- ENTREE de SECOURS -



mardi 30 mai 2023

Pourquoi il n’y a pas d’urgence climatique Titre libre : 1 100 scientifiques sont d'accord : il n'y a pas d'urgence climatique

 

30.05.2023 
 www.kla.tv/26181
 

Le climat de la Terre change-t-il ? Bien sûr que oui. Sans interruption. Depuis des milliards d'années. L'homme a-t-il une influence sur ce phénomène ? Peut-être que oui. Mais manifestement pas dans la mesure où les adeptes de la nouvelle religion climatique veulent absolument nous le faire croire.

Ce point de vue est partagé par environ 1 100 scientifiques et experts du monde entier qui s'opposent à l’hystérie climatique propagée, entre autres, par le Forum économique mondial. Ces scientifiques font partie du "Global Climate Intelligence Group" (CLINTEL). Dans la déclaration publiée par ce groupe dirigé par le professeur Ivar Giaever, physicien américano-norvégien et lauréat du prix Nobel, déclaration intitulée "Il n'y a pas d'urgence climatique" (en anglais : "There is no climate emergency") - on peut lire ceci :

Selon les archives géologiques, le climat de la Terre varie depuis que la planète existe, et présente des périodes naturelles de froid et de chaleur. Nous nous trouvons donc dans une phase de réchauffement depuis la fin de la petite période glaciaire de 1850.

Pour les experts, l'effet du gaz carbonique est gonflé par la politique climatique, alors qu'on ignore totalement que l'enrichissement de l'atmosphère en gaz carbonique est utile pour la croissance des plantes, l’agriculture et tout simplement comme base de toute vie sur Terre.
Les innombrables mesures pour éviter le gaz carbonique s’avèrent donc néfastes. Elles entraînent en outre des coûts énormes. Il n'existe aucune preuve statistique - selon leur explication -, que le réchauffement climatique affecte la fréquence et l'intensité des cyclones, des inondations, des sécheresses et des catastrophes naturelles similaires.

Le "Global Climate Intelligence Group" estime que la politique du "zéro carbone" [l'objectif des concepts "zéro carbone " est d'éliminer de l'atmosphère autant de gaz carbonique qu'on en produit] est irréaliste et, qu‘en fin de compte, elle détruit la vie. Il montre qu’il n'y a en réalité aucune raison d'être alarmiste et de paniquer en ce qui concerne le climat mondial.

Chers téléspectateurs,
Ces voix importantes issues des milieux scientifiques nous invitent à nous pencher sur ce sujet de manière objective et réfléchie.
La peur attisée par la politique et les médias et l'ambiance alarmiste généralisée sont de mauvaises conseillères, comme le dit depuis toujours le dicton populaire. Car ce n'est qu'en dehors de toute peur que l'homme peut penser librement et raisonnablement et se forger une opinion indépendante et fondée. Et à partir de là, une position claire peut se développer.

de ol
Sources / Liens :
1 100 scientifiques déclarent dans un manifeste : il n'y a pas d'urgence climatique
https://report24.news/1-100-wissenschaftler-erklaeren-in-manifest-es-gibt-keinen-klimanotstand/

CLINTEL : Déclaration mondiale sur le climat https://clintel.org/world-climate-declaration/

Ariane Bilheran et Olivier Soulier : les prémices d’un totalitarisme en marche

 

Pour Tribune Libre, le 6 mai 2023, Stéphanie Reynaud interviewe Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, conférencière et écrivain, et Olivier Soulier, docteur en médecine, médecin homéopathe, acupuncteur, chercheur et conférencier : ensemble, ils nous parlent du rapport entre médecine et philosophie, des techniques de manipulation des masses, de la dissonance cognitive, de la censure, de la propagande, de l’OMS et autres organismes supranationaux, des projets mondialistes, de l’effondrement de l’Occident, du contrat social de plus en plus malmené depuis quelques années et de tous les signes avant-coureurs d’un totalitarisme qui, insidieusement, est mis en place en France. 

➡ Pour consulter le site d'Ariane Bilheran : https://www.arianebilheran.com
➡ Pour consulter le site d'Olivier Soulier : https://www.lessymboles.com

Retrouvez toutes les vidéos de Tribune Libre sur Odysee.

lundi 29 mai 2023

« Il y a un effondrement de la natalité dans tous les pays très vaccinés » – Laurence Kayser

 

La France et l’Allemagne en désaccord sur l’hydrogène vert

Le différend entre la France et l’Allemagne au sujet de l’hydrogène nucléaire vert met en évidence les divergences sur les politiques énergétiques européennes.


le 29 mai 2023

Michel Gay


La France demande que l’hydrogène fabriqué par électrolyse avec de l’électricité nucléaire soit qualifié de vert, mais l’Allemagne refuse… pour mieux vendre sa transition énergétique fondée sur le gaz russe et des énergies intermittentes.

La France veut des garanties

L’approbation de la directive sur les renouvelables (RED3) par les États membres de l’Union européenne qui devait avoir lieu le 17 mai a été reportée car la France souhaite des « garanties » supplémentaires concernant l’hydrogène issu du nucléaire.

La France, soutenue par une quinzaine de pays de l’Union européenne, veut faire reconnaître que l’hydrogène « bas carbone » produit à partir de l’énergie nucléaire participe aux objectifs de l’Union européenne en matière d’énergies renouvelables.

La France insiste pour que les objectifs énergétiques de l’Union européenne prennent en compte « les réalités industrielles ».

Les inquiétudes françaises sur l’hydrogène vert s’ajoutent à celles exprimées par une quinzaine de pays européens qui jugent la directive trop orientée vers les énergies renouvelables intermittentes éoliennes et solaires.

Atteindre 150 GW de nucléaire dans l’UE en 2050

La ministre française de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a réuni le 16 mai 2023 à Paris les 16 pays membres de l’Alliance européenne pour le nucléaire (Belgique, Bulgarie, Croatie, Estonie, Finlande, France, Hongrie, Pays-Bas, Pologne, République tchèque, Roumanie, Slovénie, Suède, Slovaquie, Italie, Royaume-Uni), ainsi que la Commissaire européenne en charge de l’énergie (Kadri Simpson).

L’Italie, qui revient doucement au nucléaire, même si elle n’a pas encore pris de décision de relance, était également présente en tant qu’observateur.

Le Royaume-Uni, bien que non-membre de l’Union européenne, était aussi présent en tant qu’invité spécial, en raison de son vaste plan nucléaire dont la construction en cours de deux EPR à Hinkley Point.

Cette Alliance s’est réunie pour la troisième fois. La première rencontre date seulement du 28 février 2023 (11 pays) à Stockholm, et la deuxième du 28 mars 2023 (12 pays), en marge du Conseil de l’énergie à Bruxelles.

Dans leur communiqué final, les 16 États européens participants ont affiché des objectifs ambitieux de déploiement de réacteurs nucléaires en Europe. L’Alliance du nucléaire va préparer une feuille de route pour le développement d’une filière nucléaire européenne afin d’atteindre 150 GW de nucléaire dans le mix électrique de l’Union européenne d’ici à 2050, contre environ 100 GW aujourd’hui (dont 60 GW en France) en envisageant « la construction de 30 à 45 nouveaux grands réacteurs et le développement de petits réacteurs modulaires (SMR) ».

Ils appellent aussi l’Union européenne à reconnaître le rôle du nucléaire pour décarboner le mix énergétique des nations européennes.

L’Alliance anticipe également les besoins de formations et de compétences : « plus de 300 000 emplois directs et indirects seront créés d’ici 2050, dont 200 000 emplois qualifiés, et 450 000 recrutements d’ici 2050 ». La France envisage 100 000 recrutements en 10 ans.

L’Allemagne est cernée par l’Alliance des 16 pays européens

Source : Société Française d’Energie Nucléaire (SFEN)

Les carburants 

La confrontation actuelle entre la France et l’Allemagne autour du rôle du nucléaire dans la directive RED3 sur les renouvelables impacte aussi les négociations sur les carburants synthétiques bas carbone (« e-carburants ») fabriqués avec de l’électricité nucléaire qui, eux, seront autorisés en tant que carburants durables… pour l’aviation.

Message à la Commission européenne

La Commission européenne, nettement antinucléaire sous la pression de l’Allemagne, n’apporte pas de soutien officiel à cette Alliance, mais la Commissaire estonienne Kadri Simson a indiqué :

« C’est une façon aussi pour les États membres présents d’attirer l’attention de la Commission européenne sur l’importance de la bonne prise en compte de l’énergie nucléaire dans l’élaboration des textes européens et des politiques européennes en matière d’énergie ».

Dans le communiqué final, l’Alliance invite la Commission « à reconnaître l’énergie nucléaire dans la stratégie énergétique et les politiques pertinentes de l’UE, notamment en proposant des initiatives pertinentes et en reconnaissant les efforts et l’engagement des États membres à décarboner leur bouquet énergétique au moyen de l’énergie nucléaire, aux côtés de toutes les autres sources d’énergie non fossiles, dans le cadre de la transition vers la neutralité climatique ».

Ainsi l’Alliance invite à « l’inclusion de l’énergie nucléaire dans la stratégie énergétique européenne ». Les membres demandent en particulier de « promouvoir de meilleures conditions pour le développement et le déploiement de nouvelles capacités nucléaires dans l’Union européenne, y compris un meilleur accès au financement ».

Une future réunion de l’Alliance est d’ores et déjà programmée en marge du prochain conseil de l’énergie, le 19 juin prochain à Luxembourg. L’Allemagne ne veut surtout pas y participer. Elle continue obstinément à se battre contre le nucléaire, et donc aussi contre l’hydrogène issu de l’électricité nucléaire qu’elle ne veut pas qualifier de vert !

https://www.contrepoints.org/2023/05/29/457229-la-france-et-lallemagne-en-desaccord-sur-lhydrogene-vert 

samedi 27 mai 2023

Les travaux de recherche sur l’évolution du climat ne cesseront jamais

 


le 27 mai 2023


Lorsque je fus intégré à une équipe d’universitaires au sein du centre de recherches de Rhône-Poulenc Agro à Lyon j’allais souvent discuter avec des chimistes qui réalisaient des synthèses de molécules nouvelles et lorsque celles-ci semblaient prometteuses ces mêmes chimistes chargeaient des techniciens responsables de l’unité « quart-grand » de synthétiser par exemple un kilo d’une molécule donnée. Dans le laboratoire de synthèse les flacons, les ballons, les petites colonnes à reflux, … étaient des modèles miniatures. Les techniciens de l’atelier « quart-grand » disposaient des données recueillies par le chimiste et calculaient le dimensionnement des gros ballons, des grosses colonnes à reflux et des filtres qui permettaient de recueillir les intermédiaires de synthèse. Les données thermodynamiques étaient très importantes car tout mauvais calcul pouvait être désastreux. D’ailleurs l’accès à cet atelier était interdit pour des raisons de sécurité et seule l’observation était possible de l’extérieur à travers une baie vitrée blindée. Tout mauvais calcul de la succession des étapes de synthèse pouvait être catastrophique hormis le coût de l’opération. Parfois une différence d’un quart de degré de la température d’un ballon de verre épais de 10 litres était critique …

C’est exactement l’erreur que commettent les climatologues de salon. Le système Terre + océans + atmosphère est un gigantesque réacteur chimique dont ces climatologues souvent auto-proclamés ignorent le fonctionnement intime car il est très compliqué et impossible à modéliser. Le ballon de dix litres d’une unité de synthèse chimique « quart-grand » est un volume fini. L’agitateur permet une homogénéisation du milieu réactionnel et les paramètres de base sont contrôlés comme par exemple la présence d’oxygène de l’air (les chimistes n’aiment pas l’oxygène ni l’eau) ou la composition des solvants utilisés. Dans le cas de ce réacteur gigantesque que représente la planète Terre tout échappe au contrôle de l’homme et une différence d’un dixième de degrés dans le système de masses d’air en mouvement ou en collision peut constituer un facteur d’amplification considérable du phénomène météorologiques en résultant. Il s’agit de l’effet de masse que le chimiste sait très bien contrôler à l’aide de systèmes simples de régulation de la température, en particulier en pétrochimie.

Les climatologues de pacotille ignorent superbement ces effets de masse et ceci d’autant plus qu’ils raisonnent de façon malsaine et anti-scientifique en se limitant à comparer des températures moyennes. Le seul fait de comparer des températures moyennes par rapport à d’autres moyennes de températures est un pur non-sens qui ne peut conduire qu’à de la très mauvaise science. L’effet de masse bien connu du chimiste le conduit à réguler la température de la réaction, contenant deux ou plusieurs intermédiaires ainsi que des catalyseurs, au dixième de degré près. Le climatologue d’opéra-bouffe grassement rétribué par les contribuables du monde entier est incapable de comprendre l’évolution du climat puisque ses raisonnements ne peuvent être que faux puisqu’il utilise des moyennes de températures. Suggérez au chimiste d’un atelier quart-grand de se contenter de la moyenne des températures au cours d’une étape de synthèse. Il pouffera de rire et répondra que s’il adoptait une telle approche il serait licencié pour faute professionnelle grave … Il est malheureusement peu probable que les fonctionnaires de l’IPCC soient victimes d’un tel sort.

Revenons donc à l’évolution du climat car elle réserve encore de nombreuses surprises. La fin de la dernière glaciation qu’a connu la Terre se situe à la fin du Pléistocène qui se subdivise selon les carottages glaciaires effectués au Groenland en deux périodes celle de BØlling-AllerØd et le Dryas récent. Cette période dite de BØlling-AllerØd a connu un épisode de réchauffement marqué et brutal dont l’amplitude a atteint celle de l’optimum de températures dit de l’Holocène.

L’illustration trouvée sur le site Wikipedia n’indique pas la lente décroissance des températures depuis cet optimum de l’Holocène mais elle met en évidence ce sursaut des températures de l’air calculées à partir des données des carottages glaciaires à la suite du Pléistocène. Quelles ont été les conséquences de cette « bouffée » de chaleur ? Elles ont été étudiées au niveau du permafrost sibérien. Il s’agit d’une couche minérale constituée de poussières et de particules fines pouvant atteindre 40 mètres d’épaisseur au sein de laquelle des quantités gigantesques de carbone organique ont été stockées. Rares sont les épisodes de dégel affectant plus de trois mètres de profondeur de ce permafrost pouvant provoquer la libération de quantités significatives de méthane. Dans un article publié le 13 avril 2023 dans la revue Nature Communications https://doi.org/10.1038/s41467-023-37766-5 ) sous la direction du Docteur Janet Rethemeyer de l’Université de Cologne et en accès libre, l’éventualité d’une libération massive du méthane emprisonné dans ce permafrost est effleurée mais il faudrait cependant qu’un tel épisode s’étale sur de nombreuses années, peut-être plus de 20000 ans pour qu’un effet de serre significatif soit atteint.

Les scientifiques étudiant les paléoclimats doivent aujourd’hui se conformer à la doxa du climat pour obtenir des crédits de recherche. Dans le cas contraire ils sont condamnés à une exclusion du monde universitaire. Il est regrettable que des scientifiques de haut niveau ne puissent pas conclure leurs articles comme ils l’entendent car il existe aussi une censure dans ce domaine scientifique particulier. La science du climat en Occident tend à se rapprocher des délires de l’Union soviétique avec le « lissenkisme » : toute science non conforme à l’idéologie politique du moment doit être bannie. Cette attitude n’augure rien de très bon. La Chine a déclaré que la réduction de ses émissions de carbone serait progressive et l’objectif raisonnable de ce pays se situe vers l’horizon 2050. Or à cette date le climat général de l’hémisphère Nord se trouvera plongé dans un épisode durable de refroidissement provoqué par un affaissement de l’activité solaire ouvrant la voie à un nouvel âge glaciaire. Je ne serai plus de ce monde mais force est de constater que les climatologues onusiens dignes de la Commedia dell’arte ont toujours refusé d’admettre que le Soleil jouait un rôle prépondérant dans l’évolution du climat terrestre, encore une preuve de leur incompétence …

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/05/27/les-travaux-de-recherche-sur-levolution-du-climat-ne-cesseront-jamais/

vendredi 26 mai 2023

Une centrale nucléaire finlandaise limite sa production après que les prix de l'électricité soient "devenus trop bas"

 PAR TYLER DURDEN

JEUDI 25 MAI 2023 - 08:45


Comme nous l'avons expliqué début mai, la transition des tests à la production régulière le mois dernier a vu la première centrale nucléaire finlandaise faire baisser considérablement les prix de l'électricité.

Comme le rapporte Yle, le réacteur nucléaire Olkiluoto 3 à Eurajoki, dans le sud-ouest de la Finlande, a commencé à produire régulièrement de l'électricité à la mi-avril, avec environ 14 ans de retard.

Depuis lors, les prix de l'électricité en Finlande ont continué de chuter, l'efficacité de la centrale inondant le réseau d'énergie « nouvelle ».

Tellement en fait que tôt mercredi de la semaine dernière, le prix du marché de l'électricité est tombé en dessous de zéro centime le kilowattheure (kWh) et pendant des heures après cela, le prix n'était que de 0,3 centime le kWh au plus haut, selon le réseau du pays. opérateur, Fingrid.

C'était inacceptable et a incité le propriétaire de l'usine, Teollisuuden Voima (TVO) à réduire considérablement sa production...

"La production d'électricité doit aussi être rentable pour les centrales nucléaires, et lorsque le prix est particulièrement bas, il peut y avoir des situations où la production est limitée", a déclaré Johanna Aho, responsable des communications de TVO.

Selon Aho, la réduction de la production d'énergie nucléaire en raison de prix de l'électricité trop bas est très rare, mais pas inconnue.

Janne Kauppi, conseillère sur les marchés de l'énergie chez Finnish Energy, partage ce sentiment.

"Il n'y a pas eu beaucoup de situations où la production d'énergie nucléaire a été réglementée spécifiquement en raison de prix bas", a expliqué Kauppi.

"Lorsque les prix deviennent négatifs sur le marché de l'électricité, pratiquement tous ceux qui peuvent ajuster leur production le feront, afin de ne pas avoir à payer pour leur propre production", a noté Kauppi.

L'exemple finlandais témoigne de la façon dont le nucléaire peut jouer un rôle dans la résolution de la crise énergétique actuelle, les consommateurs payant toujours des frais exorbitants pour l'énergie dans de nombreux pays européens.

Cependant, l'hypocrisie est bien sûr que lorsque les prix de l'électricité étaient extrêmement élevés en 2022, nuisant aux consommateurs - tout était de la faute de la Russie ; mais maintenant que les prix chutent, les opérateurs ne peuvent plus avoir cela et retirent l'approvisionnement pour nuire aux consommateurs.

Voyez-vous un modèle ici ?

https://www.zerohedge.com/energy/finnish-nuclear-plant-throttles-output-after-electricity-prices-become-too-cheap

Réchauffement du climat : une histoire d’entonnoirs, et autres réflexions.

 


le 26 mai 2023


La science du climat est considérée comme acquise et elle ne peut plus être remise en cause. Un consensus très large a été atteint afin d’affirmer que cette science était une vraie science et par voie de conséquence il n’était plus admissible qu’elle soit contestée. C’est ce qu’affirment les fonctionnaires onusiens de l’IPCC (GIEC), organisme dépendant de l’Organisation météorologique mondiale. Dans le domaine de la science au contraire celle-ci n’est jamais définitive. Les progrès techniques et analytiques sans cesse en évolution remettent en cause en permanence ce caractère acquis de toutes les disciplines scientifiques car il n’existe pas à moins de considérer qu’une découverte est définitive et incontestable. Cette attitude stérilise l’esprit des scientifiques. Une telle attitude transforme le chercheur en un être décérébré et le dicton de Descartes « Cogito ergo sum » ne peut plus s’appliquer et le scientifique ne pense plus. La science devient alors dogmatique, il n’y a alors pas d’autre alternative que de considérer la science au même titre q’un dogme religieux.

Dans le cas de la science du climat l’organisme onusien a transformé en dogme l’ensemble des acquis et quiconque conteste ces acquis devient dès lors un hérétique qu’il faut éliminer de la société. Cette attitude ouvre donc la voie à tous les excès idéologiques. Puisqu’il existe encore une série de faits et d’observations qui ne peuvent pas être transformés en acquis dogmatiques autant les passer sous silence et ne retenir qu’un seul facteur qui deviendra la source de tous les maux. Il s’agit des gaz dits à effet de serre. Ce choix a été fait au mépris de toutes les lois fondamentales de la thermodynamique mais il n’y a aucune importance puisque personne n’y comprend rien d’autant plus que cette notion d’effet de serre ne peut pas s’appliquer à un système ouvert comme l’atmosphère de la Terre en étroite interaction avec les océans mais également ouverte vers l’espace. La réflexion scientifique s’est arrêtée et cette notion d’effet de serre est devenue un dogme. Dans le système des entonnoirs il aura fallu 50 ans depuis le sommet de Stockholm de 1972 pout que tous les peuples de la Terre comprennent qu’ils mettent en danger le climat en raison de leurs émissions de gaz carbonique, le dogme central de cette fausse science « définitivement acquise ».

L’illustration ci-dessus qu’a présenté Daniel Dory, Docteur en géographie et spécialiste de l’analyse géopolitique du terrorisme (lien en fin de billet) lors d’un entretien sur la chaine télévisuelle TVL à propos du véritable écoterrorisme organisé par l’ensemble des élites qui ont assis leur pouvoir sur cet « effet de serre » et uniquement sur celui-ci. La science du climat est « settled », immuable, il apparaît donc nécessaire pour ces organismes d’agir maintenant en ayant toute latitude pour asservir les peuples. Cette injonction provient des administrations onusiennes qui se sont arrogé le droit de faire table rase de la démocratie mise en place dans les pays occidentaux à la suite de luttes parfois violentes afin de défendre les droits des hommes et des femmes, de tous les citoyens. Depuis le tout début de la propagande concernant le changement du climat le monde politique a confié aux mouvements progressistes de gauche le soin de trouver, voire d’inventer, tous les arguments susceptibles de convaincre les citoyens, les électeurs et ceux qui paient des impôts, que l’urgence était préoccupante. Et on est arrivé à des aberrations comme le compteur du Bulletin of Atomic Scientists qui prévoit la fin du monde dans quelques semaines ou quelques mois. C’est ridicule, le but à peine dissimulé étant d’instiller la peur car lorsqu’ils ont peur les humains, sans s’en rendre compte, sont victimes de raisonnements émoussés et deviennent plus perméables encore à la propagande.

La gauche progressiste a amalgamé toutes sortes d’idéologies qui lui sont chères pour renforcer son impact sur les peuples. Pêle-mêle on trouve l’antiracisme, le féminisme, la défense des minorités sexuelles, la sauvegarde des ours blancs, la diminution des cheptels bovins, les villes « quinze minutes », les énergies « vertes », l’introduction des insectes dans l’alimentation, le spécisme et la défense des animaux et pour parachever cette énumération incomplète le « wokisme » dont la finalité est l’instauration d’un monde nouveau après avoir débarrassé les civilisations millénaires de leurs imperfections accumulées au cours de siècles d’errance.

Forte de son influence auprès des instances dirigeantes cette gauche progressiste organise des « ZAD » et fait tout pour provoquer les forces de l’ordre qui n’hésitent pas à s’en prendre à des élus du peuple et c’est ainsi qu’apparaît ce qu’appelle sans détour Daniel Dory l’« écoterrorisme » dont les racines profondes sont issues en partie des mouvements de protection de la natures apparues en particulier en Californie avec le Sierra Club au cours des années 1960. La revue National Geographic n’a jamais dissimulé ses prises de position et aujourd’hui la chaine de télévision franco-allemande Arte a pris le relais, des exemples parmi d’autres. La vraie science est méprisée dans les pays occidentaux. Les universités n’offrent plus aucune opportunité professionnelle et les revues scientifiques à comités de lecture effectuent des tris pour distinguer les manuscrits qui sont politiquement corrects sinon idéologiquement corrects. C’est de l’écoterrorisme intellectuel qui ternit l’image de la science. Mais il faut se rendre à l’évidence que ces cercles écolo-gauchistes ignorent. Toute cette idéologie ne concerne que les pays d’Europe occidentale, l’Amérique du Nord, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Les deux pays d’extrême-orient militairement occupés par les USA, la Corée et le Japon, ont toujours été attachés au respect de la nature et n’ont pas besoin de s’embarrasser des gauchistes occidentaux. Pour conclure cette réflexion il faut ajouter que les gouvernements de ces pays n’ont pas encore saisi quel était le danger pour la bonne santé économique de leur pays. Ces économies vont s’effondrer et c’est le but ultime de cet écoterrorisme qui affectera l’ensemble des peuples « occidentaux », la vraie fin du monde qui préoccupe les « Atomic Scientists » et dont ils feignent d’ignorer l’ampleur. 

Lien : https://www.youtube.com/watch?v=x2vvzVIKiT8&list=PLp4yPt3crmnENOTE5SsrdRA25iFGgvO3c&ab_channel=Cha%C3%AEneofficielleTVL. Illustrations : les entonnoirs de Daniel Dory, une élue menacée par la police lors des mouvements de protestation gauchistes au sujet d’une retenue d’eau : le totalitarisme violent est donc bien une réalité.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/05/26/rechauffement-du-climat-une-histoire-dentonnoirs-et-autres-reflexions/

jeudi 25 mai 2023

Banane vaccin, salade d'ARNm & plus : Vaccination forcée inconsciente par les aliments ?!

 

par Ivo Sasek
24.05.2023


Les développements pour une vaccination forcée inconsciente par les aliments sont en plein essor. Bill Gates, l'OMS et toute une série d'universités parlent d'intégrer des vaccins à ARNm dans les aliments. "Ils vont modifier les gènes de ces aliments pour qu'ils deviennent des vaccins à ARNm". - Une nouvelle ligne rouge est ainsi franchie ! Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, présente ses recherches approfondies devant un public international de plus de 45 pays.

mercredi 24 mai 2023

Décalage post-Fukushima : un tribunal japonais rejette les préoccupations des citoyens, ouvrant la voie au redémarrage de l'énergie nucléaire

 PAR TYLER DURDEN

JEUDI 25 MAI 2023 - 01:50


Mercredi, un tribunal de district au Japon a rejeté les appels des habitants à arrêter le redémarrage d'un réacteur nucléaire. Cela représente une victoire pour la nation insulaire du Pacifique, aux prises avec la flambée des coûts de l'énergie alimentée par la guerre prolongée en Ukraine.

Le Japan Times rapporte que le tribunal de district de Sendai, dans le nord-est du Japon, a décidé que Tohoku Electric Power pouvait redémarrer l'unité n° 2 de l'usine d'Onagawa au début de l'année prochaine. Il deviendra la première unité à redémarrer depuis que la centrale nucléaire a été arrêtée après le tremblement de terre et le tsunami dévastateurs de 2011 qui ont déclenché l'effondrement de Fukushima.

Le juge Mitsuhiro Saito a rejeté les appels des résidents qui affirmaient qu'un plan d'évacuation était inadéquat. Les résidents ont déclaré que si un accident nucléaire se produisait, beaucoup ne pourraient pas s'échapper en dehors d'un rayon de 18,5 milles de l'usine à cause des embouteillages. Ils ont dit qu'ils seraient exposés aux radiations.

"On ne peut pas supposer qu'il existe un danger spécifique d'accident qui conduit à la libération anormale de matières radioactives", a déclaré Saito.

Tohoku Electric cherchait à faire rejeter la poursuite parce que les plans d'évacuation avaient déjà été approuvés par le conseil de prévention des catastrophes nucléaires du pays.

"Le tribunal a reconnu notre demande.

"Nous continuerons à coopérer autant que possible pour améliorer l'efficacité des plans d'évacuation", a écrit Tohoku dans un communiqué.

En réponse à la décision, les actions de Tohoku ont bondi de près de 8 % dans les échanges de Tokyo mercredi.

Au cours des neuf derniers mois, le Japon a réévalué ses politiques énergétiques après une décennie de paralysie de la production d'énergie nucléaire alors que les coûts de l'énergie fossile montaient en flèche.

Voici notre rapport sur le demi-tour :

Dans le superbe changement post-Fukushima, le Japon construira plus de centrales nucléaires

Post-Fukushima Shift: Le soutien politique et public augmente au Japon pour plus de centrales nucléaires

La crise mondiale de l'énergie force le Japon à revenir sur sa politique nucléaire

Le gouvernement japonais adopte une politique d'énergie nucléaire dans un revirement majeur au milieu de la crise énergétique

Pendant ce temps, l'Asie construit rapidement des centrales nucléaires : parce que c'est l'avenir des réseaux électriques décarbonés.



Infographie : L'Asie devient nucléaire | Statistique

Le 11 Mars 2011 la ville de Fukushima a été dévastée par le ras-de-marée (tremblement de terre magn.9), seule la centrale (château-fort) a résisté. La faute du jour ? TEPCO ! Le gérant de la centrale électrique avait posé les tuyaux d'approvisionnement en eau des réacteurs... au sol ! (se calquant sur TOUS LES MODÈLES DU MONDE NON-MONTÉS SUR VÉRINS !! ) Tuyaux cassés: pas d'eau pompée: pas d'eau en réacteurs: température int. passant de 300 à 3000°C ! fonte des tubes de pastilles d'Uranium (création du corium): fonte du cuvier et explosion du couvercle réacteur: BOUM !

Le revirement de la politique japonaise intervient après que nous ayons recommandé des stocks d'uranium en décembre 2020. Nous avions alors déclaré que le nucléaire serait accepté comme l'une des sources «d'énergie propre» les plus stables pour atteindre des objectifs stupides en matière de changement climatique.

https://www.zerohedge.com/commodities/post-fukushima-shift-japan-court-rejects-citizens-concerns-paving-way-nuclear-power

Les casseurs au service… de l’ordre ?

 

lundi 22 mai 2023

Analyse indépendante : 26,6 millions d'Américains touchés par les dommages causés par le vaccin C19

23 mai 2023

du Dr. Peter F. Mayer


Une récente analyse indépendante de la société mondiale d'investissement macro-alternatif Phinance Technologies du Portugal estime que sur les 148 millions de personnes qui seront vaccinées contre le C19 aux États-Unis en 2022, environ 26,6 millions seront lésées par les vaccins et 1, 36 millions seront handicapées. 

Le rapport Vaccine Damage Project - Human Project, préparé par l'ancien analyste de Wall Street Ed Dowd et son équipe de la société de recherche, a révélé qu'il y avait 310 000 décès supplémentaires à la suite des vaccinations COVID.

Coûts humains des vaccinations C19

Le Vaccine Damage Project a analysé l'impact direct de la vaccination de masse contre la COVID sur les individus au niveau de la population, en particulier la population active âgée de 16 à 64 ans. Les groupes ont été divisés en quatre groupes selon la sévérité de l'effet indésirable du vaccin : aucun effet ou asymptomatique ; conséquences légères à modérées, y compris des dommages temporaires ou à court terme, à long terme ou même permanents ; des conséquences graves menant à l'invalidité et des conséquences extrêmes menant à la mort.

Le rapport indique :

Bien que ces classifications caractérisent différents degrés de dommages causés par les vaccinations, elles ne sont pas statiques et peuvent s'influencer mutuellement. Par exemple, il pourrait y avoir des individus qui n'ont eu aucun effet visible après la vaccination, mais qui pourraient encore être lésés par les vaccins et pourraient donc être inclus dans le sous-groupe lésé.

De même, les personnes souffrant de blessures mineures dues aux vaccinations pourraient, avec le temps, développer des blessures graves pouvant aller jusqu'à l'invalidité, ou une issue extrême telle que la mort. L'évolution probable irait de la blessure à l'invalidité jusqu'à la mort.

Cependant, il faut considérer que, dans une moindre mesure, il pourrait y avoir des personnes qui subissent des conséquences extrêmes, même si jusque-là elles n'avaient subi que des blessures mineures. Nous pouvons lier cela aux anecdotes d'athlètes par ailleurs en bonne santé qui ont subi des crises cardiaques lors de compétitions sportives à un rythme alarmant depuis les vaccins de 2021. "

coût économique

Le coût économique des blessures et des décès liés à la vaccination contre la COVID est estimé à 147,8 milliards de dollars en 2022

L'analyse estime l'impact économique des salaires et traitements perdus directement à la suite de blessures, d'invalidités et de décès dus à la vaccination contre la COVID. Il a révélé que les blessures causées par les seringues COVID coûtaient 89,9 milliards de dollars et 52,2 milliards de dollars pour ceux qui souffraient de graves handicaps en conséquence. Le rapport a également calculé le nombre de décès excédentaires depuis 2021 chez les 25-64 ans, qui s'élevait à 5,6 milliards de dollars en coûts économiques directs dus à l'augmentation des décès excédentaires. Le coût économique total des vaccinations COVID a été estimé à 147,8 milliards de dollars.

Ed Dowd, ancien analyste de Wall Street et fondateur de Phinance Technologies, a déclaré :

Nos estimations des dommages économiques sont ce que nous pouvons mesurer. Les effets, tels que la perte de productivité, d'un employé présent mais ne travaillant qu'à 50 à 75 % de sa capacité ne sont pas pris en compte, tout comme l'épuisement professionnel de ceux qui absorbent les absences. Les retards dans la chaîne d'approvisionnement ne sont pas non plus enregistrés. Les effets multiplicateurs sont énormes.7

On s'attend à ce que le coût économique des blessures et des incapacités liées au vaccin liées à la vaccination contre la COVID continue d'augmenter dans les années à venir à mesure que les traitements des blessures sont mis en œuvre et que la sensibilisation aux effets nocifs de la vaccination augmente.

La décision d'approuver un nouveau "vaccin" et de le mettre à la disposition de la population générale en si peu de temps est probablement l'une des plus importantes du siècle actuel", ont déclaré les membres fondateurs de Phinance Technologies.

Il continue en disant :

La peur du public et l'espoir d'une solution universelle ont conduit la population à accepter les nouveaux "vaccins", puis à adopter la nouvelle technologie comme plate-forme pour de nombreux autres produits. La boîte de Pandore a été ouverte et c'est une aubaine évidente pour l'industrie pharmaceutique. Cela a été fait avec le consentement et même l'encouragement des gardiens (gouvernements, régulateurs, universités) et couplé avec une campagne médiatique qui nous a rappelé la guerre.

https://tkp.at/2023/05/23/unabhaengige-analyse-266-millionen-amerikaner-von-c19-impfschaeden-betroffen/

La conspiration mondiale de l'OMS deviendra une loi si nous n'arrêtons pas le nouveau traité sur les pandémies ! (par Ivo Sasek)

 

21.05.2023 
www.kla.tv/26097


L'OMS est en train de modifier son règlement sanitaire international (International Health Regulations = IHR) datant de 2005. Le contenu du nouveau "Traité sur les pandémies" est choquant. Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, explique à l'occasion de la Journée internationale des Amis 2023, avec des retransmissions dans plus de 45 pays, à quel point le projet de traité de l'OMS menace l'existence et montre comment se défendre contre la conspiration mondiale de l'OMS.

de is.
Sources / Liens :
https://apps.who.int/gb/wgihr/pdf_files/wgihr2/A_WGIHR2_7-en.pdf

https://childrenshealthdefense.org/community-forum/the-great-freeset/

https://www.consilium.europa.eu/de/policies/coronavirus/pandemic-treaty/

https://www.youtube.com/watch?v=OeUpwpeoZjc

https://childrenshealthdefense.org/defender/pandemic-treaty-world-health-organization-cola/

Le Parlement européen témoigne de la fraude mondiale du Covid - Kla.tv enquête sur les complices des médias (Appel d'Ivo Sasek)

 

21.05.2023 
 www.kla.tv/26096
 

Le 19 mai 2023, le fondateur de Kla.tv, Ivo Sasek, a envoyé la demande suivante à plus de 10 000 centres de presse importants en Allemagne, en Suisse et en Autriche.

Par Kla.tv

Par la présente, nous demandons à tous les journalistes de publier immédiatement cette conférence de presse du Parlement européen (www.kla.tv/26065) qui révèle la fraude mondiale du Covid. Kla.TV surveille si vous couvrez ou non ce génocide mis à jour ! La communauté mondiale, gravement endommagée, a désormais droit à des comptes détaillés.

Je suis le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 1977.

Chers téléspectateurs et téléspectatrices, observez maintenant attentivement avec Kla.tv si les services des médias répondent à cet appel et à leur mission de 4e pouvoir de l'État.
Veuillez également prendre au sérieux ce qui a été recommandé dans l'émission « Révision du Covid au Parlement européen » mentionnée dans l'appel et envoyez au chancelier Scholz et aux députés du Bundestag la lettre concernant le traité de l'OMS.

Écoutez maintenant l'explication condensée du fondateur de Kla.tv, Ivo Sasek, sur la menace existentielle que représente le projet de traité de l'OMS.

de bu.is
Sources / Liens :

vendredi 19 mai 2023

Bagage perdu ou égaré, le fléau des aéroports du monde entier

En cas de bagage perdu ou égaré après un vol en avion, quelques mesures peuvent aider le passager à minimiser les désagréments et obtenir une indemnisation. L’industrie aérienne est sur le pied de guerre pour réduire les incidents liés aux bagages, grâce à des technologies innovantes et à une meilleure gestion des flux de bagages.


Par Olivier Sancerre

 le 19 mai 2023 à 13h38


26 millions de bagages ont été perdus ou égarés l'an dernier dans les aéroports.

En cas de perte d'un bagage lors d'un voyage aérien, les conseils les plus importants sont les suivants : il ne faut pas quitter l'aéroport sans avoir signalé la perte à la compagnie aérienne avec laquelle le dernier vol a été effectué. En cas d'achat d'articles de première nécessité pendant que le bagage est perdu, il faut conserver les reçus car un remboursement est possible. Les réclamations doivent être effectuées en ligne dans les 21 jours suivant le bagage perdu ou égaré. Si le bagage est endommagé, il est possible de demander une indemnisation financière dans les sept jours suivant sa restitution. Et si le bagage est définitivement perdu, on peut réclamer le remboursement de son contenu, jusqu'à un plafond de 1.800 euros par passager. Il est également recommandé de vérifier l'assurance associée à la carte bancaire, qui peut offrir une couverture supplémentaire.

Que faire en cas de bagage perdu ou égaré ?

Ces conseils de bon sens prennent leur importance quand on sait qu'en 2022, 26 millions de bagages ont été perdus, endommagés ou retardés dans le monde suite à des voyages en avion selon Sita, un fournisseur de services informatiques pour l'industrie aérienne, repris par Le Parisien. Les voyages internationaux sont particulièrement touchés, avec une augmentation significative des incidents en Europe. L'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle, par exemple, a égaré 35.000 bagages à la suite d'une grève en juillet dernier. Pour résoudre ces problèmes, les compagnies aériennes et les aéroports prennent des mesures proactives.

Des défis importants pour l'industrie aérienne

Air France teste un nouveau système nommé ALIX, en collaboration avec IDEMIA, une entreprise de sécurité numérique française. Ce système génère une étiquette numérique pour chaque valise, ce qui facilite la recherche en cas de perte. D'autre part, le groupe ADP a demandé à ses prestataires d'augmenter le nombre de techniciens de maintenance, en préparation de l'été et en perspective des Jeux olympiques de Paris 2024. Le groupe travaille également à améliorer le tri des bagages et l'utilisation des données sur les flux de bagages pour évaluer la performance.

https://www.economiematin.fr/bagage-perdu-ou-egare-le-fleau-des-aeroports-du-monde-entie

jeudi 18 mai 2023

Augmentation des cas de cancer chez les jeunes dans le monde

 19 mai 2023

du Dr. Peter F. Mayer


Le cancer est l'une des maladies courantes trouvées dans les bases de données des organismes de réglementation sur les effets secondaires du vaccin C19. Récemment, TKP a examiné les données du VAERS pour six types de cancer différents et a constaté des augmentations significatives. Et les cas de cancer touchent souvent les jeunes, c'est pourquoi l'espérance de vie diminue, comme le montrent, par exemple, les données les plus récentes pour l'Allemagne dans les années de vaccination 2021 et 2022 - ici le rapport.

Le New Scientist a récemment écrit :

« Le nombre de personnes de moins de 50 ans qui développent un cancer augmente dans de nombreux pays et pour de nombreux types de tumeurs différents. Pourquoi il en est ainsi n'est pas tout à fait clair, mais cela pourrait être dû à certains aspects de la vie moderne.

La recherche sur le cancer a toujours eu de bonnes nouvelles sur le nombre de personnes bénéficiant des progrès des traitements. Or, le nombre de moins de 50 ans diagnostiqués d'un cancer augmente progressivement, mais très fortement depuis début 2021.

L'augmentation du cancer colorectal a été la plus forte, mais il y a également eu une augmentation des tumeurs dans presque tous les autres organes majeurs du corps. Ce développement est si alarmant qu'il a été désigné comme une priorité absolue pour la recherche dans un examen conjoint du financement du cancer au Royaume-Uni et aux États-Unis au début du mois. Alors quelles pourraient en être les causes ?

Des signaux clairs peuvent être observés dans les bases de données pour les types de cancer leucémie , cancer du poumon et néoplasie , cancer gastro - intestinal , cancer du sein , cancer de la prostate et métastases .

L'incidence du cancer augmente généralement avec l'âge, en grande partie parce que les cellules des personnes âgées ont eu plus de temps pour développer les mutations génétiques qui conduisent aux tumeurs. 

Comme le montre cette analyse des données sur les décès en Allemagne publiée hier dans TKP, les jeunes sont également de plus en plus touchés, ce qui a conduit à cette réduction de l'espérance de vie dans les années de vaccination 2021 et 2022.

L'année «pandémique» 2020 a entraîné une augmentation de l'espérance de vie en Allemagne de 0,025 an, l'année de vaccination 2021 pour la première fois une diminution de 0,060 an, la deuxième année de vaccination 2022 de 0,24 an, une baisse sans précédent dans l'existence du gouvernement fédéral. République d'Allemagne.

https://tkp.at/2023/05/19/anstieg-der-faelle-von-krebs-bei-juengeren-menschen-in-aller-welt/

Les Français dirigent une alliance nucléaire en Europe et menacent de bloquer la directive sur les énergies renouvelables

Par Jo Nova

May 18th, 202


L'UE se fracture sur l'énergie, et ce n'est pas un jour trop tôt...

Signes d'espoir. Tout comme l'Allemagne a récemment mis fin au mandat de l'UE sur les véhicules électriques, la France menace maintenant de saboter la nouvelle directive de l'UE sur les énergies renouvelables à moins qu'elle n'inclue un rôle pour l'énergie nucléaire. Il devait être signé mercredi. Bien que le nucléaire soit la seule source fiable d'énergie de base « Net Zero », la France a dû se battre pour son inclusion à chaque étape.

La France rassemble 16 nations européennes dans une alliance nucléaire

Actualités nucléaires mondiales :

La ministre française de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, a réuni ses homologues des pays membres de l'Alliance nucléaire le 16 mai au ministère de la Transition énergétique. Au total, 16 pays étaient représentés. Outre le pays hôte, la Belgique, la Bulgarie, la Croatie, l'Estonie, la Finlande, la Hongrie, les Pays-Bas, la Pologne, la République tchèque, la Roumanie, la Slovénie, la Slovaquie et la Suède, ainsi que l'Italie avec le statut d'observateur, étaient représentés. Le Royaume-Uni était présent en tant que pays invité.

"L'énergie nucléaire pourrait fournir jusqu'à 150 GW de capacité électrique d'ici 2050 à l'Union européenne (contre environ 100 GW aujourd'hui)", indique le communiqué. "Cela représente l'équivalent de 30 à 45 nouveaux grands réacteurs et petits réacteurs modulaires dans l'UE et ces nouveaux projets garantiraient également que la part actuelle de 25 % de production d'électricité dans l'UE soit maintenue pour l'énergie nucléaire."

L'énergie nucléaire produit de l'électricité dans 14 des 27 États membres de l'UE et fournit actuellement 25 % de l'électricité de l'Europe et 50 % de son électricité à faible émission de carbone.

Nous savons que cela compte parce que Team-Renewables est en colère

Les pays de l’UE critiquent la France « folle » pour avoir pris en otage la législation sur les énergies renouvelables

Victor Jack, Politicien

"La France est folle", a déclaré un diplomate d'un pays de l'UE, qui a requis l'anonymat pour parler franchement de la dynamique du pays, ajoutant qu'il y avait "beaucoup" de colère contre Paris "de toutes parts".

BRUXELLES – La colère contre la France a débordé mercredi alors que les pays de l'UE accusaient Paris d'avoir pris en otage un élément clé de la législation climatique de l'UE à la dernière minute pour obtenir de nouvelles concessions dans le texte.

Les ambassadeurs de l'UE devaient approuver mercredi la directive sur les énergies renouvelables, qui fait partie intégrante du paquet climatique phare du bloc, Fit for 55, qui vise à réduire les gaz à effet de serre de 55 % d'ici 2030 et à augmenter la part des énergies renouvelables dans le bouquet énergétique de l'UE. à 42,5 pour cent.

En apparence, la France demande que sa production industrielle d'ammoniac soit partiellement exemptée des objectifs d'hydrogène vert, selon trois diplomates. Mais cela pourrait aussi être une façade pour extraire de nouvelles demandes, y compris sur le nucléaire, ont-ils déclaré.

"C'est la directive sur les énergies renouvelables, pas la directive sur l'énergie nucléaire", a fulminé un diplomate, oubliant apparemment que l'objectif était censé être "bas en carbone", pas seulement des emplois pour les Renewables-Boys.

Ils sont censés sauver le monde du gaz carbonique, n'est-ce pas ?

Pendant ce temps, en Finlande, une centrale nucléaire nouvellement lancée voit les prix de l'électricité plonger de 75 %

Thomas Brooke, ReMix

La centrale nucléaire d'Olkiluoto 3 (OL3) a achevé la transition des essais à la production régulière le mois dernier pour devenir la première nouvelle centrale nucléaire de Finlande en plus de quatre décennies. Il devrait produire jusqu'à 15% de la demande d'électricité du pays.

Et bien que la production de la centrale en soit encore à ses débuts, son lancement a eu un effet considérable sur les prix de l'énergie en Finlande, abaissant le prix au comptant de l'électricité dans le pays de 245,98 € par mégawattheure (MWh) en décembre à 60,55 € par MWh en Avril, une réduction de plus de 75 %, selon la bourse physique de l'électricité, Nord Pool.

h/t à @NetZeroWatch

https://joannenova.com.au/2023/05/the-french-are-leading-a-nuclear-power-alliance-in-europe-and-threatens-to-block-the-renewable-energy-directive/

mardi 16 mai 2023

N'oubliez jamais : une rétrospective sur les mensonges des médias entourant COVID

PAR TYLER DURDEN

DIMANCHE 14 MAI 2023 - 22:00


De peur que nous ne soyons trop à l'aise une fois de plus et oubliions qu'il y a seulement quelques années, le monde occidental était au bord de la tyrannie médicale perpétuelle, il est important de revenir sur la campagne massive de désinformation médiatique concernant l'efficacité (ou le manque d'efficacité) du les mandats pandémiques et les vaccins à ARNm. Il y a seulement deux ans, le public a été bombardé par probablement l'attaque de propagande mondiale la plus agressive de l'histoire moderne. Et cette campagne était un effort conjoint entre les gouvernements nationaux, les institutions mondiales et les entreprises.

Gardez à l'esprit que toute l'hystérie a été générée par un virus avec un taux de mortalité par infection officiel médian de seulement 0,23 %. C'est vrai, toute la campagne de peur présentée dans la vidéo ci-dessous était en réaction à une "pandémie" à laquelle 99,8 % de la population survivrait facilement, et ce taux de mortalité n'était connu que des mois après le début de la propagation. Gardez également à l'esprit que pratiquement toutes les affirmations faites par les médias concernant le covid présenté ci-dessous se sont avérées fausses. Dans de nombreux cas, les médias savaient que les preuves scientifiques allaient à l'encontre de leur récit, mais ils ont quand même promu ce récit.

Profitez de ce retour en arrière de la peur des médias d'entreprise, et n'oubliez jamais...

https://www.zerohedge.com/covid-19/never-forget-retrospective-media-lies-surrounding-covid

La nouvelle centrale nucléaire finlandaise voit les prix de l'électricité plonger de 75 %

PAR TYLER DURDEN

MARDI 16 MAI 2023 - 12:30

Écrit par Thomas Brooke via Remix News,


Le début de la production régulière d'un réacteur nucléaire finlandais très retardé en avril a vu les prix de l'électricité dans le pays baisser de plus de 75 %.

La centrale nucléaire d'Olkiluoto 3 (OL3) a achevé la transition des essais à la production régulière le mois dernier pour devenir la première nouvelle centrale nucléaire de Finlande en plus de quatre décennies. Il devrait produire jusqu'à 15 % de la demande d'électricité du pays.

Et bien que la production de la centrale en soit encore à ses débuts, son lancement a eu un effet considérable sur les prix de l'énergie en Finlande, abaissant le prix au comptant de l'électricité dans le pays de 245,98 € par mégawattheure (MWh) en décembre à 60,55 € par MWh en Avril, une réduction de plus de 75 %, selon la bourse physique de l'électricité, Nord Pool.

Les prix de l'énergie ont fortement augmenté dans le pays scandinave après que le gouvernement finlandais a interdit l'année dernière les importations d'électricité de la Russie voisine en raison du conflit en cours en Ukraine. L'utilisation de l'énergie nucléaire sera bien accueillie par les consommateurs finlandais, d'autant plus que la Finlande a la consommation d'électricité par habitant la plus élevée de l'Union européenne.

« Nous avons eu plus de stabilité dans le système grâce à OL3. C'est une énorme centrale nucléaire, l'une des plus grandes au monde, connectée à un petit système », a déclaré Jukka Ruusunen, directeur général de l'opérateur de réseau national finlandais Fingrid. "Il a ses propres risques, que nous sommes heureux de suivre", a-t-il ajouté.

S'adressant à The National, Ruusunen a expliqué que l'énergie éolienne devrait être la plus grande source de production d'énergie en Finlande d'ici 2027, le nucléaire étant actuellement un substitut utile et fiable.

Il a déclaré que l'énergie éolienne est capable d'attirer davantage d'investissements, l'énergie nucléaire étant apparemment mise sur liste noire par un certain nombre d'investisseurs environnementaux.

« Le nucléaire, semble-t-il, n'est pas très attractif pour les investisseurs. C'est ce qu'ils disent. Mais, c'est une option et je suis sûr que nos politiciens seraient favorables à ces décisions », a-t-il déclaré au site d'information.

Il y a aussi des préoccupations commerciales :

« Qui ose mettre des milliards d'euros dans le nucléaire ? Il a demandé.

Le nucléaire, cependant, continue d'être une source de production d'énergie de plus en plus populaire dans de nombreux pays de l'UE, la France, la Suède, la Pologne et la Hongrie cherchant tous à accroître leur production d'énergie nucléaire.

Le mois dernier, la Pologne a obtenu un financement américain de 4 milliards de dollars pour aider à construire 20 petits réacteurs modulaires à travers le pays d'ici 2029, tandis que la Hongrie se concentre sur l'expansion de sa centrale nucléaire de Paks.

L'exemple finlandais témoigne de la façon dont le nucléaire peut jouer un rôle dans la résolution de la crise énergétique actuelle, les consommateurs payant toujours des frais exorbitants pour l'énergie dans de nombreux pays européens.

L'Allemagne, cependant, a fait le chemin inverse et a fermé de manière controversée ses trois centrales nucléaires restantes le mois dernier. Une inflation élevée, des coûts énergétiques élevés et une forte baisse de la production industrielle ont conduit le Fonds monétaire international (FMI) à prédire qu'une récession est à prévoir pour la centrale électrique européenne.

Alors que les responsables du gouvernement allemand affirment que les prix de l'énergie se stabilisent, beaucoup diront que c'est principalement parce que le gouvernement fédéral a dépensé environ 26 milliards d'euros de l'argent des contribuables pour renflouer les entreprises énergétiques Sefe et Uniper, qui ont toutes deux subi des pertes record en achetant du gaz naturel. à des prix extrêmement gonflés pour remplacer l'approvisionnement interdit en provenance de Russie.

Alors que d'autres pays européens se tournent vers des sources alternatives de production d'énergie telles que le nucléaire, certains ont ignoré les avantages et ont choisi de s'endetter en raison de l'idée que le nucléaire n'est pas une source d'énergie acceptable de nos jours.

https://www.zerohedge.com/energy/newly-launched-finnish-nuclear-plant-sees-electricity-prices-plunge-75

jeudi 11 mai 2023

ASTRID STUCKELBERGER ... LE COVlD EST UNE IRRADIATION VIA LE RÉSEAU 5G

 

À elles seules les batteries de stockage de l’électricité « renouvelable » provoqueraient la banqueroute des États-Unis !

le 11 mai 2023


Le président de la commission du budget du Sénat, Sheldon Whitehouse (D-Rhode Island), cite « la crise climatique » chaque fois qu’il en a l’occasion. Le président Biden dit que cette crise climatique est une menace plus grande encore qu’une guerre nucléaire. Avec leurs alliés, les Démocrates se font les champions de la production d’électricité « sans carbone » d’ici 2035 et de l’énergie presque sans combustible fossile d’ici 2050 ( https://nypost.com/2023/01/31/biden-says-global-warming-is-bigger-threat-to-humanity-than-nuclear-war/ ).

Atteindre la « carboneutralité nette » des émissions de dioxyde de carbone sera sans douleur, nous assurent-ils. Les coûts seront si bas que vous aurez besoin d’une loupe pour les voir. Les gouvernements n’ont qu’à adopter des objectifs et à fournir des subventions, et la transformation vers une énergie « propre » se produira … presque comme dans un conte de fées. Dans le monde réel, cependant, nous aurions besoin littéralement de millions d’éoliennes dépendantes des conditions météorologiques, de milliards de panneaux solaires tout aussi peu fiables, de millions de modules de batteries d’une demi-tonne pour les véhicules, de milliards de modules supplémentaires pour soutenir la production d’électricité intermittente, des millions de transformateurs et des centaines de milliers de kilomètres de nouvelles lignes de transmission. Toutes ces techniques doivent être fabriquées à partir de métaux, de minéraux et de pétrole extraits de la Terre, par l’exploitation minière à des échelles sans précédent dans l’histoire humaine.

Les coûts en dollars – seulement pour une transition aux États-Unis – sont presque inimaginables. David Wojick, analyste des sciences et des politiques, a calculé que les piles nécessaires pour produire de l’électricité à partir de l’énergie éolienne et de l’énergie solaire aux États-Unis, des énergies « carboneutres », coûteraient 23000 milliards de dollars, soit le produit intérieur brut (PIB) total des États-Unis en 2021 et probablement plusieurs fois plus. Thomas Tanton, consultant en énergie et en technologie, a constaté que les batteries de secours pour remplacer l’électricité à base de combustibles fossiles aux États-Unis et convertir les véhicules, les chaudières, les chauffe-eau et les poêles en électricité « renouvelable » coûteraient au moins 29000 milliards de dollars en dépenses initiales.

Il faudrait des milliers de milliards de dollars de plus pour couvrir le financement, les réparations, l’entretien, les remplacements, l’enfouissement d’équipements non recyclable brisés et usés et les systèmes de construction suffisamment solides pour survivre aux ouragans.

Ken Gregory, ingénieur professionnel, a déterminé que les coûts des batteries de secours sur le réseau pourraient atteindre 290 000 milliards de dollars (12,6 fois le PIB des États-Unis en 2021), selon les données réelles de production d’électricité intermittente horaire de 2019 et 2020, plutôt que les données moyennes annuelles utilisées dans les autres études.

Aucune de ces estimations ne comprend les coûts des turbines, des panneaux, des lignes de transmission ou des transformateurs ( https://www.cfact.org/wp-content/uploads/2023/02/Gregory-Exec-Sum-for-letter-to-Congress.pdf ).

L’analyste de l’énergie Francis Menton a estimé que le plan de l’Etat de New- York d’acquérir 24.000 mégawatts-heures de stockage de batteries fournirait seulement 0.2% de ce que l’état aurait réellement besoin comme sauvegarde. Mais même cela nécessiterait 300 000 modules de batterie Tesla longue capacité de 80 kWh – avant que New York n’impose des véhicules électriques et des systèmes de chauffage et de cuisson.

Chacun de ces modules pèse plus de 1000 livres (453 kg) et contient 6000 cellules lithium-ion individuelles. Chacun contient 25 livres de lithium, 60 livres de nickel, 44 livres de manganèse, 30 livres de cobalt, 200 livres de cuivre et plus de 550 livres d’aluminium, d’acier, de graphite, de plastique et d’autres matériaux, rapporte l’analyste énergétique Ron Stein.

Pour fabriquer chaque module, nous devons extraire 30 000 livres de minerai de cobalt (dont une grande partie avec le travail des enfants au Congo), 5 000 livres de minerai de nickel et 25 000 livres de minerai de cuivre, plus injecter dans des salines en altitude des milliers de m3 d’eau et extraire 25 000 livres de saumure pour obtenir le lithium.

Pour répondre aux besoins d’électricité aux heures de pointe de New York pendant l’été pendant seulement 45 minutes ces 300 000 modules de batteries) nécessiteraient 3 750 tonnes de lithium (une tonne US est égale à 907 kg), 9 000 tonnes de nickel, 6 600 tonnes de manganèse, 4 500 tonnes de cobalt, 30 000 tonnes de cuivre et 82500 tonnes d’autres matériaux.

Ensemble, nous aurions besoin d’extraire plus de 75 millions de tonnes de minerais pour ces batteries de secours du réseau de New York, après avoir enlevé au moins autant de roches pour atteindre les gisements.

Pour assurer la production d’électricité éolienne et solaire actuellement prévue en Californie, il faudrait près de 310 millions de modules à longue portée. Imaginez les batteries, les matériaux et les minerais dont nous aurions besoin pour l’ensemble des États-Unis ou du monde ! Le traitement de ces minerais pour obtenir des métaux finis nécessite des acides et d’autres procédés chimiques et entraîne de vastes déchets toxiques qui causent une pollution horrible de l’air et de l’eau s’ils ne sont pas manipulés correctement. Ce n’est absolument pas propre, vert, abordable, écologique ou durable. En fin de compte, le terme « carboneutralité » est bien choisi, si ce qu’on veut dire, c’est la somme de tous les comptes bancaires et de toutes les ressources naturelles des États-Unis après la mise en œuvre de ce projet. 

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/05/11/a-elles-seules-les-batteries-de-stockage-de-lelectricite-renouvelable-provoqueraient-la-banqueroute-des-etats-unis/ 

mardi 9 mai 2023

Élevage laitier en Suède : 93 pour cent des exploitations ont abandonné en 30 ans

9 Mai 2023

Ylsabe-Friederike Rawe, AGRARHEUTE*

  

Au cours des 30 dernières années, sur 40.660 exploitations laitières en Suède, près de 38.000 ont abandonné. Cela correspond à un recul de 93 %.

La Suède n'est pas épargnée par le changement structurel agricole. Au cours des 30 dernières années, 93 pour cent des exploitations laitières ont cessé leur activité.

Le nombre de vaches laitières est resté relativement constant en Suède de 2010 à 2014. Cependant, le changement structurel est devenu de plus en plus évident au cours des huit dernières années.

Le changement structurel est clairement visible dans tous les secteurs de l'agriculture. Surtout si l'on examine de plus près les chiffres dans les différents pays. En Suède, sur 40.660 exploitations, 37.865 ont cessé leur activité au cours des 30 dernières années. Cela correspond à une baisse de 93 pour cent.

La taille des exploitations a également beaucoup évolué depuis 1982. Alors qu'il y a 30 ans, les exploitations détenaient en moyenne 16 animaux, la taille moyenne des troupeaux est passée à 106 animaux par exploitation. De plus, le rendement laitier, converti en vaches laitières, est passé d'un peu plus de 5.000 à 9.000 kg par vache et par an.

Les vaches laitières en Suède : réduction des effectifs de 55 pour cent

Le nombre d'exploitations laitières en Suède a également nettement diminué au cours des douze dernières années. Au total, 2.824 exploitations ont cessé leur activité pendant cette période. En Allemagne, c'était près de 40.000 exploitations sur la même période.

En comparaison avec le recul des exploitations laitières, le nombre de vaches laitières n'a baissé que de 55 pour cent. Alors qu'il y a 30 ans, on comptait encore 665.189 vaches, le nombre de vaches laitières détenues en 2022 était de 296.543.

Au cours des dix dernières années, environ 44 pour cent des exploitations ont cessé leur activité, ce qui signifie que le nombre de vaches laitières n'a diminué que de 50.000 têtes supplémentaires.

Recul du bétail laitier en Allemagne : 1,2 million de vaches laitières en moins depuis 1982

Mais ce n'est pas seulement en Suède, mais aussi en Allemagne que les structures ont nettement évolué ces dernières années. En 1982, il y avait 397.272 exploitations laitières, en novembre 2022, le nombre était de 52.895 selon l'Office Fédéral des Statistiques.

Là aussi, la baisse est de près de 87 pour cent. Depuis 1982, le nombre de vaches laitières est passé de 5,5 millions à 3,8 millions. Au cours des dix dernières années, les effectifs ont été réduits d'environ 9 pour cent. Depuis 2010, un peu plus de 38.000 exploitations laitières ont ainsi cessé leur activité en Allemagne.

Avec du matériel de Jordbruksverket ; Destatis ; Eustat 


______________

* Rédactrice, département élevage

Source : Milchviehhaltung in Schweden: 93 Prozent der Betriebe haben aufgegeben | agrarheute.com

https://seppi.over-blog.com/2023/05/elevage-laitier-en-suede-93-pour-cent-des-exploitations-ont-abandonne-en-30-ans.html