- ENTREE de SECOURS -



jeudi 31 mars 2022

Le plus gros mensonge de l’histoire: La base de données est erronée. Il n’y a jamais eu de pandémie. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides.

 Les "cas confirmés Covid-19" par PCR n'ont aucun sens. Le projet de test d'antigènes et à domicile de plusieurs milliards de dollars est faux


Par Prof Michel Chossudovsky

Mondialisation.ca, 28 mars 2022


Introduction 

Déstabiliser la structure sociale, politique et économique de 190 pays souverains ne peut constituer une « solution » pour lutter contre le virus. Mais c’était la « solution » imposée qui fut mise en œuvre en plusieurs étapes dès le début de la crise corona en janvier 2020. C’est la destruction de la vie des populations à l’échelle mondiale. C’est la déstabilisation de la société civile.

La fausse science a soutenu ce programme dévastateur. Les mensonges ont été soutenus par une campagne de désinformation massive dans les médias. Des « alertes Covid » 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, incessantes et répétitives au cours des deux dernières années.

Le confinement historique du 11 mars 2020 a déclenché un chaos économique et social dans le monde entier. C’était un acte de « guerre économique » : une guerre contre l’humanité. 

Ce programme diabolique a sapé la souveraineté des États-nations. 

Il a contribué à une vague de faillites. Il a appauvri des populations entières à l’échelle mondiale.

Cela a conduit à une spirale de la dette globale libellée en dollars. 

Les puissantes structures du capitalisme mondial, le grand capital (Big money) et son appareil militaire et de renseignement en sont la force motrice.

En utilisant des technologies numériques et de communication avancées, le verrouillage et la «fermeture» de l’économie mondiale sont sans précédent dans l’histoire de l’humanité.

Le rôle central du test de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse (RT-PCR)

Dès le début, les médias et les gouvernements ont négligé et ignoré les défauts et les faussetés concernant le test RT-PCR comme moyen de détecter la propagation du virus et d’identifier le SRAS-CoV-2.

« Le PCR est un processus. Il ne vous dit pas que vous êtes malade ».

Dr. Kary Mullis , lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.

« Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements, appuyés par des conseils scientifiques de sécurité et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessivescomme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, (…) sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels. »

Dr Pascal Sacré, médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste renommé en santé publique.

La base de données des « cas confirmés Covid-19 » est invalide.

La désinformation médiatique a prévalu pendant plus de deux ans malgré le fait que l’OMS et le CDC (avec les sous-entendus habituels) aient confirmé ce que l’on savait depuis le tout début en janvier 2020, à savoir que le test RT-PCR utilisé pour justifier tous les mandats Covid-19 sans exception incluant le confinement, la distanciation sociale, le masque, le confinement de la main-d’œuvre, la fermeture de l’activité économique, etc. étaient erronés et invalides. 

L’OMS a publié son Mea Culpa il y a plus d’un an, le 20 janvier 2021. Quelques mois plus tard, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC)   (21 juillet 2021) appelaient au retrait du test PCR comme méthode valide afin de  détecter et identifier le SRAS-CoV-2. 

Depuis le 31 décembre 2021, le test PCR n’est plus considéré comme valide par le CDC aux États-Unis. Pour plus de détails, voir :  Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés Covid-19 »

Le CDC a maintenant fermement reconnu que le test PCR ne différencie pas de manière efficace entre la maladie Covid-19 et la grippe saisonnière. Un PCR positif n’implique pas un « cas confirmé Covid-19 ». Il pourrait s’agir de la grippe ou d’un rhume corona. Le CDC a appelé à son retrait à compter du 31 décembre 2021.

 

https://odysee.com/chossudovsky19032022:f1272c7f33e9d620df5dfe463bbfa905e9a954ed?src=embed

Fake Data : 465 millions de soi-disant « cas confirmés Covid-19 »

Si le test PCR est invalide (confirmé par de nombreuses études ainsi que par l’OMS, les CDC),  les 465 millions dits « Confirmed Covid-19 Cases »  (voir schéma ci-dessous, 18 MARS 2022) collectés et compilés dans le monde depuis le début de la crise Covid-19 n’ont aucun sens. Cliquez ici pour obtenir les derniers chiffres.

Le traité sur la pandémie et le code de vérification QR 

Début mars 2022, un organe intergouvernemental de négociation (INB) a été créé avec le mandat de  créer un « traité sur la pandémie », c’est-à- dire  une entité mondiale de gouvernance de la santé sous les auspices de l’OMS, qui l’emporterait sur l’autorité des États membres de l’OMS :

« L’INB a tenu sa première réunion pour rédiger et négocier un instrument international sur la prévention, la préparation et la réponse à la pandémie sous l’autorité de l’OMS » ( Mercola )

Le traité sur la pandémie   est lié au  projet de code de vérification QR de l’OMS ,  qui vise à créer une banque de données numérique mondiale de 7,9 milliards de personnes. Les deux initiatives seraient menées simultanément par l’OMS en liaison avec ID2020  et la Gavi Alliance , toutes deux financées par la Fondation Gates.

Peter Koenig décrit le QR Code comme « une identification entièrement électronique – reliant tout à tout de chaque individu (dossiers de santé, bancaires, personnels et privés, etc.). »

Selon  David Scripac   « Un système mondial d’identification numérique est en cours de création. [L’objectif] du FEM – et de toutes les banques centrales  [est] de mettre en place un système mondial dans lequel les données personnelles de chacun seront intégrées au réseau de monnaie numérique de banque centrale – Central Bank Digital Currency (CBDC). 

Le code de vérification QR ouvre potentiellement la voie à la mise en place d’ un « État policier mondial » contrôlé par l’établissement financier. Cela fait partie de ce que feu David Rockefeller a appelé « la marche vers le gouvernement mondial ».

La légitimité du traité sur la pandémie et du code de vérification QR sous les auspices de l’OMS repose sur la présomption que la prétendue « pandémie de la Covid-19 est réelle » et que le « vaccin à ARNm constitue une SOLUTION à la prétendue pandémie Covid-19 ».

Les deux initiatives sont fondées sur la fraude pure et simple et la corruption: 

1. Le nombre de « cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 » résultant du test RT-PCR ne justifiait aucunement la décision de l’OMS de lancer officiellement une pandémie à l’échelle planétaire en date du 11 mars 2020.  Les chiffres étaient ridiculement bas. Il n’y avait aucune preuve que le SRAS-CoV-2 se propageait à l’échelle nationale ou internationale.

2. Les consignes de confinement transmises en mars 2020 à plus de 190 États membres de l’ONU sont totalement invalides.

3. La méthodologie utilisant le test PCR pour détecter et identifier le SRAS-CoV2 et ses variants présumées a été reconnue par l’OMS et le CDC comme étant totalement dysfonctionnelle, comme indiqué ci-dessus.

4. Toutes les données relatives aux cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 compilées par les gouvernements nationaux et tabulées par l’OMS depuis janvier 2020 sont invalides et dénuées de sens.

5. Le vaccin Covid-19 lancé en novembre 2020 a entraîné une vague mondiale de mortalité et de morbidité à la hausse.

Dans cet article, je distinguerai plusieurs phases dans l’évolution de cette crise.

Phase I : un nombre ridiculement bas de « cas confirmés Covid-19 » utilisé pour justifier le lancement de la pandémie de la Covid-19

Depuis le tout début, les estimations de «cas positifs confirmés» font partie d’un «jeu de chiffres».

La première étape de cette crise fut le lancement d’une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) par l’OMS le 30 janvier . Bien qu’officiellement elle n’ait pas été désignée comme une « pandémie », cette décision a néanmoins contribué à mener la campagne de peur. Le nombre de «cas confirmés» basés sur des estimations erronées (PCR) utilisés pour justifier cette décision de grande envergure était ridiculement bas.

La population mondiale hors Chine est de l’ordre de 6,4 milliards. Au 30 janvier 2020 hors de Chine, il y avait :

83 cas dans 18 pays, et seulement 7 d’entre eux n’avaient aucun antécédent de voyage en Chine. (voir OMS , 30 janvier 2020).

Il n’y avait aucune « base scientifique » pour justifier le lancement d’une urgence mondiale de santé publique de portée internationale.

Capture d’écran du tableau OMS, 29 janvier 2020 ,

Le jour suivant, le 31 janvier 2020 :   le président Trump suspend les voyages aériens avec la Chine , ce qui a contribué à enclencher la crise du transport aérien et du commerce des marchandises. Les cinq soi-disant «cas confirmés» aux États-Unis  étaient suffisants pour «justifier» la décision du président Trump du 31 janvier 2020.

20 février 2020 :  Lors d’une conférence de presse le jeudi 20 février après-midi (heure CET) lors d’un  briefing à Genève, le directeur général de l’OMS. Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus , a déclaré qu’il était:

« préoccupé par le fait que la possibilité de contenir l’épidémie de coronavirus se « fermait »…

« Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais qu’elle se rétrécit. »

Ces déclarations étaient basées sur 1076 cas en dehors de la Chine pour une population de 6,4 milliards.

Ces déclarations ont d’emblée contribué à intensifier la campagne de peur, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible.

Les 20 et 21 février 2020 marquent le début du krach financier de 2020 qui fut enclenché par la déclaration du Dr Tedros. 

11 mars 2020 : Le 11 mars 2020 : Le verrouillage. 44 729 « cas confirmés » pour justifier la fermeture de 190 économies nationales.

Une pandémie est généralement définie comme:

« Une épidémie d’une maladie survenant sur une vaste zone géographique (telle que plusieurs pays ou continents) et affectant généralement une proportion importante de la population » (Webster-Merriam , emphase ajoutée)

En supposant que le test PCR est valide (ce qui n’est pas le cas), le nombre de cas confirmés cumulés le 11 mars était ridiculement bas. 44 279 cas PCR positifs dans le monde en dehors de la Chine.

C’EST UNE FRAUDE. IL N’Y AVAIT PAS DE PANDÉMIE LE 11 MARS 2020


Le directeur général de l’OMS avait déjà annoncé la dite pandémie lors de sa conférence de presse du 21 février .

« le monde devrait faire plus pour se préparer à une éventuelle pandémie de coronavirus ». L’OMS avait appelé les pays à être « dans une phase de préparation ».

L’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale à un moment où le  nombre de cas confirmés hors de Chine (6,4 milliards d’habitants) était de l’ordre de   44279 et 1440 décès  (chiffres enregistrés par l’OMS pour le 11 mars, (au 12 mars) (voir tableau). Ce sont les chiffres utilisés pour justifier le confinement et la fermeture de 190 économies nationales.

(Le nombre de décès hors de Chine mentionné dans la conférence de presse de Tedros était de 4291).

Aux États-Unis, recensés le 11 mars 2020, il y a eu selon John Hopkins : 1 335 « cas » et 29 décès  (« présomptifs » plus PCR confirmés).

Selon l’OMS,  le 9 mars, il y avait 3457 cas aux États-Unis.

Aux États-Unis, le 9 mars 2020, il y avait  3 457 «cas confirmés»  sur une population de 329,5 millions de personnes

Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .

Au Canada le 9 mars 2020, il y avait 125 « cas confirmés » sur une population de 38,5 millions de personnes

Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .

Ce sont les chiffres utilisés pour justifier la « fermeture » des États-Unis et du Canada en mars 2020.

C’EST UNE FRAUDE. UN GROS MENSONGE.  

Immédiatement après l’annonce de l’OMS du 11 mars 2020, la campagne de peur s’accélère

Pourtant, c’est sur la base de ces 44 729 cas que des politiques de confinement d’une ampleur sans précédent furent imposées à 190 pays souverains par le biais d’une procédure décisionnelle complexe qui inévitablement exigeait la fraude, les menaces et la corruption de la classe politique.

Le confinement du 11 mars a été suivi du jeudi noir, un deuxième krash financier majeur, qui a immédiatement suivi l’annonce de la pandémie.

Phase II. Mars-décembre 2020 : Campagne de peur. Le test PCR passe à la vitesse supérieure.

De mars 2020 jusqu’au lancement du vaccin ARNm COVID-19 en novembre 2020, le test PCR passe à la vitesse supérieure.

Depuis le 11 mars 2020, suite au confinement, les gouvernements nationaux furent invités à mettre en œuvre le test PCR-RT à grande échelle, dans le but d’augmenter le nombre de cas covid positifs dans le monde.

Test, Test, Test : Les chiffres ont commencé à grimper en vue de générer de plus en plus de fausses statistiques.

Regardez le tableau ci-dessous. On observe un très petit nombre de cas positifs au début mars 2020. Et puis, les cas positifs de la Covid montent en flèche en avril, mai et juin 2020.

Phase III. Début novembre 2020. Début du programme mondial de vaccination contre la Covid

Soutenu par la désinformation médiatique, le vaccin à ARNm fut présenté comme une solution pour endiguer la pandémie. Amplement documenté, ce vaccin a déclenché dès son apparition en décembre 2020 une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité.

Vidéo : Dans de nombreux pays, il y a eu un changement significatif de la mortalité suite à l’introduction du vaccin à ARNm

https://www.youtube.com/watch?v=xSrc_s2Gqfw&feature=emb_imp_woyt

Source : HeathData.org

Les preuves sont accablantes. Les derniers chiffres officiels  indiquent environ :

65 629 décès liés à l’injection Covid-19 et 10 439 642 blessures signalés au 24 février 2022. pour l’UE, les États-Unis et le Royaume-Uni réunis.

Mais seule une petite fraction des victimes ou des familles des personnes décédées passera par le processus fastidieux de déclaration des décès et des effets adverses liés au vaccin aux autorités sanitaires nationales.

Désinformation des médias : Le virus est un « tueur à gages », « Le vaccin sauve des vies » !

Le SARS-CoV2 détecté par le test PCR est de manière implacable dépeint comme  un « virus tueur ».

Il y a beaucoup d’inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris la façon dont il tue exactement, s’il évoluera vers quelque chose de plus – ou de moins – mortel… « .

« Il  y a de nombreuses inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris comment exactement il tue, s’il évoluera vers quelque chose de plus — ou moins — mortel  … »( Nature )

Un rapport sensationnaliste de la BBC sous le titre :  « Pourquoi le virus est-il une telle menace » soutient (en citant et en déformant des « avis scientifiques ») que le virus a une « tactique évolutive tueur de délit de fuite » [hit and run] pour propager l’infection Covid-19 loin et large. Rapport opportun publié deux semaines avant le lancement du vaccin à ARNm :

« Maître de la tromperie. Aux premiers stades d’une infection, le virus est capable de tromper l’organisme . …

Il [le virus] se comporte comme un tueur « avec délit de fuite » 

La quantité de virus dans notre corps commence à culminer la veille de la maladie. …

Mais il faut au moins une semaine avant que la Covid ne progresse au point où les gens ont besoin d’un traitement hospitalier. « C’est une tactique évolutive vraiment géniale – vous ne vous couchez pas, vous sortez et passez un bon moment », déclare le professeur Lehner.

Ainsi, le virus est comme un conducteur dangereux qui fuit la scène – le virus est passé à la prochaine victime bien avant que nous ne guérissions ou ne mourions.

En termes clairs, « le virus se moque » de votre mort, dit le professeur Lehner, « c’est un virus de type hit and run »(un tueur en délit de fuite).

Il fait des choses particulières et inattendues au corps ( BBC, James Gallagher, 22 octobre 2020, emphase ajoutée) (Voir l’article en français : Pourquoi le coronavirus est-il si mortel ?)

Propos absurdes! La BBC personnifie le virus tueur, dans le but de semer la panique. Non seulement ces rapports sensationnalistes sont basés sur les résultats des tests PCR invalides, mais ils contredisent également la définition officielle de l’OMS concernant la Covid -19

« Les symptômes les plus courants de la COVID-19 sont la fièvre, la toux sèche et la fatigue. … Ces symptômes sont généralement légers et commencent progressivement. Certaines personnes sont infectées mais ne présentent que des symptômes très légers . La plupart des gens (environ 80 %) se rétablissent de la maladie sans avoir besoin de soins hospitaliers. Environ 1 personne sur 5 qui contracte la COVID-19 tombe gravement malade et développe des difficultés respiratoires.

D’ailleurs, rarement évoqué par les médias ou par les politiciens : Le CDC (qui est une agence du gouvernement américain) confirme que la Covid-19 est similaire à la grippe:

« La grippe (grippe) et la COVID-19 sont toutes deux des maladies respiratoires contagieuses, mais elles sont causées par des virus différents . La COVID-19 est causé par une infection par un nouveau coronavirus (appelé SRAS-CoV-2) et la grippe est causée par une infection par des virus de la grippe .

Étant donné que certains des symptômes de la grippe et de la COVID-19 sont similaires, il peut être difficile de faire la différence entre eux en se basant uniquement sur les symptômes, et des tests peuvent être nécessaires pour aider à confirmer un diagnostic . La grippe et la COVID-19 partagent de nombreuses caractéristiques, mais il existe des différences essentielles entre les deux. »

Si le public avait été informé et rassuré que la Covid est « similaire à la grippe », la campagne de peur serait tombée à plat. Et le programme de vaccination aurait été carrément rejeté.

Il convient de noter que le vaccin à ARNm présenté à l’opinion publique comme une solution pour freiner le virus tueur s’est appuyé sur le test PCR comme moyen valable d’évaluer la propagation de la maladie. Aux États-Unis, le vaccin à ARNm a été lancé le 14 décembre 2020. Six semaines plus tard, l’OMS abroge la validité du test PCR. À son tour, le 21 juillet 2021, le CDC déclare le PCR invalide comme moyen de détecter le virus.

Phase IV : 26 novembre 2021, « Black Friday ». Le variant Omicron

Souvenez-vous de la crise d’Omicron, toujours en cours. Effrayant. Un nouveau variant Covid aurait été découverte en Afrique du Sud et qui s’est propagée dans le monde entier. Comment a-t-il été détecté ? Le test PCR ?

Tout a commencé le Black Friday, le lendemain du Thanksgiving (Action de Grâce aux Etats Unis), le 26 novembre 2021.

Cela a déclenché une nouvelle campagne de peur ainsi qu’une instabilité sur les marchés boursiers, les actions des producteurs de vaccins Big Pharma augment en flèche.  Cela a incité les gens à se faire vacciner.

L’annonce d’omicron était une fraude soigneusement préparée. Deux jours plus tard, l’OMS a poliment abrogé la déclaration de son propre groupe de travail consultatif :

«  Il n’y a actuellement aucune information suggérant que les symptômes associés à Omicron soient différents de ceux des autres variants . »  

À son tour,  le Dr Angelique Coetzee , présidente de l’Association médicale sud-africaine (SAMA) a décrit le variant omicron comme « extrêmement bénigne, pour nous [ce sont] des cas bénins.  … J’ai parlé à d’autres collègues à moi et ils donnent la même image. ( Voir l’interview vidéo sur CNBC )

Ces rectifications n’ont en rien entravé la campagne de peur 24 heures sur 7 jours alimentée par la désinformation médiatique. En fait, cela a créé la panique.

Pendant ce temps, une campagne massive de tests à domicile a été lancée.

Phase V : Des milliards de tests à domicile et antigéniques distribués à l’échelle mondiale

Tests massifs à domicile : la peur est « bonne pour les affaires » [Fear is Good for Business]

Littéralement, des milliards de kits de test d’antigènes et à domicile ont été distribués à l’échelle mondiale. Aux États-Unis, plus d’un milliard de kits de test ont été mis à la disposition d’une population de 340 millions d’Américains.

Au Canada, 291 millions de trousses de test ont été distribuées. La population du Canada est de l’ordre de 38,5 millions d’habitants.

Dans de nombreux pays, le variant « mortel » Omicron est devenue le prétexte pour mettre en place de nouveaux verrouillages partiels, l’accélération du mandat vaccinal, des restrictions de voyage ainsi que des mandats de confinement et de séjour à domicile pendant la période des vacances de Noël et du Nouvel An.

Vous trouverez ci-dessous les chiffres des soi-disant « cas confirmés Covid-19 » dans le monde au début novembre 2021. (01/11/21

Augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 »

Coïncidant avec la crise d’Omicron, l’augmentation de l’importation et de la distribution de littéralement des milliards de kits de test à domicile et d’antigènes a contribué à  faire augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 ».

En moins de 5 mois (du 1er novembre 2021 au 18 mars 2022), les cas confirmés cumulés ont presque doublé.

L’achat par Joe Biden de plus d’un milliard de kits de test à domicile et d’antigènes  

Aux États-Unis , la Maison Blanche a annoncé en janvier qu’elle achetait aux frais des contribuables :

 » Un milliard de tests à offrir gratuitement aux Américains avec la commande en ligne d’un demi-milliard de tests commence le 19 janvier ». 

Cet achat s’ajoutait aux livraisons antérieures de plusieurs centaines de millions de kits à domicile.

À partir de fin novembre, les kits de test à domicile ont contribué à augmenter les soi-disant « cas confirmés » aux États-Unis. (Voir graphique ci-dessous)

Ces chiffres sont fake car l’OMS et le CDC ont classé le test PCR comme étant invalide.

Et les tests à domicile sont classés comme moins fiables que le test PCR qui est considéré comme la référence absolue (gold standard).

Achat par Justin Trudeau de 291 millions de kits de test à domicile et d’antigènes

Au Canada, le premier ministre Justin Trudeau a commandé une première livraison de  94 millions de kits de test rapide à domicile (kits d’auto-test et de test d’antigène) en novembre 2021, qui furent livrés et distribués dans les provinces.

140 millions de tests supplémentaires furent commandés par le gouvernement fédéral au début de janvier 2022 pour un coût de 1,7 milliard de dollars (canadiens) aux frais des contribuables.

Le Canada a une population de 38,5 millions d’habitants et nous avons maintenant 291 millions de kits de test rapide d’antigène (voir tableau ci-dessous). Autrement dit environ 7 tests par personne. 

Ce processus a contribué au cours des derniers mois à semer la peur et le chaos au sein des familles canadiennes tout en augmentant le nombre de soi-disant « cas confirmés Covid-19 »

Le coût estimé pour les contribuables canadiens est de l’ordre de 3,5 milliards de dollars canadiens.

Voir Santé Canada (tableau ci-dessous)

Test PCR Gold Standard. (Référence absolue)

Ironiquement, les tests à domicile sont comparés au test PCR (invalide) qui est maintenant considéré comme étant le soi-disant gold standard. Selon le NYT ( mis à jour le 10 novembre 2021 ), les kits de test rapide d’antigène et à domicile sont moins efficaces que le test PCR :

Les tests antigéniques rapides sont moins fiables pour détecter la Covid-19 chez les personnes à faible charge virale que les tests PCR « gold standard » que vous obtiendrez d’un fournisseur de soins de santé. Une étude a révélé qu’un test antigénique rapide à domicile avait 64% de chances de détecter correctement le virus chez les personnes présentant des symptômes qui avaient été testées positives lors d’un test PCR. (Le test n’a détecté qu’environ 36% de ceux qui avaient le virus mais qui n’avaient pas de symptômes.)

Ce que le NYT ne mentionne  pas, c’est que le CDC avait demandé l’arrêt du test PCR « Gold Standard » en date du 23 juillet 2021 avant son retrait officiel le 31 décembre 2021. (voir analyse ci-dessus)

La directive du CDC admet tacitement que le test PCR ne différencie pas efficacement le « SARS-CoV-2 et les virus de la grippe. Nous le savons depuis le début. Bien qu’il leur ait fallu près de deux ans pour reconnaître que le test PCR est invalide, le test PCR est considéré comme la référence absolue (gold standard) par rapport aux kits de test d’antigène et à domicile.

31 décembre 2021 : Le CDC déclare le test PCR invalide

Test PCR invalide confirmé comme Gold Standard (référence absolue)

Des milliards et des milliards d’antigènes et de tests à domicile font grimper les chiffres

12 mars 2022 452 201 564 cas cumulés 

Les résultats des tests à domicile et antigéniques n’ont aucun sens. Ils ne confirment en aucun cas une augmentation des soi-disant « cas confirmés COVID-19 ».

L’augmentation des chiffres est largement attribuable à la vente et à la distribution mondiales de milliards de tests à domicile et d’antigènes. Cela a à son tour contribué à une nouvelle vague de peur et d’instabilité sociale.

Cette augmentation artificielle des soi-disant «cas confirmés COVID-19» s’est produite à un moment où un grand pourcentage de la population mondiale a été vacciné.

« La peur est bonne pour les affaires » : beaucoup d’argent derrière les kits d’auto-test Covid-19

Ce qui est en jeu, c’est une opération de plusieurs milliards de dollars afin de vendre et distribuer des kits d’auto-test Covid-19 dans le monde entier sur une période de plusieurs années.

En décembre 2021, Bloomberg rapportait que

« le marché des autotests atteindra » 5,96 milliards de dollars en 2020 et devrait atteindre 8,11 milliards de dollars d’ici 2027 « .

Ces chiffres concernent uniquement le marché américain, qui représente environ 4% de la population mondiale. Il est maintenant avéré que les kits à domicile sont vendus dans un grand nombre de pays. C’est un programme au niveau mondial axé sur les profits de plusieurs milliards de dollars.

Qui détient les droits de propriété intellectuelle ? 

La Fondation Gates a joué un rôle clé dans le lancement du «test COVID-19 auto-administré» qui fut approuvé par la FDA fin mars 2021.

« La FDA a pris cette décision sur la base des résultats d’une étude menée par United Health Group. La Fondation Gates a fourni un soutien technique pour la conception de cette étude » ( Fondation Gates)

En août 2021, la Fondation Gates et la Fondation Open Society de Soros ont  investi dans

« l’acquisition de Mologic, une société britannique spécialisée dans le développement de technologies de tests rapides, notamment pour la Covid-19 et diverses maladies tropicales ».

Mologic est décrit comme « un leader des tests rapides [qui] présente une opportunité unique ».

Cette initiative consistait à « renommer » Mologic en « une entreprise sociale à but non lucratif ». qui fonctionnerait sous les auspices du  Global Access Health de la Fondation Gates.

L’objectif déclaré de GAH est d’agir comme « une entreprise sociale qui élargit l’accès à une technologie médicale de pointe abordable, telle que des tests de diagnostic et des processus de fabrication ».

Michel Chossudovsky

https://www.mondialisation.ca/le-plus-gros-mensonge-de-lhistoire-la-base-de-donnees-est-erronee-il-ny-a-jamais-eu-de-pandemie-les-mandats-covid-y-compris-le-vaccin-sont-invalides/5666650

samedi 26 mars 2022

Mapped: Les prix du carburant à travers l'Amérique atteignent des sommets sans précédent

PAR TYLER DURDEN

SAMEDI 26 MARS 2022 - 03:40


Ces derniers jours, les prix du carburant ont grimpé en flèche pour atteindre des sommets historiques.

Selon l'American Automobile Association (AAA), le prix moyen national de l'essence sans plomb ordinaire a atteint 4,25 $ le gallon (3,87€ les 3,78 litres) au 21 mars 2022. C'est la première fois depuis 2008 que les prix de l'essence dépassent la barre des 4 $ le gallon.

Le prix du gaz augmentait déjà deux semaines avant l'invasion russe de l'Ukraine, en raison de l'augmentation de la demande due à la levée des restrictions COVID. Mais, comme le détaille Raul Amoros de Visual Capitalist ci-dessous, lorsque la guerre a éclaté, le prix de l'essence ordinaire a bondi de 41 ¢ au cours de la première semaine. Cette flambée des prix pourrait représenter jusqu'à 2 000 $ de coût annuel pour le ménage américain moyen.

Alors que le prix à la pompe se situe en moyenne à 4,25 $ le gallon, il convient de mentionner que les prix varient assez considérablement en fonction de l'état. La Californie a le prix moyen le plus élevé à 5,86 $ le gallon. À l'autre extrême, le Kansas a un prix moyen de 3,77 $ le gallon.

Où est le gaz le plus cher en Amérique ?

Il y a huit États où les prix de l'essence sont supérieurs à 4,50 $ le gallon et trois États où le prix est supérieur à 5 $ : la Californie, Hawaï et le Nevada.

Voici les 10 états ou districts avec les prix du gaz les plus élevés :

Où est le gaz le moins cher en Amérique ?

Il y a 16 États où les prix du gaz sont inférieurs à 4 $ le gallon. Voici les 10 États avec les prix du gaz les plus bas :

Il y a quelques raisons pour lesquelles les prix du gaz peuvent varier d'un État à l'autre. Les taxes d'État jouent un rôle important dans le prix final à la pompe et peuvent aller de 57,6 ¢ le gallon en Pennsylvanie à 8 ¢ le gallon en Alaska.

La proximité des raffineries est un autre facteur contribuant au prix du gaz moins cher. Des États comme le Texas, la Louisiane, le Mississippi et l'Alabama ont souvent des prix inférieurs à ceux d'autres régions.

Quand les prix du carburant vont-ils baisser ?

Les prix du gaz étaient à la hausse en raison d'une pénurie d'approvisionnement en pétrole. Lorsque la guerre a éclaté, il y a eu une flambée des prix supplémentaire en raison des sanctions ou des interdictions d'exportations de pétrole russe par l'Occident.

Il convient également de noter que même si le prix du pétrole recommence à baisser, il y a généralement un délai avant que les prix à la pompe ne commencent à baisser pour les consommateurs.

L'Energy Information Administration prévoit que le prix au comptant moyen du pétrole brut Brent sera de 105,22 $ le baril cette année, soit une différence de 22 $ par rapport à ses prévisions initiales de février. En conséquence, de nombreux experts s'attendent à ce que les prix de l'essence restent proches ou supérieurs à 4 $ le gallon (3,78 l.) pour le reste de l'année.

https://www.zerohedge.com/personal-finance/mapped-gas-prices-across-america-reach-all-time-highs 

vendredi 25 mars 2022

ALIMENTATION : PRÉPAREZ-VOUS, LES AUGMENTATIONS ARRIVENT

 par PAOLO GAROSCIO

  25/03/2022 


Les prix des produits alimentaires frais étaient en hausse de 5,9 % sur un an en février 2022.

Les prix des produits alimentaires est déjà en forte hausse depuis plusieurs mois, mais la situation ne fera qu’empirer. Si jusque-là c’étaient les tensions liées à la reprise économique poste-pandémie qui pesaient sur les prix des produits alimentaires, la guerre en Ukraine et les sanctions économiques décidées par l’Occident contre la Russie et vice-versa en rajoutent une couche.

Les prix de l’alimentation vont fortement augmenter

La dernière publication sur l’inflation en février 2022 de l’Insee, publiée le 15 mars 2022, montrait déjà une une forte hausse des prix de l’alimentation en France. Alors que l’inflation s’est établie à 3,6% sur un an, l’alimentation a vu ses prix grimper de 2,1 % tous types confondus, et même de 5,9 % pour ce qui est des produits frais.

Mais entre-temps, la guerre en Ukraine s’est enlisée : les prix de l’énergie ont explosé comme ceux des produits utilisés par l’agriculture, notamment l’engrais. Les prix du transport, déjà élevés, ont également continué à augmenter. Et les deux pays en guerre, l’Ukraine et la Russie, sont de gros producteurs de céréales et autres produits agricoles, ce qui n’aide en rien la situation.

Pas de « pénurie » mais des prix qui vont augmenter

Les professionnels du secteur, notamment les agriculteurs, les distributeurs et les industriels de l’agroalimentaire, sont à nouveau en discussions pour répercuter la hausse des prix de production sur les prix d’achat de matières premières et donc de vente. Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture, a donc prévenu les ménages français sur RMC le 24 mars 2022 : « les prix vont augmenter ».

Si le ministre estime que le risque de pénurie n’existe pas en France, ou est tout du moins très faible, il s’inquiète pour les pays moins indépendants en termes de production alimentaire. Une inquiétude partagée par l’ONU qui juge qu’un risque de famine sur fond de hausse des prix alimentaires est possible dans de nombreux pays sous-développés et en voie de développement.

Le consommateur va donc devoir payer plus cher, ce qui va peser encore plus sur le budget des ménages déjà confrontés à une forte hausse des prix de l’énergie. Mais le ministre de l’agriculture estime qu’il « faut que les industriels, la grande distribution, jouent leur part » afin de réduire la hausse des prix de production.

http://www.economiematin.fr/news-hausse-prix-consommation-alimentation-risque-guerre-ukraine

jeudi 24 mars 2022

Jour 4 - Grand Jury / Tribunal de l'Opinion Publique

 

12:26  Dr Alexandra Henrion-Caude
1:39:30 Pr Dr Sucharit Bhakdi
2:01:00 Dr Mike Yeadon
2:25:50 Dr Vanessa Schmidt-Krüger
2:26:27 Pr Dr Arne Burkhardt
2:33:00 Pr Dr Antionetta Gatti
2:50:00 Pr Dr Arne Burkhardt
3:33:50 Pr Dr Werner Bergholz (3:48:00 Oxyde de graphène)
3:52:35 Me N. Ana Garner,  Alexandra Henrion-Caude, Pr Dr Sucharit Bhakdi
4:07:00 Me Virginie de Araujo Recchia, Me Dexter L-J Rynevelt,
4:15:00 entraîneuse Meredith Miller
4:38:00 Dr Ariane Bilheran

samedi 19 mars 2022

Climat : Le mensonge est devenu un art de vivre …

  le 19 mars 2022


Inutile de mentionner les évènements d’Ukraine qui ont provoqué une cascade de mensonges jamais atteinte auparavant ou encore l’épidémie de coronavirus au cours de laquelle le Ministre de la santé français avait pour habitude de mentir à plusieurs reprises lors d’une intervention télévisée et pour le changement du climat depuis 1990 les fonctionnaires internationaux de l’IPCC n’ont pas d’autre choix que de mentir puisque la raison d’être de cet organisme est depuis plus de 30 ans de nier la réalité. Vous êtes intoxiqué par la propagande mensongère anti-Poutine, vous avez cru aux niaiseries du pouvoir politique au cours de l’épidémie de coronavirus, alors vous accepterez volontiers un autre mensonge de la part de l’IPCC, mais ce n’est pas mon cas. Dans le premier « Assessment Report » (AR) de 1990 il était écrit au sujet des effets en retour des gaz à effet de serre, je cite :

« Le plus simple de ces effets en retour apparaît quand l’atmosphère s’échauffe et que la quantité de vapeur d’eau qu’elle contient augmente. La vapeur d’eau est un important gaz à effet de serre et va donc amplifier le réchauffement ». À ce sujet j’ai écrit sur ce blog un billet intitulé « La magie de l’eau » qui met en doute cette affirmation de l’IPCC (lien).

En 2013 et 2014 je ne connaissait strictement rien dans la climatologie et comme la COP21 se précisait à grands renforts de propagande organisée par Laurent Fabius et Ségolène Royal je me suis penché sur une multitude d’articles que j’arrivais à comprendre grâce à mes connaissances scientifiques acquises au cours de mes études universitaires. Je me suis alors très vite rendu à l’évidence : l’affirmation par l’IPCC que l’effet en retour (feed-back en anglais) de la vapeur d’eau augmentait la température au sol et provoquait de ce fait un réchauffement encore plus marqué défiait toutes les lois les plus fondamentales de la thermodynamique. Il s’agissait donc à l’évidence d’une imposture scientifique. Cette imposture s’applique aussi bien à la vapeur d’eau qu’au gaz carbonique pour les mêmes raisons qu’il est facile à comprendre : les photons infra-rouges provenant du Soleil perdent de leur énergie au fur et à mesure qu’ils pénètrent dans l’atmosphère et les photons réémis par le sol, l’océan ou les molécules des gaz atmosphériques perdent encore plus d’énergie. L’effet de retour clamé par l’IPCC encore aujourd’hui pour la vapeur d’eau mais aussi pour le gaz carbonique est une vue de l’esprit. En effet la théorie du « feed-back » défendue par l’IPCC repose sur le fait que les photons IR réémis par la vapeur d’eau et le gaz carbonique provoquent eux et eux seuls, ce réchauffement au niveau du sol sans avoir perdu d’énergie, ce qui est évidemment faux.

Les auteurs de cet article d’où est issue l’illustration ci-dessus, H. Douglas Lightfoot et Gerald Ratzer, examinent les divers scenarii concernant l’évolution du climat à venir. Ils constatent qu’à deux reprises les températures globales relevées par mesures satellitaires ont égalé la limite supérieure fixée par l’IPCC, c’est-à-dire 1,5 degrés de plus que la valeur de référence 1850-1900. Ces deux occurrences n’avaient pas du tout l’air d’être corrélées avec l’augmentation du taux de gaz carbonique atmosphérique mesuré à l’observatoire de Mauna Loa à Hawaii. Elles correspondaient à deux phénomènes El Nino particulièrement puissants. Abandonnant ainsi toute corrélation entre l’évolution des températures et celle du gaz carbonique diverses prédictions ont été examinées, numérotées 9, 10 et 11 dans la figure. Il s’agit du modèle de l’astrophysicien H. Abdussamatov qui relie directement l’évolution du climat à celle de l’activité solaire et prévoit une température moyenne de moins 0,7 degré par rapport à la moyenne 1979-2020 en 2040. La prédiction 10 est celle de Valentina Zharkova que j’ai souvent mentionné dans le présent blog et qui prévoit une température inférieure de un degré par rapport à cette même moyenne dès 2035 et enfin celle de Willy Soon qui est intermédiaire entre les deux précédentes. Toujours est-il que ces prédictions, toutes basées sur l’évolution de l’activité solaire conduisent entre 2030 et 2050 à un véritable âge glaciaire.

Les auteurs concluent ainsi leur papier par ces mots : « en raison des mauvaises récoltes prévisibles les gouvernements doivent dès maintenant prévoir une telle situation ainsi qu’une industrie énergétique capable de procurer assez de chaleur aux citoyens, car la période 2030-2050 sera la plus froide (depuis le minimum de Maunder) ». Quand on sait qu’il faut au minimum dix ans pour construire une centrale nucléaire (si on fait appel aux sociétés chinoises) … Et ils terminent leur article en affirmant que le concept de l’IPCC d’un accroissement du gaz carbonique atmosphérique provoquera un réchauffement du climat n’a jamais été vérifié par les faits depuis plus de 30 ans, ce qui rend caduque la théorie de l’effet de serre.

Source en accès libre : https://doi.org/10.29169/1927-5129.2022.18.03 et https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/12/21/la-magie-de-leau/

https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/03/19/climat-le-mensonge-est-devenu-un-art-de-vivre/

jeudi 17 mars 2022

L'avocat présente au Congrès des preuves que les vaccins COVID-19 sont l'une des plus grandes fraudes de l'histoire

mercredi 16 mars 2022

par : Cassie B.


(Natural News) L'avocat Thomas Renz, qui a publié des données du ministère de la Défense montrant une augmentation significative des maladies et blessures graves chez le personnel militaire à la suite du déploiement des vaccins COVID-19 en 2021, a publié un avis juridique spécial de près de 200 pages de preuves à l'appui.

Certaines des données les plus alarmantes incluses dans les preuves proviennent d'un trio de dénonciateurs du DoD, qui ont partagé la preuve de la base de données épidémiologique militaire de la Défense d'une augmentation globale de près de 1 000 % des blessures et des maladies. Cette base de données, rapporte Renz, est "considérée comme la première base de données épidémiologiques au monde, surveillée par toute une division de l'armée, une partie des données alimentant le DHHS concernant la sécurité des vaccins, et fréquemment citée par les professionnels de la santé publique dans des publications évaluées par des pairs. .”

Il a présenté les données lors d'une audience publique au sénateur Ron Johnson, un membre éminent du sous-comité permanent des enquêtes. Le sénateur Johnson a ensuite écrit une lettre au secrétaire à la Défense à ce sujet, et il a reçu une réponse indiquant qu'il y avait eu un "problème" dans la base de données impactant les données de 2016 à 2020 et que 2021 n'avait pas été une anomalie.

Selon Renz, si cela avait vraiment été le cas, le ministère de la Santé et des Services sociaux, le Dr Anthony Fauci, le ministère de la Défense, la Maison Blanche et les responsables de la santé publique du monde entier se seraient trompés pendant cinq ans – dont 2020, le première année de la pandémie.

Se référant au fait que le DoD a ensuite ajusté les chiffres pour les années qu'il prétend avoir été affectées par le problème pour rendre les chiffres de 2021 plus cohérents avec les années précédentes, il a écrit : « Le problème s'est ensuite réparé comme par magie en 2021 malgré le fait que l'erreur est passé inaperçu jusqu'à ce que nous partagions cette information en 2022. »

Le Pentagone n'a pas encore expliqué pourquoi les chiffres réels n'étaient pas dans le système officiel pendant cinq ans et d'où provenaient les chiffres initialement publiés, ni pourquoi les chiffres de 2021 étaient censés être exacts, mais les chiffres précédents ne l'étaient pas.

Cependant, ce que nous savons, c'est que l'une des deux choses doit être vraie selon que 2021 était anormal ou que les chiffres des cinq années précédentes étaient effectivement similaires à 2021, comme le souligne Renz : ou nos militaires ont été très malsains et le Pentagone a complètement perdu le contrôle de la surveillance épidémiologique de ces problèmes de santé pendant des années. Quoi qu'il en soit, c'est l'histoire de l'année.

Augmentations significatives observées dans plusieurs maladies graves

Parmi les données trouvées dans la base de données du DoD et mises en évidence par la lettre de Johnson, il y avait une augmentation de 2 181 % de l'hypertension de 2020 à 2021, une augmentation de 1 048 % des maladies du système nerveux, une augmentation de 680 % de la sclérose en plaques, une augmentation de 551 % de Guillain -Syndrome de Barre, et s'élève bien au-dessus de 100 pour cent de divers types de cancer et d'infertilité.

D'autres données Renz voulait attirer l'attention pour inclure un document du DoD qui montre que le Dr Fauci a menti en affirmant que le virus était une "crise des non-vaxxés" et démontrant que les piqûres sont encore moins efficaces parmi les minorités et un document Pfizer prouvant les dangers de la vaccins étaient connus dès le début et que les effets secondaires potentiels ont été dissimulés.

Il existe également un briefing des hauts responsables du DoD démontrant qu'un quart des membres du service actif et des réservistes n'ont pas encore été complètement vaccinés et sont donc susceptibles d'être renvoyés de l'armée.

En plus d'appeler à la levée immédiate des mandats de vaccination pour le personnel militaire, Renz supplie les responsables de "regarder les faits et de prendre position".

Les sources de cet article incluent :

WND.com

RonJohnson.Senate.gov

https://www.naturalnews.com/2022-03-16-evidence-congress-covid-vaccines-fraud-history.html

mardi 15 mars 2022

Des millions de personnes entièrement vaccinées contre le COVID souffrent désormais de maladies atroces

mardi 15 mars 2022

 par : Ethan Huff


(Natural News) Un blogueur qui se fait appeler «un médecin du Midwest» a émis un avertissement selon lequel les effets indésirables du «vaccin» contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) sont beaucoup plus importants que beaucoup de gens ne le pensent.

Des millions de personnes potentiellement «entièrement vaccinées» souffrent désormais d'une gamme de maladies induites par la piqûre qui peuvent ou non être guéries. Et la triste réalité pour eux est qu'ils ne trouveront probablement jamais les réponses ou les solutions dont ils ont besoin.

"J'ai essayé d'utiliser un langage très neutre pour décrire ces événements, mais cela a été un processus très difficile à suivre pour moi", a écrit le médecin, faisant référence aux nombreuses histoires qui affluent de personnes blessées par les injections.

"Beaucoup de personnes que je connais et que j'ai guidées tout au long du processus ont accès à des options pour atténuer ces blessures, ce que la plupart des gens n'ont pas. J'ai lu divers groupes de soutien et, en général, j'ai trouvé que leurs expériences sont généralement pires que ce que je décris ici car ils n'ont pas le privilège d'avoir accès à un moyen d'atténuer les dommages.

Au départ, on croyait que les effets secondaires les plus graves, au moins, seraient minimes. Seule une infime partie des gens, nous a-t-on dit, sauraient même qu'ils ont pris les vaccins par la suite parce que leur santé serait très bien. Cela s'avère faux.

"Une fois que le vaccin a été diffusé au grand public, j'ai commencé à voir des patients apparaître pour diverses affections auto-immunes et neurologiques aiguës (que je qualifierais de" modérées ") immédiatement après la vaccination à un rythme beaucoup plus élevé que prévu", a écrit le médecin.

«Chaque fois qu'ils m'ont dit que les autres médecins qu'ils avaient vus insistaient soit sur le fait que la réaction n'était pas liée à la vaccination, soit le fait qu'ils aient eu la réaction était un très bon signe, car s'ils avaient fini par contracter le COVID, l'événement indésirable aurait été beaucoup, bien pire. Peu de temps après, j'ai commencé à demander à des amis de me contacter pour savoir si le vaccin pouvait provoquer une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral mortel, ce que je n'avais pas prévu.

Les injections de COVID provoquent des «effets très étranges» dont les médecins «ne peuvent pas expliquer le mécanisme

Alors que le récit officiel entourant les injections «sûres et efficaces» continuait de s'effondrer, le médecin a commencé à compiler des données pour comparer ce qui se passe réellement dans la vie réelle à ce que les médias contrôlés par les entreprises et le gouvernement prétendent être le cas.

"Ma raison principale pour tout cela est que tout le monde aime dire" les réactions graves aux vaccins sont de 1/1 000 000 ", ajoute le médecin. "Ma logique était qu'il était absolument impossible que je connaisse 1 000 000 de personnes à travers un degré de séparation."

"Je suppose que je connais 50 000 à 100 000 personnes à un degré de séparation, donc au plus j'entendrai parler de 10 % des cas (probablement moins) dans cet échantillon, donc si j'ai au moins 10 cas de blessures graves dans ce échantillon qui est un grand drapeau rouge.

Parmi les effets secondaires mortels observés par le médecin figurent :

• Accidents vasculaires cérébraux, accidents vasculaires cérébraux probables et caillots sanguins

• Hémorragies

• Maladies cardiaques

• Mort subite (cause inconnue)

• Anaphylaxie et allergies

• Autres affections neurologiques

• Affections psychiatriques

• Troubles auto-immuns et fatigue chronique

• Immunodépression et cancer

• Irrégularités menstruelles et fausses couches

• Malformations congénitales

Il y a aussi d'autres "effets très étranges", a ajouté le médecin, dont "je ne peux pas expliquer le mécanisme". Cela est peut-être dû au fait que la technologie de l'ARN messager (ARNm) n'a jamais été utilisée auparavant chez l'homme, et donc les dommages qu'elle cause sont nouveaux pour ceux du domaine médical.

Assurez-vous de lire le rapport complet avec des histoires sur AMidWesternDoctor.substack.com.

Le site Web CovidVaccineVictims.com contient également une pléthore d'histoires sur les blessures et les décès par coups.

Les dernières nouvelles sur les blessures du « vaccin » COVID-19 peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.

Les sources comprennent :

AMidwesternDoctor.substack.com

NaturalNews.com

https://www.naturalnews.com/2022-03-15-millions-fully-vaccinated-covid-suffering-excruciating-illnesses.html

Brève. Rebondissement sur l’origine du SARS-CoV-2

  le 15 mars 2022


Un article paru dans la revue Frontiers in Virology le 21 février 2022 relate une étude dédiée à la séquence du matériel génétique du SARS-CoV-2. Cette étude indique clairement et irréfutablement que dès 2016 les travaux de gain de fonction étaient déjà bien avancés. Le SARS-CoV-2 à l’origine de la pandémie présente une homologie de séquence de 96,2 % avec le coronavirus de chauve-souris RaTG13. Cependant les deux séquences de l’ARN de ces deux coronavirus diffèrent au niveau d’une insertion créant le site de clivage par la furine, un enzyme protéolytique présent chez l’homme, exactement au point médian de codage des sous-unités 1 et 2 de la protéine S (spike) du coronavirus. Cette insertion de 12 nucléotides correspond à la séquence Proline-Arginine-Arginine-Alanine qui est le site de clivage par la furine pour la protéine « spike » S1-S2 qui rend le SARS-CoV-2 hautement infectieux pour les humains alors que le RaTG13 ne l’est que très peu.

Une recherche de similitude de séquence dans la banque publique de données dont l’accès est ouvert à tous le biologistes, recherche appelée « blast », n’a retrouvé qu’un seule similitude dans cette banque de données. Il s’agit de la séquence de 19 nucléotides suivante : CCTCGGCGGGCACGTAG matchant à 100 % avec une séquence faisant l’objet d’un brevet US 9587003 déposé en 2016 par un dénommé Bancel au profit de la société Moderna, une société spécialisée dans le traitement de certaines formes de cancer à l’aide d’ARNs messagers codant pour des protéines spécifiquement toxiques pour les cellules cancéreuses. Les codons CCT, CGG, CGG et CAC codent pour un enchainement dans la protéine spike S1+S2 pour la séquence Proline-Arginine-Arginine-Alanine. Ce qui conduit à envisager une intervention humaine réside dans le fait que la probabilité pour que les codons CGG codent pour l’Arginine est extrêmement faible chez les coronavirus, de l’ordre de 3,21×10-11 , c’est-à-dire zéro. À l’évidence cette insertion a été faite en laboratoire pour obtenir un gain de fonction.

Où et quand ? Telle est la question. Les auteurs de l’étude dirigée par le Docteur Adam M. Brufsky de la faculté de médecine de l’Université de Pittsburg (doi : 10.3389 /fviro.2022.834808 en accès libre) ne se prononcent pas. Ils écrivent qu’il s’agit d’une effet du hasard, d’autres possibilités devant être prises en considération tout en écrivant que des études complémentaires doivent être envisagées. J’adore le langage diplomatique des scientifiques qui redoutent d’être voués aux gémonies. Car dans la communauté très fermée des spécialistes de la biologie moléculaire virale il doit bien y avoir quelques échanges d’informations. Bref, 6 millions de morts plus tard on est toujours au même point. 

https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/03/15/breve-rebondissement-sur-lorigine-du-sars-cov-2/

samedi 12 mars 2022

Direct avec Astrid Stuckelberger - 11 Mars 2022

 

L'oxyde de graphène est attiré par les tissus synthétiques !

15:00 La suprématie de la Démocratie suisse est au-dessus de toutes les lois internationales. (Il ne faut donc pas tenir compte des propos tenus par certaines personnes 'haut-placées' ou en universités qui soutiennent l'armée nazie ukrainienne qui bombarde tous les jours (depuis 8 ans !) les ukrainiens du Dombas, et qui s'opposent au sauveur Poutine qui vient défendre l'Est de l'Ukraine).


voir aussi:

jeudi 10 mars 2022

Et si la France remettait en exploitation ses mines de charbon ?

 le 10 mars 2022


Alors qu’il y a encore une année le prix de la tonne de charbon sur les marchés était de l’ordre de 90 dollars la tonne métrique, aujourd’hui 9 mars 2022 pour des raisons de conjoncture géopolitique cette même tonne de charbon a atteint 420 dollars (10 mars 2022) au grand dam des tenants des investissements ESG. Le charbon c’est sale, ça pollue et pire encore c’est un peu radioactif. C’est la bête noire des écologistes, sans faire de jeu de mots. Une petite mine de charbon capable d’extraire 1000 tonnes (30 camions de 40 tonnes) par semaine réaliserait un chiffre d’affaire brut hebdomadaire de 400000 dollars ! Il existe en France deux sites susceptibles d’être exploités à ciel ouvert après seulement quelques semaines de travaux de terrassement. Il s’agit des gisements dits de Decize et de Verneuil. Mais il existe une multitude d’autres gisements encore exploitables et pour certains d’entre eux également à ciel ouvert car il est devenu impossible de remettre en exploitation des mines profondes comme par exemple dans le nord de la France.

Certes, il faudrait un immense courage pour un entrepreneur-investisseur désirant se lancer dans l’aventure risquée de mise en exploitation d’une mine de charbon sur le sol français. Il rencontrerait l’administration et le code minier, puis le ministère de l’écologie et de l’environnement et enfin les marchés car aussi vite qu’il a monté le cours de la tonne de charbon pourrait chuter. Néanmoins le sous-sol français est négligé pour toutes ces raisons malgré la diversité de minerais, si l’on considère le charbon comme un minerai, depuis l’or jusqu’au talc en passant par l’uranium. Mais non ! Il ne faut pas défigurer le paysage de la douce France et plutôt que d’exploiter du charbon à des fins mercantiles il est plus approprié d’installer des éoliennes géantes qui, elles, sont installées pour préserver le climat sans défigurer le paysage, un peu mais moins qu’une mine de charbon ou un derrick de fracking. C’était de l’humour …

Personnellement je trouve que la France a choisi une impasse mortelle pour son économie en interdisant l’exploitation de gaz et d’huile de roche mère. Puisque tout forage exploratoire est interdit personne ne connaît la richesse du sous-sol du sud-ouest et du nord du Bassin Parisien. Le mot d’ordre est « on ne touche pas au sous-sol ». Car comme la balance commerciale de la France est franchement déficitaire elle continuera à l’être en important maintenant à prix d’or du charbon, du gaz et du pétrole. Non, la France n’est pas près de ses sous puisqu’elle continue à emprunter à des taux d’intérêt proches de zéro. On appelle ça une « gestion de père de famille gâteux ». Il est souvent arrivé par le passé que des chefs d’entreprise ayant fait fortune décident de claquer leur fortune aux jeux, aux courses ou avec des « créatures » comme cela était dit pudiquement au début du vingtième siècle. Aujourd’hui la France dilapide ce qui lui reste de fortune avec une créature infiniment plus gourmande : l’écologie, et ce sera sa perte.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/03/10/et-si-la-france-remettait-en-exploitation-ses-mines-de-charbon/

mardi 8 mars 2022

Qui a dit que les tests n'étaient jamais effectués sur les animaux avant les humains ?😎


"Est-ce une épidémie mortelle ??! Est-ce une radioactivité nucléaire ??! NON ! C'est simplement une photo prise à l'intérieur d'un laboratoire où ils expérimentent les nouveaux biscuits pour chiens vendus en suppositoires.

lundi 7 mars 2022

Trains à grande vitesse en Chine


 Comme le sont les avions qui circulent, les trains à grandes vitesses doivent s'adapter à ces rencontres en ayant des volets, des ailerons impactant (rétractables) ou pas. La morphologie du train doit donc évoluer comme les rails sur lesquels il repose.
 Pourquoi tant de calculs pour déplacer une population qui n'a pas lieu d'être entassée à un endroit ? Tout est la faute de la politique de l'urbanisme qui est inadaptée, néfaste et contraire au bon développement d'un pays. Les immeubles devraient être horizontaux (pour laisser de la place au sol):
 
 

samedi 5 mars 2022

Découverte de la plus grande bactérie connue à ce jour, pouvant atteindre 2 cm de long !

 05/03/2022

par Aphadolie

D’ordinaire, les cellules de la plupart des espèces de bactéries mesurent entre un et cinq micromètres de long, avec un record à 750 micromètres. Mais des biologistes viennent de mettre au jour une bactérie d’une longueur moyenne de 9000 micromètres et pouvant atteindre 2 cm. Elle est donc visible à l’œil nu. Appelée « Thiomargarita magnifica », elle présente une biologie unique, avec un grand génome. En outre, son matériel génétique est compartimenté et très proche de la membrane, ce qui remet en question les concepts traditionnels des cellules bactériennes.

On oppose assez facilement les procaryotes aux eucaryotes, les premiers étant des organismes en majorité unicellulaires, contrairement aux seconds. Les procaryotes regroupent les bactéries et les archées, organismes les plus divers et les plus abondants sur Terre.

Si la plupart d’entre eux sont de petite taille, certaines cellules — appelées bactéries géantes — présentent une taille de l’ordre de dizaines voire de centaines de microns. Jusqu’à présent, Thiomargarita namibiensis détenait le record de la plus grande bactérie jamais découverte, avec une taille pouvant atteindre 750 micromètres (taille moyenne : 180 µm). Ces géants bactériens soulevaient la question de savoir s’il existait d’autres macro-bactéries qui n’avaient pas encore été identifiées.

Plus grande qu’une mouche domestique

Pour le moment décrite dans une prépublication du 18 février 2022, la « nouvelle » bactérie du même genre que la précédente a été baptisée « Thiomargarita magnifica » par les chercheurs, stupéfaits par sa très grande taille. En effet, son unique cellule filiforme est visible à l’œil nu et peut atteindre jusqu’à 2 cm de long. Plus grande qu’une mouche domestique, elle est environ 5000 fois plus grande que de nombreux autres microbes.

Morphologie et ultrastructure de Thiomargarita magnifica.

A : Comparaison de la taille de certains systèmes modèles bactériens (vert) et eucaryotes (bleu) sur une échelle logarithmique.

B : Montage en microscopie optique de la moitié supérieure d’une cellule de T. magnifica, avec une partie basale cassée révélant une morphologie tubulaire due à la grande vacuole centrale et aux nombreux granules de soufre intracellulaires sphériques (un tardigrade est représenté à l’échelle).

C : Rendu 3D de cellules segmentées, supposées être à différents stades du cycle de développement. © Volland et al, 2022

En réalité, la bactérie a été découverte pour la première fois il y a environ 10 ans, sous la forme de minces filaments poussant sur des feuilles de palétuviers en décomposition dans un marais des Caraïbes. Mais ce n’est que 5 ans plus tard que son découvreur (un biologiste marin) et ses collègues ont réalisé que ces organismes étaient en fait des bactéries uniques en leur genre. Pour attester que les filaments de palétuviers étaient constitués d’une seule cellule, ils ont utilisé diverses méthodes de microscopie et de coloration.

Une cellule très proche des eucaryotes

En plus de sa taille exceptionnelle, la bactérie possède un génome massif qui ne circule pas librement à l’intérieur de la cellule (comme c’est le cas pour les autres bactéries), mais qui est enfermé dans un sac membranaire : ce que l’on retrouve dans des cellules bien plus complexes comme celles de l’humain. À mi-chemin entre eucaryote et procaryote, sa classification demeure complexe. D’après les chercheurs, cette bactérie pourrait alors représenter le chaînon manquant dans l’évolution des cellules complexes.

En tout, la cellule comporte deux sacs membranaires :

L’un avec l’ADN de la cellule (appelé « organite ») et l’autre rempli d’eau (la « vacuole »). Ce sac — qui occupe 73% de son volume total — pourrait d’ailleurs être la raison pour laquelle la bactérie a pu devenir si grande, tout comme le précédent détenteur du record. Auparavant, les microbiologistes avaient tendance à penser que les bactéries étaient de petite taille parce que les nutriments et les toxines devaient pouvoir transiter au sein de leur cellule. Mais un microbe peut aussi bien être géant, avec son contenu cellulaire écrasé contre sa paroi externe par un sac rempli d’eau ; ce qui n’empêche pas les molécules essentielles de circuler.

Image de microscopie légère et modèle proposé pour l’organisation sub-cellulaire dans Thiomargarita magnifica. © Volland et al, 2022

L’analyse génétique de sa « poche d’ADN » a révélé un génome massif, contenant 11 millions de bases et environ 11 000 gènes (presque trois fois plus que la plupart des génomes bactériens). En utilisant des marqueurs fluorescents sur l’ADN, les chercheurs ont réalisé qu’il y a en fait plus de 500 000 copies des mêmes séquences d’ADN. Ils ont même retrouvé des ribosomes à l’intérieur du sac d’ADN : les « usines de production » des protéines.

Considérées comme des structures simples et non évoluées, les bactéries pourraient donc nous surprendre en s’avérant plus complexes que prévu, du moins pour certaines. Elles permettraient également d’expliquer l’évolution de simples cellules en cellules complexes.

De plus, elle possède une cellule bien plus complexe que la plupart des bactéries.

Bonus…

Time : 14 mn 14 [Vostvfr] / [1/1]

Combien y a-t-il de microbes dans le corps humain ? Votre corps est constitué d’innombrables cellules, mais elles ne sont pas toutes exactement vous.

En fait, plus de la moitié de ce que vous êtes sont des micro-organismes qui se promènent sur et à l’intérieur de votre corps : l’être humain moyen abrite environ 40 000 milliards de microbes contre 30 000 milliards de ses propres cellules. Et en dehors de votre corps, il y en a des milliards de fois plus.

Le plus petit organisme unicellulaire n’a même pas encore de nom. Il mesure 9 nanomètres de long – 150 000 de ces créatures tiennent sur la pointe d’un cheveu. Le plus grand organisme unicellulaire au monde est une algue, et il peut atteindre près de 3,048 mètres (10 pieds de long) !

Le monde des micro-organismes est incroyable ! Voyons ce qu’ils sont !

Source :

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2022.02.16.480423v1.full

https://trustmyscience.com/plus-grande-bacterie-jamais-decouverte-possede-cellule-complexe-que-plupart-bacteries/

https://aphadolie.com/2022/03/05/decouverte-de-la-plus-grande-bacterie-connue-a-ce-jour-pouvant-atteindre-2-cm-de-long/