- ENTREE de SECOURS -



jeudi 31 décembre 2020

La grande loi saisonnière sur la disparition de la grippe / grippe saisonnière 2020

 PAR TYLER DURDEN

JEUDI 31 DÉC.2020 10:00

Rédigé par Stephen Lendman,


Selon l'OMS, la grippe / grippe saisonnière a pratiquement disparu cette année dans l'hémisphère sud.

«En Amérique du Sud tropicale, il n'y a pas eu de détections de grippe…»

«À l'échelle mondiale… l'activité grippale est restée à des niveaux inférieurs aux attentes pour cette période de l'année.»

Plus bas signifie que la grippe n'est pratiquement pas apparue cette année comme toujours auparavant.

Voici la grippe 2019 ...



Source: CDC

Et voici 2020 ...



Source: CDC

Où sont passées toutes les épidémies de grippe ?

Voir ci-dessous.

Par ailleurs, l'OMS a affirmé que «diverses mesures d'hygiène (y compris le port de masques) et d'éloignement physique… ont probablement joué un rôle dans la réduction de la transmission du virus de la grippe».

Le port d'un masque est inefficace et potentiellement nocif pour la santé.

Les masques sont poreux. Ils doivent l'être. Sinon, les porteurs suffoqueraient.

Les spores d'aérosol sont minuscules. Capable de pénétrer tous les masques et de se concentrer en dessous de ceux-ci risque plus de nuire aux porteurs que d'éviter leur utilisation.

Tout ce qui a été commandé ou recommandé cette année pour la protection a fait infiniment plus de mal que de bien - notamment en raison de la perte d'emplois et de revenus lors des verrouillages et des quarantaines.

Le CDC a déclaré avec désinvolture "(s) l'activité grippale facile aux États-Unis reste inférieure à la normale pour cette période de l'année."



Il a pratiquement disparu - ou l'a-t-il fait ?

Covid est une «grippe saisonnière» déguisée - aux États-Unis et dans le monde.

Dans sa dernière période de rapport hebdomadaire avant la fin de l'année, le CDC a déclaré:

«Le pourcentage d'échantillons respiratoires testés positifs pour la grippe dans les laboratoires cliniques est de« un dixième de 1 %.

C’est pratiquement inexistant.

Pour la période de trois mois aux États-Unis se terminant fin décembre, les résultats étaient pratiquement les mêmes.

Il n'y a presque pas de grippe saisonnière cette année parce que leurs éclosions sont appelées covid.

Dans le monde entier, la grippe saisonnière est environ 98 % inférieure cette année par rapport aux saisons grippales précédentes.

La porte-parole de l'OMS, le Dr Sylvie Briand, a récemment affirmé que «littéralement, il n'y avait pratiquement pas de grippe dans l'hémisphère sud» en 2020, ajoutant:

«Nous espérons que la situation sera la même dans l'hémisphère nord» à la fin de cette saison grippale.

Si la tendance actuelle se poursuit comme il est fort probable, l'incidence de la grippe saisonnière sera minime par rapport aux années précédentes dans les hémisphères nord et sud. Dans le même temps aux États-Unis dans tout le pays et dans le monde, des nombres élevés de covid sont signalés.

Si elles sont correctement identifiées, elles s'appelleraient la grippe qui apparaît chaque année aux États-Unis et à l'étranger comme sur des roulettes.

Elle n’est pas accompagnée d’une hystérie de masse alarmiste, de verrouillages, de mises en quarantaine, de port de masques, de distanciation sociale, et le plus important:

Aucun effondrement économique ne se produit qui a causé la plus grande dépression de la rue principale de l'histoire des États-Unis cette année, qui sera probablement prolongée pour maintenir le contrôle social et continuer à transférer des quantités sans précédent de richesse des gens ordinaires aux riches.

Ils profitent d’une multitude de richesses grâce à ce qui se passe aux dépens de la plupart des autres.

Le 15 décembre, Nature.com a noté que «les mesures destinées à apprivoiser la pandémie de coronavirus réduisent la grippe et la plupart des autres maladies respiratoires» - appelant ce qui se passe le «pétillement de la grippe».

Affirmant que "les verrouillages ont arrêté la grippe dans son élan, (les flambées) ont chuté (ting) de 98 % aux États-Unis", ignorait que ce qu'on appelle covid est la grippe saisonnière.



La grande grippe en voie de disparition de 2020 passe largement sous le radar des médias.

La tromperie de masse et le pouvoir de répétition multipliés par les médias amènent la plupart des gens à croire que ce qui est nocif pour la santé et le bien-être est bénéfique.

https://www.zerohedge.com/covid-19/great-2020-seasonal-fluinfluenza-disappearing-act

lundi 28 décembre 2020

Les dégâts de l’éolien et du solaire : les coûts d’acheminement de l’électricité

Multiplier les sources de production et consommation de l’électricité, c’est tirer des câbles de cuivre et d’aluminium. Pas très écologique, et ruineux.


29 DÉCEMBRE 2020 

Par Michel Negynas.


L’éolien et le solaire bénéficient de règles complètement anti libérales dans le cadre européen de libéralisation de l’électricité : obligation d’achat de la production, quand il y en a, par le réseau électrique, quel que soit son besoin, et tarifs subventionnés garantis sur des périodes longues. En outre, il en existe une autre, moins connue : l’éventuel surcoût directement lié à leur développement est supporté par le réseau de transport et de distribution.

Rappelons, de plus, que l’intermittence de ces moyens de production impose d’investir en double dans un réseau de production pilotable, nécessaire pour assurer la continuité du service les nuits sans vent. Cela réduit en fait à néant l’utilité de développer ces producteurs d’énergie aléatoire, qui sont en fait un doublon par rapport à ce qui est absolument nécessaire. Pire, leurs caractéristiques en font des perturbateurs du réseau, ce qui a des conséquences technologiques et financières.

QUELQUES NOTIONS SIMPLES SUR NOTRE ÉLECTRICITÉ

Nous utilisons du courant alternatif au lieu de courant continu : il varie autour de zéro lors d’un cycle et cela 50 fois par seconde, c’est sa fréquence. Cela a plusieurs avantages :

il est plus facile à produire par des machines tournantes, et inversement peut faire tourner des moteurs très simples.

par le biais des transformateurs, on peut adapter la tension (les volts) et le courant (les ampères) au transport et à l’usage, pour limiter les pertes.

le passage à zéro 50 fois par seconde aide les disjoncteurs à couper le courant quand il le faut.

Par contre, il présente quelques inconvénients.

gestion de deux types d’énergie : l’énergie active, qui seule peut se transformer en énergie mécanique, et l’énergie réactive, consommée par certains utilisateurs. C’est une composante importante des réglages du réseau, assez peu connue du grand public.

les lignes électriques très longues posent des problèmes de stabilité. C’est pour cela que pour des liaisons à longue distance, on revient à du courant continu au moyen de convertisseurs électroniques. Et c’est pour cela aussi qu’équilibrer géographiquement les puissances sur le réseau se fait de proche en proche. Ce n’est ni évident, ni instantané.

Les gestionnaires de réseau doivent donc régler les puissances actives et réactives, la tension et la fréquence du réseau dans des limites contractuelles pour que tout fonctionne, avec des contraintes géographiques, et cela à la microseconde près.

Heureusement, le réseau a la faculté de s’adapter un peu de lui-même lorsqu’il est alimenté par de gros turbo-alternateurs, lesquels ont une grande inertie mécanique et fournissent les deux types d’énergie. Les réglages se font par les régulateurs de ces machines, ainsi qu’avec des équipements assez simples, comme des condensateurs.

LES DÉGÂTS COLLATÉRAUX DES ÉNERGIES DIFFUSES, INTERMITTENTES ET ALÉATOIRES

La production diffuse

Dans des régions à forte densité de population comme l’Europe, centraliser la production d’électricité est une évidence. On montre en effet que les coûts énergétiques sont corrélés à la surface occupée par les moyens de production.

En outre, plus un réseau est interconnecté, plus il est facile et peu onéreux d’assurer la continuité d’alimentation. (Si vous voulez que votre maison photovoltaïque soit réellement autonome en énergie, il vous faut un diesel de secours pour les jours sans soleil et les pannes). L’interconnexion exige la centralisation de la conduite du réseau.

En outre, une production à l’aide de grosses unités est plus facile à gérer qu’une multitude de petites unités. C’est une des difficultés intrinsèque à la « production citoyenne » et à la couverture de la France d’éoliennes de 3 MW ou de champs photovoltaïques de 1 ou 2 MW ; ou pire, d’installations en toiture de quelques kW…qui modifient la nature même du réseau électrique de distribution, puisqu’il devient aussi réseau de production.

Le réglage du réseau

Une grande partie des petites éoliennes, installées en majorité sur le territoire, de 1 à 3 MW, sont incapables de régler quoi que ce soit. Elles ne participent pas à la stabilité du réseau, au contraire, elles le perturbent. Tant que leur puissance installée totale est assez faible par rapport au réseau, cela n’a pas grande importance.

Mais les plans de développement de la Programmation pluriannuelle de l’énergie changent la donne. Les grandes éoliennes off shore, elles, doivent s’équiper pour participer à la stabilité du réseau car leur impact individuel n’est pas négligeable : c’est au prix d’une grande complexité des appareillages internes, sources de pannes et d’incidents, et d’équipements spécifiques sur le réseau..

En ce qui concerne le solaire, qui produit du courant continu, l’injection dans le réseau nécessite de toute façon un convertisseur électronique plus ou moins complexe.

Mais tout ça n’a aucune inertie : si on n’avait que des ENR sur un réseau, il serait impossible à régler et stabiliser. En outre, tous les équipements électroniques cités produisent un courant très haché, source de pertes et nécessitant eux-mêmes d’autres dispositifs pour le lisser.

La variabilité instantanée de la production 


La prévision de la production des ENR aléatoires est en gros possible en gros à long et moyen terme. Les variations sur la journée sont moins prévisibles, mais le réseau peut s’adapter, même avec des centrales nucléaires, toutefois au prix d’usure prématurée et de surcoûts.

Mais il existe une variabilité à très court terme : une rafale de vent, un train de nuages qui passe… Celle là est très perturbante pour le réseau. C’est particulièrement vrai pour l’éolien, on le voit sur la figure suivante (Puissance/vitesse) dans la zone des vents intermédiaires, qui peuvent être prépondérants à certaines saisons, et où une faible variation de vitesse entraîne une grande variation de puissance.

L’éloignement entre sources de production (régions venteuses) et lieux de consommation

Ce problème est particulièrement vrai en Allemagne, entre mer du Nord et Ruhr ou Bavière. On a vu qu’en fait, l’électricité se transporte mal sur de longues distances, avec des pertes.

LES REMÈDES

Les ingénieurs ayant une créativité infinie, presque tous ces problèmes ont une solution technologique à base de batteries pouvant stocker quelques minutes de production, de condensateurs ou d’appareillages très sophistiqués à base de semi- conducteurs.

Jusqu’à une certaine limite cependant. Par exemple l’Irlande, dont le mix est très riche en ENR, expérimente ces difficultés et n’aura de salut qu’en renforçant son interconnexion avec l’Angleterre et peut-être la France. Il va sans dire que toutes ces considérations rendent impossible techniquement un scenario tout ENR.

Mais voilà, tous les gadgets précités ont un coût… pris en charge non pas par la production qui les rend nécessaires, c’est-à-dire l’éolien et le solaire, mais par les réseaux… En France, le raccordement des ENR est à la charge du réseau, peu de gens le savent.

C’est ainsi que RTE (Réseau de Transport de l’Électricité) en charge du réseau Haute Tension et ENEDIS, en charge du réseau de distribution, annoncent des investissements faramineux : en tout, 102 milliards sur 15 ans. Et bien qu’ils s’en défendent, une grande partie est directement liée au développement du solaire et de l’éolien.

RTE annonce 33 milliards : 13 milliards concernent l’adaptation du réseau, 8 milliards le renouvellement des ouvrages les plus anciens, 7 milliards le raccordement des énergies marines, 3 milliards le numérique et 2 milliards pour les interconnexions transfrontalières.

Autrement dit, la maintenance représente 7 milliards : tout le reste c’est pour les ENR, c’est-à-dire pour les raccordements et pour sophistiquer une conduite du réseau rendue plus complexe.

Comme l’admet François Brottes, président de RTE :  « C’est un peu comme un athlète de très haut niveau qui pratiquait il y a quelques années le triathlon – nucléaire, hydraulique, thermique – et qui maintenant pratique le décathlon : il y a beaucoup d’énergies nouvelles, de modes de consommation nouveaux. » Sauf que le triathlon suffisait…

ENEDIS annonce 69 milliards. C’est curieux, car la PPE ne prévoit pas d’augmentation de la consommation.

Il y en a 5,7 pour le compteur Linky si on compte les dépenses totales. La rentabilité est basée sur les économies de personnel qui pourraient être faites sans le Linky. Il y a déjà des procédures permises via une photo du compteur envoyée par mail… En fait, le cœur du Linky, c’est son disjoncteur, qui ne remplace pas le disjoncteur de protection de l’installation. Il est là pour servir un jour, peut être… Il attend son heure, une nuit sans vent par exemple.

Mais il y a d’autres postes importants : « On passe d’un réseau où l’électricité va dans un sens, du producteur au consommateur, à un système électrique conçu et exploité de manière totalement différente, avec des acteurs nouveaux », remarque Marianne Laigneau, nouvelle Présidente d’Enedis…

L’entreprise doit ainsi raccorder actuellement 90 % des nouvelles installations renouvelables au réseau d’électricité. Soit 450 000 producteurs d’électricité en tout, pour une capacité de 26 gigawatts raccordés en dix ans… (Les Échos)

L’autre poste important, c’est la mobilité électrique : pour 2022, Enedis vise donc aussi 100 000 bornes raccordées au réseau, contre près de 30 000 aujourd’hui. Cela permettra de recharger un million de véhicules électriques environ. « Notre rôle est d’être un facilitateur de cette mobilité électrique. Nous ne vendons rien », insiste Marianne Laigneau.

L’entreprise aide, par exemple, les collectivités à déterminer quel serait l’endroit le plus pertinent pour installer des bornes de recharge. « Après on tire des câbles » pour connecter ces bornes au réseau, explique la nouvelle dirigeante…(Les Échos)

Eh oui, on l’oublie toujours, mais multiplier les sources de production et consommation de l’électricité, c’est tirer des câbles de cuivre et d’aluminium. Pas très écologique, et ruineux.

https://www.contrepoints.org/2020/12/29/387535-les-degats-de-leolien-et-du-solaire-les-couts-dacheminement-de-lelectricite

dimanche 27 décembre 2020

PAWN - Forest Whitaker, Michael Chiklis, Ray Liotta

 https://www.youtube.com/watch?v=euEZaVBm57s

Intervention Dr Astrid Stuckelberger- De l'efficacité des tests PCR pour le Covid-19

 Regards croisés avec Astrid Stuckelberger, docteure en santé publique qui se montre critique envers ces tests, et Manuel Schibler, médecin et virologue qui s'assure du bon usage des tests aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG).

Audio:

3:42 Le virus n'a jamais été isolé.

5:32 (Islande) 290 mutation de ce génome (RNA)

7:50 Test PCR (12:40 Jusqu'à 25 et non 30 ou 40)

9:59 On parle de millions, de milliards de virus détectés

https://www.youtube.com/watch?v=iveKqLNYUbI

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Dr Astrid Stuckelberger - Tests PCR et cycles d'amplification (Conférence)

https://www.youtube.com/watch?v=ZJWbhWb51ew

jeudi 24 décembre 2020

Enfermé de force en hôpital psychiatrique pendant 3 ans à cause de son honnêteté - Politique & Eco

 L'hôpital psychiatrique pour avoir dit la vérité. Dans son autobiographie "Le rescapé de l'âme", Jean-Louis Caccomo, brillant professeur d'économie à l'Université de Perpignan, raconte comment il a été interné de force par sa hiérarchie après avoir dénoncé un trafic de faux diplômes. Il dénonce la corruption d'un réseau aux pratiques mafieuses et la machination psychiatrique à l'œuvre en France. Un témoignage unique pour ouvrir les yeux...

https://www.youtube.com/watch?v=JoZFECE6DBA

https://www.youtube.com/watch?v=W5qOlAeRdtg

La révolution géothermique

Par Craig Rucker 

23 décembre 2020


Les énergies dites «renouvelables» font fureur. Le problème est que l'éolien et le solaire, les énergies renouvelables les plus populaires, sont des sources d'énergie intermittentes et inefficaces qui sont bien meilleures pour générer des subventions que l'électricité.

Ensuite, il y a la géothermie, qui pourrait bien être une source d'énergie renouvelable à zéro émission (si c'est votre truc), qui évolue.

David Wojick explique la science sur CFACT.org:

Il y a une révolution à venir dans l'énergie géothermique. Il reste à voir quelle sera sa taille et à quelle vitesse elle pourra croître, mais la technologie révolutionnaire est là maintenant… La croûte terrestre sur laquelle nous vivons n’est qu’un film mince enroulé autour d’une boule fondue de 8 000 milles (12 874 km) de diamètre. Dans certains endroits sous l'océan profond, cette croûte est estimée à seulement 3 miles ou plus d'épaisseur. Il est un peu plus épais sous les continents mais la pointe demeure; il chauffe rapidement lorsque vous percez la croûte. Cette chaleur est de l'énergie géothermique.

La fracturation a permis aux États-Unis d'atteindre l'objectif longtemps recherché de l'indépendance énergétique. Il s'avère que la fracturation hydraulique est un cadeau qui ne cesse de donner. Wojick explique que la fracturation hydraulique a de profondes applications pour la géothermie, permettant aux producteurs d'énergie de localiser les sources de chaleur souterraines avec une plus grande précision que jamais:

Avec la fracturation hydraulique (ou fracturation hydraulique), nous pouvons fabriquer ces réservoirs géothermiques où nous les voulons, à la taille que nous voulons et où la chaleur est la température que nous voulons, en particulier très chaude. Cela inclut l'eau dite «supercritique» à 400 ° C, qui est maintenant utilisée dans les centrales les plus avancées.

La gauche anti-énergie ronfle, espérant que Joe Biden réalisera ses fantasmes les plus destructeurs.

Jusqu'à présent, ils ont donné une approbation quelque peu tacite à la géothermie… mais est-ce que cela va continuer si elle est liée à la «fracturation»? Je suppose que nous devrons attendre et voir !

https://www.cfact.org/2020/12/23/the-geothermal-revolution/

mercredi 23 décembre 2020

Brève. Quand on dispose de la puissance de l’argent on ose tout

 le 23 décembre 2020


La deuxième plus importante usine de production d’hydroxychloroquine dans le monde a été détruite dimanche par une très forte explosion suivie d’un incendie massif. L’usine, située près de l’aéroport Taoyuan de Taïpeh, à Taïwan est totalement hors d’état de produire ce produit. Les conditions de sécurité dans une usine chimique sont extrêmement strictes et tout les personnels sont formés et au moins deux fois par an doivent assister à des sessions d’exercices de lutte contre le feu, le confinement des produits dangereux en cas d’incident et à des rappels des gestes élémentaires de sécurité. J’ai subi ce genre de formation pendant plus de 13 ans lorsque je travaillais au sein d’un centre de recherche de Rhône-Poulenc. Taïwan n’est pas un pays sous-développé et il est inconcevable que cet accident soit la conséquence d’un manque de rigueur industrielle.

La synthèse de cette molécule ne fait jamais appel à des conditions extrêmes de température ou de pression. C’est un process très bien maîtrisé effectué en continu qui, pour un chimiste, ne présente pas de problèmes particuliers. La seule hypothèse est une origine criminelle de cette explosion. L’hydroxychloroquine dérange au plus haut point le lobby international de la pharmacie pour deux raisons. Administré massivement à titre préventif et prophylactique pour maîtriser la pandémie de SARS-CoV-2 celle-ci ne serait plus qu’un souvenir. Le nombre de morts aurait été diminué de plus de la moitié. Certes les personnes de plus de 80 ans ayant une espérance de vie de moins d’une année seraient mortes mais n’auraient pas été comptabilisées abusivement dans les décès estampillés Covid. N’ayant pas d’alternative crédible pour traiter ce virus les laboratoires pharmaceutiques n’auraient pas systématiquement corrompu les gouvernements pour imposer des produits alternatifs inefficaces et dangereux en exigeant qu’ils interdisent l’hydroxychloroquine et plus important encore les gouvernements ne seraient pas obligés aujourd’hui de dépenser (l’argent des contribuables) des sommes astronomiques, des centaines de milliards de dollars, pour vacciner leurs populations avec un vaccin inconnu potentiellement dangereux.

Cet accident ne peut être que criminel …

Source : https://whatnownews24.com/2020/12/20/massive-explosion-at-a-pharmaceutical-company-in-north-taiwan/

https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/12/23/breve-quand-on-dispose-de-la-puissance-de-largent-on-ose-tout/ 

mardi 22 décembre 2020

Brève. Les fondement de la dictature sanitaire en Europe occidentale

 

 le 22 décembre 2020


Après avoir mis dans l’embarras de nombreux gouvernements et en particulier l’Union européenne mais également la France en déconseillant l’administration de Remdesivir (Gilead) comme traitement curatif du SARS-CoV-2, l’OMS enfonce le clou en dénonçant le peu de fiabilité des tests RT-PCR pour la détection des « cas » de SARS-CoV-2. En effet, afin de « gonfler le nombre de cas positifs » pour justifier les mesures coercitives imposées aux populations le test RT-PCR (reverse transcriptase-polymerase chain reaction) le nombre de cycles d’amplification préconisé par les autorités de santé gouvernementales est ridiculement élevé. Au delà de 25 cycles les résultats ne sont plus fiables, comprenez ils ne veulent plus rien dire, du genre Seralini si on peut dire les choses ainsi. Les laboratoires d’analyse ne sont pas équipés pour détecter la « vraie » présence du virus et le protocole utilisé pour ces tests nécessite un grand nombre de cycles d’amplification pour que la présence d’ARN viral puisse être effectivement détectable. Lorsque j’ai utilisé cette technique PCR au cours de mes travaux de recherche la confirmation finale de l’amplification était réalisée par électrophorèse qui permettait d’évaluer la taille de l’ADN amplifié ainsi que sa teneur dans l’échantillon initial par extrapolation. C’est la raison pour laquelle le Docteur Kary Mullis qui fut nobélisé pour sa découverte et la mise au point de la PCR (c’est bien féminin car il s’agit d’une réaction enzymatique !) mettait en garde les utilisateurs devant les faux positifs qui apparaissaient proportionnellement au nombre de cycles d’amplification et qu’en aucun cas un test PCR pouvait être considéré comme un diagnostic médical. C’est du « lourd » et Mullis l’a répété de nombreuses fois.

Mais l’augmentation astronomique du nombre de « cas » détectés par PCR arrange bien les gouvernements qui peuvent ainsi museler les récalcitrants et maintenir des populations entières dans un état de peur permanente pour mieux les manipuler et les dominer. Jamais je n’aurais imaginé il y a 30 ans que le test PCR servirait un jour d’instrument pour mettre en place des dérives politiques dictatoriales à la limite du fascisme. Il est possible que l’OMS se soit rendue compte de cet état de fait et a finalement décidé dans un bref communiqué en date du 14 décembre 2020 d’avertir ces mêmes autorités politiques en charge des questions de santé qu’ils en faisaient « un peu trop » ( https://www.who.int/news/item/14-12-2020-who-information-notice-for-ivd-users ). Déjà en 2009 les auteurs de manuscrits de recherche scientifique et médicale étaient mis en garde contre les possibles mauvaises interprétations des tests PCR mais visiblement les autorités politiques ont pris soin de l’ignorer pour mieux tromper les populations. Il faudra bien que ces malfaisants répondent de leurs actes un jour ou l’autre ( https://www.gene-quantification.de/miqe-bustin-et-al-clin-chem-2009.pdf ) car il s’agit de tromperies grossières.

L’apparition d’une nouvelle souche de SARS-CoV-2 d’origine britannique cette fois, ça change de la Chine, a réchauffé les velléités des gouvernements européens de réduire encore une fois les libertés individuelles des citoyens. Mais laissez-moi rire de ce nouveau psychodrame qui ébranle toute l’Europe à quelques jours des fêtes de fin d’année. L’IHU de Marseille, l’organisme de recherche médicale à la pointe des recherches mondiales relatives au SARS-CoV-2, a dénombré par moins de 6 souches nouvelles de ce même virus dont une petite épidémie locale provenant d’Afrique du Nord qui a disparu en quelques semaines.

Avec le gonflement artificiel du nombre de morts estampillés « coronavirus », l’utilisation abusive des tests PCR et l’apparition presque magique de nouvelles souches du virus pour raviver la peur des populations avec le relais des médias « main-stream » qui ont toujours un os à ronger, celui des subventions gouvernementales, cette pandémie est-elle finalement toujours aussi réelle qu’on veut bien nous le dire ? Tout à fait réel néanmoins est l’appétit insatiable des « Health Majors », comprenez « Big Pharma » qui a décroché le gros lot avec les vaccins, pas pour moi :


Source partielle : Off-Guardian.org et pour les curieux cet exposé de Reiner Fuellmich sous-titré en français : https://www.youtube.com/watch?v=asSSfQGd_u4 et l’extraordinaire exposé de l’anthropologue Jean-Dominique Michel « Covid-19, anatomie d’une crise » https://www.youtube.com/watch?v=8WGOobEHOos

https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/12/22/breve-les-fondement-de-la-dictature-sanitaire-en-europe-occidentale/

lundi 21 décembre 2020

Le commerce de l’écologie suscite la convoitise


 L’appellation « renouvelable » auréole d’une éternité écologique les énergies les moins vertueuses et les moins durables qui soient.


Par Michel Gay.

 21 DÉCEMBRE 2020

 

Le commerce de l’écologie suscite la convoitise au point que certains sont prêts à tout pour faire primer leurs projets idéologiques sur la réalité.

Cela part de la petite exagération du temps de parcours en voiture d’un lieu à un autre à Lyon pour favoriser un projet de télécabine, à la grande illusion des énergies renouvelables intermittentes (EnRI) qui seraient capables de succéder au nucléaire.

Et en plus, ils sont parfois aidés dans leur propagande par la complicité involontaire de leurs victimes qui ne voient généralement pas que les rêves présentés enrobés d’approximations, de non-dits et de contre-vérités soigneusement masqués, peuvent les conduire au cauchemar.

DES COÛTS INVISIBLES…

Le vrai problème caché sous le tapis est le coût complet des EnRI et celui de leur insertion dans le réseau d’électricité. La perte de valeur du parc nucléaire est une des composantes de ce coût qui n’est pas prise en compte aujourd’hui avec le coût du stockage nécessaire pour lisser cette production d’électricité aléatoire.

Depuis plusieurs années, malgré la démonstration du caractère ruineux des EnRI pour les Français, et notamment des éoliennes en mer, rien n’y fait. Presque aucun élu n’a jugé bon de se mettre en travers de ces projets délirants qui fleurissent dans les campagnes et sur mer. Il n’y a pas pire sourd et aveugle que celui qui ne veut pas entendre ni voir.

L’opposition populaire pourrait réussir à faire capoter de tels projets mais le déferlement des lobbyistes et des grands médias en faveur des EnRI l’étouffe.

D’où l’importance d’une communication intense sur les réseaux sociaux pour expliquer pourquoi ces sources d’énergies fatales ruineront les Français et le système électrique européen.

Une étude de 2016 estime que la perte de valeur économique du nucléaire résultant de l’insertion des EnRI en France atteignait alors 2,9 milliards d’euros.

Ce chiffre est du même ordre de grandeur que les subventions récoltées chaque année par les producteurs d’EnRI (3,5 milliards d’euros).

La poursuite du développement des EnRI au rythme actuel ne peut que conduire à l’envolée de cette perte de valeur qui doit être ajoutée à leurs coûts cachés !

Les Français ne pourront pas compter sur l’Agence de la transition écologique ADEME, ni sur le ministère de l’Écologie, pour faire sortir cette question du coût complet des EnRI.

Il existe une étroite corrélation entre l’augmentation du prix de l’électricité en Europe de l’Ouest et l’insertion massive et superfétatoire des EnRI.

Pourquoi vouloir s’appauvrir sans nécessité puisque les EnRI sont incapables d’assurer la production d’électricité nationale, y compris sans gaz carbonique ?

Arrêter les doublons et supprimer sans délai les investissements dans les EnRI relèvent de l’intérêt général de la France. Les Français ne perçoivent pas encore que la transition énergétique et écologique passe par l’électricité décarbonée issue du nucléaire et des barrages !…

L’IMPOSTURE

L’appellation « renouvelable » est une formidable imposture qui auréole d’une éternité écologique les énergies les moins vertueuses et les moins durables qui soient tels que les PV et les éoliennes.

Leur intermittence aurait dû les disqualifier sur un réseau où les autres fournisseurs proposent sur le marché une production pilotable.

La France aura été la grande perdante de cette imposture au sein de l’Europe.

Au lieu de les nommer énergies « intermittentes », le terme « renouvelable » ou « vert » a permis de les noyer au milieu d’autres « renouvelables », pilotables elles, comme par exemple l’hydraulique qui est une excellente source d’électricité.

Force est de constater qu’en Allemagne, pas plus qu’en France, les EnRI n’ont toujours pas permis de remplacer la moindre puissance pilotable. Une nouvelle centrale au charbon (Datteln-4) plus puissante qu’un réacteur nucléaire moyen a même été installée en toute discrétion au printemps 2020 en Allemagne.

En Allemagne, les plus de 100 GW de puissance intermittente éolienne et solaire installée depuis 2002 n’ont pas permis de remplacer le moindre moyen de production pilotable.

Au contraire, celle-ci s’est même accrue : 102 GW en 2002, 105 GW en 2016 et 114 GW fin 2019 en incluant la biomasse.

Comment ces EnRI pourraient-elles se substituer à un seul réacteur nucléaire en France ?

Et c’est la collectivité qui paye le prix fort par centaines de milliards d’euros pour les investissements dans le réseau européen, dans le stockage à grande échelle, et les surcoûts démentiels liés aux EnRI.

Cette manne financière profite au commerce des EnRI soutenu par une véritable propagande médiatique. Elle veut faire croire d’abord que ces sources d’électricité intermittentes peuvent être durables afin, ensuite, de les rendre « indispensables » une fois que tout le système électrique aura été restructuré autour d’elles.

POURQUOI NE PAS APPELER UN CHAT UN CHAT ?

Les règles européennes interventionnistes sont actuellement trop favorables à certains dans le commerce de l’électricité, qui sévissent en Europe avec la bénédiction des politiciens français. Pour eux, l’écologie est d’abord une politique qui rapporte gros et qu’il faut entretenir, mais un jour il faudra bien appeler un chat un chat !

Comment cette supercherie intellectuelle des EnRI a-t-elle pu durer aussi longtemps ? Cette grande illusion prendra fin… un jour.

Les Français devraient dès maintenant se mobiliser pour dénoncer l’incurie et le cynisme des responsables politiques qui ont favorisé le dépeçage financier de la France par ceux qui profitent du commerce de l’électricité.

Ce monstrueux fiasco écologique, financier, et social a été rendu possible par les distorsions avec le réel, sciemment entretenues par l’idéologie écologiste qui se moque des réalités.

https://www.contrepoints.org/2020/12/21/387040-ecologie-suscite-convoitise

samedi 19 décembre 2020

Obama est derrière tout ça ! Patrick Byrne

 Patrick Byrne est un entrepreneur et ancien PDG de la société Overstock et un expert en cyber sécurité . Il passe beaucoup de temps à dénoncer l'Etat Profond. Il évoque la machination d'Obama pour mettre Hillary Clinton au pouvoir pendant 8 ans puis d' y placer Michelle.

https://www.youtube.com/watch?v=sOXXrEh658c&feature=share&fbclid=IwAR3gBEupy_SSsdhNms0Yxi4LH-0IWoMYiKA0pA0-yBI90RAjEkTamv--mgQ

Vaccins SARS-CoV-2 : mais où est passé le principe de précaution ?

 le 19 décembre 2020


Formulé pour la première fois en 1992 lors de la conférence de Rio sur l’environnement le principe de précaution a été inscrit dans le « marbre » de la constitution française par Michel Barnier en 1995 :

« L’absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l’environnement à un coût économiquement acceptable » (source Wikipedia). 

Ce texte à dessein abscons autorise toutes sortes d’interprétations et les décideurs ne se sont pas privés de légiférer au cours des années suivantes et jusqu’à aujourd’hui pour réglementer des domaines de l’activité scientifique, économique et sociale ne relevant pas de ce principe. Fondamentalement le principe de précaution résulte directement de la peur suscitée par toute activité humaine étrangère aux lois de la nature. C’est exactement cet aspect qui a conduit Michel Barnier, en France, à en quelque sorte radicaliser ce principe de précaution. En effet Michel Barnier a enduré une enfance vécue dans la banlieue industrielle de Grenoble au milieu des fumées et des odeurs des usines chimiques du bord de l’Isère. Il en a été profondément marqué et il n’a cessé de mépriser toute forme d’activité humaine non conforme à la réalité de la nature. Sa carrière politique a toujours été teintée de cet arrière-goût de l’environnement qui est la porte ouverte à tous les politiciens opportunistes et Barnier est l’archétype du politicien professionnel n’ayant jamais mis les mains dans le cambouis mais toujours dans la confiture de l’appareil d’Etat, qu’il soit français ou européen.

Aujourd’hui le principe de précaution, dans sa formulation sibylline mentionnée ci-dessus, est donc appliqué « à la lettre » pour la production et l’utilisation massive d’un vaccin dirigé contre le SARS-CoV-2 issu d’une technologie entièrement nouvelle jamais utilisée chez l’homme auparavant. Des cas de paralysie faciale dite paralysie de Bell et plus préoccupant encore des cas de myélite transverse, comprenez une inflammation de la moelle épinière ont déjà été observés à la suite de l’administration de ce vaccin, outre des cas de réactions allergiques plus ou moins violentes (sources: Mayo Clinic et FDA). On est donc en droit de se poser une première question relative à la pertinence de l’application du principe de précaution dans le cas de ce vaccin : le SARS-CoV-2 constitue-t-il un « risque de dommages graves et irréversibles » pour l’humanité ? La réponse est non ! le SARS-CoV-2 ne constitue pas un risque majeur pour l’humanité puisque le taux de mortalité global est à peine supérieur à celui d’une mauvaise grippe saisonnière, quoiqu’en pensent les médias et les politiciens.


La deuxième question au sujet de ce vaccin est la suivante : constitue-t-il une « mesure effective et proportionnée » dans la lutte contre le SARS-CoV-2 ? La réponse est non ! D’une part on ignore si ce vaccin abolira toute contagiosité des sujets ayant été traités. On ignore également « compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment » si ce vaccin sera efficace dans les mois et les années à venir contre des variants génétiques de ce virus, variants qui apparaissent presque chaque semaine dans le monde entier. À l’IHU de Marseille seulement une quinzaine de patients ayant déjà été atteints par le coronavirus ont à nouveau été contaminés par des variants alors qu’on pouvait s’attendre à ce qu’ils soient immunisés contre toute autre forme de ce virus. Personnellement j’ai déjà fait l’expérience de cette grippe étrange avec peu de fièvre et une toux sèche impossible à maîtriser et si cette situation se répétait j’aurai toujours ma vieille chloroquine sous la main pour me traiter, étant entendu que quel que soit le variant génétique de ce virus la chloroquine agira toujours de la même manière.

Cette dernière réflexion personnelle et parfaitement logique m’amène donc à la question suivante : pourquoi les grandes firmes pharmaceutiques ont-elles osé prendre des risques moraux et éthiques disproportionnés pour produire ce vaccin tout en exigeant de la part des gouvernements que ces derniers prennent en charge tous les risques juridiques liés à des effets secondaires, voire des décès, à la suite de campagnes de vaccination massives décidées par ces mêmes gouvernements ? C’est nouveau dans l’histoire de la médecine, du jamais vu ! Les gouvernements, qui ont mis en place le principe de précaution renient ouvertement ce même principe en assumant l’entière responsabilité des risques encourus « qui sont d’un coût économiquement inacceptable » pour paraphraser le texte liminaire de la loi Barnier. Alors qu’il existe maintenant plusieurs traitements prophylactiques et également curatifs dès l’apparition des premiers symptômes, confirmés le cas échéant par un test RT-PCR, qui ne présentent aucun effet secondaire et sont en outre d’un coût ridicule, une dizaine d’euros par mois, alors quelles sont les raisons justifiant l’urgence d’une vaccination massive, systématique, et éventuellement obligatoire ? Je me mets à la place du CEO de Pfizer et je comprend parfaitement son attitude : un vaccin fabriqué massivement par des robots ne revenant qu’à quelques centimes pour être vendu entre 8 et 20 euros la dose (il en faut 2 par personne) aux gouvernements qui ont accepté d’assumer à la place de Pfizer toutes leurs responsabilités juridiques, ce n’est que du très bon pain !

Note. Voici les 5 traitements efficaces (source partielle IHU de Marseille) en prophylaxie et traitement précoce du SARS-CoV-2 : doxycycline, hydroxychloroquine, azithromycine, teicoplanine et ivermectine. Ce sont des « vieilles » molécules pour lesquelles le principe de précaution n’a pas lieu d’être appliqué à condition toutefois que les posologies indiquées par les autorités médicales soient respectées et après avis de ces dernières, vieilles molécules qui constituent un seul grave problème : elles ne sont la source d’aucun profit pour les grandes entreprises pharmaceutiques : voilà le cœur de la problématique des vaccins anti-SARS-CoV-2



Illustration : source La Libre Belgique. Relire aussi sur ce blog : https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/11/11/sars-cov-2-jusqua-quand-on-va-nous-prendre-pour-des-veaux

https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/12/19/vaccins-sars-cov-2-mais-ou-est-passe-le-principe-de-precaution/

 

vendredi 18 décembre 2020

Gouverner par la rage et le ridicule

PAR TYLER DURDEN

VENDREDI 18 DÉC 2020-14: 20

Rédigé par Simon Black via SovereignMan.com,


En juillet, l'Université de Yale a commencé une étude critique sur les vaccins COVID.

Mais l’étude de Yale présente un tournant intéressant: les scientifiques n’ont pas examiné les candidats vaccins réels; au lieu de cela, ils étudiaient comment convaincre le plus efficacement les gens de se faire vacciner.

L'une des choses qu'ils ont testées, en fait, était de savoir comment la culpabilité, l'embarras et la stigmatisation sociale négative pouvaient pousser les gens à prendre un vaccin, même s'ils avaient des doutes ou des inquiétudes à ce sujet.

En d'autres termes, l'étude a examiné si la honte des gens serait un moyen efficace d'obliger tout le monde à prendre un vaccin COVID.

Les résultats de cette étude n'ont pas encore été publiés. Mais les médias grand public et Twitter mob ont déjà décidé que faire honte aux gens est la meilleure approche pour se conformer aux vaccins.

Comme je l'ai écrit plus tôt cette semaine, les résultats d'essais complets d'une poignée de vaccins candidats n'ont été publiés que la semaine dernière. Mais Twitter et les médias ont essentiellement fait honte aux gens pendant des mois.

CNN a publié un article au début du mois d'août, par exemple, intitulé «Théories du complot Covid-19: 6 conseils sur la façon de mobiliser les anti-vaxxers».

C'est l'illustration parfaite de la pré-honte.


Il n'y avait pratiquement aucune donnée sur aucun candidat vaccin en août. Pourtant, les sommités de CNN avaient déjà décidé que quiconque exprimait son inquiétude était un théoricien du complot.

Et maintenant que certains vaccins ont reçu une autorisation d'urgence, les tactiques sont passées de la pré-honte à la rage et à l'intimidation à part entière.

Les amendes et les peines d'emprisonnement sont maintenant ouvertement discutées aux États-Unis, en Europe, en Australie, etc.

J'ai lu récemment un éditorial dans un journal britannique qui allait jusqu'à suggérer que des personnes non vaccinées devraient potentiellement être inculpées de meurtre.

Mais comme on peut le voir, cette approche n'a rien de nouveau. Il existe d’innombrables autres exemples de leur «domination par la rage et le ridicule».

Regardez la politique fiscale -

Les bolcheviks veulent lever des milliards de dollars en recettes fiscales; et ils veulent lever une bonne partie de cet argent auprès des grandes entreprises et des citoyens les plus riches.

Maintenant… une méthode possible pourrait être d'approcher les milliardaires et les PDG comme des partenaires respectés.

Expliquez-leur que le pays est dans un trou budgétaire profond et demandez-leur s’ils seraient prêts à faire un sacrifice financier. Traitez-les avec dignité et gentillesse, et félicitez-les vocalement de leur générosité s'ils y adhèrent.

Mais ce n’est pas ainsi que ces gens fonctionnent.

Au lieu de cela, ils menacent de nationaliser des industries entières, proposent la confiscation pure et simple des actifs et ridiculisent publiquement les riches simplement parce qu'ils réussissent; ils pensent que Jeff Bezos est la pire écume de la terre.

De manière plus frappante, ils ont réussi à jeter un sombre nuage de suspicion sur l'idée même d'être riche.

Quand je grandissais dans les années 80, chaque enfant que je connaissais voulait devenir millionnaire. Devenir riche était une aspiration commune en Occident. Et les gens riches étaient admirés.


Maintenant, ils sont méprisés.

Ces bolcheviks ont tellement réussi à changer l'opinion publique que la richesse est maintenant quelque chose dont vous devez vous excuser.

AOC résume le mieux la situation lorsqu'elle dit: «Vous ne gagnez pas un milliard de dollars. Vous PRENEZ un milliard de dollars. » Les gens croient réellement ce non-sens.

(Cela provient d'une personne qui vend des pulls molletonnés "Tax the Rich" pour près de 60 $ et enregistre les revenus en tant que contributions à la campagne en franchise d'impôt.)

C’est un parfait exemple de rage et de ridicule en action.

Nous avons également vu cette approche avec la justice sociale (Dieu interdit à quelqu'un de commettre l'hérésie de dire que toutes les vies comptent…)

Nous avons clairement vu de la rage et du ridicule au cours des 9 derniers mois de verrouillage de Covid, car vous avez maintenant le droit d'être aspergé de poivre par vos concitoyens si vous n'êtes pas aussi terrifié qu'eux.

Nous avons vu beaucoup de rage et de ridicule sur les élections, avec Twitter et les bolcheviks créant leur «liste d'ennemis» de personnes qui épousent des opinions idéologiques différentes.

(Certains bolcheviks de premier plan ont même appelé à une «Commission vérité et réconciliation» dans la nouvelle administration Biden.)

Et maintenant, nous assistons à cette même approche de rage et de ridicule face aux vaccins.

Ces tactiques ont été extrêmement efficaces; ils gardent les gens sains d'esprit et normaux calmes de peur d'être publiquement calomniés et ostracisés.

Vous n’êtes pas autorisé à parler du vaccin.

Vous n’êtes pas autorisé à parler des élections.

Vous n’avez pas le droit d’avoir une opinion sur la justice sociale (à moins que vous ne cherchiez le pardon).

Vous n'êtes pas autorisé à poser des questions intelligentes et éclairées.

Vos affirmations seront toujours sans fondement.

Vous serez toujours un théoricien du complot diabolique.

Leurs affirmations seront toujours vraies.

Ils seront toujours justes.

Et tous ceux qui croient leur discours d'ouverture, de compromis, de hea

Et quiconque croit en leur discours d'ouverture, de compromis, de guérison et d'unité est sur le point de se réveiller brutalement.

https://www.zerohedge.com/political/governing-rage-and-ridicule

jeudi 17 décembre 2020

Traitement à la vitamine C pour le COVID-19 réduit au silence

Par Joseph Mercola

Mercola.com

17 décembre 2020


Dans la vidéo ci-dessus, le Dr Andrew Saul, rédacteur en chef du service de presse sur la médecine orthomoléculaire, présente des informations précieuses sur l'importance de la vitamine C pour le traitement de la maladie, y compris le COVID-19 - des informations largement réduites au silence par la censure organisée.1

Sa présentation à Tokyo, «Orthomolecular Medicine and Coronavirus Disease: Historical Basis for Nutritional Treatment», souligne le fait que lorsqu'elles sont utilisées comme traitement, des doses élevées de vitamine C - souvent 1000 fois plus que l'apport alimentaire recommandé aux États-Unis (AJR) - sont nécessaires .

C’est une pierre angulaire de la science médicale que la dose affecte le résultat du traitement, mais cette prémisse n’est pas acceptée en ce qui concerne la thérapie vitaminique telle qu’elle est la thérapie médicamenteuse. La plupart des recherches sur la vitamine C ont utilisé de faibles doses inadéquates, qui ne donnent pas de résultats cliniques.

«La littérature médicale a ignoré plus de 80 ans d'études en laboratoire et cliniques sur le traitement à haute dose d'ascorbate (vitamine C)», note Saul, ajoutant que s'il est largement admis que la vitamine C est bénéfique dans la lutte contre la maladie, la controverse existe sur la mesure dans laquelle . «Des quantités modérées fournissent une prévention efficace», dit-il, tandis que «de grandes quantités sont thérapeutiques».

Trois pionniers de la thérapie à haute dose de vitamine C

La vitamine C est peut-être plus connue pour ses propriétés antioxydantes - propriétés qu'elle maintient en raison de sa capacité à donner des électrons à des molécules oxydées. Même en petites quantités, la vitamine C aide à protéger les protéines, les lipides, l'ADN et l'ARN de votre corps contre les espèces réactives de l'oxygène générées au cours du métabolisme normal ainsi qu'en raison de l'exposition aux toxines (comme la fumée de cigarette et la pollution de l'air).

La vitamine C est également impliquée dans la biosynthèse du collagène, de la carnitine et des catécholamines, selon Rhonda Patrick, Ph.D., et en tant que telle, «la vitamine C participe à la fonction immunitaire, à la cicatrisation des plaies, au métabolisme des acides gras, à la production de neurotransmetteurs et à la formation des vaisseaux sanguins, ainsi que d'autres processus et voies clés. »2

Cependant, à des doses extrêmement élevées, la vitamine C agit comme un médicament antiviral, tuant en fait les virus. Bien qu'il ait une activité anti-inflammatoire, ce qui aide à prévenir la cascade massive de cytokines associée à une infection sévère du SRAS-CoV-2, sa capacité antivirale a probablement plus à voir avec le fait qu'il est un piégeur de radicaux libres non limité en taux. Les trois pionniers de la thérapie à haute dose de vitamine C comprennent:

1.Dr. Claus Washington Jungeblut - Professeur de bactériologie au Columbia University College of Physicians and Surgeons, Jungeblut était un pionnier de la recherche sur la polio et le premier à rapporter que la vitamine C est une antitoxine antivirale. La vitamine C a été utilisée comme prévention et traitement de la polio, une idée publiée pour la première fois par Jungeblut en 1935.3

«Il est étonnant pour beaucoup que si la vitamine C se révélait être un antiviral, même à petites doses, dans les années 1930, cet intérêt serait présent maintenant, dans la pandémie COVID, d'utiliser la vitamine C à titre préventif et, en fait, comme un traitement pour la maladie virale à l'heure actuelle », dit Saul.

2.Dr. Frederick Robert Klenner - Pendant des décennies, Klenner, un spécialiste de la poitrine certifié basé en Caroline du Nord, a traité des patients avec des injections de vitamine C allant de 300 milligrammes (mg) à 1200 mg par kilogramme (kg) de poids corporel par jour, traitant avec succès polio, pneumonie et autres maladies virales graves.4

Klenner, le premier médecin à utiliser une thérapie à la vitamine C après 40 ans de pratique médicale, a déclaré: «Lorsque des quantités appropriées sont utilisées, l'acide ascorbique détruira tous les organismes viraux.»

3.Dr. Robert F. Cathcart III - Cathcart était un médecin et chirurgien orthopédiste californien qui a développé la valeur de la vitamine C comme antiviral et a utilisé des doses orales et IV allant jusqu'à 200 000 mg par jour. À partir de la fin des années 1960, Cathcart a utilisé de fortes doses de vitamine C pour traiter avec succès les maladies virales, notamment la grippe, la pneumonie, l'hépatite et le sida.

On demande souvent comment vous pouvez déterminer si vous avez pris trop de vitamine C, et Cathcart l'a décrit en détail dans un article en 1981.5 Avec des doses orales, lorsque vous avez eu toute la vitamine C que votre corps peut supporter, vous développer des selles molles. Cependant, avec de la vitamine C par voie intraveineuse, cela ne se produit pas. La vitamine C liposomale vous permettra également de prendre des doses beaucoup plus élevées sans avoir de selles molles.

Vous pouvez prendre jusqu'à 100 grammes (100 000 mg) de vitamine C liposomale sans problème et obtenir des taux sanguins vraiment élevés, équivalents ou supérieurs à la vitamine C par voie intraveineuse. Cela doit cependant être considéré comme un traitement aigu.

Les vérificateurs de faits ont signalé que l'opinion d'un expert sur la vitamine C était fausse

Cathcart, un médecin avec des décennies d'expérience dans l'utilisation de la vitamine C pour traiter les maladies virales, a déclaré: «Je n'ai pas encore vu de grippe qui n'ait pas encore été guérie ou nettement améliorée par des doses massives de vitamine C.» Saul pense que cela s'appliquerait à toute maladie virale, y compris le COVID-19. Il a posté la citation sur Facebook, qui l'a rapidement signalée comme de «fausses informations» selon ses fact-checkers:

«Certains soi-disant vérificateurs de faits, employés par Facebook, ont décidé que cette déclaration était fausse. Je ne comprends pas comment l'opinion d'un médecin peut être considérée comme fausse. Vous pouvez être en désaccord, mais ce n’est pas faux. Si c’est ce que le médecin a observé, si c’est l’avis professionnel du médecin, c’est un point de vue valable. Mais pas sur Facebook. »

Le 12 février 2020, Saul a déclaré sur Facebook que sur la base des recherches de Jungeblut, Klenner et Cathcart, «La pandémie de coronavirus peut être considérablement ralentie, ou arrêtée, avec l'utilisation généralisée immédiate de fortes doses de vitamine C.» Facebook a immédiatement bloqué sa publication en affirmant qu'elle était fausse, sur la base de l'opinion - encore une fois - de vérificateurs anonymes, dont la plupart n'ont aucune formation médicale formelle.

Il a répondu: «La prévention et le traitement des infections respiratoires avec de grandes quantités de vitamine C sont bien établis. Ceux qui croient que la vitamine C a généralement du mérite mais que des doses massives sont inefficaces ou nocives feraient bien de lire les articles originaux par eux-mêmes.

Saul ajoute que si d'autres nutriments sont également importants, il pense que la vitamine C est la «thérapie de crise» la plus importante pour ceux qui se retrouvent dans l'unité de soins intensifs, extrêmement malades et à risque de mourir du COVID-19. C’est aussi le préventif le moins coûteux pour le grand public.

«Après avoir publié cette mention sur la vitamine C et le COVID», a déclaré Saul, «la vitamine C a commencé à se vendre et à disparaître des rayons des magasins du monde entier. Donc je suppose que les fact-checkers étaient un peu en retard. Mais finalement, ils ont arrêté la diffusion de ces informations - des informations sur les virus traités avec de la vitamine C. »6


Les médecins chinois recommandent un traitement à la vitamine C pour le COVID

Saul met également en évidence une étude, publiée en chinois, qui détaille les récits de quatre patients admis au deuxième hôpital de l'université Xi'an Jiaotong avec COVID-19, qui se sont rétablis en février 2020.

«La vitamine C à haute dose a obtenu de bons résultats dans les applications cliniques», ont noté les chercheurs, ajoutant: «Le traitement à la vitamine C devrait être instauré dès que possible après l'admission» et «la vitamine C à haute dose ne peut pas seulement améliorer les niveaux antiviraux, mais plus important encore, peut prévenir et traiter les lésions pulmonaires aiguës et la détresse respiratoire aiguë. »

Bien que Saul ait partagé cette information, elle n'a pas été reprise par les médias. Une autre citation du Dr ZhiYong Peng, chef des soins intensifs à l'hôpital Zhongnan de l'Université de Wuhan, se lit comme suit:

«Dans mon service et dans d'autres hôpitaux, nous recommandons fortement aux patients d'utiliser 12 000 milligrammes à 24 000 mg par jour de vitamine C. Cela fonctionne pour une réduction significative du COVID devenant un cas grave. Dans mon hôpital, tous les professionnels de la santé reçoivent de la poudre de vitamine C, pour prendre 1 000 à 2 000 mg. J'ai entendu dire que la majorité des grands hôpitaux de Wuhan donnaient de la vitamine C en poudre à leurs professionnels de la santé.

En outre, selon Saul, le gouvernement de Shanghai, en Chine, recommande officiellement de traiter le COVID-19 avec de la vitamine C intraveineuse à une dose de 200 mg par kg de poids corporel par jour, une dose intraveineuse adulte d'environ 16000 mg / jour. Le protocole a été publié par l'Association médicale chinoise.7 Facebook et ses fact-checkers, encore une fois en désaccord, signalant l'information comme «partiellement fausse».

«Ils ne m'ont jamais contacté pour vérifier mes sources… Ils n'ont jamais contacté les hôpitaux… ni qui que ce soit en Chine… Ils n'ont jamais contacté les experts que nous avons cités, et ils n'ont jamais contacté le gouvernement de Shanghai», a déclaré Saul. «Ils ont simplement décidé que c'était de fausses nouvelles, et c'était fini. Je crois que le fait de ne pas divulguer au public les informations sur les traitements à la vitamine C les empêche de communiquer au patient. J'accuse les médias de négligence.

Lancet suggère la vitamine C à haute dose comme «thérapie de secours»

Même un commentaire publié dans The Lancet: Respiratory Medicine en mars 2020 déclare: «Un traitement de secours avec de la vitamine C à haute dose peut également être envisagé» 8 chez les patients souffrant d'insuffisance respiratoire due au syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) causé par le COVID-19. «Très peu a été fait avec cela, malheureusement», déclare Saül, bien qu'il ait été publié dans les premiers mois de la pandémie.

D'autres articles et vidéos YouTube de médecins soutenant l'utilisation de la vitamine C pour COVID-19 ont également été censurés ou supprimés complètement. Une objection parfois soulevée est que la vitamine C à forte dose est dangereuse, mais comme le note Saul, c'est l'une des thérapies les plus étudiées de l'histoire.

En 2007, une étude publiée dans le Journal of the Royal Society of Medicine par Harri Hemila, considérée comme une autorité sur la vitamine C, a qualifié les effets nocifs potentiels de fortes doses de vitamine C de «non fondés» et a déclaré que les patients atteints de pneumonie peuvent à 100 grammes par jour de vitamine C sans développer de diarrhée, «peut-être à cause des modifications du métabolisme de la vitamine C causées par l'infection grave». 9

Des recherches antérieures menées par Hemila et ses collègues ont révélé que 17000 mg / jour de vitamine C par voie intraveineuse réduisaient de 44 % les séjours dans les unités de soins intensifs10. Les infections au COVID-19 ont été traitées avec de la vitamine C à forte dose, impliquant 10 000 mg pour les cas modérés et 20 000 mg pour les cas plus graves, pendant sept à 10 jours.

Non seulement tous les patients se sont améliorés, mais aucun effet secondaire n'a été signalé lors de la thérapie à la vitamine C. "Vous l'avez deviné", a déclaré Saul, "les vérificateurs ont dit que c'était faux. Facebook a dit que c'était faux. Les médias ont dit que c'était faux. Et ce rapport, rédigé par un médecin directement de Shanghai, qui a personnellement travaillé avec le chef de la médecine d'urgence d'un grand hôpital, là-bas, et a eu du succès ... tout cela a été qualifié de fausse information et interdit de Facebook.


«C’est une censure organisée»

En février 2020, rapporte Saul, l'Organisation mondiale de la santé a rencontré une douzaine d'entreprises technologiques, dont Google, Amazon et YouTube, leur demandant d'arrêter la propagation de la désinformation sur les coronavirus. Le groupe, qui prévoyait de se réunir tous les quelques mois, a ciblé les informations liées aux traitements de santé naturels comme la vitamine C, les qualifiant de fausses nouvelles et de complots.11

Mais en réalité, a déclaré Saul, l'étiquetage de la vitamine C pour COVID-19 comme de fausses nouvelles est «une censure organisée. Cela correspond à la description du complot. Ils essaient d'empêcher la diffusion d'informations sur la vitamine C. Et, malheureusement, dans une large mesure, ils ont réussi.

Même le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré officiellement en 2016: «Prenez de la vitamine C. Cela peut améliorer la défense de votre corps contre les microbes.» 12

Puis, pendant la pandémie, il l'a mentionné à nouveau, dans une interview Instagram, où il a déclaré que la vitamine D aidera votre corps à résister aux infections, et a ajouté: «L'autre vitamine que les gens prennent est la vitamine C parce que c'est un bon antioxydant, alors les gens veulent prendre environ un gramme de vitamine C, ce serait très bien. »13,14

Cheng a également interrogé une famille à Wuhan, en Chine, qui a pris de fortes doses de vitamine C et n'a pas reçu de COVID-19, malgré un contact étroit avec un patient confirmé de COVID-19. La vidéo a été supprimée par YouTube. "Je ne peux pas croire que cela se passe", a déclaré Cheng.

Le Dr Paul Marik a également montré qu'un protocole de vitamine C intraveineuse avec de l'hydrocortisone et de la thiamine (vitamine B1) améliore considérablement les taux de survie chez les patients atteints de septicémie. Étant donné que la septicémie est l’une des raisons pour lesquelles les gens meurent de l’infection au COVID-19, le protocole de vitamine C de Marik pourrait contribuer grandement à sauver des vies dans cette pandémie.

Ce protocole demande 1 500 mg d'acide ascorbique toutes les six heures et semble radicalement efficace. Cependant, je recommanderais de prendre des doses encore plus élevées en utilisant de la vitamine C liposomale si vous la prenez par voie orale.

Personnellement, je décourage les gens de prendre régulièrement des méga doses de vitamine C s’ils ne sont pas vraiment malades. Je considère la vitamine C à haute dose comme une intervention très sûre et efficace pour les infections aiguës des voies respiratoires supérieures, en grande partie parce qu'elle se transforme en peroxyde d'hydrogène, que votre corps utilise pour lutter contre les infections.

Cependant, je ne pense pas qu’il soit nécessaire de prendre des doses élevées pendant de longues périodes. Le potentiel de la vitamine C pour traiter les maladies graves et aider à les prévenir est quelque chose qui devrait être largement partagé et non réduit au silence.

Pour plus d’informations et de lectures complémentaires, le service d’information sur la médecine orthomoléculaire de Saul possède une archive de plusieurs dizaines de communiqués de presse sur le COVID-19 et la nutrition que vous n’avez probablement pas vu dans les médias.15

Sources and References

1 Vimeo

2 Found My Fitness, Vitamin C

3 J Exp Med. 1935 Sep 30;62(4):517-21. doi: 10.1084/jem.62.4.517.

4 Journal of Applied Nutrition 1971 Vol. 23, No’s 3 & 4, p6l-88.

5 Med Hypotheses. 1981 Nov;7(11):1359-76. doi: 10.1016/0306-9877(81)90126-2.

6 Facebook, Andrew Saul, The Megavitamin Man

7 Chinese Journal of Infectious Diseases, 2020,38(00) : E016-E016. DOI: 10.3760/cma.j.issn.1000-6680.2020.0016

8 The Lancet: Respiratory Medicine May 1, 2020 Volume 8, Issue 5, P433-434

9 J R Soc Med. 2007 Nov; 100(11): 495–498.

10 Nutrients. 2019 Apr; 11(4): 708.

11 CNBC February 14, 2020

12 Washingtonian January 15, 2016

13 Instagram September 9, 2020

14 Health September 14, 2020

15 Orthomolecular Medicine News Service, News Releases 2020

https://www.lewrockwell.com/2020/12/joseph-mercola/vitamin-c-treatment-for-covid-19-being-silenced/

mercredi 16 décembre 2020

Les nouveaux loups de Wall Steet - reportage

 Ce documentaire d'Ali Baddou dévoile un monde boursier très loin des clichés. Il explique les rouages de ce système invisible qui repose sur des algorithmes et des flux immatériels. Cette nouvelle pratique, que l'on nomme le Trading haute fréquence, pourrait, selon certains spécialistes, avoir des effets aussi dévastateurs que les subprimes.

37:00 Les micro-ondes surpassent la fibre optique passant de 13 à 8 millisecondes

http://www.broker-forex.fr/documentaire-nouveaux-loups-wall-street.php

mardi 15 décembre 2020

Épidémie de maladies chroniques — Une étude révolutionnaire révèle que les enfants non vaccinés sont en meilleure santé que les enfants vaccinés

 

Alix Mayer — The Defender

Sott.net

lun., 14 déc. 2020 19:22 UTC

Selon une nouvelle étude publiée le 22 novembre 2020 dans l'International Journal of Environmental Research and Public Health, les enfants non vaccinés sont en meilleure santé que ceux qui le sont. L'étude — « Incidence relative des visites au cabinet médical et taux cumulatifs des diagnostics facturés dans le cadre de la vaccination » — de James Lyons-Weiler, doctorant, et Paul Thomas, médecin, a été menée auprès de 3 300 patients dans le cabinet pédiatrique du Dr Thomas en Oregon, « Integrative Pediatrics ».

Cette étude s'ajoute à une liste croissante d'articles publiés et évalués par des pairs (Mawson, 2017; Hooker and Miller, 2020) qui comparent la santé des enfants vaccinés à celle des enfants non vaccinés. Ces études suggèrent que nous avons longtemps sous-estimé l'ampleur des dommages causés par les vaccins, et que l'épidémie de maladies chroniques chez les enfants n'est plus guère un mystère.

L'étude que le CDC a refusé de faire

Depuis 1986, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) sont légalement tenus de mener des études portant sur l'innocuité des vaccins et d'émettre tous les deux ans un rapport relatif à cette innocuité en ce qui concerne les vaccinations des enfants. En 2018, il a été établi qu'ils ne l'avaient jamais fait. Il incombe donc aux groupes non gouvernementaux de faire le travail que le CDC refuse de faire.

En tant que première organisation gouvernementale à promouvoir la vaccination des Américains, le CDC refuse de s'incriminer dans l'épidémie de maladies chroniques infantiles. Nous avons affaire ici au cas classique dans lequel on demande au renard de surveiller le poulailler. Pour ne pas risquer de voir le public se détourner de la vaccination, ils contribuent à créer un vide de preuves.

Puisque l'étude de Lyons-Weiler et Thomas démontre que les enfants vaccinés souffrent davantage de maladies chroniques et sont également plus susceptibles de contracter des infections respiratoires, ceux qui minimisent les risques liés au vaccin devront se livrer à une nouvelle série de machinations apoplectiques pour tenter d'invalider les résultats.

Malgré la rigueur avec laquelle cette étude a été menée, on imagine très bien que les critiques ne citeront que des données scientifiques opposées. Toutefois, ces mêmes études scientifiques n'ayant jamais été faites, ils ne pourront pas les citer. En lieu et place, et pour détourner l'attention des résultats scientifiques de la présente étude, on peut s'attendre à ce que les critiques s'inspirent d'une tactique éculée consistant à diriger des attaques ad hominem contre les auteurs de l'étude, à critiquer la revue dans laquelle elle a été publiée et à prétendre que sa méthodologie n'était pas fiable.

Lorsque la recherche met en évidence des anomalies qui divergent d'un paradigme scientifique dominant, il est important de se rappeler que ce qui fait la force de la science n'est pas la preuve, mais l'accumulation de preuves qui renforcent un paradigme émergent. L'étude de Lyons-Weiler et Thomas renforce ce paradigme émergent selon lequel les vaccins peuvent causer encore plus de dommages que ceux déjà documentés et caractérisés par le passé.

La pédiatrie pratique est idéale pour étudier les résultats de santé parmi les différents taux de vaccination

La pratique pédiatrique de Thomas suit le plan de vaccination approuvé par le Dr Paul, qui permet aux parents de consentir en toute connaissance de cause et de prendre des décisions concernant les choix de vaccination pour leurs enfants. Ce plan a été élaboré pour réduire l'exposition aux vaccins contenant de l'aluminium et pour permettre aux parents d'arrêter ou de retarder les vaccinations s'ils constatent certains signes révélateurs d'une lésion vaccinale. Des affections telles que des allergies, de l'eczéma, un retard dans le développement ou l'apparition de maladies auto-immunes sont des signes typiques qui indiquent que le système immunitaire d'un enfant ne réagit pas aux vaccins de manière normale.

Ces conditions servent d'indicateurs précoces pour aider le parent et le pédiatre à envisager le ralentissement ou l'arrêt de la vaccination. Ainsi, le cabinet pédiatrique du docteur Thomas compte un nombre incroyable d'enfants — qui sont aussi bien complètement vaccinés que partiellement vaccinés ou pas vaccinés du tout — ce qui en fait le cabinet pédiatrique idéal pour recueillir des informations sur les effets secondaires de la vaccination.

Résultats de l'étude basés sur l'incidence relative des visites au cabinet pédiatrique

L'étude de Lyons-Weiler et Thomas a été menée parmi les dossiers de patients pédiatriques sur une période de 10 ans, à partir du cabinet pédiatrique de Thomas dans l'Oregon. Au lieu d'utiliser les risques relatifs rapprochés des diagnostics dans les deux groupes, les auteurs ont constaté que l'incidence relative des visites en cabinet pédiatrique était plus puissante. Même après avoir contrôlé l'exposition aux soins de santé, l'âge, les antécédents familiaux d'auto-immunité et le sexe, les liens entre la vaccination et de nombreux problèmes de santé étaient substantiels.

Les enfants non vaccinés ont moins de fièvre et nécessitent 25 fois moins de soins pédiatriques hors les suivis médicaux d'enfants en bonne santé

Les résultats de ces recherches montrent que les enfants vaccinés ayant participé à l'étude consultent le médecin plus souvent que les enfants non vaccinés. Le CDC recommande 70 doses de 16 vaccins avant qu'un enfant n'atteigne l'âge de 18 ans. Plus un enfant participant à l'étude a reçu de vaccins, plus il risque de présenter de la fièvre lors d'une visite au cabinet pédiatrique.

L'étude disposait de données uniques qui ont permis aux chercheurs d'étudier les raisons pour lesquelles une consultation pédiatrique était demandée par les parents. À la différence du lien de causalité accepté entre l'augmentation des prises vaccinales et l'augmentation des montées de fièvre qui en découlent, l'augmentation au consentement vaccinal n'a pas été accompagnée d'une augmentation importante des visites médicales pour les enfants en bonne santé. En fait, quel que soit le nombre de vaccinations que les parents décidaient de faire administrer à leurs enfants, le nombre de visites d'enfants en bonne santé était à peu près le même.

Toute crainte que les enfants non vaccinés ou moins vaccinés évitent le médecin est donc infondée et met en perspective la différence stupéfiante des raisons pour lesquelles les parents demandaient une consultation au cabinet pédiatrique. En dehors du suivi médical d'enfants en bonne santé, les enfants qui ont reçu 90 à 95 % des vaccins recommandés par le CDC pour leur groupe d'âge avaient environ 25 fois plus de chances que le groupe non vacciné de consulter le pédiatre pour un rendez-vous lié à la fièvre.



Tableau Visite pédiatrique fièvre vaccins

L'axe des y (vertical) équivaut à l'incidence relative au nombre de visites au cabinet pédiatrique

L'axe des x (horizontal) équivaut au nombre de vaccins acceptés (en percentile). Parmi ces vaccinés, les visites de suivi d'enfants en bonne santé sont en vert et celles d'enfants fiévreux sont en rouge.

Par rapport à leurs homologues non vaccinés, les enfants vaccinés dans le cadre de l'étude avaient 3 à 6 fois plus de chances de se présenter chez le pédiatre pour un traitement lié à l'anémie, l'asthme, les allergies et la sinusite. Les graphiques frappants ci-dessous montrent le nombre cumulé de visites au cabinet pédiatrique en fonction de l'âge et pour diverses affections chez les enfants entièrement vaccinés par rapport aux enfants non vaccinés.



Pas de TDAH chez les non-vaccinés

Dans une découverte étonnante qui ne manquera pas de bouleverser la communauté psychiatrique, pas un seul enfant non vacciné de l'étude n'a été diagnostiqué comme souffrant de trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH), alors que 0,063 % du groupe vacciné a été diagnostiqué comme souffrant de TDAH. Probablement en raison de la prise de décision de la dyade [lien spécial de confiance - NdT] parents-médecins du cabinet pédiatrique du Dr Thomas, les taux globaux de TDAH et d'autisme étaient environ deux fois moins élevés que dans la population générale des enfants américains.

Faible taux de varicelle et de coqueluche chez les enfants vaccinées et non vaccinées

En ce qui concerne la question de savoir si les vaccins préviennent ou non les infections qu'ils sont censés prévenir, un quart de pour cent des enfants vaccinées ont été diagnostiquées avec la varicelle ou la coqueluche, tandis qu'un demi pour cent de ceux qui étaient non vaccinées ont été diagnostiquées avec la varicelle, la coqueluche ou le rotavirus.

Il est significatif qu'aucun cas de rougeole, d'oreillons, de rubéole, de tétanos, d'hépatite ou d'autres infections ciblées par le vaccin n'ait été enregistré chez les personnes vaccinées ou non vaccinées pendant les 10,5 années de l'étude.

Les enfants vaccinés ont 70 % plus de chances de contracter une infection respiratoire

Les vaccinations semblent bien d'une manière générale rendre les receveurs plus susceptibles de développer des infections. Il est donc ironique, mais pas surprenant, que les enfants vaccinés dans l'étude se soient présentés au cabinet pédiatrique pour des infections respiratoires 70 % plus souvent que les enfants non vaccinés. Cette constatation explique probablement la raison pour laquelle les enfants vaccinés se présentent si souvent chez le pédiatre avec de la fièvre. Votre grand-mère avait raison lorsqu'elle a demandé pourquoi les enfants semblent de nos jours être tout le temps malades, en dépit du fait qu'ils soient massivement vaccinés.

Antécédents familiaux d'auto-immunité en corrélation avec une infection de l'oreille et des affections allergiques

Le Dr Yehuda Shoenfeld et d'autres ont décrit un état appelé syndrome auto-immun induit par des adjuvants (ASIA), où la génétique et les antécédents familiaux d'auto-immunité semblent prédisposer les patients vaccinés à un risque plus élevé de développer une maladie auto-immune. Dans cette optique, les auteurs ont comparé les dossiers de patients ayant des antécédents familiaux de maladies auto-immunes — telles que la sclérose en plaques, le diabète de type I ou la thyroïdite de Hashimoto — à ceux de patients dont les familles n'ont pas d'auto-immunité. Les résultats ont été frappants. La vaccination des enfants ayant des antécédents familiaux d'auto-immunité semble augmenter le risque d'infection de l'oreille, d'asthme, d'allergies et d'éruptions cutanées par rapport à ceux qui n'ont pas été vaccinés et qui ont des antécédents familiaux d'auto-immunité.

Des études antérieures ont utilisé une méthode statistique bien moins précise

Les lecteurs de l'étude découvriront les failles des études antérieures effectuées sur l'innocuité des vaccins, comme le biais de sur-ajustement, dans lequel les données sont analysées plusieurs fois dans le but de trouver la bonne combinaison de variables à même de faire disparaître les associations entre les effets néfastes sur la santé et les vaccins. L'une des conclusions les plus importantes de cette étude est que la comparaison du nombre de visites en cabinet médical liées à un état de santé spécifique constitue un outil bien plus précis que la simple utilisation de l'incidence des diagnostics. En fait, les auteurs de l'étude le montrent par simulation — et ils soulignent que les études qui utilisent des risques relatifs en fonction de l'incidence des diagnostics se réfèrent à un cas particulier qui n'a pas beaucoup de valeur pour la méthode présentée dans leur étude à eux — à savoir l'incidence relative des visites en cabinet — parce que les patients ayant un « diagnostic » ont au moins une visite facturée en cabinet médical qui est liée à ce diagnostic. Les auteurs concluent que les futures études sur l'innocuité des vaccins devraient éviter d'utiliser des mesures bien moins précises telles que les risques relatifs en fonction des incidences de diagnostic.

Conclusion

Puisque l'étude a révélé que les raisons pour lesquelles une consultation pédiatrique était demandée par les parents ne pouvait pas expliquer les taux de vaccination, la seule explication qui subsiste pour expliquer pourquoi les patients vaccinés ont besoin de plus de soins pour les symptômes de maladies chroniques associées à la vaccination, c'est que les vaccins ne sont pas seulement associés à des effets néfastes sur la santé — ils sont également associés à des effets néfastes plus graves et plus chroniques sur la santé. Si l'on se rappelle que 54 % des enfants et des jeunes adultes aux États-Unis souffrent de maladies chroniques qui entraînent la prescription de médicaments à vie, il apparaît que la douleur et la souffrance humaines pourraient être réduites en faisant un choix éclairé sur les risques réels de la vaccination et en tenant compte des signes de sensibilité aux vaccins. Bien que les auteurs demandent que d'autres études soient menées selon une méthodologie similaire, cette étude-ci devrait certainement amener les pédiatres à marquer une pause et à se demander s'ils contribuent aux maladies chroniques à vie de certains de leurs patients.

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Source de l'article initialement publié en anglais le 7 décembre 2020 : The Defender - Children's Health Defense

Traduction : Sott.net

https://fr.sott.net/article/36392-Epidemie-de-maladies-chroniques-Une-etude-revolutionnaire-revele-que-les-enfants-non-vaccines-sont-en-meilleure-sante-que-les-enfants-vaccines

samedi 12 décembre 2020

La Cour suprême rejette le procès sans fondement du Texas pour annuler la victoire de Biden, fin de la ligne pour la candidature électorale de Trump

 Chris Sommerfeldt

 12.12.2020

 

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C’est le dernier clou du cercueil électoral du président Trump.

Vendredi, la Cour suprême a lancé un procès de longue haleine pour annuler l'élection de Joe Biden, laissant effectivement Trump sans autre recours juridique dans sa tentative sans fondement de renverser la 'démocratie' américaine.

Sept des plus hauts membres de la cour, y compris la juge Amy Coney Barrett récemment nommée par Trump, se sont unis pour décider que le procès intenté par le procureur général du Texas, Ken Paxton, devrait être rejeté parce qu'il n'a pas montré «un intérêt juridiquement reconnaissable» pour invalider tous les résultats des élections en Géorgie, en Pennsylvanie, au Michigan et au Wisconsin.

Les juges Samuel Alito et Clarence Thomas, deux des autres conservateurs de la cour, étaient les seuls dissidents par écrit qu’ils auraient aimé entendre le procès de Paxton.

Mais Alito et Thomas ont écrit qu'ils n'auraient accordé aucune «autre réparation» dans l'action, ce qui signifie qu'ils n'auraient pas accueilli la demande extraordinaire de Paxton de rejeter les 62 votes électoraux des quatre États pour Biden en faveur de la nomination des législateurs républicains locaux qui soutenir Trump.

Le collège électoral se réunira lundi pour certifier officiellement l'élection de Biden.

https://www.msn.com/en-ca/news/newspolitics/supreme-court-rejects-baseless-texas-lawsuit-to-overturn-bidens-victory-end-of-the-line-for-trumps-election-bid/ar-BB1bRjGQ?ocid=st