- ENTREE de SECOURS -



dimanche 31 octobre 2021

🚨 Dr Alexandra Henrion-Caude - ARNm : C'est bel et bien une expérimentation !!!

https://odysee.com/@PhilippeLeBel:4/ARNm---Cest-bel-et-bien-une-exp%C3%A9rimentation-!--Alexandra-Henrion-Caude:5 

30 commentaires:

  1. 90 % des Allemands non vaincus disent qu'ils ne l'obtiendront pas


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 31 OCT 2021 - 08:10
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


    90 % des Allemands qui n'ont pas pris le 'vaccin' COVID-19 disent qu'ils ne l'obtiendront pas, avec seulement les 10 % restants disant qu'ils l'obtiendront "probablement" ou resteront indécis.

    Une récente enquête menée par Forsa pour le compte du ministère de la Santé a révélé que 65 % des Allemands disent qu'il n'y a « aucun moyen » qu'ils reçoivent le vaccin COVID au cours des deux prochains mois.

    23 % supplémentaires ont déclaré qu'ils n'obtiendraient « probablement pas » le vaccin COVID dans un avenir proche, tandis que 2 % ont déclaré qu'ils n'obtiendraient « certainement pas » le vaccin à aucun moment.

    Sur 3000 personnes interrogées, seulement 10 % étaient encore indécis ou ont déclaré qu'ils se feront "probablement" vacciner dans un avenir proche.

    Selon le Local, les résultats du sondage soulignent à quel point « les personnes qui ont choisi jusqu'à présent de rester non vaccinées contre Covid ont peu de chances d'être convaincues ».

    L'enquête contredit Thomas Mertens du Comité permanent des vaccinations (STIKO), qui a affirmé que les Allemands non vaccinés n'étaient pas des « purs et durs » mais étaient simplement assis sur la clôture et pouvaient être convaincus.

    Ça n'en a pas l'air.

    Seulement 5 % des personnes interrogées ont déclaré qu'elles obtiendraient le vaccin si les hôpitaux étaient «débordés de patients», tandis que 89 % ont déclaré que cela ne changerait pas d'avis même si les unités de soins intensifs atteignaient leur capacité.

    Soulignant à quel point les passeports vaccinaux renforcent l'opposition des gens à se faire vacciner, 27 % ont déclaré qu'imposer des restrictions aux non vaccinés les rendrait encore plus déterminés à ne pas se faire piquer, tandis que seulement 5 % ont déclaré que cela les encouragerait à se faire piquer.

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  2. Il convient également de noter que le chiffre de 10 % qui disent qu'ils obtiendront le vaccin ou sont indécis est probablement inférieur étant donné que certains répondants diront aux sondeurs ce qu'ils pensent vouloir entendre et ne prévoient en fait pas du tout de se faire vacciner.

    Comme nous l'avons souligné en janvier, les autorités allemandes ont annoncé que les contrevenants au verrouillage du COVID seraient arrêtés et détenus dans des camps de réfugiés situés à travers le pays.

    Plus tôt cet été, il a également été confirmé que les personnes non vaccinées seraient privées d'activités de base comme la visite de cinémas et de restaurants.

    Le rédacteur en chef du principal journal allemand Bild a choqué certaines personnes en s'excusant pour la couverture par la peur de COVID par le média, en particulier auprès des enfants à qui on a dit "qu'ils allaient assassiner leur grand-mère".

    https://www.zerohedge.com/covid-19/90-unvaxxd-germans-say-they-wont-get-it

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  3. Pfizer n’est pas Pasteur : la troisième dose, et après ?


    le 30/10/2021 à 12:25
    Auteur(s): Bio Moon, pour FranceSoir


    TRIBUNE - Jusqu’à combien de doses sont-ils prêts à aller avant de reconnaître que ces vaccins ne sont pas efficaces ? Certains États s’apprêtent à imposer à leur population, toujours sous le régime de l’extorsion de consentement, une troisième injection de leur potion expérimentale sous prétexte d’un effondrement de la réponse immunitaire.

    La mémoire immunitaire, ce n’est pas une bouteille de lait, sa date de péremption est de plusieurs années. Ça n’existe pas une mémoire immunitaire de six mois. Le rôle d’un vaccin est d’induire une mémoire immunitaire durable, comme le font tous les vaccins. Quand celle-ci est inefficiente au bout de 180 jours, il n’y a pas de mémoire immunitaire durable, donc efficace et le vaccin ne sert à rien. La nécessité d'une troisième dose au bout de six mois pourrait donc être la démonstration que les vaccins utilisés contre la Covid-19 n'ont aucune efficacité.

    Octobre 2020, Pfizer par la voie d’un communiqué de presse annonce 95 % d’efficacité de son vaccin ARN contre la contamination, la transmission et les décès. Son essai publié bien après que le monde entier se fut rué sur ces vaccins géniques, reposait sur 4 personnes décédées sur 176 000. La seule conclusion suite à un tel essai devrait être que la maladie tue très peu. Nos autorités sanitaires, nos médias et nos dirigeants politiques se transformeront alors en VRP du marketing de Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Johnson, tous à base de vecteurs géniques ayant vocation à faire produire la protéine vaccinale par nos propres cellules. Depuis, il a tout d’abord été reconnu que ces vaccins ne protégeaient pas de la contamination, puis finalement pas non plus de la transmission et enfin, sous couvert de variants, pour lesquels l’immunité croisée aurait rejoint la grippe en vacances à Bora Bora, qu’ils ne protégeaient pas à 95 %, mais à 85 % contre le delta, puis à 68 %... Puis seulement à 29 % au bout de six mois. Peut-on considérer qu’une réponse immunitaire qui dure six mois ait induit une mémoire immunitaire ? Au regard de la littérature et du fonctionnement de la mémoire immunitaire, il semble que la réponse soit un non définitif et non contestable. Commençons par entrevoir ce qu’est la mémoire immunitaire.

    La mémoire immunitaire est robuste ou n’est pas.

    En biologie, mieux qu’un grand discours, rien ne vaut une bonne vidéo et un bon schéma.

    - voir clip (français) sur site -

    Comme vous avez pu l’entendre dans cette vidéo, les lymphocytes mémoires après avoir identifié l’antigène, vont se loger dans des organes spécialisés, les ganglions lymphatiques, le thymus, la rate et y demeurent des dizaines d’années. Des dizaines d’années.

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  4. - voir dessin sur site -

    Ces cellules immunitaires se logent dans les tissus lymphoïdes qui avec le système lymphatique tisse un fin réseau à travers tout l’organisme.

    Ce qui est surprenant dans la manière dont sont évalués les vaccins depuis le début de cette immense opération commerciale, c’est qu’on ne considère la robustesse de la réponse immunitaire qu’à travers la production d’anticorps, ce qui est une ineptie immunologique, surtout lorsque l’antigène est principalement présenté par nos propres cellules. Il a été établi depuis peu, que le taux d’anticorps circulants ne présageait en rien du degré d’immunisation, spécifiquement pour les viroses respiratoires saisonnières, comme la grippe ou les coronavirus.

    Ceci étant, nous nous y conformerons, et utiliserons le corrélat du titre d’anticorps pour évaluer la mémoire immunitaire, d’autant que cela rend la démonstration encore plus éloquente.

    Les lymphocytes sont des cellules immunitaires qui permettent à notre organisme une défense robuste, très efficace et surtout très spécifique, ce qui signifie que ces cellules sont capables d'identifier un pathogène de manière très précise. Il y a deux types originels de lymphocytes. Les lymphocytes B, au cœur de la réponse humorale, c’est-à-dire surtout efficace pour les pathogènes circulant, et les lymphocytes T, qui endossent principalement le rôle de régulateur de l’immunité, mais aussi de tueur de cellules infectées. Les lymphocytes T peuvent se spécialiser en de nombreux sous-types, aux rôles différents : LT4, LT8, Lth et les lymphocytes T mémoire...Les lymphocytes B, eux, n'ont qu'un devenir, outre leur spécialisation en lymphocytes B mémoire : leur maturation les transforme en plasmocytes, cellules productrices d'anticorps, ces fameuses protéines qui neutralisent les pathogènes dans les humeurs.

    Il existe deux types de plasmocytes, des plasmocytes à courte durée de vie (14 jours), très peu spécifiques, qui ont vocation à offrir une protection précoce, et les plasmocytes, plus spécifiques, à longue durée de vie, qui peuvent demeurer de plusieurs mois à plusieurs années dans la moelle osseuse, produisant des anticorps spécifiques bien après que le pathogène a disparu.

    Ces plasmocytes sont produits dans les centres germinatifs qui apparaissent dans les ganglions lymphatiques.

    - voir dessin sur site -

    C'est dans ces centres que vont être produits les trois types de lymphocytes B, les lymphocytes mémoires et les plasmocytes de courtes et longues durées. Pour bien comprendre comment se met en place la mémorisation, il est nécessaire de reprendre tout le processus de maturation des lymphocytes B après une infection, ici la production de protéine Spike par nos cellules musculaires.

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  5. Les lymphocytes migrent vers les organes lymphoïdes secondaires pour initier la réponse humorale. Comme énoncé au préalable, très précocement des plasmocytes de courte durée vont être produits. Parallèlement, soit par l'intermède des cellules dendritiques via les lymphocytes T, soit directement par interaction avec un lymphocyte B présentateur d'antigènes, des centroblastes, lymphocyte B immatures, vont proliférer et vont être soumis à un processus de sélection drastique par hypermutation : pour simplifier, les anticorps de surface vont être recombinés jusqu'à obtenir les anticorps les plus spécifiques possibles pour neutraliser le pathogène. Une fois, les lymphocytes B les plus optimaux obtenus, ils se différencieront en plasmocytes de longue durée ou en cellule mémoire, sous l’influence de divers signaux induits par les interactions entre LB, LT et cellules dendritiques folliculaires.

    - voir dessin sur site -

    Il semble que ce soit à ce moment que se situe la défaillance des vecteurs de protéine Spike que l'on injecte sous couvert de vaccination : il y a bien production de plasmocytes, mais la production de lymphocyte mémoire est bien plus incertaine ou inefficace.

    Que des plasmocytes soient produits ne fait aucun doute au regard des taux d'anticorps anti-Spike dosés chez de nombreux vaccinés. Ces plasmocytes ont une durée de vie longue. Pour les infections à coronavirus, il est établi que ces anticorps et donc que ces plasmocytes durent de deux, à trois ans (1). La première surprise quant à l'efficacité de ces vaccins est la très faible persistance dans le temps de la production d'anticorps. Et, il semble évident, c'est la deuxième surprise, qu'il n'y a pas production de lymphocytes B mémoire lors d’une infection post-vaccinale, puisque si tel était le cas, et en admettant que les plasmocytes induit par la vaccination ne durent que six mois, les lymphocytes mémoire spécifiques de la Spike vaccinale devraient prendre le relais et de nouveau plasmocytes seraient produits et produiraient de nouveaux anticorps en cas d'infection. Il n’y aurait alors aucun besoin d’une troisième dose. Il n'y a donc pas de lymphocytes B mémoire induit par la vaccination face à une infection, notamment après six mois, d’où la question de la troisième dose. Or c'est l'objectif de la vaccination : induire une mémoire immunitaire qui permettent une réponse immunitaire plus rapide et efficace contre un agent pathogène, censée empêcher l'infection, mais également la contamination et la transmission. Avec ces « vaccins », rien de cela ne se produit : la contamination et même l'infection se produisent et aucune mémoire immunitaire n’est induite lors de l’infection seulement six mois après la vaccination, d’où cette fâcheuse troisieme dose.

    Il y a plusieurs hypothèses pour expliquer l'absence d'induction d'une mémoire immunitaire et l'effondrement rapide de la production anti-Spike vaccinal. J’en retiendrai deux :

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  6. Il y a production de plasmocytes longue durée et donc activation de la sélection clonale afin de produire des lymphocytes B très spécifiques. Mais, soit la voie de signalisation permettant d'induire la différenciation en Lymphocytes B mémoire est inhibée pour différentes raisons, soit il se pourrait que d'autres antigènes du virus soit plus immunogènes et que ce soit les lymphocytes B spécifiques de ces antigènes qui soit alors produit. Des lymphocytes mémoires induits par la vaccination pourraient alors exister, mais ne seraient pas amorcés suite à l’infection. C’est l’hypothèse la plus probante.

    Il y a production de lymphocytes B mémoires, mais ces dernières ne sont pas maintenues dans le pool des lymphocytes B mémoires. Il peut y avoir plusieurs raisons à cela, mais une remporte mon suffrage : les anticorps produits suite à la vaccination pour neutraliser la protéine spike auraient d'autres effets, notamment auto-immun, ce qui induirait la destruction des lymphocytes B mémoires induits suite à la vaccination. Ce scénario me plaît bien car nous avons preuve qu'il y a des cas d'effets secondaires graves qui s'accompagnent de production d'anticorps non spécifiques de Spike. Nous y reviendrons dans un prochain épisode.

    Ce qui est certain est que ces vaccins n'induisent pas de réponse immunitaire humorale spécifique efficace sur le court terme, six mois devant être considéré comme un très court terme en immunologie. Si l’on considère le deal initial qui conférait aux deux doses de ces vaccins une immunité robuste et durable qui garantissait 95 % d’efficacité, avec un 85 % minimum contre les variants, et la nécessité d’injecter une troisième dose non prévue devant la diminution très rapide de la réponse immunitaire attestée par le taux important de formes graves chez des personnes vaccinées depuis plus de six mois, il est déjà évident que les vaccins sont un échec cuisant. La troisième dose sauvera-t-elle la donne ? Rien n’est moins sûr.

    La mémoire immunitaire induite par les virus ou les vaccins

    Pour se convaincre qu'il y a bien un problème de mémoire immunitaire trahit par la nécessité de cette troisième dose dans des délais aussi court, il nous suffit de nous référencer à la littérature sur la persistance de la réponse immunitaire pour les nombreux virus connus ainsi que pour les vaccins.

    Commençons donc par le plus proche cousin du SARS-Cov-2. Contre le SARS-Cov-1, des anticorps persistants ont été observés chez des travailleurs de la santé ayant été en infectés par le SARS-Cov-1. Comme énoncé au préalable, les anticorps déployés contre les coronavirus durent au moins 2 à 3 ans.

    La mémoire immunitaire a, elle, toujours été défaillante pour empêcher les réinfections aux coronavirus, mais elle a toujours existé (2). Pour le SARS-Cov-1, une obsolescence très courte, inférieure à 6 ans, avait déjà été démontré (3). On peut se demander pourquoi avoir misé sur la stratégie thérapeutique ciblée sur les vaccins, au regard des nombreux éléments démontrant que la mémoire immunitaire n’était pas durable pour les coronavirus et ne permettait pas d’empêcher les réinfections. Et ici nous parlons d’une mémoire immunitaire fragile alors qu’elle dure six ans ! Dans l’histoire de l’immunologie, six mois de mémoire immunitaire, ça n’existe pas sauf pour les vaccins dont l’efficacité est proche de zéro.

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  7. En effet, la plupart des virus et des vaccins induisent une mémoire immunitaire qui durent bien plus longtemps, des dizaines d’années pour la plupart, toute la vie pour certains.

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    Même pour le tétanos et la diphtérie dont la demi-vie des anticorps est estimé à une dizaine d’années, il est probable, d’après de récentes études, que leurs antigènes induisent une production d’anticorps bien plus longue qui remet même en cause la nécessité de rappel tous les cinq ans pour le tétanos (4). C’est dire l’incongruité d’un vaccin avec une demi-vie de moins de six mois !

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    Qu’en est-il alors des rappels pour les autres vaccins ? Il existe effectivement des vaccins pour lesquels trois injections sont nécessaires en moins d’un an : le DTP, la coqueluche et L’haemophilus influenza, l’hépatite B et le pneumocoque. Ensuite, les rappels n’ont lieu que tous les cinq ans pour les moins persistants. À l’orée de ce constat, nous devrions donc être rassurés pour la troisieme dose. Nous allons voir que, bien au contraire, cela confirme l’absence de mémoire immunitaire efficace suite à la vaccination contre la Covid-19.

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    Pour évaluer la nécessité d’un rappel pour un vaccin donné, les scientifiques évaluent ce que l’on appelle la réaction anamnestique : Réaction immunitaire secondaire observée après une nouvelle introduction de l'antigène, plus rapide, plus intense et plus spécifique que la réaction immunitaire primaire, et qui est liée à l'existence d'une mémoire immunologique.

    Pour mieux entrevoir comment cela se déroule, je vous convie à une étude de cas : le vaccin contre l’hépatite B (5). Il arrive parfois que des personnes, pourtant immunocompétentes, ne répondent pas à la vaccination contre l’hépatite B. Malgré 3 à 4 injections, ces personnes ne produisent pas ou peu d’anticorps, il n’y a pas de réaction anamnestique. Pour l’hépatite B, on estime que « la non-réponse à la vaccination contre l'hépatite B est définie par un titre d'anticorps anti-HBs inférieur à 10 UI/L, en l'absence de portage chronique du virus de l'hépatite B. »

    Dans les cas où ce seuil n’est pas atteint, « chez les personnes immunocompétentes, à l'issue d'un schéma standard correctement réalisé, il est nécessaire de réaliser 1 à 3 injections supplémentaires de vaccin (jusqu'à 6 injections au total) ; un titrage des anticorps anti-HBs est effectué 4 à 8 semaines après chaque injection. Un titre d'anticorps anti-HBs supérieur à 10 UI/L fait interrompre le schéma vaccinal en cours d'intensification. La personne est alors immunisée contre l'hépatite B et aucune injection ou contrôle supplémentaire n'est nécessaire. ».

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  8. Il est donc tout à fait envisageable de procéder à des rappels lorsque l’on estime que les titres d’anticorps n’atteignent pas un certain seuil.

    Le problème pour les vaccins contre la Covid-19 est que les titres d’anticorps post-vaccination explosent tous les compteurs (6). Nous atteignons même les records de titres d’anticorps tous vaccins confondus, et ce, dès la première dose. Le seuil de titres d’anticorps décidé pour la Covid-19 est de 50 UI/mL au bout de six mois, soit cinq fois plus que pour l’hépatite B, six mois plus tard. C’est dire si l’on atteint des sommets de production d’anticorps... Pour vous donner une idée, et en ne se référant qu’aux vaccins nécessitant plusieurs doses rapprochées, outre les 10 UI/mL pour le vaccin contre l’hépatite B, on estime à 0,15 UI/mL la limite de détection des anticorps qui confère une protection immunitaire (7).

    Pour le tétanos, la diphtérie, on est à 300 moins que le seuil fixé pour les vaccins Covid pour lequel on estime une dose de rappel nécessaire ! Et pour tous ces vaccins, lorsque le seuil de titre d’anticorps est atteint pour induire une réaction anamnestique, la mémoire immunitaire est acquise. Comme énoncé précédemment, même pour le tétanos ou la diphtérie ou les titres d’anticorps flirtent avec le seuil de détectabilité, les dernières études démontrent que la protection dure plus de deux fois plus de temps qu’estimé, 14 ans pour le tétanos contre 5 ans prévu après le premier rappel.

    Comment se fait-il alors que le seuil retenu soit si élevé pour les vaccins Covid-19 ? La réaction anamnestique est vigoureuse suite à la deuxième dose et peu importe que le taux d’anticorps baissent rapidement, cela ne présageant en rien de la mémoire immunitaire. Et cela n’était pas dans le contrat : les fabricants ont vendu l’efficacité de leurs vaccins en affirmant que la réponse était robuste et durable. Le groupe d’étude sur le vaccin Moderna pour les autorités sanitaires américaine vantait même dans une étude la « Persistance des anticorps jusqu'à 6 mois après la deuxième dose du vaccin » (8). En s’attardant sur les données, on se rend compte que l’on est sur des titres d’anticorps bien plus élevés que pour n’importe quel vaccin avec une décrue relativement faible, même dans le pire scénario :

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    D’ailleurs, pour s’en convaincre, il suffit d’utiliser les données sérologiques des patients ayant eu une troisième dose. Les données sur les titres d’anticorps suite à la troisième dose confirme une mémoire immunitaire robuste. La réaction anamnestique est vigoureuse de telle sorte que les auteurs considèrent : « Les anticorps neutralisants chez les sujets d'un essai clinique de vaccin inactivé contre le SRAS-CoV-2 ont montré une tendance à la baisse au fil des mois. Une enquête portant sur la troisième immunisation a suggéré que la diminution des anticorps neutralisants chez les individus ayant reçu deux doses de vaccin inactivé ne signifie pas la disparition de l'immunité. » (9). Une étude récente sur la réaction anamnestique induite par le Vaccin à ARN Moderna confirme ces données (10) : « Après le rappel, les niveaux d'anticorps neutralisants sont passés à 2 000 dans les deux groupes. Ceux-ci étaient presque trois fois plus élevés que les titres à 28 jours après la deuxième dose ». Mieux : « Des réponses sérologiques ont été observées chez plus de 93 % et près de 99 % des personnes ayant reçu une dose de rappel et après le schéma de primovaccination à deux doses ».

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  9. La mémoire immunitaire ne fait donc aucunement défaut suite à la primovaccination et la dose de rappel ne semble pas si nécessaire qu’indiqué. D’autant plus que l’argument qui argue que c’est pour mieux lutter contre le variant delta qu’il faut cette dose de rappel est un contre-sens biologique : en vaccinant à nouveau avec l’ARN du premier variant du virus, la souche de Wuhan, vous augmenterez l’affinité des anticorps pour cette souche et diminuerez nécessairement la plage de neutralisation des anticorps produits. Plus un antigène est présenté au système immunitaire, plus la spécificité des anticorps est importante. C’est donc un non-sens que de faire une dose de rappel, cela est d’ailleurs d’autant plus évident que de nouveaux variants émergent et que, plus vous ferez des rappels, moins vos vaccins couvriront les nouveaux variants. Or il semble que vous ayez déjà perdu la course si l’on se réfère aux résultats sur la capacité de neutralisations des anticorps induits par la vaccination face aux variants émergents (11). Il est même urgent d’interroger l’utilité d’injecter une dose aux personnes ayant été infectées, toutes les études démontrant qu’elles avaient une mémoire immunitaire robuste et à large spectre, contre tous les variants. L’injection imposée par les États pourrait affaiblir cette réponse, notamment en diminuant l’amplitude du spectre face aux variants.

    Comment expliquer alors l’inefficacité de la mémoire immunitaire face au SARS-Cov-2 ? Son intensité ne fait pas défaut. La spécificité des anticorps face aux variants pourrait être une explication, mais outre que cela était prévisible donc risible, l’immunité croisée avec la souche initiale suffirait à assurer un certain niveau de protection sur le long terme, comme cela est le cas pour l’immunité induite par l’infection. Mais, ce n’est pas le cas pour les vaccins, si l’on se fie aux données. On en revient donc au choix de l’antigène, la protéine Spike qui peut surprendre d’ailleurs, au regard des connaissances sur l’immunité naturelle qui font des protéines N et E des cibles plus efficaces et plus durables. La vaccination même à 3 doses d’après les données israéliennes ne permet pas d’éviter ni la contamination, ni la transmission, ni même l’infection ou les formes sévères. Pour tenter de comprendre ce qui pourrait expliquer cette inefficience de la mémoire immunitaire induite, je vous convie à une étude de cas, le vaccin contre la coqueluche (12) :

    Les auteurs expliquent que « La décroissance rapide des réponses anticorps semble donc être liée à des attributs spécifiques des antigènes de Bordetella plutôt qu'à l'utilisation d'un vaccin sous-unitaire et pourrait s'expliquer en partie par une mauvaise propriété intrinsèque d'amorçage des lymphocytes B spécifiques de B. pertussis lors de la rencontre antigène/agent pathogène. ». Un problème d’amorçage, et ce, malgré les nombreux rappels testés. Les voies de signalisations induites par le vaccin ne sont pas les bonnes. Il semblerait que le problème soit analogue pour les vaccins contre la Covid-19.

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  10. Il semble qu’avant se lancer dans cette expérimentation, les deux premières doses expérimentales ayant échoué, nos scientifiques devraient au préalable répondre à ces questions. Car cela n’est pas sans danger et faire des rappels pourrait augmenter le danger. Très tôt dans l’épidémie, alors que la course aux vaccins était très précocement lancée, dès janvier 2020 alors que l’épidémie n’en était pas encore une, des chercheurs ont alerté sur les risques d’anticorps facilitant, d’autant plus important que l’immunité vaccinale serait peu robuste. (13). C’était le risque principal que vous preniez en optant pour une technologie vaccinale à vecteur de thérapie génique à ARN ou à ADN : ne faire produire qu’une seule protéine du virus, de surcroît par nos propres cellules, engageant l’identité cellulaire de nos propres tissus, induisait une probabilité plus forte qu’avec un vaccin traditionnel, que les antigènes choisis ne permettent pas le déclenchement d’une immunité spécifique robuste et durable face au pathogène. Nous reviendrons dans un prochain épisode, "Pfizer n’est pas Pasteur #3", sur les particularités de cette technologie à nanoparticules qui expliquent en partie l’échec de ces vaccins.

    Un autre danger guette cette course aux rappels, Israël ayant annoncé des tests sur une quatrième dose : les titres d’anticorps produits après vaccination pourrait avoir des effets toxiques en cas d’infection, et en admettant qu’il y ait amorçage de la mémoire immunitaire induite par la protéine vaccinale, un taux d’anticorps trop important dans le sang pourrait augmenter le nombre d’effets indésirables, qui, même si leur imputabilité n’est malheureusement pas investiguée, se révèle déjà très nombreux (14). Une corrélation a été établie entre un taux d’anticorps très élevés et certains effets secondaires. Il ne faudrait pas que des effets secondaires des vaccins se manifestent lors d’une infection post-vaccinale, rendant le diagnostic encore plus funeste, ce qui semble s’observer dans de nombreux pays parmi les plus vaccinés au monde, comme Singapour ou Israël.

    Pour conclure sur cette troisième dose, et les autres doses de rappel à venir, il semble important d’ouvrir l’opportunité de s’expliquer à nos dirigeants : pourquoi avoir extorqué le consentement de la majorité des Français pour un vaccin qui n’est manifestement pas efficace durablement et pourrait même être délétère dans le temps en termes d’efficacité ? Comment envisager une troisième dose alors que le problème n’est pas le taux d’anticorps et comment conditionner le pass sanitaire à cette troisième dose alors qu’elle pourrait se révéler au mieux inutile, au pire délétère ?

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  11. Vous rétorquerez que les vaccins ont démontré leur efficacité. Cela est une supercherie très facile à démonter : la comparaison des États vaccinés et des États non vaccinés démontre sans l’ombre d’un doute que les vaccins n’ont eu aucun impact sur l’évolution de l’épidémie, études à l’appui. Les flux et reflux du virus dans le monde entier semblent être les seuls responsables de l’accalmie actuelle, avant la prochaine vague, contre laquelle le vaccin, avec deux, trois ou même quatre doses, au regard des données, ne semble pas affûté. Ce sera le sujet de "Pfizer n’est pas Pasteur #2 – Eurêka, je n’ai pas trouvé ! Vaccinés ou non, tous les pays connaissent peu ou prou la même évolution de l’épidémie".

    Chers amis vaccinés, je ne sais point ce que vous retiendrez de ce papier, mais il y a une chose importante que vous devez en retirer quelle que soit votre posture face à cette campagne de vaccination : jusque-là nous étions dans de l’expérimentation sur l’humain avec les deux premières doses, expérimentation forcée, mais qui faisait suite à un schéma d’essai clinique, quoique bancal et bâclé, presque acceptable. Nous avions alors le rôle de cobayes, de rat de laboratoires. Là, on passe au stade culture de cellules sur boîte de pétri. Vous devenez dans la phase d’essai expérimental, un amas de cellules de phase préclinique sur lequel on teste tout et n’importe quoi pour ne pas reconnaître son échec. Vous devez vous réveiller et contester le bien fondé de ce rappel que l’on va vous imposer grâce au pass sanitaire auquel vous vous êtes soumis. Car il est évident que nos dirigeants politiques, les médias, les médecins qui ont soutenu cette campagne de vaccination et ont participé de cette extorsion de consentement, ne vont pas reconnaître qu’ils se sont gravement trompé et que les vaccins sont inefficaces. Au moment où je finis ce papier, un article en preprint pour le Lancet a été soumis à publication : au bout de 211 jours, plus aucune efficacité des vaccins n’a été détectée (15). L’objectif d’un vaccin est d’induire une mémoire immunitaire. Les fabricants de ces vaccins assuraient qu’ils obtenaient ces résultats avec deux doses. C’est manifestement un échec.

    Et, quoi que l’on puisse en penser, il y a une chose qu’ils ne peuvent contester : cette vaccination est totalement expérimentale et consiste en de la recherche directement sur l’humain, contre tous les fondements de la bioéthique et des droits fondamentaux. C’est ce que trahit principalement cette troisième dose qui n’était pas prévue initialement. Et, si vous ne vous réveillez pas, l’expérience avec votre santé et celle de vos enfants, risque de ne pas s’arrêter de sitôt, car comme cet article tente de le démontrer, ces vaccins pourront nous faire produire autant d’anticorps qu’il est possible, cela ne changera rien à l’issue de la maladie pour 99,5 % d’entre nous, si ce n’est nous faire prendre le risque d’en mourir par l’impact que ces rappels hasardeux auront sur notre système immunitaire. Souvenez-vous de ce qu’ils vous racontaient au début de la vaccination : la vaccination vous protège et protège les autres. Au bout de combien de doses ?

    Bio Moon (Twitter : @mounotella)

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/pfizer-nest-pas-pasteur-la-3eme-dose-et-apres

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    Réponses
    1. Pourquoi cette 2 ème, 3, 4, 5, etc jusqu'à 150 ?

      Contrairement à l'aluminium (présent dans TOUS les 'vaccins' depuis 1927 !!) qui NE S’ÉVACUE PAS et apporte l’Alzheimer / Parkinson, les expérimentations géniques d'essais venues de 6 laboratoires, leurs flacons contiennent de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène (poison mortel violent) et, ces nano-particules (destinées à se décortiquer par une émission de longueur d'onde adéquate par 5G), s'éliminent au fil des mois.

      Ainsi, dans l'attente de l'implantation accélérée de pylônes-relais pour la 5G destinées à couvrir le monde (!) afin d'éliminer en quelques minutes près de 7 milliards d'habitants, il est donc nécessaire de renouveler les inoculations mortelles (dont déjà quelques millions de personnes ont fait les frais !) afin que TOUS meurent en même temps et non sur plusieurs heures ou jours.

      C'est le Plan 'Dépopulation21'.

      Nota: Certaines personnes ne mourront pas et deviendront des 'humains'-robotisés qui n'auront plus de mémoire personnelle et accompliront les tâches demandées (meurtres, suicides, etc).

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  12. Pourquoi le gouvernement ne craint plus les Gilets jaunes

    Le contexte actuel évite un retour majeur des Gilets jaunes offrant au gouvernement peu de craintes en la matière.


    31 OCTOBRE 2021
    Par Samir Ayoub et Luc Meunier.


    Le prix du carburant a atteint un niveau record à la pompe dépassant ainsi celui de 2018, qui avait déclenché le mouvement des gilets jaunes. Or, malgré les récents appels des leaders historiques pour reprendre le mouvement et une forte activité sur les réseaux sociaux, le bilan des premières mobilisations reste relativement mitigé.

    Parallèlement, le gouvernement vient d’annoncer « une indemnité inflation » de 100 euros par personne gagnant moins de 2000 euros nets par mois.

    Cette indemnité est supposée compenser une hausse du prix des carburants et de certaines denrées alimentaires. Cette mesure à 3,8 milliards d’euros est à caractère non immédiat, puisque le public ciblé n’en bénéficiera au plus tôt que fin décembre.

    C’est une mesure forte en symboles d’un gouvernement en apparence confiant, certainement rassuré par la faible mobilisation des Gilets jaunes. Il y a fort à parier qu’une attitude si bravache n’aurait pas été adoptée si le mouvement avait réellement été de nature à impacter le cours de la campagne présidentielle.

    Alors pourquoi la mobilisation des Gilets jaunes peine-t-elle à reprendre ? En sera-t-il ainsi jusqu’à la fin de l’année ? Deux explications peuvent être avancées, une première d’ordre économique et une seconde d’ordre psychologique.

    UN CONTEXTE ÉCONOMIQUE PLUS RASSURANT

    La première explication est d’ordre économique. Avec une croissance annoncée de 6 % et un taux de chômage au plus bas, le contexte économique national est plutôt favorable. Le pouvoir d’achat des Français se porte d’ailleurs mieux qu’en 2018, malgré une perception inverse. Selon l’Insee, il est supérieur de 1,4 % à son niveau d’avant la crise économique.

    De la suppression de la taxe d’habitation aux mesures de soutien aux entreprises pendant la crise covid, en passant par le bouclier tarifaire sur le prix de l’énergie, le gouvernement a œuvré concrètement en faveur du pouvoir d’achat. De plus, le « quoi qu’il en coûte » a montré aux Français que l’argent est disponible et facile d’accès.

    Ensuite, les Français n’ont jamais autant épargné. Pendant la crise sanitaire ils ont épargnés plus de 150 milliards d’euros. Il s’agit bien entendu d’une épargne forcée due aux confinements successifs et d’une épargne de précaution.

    Il n’en reste pas moins que cette épargne est disponible car majoritairement orientée vers les comptes courants et les livrets d’épargne. Ce bas de laine agit comme un airbag face à la hausse du prix des carburants.

    Enfin, la possibilité du recours au télétravail et l’acculturation progressive des entreprises à cette pratique atténuent l’effet de la hausse du prix des carburants.

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  13. NOUVELLE NORMALITÉ ET MORAL EN HAUSSE

    Le second facteur pouvant expliquer que le mouvement des Gilets jaunes n’ait pas repris est psychologique. La crise du covid n’est pas encore derrière nous. Ce contexte d’incertitude et de peur est malheureusement devenu la norme et le nouveau point de référence pour beaucoup de Français.

    Comme le soutiennent la plupart des modèles économiques comportementaux – dont la théorie des perspectives qui a valu un prix Nobel à son auteur Daniel Kahneman– les comportements des consommateurs dépendent très fortement du point de référence. C’est à celui-ci que vont être comparées les nouvelles situations, les perspectives.

    Qu’on le veuille ou non, cette normalité et donc ce point de référence ont été bouleversés sur les deux dernières années.

    Dans cette « nouvelle normalité » que nous vivons aujourd’hui, une augmentation du prix de l’essence apparaît relativement bénigne à l’aune de la crise du covid, ses 118 000 morts et ses impacts durables sur toute la société.

    Notons à ce titre que selon les derniers chiffres de l’INSEE, le moral des Français est en hausse en septembre. Preuve que les ménages se montrent plus confiants sur leur niveau de vie et la situation économique du pays à venir sur les douze prochains mois. Ce fait suffisamment rare pour être signalé.

    Dans ce contexte d’optimisme, alors que 94 % des Français se disent favorables à la baisse des taxes, le gouvernement opte pour une « indemnité inflation ». Les autorités font donc un pari politique et écartent pour le moment l’idée de réformes de fond en termes de taxation.

    Cette solution, certainement plus facile à mettre en place qu’un « chèque carburant », enjoint les bénéficiaires à patienter jusqu’à la fin de l’année alors que les spécialistes s’accordent à dire que le prix des énergies et des matières premières continuera à progresser.

    Une fois encore, le « quoi qu’il en coûte » est à la manœuvre : seulement un milliard sur les 3,8 que coûtera cette mesure sera financé par l’excédent de taxe récupéré grâce à la TVA sur le prix des carburants. Le reste de la mesure devrait être financé par la croissance.

    Un deuxième pari que fait le gouvernement sur l’avenir et une énième perfusion qui semble parfaitement assumée avant l’année électorale à venir.

    Les Gilets jaunes ont-ils pour autant dit leur dernier mot ? Rien n’est moins sûr. L’hiver arrivant avec son lot de factures de chauffage, concomitantes aux fêtes de fin d’année et à la surconsommation qu’elles entraînent traditionnellement y compris pour les ménages les moins aisés, de nouveaux ralliements au mouvement ne sont pas à écarter.

    https://www.contrepoints.org/2021/10/31/410002-pourquoi-le-gouvernement-ne-craint-plus-les-gilets-jaunes

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    1. Dès le début l’introspection était bonne, remplacé plus tard par Zemour (qui succédait à Tapie) ce sont des 'amuses-gueules', des gens qui parlent pour ne rien dire et font la une de l'actualité. Bref, des payés par la dictature pour tester s'il y a des opposants aux conneries débitées. Et des débitées il y en a des millions chaque jour qui passent à l'écran !
      J'ai noté au passage qu'AUCUN 'gilet-jaune' n'affichait la pancarte 'On veut la Démocratie' car aucun ne savait ce que c'était !! C'est dire le montant du QI (micron) des GJ (et marron) !!

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  14. Le futur confinement du changement climatique


    PAR BILL TUFTS
    30 octobre 2021


    On nous annonce déjà que les saisons risquent d’amener une nouvelle crise sanitaire majeure. Comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a été si impitoyable sur la question du Covid-19, on pourrait envisager que, peut-être, on lui confiera la gestion de la question du climat.

    La brigade d’élites mondialistes, soutenue pas le Forum économique mondial de Davos, les Nations unies et autres organisations du « wokisme » voient une belle occasion de créer la même hystérie et la même panique autour des saisons qu’autour du Covid-19.

    L’une des sources d’inspiration de nombreux militants du climat est une importante baisse des émissions de gaz carbonique qui a eu lieu lorsque le confinement du Covid-19 a été mis en place. Les alarmistes du changement climatique considèrent les émissions de gaz carbonique comme un événement apocalyptique qui est en passe de détruire le monde au cours de la prochaine décennie. Ainsi, ils se sentent justifiés de prendre toutes les mesures possibles pour contrôler ce changement.

    Cependant, la raison de la baisse des émissions à la suite du confinement du Covid-19 provient de l’énorme dévastation causée par l’arrêt de l’économie. Au Canada, la chute du PIB a été de 18 % seulement au cours des deux premiers mois du confinement au début de 2020.

    Le Forum économique mondial a indiqué que le confinement avait entraîné une baisse des émissions mondiales estimée à 8 % en concluant que c’était un bon pas vers la réalisation des objectifs de l’accord de Paris sur le climat : « Nous devons réaliser une telle baisse chaque année au cours des 15 prochaines années pour atteindre l’objectif de 1,5 °C fixé par l’accord de Paris. »

    Une partie de la dévastation économique créée par le confinement se manifestait en une importante réduction du déplacement par automobile et les transports publics. Comme les gens travaillaient à la maison et ne se rendaient pas au lieu habituel de leur travail, ils utilisaient beaucoup moins ces moyens de transport, ce qui a permis de réduire considérablement les émissions. Dans de grandes villes comme, par exemple, Calgary, les taux d’inoccupation des immeubles de bureaux dans les centres-villes étaient à des niveaux jamais vus depuis la Grande Dépression des années 1930.

    Aujourd’hui, les alarmistes du changement climatique se dirigent vers une nouvelle conférence dans le cadre de l’accord de Paris – la COP26 qui se tiendra à Glasgow, en Écosse, à partir du 31 octobre. Elle réunira 30 000 personnes venues du monde entier – elles consommeront une quantité monstrueuse de carbone et émettront d’énormes quantités de gaz carbonique pour s’y rendre. Les élites des gouvernements, de la finance et des sociétés mondialistes seront présentes pour expliquer que les personnes ne participant à leur conférence devront réduire considérablement leur utilisation de combustibles fossiles et leur consommation d’énergie. Ils diront au monde qu’il a besoin de réductions annuelles d’émissions, l’équivalent de ce que nous avons vu pendant le confinement du Covid-19.

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  15. Toutefois, il est intéressant de noter que les mesures prévues par l’accord de Paris ciblent surtout les pays occidentaux, tandis que la Chine – le principal pollueur mondial – pourra continuer d’accroître ses émissions et stimuler son développement en augmentant la production d’énergies fossiles bon marché jusqu’au moins 2030. Il est aussi intéressant de constater que les 30 000 personnes présentes à Glasgow seront exemptées des exigences prévues par le passeport vaccinal.

    Certaines organisations climatiques nous proposent des stratégies et des tactiques qu’elles comparent à celles des temps de guerre. Comme dans une guerre, toutes les actions drastiques nécessaires pour gagner seront envisagées. Un bon nombre de ces recommandations ont déjà été formulées par le Forum économique mondial au cours des dernières années. Elles incluent, par exemple, l’arrêt de la consommation de viande, en affirmant que les flatulences des vaches détruisent le monde. Et les mesures qu’ils ont prises ont déjà fait grimper les prix des produits carnés dans certains pays.

    Pour combattre le Covid-19, des lois accordant aux autorités des pouvoirs spéciaux similaires à ceux octroyés sous menace de guerre ont été mises en place dans de nombreux pays. Les croisés du changement climatique nous disent que nous avons besoin de mesures fortes et similaires à celles du Covid-19 pour mener une nouvelle guerre. Au Canada, l’ancienne Loi sur les mesures de guerre a déjà changé de nom pour devenir la Loi sur les mesures d’urgence et elle pourrait maintenant être renommée en la Loi sur les mesures relatives au changement climatique. Une telle loi permettra aux bureaucrates et aux grandes sociétés de mettre en place des mesures et des contrôles similaires à ceux que nous avons vus par rapport au Covid-19.

    Michelle Stirling, directrice de la Friends of Science Society, a fait des recherches sur certains projets de guerre contre le changement climatique qui comprennent des mesures telles que la limitation des rassemblements et des voyages. Nous avons déjà vu des cas de prêtres envoyés en prison pour avoir tenu des services religieux et la fermeture de nombreux lieux de travail, ce qui obligeait les employés à travailler à domicile. Le télétravail fait partie des projets : les employés restent chez eux et n’ont pas besoin d’utiliser les moyens de transport pour se rendre au bureau. Bien sûr, il y aura des couvre-feux pour les voitures limitant les heures d’utilisation ou le nombre de kilomètres que vous pourrez parcourir chaque mois. Pour ceux qui ne font pas partie de la classe privilégiée, les voyages aériens internationaux seront également limités. À cause de la pandémie du Covid, les voyages aériens internationaux ont chuté de 60 % en 2020. C’est une tendance que les guerriers du changement climatique voudraient bien maintenir.

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  16. Une version du passeport vaccinal pourrait être un nouvel outil dans la lutte contre les saisons. Utilisé dans ce but, il permettrait de suivre constamment la consommation d’énergie des citoyens du monde. Autre nouveauté : les pays développés envisagent de créer des monnaies numériques mondiales qui permettront de suivre les transactions des gens et de les mesurer en fonction de leur empreinte carbone. MasterCard a déjà contribué au développement d’une carte de crédit spéciale, appelée DO Black. Elle permet de gérer vos dépenses en tenant compte de leur impact sur les émissions de carbone. Lorsque votre limite personnelle est atteinte, le crédit se ferme pour toute autre transaction.

    Lorsque la COP26 arrivera à sa fin, il sera intéressant de voir combien d’actions seront prises et recommandées par les élites lors de cette conférence. Bien entendu, en tant que généraux dans la guerre contre les saisons, elles seront exemptées de toute mesure imposée à la population. En tenant compte de ce qui se passe actuellement en Chine avec le crédit social – un système de surveillance totale des citoyens qui leur attribue des notes continuellement mises à jour selon leur « conduite » – les nouvelles règles proposées à la COP26 pourraient ressembler à un système de crédit social lié aux saisons. Un rapport de la Deutsche Bank a déjà suggéré qu’une « éco-dictature » devrait être nécessaire pour mettre en application les mesures à prendre – probablement sous le contrôle strict des élites, des Nations unies et des politiciens « woke ».

    Entre-temps, les élites ont créé l’hystérie de masse et on nous dit que tout cela va se terminer dans une boule de feu apocalyptique de saison…

    Bill Tufts est un commentateur politique canadien. Il est le fondateur de Fair Pensions For All, un groupe de plaidoyer qui se concentre sur les questions de retraite et de rémunération dans le secteur public, et il est l’auteur du livre Pension Ponzi.

    https://fr.theepochtimes.com/futur-confinement-changement-climatique-1871438.html

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    1. (...) L’une des sources d’inspiration de nombreux militants du climat est une importante baisse des émissions de gaz carbonique qui a eu lieu lorsque le confinement du Covid-19 a été mis en place. (...)

      Les gens ne respiraient plus !! HAHAHAHAHA ! (ou est-ce dû à la boucherie du nombre de morts ?)
      Ne serait-ce pas l'arrivée des masques qui empêchant 30 % de l'oxygène d'entrer faisaient de même sorte pour le gaz carbonique de sortir ? Ou qui ne pourrait sortir que s'il s'est transformé en oxygène ? HAHAHAHAHAHA !

      Mais, comme les idiots qui dirigent (et tout les lèches-culs qui parlent comme eux de virus ! Hahaha !) ne savent même pas que c'est le magma qui produit tous les gaz et que c'est l'atmosphère qui les recycle immédiatement (sans quoi il n'y aurait jamais eu de vie sur Terre !), ils inventent donc une abondance (ou pénurie) d'un gaz qui n'a AUCUN pouvoir calorifique (1ère année de science).
      TOUS les gaz de notre atmosphère ne peuvent être volumisés qu'à la louche ! A la louche car c'est selon à quel endroit du globe est prélevé l'échantillon qui s'affiche à l'écran ! Sans aller tester les appareils au-dessus d'un volcan terrestre en pleine éruption il suffit d'aller sur les mers & océans pour se rendre compte du dégazage continuel !

      Est-ce que 40 000 volcans sont importants ?
      mercredi 13 décembre 2017
      http://joannenova.com.au/2017/12/do-40000-volcanoes-matter/#more-56139
      https://huemaurice5.blogspot.com/2017/12/est-ce-que-40-000-volcans-sont.html

      Le prochain sujet portera sur 'Faut-il oui ou non raser les montagnes et les tours de plus de 3 étages pour que la Terre tourne plus vite ?'

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  17. Pari perdu : EDF perd 400 millions d’euros en spéculant sur le marché de l’électricité


    30 oct. 2021, 11:59


    C'est une spéculation qui a mal tourné pour EDF Trading (EDFT), la filiale d’activité de marché du fournisseur d'énergie français. En cause : un pari raté sur une baisse à venir de l’électricité dite «de pointe hivernale France».

    400 millions d’euros évaporés sur le marché : ainsi que l'a révélé Le Figaro le 29 octobre, la filiale d’activité de marché d'EDF aurait essuyé une perte colossale après qu'un de ses traders a spéculé sur une baisse à venir de l’électricité dite «de pointe hivernale France», qui correspond à l'énergie produite et livrée entre 8h et 20h du lundi au vendredi.

    Le pari en question s'est en effet heurté à la hausse continue des prix de l'énergie, contraignant le spéculateur à abandonner sa position «au pire moment». Il aurait ainsi été amené à fléchir quand les prix du mégawattheure côtoyaient les 200 euros, contre 50 euros maximum à la même époque un an plus tôt. «La position du trader d’EDFT aurait été rendue d’autant plus intenable à cause d’achats techniques de grandes entreprises du secteur, dont... EDF France», relève le quotidien.

    EDF «ne commente jamais ses activités de trading» Détenu à plus de 80% par l'Etat, le fournisseur d'énergie français «ne commente jamais ses activités de trading», a fait savoir un porte-parole d’EDF cité par Le Figaro, qui confirme de son côté que l’entreprise publique est en effet «plus connue du grand public pour ses réacteurs nucléaires que pour son activité très secrète de trading».

    «Il y a eu des pertes très importantes sur le trading, mais cela a été plus que compensé par des gains. L’extrême volatilité des marchés a mis les modèles en difficulté», a assuré une source interne à EDF citée par le journal. Celui-ci rapporte que le trader à l'origine de l'opération a été sanctionné et risque le licenciement.

    https://francais.rt.com/economie/92125-pari-perdu-edf-perd-400-millions-euros-speculant-marche-electricite

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  18. L’effondrement annoncé de la Chine


    le 31 octobre 2021


    OPINION. Il y a vingt ans était publié le livre prophétique de Gordon Chang prédisant la fin du communisme chinois. Pékin en a fait un sujet de plaisanterie. Les nuages, pourtant, s’amoncellent. Article de Frédéric Koller paru sur le quotidien Le Temps (Genève) le 23 octobre 2021

    Il y a vingt ans paraissait « The Coming Collapse of China »de Gordon Chang. Cet « effondrement imminent de la Chine » devait se produire dans les cinq à dix ans. Dix ans plus tard, constatant que la Chine était toujours debout, l’auteur repoussait sa prédiction à 2012. La dernière fois qu’il s’est aventuré à pronostiquer une révolution en Chine c’était en 2016. Depuis, il reste persuadé que le temps lui donnera raison. Mais il se garde de fixer une nouvelle date.

    Le pouvoir chinois a d’abord ignoré la prophétie, puis il a ironisé sur la date limite du livre, pour ensuite s’en emparer afin de discréditer les critiques du régime. Parler des échecs du parti vous valait l’étiquette infamante de « Gordon Chang ». De sujet de raillerie, le titre du livre a finalement été renvoyé à l’expéditeur, ou plutôt à son pays d’adoption. Pékin s’est mis à évoquer « The coming collapse of american democracy ».

    Le point de bascule

    Lorsqu’il paraît au tournant du siècle, le livre marque les esprits. Gordon Chang n’était pas le seul à prédire la chute du Parti communiste. Ses origines sino-américaines et sa longue expérience en Chine pour des cabinets de consultant juridique américains l’assurent d’un statut particulier. Il connaît son sujet et maîtrise les deux cultures. A l’époque, on parle déjà des « mauvaises dettes » des grandes banques chinoises. Le système financier était soi-disant au bord du gouffre. L’analyse de Gordon Chang se focalise toutefois sur un régime politique inapte à s’adapter aux lois du marché et à lutter contre la corruption: le pouvoir communiste est condamné à échouer dans sa tentative de modernisation.

    Cette lecture est alors dominante hors de Chine. Peu après la sortie du livre, pourtant, Pékin accède à l’OMC. Et il va se produire une transformation que peu d’observateurs osaient envisager. L’ouverture au commerce international dynamise l’économie sans faire trembler le régime. Le développement du pays repose sur deux piliers : les investissements étrangers accompagnés de transferts technologiques et l’immobilier, moteur de la consommation intérieure. Les exportations sont la principale source de croissance. La construction emploie des dizaines de millions d’ouvriers et fournit des logements décents.

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  19. Depuis un quart de siècle, la bulle immobilière chinoise menace d’éclater. Depuis un quart de siècle, la croissance soutenue de la Chine a permis d’absorber les défaillances de ce marché (surendettement, mauvaise allocation des ressources, corruption, destruction de l’environnement). La grande question est celle du point de bascule. A partir de quel seuil le tassement de la croissance risque-t-il de mettre tout l’édifice en péril ? Et c’est là qu’interviennent la crise du covid (la mise à l’arrêt du commerce) et la chute d’Evergrande, l’un des plus grands groupes immobiliers du pays.

    Le premier qui chutera

    Le système financier chinois est en mesure d’encaisser l’onde de choc d’une faillite d’Evergrande. Mais Pékin ne peut pas se permettre le risque d’une panique sociale provoquée par la perte de leurs économies de millions de propriétaires. Evergrande sera démantelé, comme les actifs pourris des grandes banques à la fin des années 1990. On n’assiste donc – pas encore ? – à une crise comparable à celle des subprimes. Mais l’endettement du pays, notamment de ses collectivités locales, menace sa stabilité.

    C’est cette fragilité du marché immobilier chinois, couplée au vent de démondialisation en cours – et donc d’un recul des exportations – qui redonne de la voix, outre-Atlantique, aux fidèles de Gordon Chang. En Chine, à l’inverse, on voit une accumulation de signes de la faillite de la démocratie américaine. La dictature de Pékin et la démocratie de Washington pourraient coexister encore longtemps. Rien n’est écrit. Le premier de ces deux régimes qui s’effondrera, pourtant, entraînera dans ses décombres une transformation systémique du monde.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/10/31/leffondrement-annonce-de-la-chine/

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  20. L'Australie confisque des comptes bancaires, des biens, des licences et des entreprises pour non-respect des amendes COVID


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 31 OCT 2021 - 20:10
    Rédigé par Sundance via The Last Refuge


    De toutes les mesures extrêmes mises en œuvre par divers États australiens, les collectes et les confiscations par le State Penalty and Enforcement Register (SPER) pourraient bien être la cerise sur le gâteau.

    Pendant le long confinement COVID dans l'État du Queensland, en Australie (région de Brisbane), la plupart des travailleurs n'étaient pas autorisés à travailler ou à gagner leur vie.

    Plusieurs États sont intervenus pour fournir des subventions salariales afin que les gens puissent acheter des produits essentiels et payer leurs frais de subsistance. Cependant, pendant le verrouillage, si vous avez été surpris en train de violer l'une des règles de verrouillage, vous avez fait l'objet d'une citation au civil, d'une amende ou d'une contravention pour votre violation du COVID.

    Faites-vous attraper trop loin de chez vous, en dehors de votre bulle autorisée, et vous obtenez un ticket. Faites-vous prendre à passer plus que l'heure autorisée à l'extérieur, obtenez un billet. Faites-vous prendre sans masque, même par vous-même - et oui, billet. Entrez dans une zone de quarantaine fermée (parc, salle, etc.) et vous obtenez un ticket. Des billets étaient distribués par la police dans la rue ainsi que lors de contrôles aléatoires sur les routes.

    De plus, les personnes retournant au Queensland ont été placées dans un système de quarantaine involontaire. Les coûts de cette quarantaine, principalement des chambres d'hôtel, devaient être payés par les personnes involontairement captives et non autorisées à rentrer chez elles.

    Les citoyens devaient faire scanner leur emplacement physique via un code QR sur leur téléphone. Ces points de contrôle devaient aider à contrôler la propagation du COVID et ont été utilisés pour la recherche des contacts au cours des deux dernières années. Cependant, les points de contrôle et les analyses de conformité de passerelle ont également enregistré votre emplacement physique ; la conséquence a été une capacité accrue pour la police et les agents de conformité COVID à attraper les personnes enfreignant les règles COVID. Ex : Si vous vous êtes enregistré à l'épicerie, ils savaient à quelle distance vous êtes de chez vous, et la police pourrait déterminer si vous avez enfreint votre heure de sortie de chez vous au prochain point de contrôle.

    Le résultat de tout ce contrôle de conformité a été des milliers d'amendes, des citations civiles pour violation des règles COVID. Des milliers de personnes se sont vu infliger des milliers d'amendes qui devraient être payées.

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  21. Maintenant, l'État exige que toutes ces citations civiles soient payées, sinon. Et les mesures d'exécution pour collecter ces amendes du registre des peines et de l'exécution de l'État sont assez extrêmes. Les citoyens qui ont des billets en circulation voient leur permis de conduire suspendu ; les comptes bancaires sont gelés et saisis ; les maisons et les biens sont confisqués, ainsi que les licences commerciales suspendues pour les citations en suspens.

    « Les habitants du Queensland qui ont reçu des amendes pour avoir enfreint les règles de Covid-19 risquent de voir leurs maisons saisies et leurs comptes bancaires gelés lors d'une répression gouvernementale pour collecter 5,2 millions de dollars de remboursements. » (RELIER)

    Brisbane Times – « SPER procédait à une « application active » de 18,4% des amendes, d'une valeur d'environ 1 million de dollars, ce qui, selon un porte-parole, « pourrait inclure la saisie de comptes bancaires ou de salaires, l'enregistrement de charges sur la propriété ou la suspension de permis de conduire ». Les 25,2 pour cent restants des amendes faisaient soit l'objet d'une enquête, soit étaient encore susceptibles d'être payés sans qu'aucune autre mesure n'ait été prise.

    En dehors du travail de SPER, Queensland Health a pris la décision inhabituelle de faire appel à des agents de recouvrement privés pour récupérer 5,7 millions de dollars, soit un montant de 2045 factures en souffrance pour la mise en quarantaine des hôtels. (Lire la suite:

    https://www.brisbanetimes.com.au/national/queensland/banks-raided-property-seized-licences-cancelled-in-covid-cost-recovery-20211027-p593kz.html

    https://www.zerohedge.com/covid-19/australia-confiscating-bank-accounts-property-licenses-and-businesses-non-compliance-covid

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  22. Une étude britannique révèle que Covid se propage tout aussi facilement à partir de personnes infectées qui sont vaccinées


    October 31st, 2021


    Covid, Coronavirus, Bioweapons. Une nouvelle étude montre que les personnes vaccinées sont environ 40% moins susceptibles d'attraper Covid, mais si ou quand elles l'attrapent, elles présentent le même risque pour leurs proches, quel que soit leur statut vaccinal.

    L'étude a également confirmé que l'immunité vaccinée diminuait dans les trois mois suivant la vaccination. Vraisemblablement, si une personne vaccinée a 40 % moins de chances d'attraper Covid en premier lieu, alors être vacciné réduira les chances de ramener le virus du SRAS à la maison un jour donné. Mais étant donné que la protection diminue si rapidement et que Covid a un taux de propagation exponentiel si élevé, une réduction temporaire de 40 % du risque d'attraper le virus ne change pas la donne.

    S'appuyer sur la vaccination comme seul outil magique pour supprimer Covid est un fantasme qui convient à Big Pharma mais pas à The People. Et le Big Bad Risk de variantes plus méchantes provenant de ces vaccinés super fuyants n'est même pas mentionné. Lisez l'article sur l'évolution sombre induite par le vaccin de la maladie de Marek chez les poulets. La course aux armements générée par 50 ans de leaky-vaxxes a transformé un tueur à 1 % en un tueur à 100 %. Nous ne devrions pas vacciner en masse avec un vaccin qui fuit à moins d'utiliser également un antiviral.

    L'étude de l'Imperial College montre que les règles draconiennes isolant les non vaccinés des vaccinés ne sont pas médicalement justifiées. En d'autres termes, une personne non vaccinée infectée par le Covid n'est pas plus susceptible de propager le virus qu'une personne vaccinée.

    L'étude de l'Imperial College a suivi 621 personnes et a été exceptionnellement détaillée dans la mesure des courbes de charge des titres viraux à mesure qu'ils montent et descendent. Ils ont découvert que lorsqu'ils étaient infectés, les virus vaxxés et non vaxxés atteignaient des niveaux de pointe de virus similaires, ce qui confirme l'idée qu'ils sont tous les deux tout aussi infectieux.

    Le besoin urgent d'un traitement précoce
    En mesurant quotidiennement les charges virales, l'équipe de l'Imperial College a confirmé que la montée initiale du virus est extraordinairement rapide pendant les trois premiers jours jusqu'à son pic. Ils ont également découvert que le taux de réplication précoce du virus détermine la trajectoire de l'ensemble de l'infection. Il est donc impératif d'agir dès les premiers jours. Les personnes qui ont connu la hausse la plus rapide et les sommets les plus élevés ont également connu les baisses les plus longues. Il semble que tout ce qui a ralenti l'infection chez certaines personnes au début a également contribué à éliminer le virus plus rapidement. Les auteurs ne s'étendent pas là-dessus, mais de nombreuses autres études montrent qu'un traitement précoce, et en particulier un traitement prophylactique, est le plus utile.

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  23. C'est de la folie de renvoyer les gens chez eux sans kit de traitement précoce, et de la folie de ne pas donner ce kit à tous les contacts familiaux à utiliser avant qu'ils ne soient infectés. C'était la tactique extrêmement efficace utilisée dans l'Uttar Pradesh qui a largement éliminé le virus.

    Les personnes vaccinées transmettent facilement la variante delta du COVID-19 dans les ménages : étude britannique
    L'époque des temps

    Une étude d'un an de l'Imperial College de Londres publiée dans The Lancet jeudi a révélé que la variante Delta est toujours hautement transmissible au sein d'une population vaccinée.

    Leur étude, qui a interrogé 621 participants, a révélé que sur 205 contacts familiaux de personnes infectées par Delta, environ 38% des contacts familiaux non vaccinés étaient positifs, contre 25% parmi les contacts familiaux vaccinés.

    « En effectuant des échantillonnages répétés et fréquents à partir de contacts de cas de COVID-19, nous avons constaté que les personnes vaccinées peuvent contracter et transmettre l'infection au sein des ménages, y compris aux membres vaccinés du ménage », Dr Anika Singanayagam, co-auteur principal de l'étude, dit dans un communiqué.

    L'immunité contre la vaccination complète a également chuté en aussi peu que trois mois, ont également révélé leurs recherches.

    Mais la ligne critique du document parle du «taux d'attaque secondaire» (appelé de manière confuse SAR), ce qui signifie le taux d'infections causé par le cas principal.

    Nous avons identifié un SAR similaire (25 %) chez les contacts familiaux exposés à des cas index complètement vaccinés que chez ceux exposés à des cas index non vaccinés (23 %). Cette découverte indique que les infections à percée chez les personnes complètement vaccinées peuvent efficacement transmettre l'infection dans le cadre familial.

    Qu'en est-il de la protection naturelle - Le grand facteur invisible ?

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  24. L'une des principales limites de cette étude est qu'elle ne mentionne même pas du tout les infections antérieures ou l'immunité naturelle. C'est comme un aveuglement. Certains des non vaccinés et vaccinés au Royaume-Uni ont déjà eu Covid et ont une protection naturelle qui semble être meilleure et plus durable. Les statistiques sont donc des valeurs regroupées. Les infections antérieures sont-elles plus probables dans les groupes non vaccinés ou vaccinés ? Si le nombre d'infections antérieures est plus élevé dans le groupe non vacciné, l'étude sous-estimera les avantages de la vaccination pour les personnes sans immunité. Mais si des infections antérieures sont plus probables chez les vaccinés, le vaccin semblera plus protecteur qu'il ne l'est. Ils auraient pu faire des tests d'anticorps sur les deux groupes et le découvrir. Même si les personnes vaccinées ont des anticorps contre la protéine de pointe, les personnes ayant une protection naturelle ont également des anticorps contre la nucléocapside.

    Si une personne était infectée par Covid, elle infecterait environ un quart de son foyer. Cela semble plutôt faible par rapport aux études sur la variante originale de Wuhan au début de l'année dernière. La propagation réduite s'explique probablement à la fois par la vaccination et par la protection naturelle. Mais les gens peuvent également changer de comportement et réduire leur contact avec les cas nouvellement diagnostiqués. Peut-être que certains se traitent « hors indication » pour arrêter également la propagation.

    Ces courbes de charge virale

    Les détails sur la croissance rapide du virus dans les premiers jours renforcent la nécessité de faire un traitement précoce ou encore mieux - des soins prophylactiques. La plupart des gens ne présentent de symptômes qu'après le pic de charge virale - ils ne sauront même pas que le virus se multiplie à moins qu'un contact étroit n'ait été testé positif. Et si ce traitement précoce peut réduire le taux de croissance du virus, il réduira probablement également la durée de la maladie et de l'infection.

    Ce sont des graphiques à l'échelle logarithmique, donc même une petite baisse du taux d'augmentation initial pourrait rendre l'infection beaucoup moins grave et beaucoup moins infectieuse.

    - voir graphique sur site -

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  25. Charges virales Variante précoce de Wuhan. Graphique.

    Les charges virales avec la variante delta ont diminué légèrement plus rapidement, tout comme les charges virales chez les vaccinés par rapport aux non vaccinés.

    - voir graphique sur site -

    Viral loads of Delta infections.

    Du papier lui-même :

    La vaccination s'est avérée efficace pour réduire de 40 à 50 % la transmission domestique de la variante alpha (B.1.1.7)…

    Nos résultats aident à expliquer comment et pourquoi la variante delta est transmise si efficacement dans les populations ayant une couverture vaccinale élevée.

    Voici une façon compliquée de dire que les personnes vaccinées qui ont été testées positives étaient plus susceptibles d'être celles qui ont été vaccinées il y a plus de 2 ou 3 mois.

    L'intervalle de temps entre la vaccination et le recrutement de l'étude était significativement plus élevé chez les contacts positifs à la PCR complètement vaccinés que chez les contacts négatifs à la PCR complètement vaccinés, ce qui suggère que la sensibilité à l'infection augmente avec le temps dès 2 à 3 mois après la vaccination, ce qui correspond à une diminution de l'immunité protectrice.

    Dans ce cas, environ 1 contact sur 4 a été infecté, ce qui était beaucoup plus élevé que le risque de 10 % que des études britanniques antérieures avaient trouvé (probablement parce que les tests étaient inadéquats).

    Le SAR [taux d'attaque secondaire] des ménages pour l'infection delta, quel que soit le statut vaccinal, était de 26 % (IC à 95 % 20-32), ce qui est supérieur aux estimations des données de surveillance nationale du Royaume-Uni (10,8 % [10,7-10· 9]). Cependant, nous avons échantillonné les contacts quotidiennement, quelle que soit la symptomatologie, pour identifier activement l'infection avec une sensibilité élevée. En revanche, les tests de surveillance à point unique basés sur les symptômes sous-estiment probablement le DAS et surestime également potentiellement l'efficacité du vaccin contre l'infection.

    Il y avait donc probablement plus d'infections silencieuses au Royaume-Uni que les études précédentes n'avaient pas trouvées, ce qui rendait les vaccins plus utiles qu'ils ne le sont réellement pour arrêter la propagation des infections.

    Les personnes âgées avaient des pics de charge plus élevés (ce qui est probablement en partie la raison pour laquelle elles deviennent plus malades à cause de Covid) :

    Nous n'avons trouvé aucune preuve de variation de la charge virale maximale selon la variante ou le statut vaccinal, mais nous rapportons des preuves d'augmentations modestes mais significatives (pp = 0,95) de la charge virale maximale avec l'âge.

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  26. Il est surprenant qu'ils n'aient pas trouvé de charge de pointe plus élevée dans les cas Delta (comme l'ont fait des études antérieures), mais alors, les personnes avec des infections naturelles passées et une protection naturelle sont plus courantes maintenant. Peut-être que cela fait baisser la charge virale ?

    Autre grande inconnue : combien de personnes vaccinées se présentent même pour des tests ?

    Nous n'avons trouvé aucune preuve de SAR plus faibles pour les cas index delta complètement vaccinés que pour les cas non vaccinés. Cependant, étant donné que les cas index ont été identifiés grâce à la surveillance symptomatique de routine, il pourrait y avoir eu un biais de sélection vers l'identification des cas index de percée vaccinale atypiquement symptomatiques.

    coup de chapeau à Scott du Pacifique

    LES RÉFÉRENCES

    Anika Singanayagam et al (2021) Transmission communautaire et cinétique de la charge virale du variant SARS-CoV-2 delta (B.1.617.2) chez les individus vaccinés et non vaccinés au Royaume-Uni : une étude de cohorte prospective, longitudinale Lancet

    SAR [Taux d'attaque secondaire]

    https://joannenova.com.au/2021/10/uk-study-finds-covid-spreads-just-as-easily-from-the-vaccinated/#more-80200

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    1. Au départ (il y a 19 mois) le 'covide19' n'était pas dans l'air mais seulement dans les seringues. Aujourd'hui il y a donc des infectés qui le transmettent dans l'air.

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