- ENTREE de SECOURS -



vendredi 30 juin 2023

Implants cérébraux : la nature humaine remise en question – The Conversation

JUIN 27, 2023

 PAR LHK


Audition d’Éric Fourneret lors de la consultation sur l’intelligence artificielle et le transhumanisme organisée par la MGEN et la Commission nationale Française pour l’UNESCO.

Decembre 2020  Updated: May 7, 2022

Authors

Éric FourneretPhilosophe, Braintech Lab (Inserm, U205), équipe « Neurotechnologies et Dynamique des Réseaux », Université Grenoble Alpes (UGA)

Blaise YvertDirecteur de recherche à l’Inserm, responsable de l’équipe Neurotechnologies et Dynamique des Réseaux, Inserm

Clément HébertChargé de recherche implants Neuronaux, neuroprothèses, Inserm U1216 Grenoble Institut des Neurosciences, Université Grenoble Alpes (UGA)

Disclosure statement

Éric Fourneret a reçu des financements de « Braincom ».

En lien avec cette réflexion, Blaise Yvert a reçu des financements de l’Agence Nationale pour la Recherche (Projets Neuromeddle et Brainspeak) et de l’Union Européenne (Projets Horizon 2020 Braincom et Flagship Graphene)

Clément Hébert does not work for, consult, own shares in or receive funding from any company or organisation that would benefit from this article, and has disclosed no relevant affiliations beyond their academic appointment.

Les implants cérébraux peuvent être définis comme des dispositifs artificiels d’interface avec le cerveau. Ils permettent notamment de proposer des solutions de suppléance artificielle dans le cas de fonctions perdues, comme la parole.

Ces avancées technologiques se révèlent particulièrement intéressantes, par exemple, pour offrir des nouveaux modes de communication à des individus atteints de paralysie sévère.

Mais si l’aide que promet cette technologie semble précieuse, elle suscite néanmoins un questionnement éthique qu’il est essentiel de saisir, alors même que la technologie se développe.

Deux approches de grande envergure

Comprendre le fonctionnement du cerveau et améliorer nos capacités d’intervention pour remédier à certains de ses dysfonctionnements font partie des défis majeurs relevés par les neurosciences de ces dix dernières années. Et deux approches différentes et de grande envergure se sont concrétisées.

Dans la première, avant tout théorique, il s’agit de modéliser de manière réaliste le fonctionnement du cerveau grâce à des réseaux de neurones artificiels (informatiques ou électroniques) : c’est l’objectif du projet européen Human Brain Project. Dans la seconde, pragmatique, on cherche à développer des implants cérébraux pour enregistrer et stimuler le plus grand nombre de neurones possibles : c’est le but du vaste projet américain Brain Initiative, ou encore du projet européen Braincom.

D’ici très peu de temps, arrivera donc logiquement le moment où l’on disposera d’une part de vastes réseaux artificiels neuromimétiques, et d’autre part d’interfaces à très haute résolution permettant un couplage bidirectionnel (enregistrement et stimulation) avec des millions de neurones du cerveau. Or la fusion de ces deux mondes technologiques, prévisible, conduirait à l’émergence de vastes réseaux hybrides couplant l’activité du cerveau avec celle de réseaux artificiels. Et ce n’est pas de la pure science-fiction : des preuves de concept ont déjà été fournies par des réseaux hybrides simples, à l’instar de la technique de « dynamic clamp ».

Vers des réseaux neuronaux « hybrides »

Née à la fin des années 1990, la technique de dynamic clamp permet de coupler un neurone artificiel à un neurone réel par le biais d’une électrode intracellulaire : l’activité de l’un modifie celle de l’autre de manière bidirectionnelle. Et à l’avenir, l’avènement d’implants intégrant un grand nombre de microélectrodes extracellulaires – et assurant chacune une liaison bidirectionnelle stable avec un neurone individuel – devrait permettre la construction de réseaux hybrides à grande échelle, y compris in vivo au niveau de vastes régions cérébrales.

Certes, ce n’est pas encore d’actualité. Mais force est de constater que la route n’est sans doute plus si longue. En effet, des réseaux neuromorphiques sont déjà capables d’apprendre automatiquement à reproduire l’activité d’ensembles de neurones réels enregistrés par un implant cérébral. Cela signifie que l’on dispose déjà de la technologie permettant à plusieurs neurones réels de contrôler des réseaux artificiels complexes. Et inversement, on sait aussi s’appuyer sur des réseaux artificiels pour stimuler, de manière plus ou moins précise, des neurones réels.

Le développement d’implants cérébraux permet ainsi d’entrevoir l’avènement d’un couplage hybride entre le cerveau et de vastes réseaux artificiels. L’optimisation de ces technologies autorisera la simulation des neurones artificiels grâce à des circuits neuromorphiques à très basse consommation énergétique, et rendra possible, à terme, l’implantation de ces technologies d’hybridation.Audition d’Éric Fourneret lors de la consultation sur l’intelligence artificielle et le transhumanisme organisée par la MGEN et la Commission nationale Française pour l’UNESCO.

Dans ce contexte, et même si l’implantation de dispositifs artificiels dans le corps n’est pas quelque chose de nouveau, les frontières traditionnelles entre ce qui est naturel et artificiel, entre l’homme et la machine, entre le vivant et l’inanimé, deviennent plus ambiguës. Une des principales questions soulevées, si ce n’est la principale à partir de laquelle toutes les autres se posent, est alors la suivante : quelle « forme de vie » la technologie des implants cérébraux peut-elle produire ?

La nature humaine en question

Il n’est toutefois pas question de se laisser embarquer dans une ambition éthique réductrice ne s’attardant que sur les scénarios du pire (collapsologie), ou à l’inverse ne considérant que les scénarios du mieux (discours technoprophétique). On le sait, chaque nouvelle technologie est porteuse de bienfaits pour les êtres humains, tout en nécessitant souvent une transformation sociale (par exemple, pour ajuster le cadre normatif de l’action sociale). Mais elle suscite parfois de vives interrogations quant aux effets indésirables liés à son utilisation, qu’il faudrait gérer moralement, socialement et juridiquement.

De la même manière, le développement d’implants cérébraux nous place sur cette ligne de crête, entre bienfaits et dérives potentielles. En effet, il ne s’agit pas d’intervenir sur un organe quelconque. C’est du cerveau qu’émerge notre sentiment de présence au monde, c’est-à-dire notre conscience. Et d’elle dépend notre capacité à saisir le monde et soi-même au moyen d’un même acte : de penser la frontière entre l’être humain et le monde et, simultanément, de penser l’articulation entre les deux. Or l’hybridation du cerveau avec des dispositifs électroniques possède d’autre part un potentiel d’impact sans précédent dans notre façon de nous représenter l’Homme. Et pour cause…

Il n’existe pas, de façon naturelle, d’êtres humains dont le fonctionnement neurophysiologique du cerveau s’organise sous l’influence de composants électroniques implantés, voire à terme, de réseaux de neurones artificiels. Aussi, cette séparation conceptuelle entre l’inné à l’Homme et les artifices acquis pourrait-elle rendre difficile la catégorisation sociale de l’individu équipé d’un implant cérébral. Ni totalement humain, ni totalement machine, il est un mélange de deux réalités différentes dont le caractère hybride pourrait produire une nouvelle unité humaine dans le corps biologique.

L’implant cérébral, une prothèse parmi d’autres ?

On pourrait objecter qu’il existe d’ores et déjà des prothèses de hanche et des pacemakers. L’implant cérébral est-il si différent de ces dispositifs artificiels qui, socialement, ne posent pas de difficulté particulière ?

On pourrait répondre par la négative. Si l’implant cérébral est socialement perçu comme le prolongement électronique du cerveau d’un individu, de la même manière qu’une jambe prothétique prolonge le corps, alors il n’est pas différent d’une prothèse traditionnelle – la conscientisation de la frontière entre l’Homme et le monde étant maintenue dans son fonctionnement originel. Dans ce cas, l’implant constitue une sorte de projection organique, dans l’acceptation qu’en a faite Canguilhem : ce dispositif artificiel possède un sens biologique, sa fonction consistant à compenser la défaillance d’un organe naturel.

Cela pourrait néanmoins poser problème. Si cette forme d’hybridation se révélait être une instance de régulation et d’organisation du rapport au monde étrangère à celle, originelle, laissant penser à une forme d’hétéronomie (telle l’expérience du cerveau dans une cuve imaginée par le philosophe Hilary Putnam en 1981), elle pourrait être considérée par la société comme une nouvelle corporéité humaine, où la conscience de quelque chose est médiée par le dispositif artificiel. En effet, si le substrat de la pensée s’anime en synergie avec des réseaux de neurones artificiels, la conscientisation de la frontière entre l’Homme et le monde s’artificialise. Or dans ce cas, l’hybridation est susceptible d’être vécue, à tort ou à raison, comme dénaturante. Et cela pourrait conduire à transformer les systèmes de normes et de règles qui encadrent les conduites au sein d’une collectivité composée d’êtres humains hybrides, et d’autres qui ne le sont pas.

Certes, notre contact avec le monde est de plus en plus médié par des artifices, sans aucune référence faite aux implants cérébraux – comme en témoignent les téléphones portables, ordinateurs et autres écrans à travers lesquels on entre en contact avec le réel. Mais comme nous l’avons déjà souligné, avec ces implants, la recherche s’oriente vers une technologie d’hybridation directe entre le cerveau et des réseaux de neurones artificiels. Et dans ces conditions, il importe de se pencher sérieusement sur la façon dont cette technologie peut affecter notre représentation de la « nature humaine ».

Penser l’humanité de la technique et la technicité de l’humanité

L’une des plus importantes caractéristiques de l’Homme est d’avoir inventé et créé des techniques et des technologies pour satisfaire ses besoins et compenser ses vulnérabilités, selon ses facultés et son intelligence, selon sa volonté et ses désirs. Il suffit qu’une chose soit, d’une certaine manière, pour être déterminée dans son développement et dans sa destination. Aussi, que l’être humain soit une espèce technicienne – particularité qu’il partage à des degrés différents, on le sait aujourd’hui, avec d’autres animaux – détermine-t-il sa destination sous la forme d’un effacement de la frontière entre nature et artifice.

Considérant que le monde lui offre des possibilités pour répondre à ses besoins et innover pour s’opposer aux misères de la vie, l’humanité est un entrelacement, de plus en plus serré, de la nature et de la technique. Bien qu’étant autre que la technique, elle habite le monde par et dans la technique. Et son évolution révèle une frontière entre le naturel et l’artifice beaucoup moins catégorique qu’on ne le croit : au cours du temps, elle est devenue de plus en plus poreuse. On ne peut donc pas définir la nature humaine en faisant abstraction des technologies par lesquelles l’humanité habite le monde. Voilà pourquoi, penser les implications éthiques du développement des implants cérébraux consiste à penser ces liens étroits entre l’Homme et la technique.

Cette réflexion, bien entendu, ne s’inscrit pas dans une démarche dogmatique qui prendrait la forme d’une collapsologie ou, à l’inverse, d’une prophétie technologique. Il est en effet du rôle de la philosophie et de l’éthique d’interroger par la seule raison les implications des nouvelles neuro-technologies, en s’en tenant aux faits et non à des scénarios de science-fiction sans fondements dans le réel. Ces faits sont fournis par les neuroscientifiques et par leurs résultats. Voilà pourquoi la séparation, encore trop marquée, entre la réflexion philosophique et les recherches technoscientifiques en cours, est embarrassante et inadéquate dans l’examen des implications éthiques des implants cérébraux.

Pour les étudier, il faudrait bien au contraire une interaction forte et étroite entre, d’une part, les acteurs des sciences humaines et sociales, et d’autre part, les neuro et techno-scientifiques, ingénieurs, informaticiens, biologistes et médecins. C’est ensemble qu’ils devraient poursuivre ce vieux débat à la croisée de tous les savoirs : « Qu’est-ce qu’être humain ? ». Ensemble qu’ils devraient examiner ce qui engage notre condition en tant qu’être humain, et réfléchir aux critères d’évaluation du processus technologique que représentent les implants cérébraux. On peut alors dire que c’est vers l’altérité Homme-Technologie, et non vers une dualité indépassable, qu’il faut se tourner pour mieux connaître et comprendre quels sont les enjeux du développement des implants cérébraux concernant nos représentations de la nature humaine.

Cet article s’inscrit dans la continuité de la consultation publique sur l’intelligence artificielle et le transhumanisme organisée en 2020 par la MGEN et la Commission nationale Française pour l’Unesco. Une partie des auditions menées dans le cadre de cette consultation sont visionnables en ligne.

https://theconversation.com/implants-cerebraux-la-nature-humaine-remise-en-question-136584

https://lilianeheldkhawam.com/2023/06/27/implants-cerebraux-la-nature-humaine-remise-en-question-the-conversation/

jeudi 29 juin 2023

DR. Astrid Stuckelberger - Première et deuxième partie

 


De la mer à la mer brillante : comment fonctionne le transport maritime ?

 PAR TYLER DURDEN

JEUDI 29 JUIN 2023 - 04:40


La surface de la Terre est recouverte à 71% d'eau, reliant tous les coins du monde, il n'est donc pas surprenant que 80% du commerce mondial soit transporté par bateau. Mais comment tout cela fonctionne-t-il ?

Il s'agit de la première partie de The Shipping Industry: Plotting a Course for the Future de Visual Capitalist, une série en deux parties pour leur sponsor Seaspan Corporation sur l'état actuel et l'avenir du commerce maritime mondial.

Une vue d'ensemble de l'expédition

L'industrie du transport maritime offre des options de transport à faible coût pour une grande variété de biens et de produits, des matières premières aux produits de consommation finis. En bref, le processus ressemble à ceci :

Commande reçue à l'usine à l'étranger

Commande placée dans un conteneur de 20 pieds et transportée au port

Cargaison chargée sur un navire

La cargaison traverse l'océan

La cargaison arrive à destination

La cargaison est déchargée

La cargaison passe la douane et se dirige vers le client

En 2022, près de 11 milliards de tonnes de marchandises ont effectué un parcours similaire, selon les données recueillies par les Nations Unies dans leur Bilan annuel du transport maritime.

Maintenant que nous avons une idée du fonctionnement du processus, examinons de plus près certains des éléments qui maintiennent le commerce mondial fluide, à commencer par la flotte maritime mondiale.

Du pétrolier au titan

La première chose à savoir sur la flotte, c'est qu'elle est grande. En 2022, il comptait 102 899 navires de plus de 100 tonnes brutes, y compris des pétroliers, des transports en vrac et des porte-conteneurs. Et cela augmente, et pas seulement en nombre.

Les porte-conteneurs, en particulier, n'ont cessé de croître en taille depuis qu'un pétrolier T2 converti de la Seconde Guerre mondiale est entré dans l'histoire en 1956 en attachant 58 conteneurs à son pont, alors que les armateurs recherchaient de plus grandes économies d'échelle. Les porte-conteneurs d'aujourd'hui peuvent transporter jusqu'à 20 000 équivalents vingt pieds (EVP).

Trop de navires, pas assez de marchandises ?

La démolition des navires, en revanche, le processus de démontage des navires pour les pièces et les matières premières, est au point mort.

Sur 2021 et les trois premiers trimestres de 2022, le nombre de pannes de porte-conteneurs a chuté. Avec plus de nouvelles constructions en route et l'Organisation mondiale du commerce révisant à la baisse les projections de croissance du commerce mondial, il pourrait ne pas y avoir assez de conteneurs pour tout le monde.

Les volumes de ports sont en hausse, mais les performances aussi

Et cela pourrait être une bonne nouvelle pour les prix d'expédition, qui ont atteint des niveaux record lors des perturbations de la chaîne d'approvisionnement causées par la pandémie de COVID-19.

Début 2022, l'indice de fret conteneurisé de Shanghai, qui suit les frais de fret maritime sur un ensemble de routes, a atteint un record de 5109,6, soit près de cinq fois la moyenne d'avant la pandémie.

Les prix sont depuis revenus sur Terre, alors que les ports s'efforçaient de résorber leurs arriérés. Les ports ont traité 857 millions d'EVP en 2021, en hausse de 7 % d'une année sur l'autre. Le dernier indice de performance des ports à conteneurs, qui suit le nombre total d'heures par escale de navire, a montré que 172 ports ont amélioré leurs scores en 2022.

Ce n'était pas tout le soleil et les roses, cependant, en particulier pour les ports nord-américains. Les trois derniers ports de l'indice étaient Long Beach, (Californie) ; Vancouver, (Colombie Britannique).; et Savannah, (Géorgie).

Tout ce que je demande, c'est un grand voilier et une étoile pour la diriger

Beaucoup de choses ont changé depuis 1902, lorsque John Masefield a écrit cette ligne souvent citée pour décrire l'appel de la mer. Par exemple, le centre du commerce mondial s'est déplacé vers l'est vers l'Asie, où se trouvent 9 des 10 ports à conteneurs les plus actifs.

Seaspan, un leader mondial de la gestion et de la propriété indépendantes, se prépare pour la prochaine ère du transport maritime en ajoutant 58 nouveaux navires à la pointe de la technologie au cours de cette année et de la prochaine.

Restez à l'écoute pour le prochain épisode de cette série, The Shipping Industry: Plotting a Course for the Future, où nous examinons comment les compagnies maritimes comme Seaspan se préparent à un avenir à faible émission de carbone.

https://www.zerohedge.com/geopolitical/sea-shining-sea-how-does-shipping-work

mardi 27 juin 2023

Non, le gaz carbonique n'est PAS un polluant et il ne contrôle PAS les températures de la planète

26/06/2023

 Ethan Huff 

 


The Light, un magazine de "vérité non censurée" basé au Royaume-Uni, a publié ce mois-ci un puissant exposé sur la prétendue crise climatique, qui, selon ses rédacteurs, n'existe pas.

Intitulée « Pas de crise climatique : le gaz carbonique n'a aucun effet sur les températures », la pièce brise le mythe selon lequel le gaz carbonique, une substance naturelle dont toutes les plantes ont besoin pour produire de l'oxygène afin que nous puissions respirer, n'a absolument rien à voir avec l'environnement planétaire des températures.

À l'aide de deux graphiques et de moins de 300 mots, l'histoire de la première page démolit le canular climatique, l'exposant comme un outil sinistre pour priver les humains de leurs libertés fondamentales, y compris le droit de travailler, de voyager et d'accéder aux lieux publics.

Sous prétexte de promouvoir la « responsabilité écologique », les mondialistes et leurs bandes itinérantes de fanatiques du climat visent à faire passer le monde de la liberté et de la tradition aux mains tyranniques de la cupidité et du contrôle des entreprises.

"Le canular climatique est une attaque contre l'agriculture et la production alimentaire - les documentaires déplorent la production de méthane des vaches, tandis que la croissance et le transport des graines de soja détruisent les forêts tropicales et nécessitent une immense quantité d'eau", indique l'article.

"En termes de gaz carbonique, peu est fait pour empêcher les célébrités et les dirigeants mondiaux de voler en jets privés de Londres à Inverness, alors que nous devons nous rendre au travail à vélo, éteindre les lumières et manger des insectes, alors que rien de tout cela ne fait de différence... "

(En relation: L'un des co-fondateurs de Greenpeace a officiellement confirmé que le dioxyde de carbone est la pierre angulaire de toute vie sur terre, qui était autrefois enseigné comme un concept scientifique de base à l'école primaire avant que le culte du climat n'ébranle l'éducation et ne devienne en une usine de propagande.)

Les protocoles COVID comme les masques à usage unique, les gants et les tests ont massivement pollué le monde

L'article comprend deux graphiques illustrant que même si les niveaux de gaz carbonique ont augmenté, les températures de l'air sont restées à peu près les mêmes ou ont même diminué à différents moments de l'histoire récente.

Au cours des derniers milliers d'années, en fait, les températures ont fortement baissé, c'est pourquoi, dans les années 1970, les grands médias mettaient en garde contre le refroidissement mondial. Depuis lors, ils sont passés à un récit sur le réchauffement suivi d'un récit général sur le changement climatique qui englobe tout.

Pendant le coronavirus de Wuhan (COVID-19), on a beaucoup parlé de la mise en place d'une "nouvelle normalité" qui concordait avec les objectifs de la brigade climatique. Ils en ont profité pour utiliser la "pandémie" comme excuse pour faire pression pour des changements massifs en faveur du climat, alors même qu'ils ont forcé le monde à utiliser des choses hautement polluantes comme des masques, des gants et des tests à usage unique.

"Après la pandémie, on disait que les animaux retournaient dans les villes et que la qualité de l'air s'améliorait", explique l'article. "Ce n'était pas le cas, et la récente poussée en faveur des plastiques réutilisables a également été ignorée, car des tests COVID, des gants et des masques en plastique à usage unique ont été produits et utilisés par des milliards, tout en ne faisant aucune différence."

"L'idée que nous aidons la Terre en restant à l'intérieur et complices pousse le public à accepter que, pour sauver le monde que nous aimons tant, nous devons sacrifier complètement notre liberté."

L'article est vraiment révélateur et vaut la peine d'être lu, tout comme l'intégralité du numéro de juin de 23 pages de The Light.

"C'est vraiment un simple canular", a écrit un commentateur à propos du mythe du changement climatique. "L'ONU a créé l'IPCC pour trouver des preuves d'un réchauffement climatique d'origine humaine - non pas pour enquêter s'il se produit réellement, mais plutôt pour se procurer tout ce qui suggère qu'il le fait sans aucun doute."

Découvrez plus de vérités sur lesquelles le culte du climat veut que vous soyez dans le noir sur Climate.news.

Les sources de cet article incluent :

TheLightPaper.fr

Expose-News.com

Newstarget.com

TheLightPaper.fr

https://www.naturalnews.com/2023-06-26-co2-not-pollutant-doesnt-affect-temperatures.html

Manœuvres de l'OTAN « Air Defender 2023 » pour plus de paix, de liberté et de démocratie ?

 

samedi 24 juin 2023

Steve Kirsch offre à Paul Offit 50 000 $ pour suivre l'ensemble du calendrier de vaccination recommandé par le CDC en une seule séance

22/06/2023 

 Ethan Huff


"En théorie, les nourrissons en bonne santé pourraient recevoir en toute sécurité jusqu'à 100 000 vaccins à la fois" sont les mots infâmes prononcés il y a plusieurs années par le pédiatre Dr Paul Offit, directeur du Centre d'éducation sur les vaccins et professeur de pédiatrie à la Division des maladies infectieuses à l'Hôpital pour enfants de Philadelphie. Et maintenant, Offit a la chance de prouver cette affirmation avec une offre de 50 000 $ de Steve Kirsch si Offit accepte de ne prendre que les dizaines de vaccins du calendrier officiel jusqu'à l'âge de 18 ans des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, le la mise en garde étant qu'Offit doit tous les prendre "en une seule séance".

Kirsch veut qu'Offit "joigne la parole" en acceptant de s'asseoir et de se faire injecter tous les coups programmés par le CDC en même temps. Si Offit accepte un jour cela, Kirsch déboursera plus de 50 000 $ à l'organisme de bienfaisance de son choix - consultez cette réponse rapide du BMJ écrite par le rédacteur en chef de Age of Autism, John Stone, pour l'histoire complète de la tristement célèbre déclaration d'Offit.

"Le Dr Offit n'a qu'à prendre une dose de chaque vaccin", a précisé Kirsch. "Aucune aspiration n'est autorisée sur chaque piqûre d'aiguille puisque c'est ce que le CDC recommande... Aucune sélection de numéro de lot ne peut être faite. Cela ne devrait pas être un problème pour Paul puisque tous les lots sont également sûrs, comme nous le savons tous. Ceux qui prétendre qu'il y a des lots mortels ne sont que des théoriciens du complot !"

(Connexe: le seul vaccin que nous connaissons qu'Offit n'a jamais approuvé et en fait mis en garde contre la prise est le "rappel bivalent" pour covid.)

Offit marchera-t-il et acceptera-t-il l'offre de Kirsch ? Hautement improbable

Kirsch est, bien sûr, en train de plaisanter avec le discours sur la théorie du complot, lui lançant le même verbiage qu'Offit lui crache régulièrement. Pourquoi ne pas vous faire injecter tous ces vaccins sûrs dans votre corps d'un coup, Dr Offit ? Pourquoi n'accepteriez-vous pas de le faire et d'aider en même temps une association caritative de votre choix ?

Afin de s'assurer qu'Offit reçoive la vraie chose et non une solution saline, Kirsch dit qu'il fournira un "médecin de haut niveau pour surveiller les injections". Cela ne devrait pas être un problème car il n'y a aucune contre-indication sur l'une des étiquettes approuvées par la FDA qui suggère que le défi de Kirsch est en aucune façon dangereux.

Les autres termes clés auxquels Offit doit se conformer incluent :

• Accepter de subir un examen psychiatrique pour établir la santé mentale

• Signature d'une décharge de responsabilité à toute épreuve exonérant les bailleurs de fonds de toute responsabilité pour tout ce qui se passe après la distribution des injections

• Accepter de prescrire et de commander tous les médicaments à injecter, ou de déléguer cette tâche à quelqu'un d'autre

• Permettre à Kirsch de vérifier de manière indépendante qu'aucun des flacons n'a été falsifié

• Accepter de s'auto-injecter tous les vaccins ou trouver quelqu'un d'autre prêt à le faire

• Être autorisé à renoncer à toutes les autres injections à tout moment du processus

• Arrêt de toutes les injections ultérieures en cas d'urgence médicale, auquel cas aucun paiement ne sera effectué

• Accepter de ne pas être payé si une seule des photos n'est pas prise, pour quelque raison que ce soit

• N'avoir qu'une seule chance de relever le défi

Kirsch reconnaît qu'il y a une chance infime qu'Offit relève le défi, même si le rejeter ferait absolument ressembler Offit au charlatan que beaucoup le reconnaissent déjà.

"Le Dr Offit n'a absolument rien à craindre en acceptant mon offre", écrit Kirsch à propos du défi.

"Tous ces vaccins sont parfaitement sûrs et efficaces, sinon Offit lui-même s'exprimerait. De plus, le CDC et la FDA nous assurent que tous ces vaccins sont sûrs. Et si vous ne pouvez pas faire confiance au CDC et à la FDA, à qui pouvez-vous faire confiance ?"

Saviez-vous que le CDC est une société privée se faisant passer pour une agence de santé publique ? En savoir plus sur CDC.news.

Les sources comprennent :

SteveKirsch.substack.com

BMJ.com

Newstarget.com

https://www.naturalnews.com/2023-06-22-kirsch-offit-50000-challenge-cdc-vaccine-schedule.html

La photonique pour des chaînes alimentaires plus durables

Les chaînes alimentaires mondiales ne sont plus aussi sûres et fiables qu’elles ne l’étaient autrefois. Cette tendance s’est notamment confortée depuis l’été dernier lorsque l’approvisionnement mondial en céréales, maïs et légumes a été compromis en raison de la sécheresse et des inondations. De surcroît, la guerre en Ukraine a entraîné des tensions supplémentaires sur l’approvisionnement des denrées alimentaires.


Par Chris van Hoof

 le 24 juin 2023 à 9h30


La production agricole française ne couvre que 43 % des besoins du pays en produits agricoles bruts.

La situation ne semble pas être près de s’améliorer. En effet, le bilan présenté lors de la dernière conférence mondiale sur le climat est loin d’être rassurant. Aujourd'hui, les consommateurs subissent les effets de la crise climatique et des conflits géopolitiques à travers les pénuries et les rayons vides des supermarchés.

L’énorme potentiel des technologies du futur

Le rapport du Club of Rome intitulé « Earth for All » (la terre pour tous) laisse entrevoir une lueur d'espoir en proposant des solutions concrètes. Dans ce rapport, les auteurs désignent cinq domaines sur lesquels nous devons concentrer nos efforts : la pauvreté, l’injustice, l’égalité, l’énergie et l’alimentation. Dans le secteur alimentaire, le rapport recommande une approche en trois étapes :

Premièrement, la mise en œuvre de nouvelles techniques agricoles plus résilientes et qui utilisent moins de pesticides,

Deuxièmement, l’optimisation de l’ensemble du système alimentaire,

Et enfin, troisièmement, un changement de régime alimentaire pour toute la population.

La photonique, technologie de lumière, a un rôle à jouer dans les deux premières étapes.

La photonique change la donne avec des techniques agricoles plus résilientes

Les solutions photoniques utilisent la lumière pour générer des informations précieuses. Par exemple, lorsqu’un champignon attaque des plants de pommes de terre, des capteurs installés sous les tracteurs, ou toutes autres machines, détectent ces parasites. À l'aide d'un logiciel approprié, il est alors possible d'identifier exactement l’espèce du parasite, ainsi que le niveau d’infection de l’ensemble de la culture. Un antidote pourra alors être proposé et appliqué avec précision. De cette manière, il sera possible d'économiser du fongicide et d'éliminer le parasite de manière sûre et définitive. Il est à noter que la photonique peut contribuer à une plus grande durabilité non seulement pendant la culture, mais aussi lors des étapes ultérieures de la chaîne de production et d'approvisionnement.

C'est précisément à cet effet qu'intervient le projet "h-ALO qui développe un nouveau capteur basé sur la photonique comme outil de dépistage précoce de la contamination des aliments. Cette solution permet de prendre les mesures nécessaires rapidement et de préserver ainsi les ressources. Le projet fait partie des initiatives de la plateforme technologique « Photonics21 », représentant la communauté photonique européenne de l'industrie et des organismes de recherche, et élaborant à ce titre une stratégie photonique commune au nom de la Commission européenne.

Agriculture : comment la photonique optimise-t-elle le système alimentaire ?

Outre les initiatives pour atteindre une culture résiliente, nous avons besoin d'une restructuration complète de nos systèmes alimentaires. D'ici 2050, nous devrons être en mesure de nourrir une population mondiale de dix milliards de personnes. Dans le même temps, l'empreinte écologique de l'agriculture, de la pêche et de l'aquaculture doit diminuer.

Les technologies photoniques offrent un ensemble d'outils puissants pour atteindre ces objectifs. Parmi ces outils, nous pouvons mentionner les lasers et les lidars (détection et télémétrie par la lumière), l'imagerie hyperspectrale et divers autres capteurs, ainsi que les LED à haut rendement énergétique. Ces technologies peuvent être utilisées pour surveiller la santé des sols et le bilan hydrique, prévoir les niveaux de protéines dans les cultures céréalières, déterminer le bon moment pour récolter les fruits. Elles permettent également de cartographier la qualité de l'eau pour vérifier la santé des stocks de poissons et d’analyser les produits pour détecter les contaminants.

Stimuler la créativité et l'optimisme en temps de crise

Les exemples ci-dessus démontrent qu’il est clair que les possibilités offertes par la technologie sont loin d'être épuisées. La photonique est susceptible de conduire dans les prochaines années à de nouvelles innovations technologiques permettant d’aider agriculteurs et producteurs de denrées alimentaires à faire face aux défis de l’agro-alimentaire.

Les gouvernements et les décideurs au sein de l'Union Européenne doivent à leur tour contribuer et donner la priorité aux projets permettant d’assurer l'avenir de l'agriculture. Plus de coopération en matière de recherche, plus de partenariats public-privé, davantage d’expérimentations prometteuses, des cycles de tests plus rapides et une mise à disposition efficace, rapide et sûre des nouvelles technologies ne sont que quelques-uns des éléments nécessaires au succès de l'avenir “agri-photonique”.

https://www.economiematin.fr/photonique-chaine-alimentaire-securite-gestion-hoof

vendredi 23 juin 2023

Le combat contre le glyphosate : purement idéologique !

  le 22 juin 2023


Tous les arguments ont été avancés pour que le désherbant de Monsanto nommé glyphosate soit interdit en France. Des pseudo-scientifiques comme le triste Seralini sont la preuve vivante de l’emprise de l’idéologie sur la science. Le glyphosate n’a jamais tué personne excepté une australienne qui choisit de se suicider en buvant une grosse louche de solution de glyphosate formulé pour être répandu dans les champs. L’expertise montra qu’elle avait succombé à un oedème pulmonaire fulgurant provoqué par les agents tensio-actifs de la formulation de l’herbicide. Personnellement je n’ai jamais travaillé directement sur le glyphosate mais j’ai consacré quelques jours à l’étude du glufosinate, une molécule très proche qui est un herbicide naturel à large spectre produit par certaines souches de Streptomyces, (Cf. la note en fin d’article). Des doses massives de glufosinate ont été incorporées à la nourriture donnée à des souris ou des rats et n’ont jamais montré une quelconque toxicité. Il en est de même pour le glyphosate. Prétendre enfin que l’une ou l’autre de ces molécules est cancérigène est un mensonge, pire encore une absurdité car elles ne peuvent pas interagir avec l’ADN car chargés négativement comme le sont les acide nucléiques. Les déclarations successives de l’IARC, un organisme onusien situé à Lyon et plus connu sous le nom de Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC, un vrai cirque peuplé non pas de scientifiques mais de fonctionnaires qui brassent des dossiers situé à Lyon en France) ont commencé par « cancérigène potentiel » au sujet du glyphosate puis « cancérigène probable » et enfin « cancérigène » alors que des dizaines de milliers de pages d’études ont montré qu’il n’en était rien. Ces études n’émanaient pas seulement de la firme Monsanto mais de laboratoires universitaires ou encore de concurrents de Monsanto qui ont confirmé les études de cette dernière société.

GLYPHOSATE : UN SCANDALE PLANÉTAIRE DIGNE D’UN THRILLER


En effet, tout demande d’autorisation de mise sur le marché d’un quelconque produit phytosanitaire nouveau fait l’objet de longues études de toxicité et le pouvoir oncogène du produit fait l’objet d’investigations détaillées selon des protocoles internationaux très stricts. Si la cible du glyphosate diffère de celle du glufosinate cet herbicide affecte un enzyme qui est absent chez les animaux alors que celle du glufosinate est présente chez les animaux dont l’homme. Or il n’existe pas de régulation précise au sujet des résidus du glufosinate dans les légumes et tous les produits dérivant des cultures soumises à cet herbicide.

Il apparaît alors un aspect du débat relatif au glyphosate qui est de l’anti-science à l’état pur. Pourquoi les autorités de régulation ne se sont jamais penché sur le caractère potentiellement cancérigène du glufosinate, il n’y a pas de réponse à cette question pour une raison simple : la société Monsanto a mis sur le marché des plantes de grande culture rendues résistantes au glyphosate par manipulation génétique. Cette manipulation génétique consiste à obliger la plante à surexprimer la cible de l’herbicide, l’EPSP synthase, afin d’augmenter le rapport dose/réponse et rendant ainsi la plante résistante au produit. Et pourtant il existe également des plantes génétiquement modifiées résistantes au glufosinate mais ce n’est pas Monsanto qui en était le propriétaire. Voilà l’explication : ce ne sont pas les propriétés intrinsèques de l’herbicide qui sont prises en considération mais seulement le fait que la société Monsanto a osé mettre sur le marché des plantes de grande culture résistantes à son herbicide. Scientifiquement il s’agit d’un argument fallacieux mis en avant par les défenseurs de l’environnement qui ne connaissent strictement rien au sujet des mécanismes d’action de ces molécules mais pire encore : puisque le glufosinate est un produit présent naturellement dans certains sols alors il est autorisé. En Europe le seul pays ayant interdit le glufosinate est, comme par hasard, la France.

Et puisque le glufosinate est produit pas des Streptomyces naturellement et qu’il est donc naturel est-ce la raison pour laquelle la Streptomycine est encore tolérée dans un pays comme la Confédération helvétique pour traiter une maladie bactérienne dont souffrent certains arbres fruitiers comme l’abricotier ? L’utilisation d’antibiotiques est strictement interdite pour un usage agricole dans la plupart des pays du monde à l’exception de la Suisse. La streptomycine est le seul traitement connu pour cette maladie appelée « feu bactérien » provoquée par la bactérie Erwinia amylovora. Alors pourquoi la Suisse autorise l’utilisation de streptomycine pour combattre ce fléau qui tue l’arbre ? Parce que la streptomycine est naturellement produite par un Streptomyces comme le glufosinate. Ah ! Les Suisses … On ne peut que constater que les arguments avancés par les organisations de protection de l’environnement n’ont aucune valeur. On ne peut pas dire : « j’ai l’impression que … », il faut apporter des preuves et ce sont des preuves indiscutables qui manquent pour affirmer que tel ou tel produit phytosanitaire est toxique ou pas, qu’il tue les abeilles ou ne les tue pas, … il faut apporter des preuves tangibles donc incontestables. La capture d’écran figurant ci-dessus est une illustration du flou artistique dans lequel les « experts » européens se sont égaré non pas pour des raisons scientifiques mais parce qu’ils ont l’impression que le glyphosate est dangereux.


Note. Pour les curieux le glyphosate est un phosphonate alors que le glufosinate, aussi appelé phosphinothricine, comporte un groupement methyl-phosphonoyl retrouvé dans d’autres métabolites naturels présentant des propriétés herbicides, groupement comprenant deux liaisons phosphore-carbone. Les atomes de phosphate portent des hydroxyles chargés négativement excluant toute interaction directe avec l’ADN nucléaire. Dans l’illustration ci-dessus (Wikipedia) la molécule dans la partie supérieure est le glyphosate. Les deux composés semblent très proches mais présentent des propriétés biologiques différentes : le glyphosate bloque un enzyme clé de la synthèse des amino-acides aromatiques, l’EPSP synthase, alors que le glufosinate bloque la synthèse de la glutamine, un amino-acide intervenant dans le piégeage de l’ammoniac intra-cellulaire.

🇨🇭 Renforcer la démocratie directe – Signer « l'initiative Giacometti » (avant le 15 juillet 2023)

 

22.06.2023 
 www.kla.tv/26353
 

En Suisse, les lois fédérales et autres actes législatifs de l'Assemblée fédérale sont soumis au référendum facultatif. Cela signifie que si 50 000 signatures valables sont recueillies dans les 100 jours suivant la publication de la loi ou du décret, celui-ci doit être soumis au vote du peuple. Toutefois, le Parlement suisse peut soustraire des lois au référendum en les déclarant « urgentes ». Les lois déclarées « urgentes » entrent immédiatement en vigueur. Une éventuelle votation populaire à ce sujet n'a lieu - si elle a lieu - que des mois plus tard. Souvent, l'affaire est alors réglée depuis longtemps et la population s'est habituée à la nouvelle réglementation.

Depuis l'été 2020, l'Assemblée fédérale a déclaré un nombre croissant de lois fédérales « urgentes », comme la première version de la loi Covid-19 et les modifications ultérieures. Rien que depuis 2019, il y a eu 20 lois fédérales urgentes. Dans les faits, les électeurs sont ainsi privés de leurs droits.

C'est là qu'intervient l'initiative populaire fédérale « Le Peuple et les Cantons décident des lois fédérales déclarées urgentes ! » aussi appelée « Initiative Giacometti » : Une loi fédérale déclarée urgente doit être acceptée par le peuple suisse dans un délai de 100 jours. En cas de « NON », la loi déclarée urgente cesse immédiatement d'être en vigueur. L'initiative « Giacometti » renforce le droit de référendum et donc la démocratie directe. En outre, les lois déclarées urgentes devraient être conçues dès le départ de manière à pouvoir recueillir une majorité.

Le délai de collecte de « l'initiative Giacometti » court jusqu'au 25 juillet 2023, date à laquelle 100 000 signatures certifiées valables doivent être déposées à la Chancellerie fédérale. Selon le site web de « l'initiative Giacometti », 45 025 signatures sont encore nécessaires.

Signez aujourd'hui encore « l'initiative Giacometti » - le mieux est de remplir la feuille de signatures avec cinq électeurs de la même commune politique. Envoyez les feuilles de signatures dans une enveloppe, si possible avant le 15 juillet 2023, à Alexandre Zindel, La Delèze 17A, 1164 Buchillon. Il est également encore possible de parrainer un envoi de flyers jusqu'au dimanche 9 juillet 2023.

de dd.
Sources / Liens :
Référendum facultatif
https://www.bk.admin.ch/bk/fr/home/droits-politiques/referendum.html

Nau.ch : « L'initiative Giacometti » veut renforcer les droits référendaires
https://www.nau.ch/politik/bundeshaus/giacometti-initiative-will-referendumsrechte-starken-66483211

« Initiative Giacometti » : présentation
https://giacometti-initiative.ch/fr/

« Initiative Giacometti » : de quoi s'agit-il ?
https://giacometti-initiative.ch/fr/de-quoi-sagit-il

Feuille de signatures
https://giacometti-initiative.ch/images/pdf/GIACOMETTI-Initiative-Unterschriftenliste-FR.pdf

jeudi 22 juin 2023

Les drogues psychédéliques de retour …

 le 21 juin 2023


Après la cocaïne, passons sur les drogues « très dures » comme l’oxycontine et le fentanyl, voici un autre engouement pour une drogue considérée comme très naturelle et qui commence à tailler des croupières à la marijuana et autres résines de cannabis. Il s’agit de la redécouverte de la psilocybine, une sorte de retour en arrière, une nostalgie des « années Woodstock », des grands rassemblements hippies des années 1960 avec le LSD et plus précisément les champignons magiques. Je garde en mémoire, bien que confuse, une soirée chez une de mes nièces en Espagne durant laquelle nous partageâmes une sorte d’infusion peu goûteuse concoctée avec les champignons et légèrement pimentée pour faciliter son ingestion. Ces petits champignons avaient été apportés par l’une des convives car elle avait organisé chez elle leur culture et elle avouait avoir délaissé la marijuana lorsqu’elle avait découvert cette merveille. Il est vrai que les liens traditionnels entre l’Espagne et divers pays d’Amérique latine avaient facilité cette découverte. J’ai mentionné ci-dessus ma mémoire troublée de cette soirée. Ce dont je me souviens est d’avoir été victime d’une crise d’hilarité impossible à maîtriser, j’avais l’impression réelle de comprendre l’espagnol, toutes les filles me semblaient désirables et la réciproque devait être vraie. Tout le réel apparaissait comme agréable, une perception déformée et colorée par le désir réfréné de ne pas imaginer, dans des conditions normales et quotidiennes, une réalité qui était non conforme aux règles de vie que nous impose l’éducation et les bonnes mœurs. J’avoue avoir perdu toute lucidité et avoir terminé la soirée dans une sorte de torpeur dont je n’ai gardé aucun souvenir, seul ou accompagné par l’une ou l’autre de ces représentantes de la gent féminine présentes, je ne sais pas, je ne sais plus. Seules les crises de rire fou sont vraiment restées inscrites dans ma mémoire.

La psilocybine est un alcaloïde de la famille des indoles, phosphorylé donc très facilement transporté dans le flux sanguin dès ingestion d’une infusion de ces champignons hallucinogènes très bien connus depuis la nuit des temps par les Amérindiens mais également par divers peuples de l’Atlas nord-africain. La psilocybine conduit à son dérivé actif la psilocyne, analogue de la sérotonine, un neurotransmetteur important, a été largement étudiée dans le courant des années 1960 par le Docteur Timothy Leary, le grand spécialiste des champignons hallucinogènes de l’Université d’Harvard. L’avantage remarquable de cette molécule est que le rapport dose active/dose létale est très faible et la dépendance très faible également :

La facilité avec laquelle il est possible de cultiver les divers champignons produisant de la psilocybine encourage sa consommation et s’il existe quelques incompatibilités, la plus connue étant l’alcool dont la combinaison avec la psilocybine amplifie notoirement les effets hallucinatoires de l’alcaloïde, il ne s’agit en aucun cas d’une drogue dure. Voici la traduction d’un article paru sur le site ZeroHedge que je livre à mes lecteurs peut-être tentés par les psilocybes et l’attitude des autorités américaines aux prises avec les ravages du fentanyl, une drogue destructrice et d’un prix abordable. Comme indiqué sur ce site (ZeroHedge) les champignons psychédéliques deviennent de plus en plus populaires aux Etats-Unis. Une nouvelle étude a montré que la consommation de psilocybine, le principal ingrédient actif des « Shrooms » est en pleine croissance passant de la culture hippie à la démocratisation y compris chez les représentants des classes moyennes et y compris les femmes.

La « révolution psychédélique » des États-Unis a commencé pendant la pandémie de COVID-19, lorsque le gouvernement a verrouillé l’économie, forçant les gens à rester à la maison et à ne rien faire. Avant le coronavirus, seulement 5,1 % des jeunes de 19 à 30 ans consommaient des drogues psychédéliques. Mais depuis le début des confinements, ce chiffre a bondi à 7,6 % en 2020 et à 8,1 % en 2021. Depuis 2011, la consommation psychédélique chez les jeunes a plus que doublé, selon une étude de l’Université du Michigan et de l’Université Columbia.

« Bien que la consommation d’hallucinogènes sans LSD demeure beaucoup moins répandue que la consommation de substances comme l’alcool et le cannabis, le fait de doubler la prévalence en seulement trois ans constitue une augmentation spectaculaire et soulève des préoccupations possibles en matière de santé publique », a déclaré le Docteur Megan Patrick, dans une étude et co-chercheur principal de « Monitoring the Future » à l’Université du Michigan. « Il est vraiment difficile d’expliquer ces tendances » dans l’article de The Hill. Elle a ajouté « Nous avons quelques suppositions, mais nous ne savons pas vraiment encore » ( https://thehill.com/policy/healthcare/4054255-magic-mushroom-use-by-young-adults-has-nearly-doubled-in-three-years/ ).

Peut-être que les gens s’ennuyaient beaucoup lorsque le gouvernement a paralysé l’économie au début de l’épidémie de coronavirus. Beaucoup de gens ont été coincés dans un mode de vie monotone pendant des mois alors que le gouvernement interdisait aux gens de sortir, les forçant à regarder « Netflix » tandis que d’autres s’ennuyaient complètement et expérimentaient des drogues. Le vrai plaisir est venu quand le gouvernement a distribué des chèques de soutien, et les gens sont devenus fous sans avoir besoin de travailler. « The Hill » a fait remarquer : « Si la tendance générale à la hausse se poursuit, les jeunes adultes pourraient bientôt consommer des drogues psychédéliques au même rythme que les baby-boomers de l’ère hippie ». Pour y parvenir, un sondage Gallup du début des années 1970 montre que 18% des étudiants ont essayé le LSD ou d’autres hallucinogènes. Il a été signalé de nombreuses études portant sur ceux qui ont consommé de la psilocybine et qui ont réussi à réduire la consommation d’alcool et d’autres drogues. Ces études s’ajoutent à une quantité croissante de recherches montrant que les psychédéliques jumelés à une thérapie pourraient traiter des problèmes de santé mentale.

Le mois dernier, un projet de loi visant à décriminaliser les champignons magiques a été déposé au Sénat de la Californie. Le sénateur Scott Wiener a dit que la proposition SB519 n’est pas « garantie de passer à l’Assemblée », mais nous allons faire de notre mieux ». Le passage des hippies marginaux il y a des décennies aux mamans de la classe moyenne et aux cols blancs qui cultivent leurs champignons magiques montre comment la culture de la drogue est normalisée. Peut-être que ce n’est pas une si mauvaise idée, et quelque chose de nouveau, la « guerre contre la drogue » ayant été un véritable désastre. Cependant, le marché des drogues en plein air autorisé par la Californie dans les grandes villes s’est retourné contre lui.

Note. L’avenir dira si ce retour aux pratiques des années 1960 s’avérera bénéfique mais comme on le sait l’Amérique est capable de tous les excès et il faut toujours s’attendre au pire … Sources : ZeroHedge, The Hill et Wikipedia en anglais. Autres liens : https://www.theepochtimes.com/bill-to-legalize-psychedelic-mushrooms-advances-in-california-senate_5295374.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/06/21/les-drogues-psychedeliques-de-retour/

mercredi 21 juin 2023

Le droit légal à l’avortement – Qui sont les tireurs de ficelles ?

 

« Saint Bill » est le sauveur de la planète

  le 20 juin 2023


C’est ainsi que The Guardian rend hommage à Bill Gates. Et c’est bien naturel car ce journal a reçu de la Fondation Bates 12.951.391 dollars, trois fois plus que le seul quotidien francophone dans les petits papiers de Bill Gates, Le Monde. Le réseau nord américain de radio publique NPR, l’équivalent de « France-Inter » en France, a reçu le double de la dotation attribuée au Guardian. C’est bien normal puisque ce réseau d’information également disponible sur la toile dispense une propagande climatique incessante. La dernière en date est la plainte très médiatisée de petites organisations d’adolescents du Montana à l’encontre du gouvernement de l’Etat qui ne respecte pas les engagements pris pour sauver le climat.

Ces associations toutes proches de la nature et vantant les bienfaits de l’air pur et des paysages grandioses de cet Etat considèrent que rien est fait pour décarboner l’Etat. L’argument avancé est le « consensus scientifique » affirmant que l’activité humaine est la cause primaire du réchauffement dangereux de la planète.

Outre la propagande vaccinale qui va voir son apothéose avec la mise en place de règles contraignantes internationales par l’Organisation Mondiale de la Santé, la prochaine étape également pilotée par « Saint Bill » se concrétisera à n’en pas douter par un « passeport international carbone ». La mise en œuvre du « passeport vaccinal international » ne surprend personne puisque l’OMS est financée à hauteur de 21,5 % par la Fondation Gates et le Gavi, une émanation de cette fondation (données datant de 1990, aujourd’hui l’OMS est fiancée à hauteur de 82 % par des fondations privées).

L’IPCC se trouve comme l’OMS implanté à Genève comme le Forum Économique Mondial et ces organismes supranationaux oeuvrent de concert pour museler les opposants au « consensus scientifique climatique » et réduire définitivement les opposants à la politique vaccinale « tout ARNm », corollaire obligé du passeport vaccinal international. En effet, en ce qui concerne ce passeport vaccinal il s’avère que la rapidité de mise en place de nouveaux « vaccins » ne pourra être atteinte qu’en utilisant la technique « ARNm » qui comme chacun sait a prouvé son efficacité au cours du déroulement de la pandémie de coronavirus.

Les critères ESG mis en place pour préserver le climat sont déjà suivis d’effet avec une raréfaction alarmante des investissements dans le secteur de l’énergie. Avec une énergie plus couteuse, conséquence directe de cet assèchement des investissements dans ce secteur, l’économie en général va ralentir dramatiquement. En effet l’économie n’est que la déclinaison d’une énergie transformée. La transition énergétique allemande exclusivement basée sur les moulins à vent et les panneaux magiques (expression de Charles Gave) a fait ses preuves : l’économie allemande est en plein effondrement et les conséquences sur l’Union européenne et la stabilité de l’euro seront catastrophiques, au mieux une disparition de l’euro et au pire une récession profonde et durable qui affectera tous les pays de l’Union européenne.

Climat et carbone, pandémies et « vaccins », un amalgame terrorisant les peuples, dont la jeunesse comme dans le cas du Montana, tous les éléments sont réunis pour soumettre ces peuples à une gouvernance supranationale. Belle construction pour un monde meilleur …

https://www.npr.org/2023/06/19/1182999615/defense-arguments-to-begin-in-youth-climate-trial-in-montana

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/06/20/saint-bill-est-le-sauveur-de-la-planete/

mardi 20 juin 2023

Vérité à couper le souffle : les statines et les médicaments contre l'hypertension détruisent votre santé

 

PAR LA COMPAGNIE DE BIEN-ÊTRE

19 juin 2023


Les maladies cardiovasculaires restent la première cause de décès chez les adultes dans le monde occidental. Cela a conduit de nombreuses personnes à se tourner vers les statines, les inhibiteurs de l'ECA et les bêta-bloquants pour gérer le cholestérol et la santé cardiaque.

Il s'avère que ces soi-disant «médicaments miracles» pourraient faire des ravages sur votre santé, entraînant une multitude de conséquences horribles que vous n'avez jamais vues venir.

1. Dites adieu à votre mémoire : saviez-vous que les statines pouvaient voler vos souvenirs sous votre nez ? Des études récentes suggèrent que ces médicaments pourraient altérer la fonction cognitive, provoquant une perte de mémoire alarmante et un brouillard cérébral. Le cholestérol est essentiel pour les neurotransmetteurs - son élimination peut altérer le fonctionnement du cerveau.

2. Muscle Mass Massacre : Les statines et les bêta-bloquants ont un autre sombre secret : ils pourraient transformer vos muscles en bouillie. Ces médicaments ont été associés à des douleurs musculaires intenses, à une faiblesse et même à une maladie grave connue sous le nom de rhabdomyolyse, dans laquelle les fibres musculaires se décomposent et libèrent des substances toxiques dans votre circulation sanguine.

3. Dommages aux organes : La fonction des statines est de réduire la quantité de cholestérol produite par le foie. Il s'avère que ces merveilles anti-cholestérol peuvent faire des ravages sur votre fonction hépatique, entraînant des dommages potentiels au foie. De même, les inhibiteurs de l'ECA ont été associés à des lésions rénales. Les bêta-bloquants ont été associés à des anomalies dangereuses du rythme cardiaque. Plus de données sur la sécurité doivent être recueillies et divulguées aux patients !

4. Désastre de carence en vitamines. Les statines peuvent vider votre corps de vitamines essentielles. Il a été démontré que ces médicaments appauvrissent des nutriments importants tels que la coenzyme Q10 (CoQ10), qui joue un rôle vital dans la production d'énergie dans vos cellules. Il a été démontré que les inhibiteurs de l'ECA appauvrissent le corps du potassium et d'autres minéraux clés. Les utilisateurs signalent souvent de la fatigue, une faiblesse musculaire et une vulnérabilité accrue aux maladies.

5. Cauchemar psychologique : Il y a eu des rapports d'utilisateurs de statines et de bêta-bloquants souffrant de dépression, d'anxiété et de sautes d'humeur - que les médecins soupçonnent d'être dus à des changements dans la chimie du cerveau. Est-ce que risquer votre bien-être mental en vaut la peine ?

Il est temps de se réveiller et de réaliser les graves dangers qui se cachent derrière le rideau des médicaments cardiovasculaires courants. De la perte de mémoire à l'atrophie musculaire, des troubles hépatiques aux carences en vitamines et même aux cauchemars psychologiques, ces médicaments ne sont pas aussi innocents qu'ils le paraissent. Avant de vous procurer votre prochaine recharge à la pharmacie, considérez le fait qu'il existe des moyens beaucoup plus naturels de traiter la santé cardiovasculaire.

Au lieu d'utiliser des produits pharmaceutiques pour priver votre corps de fonctions essentielles, envisagez de combiner régime, exercice et une solution naturaliste qui fournit à votre corps les nutriments dont il a besoin pour avoir des niveaux de cholestérol et de tension artérielle sains. Chez The Wellness Company, le cardiologue de renommée mondiale, le Dr Peter McCullough, et son équipe ont conçu une formule Healthy Heart pour y parvenir.

Dans la Healthy Heart Formula de The Wellness Company, vous trouverez :

D-ribose (peut améliorer la fonction cardiaque)

Sélénium (peut réduire le risque de maladie cardiaque)

CoQ10 (une enzyme qui aide à la production d'énergie cellulaire)

Complexe de vitamine B (peut fortifier les muscles et les tissus mous)

L-Carnitine (peut stimuler la masse musculaire et le métabolisme)

Les gens disent de la formule du cœur sain de The Wellness Company :

« Après le covid, mon cœur s'est mis à battre à différents moments et sans raison apparente. J'ai trouvé cela et j'ai commencé à le prendre, et cela a arrêté ces épisodes. Avec la formule Spike Recovery, les deux m'aident à retrouver ma santé.

"Depuis que j'ai commencé Healthy Heart, je me sens à nouveau moi-même. Mon énergie est revenue et j'ai pu être plus actif. J'ai l'impression que ma prescription m'a été vendue comme un raccourci vers une meilleure santé. Les raccourcis n'existent pas.

«Je suis reconnaissant envers la Wellness Company et envers vous qui sortez avec le produit. Je suis un grand partisan de la guérison naturelle et non des médicaments pharmaceutiques. Merci de faire ce qui est juste et de dire la vérité dans un monde si sombre.

Selon la Wellness Company, l'achat de tous les composants de la Healthy Heart Formula de The Wellness Company coûterait 100 $ - vous pouvez économiser 41 % avec la formulation unique de la Healthy Heart Formula de The Wellness Company.

 https://www.zerohedge.com/sponsored-post/heart-stopping-truth-statins-hypertension-drugs-are-destroying-your-health

lundi 19 juin 2023

Ce sont les groupes sanguins les plus courants dans le monde

 PAR TYLER DURDEN

DIMANCHE 18 JUIN 2023 - 05:15


La Journée mondiale du donneur de sang est organisée chaque 14 juin par l'Organisation mondiale de la santé dans le but de sensibiliser le public à la nécessité de disposer de sang, de plasma et de plaquettes sûrs ainsi que de célébrer les nombreuses personnes qui sauvent des vies grâce à leurs dons de sang.

Il existe quatre types de sang différents : A, B, O et AB. Chacun de ces facteurs peut être positif ou négatif, selon qu'une protéine connue sous le nom de "facteur Rh" est présente dans les globules rouges. Chaque groupe sanguin a des qualités légèrement différentes. Par exemple, ceux de type O- sont des donneurs universels. Cela signifie qu'ils peuvent donner du sang à n'importe qui. AB+, en revanche, est un accepteur universel, il peut donc recevoir des dons de n'importe qui. Seulement environ sept pour cent de la population mondiale est Rh négatif.

Comme le montre Anna Fleck de Statista dans la carte suivante, le groupe sanguin le plus courant dans le monde est O positif.

Infographie : comment la prévalence du groupe sanguin varie dans le monde | Statistique

Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

L'Europe raconte cependant une histoire légèrement différente, la majorité des populations de ses pays ayant du sang A positif. Seuls deux pays dans les registres de la World Population Review ont une plus grande part de groupes sanguins B positifs : le Pakistan et le Bangladesh.

Bien que ce graphique soit utile pour obtenir un aperçu des modèles régionaux, il masque certains des détails les plus fins, tels que la répartition égale des pays par groupe sanguin. Par exemple, en Chine et en Inde, une part assez élevée de la population a du sang B+. Pendant ce temps, en Europe, de nombreux pays sont assez étroitement liés entre O + et A +. Il existe bien sûr de légères différences et exemptions, les pays nordiques représentant une part légèrement supérieure de personnes ayant A+ par rapport à O+, selon World Population Review. Les États-Unis sont également assez divisés, avec 37,4 % de la population ayant le type O+ et 35,7 % A+, tandis que seulement 8,5 % sont B+ dans le pays.

Les pays où la prévalence d'un groupe sanguin donné est la plus nette sont l'Équateur, le Pérou et le Zimbabwe, avec respectivement 75 %, 70 % et 63 % de sang O+.

Selon la Croix-Rouge américaine, les règles opposées s'appliquent en ce qui concerne l'universalité des transfusions de plasma. Dans ce cas, les groupes sanguins O- ne peuvent donner du plasma qu'à d'autres patients O-, tandis que le type universel de donneur de plasma est le sang AB.

https://www.zerohedge.com/medical/these-are-most-common-blood-types-around-world

vendredi 16 juin 2023

CAUCHEMAR DYSTOPIEN : 10 choses incroyables qui arriveront bientôt si nous n'arrêtons pas la marche de la tyrannie et l'asservissement de l'humanité

Vendredi 16 juin 2023 

par : Mike Adams


(Nouvelles naturelles) La marche de la tyrannie est sur nous. Vous le voyez tous les jours dans les confinements covid, la propagande vaccinale, la censure parrainée par le gouvernement et les restrictions bancaires/financières sur ce que vous êtes autorisé à faire avec votre propre argent.

La vérité choquante, cependant, est que cela va empirer encore et encore si nous n'arrêtons pas la marche de la tyrannie qui s'accélère tout autour de nous.

Dans l'analyse d'aujourd'hui, je détaille 10 choses incroyables qui se produiront à coup sûr si nous n'arrêtons pas la marche de la tyrannie et ne reprenons pas notre vie privée, notre dignité et notre avenir.

L'humanité est maintenant confrontée à un choix critique : soit nous choisissons la voie de l'asservissement total sous une dictature autoritaire et techno-fasciste, soit nous choisissons à la place d'embrasser la finance décentralisée, la liberté d'expression, la rationalité et l'État de droit.

Voici ma liste de 10 choses incroyables qui se produiront si nous n'arrêtons pas la tyrannie, avec les résultats les plus doux en haut de la liste et les résultats les plus cauchemardesques en bas de cette liste.

Dix résultats cauchemardesques si nous ne renversons pas la tyrannie

1) Toutes les crypto-monnaies, l'or et l'argent seront interdits. Toutes les transactions financières devront passer par des systèmes de contrôle centralisés gérés par le régime, y compris les CBDC. Vous devrez participer à une CBDC pour payer des impôts, acheter de la nourriture et recevoir un UBI (Universal Basic Income). Tous vos achats seront surveillés et limités, si nécessaire, pour façonner votre comportement.

2) Votre capacité à acheter de la nourriture (et de la viande en particulier) sera sévèrement limitée en fonction de votre score de conformité culturelle et climatique. Vous serez limité à une limite calorique des achats d'épicerie autorisés, et tous les produits alimentaires jugés non conformes à la propagande climatique (c'est-à-dire le fromage, la viande et le lait) seront limités.

3) Vous devrez vous conformer aux exigences narratives du régime, et si le régime change sa position sur quoi que ce soit, vous devrez mettre à jour rétroactivement tous vos articles, vidéos, publications sur les réseaux sociaux et podcasts précédents pour vous conformer au nouveau récit, sous peine de sanctions et de censure.

4) Il vous sera interdit de cultiver des aliments, d'économiser des semences ou d'élever des poulets de basse-cour sans avoir reçu l'autorisation du gouvernement, ce qui vous obligera à utiliser des semences génétiquement modifiées et à répéter la vaccination de vos animaux de ferme. (Et pas de lait cru autorisé.)

5) Il vous sera entièrement interdit d'acheter des armes à feu, des munitions, des couteaux, des gilets pare-balles ou d'autres articles d'autodéfense, vous laissant à la merci de l'État anarchique qui définance la police et libère des criminels violents dans les rues.

6) L'État kidnappera médicalement vos enfants et les mutilera pour réaliser des «transitions de genre», et si vous essayez d'interférer, vous serez accusé de crimes et de maltraitance d'enfants. C'est sur le point de devenir une loi en Californie.

7) Vous devrez installer un réseau de caméras vidéo et de microphones contrôlé par le gouvernement dans votre maison pour vous assurer de ne rien dire qui pourrait aller à l'encontre des «faits» poussés par le régime. Les systèmes d'IA surveilleront votre discours et vos activités, puis vous signaleront aux autorités gouvernementales si vous vous écartez du degré d'obéissance requis.

8) Il vous sera interdit d'acheter un véhicule à essence ou diesel, mais en même temps, votre consommation d'électricité à domicile sera strictement limitée en fonction de votre score de conformité climatique et culturelle. En d'autres termes, si jamais vous souhaitez recharger votre voiture et conduire quelque part, vous devrez être complètement obéissant au récit du régime, ou vous n'aurez jamais assez de kilowattheures disponibles pour recharger votre VE. Seuls ceux qui répètent les mensonges ridicules du régime - c'est-à-dire "un homme peut devenir une femme" - seront autorisés à utiliser les transports.

9) Vous serez très probablement remplacé par des systèmes d'IA ou des robots d'automatisation qui prendront en charge votre travail actuel. Comme vous êtes déplacé du travail, vous serez placé sur un système UBI pour recevoir des paiements numériques automatiques, mais votre capacité à accéder à vos « avantages » UBI vous obligera à rester parfaitement au courant de toutes les exigences en matière de vaccins, quel que soit leur nombre. demandé (et quelle que soit leur sécurité). En effet, pour recevoir un UBI et pouvoir se permettre suffisamment de nourriture pour éviter de justesse la famine, vous devrez accepter de vous soumettre à un suicide médical parrainé par l'État via des vaccins sans fin. Pour vivre, en d'autres termes, vous devrez vous rendre pour être lentement tué par l'État.

10) Des avantages UBI supplémentaires seront accordés aux personnes qui autorisent volontairement les « vérificateurs de faits » et les « responsables de la sécurité publique » à avoir un accès en temps réel et illimité aux microphones et aux caméras sur leurs appareils mobiles. Cela transformera les citoyens ordinaires en machines d'espionnage ambulantes qui balayeront tous les sons et vidéos environnants de leur environnement immédiat. Les vitesses de communication 5G sont nécessaires pour y parvenir, et lorsque les «vêtements intelligents» deviendront une réalité, des microphones et des caméras seront intégrés dans des chemises, des vestes, des chapeaux et d'autres formes de vêtements, diffusant de l'audio et de la vidéo en temps réel aux contrôleurs gouvernementaux qui utiliseront Analyse de l'IA pour générer des transcriptions qui peuvent être recherchées par mot-clé pour "violations de la parole" qui entraîneront des sanctions sévères. Cela signifie que vous pouvez être espionné par n'importe qui, n'importe où, à tout moment, y compris simplement marcher sur un trottoir ou discuter dans un restaurant. La portée du régime sera illimitée. Cette technologie a déjà été testée pendant le covid, en suivant les mouvements individuels et en forçant les gens à se verrouiller si les données de géolocalisation de leur téléphone les montraient à proximité de toute personne qui a ensuite été testée positive au covid.

Si nous ne voulons pas vivre dans le monde décrit ci-dessus, il est temps de secouer la tyrannie et de construire une infrastructure décentralisée pour la liberté humaine

Si nous ne faisons rien de différent, nous finirons esclaves du cauchemar dystopique décrit ci-dessus. Mais nous pouvons choisir une voie différente, et cela commence par le déplacement de nos ressources, de nos actifs et de notre concentration mentale vers le type d'infrastructure décentralisée, pro-humaine et pro-liberté que nous voulons construire pour l'avenir de l'humanité.

C'est notre objectif, soit dit en passant, sur Brighteon.com et NaturalNews.com. Je lance également une nouvelle émission qui se concentrera sur cette philosophie de décentralisation, en interviewant de nombreux leaders de l'industrie (nous avons déjà des entretiens de premier plan avec des fondateurs de projets incroyables) et en vous apportant des solutions pratiques et concrètes qui aident à protéger et à préserver ta liberté et ta dignité humaine.

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