mercredi 31 août 2022
VACCIN ARNm/ Preuve qu'il est au cœur du "plan de dépopulation" exposé en 2015 au WEF (Hd 720)
Le Vaccin est une peine de Mort !!?
mardi 30 août 2022
ÉLECTRICITÉ : ABSENCE DE PLAN DE SÉCURITÉ DU TERRITOIRE EN CAS DE BLACK-OUT
par JEAN-LOUIS BUTRÉ
30/08/2022
La production d'électricité française le 3 août 2022 était à 58 % d'origine nucléaire.
La France risque de connaitre des black-out cet hiver si les réacteurs nucléaires actuellement à l’arrêt ne sont pas remis en route immédiatement. La capacité actuelle de la filière n’est plus que de 22.000 MW soit 30.000 MW de moins que durant les périodes de froid de janvier 2017 et février 2018 ou le réseau a failli disjoncter.
Étant donné qu'une pénurie générale d’électricité se confirme en Europe, une telle quantité d’électricité risque d’être introuvable sur le marché spot même au prix astronomique prévu de 1000€ le MWh, chaque pays privilégiant en premier sa sécurité d’approvisionnement.
La Fédération Environnement Durable qui a pour objet de lutter contre toute atteinte à la sécurité ou à la santé des personnes exposées aux énergies renouvelables, constate que le gouvernement se focalise sur un développement de ces énergies renouvelables au détriment de l’essentiel c’est-à-dire des besoins réels de la population et d'un prochain hiver sans black-out.
La Fédération Environnement Durable demande que des mesures exceptionnelles soient prises en urgence pour que les toutes les centrales de production d’électricité à l’arrêt soient remises en fonctionnement dans les plus bref délais en donnant les moyens techniques et financiers à EDF pour y parvenir, et par une lettre du 25 août 2022 adressée au Ministre de l'Intérieur d'établir un plan de sécurité civile « ORSEC Black-out » et de le communiquer à l’ensemble de la population, ce qui ne semble pas cas actuellement.
Il s’agit d’une question prioritaire de sécurité nationale, l’électricité en étant la clé du fonctionnement de la civilisation moderne actuelle.
Lettre au Ministre de l'intérieur concernant la sécurité du territoire
Depuis plusieurs semaines le gouvernement Suisse alerte la population et prend des mesures de sécurité dans l’éventualité de pannes générales d’électricité (Black-out) cet hiver. Dans un scénario apocalyptique décrivant les conséquences de cette éventualité, les médias suisses évoquent des risques de pillages et mentionnent que la Suisse se prépare à des actions extrêmes en cas de pénurie.1
« Une coupure de réseau ou un black-out pourrait avoir des conséquences importantes, les forces de sécurité seraient aussi sollicitées, indique le président de la Conférence des Directrices et Directeurs des départements Cantonaux de Justice et de Police (CDJP). Il n’est pas exclu que la population se rebelle, ou qu’il y ait des pillages.
Il ne serait plus possible de retirer de l’argent aux distributeurs de billets (bancomat), plus possible de payer par carte au magasin ou de faire le plein dans les stations-service. Tous les chauffages ne fonctionneraient plus et les rues seraient plongées dans l’obscurité…En 2014 déjà, les forces de sécurité s’étaient préparées, dans le cadre d’un exercice, à une situation de pénurie d’électricité et de black-out. D’importantes lacunes avaient alors été découvertes… ».
Bien que la France soit en principe hors de danger selon les déclarations récentes de Mme Borne Premier ministre, de Mme Pannier-Runacher Ministre de la Transition énergétique et des responsables du Réseau de transport d’électricité, Il n’en reste pas moins que les moyens de production de la France se trouvent actuellement en sérieuses difficultés suite aux conséquences de la sécheresse sur les réserves d’eau des barrages et du fait de l’état du parc nucléaire français, une trentaine de réacteurs sur 56 étant à l'arrêt fin juillet.
Compte tenu de l’évolution imprévisible de la situation énergétique qui se profile l’hiver prochain dans toute l’Europe et la probable situation difficile de l’électricité en France, les questions posées au gouvernement par la Fédération Environnement Durable représentant à ce jour 1626 associations sont les suivantes : En cas de black-out, existe-t-il un plan national concernant la sécurité du territoire type « plan Orsec » et la population en est-elle informée ?
https://www.tdg.ch/la-suisse-se-prepare-a-des-scenarios-extremes-en-cas-de-penurie-219924116207
https://economiematin.fr/news-black-out-electricite-plan-urgence-risque-butre
La 5G est-elle vraiment sans risque ?
lundi 29 août 2022
dimanche 28 août 2022
samedi 27 août 2022
vendredi 26 août 2022
Dr Astrid Stückelberger - (Hd 720) Lire descriptif. "VACCINES" voici "les moyens de vous en sortir"
jeudi 25 août 2022
Dr Alexandra Henrion-Caude (studios TVL) le 31 Juillet 2020
mercredi 24 août 2022
mardi 23 août 2022
Dr. Carrie Madej - Humanité 2.0 : Un médecin met en garde contre les nouvelles technologies utilisées dans les vaccins (28-11-2020)
lundi 22 août 2022
dimanche 21 août 2022
samedi 20 août 2022
Une étude de l'UE envisage des implants de puces pour les citoyens
vendredi 19 août 2022
jeudi 18 août 2022
EXCLUSIF: Natural News publie les résultats de l'analyse élémentaire ICP-MS des caillots post-vaccin, comparant les caillots au sang humain… les résultats révèlent que ces caillots ne sont PAS des caillots de «sang»
mercredi 17 août 2022
par : Mike Adams
(Natural News) Nous publions maintenant les résultats des tests de laboratoire ICP-MS qui comparent la composition élémentaire du sang humain à la composition élémentaire d'un échantillon de caillot prélevé sur le corps d'une personne qui a reçu une vaccination covid puis est décédée par la suite. Ce caillot a été fourni par l'embaumeur Richard Hirschman, et ces caillots sont largement signalés dans les corps de personnes qui sont "décédées subitement" dans les semaines ou les mois après avoir reçu une ou plusieurs vaccinations covid.
Selon une analyse rigoureuse basée sur des données sur les décès excessifs – joliment résumées par Steve Kirsh de Substack – il y a actuellement environ 10 000 personnes qui meurent chaque jour des vaccins covid. De 5 à 12 millions de décès sont probablement survenus dans le monde jusqu'à présent, et avec ces caillots auto-assemblés qui continuent de gagner en taille et en masse à l'intérieur du corps de ceux qui ont reçu les injections de médicaments expérimentaux d'ARNm, il est certain que de nombreuses personnes qui n'ont pas encore décédé des suites des vaccins connaîtra la mort dans les mois et les années à venir.
Kirsch a estimé à peu près qu'une personne est actuellement décédée pour 1 000 doses de vaccins covid administrées. Ce nombre augmentera presque certainement avec le temps, car les caillots qui causent tant de décès semblent continuer à « croître » (auto-assembler) à l'intérieur des vaisseaux sanguins et des artères des victimes du vaccin. Ainsi, le bilan final des vaccins covid ne se fera sentir que sur une période de plusieurs années et pourrait être d'un ordre de grandeur supérieur, potentiellement 1 sur 100 ou même 1 sur 10, bien que nous devions surveiller attentivement les décès excédentaires au cours des prochaines années. savoir où ce phénomène de décès post-vaccinal se stabilise.
Jusqu'à présent, plus de 12 milliards de doses de vaccin covid ont été administrées dans le monde. Plus de 600 millions de doses ont été administrées aux États-Unis, et Kirsch estime que 600 000 Américains ont probablement déjà été tués par des vaccins covid rien qu'aux États-Unis. (C'est environ 12 fois plus élevé que le nombre total de victimes des soldats américains pendant la guerre du Vietnam, à titre de comparaison.)
Voici une photo que j'ai prise d'un de ces caillots, sous un microscope de laboratoire :
Poursuivre le mystère des caillots post-vaccinaux
La Dre Jane Ruby a été l'une des chercheuses à l'avant-garde pour tenter de déterminer la composition de ces caillots ainsi que leur mécanisme d'action causant des décès chez les victimes. Le Dr Ruby nous a mis en contact avec Hirschman et a aidé à organiser les échantillons de caillots que nous avons testés via ICP-MS dans notre laboratoire accrédité ISO et agréé 17025, spécialisé dans l'analyse des aliments et de l'eau.
En toute transparence, notre laboratoire est accrédité, audité, inspecté et validé pour les tests ICP-MS dans les échantillons d'aliments et d'eau, ainsi que dans d'autres domaines tels que l'analyse quantitative des cannabinoïdes dans les échantillons d'extraits de chanvre. Cependant, la portée d'accréditation de notre laboratoire n'englobe pas spécifiquement les échantillons biologiques humains, car nous n'offrons pas de tels tests au public. Néanmoins, nous testons régulièrement des échantillons d'aliments pour chiens et chats qui sont, bien sûr, composés de chair animale et de vaisseaux sanguins broyés, de tissus de viande, de cartilage et d'autres structures biologiques d'origine animale, et nous utilisons exactement les mêmes préparations d'échantillons, digestion, méthodes d'analyse et de rapport pour les échantillons de caillots post-vaccinaux. Nous testons également régulièrement des échantillons de bœuf, de volaille, de poisson et d'autres viandes. Nous sommes donc très confiants dans l'exactitude de ces résultats. De plus, nous n'avons constaté aucun échec lors du processus de préparation des échantillons. Le caillot entier a été dissous dans de l'acide nitrique, ce qui signifie que ses éléments sont entrés en solution et ont pu être analysés par ICP-MS.
Voici une photo de certains des caillots trouvés dans le corps du défunt :
Ces tests ICP-MS ont été effectués le 23 juin de cette année. Nous avons retardé la publication des résultats afin de laisser le temps de partager ces chiffres avec des collègues et d'inviter les autres à faire part de leurs commentaires. Ces fichiers PDF ont également été partagés en privé avec le Dr Jane Ruby et d'autres. Personne ayant une expertise dans ce domaine n'a signalé de problèmes apparents ou de préoccupations concernant cette analyse. Au contraire, l'analyse ICP-MS est plutôt simple : les échantillons sont « digérés » dans de l'acide nitrique, cet acide est nébulisé dans un flux liquide qui passe à travers une torche à plasma, est ionisé puis dirigé à travers un assemblage quadripolaire qui trie les éléments par leurs rapports masse sur charge. Chaque élément individuel est scanné et compté sur un PMT (Photo Multiplier Tube) qui traduit les éléments individuels en courant électrique qui peut être compté avec précision. Ces résultats sont cartographiés par rapport à des étalons externes qui sont traçables au NIST pour fournir des courbes d'étalonnage très précises, ce qui signifie que les données de quantification sont extrêmement fiables.
Nous avons utilisé 0,4528 gramme du caillot comme masse d'échantillon dans ce cas :
Pour une introduction à l'ICP-MS et pourquoi il est si précis, consultez cet article du NIH.
Les résultats de l'analyse ICP-MS révèlent que ces caillots ne sont pas constitués de sang - ce ne sont pas des "caillots sanguins"
Bien que nous ayons l'intention d'effectuer davantage de tests sur les caillots et les échantillons de sang, les données que nous avons vues jusqu'à présent indiquent clairement que ces caillots ne sont pas des « caillots sanguins ». Ils ne sont pas simplement faits de sang coagulé.
Comment le savons nous ? Parce que les rapports élémentaires et les densités sont très différents. Considérez le tableau de comparaison suivant, basé sur nos résultats ICP-MS (voir les résultats complets ci-dessous), et notez les différences marquées entre les concentrations élémentaires dans le sang et les caillots parmi les éléments « marqueurs » nutritifs tels que le fer et le magnésium :
Résultats de sang d'élément Résultats de coagulation
- cadré sur site :
Mg (magnésium) 35 ppm 1,7 ppm
K (potassium) 1893 ppm 12,5 ppm
Fe (fer) 462 ppm 20,6 ppm
Zn (zinc) 7,9 ppm 2,4 ppm
Cl (chlore) 930 000 ppm 290 000 ppm
P (phosphore) 1130 ppm 4900 ppm
Comme vous pouvez le voir, l'échantillon de caillot post-vaccin ne contient que 4,4 % du fer qui serait observé dans le sang humain. Cela seul est la confirmation que ce caillot n'est pas un "caillot sanguin". De plus, notez le manque quasi total de potassium (K) dans l'échantillon de caillot. Le caillot contient moins de 0,6 % du potassium du sang humain. C'est une histoire similaire avec le magnésium aussi.
Plusieurs éléments électriquement conducteurs étaient plus élevés dans le caillot
En plus des éléments nutritifs indiqués ci-dessus, nous avons remarqué un schéma particulier parmi les éléments électriquement conducteurs tels que le sodium (Na), l'aluminium (Al) et l'étain (Sn). Pour le tableau suivant, veuillez noter que les résultats de l'étain et du sodium proviennent d'un rapport "semiquant" séparé qui est moins précis que l'analyse "fullquant" utilisée pour tous les autres éléments présentés ici. Essentiellement, les nombres semi-quants sont précis en termes de concentrations relatives d'un échantillon à l'autre, mais ils ne sont pas comparés à des échantillons externes étalonnés, de sorte que la concentration réelle (absolue) rapportée n'a pas l'intervalle de confiance des résultats quantitatifs complets :
- cadré sur site -
Element Blood Results Clot Results
Na (sodium) 1050 ppm* 1500 ppm*
Sn (tin) 163 ppb* 942 ppb*
Al (aluminum) 1.3 ppm 1.6 ppm
* = SemiQuant results, not FullQuant
Le sodium étant près de 50 % plus élevé dans le caillot et l'étain affichant une augmentation de 588 %, nous ne pouvons que conclure que le caillot d'auto-assemblage "récolte" ou concentre certains éléments du sang en circulation lorsque l'assemblage du caillot prend. place. Il est à noter que nombre de ces éléments sont conducteurs. L'aluminium, par exemple, est l'alternative la plus courante au cuivre pour le câblage électrique. Le sodium est un métal alcalin hautement conducteur et l'étain est utilisé comme composant principal dans les alliages de soudure utilisés pour fabriquer ou réparer les cartes de circuits imprimés.
Vous pouvez voir les chiffres sur la conductivité élémentaire sur ce tableau de référence de conductivité électrique d'Angstrom Sciences.
Une conclusion s'impose : le caillot manque presque entièrement d'éléments marqueurs clés qui seraient présents dans le sang humain (tels que le fer et le potassium), mais présente des concentrations nettement plus élevées d'éléments utilisés dans l'électronique et les circuits.
Nous invitons le lecteur à tirer sa propre conclusion sur l'explication derrière cela, en notant simplement que les brevets du Dr Charles Lieber peuvent présenter un intérêt particulier.
Cette analyse, notamment, ne répond à aucune question de savoir si ces caillots sont « vivants » ou morts (comme les cheveux et les ongles). Ma propre opinion professionnelle est que ces caillots ne sont pas des structures vivantes. D'après ce que nous pouvons voir jusqu'à présent, ils semblent être des biostructures mortes auto-assemblées. Mais ce n'est qu'une évaluation initiale et peut changer avec des observations ou des découvertes supplémentaires. Les prions, par exemple, sont des biostructures qui s'auto-assemblent mais qui ne vivent pas non plus. Ce sont essentiellement des protéines mal repliées qui se propagent dans tout le cerveau (ou d'autres régions), provoquant des altérations morphologiques qui annulent à la fois la structure et la fonction normales des cellules neurologiques. Quelque chose n'a pas besoin d'être vivant pour s'auto-assembler. Même les virus, tels que décrits par la virologie traditionnelle, sont des structures mortes qui s'auto-assemblent néanmoins et peuvent "croître" en taille et en masse en fonction de leur population agrégée.
L'image de microscopie suivante, prise dans notre laboratoire à un grossissement d'environ 1500 fois, montre ce qui semble être une structure répétitive sur une saillie filiforme de l'un de ces caillots. Au cas où vous vous poseriez la question, ce n'est pas un cheveu humain. Il est relié au caillot :
Voyez par vous-même les résultats de l'ICP-MS
Pour ceux qui ne connaissent pas les unités rapportées ici :
ppb = parties par milliard
ppm = parties par million
1 000 ppb = 1 ppm (à cause du système métrique)
Les unités utilisées par l'instrument sont la masse sur volume (m/v) et la "masse" est techniquement le rapport masse sur charge (m/z).
Voici une capture d'écran d'une section du rapport PDF des résultats ICP-MS pour le sang humain vivant :
Vous pouvez également télécharger le document PDF complet pour l'analyse de sang ici.
Et voici la capture d'écran des résultats de l'analyse du caillot, montrant l'analyse ICP-MS pour le caillot post-vaccin :
Enfin, vous pouvez télécharger le document PDF complet de l'analyse ICP-MS pour le caillot ici.
Partagez ces résultats et continuez à poser des questions... plus d'analyses à venir
N'hésitez pas à partager ces résultats, à les intégrer dans vos propres vidéos ou podcasts, et à proposer vos propres explications sur ce qui pourrait expliquer cette apparente anomalie. Veuillez citer NaturalNews.com comme source, car nous avons mené cette analyse exclusive afin d'aider à résoudre le mystère de ces caillots qui semblent tuer un grand nombre de personnes.
Nous nous félicitons de tout commentaire sur ces résultats, y compris les corrections si des erreurs sont trouvées.
Nous encourageons également d'autres laboratoires à reproduire ces tests pour vous-même et à publier publiquement vos résultats comme nous l'avons fait ici.
D'autres résultats d'analyse seront bientôt disponibles, y compris des images de microscopie supplémentaires.
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mercredi 17 août 2022
Dr Geert Vanden Bossche
Le rapport Dr Geert Vanden Bossche (1/2) - October 17, 2021
mardi 16 août 2022
Pour en finir avec le paradoxe de Simpson
Par Réinfo Covid France
Mondialisation.ca,
15 août 2022
reinfocovid.fr
Cet article explique de façon simple, comment se faire une idée de l’efficacité vaccinale à partir des données officielles disponibles.
À retenir :
Le paradoxe de Simpson utilisé sur les chiffres bruts ne prouve rien.
L’étude des proportions des différentes populations permet, sans aucun calcul, de déterminer l’efficacité ou non d’un vaccin.
Chacun, même sans compétence mathématique, peut évaluer l’efficacité d’un vaccin si on lui donne les informations nécessaires.
*****
Quand il s’agit de discuter l’efficacité des vaccins, le paradoxe de Simpson vient souvent dans l’argumentaire des défenseurs de l’efficacité du vaccin comme un argument d’autorité.
Pour résumer leur pensée : le plus grand nombre de cas, de formes graves ou de décès dans le groupe des vaccinés, n’est pas synonyme de l’inefficacité des vaccins.
C’est vrai.
Si une grande partie de la population est vaccinée, il n’est pas anormal, même si le vaccin est efficace, que les vaccinés représentent la majorité des personnes contaminées, de formes graves ou décédés.
Mais le nombre brut de personnes n’est pas suffisant pour conclure que le vaccin est efficace ou inefficace.
Pour s’en assurer, le plus sûr est de calculer l’efficacité vaccinale (VE). C’est un simple calcul de probabilités. Invoquer le paradoxe de Simpson ne suffit pas pour prouver quoi que ce soit, il faut déterminer l’efficacité vaccinale (VE) pour s’en affranchir.
Mais même sans calculer l’efficacité vaccinale (VE), il est possible de conclure sur la tendance de l’efficacité vaccinale : efficace ou pas. Il suffit de comparer le % de la population étudiée vaccinée avec le % des vaccinés dans les personnes contaminées, de formes graves ou décédés.
Les différents cas possibles
Pour les besoins de notre explication, nous prenons une population dont 65 % des individus sont vaccinés et nous considérons, comme les populations sont grandes, qu’il n’y a pas de différences significatives de caractéristiques entre les 2.
Si une population comprend 65 % de personnes vaccinées et que l’efficacité du vaccin est nulle : alors parmi les gens décédés, il y aura forcément 65 % de vaccinés et 35 % de non vaccinés puisque les gens vaccinés dans ce cas ne subissent aucun effet. Il s’agit mathématiquement d’un simple tirage aléatoire.
Pour faire un parallèle simple, si vous avez un sac rempli de 65 chaussettes rouges et 35 chaussettes vertes et que vous en tirez au hasard, vous aurez, finalement, tiré 65 % de rouges et 35 % de vertes. C’est aléatoire
Si une population comprend 65 % de personnes vaccinées et que l’efficacité du vaccin est totale (on imagine ici un vaccin efficace à 100 % pour les besoins de l’explication en sachant qu’un tel produit n’existe pas dans la réalité) : alors parmi les gens décédés, il y aura forcément 0% de vaccinés et 100% de non vaccinés.
Pour faire un parallèle simple, si vous avez un sac rempli de 65 chaussettes rouges et 35 chaussettes vertes et que vous en tirez au hasard mais avec un appareil muni d’un détecteur sensé éviter les rouges, vous aurez tiré 0 % de rouge et 100 % de vertes. Votre détecteur fonctionne.
Si une population comprend 65 % de personnes vaccinées et que l’efficacité du vaccin est partielle : alors parmi les gens décédés, il y aura entre 0 % et 65 % de vaccinés. Plus la proportion de vaccinés est proche de 0 %, plus le vaccin est efficace. Les gens vaccinés sont sous-représentés parmi les gens décédés.
Pour faire un parallèle simple, si vous avez un sac rempli de 65 chaussettes rouges et 35 chaussettes vertes et que vous en tirez au hasard mais avec un appareil qui diminue le risque de prendre les rouges, vous aurez tiré des rouges, entre 0% et 65% et le reste de vertes. Votre appareil n’est pas parfait mais il fonctionne partiellement. C’est déjà pas mal.
Si une population comprend 65 % de personnes vaccinées et que le vaccin est néfaste, qu’il ne protège pas bien au contraire : alors parmi les gens décédés, il y aura entre 65 % et 100 % de vaccinés. Les vaccinés seront surreprésentés parmi les gens décédés. Plus la proportion de vaccinés est proche de 100 %, plus le vaccin est néfaste.
Pour faire un parallèle simple, si vous avez un sac rempli de 65 chaussettes rouges et 35 chaussettes vertes et que vous tirez au hasard avec un appareil sensé éviter les rouges mais qui ne fonctionne pas du tout et qui à l’inverse montre une préférence pour les rouges : vous aurez tiré plus de 65% de rouges. Votre appareil ne fonctionne pas. Ce n’est pas le but !
En résumé
Une fois la théorie comprise, analyser les graphiques, les tableaux devient facile.
Si la part (proportion) des cas, de malades ou décès est égale à la proportion de vaccinés, c’est que le vaccin ne fait rien. Il n’a aucun impact sur le paramètre mesuré.
Si la part (proportion) de cas, de malades ou de décès est inférieure à la proportion de vaccinés, c’est que le vaccin est efficace. Il diminue le nombre de cas, de malades ou de décès. Tous les vaccins devraient donner ce type de résultat.
Si la part (proportion) de cas, de malades ou de décès est supérieure à la proportion de vaccinés, c’est que le vaccin est non seulement inefficace mais même néfaste. Il augmente le nombre de cas, de malades ou de décès. Les gens ne sont pas protégés. Au contraire, ils sont plus touchés à cause du vaccin. L’inverse du but d’un vaccin.
Des exemples
Voici des exemples avec des chiffres réels pour s’entrainer. Les chiffres ne viennent pas de France puisqu’ils ne sont pas publiés avec une transparence suffisante pour les utiliser.
Prenons parmi les derniers chiffres disponibles en Angleterre. Ils datent de mars 2022 car depuis quelques mois, ils ne sont plus publiés… Voici plusieurs exemples (classes d’âges différentes) issus des tableaux 10 à 12. [1]
Ou sous une autre forme
Conclusion
Méfiez-vous des chiffres bruts.
Méfiez-vous des gens qui n’ont que le « paradoxe de Simpson » comme argument.
Comparez les proportions, et faites vos déductions.
Références
La source originale de cet article est reinfocovid.fr
https://www.mondialisation.ca/pour-en-finir-avec-le-paradoxe-de-simpson/5670542
lundi 15 août 2022
Astrid Stückelberger - Les vaccins Pfizer anti COVID sont sensibles à la 5G etc
L’Allemagne prépare le rationnement du gaz pour cet hiver et dresse la liste des industries à approvisionner prioritairement
le 14.08.2022
En dépit de la baisse de la consommation déjà observée, l’Allemagne pourrait connaître une pénurie cet hiver. Le pays travaille à lister les industries qui devront être approvisionnées en priorité. L’Allemagne ne pourra pas compter sur le gaz du Qatar. Pour faire face à d’éventuelles pénuries de gaz, tous les bâtiments publics devront limiter leur chauffage à 19° cet hiver, a annoncé ce vendredi le ministre de l’économie. En outre les bâtiments et monuments historiques ne devront plus être éclairés la nuit, une mesure que certaines villes d’Allemagne comme Berlin ont déjà adoptée.
Le marché avec le Qatar que le ministre fédéral de l’économie, Robert Habeck, pensait avoir ficelé lors de son déplacement en mars dans le Golfe, a été annulé. L’annonce de ce revers, début août, n’est pas davantage commentée par Berlin.
Mais c’est incontestablement une mauvaise nouvelle supplémentaire pour l’Allemagne, confrontée depuis la mi-juillet à une réduction des livraisons russes. Après dix jours de maintenance mi-juillet, le gazoduc Nordstream 1 n’a repris ses acheminements qu’à 20 % de ses capacités.
Pour autant, les divers scénarios pour les prochains mois, rendus publics le 7 août par l’Agence des réseaux, sont sombres : une seule modélisation indique que le pays pourrait échapper aux pénuries – si l’Allemagne continue de consommer 20 % de gaz en moins, si elle réduit également de 20 % les volumes de gaz qu’elle transfère vers le reste des pays européens et si les deux terminaux de gaz naturel liquéfié en construction entrent en service comme prévu en janvier. Sur ce point, le chef du gouvernement Olaf Scholz a affiché une grande confiance jeudi 11 août, lors de sa conférence de presse de rentrée. « Nous aurons du gaz », a-t-il affirmé, sans préciser s’il parlait uniquement de ces terminaux ou des réserves du pays entier.
Face à tant d’incertitude, le pragmatisme prend le dessus : il faut déjà organiser le rationnement. Les droits allemand et européen protègent les particuliers ainsi que le secteur de la santé (hôpitaux, maisons de retraite…). Le reste de l’économie n’a aucune garantie. Qui aura du gaz à Noël ? La question obsède tous les chefs d’entreprise. Rien ne fuite sur les futurs arbitrages de l’Agence fédérale des réseaux. « La politique nous laisse une liberté maximale », reconnaissait dimanche Klaus Müller, son directeur, dans une interview au journal Welt am Sonntag. […]
Le Monde ; Le Parisien
Extrait de: Source et auteur
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dimanche 14 août 2022
SEX CONSPIRATION (Entre cœur et justice) - Anne Archer, Michael Shanks, Erin Karpluk, Anna Hagan
samedi 13 août 2022
Est-ce qu'on joue à rendre la météo folle ?
vendredi 12 août 2022
L'ouragan qui attise La Nina persistera pendant la haute saison
PAR TYLER DURDEN
VENDREDI 12 AOÛT 2022 - 04:40
Alors que la haute saison des ouragans est en cours, les chances que La Nina reste pendant au moins quelques mois augmentent, ce qui pourrait entraîner davantage d'ouragans et de tempêtes tropicales.
Selon les dernières données du US Climate Prediction Center, il y a 80 % de chances que des eaux fraîches traversent l'océan Pacifique équatorial jusqu'en octobre. Le mois dernier, l'agence a estimé à 62% les chances de La Nina pour la même période, une augmentation notable par rapport au mois précédent.
Le phénomène météorologique connu sous le nom de La Nina contribue à alimenter le développement tropical en réduisant la quantité de cisaillement du vent à travers l'Atlantique Ouest. Un fort cisaillement du vent peut désorganiser la structure des systèmes tropicaux en les affaiblissant ou en les détruisant
Nous avons souligné plus tôt ce mois-ci que les deux premiers mois de la saison des ouragans ont été relativement calmes, mais tout cela devrait changer à mesure que la saison des ouragans est arrivée.
L'augmentation de l'activité des tempêtes tropicales commence généralement en août et dure jusqu'au début octobre.
Le souci d'entrer dans la partie la plus active de la saison des ouragans, ainsi qu'une éventuelle augmentation de la gravité des tempêtes en raison de la persistance de La Nina, est que davantage de régions des États-Unis sont sujettes à un éventuel atterrissage.
Le Centre national des ouragans a identifié une perturbation dans l'Atlantique, bien que les probabilités de formation dans les 48 % des prochaines heures soient extrêmement faibles.
https://www.zerohedge.com/weather/hurricane-stoking-la-nina-persist-through-peak-season
jeudi 11 août 2022
mercredi 10 août 2022
mardi 9 août 2022
Les documents de Pfizer et les données officielles du monde réel prouvent que les vaccins COVID provoquent déjà un dépeuplement massif
mardi 09 août 2022
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) La vaccination contre le Covid-19 provoque un dépeuplement massif.
(Article republié de Expose-News.com)
C'est une affirmation extrêmement audacieuse à faire.
Mais malheureusement, cette affirmation audacieuse est étayée par une montagne de preuves contenues dans les documents confidentiels de Pfizer et les données officielles des gouvernements du monde entier.
Le monde est à la croisée des chemins et l'élite a deux choix. Ils soutiennent des millions, voire des milliards de personnes avec un soutien financier et contribuent à assurer leur survie et une vie de qualité. Ou, ils se sont mis à dépeupler le monde.
Malheureusement, les preuves suggèrent qu'ils ont choisi la voie du dépeuplement il y a un certain temps, et leur plan pour le faire est déjà en marche.
Voici cette preuve sinistre et alarmante.
Décès excessifs
L'Office for National Statistics (ONS) publie des chiffres hebdomadaires sur les décès enregistrés en Angleterre et au Pays de Galles. Les données les plus récentes montrent les décès jusqu'au 22 juillet 2022.
Le graphique suivant, créé par l'ONS, montre le nombre de décès par semaine par rapport à la moyenne sur cinq ans -
Comme vous pouvez le voir ci-dessus, à partir de mai 2021 environ, l'Angleterre et le Pays de Galles ont enregistré une énorme quantité de décès excédentaires qui n'ont pas été attribués à Covid-19 par rapport à la moyenne sur cinq ans. Il apparaît alors que la surmortalité a baissé début 2022.
Mais les apparences peuvent être trompeuses, et la seule raison pour laquelle elles ont chuté est que l'ONS a décidé d'inclure les données de 2021 dans la moyenne sur 5 ans. Cela rend d'autant plus préoccupant qu'un surcroît de décès est enregistré chaque semaine depuis fin avril 2022 par rapport à la moyenne quinquennale (2016 à 2019 + 2021).
La semaine la plus récente montre qu'il y a eu 10 978 décès en Angleterre et au Pays de Galles, ce qui équivaut à 1 680 décès supplémentaires par rapport à la moyenne quinquennale. Seuls 745 de ces décès ont été attribués au Covid-19.
La source
Nous voyons également un schéma similaire se produire en Écosse.
Le graphique suivant est tiré du «tableau de bord des impacts plus larges de Covid-19» de Public Health Scotland trouvé ici, et il montre la variation en pourcentage des décès par rapport à la moyenne quinquennale 2015-2019 pour la période correspondante –
La source
L'Écosse a enregistré un excès de décès dans tous les groupes d'âge depuis le début de 2021. Mais ce qui est remarquable ici, c'est le même schéma que nous avons observé en Angleterre et au Pays de Galles. En janvier 2021, de nombreux décès ont été attribués au Covid-19. Mais ensuite, vers mai 2021, les décès excessifs ont recommencé à augmenter, mais cette fois, ils ne pouvaient pas tous être attribués à Covid-19.
Il y a ensuite eu une légère baisse début 2022 avant de reprendre vers mai 2022, tout comme en Angleterre et au Pays de Galles.
La question est pourquoi.
On pourrait dire que la population du Royaume-Uni est peut-être en très mauvaise santé par rapport au reste du monde et que, par conséquent, davantage de personnes meurent. Mais ce n'est malheureusement pas une situation qui est juste isolée au Royaume-Uni.
La majeure partie de l'Europe enregistre toujours une quantité importante de décès excédentaires, comme le montre le graphique officiel suivant compilé par Eurostat montrant la surmortalité à travers l'Europe en mai 2022 -
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Comme vous pouvez le voir, le monde connaît un problème extrêmement grave où des dizaines à des centaines de milliers de personnes meurent de plus que prévu chaque semaine, et d'autres preuves suggèrent que c'est à cause des injections de Covid-19.
Les taux de mortalité pour 100 000 sont les plus bas parmi les non vaccinés dans tous les groupes d'âge
Selon un rapport publié le 6 juillet 2022 par l'Office for National Statistics du Royaume-Uni, quelques heures seulement avant que Boris Johnson n'annonce sa démission en tant que Premier ministre du Royaume-Uni, les taux de mortalité pour 100 000 sont les plus bas parmi la population non vaccinée dans tous les groupes d'âge. .
Le rapport est intitulé « Décès par statut de vaccination, Angleterre, 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 », et il peut être consulté sur le site de l'ONS ici et téléchargé ici.
Le tableau 2 du rapport contient les taux de mortalité mensuels normalisés selon l'âge par statut vaccinal par groupe d'âge pour les décès pour 100 000 personnes-années en Angleterre jusqu'en mai 2022.
Voici comment l'ONS présente les données pour les 18 à 39 ans en mai 2022 -
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Nous avons pris les chiffres et produit des graphiques pour chaque groupe d'âge dans un article récemment publié qui peut être lu ici. Mais voici quelques exemples pour prouver la gravité du problème.
Le graphique suivant montre les taux de mortalité mensuels normalisés selon l'âge selon le statut vaccinal chez les 18 à 39 ans pour les décès non liés au Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022 -
Au cours de chaque mois depuis le début de 2022, les 18 à 39 ans partiellement vaccinés et doublement vaccinés ont été plus susceptibles de mourir que les 18 à 39 ans non vaccinés. Les 18 à 39 ans triplement vaccinés ont cependant eu un taux de mortalité qui s'est aggravé d'un mois à l'autre après la campagne massive de rappel qui a eu lieu au Royaume-Uni en décembre 2021.
En janvier, les 18 à 39 ans triple-vaccinés étaient légèrement moins susceptibles de mourir que les 18-39 ans non vaccinés, avec un taux de mortalité de 29,8 pour 100 000 parmi les non vaccinés et de 28,1 pour 100 000 parmi les triple vaccinés.
Mais tout a changé à partir de février. En février, les 18 à 39 ans triplement vaccinés avaient 27 % plus de risques de mourir que les 18 à 39 ans non vaccinés, avec un taux de mortalité de 26,7 pour 100 000 chez les triples vaccinés et de 21 pour 100 000 chez les non vaccinés.
Les choses se sont malheureusement encore aggravées pour les triples vaccinés d'ici mai 2022. Les données montrent que les 18 à 39 ans triplement vaccinés étaient 52% plus susceptibles de mourir que les 18 à 39 ans non vaccinés en mai, avec un taux de mortalité de 21,4 pour 100 000 parmi les triple vaccinés et de 14,1 parmi les non vaccinés.
Les pires chiffres à ce jour concernent cependant les personnes partiellement vaccinées, le mois de mai voyant les 18 à 39 ans partiellement vaccinés 202% plus susceptibles de mourir que les 18 à 39 ans non vaccinés.
Le graphique suivant montre les taux de mortalité mensuels normalisés selon l'âge selon le statut vaccinal chez les personnes âgées de 60 à 69 ans pour les décès non liés au Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022 -
Les 60 à 69 ans présentent exactement le même schéma que les 18 à 39 ans. Les doubles et partiellement vaccinés sont plus susceptibles de mourir que les non vaccinés depuis le début de l'année, et les triples vaccinés sont plus susceptibles de mourir que les non vaccinés depuis février.
En janvier, les personnes de 60 à 69 ans partiellement vaccinées avaient un risque choquant de 256 % de mourir en plus que les personnes de 60 à 69 ans non vaccinées. Alors qu'au cours du même mois, les 60-69 ans doublement vaccinés avaient 223% plus de risques de mourir que les 60-69 ans non vaccinés.
En mai, les personnes de 60 à 69 ans triplement vaccinées avaient 117 % plus de risques de mourir que les personnes non vaccinées de 60 à 69 ans, avec un taux de mortalité de 1 801,3 pour 100 000 parmi les personnes triplement vaccinées et un taux de mortalité de seulement 831,1 parmi les non vaccinés.
Le graphique suivant montre les taux de mortalité mensuels normalisés selon l'âge selon le statut vaccinal chez les 80 à 89 ans pour les décès non liés au Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022 -
Les chiffres officiels publiés discrètement par le gouvernement britannique fournissent des preuves irréfutables que les vaccins Covid-19 sont mortels et tuent des milliers de personnes.
Sinon, comment expliquez-vous un excès important de décès et le fait que les vaccinés sont nettement plus susceptibles de mourir que les non vaccinés dans chaque groupe d'âge ?
Le dépeuplement se produit lorsque le nombre de personnes qui perdent la vie dépasse le nombre de bébés qui naissent. Ainsi, une grâce salvatrice pour le fait que des centaines de milliers de personnes de plus meurent chaque semaine que prévu serait une augmentation massive des nouvelles naissances.
Malheureusement, ce n'est pas le cas, et les documents confidentiels de Pfizer expliquent exactement pourquoi.
Les décès de nouveau-nés ont atteint des niveaux critiques pour la deuxième fois en 7 mois en mars 2022
Des preuves contenues dans des documents confidentiels de Pfizer, sur lesquels nous reviendrons sous peu, indiquent que la vaccination contre le Covid-19 augmente le risque que les nouveau-nés meurent malheureusement la vie. Malheureusement, nous en voyons maintenant la preuve dans les données du monde réel et cela peut être trouvé dans le tableau de bord « Covid-19 Wider Impacts » de Public Health Scotland.
Les chiffres officiels révèlent que le taux de décès néonatals est passé à 4,6 pour 1000 naissances vivantes en mars 2022, soit une augmentation de 119 % par rapport au taux de décès attendu. Cela signifie que le taux de mortalité néonatale a franchi un seuil d'alerte supérieur appelé «limite de contrôle» pour la deuxième fois en au moins quatre ans.
La dernière fois qu'il a franchi une brèche, c'était en septembre 2021, lorsque les décès néonatals pour 1000 naissances vivantes ont grimpé à 5,1. Bien que le taux fluctue d'un mois à l'autre, le chiffre pour septembre 2021 et mars 2022 est comparable aux niveaux qui ont été généralement observés pour la dernière fois à la fin des années 1980.
Public Health Scotland (PHS) n'a pas officiellement annoncé avoir lancé une enquête, mais c'est ce qu'ils sont censés faire lorsque le seuil d'alerte supérieur est atteint, et ils l'ont fait en 2021.
À l'époque, PHS a déclaré que le fait que la limite de contrôle supérieure ait été dépassée "indique qu'il existe une probabilité plus élevée qu'il existe des facteurs au-delà de la variation aléatoire qui peuvent avoir contribué au nombre de décès survenus".
Le taux de natalité en Allemagne a chuté de façon spectaculaire
Les données officielles sur les naissances allemandes ont été récemment publiées et mises à jour jusqu'en avril 2022 et elles continuent d'afficher une baisse de 11 % par rapport à la moyenne des 7 dernières années et une baisse de 13 % par rapport à 2021.
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Tout cela se produit à cause des injections de Covid-19 et les documents confidentiels de Pfizer le prouvent.
Des documents confidentiels de Pfizer révèlent que 90 % des femmes enceintes vaccinées contre le Covid ont perdu leur bébé
La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a tenté de retarder la publication des données de sécurité du vaccin COVID-19 de Pfizer pendant 75 ans malgré l'approbation de l'injection après seulement 108 jours d'examen de sécurité le 11 décembre 2020.
Mais début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman leur a ordonné de publier 55 000 pages par mois. Ils ont publié 12 000 pages fin janvier.
Depuis lors, PHMPT a publié tous les documents sur son site Web. La dernière baisse s'est produite le 1er août 2022.
L'un des documents contenus dans le vidage de données est « reissue_5.3.6 postmarketing experience.pdf ». La page 12 du document confidentiel contient des données sur l'utilisation de l'injection Pfizer Covid-19 pendant la grossesse et l'allaitement.
Pfizer déclare dans le document qu'au 28 février 2021, il y avait 270 cas connus d'exposition à l'injection d'ARNm pendant la grossesse.
Quarante-six pour cent des mères (124) exposées à l'injection Pfizer Covid-19 ont subi un effet indésirable.
Sur ces 124 mères souffrant d'un effet indésirable, 49 ont été considérées comme des effets indésirables non graves, tandis que 75 ont été considérées comme graves. Cela signifie que 58 % des mères qui ont déclaré avoir subi des effets indésirables ont subi un événement indésirable grave allant de la contraction utérine à la mort fœtale.
Source – Page 12
Au total, 4 cas graves de fœtus/bébés ont été signalés en raison d'une exposition à l'injection de Pfizer.
Mais c'est là que les choses deviennent plutôt préoccupantes. Pfizer déclare que sur les 270 grossesses, ils n'ont absolument aucune idée de ce qui s'est passé dans 238 d'entre elles.
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