- ENTREE de SECOURS -



lundi 30 novembre 2020

AVEU DE FAIBLESSE DES PROMOTEURS ÉOLIENS

 par JEAN-LOUIS BUTRÉ 

 01/12/2020 

L'éolien a représenté 6,3 % de la production d'électricité en France en 2019.

Par une  lettre ouverte au président de la république (1) les promoteurs éoliens reconnaissent  publiquement  leur incapacité de faire accepter les éoliennes  alors que depuis 20 ans ils ont déclaré que 70 % des Français plébiscitaient ces machines.   

En lançant cet appel au secours au président de la république, ils avouent qu’il s’agit d’un échec officiel et d’un aveu de faiblesse. Ce qui est plus surprenant c’est qu’ils rejettent  la responsabilité de ce fiasco  sur leurs victimes   au  lieu  d’analyser les causes profondes de ce rejet massif par des centaines de milliers de citoyens  ruraux de toutes les régions de France.          

Comment des industriels disposant de tels moyens financiers et d’un tel pouvoir, ont-t-ils pu en  arriver là,  au lieu de prendre de la hauteur, ce qui serait normal pour ceux qui érigent  des engins industriels aussi gigantesques ?

Cette attitude est d’autant moins professionnelle qu’ils accusent leurs victimes de « répandre des propos inexacts laissant parfois place à l’intimidation à la menace et à l’insulte ».      

Cela ne manque pas de sel  si on rappelle que l’un de leurs syndicats a été récemment condamné pour  Publicité  mensongère par le Jury de Déontologie Publicitaire, (2)          

La fédération Environnement Durable avait dénoncé  lors d'auditions parlementaires, ces  pratiques constantes de désinformation notamment en attribuant des fausses vertus écologiques  aux éoliennes  qu’ils n’ont jamais pu prouver, comme des économies de gaz carbonique et la lutte contre le réchauffement climatique.

En réponse à la lettre ouverte au président de la république des promoteurs éoliens

co-signé par

Fabien Bouglé essayiste, auteur d’« Eoliennes la face cachée de la transition écologique »

Catherine Boutin, coordinatrice de l'association Pour Un Littoral Sans Eolienne (PULSE) ...

Jean-Louis Butré, Président de la Fédération de l’Environnement Durable (FED).

Denis de Kergorlay, co-auteur d’« Eoliennes : chronique d'un naufrage annoncé »

Julien Lacaze, Président de la Société pour la Protection des Paysages et de l’Esthétique de la France (SPPEF)

Hubert de La Raudière, coordinateur d’« Energie Vérité ».

Daniel Steinbach, Président de l’Association « Vent de colère ».


La transition énergétique n’a rien voir avec la lutte contre le réchauffement climatique.

SER et FEE, deux syndicats de l’énergie éolienne, soutenus par quelques associations écologistes, trois élus régionaux et des organismes de finances solidaires, ont adressé au Président de la République un plaidoyer pro domo.

Cette démarche est singulière, et traduit une réelle inquiétude des promoteurs éoliens : Les territoires victimes du déploiement de ces machines industrielles qui leur est imposé, sont de moins en moins réceptifs à la bien-pensance de la « Transition Energétique » et de ses discours lénifiants et partout l’exaspération grandit.  

La France produit en effet l’électricité la plus décarbonée d’Europe (8 à 10 fois moins qu’en Allemagne, pourtant la championne européenne de l’éolien).

Lutter contre le réchauffement climatique, pour la France, ne devrait donc pas consister à déstructurer son système de production électrique ainsi que l’ambitionne la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE).

Imaginer que la décarbonation de l’économie se fera en couvrant le pays d’éoliennes est absurde.   

Pour un débat démocratique apaisé et objectif…

Les syndicats se plaignent du fait que « les attaques anti-éoliennes soient bâties autour de propos inexacts, non vérifiés et parfois délibérément mensongers et que le débat est caricaturé (sic) ».

S’agissant d’expression caricaturale, nous nous contenterons de rappeler simplement l’avis du Jury de Déontologie Publicitaire, émanation de la très officielle ARPP (7 juillet 2020) sur une publication diffusée sur le réseau social de l’association France Energie Eolienne (FFE) - principal signataire de la lettre ouverte au Président.

 Extrait de l’avis :

« La publication en cause montre plusieurs paysages sur lesquels sont installées des éoliennes. Ces images sont accompagnées des textes « L’énergie éolienne : pour alimenter l’Europe aujourd’hui …et demain »

« Nous apportons de l’électricité propre, sûre et renouvelable à tous ceux qui en ont besoin en ces temps difficiles ».

Le Jury a rappelé qu’aux termes des dispositions de la Recommandation  « Développement durable » de l’ARPP, une publicité ne doit pas induire en erreur le public sur la réalité des actions de l’annonceur ni sur les propriétés de ses produits en matière de développement durable.

Le Jury en déduit qu’en employant une formule qui suggère une absence totale d’effets négatifs en termes de pollution (« propre ») et de sécurité en général (« sûre »), le film publicitaire, qui n’exprime pas avec justesse les conséquences de la production d’énergie éolienne, est de nature à induire en erreur le public sur la réalité écologique des actions de l’annonceur.

En conséquence de ce qui précède, le Jury est d’avis que la publicité en cause méconnaît les points précités de la Recommandation « Développement durable » de l’ARPP. »

Dont acte.

Evitons d’opposer les Français entre eux…

Année après année, les allègements règlementaires se sont accumulés au profit de cette industrie :

2011  : Plafonnement forfaitaire de la garantie financière pour démantèlement ; ce plafonnement n’a aucun rapport avec le coût réel d’une remise en état du site.    

2011  : Dérogation à l'obligation de respecter le code de la santé publique, en portant à 35 dBA au lieu de 30 dBA, le seuil caractérisant l’émergence excessive d’une source sonore.

2013  : Suppression des zones de développement éoliens et suppression de la règle des 5 mâts.

2018  : Privation des citoyens du droit de se défendre en justice en première instance devant un tribunal administratif.

2018  : Réduction de 4 à 2 mois de la durée légale d’étude du dossier de « permis de construire simplifié ».

2020  : Réduction de la garantie financière de démantèlement par MW de puissance (la garantie forfaitaire passe de 25.000 €/MW pour une éolienne de 2 MW à 20.000 €/MW pour une éolienne de 3 MW, à 17.500 €/MW pour une éolienne de 4 MW…).

2020  : Exécution anticipée de travaux avant autorisation préfectorale.   Dans le même temps, ont été systématiquement rejetées les demandes pour introduire un contrôle des basses fréquences émises (infrasons nuisibles pour les animaux) et les demandes pour augmenter la distance minimale d’une éolienne vis-à-vis d’une habitation, ce qui fait de la France le pays le plus laxiste d’Europe (500 mètres depuis toujours alors que la puissance et la hauteur des machines ont doublé en 10 ans). 


Ne pas opposer les français entre eux d’accord mais il faudrait éviter aussi de museler les victimes !    

Portons ensemble la transition énergétique…

Certains territoires sont plus envahis que d’autres et les signataires reconnaissent que l’inégalité de la répartition territoriale ne s’explique pas uniquement par le régime des vents mais par « d’autres contraintes et enjeux ».

 En vérité, c’est le modèle économique éolien, lui-même, qui génère l’inégalité de répartition territoriale.

Cette industrie se répartit aujourd’hui entre 1500 sociétés locales qui totalisent 8.000 éoliennes environ. Le modèle économique d’une société locale montre qu’elle devient rentable, voire infiniment rentable, dès lors que le facteur de charge de l’éolienne (régime du vent) dépasse 20 % ; c’est le cas partout en France ; le régime des vents n’est donc pas discriminant pour le choix du site avec ce modèle économique.

Les comptes-rendus de RTE montrent que la consommation locale n’est pas non plus un facteur de choix pour cibler un territoire, sinon la Bretagne qui ne couvre que 17 % de ses besoins électriques, devrait subir une invasion d’envergure, compte tenu de son régime de vents ; or ce n’est pas le cas, loin de là !

En réalité, ce qui oriente le choix de l’opérateur éolien, c’est la faiblesse de l’opposition locale au sein du territoire (qui va souvent de pair avec un sous-développement économique local) et l’accueil complaisant de quelques élus locaux.

Un territoire pauvre subira donc une double peine : rester pauvre et n’avoir aucun espoir de développement touristique fondé sur la richesse de ses paysages, compte tenu de l’agression à l’environnement naturel et socio -économique que représente un site éolien.

Les français ne demandent nullement à voir les nuisances « équitablement » réparties, et ce n’est pas la mission des affairistes de l’éolien de s’occuper de l’aménagement du territoire.  

 -x-x-x-

En France, installer des éoliennes ne sert à rien pour lutter contre l’émission de gaz à effet de serre.

La Transition Énergétique à la française n’a rien à voir avec la lutte contre le réchauffement climatique ; cette lutte est pourtant un enjeu essentiel pour notre civilisation.

Il faut changer de paradigme et s’attaquer vraiment à la baisse de consommation d’énergie fossile. Ne laissons pas les affairistes confisquer le sujet de la transition écologique. 

-x-x-x-

(1) https://fee.asso.fr/actu/lettre-ouverte-a-emmanuel-macron-monsieur-le-president-leolien-est-un-atout-essentiel-pour-notre-transition-ecologique/

 (2) https://www.jdp-pub.org/avis/france-energie-eolienne-internet-plainte-fondee/

http://www.economiematin.fr/news-eolien-echec-faiblesse-promoteur-arnaque-environnement-butr

Comment miser sur l'alcoolisme et se protéger de l'inflation

 http://www.objectifeco.com/bourse/actions/autres-secteurs/comment-miser-sur-l-alcoolisme-et-se-proteger-de-l-inflation.html

samedi 28 novembre 2020

Le debriefing de Professeur Paul Trouillas, médecin neurologue et philosophe

 Dans son interview Paul Trouillas nous parle de son évaluation de la gestion de la crise, du Plaquenil, du traitement réservé à nos ainés avec le décret Rivotril.  Il nous explique les actions juridiques qu’il a entrepris avec son avocat et les revers qu’il a reçus sur sa première action en référé liberté auprès du Conseil d’État sur le Plaquenil (Hydroxychloroquine) et le Rivotril.  Les actions courent toujours au fond.

Un homme avec 60 ans de médecine intègre et engagé.

https://www.youtube.com/watch?time_continue=398&v=bPwMTE_KRSI&feature=emb_logo

Regroupez vous face à la mise en place de la depopulation

 http://www.objectifeco.com/expatriation/mode-demploi/pour-expatries-confirmes/regroupez-vous-face-a-la-mise-en-place-de-la-depopulation.html

vendredi 27 novembre 2020

La grande épidémie de myopie


La myopie n'occupe que 8 % des individus en Afrique Sud-Est passant à 16 % en Australie, 
50 % aux USA et en Europe à 80 % en Chine !
4:50 voir carte du monde.
La myopie n'est pas génétique mais environnementale.
Responsable: l'absence de lumière solaire. Nécessité de lumière bleue.

jeudi 26 novembre 2020

Un délit inédit bientôt introduit par le gouvernement français

 15:01 26.11.2020


Le garde des Sceaux, Éric Dupont-Moretti, a annoncé que le gouvernement envisageait de créer un «délit d'écocide» pour sanctionner les atteintes à l'environnement, dont l'auteur pourra encourir une peine de prison et une amende.

Le gouvernement français va créer un «délit d'écocide» en vue de sanctionner les atteintes graves à l'environnement, ont annoncé les ministres de la Transition écologique Barbara Pompili et de la Justice Éric Dupont-Moretti.

Il s’agit d’un nouveau délit et non crime comme l'avaient souhaité les 150 membres de la Convention citoyenne pour le climat, mise en place dans le but de proposer des mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, ont souligné les deux responsables gouvernementaux dans une interview conjointe au JDD.

«A l'enthousiasme citoyen qui s'est exprimé doit succéder une traduction juridique dans le code pénal», a expliqué le garde des Sceaux, ajoutant que «nous allons créer un délit général de pollution».

Quant au coût, les pénalités seront modulées en fonction de l'intentionnalité de l'auteur et les peines encourues vont de trois à dix ans d'emprisonnement, a-t-il relevé, notant que les amendes iront de leur côté de 375.000 à 4,5 millions d'euros.

Un autre délit


Un deuxième délit de «mise en danger de l'environnement» devrait aussi voir le jour, avec des sanctions qui pourront s'appliquer y compris quand la pollution n'a pas encore eu lieu, en vue de pénaliser la mise en danger délibérée de l'environnement par des violations délibérées d'une obligation, a souligné M.Dupond-Moretti.

La peine encourue dans ce sas cas est d'un an de prison et de 100.000 euros d'amende.

«C'est en fait la traduction, en des termes juridiques précis, de ce que demandaient les promoteurs historiques de la reconnaissance de l'écocide», a souligné Mme Pompili.

«Les 150 citoyens défendaient cette mesure très forte symboliquement portant sur toutes les atteintes à l'environnement. Dès le départ, le Président leur avait indiqué aux citoyens que la rédaction proposée pour l'écocide ne pouvait être retenue telle quelle», a-t-elle rappelé.

La Convention citoyenne pour le climat, initiative inédite en France ayant pour vocation de donner la parole aux citoyens pour accélérer la lutte contre le changement climatique, a été constituée en octobre 2019 sur demande du premier ministre de l’époque Edouard Philippe. Elle a regroupé 150 citoyens tirés au sort qui ont soumis 149 propositions au président Emmanuel Macron, qui s'est engagé à en reprendre 146.

https://fr.sputniknews.com/politique-francaise/202011261044836258-un-delit-inedit-bientot-introduit-par-le-gouvernement-francais

mardi 24 novembre 2020

L'OMS déconseille le Remdesivir : « Un scandale innommable »

 Stéphane Gayet et Gilbert Collard

Mondialisation.ca

lun., 23 nov. 2020 18:37 UTC


« Un scandale innommable » : Stéphane Gayet et Gilbert Collard reviennent sur l'affaire du remdesivir

L'OMS recommande désormais de ne pas administrer de remdesivir aux malades du Covid-19 hospitalisés, évoquant « la possibilité d'importants effets secondaires ». Pourtant, un mois et demi plus tôt, l'UE signait un accord d'approvisionnement massif avec le laboratoire Gilead.

Stéphane Gayet, infectiologue au CHRU de Strasbourg et Gilbert Collard, député européen du Rassemblement national, étaient invités pour évoquer ce nouveau problème sanitaire lié à la crise du Covid-19.



Le debriefing du Docteur Stéphane Gayet, médecin infectiologue-hygiéniste:


12:50  - Graphique de mortalité (depuis 19/3/20)
32:30  - Tests RT-PCR (25 cycles)


LA VÉRITÉ SUR LE MICROBE CORONA (Film 'HOLD-UP') 

Jeudi 12 novembre 2020

lundi 23 novembre 2020

Êtes-vous dans le 0,01 % ?


par Tyler Durden

Dim, 22/11/2020 - 16:10


Présenté sans commentaire ...

Science !

https://www.zerohedge.com/medical/are-you-001

Rappelons que le 'vaccin' c'est 5 % de chance de mourir alors qu'il n'y a que 0,01 % de chance d'avoir le corona !!

samedi 21 novembre 2020

Électricité : la chute de l’équilibriste va-t-elle entraîner celle de la France ?

À quoi joue « l’équilibriste » RTE-DGEC dont la chute entraînerait celle de l’activité économique de la France ?


Par Michel Gay et Jean Fluchère.


La production d’électricité doit toujours être égale à la consommation instantanée. Il suffit d’un déséquilibre de quelques secondes non compensé par le gestionnaire du système électrique, « l’équilibriste », pour que tout le système électrique s’effondre, tel un château de cartes.

QUI EST « L’ÉQUILIBRISTE » ?

Depuis la loi de février 2000, la responsabilité de la prévision de l’équilibre du système électrique français relève du ministère de la Transition écologique et solidaire, via la Direction générale de l’énergie et du climat (DGEC) qui, elle-même, s’appuie sur les données prévisionnelles du gestionnaire du Réseau de transport de l’électricité (RTE) sans rien en changer.

Donc, la responsabilité de l’équilibre électrique en France incombe aujourd’hui en totalité au binôme RTE-DGEC, et non à EDF.

Si couper l’alimentation des sites industriels rémunérés (gain de 1500 MW), baisser la tension (gain jusqu’à 4000 MW) et déclencher des coupures localisées et tournantes, comme en Allemagne en juin 2019 ne suffisaient pas, alors le Centre National d’exploitation du système électrique (CNES), l’équilibriste en temps réel, provoquerait instantanément un black-out national, et peut-être même, par effet domino, un effondrement européen.

Toute la vie de la France s’arrêterait car tout dépend aujourd’hui de commandes électriques.

La dernière chute de l’équilibriste ayant entrainé un black-out en France a eu lieu le 19 décembre 1978. La remise en route de l’alimentation électrique (black-start) a duré une journée complète. Aujourd’hui, un black-start en France prendrait plus d’une journée et les conséquences seraient immenses.

FAIRE DES PRÉVISIONS…

Le binôme RTE-DGEC établit des projections de la consommation électrique sur plusieurs années afin de recommander au gouvernement de lancer les nouveaux moyens nécessaires pour assurer une production équilibrée. Ce bilan prévisionnel tient compte de ceux qui vont être retirés pour des raisons diverses, et de la durée entre la décision de construction et la mise en service.

L’entreprise EDF étant dorénavant un producteur parmi d’autres n’a plus de responsabilité dans ce domaine.

Toutefois, RTE ne peut faire des prévisions qu’avec les moyens dont la production est… prévisible, c’est-à-dire pilotable et disponible au moment voulu, comme les centrales thermiques (nucléaire et à flammes) et hydrauliques pour une partie seulement.

Les outils de production éoliens et photovoltaïques dépendants du vent et du soleil ne doivent pas être pris en compte en raison de leur imprévisibilité. Sauf, bien sûr, pour le solaire photovoltaïque qui, avec certitude, ne produit rien la nuit ni lors des pointes de consommation hivernales qui ont lieu entre 18 heures et 20 heures…

LA PRÉVISION ALLEMANDE


L’Allemagne compte uniquement (quasiment) sur les 80 gigawatts (GW) « pilotables » dont elle dispose toujours pour répondre à la pointe d’appel en puissance électrique de 82 GW.

Et ce parc essentiellement thermique (fissile et fossile) n’a pas diminué depuis 10 ans, malgré le développement de son parc éolien et photovoltaïque « aléatoirement variable » de 114 GW supplémentaires dont elle estime que seulement un résidu éolien égal à 1 % de la puissance installée est sûr le soir lors de la pointe de consommation.

Et les relevés de ces dernières années en hiver leur donnent raison !

La puissance totale installée de l’Allemagne est même de 221 GW. Ce chiffre inclut 9 GW de centrales en réserve stratégique, normalement hors marché, qui pourraient être mises en service en cas de besoin.

Toutefois, en France, au motif que pendant 90 % du temps, la puissance éolienne en France est au moins égale à 10 %, RTE retient dans ses prévisions une puissance de 10 % minimum !

Cette surprenante « niaiserie statistique » ignore les creux de production éolien à moins de 1 % de la puissance installée se produisant notamment lors des périodes anticycloniques qui sont des périodes froides de fortes consommations.

UNE INJONCTION DE SÛRETÉ NON RESPECTÉE ?

En outre, les autorités responsables de la sûreté interdisent de justifier un fonctionnement dégradé de la sûreté nucléaire en invoquant un cas de défaut générique sur plusieurs réacteurs du parc pour maintenir de l’équilibre production-consommation.

Or, cette année, l’incident générique se nomme Covid-19 qui, en raison des contraintes sanitaires pour la protection des salariés, a allongé les durées de révision du parc nucléaire.

Malgré des efforts remarquables, EDF a atteint 45 GW de puissance nucléaire au 15 novembre 2020 et atteindra probablement 50 GW début décembre 2020, sur les 61 GW de puissance nucléaire installée.

RTE semble n’avoir jamais tenu compte de cette injonction de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et de la Commission de régulation de l’énergie (CRE) dans ses bilans prévisionnels.

Et la DGEC, dont s’est aussi le rôle, n’a jamais relevé ce point fondamental alors qu’elle entérine les bilans prévisionnels proposés par RTE.

De plus, depuis 5 ans RTE surestime la disponibilité du parc de production et sous-estime la consommation. Ses bilans prévisionnels s’appuient sur les données fournies par l’ADEME, reproduisant elle-même celles de l’association antinucléaire Négawatt.

Résultat : ses bilans prévisionnels (confirmés par la DGEC) font apparaître des excédents de moyens de production et EDF a donc proposé d’arrêter définitivement les centrales thermiques qui devenaient inutiles.

RTE n’a pas demandé à la DGEC de conserver en secours une plus grande partie du parc thermique à flammes (quitte à la mettre dans les réserves de capacité), ni de reporter la décision d’arrêt de Fessenheim.

La pointe de consommation en France a atteint 102 GW en février 2012. RTE a pu faire face alors avec un parc thermique à flammes plus important qu’aujourd’hui, et une disponibilité de 100 % du parc électronucléaire. Seul 1 GW a dû être importé d’Allemagne.


ÇA PASSE OU ÇA CASSE…

Pour éviter le black-out généralisé, RTE peut enclencher des délestages tournants plongeant dans le noir des grandes métropoles qui représentent une partie significative de la consommation.

Dans le cas où 10 réacteurs nucléaires seraient arrêtés pour défaut générique avec une disponibilité de la totalité du parc de production pilotable de 95 %, il resterait 76 GW disponibles.

(Nucléaire : 50 GW, Thermique : 15 GW, Hydraulique à la pointe : 15 GW, soit 80 GW x 0,95 = 76 GW).

Pour équilibrer le maximum de consommation atteint en janvier 2020 (88 GW),  il manque 12 GW…

Et pour celui atteint en février 2012 (102 GW), il manque 26 GW !…

La puissance disponible des interconnexions vers la France est de 14 GW… à condition que les pays voisins puissent fournir l’électricité manquante.

En effet :

1) selon le bilan prévisionnel de l’Allemagne pour l’hiver 2020/2021, la réserve pour l´exportation éventuelle vers la France lors de la pointe de consommation en Allemagne sera de seulement 2,6 GW en janvier 2021 dans l´hypothèse d´une simultanéité d’événements.

À partir de 2022, après l’arrêt de 4 GW de nucléaire et de 6 GW de charbon prévus en 2021, les marges restantes seront même négatives… L’Allemagne devra elle aussi intégrer l’importation d’autres pays (dont la France…) pour garantir l’équilibre offre-demande d’électricité.

Il reste à espérer que RTE connait ce bilan prévisionnel de l’Allemagne, et que la pointe de consommation en France ne tombera pas au même moment qu’en Allemagne qui dépense pourtant chaque année des dizaines de milliards d’euros pour subventionner ses énergies renouvelables intermittentes.

De part et d’autre du Rhin, les mêmes grosses ficelles tentent de masquer les sommes gigantesques ponctionnées sur le dos des citoyens. La France a plafonné la CSPE et l’Allemagne son équivalent « EEG-Umlage », mais chacun a ajouté des ponctions sur une ligne budgétaire de l’État. Pour la France, il s’agit du programme 345 « Service public de l’énergie »…

2) L’Italie, l’Angleterre et la Suisse sont structurellement déficitaires en hiver, tandis que la Belgique  équilibre à peine sa consommation avec les arrêts actuels des centrales nucléaires Doel 1 et 2.

Restent les interconnexions avec l’Espagne et l’Allemagne qui permettraient d’importer 5 GW.

Il faudrait donc procéder à des délestages au-dessus des possibilités de délestages des industriels qui sont au maximum de 2 GW.

De plus, et pour les connaisseurs, certaines interconnexions en courant continu (avec les Anglais par exemple) ne participent pas à la synchronisation en fréquence du réseau Européen (UCTE).

ÉQUILIBRISTE SUR LA CORDE RAIDE SANS MARGE !

Alors que la puissance appelée n’était pourtant que de 88 GW en janvier 2020, et malgré le délestage de grands clients, RTE avait alors signalé que sa marge n’était plus que de 1 GW (soit un seul réacteur nucléaire).

Il n’y a donc plus aucune marge en puissance mobilisable.

RTE confirme que : « l’hiver 2020-2021 reste placé sous vigilance particulière, principalement à cause de la crise sanitaire. […] En cas de vague de froid, principalement en janvier et, surtout en février, des difficultés pourraient survenir ». 

L’électricité est devenue le système sanguin d’une économie moderne. C’est un bien commun vital. Sans elle, même pendant quelques secondes, ou avec des productions erratiques, ce serait le chaos en France.

À quoi joue « l’équilibriste » RTE-DGEC dont la chute entraînerait celle de l’activité économique de la France ?

https://www.contrepoints.org/2020/11/21/384944-electricite-la-chute-de-equilibriste-va-t-elle-entrainer-celle-de-la-france

vendredi 20 novembre 2020

Électricité : faut-il s’inquiéter d’un possible black-out ?

« Il n’y aura pas de coupure cet hiver » nous assure-t-on. Mais la réalité des chiffres de notre production d’électricité nous incite à penser le contraire.


20 NOVEMBRE 2020

Par Michel Negynas.


Mme Borne est « un peu » inquiète pour notre approvisionnement l’hiver prochain. « Cela va nécessiter une très grande vigilance pour éviter des coupures l’hiver prochain. »

On le serait à moins. Ci-dessous, un tableau de la puissance installée en France au 1er mai 2020. (en MW) d’après eCO2mix, le site officiel de RTE (Réseau de Transport de l’Électricité) :

La première colonne chiffre les puissances totales, brutes.

La deuxième colonne chiffre les maxima produites à la pointe de l’hiver et dans l’absolu ces trois dernières années, prises sur le site eCO2 mix. Ces chiffres sont toutefois incroyablement optimistes, compte tenu du contexte, et si on regarde les détails :

Le nucléaire a été complètement désorganisé par la pandémie, les révisions de tranche ont du retard et nous aurons 900 GW de moins cet hiver (deuxième tranche de Fessenheim).

Les quelques sources charbon et fioul encore disponibles ont vocation à être arrêtées dans les années qui viennent. Elles sont dans un triste état, et pour certaines, pratiquement plus mobilisables.

Le gaz n’a jamais dépassé 10 GW ; il est constitué de quelques grosses centrales, mais aussi de nombreuses installations industrielles, en particulier de co-génération, pas forcément disponibles à la demande.

L’hydraulique en hiver n’a jamais dépassé 16 GW, par nature. Tout n’est pas mobilisable en même temps.

La biomasse n’a jamais dépassé 1 GW, elle provient d’une centrale et de nombreuses installations de valorisation de déchets, dont la fourniture d’électricité n’est pas forcément l’objectif principal.

À 19 heures en hiver, il peut y avoir des nuits sans vent. Il y en a quasiment chaque année.

Dernière pointe récente : 94 GW en février 2017. Record historique : 102 GW en 2012.

Une nuit d’hiver sans vent, on voit que le total possible dans le meilleur des cas est de 89 GW. Et il est peu probable qu’on y arrive. Nous sommes donc très inquiets, comme RTE et comme Mme Borne.

Mais il y a des mesures prises, dixit Mme Borne, un « bouquet de leviers » :

Le tarif Écowatt : moyennant des rabais, les consommateurs sont priés par SMS de différer des consommations… au moment où ils en ont le plus besoin ?

Les effacements type EJP des gros consommateurs : mais ils existent déjà, donc il ne faut pas les prendre comme un levier par rapport aux historiques.

Et surtout les « thermomètres intelligents » : comme le consommateur est par nature bête, on l’aidera à acheter des thermomètres qui pallieront ses neurones.

Tout cela ne nous rassure guère, avouons le. D’autant que M. Brottes, président de RTE, avoue :

«  »Si tous ces gestes barrières ne suffisent pas, et si nos capacités d’importation sont épuisées, il faudrait utiliser des délestages, des coupures temporaires ciblées et maîtrisées  », selon François Brottes, qui ne se risque pas à préciser combien de Français pourraient être concernés par de telles situations. RTE insiste sur le fait que ce scénario est très hypothétique. 


 »Il n’y aura pas de black-out », a insisté M. Brottes. »

Nous sommes prévenus. C’est comme pour le Covid : tout passe par les gestes barrières. Et comment assurer « qu’il n’y aura pas de black out » pour un réseau au maximum de ses possibilités de production, la nuit, en plein hiver, avec des productions aléatoires non pilotables (éolien, solaire) qui peuvent mettre la pagaille à tout moment ? Et des voisins (Angleterre, Belgique, Espagne, Italie…) encore davantage en manque de capacités pilotables que nous ?

Il ne reste plus qu’à prier pour qu’il y ait du vent cet hiver, que le réchauffement sévisse, ou que les centrales à lignite et charbon allemandes fonctionnent à plein.

Ou alors soyons fous, tiens, redémarrons Fessenheim…

https://www.contrepoints.org/2020/11/20/374139-electricite-faut-il-sinquieter-dun-possible-black-out

jeudi 19 novembre 2020

Un pathologiste de premier plan affirme que le COVID-19 est "le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance"

par Tyler Durden

Jeu 19/11/2020 - 13:15

Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


Le principal pathologiste, le Dr Roger Hodkinson, a déclaré aux responsables du gouvernement de l'Alberta lors d'une conférence téléphonique zoom que la crise actuelle des coronavirus était «le plus grand canular jamais commis sur un public sans méfiance.

Les commentaires de Hodkinson ont été formulés lors d’une discussion impliquant le Comité des services communautaires et publics et le clip a ensuite été mis en ligne sur YouTube.

Notant qu'il était également un expert en virologie, Hodkinson a souligné que son rôle de PDG d'une société de biotechnologie qui fabrique des tests COVID signifie: «Je pourrais en savoir un peu plus sur tout cela.»

«Il y a une hystérie publique totalement infondée motivée par les médias et les politiciens, c’est scandaleux, c’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance», a déclaré Hodkinson.

Le médecin a déclaré que rien ne pouvait être fait pour arrêter la propagation du virus en dehors de la protection des personnes âgées plus vulnérables et que toute la situation représentait «la politique jouant à la médecine, et c'est un jeu très dangereux».

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Hodkinson a fait remarquer que «la distanciation sociale est inutile car le COVID est propagé par des aérosols qui parcourent environ 30 mètres avant d'atterrir», alors qu'il a appelé à la réouverture immédiate de la société pour éviter les dommages débilitants causés par les verrouillages.

Hodkinson a également qualifié les mandats de masque obligatoires de totalement inutiles.

«Les masques sont totalement inutiles. Il n’existe aucune preuve de leur efficacité », a-t-il déclaré.

«Les masques en papier et les masques en tissu sont simplement un signal de vertu. Ils ne sont même pas portés efficacement la plupart du temps. C’est complètement ridicule. Voir ces personnes malheureuses et sans instruction - je ne dis pas cela dans un sens péjoratif - voir ces personnes se promener comme des lemmings obéissant sans aucune base de connaissances pour mettre le masque sur leur visage. "

Le médecin a également critiqué le manque de fiabilité des tests PCR, notant que «les résultats positifs des tests ne signifient pas, soulignés en néon, une infection clinique» et que tous les tests devraient cesser car les faux chiffres «conduisent à l'hystérie publique».

Hodkinson a déclaré que le risque de décès dans la province de l'Alberta pour les personnes de moins de 65 ans était de «un sur trois cent mille», et qu'il était tout simplement «scandaleux» de fermer la société pour ce que le médecin a dit «n'était qu'un autre mauvais grippe."

«Je suis absolument scandalisé que cela ait atteint ce niveau, tout devrait s'arrêter demain», a conclu le Dr Hodkinson.

https://www.zerohedge.com/medical/top-pathologist-claims-covid-19-greatest-hoax-ever-perpetrated-unsuspecting-public

 

Une ministre française n'exclut pas «des coupures» d'électricité en cas de «grosses vagues de froid»


 11:47 19.11.202

Par Alexandre Sutherland


La ministre de la Transition écologique s’est exprimée sur BFM TV à propos des craintes sur un potentiel blackout en France cet hiver. Si elle n’exclut pas des coupures d’électricité, elle assure qu’un tel scénario n’est possible qu’en cas de «grosses vagues de froid».

Pas de blackout mais de potentielles «coupures très courtes», c’est ce qu’a assuré Barbara Pompili ce jeudi matin sur le plateau de BFM TV. Elle explique ce problème par une part trop importante du nucléaire dans la production d’électricité dans le pays.

«Si on a des moments de grosses vagues de froid, il va falloir certainement faire de la régulation. Ça veut dire travailler avec les industries pour qu’elles puissent arrêter leur production à certains moments», explique d’abord la ministre, précisant que le gouvernement a des accords dans ce sens avec des grands producteurs et entreprises.

Les Français risquent un blackout électrique en cas de froid inhabituel cet hiver

«Après, on peut avoir vraiment à l’extrême des coupures très courtes», concède-t-elle. Elle affirme toutefois qu’il «n’y aura pas de blackout en France», dans le sens où l’ensemble du pays serait plongé dans le noir.

Conséquence du confinement

Selon elle, une partie du problème repose sur certains logements qui n’ont pas fait les travaux nécessaires pour réduire leur consommation en énergie. La deuxième raison évoquée est la dépendance au nucléaire. «Il faut qu’on diversifie le mix, comme ça quand on a un problème sur une source d’énergie on peut se tourner vers les autres», justifie-t-elle.

Plusieurs centrales nucléaires du pays ont vu leur planning de maintenance perturbé à cause de la pandémie de Covid-19. «D'habitude en été ou printemps on arrête les centrales nucléaires pour l'entretien, pour remettre du combustible, toutes ces choses-là qu'on n'a pas pu faire correctement pendant le confinement», poursuit Mme Pompili.

Ce jeudi, le gestionnaire du réseau de transport d’électricité RTE fait un point sur l’approvisionnement pour l’hiver 2020-2021. Fin octobre, il avait déjà prévenu d’un risque inédit sur cette période, évoquant de possibles coupures ciblées.

https://site-a-cookies.nc

mardi 17 novembre 2020

Chine : quels sont ses plans pour les 30 ans à venir

 https://www.youtube.com/watch?v=GlQ6Ae2VPsU

Et si la Chine avait mis au point une brillante stratégie face à l’Occident ?

https://www.youtube.com/watch?v=9dtFsAmYX0g

Le totalitarisme et le choix de la vie héroïque - Ariane Bilheran et Pierre Barnérias

 https://www.youtube.com/watch?v=y3kOBhZdKho&feature=emb_logo

NOTEZ BIEN QUE LE CLIP 'HOLD-UP' ('La vérité sur le microbe corona') PUBLIÉ JEUDI 12 NOVEMBRE 2020 A ÉTÉ CENSURÉ !! INTERDICTION DE DIRE LA VÉRITÉ !

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Le totalitarisme et le choix de la vie héroïque - Ariane Bilheran (Psychologue à Bogota, COLOMBIE) et Pierre Barnérias (Journaliste).
Liaison presque inaudible, se contenter du doublage sous-titré en grand écran et son coupé.

A qui profite le crime ?

'Le syndrôme de Stockholm' (Adoration de son bourreau)

26:12 Les gens qui sont au pouvoir ne sont pas vertueux. Ce sont des psychopathes extrêmement cyniques qui veulent notre peau.
L'OMS est pro-pédophiles.

jeudi 12 novembre 2020

LA VÉRITÉ SUR LE MICROBE CORONA (Film 'HOLD-UP')

 

2:46:43

Livre sorti en 2009
Archives secrètes de la CIA
Page 250: (à 1h 22 sur le film)

Le déclenchement possible d'une pandémie mondiale ce sera sans doute en Chine.
Un virus H5N1 augmentant les chances de mutation d'une souche susceptible de provoquer une pandémie.
La maladie tardera à être identifiée...
Il faudrait des semaines pour que les laboratoires fournissent les résultats définitifs, confirmant l'existence d'une maladie risquant de muter en pandémie.
En dépit des restrictions, des voyageurs présentant peu ou pas de symptômes pourraient transporter le virus sur les autres continents.
L'absence d'un vaccin efficace ou d'immunité dans le reste du monde exposerait les populations à la contagion.
Les pertes économiques à l'échelle mondiale entraîneraient l'infection d'un tiers de la population du globe et la mort de centaines de millions d'êtres humains.

https://www.youtube.com/watch?v=PpaDjWHutys


Le vaccin de Pfizer est il la solution ?

 https://www.youtube.com/watch?feature=youtu.be&v=BIFimLIV6hM&app=desktop

Le thème de la guerre va exploser en bourse avec Pantin BIDEN

Charles Dereeper

 http://www.objectifeco.com/bourse/actions/autres-secteurs/le-theme-de-la-guerre-va-exploser-en-bourse-avec-pantin-biden.html

mardi 10 novembre 2020

Comment exporter votre capital si vous ne pouvez pas vous expatrier

 Charles Dereeper

http://www.objectifeco.com/economie/inflation-deflation/monnaie/comment-exporter-votre-capital-si-vous-ne-pouvez-pas-vous-expatrier.html

Covid et climat, victimes du scientisme


 Lorsque vous avez des experts qui vont dans l’absurde, c’est du pain bénit pour ces pseudo-journalistes qui ont oublié les bases mêmes de leur métier.


10 NOVEMBRE 2020

Par Christophe de Brouwer, depuis la Belgique.


Bis repetita placent. Faire un parallèle entre l’affaire climatique et la crise du sars-cov-2 est peut-être osé. Mais les mêmes ingrédients sont à l’œuvre.

Une science dévoyée par des certitudes qui n’ont rien de scientifique, a pris pied dans notre espace commun. À l’acmé de cela on peut, d’un côté évoquer la rétractation de l’article paru dans Nature à propos des échanges océans-atmosphère ou le retrait du Lancet de l’article relatif aux traitements à l’hydroxychloroquine, le fameux Lancet-gate.

Et pourtant ce sont des articles blockbusters dans leur domaine, chacun repris par les médias, les instances internationales et les gouvernements au moment de leur parution.

QUE DIRE DES MÉDIAS ?

C’est à celui qui vendra l’article le plus tapageur, le plus catastrophiste, à celui qui tournera une donnée banale en apocalypse, car cela permet de faire bouillir la marmite. On a pu voir cette logique en pleine action pour le climat, on la revoit pour la crise infectieuse actuelle. Et lorsque vous avez des experts qui vont dans l’absurde, c’est du pain bénit pour ces pseudo-journalistes qui ont oublié les bases mêmes de leur métier.

On dit que les experts savent tout sur rien et rien sur tout. En voulez-vous un exemple ? En Belgique, dernièrement un « expert », médecin-virologue, porte-parole officiel du gouvernement belge dans l’affaire de la covid, préconisait de baisser le couvercle des toilettes pour éviter la propagation du virus.

Marrant en soi, mais ce qui devient effrayant, c’est la reprise unanime par les journaux mainstream sous la forme d’une injonction impérative : « si vous ne baisser pas la planche des toilettes avant de tirer la chasse, vous risquez gros ». Et croyez-moi, je ne pense pas qu’on ait touché le fond.

Plus aucun sens critique, disparu, réveillons-nous ! On avait pu constater cette torpeur avec le climat, lors du fameux et bien triste « how dare you » proféré par une gamine téléguidée, et on revoit ces mêmes accusations avec la crise actuelle, faisant porter une fois de plus l’entièreté de la faute sur la population, « poursuivie jusque dans les chiottes ».

ET LE GOUVERNEMENT, NOS POLITIQUES ?

Il n’est sans doute pas nécessaire de revenir, tant elles furent déjà soulignées, sur les erreurs, les contre-vérités, les fausses données, les prédictions les plus alarmistes qu’ils ont proféré pour se grandir au détriment de celles et ceux qui votent pour eux.

Le disque dur bugué qu’ils ont utilisé lors de la crise de mars-avril, au lieu d’y apporter les correctifs nécessaires, se retrouve à nouveau en pleine capacité de nuisance.

La machine est lancée, elle ne dévie plus de sa course folle, tout comme les plans climats qui se succèdent, les uns les autres toujours plus hargneux pour notre santé socio-économique ou sanitaire. À cela, ces grands « penseurs », sorte de pyromanes-pompiers, nous répondent que nous devons être courageux, le temps sont durs.

Même si la population semble atomisée, soumise, en réalité l’exaspération est bien réelle et les scènes de désespoir se multiplient. La colère impuissante monte.

On avait vu de très jeunes enfants participer aux manifestations « youth for climate ». Plusieurs de nos « experts », relayés par des médias et des politiques préconisent le masque facial dès l’âge de 6 ans pour lutter contre le virus. Il y a là une continuité dans l’apprentissage de la geste magique pour sauver l’humanité par les plus jeunes, à un âge où ils apprennent à lire et à calculer : « combien font 2+2 ? », leur demande-t-on. Car ils vont sauver la planète.

Certains parents, la larme à l’œil, en redemandent d’ailleurs, et des mères montrent l’exemple en mettant cette sorte de muselière lorsqu’elles accouchent, fier de leur participation au sauvetage mondial. Celles et ceux-là n’ont pas de mots assez durs pour stigmatiser toutes celles et ceux qui ne pensent pas comme eux.


LE SCIENTISME À LA MANŒUVRE

Oh, ils ne sont pas les seuls à la poursuite des utilisateurs de toilettes, n’avons-nous pas vu un scientifique « expert » menacer dernièrement ces mêmes récalcitrants de punition : « si la responsabilité individuelle ne fonctionne pas, il y aura des mesures plus strictes ».

Je ne le citerai pas, il vient d’être plébiscité par sa désignation comme vice-recteur à la recherche d’une université belge, c’est dire la puissance du réflexe pavlovien : toujours chercher la faute des autres.

Jamais un doute n’effleure, la leçon de Karl Popper est balayée par leurs certitudes, et pourtant :

« La science ne souscrit à une loi ou une théorie qu’à l’essai, ce qui signifie que toutes les lois et les théories sont des conjectures ou des hypothèses provisoires. »

L’observation est ainsi tordue, soumise aux préalables de leurs idées préconçues. Claude Bernard est bien loin, lui qui prétendait, à l’inverse, que « L’expérience est une observation provoquée dans le but de faire naître une idée. »

On peut se poser la question de comprendre pourquoi une telle arrogance de ce qui apparaît un système d’intérêts croisés entre « experts », médias et politiques, pourquoi une telle volonté de dominer la « connaissance » en la rendant officielle, non interrogeable, non critiquable.

Car les exemples de rejets de la pensée dissidente abondent, une véritable censure face à la « vérité officielle ». Elle s’effectue avec opportunisme par les médias traditionnels, le monde scientifique et ses revues ou les politiques, tant dans le domaine du climat que de la crise sanitaire actuelle. C’est véritablement le même mécanisme autoritaire.

Par bien des côtés, ce sont des exemples saisissant du « scientisme », comme le définissait le prix Nobel, Friedrich Hayek :

« Le point de vue scientiste, envisagé à l’aune de l’approche scientifique n’est pas une démarche sans préjugés : elle en surabonde, puisque avant de considérer quel est l’objet de son étude, elle prétend savoir quelle est la manière la plus appropriée de l’explorer ».

Sommes-nous arrivés à un point du développement humain, où les pouvoirs, face à la complexité grandissante des choses, au lieu de l’aborder avec humilité, prétendent la préjuger, et par là la prédire, rejoignant ainsi la fameuse formule de George Orwell :

« Celui qui a le contrôle du passé a le contrôle du futur. Celui qui a le contrôle du présent a le contrôle du passé. »

Le pré-jugement est en effet essentiel dans la démarche autoritaire. Elle permet tout à la fois de  contrôler la complexité, de la diriger et de la planifier, sous le couvert d’une pseudo-connaissance scientifique. À nous de nous y conformer, d’obéir à cette astrologie des temps modernes.

Et le moins que l’on puisse dire est que cette nouvelle astrologie appliquée au climat ou au sanitaire se colore rapidement des feux de l’apocalypse, véritable chape mentale pesant sur les individus, paralysant leurs moyens de défense, méthode utilisée tant par des scientifiques, des politiques ou des médias.

Le raccourci entre le couvercle des toilettes et le scientisme développé par Hayek est fascinant. Il indique « la route de la servitude », met en lumière ses mécanismes intimes et prend la forme d’un avertissement symbolique : « ne baissez pas la planche », en d’autres mots, ne transformons pas l’homme moderne en homo climaticus-sanitarius. Restons libres !

https://www.contrepoints.org/2020/11/10/384025-covid-et-climat-victimes-du-scientisme

lundi 9 novembre 2020

Les énergies renouvelables sont toxiques pour l’éternité

Les quantités de déchets provenant du renouvelable sont éternellement toxiques.


9 NOVEMBRE 2020
Par Michel Gay.


Les quantités de déchets provenant de l’éolien et du solaire photovoltaïque, notamment, sont beaucoup plus importantes que ceux du nucléaire pour une même quantité d’électricité produite.

Et ces déchets « renouvelables » sont éternellement toxiques, contrairement aux déchets radioactifs dont la dangerosité décroît avec le temps.

L’ÉLECTRICITÉ NÉCESSITE DES MOYENS DE PRODUCTION

L’électricité est toujours issue de moyens (éoliennes, panneaux, barrages, centrales,…) générant des déchets lors de leur construction (extraction des matières premières du sol), de leur exploitation et de leur démantèlement.

Une partie seulement des déchets éoliens et photovoltaïques est recyclée, le reste (les déchets ultimes) est abandonné dans des décharges, brûlé ou enfoui.

Ainsi, pour l’éolien, le béton et le ferraillage des socles ne sont pas retirés du sol, et certaines pales sont enfouies dans des décharges, ou brûlées avec émissions de molécules toxiques organochlorées (dioxines).

Les quantités de matières premières (principalement béton, acier, aluminium et cuivre) et de déchets doivent être comparées à l’aune de la production d’électricité de chaque moyen de production.

Ainsi, pour une même puissance installée, un réacteur nucléaire, à présent prévu pour fonctionner 60 ans, produit annuellement en France environ 4 fois plus d’électricité (pilotable, elle…) qu’une éolienne dont la durée de vie est de l’ordre de 20 ans. Il faudra donc construire successivement trois éoliennes pour atteindre les 60 ans.

Pour une même production d’électricité que le nucléaire, la consommation de matériaux de construction des éoliennes doit donc être multipliée par 12 (4 x 3), ce qui engendre autant de déchets.

Pour les panneaux photovoltaïques, le gâchis écologique est encore pire. Leur temps de fonctionnement équivalent pleine puissance en Europe (facteur de charge) est d’environ 1000 heures, soit 7,5 fois moins que le nucléaire. Leur durée de vie étant de 30 ans, ils consomment 15 fois plus de matériaux que le nucléaire pour une même production d’électricité.

Le nucléaire est considérablement moins gourmand en matières premières et laisse beaucoup moins de déchets que l’éolien et les panneaux photovoltaïques pour une même quantité d’électricité produite, et c’est là un avantage considérable.

De plus, les matières premières nécessaires au développement de l’éolien et du solaire photovoltaïque sont peu présentes dans le sous-sol de l’Europe qui devra donc les importer et s’inscrire dans une compétition internationale pour s’en procurer. Ce « détail » a visiblement échappé aux zélateurs des énergies renouvelables.

ET DES MÉTAUX « CRITIQUES »



L’éolien et le solaire utilisent aussi des métaux qui leur sont spécifiques, dits critiques (terres rares), notamment dans les aimants permanents des génératrices d’électricité.

Ainsi, les éoliennes en mer (durée de vie 20 ans) utilisent environ 200 kg de néodyme et de dysprosium par mégawatt (MW) installé, soit 600 kg sur une durée de 60 ans (10 grammes par mégawattheure (MWh) produit).

Ces terres rares, bien que ni toxiques ni radioactives par elles-mêmes, sont séparées avec des produits chimiques agressifs de minerais contenant des éléments radioactifs (thorium, uranium et leurs descendants). Leur exploitation accumule donc des quantités importantes de déchets ultimes toxiques ou radioactifs mal gérés, à l’origine de graves problèmes sanitaires, notamment en Chine.

QUELLE CONSOMMATION ?

Si le nucléaire consomme environ 20 grammes de combustible uranium par MWh, seule une petite partie (un gramme par Français et par an) constitue des déchets ultimes potentiellement dangereux. Ils sont définis avec précision, parfaitement confinés et gérés en France par l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (ANDRA).

Mais l’opinion publique en a peur à cause des déclarations anxiogènes incessantes des médias qui soulignent complaisamment, à tort, les progrès du recyclage des déchets issus du démantèlement de l’éolien et du photovoltaïque.

Or, l’éolien consomme 250 grammes de composites et de fibre de verre non recyclés par MWh.

En effet, plus 20 tonnes de ces matériaux carbonés sont nécessaires pour la fabrication des pales d’une seule éolienne de 2 MW (produisant 80 000 MWh en 20 ans, soit 60 tonnes pour produire 240 000 MWh sur une période de 60 ans).

Pour les panneaux photovoltaïques, le silicium (encore 90 % des panneaux actuels) est extrait industriellement de silice issue des rares filons de quartz très pur, et non à partir du sable des plages.

Le tellure (un des éléments les plus rares de l’écorce terrestre) et le cadmium font partie des éléments toxiques qui sont intimement liés à leur support. Leur recyclage est donc difficile et insuffisant. La durée de vie infinie de ces déchets qui s’accumulent les rend potentiellement plus dangereux que ceux du nucléaire.

100 % RENOUVELABLES AVEC DU STOCKAGE ?

Si, en plus, comme l’ADEME l’envisage, l’électricité éolienne et photovoltaïque devait être stockée avec de l’hydrogène ou du méthane « vert », alors il serait nécessaire de construire 4 fois plus d’éoliennes ou de panneaux solaires, multipliant ainsi les déchets (à ajouter à ceux de la chaîne de production de l’hydrogène ou du méthane) pour une même quantité d’électricité fournie au consommateur.

Il y aurait donc environ 50 fois plus (4 x 12 pour l’éolien ou 4 x 15 pour le solaire) de matières premières à extraire et de déchets à traiter qu’avec des centrales nucléaires pilotables… qui ne peuvent être remplacées que par d’autres centrales également pilotables à gaz et à charbon, comme en Allemagne.

Or, ces dernières émettent de grandes quantités de CO2, de méthane, et aussi d’uranium, de cendres, de particules fines et de polluants atmosphériques dangereux, dont une grande partie est dispersée dans l’air et restent pour toujours dans les sols jusqu’à de grandes distances des lieux d’émission !

La désinformation de l’opinion publique sur le nucléaire par certains politiciens « verts », avec la complicité de la plupart des grands médias, souligne uniquement ses dangers potentiels (notamment ceux des déchets) et passent sous silence ceux, bien plus importants, des autres modes de production d’électricité, ainsi que leur  dépendance aux matières premières nécessaires.

En revanche des associations écologistes semblent apprécier le gaz importé de Russie comme énergie dite de transition. Mais elles restent étonnamment discrètes sur la toxicité chimique permanente (et donc éternelle) de l’arsenic, du cadmium, du fluor, du mercure, du cuivre du cadmium, du tellure, et des polymères incrustés dans le verre… présents dans les éoliennes et les panneaux photovoltaïques, avec encore bien d’autres éléments non recyclables dangereux pour la santé.

Or, la forte toxicité de ces éléments et de leurs composés non recyclés ne décroît pas avec le temps et s’accumulent.

En définitive, par rapport au nucléaire, pour disposer d’une même quantité d’électricité, l’éolien et le solaire consomment beaucoup plus de matières premières et sèment beaucoup plus de déchets toxiques… pour l’éternité !2


Article établi à partir du Chapitre 11 du document « Éolien et photovoltaïque : la trahison des clercs » de Bernard Durand et Jean-Pierre Riou. ↩

Annexe
Les déchets nucléaires sont-ils dangereux ?

Non, s’ils sont rigoureusement gérés comme c’est actuellement le cas.

La radioactivité est présente depuis toujours partout dans notre environnement. Il y a des éléments radioactifs naturels dans l’atmosphère, les rivières, les sols, le béton de nos habitations, le bois de nos meubles, dans presque tous nos aliments et, bien sûr, dans les engrais potassiques épandus dans les champs.

Il y a aussi de l’uranium 238 et du thorium 232 naturels par dizaines de kilogrammes (la teneur peut varier de 0,1 kg à 50 kgs par tonne) dans les premiers mètres du sous-sol de nos jardins, avec leurs descendants radioactifs, dont le radon 222 et le polonium 210. Le Rhône charrie environ 30 tonnes d’uranium chaque année.

Les organismes, dont le nôtre, ont développé des mécanismes de défense cellulaire efficaces (jusqu’à une certaine dose). Notre corps contient des éléments radioactifs comme le carbone 14 et le potassium 40 (10 à 20 mg) dont la demi-vie (le temps nécessaire pour que la moitié se désintègre) est de plus d’un milliard d’années !

L’espérance de vie des Français n’est pourtant pas diminuée, ni celle des habitants de la Bretagne, du massif-central ou des Alpes, car les doses de radioactivité reçues sont faibles et probablement bénéfiques.

L’important n’est pas la durée de vie des déchets radioactifs (dont la radioactivité est d’autant moins intense et dangereuse qu’elle dure longtemps), mais les doses susceptibles d’être reçues.

Or, celles provenant de la production d’électricité nucléaire et de ses déchets sont, et seront, très faibles et ponctuelles (et le plus souvent nulles) devant celles provenant de la radioactivité naturelle généralisée partout dans la nature (sols, rivières, air, mers,…). ↩

https://www.contrepoints.org/2020/11/09/383838-les-energies-renouvelables-sont-toxiques-pour-leternite
 

vendredi 6 novembre 2020

LE DANGER DES MASQUES


 

Sachant que les masques NE SERVENT A RIEN d'autre qu'à TUER (tôt ou tard) la personne qui le porte, car son maillage de trois microns n'EMPÊCHENT PAS les microbes (corona de 0,1 à 0,5 µ) de passer et, de plus il empêche 30 % de l'oxygène d'être inspiré ! (ce qui cause des maux de tête et des pertes de mémoire irréversibles !), de plus il refoule le gaz carbonique expiré !

NE PORTEZ PAS DE MASQUES INUTILES ! IL N'EST PAS INSCRIT SUR L'EMBALLAGE QUE LE MASQUE QUE VOUS PORTEZ EST ANTI-MICROBES ou ANTI-VIRUS !! Car ce serait une escroquerie de faire passer un anti-poussières de chantier pour un anti-microbes !

Il eut été plus simple de faire porter uniquement une visière afin de pouvoir respirer

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RAPPEL: Nous respirons TOUTES & TOUS chaque minute (AVEC ou SANS masque) 200 000 nano-particules (microbes & virus) et 2 millions en activité physique.

Soit quelques milliards chaque heure et plus encore (avec 150 000 zéros) depuis notre naissance !

ET NOUS NE SOMMES PAS MORT(E)S ! Çà alors !!

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Les masques disponibles ont un maillage de 3 microns alors que le corona ne mesure que 0,1 micron à 0,5 micron !

C'est-à-dire que ces masques n'EMPÊCHENT PAS les microbes corona d'être inspirés ou expirés !

Effectivement un masque de 3 millième de millimètre ne peut obstruer des microbes de 6 à 30 fois plus petits !

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ATTENTION-ATTENTION ! Actuellement le gouvernement français distribue des masques blancs (après les masques bleus dits 'chirurgicaux' au maillage large) avec (c'est écrit sur l'emballage): Maillage de 3 microns !

Soit l'équivalent du FFP2 avec valve d'expulsion/N95.

Or, ces masques blancs NE COMPORTENT PAS de valve d'expiration ! D'où les dangers de suffocation, 30 % d'oxygène en moins = maux de tête et pertes de mémoire irremplaçables ! De plus: ces masques refoulent le gaz carbonique que vous ré-inspirez !

Ces masques ne doivent PAS être portés !

The COVID-19 RT-PCR Test: How to Mislead All Humanity. Using a “Test” To Lock Down Society

 


jeudi 5 novembre 2020

Ingénierie sociale - Le monde est sous hypnose

 Ema Krusi

mer., 04 nov. 2020 21:24 UTC

Vous vous demandez sûrement comment ça se fait que ceux qui étaient vos amis il y a peu, ces personnes avec qui vous partagiez les mêmes valeurs... puissent maintenant avoir perdu tout contrôle de leur raison.

Vous leur expliquez les chiffres, leur apportez des études, des faits. Mais les yeux restent vides, rien ne se passe. Et vous vous dites: c'est pas possible ! Ils dorment ! En réalité, vous n'avez pas si tort que ça. En réalité, le monde est sous hypnose...

Avez-vous déjà entendu parler de l'ingénierie sociale ? De la fabrique du consentement ? Je vais aller droit au but aujourd'hui. J'ai une question pour vous: pensez-vous que ceux qui vous dirigent souhaitent votre bien ? Pensez-vous qu'il serait possible qu'ils vous connaissent mieux que vous ?


mercredi 4 novembre 2020

Train hydrogène : de qui se moque la SNCF ?

 

Avec cette lubie hydrogène coûteuse pour le contribuable et l’économie française, déjà dénoncées en 2014 par France Stratégie, de qui se moquent le gouvernement, les élus et la SNCF ?


Par Michel Gay.

4 NOVEMBRE 2020


Le projet de train à hydrogène de la SNCF pour 2022 « quoi qu’il en coûte » semble principalement destiné à aspirer l’argent des contribuables pour se donner une image verte. Ce greenwashing permet de se gaver de généreuses subventions distribuées par la France et l’Europe.

Ce n’est pas grave, nous sommes tous si riches !… Surtout ces derniers temps.

UNE LETTRE « POUSSE-AU-CRIME »

Mais, à sa décharge, la lettre de mission d’Édouard Philippe, alors Premier ministre, adressée au député Benoit Simian en 2018 pour une étude sur les trains à hydrogène est un pousse-au-crime visant à montrer que l’hydrogène est l’avenir de l’humanité.

Cependant, cette lettre indique explicitement : « Vous tiendrez compte dans vos réflexions des objectifs du gouvernement en matière de maîtrise de la dépense publique. »

Mais le député Benoît Simian vante les mérites du train à hydrogène dans son rapport de 2018 sans tenir compte de cette recommandation puisqu’il a omis de chiffrer le coût du développement des trains à hydrogène : « Le profil des lignes (trafic suffisant, profil de ligne adapté et enjeu de zéro émission) doit maintenant faire l’objet de chiffrages ».

En revanche, sans savoir combien ce projet hydrogène coûtera, ce rapport s’attache longuement à mobiliser des subventions pour alimenter cette pompe à fric !

À la lecture de ce rapport (extrait en annexe), il semble plutôt que l’hydrogène soit une opportunité pour profiter honteusement de subventions publiques !

Et ça tombe bien, le Plan de relance français de 30 milliards d’euros prévoit 2 milliards d’euros pour l’hydrogène ! Nicolas Hulot était un petit joueur avec ses 100 millions d’euros en juin 2018…

DES ÉMISSIONS INSIGNIFIANTES


« Le transport ferroviaire a peu d’impact sur la pollution » selon le député Simian. C’est un mode de transport « à faible empreinte environnementale » déjà beaucoup plus propre que les autres modes, notamment routier, même s’il existe aussi une part de la pollution locale de tous les trains (y compris hydrogène) due aux frottements rails/roues et des freins.

La consommation « énergie » du transport ferroviaire est d’environ 0,85 million de tonnes équivalent pétrole (Mtep) : 0,15 Mtep pour le gazole et 0,7 Mtep (7,5 TWh) pour l’électricité.

En France, le transport ferroviaire représente seulement 0,4 % des émissions de gaz à effet de serre du secteur des transports.

Selon le rapport Simian, en 2015, le secteur des transports a émis 132 millions de tonnes équivalent gaz carbonique (126 pour les modes routiers et 6 pour tous les autres modes confondus), dont seulement 0,5 pour le ferroviaire (0,4 %).

Au vu de ces chiffres, est-il vraiment utile de dépenser des millions, voire des milliards d’euros pour si peu ?

Il s’agit encore de tondre un chauve avec une tondeuse hors de prix.

Les émissions de gaz carbonique des trains régionaux (TER) non électrifiés, et donc roulant actuellement au diesel représentent en moyenne 153 gr gaz carbonique/km-passager. Elles peuvent grandement varier (selon les lignes et leurs fréquentations en passagers) de 100 à plus de 1300 gr gaz carbonique/km-passager.

Par comparaison, celles des TER électriques (avec des lignes électrifiées) sont en moyenne de 40 gr gaz carbonique/km-passager.

Environ 450 trains devront être renouvelés à partir de 2028/2030 et le reste sera renouvelé 10 à 15 ans plus tard. Aujourd’hui près de 1000 trains TER (bimodes ou seulement Diesel) circulent en France sur près de 30 000 km de réseau ferré français.

Environ 80 % des circulations (mesurées en trains/km) sont réalisées par des matériels à traction électrique sur plus de 15 000 km de voies sous caténaires. Les 20 % restants correspondent à un quart des matériels roulants au diesel sur la moitié des lignes qui ne sont pas électrifiées, soit environ encore 15 000 km.

Un TER diesel de la SNCF effectue entre 600 et 1000 km par jour et consomme environ 180 litres de gasoil par 100 km (avec 10 km comme valeur moyenne entre les arrêts).

À vitesse constante, la rame (2 motrices) consomme environ 1 litre de diesel par km (ou 3 kWh/km appliqués « aux roues »), et 8 litres par arrêt/redémarrage (24 kWh « aux roues »).

La France consomme chaque année 73 millions de tonnes de produits pétroliers dont 33 de gazole.


ÉLECTRIFIER AVEC QUOI ?

L’installation de caténaires pour électrifier des petites lignes est coûteuse : environ 1 million d’euros par kilomètre de voie simple, et 2 millions pour une ligne à double voie.

Les lignes dont l’électrification est socialement ou économiquement intéressante, surtout avec de l’hydrogène décarboné, sont désormais peu nombreuse même en récupérant une partie de l’électricité pendant les ralentissements !

En effet, la production d’hydrogène par électrolyse reste aujourd’hui une aberration économique, environnementale et sociale.

Le mieux serait de laisser les motrices diesels sur les petites lignes. Mais s’il fallait vraiment absolument éviter cette consommation dérisoire de 0,15 Mtep de gazole pour le transport ferroviaire, alors la solution certes encore coûteuse serait d’électrifier la totalité des lignes restantes pour environ 20 milliards d’euros… une seule fois.

La SNCF et Alstom ont racheté une compagnie allemande (ou est-ce l’inverse ?) qui essaie d’imposer en France et en Allemagne le train Coradia iLint hydrogène qu’ils ont développé.

L’alimentation électrique s’effectue avec deux piles à combustible (PAC) de 200 kW chacune, et une batterie tampon de 110 kWh (600 kg). Les 190 kg d’hydrogène compressés à 350 bars et la PAC (stockés sur le toit) permettraient de parcourir 800 km.

LA SOURCE HYDROGÈNE

Pour alimenter une dizaine de TER sur une ligne, chaque station hydrogène (de 5 MW consommant 120 MWh par jour) devrait fournir quotidiennement 2 tonnes d’hydrogène à environ… 10 euros/kg au lieu de 2 euros/kg par vaporeformage avec du méthane.

L’électrolyse de l’eau nécessite 60 kWh d’électricité par kilo d’hydrogène compressé à 350 bars.

Bien que l’utilisation des énergies renouvelables soit avancée dans le projet de la SNCF, la voie reformage du méthane (gaz naturel importé de Russie et d‘ailleurs) semble privilégiée car elle est 5 fois moins chère.

Mais cette technique émet 10 kg de gaz carbonique par kilo d’hydrogène produit.

« Concernant le ravitaillement en hydrogène, on pourra recourir à de l’hydrogène issu du vaporeformage à titre transitoire ou à de l’hydrogène fatal (sans méconnaître l’actuelle inconnue des coûts de purification de cet hydrogène très dépendant de la source) ou encore à de l’hydrogène obtenu par électrolyse ».

Le transitoire va certainement durer longtemps…

L’Allemagne a choisi d’utiliser de manière transitoire de l’hydrogène obtenu par vaporeformage. L’étape suivante (quand ?) devrait être celle de la production d’hydrogène par électrolyse à partir d’électricité décarbonée.

Mais l’astuce consiste à appeler « transitoire » ce qui restera permanent !

Ce train vert à l’hydrogène est une mascarade !

L’argent facile dégouline du ministère de l’Écologie et du Plan de relance. Il suffit de le ramasser à la pelle avec des études bidons et des projets idiots, surtout s’ils sont coûteux, pour absorber les lignes de crédits votés. Un investissement global de 3,4 milliards d’euros est prévu pour le financement de l’hydrogène vert d’ici 2023, et jusqu’à 7,2 milliards d’ici à 2030. Deux milliards sont inscrits dans le plan de relance.

DES TRAINS HYDROGÈNE EN 2022 ?


À l’issue des auditions, il est apparu au député Benoît Simian qu’une première circulation de trains à hydrogène vers 2022 était opportune, parallèlement à la circulation de trains avec batteries ou de trains hybrides (batteries-gazole).

L’hydrogène serait une alternative prometteuse pour la sortie du diesel pour le député Benoit Simian car « elle serait à maturité technologique, comme le prouve la circulation en Allemagne de deux trains Coradia iLint d’Alstom depuis le 17 septembre 2018 » (construites par Alstom en Allemagne) et que « des avancées importantes sont apparues au plan économique, par exemple sur les coûts des électrolyseurs alcalins en 2017 ».

Mais, malgré ces « avancées importantes », le député ajoute « un effort de la puissance publique (comprendre « des subventions ») est nécessaire si l’on veut que l’option générale de l’hydrogène dans l’économie française se transforme en succès ». Ou pas…

Cependant, le député reconnaît tout de même par ailleurs que « aujourd’hui, l’hydrogène obtenu par électrolyse reste encore trop cher », et que ce projet « doit maintenant faire l’objet de chiffrages ».

Avec un peu de bon sens, il aurait peut-être fallu commencer par là ?

Ce député et ses conseillers conduisent l’industrie française dans le mur au motif que « la capacité à susciter et soutenir un premier déploiement d’une flotte significative de trains à hydrogène peut permettre, en particulier sur les parties à l’amont de cette filière (construction de matériel ferroviaire, électrolyseurs, pile à combustible et dispositifs de stockage), de cristalliser en France et en Europe les centres de compétences et les centres industriels. »

Subventionner le Sapeur Camembert pour faire des trous afin de reboucher les trous précédents permettrait peut-être aussi de « cristalliser en France et en Europe les centres de compétences et les centres industriels » de pelles et de pioches.

Même la ministre chargée des transports d’alors (Élisabeth Borne) a déclaré lors de la présentation du plan Hydrogène le 1er juin 2018 : « L’hydrogène apportera sans aucun doute une part importante des réponses pour décarboner et dépolluer nos solutions de mobilité. »

EST-CE DANGEREUX ?

Oui, c’est dangereux ! Au nom de la planète, le principe de précaution est remisé, mais à tort. « Des évolutions réglementaires seront nécessaires… » écrit laconiquement Benoit Simian.

Et c’est un euphémisme car l’hydrogène est un gaz effusif (il traverse l’acier et les plastiques), explosif, très dangereux à manipuler et à stocker, notamment en espace clos. Ce qui n’empêche pas ce député d’écrire dans son rapport que : « en espaces clos comme tunnels et gare, l’hydrogène peut être une alternative pertinente »…

De nombreuses réglementations, notamment européennes, sont susceptibles d’être impactées (près de 20 textes de niveau européen) pour les installations fixes d’hydrogène.

Toutefois, selon ce rapport, la directrice générale de l’Établissement public de sécurité ferroviaire (EPSF), bien qu’ayant noté l’absence de base législative et réglementaire pour ce qui concerne le transport d’hydrogène pour la propulsion des trains, ne voit pas d’obstacle important à une autorisation d’un matériel roulant à l’hydrogène en France avant 2022…

Une réglementation existe pour le transport ferroviaire d’hydrogène (cependant, il exclut les matières utilisées aux fins de propulsion du train), ou pour les véhicules routiers. Mais aucun texte, tant au niveau national que communautaire ou international, n’a pu être identifié comme pouvant être directement utilisé.

Malgré tout, Alstom pense qu’à long terme seul l’hydrogène répondra à l’objectif du zéro émission. C’est pourquoi cette société a développé la technologie de l’hydrogène pour les trains régionaux allemands (Coradia iLint), et se propose de l’adapter à des trains régionaux français.


IL SUFFIT D’AFFIRMER !

Benoît Simian poursuit : « Les actuels surcoûts de la filière de l’hydrogène conduisent à choisir ce vecteur d’énergie pour des transports permettant :

l’utilisation intensive du matériel, qui est plus cher mais qui peut être ravitaillé rapidement. »

Or, c’est justement sur les lignes non électrifiées et peu utilisées (donc peu intensives) que le train hydrogène est censé être utilisé !…

« le zéro émission, et même la diminution des nuisances sonores. »

Avec des caténaires, cet objectif est aussi atteint en France essentiellement grâce au nucléaire.

« des consommations régulières d’hydrogène dans la journée. »

Mais la régularité dans la journée n’est généralement pas le cas sur les lignes non électrifiées….

« des possibilités suffisantes d’emport à bord. »

C’est bien le cas des trains, mais est-ce une raison suffisante ?

« Sous cette grille d’analyse », le député en conclut que « le secteur ferroviaire apparaît clairement comme un mode intéressant ».

Ah bon ? Un autre aurait sûrement conclut le contraire !

Laurent Michel, directeur général de l’énergie et du climat au ministère de la transition écologique et solidaire, déclare lors de son audition du 24 juillet 2018 : « Dans un premier temps, la possibilité de faire appel à l’électricité sur le réseau qui s’inscrit dans le contexte du mix énergétique français particulièrement peu carboné peut être une solution transitoire, mais il restera nécessaire de démontrer la pérennité à terme d’une solution faisant appel à des modes de production totalement décarbonés de l’hydrogène. »

Il pense certainement à l’électricité totalement décarbonée issue du nucléaire… alors que son ministère travaille à la fermeture de 14 réacteurs nucléaires.

Et le Dr. Jörg Nikutta déclare à l’inauguration du train à hydrogène en Allemagne le 16 septembre 2018 : « Notre train à hydrogène remplacera les trains Diesel de manière bien plus économique. »

Déduction faite des monstrueuses subventions publiques ? Seule la (mauvaise) foi sauve !

Pierre Izard, le directeur général pour l’innovation à la SNCF, annonce le 23 octobre 2018 : « 2022 est notre objectif pour faire circuler un train à hydrogène accueillant des voyageurs. »

Pierre Izard croit certainement à cette vaste fumisterie partir du moment où il y aura des gogos et des politiciens cyniques pour lancer cette utopie et faire payer par tous cette folie verte.

Un coup de menton pour la communication politique permettra de dire « Voyez, la SNCF fait circuler des trains à hydrogène ! C’est bon pour la planète ! », comme pour le train fantôme frigorifique Perpignan-Rungis abandonné.

Avec cette lubie hydrogène coûteuse pour le contribuable et l’économie française, déjà dénoncées en 2014 par France Stratégie, de qui se moque le gouvernement, les élus et la SNCF ?

Annexe :


Extraits du rapport d’octobre 2018 du député Benoit Simian sur « Le verdissement des matériels roulants du transport ferroviaire en France », et visant à « mobiliser » des subventions :

« Concernant le financement, il faut très tôt mobiliser les établissements financiers, les organismes français (Caisse des dépôts et consignations, ADEME, fonds du Plan national Hydrogène, etc.), la Commission européenne, la Banque européenne d’investissement (BEI), l’ADEME, la Banque des Territoires, et enfin, dans le cadre du plan gouvernemental H2 annoncé le 1er juin 2018, la participation de l’ADEME au portage du financement apporté par l’État pour le premier Train Hydrogène est une des pistes naturelles à analyser en priorité.

Il importe […] aussi que le premier fonds de 70 millions d’euros constitué à l’occasion du plan national Hydrogène annoncé le 1er juin 2018 par le ministre de la transition écologique et solidaire (Nicolas Hulot), soit réservé aux premières expérimentations de trains à hydrogène. 

Enfin, les crédits européens devront être mobilisés.

La mission a relevé que :

1) des opportunités de financement existent dans les contrats de plan État-Région (CPER) pour soutenir le déploiement d’une flotte suffisante…

2) des possibilités de financements européens dans le cadre des financements opérés par l’Innovation and Networks Executive Agency INEA (dispositif Connecting Europe Facility CEF, doté de 22,4 milliards d’euros dans le domaine des transports) existent, mais sont encore peu utilisées,

3) l’intérêt de principe de la Caisse des dépôts et consignations (CDC) et de la Banque européenne d’investissement (BEI) pour l’hydrogène permet de compléter les financements des CPER,

4) la possibilité de mobiliser des moyens du Plan national Hydrogène du Gouvernement est une opportunité pour, en amont, soutenir les projets industriels qui pourraient émerger dans le domaine des nouvelles activités de production de matériel et de composants ainsi que les premiers déploiements.

Ainsi, si l’hydrogène est une opportunité pour le transport ferroviaire en France, il est aussi une opportunité industrielle à prendre en considération ».

À la lecture de ce rapport, il semble plutôt que l’hydrogène soit une opportunité pour se gaver de subventions publiques ardemment recherchées et « mobilisées » !

« Selon le CEA, le coût actuel de l’hydrogène obtenu par électrolyse pourrait diminuer à condition que :

l’électrolyseur soit assez grand ;

sa durée d’utilisation régulière soit longue ;

le prix de l’électricité soit suffisamment bas ;

de nouvelles technologies (électrolyse à haute température, etc.) contribuent à faire baisser les coûts ».

Avec de telles conditions, il se pourrait aussi que l’hydrogène vert à bas coût obtenu par électrolyse ne voit jamais le jour.

La principale source d’énergie dans le monde en 2045 sera probablement le pétrole (27 %), suivi de près par le gaz (25 %), grand gagnant de la transition énergétique, et le charbon (20 %).

https://www.contrepoints.org/2020/11/04/383549-train-hydrogene-de-qui-se-moque-la-sncf