presque toutes les langues sur les Georgia Guidestones et prévoyant de ramener la population mondiale à 500 millions d’individus ?

    Comment ne pas se souvenir que de Sarkozy en passant par Attali, Rockefeller, le Duc d’Edimbourg, Bill Gates, Klaus Schwab et d’autres tarés de la même espèce, tous ont en commun l’obsession de la surpopulation et la nécessité de la réduire. Attali écrivant même que « les idiots iront à l’abattoir de leur plein gré« .

    Et c’est exactement ce qui se passe car l’individu moyen maintenu dans l’ignorance et manipulé par la désinformation, ne parvient pas à croire que le gouvernement puisse lui vouloir du mal. Erreur fatale car tous ceux qui gouvernent en ce moment l’Occident, proviennent tous des Young Global Leaders, formés et formatés par le Forum Economique Mondial du transhumaniste fou Klaus Schwab, temple et guru de la mondialisation et du Nouvel Ordre Mondial collectiviste et dictatorial ! Nous sommes gouvernés par des fous !

    Ce Klaus Schwab qui ose déclarer : « Dans 10 ans vous ne posséderez plus rien et vous en serez heureux. »

    Réveillons-nous frères humains avant qu’il ne soit trop tard !

    Ces élites sûres de leur puissance, ne se cachent même plus. Leur conspiration se déroule devant les yeux de tous car malheureusement la masse des ignorants est telle, qu’ils peuvent agir sans même être inquiétés !

    Si nous réagissons pas, si nous restons passifs, le pire est devant nous. En nous limitant à des manifestations pacifiques encadrées par la police, nous n’obtiendrons rien car ce pouvoir s’amuse de nous voir déambuler tous les samedis. La police est le rempart, leur bouclier protecteur, leur garde rapprochée. Cette milice « républicaine« dirigée par des Francs Maçons, ne réalise pas qu’on lui ment, qu’on la conditionne, qu’on la dresse contre le peuple pour protéger les intérêts de cette élite sans morale, sans scrupule, sans foi ni loi. On leur fait croire qu’elle protège la République alors qu’elle assure la sécurité des corrompus, des traîtres et des assassins qui sont en train de détruire notre pays, notre économie et nos vies !

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  7. Cette première grève mondiale doit être le premier signal d’une mobilisation globale. Nos amis italiens manifestent tous les jours, bloquent les ports, décrètent des grèves surprises, harcèlent députés et sénateurs, publient les vrais chiffres de cette fausse pandémie et exercent une pression massive sur Mario Draghi qui envisagerait même sa démission.

    Nous, Français, sommes trop modérés. Nous ne réalisons pas que face à ce pouvoir criminel, nous sommes en danger de mort et que la légitime défense est désormais la dernière alternative pour sauver nos vies !

    MOBILISATION !

    Nous avons le devoir moral de protéger nos vies et la vie de nos enfants !

    Commençons par paralyser l’économie et si cela ne suffit pas, que Dieu nous garde, nous aviserons !!

    APPEL À UNE « GRÈVE MONDIALE » POUR LE 3 NOV

    https://www.mondialisation.ca/robert-f-kennedy-jr-appel-a-une-greve-mondiale-pour-le-3-novembre-2021-video/5661832

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  8. Comment résoudre la crise du COVID


    Par Walter E. Block
    Homme international
    30 octobre 2021


    Comment, les êtres humains, allons-nous pouvoir botter les fesses de créatures COVID infiniment plus petites que nous ? Ou allons-nous ressembler à Goliath, tombé aux mains du David lilliputien ?

    Tout dépend si nous embrassons la science ou si nous continuons à la dénigrer.

    Les pouvoirs en place prétendent continuellement et ennuyeux être d'un côté qui embrasse cette discipline, tandis que l'autre la dénonce. Rien ne pouvait être plus loin de la vérité.

    Quelles sont alors les caractéristiques pertinentes de la méthode scientifique ?

    Tout d'abord, nous devons entendre toutes les parties dans tout différend scientifique. Dans « On Liberty », John Stuart Mill est allé encore plus loin dans cette direction : non seulement nous devons les entendre tous, mais nous devons aussi connaître intimement leurs arguments. Nous devons être capables de les articuler comme si elles étaient les nôtres. La dernière chose que nous voudrions faire est de les fermer.

    Comment les pratiques actuelles s'accordent-elles avec les exigences absolues de la science ? Pas trop bien, rayez ça, horriblement. Les médecins qui ne sont pas d'accord avec le consensus émergent ont été menacés de perdre leur licence médicale.

    Par exemple, « La Fédération des commissions médicales d'État a averti… que les médecins et autres professionnels de la santé pourraient risquer de perdre leur licence médicale s'ils diffusaient des informations erronées sur le vaccin COVID sur les réseaux sociaux, en ligne et dans les médias. » Désinformation? Dans ce cas, c'est l'opinion réfléchie des médecins agréés et dûment qualifiés ! Dans certains cas, les médecins n'ont pas été radiés mais « simplement » menacés de telles sanctions. Les médecins ne sont pas non plus les seuls à être ainsi traités. Les chercheurs en médecine ne peuvent pas perdre leur licence de médecin, mais ils peuvent être licenciés pour diffusion de « désinformation », c'est-à-dire pour avoir adopté une position non consensuelle sur cette question. Les personnes sur le terrain ayant des points de vue alternatifs sont également violemment malmenées par les principaux médias pour avoir diffusé ce qu'elles prétendent être de fausses informations sur COVID.

    Grâce à Salk-Sabin, la terrible maladie de la polio appartient au passé. Des chercheurs en désaccord avec les méthodes de Salk-Sabin ont-ils été traités de cette manière ? Poser cette question, c'est y répondre : bien sûr que non. Nous n'avons pas encore résolu le sida, nous l'avons simplement réduit à néant. C'est maintenant, grâce à la science, une maladie chronique et traitable, pas une condamnation à mort. Aucun point de vue divergent à ce sujet, et en fait toute autre percée médicale réussie, n'a été traité de la manière accordée aux détenteurs d'opinions divergentes sur COVID.

    Deuxièmement, bien que cela ne puisse pas être trouvé dans les descriptions officielles de la science, en lisant entre ses lignes, nous discernons l'exigence que nous devrions faire de notre mieux. Nous ne devons pas choisir les scientifiques sur la base de critères non pertinents tels que le sexe ou la couleur. Si la peau d'une personne est rose à pois bleus, cela ne devrait pas avoir d'importance. Le scientifique peut être un géant ou un pygmée, un chrétien, un juif, un musulman ou un athée ; la bonne science considère les non-pertinences comme celles-ci comme, eh bien, non-pertinences.

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  9. Comment notre lutte contre le COVID se compare-t-elle à ce critère ? Encore une fois, pas trop bien du tout. Au lieu de cela, nous sommes traités avec la litanie habituelle de l'importance que les occupants de nos laboratoires "ressemblent à l'Amérique". Il existe même désormais un plan pour imposer une « action positive » aux techniciens de laboratoire et aux chercheurs. C'est, par exemple, la politique de l'Institut national de la santé en matière d'attribution de bourses d'investigation. Voulons-nous ou non empêcher le COVID de se propager davantage et guérir ceux qui en souffrent déjà ? Si c'est le cas, nous devons envoyer notre première ficelle dans la mêlée, pas les chauffe-bancs. Nous n'avons pas envoyé un homme sur la lune ni accompli aucune autre tâche de ce type avec la deuxième équipe, et nous ne le ferons pas non plus dans ce cas.

    Ensuite, il y a la pure hypocrisie qui doit rester dans la gueule des anti-vaccins. La visite de Nancy Pelosi à l'institut de beauté sans masque n'est que la véritable pointe de cet iceberg.

    Précisons, argumentendo, que tout ce que le Dr Fauci dit à propos de COVID est vrai, de la bouche de Dieu à son oreille, puis au reste d'entre nous, les êtres inférieurs. Nous passons sur le fait ennuyeux qu'il ne cesse de changer d'avis sur ces questions, mais pas la véhémence et l'assurance avec lesquelles il en parle. De son propre point de vue, il est imbécile de sanctionner des points de vue opposés, de s'appuyer sur des scientifiques moins qualifiés et que les responsables se livrent continuellement à l'hypocrisie. Quand et si lui et cet acabit apprennent cette leçon, nous aurons de bien meilleures chances de résoudre la menace COVID.

    Reprinted with permission from International Man.

    https://www.lewrockwell.com/2021/10/walter-e-block/how-to-solve-the-covid-crisis/

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    1. Il y a 19 mois il n'y avait PAS de 'covide19' dans l'air. D'ailleurs, il n'a JAMAIS (depuis 19 mois !!) été isolé !!! Donc: on ne sait pas qui est-ce mais... mais sont proposés de FAUX vaccins contenant le 'covide19' ! Si vous vous faites inoculer (comme pour le sida) vous l'avez ! Vous êtes content(e) ? Certaines personnes le sont et elles en redemandent !! 2 fois ! 3 fois ! 4 fois ! 10 fois ! 100 fois ! C'est le viol consenti.

      De plus (parce qu'il n'y a pas que lui dans la seringue), vous est proposé en supplément-cadeau, entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène ! Whôaw ! Vous allez recevoir la 5G gratos et même sans téléphone !! Pas beau çà ? Soit, ils décident de faire de vous une merde (transhumaniste), soit par une longueur d'onde appropriée ils envoient l'ordre de vous éliminer ! Les nano-particules d'oxyde de graphène se décortiquent alors de leur enveloppe et, en moins de ¼ d'heure et dans des souffrance pas possible vous passez de vie à trépas !

      Si vous avez été piqué: vous êtes perdu. Nul ne peut vous sauver. Nul ne peut retirer de votre corps les 40 000 milliards de nano-particules d'oxyde de graphène que contiennent chaque flacon.

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  10. Voilà, le système hospitalier français s’écroule

    L’hôpital français vit probablement ses dernières années : encore une fois, l’État démontre son incompétence totale en gestion.


    29 OCTOBRE 2021


    Il y a quelques semaines de cela, je constatais dans un billet étayé par quelques statistiques éclairantes que la médecine française, dans une lente descente qui dure depuis quelques décennies, n’est plus que l’ombre d’elle-même. Ce billet sera l’occasion de s’intéresser de plus près à quelques intéressants malaises dans la gestion des hôpitaux, bien récents ceux-là, et que le gouvernement semble à peu près incapable de corriger ou même de comprendre.

    Et parmi ces malaises, la gestion de la sécurité des données patients semble revenir comme un thème lancinant démontrant l’incapacité des systèmes publics de tenir leurs promesses. La chronique est malheureusement assez régulièrement fournie de l’une ou l’autre de ces fuites massives de données de santé qui montrent au mieux de grosses lacunes dans la sécurisation de ces éléments essentiels des systèmes d’information de santé publique, au pire un jmemfoutisme assez détendu qui n’inquiète que quelques sous-fifres lorsqu’il est découvert…

    La situation est encore plus préoccupante lorsqu’on se penche sur la sécurité des systèmes d’information des hôpitaux eux-mêmes : malgré les rappels réguliers du régulateur, des autorités de tutelle et des différents services informatiques locaux, trop peu est fait pour protéger ces établissements des pratiques régulières de piratage ou pire, de rançonnement pur et simple.

    La série noire qui frappe les hôpitaux français donne une assez bonne idée de leurs lacunes : février à Dax, mars à Oloron, avril à Saint-Gaudens, septembre à l’APHP, les mois se suivent et se ressemblent pour les cybercriminels qui attaquent les établissements publics de santé français.

    Pour certains, c’est encore une occasion de fustiger le capitalisme galopant, l’ultralibéralisme débridé qui pousse les hôpitaux dans un dénuement complet laissant leur infrastructure informatique dénudée et ouverte aux quatre vents cybercriminels. Cependant, l’analyse des manquements, des raccourcis, des budgets (ou de leur absence) montre a contrario que gérés comme de vraies entreprises, les hôpitaux s’en porteraient bien mieux ; eh oui, le choix de l’administration pyramidale et de sa lourde bureaucratie tatillonne, paperassière et empêtrée dans les procédures de plus en plus absconses n’aide en rien.

    Et si c’est consternant question informatique, ce n’est guère mieux du côté de la gestion du personnel.

    Pour s’en convaincre, il suffira de voir le lamentable épisode de la loi RIST qui aurait du entrer en vigueur le 27 octobre dernier et qui a été retirée in extremis par le gouvernement.

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  11. Décidée tout à trac par un gouvernement aussi démagogique que brouillon, cette loi visait à plafonner et réguler les rémunérations des intérimaires hospitaliers.

    Pour la faire courte, la rémunération de ces intérimaires – allant de 1300 euros net à 2000 euros net à certaines dates pour une garde de 24 heures – était jugée plus ou moins scandaleusement élevée, ce qui est objectivement grotesque pour des professionnels ayant des responsabilités vitales en jeu. En réalité, la différence avec les salariés s’explique par une couverture sociale moins favorable pour les intérimaires et l’évidente nécessité de son adaptation aux différents environnements (hôpitaux, logiciels, protocoles, personnels). Certes, ils sont une minorité à ne pratiquer que l’intérim pour de pures raisons lucratives (bien amplifiées par les médias), mais cela reste en réalité très limité.

    Ce phénomène a pris de l’ampleur ces dernières années avec l’effondrement de la qualité et du prestige hospitaliers, des rémunérations (notamment en comparaison des confrères européens) ce qui a poussé beaucoup à pratiquer l’intérim en complément.

    Actuellement, beaucoup d’hôpitaux (et notamment les ruraux et les moins bien situés géographiquement) peinent à faire tourner une activité sans recourir plus ou moins massivement à l’intérim, ce qui pousse là encore les rémunérations vers le haut : attractivité faible, besoins criants, offre et demande suffisent à expliquer l’inflation progressive des salaires et de la pratique.

    À l’instar d’un contrôle des loyers qui, comme la guerre, garantit la destruction des logements en ville, la loi RIST proposait donc de plafonner tout ça bravement, en limitant la garde de 24 heures à 940 euros net, avec d’évidentes conséquences désastreuses pour de nombreux hôpitaux : à l’orée de l’application de cette loi les médecins remplaçants ou intérimaires des urgences et des services d’anesthésie ont décidé tout simplement- c’est vraiment surprenant – de ne plus assurer de vacations dans ces hôpitaux abandonnés de tous. Des hôpitaux de toutes dimensions (y compris de villes moyennes) se sont rapidement trouvés à devoir fermer des blocs opératoires et des lignes de garde. Malin.

    On appréciera au passage le timing parfaitement diabolique de cette loi qui devait donc régler son compte à l’intérim au moment où les hôpitaux ont tous des problèmes plus ou moins graves de gestion des équipes, dans ce qui nous est régulièrement présenté comme une furieuse pandémie où le manque de personnel devient véritablement criminel, au point que mêmes certains députés s’en sont ouverts.

    Si, dans ce tableau déjà particulièrement bousculé, on ajoute les tensions déjà exacerbées, les burnouts et les dernières « innovations » autoritaires de Véran et sa clique méphitique, qui consistent essentiellement à bouter hors du corps médical tout un pan de soignants qui refusent simplement l’injonction vaccinale, on obtient un résultat consternant : youpidou la ribambelle, il manque des milliers de soignants à l’appel.

    Sans se démonter, et parce que le culot et l’imbécilité vont souvent de pair, voilà donc lancée une petite enquête de derrière les fagots pour déterminer ce qui a bien pu provoquer cette étonnante rupture dans la masse salariale, tout en accusant au passage les gouvernements précédents. Comme le notait Saint Thomas d’Aquin, l’aplomb des abrutis est probablement ce qui les caractérise le plus et, comme ajoutait Audiard, c’est même à ça qu’on les reconnaît.

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  12. Le système de soin public français est très probablement sur le point de s’effondrer ou est déjà en cours d’effondrement.

    Les raisons sont multiples et s’étalent sur plusieurs décennies de gabegies, de décisions politiques souvent sans courage et plus ou moins minables. Mais ne vous y trompez pas : sans le moindre doute, les derniers coups de boutoir ont été assénés par l’actuel gouvernement, avec une obstination sans faille.

    Ce système est foutu.

    https://www.contrepoints.org/2021/10/29/410088-voila-le-systeme-hospitalier-francais-secroule

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  13. Qui a besoin de fenêtres de toute façon ? Une étude montre que les maisons près des éoliennes ont besoin de fenêtres fermées hermétiquement


    October 30th, 2021


    Bienvenue à votre camarade de prison

    Une nouvelle étude taïwanaise a enquêté sur le bruit des parcs éoliens sur les personnes vivant dans des maisons en grès, en béton, en fer ou en briques. Et ils ont mesuré le bruit à basse fréquence à l'intérieur et à l'extérieur, et avec les fenêtres ouvertes et fermées. Compte tenu des risques pour la santé encourus, ils ont conseillé aux gouvernements de fixer des limites à la proximité des tours et de recommander des fenêtres hermétiques que personne n'ouvre beaucoup.

    Peut-être que quelqu'un aurait dû faire plus d'études comme celle-ci avant que le monde n'installe 750 GW d'énergie éolienne ?

    Les mêmes personnes qui paniquent à propos des effets d'un week-end chaud sur vos petits-enfants dans cent ans, ne semblent pas si inquiètes de savoir si les tours à vent détruisent votre sommeil ou vous exposent aujourd'hui à un risque de crise cardiaque.

    Merci à MasterResource.

    De l'introduction d'un nouvel article à Taïwan sur les effets du bruit des éoliennes sur les personnes :

    L'exposition au LFN [Low Frequency Noise] s'est avérée causer une variété de problèmes de santé. L'exposition au LFN des éoliennes entraîne des maux de tête, des difficultés de concentration, de l'irritabilité, de la fatigue, des étourdissements, des acouphènes, des douleurs auditives, des troubles du sommeil et de la gêne. Cliniquement, l'exposition au LFN provenant des éoliennes peut entraîner un risque accru d'épilepsie, d'effets cardiovasculaires et de maladie coronarienne.

    Il a également été constaté que l'exposition au bruit (y compris LFN) peut avoir un impact sur la variabilité de la fréquence cardiaque (HRV).

    HRV - La variabilité de nos battements cardiaques - est un signe de notre santé et de notre détente. Pour simplifier brutalement, les personnes stressées ont un schéma prévisible plus robotique, mais le cœur des personnes détendu bat avec plus de flexibilité. Les fréquences cardiaques plus lentes ont généralement plus de variation. C'est un vaste sujet. HRV prédit la mortalité après une crise cardiaque. Cela a même été lié à la capacité de concentration et de prise de décision, à la dépression et à l'anxiété.

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  14. Qui a besoin de fenêtres de toute façon ?
    Ils ont conclu :

    Compte tenu des effets néfastes sur la santé de l'exposition aux LFN générés par les turbines, il est recommandé que le gouvernement établisse des réglementations sur les distances requises des éoliennes par rapport aux résidences, que les maisons situées à proximité des éoliennes soient équipées de fenêtres étanches à l'air pour l'isolation acoustique, et pour résidents vivant à proximité d'éoliennes à fermer leurs fenêtres la plupart du temps pour réduire la transmission de LFN.

    Combien de crises cardiaques devrions-nous avoir aujourd'hui pour éviter une vague de chaleur en 2100 ?

    ———————-

    NOTE TARDIVE :
    Conséquence imprévue numéro 12 003. Les fenêtres fermées augmenteraient également la propagation des virus à l'intérieur, à moins que les maisons n'aient une mise à niveau de la climatisation. Et sans l'option fenêtre ouverte pour le contrôle de la température, les maisons utiliseront plus d'électricité pour le chauffage et la climatisation. Donc les gens tombent plus malades et les émissions augmentent…

    Et ne commençons pas par le syndrome des bâtiments malsains, ou sur l'effet que le scintillement, les infrasons et les pulsations ont sur tous les animaux à des kilomètres autour de ces tours. Si cela nuit aux humains, nous pouvons supposer que les vaches, les moutons et les quolls tachetés ne dorment pas aussi bien. Qui a fait cette étude ?

    RÉFÉRENCE

    Chun-Hsiang Chiu et al (2021) Effets du bruit à basse fréquence des éoliennes sur la variabilité de la fréquence cardiaque chez les individus en bonne santé, Rapports scientifiques

    https://joannenova.com.au/2021/10/who-needs-windows-anyway-study-shows-homes-near-wind-turbines-need-airtight-shut-windows/

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    Réponses
    1. Le sommeil est le moment de réflexion à ne pas confondre avec la mort (coupure d'électricité)

      (...) Conséquence imprévue numéro 12 003. Les fenêtres fermées augmenteraient également la propagation des virus à l'intérieur, (...)

      Hahaha ! le 'virus' ! Le virus est une nano-poussière éjectée du magma. Il sort par milliards de milliards de la masse ferrique incandescente 'sous nos pieds'. C'est là une mano-particule ferrique (porteuse d'électricité pour '3 semaines') qui est consommée par TOUS les poissons (coquillages & crustacés) tous les jours depuis DES milliards d'années et qui sont consommées par les terriens.

      Donc: Nous respirons (toutes et tous) 200 000 virus ou microbes PAR MINUTE (et 2 millions en activité physique) et DES milliards depuis ce matin ! ET NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOOORT(E)S ! Et des milliards de trains de milliards depuis notre naissance !!! ÔH PUTAING !!

      Et donc: IL N'Y A PAS PLUS DE 'VIRUS' A L’INTÉRIEUR DES MAISONS QU'IL NE PEUT Y EN AVOIR EN MAGASINS OU GRANDES SURFACES !!

      Ces nano-pousières (Un millième de millimètre, Un millionième de centimètre ou Un milliardième de mètre) sont appelées des microns (µ). Et il n'y a PAS de masque anti-'microbes' ou anti-'virus' car leur dimension (corona appelé 'covide19') sont de 0,1 à 0,5 µ !! Et, ces PUTAINS DE MASQUES A LA CON sont d'un écart de maille de 150 µ !!!! (les 'FFP2 ou N95' d'IBM sont de 3 microns !!!!).

      Donc: TOUS les 'médecins, professeurs ou celles ou ceux qui se disent 'scientifiques', qui parlent de 'porter des masques' mentent effrontément et font partie de la dictature au pouvoir.

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  15. La gouverneure du Dakota du Sud, Noem, signe une ordonnance pour «protéger» les employés de l'État du mandat de vaccin de Biden


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 29 OCT 2021 - 18:40
    Rédigé par Isabel Van Brugen via Epoch Times


    La gouverneure du Dakota du Sud, Kristi Noem, a signé cette semaine un décret pour « protéger » les employés de l'État contre le mandat de vaccin COVID-19 du président Joe Biden en leur permettant d'obtenir facilement des exemptions médicales et religieuses.

    "Le Dakota du Sud se bat contre la main lourde de @JoeBiden et de son administration", a annoncé le gouverneur républicain sur Twitter. «Aujourd'hui, j'ai signé un décret pour protéger les employés de l'État et ceux avec des contrats fédéraux qui sont obligés de se faire vacciner contre leur gré. L'ordonnance protège les exemptions médicales et religieuses pour ces travailleurs.

    « De plus, je travaille avec les législateurs pour aborder d'autres domaines. J'ai toujours dit que la décision de se faire vacciner devrait être un choix personnel et non un mandat de Joe Biden, Fauci ou de votre patron », a-t-elle ajouté.

    Noem a déclaré que cette décision était nécessaire pour garantir que les employés ne soient pas obligés de se faire vacciner contre le COVID-19 dans le cadre de l'initiative de Biden, qui couvre non seulement les personnes directement payées par des contrats fédéraux, mais également toute personne qui travaille pour les soutenir.

    Les législateurs de l'État ont déclaré que les Dakotas du Sud se voient refuser des exemptions médicales et religieuses de la part du gouvernement fédéral et ont appelé à une session spéciale pour l'arrêter.

    Le porte-parole de Noem, Jordan Overturf, a déclaré que les exemptions de Noem sont "explicites et offrent une voie claire" aux agents de l'État pour se retirer des tirs.

    Dans un communiqué de presse du bureau de Noem, le gouverneur a déclaré que les employés qui souhaitent bénéficier d'une exemption médicale du mandat de vaccination ont besoin d'une note d'un médecin indiquant que la vaccination COVID-19 est trop risquée pour des raisons de santé.

    Les travailleurs qui souhaitent être exemptés pour des raisons religieuses doivent remplir un formulaire du Bureau des ressources humaines indiquant qu'ils «se dissident et s'opposent à la réception d'un vaccin COVID-19 pour des motifs religieux, qui incluent des croyances ou des principes moraux, éthiques et philosophiques. . "

    "En raison d'un précédent établi, ce décret ne s'applique pas aux membres de la Garde nationale du Dakota du Sud qui doivent s'acquitter des responsabilités fédérales de préparation au déploiement", ajoute le communiqué.

    Il indique également que Noem travaillera lors de la session législative de l'année prochaine avec les législateurs du Dakota du Sud pour rendre permanentes ces « protections » pour les employés de l'État et « pour étendre des protections similaires en matière de santé et de liberté religieuse » aux employés d'entreprises privées qui ont adopté la vaccination obligatoire contre le COVID-19. Stratégies.

    La gouverneure a précédemment critiqué les propositions des législateurs républicains visant à interdire les mandats de vaccination comme « non conservateurs » parce qu'ils disent aux entreprises quoi faire et comment traiter leurs employés. Cette ordonnance, a déclaré le porte-parole d'Overturf, concerne le respect des droits déjà inscrits dans la Constitution.

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  16. "Elle a déclaré à plusieurs reprises que les entreprises privées devraient offrir des exemptions médicales et religieuses pour les mandats de vaccin COVID", a déclaré Overturf.

    Noem a déclaré plus tôt sur Twitter que l'État « je me lèverai pour défendre la liberté », se référant aux mandats du président en matière de vaccins.

    « @JoeBiden à bientôt au tribunal », a-t-elle écrit en septembre, ajoutant plus tard que son équipe juridique est prête à tenir tête aux mandats de l'administration Biden.

    Epoch Times a contacté la Maison Blanche pour commentaires.

    https://www.zerohedge.com/political/south-dakota-gov-noem-signs-order-protect-state-employees-bidens-vaccine-mandate

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  17. A qui appartient le monde ?


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    30 octobre 2021


    Jusqu'à récemment, il semblait que la concurrence économique avait entraîné la montée et la chute des petites et grandes entreprises aux États-Unis. Soi-disant, PepsiCo est le concurrent de Coca Cola, Apple et Android se disputent votre loyauté et les sociétés pharmaceutiques se battent pour vos dollars de soins de santé. Cependant, tout cela s'avère être une illusion.

    Depuis le milieu des années 1970, deux sociétés - Vanguard et Blackrock - ont englouti la plupart des entreprises dans le monde, détruisant efficacement le marché concurrentiel sur lequel reposait la force de l'Amérique, ne laissant que de fausses apparences.

    En effet, l'économie mondiale est peut-être le plus grand tour illusoire jamais tiré sur les yeux des gens du monde entier. Pour comprendre ce qui se passe réellement, regardez le documentaire d'une heure de Tim Gielen, "MONOPOLY: Who Owns the World ?" dessus.

    Domination d'entreprise

    Comme l'a noté Gielen, qui raconte le film, une poignée de méga-entreprises – des sociétés d'investissement privées – dominent tous les aspects de nos vies ; tout ce que nous mangeons, buvons, portons ou utilisons d'une manière ou d'une autre. Ces sociétés d'investissement sont si énormes qu'elles contrôlent les flux d'argent dans le monde entier. Alors, comment fonctionne ce schéma ?

    Bien qu'il semble y avoir des centaines de marques concurrentes sur le marché, comme les poupées gigognes russes, les grandes sociétés mères possèdent plusieurs petites marques. En réalité, toutes les marques d'aliments emballés, par exemple, appartiennent à une douzaine de sociétés mères plus importantes.

    Pepsi Co. possède une longue liste de marques d'aliments, de boissons et de collations, tout comme Coca-Cola, Nestlé, General Mills, Kellogg's, Unilever, Mars, Kraft Heinz, Mondelez, Danone et Associated British Foods. Ensemble, ces sociétés mères monopolisent l'industrie des aliments emballés, car pratiquement toutes les marques alimentaires disponibles appartiennent à l'une d'entre elles.

    Ces sociétés sont cotées en bourse et sont dirigées par des conseils d'administration, où les plus gros actionnaires ont le pouvoir de prendre des décisions. C'est là que ça devient intéressant, car quand vous cherchez qui sont les plus gros actionnaires, vous trouvez encore un autre monopole.

    Bien que les principaux actionnaires puissent changer de temps à autre, en fonction des actions achetées et vendues, deux sociétés figurent systématiquement parmi les principaux détenteurs institutionnels de ces sociétés mères : The Vanguard Group Inc. et Blackrock Inc.

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  18. Pepsi et Coca-Cola — Un exemple

    Par exemple, alors qu'il y a plus de 3 000 actionnaires dans Pepsi Co., les avoirs de Vanguard et Blackrock représentent près d'un tiers de toutes les actions. Sur les 10 principaux actionnaires de Pepsi Co., les trois premiers, Vanguard, Blackrock et State Street Corporation, détiennent plus d'actions que les sept autres.

    Voyons maintenant Coca-Cola Co., le principal concurrent de Pepsi. A qui appartient Coca ? Comme pour Pepsi, la majorité des actions de la société sont détenues par des investisseurs institutionnels, au nombre de 3 155 (au moment de la réalisation du documentaire).

    Comme le montre le film, trois des quatre principaux actionnaires institutionnels de Coca-Cola sont identiques à celui de Pepsi : Vanguard, Blackrock et State Street Corporation. L'actionnaire n°1 de Coca-Cola est Berkshire Hathaway Inc.

    Ces quatre – Vanguard, Blackrock, State Street et Berkshire Hathaway – sont les quatre plus grandes sociétés d'investissement de la planète. "Donc, Pepsi et Coca-Cola sont tout sauf des concurrents", déclare Gielen. Et il en va de même pour les autres entreprises d'aliments emballés. Tous appartiennent au même petit groupe d'actionnaires institutionnels.

    Grand monopole de la technologie

    Le monopole de ces sociétés d'investissement n'est pas relégué à l'industrie des aliments emballés. Vous les trouvez également dominant pratiquement toutes les autres industries. Prenez Big Tech, par exemple. Parmi les 10 plus grandes entreprises technologiques, nous trouvons Apple, Samsung, Alphabet (société mère de Google), Microsoft, Huawei, Dell, IBM et Sony.

    Ici, on retrouve la même configuration de poupée gigogne russe. Par exemple, Facebook possède Whatsapp et Instagram. Alphabet possède Google et toutes les entreprises liées à Google, y compris YouTube et Gmail. C'est aussi le plus gros développeur d'Android, le principal concurrent d'Apple. Microsoft possède Windows et Xbox. Au total, quatre sociétés mères produisent les logiciels utilisés par la quasi-totalité des ordinateurs, tablettes et smartphones dans le monde. A qui donc les possède-t-il ? Voici un échantillon :

    Facebook — Plus de 80 % des actions de Facebook sont détenues par des investisseurs institutionnels, et les principaux détenteurs institutionnels sont les mêmes que ceux que l'on trouve dans l'industrie alimentaire : Vanguard et Blackrock étant les deux premiers, à la fin mars 2021. State Street Corporation est le cinquième actionnaire
    Apple — Les quatre principaux investisseurs institutionnels sont Vanguard, Blackrock, Berkshire Hathaway et State Street Corporation
    Microsoft — Les trois principaux actionnaires institutionnels sont Vanguard, Blackrock et State Street Corporation
    Vous pouvez continuer à parcourir la liste des marques technologiques – entreprises qui fabriquent des ordinateurs, des téléphones intelligents, des appareils électroniques et électroménagers – et vous trouverez à plusieurs reprises Vanguard, Blackrock, Berkshire Hathaway et State Street Corporation parmi les principaux actionnaires.

    Le même petit groupe possède aussi tout le reste

    La même tendance à la propriété existe dans toutes les autres industries. Gielen propose encore un autre exemple pour prouver que cette affirmation n'est pas une exagération :

    « Disons que nous voulons planifier des vacances. Sur notre ordinateur ou notre smartphone, nous recherchons un vol pas cher vers le soleil via des sites Web comme Skyscanner et Expedia, qui appartiennent tous deux au même groupe d'investisseurs institutionnels [Vanguard, Blackrock et State Street Corporation].

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  19. Nous volons avec l'une des nombreuses compagnies aériennes [American Airlines, Air France, KLM, United Airlines, Delta et Transavia] dont la majorité des actions sont souvent détenues par les mêmes investisseurs…

    La compagnie aérienne sur laquelle nous volons est dans la plupart des cas un Boeing ou un Airbus. Encore une fois, nous voyons les mêmes [actionnaires institutionnels]. Nous recherchons un hôtel ou un appartement via Bookings.com ou AirBnB.com. Une fois arrivés à destination, nous sortons dîner et nous écrivons un avis sur Trip Advisor. Les mêmes investisseurs sont à la base de chaque aspect de notre voyage.

    Et leur puissance va encore bien plus loin, car même le kérosène qui alimente l'avion provient d'une de leurs nombreuses compagnies pétrolières et raffineries. Tout comme l'acier dont est fait l'avion provient de l'une de leurs nombreuses sociétés minières.

    Ce petit club de sociétés d'investissement, banques et fonds communs de placement, sont également les plus gros actionnaires des industries primaires, d'où proviennent nos matières premières.

    Il en va de même pour l'industrie agricole dont dépend l'industrie alimentaire mondiale, et pour toute autre industrie majeure. Ces investisseurs institutionnels possèdent Bayer, le plus grand producteur de semences au monde ; ils possèdent les plus grands fabricants de textiles et bon nombre des plus grandes entreprises de vêtements.

    Ils possèdent les raffineries de pétrole, les plus grands producteurs de panneaux solaires et les industries de l'automobile, de l'aéronautique et de l'armement. Ils possèdent toutes les grandes compagnies de tabac, ainsi que toutes les grandes compagnies pharmaceutiques et instituts scientifiques. Ils possèdent également les grands magasins et les marchés en ligne comme eBay, Amazon et AliExpress.

    Ils possèdent même les méthodes de paiement que nous utilisons, des sociétés de cartes de crédit aux plateformes de paiement numérique, en passant par les compagnies d'assurance, les banques, les entreprises de construction, les compagnies de téléphone, les chaînes de restaurants, les marques de soins personnels et les marques de cosmétiques.

    Quelle que soit l'industrie que vous regardez, les principaux actionnaires, et donc les décideurs, sont les mêmes : Vanguard, Blackrock, State Street et/ou Berkshire Hathaway. Dans pratiquement toutes les grandes entreprises, vous trouvez ces noms parmi les 10 premiers investisseurs institutionnels.

    À qui appartiennent les entreprises d'investissement du monde ?

    En approfondissant, nous constatons que ces grandes entreprises d'investissement sont à leur tour détenues par leur propre groupe d'actionnaires. L'une des choses les plus étonnantes à propos de ce programme est que les investisseurs institutionnels - et il y en a beaucoup plus que les quatre principaux sur lesquels nous nous sommes concentrés ici - se possèdent également les uns les autres. Ils sont tous actionnaires dans les sociétés de l'autre.

    Au sommet de la pyramide – la plus grande poupée russe de toutes – se trouvent Vanguard et Blackrock.
    « Ensemble, ils forment un immense réseau que l'on peut comparer à une pyramide », explique Gielen. Les petits investisseurs institutionnels, tels que Citibank, ING et T. Rowe Price, appartiennent à de plus grandes sociétés d'investissement telles que Northern Trust, Capital Group, 3G Capital et KKR.

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  20. Ces investisseurs appartiennent à leur tour à des sociétés d'investissement encore plus grandes, telles que Goldman Sachs et Wellington Market, qui appartiennent encore à de plus grandes sociétés, telles que Berkshire Hathaway et State Street. Au sommet de la pyramide – la plus grande poupée russe de toutes – se trouvent Vanguard et Blackrock.

    « La puissance de ces deux sociétés est quelque chose que nous pouvons à peine imaginer », déclare Gielen. « Non seulement ils sont les plus grands investisseurs institutionnels de toutes les grandes entreprises du monde, mais ils possèdent également les autres investisseurs institutionnels de ces entreprises, ce qui leur confère un monopole complet. »

    Gielen cite des données de Bloomberg, montrant que d'ici 2028, Vanguard et BlackRock devraient gérer collectivement 20 000 milliards de dollars d'investissements. Dans le processus, ils posséderont presque tout sur la planète Terre.

    BlackRock — La quatrième branche du gouvernement

    Bloomberg a également qualifié BlackRock de « quatrième branche du gouvernement », en raison de ses relations étroites avec les banques centrales. BlackRock prête en fait de l'argent à la banque centrale, la réserve fédérale, et est leur principal conseiller.

    Des dizaines d'employés de BlackRock ont ​​occupé des postes de direction à la Maison Blanche sous les administrations Bush, Obama et Biden. BlackRock a également développé le système informatique utilisé par les banques centrales.

    À qui appartient BlackRock ?

    Alors que Larry Fink est la figure de proue de BlackRock, étant son fondateur, président et chef de la direction, il n'est pas le seul décideur, car BlackRock appartient également aux actionnaires. Ici, nous trouvons encore une autre curiosité, car le plus grand actionnaire de BlackRock est Vanguard.

    "C'est là qu'il fait noir", dit Gielen. Vanguard a une structure unique qui nous empêche de voir qui sont les véritables actionnaires. "L'élite qui possède Vanguard ne veut pas que quiconque sache qu'ils sont les propriétaires de l'entreprise la plus puissante du monde." Pourtant, si vous creusez assez profondément, vous pouvez trouver des indices sur l'identité de ces propriétaires.

    On peut s'attendre à ce que les propriétaires de l'entreprise la plus riche et la plus puissante de la planète soient parmi les individus les plus riches de la planète. En 2016, Oxfam a indiqué que la richesse combinée des 1 % les plus riches du monde était égale à la richesse des 99 % restants. En 2018, il a été rapporté que les personnes les plus riches du monde recevaient 82% de tout l'argent gagné dans le monde en 2017.

    En réalité, on peut supposer que les propriétaires de Vanguard sont parmi les 0,001% des personnes les plus riches de la planète. Selon Forbes, il y avait 2 075 milliardaires dans le monde en mars 2020. Gielen cite des données d'Oxfam montrant que les deux tiers des milliardaires ont obtenu leur fortune par héritage, monopole et/ou copinage.

    « Cela signifie que Vanguard est entre les mains des familles les plus riches de la planète », déclare Gielen. Parmi eux, on trouve les Rothschild, la famille DuPont, les Rockefeller, la famille Bush et la famille Morgan, pour n'en citer que quelques-uns.

    Beaucoup appartiennent à des lignées royales et sont les fondateurs de notre système bancaire central, des Nations Unies et de presque toutes les industries de la planète. Gielen va encore plus loin dans son documentaire, je recommande donc fortement de le regarder dans son intégralité. Je n'ai résumé ici qu'une petite partie de tout le film.

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  21. Un coup d'état financier

    En parlant des banquiers centraux, j'ai récemment interviewé la gourou de la finance Catherine Austin Fitts, et elle pense que ce sont les banquiers centraux qui sont au cœur de la prise de contrôle mondiale que nous assistons actuellement. Elle pense également que ce sont eux qui font pression sur les entreprises privées pour qu'elles mettent en œuvre les mandats clairement illégaux du COVID jab. Leur contrôle est si grand que peu d'entreprises ont la capacité de prendre position contre eux.

    "Je pense que [les banquiers centraux] dépendent vraiment du réseau intelligent et d'une technologie effrayante pour les aider à franchir les dernières étapes du contrôle financier, et c'est ce que je pense qu'ils préconisent", a-t-elle déclaré.

    "Ce que nous avons vu, c'est un effort énorme pour mettre en faillite la population et les gouvernements afin qu'il soit beaucoup plus facile pour les banquiers centraux de prendre le contrôle. C'est ce que j'écris depuis 1998, qu'il s'agit d'un coup d'État financier.

    Maintenant, le coup d'État financier est en train de se consolider, où les banquiers centraux n'exercent que la juridiction sur le trésor et l'argent des impôts. Et s'ils peuvent obtenir les passeports [vaccins] avec la CBDC [monnaie numérique de la banque centrale], alors elle pourra prélever des impôts sur nos comptes et prendre nos actifs. Donc, c'est un vrai coup d'État.

    La lettre de Spartacus

    Encore une fois, je vous invite à regarder le documentaire en haut de cet article et à garder un œil sur mon entretien avec Austin Fitts, qui sera publié dans un proche avenir. En conclusion, je tiens à souligner une mystérieuse lettre publiée par un individu anonyme qui s'appelle "Spartacus".

    "COVID-19 - La lettre Spartacus" a été initialement publié sur docdroid.net, mais a depuis été supprimé. Une autre copie peut être trouvée sur mega.nz.1 The Automatic Earth2 et ZeroHedge3 ont également publié la lettre dans son intégralité. La lettre commence par dire : « Je m'appelle Spartacus et j'en ai assez » :

    «Nous regardons l'establishment médical injecter du poison à des millions de nos compatriotes américains sans même se battre. On nous a dit que nous serions licenciés et privés de nos moyens de subsistance si nous refusions de vacciner. C'était la goutte d'eau.

    Ce qui suit est une compilation de données montrant que la pandémie de COVID était une attaque de guerre biologique qui a été maintenue en utilisant des tactiques de guerre psychologique sophistiquées. Il passe également en revue les dangers des injections de COVID, notant que le virus et les « vaccins » ont été fabriqués par les mêmes entités.

    Un résumé des conclusions de Spartacus est le suivant. Chaque point de synthèse est développé dans les sections ultérieures de la lettre, que vous pouvez lire dans l'une des trois références fournies.

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  22. Le COVID-19 est une maladie du sang et des vaisseaux sanguins. Le SRAS-CoV-2 infecte la paroi des vaisseaux sanguins humains, les faisant fuir dans les poumons.
    Les protocoles de traitement actuels (par exemple la ventilation invasive) sont activement nocifs pour les patients, accélérant le stress oxydatif et provoquant de graves VILI (lésions pulmonaires induites par la ventilation). L'utilisation continue de ventilateurs en l'absence de tout bénéfice médical prouvé constitue un meurtre de masse.
    Les contre-mesures existantes sont insuffisantes pour ralentir la propagation de ce qui est un virus en aérosol et potentiellement transmis par les eaux usées, et constituent une forme de théâtre médical.
    Diverses interventions non vaccinales ont été réprimées à la fois par les médias et l'establishment médical en faveur de vaccins et de médicaments brevetés coûteux.
    Les autorités ont nié l'utilité de l'immunité naturelle contre le COVID-19, malgré le fait que l'immunité naturelle confère une protection contre toutes les protéines du virus, et pas une seule.
    Les vaccins feront plus de mal que de bien. L'antigène sur lequel ces vaccins sont basés, le SARS-CoV-2 Spike, est une protéine toxique. Le SRAS-CoV-2 peut avoir un ADE ou une amélioration dépendante des anticorps ; les anticorps actuels peuvent ne pas neutraliser les futures souches, mais les aider à infecter les cellules immunitaires. De plus, vacciner pendant une pandémie avec un vaccin qui fuit supprime la pression évolutive pour qu'un virus devienne moins mortel.
    Il existe une vaste et épouvantable conspiration criminelle qui lie directement Anthony Fauci et Moderna à l'Institut de virologie de Wuhan.
    Les chercheurs sur le vaccin COVID-19 sont directement liés aux scientifiques impliqués dans la technologie de l’interface cerveau-ordinateur (« dentelle neuronale »), dont l’un a été inculpé pour avoir reçu des subventions de la Chine.
    Des chercheurs indépendants ont découvert de mystérieuses nanoparticules à l'intérieur des vaccins qui ne sont pas censées être présentes.
    Toute la pandémie est utilisée comme excuse pour une vaste transformation politique et économique de la société occidentale qui enrichira les déjà riches et transformera le reste d'entre nous en serfs et intouchables.

    Un complot criminel

    C'est une longue lettre, je ne vais donc pas tout reproduire ici. Cependant, les sections suivantes présentent un intérêt particulier, en ce qui concerne une élite criminelle qui orchestre la destruction de la vie telle que nous la connaissons, dans le but d'inaugurer un système de gouvernance et de contrôle mondial dirigé par la technocratie :4

    « En novembre 2019, trois techniciens de l'Institut de virologie de Wuhan ont développé des symptômes compatibles avec une maladie pseudo-grippale. Anthony Fauci, Peter Daszak et Ralph Baric ont tout de suite su ce qui s'était passé, car des canaux de retour existent entre ce laboratoire et nos scientifiques et fonctionnaires.

    Le 12 décembre 2019, Ralph Baric a signé un accord de transfert de matériel (essentiellement un NDA) pour recevoir du matériel lié au vaccin à ARNm contre le coronavirus co-détenu par Moderna et le NIH.

    Ce n'est qu'un mois plus tard, le 11 janvier 2020, que la Chine nous aurait envoyé la séquence de ce qui allait devenir le SARS-CoV-2. Moderna prétend, de manière assez absurde, qu'ils ont développé un vaccin fonctionnel à partir de cette séquence en moins de 48 heures.

    Stéphane Bancel, l'actuel PDG de Moderna, était auparavant le PDG de bioMérieux, une multinationale française spécialisée dans les technologies de diagnostic médical, fondée par un certain Alain Mérieux. Alain Mérieux était l'une des personnes qui ont joué un rôle déterminant dans la construction du laboratoire P4 de l'Institut de virologie de Wuhan.

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  23. La séquence donnée comme la plus proche parente du SARS-CoV-2, RaTG13, n'est pas un vrai virus. C'est un faux. Il a été créé en entrant manuellement une séquence de gènes dans une base de données, pour créer une histoire de couverture pour l'existence du SRAS-CoV-2, qui est très probablement une chimère à gain de fonction produite à l'Institut de virologie de Wuhan et était soit fuite accidentellement ou libérée intentionnellement. Le réservoir animal du SARS-CoV-2 n'a jamais été trouvé.

    Ce n'est pas une "théorie" du complot. séparation, le cas échéant. La piste papier est bien établie.

    La théorie des fuites de laboratoire a été supprimée car tirer ce fil conduit inévitablement à conclure qu'il existe suffisamment de preuves circonstancielles pour relier Moderna, le NIH, le WIV et à la fois le vaccin et la création du virus.

    Dans un pays sain d'esprit, cela aurait immédiatement conduit au plus grand cas de RICO et de meurtre de masse au monde. Anthony Fauci, Peter Daszak, Ralph Baric, Shi Zhengli et Stéphane Bancel, et leurs complices, auraient été inculpés et poursuivis avec toute la rigueur de la loi. Au lieu de cela, des milliards de dollars de nos impôts ont été attribués aux coupables.

    Le FBI a perquisitionné Allure Medical dans le canton de Shelby, au nord de Détroit, pour avoir facturé une assurance pour « traitements frauduleux contre le COVID-19 ». Le traitement qu'ils utilisaient ? Vitamine C intraveineuse. Un antioxydant. Ce qui, comme décrit ci-dessus, est un traitement tout à fait valable pour la septicémie induite par COVID-19 et fait désormais partie du protocole MATH+ avancé par le Dr Paul E. Marik.

    La FDA a interdit la ranitidine (Zantac) en raison d'une supposée contamination par la NDMA (N-nitrosodiméthylamine). La ranitidine n'est pas seulement un bloqueur de H2 utilisé comme antiacide, mais a également un puissant effet antioxydant, en éliminant les radicaux hydroxyles. Cela lui donne une utilité dans le traitement du COVID-19.

    La FDA a également tenté de retirer la N-acétylcystéine, un supplément d'acides aminés et antioxydant inoffensif, des étagères, obligeant Amazon à la retirer de sa vitrine en ligne. Cela nous laisse avec une question effrayante : la FDA a-t-elle sciemment supprimé les antioxydants utiles pour traiter la septicémie au COVID-19 dans le cadre d'un complot criminel contre le public américain ?

    L’establishment coopère et facilite les pires criminels de l’histoire de l’humanité, et supprime activement les traitements et thérapies non vaccinaux afin de nous obliger à injecter les produits de ces criminels dans notre corps…

    Conclusions : La pandémie actuelle a été produite et perpétuée par l'establishment, grâce à l'utilisation d'un virus conçu dans un laboratoire chinois de guerre biologique connecté à l'APL, avec l'aide de l'argent des contribuables américains et de l'expertise française…

    Soit par une fuite soit par une libération intentionnelle de l'Institut de virologie de Wuhan, une souche mortelle du SRAS est désormais endémique dans le monde entier, après que l'OMS, le CDC et les responsables publics ont d'abord minimisé les risques, puis ont intentionnellement incité à la panique et aux blocages qui ont mis en péril la vie des gens. santé et leurs moyens de subsistance.

    Cela a ensuite été utilisé par la classe aristocratique complètement dépravée et psychopathe qui règne sur nous comme une excuse pour contraindre les gens à accepter un poison injecté qui peut être un agent de dépopulation, un agent de contrôle/pacification de l'esprit sous forme de « poussière intelligente » injectable. ou les deux …

    Ils croient qu'ils peuvent s'en sortir en armant la stigmatisation sociale du refus du vaccin. Ils sont incorrects. Leurs motivations sont claires et évidentes pour quiconque y a prêté attention.

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  24. Ces mégalomanes ont pillé les fonds de pension du monde libre. Wall Street est insolvable et connaît une crise de liquidité continue depuis la fin de 2019. L'objectif est maintenant d'exercer un contrôle physique, mental et financier total et complet sur l'humanité avant de réaliser à quel point nous avons été extorqués par ces maniaques. La pandémie et sa réponse ont servi à plusieurs fins pour l'élite :

    Cacher une dépression provoquée par le pillage usuraire de nos économies mené par des rentiers-capitalistes et des propriétaires absentéistes qui ne produisent absolument rien de quelque valeur que ce soit pour la société…
    Détruire les petites entreprises et éroder la classe moyenne.
    Transférer des milliards de dollars de richesse du public américain dans les poches de milliardaires et d'intérêts particuliers.
    Se livrer à des délits d'initiés, acheter des actions dans des sociétés de biotechnologie et court-circuiter des entreprises physiques et des agences de voyages, dans le but de faire s'effondrer le commerce et le tourisme face à face et de les remplacer par le commerce électronique et la servitisation.
    Créer un casus belli pour la guerre avec la Chine, nous encourager à les attaquer, gaspiller des vies et des trésors américains et nous conduire au bord de l'Armageddon nucléaire.
    Établir des cadres technologiques et de biosécurité pour le contrôle de la population et des « villes intelligentes » technocratiques-socialistes où les mouvements de chacun sont suivis de manière despotique, le tout en prévision d'une automatisation généralisée, du chômage et des pénuries alimentaires, en utilisant le faux prétexte d'un vaccin pour forcer la coopération.
    … Les élites tentent de gravir les échelons, d'effacer la mobilité ascendante pour de larges segments de la population, d'éliminer les opposants politiques et autres « indésirables », et de tenir le reste de l'humanité en laisse, en rationnant notre accès à certains biens et services qui ils ont jugé « à fort impact », comme l'utilisation de l'automobile, le tourisme, la consommation de viande, etc.

    Naturellement, ils continueront à avoir leur propre luxe, dans le cadre d'un système de castes strict semblable à la féodalité. Pourquoi font-ils ça ? Simple. Les élites sont néo-malthusiennes et croient que nous sommes surpeuplés et que l'épuisement des ressources fera s'effondrer la civilisation en quelques décennies.

    Ils ne sont pas nécessairement incorrects dans cette croyance. Nous sommes surpeuplés et nous consommons trop de ressources. Cependant, orchestrer une prise de pouvoir aussi horrible et meurtrière en réponse à une crise imminente démontre qu'ils n'ont que le plus grand mépris pour leur prochain.

    À ceux qui participent à cette farce dégoûtante sans aucune compréhension de ce qu'ils font, nous avons un mot pour vous. Arrêter. Vous causez un tort irréparable à votre pays et à vos concitoyens.

    À ceux qui lisent peut-être cet avertissement et qui ont une connaissance et une compréhension complètes de ce qu'ils font et de la façon dont cela nuira injustement à des millions de personnes innocentes, nous avons quelques mots de plus. Au diable l'enfer. Vous ne détruirez pas l'Amérique et le monde libre, et vous n'aurez pas votre nouvel ordre mondial. Nous allons nous en assurer. »

    Sources and References

    1, 4 Mega.nz The Spartacus Letter
    2 The Automatic Earth September 26, 2021
    3 ZeroHedge September 27, 2021

    https://www.lewrockwell.com/2021/10/joseph-mercola/who-owns-the-world/

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    Réponses
    1. Au départ (il y en 19 mois) le 'corona' ou 'covide19' n'existait qu'en laboratoires (et non dans l'air).
      Les (6) laboratoires ont donc fabriqué de FAUX vaccins (Expérimentations géniques d'essais) où il était présent dans chaque flacon/seringue.
      Donc les infectés (les inoculés) pouvaient d'ore et déjà contaminer leurs familles et amis ! Whôaw !
      Et donc: le répandre dans l'air.
      Don oui les inoculé(e)s peuvent tuer n'importe qui.

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  25. LE PRIX DE LA BIÈRE VA AUGMENTER


    par OLIVIER SANCERRE
    29/10/2021


    La France compte 2.300 brasseries.

    Les amateurs de bière en seront pour leurs frais : il est probable que les prix du breuvage augmentent dans les prochaines semaines. Hausse des coûts de l'énergie, des emballages et des céréales expliquent ce renchérissement des tarifs.

    Alors que les négociations annuelles entre les producteurs et la grande distribution ont commencé, les brasseurs font un coup de pression dans les médias en prévenant que le prix de la bière risque d'augmenter. Une manière d'obtenir des distributeurs une baisse de leur marge qui permettrait de compenser en partie l'augmentation probable des prix de leurs produits. Jean-François Drouin, le président du syndicat national des brasseurs indépendants (SNBI), explique au Figaro que la hausse des prix de la bière pourrait s'échelonner entre 5 à 10 % si les grossistes et les distributeurs ne jouent pas le jeu pour « contenir au maximum le prix de vente aux consommateurs ».

    Mauvaise météo et prix de l'énergie

    De leur côté, les brasseurs prennent déjà sur leurs marges pour éviter une flambée des prix, mais la hausse des coûts est telle que « nous allons être obligés d'augmenter nos prix pour compenser nos pertes », prévient le président du syndicat. Ces prix qui augmentent sont le résultat de la hausse des coûts des céréales de 30%, en raison d'une mauvaise météo qui a affecté les récoltes de houblon et de malt. Les coûts de l'énergie touchent aussi les brasseries françaises : refroidissement des machines d'emballage, cuissons à la vapeur… Tout cela nécessite beaucoup d'électricité.

    Négociations avec les distributeurs

    Selon le SNBI, les brasseurs ont subi une augmentation de leur facture d'énergie de 7 à 15%. Enfin, ils doivent aussi composer avec le renchérissement du prix des emballages qui a grimpé de 10 à 24%. Du jamais vu en vingt ans de métier, assure Jean-François Drouin. Il est donc inévitable, selon lui, que les prix de la bière vont augmenter. Du côté des distributeurs et notamment de Carrefour, on dit cependant ne pas avoir connaissance de hausses de tarif à venir des fournisseurs de bière.

    http://www.economiematin.fr/news-le-prix-de-la-biere-va-augmenter

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  26. Ariane Bilheran : « En contexte totalitaire, les pervers sont autorisés à assouvir leurs pulsions de contrôle et de domination »


    PAR EPOCH TIMES
    29 octobre 2021


    Ariane Bilheran est diplômée de l’École Normale Supérieure (Ulm), psychologue clinicienne et Docteur en psychopathologie.

    Spécialiste de la psychologie du pouvoir, elle a prononcé des conférences en France et à l’étranger sur les thèmes de la paranoïa, de l’emprise, du harcèlement, de la manipulation et de l’autorité.

    Elle a également publié de nombreux ouvrages consacrés à la littérature, la poésie, la philosophie ou la psychologie.

    Au cours de sa carrière, Ariane Bilheran est intervenue en tant que consultante et a dispensé des formations dans différentes entreprises ou institutions. Elle a aussi été amenée à produire des expertises judiciaires dans le cadre de procès portant sur des cas de harcèlement ou d’emprise devant les juridictions civiles et pénales.

    Depuis 2015, Ariane Bilheran réside en Amérique du Sud où elle poursuit son activité clinique ainsi que son travail de recherche et d’écriture, tout en consacrant une part de son temps à des actions agricoles et humanitaires.

    Nous l’avons rencontrée afin d’évoquer la crise sanitaire sous un autre angle, au croisement de la psychologie, de la psychopathologie et de la philosophie.

    Que dit cette crise de notre société ? Les mesures mises en place dans le cadre de la lutte contre l’épidémie participent-elles d’une logique totalitaire ?

    Comment expliquer le fait qu’une grande part de la population française se soit accommodée des différentes politiques restrictives de liberté adoptées ?

    Quelle peut-être l’issue des divisions et des fractures engendrées par les mesures prises pendant la crise sanitaire ? Quelles vertus cultiver pour retrouver le chemin de l’harmonie ?

    Découvrez le point de vue d’Ariane Bilheran dans la vidéo:

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  27. Politique fiction : et si l’alimentation était gérée comme la sécurité sociale ?

    Serions-nous mieux nourris avec une sécurité sociale de l’alimentation ? Quelles leçons en tirer pour réformer l’assurance maladie ?


    Par Vincent Bénard.
    30 OCTOBRE 2021


    Alors qu’en 2021, une députée LREM propose une sécurité sociale en matière d’alimentation, voici une politique fiction écrite sur Contrepoints en 2013.

    Au début de ce millénaire, quelques politiciens s’avisèrent que nous étions inégaux devant l’alimentation.

    En effet, des études universitaires incontestables montraient que les plus pauvres avaient une alimentation moins équilibrée que les riches, parce qu’ils étaient obligés de surveiller leur budget et de s’orienter massivement sur des produits à rapport coût/calories favorable, comme la pomme de terre, le riz, les pâtes. De même, lorsqu’ils consommaient de la viande, ces ménages peu aisés privilégiaient le porc, moins cher, mais plus gras. Ces aliments à hauts index glycémiques provoquaient obésité et maladies. Les ministres ont décidé que l’État se devait d’intervenir.

    Fort heureusement, nos fiers ministres réunis autour d’un bon gueuleton, décidèrent de mettre fin à cette injustice sociale, et d’instaurer la sécurité sociale alimentaire, par le vote d’une loi nommée « Loi pour l’Égalité Alimentaire Morale », autrement dit « la LEA Morale ».

    Le principe en serait simple : au lieu de payer l’intégralité de votre caddie aux caisses des magasins vos articles alimentaires seraient comptabilisés par une caisse centrale, laquelle paierait vos achats, en contrepartie d’une « Contribution Alimentaire Généralisée » (CAG) prélevée sur vos bulletins de salaire, selon un taux proportionnel. Les plus nécessiteux pourraient enfin manger 5 fruits et légumes par jour, et retrouver une ligne de mannequin CSP+.

    La proposition de réforme fut très âprement discutée, mais ses opposants furent accusés de manque de solidarité. Il fut décrété que « l’alimentation, indispensable à la vie, ne pouvait être un bien comme un autre », argument imparable qui a emporté la décision.

    La réforme fut mise en œuvre le premier janvier 2015, et cinq ans plus tard, le gouvernement suivant, du Parti Républicain Populaire pour l’Unité Sociale (le PREPUS), issu de la fusion de l’UMP et de l’UDI, a voulu en évaluer les effets. Il commanda donc un rapport circonstancié à monsieur Jean Némar, inspecteur des finances.

    La première version du rapport déçut quelque peu nos édiles. Il est vrai que le haut fonctionnaire, spécialisé dans les questions de défense nationale, n’était pas familier de la langue de bois qui prévalait dans le petit monde de la Caisse Nationale d’Assurance Calorique, la CNAC.

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  28. Son rapport montrait en substance que le panier moyen alimentaire hebdomadaire était passé de 30 euros par personne à 120 euros, et qu’il avait fallu augmenter le taux de la CAG, initialement fixé à 2 %, aux alentours de 14 % cinq ans plus tard.

    Les consommateurs, se jetant sur foie gras, homard, et autres mets raffinés, dépassèrent les capacités de production des fermiers des Landes ou des pêcheurs bretons : la CNAC dut donc rapidement mettre en place un système de prix réglementés sur les produits alimentaires les plus désirés. Ces produits disparurent donc instantanément des rayons, seuls des magasins d’alimentation ouverts selon autorisation spéciale, dits magasins de secteur 2, ayant le droit de les commercialiser à un tarif libre et inaccessible au commun des mortels. En effet, ces magasins, surnommés Beriozkas par des immigrants facétieux d’origine russe, appliquaient des marges supérieures à celles pratiquées autrefois par les supermarchés Leclerc. Les restaurants, obligés de recourir à ces circuits de distribution peu efficients, durent augmenter leurs prix. Mais la clientèle ne suivit pas : pourquoi aller dans un restaurant hors de prix quand on a la nourriture gratuitement chez soi ? Résultat : le nombre de restaurants diminua drastiquement, la restauration étant devenue un secteur de niche très haut de gamme réservé aux nantis et aux hauts fonctionnaires, à travers une centrale d’achat spécialisée, l’AGAP (Achats Groupés d’Alimentation Publique).

    Le rapport de Jean Némar s’interrogeait donc sur la réalité du progrès apporté par le nouveau dispositif. Mais ses remarques ne s’arrêtèrent pas là. Il constatait que les acheteurs, déresponsabilisés, achetaient trop de nourriture et que la plus grande partie de celle-ci finissait par pourrir dans les réfrigérateurs. Cet excès de demande de nourriture par rapport à l’offre disponible avait fini par rendre obligatoire l’extension de la réglementation des prix, initialement réservée aux produits haut de gamme, à l’ensemble du spectre alimentaire.

    Afin d’éviter que la situation ne dégénère vers un marché noir tel qu’il existait dans la lointaine Union soviétique, le gouvernement et la CNAC contractualisèrent, avec de grands groupes agro-alimentaires, des partenariats d’achats assurés, garantissant à ces derniers des marges suffisantes pour continuer à approvisionner les marchés. Le rapport Jean Némar nota que ce mouvement, salué par les politiciens de l’époque comme un exemple de pragmatisme social, avait en fait conduit à éliminer les petits fournisseurs qui ne pouvaient s’aligner sur les demandes de masse de l’État, et avait provoqué une chute de la qualité des aliments fournis par les grands opérateurs sélectionnés, ceux ci n’ayant plus à se battre quotidiennement pour trouver des clients.

    Les scandales alimentaires se multiplièrent, et furent imputés aux méchants groupes agro-alimentaires soucieux de faire du profit sur le dos de la CNAC. Mais le rapport Némar osait demander si le système CNAC n’avait pas créé les incitations perverses permettant la multiplication de ce genre de comportements.

    D’ailleurs, monsieur Jean Némar notait que plusieurs instructions pour corruption étaient en cours contre des négociateurs hauts fonctionnaires de la CNAC et des élus politiques administrateurs de cet organisme public. Mais il ne pouvait évidemment en dire plus, devoir de réserve oblige, car les dossiers suivis par la justice française depuis 4 ans, n’étaient toujours pas présentés devant les juges, certains ayant d’ailleurs été amnistiés.

    Jean Némar notait en outre que les progrès avaient été nuls en termes d’amélioration de l’équilibre alimentaire : les consommateurs, jonglant entre pénuries, changement de tarification et réglementations alimentaires, consommaient… ce qu’ils trouvaient. D’ailleurs, des campagnes publicitaires lancées récemment les incitaient à se détourner des aliments les plus coûteux pour s’orienter vers… ceux à bon rapport coût/calories, baptisés aussi aliments généreux, ceux-là même dont la réforme avait voulu initialement limiter l’usage.

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  29. Mais ces messages, appelant à la citoyenneté, au civisme et à la responsabilité des assurés alimentaires (on ne parlait plus de consommateurs en novlangue CNACquienne), étaient jugés indispensables par le gouvernement pour tenter d’équilibrer les comptes de la CNAC, dont les déficits chroniques menaçaient la note BBB de la dette souveraine française.

    Les entreprises avaient été sollicitées pour corriger ces désagréments et offrir des assurances complémentaires alimentaires permettant à leurs salariés d’améliorer leur ordinaire. Las, un accord entre MEDEF et Syndicats, l’ANAL (Accord National D’Alimentation de Luxe) imposa aux entreprises d’en passer par quelques gros groupements de fournisseurs, supprimant encore 40 000 emplois chez les petits groupes qui avaient réussi à survivre à la première vague de concentration. La ministre Mariquiche Lorraine fut d’ailleurs soupçonnée, sans qu’une enquête ne soit jamais ouverte, de favoriser ouvertement certains groupes d’intérêts industriels et syndicaux.

    Bref, le rapport Némar égrenait sans fard une litanie de griefs contre le système mis en place par la « LEA Morale ».

    Ce rapport déplut en haut lieu.

    Les hauts fonctionnaires et les instances paritaires qui géraient la CNAC qualifièrent ce rapport de fiction réactionnaire et ultra libérale. Il est vrai que les syndicats tiraient de la CNAC des ressources conséquentes, qu’un autre rapport, le rapport du Père Huchot, avait tenté de mettre à jour, avant d’être enterré par voie législative.

    Les grands groupes alimentaires qui ramassaient la mise grâce à leurs accords avec la CNAC, et avec les complémentaires ANAL, mirent les chariots en cercle pour détruire le rapport Némar avant qu’il ne soit rendu public.

    Le gouvernement décida d’enterrer le rapport Jean Némar.

    Pour prix de son silence, celui-ci se vit offrir un poste de conservateur des hypothèques dans un gros département de l’ouest parisien, ce qui lui assurait pour les quelques années précédant sa retraite, un revenu de Nabab, et une carte privilégiée d’adhérente de l’AGAP ; vous savez, ce groupe d’achat d’aliments de luxe réservé aux hauts fonctionnaires.

    Un autre haut fonctionnaire, monsieur Jean Sérien, fut chargé de réécrire le rapport Némar dans un sens plus consensuel. Il souligna combien la LEA Morale avait permis une vraie égalité des Français devant la consommation alimentaire, et proposa, pour corriger les quelques inévitables dysfonctionnements d’une loi encore jeune, de nouveaux outils administratifs de régulation lesquels, n’en doutons pas, paveraient d’or la route du paradis alimentaire promis par les politiciens. Notamment, il proposa de fusionner la CAG et l’impôt sur le revenu, afin que la CAG devienne progressive et que notre alimentation soit ainsi payée en priorité par les riches, et ainsi entièrement gérée selon des principes de solidarité sociale et citoyenne.

    Les quelques libéraux qui osèrent rappeler que le système antérieur, fondé sur une économie de marché, fonctionnait mieux, furent accusés de vouloir supprimer les acquis sociaux des classes modestes, ce qui suffit à tuer dans l’œuf tout risque de contestation médiatiquement audible.



    Lire aussi :

    Nutrition et obésité, Wheat Belly du Dr William Davis
    Six graphiques qui montrent que la « guerre contre le gras » est une erreur
    Manger – bouger, 12 ans d’échec des politiques de prévention

    https://www.contrepoints.org/2021/10/30/148421-politique-fiction-et-si-lalimentation-etait-geree-comme-l-assurance-maladie

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  30. Les menaces de sécurité de Net Zero : l'un des 36 stratagèmes pour vaincre l'ennemi

    La GWPF a publié un article provocateur du professeur Gwythian Prins, que je recommande vivement. Un chapitre en particulier capture le moment fragile autour duquel gravitent les affaires mondiales. L'Occident, confortable et corrompu, commence à peine à prendre conscience de la duplicité et de l'intention hostile du Parti communiste chinois.


    October 29th, 2021


    Extraits du chapitre 3 ci-dessous.

    La guerre par d'autres moyens est à nos portes :

    Partie III : Les menaces de sécurité de Net Zero
    Le texte du cinquième plénum du Parti communiste chinois d'octobre 2020, exposant la stratégie jusqu'en 2035, a dit à la nation pour la première fois depuis des décennies de « se préparer à la guerre » (备战) – c'est-à-dire sous toutes ses formes. Il est vrai que le renforcement militaire chinois depuis 2000 a été implacable et remarquable. Cependant, comme nous le verrons, à l'heure actuelle, nous ne faisons pas face à une guerre ouverte, mais plutôt à une guerre par d'autres moyens.

    L'Occident doit être conscient des 36 stratégies d'une ère de guerre
    « Pour piller une maison en feu »

    Les tactiques de Xi sont également informées par Les trente-six stratagèmes de l'ère des Royaumes combattants, un manuscrit qui est probablement un peu plus ancien que celui de Sun Tzu. Cependant, tous deux sont sortis de périodes de grandes turbulences internes. Les trente-six sont généralement regroupés en six chapitres, et trois – deux stratégies « gagnantes de guerre » et une stratégie « ennemie » – sont les plus pertinents pour encadrer la conduite de Xi.

    Le premier est de tuer avec une épée empruntée (借 刀殺人); en d'autres termes, utiliser nos inventions pour nous attaquer.

    La Chine a pris la fabrication, puis la technologie et l'Occident les a donnés. Maintenant, c'est arrivé pour la biotechnologie… et nous avons donné au PCC un « gain de fonction ».

    La seconde est de piller une maison en feu (趁火打劫) ; profiter du malheur d'un ennemi. Cette métaphore facilite le principe de « l'attaque fantôme » - la perpétration d'actions hostiles avec un déni plausible, de sorte que la partie attaquée est impuissante à riposter sans sembler être l'agresseur. Un exemple serait la pandémie actuelle de Covid.

    Une arme biologique lâchée près du laboratoire d'où elle provient pourrait être un accident. C'est plausible...

    Il englobe également l'idée de créer des circonstances défavorables – mettre le feu à la maison – et de pousser l'ennemi à adopter un comportement d'automutilation. La troisième est une stratégie de « traitement ennemi » : cacher un couteau derrière un sourire (笑裏 藏刀), la tactique consistant à dissimuler une intention hostile derrière une apparente coopération. Les conduites en matière de politique énergétique et climatique apparaissent comme une arène de premier plan pour ce stratagème, comme nous le verrons en détail.

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  31. Les cinquièmes chroniqueurs, les Verts, les « amis » universitaires :

    Le fer de lance des attaques fantômes de Xi est le département de travail du Front uni (UFWD) du ministère chinois de la Sécurité d'État : une hydre à plusieurs têtes. Xi Jinping l'a décrit comme "... une arme magique importante pour renforcer la position dirigeante du parti...

    La tactique de l'UFWD à notre égard peut également être considérée comme dérivée de stratégies chinoises de longue date telles que les trente-six. Par exemple, en utilisant le stratagème de laisser le propre espion de l'ennemi semer la discorde dans le camp ennemi (反間計), il a, avec un succès considérable, « fait des amis pour la Chine » au sein et à travers l'establishment de l'élite occidentale. Dans le cas britannique, cela englobe le monde des affaires (notamment le 48 Group Club), de la politique (les militants écologistes ont été particulièrement ciblés par l'UFWD54), et s'étend aux universités et aux universités, notamment Cambridge sous son vice-chancelier actuel, et Nottingham. La science et l'édition scientifique, où une croyance naïve dans la communauté scientifique mondiale peut, sciemment ou non, être exploitée pour atteindre les objectifs de la Chine sont particulièrement ciblées. Gagner des amis influents – les « cinquièmes chroniqueurs » intentionnels ou non – afin de détruire la capacité de résistance d'un ennemi est une approche indirecte classique, tout droit sortie des pages de Sun Tzu, et conforme à la première des « stratégies du chaos » des Trente-Six : 'Retirer le bois de chauffage sous la marmite' (釜底抽 薪). Dans l'idiome occidental, il s'agit de tirer les feux des chaudières pour ralentir et éventuellement arrêter les moteurs.

    Est-ce une coïncidence si les prix du pétrole et du gaz sont si élevés ?

    En 2020, la Chine a conclu rapidement trois accords pétroliers et gaziers à long terme avec l'Iran, Abou Dhabi et l'Arabie saoudite.

    Si c'est une coïncidence maintenant, ce ne sera pas dans le futur...

    Pour cacher un couteau derrière un sourire
    … La Chine construit actuellement 250 GW de nouvelle centrale au charbon supplémentaire, plus qu'il n'en existe actuellement dans l'ensemble des États-Unis (229 GW), et une augmentation de 25 % de la capacité actuelle. Aux côtés d'autres capacités conventionnelles, comme le nucléaire et le gaz, il permettra d'augmenter de 50 % la consommation d'électricité d'ici 2040 (> 10 000 TWh, contre 7 000 TWh aujourd'hui). La figure 7 montre les tendances du mix énergétique de la Chine, dominées par le charbon, et avec des traces à peine visibles de « nouvelles énergies renouvelables ». Nous pouvons donc en déduire sans risque que la Chine n'a pas l'intention d'embrasser les obsessions « vertes » occidentales.

    Mix énergétique de la Chine, graphique, charbon, gaz, hydroélectricité.

    - voir graphique sur site -

    Mais Xi a-t-il révélé l'intention hostile trop tôt ?
    Avec AUKUS formé, l'alliance Quad et les sous-marins nucléaires en route pour l'Australie, il y a des signes que l'Occident se réveille (enfin).

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  32. La nouvelle détermination des nations de l'Anglosphère peut renforcer les opinions de ceux de Pékin qui ont douté de la sagesse de l'abandon par Xi Jinping du premier des trente-six stratagèmes (tromper les cieux pour traverser la mer), car c'est un signe que l'hostilité ouverte a éveillé les Cinq Yeux, comme ils l'ont averti et craint. Tous les officiers des marines de la Reine - RN, RAN, RCN, RNZN - détiennent des commissions de la Couronne, et ses marines sont déjà pleinement interopérables et partagent une culture professionnelle avec celles des États-Unis, de l'Inde et du Japon. Les détracteurs de Xi à Pékin craindront que son agression n'ait incité à la création (ou plutôt à la refonte) d'une marine mondiale pour le monde libre, dirigée par les peuples anglophones. Nous ne devrions pas supposer que son ascendant est plus sûr que celui des empereurs précédents.

    L'intention est si évidente lorsqu'elle est étudiée sous le bon angle :

    Le monde libre construit vers les faiblesses, la Chine communiste construit vers la force
    La Chine cherche à refuser des ressources au monde libre

    Il utilise simplement nos obsessions vertes à son avantage et contre nos intérêts. Aux termes des Trente-Six, Pékin entend piller une maison en feu : cela incitera ses concurrents (nous) à utiliser des combustibles thermodynamiquement inférieurs pour accumuler la faiblesse économique, et nous aidera à compromettre nos infrastructures de transport et d'électricité. Il ignorera la biomasse, les marées, la géothermie et l'hydroélectricité comme stratégiquement insignifiantes. Il ne s'impliquera pas non plus dans l'hydrogène, reconnaissant que les voies «vertes» et «bleues» actuelles de sa production, comme expliqué précédemment, ne sont pas viables économiquement. Mais il continuera avec plaisir à fabriquer des composants éoliens et des panneaux solaires pour nous, et il utilisera des pratiques de marché non concurrentielles pour déplacer ses concurrents occidentaux (et japonais) et ainsi dominer les marchés de ces articles. De cette façon, la Chine affaiblira nos bases manufacturières, tout en se livrant à nos obsessions « vertes » et « Net Zero » et elle contrôlera ainsi ces marchés – et donc nous – aussi longtemps que nous le lui permettrons.

    Il y a beaucoup à méditer et des messages à partager de The Worm in The Rose, publié par Net Zero Watch. Cela peut être téléchargé ici.

    Conseils de chapeau à Jim Simpson, Paul Miskelly. Hélène D.

    GWPF a organisé un webinaire mardi : COP26 – Quelles sont les véritables intentions de la Chine ?

    Le professeur Gwythian Prins est professeur-chercheur émérite à la LSE et membre du conseil consultatif académique de la Global Warming Policy Foundation.

    https://joannenova.com.au/2021/10/the-security-threats-of-net-zero-one-of-36-stratagems-to-defeat-the-enemy/

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  33. Philippe Charlez : « La société de 2050 ne sera pas une société ‘zéro fossiles' »

    Un entretien avec Philippe Charlez, auteur de « L’utopie de la croissance verte. Les lois de la thermodynamique sociale », paru chez Jacques-Marie Laffont.


    30 OCTOBRE 2021


    Quel modèle de croissance pour demain ? C’est pour répondre à cette question que Philippe Charlez sort ce mois-ci aux éditions Jacques-Marie Laffont L’utopie de la croissance verte. Les lois de la thermodynamique sociale. Philippe Charlez est ingénieur des mines (Faculté polytechnique de Mons, Belgique), docteur en physique et spécialiste de l’énergie internationalement reconnu. Il écrit pour Contrepoints, Atlantico, Valeurs actuelles et Opinion Internationale. Il est expert des questions énergétiques de l’Institut Sapiens.

    Votre livre L’utopie de la croissance verte est une réflexion profonde qui associe philosophie, économie et physique. Il théorise notamment les « lois de la thermodynamique sociale ». En quoi le concept central d’entropie peut-il expliquer l’évolution ou l’éventuelle stagnation de notre système économique ?

    La société de croissance se comporte comme une gigantesque « structure dissipative » au sens thermodynamique du terme.

    Au même titre que tous les systèmes naturels inertes (galaxies, étoiles, planètes) ou vivants (végétaux, animaux, corps humain) elle puise dans le milieu extérieur des ressources matérielles (minerai, humus) et énergétiques (dont 83 % d’énergies fossiles) basse entropie, en conserve pour son fonctionnement propre la partie noble (on parle d’énergie « libre ») qu’elle transforme en biens (richesse matérielle) et en services (richesse informative) et rejette dans l’environnement des déchets fortement entropiques dont le gaz carbonique responsable du réchauffement climatique !

    Comme toute structure dissipative, pour rester hors équilibre et entretenir ses flux, la société de croissance doit nécessairement être ordonnée (sinon elle augmenterait son entropie à ses propres dépens), ouverte sur le milieu extérieur mais aussi inégalitaire dans la mesure où sans inégalité tous les flux (matériels, informatifs et financiers) s’arrêteraient inexorablement.

    Le pendant de la structure dissipative est l’équilibre thermodynamique synonyme de « mort clinique » du système : ainsi quand vous mourrez votre température retournera à celle de la pièce (égalitarisme), votre corps sera dispersé dans l’humus du sol (désordre) et vous perdrez toute la richesse matérielle de vos membres (mouvements) et la richesse informative accumulée dans votre cerveau.

    On retrouve étonnamment dans la structure dissipative les valeurs du libéralisme : la sélection et la compétition (système inégalitaire), le libre-échange (système ouvert) et l’autorité (système ordonné).

    En revanche, l’équilibre thermodynamique recouvre plutôt les valeurs classiques de la gauche (égalitarisme et donc refus de la sélection et de la compétition, fermeture idéologique et refus de l’autorité -désordre). L’équilibre thermodynamique étant unique conduit à davantage de sectarisme alors que la structure dissipative couvrant une infinité d’états inégalitaires possibles est davantage synonyme de pluralisme.

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  34. L’obsession égalitariste qui court en France depuis la Révolution et qui est aujourd’hui poussée à son paroxysme par le wokisme (égalités des classes mais aussi des races, des genres et des religions) explique en grande partie la déliquescence économique et sociale des société occidentales.

    L’éducation en est un exemple frappant : en refusant l’autorité du maître et en promouvant l’égalitarisme entre les élèves, le système éducatif a tout nivelé par le bas. N’en déplaise à la gauche, le nivellement par le haut ne fait malheureusement pas partie du catalogue de la nature.

    Vous expliquez que la croissance économique des démocraties libérales est indissociable du progrès technologique, lui-même grand consommateur d’énergie. Cela signifie-t-il que la transition énergétique, si elle est mal négociée, pourrait être un danger pour la démocratie libérale ?

    La société de croissance repose sur trois piliers : un contexte issu des Lumières et permettant de libérer la pensée (la démocratie libérale), un catalyseur technologique (les « machines » au sens large) et un aliment énergétique (dont 83 % d’énergies fossiles).

    Sans cet aliment énergétique les technologies aussi sophistiquées soient-elles deviendraient instantanément de froides et immobiles pièces de musée et rendraient impossible toute croissance économique. Si l’optimisation de la consommation des ressources est possible, le découplage complet croissance/énergie ne l’est pas : on ne peut faire de la croissance économique sans énergie.

    En dessous d’un certain seuil, la baisse de la consommation d’énergie se ferait inévitablement aux dépens de la production de richesse. Ainsi, réduction drastique de la consommation (4 % par an d’ici 2050) proposées par le Think Tank Negawatt est incompatible avec la société de croissance.

    Dans cette optique, les classiques agendas inversés consistant à se donner un objectif sans se poser la question du comment technologique et économique (-55 % d’émission pour l’UE en 2030 ou arrêt de la production de voitures thermiques en 2035) peuvent conduire à de graves désillusions économiques et sociétales et mettre à mal notre société de croissance.

    Il faut impérativement inverser le processus : les objectifs doivent être le résultat d’un programme techno-économico-sociétal cohérent et non le contraire.

    Du point de vue de la « thermodynamique sociale », quelles sont les forces et les faiblesses de la démocratie libérale ?

    La grande faiblesse de la démocratie libérale se lit en filigrane de ses gènes thermodynamiques : elle est pluraliste et fait face à une idéologie égalitariste totalitaire et sectaire défendant une version binaire de la société séparant le bien (l’égalitarisme) du mal (toutes les autres situations par essence inégalitaires).

    Jean-François Revel avait remarquablement analysé cette grande fragilité dans Comment les démocraties finissent. Il y dénonçait leurs faiblesses structurelles et leur complaisance coupable vis-à-vis des idées véhiculées par les grands régimes totalitaires de l’époque en Chine et en Union soviétique.

    La force économique et sociale de la démocratie libérale n’a d’égal que sa faiblesse idéologique. Inscrite dans son chromosome pluraliste cette faiblesse se laisse quotidiennement piéger par la récurrence totalitaire sachant admirablement exploiter ses ambiguïtés : « l’œil perdu d’un manifestant gauchiste vaudra beaucoup plus que ceux de cent policiers ».

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  35. Face à une démocratie libérale qui tombe perpétuellement dans le piège de la culpabilité, le totalitarisme a un avantage déterminant : il ne culpabilise jamais, l’État unique qu’il défend représentant une vérité universelle. Tout acte aussi abject soit-il, trouvera toujours sa justification idéologique. C’est par une pédagogie sans concession que la démocratie libérale peut combattre le militantisme sectaire.

    Face aux limites du modèle énergétique dominant, qui s’adosse principalement aux énergies fossiles, vous proposez une troisième voie entre sa reconduction et la « croissance verte ». C’est aujourd’hui possible de défendre une neutralité carbone raisonnable ?

    Tout le monde reconnaît que la transition énergétique sera avant tout une mutation des énergies fossiles vers l’électricité : voitures électriques, pompes à chaleur, piles à combustible, batteries, hydrogène vert. La question centrale est donc d’où viendra cette électricité ?

    Pour soutenir un développement durable s’appuyant sur une croissance soutenable, nous aurons certes besoin de renouvelables mais ils devront s’appuyer sur des sources d’électricité pilotables qui en l’absence de charbon ne pourront être que le gaz naturel et le nucléaire. Cette société de l’électricité sera aussi partiellement décentralisée avec des renouvelables s’appuyant sur des petites unités gazières ou nucléaires (les fameux SMR).

    La société de 2050 ne sera pas, loin de là, une société « zéro fossiles ». Les scénarios les plus optimistes misent sur 40 % de fossiles : presque plus de charbon, beaucoup moins de pétrole mais encore beaucoup de gaz naturel. Pour atteindre la neutralité carbone, il faudra compenser les émissions résiduelles notamment grâce au CCS (capture et réinjection du carbone dans le sous-sol). Gaz, nucléaire et CCS sont donc les clés de la neutralité carbone à l’horizon 2050. Les trois sont sans surprise rejetés en bloc par l’écologie politique.

    Un entretien par Frédéric Mas pour Contrepoints.

    https://www.contrepoints.org/2021/10/30/410066-philippe-charlez-la-societe-de-2050-ne-sera-pas-une-societe-zero-fossiles

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    1. (...) Pour soutenir un développement durable s’appuyant sur une croissance soutenable, nous aurons certes besoin de renouvelables mais ils devront s’appuyer sur des sources d’électricité pilotables qui en l’absence de charbon ne pourront être que le gaz naturel et le nucléaire. Cette société de l’électricité sera aussi partiellement décentralisée avec des renouvelables s’appuyant sur des petites unités gazières ou nucléaires (les fameux SMR).

      La société de 2050 ne sera pas, loin de là, une société « zéro fossiles ». Les scénarios les plus optimistes misent sur 40 % de fossiles : presque plus de charbon, beaucoup moins de pétrole mais encore beaucoup de gaz naturel. Pour atteindre la neutralité carbone, il faudra compenser les émissions résiduelles notamment grâce au CCS (capture et réinjection du carbone dans le sous-sol). Gaz, nucléaire et CCS sont donc les clés de la neutralité carbone à l’horizon 2050. (...)

      'nous aurons certes besoin de renouvelables mais ils devront s’appuyer sur des sources d’électricité pilotables qui en l’absence de charbon' !! Bigre !! 'en l'absence de charbon' !!
      Le charbon comme d'autres Matières Premières se reconstitue à l'identique de ce qu'il était.
      La combustion de ce minerai transformé en gaz se reconstitue grâce aux phytoplancton présent sur la surface des eaux (mers, océans, mares, lacs ou flaques). le phytoplancton reconstitue le minerai sous forme de nano-particules de carbone (charbon).

      D'où l'absence de 'disparu(s)' depuis DES milliards d'années.

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  36. La plus grande peur des Américains, ce sont les « responsables du gouvernement corrompus »


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 30 OCT 2021 - 09:55


    Halloween est considéré comme la saison effrayante, et bien que les squelettes et les maisons hantées puissent être effrayants, Katharina Buchholz de Statista souligne que ce sont différentes choses qui empêchent les Américains de dormir la nuit. Une enquête de l'Université Chapman dans le comté d'Orange, en Californie, montre que si certaines des craintes les plus fréquemment citées par les Américains ont changé dans la pandémie de coronavirus, d'autres sont restées les mêmes.

    Le Survey of American Fears a interrogé 1 035 adultes américains sur leur niveau de peur à travers 95 options différentes. Pour la cinquième année consécutive, la "corruption des responsables gouvernementaux" est en tête du classement avec 79,6% des personnes interrogées déclarant que cette perspective les a fait "peur" ou "très peur".

    - voir graphique sur site -

    Infographie : les plus grandes peurs des Américains | Statistique
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    La peur des "personnes que j'aime mourir" est naturellement passée du rang 5 en 2019 au rang 2 en 2020/21, avec 58,5% des personnes la citant. La peur que « les personnes que j'aime tombent gravement malades » est descendue d'une place au rang 4, laissant place à l'option nouvellement ajoutée de « un être cher contractant COVID-19 ». Alors que la peur de la maladie et de la mort a augmenté, mais n'était pas nouvelle dans le top 10, la peur des pandémies et des épidémies est passée du rang 31 en 2019 au rang 6 dans l'enquête la plus récente.

    Probablement dans le contexte des manifestations généralisées de Black Life Matters qui sont devenues violentes dans certaines villes américaines, la crainte de « troubles civils généralisés » a encore augmenté, passant du rang 87 en 2019 au rang 5 en 2020/21. Fait intéressant, les craintes accrues de COVID, d'effondrement économique et de troubles civils ont fait passer les craintes du changement climatique du rang 9 au rang 13, qui n'est désormais cité que par 48,7% des Américains. La peur de la pollution, classée plus haut que celle du changement climatique, est également descendue dans la liste.

    Les peurs dans l'esprit d'Halloween étaient moins courantes. La peur des zombies et des fantômes ne s'appliquait qu'à 9,3% des Américains, tandis que 5,6% ont déclaré avoir peur des clowns. La plus grande peur qui pourrait être déclenchée lors d'une célébration d'Halloween est probablement celle des araignées, partagée par 22,8% des Américains.

    https://www.zerohedge.com/political/americans-biggest-fear-corrupt-government-officials

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  37. La COP26 est un embarras énergétique mondial


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 29 OCT 2021 - 22:50
    Rédigé par Viv Forbes via AmericanThinker.com,


    Pendant 26 années futiles, les maniaques du net zéro ont gaspillé du carburant, de l'énergie et l'argent des contribuables pour mordre les mains qui fournissent leur nourriture, leur énergie, leur bien-être et leurs emplois dans le secteur public.

    Dirigé par l'UE et les rêveurs AUKUS, ils détruisent l'énergie fiable du charbon, du pétrole, du nucléaire, du gaz et de l'hydroélectricité tout en nous forçant à subventionner des rêves nets négatifs comme le solaire, l'éolien, l'énergie houlomotrice, le CCUS, les roches chaudes, l'hydroélectricité pompée et l'hydrogène. Toutes ces entreprises spéculatives devraient être financées par des spéculateurs et non par des contribuables.

    COP-Out-26 montre aux réalistes de la Chine, de la Russie, de l'Inde et du Brésil que l'Occident a perdu ses billes et est en déclin. Pour Scott Morrison, abandonner l'Australie à ces loups verts trahit une armée de mineurs, d'agriculteurs, de camionneurs et d'ouvriers des secteurs primaire, secondaire et tertiaire qui le soutiennent, lui et sa meute de Canberra.

    La supercherie de COP-Out-26 est bien illustrée par la mise à disposition de générateurs diesel pour recharger les batteries de 26 voitures électriques prévues pour le salon de Glasgow. Mais ce n'est pas grave "parce que les diesels fonctionnent avec de la graisse de copeaux recyclée". Les chevaux et les chariots couverts seraient plus fiables et appropriés, et le fumier de cheval séché pourrait cuire leur fausse viande sur leurs barbecues verts à frites.

    Ni l'UE ni les rêveurs verts d'AUKUS ne peuvent diriger leur monde sur des plans énergétiques rédigés par des écolières névrosées, des princes désemparés, des comptables trompés comme Ross Garnaut et des alarmistes en série du climat comme David Attenborough.

    La Chine adore Net-Zero, utilisant sa puissance croissante au charbon pour fabriquer des éoliennes, des panneaux solaires, des moteurs électriques et des batteries aux terres rares pour le monde éveillé.

    Mais le robinet de subvention qui alimente le développement de l'énergie verte dans le monde occidental s'épuisera. La fausse énergie disparaîtra, laissant un continent de personnes sans emploi avec des moulins, des raffineries et des usines silencieux. Notre terre sera jonchée de moulins à vent abandonnés, de panneaux solaires en décomposition, de batteries mortes et de lignes de transmission affaissées à nettoyer afin de restaurer nos terres en prairies, cultures et forêts productives. Ces énormes bases de béton de tours éoliennes abandonnées deviendront des obstacles permanents à la restauration de ce territoire.

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  38. Ensuite, nous verrons des cartes de crédit carbone numériques conçues par des universitaires verts pour rationner notre consommation d'énergie et de nourriture afin d'atteindre leur Nirvana Net-Zero.

    Un avenir sombre s'annonce.

    Scott Morrison et son équipe devraient boycotter cette finale futile COP-Out-26.

    Barnaby Joyce devrait baisser la tête de honte - je sais qu'il sait mieux.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/cop26-global-energy-embarrassment

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    1. Pourquoi le monde est-il gouverné par l'argent et ceux qui fabriquent cette illusion sortie de la planche-à-billets ?
      La dictature c'est la monnaie ou donner une valeur autre à quelque chose. La dictature resplendit grâce à l'absence de Démocratie (En Démocratie c'est le Peuple qui dirige et non les députés/sénateurs qui imaginent et votent eux-mêmes des lois).

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  39. Shellenberger : La cause première de l'épidémie de sans-abrisme aux États-Unis et pourquoi le terme « sans-abri » est trompeur


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 29 OCT 2021 - 22:25


    « Nous payons littéralement des gens sous forme d'aide sociale en espèces, de logement et d'autres services pour qu'ils vivent dans des tentes dans la rue, consomment des drogues dures, défèquent en public et commettent des crimes », déclare Michael Shellenberger, auteur de « San Fransicko : Pourquoi Les progressistes ruinent les villes.

    À San Fransicko, j'explore comment la conversation sur la façon d'utiliser la loi et l'ordre pour faire avancer les droits civils a cédé la place à un débat sur la question de savoir si la loi et l'ordre sont un obstacle à la justice sociale. La question était autrefois carottes contre bâtons. Récompensez-vous les gens pour ne pas avoir commis de crimes, ou les punissez-vous quand ils le font ? Mais cela a été remplacé par une question de progressistes : et si c'était une forme de victimisation pour essayer d'influencer le comportement des gens ?

    La majorité au pouvoir dans certaines villes américaines semble croire que le seul véritable problème de politique publique est de savoir comment payer pour laisser les gens faire ce qu'ils veulent, de la transformation des parcs publics en campements de drogue en plein air, à l'utilisation des trottoirs comme toilettes, à la remise des des quartiers entiers à des personnes lourdement armées et volontairement irresponsables.

    Les progressistes ont été en charge de San Francisco, Los Angeles et Seattle, ainsi que de la Californie et de Washington, pendant la plupart des décennies au cours desquelles les problèmes que je décris ici se sont aggravés. Sur les politiques fondamentales relatives à la maladie mentale, à la toxicomanie et au logement des sans-abri, les démocrates modérés, les conservateurs et les républicains ont soit suivi le programme libéral et progressiste, soit été impuissants à l'empêcher depuis les années 1960. Et ce sont les démocrates, et non les républicains, qui ont joué le rôle principal dans la création du modèle néolibéral dominant de passation de marchés publics avec des prestataires de services à but non lucratif fragmentés et souvent irresponsables qui se sont avérés financièrement, structurellement et juridiquement incapables de faire face à la crise.

    Dans cet épisode des leaders d'opinion américains de Via The Epoch Times, Shellenberger analyse les causes profondes des campements de sans-abri tentaculaires que l'on trouve dans des villes comme San Francisco.

    Même le mot « sans-abri » lui-même est un mot de propagande, dit Shellenberger.

    « Cela suggère que le problème sous-jacent est le manque de logements, les loyers élevés ou la pauvreté. Et ce n'est pas le cas."

    Le terme « sans-abri » regroupe deux groupes radicalement différents.

    Mais il est irresponsable de confondre des mères fuyant des maris violents, ou des personnes qui traversent des moments difficiles, avec des personnes atteintes de maladies mentales, de toxicomanes, ou les deux, dit Shellenberger.

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  40. Fondamentalement, une idéologie de victime guide la façon dont les progressistes traitent l'itinérance.

    Et cette idéologie refuse d'exiger même un minimum de responsabilité des soi-disant victimes, soutient Shellenberger, même lorsqu'elles se livrent à des comportements autodestructeurs qui pourraient être mortels.

    https://www.zerohedge.com/political/shellenberger-root-cause-americas-homelessness-epidemic-why-term-homeless-misleading

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  41. L'affaire Uranium Bull se renforce alors que le Japon qualifie le nucléaire de "clé" de ses objectifs de décarbonisation


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 29 OCT 2021 - 17:05
    Soumis par Quoth the Raven chez Fringe Finance de QTR,


    Quelques jours après que le Royaume-Uni a déclaré que le nucléaire serait « au cœur » de sa stratégie de décarbonisation, le Japon a désormais qualifié le redémarrage des réacteurs nucléaires de « clé » pour atteindre ses propres objectifs en matière d'énergie verte. Cela marque une adoption mondiale beaucoup plus rapide du nucléaire à l'ère de l'ESG que je ne l'avais prévu et, à mon avis, sera probablement de bon augure pour mon cas haussier à long terme sur l'uranium.

    Vendredi dernier, le Japon a adopté une nouvelle politique énergétique qui a été peu remarquée par les acteurs du marché de l'uranium.

    Le plan vise à amener le pays à la neutralité carbone d'ici 2050, selon AP.

    Et bien que ce plan soit principalement conforme à ce que de nombreux autres pays mettent en œuvre, l'ange proverbial pour les investisseurs dans l'uranium peut être dans les détails.

    "Le Japon est indécis sur ce qu'il faut faire de son industrie de l'énergie nucléaire depuis la catastrophe de la centrale de Fukushima en 2011. Il dit maintenant que les redémarrages des réacteurs sont essentiels pour atteindre les objectifs d'émissions alors que le Japon tente d'intensifier l'effort mondial contre le changement climatique", rapporte l'AP. lit.

    Fumio Kishida, qui remplace le Premier ministre Yoshihide Suga, est officiellement "un partisan du redémarrage des centrales nucléaires", note le rapport.

    Comme vous pouvez le voir sur le graphique ci-dessous, la capacité nucléaire opérationnelle du pays a diminué dans les années qui ont suivi l'incident de 2011, après avoir augmenté régulièrement au cours des 4 décennies précédentes.

    Alors que le bon sens commence lentement à l'emporter dans des pays comme le Japon, je m'attends à ce que cette capacité atteigne à nouveau et dépasse les sommets de tous les temps.

    - voir graphique sur site -

    Source : World-Nuclear.org

    J'avais souligné il y a quelques semaines un article merveilleux de Zerohedge qui disait que le remplaçant de Suga soutiendrait probablement le nucléaire.

    Le rapport de l'AP continuait :

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  42. Le plan maintient l'objectif pour l'énergie nucléaire inchangé à 20-22 %. Le Japon dit qu'il vise à réduire autant que possible sa dépendance à l'énergie nucléaire, mais que le nucléaire restera une source d'énergie importante. Les experts disent qu'une élimination progressive est peu probable de si tôt.

    Le ministre de l'Économie et de l'Industrie, Koichi Hagiuda, a déclaré que "la conservation drastique de l'énergie, la promotion maximale des énergies renouvelables et le redémarrage sûr des réacteurs nucléaires" sont essentiels.

    Le Japon poursuivra son cycle de retraitement du combustible nucléaire, dans lequel le combustible nucléaire usé est converti en plutonium, malgré la défaillance de son réacteur de combustion de plutonium de Monju et les préoccupations internationales concernant les garanties de son stock de plutonium.

    Un groupe de travail gouvernemental "accélérera" les redémarrages des réacteurs, qui ont été ralentis par des normes de sécurité plus strictes fixées après la fusion de Fukushima, selon le plan.

    Et tandis que les nouveaux réacteurs ne semblent pas encore être à l'ordre du jour, le bon sens dit qu'ils le seront, avec le temps. Le Japon, comme la France, envisage également de développer de petits réacteurs modulaires pour la production d'électricité.

    Rappelez-vous, il y a quelques jours à peine, j'ai noté qu'une deuxième grande fiducie pour l'uranium - en plus de la fiducie déjà active de Sprott - pourrait bientôt être un acheteur sur le marché au comptant de l'uranium. J'ai également noté que la Chine pourrait être en train d'adopter le nucléaire, une voie que je pensais avoir beaucoup de sens pour le pays. J'ai expliqué mon raisonnement dans cet article :

    Quelques jours avant cela, j'ai écrit sur la façon dont l'adoption généralisée du nucléaire comme solution ESG - en particulier dans des endroits comme le Royaume-Uni - pourrait être un catalyseur sérieux qui maintient les prix de l'uranium à la hausse.

    Alors que le Japon jette maintenant sérieusement son chapeau dans le ring, je continue de m'attendre à des vents favorables à long terme pour l'uranium d'ici 2022 et je prévois de rester longtemps la marchandise.

    Comme supplément merveilleux, l'Association nucléaire mondiale a préparé un rapport massif et complet sur l'état de l'industrie nucléaire au Japon, qui peut être lu ici.

    https://www.zerohedge.com/markets/uranium-bull-case-strengthens-japan-calls-nuclear-key-its-decarbonization-goals

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  43. Les prix du gaz à San Francisco atteignent un niveau record, en moyenne près de 4,75 $ le gallon


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 29 OCT 2021 - 14:35


    L'administration Biden s'est engagée à utiliser tous les outils à sa disposition pour freiner la hausse des prix du pétrole qui cause des douleurs à la pompe pour des dizaines de millions d'Américains.

    Selon l'analyse pétrolière de GasBuddy, les prix moyens du gaz dans la région métropolitaine de San Francisco cette semaine ont atteint un niveau record de 4,75 $ le gallon (3,78 l.).

    "La région de la baie vient d'enregistrer le prix moyen de l'essence le plus élevé jamais enregistré aux États-Unis; certainement un exploit qui même l'année dernière semblait impossible. Mais grâce à une myriade de défis, dérivés de la pandémie de Covid-19, le plein d'essence moyen coûte désormais aux automobilistes dans la région de la baie près de 62 $ », a déclaré Patrick De Haan, responsable de l'analyse pétrolière chez GasBuddy.

    GasBuddy explique que les fortes pluies dans la région de la baie ont provoqué des pannes de raffinerie, en conjonction avec des prix du brut déjà élevés en raison d'une crise énergétique à travers le monde. De plus, ajoutez une augmentation de la taxe sur l'essence et il est tout à fait possible que 5 $ le gallon soient imminents.

    « Alors que les prix dans la baie ont grimpé à des niveaux similaires en 2012, ils étaient temporaires à la suite d'un incendie dans une raffinerie. à la hausse continue du prix du pétrole », a averti De Haan.

    Actuellement, le prix moyen d'un gallon d'essence aux États-Unis est d'environ 3,69 $, soit une augmentation de 70 % depuis les premiers jours de la pandémie de virus.

    "Les prix du gaz ont continué de monter en flèche dans la majorité du pays au cours de la semaine dernière, alors que la hausse fulgurante du pétrole tire les prix de l'essence et d'autres produits raffinés à la hausse", a déclaré De Haan.

    Il y a eu un mécontentement croissant parmi le peuple américain, voyant leurs salaires réels s'évaporer chaque semaine alors que l'inflation énergétique et alimentaire ne montre aucun signe de ralentissement.

    - voir graphique sur site -

    L'administration Biden a promis d'utiliser tous les outils possibles pour freiner la flambée des prix du carburant contribuant à l'inflation. Les responsables de la Maison Blanche ont déclaré qu'ils "surveillaient de près" le coût de l'essence (et probablement aussi la cote d'approbation du président).

    - voir graphique sur site -

    L'équipe Biden continue de supplier l'OPEP+ d'augmenter la production de brut, enrayant peut-être la vague de flambée de l'inflation. Une chose à noter, pourquoi Biden ne déclenche-t-il pas un autre décret exécutif exigeant que les producteurs de brut américains augmentent leur production ?

    - voir graphique sur site -

    Comme l'observateur respecté du marché de l'énergie (et géopolitique) Daniel Yergin l'a récemment déclaré à Bloomberg, "l'administrateur de Biden n'a pas beaucoup d'outils sur les prix de l'énergie".

    Habituez-vous donc à payer des prix du gaz plus élevés. Cela n'ira certainement pas bien avant les mi-mandats, car les électeurs pourraient voter avec leur portefeuille vide.

    https://www.zerohedge.com/commodities/san-francisco-gas-prices-hit-new-record-average-near-475-gallon

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