- ENTREE de SECOURS -



samedi 30 mai 2020

Des essaims de millions de criquets déferlent sur l’Inde, du jamais-vu depuis 30 ans - vidéos

14:35 30.05.2020


En provenance du Pakistan, des millions de criquets pèlerins ont déferlé sur de nombreux États indiens. Les autorités sont obligées d’avoir recours à des drones pour asperger de pesticides ces insectes qui ont déjà ravagé plus de 50.000 hectares de cultures.

L'Inde fait actuellement face à sa pire invasion de criquets pèlerins depuis près de trois décennies, selon le média indien Outlook. Les essaims sont arrivés depuis le Pakistan dans l’État du Rajasthan en avril, affectant plusieurs districts puis se propageant dans d'autres États de l'ouest et du nord-ouest. Ils ont détruit près de 50.000 hectares de cultures, soit leur pire invasion depuis 1993.

De nombreuses vidéos montrent d’immenses essaims recouvrir le paysage. 

Une catastrophe naturelle

Le ministre de l'Agriculture de l’État du Madhya Pradesh, Kamal Patel, a déclaré que le gouvernement prévoyait de qualifier de catastrophe naturelle les attaques des essaims, à la suite d'une enquête sur les pertes qui leur sont dues.

Les autorités recourent à des drones, des tracteurs et des voitures pour suivre ces insectes et les asperger de pesticides.

«Huit à dix essaims, mesurant chacun environ un kilomètre carré, sont actifs dans des poches du Rajasthan et du Madhya Pradesh», a déclaré à l'AFP K L Gurjar, le directeur adjoint de la Locust Warning Organisation (LWO), un département du ministère indien de l’Agriculture.

D'autres, plus petits, se trouvent également dans les États du Maharashtra, du Gujarat, du Penjab et d'Uttar Pradesh.


Ils «se reproduisent 400 fois plus que d’habitude»

«Cette année, les criquets se reproduisent 400 fois plus que d'habitude en raison des conditions climatiques favorables créées par des pluies inhabituelles et une activité cyclonique accrue», a expliqué Devinder Sharma, un analyste spécialiste des questions agricoles.

«Les criquets pèlerins font des destructions pires qu'une sécheresse, non seulement les cultures sont détruites mais les arbres cassent sous le poids» des essaims, a-t-il expliqué.

vendredi 29 mai 2020

Dépêchez-vous de visionner « Planet of the Humans » de M. Michael Moore !

28 Mai 2020
par Seppi 

L'éolien a fourni 1.632 MW à son niveau le plus bas, et 5.259 MW à son niveau le plus élevé le mardi 26 mai 2020, pour près de 16.000 MW installés (source)
« Planet of the Humans » est un documentaire – un vrai, quoique discutable, pas de ces escroqueries que nous sert souvent la galaxie audiovisuelle française – de M. Michael Moore (Bowling for Columbine, 2002, prix du 55e Festival de Cannes, Fahrenheit 9/11, 2004, Palme d'or du 57e Festival de Cannes, SiCKO, 2007, hors compétition durant le 60e Festival de Cannes...).
 Il y dénonce en 1 h 40 la grande escroquerie des énergies « renouvelables » – l'éolien, le solaire et la biomasse – très coûteux en matières premières et en énergie pour leur mise en place et dont l'intermittence et le caractère non pilotable exigent l'adjonction en soutien de centrales thermiques utilisant des sources d'énergie fossiles (puisque le nucléaire n'est pas politiquement correct).
 La version d'origine vient d'être retirée par Youtube en raison d'une allégation de violation de droit d'auteur.
 La vraie raison nous est livrée par exemple par RT dans « Circular firing squad scores a hit: Real reason Michael Moore’s film axed from YouTube is climate wrongthink, not copyright » (le peloton d'exécution d'un club marque un point : la vraie raison pour laquelle le film de Michael Moore a été supprimé de YouTube est une opinion répréhensible sur le climat, pas un problème de droits d'auteur) :
« Le photographe Toby Smith a affirmé que le film – qui avait été visionné plus de 8,3 millions de fois avant son retrait – utilisait "plusieurs secondes" de séquences qu'il avait tournées sur des éléments de terres rares exploités sans sa permission. Contrairement aux tentatives précédentes de faire retirer le film – qui visaient son distributeur en alléguant que le film était truffé de mensonges et d'"éléments de langage de l'industrie des combustibles fossiles" – cet angle d'attaque a réussi, dissimulant la poigne de fer de la censure dans le gant de velours de la loi sur le droit d'auteur.
Smith aurait pu s'adresser directement aux cinéastes et se plaindre, plutôt que de tomber directement sur YouTube. Mais le photographe n'a pas caché ses véritables intentions. "Je n'étais pas intéressé par la négociation", a-t-il déclaré au Guardian mardi, en concédant qu'il n'était pas "d'accord avec son message" et en condamnant "l'utilisation trompeuse de faits dans son récit". »
Le documentaire est encore visible sur YouTube – peut-être plus pour longtemps – dans une version sous-titrée en français produite par le site Partage-le.
 On peut ou non adhérer aux thèses développées dans le documentaire – ou le site Partage-le dans « Planète des humains ou Comment le capitalisme a absorbé l’écologie (par Michael Moore, Jeff Gibbs, Ozzie Zehner) », ou encore d'autres sources comme Reporterre et son « "Planet of the Humans", la diatribe de Michael Moore contre les énergies "vertes" » ; on ne peut que s'insurger devant la censure, de plus sournoise et déloyale, à la limite de l'abus de droit.
 Après Food Evolution, maintenant disponible à la demande, c'est le tour de Planet of the Humans de subir l'oppression des opinions « dissidentes » par la bien-pensance.
 À la question : « Al Gore est-il un prophète ? » Branson répond par un jeu de mots entre « prophet » et « profit », semblables en anglais. Et c’est cette confusion que le film démontre.
Reporterre


jeudi 28 mai 2020

Résoudre la crise ? Il faut détruire Carthage !

Pendant que le Covid-19 risque d’entraîner la faillite de la France, les partis écologistes soutiennent encore et toujours une transition énergétique fondée sur des énergies renouvelables intermittentes.


Par Michel Gay.
28 MAI 2020


L’obsession de l’idéologie écologiste est de détruire la civilisation industrielle prospère et « diabolique » (parce que polluante) en la privant d’une énergie abondante et bon marché, notamment celle issue des fossiles (pétrole, gaz charbon) et du nucléaire.

« Delenda Cartago ! » (Il faut détruire Carthage !) répétait déjà le censeur romain Caton l’Ancien (deux siècles avant Jésus-Christ) afin d’envoyer les légions détruire l’infâme Carthage concurrente de Rome pour le commerce en Méditerranée.

MENSONGES ET FANATISME

Des fanatiques passés maîtres dans l’art du mensonge et de l’intimidation ont infecté les médias, notamment grâce au savoir-faire hérité des anciens régimes communistes. Et ces bouillons de culture d’idées fausses privilégiant l’émotion contaminent une opinion publique hébétée. Les métastases de cette pensée creuse se sont étendues jusqu’au sommet de l’État dirigé par des politiciens veules et à courte vue depuis de nombreuses années. Ils ne sont certainement pas fous, mais ils sont cyniques et pervers.

Une idéologie, fut-elle « verte », n’a pas besoin d’être comprise : elle doit être acceptée sans poser de questions.

Ainsi, au nom de la « transition énergétique », expression à psalmodier en adoptant un air mystique, différents gouvernements ont déjà gaspillé des centaines de milliards d’euros dans des programmes éoliens et solaires. Et c’est l’argent des Français qui part ainsi en fumée tandis que le formidable avantage compétitif du nucléaire, magistralement bâti pendant 30 ans à partir de 1970, est voué aux gémonies par la dernière programmation pluriannuelle de l’énergie(PPE) signée par madame Borne.

ÉCONOMIE VERTE ET JUSTICE SOCIALE

La notion d’économie verte demandée par des affairistes écologistes pour plus de justice sociale laisse perplexe. Les énergies dites renouvelables sont inaccessibles aux Français moyens. C’est un luxe de riches. Les écarts important entre les prix de l’électricité entre l’Allemagne et la France ou entre ceux d’une voiture thermique et électrique en sont deux exemples.

Les termes « économie verte » et « justice sociale » sont… incompatibles, comme l’a montré le mouvement des Gilets jaunes, au moins au début, avant qu’il ne soit noyauté par les habituels activistes en tous genres…

Il y a un siècle, la majorité des Français ne pouvaient pas se payer une voiture. Sa lente démocratisation populaire a pu se produire grâce à la baisse des prix due à l’industrialisation du pays dans les années 1960.

Serait-ce cela l’avenir écologiste ? L’inégalité pendant un siècle (renouvelable ?) en pénitence du consumérisme tout en implorant la mansuétude de Gaïa, la déesse Terre.

Les énergies renouvelables sont encore aujourd’hui subventionnées par l’argent de tous les Français bien que n’ayant aucune utilité pour la collectivité. Mais elles permettent aux écologistes politiques de se gargariser avec des concepts ronflants d’énergies propres en se posant en chevaliers blancs (et verts) de « sauveurs de la planète ».

ET MAINTENANT : LA FRACTURE SOCIALE ?


Les pays d’Europe n’ont pas tous souffert du coronavirus au même degré et la fracture sociétale qui se profile n’aura pas non plus les mêmes répercussions partout. La crise économique sera aussi différente selon le type de société que les pays choisiront.

L’Allemagne et les pays scandinaves ont mieux supporté l’épreuve que la France, l’Espagne ou l’Italie.

La souffrance sociale accompagnera en proportion le malheur sanitaire. La France craint une récession de 8 % du PIB, alors qu’en Allemagne elle serait de moins de 3 %. Cette fracture influencera le débat politique dans les mois à venir.

LE CHOC SANITAIRE IMPOSERA-T-IL UNE NOUVELLE POLITIQUE ?

Deux « camps » s’affrontent déjà :

L’un plaide pour le sauvetage et le développement des entreprises créatrices de richesses, en refusant de nouveaux impôts pour ne pas décourager les investisseurs et en assouplissant les normes environnementales pour faciliter la reprise de l’industrie.
L’autre, notamment la gauche écologiste européenne demande une réorientation sociale de l’économie avec des investissements publics issus d’impôts supplémentaires en faveur des énergies renouvelables, des industries non polluantes (à définir…), et des aides sociales.
Pendant que le Covid-19 risque d’entraîner la faillite de la France, les partis écologistes soutiennent encore et toujours une transition énergétique fondée sur des énergies renouvelables intermittentes, notamment éoliennes et solaires. Ce débat sans fin sur leur lubie ruineuse rappelle étrangement la discussion sur le sexe des anges à Byzance pendant que les Ottomans entraient dans la cité pour la massacrer. C’était en 1453.

Le nouveau Reich écologiste « durable » (prévu pour durer 1000 ans ?), s’il devait émerger après cette crise sanitaire, s’écroulera aussi dans l’horreur pour les mêmes raisons que les régimes nazi et communiste : le fanatisme et l’utopie.

2 millions de followers youtube en 2 mois : on peut copier ?

http://www.objectifeco.com/entreprendre/strategie-et-croissance/2-millions-de-followers-youtube-en-2-mois-on-peut-copier.html

mercredi 27 mai 2020

Google Drive retire une copie personnelle de "Plandemic"

par Tyler Durden
Mer, 27/05/2020 - 10:47
Créé par Mac Slavo via SHTFplan.com,


S'il y a jamais eu un moment dans l'histoire où il fallait faire attention, c'est maintenant. Il est maintenant évident que nous devons tous garder les yeux et les oreilles ouverts à ce que Big Tech et le gouvernement continuent de censurer pour "nous sauver" de la "désinformation". Google Drive, à la demande du Washington Post, a retiré la copie personnelle du film "Plandemic" d'un utilisateur.

Depuis que les plates-formes Big Tech ont commencé à sévir contre ce qu'elles considèrent comme une «désinformation sur les coronavirus» (informations dont ils ne veulent pas que vous sachiez), les médias signalent volontairement les violations présumées aux sociétés de médias sociaux et font retirer le contenu, a rapporté Pause de nouvelles.

En d'autres termes, ils veulent que nous restions dans un état de peur induit par la panique et que nous n'écoutions que le récit officiel de l'opération Mockingbird des médias grand public sur l'ensemble de la plandémie. Et parce que vous n'êtes pas censé savoir autre chose, Google Drive a supprimé la copie personnelle d'un utilisateur du "Plandemic" du Dr Judy Mikovitz après qu'il a été signalé par le Washington Post.

Ça ne devient pas plus flagrant que ça, les amis. On nous ment et on s'attend à ce que nous ayons peur et obéissions à tout prix à la classe dirigeante. Ça va devenir moche d'ici la fin de cette année si les tyrans ne relâchent pas leur emprise sur le pouvoir ... et nous savons qu'ils ne lâcheront pas facilement.

Dans un article sur le retrait, la correspondante de la Silicon Valley du Washington Post, Elizabeth Dwoskin, s'est plainte qu'après la censure du documentaire sur le coronavirus Plandemic sur les réseaux sociaux, certains clips YouTube expliquaient aux utilisateurs comment accéder aux "séquences interdites" du documentaire via Google Drive. Elle note ensuite qu'après que le Washington Post a contacté Google, Google Drive a supprimé un fichier contenant la bande-annonce du documentaire Plandemic.

Regardez Plandemic sur Bitchute, une plateforme décentralisée et sans censure en cliquant ici:



Alors que Big Tech intensifie la censure, nous devons accélérer notre sortie et cesser d'utiliser leurs produits. Nous avons annoncé le mois dernier que les médias grand public allaient poursuivre une campagne de diffamation contre quiconque s'opposerait aux élitistes et à cette prise de pouvoir tyrannique et au terrorisme économique tout en utilisant un virus comme excuse.

Les médias grand public vont poursuivre leur campagne de diffamation contre quiconque ose croire qu’ils ont le droit de vivre librement tant qu’ils ne nuisent pas aux autres et ne prennent pas de risques pour eux-mêmes. Mais comme moins de gens se connectent pour écouter leur propagande, moins de personnes seront soumises à un lavage de cerveau. –SHTFplan

Et c'est exactement ce qu'a fait le Washington Post. Dwoskin encadre les utilisateurs partageant des fichiers contenant la bande-annonce Plandemic avec:

"Une vague d'innombrables solutions de contournement employées par des personnes motivées à diffuser de la désinformation sur le virus - des efforts qui continuent de contrecarrer les tentatives des sociétés de médias sociaux d'empêcher les canulars et les théories du complot de se propager au milieu de la plus grande crise de santé publique depuis des décennies."

Il y a cependant de bonnes nouvelles. Nous savons maintenant que les médias grand public ont du mal à maintenir leur emprise sur le récit officiel, et à toutes fins utiles, ils ont déjà échoué. Trop de gens ont pris conscience des mensonges et de la propagande visant à maintenir une classe dirigeante en place, et le reste d'entre nous a été soumis. Mais c'est fini et ils ne tomberont pas sans se battre. Attendez-vous à plus de censure alors qu'ils tentent désespérément de s'accrocher à leurs programmes de contrôle mental et d'ingénierie sociale dans les mois à venir.

Comme Robert Kiyosaki l'a dit récemment: "Priez pour le meilleur mais préparez-vous au pire !"

mardi 26 mai 2020

Jacques Higelin - Poil dans la main

https://www.youtube.com/watch?v=AeEqK8aq-cw

Réchauffement du climat : va-t-on en reparler » ?

 le 26 mai 2020


Les « Saints de Glace » sont traditionnellement une période climatologique située les 11, 12 et 13 mai de chaque année : Saint Mamert, Saint Pancrace et Saint Servais. Cette tradition remonte au Moyen-Âge, la sagesse populaire considérant qu’après ces trois jours de saints de glace plus aucun gel tardif n’était à craindre pour l’agriculture. Mais qu’en est-il de l’évolution des températures relevées ces 25 dernières années lors de ces 3 jours saints alors que le monde entier est à nouveau harcelé par les médias au sujet du réchauffement climatique que le vilain virus chinois avait tendance à faire oublier ?

Puisque le réchauffement du climat s’accélère les gelées tardives de mai devraient être moins fréquentes et la tradition des saints de glace devrait tomber dans l’oubli : plus aucun arbre fruitier ni plant de vigne ravagés. Et pourtant en examinant les relevés officiels de température durant ces 25 dernières années la tendance au réchauffement est tout simplement illusoire. C’est ce que Joseph Kowatsch a étudié à partir des relevés de températures disponibles auprès des services météorologiques allemands pour six localités réparties sur le territoire de la République fédérale (lien).

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Capture d’écran 2020-05-25 à 10.56.20

La tendance au réchauffement généralisé tant redoutée n’existe pas sauf dans les cerveaux dérangés des adeptes de la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique. Cette tendance est au contraire orientée vers un refroidissement et elle est loin d’être négligeable puisqu’elle atteint presque 1,5 degré C pour chaque décennie depuis plus de 25 ans. Ne citons que deux des six stations étudiées par Kowatsch et reprises par Pierre Gosselin sur son site notrickszone.com, les stations météorologiques de Postdam près de Berlin et de Netzstall près de Nuremberg. Les régressions linéaires appliquées sur les températures relevées indiquent pour ces deux stations des tendances au refroidissement respectivement de moins 0,13 et moins 0,19 degré par an depuis 25 ans soit non pas une augmentation ni une stabilisation des températures durant cette période mais un refroidissement respectivement de 3,25 et 4,75 degrés durant cette même période. La tendance va dans le même sens pour les 4 autres stations météorologiques étudiées.

Les « Saints de Glace » ont encore de nombreuses belles années devant eux n’en déplaise aux fervents partisans du réchauffement du climat …


lundi 25 mai 2020

Les pandémies passées montrent que les confinements et non les virus ont provoqué le chaos économique présent.

le 25 mai 2020


Traduction d’un article paru sur le site du Mises Institute

Les « experts » des médias et des politiciens ont désormais l’habitude de prétendre que c’est la pandémie elle-même qui a fait monter le chômage en flèche et fait chuter la croissance économique. L’affirmation est que les travailleurs malades et mourants, les consommateurs craintifs et les chaînes d’approvisionnement perturbées provoqueraient un chaos économique. Certains ont même prétendu que les fermetures économiques aidaient réellement l’économie, car on prétend que permettre la propagation de la maladie détruirait à elle seule l’emploi et la croissance économique.

Mis à part le fait qu’il n’y a aucune preuve que les blocages fonctionnent réellement sur le plan strictement épidémiologique, néanmoins si on considère les pandémies passées – où les interventions gouvernementales coercitives étaient tout au plus sporadiques – nous devrions constater alors d’énormes dégâts économiques. Plus précisément, nous pouvons considérer la pandémie de grippe « asiatique » de 1957-58, qui a été plus meurtrière que la pandémie de COVID-19 ne l’a été jusqu’à présent. Nous pouvons également nous tourner vers la pandémie de 1918-19. Pourtant, nous verrons que ni l’une ni l’autre n’a produit de dommages économiques à une échelle que nous voyons maintenant à la suite des blocages imposés par les gouvernements. Cela remet en cause sérieusement les affirmations selon lesquelles les blocages ne sont qu’un facteur mineur de destruction économique et que le virus lui-même est le véritable coupable.

Réactions économiques en 1957-1958 et en 1918-1919

Le CDC estime qu’au 18 mai de cette année, environ quatre-vingt-dix mille Américains sont morts du COVID-19. Ajusté en fonction de la taille de la population, cela se traduit par un taux de mortalité de 272 par million.

Il s’agit (jusqu’à présent) de moins de la moitié du taux de mortalité pour la pandémie de grippe de 1957-1958. Dans cette pandémie, on estime que jusqu’à 116 000 Américains sont morts. Pourtant, la population américaine était alors beaucoup plus petite, ne totalisant que 175 millions d’habitants. Ajustée en fonction de la taille de la population, la mortalité due à la pandémie de « grippe asiatique » de 1957–58 était supérieure à 660 par million.

C’est l’équivalent de 220 000 décès aux États-Unis aujourd’hui.

Pourtant, en 1957, les Américains n’ont pas réagi en fermant les commerces, en forçant les gens au confinement ou en poussant le chômage jusqu’aux niveaux de l’ère de la grande dépression (de 1929). En fait, les rapports montrent que les Américains ont pris peu de mesures au-delà des mesures habituelles pour ralentir la propagation de la maladie : se laver les mains, rester à la maison en cas de maladie, etc.

Bien que le virus semble avoir été un facteur dans la récession de 1958, les effets économiques étaient minimes par rapport à ce que les États-Unis font face maintenant en raison de la réaction au virus COVID-19. Cela suggère que la plupart des dommages économiques que subissent actuellement les travailleurs et les ménages aux États-Unis sont davantage le produit de la réaction politique au virus qu’au virus lui-même.

La pandémie de 1957-1958 a été un problème grave et mortel pour beaucoup. Alors que les cas de grippe asiatique commençaient à se répandre, il est devenu clair pour de nombreux scientifiques et autres observateurs qu’il y avait quelque chose de différent et de mortel dans cette grippe. En effet, selon D.A. Henderson, et al. Dans «Public Health and Medical Responses to the 1957–58 Influenza Pandemic» (doi : 10.1089/bsp.2009.0729 en accès libre), «Les humains de moins de 65 ans ne possédaient aucune immunité contre cette souche H2N2. Ceci signifie que les enfants scolarisés et les jeunes adultes jusqu’à 35 ou 40 ans étaient les plus vulnérables ». Le nombre total de décès dus à la grippe au cours de cette période varie de 70 000 à 116 000 (voir l’estimation actualisée de 220000 ci-dessus). C’est pour le moins inquiétant. Avec des Américains plus jeunes, beaucoup d’entre eux en âge de travailler, sensibles à cette maladie, on pourrait anticiper des coûts importants en termes de croissance économique et de santé.

Quelle a été la réaction politique à cela ? Henderson et al. ajoutaient :


« La pandémie de 1957-1958 était une maladie à propagation si rapide qu’il est rapidement devenu évident pour les responsables de la santé des États-Unis que les efforts pour arrêter ou ralentir sa propagation étaient vains. Ainsi, aucun effort n’a été fait pour mettre en quarantaine des individus ou des groupes, et une décision délibérée a été prise de ne pas annuler ou reporter de grandes réunions telles que des conférences, des rassemblements religieux ou des événements sportifs dans le but de réduire la transmission. Aucune tentative n’a été faite pour limiter les voyages ou pour filtrer les voyageurs. L’accent a été mis sur la fourniture de soins médicaux à ceux qui ont été affligés et sur le maintien du fonctionnement continu des services communautaires et de santé …. aucun rapport n’indique que des événements majeurs ont été annulés ou reportés, à l’exception des matchs de football des lycées et des collèges, qui ont souvent été retardés en raison du nombre de joueurs atteints par la maladie. »

En 1957-1958, la disponibilité des services médicaux était préoccupante. Mais l’accent était alors mis sur l’augmentation des services médicaux plutôt que sur les quarantaines imposées par l’État et les mesures de « distanciation sociale ». Un vaccin n’offrait pas non plus une issue facile:

« Les agents de santé espéraient que des quantités importantes de vaccins pourraient être disponibles en temps voulu, et des efforts particuliers ont été faits pour accélérer la production de vaccins, mais les quantités devenues disponibles arrivèrent trop tard pour modifier l’impact de l’épidémie. »

Les écoles et les lieux de travail étaient affectés par les élèves et les travailleurs absents, mais l’absentéisme dans les écoles était un facteur plus important, certaines écoles étant même fermées pour de courtes périodes en raison du nombre élevé d’élèves absents. L’absentéisme n’a pas atteint un niveau pouvant provoquer des pénuries :

« Les données disponibles sur l’absentéisme industriel indiquent que les taux étaient bas et qu’il n’y avait eu aucune interruption des services essentiels ou de la production. L’impact global sur le PIB était négligeable et probablement dans la fourchette des variations économiques normales. »

Dans l’ensemble, l’économie a baissé d’environ 2 pour cent au cours du premier et du deuxième trimestre de 1958, mais cela ne peut pas être attribué aux effets du virus. Le chômage à l’époque a également augmenté, atteignant un sommet de 7,5% en juillet 1958. La croissance économique a cependant été de nouveau positive au quatrième trimestre de 1958 et a grimpé à plus de 9% en 1959. Le chômage était tombé à 5% en juin 1959.

Mais l’impact économique global du virus lui-même n’était guère désastreux. Henderson et al. de conclure :

« Malgré le grand nombre de cas, l’épidémie de 1957 ne semble pas avoir eu d’impact significatif sur l’économie américaine. Par exemple, une estimation du Congressional Budget Office a révélé qu’une pandémie dont l’ampleur s’est produite en 1957 réduirait le PIB réel d’environ 1%  » mais ne provoquerait probablement pas de récession et pourrait ne pas se distinguer de la variation normale de l’activité économique. »

La pandémie de 1918-1919, qui a fait dix fois plus de morts par million que la pandémie de 1957-1958, n’a pas non plus provoqué de catastrophe économique. Bien que les États-Unis soient entrés dans la pandémie de 1918-1919 dans une forme économique médiocre en raison de la Grande Guerre, selon les économistes Efraim Benmelech et Carola Frydman ( https://voxeu.org/article/1918-influenza-did-not-kill-us-economy) :

« La grippe espagnole n’a laissé quasiment aucune trace perceptible sur l’économie globale des États-Unis… Selon certaines estimations, le produit national brut réel a en fait augmenté en 1919, quoique d’un modeste 1%. Dans de nouveaux travaux, Velde (2020) montre que la plupart des indicateurs de l’activité économique globale ont légèrement souffert, et ceux qui ont baissé de manière plus significative juste après l’épidémie de grippe, comme la production industrielle, se sont rétablis en quelques mois. »

On ne peut pas non plus reprocher à la pandémie la récession de 1921, car « entre temps, la baisse de la production était due à l’effondrement des prix des matières premières lorsque la production européenne d’après-guerre a finalement repris. »

Comment les pandémies affectent-elles la croissance économique?

Il n’est donc pas surprenant que nous trouvions des estimations relativement modérées dans un rapport de la Banque mondiale de 2009 estimant les conséquences économiques des nouvelles pandémies (lien en fin de billet). Les auteurs ont conclu que des pandémies modérées et graves entraîneraient une baisse du PIB de 2 à 5%. Ou, comme le résume un rapport de 2009 de Reuters (voir le lien):

« Si nous sommes frappés par quelque chose comme la grippe asiatique de 1957, dites au revoir à 2% du PIB. Quelque chose d’aussi grave que la grippe espagnole de 1918-1919 réduirait la production économique mondiale de 4,8% et coûterait plus de 3 000 milliards de dollars. »

On ne s’attendait même pas à ce qu’une pandémie de 1918 produise le genre de carnage économique que nous voyons maintenant avec COVID-19.

La réaction en 2020

Il va sans dire que l’économie semble aujourd’hui dans une bien pire situation après la pandémie de 2020 que dans les jours qui ont suivi la flambée de 1957-1958, ou même en 1919.

En avril 2020, le taux de chômage a grimpé à 14,4%, le taux le plus élevé enregistré depuis la Grande Dépression. La Réserve fédérale d’Atlanta, quant à elle, prévoit une baisse du PIB de plus de 40%. Des estimations plus douces suggèrent des baisses de 8 à 15%. Si les prévisions plus douces s’avèrent vraies, alors la récession actuelle n’est « que » la pire depuis la Grande Dépression de 1929. Si la Fed d’Atlanta a raison, alors nous sommes dans une catastrophe économique sans précédent.

Les estimations de la Banque mondiale d’une pandémie, même « grave », qui prévoyait une baisse du PIB d’environ 5%, n’arrivent même pas aux estimations de l’effondrement de 2020. Et pourquoi ces estimations pourraient-elles être réalistes ? Le rapport de la Banque mondiale ne prévoyait pas la fermeture économique mondiale imposée à des milliards d’êtres humains par les régimes politiques du monde entier. Ainsi, les estimations de la Banque mondiale supposaient que les pertes économiques se limiteraient à l’absentéisme, à la perturbation du commerce et des voyages et à la baisse de la demande directement due à la maladie ou à la peur de la maladie.

Alors pourquoi cette énorme différence dans les effets économiques ? La réponse réside presque certainement dans le fait que les gouvernements en 2020 – contrairement à toute autre période de l’histoire – se sont engagés dans des fermetures d’entreprises généralisées, ont promulgué des ordonnances de « confinement à la maison » et d’autres actions mandatées par l’État et imposées par l’État qui ont conduit à des licenciements généralisés et à une chute de la production économique.

Les défenseurs des «fermetures» forcées par le gouvernement ont insisté sur le fait que la peur du virus aurait détruit l’économie même sans les fermetures, mais il n’y a aucun précédent historique pour justifier cette affirmation, et aucune preuve actuelle pour la soutenir. Bien que certaines données d’enquête aient pu indiquer que plus de 60% des Américains déclarent avoir l’intention de se conformer aux ordonnances de séjour à domicile, cela nous indique simplement comment les gens font des plans lorsqu’ils sont menacés d’amendes, de harcèlement policier et d’autres mesures coercitives.

En réalité, l’expérience de la pandémie de 1957-1958 – ou même de la pandémie de 1918-1919 – ne nous donne aucune raison de croire que le chômage devrait augmenter à des taux sans précédent et que le PIB s’effondrerait à des niveaux catastrophiques. Dans une économie industrialisée moderne, ce type de dommages économiques ne peut être atteint que par l’intervention du gouvernement, comme les coups d’État socialistes, les guerres et les fermetures économiques forcées au nom de la lutte contre la maladie.

Le coût en termes de vie humaine sera important. Une étude soutient que le ralentissement économique actuel pourrait entraîner soixante-quinze mille «morts de désespoir». Cela n’est cependant pas choquant, car les effets fatals du chômage et du déclin économique sont connus depuis des décennies.

Les défenseurs des confinements continueront probablement à prétendre que « nous n’avions pas le choix » sinon de continuer ces confinements pendant de longues périodes. À tout le moins, nombreux sont ceux qui affirment que cela en valait jusqu’à présent la peine. Pourtant, l’efficacité des confinements reste une question ouverte qui n’a guère été prouvée. Pendant ce temps, le monde est confronté à la pire catastrophe économique connue depuis des siècles. Il n’aurait pas dû en être ainsi.

Article de Ryan McMaken, éditeur senior au Mises Institute paru le 21 mai 2020 sur le site mises.org



samedi 23 mai 2020

GREEN NEW DEAL - PLUS TACTIQUE PLUS AUDACIEUX POUR FAIRE AVANCER L'AGENDA DES NATIONS UNIES 21

28 MARS 2019
Par Nancy J. Thorner


La plupart des gens en Amérique ne réalisent même pas que des tentacules d'un dangereux programme des Nations Unies sont mises en œuvre dans les villes de notre pays et certainement dans notre pays, avec la pleine coopération de ceux qui occupent nos postes les plus élevés. Il est si compliqué et difficile de croire que beaucoup le rejettent simplement, le considérant comme une simple théorie du complot. Mais même une enquête superficielle révèle qu'elle est très réelle et que les preuves sont facilement obtenues.

Ce plan intrusif et global qui pourrait éventuellement affecter tous les aspects de notre vie est connu sous le nom d '«Agenda 21 des Nations Unies». C'est de nature purement communiste. Nous devons tous lutter contre cela si nous voulons rester un peuple et une nation libres. Le Green New Deal représente la tactique la plus audacieuse à ce jour pour la mise en œuvre complète d'Action 21 ici dans ce pays.

Le plan spécifique, Agenda 21 des Nations Unies pour le développement durable, était un produit de la Conférence de Rio tenue à Rio de Janeiro du 3 au 14 juin 1992. Il devait être mis en œuvre dans le monde entier afin d'inventorier et de contrôler toutes les terres, toutes les eaux, toutes les minéraux, toutes les plantes, tous les animaux, toutes les constructions, tous les moyens de production, toute l'énergie, toute l'éducation, toute l'information et tous les êtres humains dans le monde. En tant que tel, l'Agenda 21 a marqué un nouveau départ pour l'ONU, un point de départ décisif pour l'organisation mondiale.

L'Agenda 21 contenait vingt-sept principes mettant en garde contre un mode de croissance qui conduirait à l'extinction de la vie sur terre. Basé sur deux idées fondamentales, le développement et l'environnement, l'Agenda 21 a été présenté comme une tâche coopérative et un défi pour les nations du monde vers cet objectif: établir les principes de base qui doivent régir la conduite des nations et des peuples les uns envers les autres et la Terre pour assurer une avenir sûr et durable.

Les États-Unis signent l'Agenda 21


Une centaine de pays ont assisté à Rio 1992 sur l'éducation à l'environnement et au développement. Selon le Centre d'information des Nations Unies, toutes les nations présentes ont accepté le document. Le président George H.Bush (1989-1993), qui représentait les États-Unis, a permis à une entité extérieure (l'ONU) de collaborer et de dicter un programme qui affecte déjà notre pays tout entier et nos citoyens. Dans une conférence de presse donnée à Rio de Janeiro le 13 juin 1992, la déclaration d'ouverture de Bush comprenait les remarques suivantes avant les questions des journalistes:

«Soyons clairs sur un point fondamental. Les États-Unis ont pleinement l'intention d'être le chef de file mondial en matière de protection de l'environnement mondial. Nous le sommes depuis de nombreuses années. Nous le resterons. Nous pensons que l'environnement et le développement, les deux sujets de cette Conférence, peuvent et doivent aller de pair. Une économie en croissance crée les ressources nécessaires à la protection de l'environnement et la protection de l'environnement rend la croissance durable à long terme. »

Appelée pour la première fois une "suggestion" pour une "action volontaire", peu de temps après son introduction à la Conférence de Rio (également connue sous le nom de "Sommet de la Terre"), Nancy Pelosi a présenté une résolution de soutien au plan au Congrès le qualifiant de "plan d'ensemble pour la réorganisation de la société humaine. "

Les présidents Clinton et Obama font la promotion d'Action 21

Avec la défaite de G.H. Bush, nouvellement élu Bill Clinton en 1993, a ordonné la création du Conseil présidentiel pour le développement durable, dans le but exprès d'appliquer le plan d'action 21 dans presque toutes les agences du gouvernement fédéral pour s'assurer qu'il devienne la loi du pays. Un an plus tard, en 1994, l'American Planning Association a publié un bulletin d'information soutenant les idées d'Action 21 en tant que «plan d'ensemble» pour la planification locale.

La principale arme utilisée par Clinton pour son appel à l'action était la menace d'Armageddon environnemental, qui s'est manifestée notamment par l'accusation de réchauffement climatique d'origine humaine, qui est devenu plus tard le «changement climatique». Peu importait que la vraie science refuse de coopérer au programme, car les températures mondiales réelles n'augmentent pas et il n'y a toujours aucune preuve d'effets appréciables anthropiques sur le climat. Mais la vérité a-t-elle jamais été importante pour effrayer les marchands ? Paul Watson de Green Peace a déclaré: "Peu importe ce qui est vrai, cela importe seulement ce que les gens croient être vrai."

Le président Barack Obama a approuvé les efforts de Clinton pour obtenir ce qui était à l'origine un effort volontaire pour que les dirigeants mondiaux se conforment à l'Agenda 21. Obama, croyant que le changement climatique constituait une menace économique et sécuritaire pour la nation, a signé l'accord de Paris sur le climat en 2015 qui a promis son près de 200 participants pour lutter contre le réchauffement climatique. En conséquence, le 21 septembre 2016, Obama a demandé aux agences fédérales de prendre en compte le changement climatique lors de l'élaboration de leurs plans de sécurité nationale. Le même jour, le National Intelligence Council (NIC) a soutenu Obama avec un rapport disant que le changement climatique est «presque certain d'avoir des implications sociales, économiques, politiques et sécuritaires directes et indirectes [et] pose des défis de sécurité nationale importants aux États-Unis. au cours des deux prochaines décennies."

Le président Trump comme pierre d'achoppement


Le président Trump a momentanément contrecarré le mouvement des Nations Unies pour faire avancer l'Agenda 21 dans le monde entier lors d'un événement sur la roseraie de la Maison Blanche le 2 juin 2017, et a été durement condamné lors du retrait des accords de Paris. Le président Trump a souvent parlé du changement climatique comme d'un «canular total et très coûteux». Le 28 mars 2017, Trump a déclaré que les coûts de la conformité aux réglementations gouvernementales visant à limiter le changement climatique menaçaient davantage la sécurité nationale que les changements eux-mêmes. De plus, Trump a annulé le mémorandum d'Obama sur la sécurité nationale de 2016 et de nombreuses autres directives d'Obama relatives au climat. L'objectif de Trump était de mettre fin aux «charges réglementaires qui gênent inutilement la production d'énergie, entravent la croissance économique et empêchent la création d'emplois».

En ce qui concerne les accords de Paris, le Dr Bjorn Lomberg a dit ce qui suit dans un article d'Ed Hiserodt dans l'édition du 4 mars 2019 de New American:

"Même si nous supposons que toutes les promesses (contributions déterminées des signataires des Accords de Paris) sont tenues d'ici 2030, et continuons de les respecter jusqu'à la fin du siècle, et qu'il n'y a pas de" fuite de gaz carbonique "vers les pays non engagés, l'intégralité des promesses de Paris réduira la hausse des températures de seulement 0,7 degré C (0,306 degré F) d'ici 2100.

Et même si les Américains cessaient de produire du gaz carbonique, les niveaux de gaz carbonique sur Terre continueraient d'augmenter parce que la Chine, l'Inde et d'autres pays construisent des douzaines de centrales au charbon, ce qui devrait plus que compenser les réductions que les Américains font. "

Green New Deal d'AOC

Entrez dans le Green New Deal, la tactique la plus audacieuse à ce jour, comme l'a proposé l'AOC lorsque les démocrates-socialistes ont pris le contrôle de la Chambre à mi-parcours en 2018. Les origines et le but du Green New Deal ne sont pas différents des objectifs positifs d'Action 21: protéger l'environnement et améliorer la vie de chacun d'entre nous.

En ce sens que les forces derrière l'Agenda 21 devenaient à la fois impatientes et effrayées parce qu'après 27 ans, l'Agenda 21 n'avait pas encore été réalisé, couplé à une appréhension croissante que les gens du monde entier commençaient à prendre conscience de la vraie nature d'Agenda 21, a permis à l'horloge de tromperie à retirer pour révéler les véritables objectifs du Green New Deal, le socialisme et le contrôle mondial comme moyen de faire avancer l'Agenda 21. Cependant, il reste à déterminer si, grâce à une action du Congrès, le Green New Deal pourrait être promulgué. Actuellement, les politiques les plus ambitieuses en matière de changement climatique et d'énergie propre proviennent des États.

Si les Illinoisiens aiment le Green New Deal défendu par la membre du Congrès Alexandria Ocasio-Cortex, ils aimeront ce que les Illinoisans leur réservent. L'assemblée générale de l'Illinois pèse un projet de loi - la Clean Energy Jobs Act (SB 2132 / HB 3624) - qui fixe un objectif agressif de décarbonisation de l'énergie de l'État d'ici 2030 et de faire fonctionner l'État entièrement sur les énergies renouvelables d'ici 2050. Cela comprend le déploiement de plus plus de 40 millions de panneaux solaires et 2 500 éoliennes ainsi que 20 milliards de dollars de nouvelles infrastructures au cours de la prochaine décennie. Ses objectifs centraux sont une production d'électricité 100% décarbonée d'ici 2030 et tout renouvelable à 100% dans tout l'État d'ici 2050. Cela signifie que l'objectif 2050 exclut également l'énergie nucléaire!

D'une manière générale, la loi sur les emplois énergétiques verts s'aligne sur le Green New Deal. Alors que la résolution du Green New Deal n'est que cela - une résolution - dans l'Illinois, le caoutchouc pourrait effectivement rencontrer la route. Selon Emily Melbye, chef de cabinet de la représentante de l'État, Ann Williams, parrain de la Clean Energy Jobs Act, «ce projet de loi est beaucoup plus complet [que le Green New Deal] et positionne l'Illinois comme un leader dans l'économie de l'énergie propre. "

Le Wisconsin, la Pennsylvanie, le Minnesota, le Nouveau-Mexique, New York, le New Jersey, l'État de Washington, le Massachusetts, le Colorado, le Maine, le Michigan et Washington, DC, ont des engagements ou envisagent une législation qui les mettrait sur la voie d'une énergie 100% propre.

Politiques durables et énergétiques des communautés locales


Ce ne sont pas seulement les États qui sont déterminés à se convertir à 100% d'énergie renouvelable. Il existe un lien direct entre l'Agenda 21 des Nations Unies, tel qu'il a été présenté au monde lors du Sommet de la Terre à Rio en 1992, et les groupes qui tentent de prendre le contrôle du développement local et des politiques énergétiques, peut-être même dans votre communauté ou votre ville ? Dès 1994, l'American Planning Association a publié un bulletin d'information soutenant les idées d'Action 21 en tant que «plan d'ensemble» pour la planification locale.

Dans ce récent article de Steve Goreham, conseiller politique du Heartland Institute, conférencier, auteur et chercheur sur les questions environnementales ainsi qu'ingénieur et dirigeant d'entreprise, il écrit: 100% renouvelable à 100% d'ici 2050 - est le maire de Porkopolis Plus intelligent qu'un cinquième niveleur ?, Goreham écrit:

«Les maires de plus de 100 villes américaines ont annoncé leur intention de faire passer leurs systèmes électriques à 100% renouvelables d'ici 2050. Ils proposent de remplacer le charbon traditionnel, le gaz naturel et les centrales nucléaires par des centrales éoliennes, solaires et au bois. Mais aucun de ces maires n'a une idée plausible de la manière de respecter leur engagement. »

Paroles de sagesse

Friedrich August von Hayek (1899-1992), prix Nobel des sciences économiques, a laissé cet avertissement à l'humanité:

"Depuis le début de la science moderne, les meilleurs esprits ont reconnu que" l'éventail de l'ignorance reconnue se développera avec le progrès de la science. "Malheureusement, l'effet populaire de cette avancée scientifique a été la croyance, apparemment partagée par de nombreux scientifiques, que l'étendue de notre ignorance diminue constamment et que nous pouvons donc viser à un contrôle plus complet et délibéré de toutes les activités humaines. C'est pour cette raison que ceux qui sont intoxiqués par le progrès de la connaissance deviennent si souvent les ennemis de la liberté. »

Alors que davantage de gouvernements de villes, de comtés et d'États américains sont dupés par les fanatiques du réchauffement climatique (alarmistes) pour initier de nouvelles lois sévères et supprimer les libertés individuelles, le public ne peut plus se permettre de bâiller et d'ignorer l'Agenda 21 des Nations Unies et tous ses tentacules dans nos vies. 

[Originally Published at Illinois Review]

Le retour de Coronas !


Coronas ! Coronas de coronas ! Il met un masque pour pas qu'on le reconnasse !

vendredi 22 mai 2020

«Minuscules insectes» et «tonnes de saleté»: voici ce qui se cache dans les fraises bio - vidéos

15:54 21.05.2020


Les fraises sont votre régal favori? Ces vidéos ont donc toutes les chances de vous décevoir. Sur TikTok, une séquence montrant ce qui sort de ces fruits placés dans de l’eau salée a non seulement collecté des vues, mais en a poussé certains à suivre cet exemple et refaire la même expérience.

Savez-vous combien de petits insectes et vers vivent à l’intérieur des fraises ? Sur TikTok, l'écrivain Krista Torres a partagé une vidéo d'une méthode montrant comment il faut les nettoyer.


Elle a plongé des fraises dans de l'eau salée pour 30 minutes, puis elle montre aux abonnés un ver sortir de la chair du fruit.

«Ça bouge. Ça y est !», dit-elle sans cacher son dégoût.

D’autres ont suivi son exemple

D’autres vidéos n’ont pas tardé à émerger. Ainsi l’utilisatrice @31toni a montré aux abonnés de petits insectes sortir des fraises toutes belles achetées au supermarché.

Sur YouTube et TikTok plusieurs séquences dédiées au même sujet ont également été partagées.


«Après près de 25 ans de vie, TikTok m'a appris à laver correctement les fraises. Elles sont remplies de minuscules insectes et de tonnes de saleté», écrit Lauren McKenzie Gambrell sur Facebook.


Pas d’inquiétude: on en a toujours mangé

En réaction à ces vidéos, le magazine Health rappelle que les hommes mangent, apparemment depuis des siècles, des larves cachées dans divers aliments et que rien ne prouve que ceci puisse avoir des effets négatifs sur la santé.

L’entomologiste Sriyanka Lahiri, de l’université de Floride, indique ainsi à l’édition: «Même si la vue de vers translucides émergeant de fraises fraîches peut ne pas paraître attrayante, aucun effet néfaste lié à leur consommation n’est connu. [...] En effet, si vous avez accidentellement consommé quelques larves, vous n’avez que fait obtenir un supplément de protéines animales dans votre salade ou votre cocktail de fruits».