- ENTREE de SECOURS -



lundi 28 février 2022

FEMA : En cas d'explosion nucléaire, maintenez une distance sociale et portez un masque

PAR TYLER DURDEN

LUNDI 28 FÉVRIER 2022 - 03:00


Le gouvernement américain a une longue histoire de conseils amusants et intéressants en matière de mort imminente...

Maintenant, l'Agence fédérale de gestion des urgences, ou FEMA, a publié des directives mises à jour sur son site Web de sensibilisation du public à la préparation aux « explosions nucléaires », qui comprend des conseils pour éviter Covid !

"Une explosion nucléaire peut se produire avec ou sans avertissement de quelques minutes", lit-on sur la page, qui a été mise à jour vendredi. "Les retombées sont les plus dangereuses dans les premières heures après la détonation lorsqu'elles émettent les niveaux de rayonnement les plus élevés. Il faut du temps pour que les retombées reviennent au niveau du sol, souvent plus de 15 minutes pour les zones situées en dehors des zones de dégâts immédiats. 

La FEMA recommande les étapes suivantes pour éviter une «exposition significative aux rayonnements», qui comprennent «Essayez de maintenir une distance d'au moins six pieds entre vous et les personnes qui ne font pas partie de votre foyer» et «Si possible, portez un masque si vous ' re héberger avec des personnes qui ne font pas partie de votre ménage. »

De plus, "Si vous rencontrez une urgence médicale, appelez le 9-1-1 et informez l'opérateur si vous avez, ou pensez avoir, Covid-19. Si vous le pouvez, mettez un masque avant l'arrivée des secours."

"Beaucoup de gens ressentent déjà de la peur et de l'anxiété à propos du coronavirus 2019 (COVID-19). La menace d'une explosion nucléaire peut ajouter un stress supplémentaire."

Les dangers liés aux explosions nucléaires comprennent :

Bright FLASH peut provoquer une cécité temporaire pendant moins d'une minute.

BLAST WAVE peut causer la mort, des blessures et des dommages aux structures à plusieurs kilomètres de l'explosion.

LE RAYONNEMENT peut endommager les cellules du corps. De grandes expositions peuvent causer le mal des rayons.

LE FEU ET LA CHALEUR peuvent causer la mort, des brûlures et des dommages aux structures à plusieurs kilomètres.

L'IMPULSION ÉLECTROMAGNÉTIQUE (EMP) peut endommager l'équipement électrique et l'électronique à plusieurs kilomètres de la détonation et provoquer des perturbations temporaires plus loin.

FALLOUT est une saleté et des débris radioactifs et visibles qui pleuvent à plusieurs kilomètres de haut et qui peuvent rendre malades ceux qui se trouvent à l'extérieur.

La FEMA dit également que vous avez 10 minutes après le passage de l'onde de choc pour trouver "l'emplacement le plus proche et le meilleur abri" si vous êtes à l'extérieur lorsqu'une arme nucléaire se déclenche, car les niveaux de rayonnement sont les plus élevés immédiatement après l'arrivée des retombées.

Mais quoi que vous fassiez, n'oubliez pas de porter votre masque et de pratiquer la distanciation sociale pendant que vous évitez, espérons-le, une mort cancéreuse douloureuse.

https://www.zerohedge.com/medical/fema-case-nuclear-explosion-maintain-social-distancing-and-wear-mask

vendredi 25 février 2022

Le prix des engrais : une nouvelle spirale de prix déclenchée par la crise ukrainienne

25 Février 2022

Olaf Zinke, AGRARHEUTE*

 

Le conflit devrait entraîner une nouvelle hausse des prix des engrais et des matières premières agricoles, associée à un risque élevé pour la sécurité alimentaire de nombreux pays. Lisez ce que les marchés attendent.

La crise ukrainienne pourrait avoir de graves conséquences sur les prix des engrais. Le nitrate d'ammonium, le phosphore et la potasse sont concernés. Les interruptions des exportations et les sanctions européennes vont considérablement réduire l'offre.

La Russie représente au total 40 % des exportations mondiales de nitrate d'ammonium. Une part importante de ces exportations est destinée à l'Europe.

Mercredi 23 février 2022 (date de l'article original)

La semaine dernière, les prix des engrais sur le marché mondial étaient encore en baisse. Un petit appel d'offres indien avait provoqué une forte chute des prix de l'urée. Mais aujourd'hui, tout est à nouveau remis en question : les conséquences du conflit armé aux rives de la mer Noire sont graves et se répercutent sur de nombreux domaines.

Les prix du pétrole brut et du gaz naturel ont déjà fortement augmenté. Les répercussions sur l'offre mondiale de blé, de maïs et d'orge sont considérables, compte tenu du poids des deux pays sur ces marchés. Elles sont directement perceptibles dans la hausse des prix des céréales. M. Marc Zribi, chef du département céréales de FranceAgriMer, a déclaré lors d'une conférence au portail agricole Terre-Net que les risques à court terme sont considérables en cas de conflit ouvert.

Selon M. Zribi, la Russie représente tout de même 13 % du commerce mondial de produits intermédiaires d'engrais et 16 pour cent du commerce d'engrais finis. Les conséquences sont encore plus graves pour l'exportation de nitrate d'ammonium. Le Brésil en particulier pourrait avoir des problèmes massifs, car ce pays sud-américain achète près de 60 % des exportations russes.

Or, la Russie représente au total 40 % des exportations mondiales de nitrate d'ammonium. Une part importante de ces exportations est destinée à l'Europe. En outre, la Russie est également un important fournisseur de phosphates et d'engrais phosphatés, avec 17 % du volume des échanges mondiaux.

L'approvisionnement mondial en potasse menacé – et des risques de défaillance élevés

Une aggravation de la crise aurait également des répercussions sur les flux logistiques. Il est probable que les délais de livraison s'allongent, que les transports fassent des détours et que les coûts du fret maritime et des assurances augmentent fortement.

Enfin, des risques importants sont également à craindre pour l'approvisionnement en potasse. Dans ce domaine, la Russie, tout comme le Bélarus, représente environ 20 % du volume commercial mondial, explique M. Zribi. Le Brésil, la Chine, l'Inde, l'Indonésie et les États-Unis, qui représentent ensemble les deux tiers des importations mondiales de potasse, seraient directement touchés en cas de sanctions.

« Tout bien considéré, le conflit pourrait alimenter une nouvelle spirale haussière des prix des engrais", a déclaré le responsable du département céréales de FranceAgriMer. En outre, une aggravation de la crise aurait également des répercussions sur les flux logistiques. Il devrait en tout cas y avoir un allongement des délais de livraison, des détours lors du transport et une forte augmentation des coûts du fret maritime et des assurances.

En outre, il devrait y avoir une nouvelle insécurité juridique dans les contrats, avec un risque de non-paiement pour « force majeure » en cas de guerre. De plus, un conflit ouvert entraîne également des perturbations importantes dans les circuits financiers internationaux. Au final, les grands importateurs risquent également de revenir à une politique d'approvisionnement complètement différente et d'assurer leur propre approvisionnement en matières premières agricoles, ce qui devrait encore peser sur les marchés.

Des conséquences sensibles sur les marchés céréaliers et les prix alimentaires

Les tensions devraient également entraîner une nouvelle hausse des prix des matières premières agricoles, associée à un risque élevé pour la sécurité alimentaire de nombreux pays pour des raisons de prix et de disponibilité, a encore expliqué M. Marc Zribi.

Si les risques élevés de conflit concernent les ports de la mer d'Azov, qui ne représentent que 6 % du volume des produits agricoles exportés par l'Ukraine, 70 % des marchandises à exporter sont transportées par train vers les ports de la mer Noire et sont exposées à des risques très élevés en cas de guerre.

L'occupation russe de l'est de l'Ukraine pourrait, dans le pire des cas, priver l'ensemble du pays de jusqu'à 30 % de sa production d'orge et de jusqu'à 40 % de sa production de tournesol, de blé et de maïs, estime l'expert français.

Non seulement les deux pays sont responsables de 30 % des exportations mondiales de blé et d'orge, mais la Russie et l'Ukraine fournissent également près de 80 % de la quantité mondiale d'huile de tournesol. Et bien d'autres choses encore.

____________

* Olaf Zinke travaille pour agrarheute en tant que rédacteur cross-média pour les opérations et les marchés. Il analyse les marchés agricoles et des produits de base nationaux et internationaux depuis trois décennies et a travaillé à ce titre pour diverses institutions.

* Source : Düngerpreise: Neue Preisspirale durch Ukraine-Krise ausgelöst | agrarheute.com

 https://seppi.over-blog.com/2022/02/prix-des-engrais-une-nouvelle-spirale-de-prix-declenchee-par-la-crise-ukrainienne.html

mercredi 23 février 2022

Décomposer le coût d'une cellule de batterie EV

 PAR TYLER DURDEN

MERCREDI 23 FÉVRIER 2022 - 05:20


Alors que les prix des batteries de véhicules électriques (VE) ne cessent de baisser, l'offre mondiale de VE et la demande pour leurs batteries augmentent.

Comme le détaille Govind Bhutada de Visual Capitalist ci-dessous, depuis 2010, le prix moyen d'une batterie de VE au lithium-ion (Li-ion) est passé de 1 200 $ par kilowattheure (kWh) à seulement 132 $/kWh en 2021.

À l'intérieur de chaque bloc-batterie EV se trouvent plusieurs modules interconnectés composés de dizaines à des centaines de cellules Li-ion rechargeables. Collectivement, ces cellules représentent environ 77 % du coût total d'une batterie moyenne, soit environ 101 $/kWh.

Alors, qu'est-ce qui détermine le coût de ces cellules de batterie individuelles ?

Le coût d'une cellule de batterie

Selon les données de BloombergNEF, le coût de la cathode de chaque cellule représente plus de la moitié du coût global de la cellule.

Pourquoi les cathodes sont-elles si chères ?

La cathode est l'électrode chargée positivement de la batterie. Lorsqu'une batterie est déchargée, les électrons et les molécules chargées positivement (les ions lithium éponymes) circulent de l'anode vers la cathode, qui les stocke jusqu'à ce que la batterie soit à nouveau chargée.

Cela signifie que les cathodes déterminent efficacement les performances, la portée et la sécurité thermique d'une batterie, et donc d'un véhicule électrique lui-même, ce qui en fait l'un des composants les plus importants.

Ils sont composés de divers métaux (sous des formes raffinées) en fonction de la chimie des cellules, comprenant généralement du lithium et du nickel. Les compositions cathodiques courantes utilisées de nos jours comprennent :

Phosphate de fer au lithium (LFP)

Lithium nickel manganèse cobalt (NMC)

Oxyde de lithium nickel cobalt aluminium (NCA)

Les métaux de batterie qui composent la cathode sont en forte demande, les constructeurs automobiles comme Tesla se précipitant pour sécuriser les approvisionnements alors que les ventes de véhicules électriques progressent. En fait, les produits de la cathode, ainsi que ceux des autres parties de la cellule, représentent environ 40 % du coût total de la cellule.

Autres composants de cellule de batterie EV

Les composants en dehors de la cathode représentent les 49 % restants du coût d'une cellule.

Le processus de fabrication, qui comprend la production des électrodes, l'assemblage des différents composants et la finition de la cellule, représente 24 % du coût total.

L'anode est un autre composant important de la batterie, et elle représente 12 % du coût total, soit environ un quart de la part de la cathode. L'anode d'une cellule Li-ion est généralement constituée de graphite naturel ou synthétique, qui a tendance à être moins cher que les autres produits de batterie.

Bien que les coûts des batteries soient en baisse depuis 2010, la récente flambée des prix des métaux clés des batteries comme le lithium a jeté une ombre sur leur avenir. Comment les prix des batteries EV vont-ils évoluer à l'avenir ?

https://www.zerohedge.com/technology/breaking-down-cost-ev-battery-cell

mardi 22 février 2022

Jour 2 - Grand Jury / Tribunal de l'Opinion Publique

 

Dr Reiner Fuellmich (attorney Germany), Dr Ingrid Stuckelberger, Alex Thomson (Journalist, Author), Dexter L-J Ryneveldt (ADV) attorney S-Africa, Matthew Ehret (journalist), Viviane Fischer (attorney Germany), Whitney Webb (journalist), Brian Gerrish & Debbie Evans,  James Bush, Dr Sylvia Behrendt, Virginie de Araujo Recchia (attorney).

lundi 21 février 2022

Une nouvelle étude révèle que l'éthanol à base de maïs est en fait PIRE POUR L'ENVIRONNEMENT que l'essence ordinaire

dimanche 20 février 2022

 par : Arsenio Toledo

 

(Natural News) Une nouvelle étude a révélé que l'éthanol à base de maïs, la principale source de carburant à l'éthanol soi-disant vert aux États-Unis, pourrait en fait être pire pour l'environnement que l'essence ordinaire.

La nouvelle étude, publiée dans les Actes de l'Académie nationale des sciences (PNAS), contredit des recherches antérieures, y compris une étude commandée par le Département américain de l'agriculture (USDA), affirmant que l'éthanol de maïs et d'autres biocarburants sont plus respectueux de l'environnement.

L’étude PNAS a été financée en partie par la National Wildlife Federation et le Department of Energy dans le cadre d’un examen des politiques du gouvernement fédéral sur les biocarburants. L'administration du président Joe Biden veut passer aux biocarburants comme l'éthanol de maïs dans le but de décarboniser l'économie américaine d'ici 2050.

L'étude a révélé que l'éthanol est au moins 24 % plus intensif en carbone que l'essence. En effet, l'énergie dépensée pour cultiver le maïs, ainsi que sa transformation, puis sa combustion inévitable comme carburant, entraînent davantage d'émissions.

"L'éthanol de maïs n'est pas un carburant respectueux du climat", a déclaré le Dr Tyler Lark, un assistant scientifique travaillant à l'Université du Wisconsin-Madison Center for Sustainability and the Global Environment. Lark a également été l'auteur principal de l'étude PNAS.

"Nous pensions que [l'éthanol] serait une solution climatique et réduirait et remplacerait notre dépendance à l'essence", a déclaré Lark. "Il s'avère qu'il n'est pas meilleur pour le climat que l'essence qu'il vise à remplacer et qu'il s'accompagne de toutes sortes d'autres impacts." (Connexe : pourquoi vous devriez éviter de remplir votre réservoir d'essence avec du carburant contenant de l'éthanol.)

Lark et les autres chercheurs ont examiné la norme américaine sur les carburants renouvelables (RFS), qui a été adoptée pour la première fois par le Congrès en 2005, puis mise à jour en 2007 dans la RFS2. Cette norme exige que les producteurs de carburant mélangent des milliards de gallons de carburants renouvelables tels que l'éthanol de maïs. La norme exige que les mélangeurs de carburant ajoutent chaque année des milliards de gallons supplémentaires de carburant renouvelable à l'approvisionnement en carburant de transport du pays.


Au moment de son adoption, le RFS est devenu le plus grand programme de biocarburants au monde. Les législateurs et les défenseurs de l'environnement ont affirmé que la norme était une victoire majeure pour le climat et contribuerait à réduire la dépendance de l'Amérique au pétrole étranger.

Mais au cours des 17 années écoulées depuis son adoption, aucun des problèmes que le RFS était censé résoudre n'avait été résolu.

En raison du mandat, la culture du maïs a augmenté de 8,7 % entre 2008 et 2016. Pour répondre à la demande, les fermes de maïs aux États-Unis se sont étendues à 6,9 millions d'acres supplémentaires.

La conversion massive de terres en terres agricoles a entraîné des changements généralisés, comme empêcher l'ajout de millions d'acres de terres aux parcs nationaux ou aux programmes de conservation. Le processus de croissance de milliards de gallons de biomasse de maïs en plus a également entraîné une augmentation des émissions, telles que l'application d'engrais chimiques sur le terrain.

RFA n'est pas d'accord avec la science

La Renewable Fuels Association (RFA), le principal lobby américain du commerce de l'éthanol, n'était pas d'accord avec les résultats de l'étude PNAS.

"Les affirmations de ce rapport ne correspondent tout simplement pas à la réalité et aux faits sur le terrain, et le document ressemble plus à un roman fantastique qu'à un véritable morceau de littérature académique", a déclaré l'association dans un communiqué.

Le président et chef de la direction de RFA, Geoff Cooper, a qualifié l'étude de "complètement fictive et erronée". Il a fait valoir que Lark et les autres auteurs ont sélectionné des données et utilisé des «hypothèses les plus défavorables» concernant les émissions d'éthanol.

Une étude de 2019 de l'USDA a révélé que «l'intensité carbone» de l'éthanol était inférieure de 39 % à celle de l'essence, en partie à cause de la quantité massive de carbone séquestrée lors de la création de nouvelles terres cultivées. La RFA et d'autres lobbyistes de l'industrie des biocarburants citent régulièrement cette étude à l'appui de leurs affirmations. Mais Lark a déclaré que cette étude avait sous-estimé l'impact de la conversion des terres sur les émissions.

Lark lui-même a participé à une étude de 2019 sur l'expansion des terres cultivées pour le maïs et le soja. Cette étude a révélé que la conversion massive des terres augmentait en fait les émissions de gaz à effet de serre. Lark a également souligné que sans les changements de politique issus des premières études sur l'éthanol, moins de forêts et de prairies riches en carbone auraient été converties en terres agricoles pour cultiver plus de maïs.


La RFA affirme que les terres cultivées pour le maïs ne se sont pas réellement étendues depuis la mise en œuvre de la RFS. Mais Tim Searchinger, chercheur sur l'énergie et l'environnement à l'Université de Princeton, a souligné que les données que la RFA utilise pour étayer ses affirmations "sont inventées de toutes pièces".

L'USDA n'a pas répondu aux demandes de commentaires concernant les résultats de l'étude. L'administration Biden est sur le point de réorganiser les «obligations de volume renouvelable» – le pourcentage de carburants renouvelables devant être mélangés à des mélangeurs de carburant dans le cadre de la RFS2 – dans les mois à venir. Rien n'indique que les résultats de cette étude inciteront l'administration à réduire la quantité de biocarburants que les producteurs doivent mélanger.

Plus d'histoires liées :

La décision du Royaume-Uni d'augmenter l'utilisation de biocarburant à base d'éthanol pourrait entraîner une augmentation de la déforestation.

Une usine d'éthanol découverte répand des déchets toxiques dans la ville du Nebraska.

La mort d'abeilles dans le Nebraska est attribuée à une usine d'éthanol utilisant des pesticides.

L'éthanol augmente la pollution par l'ozone plus que le pétrole.

Le mythe de l'éthanol brisé : les biocarburants à base de maïs libèrent plus de gaz à effet de serre que l'essence.

Regardez ce clip de "Swamp Watch" de Fox News et découvrez à quel point l'industrie américaine de l'éthanol est corrompue et inefficace.

This video is from the the TruthBeTold channel on Brighteon.com.

Sources include:

WattsUpWithThat.com

Reuters.com

InsideClimateNews.org

Brighteon.com

https://www.naturalnews.com/2022-02-20-corn-ethanol-worse-for-environment-than-gasoline.html

samedi 19 février 2022

Planet Lockdown - 4 clips

 Planet Lockdown - Version doublée en français - Part 1/4


Planet Lockdown – Version doublée en français – Part 2/4 

Planet Lockdown – Version doublée en français – Part 3/4

 
 Planet Lockdown - Version doublée en français - Part 4/4

LES ÉOLIENNES CACHENT EN MILIEU RURAL LEUR NOCIVITÉ FATALE

 par LUDOVIC GRANGEON

  19/02/2022 


En 2020, l'éolien a produit 8,9% de la production d'électricité de la France.

Le 8 juillet 2021, un jugement, passé inaperçu en pleine crise Covid,  a confirmé que les éoliennes étaient nocives à la santé et même très nocives. Tous les soupçons émis depuis dix ans sur les ondes fatales des éoliennes sont totalement confirmés. C’est la très respectable Cour d’Appel de Toulouse qui le dit, après avoir convoqué de nombreux experts indépendants dans une longue procédure détaillée.

Curieusement, l’Académie de Médecine avait dit la même chose depuis 2006 (rapport Chouard) et curieusement personne ne semblait en avoir tenu compte, ce rapport ayant même été édulcoré et expurgé lors de sa diffusion. Pour les émissions sonores dont se plaignent des milliers de foyers, l’astuce avait été de trouver une norme secondaire qui ne mesure pas les basses,  utilisée en principe pour les petits appareils ménagers sans rapport avec une éolienne. Or ce sont les basses qu’on entend le plus loin et qu’on ne perçoit pas au plus près. Il suffit d’approcher d’une fête foraine ou d’une rave party pour s’en rendre compte. A 5 km dans la campagne, ce sont les basses qu’on entend jusque dans les maisons. La Sécurité Sociale connaît parfaitement ce danger car l’exposition longue aux basses est susceptible de provoquer de nombreuses maladies et cancers, objets de nombreuses études actuelles : leucémie, cancer du sein, affections des enfants, tumeurs du système nerveux….depuis les premiers travaux de Wertheimer et Leeper en 1979. Et les éoliennes fabriquent beaucoup de basses.

C’est précisément cette formidable nuisance que la Cour d’appel de Toulouse vient de révéler dans une longue énumération : perte de valeur de bien, trouble de jouissance, souffrances endurées, incapacité temporaire, déficit fonctionnel grave, préjudice moral sur une durée de dix ans. Les dégâts sont considérables pour les personnes.

L'administration et les législateurs vont devoir prendre en compte cette évidence et protéger la population. La réglementation va devoir évoluer en éloignant la distance entre éoliennes et habitations jusqu’à 10 fois la hauteur, soit 2 km, et en bridant les machines. Cette seule sécurité pourra épargner beaucoup de vies de riverains et leur éviter de douloureuses maladies. De nombreuses collectivités locales le préconisent officiellement.(Départements, Communes, Région) comme par exemple les Hauts de France, l'Allier ou la Vienne, totalement saturés, envahis par de multiples contentieux. 70 % des projets éoliens sont attaqués en justice. Ce chiffre (record national absolu) confirme les importantes nuisances qu'ils engendrent.

Jusqu’ici, les industriels de l’éolien avaient « aidé » les législateurs à rédiger la réglementation sur ce nouveau secteur. Et curieusement, cette « aide » avait omis beaucoup de choses qui fâchent. Ainsi, par exemple, en était-il des gigantesques socles de béton de plusieurs milliers de tonnes qui pouvaient être abandonnés dans le sol des propriétaires. Il faudra désormais les extraire du sol pour éviter de multiples pollutions souterraines après une enquête du ministère sur les nombreuses plaintes. Et les provisions financières exigées ne sont pas à la hauteur du problème, avec un gros risque de faillites à répétition et d’abandon des installations.

Il existe actuellement près de 150 000 tonnes de pales d’éoliennes qui ne pourront pas être recyclées, dont les matériaux sont hautement polluants. Les promoteurs éoliens avaient réussi à dissimuler ce problème jusqu’à présent, et il est aussi lourd que celui de l’amiante.

On comprend mieux pourquoi les promoteurs s’obstinent pendant des années à implanter ces machines en pleine campagne, dans des endroits reculés, avec des élus mal informés, loin de tout, au prix d’immenses réseaux électriques dont l’entretien est à notre charge. Les nuisances sont telles qu’il faut les rendre le plus discrètes possible. Cette aberration est l’une des causes principales de l’explosion des tarifs de l’électricité que nous subissons cruellement. Et pourtant tous les experts le prédisaient depuis dix ans. Pour 8% à peine de notre électricité, il faut doubler le réseau à notre charge et il ne fonctionne qu'à 20% dans l'année.

http://www.economiematin.fr/news-eolienne-nocivite-danger-milieu-rural-jugement-grangeon

vendredi 18 février 2022

Une étude explosive confirme le lien entre l'exposition sans fil 5G et la maladie COVID

vendredi 18 février 2022

par : Ethan Huff


(Natural News) Une nouvelle recherche publiée dans le Journal of Clinical and Translational Research met en évidence le lien entre les symptômes du coronavirus de Wuhan (Covid-19) et le rayonnement sans fil 5G.

Alors qu'une grande partie de l'attention s'est concentrée sur le virus lui-même, le document examine les impacts environnementaux qui exacerbent la maladie, y compris les radiofréquences des tours de téléphonie mobile.

« En considérant la triade épidémiologique (agent-hôte-environnement) applicable à toutes les maladies, nous avons étudié un facteur environnemental possible dans la pandémie de COVID-19 : le rayonnement radiofréquence ambiant des systèmes de communication sans fil, y compris les micro-ondes et les ondes millimétriques », explique le document.

« Le SRAS-CoV-2, le virus qui a causé la pandémie de COVID-19, a fait surface à Wuhan, en Chine, peu après la mise en œuvre du rayonnement des communications sans fil à l'échelle de la ville (cinquième génération [5G] [WCR]), et s'est rapidement propagé à l'échelle mondiale, démontrant initialement une corrélation statistique avec les communautés internationales avec des réseaux 5G récemment établis. "

Beverly Rubik et Robert R. Brown, les deux auteurs de l'étude, ont examiné la littérature scientifique évaluée par des pairs sur les effets biologiques néfastes de la WCR. Ils ont identifié plusieurs mécanismes par lesquels le WCR peut avoir contribué à la pandémie de grippe Fauci en tant que cofacteur environnemental toxique. (Connexe: les preuves montrent que la 5G détruit également la faune.)

En croisant les frontières entre les disciplines de la biophysique et de la physiopathologie, le duo a mis en avant les preuves suivantes montrant que l'exposition à la 5G :


• Provoque des changements morphologiques dans les érythrocytes, y compris la formation d'échinocytes et de rouleaux qui peuvent contribuer à l'hypercoagulation

• Altère la microcirculation et réduit les niveaux d'érythrocytes et d'hémoglobine exacerbant l'hypoxie

• Amplifie le dysfonctionnement du système immunitaire, y compris l'immunosuppression, l'auto-immunité et l'hyperinflammation

• Augmente le stress oxydatif cellulaire et la production de radicaux libres entraînant des lésions vasculaires et des dommages aux organes

• Augmente le Ca2+ intracellulaire (ions calcium) essentiel à l'entrée, à la réplication et à la libération du virus, ainsi qu'à la promotion des voies pro-inflammatoires

• Aggravation des arythmies cardiaques et des troubles cardiaques

L'exposition à la 5G provoque-t-elle une covid vraiment grave ?

Non seulement la 5G, mais aussi le WCR de bas niveau de divers appareils, y compris les systèmes de réseau local, le Wi-Fi (officiellement le protocole de séquence directe IEEE 802.11b ; IEEE, Institute of Electrical and Electronic Engineers), et même les téléphones mobiles eux-mêmes créent une toxicité interne et dommages cellulaires.

Des effets biologiques non thermiques, c'est-à-dire la densité de puissance qui provoque l'échauffement des tissus, à partir d'une exposition au WCR de très faible niveau ont également été signalés dans la littérature scientifique à des densités de puissance inférieures aux directives d'exposition de la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP).

"Il a été constaté que le WCR de faible niveau a un impact sur l'organisme à tous les niveaux d'organisation, du niveau moléculaire au niveau cellulaire, physiologique, comportemental et psychologique", explique l'étude.

"De plus, il a été démontré qu'il provoque des effets systémiques néfastes sur la santé, notamment un risque accru de cancer, des modifications endocriniennes, une production accrue de radicaux libres, des dommages à l'acide désoxyribonucléique (ADN), des modifications du système reproducteur, des défauts d'apprentissage et de mémoire et des troubles neurologiques."

Bien que la terre elle-même ait toujours émis des radiofréquences naturelles de faible niveau en arrière-plan, elles sont si faibles que notre corps n'y répond pas négativement. Ce n'est pas le cas des RF artificiels émis par une présence de plus en plus envahissante de BFR dans la vie quotidienne.

Fait intéressant, la progression du covid en termes de maladie grave est étroitement parallèle aux effets indésirables causés par l'exposition à la 5G. Ceux-ci comprennent les changements sanguins, le stress oxydatif, la perturbation et l'activation du système immunitaire, l'augmentation du calcium intracellulaire et les effets cardiaques.

"Par exemple, la coagulation sanguine et l'inflammation ont des mécanismes qui se chevauchent, et le stress oxydatif est impliqué dans les changements morphologiques des érythrocytes ainsi que dans l'hypercoagulation, l'inflammation et les dommages aux organes", explique l'étude.

«Il existe un chevauchement substantiel en pathobiologie entre l'exposition au COVID-19 et à la WCR. Les preuves présentées ici indiquent que les mécanismes impliqués dans la progression clinique du COVID-19 pourraient également être générés, selon des données expérimentales, par l'exposition au WCR. Par conséquent, nous proposons un lien entre les effets biologiques indésirables de l'exposition au WCR des appareils sans fil et le COVID-19. »

More related news about the devastating impact of 5G radiation exposure can be found at 5Galert.com.

Sources for this article include:

ncbi.nlm.nih.gov

NaturalNews.com

https://www.naturalnews.com/2022-02-18-covid-disease-linked-5g-wireless-exposure-study.html

mardi 15 février 2022

Retour sur la chloroquine

le 15 février 2022


En 2005 le CDC (Center for Disease Control, Atlanta Georgia) publia un article dans le Virology Journal (doi : 10.1186/1743-422X-2-69 ) dans lequel il était précisé que la chloroquine était un inhibiteur de l’infection et de la dissémination du SARS coronavirus. Cet article est en accès libre et peut être consulté par n’importe qui. En 2014 une équipe de biologistes du NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases) publia un intéressant article relatif cette fois à l’application de « vieilles molécules » pour le traitement du MERS (Middle East Respiratory Syndrome) provoqué par un coronavirus très proche du SARS-CoV-2 d’aujourd’hui (doi : 10.1128/AAC.03036-14 ) également en accès libre. Cette étude réalisée dans l’institut dirigé par Antony Fauci que tout le monde connaît de nom fait état de 66 vieilles molécules actives pour neutraliser le SARS-CoV, le MERS-CoV ou les deux.

Bien avant l’explosion de l’épidémie de SARS-CoV-2 en 2020 le gouvernement américain savait qu’il existait de vieilles molécules éprouvées sur le plan de la toxicité pour traiter cette maladie virale. Les autorités médicales européennes étaient également informées puisqu’un groupe de biologistes des Universités de Leiden aux Pays-Bas et de Louvain en Belgique confirmaient également en 2014 ce que leurs homologues du NIAID avaient démontré (doi : 10.1128/AAC.03011-14, en accès libre). Dans ces trois études l’Ivermectine n’apparaissait pas. Pourquoi la chloroquine, entre autres vieilles molécules éprouvées mais dont l’autorisation de mise sur le marché ne concernait pas un traitement antiviral, fut-elle immédiatement interdite de vente et de prescription par les médecins de premières ligne ? D’où provenait cette interdiction toujours de rigueur dans les pays occidentaux ? Un incroyable enchainement d’évènements liés les uns aux autres conduisit à l’interdiction de la chloroquine et de sa version moins toxique sur le long terme, l’hydroxychloroquine, dont le point culminant fut la publication par The Lancet d’une étude complètement frauduleuse dont les auteurs étaient des inconnus dans la sphère scientifique. Des essais cliniques furent bâclés pour ne surtout pas arriver à la conclusion que l’hydroxychloroquine, associée ou non à l’azithromycine, était efficace comme par exemple en traitant des malades presque mourants ou en utilisant des posologies hautement toxiques.

Tout fut donc méthodiquement organisé pour interdire cette molécule et le même sort fut réservé à l’Ivermectine quand son efficacité fut démontrée par hasard lorsque des vieillards souffrant de la gale furent traités dans des hospices de la région parisienne. Qui sont les instigateurs de ces interdictions ? Personne n’ose le dire. Il me faudra attendre d’être à Tokyo, peut-être au mois d’avril, pour lire l’opus de Robert F. Kennedy,Jr qui sera disponible en français dans quelques jours car Amazon est inopérant à Tenerife. Antony Fauci connaissait les travaux de gain de fonction réalisés sur les coronavirus, il connaissait également les travaux réalisés au NIAID relatifs à la chloroquine et il savait que la séquence de l’ARN du coronavirus était connue bien avant sa publication par les Chinois au début de l’année 2020. Fauci a-t-il subi la pression des laboratoires pharmaceutiques qui « planchaient » déjà sur un « vaccin » à ARN messager ? C’est l’hypothèse la plus vraisemblable car les laboratoires pharmaceutiques américains, en particulier Pfizer, connaissaient de graves difficultés financières et l’opportunité d’inonder le monde entier, sans faire de jeu de mots, avec une mixture qui se révélera toxique et inutile contre argent sonnant et trébuchant, des centaines de milliards de dollars, était la bien venue. Au cours d’une entrevue avec la journaliste Catherine Austin Fitts le Sénateur Robert F. Kennedy,Jr a exposé le détail de ses investigations : la corruption est omniprésente aux Etats-Unis qu’il s’agisse de la FDA, des agences de santé HHS, du CDC et de la NIH. Selon le Sénateur Fauci a transformé la NIH en incubateur pour les produits pharmaceutiques des grandes firmes américaines. Par un effet miroir tous les organismes européens et des nations européennes ont subi la même corruption et enfin l’OMS n’est qu’une marionnette tant des laboratoires pharmaceutiques américains que du GAVI, une émanation de la fondation Bill & Melinda Gates. Enfin un autre aspect paraissant inattendu est la censure systématique de toutes les interventions médiatisées hostiles à ces « vaccins » ou qui concernent l’hydroxychloroquine et l’Ivermectione. Les « GAFAM » ont subi la gentille pression des laboratoires pharmaceutiques pour collaborer. Après plus d’un million de morts qui auraient pu être sauvés la justice, s’il y en a encore une, devra s’intéresser de très près à cette affaire, un sacrifice sur l’autel du profit des grands laboratoires pharmaceutiques.

Quelles que soient les manifestations de rue dans les villes ou de routes comme au Canada et maintenant en Europe on ne remarque qu’une forte mobilisation policière qui est le signe d’une dérive des démocraties européennes vers le totalitarisme généralisé. Des blindés dans les rues de Paris : il faut remonter à l’occupation allemande pour retrouver un tel spectacle ! 

Un lien pour les anglophones : https://doctors4covidethics.org/d4ce-symposium-ii-video-replay-the-real-anthony-fauci-catherine-austin-fitts-talks-with-robert-f-kennedy-jr/

https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/02/15/retour-sur-la-chloroquine/

lundi 14 février 2022

Vaccins à ARN messager : L’énorme bombe qui vient d’éclater aux USA

le 14 février 2022


L’armée américaine compte 1,4 million de personnels et l’état de santé de ces derniers est méticuleusement suivi. Les dossiers sont centralisés dans le DMED (Defense Medical Epidemiology Database) et il est apparu au cours du mois de janvier 2022 que les données de la DMED avaient été modifiées pour une raison inconnue alors que 94 % des personnels militaires ont été « vaccinés ». Trois lanceurs l’alerte internes à l’armée ont divulgué l’ensemble des données de la DMED avant que celles-ci aient été modifiées ( https://renz-law.com/dmed-data/ ) et le Sénateur Ron Johnson a mandaté des spécialistes pour analyser ces données avec la plus stricte objectivité. D’une manière générale l’état de santé générale des personnels de l’armée américaine est très correct et d’un niveau plus élevé que l’ensemble de la population américaine. Pourtant cette analyse constitue une véritable bombe en ce qui concerne la toxicité du « vaccin » auquel a été soumis le personnel militaire.

Les résultats qu’ont voulu à tout prix dissimuler au public les autorités militaires sont sans appel. Ceux-ci sont exprimés en pourcentage. Il faut bien comprendre qu’une augmentation de 200 % d’une pathologie signifie qu’au lieu d’avoir un cas il y en a maintenant trois, 100 % étant un doublement du nombre de cas et 200 % un triplement. Bien que l’état de santé des militaires soit très satisfaisant voici ce qui ressort de cette analyse, l’année de référence étant l’année 2019, par ordre décroissant du nombre de pathologies : 

hypertension plus 2081 %, 

maladies du système nerveux +948 %,

 tumeurs malignes de l’oesophage +794 %, 

 sclérose multiple +580 %, 

 autres tumeurs malignes du système digestif +524 %, 

 maladie de Guillain-Barré +451 %, 

 cancers du sein + 387 %, 

 démyélination +387 %, 

 tumeurs de la thyroïde +374 %,

  infertilité féminine (fausse-couche) +372 %, 

  embolies pulmonaires +368 %, 

  migraines persistantes +352 %, 

  malfonctions ovariennes +337 %, 

  cancers des testicules +269 %, 

  tachycardie +202 %.

Ce n’est pas une énumération à la Prévert mais une description détaillée terrifiante des effets secondaires du « vaccin » sur un échantillon de 1,4 millions de personnes dans un état de santé général très satisfaisant. S’il fallait trouver d’autres preuves de la toxicité de ce « vaccin » ce serait superflu. Comme on pouvait s’y attendre tous les haut-gradés nient l’évidence, circulez il n’y a rien à voir, et pourtant … l’armée américaine a enregistré au cours de l’année 2021 vingt-deux millions de déclarations d’effets secondaires de la « vaccination » alors qu’en 2019 seulement les services de santé de l’armée avaient recensé seulement 1,7 million de déclarations de maladies soit 13 fois plus. Treize fois plus de déclarations de maladies n’est-ce pas une preuve du crime mon Cher Watson ? Enfin ces statistiques qui ont « fuité » malencontreusement de la DMED ne mentionnent aucun décès, « qu’en pensez-vous Docteur Watson ? » aurait dit Sherlock Holmes.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/02/14/vaccins-a-arn-messager-lenorme-bombe-qui-vient-declater-aux-usa/

Effets secondaires : la face cachée des vaccins

 

vendredi 11 février 2022

Avertissement personnel du Docteur Robert Malone à tous les parents

 le 11 février 2022


Je voudrais m’adresser à tous, en tant que médecin, père et grand-père. Mon avertissement est justifié par ma carrière dédiée à l’étude et au développement des vaccins. Je suis en général favorable à la vaccination car j’ai durant toute ma carrière étudié les voies effectives et sécurisées de prévention des maladies infectieuses.

En ce qui concerne la vaccination contre le SARS-CoV-2, avant de prendre la décision de faire injecter à votre enfant ce vaccin, une décision irréversible, vous devez connaître les fait scientifiques au sujet des vaccins génétiques basés sur les ARNs messagers, Une technologie dont j’ai été l’inventeur. Il y a trois points que les parents doivent bien comprendre. Le premier point est qu’un gène viral sera injecté dans les cellules de votre enfant. Ce gène force le corps de votre enfant à produire la protéine toxique spike. Cette protéine provoque très souvent des dommages aux organes critiques de votre enfant : le cerveau et le système nerveux, le cœur et les vaisseaux sanguins en provoquant des thromboses, les organes reproducteurs et enfin un changement profond du système immunitaire.

Le plus préoccupant est que tous ces dommages, une fois apparus, sont irréversibles : vous ne pouvez pas réparer les lésions cérébrales, vous ne pouvez pas réparer les lésions cardiaques, vous ne pouvez pas améliorer un système immunitaires endommagé, vous ne pouvez pas réparer le système reproducteur de votre enfant et l’avenir de votre famille sera compromis.

Le second point important que vous devez connaître avant d’accepter que votre enfant soit vacciné est que cette nouvelle technologie n’a pas été étudiée de manière adéquate. Il faut au minimum 5 ans de recherche et de tests pour vraiment comprendre et identifier les risques. Ces risques apparaissent souvent de nombreuses années plus tard.


Demandez-vous si vous voulez vraiment que votre enfant fasse partie de cette étude médicale la plus importante dans toute l’histoire de l’humanité. Le dernier point réside dans le fait que tout ce qu’on vous raconte sur ce vaccin est mensonger. Vos enfants ne représentent aucun danger pour vous et leurs grands-parents. S’ils sont infectés par le coronavirus qui ne provoque chez eux qu’une maladie bénigne, leur immunité est critique pour sauver votre famille et l’ensemble de la communauté. En résumé il n’y a aucun bénéfice à attendre de la vaccination de votre enfant compte tenu des effets secondaires bien identifiés aujourd’hui et avec lesquels vos enfants devront vivre pour le reste de leurs jours. L’analyse bénéfice / risque de ce vaccin n’est pas terminée. Ma recommandation en tant que parent et grand-parent est de résister et de combattre pour protéger vos enfants.

Source : https://www.rwmalonemd.com/mrna-vaccination-in-children

https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/02/11/avertissement-personnel-du-docteur-robert-malone-a-tous-les-parents/

jeudi 10 février 2022

Quand le nucléaire chinois dominera le monde… demain matin

Dans moins de 10 ans, la production d’électricité d’origine nucléaire en Chine se positionnera à la première place mondiale devant les États-Unis… et la France.


Michel Gay

le 10 février 2022


La Chine va prendre la première place dans le paysage nucléaire international dans moins de 10 ans.

Le 14ème Plan quinquennal chinois prévoit de développer un imposant programme électronucléaire en Chine et… dans le monde.

100 gigawatts (GW) en 2025 et 200 GW en 2035 pour le nucléaire chinois !

Le deuxième réacteur chinois de troisième génération Hualong-one (« Dragon ») a été couplé au réseau en Chine le 1er janvier 2022, devenant ainsi leur troisième réacteur à produire de l’électricité, le premier fonctionnant au Pakistan depuis juin 2021.

Ce réacteur d’environ 1,2 gigawatt (GW), conçu comme leur fer de lance à l’export, a été désigné comme l’un des dix « équipements de grande importance stratégique nationale ».

Avec 53 réacteurs couplés au réseau et une puissance installée totale de 54 GW, la Chine se place aujourd’hui en troisième place mondiale juste après les États-Unis (93 réacteurs et 95 GW) et la France (56 réacteurs et 61,3 GW suite à la fermeture politique de Fessenheim).

Mais la Chine est déjà en deuxième position pour la production d’électricité nucléaire (410 térawattheures (TWh) en 2021 contre environ 350 TWh en France qui ne prévoit que 300 TWh en 2022). Cette production atteint pour la première fois le seuil de 5 % dans son mix électrique encore essentiellement issu du charbon soit environ 70 %.

Sa production nucléaire globale a permis d’éviter la consommation de 125 millions de tonnes de charbon ce qui représente une réduction des émissions de 328 millions de tonnes de CO2, d’un million de tonnes d’oxyde de soufre (SO2), et de 930 000 tonnes d’oxydes d’azote.

En 2025, la Chine dépassera la France pour prendre la deuxième place mondiale en matière de capacité installée nucléaire avec une puissance de 70 GW.

De plus, 30 GW seront en construction, soit au total 100 GW, ce qui représentera une augmentation de près de 60 % par rapport à l’année 2019.

Le « Livre bleu » publié par la China Nuclear Energy Association (CNEA) et intitulé « Rapport sur le développement de l’énergie nucléaire en Chine pour l’année 2020 » souligne que le nucléaire jouera un rôle important dans le remplacement des énergies fossiles en Chine et prévoit 6 à 8 nouveaux réacteurs par an pendant le 14ème Plan quinquennal.


Enfin, en 2035, il est prévu une puissance nucléaire (en service et en construction) de 200 GW.

Une montée en puissance « tous azimuts » du nucléaire

Ce pays ne se contente plus de construire et d’exploiter des réacteurs conçus à l’étranger. En s’inspirant des technologies françaises et américaines, il a acquis une maturité industrielle qui lui permet dorénavant de concevoir et construire des réacteurs dans des délais qu’aucun pays ne parvient plus à atteindre (5 ans à 6 ans). Leur coût annoncé, autour de 5 milliards d’euros, est largement inférieur à celui des autres réacteurs de troisième génération dans le monde.

Les réacteurs chinois de troisième génération tels que le Hualong-1 et le CAP1400 équiperont majoritairement les nouvelles centrales nucléaires en Chine, et peut-être ailleurs dans le monde. Ils sont actuellement proposés pour équiper la Grande-Bretagne en parallèle avec les EPR français.

Le 1er février 2022, l’Argentine et la Chine ont signé un accord visant à construire un Hualong-1 sur le site nucléaire d’Atucha près de Buenos-Aires. Le financement du projet sera en grande partie assuré par un prêt d’un groupement de banques chinoises.

Après le Pakistan, la technologie des réacteurs chinois met donc un pied en Amérique latine…

L’arrivée d’un quatrième opérateur nucléaire en Chine (Huaneng après CNNC, CGN et SPIC) confirme la forte volonté chinoise d’accélérer le développement de son parc nucléaire en favorisant la construction nationale afin d’accroître son indépendance dans un contexte de montée continue des tensions avec les États-Unis.

La Chine investit aussi dans les réacteurs surgénérateurs de quatrième génération et les combustibles nucléaires au thorium. Elle s’engage également dans la construction de réacteurs à haute températures (HTR) pour le dessalement de l’eau de mer et une éventuelle production d’hydrogène.

Chauffage urbain nucléaire

De plus, la Chine continue à promouvoir la diversification des usages du nucléaire par la production de chaleur industrielle et urbaine à partir des grands réacteurs électrogènes AP1000 (à Haiyang), des CAP1400, et aussi avec de petits réacteurs SMR (Small Modular Reactor), notamment à l’intérieur des terres. Plusieurs réacteurs de démonstration SMR sont prévus pour le chauffage urbain et comme centrales électriques flottantes.

Le 9 novembre 2021, elle a inauguré le « chauffage nucléaire » de la totalité de la zone urbaine de la ville de Haiyang (200 000 habitants et 4,5 millions m2) qui devient ainsi la première ville entièrement à « chauffage zéro carbone » en Chine.

Les 12 chaudières au charbon ont été remplacées sans qu’il y ait eu aucun changement pour les consommateurs.

La chaleur de la vapeur (non radioactive) extraite après la production d’électricité est utilisée pour produire de l’eau chaude acheminée par des canalisations vers des stations avant d’être distribuée aux particuliers.


Une autre ville dans le Sud de la Chine utilise aussi partiellement le chauffage nucléaire (460 000 m2 chauffés et environ 4000 foyers).

Il est également prévu un « chauffage nucléaire » pour d’autres villes (Qingdao, Yantai et Weihai).

Le chauffage nucléaire n’a pas été utilisé plus tôt à cause d’une plus grande complexité technique et d’une rentabilité économique incertaine. Mais les Chinois parient qu’il sera plus rentable que la combustion des énergies fossiles… sur le long terme.

Une vision à long terme du nucléaire chinois

Aujourd’hui, le prix du chauffage nucléaire en Chine avoisine celui du charbon.

Cependant, les prix des énergies fossiles continueront d’augmenter à cause des facteurs géopolitiques et de la marchandisation des émissions de carbone (taxe carbone).

Or, si l’énergie nucléaire demande un premier investissement élevé à la construction, le coût du combustible nucléaire ne représente qu’une très faible part après la mise en service (3 % à 5 % du coût de production).

Le coût d’exploitation des centrales nucléaires n’est donc pas affecté même si le prix du combustible nucléaire augmente fortement comme celui des énergies fossiles.

Par conséquent, le coût de la production d’électricité d’origine nucléaire est stable.

Pendant que l’Europe a choisi de se tirer une balle dans le pied en pariant sur les énergies renouvelables, et non sur le nucléaire, la Chine progresse dans les domaines de l’enrichissement de l’uranium, des assemblages de combustible nucléaire, du retraitement, de l’entreposage, et du stockage géologique du combustible usé.

Dans un contexte politique de réduction du nucléaire, il sera difficile pour la France de maintenir son avance technologique. Il serait judicieux de développer des coopérations avec des partenaires chinois pour profiter d’un effet d’entraînement et éviter le décrochage technologique car la Chine sera le leader mondial dans tous les domaines nucléaires dans 15 ans, et probablement avant.

En 2021 :

6 réacteurs nucléaires ont été mis en chantier et 4 ont été connectés au réseau.

14 réacteurs Hualong-1 sont en construction ou en fonctionnement.

Fin 2021, la Chine comptait 16 réacteurs en construction (dont 12 Hualong-1), soit davantage que l’Inde (6 unités et 42 GW installés) et que la Corée du Sud (4 unités et 53,6 GW installés).

La première installation chinoise de vitrification des déchets liquides radioactifs a été mise en service le 11 septembre, marquant une percée de la Chine dans le traitement de déchets hautement radioactifs. La Chine est dorénavant un des rares pays (avec la France) qui maîtrisent cette technologie.

Le nombre d’unités nucléaires en opération en Chine a augmenté de 8 % et la capacité installée a augmenté de 7 % par rapport à 2020.

Cinq sites de centrales nucléaires en construction (Xiapu, Zhangzhou, Taipingling, San’ao et Xudapu) sont entièrement nouveaux et ne possèdent pas encore de réacteurs opérationnels.

Le développement économique prioritaire sur l’environnement


La Chine veut s’engager dans une transition énergétique dynamique et harmonieuse sans sacrifier sa croissance sur l’autel de l’environnement.

Selon son Président Xi Jinping au forum « virtuel » de Davos en janvier 2022, la Chine souhaite poursuivre l’édification de la civilisation écologique mais « il ne faut pas non plus sacrifier le développement économique à la protection de l’environnement ».

La Chine procédera à une réduction progressive et ordonnée des énergies fossiles vers de nouvelles énergies alternatives viables (dont le nucléaire), « de manière à assurer la stabilité du développement économique et social ». «

L’Année du Tigre vient de commencer en Chine le 1er février 2022 selon le calendrier lunaire.

« Dans la culture chinoise, le tigre est le symbole du courage et de la force. Les Chinois parlent souvent de la vitalité et du dynamisme du dragon qui monte au ciel et du tigre qui saute haut. Face aux sérieux défis qui se posent à l’humanité, nous devons, comme un tigre ailé, surmonter vaillamment les obstacles dans notre marche en avant » (Xi-Jinping au forum de Davos le 17 janvier 2022).

Dans moins de 10 ans, la production d’électricité d’origine nucléaire en Chine se positionnera à la première place mondiale devant les États-Unis… et la France.

https://www.contrepoints.org/2022/02/10/421387-quand-le-nucleaire-chinois-dominera-le-monde-demain-matin

mardi 8 février 2022

Le tableau de bord de Christine Cotton - Le gouvernement n'a pas respecté le principe de précaution

 

ÉNERGIE : FAUTE DE NUCLÉAIRE, LA FRANCE SE (RE)TOURNE VERS LE CHARBON

 par PAOLO GAROSCIO 

 07/02/2022 


Le nucléaire représente 77% de la production d'énergie électrique en France.

Tandis que les mois de janvier et février sont les plus froids de l’année, la France fait face à un problème de taille : la production électrique est au plus bas, à cause des problèmes sur les centrales nucléaires qui sont à l’arrêt. Résultat : la production est insuffisante… et le pays ne peut faire autrement que se tourner vers la pire des sources fossiles, le charbon.

Plus de charbon pour faire face à la pénurie d’électricité

En France, depuis 2019 et la loi énergie-climat, la France ne peut produire que 0,7 kilotonne d’équivalent gaz carbonique par mégawattheure de puissance électrique installée, soit environ 700 heures de fonctionnement annuel pour une centrale à charbon. Le pays veut en effet les éliminer, celles-ci étant trop polluantes, et compte sur le nucléaire et les renouvelables pour compenser le manque de production.

Sauf que la crise de la Covid-19 est passée par là… et les centrales nucléaires sont à l’arrêt. Entre incidents, problèmes techniques et maintenance en retard, RTE annonce entre neuf et treize réacteurs nucléaires à l’arrêt en février 2022, sur les 56 que compte le parc français. Soit près de 20%… et une production électrique au plus bas.

Pour éviter un black-out, le gouvernement a donc fait une entorse à cette règle concernant la pollution de la production électrique… et relevé les plafonds.

Une électricité moins propre en janvier et février 2022

Dans un texte paru au Journal Officiel dimanche 6 janvier 2022, le gouvernement a donc relevé cette limite : le plafond est porté à 1 kilotonne par mégawattheure jusqu’à fin février 2022, et vaut également pour le mois de janvier 2022. Pour l’instant, le gouvernement ne compte pas prolonger cette exception, espérant qu’en mars 2022 la situation redevienne normale, notamment avec la hausse des températures et l’allongement des journées.

Le texte prévoit également une compensation : entre mars et décembre 2022, le plafond sera baissé à 0,6 kilotonne, avant de revenir à 0,7 kilotonne en 2023.

http://www.economiematin.fr/news-energie-charbon-eklectricite-centrale-nucleaire-risque-penurie-france 

samedi 5 février 2022

Explosion des prix...

4 Février 2022

Willi l'agriculteur*



En août dernier, j'ai acheté des granulés de bois pour notre chauffage. Pour 199 €/t net. Maintenant, nous devons en racheter. J'ai téléphoné à notre coopérative, car elle a les meilleurs prix. Le vendeur m'a demandé de m'asseoir avant de me donner le prix. Il a bien fait. Le prix actuel est de 386 €/tonne. Pas besoin d'avoir fait des études de mathématiques pour se rendre compte que c'est presque le double du prix de l'été dernier. Mais cela ne sert à rien, car nous ne pouvons pas rester dans le froid.

Tout le monde sait que le gazole coûte entre 1,55 et 1,65 €/l à la station-service, selon l'heure. C'est aussi nettement plus que l'été dernier. En été, l'essence et le diesel seront encore plus chers en raison de la taxation du gaz carbonique.

Nous avons encore un contrat de fourniture d'électricité. J'ai regardé sur un portail les prix actuels pour un nouveau contrat. Les prix pour 1 kWh : entre 0,44 et 0,60 €, et même jusqu'à 0,70 € pour les clients qui ont reçu la résiliation de leur fournisseur (bon marché).

J'avais déjà évoqué la situation pour les engrais. Il faut s'attendre à une hausse des prix des produits phytosanitaires, dont le montant n'est pas encore connu.


Le prix des denrées alimentaires n'a pas encore augmenté de manière significative. J'ai déjà évoqué à plusieurs reprises la hausse des prix des matières premières agricoles courantes. Toutefois, ces prix ne se sont pas encore répercutés sur le (super)marché. Cela n'arrivera probablement qu'au cours du printemps. Certains nous expliquent que l'inflation retombera à 2 % dans le courant de l'année. Je ne pense pas que ce soit réaliste. Je peux imaginer qu'elle se dirige vers les 10 % au cours du second semestre.

Qui va payer pour cela ? Et comment la population va-t-elle réagir? Pas seulement ici en Allemagne, mais surtout dans les pays où les gens doivent consacrer une part nettement plus importante de leur salaire à l'alimentation ? En Allemagne, il est désormais prévu d'ajouter à l'allocation logement une prime de chauffage de 135 € pour les ménages célibataires. Une fois n'est pas coutume. Peut-on également imaginer une subvention pour l'alimentation ? En une seule fois ?

Et comment tout cela est-il compatible avec les déclarations de Cem Özdemir qui, dans la situation actuelle, demande que les denrées alimentaires soient plus chères ? Ce qu'elles sont déjà, mais sans que les producteurs en profitent beaucoup.

Espérons qu'il n'y aura pas de troubles. Je suis inquiet...

____________

* Source : Preisexplosion... - Bauer Willi

https://seppi.over-blog.com/2022/02/explosion-des-prix.html

jeudi 3 février 2022

Les camionneurs canadiens jurent de continuer « jusqu'à ce que ce soit à nouveau une nation libre »

 

PAR TYLER DURDEN

JEUDI 03 FÉVRIER 2022 - 11:40


Pendant la nuit, les camionneurs du Freedom Convoy qui se sont rassemblés à Coutts, en Alberta, près de la frontière avec le Montana, ont réussi à faire le plein et à se réapprovisionner alors que les partisans continuaient de contribuer à maintenir les manifestations alors même que la GRC continuait de les encercler dans un blocus qui a perturbé commerce - quelque chose que le gouvernement a essayé de rejeter sur les camionneurs.

Mais de retour à Ottawa, où des centaines de manifestants restent campés après le rassemblement pour la liberté de ce week-end au siège du gouvernement canadien, les habitants - et les responsables locaux (qui ont déjà tenté de saisir l'argent collecté pour les camionneurs sur GoFundMe) sont de plus en plus anxieux, depuis Les organisateurs s'attendent à ce que le nombre de partisans à Ottawa augmente dans les prochains jours à mesure que le week-end arrive et avec lui, une autre vague de protestations.

Les organisateurs du mouvement se sont engagés à ne pas céder jusqu'à ce que le gouvernement canadien abandonne certaines de ses politiques les plus draconiennes, y compris une exigence de quarantaine qui rendrait essentiellement la vie impossible aux camionneurs non vaccinés.

Il a concédé que la manifestation augmenterait probablement à nouveau ce week-end et "qu'il n'y aurait peut-être pas de solution policière" pour résoudre l'impasse.

Tamara Lich, une porte-parole des manifestants, a déclaré qu'elle et d'autres organisateurs avaient été surpris par le taux de participation au début "mais nous sommes maintenant bien organisés et nous nous installons, jusqu'à ce que le Canada redevienne une nation libre".

Malheureusement, il semble que la police locale insiste pour sévir ; ils ont arrêté une poignée de manifestants pour une série d'accusations, notamment le port d'une "arme" pour "poster des menaces sur les réseaux sociaux".

La police a reconnu à la BBC que les manifestants sont venus de "toutes les régions du Canada" et certains même des États-Unis.

"La plupart des manifestants sont partis", a déclaré le chef de la police Peter Sloly lors d'une conférence de presse mercredi. "Ce qui reste est un groupe d'individus illégaux très déterminé et très instable."

Il a concédé que la manifestation augmenterait probablement à nouveau ce week-end et "qu'il n'y aurait peut-être pas de solution policière" pour résoudre l'impasse.

Comme nous l'avons noté plus haut, certains responsables d'Ottawa ont suggéré d'essayer de couper l'approvisionnement en dons finançant les camionneurs. L'un d'eux a même proposé de poursuivre GoFundMe pour empêcher l'argent collecté par les supporters d'atteindre les camionneurs, que le membre du conseil a décrits comme des "mercenaires" qui "occupent illégalement nos communautés".

Alors que certains habitants se sont plaints des perturbations, un organisateur du mouvement Freedom Truckers a tenté d'expliquer que la responsabilité de ces perturbations incombe au gouvernement canadien.

Dans un communiqué, Chris Barber - l'un des chefs du convoi - a déclaré que le groupe comprenait ces frustrations mais qu'il était également victime d'intimidation de la part de politiciens et de membres de la presse.

"La responsabilité de vos désagréments repose entièrement sur les épaules des politiciens qui préfèrent nous vilipender et nous insulter plutôt que de s'engager dans un dialogue respectueux et sérieux", a-t-il déclaré.

Mais la BBC a également répété les mensonges de MSM sur les camionneurs à Coutts, affirmant qu'ils avaient bloqué le trafic commercial le long de la frontière pendant cinq jours. La décision de bloquer la circulation a été prise par la GRC, et non par les camionneurs. Il a également cité le maire de la petite communauté de Coutts, qui a affirmé que les camionneurs étaient responsables du fait que la petite communauté avait été coupée de l'essence et de l'épicerie pendant des jours.

Mais, encore une fois, ce ne sont pas les camionneurs qui installent les barrages routiers.

Pendant ce temps, les protestations des camionneurs ont recueilli un soutien et inspiré d'autres en Europe à essayer d'organiser leur propre convoi qui convergera vers Bruxelles à une date non précisée.

Pour terminer sur une note plus légère : les partisans des camionneurs ont semé la zizanie en appelant le 911 pour savoir où se trouve le Premier ministre Justin Trudeau. Selon un journaliste du WSJ, les autorités locales leur ont demandé de bien vouloir s'abstenir.

https://www.zerohedge.com/political/canadian-truckers-vow-continue-long-it-takes-more-protests-expected-ottawa