- ENTREE de SECOURS -



mardi 6 juin 2023

Transition énergétique, gaz à effet de serre, taxe carbone … une soupe pseudo-scientifique mensongère

  le 5 juin 2023


Le 2 juin j’ai regardé sur le site OpenBox TV une émission organisée par Alain Juillet relative à la transition énergétique avec Philippe Charlez ( https://www.youtube.com/watch?v=M4RPCQtT8-0 ). J’ai laissé un long commentaire sur ce site qui semble avoir disparu à moins qu’il s’agisse d’une disposition évitant de voir s’accumuler d’autres commentaires qu’il faut ensuite gérer. Bref, ma position au sujet du changement du climat, de la transition énergétique, des gaz à effet de serre n’a pas changé depuis mes premières recherches bibliographiques datant de 2014. Je ne connaissais strictement rien dans ce domaine, excepté en ce qui concerne l’énergie, et la COP 21 se profilant j’ai très rapidement compris que le climat méritait mon attention. Ce qui me surprit sur le plan scientifique était l’absence d’une vision intégrée du système Terre-océans-atmosphère. Il y avait des lacunes jamais abordées en 2014 et qui n’ont pas été abordées par Monsieur Charlez. On ne peut pas lui en vouloir puisque Charlez est un géologue ayant travaillé pour Total durant l’essentiel de sa carrière. Si les problèmes d’énergie peuvent concerner un géologue travaillant auprès d’une « major » du pétrole et du gaz, il en va tout autrement du climat. Quelques mois avant la tenue de la « COP 21 » à Paris je découvris que l’échafaudage plus idéologique que scientifique de l’IPCC omettait un paramètre important que la très grande majorité des « spécialistes » du climat omettaient également et omettent toujours, à dessein je n’en sais rien.

Il s’agit du gradient adiabatique auquel est soumise l’atmosphère terrestre en raison du champ gravitationnel de la Terre, « lapse rate » en anglais ( https://en.wikipedia.org/wiki/Lapse_rate ). Pourquoi ni l’IPCC, ni aucun organisme officiel ou non, ni les climatologues de plateau télé n’en parlent, l’objet de ce billet est de comprendre quel est ce problème. Schématiquement la température de l’air diminue avec l’altitude d’environ 1 degré par 100 mètres. Ce gradient explique pourquoi de l’air humide venant du nord par exemple au niveau de l’île de Tahiti se heurte à la montagne centrale de l’île, est obligé de monter et la vapeur d’eau se condense pour former des nuages. L’air se refroidit en gagnant en altitude Cette condensation de la vapeur d’eau libère de l’énergie, celle provenant du rayonnement solaire qui a permis l’évaporation de l’eau océanique, mais pas suffisamment pour réchauffer l’air. Et pourquoi l’air se refroidit en montant le long de la montagne ? Parce qu’il se détend. La présence de vapeur d’eau complique les équations décrivant le gradient adiabatique mais elles restent cependant compréhensibles pour un non spécialiste ayant suivi des cours de thermodynamique à l’Université.

On peut aussi trouver une comparaison pour expliciter ce qu’est ce gradient. La densité de l’air au niveau de la mer est plus élevée qu’à 100 mètres d’altitude et qu’à 1000 mètres d’altitude. C’est une conséquence directe du champ gravitationnel de la Terre et la pression atmosphérique diminue également avec l’altitude. On peut donc comparer cet effet à une pompe pour gonfler un pneu de vélo. Même les enfants ont constaté que le tube de la pompe à vélo chauffe quand on compresse l’air avec le piston servant à injecter l’air dans le pneu. Cette observation paraît anodine mais elle revêt une importance capitale car elle n’a jamais été prise en compte dans la formulation de l’effet de serre des gaz présents à l’état de trace dans l’atmosphère par les « spécialistes » de l’IPCC. L’effet de serre est schématiquement décrit par l’illustration ci-dessous.

Il s’agit de la flèche rouge descendant vers le sol matérialisant un flux de photons infra-rouges réémis par les molécules de gaz préalablement excitées par les photons provenant du Soleil. La relaxation de ces molécules émet des photons infra-rouge qui sont moins énergétiques que ceux absorbés selon une loi de la thermodynamique incontournable appelée la loi de Stefan-Boltzmann. Cette loi décrit l’entropie, c’est-à-dire la dégradation de la « qualité » de l’énergie pour employer un langage imagé. Et c’est précisément sur ce point que la théorie de l’effet de serre est une pure invention relevant de l’idéologie plutôt que de la science. En effet, ces photons réémis par des molécules des gaz constituant l’atmosphère ne peuvent en aucun cas réchauffer les couches d’air près du sol puisqu’ils ne sont pas assez énergétiques ! Ces couches d’air près du sol sont plus chaudes que celles situées plus haut. Et comme le champ gravitationnel de la Terre rend plus denses ces couches inférieures de l’atmosphère alors l’agitation thermique des molécules au niveau du sol exclut tout effet de serre tel que décrit et soutenu par l’IPCC. C’est physiquement impossible. Tout l’édifice pseudo-scientifique répandu par la propagande onusienne s’écroule. La nécessité d’une transition énergétique dont le but est de réduire les émissions de gaz carbonique s’écroule également. Les émissions de gaz carbonique n’ont strictement rien à voir avec le supposé réchauffement du climat provoqué par ce gaz carbonique, elles pourraient doubler cela ne changera rien. Développer les véhicules électriques relève de l’escroquerie comme de développer des moulins à vent et des miroirs magiques : c’est un gaspillage net de capitaux provenant de la poche des contribuables. Tout est mensonger et persévérer dans cette fausse science est un immense scandale.

Voilà pourquoi personne n’a mentionné l’existence indéniable de ce gradient de densité et de température auquel est soumise l’atmosphère. Alors que tous les climatologues honnêtes connaissent ce phénomène naturel, pourquoi n’est-il jamais mentionné ? Parce que la théorie de l’effet de serre est incompatible avec ce gradient adiabatique qui, lui, est bien réel. Le mentionner est politiquement incorrect et tenter d’informer comme je le fais sur ce blog est également politiquement incorrect. Je me suis contenté d’observer et de déduire comme je l’ai toujours fait au cours de ma carrière de recherche scientifique. Parce qu’il fait « plus chaud » au niveau du sol qu’à 500 mètres d’altitude l’effet de serre ne peut pas physiquement exister, c’est tellement simple que c’est déroutant

L’Occident s’est enfoncé dans une idéologie mensongère au sujet du climat, des gaz à effet de serre, de la réduction des émissions de gaz carbonique, de la généralisation des voitures électriques, des « villes 15 minutes », de l’élevage bovin néfaste pour le climat, des énergies dites renouvelables, la liste est longue, et cet Occident va en mourir, tout simplement … Pour enfoncer un dernier coin dans le cerveau dérangé des écologistes politiques, je rappelle tout de même que la Terre a déjà parcouru près de 15 000 ans depuis la fin de la dernière glaciation (Dryas récent) et si on considère qu’en moyenne un cycle de glaciation dure 100 000 ans la Terre s’achemine donc inexorablement vers un refroidissement du climat … Plus près de nous la température de la surface terrestre s’est stabilisée comme l’a exposé Christian Gerondeau (https://www.youtube.com/watch?v=HkuCBxIbZ_g ) :

De qui se moque-t-on ?

Et aussi sur ce blog :

https://jacqueshenry.wordpress.com/2014/11/01/retour-sur-la-theorie-de-leffet-de-serre-atmospherique/

https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/10/28/le-tres-gros-mensonge-des-tenants-du-rechauffement-climatique-dorigine-humaine/

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/06/05/transition-energetique-gaz-a-effet-de-serre-taxe-carbone-une-soupe-pseudo-scientifique-mensongere/

56 commentaires:

  1. De la croyance à la preuve : une odyssée à travers la montée de la maladie et de la mort jusqu'aux causes probables


    6 juin 2023
    du Dr. Grigori Kropotkine


    Il ne se passe guère de semaine dans mon environnement sans que des maladies plus longues ou des maladies "étranges" ne surviennent, des maladies aux symptômes peu clairs, diffus et difficiles à diagnostiquer. Puis j'entends des déclarations comme "le visage est enflé et la tête éclate presque à cause de la pression", "il est très faible et a une numération globulaire étrange mais les médecins ne savent pas exactement...", "une sorte d'infection mais personne ne peut comprendre ce que c'est ', 'une éruption cutanée extrême mais les médecins ne savent pas exactement d'où ça vient', 'le foie est dans le coin mais personne ne sait pourquoi...'.

    Elle a eu 4 vaccinations et maintenant avec Long Covid elle sera probablement incapable de travailler l'année prochaine, si tout est encore possible...' etc. Pas plus tard qu'hier un collègue de notre université s'est effondré en plein cours avec des problèmes cardiovasculaires. De plus, l'arrêt maladie dure presque comme un saucisson permanent depuis deux ans et on dirait que ça devient de plus en plus massif.

    Dans la classe primaire de mon fils, les enfants qui ont reçu les injections semblent être de plus en plus malades. Cependant, personne n'a l'idée que l'un de ces symptômes pourrait avoir quelque chose à voir avec les injections de Covid. Se pose ensuite la question des cas particuliers regrettables qui auraient toujours existé et auxquels, en tant que critique des mesures, on se fixe désormais. Le moustique qui est stylisé à l'éléphant.

    Alors, comment vérifier ou falsifier ces preuves anecdotiques ? Fidèle à la devise : Suis-je déjà complètement paranoïaque ou est-ce la majorité de mon environnement qui vit dans un monde de conte de fées ? Dans le cas présent, cela serait possible en passant des preuves anecdotiques aux preuves statistiques. Le problème avec cela : les données statistiques fiables et significatives sont extrêmement rares dans la zone germanophone. On pourrait presque se douter que quelqu'un s'intéresse à collecter le moins de données fiables possible sur le thème de l'efficacité des mesures Covid, car si on ne sait rien, il faut tout croire.

    Néanmoins, en tant que scientifique dans l'un des plus grands hôpitaux d'Autriche et en tant qu'examinateur ou éditeur de nombreuses revues renommées en sciences de la vie, je suis dans la position privilégiée d'accéder à des données extrêmement intéressantes et de les évaluer en conséquence. Dans cet esprit, j'ai passé en revue l'étude réglementaire de Moderna il y a quelque temps , en particulier les "petits caractères" du supplément de 76 pages.

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  2. Inspiré par Florian Schilling, j'ai aussi personnellement examiné les statistiques de décès de l'Office for National Statistics (ONS) au Royaume-Uni. Ce qui est bien : en Angleterre, les morts sont évidemment classés selon le statut vaccinal Covid. Autant que je sache, ce n'est pas le cas ailleurs, surtout pas en Autriche ou en Allemagne. Il est assez facile de déterminer à partir de ces données si les personnes vaccinées meurent de manière sous- ou sur-proportionnelle. Les données sont ventilées mensuellement en 7 catégories d'âge et donnent le statut de vaccination Covid de toutes les personnes décédées en Angleterre ce mois-là. Cela permet de calculer très facilement mensuellement pour chaque catégorie d'âge quel pourcentage de personnes décédées ont été vaccinées contre le Covid.

    Ces données seules n'auraient toujours aucun sens, mais si vous connaissez le taux de vaccination dans les catégories d'âge correspondantes, ces données deviennent alors extrêmement intéressantes. Car avec un échantillon aléatoire de 56 millions d'Anglais, toutes les coïncidences doivent inévitablement être moyennées, et surtout il n'y a aucune raison logique pour que ce lien fondamental soit différent en Autriche, en Allemagne ou en Suisse. Le taux de vaccination officiel est mis à jour quotidiennement et trié selon les catégories d'âge appropriées du National Immunization Management System (NIMS), l'autorité britannique de vaccination. Vous pouvez donc maintenant comparer le taux de mortalité des vaccinés avec le taux de vaccination mois par mois dans les 7 catégories d'âge.

    Donc, si la vaccination devait être utile et vraiment protéger contre les maladies graves et la mort, le taux de vaccination devrait être supérieur au taux de mortalité des vaccinés, ce qui signifie que les vaccinés mourraient proportionnellement moins que les non vaccinés. Ce serait bien sûr le schéma à attendre de tout vaccin efficace et sûr, y compris le vaccin Covid. Si le taux de mortalité et le taux de vaccination sont les mêmes, alors on pourrait parler d'une vaccination inefficace, du moins sûre. Cependant, si le taux de mortalité est supérieur au taux de vaccination, cela signifie que les vaccinés meurent de manière disproportionnée, c'est-à-dire que les effets secondaires de la vaccination tuent plus de personnes que de personnes sont protégées de la mort Covid.

    - voir graph sur site -

    Figure 1 : La surmortalité des personnes vaccinées par mois et pour différentes tranches d'âge, selon l'ONS (taux de mortalité des vaccinés) et le NIMS (taux de vaccination).

    Cela signifie que ceux qui ont été vaccinés sont touchés de manière disproportionnée par les décès. Relativement les meilleurs sont les 50-59 ans, où les effets nocifs calculés sur tous les mois sont les plus faibles. Les tranches d'âge inférieures à 40 ans, où les effets néfastes sont les plus importants, sont particulièrement touchées.

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  3. Incidemment, il n'y a aucune tendance à une quelconque amélioration dans aucune cohorte d'âge, de sorte que l'on pourrait dire que si les 2 premières semaines après la vaccination sont terminées, on a survécu. Je dirais que la létalité du tir reste assez constante, ce qui témoigne évidemment d'effets à long terme très désagréables. La force absolue de ces données est qu'elles ne peuvent être contestées parce que la mort est la catégorie la plus claire qui soit et parce que la taille de l'échantillon dans ce cas est écrasante.

    Alors « avec ou sur le défunt » joue aussi peu de rôle que la coïncidence ou tout biais subjectif. Florian Schilling a néanmoins mis au jour quelques faiblesses potentielles dans cet ensemble de données, qui, si le pire arrivait au pire, ne ferait qu'augmenter la nocivité déjà avérée de la vaccination. Ce qui a également été collecté dans cet ensemble de données est le statut vaccinal des morts de Covid. Il y a, bien sûr, une plus grande marge d'interprétation ici, mais néanmoins l'image qui émerge ici est assez claire. Si début 2021 il existe encore un effet protecteur modéré estimé à 50 - 70%, ce tableau s'inversera d'ici la fin de l'hiver 2021/22 au plus tard. C'est à dire que les vaccinés meurent de plus en plus du Covid depuis une bonne année maintenant, ce qui, soit dit en passant, cadre parfaitement avec les données d'hospitalisation Covid par statut vaccinal que j'ai recueillies pour à peu près exactement cette période. Au total, les dates de décès officielles anglaises fournissent des preuves statistiques extrêmement solides de la surmortalité supposée « inexplicable » observée dans ce pays.

    Cependant, le téléspectateur invétéré du Tagesschau ou le lecteur Standard objectera qu'une vaccination dans la partie supérieure du bras, où l'événement est localisé et provoque un gonflement local pendant un maximum de 1 à 2 jours, ne peut pas causer de tels problèmes systémiques. Il devrait être écrit dans le «journal» de ces consommateurs croyants que cette vaccination n'a jamais été testée pour les effets à long terme et même les données à court terme des études d'approbation, comme déjà décrit ci-dessus, suggèrent déjà plus de mal que d'efficacité, malgré des tente de le dissimuler.

    Contrairement aux approbations de médicaments classiques, dans le cas présent, rien n'est connu sur la concentration du médicament, rien sur la durée de l'expression du médicament et rien sur le site d'expression du médicament. Voler totalement à l'aveugle, comme lorsque vous « accélérez » sur l'autoroute à 180 km/h dans une neige abondante et que vous espérez que tout ira bien de toute façon.

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  4. Si l'on passe maintenant au niveau de la preuve fonctionnelle, un point très important est le fait que l'encapsidation de l'ARNm, les nanoparticules lipidiques (LNP), ne sont d'une part pas reconnues par le système immunitaire, contrairement aux vrais virus ou aux vaccins classiques, et ne sont donc pas inquiétés, peuvent se propager dans tout le corps et devenir actifs quand et où ils le souhaitent. Le problème est exacerbé par la pénétration membranaire des vésicules (LNP), ce qui signifie qu'elles peuvent également se déplacer dans des zones du corps telles que le cerveau et les testicules, qui sont normalement très bien protégées contre les virus et les bactéries. Et une fois qu'ils y deviennent actifs, ils provoquent une réponse d'annihilation du corps contre les cellules exprimant les protéines de pointe.

    C'est nul quand il s'agit de cellules critiques du corps qui ne peuvent pas être régénérées ou qui ne peuvent l'être qu'avec difficulté, comme les cellules du muscle cardiaque. Ensuite, les dommages à long terme sont faits et la bombe à retardement fait tic-tac. Dans ce sens (myocardite, percardite, etc.), il y a maintenant même des admissions ultra-minces dans le courant dominant.

    Mais ce qui me semble encore plus fatal, c'est la réalisation du groupe Netea, qui soit dit en passant est absolument "Top Notch" en Europe dans le domaine de l'immunologie avec une bourse ERC et toutes les distinctions académiques du secteur des sciences de la vie. Là, il a été démontré de manière très plausible que l'injection d'ARNm conduit à une suppression du système immunitaire. Le mécanisme le plus probable est via la régulation négative induite par la pseudo-uridine de TLR3/8/9 et l'incapacité subséquente du système immunitaire à reconnaître et à détruire en temps opportun les virus à ARNm. Ceci est destiné à court terme afin que l'ARNm du vaccin puisse se traduire en protéines de pointe aussi longtemps que possible sans être dérangé, mais évidemment l'effet à court terme prévu s'est transformé en quelque chose à plus long terme dont personne ne peut dire pour le moment,

    Selon les données expérimentales, cela dure depuis au moins un an maintenant. Un système immunitaire compromis à long terme expliquerait également les nombreux symptômes étranges et inattendus de la maladie que nous observons en ce moment, y compris l'augmentation des taux de cancer chez les personnes vaccinées (je viens moi-même d'enterrer un ami vacciné de 50 ans mourant d'un cancer deux il y a des mois). À cet égard, le travail du groupe Netea est un élément de preuve qu'on ne peut pas évaluer assez haut, car il sous-tend également ce que nous pouvons capturer phénoménologiquement et avec des preuves statistiques avec des mécanismes explicatifs très bons et cohérents.

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  5. La deuxième pièce du puzzle dans le domaine des preuves fonctionnelles, qu'il ne faut pas sous-estimer à mon avis, est l' augmentation du taux d'IgG4 contre la protéine de pointe, qui a maintenant été prouvée à plusieurs reprises, avec une réduction simultanée des anti -spike IgG1 et, surtout, IgG3. Cela indique clairement un processus de désensibilisation contre le SRAS-Cov-2 et est donc une excellente explication du nombre disproportionnellement élevé de personnes vaccinées parmi les cas graves de Covid et aussi les décès de Covid.

    Normalement, si vous souhaitez des traitements de désensibilisation (ex : pollen de graminées), vous allez chez le médecin tous les mois pendant 2-3 ans et vous faites injecter l'allergène. Cependant, étant donné que les LNP ne sont pas reconnus par le système immunitaire, comme expliqué ci-dessus, et que personne ne sait combien de temps, où et dans quelle mesure la protéine de pointe est exprimée, je suppose qu'après des semaines, des mois voire des années de production continue de pointes, le corps va à un moment donné s'y opposer est désensibilisé. Il ne faut pas oublier que lors d'une désensibilisation avec un allergène classique, celui-ci est appliqué localement, reconnu immédiatement par le système immunitaire et probablement détruit en une journée, alors que le LNP peut rester dans l'organisme sans être détecté par le système immunitaire pendant de très longues périodes. Le fait que tous les effets secondaires ne puissent pas survenir de la même manière pour tout le monde est bien sûr lié aux différences physiologiques individuelles d'une personne à l'autre, mais une autre bonne explication serait le remplissage problématique à grande échelle au moins suspecté et tout à fait plausible de la suspension lipidique. en centaines de milliers de doses par bioréacteur. Il est facile d'imaginer que les écarts entre les doses sont très importants car l'homogénéité des suspensions lipidiques n'est pas facile à réaliser. De plus, il y a évidemment un problème avec les lots, ce qui devrait augmenter la propagation individuelle des effets secondaires. mais une autre bonne explication serait le remplissage problématique à grande échelle au moins suspecté et tout à fait plausible de la suspension lipidique en centaines de milliers de doses par bioréacteur. Il est facile d'imaginer que les écarts entre les doses sont très importants car l'homogénéité des suspensions lipidiques n'est pas facile à réaliser. De plus, il y a évidemment un problème avec les lots, ce qui devrait augmenter la propagation individuelle des effets secondaires. mais une autre bonne explication serait le remplissage problématique à grande échelle au moins suspecté et tout à fait plausible de la suspension lipidique en centaines de milliers de doses par bioréacteur. Il est facile d'imaginer que les écarts entre les doses sont très importants car l'homogénéité des suspensions lipidiques n'est pas facile à réaliser. De plus, il y a évidemment un problème avec les lots, ce qui devrait augmenter la propagation individuelle des effets secondaires.

    En résumé, on peut dire que les effets principalement négatifs ressentis subjectivement de la vaccination contre le Covid sous la forme d'une mortalité accrue et d'une explosion des cas de maladie sont bien étayés par les données statistiques malheureusement rares mais, si elles sont disponibles, néanmoins extrêmement claires. Car contrairement à l'OMS, qui "estime" à partir d'ensembles de données complètement inutiles que la vaccination en Europe aurait pu éviter 1 million de morts du Covid, les chiffres que j'ai collectés sont statistiquement fiables.

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  6. Si l'on prend maintenant aussi en compte les mécanismes d'explication moléculaire tout à fait plausibles et confirmés expérimentalement pour les phénomènes vérifiés statistiquement, alors après le rasoir d'Ockham, qui représente l'un des dogmes centraux de toute science, il y a une explication extrêmement puissante : le collectif, qui a a changé pour le pire depuis 2021 L'état de santé et la réduction de l'espérance de vie qui en résulte sont directement liés à la campagne de vaccination contre le Covid.

    Au mieux, on peut encore discuter si d'autres facteurs ou mesures Covid contribuent également à l'état de santé actuel, mais il ne fait absolument aucun doute que la campagne de vaccination l'a fait et qu'elle fournit également des mécanismes d'explication physiologiques qui ne peuvent être ignorés. Si j'étais ici dans le rôle d'examinateur ou d'éditeur dans un processus d'examen par les pairs d'une revue scientifique, selon le rasoir d'Ockham (principe d'économie dans la science), la vaccination serait clairement la cause de la détérioration excessive de l'état collectif de la santé par rapport à tous les autres préfèrent les explications puisqu'il s'agit d'un tout nouveau type de thérapie à haut risque, qui, selon les données statistiques, est évidemment liée à l'évolution de l'état de santé collectif. De plus, il existe des mécanismes explicatifs moléculaires plausibles qui ont été au moins partiellement prouvés expérimentalement et qu'il faudrait certainement approfondir. Pour toute autre hypothèse comme une saison grippale plus forte, des personnes qui ont évité les visites médicales préventives, que les maladies évitées par les confinements sont désormais rattrapées, une augmentation des suicides etc., d'une part il n'y a pas de preuve statistique et d'autre part, ces hypothèses ne sont pas pris en charge par des données fonctionnelles expérimentales. Avec cela, je rejetterais cela comme une spéculation non fondée du point de vue de la science.

    Personnellement, je trouve toujours intéressant de voir comment des collègues qui remettent généralement tout en question, ont un œil aiguisé sur les points faibles des hypothèses et ne sont pas avares de jugements dévastateurs en conséquence, passent soudainement du mode scientifique au mode de croyance complète dans la vaccination Causa Corona . J'ai tendance à appeler cela la science de la boîte à chaussures, où, en dehors de sa propre petite boîte à chaussures d'expertise, dans laquelle on remet tout en question de manière hypercritique, tout à coup des déclarations comme "Je ne crois pas ça" ou "Non, non, non, je ne peux pas croire que «quand il y a des liens très évidents, imaginer» arrive à entendre. Apparemment, participer est tout dans le troupeau scientifique.

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  7. Enfin, si je pouvais donner quelques conseils aux politiciens, aux médias et au corps médical, je recommanderais une clarification immédiate, complète et transparente de l'ensemble du complexe corona, en particulier de la campagne de vaccination. La perte de confiance qui a déjà été causée jusqu'à présent est énorme et ne fera qu'augmenter grâce aux dissimulations, car les citoyens sentent instinctivement que quelque chose ne va pas et qu'on leur ment quelque part. Même si la plupart des gens ne peuvent pas le nommer exactement. À un moment donné, en conjonction avec de nouveaux déraillements géopolitiques dans l'UE, le découplage entre les citoyens et les élites politiques avec l'instabilité du système qui en résultera sera si important que les choses pourraient ne plus être gérables. Parce que librement après Abraham Lincoln :

    https://tkp.at/2023/06/06/vom-glauben-zur-evidenz-eine-odysee-durch-die-zunahme-von-krankheiten-und-todesfaellen-zu-wahrscheinlichen-ursachen/

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  8. Péricardite : l'autre, dont on parle moins, de l'inflammation cardiaque induite par le vaccin à ARNm COVID-19 qui vous désactive ou vous tue


    13 cas explorés
    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    06 juin 2023


    21 mai 2021 – Hartford, CT – Gregory Hatton, 17 ans, a développé une péricardite trois jours après sa deuxième dose de vaccin ARNm Pfizer COVID-19 (cliquez ici )

    "Gregory est maintenant sans travail, sous médication et branché à un moniteur cardiaque". Sa mère dit: "Il a essentiellement des problèmes cardiaques maintenant".

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    Août 2021 – Australie – La journaliste de 24 ans Georgia Clark a eu une péricardite après son deuxième vaccin à ARNm COVID-19. Après avoir été hospitalisée, elle a dit : « Je recevrais à nouveau la piqûre ». Les médecins l'ont autorisée à recevoir un rappel ( cliquez ici )

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    Août 2021 - Francesca Marcon, championne de volley-ball de 38 ans, a développé une péricardite après la deuxième dose d'ARNm de Pfizer qui l'a retirée de la compétition ( cliquez ici )

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    Nov. 2021 - Kyle Warner, coureur de vélo de montagne professionnel de 29 ans, a développé une péricardite et d'autres blessures après le deuxième piqûre d'ARNm de Pfizer. (cliquez ici )

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    Décembre 2021 - CMBoling, 33 ans, a été blessée après son troisième coup de Pfizer, avec une péricardite qui l'a laissée alitée pendant sept mois et en fauteuil roulant

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    31 décembre 2021 - Runa Cody, 18 ans, un garçon italien qui étudiait au Royaume-Uni, est décédé subitement le 31 décembre 2021 d'une péricardite un mois après le deuxième vaccin COVID-19. ( cliquez ici )

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    Janvier 2022 – L'avocat torontois Adam Goodman a eu une péricardite et une tamponnade cardiaque après la deuxième dose de Pfizer, mais a insisté pour obtenir un rappel ( cliquez ici )

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  9. Février 2022 - Le musicien de la Colombie-Britannique "Nate Timesamillion" a développé une péricardite trois jours après son injection de rappel d'ARNm COVID-19 et a été hospitalisé

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    Mars 2022 - Stewart McSweyn, détenteur du record australien du 1500m, âgé de 27 ans, a été retiré de façon spectaculaire d'une course de 5000m et a reçu un diagnostic de péricardite ( cliquez ici )

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    22 décembre 2022 - Le sprinteur olympique suisse de 26 ans a reçu un rappel d'ARNm de Pfizer le 22 décembre 2022 et a développé une péricardite cinq jours plus tard ( cliquez ici )

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    20 mars 2023 – Japon – Une jeune fille japonaise de 14 ans est décédée subitement deux jours après la troisième dose de vaccin Pfizer COVID-19 ARNm. Cause du décès : myopéricardite ( cliquez ici )

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    Mars 2023 – Colombie-Britannique – Dans la vingtaine, Ayden Thane, un basketteur, a développé une péricardite après le vaccin COVID-19 en septembre 2021. Il ne s'est pas rétabli. ( cliquez ici )

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    Avril 2023 – Kemptville, ON – Joueur de hockey de 17 ans des Royals de Kemptville U18, Vinnie Delorme a été vacciné contre la COVID-19 en 2021 et a contracté une péricardite en avril 2023 ( cliquez ici )

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    Ma prise…
    La péricardite est une inflammation du péricarde, qui est une fine membrane protectrice entourant le cœur.

    La myocardite (inflammation du muscle cardiaque) est très fréquente après la vaccination par l'ARNm du COVID-19, aussi fréquente que 1h30 par dose d'ARNm. Une étude suggère que la myocardite post-vaccin COVID-19 est 2,5 fois plus fréquente que la péricardite ( cliquez ici) .

    La base de données VigiAccess de l'OMS répertorie 28 328 déclarations de myocardite et 23 173 déclarations de péricardite pour TOUS les vaccins COVID-19 ( cliquez ici )

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  10. Voici quelques points clés :

    La péricardite vaccinale COVID-19 touche les jeunes hommes et les jeunes femmes ;
    La péricardite est légèrement moins fréquente que la myocardite ;
    La péricardite peut entraîner une invalidité permanente à long terme ;
    Ceux qui souffrent à long terme de péricardite ne trouvent pas de traitement ;
    La péricardite peut aussi être mortelle , comme cela s'est produit dans 2 cas ici : une jeune fille japonaise de 14 ans et un garçon italien de 18 ans étudiant au Royaume-Uni.

    https://www.globalresearch.ca/pericarditis-other-less-talked-about-covid-19-mrna-vaccine-induced-heart-inflammation-disables-or-kills-you/5821427

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  11. La vaccination répétée contre le COVID-19 affaiblit le système immunitaire : étude
    VACCINS CONTRE LE COVID


    Zachary Stieber, journaliste
    1 juin 2023


    Selon une nouvelle étude, la vaccination répétée contre le COVID-19 affaiblit le système immunitaire, rendant potentiellement les personnes vulnérables à des maladies potentiellement mortelles telles que le cancer.

    Des doses multiples des vaccins Pfizer ou Moderna COVID-19 conduisent à des niveaux plus élevés d'anticorps appelés IgG4, qui peuvent fournir un effet protecteur. Mais un nombre croissant de preuves indiquent que les "niveaux anormalement élevés" de la sous-classe d'immunoglobuline rendent en fait le système immunitaire plus sensible à la protéine de pointe COVID-19 dans les vaccins, ont déclaré les chercheurs dans l'article.

    Ils ont souligné des expériences effectuées sur des souris qui ont trouvé plusieurs rappels en plus de la vaccination initiale contre le COVID-19 "diminuent considérablement" la protection contre les variantes du virus Delta et Omicron et des tests qui ont trouvé un pic dans les niveaux d'IgG4 après une vaccination répétée de Pfizer, suggérant un épuisement immunitaire. .

    Des études ont détecté des niveaux plus élevés d'IgG4 chez les personnes décédées avec le COVID-19 par rapport à celles qui se sont rétablies et ont lié les niveaux à un autre déterminant connu de la mortalité liée au COVID-19, ont également noté les chercheurs.

    Une revue de la littérature a également montré que les vaccins contre le VIH, le paludisme et la coqueluche induisent également la production d'IgG4.

    "En somme, les études épidémiologiques sur le COVID-19 citées dans nos travaux ainsi que l'échec des vaccins contre le VIH, le paludisme et la coqueluche constituent des preuves irréfutables démontrant qu'une augmentation des niveaux d'IgG4 altère les réponses immunitaires", a déclaré Alberto Rubio Casillas, chercheur au laboratoire de biologie de l'Université de Guadalajara au Mexique et l'un des auteurs du nouvel article, a déclaré à Epoch Times par e-mail.

    L'article a été publié par la revue Vaccines en mai.

    Les responsables de Pfizer et de Moderna n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.

    Les deux sociétés utilisent la technologie de l'ARN messager (ARNm) dans leurs vaccins.

    Le Dr Robert Malone, qui a aidé à inventer la technologie, a déclaré que l'article illustrait pourquoi il avait mis en garde contre les effets négatifs de la vaccination répétée.

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  12. "J'ai averti que plus de piqûres peuvent entraîner ce qu'on appelle une tolérance de zone élevée, dont le passage aux IgG4 est l'un des mécanismes. Et maintenant, nous avons des données qui démontrent clairement que cela se produit dans ce cas ainsi que pour certains autres vaccins », a déclaré Malone, qui n'a pas participé à l'étude, à Epoch Times.

    "Il s'agit donc essentiellement de valider que cette précipitation à administrer et à réadministrer sans disposer de données solides pour étayer ces décisions était hautement contre-productive et semble avoir abouti à une cohorte de personnes qui sont en fait plus sensibles à la maladie."

    Problèmes possibles

    L'affaiblissement du système immunitaire provoqué par la vaccination répétée pourrait entraîner de graves problèmes, notamment le cancer, ont déclaré les chercheurs.

    "L'augmentation de la synthèse d'IgG4 due à la vaccination répétée d'ARNm avec des concentrations élevées d'antigènes peut également provoquer des maladies auto-immunes et favoriser la croissance du cancer et la myocardite auto-immune chez les individus sensibles", ont-ils écrit dans l'article.

    La myocardite est une forme d'inflammation cardiaque causée par la vaccination contre le COVID-19, les jeunes hommes étant les plus exposés.

    Selon les chercheurs, les conséquences potentielles à plus long terme de la vaccination répétée incluent les personnes vaccinées infectées souffrant de cas plus graves de COVID-19.

    "Sans un niveau de protection adéquat, même les nouvelles sous-variantes d'Omicron (considérées comme bénignes) pourraient causer de graves lésions multi-organes et la mort chez les personnes immunodéprimées et celles présentant des comorbidités", ont-ils déclaré.

    Certaines études ont identifié les vaccinés comme ayant un risque d'infection plus élevé par rapport aux personnes bénéficiant d'une immunité naturelle ou d'une protection post-guérison. Une étude récente, publiée en avril par Open Forum Infectious Diseases, a révélé que chaque dose supplémentaire augmentait le risque d'infection.

    La tolérance résultant de niveaux élevés d'IgG4 signifie que le système immunitaire n'a pas la capacité de répondre aux antigènes ou aux substances étrangères, a déclaré Malone.

    D'autres expériences pourraient inclure le suivi des patients vaccinés au fil du temps et la comparaison de leur profil d'anticorps à un groupe de personnes naturellement immunisées, a déclaré Malone. D'autres tests pourraient inclure des études in vitro ou des expérimentations animales, a déclaré Casillas.

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  13. Approche prudente justifiée

    Le nouvel article montre que la vaccination répétée "doit être abordée avec prudence", ont déclaré les chercheurs.

    Certains pays ont récemment interrompu ou ralenti les recommandations de vaccination contre le COVID-19 après des années de promotion des injections répétées, car les données montrent que les vaccins offrent une protection inférieure aux normes contre les infections et une protection de courte durée contre les maladies graves. Les États-Unis, par exemple, ont cessé de recommander les rappels pour tous et ont changé la primo-vaccination des vaccins Moderna et Pfizer de deux doses à une.

    Pourtant, certaines agences de santé s'orientent vers un modèle basé sur l'approche de la vaccination antigrippale. Cela impliquerait de sélectionner chaque année des compositions de vaccins mises à jour visant à cibler les souches de COVID-19 en circulation et de recommander à certains groupes, ou pratiquement à tout le monde, de se faire vacciner chaque année.

    L'Organisation mondiale de la santé a déclaré en mai que la composition devrait être mise à jour pour se concentrer sur la sous-variante XBB.1 Omicron "afin d'améliorer la protection". Les conseillers de la Food and Drug Administration des États-Unis doivent se réunir en juin pour déterminer si les vaccins doivent être mis à jour pour la «campagne de vaccination» 2023-2024. Les autorités de nombreux pays ont déjà interrompu les anciens vaccins Moderna et Pfizer et autorisé les injections qui ciblent les sous-variantes BA.1 ou BA.4/BA.5 Omicron.

    Correction : Une version précédente de cet article citait incorrectement le Dr Malone. Il a déclaré que la décision de stimuler à plusieurs reprises les gens était contre-productive. Epoch Times regrette l'erreur.

    https://www.theepochtimes.com/health/repeated-covid-19-vaccination-weakens-immune-system-study_5305770.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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  14. Étude liant faussement l'hydroxychloroquine à l'augmentation des décès fréquemment citée même après la rétractation


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 03 JUIN 2023 - 23:30
    Écrit par Jessie Zhang via Thje Epoch Times


    Une enquête australienne et suédoise a révélé que parmi les centaines d'articles de recherche sur le COVID-19 qui ont été retirés, une étude rétractée reliant le médicament hydroxychloroquine à une mortalité accrue était l'article le plus cité.

    Avec 1 360 citations au moment de l'extraction des données, les chercheurs dans le domaine se référaient encore à l'article « Hydroxychloroquine ou chloroquine avec ou sans macrolide pour le traitement du COVID-19 : une analyse de registre multinational » longtemps après son retrait.

    Les auteurs de l'analyse impliquant l'Université de Wollongong, l'Université de Linköping et le Western Sydney Local Health District ont écrit (pdf) que "la plupart des chercheurs qui citent des recherches rétractées n'identifient pas que l'article est rétracté, même lorsqu'ils le soumettent longtemps après que l'article a été retiré. .”

    "Cela a de sérieuses implications pour la fiabilité des recherches publiées et de la littérature universitaire, qui doivent être traitées", ont-ils déclaré.

    "La rétractation est la dernière garantie contre les erreurs et les fautes académiques, et donc la pierre angulaire de l'ensemble du processus de génération de connaissances."

    Les scientifiques remettent en question les résultats

    Plus de 100 professionnels de la santé ont écrit une lettre ouverte, soulevant dix problèmes majeurs avec le document.

    Ceux-ci comprenaient le fait qu'il n'y avait «pas d'examen éthique» et «des écarts signalés inhabituellement faibles dans les variables de base, les interventions et les résultats», ainsi que «aucune mention des pays ou des hôpitaux qui ont contribué à la source de données et aucune reconnaissance de leurs contributions .”

    - voir photo sur site -

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  15. Une bouteille d'hydroxychloroquine au Medicine Shoppe de Wilkes-Barre, Pennsylvanie, le 31 mars 2020. Certains politiciens et médecins se disputaient l'opportunité d'utiliser l'hydroxychloroquine contre le nouveau coronavirus, de nombreux scientifiques affirmant que les preuves sont trop minces pour le recommander encore. (Mark Moran / La voix des citoyens via AP)

    D'autres préoccupations étaient que les doses quotidiennes moyennes d'hydroxychloroquine étaient supérieures aux quantités recommandées par la FDA, ce qui présenterait des résultats biaisés.

    Ils ont également constaté que les données qui auraient été fournies par des patients australiens ne semblaient pas correspondre aux données du gouvernement australien.

    Finalement, l'étude a conduit l'Organisation mondiale de la santé à suspendre temporairement l'essai de l'hydroxychloroquine sur les patients COVID-19 et à l'organisme de réglementation britannique, la MHRA, demandant la suspension temporaire du recrutement dans tous les essais sur l'hydroxychloroquine au Royaume-Uni.

    La France a également modifié sa recommandation nationale du médicament dans les traitements COVID-19 et a interrompu tous les essais.

    Actuellement, un total de 337 articles de recherche sur le COVID-19 ont été retirés, selon Retraction Watch.

    D'autres rétractations sont attendues au fur et à mesure que l'enquête sur le produit progresse.

    https://www.zerohedge.com/medical/study-falsely-linking-hydroxychloroquine-increased-deaths-frequently-cited-even-after

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  16. La Russie affirme avoir recueilli des preuves d'agents pathogènes de la grippe aviaire avec un taux de létalité pouvant atteindre 40 % chez l'homme au US Biolab en Ukraine


    De Jim Hoft
    Recherche mondiale,
    05 juin 2023


    Il n'y a pas si longtemps, Mitt Romney menaçait l'ancien représentant Tulsi Gabbard pour avoir laissé entendre que les États-Unis finançaient des biolabs en Ukraine.

    En mars 2022, le sénateur RINO Mitt Romney a accusé l'ancien représentant démocrate Tulsi Gabbard de répandre des «mensonges traîtres» pour avoir simplement parlé des biolabs financés par les États-Unis en Ukraine.

    "Il y a plus de 25 laboratoires biologiques financés par les États-Unis en Ukraine qui, s'ils étaient violés, libéreraient et propageraient des agents pathogènes mortels aux États-Unis et dans le monde." Gabbard a dit à l'époque.

    « Nous devons agir maintenant pour éviter une catastrophe. Les États-Unis / la Russie / l'Ukraine / l'OTAN / l'ONU / l'UE doivent mettre en œuvre un cessez-le-feu maintenant autour de ces laboratoires jusqu'à ce qu'ils soient sécurisés et que les agents pathogènes soient détruits », a-t-elle ajouté.

    Tulsi Gabbard a fait sa déclaration sur la base du témoignage de la sous-secrétaire d'État aux affaires politiques en Eurasie, Victoria Nuland .

    Victoria Nuland a admis lors d'un témoignage devant un comité du Sénat américain l'existence de laboratoires de recherche biologique en Ukraine.

    Moins de 24 heures plus tard, l'attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki , a déclaré que les rapports sur les biolabs en Ukraine étaient de fausses nouvelles propagées par la Russie.

    Le complexe des faux médias démocrates a ensuite attaqué tous ceux qui évoquaient les biolabs en Ukraine.

    Mitt Romney s'en est pris à Tulsi Gabbard en disant :

    « Tulsi Gabbard répète la fausse propagande russe. Ses mensonges traîtres pourraient bien coûter des vies.

    Ensuite, cela s'est produit - la Russie a publié des documents présumés capturés en Ukraine exposant des preuves de l'existence de laboratoires biologiques militaires américains en Ukraine.

    La Russie a porté les accusations devant l'Assemblée générale des Nations Unies.

    En juin 2022, le Pentagone a finalement admis dans une déclaration publique qu'il y avait 46 biolabs financés par les États-Unis en Ukraine.

    C'est après des mois de mensonges et de démentis de la part des démocrates, du régime de Biden et de leurs faux médias grand public !

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  17. Le Pentagone a ENFIN été clair.

    Maintenant, la Russie accuse les États-Unis d'expérimenter des agents pathogènes de la grippe aviaire dans un laboratoire biologique américain en Ukraine avec un taux de létalité pouvant atteindre 40 % chez l'homme.

    Les responsables russes ont annoncé leurs conclusions vendredi.

    Le ministère de la Défense de la Fédération de Russie continue d'analyser les activités militaires et biologiques des États-Unis et de leurs alliés en Ukraine et ailleurs dans le monde.

    Nous avons noté précédemment que lors de l'opération militaire spéciale, des preuves documentaires ont été obtenues confirmant que des employés de la réserve de biosphère d'Askania Nova, dans la région de Kherson, étudiaient les voies de migration des oiseaux migrateurs et sélectionnaient et transféraient du matériel biologique à l'étranger.

    Le groupe de travail du ministère russe de la Défense ainsi que des agents du Service fédéral de sécurité et du Rosselkhoznadzor ont confirmé la collecte et la certification des souches du virus de la grippe aviaire à fort potentiel de propagation épidémique et capables de franchir la barrière des espèces, en particulier la souche H5N8 , dont la létalité en transmission humaine peut atteindre 40 %. N'oubliez pas que 1 % des nouvelles infections à coronavirus entraînent la mort.

    Malgré les efforts du personnel de la Réserve pour détruire les biomatériaux en coupant l'alimentation des groupes frigorifiques et en détruisant le cryoréservoir avec de l'azote liquide, des spécialistes du 48e Institut central de recherche du ministère russe de la Défense ont trouvé des traces de matériel génétique de l'influenza aviaire hautement pathogène, le virus de la maladie de Newcastle et les avulovirus même dans les échantillons qui avaient subi une décomposition.

    Selon les employés qui sont restés dans la réserve, la partie ukrainienne leur a offert une importante récompense en espèces pour avoir retiré ou détruit les résultats de la recherche.

    Les documents saisis dans le laboratoire vétérinaire de la réserve confirment l'implication de l'Institut de médecine vétérinaire de Kharkov dans les travaux des projets américains UP-8 et P-444 et les préparatifs du projet Flu-Fly-Way.

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  18. Leur objectif était d'évaluer les circonstances dans lesquelles la transmission de maladies associées à des infections économiquement significatives peut devenir incontrôlable, entraîner des dommages économiques et constituer une menace pour la sécurité alimentaire.

    Il faut souligner qu'une fois de plus c'est le Département américain de la Défense, une organisation qui n'a rien à voir avec la recherche des routes migratoires des oiseaux, qui a commandité les projets.

    https://www.globalresearch.ca/russia-claims-they-collected-evidence-avian-flu-pathogens-lethality-rate-up-40-humans-us-biolab-ukraine/5821329

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  19. ALERTE : OMS et Fausse Pandémie !


    Par Jean-Yves Jézéquel
    Mondialisation.ca,
    05 juin 2023


    Il n’y a plus de doute, la nouvelle offensive de l’OMS est déclenchée. En prévision d’une déclaration prochaine pour une nouvelle fausse pandémie, il était nécessaire de neutraliser les trouble-fête désormais identifiés à l’occasion de la première fausse pandémie à but essentiellement génocidaire. La chasse aux sorciers et aux sorcières était officiellement ouverte contre les Pr Didier Raoult, les Alexandra Henrion-Caude, les Pr Christian Perronne, les Dr Louis Fouché, les Dr Nicole et Gérard Delépine, les Jean-Marc Sabatier, les Pierre Chaillot, les Michel Jean-Dominique et tous les autres qui ont été la voix de l’honnêteté médicale et scientifique.

    Des cohortes de fonctionnaires disciplinés et nécessairement décérébrés allaient ainsi débarquer à l’IHU de Marseille avec tambours et trompettes pour une « perquisition » spectaculaire à grand renfort de propagandes sur les médias inféodés au système. Il fallait d’urgence traîner dans la boue, la réputation du Pr Didier Raoult, déployer à tout prix la diffamation, décrédibiliser pour de bon la parole dissidente de ce scientifique et de tous ceux qui le soutiennent, car la proclamation imminente d’une nouvelle fausse pandémie devait obtenir cette fois-ci le résultat escompté.

    Pour le programme génocidaire de l’OMS, il n’était plus acceptable que des gens comme Didier Raoult puissent encore avoir le droit à la parole et qu’ils puissent une nouvelle fois être à l’origine d’une résistance qui a empêché les salauds, les ordures et les pervers au pouvoir, d’obtenir ce qu’ils voulaient : un génocide suffisant, satisfaisant, efficace sur les populations maintenues dans un dressage et la croyance au narratif innocent de l’Agenda 2030 (programme pour la dépopulation)…

    Et voilà déjà le résultat tant attendu : un média espagnol La Vanguardia Internacional, par Eusebio Val du 31 mai 2023, écrit :

    « … un médico, Didier Raoult, acabó convirtiéndose en una caricatura del peor populismo sanitario, un charlatán con bata blanca. Su remedio aparentemente mágico contra el coronavirus no funcionó y quedó totalmente desacreditado…” (« …un médecin, Didier Raoult, a fini par devenir la caricature du pire populisme sanitaire, un charlatan en blouse blanche. Son remède apparemment magique contre le coronavirus n’a pas fonctionné et il a été totalement discrédité… », traduit par DeepL)

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  20. Puis, l’OMS a été intégrée par rachat à l’ONU, avec l’idée de poser ainsi les bases du Nouvel Ordre Mondial.

    Dans les années 1950, Rockfeller également maître de la Standard Oil, estimait que les plantes devaient être abandonnées pour la concoction des médicaments et que désormais, l’industrie pharmaceutique se lancerait dans la fabrication industrielle des médicaments à partir de produits pétrochimiques… L’OMS devenait de facto le grand promoteur de l’industrie pharmaceutique.

    Aujourd’hui, l’OMS reste essentiellement financée par le secteur privé et en particulier par la Fondation Bill et Melinda Gates.

    - voir dessin sur site -

    Le financement de l’OMS / T.T.C. (Toutes taxes comprises) / 6 min. / le 29 mai 2017

    Source : rts.ch

    Le conflit d’intérêt est évident et massif, pourtant l’OMS fait partie de l’ONU ! C’est une contradiction que les pays membres de l’ONU ne devraient pas tolérer, cette situation anachronique entraînant avec elle des conséquences criminelles contraires aux intérêts des Nations Unies.

    Le programme original de l’OMS n’a pas changé : son but est d’abord et avant tout le génocide organisé de la masse des classes populaires. Si l’on veut des preuves de cela, rien de plus simple, puisque, sans scrupules et persuadés du bien fondé de cette vision des choses, les décideurs de l’OMS se sont de multiples fois exprimés sur la question en allant même jusqu’à écrire soigneusement les détails de leur programme, noir sur blanc… (Cf., article dans mondialisation.ca du 21 mai 2023, par Peter Koenig et les références aux différentes sources.)

    Via les services rendus par NewsGuard, l’IFCN, la NED, la Fondation Bill et Melinda Gates, la Soros Open Society Foundation, Google et Facebook, l’OMS contrôle absolument toute l’information existante sur le thème de la santé ! Grâce à cela, elle fait bloquer tous ceux qui sont traités de « complotistes » ou de lanceurs d’alerte, les scientifiques honnêtes, non corrompus par les conflits d’intérêts, bref, toute personne qui ne tient pas le seul et unique discours autorisé animant une terreur volontaire, la falsification, une manipulation déterminée à conserver le dernier mot sur une pure stratégie dont l’eugénisme est la seule finalité assumée …

    Le mensonge et la falsification pour une manipulation efficace sont ainsi maintenus en permanence par la censure radicale qui est faite sur toutes les données sanitaires, afin que le programme génocidaire mondial puisse réellement s’appliquer et opérer en toute tranquillité, sans trop de réelles oppositions …

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  21. Dans la logique de sa vocation première et toujours actuelle, L’OMS vient de concocter un Traité sur les pandémies. Grâce à ce Traité, s’il est accepté par les pays membres de l’ONU, le Directeur Général de l’OMS aura désormais le pouvoir de déclarer des fausses pandémies mondiales quand bon lui semblera, et d’imposer à tous les vaccinations destinées à stériliser les hommes et les femmes, à tuer les personnes en situation de fragilité, en situation de « comorbidité », à exterminer par des accélérateurs de cancérisations ceux qui auraient échappé à la première rafle de la mort … etc. Ces « vaccins », destinés à génocider une grande partie de l’humanité, deviendront obligatoires en étant imposées à tous par l’aide des armées !

    Les principes d’une guerre civile sont ainsi assurément mis en place par l’OMS qui est donc une organisation criminelle internationale…

    L’autorité de l’OMS se trouvera, de ce fait, au-dessus de toutes les Constitutions de chaque pays membre de l’Organisation des Nations Unies. Il va de soi qu’une coercition et une corruption des délégués de chaque pays sont déjà bien orchestrées, afin d’obtenir la certitude que « l’élite eugéniste » de l’OMS, obtiendra gain de cause dans les votes !

    Le vote est organisé pour qu’il ait lieu dans le courant de cette année 2023 ! Si le traité est voté, une nouvelle fausse pandémie est déjà programmée pour le début 2024. Les laboratoires ont déjà préparé la campagne d’injections à finalité létale, appelée « campagne de vaccinations pour le salut de l’humanité », avec les mêmes principes que ceux qui ont été appliqués pour la fausse pandémie de Covid-19.

    L’OMS a prévu de lâcher un nouveau virus préparé en laboratoire (une nouvelle arme biologique pour la réduction drastique de la population, absolument différente du SARS-COV-2, théoriquement responsable de la Covid-19 – personne n’a jamais isolé, ni réalisé en bonne et due forme, le séquençage du SARS-COV-2) ; cette fois-ci nous ne savons pas encore d’où le nouveau virus va s’échapper ni quelle sera la nouvelle chauve-souris qui va faire un vol de 500 km pour aller infecter un nouveau genre de pangolin dans un marché quelconque !

    Toujours est-il que les laboratoires savent déjà qui est ce nouveau venu dans le paysage viral et ils ont déjà les stocks de « vaccins » tout prêts pour l’opération, dès que l’OMS aura autorisé le virus à s’échapper et déclaré la nouvelle fausse pandémie avec obligation du masque, de la distanciation sociale, du confinement et cette fois-ci d’une vaccination de masse imparable …

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  22. Aucune Constitution ni aucun Conseil Constitutionnel ne pourra s’opposer à l’autorité suprême de l’OMS, organisation terroriste de criminels eugénistes, si ce « Traité sur les pandémies » est voté à l’ONU dans le courant de l’année en cours !

    La seule solution urgente et raisonnable est bien entendu de ne plus adhérer à l’OMS et de quitter cette organisation qui n’a rien à voir avec la santé, mais tout à voir avec le crime et la mort.

    Le Young Global Leader qui squatte actuellement l’Elysée a été formaté par le FEM pour adhérer à cette organisation terroriste. Il est justement là pour organiser le plus efficacement possible la liquidation du peuple des « inutiles » : les « vieux » qui coûtent trop chers avec leurs retraites ; les chômeurs qui ne sont que des « fainéants » et des « parasites » de la société ; les classes de travailleurs pauvres qui n’arrêtent pas de contester et de pratiquer leurs casserolades exténuantes pour les « élites » seules dignes de vivre tranquillement en profitant largement de l’existence grâce au travail des esclaves qui seront tolérés dans la mesure où ils seront absolument soumis et radicalement contrôlés par les chaînes numériques en cours d’installation …

    Nous devons donc retenir qu’une nouvelle pandémie va arriver en début de l’année 2024, quoi qu’il arrive d’ailleurs, puisque l’OMS est en communication directe avec les virus qui la préviennent de leur arrivée. L’industrie pharmaceutique a également déjà réalisé le tour de force du séquençage du génome de ce nouveau virus toujours inconnu, pour en préparer un « vaccin » efficace et cette fois-ci rendu obligatoire dans le monde entier ! Nous devons donc également retenir que les masques au graphène seront à nouveau obligatoires partout, la distanciation sociale sera également obligatoire pour bien détruire le tissu humain ; le confinement sera une nouvelle fois de rigueur pour bien achever la destruction économique de toutes les entreprises qui étaient parvenues à survivre au désastre économique précédent. Les familles qui n’étaient pas encore bien divisée, éclatées, déchirées le seront enfin pour de bon ! Les vieux qui auront réussi à ne pas se faire « rivotriliser » le seront de force cette fois-ci avec l’aide des armées !

    Dès le début de l’année 2024, si ce Traité est voté, recommence le cauchemar sans échappatoire… à moins qu’entre temps une déflagration nucléaire ait eu lieu entre l’Occident pervers et la Russie !

    https://www.mondialisation.ca/alerte-oms-et-fausse-pandemie/5678340

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  23. L'OMS appelle à la "simulation" pour se préparer à la prochaine crise sanitaire mondiale


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 06 JUIN 2023 - 11:45
    Écrit par Kevin Stocklin via The Epoch Times


    Alors que 194 pays continuent de travailler sur des projets d'accords pandémiques qui accorderaient plus d'autorité à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le Conseil mondial de surveillance de la préparation (GPMB), un organe convoqué par l'OMS, a appelé à une simulation mondiale de pandémie d'ici la fin de cette année pour tester l'efficacité des nouveaux termes avant que les pays membres ne les signent en 2024.

    « Nous sommes convaincus que nous ne pouvons pas attendre la prochaine urgence pour savoir dans quelle mesure l'accord sur la pandémie et les amendements du RSI fonctionneront ; nous devons savoir maintenant », a déclaré Joy Phumaphi, coprésidente du GPMB, le 22 mai. plus tard cette année, avant qu'ils ne soient finalisés et adoptés.

    Les négociations internationales visant à centraliser l'action liée à la pandémie au sein de l'OMS se sont poursuivies tout au long de ce printemps. Ils comprennent un « avant-projet » d'accord pandémique de l'OMS et des amendements au Règlement sanitaire international (RSI), ainsi que des discussions entre divers sous-comités de l'OMS, des organisations des Nations Unies et des branches financières comme la Banque mondiale. Le cycle actuel de négociations sur l'accord sur la pandémie et les amendements au RSI se sont déroulés à huis clos à Genève, mais les déclarations de certains des groupes auxiliaires comme le GPMB pourraient éclairer le ton des discussions.

    Phumaphi a déclaré que le «Manifeste pour la préparation» du GPMB comprend trois «tests» pour le traité et les amendements au RSI. Il s'agit de savoir si le traité et les amendements au RSI sont « suffisamment puissants », s'ils « assurent l'équité et la cohérence » et s'ils « disposent de mécanismes solides de surveillance et de responsabilité ».

    L'ambassadrice Pamela Hamamoto négocie actuellement les termes de l'accord de l'OMS sur la pandémie au nom des États-Unis. Alors que le langage de l'accord et des révisions du RSI est souvent opaque et bureaucratique, les analystes affirment que le but ultime des réformes est de conférer plus d'autorité en cas de pandémie au sein de l'OMS et de faire en sorte que cette autorité s'étende au-delà des urgences pandémiques.

    « La trajectoire consiste à centraliser le pouvoir sur les urgences sanitaires », a déclaré David Bell, médecin de santé publique et ancien membre du personnel de l'OMS spécialisé dans la politique épidémique, à Epoch Times. "Cela centralisera l'autorité au sein de l'OMS, en particulier au niveau du directeur général, et cela élargira la portée de ce qu'ils appellent One Health."

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  24. Les négociations se déroulent en secret

    En avril, les délégués des États-Unis ont accepté une proposition chinoise selon laquelle les nouveaux projets de RSI ne seraient pas partagés avec le public. Hamamoto a déclaré qu '"à ce stade, j'ai une certaine inquiétude quant au partage du projet avec toutes les parties prenantes compte tenu de l'état d'avancement du processus".

    En réponse, plusieurs organisations à but non lucratif et experts de la santé ont écrit une lettre au secrétaire à la Santé et aux Services sociaux Xavier Becerra et au secrétaire d'État Antony Blinken pour protester contre le secret des négociations.

    "La tentative de créer un voile de secret entourant maintenant les négociations de fond et techniques basées sur des textes sur le traité de l'OMS sur la pandémie crée un dangereux précédent pour l'établissement de normes au niveau multilatéral", ont-ils écrit. "Cela sape également la confiance dans le processus à un moment où les attaques contre l'OMS et contre l'accord sur la pandémie se multiplient."

    Le Manifeste pour la préparation du GPMB stipule que « le succès de ces réformes dépendra en grande partie de l'adoption d'une approche coordonnée et One Health du PPPR qui implique tous les pays, les organisations internationales et régionales, les institutions financières et le secteur privé ».

    PPPR est l'acronyme de l'OMS pour la prévention, la préparation et la réponse à une pandémie. « Une seule santé » fait référence à l'élargissement de la réponse à la pandémie pour inclure potentiellement des éléments tels que l'agriculture, la pauvreté et le changement climatique, qui pourraient soit provoquer ou exacerber des épidémies, soit nuire à la santé des personnes d'autres manières.

    "One Health est tout ce qui, dans la biosphère, affecte le bien-être humain dans sa définition actuelle", a déclaré Bell. Les conditions actuellement en cours de négociation, a-t-il dit, élargiraient non seulement la portée du mandat de l'OMS, mais lui donneraient également le pouvoir d'agir lorsqu'une «menace» pandémique est perçue, par opposition à une véritable urgence pandémique.

    "Ils mettent déjà en place un mécanisme de surveillance très large", a déclaré Bell. "Ils parlent d'environ deux milliards et demi de dollars par an, soit trois fois le budget de l'OMS rien que pour gérer cela. Et cela recherchera toutes les menaces telles que la variante virale, qui fait partie de la nature, je veux dire, cela se produit tout le temps. Ensuite, ils pourront dire essentiellement que ce sont des menaces potentielles, donc nous devons enfermer une population.

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  25. La dernière version publiquement disponible de l'accord de l'OMS sur la pandémie comprend les termes «approche One Health» et «surveillance One Health», mais à ce jour, la définition de ces termes est restée vide. Or, l'« avant-projet » précise que One Health englobe « l'interconnexion entre les personnes, les animaux, les plantes et leur environnement commun, pour laquelle une approche cohérente, intégrée et fédératrice doit être renforcée et appliquée dans le but d'équilibrer et d'optimiser durablement la santé ». des hommes, des animaux et des écosystèmes.

    Selon le Manifeste pour la préparation du GPMB, l'OMS doit être « dotée de la responsabilité, de l'autorité et de l'obligation de rendre compte pour remplir son rôle de leadership au centre de la préparation aux urgences sanitaires ». L'une des principales priorités, selon le manifeste, est que « l'accès aux contre-mesures médicales est basé sur les besoins ; les ressources, informations et données sont accessibles à tous ; les priorités sont guidées par les besoins des personnes et des communautés et traitent de l'équité entre les sexes.

    Le Conseil mondial de surveillance de la préparation a été créé en 2018 par l'OMS et la Banque mondiale et est chargé de surveiller la préparation du monde à répondre aux pandémies. Il est "composé de leaders et d'experts mondialement reconnus dans un large éventail de secteurs, notamment la santé mondiale, l'épidémiologie vétérinaire, l'environnement, les droits de l'homme, l'économie, le droit, le genre et le développement".

    Dans son premier rapport de septembre 2019, le GPMB avait prédit une pandémie respiratoire qui causerait des millions de morts et d'immenses dommages à l'économie mondiale.

    "Le monde court un risque aigu d'épidémies ou de pandémies régionales ou mondiales dévastatrices qui non seulement causent des pertes de vie, mais bouleversent les économies et créent le chaos social", indique le rapport de 2019. Plus tard cette année-là, en décembre 2019, un scientifique local a identifié une mystérieuse maladie de type pneumonie à Wuhan, en Chine. Quatre mois plus tard, en mars 2020, l'OMS a déclaré une pandémie de ce qui est maintenant connu sous le nom de COVID-19.

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  26. Phumaphi, ancien ministre de la Santé du Botswana, a été co-PDG par intérim de la Clinton Health Access Initiative avant de devenir coprésident du Global Preparedness Monitoring Board en septembre 2022. En annonçant la nouvelle direction, le GPMB a déclaré : « Avec des négociations en cours pour créer de nouvelles structures mondiales de gouvernance des urgences sanitaires, y compris le Traité sur la pandémie et le Fonds d'intermédiaire financier nouvellement créé, le GPMB a souligné la nécessité d'un mécanisme de surveillance indépendant solide pour mettre en lumière les principales lacunes en matière de préparation au sein de l'architecture mondiale de la santé.

    Jan Jekielek a contribué à ce rapport.

    https://www.theepochtimes.com/global-pandemic-monitoring-board-calls-for-simulation-to-prep-for-next-global-health-crisis_5309741.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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  27. Vingt sinistres réalités découvertes par les confinements


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 06 JUIN 2023 - 05:40
    Rédigé par Jeffrey Tucker via The Brownstone Institute,


    Il est maintenant courant de parler des temps d'avant par opposition aux temps d'après. Le tournant a bien sûr été le 16 mars 2020, le jour des 15 jours pour aplatir la courbe, bien que les tendances autoritaires soient antérieures à cela. Les droits ont été soudainement largement étranglés, même les droits religieux. On nous a dit de mener chaque aspect de notre vie conformément aux priorités de l'État de sécurité biomédicale.

    Très peu de gens s'attendaient à une évolution aussi choquante. C'était le début d'une nouvelle guerre menée par l'État et l'ennemi était quelque chose que nous ne pouvions pas voir et pouvait donc être n'importe où. Personne n'a jamais douté de l'omniprésence d'agents pathogènes potentiellement dangereux, mais on nous disait maintenant que la vie elle-même dépendait entièrement de leur évitement et que le seul guide à l'avenir serait les autorités de santé publique.

    Tout a changé. Rien n'est pareil. Le traumatisme est réel et durable. La revendication de "15 jours" s'est révélée être une ruse. L'urgence a duré trois ans et plus encore. Les personnes et les machines qui ont fait cela sont toujours au pouvoir. Le choix pour diriger le CDC a une longue feuille de route pour permettre et encourager les verrouillages et tout ce qui a suivi.

    C'est un exercice utile pour résumer les nouvelles choses que nous avons tous découvertes au cours de ces années. Ensemble, ils expliquent pourquoi le monde semble différent et pourquoi nous ressentons et pensons tous différemment maintenant qu'il y a quelques années à peine.

    Vingt terribles réalités mises au jour par les confinements

    1. Surveillance et censure par Big Tech. La résistance a fini par se trouver, mais cela a pris des mois et des années. Un régime de censure est descendu sur toutes les principales plateformes sociales, des technologies conçues dans le but de nous garder plus connectés et d'élargir l'éventail des opinions que nous pourrions rencontrer. Nous ne savions pas que cela se passait, mais nous avons finalement appris la répression, c'est pourquoi tant d'entre nous se sentaient si seuls. Les autres ne pouvaient pas nous entendre et nous ne pouvions pas les entendre. Le régime est confronté à une contestation judiciaire audacieuse sur de nombreux fronts, mais cela continue encore aujourd'hui, tous sauf Twitter surveillant constamment leurs réseaux d'une manière imprévisible et autoritaire. Nous avons maintenant des preuves irréfutables qu'ils sont tous capturés.

    2. Pouvoir et influence des Big Pharma. C'était en avril 2020 quand quelqu'un m'a demandé si l'objectif du vaccin produit par le cartel pharmaceutique était vraiment à l'origine des confinements. L'idée serait de nous terrifier et de ruiner nos vies jusqu'à ce que nous demandions des coups. Je pensais que toute l'idée était folle et que la corruption ne pouvait pas atteindre cette profondeur. J'ai eu tort. Pharma travaillait sur un vaccin depuis janvier de cette année-là et a fait appel à toutes les formes d'influence achetée pour éventuellement les rendre obligatoires. Nous savons maintenant que les principaux régulateurs sont entièrement détenus et contrôlés, au point que la nécessité, la sécurité et l'efficacité n'ont pas vraiment d'importance.

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  28. 3. Propagande gouvernementale par les grands médias. C'était implacable dès le premier jour : les grands médias se sont révélés des partisans inconditionnels d'Anthony Fauci. Les pouvoirs en place pouvaient exploiter le New York Times, la National Public Radio, le Washington Post et tout le reste, quand et comme ils le voulaient. Plus tard, les médias ont été déployés pour diaboliser ceux qui violaient les mesures de confinement, refusaient les masques et résistaient aux tirs. Finie l'idée que « la démocratie meurt dans les ténèbres » et le « papier officiel » remplacé par les ténèbres elles-mêmes et la propagande constante. Ils n'ont montré aucune réelle curiosité de l'autre côté. La déclaration de Great Barrington elle-même a commencé comme un effort pour éduquer les journalistes, mais seuls quelques-uns ont même osé se présenter. Maintenant, nous l'avons compris : les médias grand public sont eux aussi entièrement détenus et complètement compromis. Ils savaient déjà quoi signaler et comment le signaler. Rien d'autre n'avait d'importance.

    4. Corruption de la santé publique. Qui, sain d'esprit, aurait prédit que le CDC et le NIH, sans parler de l'Organisation mondiale de la santé, seraient déployés en tant que travailleurs de première ligne dans l'imposition d'un contrôle totalitaire ? Certains observateurs l'avaient peut-être prédit, mais de manière invraisemblable. Mais en fait, ce sont ces agences qui étaient responsables de tous les protocoles absurdes, de la fermeture des hôpitaux aux cas non Covid, en installant du plexiglas partout, en gardant les écoles fermées, en diabolisant les thérapies réutilisées, en masquant les tout-petits et en forçant les tirs. Ils ne connaissaient aucune limite à leur pouvoir. Ils se sont révélés être de fidèles agents de l'hégémonie.

    5. Consolidation de l'industrie. La libre entreprise est censée être libre, mais lorsque les travailleurs, les industries et les marques étaient divisés entre l'essentiel et le non essentiel, où étaient les hurlements des grandes entreprises ? Ils n'étaient pas là. Ils se sont montrés disposés à faire passer le profit avant le système de concurrence. Tant qu'ils bénéficiaient du système de consolidation, de cartellisation et de centralisation, cela leur convenait. Les magasins à grande surface ont pu anéantir la concurrence et prendre une longueur d'avance sur le plan industriel. Même chose avec les plateformes d'apprentissage à distance et la technologie numérique. Les plus grandes entreprises se sont avérées être les pires ennemies du capitalisme réel et les plus grandes amies du corporatisme. Quant aux arts et à la musique : on sait désormais que les élites les considèrent comme superflus.

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  29. 9. La mollesse des think tanks. Le travail de ces énormes organisations à but non lucratif est de tester les limites de l'opinion acceptable et de conduire le monde politique et intellectuel dans le sens du progrès pour tous. Ils sont également censés être indépendants. Ils ne dépendent pas des frais de scolarité ou des faveurs politiques. Ils peuvent être audacieux et fondés sur des principes. Où étaient-ils donc ? Presque sans exception, ils se sont tus ou sont devenus de lâches apologistes du régime de confinement. Ils ont attendu et attendu jusqu'à ce que la voie soit dégagée, puis ont émis de petites opinions qui n'avaient que peu d'impact. Étaient-ils simplement timides ? Pas probable. Les finances racontent une histoire différente. Ils sont soutenus par les industries mêmes qui ont pu bénéficier des politiques flagrantes. Les donateurs qui croient en la liberté devraient en prendre note !

    10. Folie des foules. Nous avons tous lu le livre classique Extraordinary Popular Delusions and the Madness of Crowds, mais nous pensions que c'était une chronique du passé et probablement impossible maintenant. Mais en un instant, des foules de gens sont tombées dans des paniques de style médiéval, traquant les non-conformistes et se cachant des miasmes invisibles. Ils avaient une mission. Ils dénichaient les dissidents et dénonçaient les contrevenants. Rien de tout cela ne serait arrivé autrement. Tout comme lors de la Révolution culturelle chinoise, ces futurs membres de la Garde rouge sont devenus des fantassins de l'État. Le livre de Mathias Desmet sur la formation de masse se présente maintenant comme une explication classique de la façon dont une population dépourvue de vies significatives peut transformer ces sortes de frénésies politiques en croisades illusoires. La plupart de nos amis et voisins nous ont accompagnés.

    11. Manque de conviction idéologique de la droite comme de la gauche. La droite comme la gauche ont trahi leurs idéaux. La droite a abandonné ses affections pour le gouvernement limité, la libre entreprise et la primauté du droit. Et la gauche s'est retournée contre sa position traditionnelle pour les libertés civiles, l'égalité des libertés et la liberté d'expression. Ils ont tous été compromis et ont tous inventé de fausses justifications pour cette situation pathétique. Si tout avait commencé sous un démocrate, les républicains auraient crié. Au lieu de cela, ils se sont tus. Puis le régime Covid est passé à un démocrate et ils sont donc restés silencieux tandis que les républicains, gênés par leur silence précédent, sont restés silencieux bien trop longtemps. Les deux parties se sont révélées inefficaces et édentées tout du long.

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  30. 18. La tolérance à la ségrégation. La vaccination était certainement disproportionnée selon la race et le revenu. Les populations plus riches et plus blanches ont suivi, mais environ 40 % des communautés non blanches et plus pauvres n'ont pas fait confiance à la piqûre et l'ont refusé. Cela n'a pas empêché 5 grandes villes d'imposer la ségrégation des vaccins et de l'appliquer avec le pouvoir de la police. Pendant un certain temps, les grandes villes ont été séparées avec un impact disparate selon la race. Je ne me souviens pas d'un seul article dans un grand journal qui l'ait souligné, encore moins décrié. Tant pis pour les logements publics et tant pis pour l'illumination ! La ségrégation s'avère très bien tant qu'elle correspond aux priorités du gouvernement - comme c'était le cas au mauvais vieux temps.

    19. L'objectif d'un système de crédit social. Ce n'est pas de la paranoïa de spéculer que toute cette ségrégation concernait en réalité la création d'un système de passeport vaccinal fonctionnant sur une base nationale, celui qu'ils veulent vraiment mettre en œuvre. Et une partie de cela est l'objectif réel et à long terme de créer un système de crédit social à la chinoise qui rendrait votre participation à la vie économique et sociale subordonnée à la conformité politique. Le PCC a maîtrisé l'art et imposé un contrôle totalitaire. Nous savons avec certitude maintenant que les principaux aspects de la réponse à la pandémie ont été scénarisés à Pékin et imposés par l'influence de la classe dirigeante chinoise. Il est tout à fait raisonnable de supposer que c'est le véritable objectif des passeports vaccinaux et même de la monnaie numérique de la Banque centrale.

    20. Le corporatisme comme système dans lequel nous vivons, démentant les systèmes idéologiques existants. Pendant de nombreuses générations, le grand débat a été entre le capitalisme et le socialisme. Pendant tout ce temps, le véritable objectif nous a dépassé : l'institutionnalisation d'un État corporatiste de l'entre-deux-guerres. C'est là que la propriété est théoriquement privée et concentrée uniquement dans les principales industries des principaux secteurs, mais contrôlée publiquement en tenant compte des priorités politiques. Ce n'est pas du socialisme traditionnel et ce n'est certainement pas du capitalisme compétitif. C'est un système social, économique et politique conçu par la classe dirigeante pour servir ses intérêts avant tout. Voici la principale menace et la réalité existante, mais elle n'est bien comprise ni par la droite ni par la gauche. Même les libertaires ne semblent pas comprendre cela : ils sont tellement attachés au binôme public/privé qu'ils se sont aveuglés sur la fusion des deux et sur la manière dont les grandes entreprises font avancer l'étatisme dans leur propre intérêt.

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  31. Si vous n'avez pas changé votre façon de penser au cours des trois dernières années, vous êtes un prophète, indifférent ou endormi. Beaucoup a été révélé et beaucoup a changé. Pour relever ces défis, nous devons le faire les yeux grands ouverts. Les plus grandes menaces à la liberté humaine aujourd'hui ne sont pas celles du passé et elles échappent à une catégorisation idéologique facile. De plus, nous devons admettre qu'à bien des égards, le simple désir humain de vivre une vie épanouie dans la liberté a été renversé. Si nous voulons retrouver nos libertés, nous devons avoir une pleine compréhension des défis effrayants qui nous attendent.

    Le travail et l'influence de Brownstone à cet égard vont bien au-delà de tout ce que nous avons dit publiquement. Vous seriez étonné de son ampleur. L'époque exige de la circonspection dans l'agrandissement institutionnel manifeste.

    Nous sommes reconnaissants à nos donateurs d'avoir confiance dans le pouvoir des idées. Nous sommes quotidiennement émerveillés par la capacité d'écrivains et d'intellectuels passionnés et scrupuleux à faire une réelle différence pour la cause de la liberté. S'il vous plaît, si vous le pouvez, rejoignez notre communauté de donateurs pour maintenir l'élan, car la colline est peut-être la plus raide que nous ayons gravi dans nos vies. Nous n'avons pas de "département de développement" et pas de bienfaiteurs corporatifs ou gouvernementaux : vous pouvez faire la différence.

    https://www.zerohedge.com/markets/twenty-grim-realities-unearthed-lockdowns

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  32. La GUERRE contre l'IVERMECTINE : juste la dernière en date de la guerre de plusieurs décennies de Big Pharma contre les médicaments génériques, hors brevet et réutilisés qui sont sûrs et efficaces


    Monday, June 05, 2023
    by: S.D. Wells


    (Natural News) Big Pharma est "littéralement un syndicat criminel", s'est exclamé le Dr Pierre Kory dans le "Health Ranger Report", où il a révélé "un exemple de cas de la guerre de plusieurs décennies contre les médicaments génériques, hors brevet et réutilisés - et l'ivermectine n'est que la dernière en date.

    Il est « éprouvé, sûr, omniprésent, disponible dans tous les pays du monde », et pourtant, la médecine traditionnelle l'appelait « médecine équine » et un « vermifuge équin » pour inciter tout le monde à avoir peur de l'utiliser, demandez elle, ou être sauvée par elle.

    Big Pharma contrôle d'une main de fer les revues médicales à fort impact
    Pharma a acquis un contrôle total sur les médecins, les pharmaciens, les hôpitaux, les organismes de réglementation et les médias grand public.

    Le Dr Kory était un médecin de formation allopathique, formé aux soins intensifs et aux maladies pulmonaires. Maintenant, le Dr Kory concentre sa pratique privée sur les syndromes de la longue COVID et de l'industrie des vaccins. Il a dit que les médecins sont «inculqués» pour être arrogants et pensent que leurs méthodes allopathiques sont au «sommet des sciences» et de la médecine fondée sur des preuves, qui aujourd'hui n'est plus fondée sur des preuves, mais presque strictement axée sur le profit, et au détriment d'un carnage humain indicible.

    Big Pharma utilise désormais l'expression "preuves insuffisantes" pour discréditer chaque médicament, herbe, remède naturel et médicament hors brevet, alors qu'ils utilisent des recherches frauduleuses pour leurs propres produits et vaccins. C'est stupéfiant.

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  33. Le syndrome de blessure post-vaccination est devenu un phénomène majeur, grâce aux injections de prion de protéine de pointe COVID-19 qui obstruent le système vasculaire, envahissent les organes de nettoyage, ruinent les ovaires, infectent le cerveau et provoquent des avortements spontanés. Les trois symptômes les plus courants du syndrome de blessure post-vaccinale comprennent une fatigue intense et persistante, un malaise post-effort et un brouillard cérébral (déficit cognitif, traitement des tâches, manque de concentration et problèmes de mémoire). La plupart des gens ont les trois. Les problèmes neurologiques (dévastation) sont les plus fréquents et les plus importants.

    Aujourd'hui, des personnes autrefois en parfaite santé, qui faisaient régulièrement de l'exercice, mangeaient régulièrement des aliments biologiques et ne souffraient pas de beaucoup (ou d'aucun) de problèmes de santé, sont littéralement frappées d'incapacité et sont éligibles aux handicaps, tout cela parce qu'elles ont reçu un ou deux coups de COVID.

    Ces humains injectés de protéines de pointe ne peuvent pas travailler, ils ne peuvent pas s'exercer, ils ne peuvent pas penser correctement et ils souffrent de problèmes neurologiques. Et la première ligne de traitement pour le syndrome de blessure post-vaccination ? Attendez-le… l'ivermectine. Oui les gens, le médicament que la pharma déteste maintenant plus que tout ce qui a été prescrit pour les humains auparavant est le médicament qui non seulement bat très bien le COVID, mais aide les gens à se remettre du syndrome post-COVID-jab. Quelle surprise.

    Au moins 70 % des patients ont une réponse positive à l'ivermectine lorsqu'ils souffrent du syndrome des protéines de pointe. Les tests standard ne révèlent pas le syndrome des protéines de pointe. Les gens souffrent d'inflammation cérébrale et les médecins et les neurologues ne semblent pas savoir comment aider ces patients et bien sûr aucun médecin ne pointera du doigt les piqûres COVID (parce que Big Pharma les fermera et leur retirera leur licence médicale et peut-être les mettre en prison).

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  34. Les interventions diététiques sont simples à engager et de nombreux symptômes peuvent être considérablement réduits en modifiant votre alimentation. Les gens peuvent éliminer le cercle vicieux de la consommation d'aliments transformés et de la prise de médicaments sur ordonnance qui aggravent les problèmes de santé. Il est temps pour les masses piquées de COVID d'écouter plus attentivement des gens comme le Dr Kory et de suivre leurs conseils. C'est révolutionnaire. Écoutez les médecins et les nutritionnistes expérimentés qui aiment la science et qui se soucient vraiment de l'humanité.

    Regardez l'interview du Dr Kory avec Mike Adams et vous serez choqué par la vérité sur l'ivermectine :

    - voir sur site -

    Ajoutez Vaccines.news à vos sites Web indépendants préférés pour obtenir des mises à jour sur les injections expérimentales de thérapie génique que le CDC et les fausses informations affirment être « sûres et efficaces » lorsqu'elles sont vraiment dangereuses et nocives pour la santé.

    Les sources comprennent :

    Pandemic.news
    Brighteon.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-06-05-doctor-exposes-big-pharma-war-generic-drugs.html

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  35. L'OMS envisage-t-elle de déclencher des blocages climatiques comme la prochaine « pandémie » ?


    Lundi 05 juin 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Maintenant que l'arnaque du coronavirus de Wuhan (Covid-19) est terminée, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est en train de préparer son prochain plan tyrannique sous la forme d'une nouvelle série de confinements, cette fois pour arrêter le "changement climatique".

    Les amendements récemment proposés au Règlement sanitaire international (RSI) et au soi-disant Traité sur la pandémie intègrent tous deux ce que l'on appelle l'approche « Une seule santé ». Le programme One Health accordera à l'OMS le «pouvoir» absolu d'initier des «verrouillages climatiques» à un moment tel que le «réchauffement climatique» est considéré comme une menace trop importante pour être ignorée.

    "Bien que vague et déroutant, le langage de l'escroquerie One Health est un outil pour créer des réseaux et combiner les efforts pour centraliser le pouvoir et le contrôle, ce qui est toujours l'objectif de tous les maîtres partout", a rapporté Mac Slavo dans le rapport Discern.

    "Une fois que ce pouvoir central a été atteint, des mesures similaires qui ont été imposées en réponse à la pandémie de COVID peuvent être utilisées pour le changement climatique, la perte de biodiversité, les maladies humaines, les maladies à transmission vectorielle, et bien plus encore."

    (En relation: Pendant le covid, certains fanatiques du climat de gauche ont appelé les familles à tuer leurs proches en lock-out pour sauver la planète.)

    Le prochain confinement mondial sera le confinement de tous les confinements
    La prochaine série de confinements supervisés par l'OMS sera bien pire que les confinements covid. Le chef de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, pourra exercer une tyrannie autoritaire effrénée sur tout le monde partout dans le monde, forçant les gens à rester à l'intérieur et à "rester en sécurité" indéfiniment.

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  36. Avec l'aide de l'intelligence artificielle (IA), les pouvoirs en place pourront garder un œil sur tout le monde à tout moment - vous ne pensiez pas vraiment que ces implants cérébraux d'IA visaient en fait à "sauver des vies" comme Elon Musk réclamations, avez-vous?

    Bill Gates et sa Fondation Bill & Melinda Gates sont les plus grands bailleurs de fonds de l'OMS, conduisant les politiques tyranniques de l'organisation. Billy Boy ne peut tout simplement pas attendre le lancement de la prochaine fausse "pandémie", plongeant le monde entier dans l'enfer - un enfer bien pire que le covid, soit dit en passant.

    Covid n'était que le test de ce que l'OMS prévoit pour la prochaine fois. Le Forum économique mondial (WEF), dirigé par Klaus Schwab, est également impliqué dans le fer de lance du programme, que le Daily Exposé décrit comme suit :

    "Le "Traité sur la pandémie" de l'OMS ne concernera pas seulement les pandémies. Il introduit à l'échelle mondiale l'idéologie « One Health ». Le concept reconnaît l'interdépendance de la santé humaine et animale et le lien avec l'environnement. Grâce à ce programme One Health, l'OMS aura le pouvoir de prendre des décisions sur des questions liées à l'environnement (y compris les émissions de gaz à effet de serre, la pollution et la déforestation), à la santé animale (par exemple, le bétail) et à la santé humaine (y compris les vaccinations, les déterminants sociaux, et mouvement de population). Avec ces pouvoirs étendus, l'OMS pourrait facilement déclarer une urgence climatique ou environnementale et imposer des confinements.

    L'excuse de toute cette tyrannie est qu'elle doit se produire afin de fournir une « lueur d'espoir pour relever nos défis mondiaux ». En d'autres termes, la planète mourra, nous dit-on, à moins que tous les humains en dehors de «l'élite» ne soient enfermés et soumis à un génocide.

    Afin de relever les 14 "défis mondiaux" que l'OMS a identifiés - ceux-ci incluent l'alimentation, l'eau, la sécurité, la santé des sols et la "biologie comparée" - les pouvoirs en place doivent prendre le contrôle de tout, y compris pas seulement "les gens » mais aussi des « animaux », des plantes, des cours d'eau et des écosystèmes entiers.

    Pour empêcher ce cauchemar de se concrétiser, une masse critique d'humanité devrait d'abord prendre conscience de ce qui se passe et accepter de résister systématiquement. Cela inclut les "exécuteurs", c'est-à-dire les forces de l'ordre, qui se rendent compte qu'ils travaillent au nom du mal, les incitant à changer de camp et à se battre pour l'humanité à la place.

    Les dernières nouvelles sur le fanatisme climatique de gauche peuvent être trouvées sur GreenTyranny.news.

    Les sources de cet article incluent :

    DiscernerReport.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-06-05-who-planning-unleash-climate-lockdowns-next-pandemic.html

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  37. L'OMS va lancer un "pass sanitaire mondial" basé sur le modèle européen


    France-Soir, avec AFP
    le 05 juin 2023 - 17:15


    DÉPÊCHE — "Restreindre les libertés individuelles" pour lutter contre les pandémies à venir, c'était déjà le plan affiché par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Et pour ce faire, quoi de mieux que le bon vieux pass sanitaire ? C'est en effet de notre modèle européen — le plus répandu au monde — que l'institution voudrait s'inspirer pour créer un "pass mondial".

    L'on parle déjà d'un partenariat "historique" entre l'OMS et la Commission européenne, signé lundi 5 juin à Genève. Une "initiative historique pour renforcer la sécurité sanitaire mondiale", d'après leur propre communiqué.

    Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, déclarait lors de la cérémonie de signature : "La pandémie de Covid-19 a montré l'importance des solutions de santé numérique pour faciliter l'accès aux services de santé". Ainsi, il veut faire du pass européen un "bien public mondial".

    Ce futur système de certification numérique mondiale devrait, comme le rapporte l'AFP, "contribuer à faciliter la mobilité et à protéger les citoyens du monde entier contre les menaces actuelles et futures pour la santé, y compris pandémies". Or, il ne s'agirait que d'un premier élément.

    À plus long terme, le projet n'est ni plus ni moins qu'un réseau mondial de certification sanitaire numérique de l'OMS, qui doit mettre au point "un large éventail de produits numériques pour améliorer la santé de tous". Là, s'ajoute au pass sanitaire le carnet de vaccination numérique.

    Lire aussi : Un dirigeant de l’OMS appelle à adopter des mesures "restreignant les libertés individuelles" pour lutter contre les prochaines pandémies

    Sans surprise, les amoureux du numérique et du contrôle sont ravis : "Avec 80 pays et territoires connectés au certificat numérique Covid-19 de l'UE, l'UE a établi une norme mondiale. Le certificat européen a non seulement été un outil important dans notre lutte contre la pandémie, mais il a également facilité les voyages et le tourisme internationaux", a souligné dans le communiqué le commissaire européen chargé du Numérique Thierry Breton.

    Toutefois, si cela devait inquiéter quelqu'un, M. Tedros a souligné que le futur système de certification numérique mondial serait "fondé sur les principes d'équité, d'innovation, de transparence et de protection des données et de la vie privée". Selon lui, l'OMS pourra vérifier l'authenticité des certificats, mais n'aura pas accès aux données personnelles... Seules les autorités y auront accès.

    Fier, il concluait sur ces belles paroles : "La protection de la vie privée est essentielle".

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/l-oms-va-lancer-un-pass-sanitaire-mondial-base-sur-le-modele-europeen

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    1. LA PIQÛRE LÉTALE POUR TOUS !

      Çà y est ! L'expérimentation génique d'essais frauduleusement et criminellement appelée 'vaccin', est sur le point d'effacer 8 milliards d'habitants sur la planète avant la fin de l'année !

      Les scientifiques Astrid Stuckelberger et Carrie Madej ont - il y a plus de 2 ans - analysé le contenu des flacons injectables: 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène ! + des hydres ! + des spikes ! + diverses maladies animales dont une quarantaine de venins différents de serpents !

      Le 'cocovide19' (appelé 'virus') N'EST PAS DANS L'AIR ! (Il y a DES milliers de laboratoires dans le monde qui tous les jours analysent la qualité de l'air et... ne l'ont JAMAIS trouvé !).

      Il est UNIQUEMENT en seringues.
      Si t'es piqué tu l'as. Si tu l'as t'es mort !

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  38. Découverte de nouveaux mécanismes de résistance à la rouille du blé


    5 Juin 2023


    La recherche met en évidence le rôle émergent de protéines de fusion de kinases inhabituelles dans la résistance aux maladies du blé.


    King Abdullah University of Science and Technology*

    Des chercheurs ont cloné les gènes Lr9 et Sr43 de résistance à la rouille du blé et ont déterminé qu'ils codent des protéines de fusion de kinases inhabituelles. Leurs recherches permettront d'envisager de nouvelles options pour la résistance aux maladies du blé panifiable.

    Chaque année, environ 20 % de la production mondiale de blé est perdue à cause des parasites et des maladies, soit l'équivalent de 3.500 navires céréaliers. La sélection de cultivars résistants est l'un des moyens les plus économiques et les plus respectueux de l'environnement pour résoudre ce problème.

    Découvrez comment les scientifiques de la KAUST s'attaquent à l'une des pires maladies qui affectent le blé dans le monde. 2023 KAUST ; Anastasia Serin.

    Les espèces sauvages apparentées au blé constituent un réservoir de diversité génétique pour l'amélioration des cultures. Le gène Lr9 de résistance à la rouille des feuilles ou rouille brune [Puccinia recondita ou P. triticina], par exemple, a été identifié à l'origine dans une graminée sauvage (Aegilops umbellulata). Lors d'une expérience pionnière menée dans les années 1950, le Dr Ernest Sears a réussi à transférer un minuscule segment porteur du gène Lr9 d'un chromosome d'Aegilops dans du blé panifiable, démontrant ainsi qu'il est possible de transférer de manière stable de petits segments de chromosomes provenant de parents sauvages éloignés.

    Près de 40 % des gènes de résistance que l'on trouve aujourd'hui dans le blé panifiable ont été tranférés dans le blé à partir de parents sauvages au cours des 60 dernières années. Les cultivars de blé porteurs du gène Lr9 ont été mis sur le marché à la fin des années 1960, et le gène Lr9 est encore efficace dans de nombreuses régions de culture du blé. Toutefois, ce type de sélection peut entraîner la co-introduction de versions défavorables d'autres gènes provenant de parents sauvages, ce que l'on appelle le « linkage drag ».

    Le blé est l'une des cultures les plus importantes au monde, mais il est sensible à des maladies telles que la rouille. 2023 KAUST ; Anastasia Serin.

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  39. M. Yajun Wang, chercheur à la KAUST, a utilisé le séquençage à lecture longue pour séquencer les génomes d'un cultivar de blé panifiable contenant le gène Lr9 et de l'Ae. umbellulata. La comparaison des deux génomes a permis de reconstituer entièrement cette translocation historique. « Nous avons découvert que le gène Lr9 avait été introduit dans le blé avec environ 536 autres gènes d'Aegilops umbellulata. En outre, le processus a conduit à la suppression d'un petit fragment du génome du blé contenant 87 gènes », explique M. Wang.

    Tout comme le gène Lr9, le gène Sr43 de résistance à la rouille noire (Puccinia graminis] provient d'une espèce apparentée, Thinopyrum elongatum [Agropyron elongatum].

    Deux équipes dirigées par MM. Simon Krattinger et Brande Wulff ont cloné Lr9 et Sr43, respectivement, en générant des mutants et en comparant leur séquence aux génomes parents.

    « Les gènes clonés peuvent maintenant être utilisés pour créer des lignées de blé panifiable sans linkage drag. Plus important encore, les gènes peuvent être combinés avec d'autres gènes clonés de résistance à la rouille dans des empilements multigéniques afin de créer des lignées présentant une résistance supérieure et plus durable », explique M. Guotai Yu, chercheur principal du projet Sr43.

    L'équipe espère cloner davantage de gènes de résistance et créer des lignées de blé protégées contre les maladies par la génétique plutôt que par des produits chimiques. 2023 KAUST ; Anastasia Serin.

    Pour cloner Lr9, M. Wang a mis au point une nouvelle méthode appelée MutIsoSeq, fondée sur le séquençage de l'ARNm plutôt que de l'ADN génomique. Cette méthode combine le séquençage à lecture longue de l'ARNm des lignées parentales de type sauvage et le séquençage à lecture courte de l'ARNm des plantes mutantes pour identifier les gènes candidats. Par rapport à d'autres méthodes de clonage de gènes fondées sur le séquençage de l'ADN, MutIsoSeq permet un clonage moins coûteux et plus rapide des gènes causaux sans cartographie génétique fastidieuse, et la méthode peut être facilement appliquée dans n'importe quel laboratoire de biologie moléculaire de base.

    Le clonage de Lr9 et Sr43 a également révélé que ces gènes codent pour des protéines de fusion de kinases inhabituelles. Les kinases du blé sont récemment apparues comme un nouvel acteur important de la résistance aux maladies du blé et de l'orge. Les chercheurs ont combiné l'analyse mutationnelle à grande échelle et la modélisation des protéines AlphaFold pour interpréter la fonction de la protéine.

    « Une kinase est une enzyme commune qui joue un rôle important dans de nombreux processus cellulaires chez les plantes et les animaux, y compris dans l'immunité », explique M. Krattinger.

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  40. « Les agents pathogènes sécrètent des protéines qui sabotent les processus de l'hôte, le déstabilisent et provoquent des maladies. Nos travaux suggèrent que la fusion de ces protéines avec des kinases pourrait permettre à l'hôte de détecter plus facilement la présence d'agents pathogènes et de déclencher des réactions de défense », ajoute-t-il.

    Le gène Sr43 présente la particularité de ne pas offrir une bonne résistance à des températures élevées.

    « Après avoir cloné le gène Sr43, nous pouvons maintenant commencer à élucider le mécanisme moléculaire de sa sensibilité à la température. Cela pourrait nous permettre de concevoir une version résistante à la chaleur qui serait mieux adaptée au changement climatique », déclare M. Wulff.

    RÉFÉRENCES

    Wang, Y., Abrouk, M., Gourdoupis, S., Koo, D., Karafiátová, M., Molnár, I., Doležel, J., Athiyannan, N., Cavalet-Giorsa, E., Jaremko, Ł., Poland, J., Krattinger, S.G. An unusual tandem kinase fusion protein confers leaf rust resistance in wheat. Nature Genetics.

    Yu, G., Matny, O., Gourdoupis, S., Johnson, R., Aljedaani, F.R., Blilou, I., Gardener, C., Yue, Y., Kangara, N., Steuernagel, B., Hayta, S., Smedley, M., Harwood, W., Patpour, M., Wu, S., Poland, J.A., Jones, J., Reuber, L., Ronen, M., Sharon, A., Rouse, M., Xu, S., Holušová, K., Bartos, J., Molnár, I., Karafiátová, M., Jaremko, L., Doležel, J., Steffenson, B., Wulff, B.B.H. The wheat stem rust resistance gene Sr43 encodes an unusual protein kinase. Nature Genetics.

    À PROPOS DES AUTEURS

    Guotai Yu & Yajun Wang

    Chercheur et post-doctorant

    Au Centre pour l'Agriculture du Désert de la KAUST, Guotai (à gauche) travaille avec Brande Wulff dans le laboratoire Wulff pour étudier les gènes de résistance des plantes. Yajun travaille dans le groupe de Simon Krattinger sur la génétique et la génomique des céréales pour étudier les maladies des céréales.
    _____________

    * Source : Uncovering new mechanisms for wheat rust resistance - KAUST Discovery

    https://seppi.over-blog.com/2023/06/decouverte-de-nouveaux-mecanismes-de-resistance-a-la-rouille-du-ble.html

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    1. Prenons 2 plantes qui poussent côte à côte. l'une est malade, attaquée par des maladies ou des insectes et l'autre pas. Pourquoi ?
      Une des deux plantes a des feuilles, des fleurs ou des fruits incomestibles pour les insectes et résiste aux maladies. Pourquoi ?
      C'est ce qu'étudient les laboratoires de recherches agricoles quant à la défense des plantes.

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  41. Le jour du "dépassement de la Terre" arrive de plus en plus tôt


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 06 JUIN 2023 - 05:20


    Si tout le monde vivait comme les habitants des pays mis en évidence sur notre carte, une seule Terre suffirait à subvenir aux besoins de l'humanité.

    - voir schéma sur site -

    Infographie : Les pays sans jour de dépassement de la Terre | Statistique
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Mais, comme le souligne Martin Armstrong de Statista, en ce qui concerne les modes de vie des quelque 140 pays restants, l'empreinte écologique dépasse la biocapacité de la planète, c'est-à-dire toutes les ressources naturelles que la Terre peut régénérer (et les déchets qu'elle peut absorber) dans l'espace de une année.

    Un constat qui met en lumière la pression exercée par les activités humaines sur les écosystèmes.

    Selon les calculs de l'ONG Global Footprint Network, au 2 août 2023, l'humanité aura déjà consommé toutes les ressources que la planète pourra reconstituer en un an. Le jour du dépassement de la Terre arrive de plus en plus tôt, passant du 30 décembre 1970 au plus tard.

    - voir schéma sur site -

    L'humanité vit ainsi "à crédit", et il faudrait 1,75 Terre pour subvenir aux besoins de la population mondiale en 2022. Par rapport à cette moyenne mondiale, les habitants d'un pays comme la France ou l'Allemagne ont une empreinte écologique presque deux fois plus élevée.

    Le concept de la Journée du dépassement de la Terre a été conçu pour la première fois par Andrew Simms du groupe de réflexion britannique New Economics Foundation, qui s'est associé à Global Footprint Network en 2006 pour lancer la première campagne mondiale de la Journée du dépassement de la Terre. Le WWF, la plus grande organisation de conservation au monde, participe au Jour du dépassement de la Terre depuis 2007. Pour en savoir plus sur les calculs du Jour du dépassement de la Terre, veuillez cliquer ici.

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  42. Le Jour du dépassement de la Terre marque la date à laquelle la demande de l'humanité en ressources et services écologiques au cours d'une année donnée dépasse ce que la Terre peut régénérer cette année-là. Pour déterminer la date du Jour du dépassement de la Terre, Global Footprint Network calcule le nombre de jours que la biocapacité de la Terre peut fournir pour l'empreinte écologique de l'humanité, comme expliqué sur cette page. La méthodologie s’appuie sur la dernière édition des Comptes Nationaux de l’Empreinte et de la Biocapacité, qui présente inévitablement un « décalage temporel » avec l’heure actuelle en raison des procédures de reporting des Nations Unies.

    Pour combler cet «écart» et déterminer le jour du dépassement de la Terre pour l'année en cours, le Global Footprint Network établit des lignes de tendance à partir des données des comptes nationaux d'empreinte et de biocapacité et étend ces lignes de tendance à l'année en cours. Dans la mesure du possible, des données plus récentes provenant de sources fiables (Global Carbon Project, Agence internationale de l'énergie (AIE), etc.) sont intégrées pour renforcer l'évaluation des années « gaps ».

    Les changements dans les émissions de carbone et la biocapacité forestière du 1er janvier au Jour du dépassement de la Terre 2021 ont été évalués. L'équipe de recherche a conclu à une augmentation de 4,6 % de l'empreinte écologique mondiale par rapport à 2020. Comme l'a rapporté l'AIE, les confinements induits par la pandémie mondiale ont provoqué une forte baisse initiale des émissions de CO2 en 2020. Cependant, les émissions ont de nouveau augmenté au cours du second semestre 2020. À À la fin de l'année, les émissions totales étaient inférieures de 5,8 % aux émissions de 2019 en raison de la pandémie mondiale. Combinées aux données les plus récentes du Global Carbon Project, nous estimons une augmentation de 6,6 % de l'empreinte carbone pour 2021 par rapport à l'année précédente. Le deuxième changement notable a été l'effet de la déforestation et de la dégradation de l'Amazonie sur la biocapacité forestière mondiale. L'équipe de recherche estime une diminution de 0,5 % de la biocapacité forestière mondiale.

    Le document de rapport de recherche téléchargeable

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/earth-overshoot-day-coming-sooner-and-sooner-1

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    1. PLUS CON QUE ÇÀ Y A PAS !

      Il pourrait y avoir 1000 milliards d'êtres humains sur Terre qu'elle ne pèserait pas un gramme de plus ! Çà alors !!
      TOUT ce qui est consommé est rejeté 100 % (le dernier % lors du décès).
      On prend un légume ou fruit ou viande de la Terre et on le retourne 100 % d'où ils viennent ! Çà alors !
      Alors qu'aujourd'hui des trisomiques parlent qu'il n'y a plus d'eau ! HAHAHAHA ! Demain parleront qu'il n'y a plus d'air pour tout le monde ! HAHAHA !

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  43. Jaguar rappelle près de 6 400 véhicules électriques en raison du risque élevé que les batteries prennent feu lorsqu'elles surchauffent


    Lundi 05 juin 2023
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Le constructeur multinational britannique de véhicules de luxe Jaguar Land Rover rappelle près de 6 400 VUS multisegments électriques I-Pace aux États-Unis en raison du risque très élevé que leurs batteries prennent feu en cas de surchauffe.

    L'I-Pace de Jaguar n'est que le dernier véhicule électrique sillonnant les routes et les autoroutes des États-Unis rappelé en raison de problèmes de sécurité. Ce n'est même pas le premier à être rappelé en raison du risque d'incendie potentiel de sa batterie. (En relation: Plus de 1,1 million de voitures électriques Tesla en Chine ont été rappelées pour un défaut de freinage dangereux.)

    Jaguar a lancé I-Pace pour la première fois en 2018, son premier et seul modèle de voiture soi-disant «zéro émission», bien qu'il ait promis d'investir plus de 18 milliards de dollars au cours des cinq prochaines années pour développer et fabriquer plus de véhicules électriques, y compris une toute nouvelle Jaguar électrique en 2025.

    Des documents publiés le mercredi 31 mai par la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) ont noté que le rappel couvre les SUV I-Pace avec des années modèles de 2019 à 2024.

    L'annonce de la NHTSA note que les batteries du véhicule ont été fabriquées par le géant technologique sud-coréen LG Energy Solution, qui fait actuellement l'objet d'une enquête par l'agence après que cinq autres constructeurs automobiles - General Motors, Hyundai, Mercedes-Benz, Stellantis et Volkswagen - ont émis des rappels à partir de février 2020. en raison d'éventuels défauts qui pourraient provoquer des calages ou des incendies.

    L'enquête contre la société sud-coréenne a débuté en avril 2022 et couvre plus de 138 000 véhicules électriques équipés des batteries lithium-ion de la société. Ils impliquent principalement des pannes de batterie internes qui peuvent augmenter considérablement le risque d'incendie.

    Jaguar va remplacer les batteries et mettre à jour le logiciel de modulation de batterie
    Jaguar a noté que son équipe d'ingénieurs n'avait pas déterminé si l'ensemble de la batterie était défectueux ou s'il s'agissait d'une cause de surcharges thermiques signalées, mais par prudence, il a décidé de rappeler les véhicules en réponse à l'avertissement de la NHTSA.

    Une enquête interne a révélé qu'au moins huit cas d'I-Paces aux États-Unis ont pris feu, mais aucun accident ni blessure, selon une société déposée auprès de la NHTSA.

    Jaguar, propriété du géant indien de la fabrication automobile Tata Motors, a dit aux clients qu'ils devaient garer leurs I-Paces loin des structures jusqu'à ce que les réparations de rappel soient terminées. Si possible, ils doivent également recharger leurs I-Paces à l'extérieur. Les propriétaires ayant d'autres préoccupations ou questions sont référés à leurs concessionnaires locaux.

    Le plan de Jaguar pendant le rappel est de mettre à jour le logiciel du module de contrôle de l'énergie de la batterie de l'I-Pace soit avec un concessionnaire, soit en ligne. Les concessionnaires sont également invités à remplacer les modules de batterie au besoin.

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  44. LG Energy Solution a également noté qu'il travaillait avec Jaguar sur la mise à jour du logiciel de gestion de la batterie sur les modèles I-Pace concernés pendant que les incidents qui ont conduit au rappel font l'objet d'une enquête.

    "LG Energy Solution continue de travailler en étroite collaboration avec notre client Jaguar Land Rover pour s'assurer que l'enquête est conclue", a déclaré la société dans un communiqué un jour après la publication des documents de la NHTSA.

    Apprenez-en plus sur les nombreuses lacunes des véhicules électriques sur FlyingCars.news.

    Regardez cette vidéo de "Wide Awake Media" expliquant comment les véhicules électriques ne sont ni sûrs et efficaces, ni éthiques et "verts".

    - voir sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne The Prisoner sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :

    Les véhicules électriques ne sont PAS zéro émission : il faut 500 000 livres de terre pour construire une seule batterie de 1 000 livres.

    Les constructeurs automobiles américains rappellent plus de 600 camions électriques en raison de problèmes de sécurité.

    Lorsqu'un véhicule électrique tombe en panne, même dans un accident mineur, les compagnies d'assurance mettent toute la voiture au rebut parce que sa batterie doit être jetée.

    EMPRISONNER : La police climatique veut que les batteries des véhicules électriques aient moins de capacité afin que les propriétaires de voitures électriques ne puissent pas voyager très loin.

    Ford interrompt la production et la livraison du F-150 Lightning EV en raison d'un problème de batterie non spécifié.

    Les sources comprennent :

    ZeroHedge.com
    Reuters.com
    Fortune.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-06-05-jaguar-recalls-electric-cars-battery-overheat-fire.html

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  45. "Nous ne sommes pas seuls" : les États-Unis ont récupéré des engins "d'origine non humaine", déclare un lanceur d'alerte du gouvernement. Groupe de travail sur les ovnis


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 06 JUIN 2023 - 11:44


    Un nouveau rapport de deux journalistes vétérans (grand public) citant un dénonciateur décoré donne un aperçu étonnant de l'histoire du gouvernement américain avec les ovnis.

    Pour ceux qui "veulent croire" - à moins qu'un OVNI n'atterrisse sur la pelouse de la Maison Blanche, c'est ça.

    Pour ceux qui pensent que les récentes révélations du gouvernement sur les ovnis sont un gros psyop, c'est tout.

    Un ancien responsable du renseignement devenu lanceur d'alerte a donné au Congrès et à l'inspecteur général de la communauté du renseignement de nombreuses informations classifiées sur des programmes profondément secrets qui, selon lui, possèdent des engins intacts et partiellement intacts d'origine non humaine.

    L'information, dit-il, a été illégalement dissimulée au Congrès, et il a déposé une plainte alléguant qu'il a subi des représailles illégales pour ses révélations confidentielles, rapportées ici pour la première fois.

    D'autres responsables du renseignement, actifs et retraités, connaissant ces programmes grâce à leur travail dans diverses agences, ont indépendamment fourni des informations similaires et corroborantes, à la fois officiellement et officieusement.

    Le lanceur d'alerte, David Charles Grusch, 36 ans, ancien officier de combat décoré en Afghanistan, est un vétéran de la National Geospatial-Intelligence Agency (NGA) et du National Reconnaissance Office (NRO). Il a été le représentant du bureau de reconnaissance auprès du groupe de travail sur les phénomènes aériens non identifiés de 2019 à 2021. De fin 2021 à juillet 2022, il a été co-responsable de l'analyse UAP de la NGA et son représentant au sein du groupe de travail.

    Le groupe de travail a été créé pour enquêter sur ce qu'on appelait autrefois des « objets volants non identifiés » ou OVNI, et sont maintenant officiellement appelés « phénomènes anormaux non identifiés » ou UAP. Le groupe de travail était dirigé par le Département de la Marine sous l'égide du Bureau du sous-secrétaire à la Défense pour le renseignement et la sécurité. Il a depuis été réorganisé et étendu au Bureau de résolution des anomalies de tout le domaine pour inclure les enquêtes sur les objets opérant sous l'eau.

    Grusch a déclaré que les récupérations de fragments partiels à travers et jusqu'aux véhicules intacts ont été effectuées pendant des décennies jusqu'à nos jours par le gouvernement, ses alliés et les sous-traitants de la défense. L'analyse a déterminé que les objets récupérés sont "d'origine exotique (intelligence non humaine, qu'elle soit d'origine extraterrestre ou inconnue) sur la base des morphologies du véhicule et des tests de science des matériaux et de la possession d'arrangements atomiques et de signatures radiologiques uniques", a-t-il déclaré.

    Lors du dépôt de sa plainte, Grusch est représenté par un avocat qui a été l'inspecteur général de la communauté du renseignement (ICIG).

    "Nous ne parlons pas d'origines ou d'identités prosaïques", a déclaré Grusch, faisant référence aux informations qu'il a fournies au Congrès et à l'ICIG actuel. "Le matériel comprend des véhicules intacts et partiellement intacts."

    Conformément aux protocoles, Grusch a fourni au Bureau de la défense de la prépublication et de l'examen de la sécurité du ministère de la Défense les informations qu'il avait l'intention de nous divulguer. Ses déclarations officielles ont toutes été "autorisées à être publiées" les 4 et 6 avril 2023, dans les documents qui nous ont été fournis.

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  46. Les révélations de Grusch et celles de témoins non publics, en vertu des nouvelles dispositions de protection du dernier projet de loi sur les crédits de défense, signalent une détermination croissante de certains au sein du gouvernement à résoudre une énigme colossale avec des implications pour la sécurité nationale qui a tourmenté l'armée et émoustillé le public. retour à la Seconde Guerre mondiale et au-delà. Pendant de nombreuses décennies, l'armée de l'air a mené une campagne de désinformation pour discréditer les observations signalées d'objets inexpliqués. Maintenant, avec deux audiences publiques et de nombreux briefings classifiés à son actif, le Congrès fait pression pour obtenir des réponses.

    Karl E. Nell, un colonel de l'armée récemment retraité et actuel dirigeant de l'aérospatiale qui a été l'agent de liaison de l'armée pour le groupe de travail UAP de 2021 à 2022 et a travaillé avec Grusch là-bas, qualifie Grusch de "irréprochable".

    Christopher Mellon, qui a passé près de vingt ans dans la communauté américaine du renseignement et a été sous-secrétaire adjoint à la Défense pour le renseignement, a travaillé avec le Congrès pendant des années sur des phénomènes aériens non identifiés.

    "Un certain nombre de responsables actuels et anciens bien placés m'ont partagé des informations détaillées concernant ce programme présumé, y compris des informations sur l'histoire, les documents constitutifs et l'endroit où un engin aurait été abandonné et récupéré", a déclaré Mellon. "Cependant, il est délicat de mettre ces informations potentiellement explosives entre de bonnes mains pour validation. Cela est rendu plus difficile par le fait que, à tort ou à raison, un certain nombre de sources potentielles ne font pas confiance à la direction du All-Domain Anomaly Resolution Office établi par le Congrès.

    Mais certains initiés sont maintenant prêts à prendre le risque de se manifester pour la première fois en ayant connaissance de ces programmes de relance.

    Jonathan Gray est un officier générationnel de la communauté du renseignement des États-Unis avec une autorisation Top-Secret qui travaille actuellement pour le National Air and Space Intelligence Center (NASIC), où l'analyse de l'UAP a été son objectif. Auparavant, il avait de l'expérience au service des forces spéciales de l'aérospatiale privée et du ministère de la Défense.

    « Le phénomène de l'intelligence non humaine est réel. Nous ne sommes pas seuls », a déclaré Gray. « Les récupérations de ce genre ne se limitent pas aux États-Unis. Il s'agit d'un phénomène mondial, et pourtant une solution mondiale continue de nous échapper.

    À la National Geospatial-Intelligence Agency, Grusch a occupé le poste d'agent principal d'intégration des capacités de renseignement, autorisé au niveau Top Secret/Secret Compartmented Information, et a été le conseiller technique principal de l'agence pour l'analyse des phénomènes aériens non identifiés/les problèmes trans-moyens. De 2016 à 2021, il a servi au Bureau national de reconnaissance en tant qu'officier supérieur du renseignement et a dirigé la production du briefing quotidien du directeur du NRO. Grusch était un civil GS-15, l'équivalent militaire d'un colonel.

    Grusch a été officier du renseignement pendant plus de quatorze ans. Vétéran de l'armée de l'air, il a de nombreuses récompenses et décorations pour sa participation à des opérations secrètes et clandestines visant à faire progresser la sécurité américaine.

    Selon un rapport de performance NRO de 2021, Grusch était un stratège du renseignement avec de multiples responsabilités qui "a analysé des rapports de phénomènes aériens non identifiés" et "a renforcé les lacunes du leadership du Congrès en matière de compréhension". Il a été évalué par le directeur adjoint du centre des opérations du bureau de reconnaissance en tant qu '«officier d'état-major et stratège habile» et «intégrateur de force total avec des solutions innovantes et des résultats exploitables».

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  47. Grusch a préparé de nombreux mémoires sur les phénomènes aériens non identifiés pour le Congrès alors qu'il était au gouvernement et a aidé à rédiger le langage sur l'UAP pour la loi d'autorisation de la défense nationale FY2023, dirigée par les sénateurs Kirsten Gillibrand et Marco Rubio et promulguée par le président Biden en décembre 2022. La disposition stipule que toute personne disposant d'informations UAP pertinentes puisse informer le Congrès sans représailles, quels que soient les accords de non-divulgation antérieurs.

    Dans ses déclarations autorisées à être publiées par le Pentagone en avril, Grusch a affirmé que les "programmes hérités" d'OVNI ont longtemps été dissimulés dans "de multiples agences imbriquant des activités UAP dans des programmes d'accès secrets conventionnels sans rapport approprié aux diverses autorités de surveillance".

    Il a déclaré avoir signalé au Congrès l'existence d'une «guerre froide publiquement inconnue» de plusieurs décennies pour le matériel physique récupéré et exploité - une compétition avec des adversaires proches des pairs au fil des ans pour identifier les accidents / atterrissages UAP et récupérer le matériel pour exploitation / inverse l'ingénierie pour obtenir des avantages asymétriques en matière de défense nationale.

    À partir de 2022, Grusch a fourni au Congrès des heures d'informations classifiées enregistrées transcrites en centaines de pages qui comprenaient des données spécifiques sur le programme de récupération des matériaux. Le Congrès n'a reçu aucun matériel physique lié à l'épave ou à d'autres objets non humains.

    L'enquête de Grusch était centrée sur des entretiens approfondis avec des responsables du renseignement de haut niveau, dont certains sont directement impliqués dans le programme. Il dit que l'opération a été illégalement protégée de la surveillance appropriée du Congrès et qu'il a été ciblé et harcelé en raison de son enquête.

    Grusch a déclaré que les opérations de récupération de l'engin se poursuivent à différents niveaux d'activité et qu'il connaît les individus spécifiques, actuels et anciens, qui sont impliqués.

    "Des personnes participant à ces programmes UAP m'ont approché en ma qualité officielle et m'ont fait part de leurs préoccupations concernant une multitude d'actes répréhensibles, tels que des contrats illégaux contre les réglementations fédérales sur les acquisitions et d'autres délits et la suppression d'informations dans une base industrielle et universitaire qualifiée", a-t-il déclaré.

    Les associés qui se sont portés garants de Grusch ont déclaré que ses informations étaient très sensibles, fournissant la preuve que des matériaux provenant d'objets d'origine non humaine sont en possession de programmes noirs hautement secrets. Bien que les emplacements, les noms des programmes et d'autres données spécifiques restent classifiés, l'inspecteur général et le personnel du comité du renseignement ont reçu ces détails. Plusieurs membres actuels du programme de rétablissement ont parlé au bureau de l'inspecteur général et ont corroboré les informations que Grusch avait fournies pour la plainte classée.

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  48. Grusch a quitté le gouvernement le 7 avril 2023 afin, a-t-il dit, de faire progresser la responsabilité du gouvernement grâce à la sensibilisation du public. Il reste bien soutenu dans les cercles du renseignement et de nombreuses sources ont attesté de sa crédibilité.

    "Son affirmation concernant l'existence d'une course aux armements terrestres se produisant sub-rosa au cours des quatre-vingts dernières années axée sur les technologies d'ingénierie inverse d'origine inconnue est fondamentalement correcte, tout comme la réalisation incontestable qu'au moins certaines de ces technologies d'origine inconnue dérivent de non - l'intelligence humaine », a déclaré Karl Nell, le colonel de l'armée à la retraite qui a travaillé avec Grusch dans le groupe de travail UAP.

    Dans une évaluation des performances de 2022, Laura A. Potter, chef d'état-major adjoint pour le renseignement, quartier général, département de l'armée, a décrit Nell comme "un officier avec la boussole morale la plus forte possible".

    Grusch est représenté par Charles McCullough III, associé principal du Compass Rose Legal Group à Washington et premier inspecteur général de la communauté du renseignement, confirmé par le Sénat américain en 2011. À cette époque, McCullough relevait directement du directeur du National Intelligence, James R. Clapper, et a supervisé les agents du renseignement responsables des audits, des inspections et des enquêtes.

    En mai 2022, McCullough a déposé une divulgation de préoccupation urgente (s); Plainte de représailles au nom de Grusch auprès de l'ICIG concernant des informations détaillées que Grusch avait recueillies à partir de 2019 alors qu'il travaillait pour le groupe de travail UAP.

    Une version non classifiée de la plainte qui nous a été fournie indique que Grusch a une connaissance directe du fait que des informations classifiées liées à l'UAP ont été retenues et/ou dissimulées au Congrès par des "éléments" de la communauté du renseignement "pour contrecarrer délibérément et intentionnellement la surveillance légitime du Congrès de l'UAP Programme." Tous les témoignages fournis par Grusch pour la plainte classée ont été fournis sous serment.

    Selon la plainte non classifiée, en juillet 2021, Grusch avait fourni de manière confidentielle des informations classifiées à l'inspecteur général du ministère de la Défense concernant la rétention d'informations liées à l'UAP au Congrès. Il pensait que son identité et le fait qu'il avait fourni un témoignage avaient été divulgués "à des individus et/ou des entités" au sein du ministère de la Défense et de la communauté du renseignement en dehors du bureau de l'IG. Il n'a pas allégué que ces renseignements avaient été divulgués de façon inappropriée par un membre de ce bureau.

    En conséquence, Grusch a subi des mois de représailles et de représailles liées à ces divulgations à partir de 2021. Il a demandé que les détails de ces représailles soient retenus pour protéger l'intégrité de l'enquête en cours.

    L'inspecteur général de la communauté du renseignement a jugé sa plainte "crédible et urgente" en juillet 2022. Selon Grusch, un résumé a été immédiatement soumis à la directrice du renseignement national, Avril Haines ; le Comité spécial du Sénat sur le renseignement ; et le comité restreint permanent de la Chambre sur le renseignement.

    La plainte a été rédigée et signée par McCullough et son associé directeur. Il se terminait par la signature de Grusch attachée à sa déclaration selon laquelle "j'affirme solennellement sous peine de parjure que le contenu de l'article qui précède est vrai et correct au meilleur de ma connaissance".

    Une enquête sur les représailles des dénonciateurs a été lancée et Grusch a commencé sa communication avec le personnel des commissions du renseignement du Congrès lors de séances privées à huis clos. Selon Grusch, certaines informations qu'il a obtenues au cours de son enquête n'ont pas pu être présentées aux membres du personnel du Congrès car ils ne disposaient pas des autorisations nécessaires ou de l'autorité d'enquête appropriée.

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  49. Un représentant du House Permanent Select Committee on Intelligence nous a dit en mars que les membres du comité ne sont pas en mesure de commenter le contenu d'une plainte ou de confirmer l'identité d'un plaignant.

    "Lorsque plusieurs agences imbriquent des activités UAP dans des programmes SAP / CAP conventionnels, à la fois en tant que destinataires d'informations liées à l'exploitation et pour des raisons opérationnelles, sans rapport approprié aux diverses autorités de surveillance, vous avez un problème", a déclaré Grusch, faisant référence au très secret Programmes d'accès spécial et programmes d'accès contrôlé.

    La volonté de Grusch de prendre des risques et de s'exprimer semble enhardir d'autres personnes ayant des connaissances similaires qui croient en une plus grande transparence.

    Jonathan Grey, l'officier du renseignement spécialisé dans l'analyse des UAP au National Air and Space Intelligence Center, s'exprime pour la première fois publiquement, identifié ici sous l'identité qu'il utilise au sein de l'agence.

    Le NASIC, dont le siège est à la base aérienne de Wright Patterson, est la principale source de l'armée de l'air du ministère de la Défense pour l'analyse des menaces aériennes et spatiales étrangères. Sa mission est de « découvrir et caractériser les menaces aériennes, spatiales, de missiles et cybernétiques », selon le site Web de l'agence. "L'équipe d'experts de confiance du centre offre des capacités uniques de collecte, d'exploitation et d'analyse introuvables ailleurs", indique le site Web.

    Gray a déclaré que ces immenses capacités ne sont pas simplement reléguées à l'étude du prosaïque. "L'existence de programmes historiques complexes impliquant la récupération et l'étude coordonnées de matériaux exotiques, remontant au début du XXe siècle, ne devrait plus rester un secret", a-t-il déclaré. "La majorité des matériaux exotiques étrangers récupérés ont une explication et une origine terrestres prosaïques - mais pas tous, et tout nombre supérieur à zéro dans cette catégorie représente un pourcentage statistique indéniablement significatif."

    Il est inhabituel qu'un initié de l'Air Force se manifeste, car l'Air Force a été moins ouverte que d'autres agences en ce qui concerne l'UAP.

    « Une vaste gamme de nos capteurs les plus sophistiqués, y compris des plates-formes spatiales, ont été utilisées par différentes agences, généralement en trois exemplaires, pour observer et identifier avec précision la nature, les performances et la conception hors du commun de ces machines anormales, qui sont alors déterminés comme n'étant pas d'origine terrestre », a déclaré Gray.

    Mellon, l'ancien sous-secrétaire adjoint à la Défense pour le renseignement, a joué un rôle déterminant dans l'organisation de briefings classifiés pour les membres du Congrès et d'autres responsables sur l'UAP, qui incluent des références à des matériaux exotiques récupérés. Le premier briefing qu'il a animé sur les récupérations d'objets inexpliqués a été fourni aux membres du personnel de la commission sénatoriale des services armés le 21 octobre 2019 et aux membres du personnel de la commission sénatoriale du renseignement deux jours plus tard, comme l'a rapporté le New York Times.

    Mellon dit qu'une fois que les membres du Congrès seront mieux informés des informations fournies à leur personnel et à l'inspecteur général, ils seront en mesure de déterminer rapidement la vérité s'ils en ont la volonté.

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  50. "Il s'agit d'un défi de surveillance sans précédent pour les comités, mais je pense que nous avons des dirigeants au Congrès qui sont à la hauteur de la tâche", a déclaré Mellon.

    Des briefings classifiés sont souvent présentés pour Jonathan Gray et son équipe au NASIC. "Il existe des documents d'information classifiés de haut niveau dans lesquels des scénarios du monde réel impliquant l'UAP, comme en témoignent des exemples historiques, sont mis à la disposition du personnel du renseignement en cas de besoin", nous a-t-il dit. "J'ai reçu de tels briefings pendant près d'une décennie."

    La loi sur l'autorisation de la défense nationale pour l'exercice 2023 a chargé le secrétaire à la Défense, en consultation avec le directeur du renseignement national, d'établir pour la première fois un mécanisme sécurisé pour la communication autorisée d'informations sensibles aux canaux de la défense.

    En outre, la législation demande des rapports sur "la récupération de matériaux, l'analyse de matériaux, l'ingénierie inverse, la recherche et le développement" impliquant des phénomènes anormaux non identifiés actuellement et remontant à des décennies.

    Le Dr Garry Nolan, professeur au Département de pathologie de l'Université de Stanford et inventeur et entrepreneur renommé avec plus de trois cents articles publiés, a lancé plus d'une demi-douzaine d'entreprises basées sur les technologies de son laboratoire. Nolan a déjà appliqué certaines de ces technologies à l'analyse de matériaux exotiques, publiant le premier article évalué par des pairs examinant ces matériaux.

    "La civilisation humaine a été complètement transformée par quelque chose d'aussi petit qu'un grain de silicium ou de germanium, créant le fondement des circuits intégrés qui sous-tendent le calcul et maintenant même l'intelligence artificielle", a déclaré Nolan.

    Étudier même de petits échantillons de matériel prétendument anormal pourrait conduire à des avantages actuellement inconcevables pour l'humanité, a-t-il déclaré. « Ce qui pourrait être représenté ici pourrait être des centaines de révolutions technologiques devant nous. Cela pourrait être plus transformateur pour l'humanité que ce que le microprocesseur a accompli. Imaginez ce que nous pourrions faire avec ne serait-ce qu'un grain de connaissance sur leur fonctionnement.

    Pour encourager les témoins potentiels à se manifester, la législation sur les dénonciateurs interdit à tout employé fédéral d'exercer des représailles contre toute personne fournissant une divulgation autorisée.

    «La dénonciation est essentielle aux freins et contrepoids de notre gouvernement – et aucun employé fédéral ne devrait se sentir découragé de se manifester par crainte de représailles», nous a déclaré le représentant Andre Carson. En mai 2022, Carson a présidé la première audience publique du Congrès sur l'UAP depuis 1968.

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  51. Le cas de David Grusch marque un test crucial de ces nouvelles protections des lanceurs d'alerte et de leur capacité à protéger les futurs lanceurs d'alerte qui décident de se manifester.

    Jonathan Gray dit que les secrets ont été nécessaires. "Bien qu'il s'agisse d'un problème difficile à résoudre, des avancées technologiques potentielles peuvent être glanées à partir des récupérations de renseignements non humains/UAP par n'importe quel pays suffisamment avancé, puis utilisées pour mener une guerre asymétrique. Par conséquent, un certain secret doit rester", dit-il. "Cependant, il n'est plus nécessaire de continuer à nier que ces technologies avancées dérivées de l'intelligence non humaine existent ou de nier que ces technologies ont atterri, se sont écrasées ou sont tombées entre les mains d'êtres humains."

    Gray a noté que l'hypothèse selon laquelle les États-Unis seuls ont intimidé les autres nations pour qu'elles maintiennent ce secret pendant près d'un siècle continue de prévaloir en tant que principal consensus parmi le grand public. "Mon espoir est de dissuader la population mondiale de cette notion archaïque et absurde, et d'ouvrir potentiellement la voie à une discussion beaucoup plus large", a-t-il déclaré.

    Grusch a déclaré qu'il était dangereux que cette "course aux armements de quatre-vingts ans" se poursuive dans le secret car elle "empêche davantage la population mondiale de se préparer à un scénario inattendu de contact avec le renseignement non humain".

    "J'espère que cette révélation servira de choc ontologique sur le plan sociologique et fournira un problème généralement unificateur pour que les nations du monde réévaluent leurs priorités", a déclaré Grusch.

    Leslie Kean et Ralph Blumenthal, avec Helene Cooper, ont co-écrit l'article du 17 décembre 2017 en première page du New York Times qui a révélé l'existence d'un programme secret du Pentagone enquêtant sur l'UAP.

    Tim McMillan, Micah Hanks, Craig Labadie et Sean Munger ont contribué à cet article.

    https://thedebrief.org/intelligence-officials-say-u-s-has-retrieved-non-human-craft/

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    1. Et le moteur était encore chaud !

      HAHAHAHAHA !

      (voir suite prochaine des hologrammes d'Hollywood).

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  52. ENCORE 4 ARTICLES DE CENSURÉS ! (60 - 4 = 56)

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