- ENTREE de SECOURS -



mercredi 28 juin 2023

111e anniversaire de l'attentat contre le Titanic – repensez votre vision du monde !

 

57 commentaires:

  1. 111e anniversaire de l'attentat contre le Titanic – repensez votre vision du monde !


    15.04.2023
    www.kla.tv/25753


    Il y a 111 ans, le paquebot Titanic, le plus grand navire de l'époque, a coulé lors de son voyage inaugural après avoir heurté un iceberg. 1 514 des plus de 2 200 personnes qui se trouvaient à bord ont perdu la vie. En raison du nombre élevé de victimes, le naufrage du Titanic compte parmi les catastrophes maritimes les plus importantes et les plus connues. Aujourd'hui encore, la littérature, les arts plastiques, le cinéma et la télévision du monde entier se penchent sur les événements de ce naufrage. Et jusqu'à aujourd'hui, il est généralement admis que le naufrage du Titanic est un accident et que des facteurs négatifs s'y sont mêlés.

    Mais dans quelle mesure les « faits », qui semblent parler clairement en faveur d'un accident, sont-ils avérés ? Et mettriez-vous votre main au feu pour cette version ? Simplement parce que, dans le monde entier et depuis plus de 100 ans, la littérature, le cinéma, la radio et la télévision proclament et répètent sans cesse cette seule cause du naufrage comme version officielle ? Nous devons absolument réfléchir à ces questions.

    En effet, des experts médico-légaux méticuleux et des analystes perspicaces affirment sans ambages et présentent leurs preuves que l'attentat contre le Titanic avait été préparé de longue date.

    Dans son livre « Das Titanic Attentat », le journaliste d'investigation Gerhard Wisnewski a rassemblé sur 430 pages les faits, les circonstances, les témoignages, etc. qui parlent clairement en faveur d'un naufrage prémédité. Wisnewski explique également contre qui était dirigé cet attentat : il s'agissait d'une attaque terroriste contre l'humanité toute entière.

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  2. Vous pensez peut-être avec étonnement que 1 514 morts en mer sont certes très regrettables, mais que l'humanité entière n'a pas disparu pour autant. D'une certaine manière, si. Car c'est justement là que le bât blesse ; c'est là qu'il faut réfléchir avec perspicacité : sur le Titanic lors de ce voyage inaugural se trouvaient de nombreux banquiers et financiers de haut rang de l'époque, tous invités par l'oligarque financier J.P. Morgan, propriétaire de la compagnie maritime. Mais si Morgan a annulé sa participation à la dernière minute et, par conséquent, a survécu, tous les nababs financiers invités y ont perdu la vie.

    Il est intéressant de noter qu'il s'agissait précisément des hommes les plus influents, qui s'opposaient à un plan stratégique global, que J.P. Morgan poursuivait avec un groupe d'autres banquiers de premier plan. Ce plan consistait à privatiser le système de la banque centrale américaine. Ce plan a été mis en œuvre dès l'année qui a suivi l'attentat du Titanic.

    A partir de ce moment-là, la grande puissance américaine ne recevait plus son argent de sa banque d'Etat, mais uniquement, moyennant des intérêts et des intérêts composés, de cette association de grands banquiers privés, appelée Federal Reserve FED. TOUT l'argent provient donc de banquiers privés. Même l'argent nécessaire au remboursement des intérêts et des intérêts composés doit être pris sous forme de crédit auprès de ce monopole financier. C'est à cette « perfusion » que sont soumis les États-Unis et, avec eux, toutes les nations jusqu'à aujourd'hui. Oui, le monde entier est pris dans ce piège de la dette.

    Par ce biais, cette mafia financière s'assure le contrôle de toutes les ressources naturelles, des sites de production, des biens, des banques, des infrastructures, et même d'États entiers et de leurs politiciens. Mais de manière si habilement camouflée que bien entendu la plupart des gens n'y voient pas clair et pensent que les causes des fluctuations des prix et de la conjoncture, des bouleversements politiques, des conflits mondiaux et des guerres sont tout autres. Il en va de même pour l'attentat contre le Titanic, un acte terroriste dissimulé contre des banquiers de premier plan et donc, en fin de compte, contre l'humanité toute entière, mais qui, selon le discours officiel, aurait été un accident tragique.

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  3. L'humanité entière est désormais menacée par la prochaine catastrophe mise en scène. L'attentat du Titanic et l'introduction du système de banque centrale privatisé n'ont fait que poser les bases de cette catastrophe : c'est le « Great Reset » annoncé haut et fort comme apparemment inévitable par la mafia financière mondiale, et ce par le biais de ses sbires, comme par exemple Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial, le FEM. Leur slogan « Great Reset » est le suivant : « Vous ne posséderez rien, mais vous serez heureux ». On sait très bien qui aimerait tellement TOUT posséder et commander TOUT le monde et qui, dans ce but, voudrait tous nous déposséder.
    Conclusion : Quiconque veut mettre volontiers sa main au feu pour notre historiographie officielle devrait auparavant considérer qu'une mafia financière impitoyable joue son jeu infâme dans l'ombre depuis de nombreuses décennies et même plus. Et ce, dans tous les domaines de notre existence. Rien n'est ce qu'il paraît être.

    Mais pas plus que le naufrage du Titanic, ni les guerres, même les guerres mondiales, ni les attentats terroristes, comme celui du 11 septembre 2001 n’étaient inéluctables. Et la menace de disparition de l'humanité par le Great Reset n'est pas non plus inéluctable. Car notre vaisseau familial commun a toutes les chances de ne pas être précipité dans l'abîme. En effet, comme dans un gigantesque printemps cosmique, de plus en plus de héros de l'information vont au fond des choses avec autant de conscience et de minutie que Gerhard Wisnewski, par exemple. Ils dévoilent tous ces tireurs de ficelles cachés dans l'ombre. Ensemble, ils en tirent également les conséquences et appellent à une enquête sérieuse et approfondie sur les infractions. Et ce, par le biais de nouveaux tribunaux indépendants ! Oui, un tribunal populaire international et incorruptible, qui arrêterait et mettrait toute cette clique hors d'état de nuire.

    Vous aussi, laissez-vous emporter par ce printemps de la vérité, de l'amour et de la justice et diffusez cette émission autant que vous le pouvez. Ensemble, nous pouvons renverser la vapeur et sauver le navire de l'humanité de cette mafia financière brutale et de la menace d'un Great Reset.

    de hm.
    Sources / Liens :
    Le Titanic
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Titanic

    Titanic et FED
    https://bumibahagia.com/2015/02/21/die-titanic-es-war-nicht-der-eisberg-und-was-hat-die-fed-damit-zu-tun/

    https://odysee.com/@True_World:f/Titanic-and-FED---The-Story---Titanik-a-FED-pribeh:7

    L'attentat du Titanic : du solide sans filtre !
    https://www.wisnewski.ch/

    https://www.youtube.com/watch?v=rOeIdDXN8SM

    https://bumibahagia.com/2017/10/25/der-untergang-der-titanic-attentat-federal-reserve-fed/

    https://www.express.co.uk/news/world/310263/The-Titanic-cover-up

    Le Great Reset
    https://www.compact-shop.de/shop/compact-spezial/compact-spezial-30-geheime-maechte-drahtzieher-dynastien-neue-goetter/

    https://www.kla.tv/fr

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  4. Nestlé revient sur son engagement de neutralité carbone de KitKat alors que la plantation d'arbres est remise en question


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 28 JUIN 2023 - 14:50


    Les multinationales ont fait toutes sortes de déclarations de neutralité carbone ces dernières années. Prenez, par exemple, la célèbre marque de barres chocolatées de Nestlé, KitKat, qui a déclaré en 2021 que la barre chocolatée "deviendrait neutre en carbone d'ici 2025". Mais la compensation était en partie basée sur la plantation d'arbres, qui est peu fiable et difficile à mesurer, avec très peu de transparence sur le niveau des émissions réduites ou compensées. En d'autres termes, Nestlé a fait des déclarations de durabilité sans preuves concrètes (certains appellent cela une arnaque de « greenwashing »).

    "Pour soutenir cela, KitKat aidera les agriculteurs à planter cinq millions d'arbres d'ombrage là où il s'approvisionne en cacao d'ici 2025", a écrit Nestlé dans un communiqué de presse en avril 2021. Ils ont plutôt donné très peu d'informations sur la mise à niveau des opérations de la chaîne d'approvisionnement avec des réductions directes des émissions de carbone. concentré sur des revendications louches comme "restaurer les forêts".

    Nestlé, qui voit l'ensemble du mouvement ESG, ou environnemental, social et de gouvernance, se retourner contre lui, alors que le PDG de BlackRock, Larry Fink, a abandonné le terme "ESG" il y a quelques jours à peine, a abandonné ses plans pour une barre KitKat neutre en carbone d'ici 2025, selon Bloomberg .

    Un porte-parole du géant alimentaire suisse a déclaré que l'entreprise "se tourne vers des programmes internes pour réduire les émissions de gaz à effet de serre dans ses opérations et sa chaîne d'approvisionnement". Alors ne plus planter d'arbres dans les pays du tiers-monde ?

    Outre Nestlé, d'autres sociétés telles que la compagnie aérienne EasyJet Plc et le propriétaire de Gucci, Kering, renoncent à leurs prétentions de neutralité carbone pour éviter les controverses sur le "blanchiment vert". Des groupes de consommateurs ont allégué que bon nombre de ces entreprises ont induit les clients en erreur en leur faisant croire que leurs produits sont meilleurs pour l'environnement.

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  5. "Si vous êtes un consommateur dans un supermarché, vous n'avez aucun moyen de savoir quelle part d'une déclaration de neutralité carbone provient des réductions d'émissions réelles et quelle part provient de ces projets douteux de compensation carbone", a déclaré Emma Calvert, responsable de la politique alimentaire. responsable au BEUC, organisation européenne de défense des droits des consommateurs. Son organisation veut interdire les allégations "neutres en carbone" sur les aliments.

    L'abandon par Nestlé de son affirmation KitKat "empreinte carbone nette zéro" par la plantation d'arbres est un autre signe de vertu signalé par les entreprises dans leurs efforts pour sauver la planète, qui se retourne contre eux.

    https://www.zerohedge.com/markets/nestle-backtracks-kitkat-candy-bar-carbon-neutral-pledge-tree-planting-comes-question

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  6. Le maximum du cycle solaire 25 pourrait arriver plus tôt et frapper plus fort


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 28 JUIN 2023 - 11:45


    Le cycle solaire 25 est en cours depuis avril 2019. Depuis le début du cycle, le soleil est devenu plus actif, déclenchant des éruptions solaires, des éjections de masse coronale et des tempêtes géomagnétiques, avec au moins un scientifique avertissant que le maximum solaire pourrait arriver plus tôt que prévu, et ce n'est pas une bonne nouvelle pour l'économie numérique ici sur Terre.

    Le cycle solaire actuel a un pic prévu en 2025. En décembre 2022, le nombre total de taches solaires était à son plus haut niveau en huit ans, indiquant que l'activité solaire augmentait. Plus tôt cette année, les scientifiques ont observé deux fois plus de taches solaires – des drapeaux rouges indiquant que le maximum solaire pourrait approcher.

    - voir graph sur site -

    Une autre indication d'une activité solaire accrue est le nombre et l'intensité des éruptions solaires :

    En 2022, il y avait cinq fois plus d'éruptions solaires de classe C et de classe M qu'il n'y en avait en 2021, et d'année en année, le nombre d'éruptions solaires de classe X les plus puissantes augmente également, selon SpaceWeatherLive.com. La première moitié de 2023 a enregistré plus d'éruptions de classe X que pendant toute l'année 2022, et au moins une a directement touché la Terre. (Les classes d'éruptions solaires incluent A, B, C, M et X, chaque classe étant au moins 10 fois plus puissante que la précédente.) -- Live Science

    Au fil des ans, nous avons expliqué que les éruptions solaires peuvent déclencher des tempêtes géomagnétiques et perturber les satellites et même les réseaux électriques.

    La prochaine grande tempête géomagnétique représente un risque astronomique pour l'homme moderne

    Une perturbation de l'économie numérique est possible car "l'événement Terminator" suggère que le cycle des taches solaires le plus fort jamais enregistré est imminent

    Risques posés par les tempêtes solaires sur l'économie moderne

    Ce qui est préoccupant, c'est qu'un physicien solaire de l'Université de College de Londres, Alex James, a déclaré à Live Science que l'augmentation de l'activité solaire du soleil est un signe d'avertissement que le maximum solaire pourrait arriver d'ici la fin de cette année. Il a dit que la prévision initiale était pour 2025.

    Toutes ces preuves suggèrent que le cycle solaire 25 "va culminer plus tôt, et il va culminer plus haut que prévu", a déclaré James.

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  7. D'autres physiciens solaires ont fait part à la publication scientifique de prévisions très similaires. Ils ont prévenu : "Nous sommes mal préparés".

    Le gouvernement fédéral est devenu de plus en plus sérieux au sujet des événements potentiels de panne de réseau produits par les tempêtes solaires avec un décret exécutif de 2016 signé par l'administration Obama intitulé "Coordonner les efforts pour préparer la nation aux événements météorologiques spatiaux".

    Et rappelez-vous, "Les tempêtes solaires peuvent dévaster des civilisations entières."

    https://www.zerohedge.com/weather/solar-cycle-25s-maximum-might-arrive-earlier-and-hit-harder

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  8. Le prix du chocolat explose : êtes-vous prêt à payer le prix fort ?

    Le chocolat, ce délice universellement apprécié, nous fait actuellement payer un prix plutôt salé. Le coût du cacao, l’ingrédient clé du chocolat, a explosé, atteignant des sommets historiques. Voici pourquoi votre chocolat préféré est sur le point de devenir un plaisir plus coûteux.


    Stephanie Haerts Economie Matin
    Par Stéphanie Haerts
    le 26 juin 2023 à 15h52


    « Le cours du cacao actuellement dépasse les 3.200 dollars la tonne, du jamais-vu depuis 2015 », a indiqué Sergey Chetvertakov, analyste chez S&P.

    Le cacao en crise
    Des conditions météorologiques défavorables et une demande constante ont conduit à deux saisons de récoltes décevantes. Le phénomène El Niño a réduit les précipitations en Afrique de l'Ouest, région principale de la production de cacao. Sergey Chetvertakov, analyste chez S&P, prévoit une troisième saison en déficit. Cela signifie une chose : des stocks de cacao qui chutent à des niveaux inhabituellement bas.

    Cette pénurie de cacao a eu un effet domino, poussant le prix du cacao à atteindre 3.210 dollars la tonne à New York, soit une hausse de 31% en un an. De plus, il est prévu qu'il dépasse les 3.600 dollars la tonne pour la prochaine saison qui début en octobre. Par conséquent, votre tablette de chocolat en magasin coûtera bientôt plus cher. « Je pense que les consommateurs devraient se préparer à la probabilité d'une hausse des prix du chocolat », a annoncé Sergey Chetvertakov interrogé par BFM TV.

    Au-delà du cacao : d'autres facteurs influencent la flambée des prix du chocolat
    L'envolée du prix des tablettes de chocolat n'est pas uniquement le fruit de l'augmentation du cours du cacao. En effet, d'autres facteurs entrent en ligne de compte. La hausse des prix de l'énergie et des taux d'intérêt jouent un rôle. Tout comme l'augmentation du prix du beurre de cacao et du sucre qui impactent significativement le coût final pour les consommateurs. En l'espace d'un an, le beurre de cacao a vu son prix grimper de 20% tandis que le sucre a atteint un sommet inégalé depuis plus d'une décennie.

    Hausse Prix Chocolat Feve Cacao

    Les perspectives concernant ces deux composants cruciaux du chocolat sont loin d'être rassurantes. Le beurre de cacao, qui est intrinsèquement lié au cacao lui-même, est soumis aux mêmes forces de marché qui ont entraîné la hausse du cacao. Par ailleurs, les régions productrices de sucre en Asie ont été durement touchées par la sécheresse, perturbant ainsi la production et entrainant une hausse du prix. Ainsi, loin de pouvoir espérer une baisse du prix des tablettes de chocolat dans les mois à venir, les consommateurs devraient plutôt s'attendre à une poursuite de cette hausse.

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  9. Le chocolat noir, le plus impacté par la hausse des prix

    Parmi les différentes variétés de chocolat, c’est le chocolat noir qui sera probablement le plus impacté puisqu’il est le plus riche en cacao. Le chocolat noir est souvent considéré comme le choix privilégié des amateurs de chocolat, grâce à sa teneur plus élevée en cacao et à son goût riche et intense. Cependant, c'est aussi cette caractéristique qui rend le chocolat noir plus vulnérable à la hausse des prix. Lorsque le prix du cacao augmente, en raison de facteurs tels qu'El Niño ou d'autres influences économiques, cela se répercute directement sur le coût de production du chocolat noir.

    Chocolat Noir

    Le cacao est l'ingrédient principal du chocolat et représente une part importante des coûts de fabrication. Lorsque le prix du cacao augmente, les fabricants de chocolat noir sont confrontés à des coûts de production plus élevés. Le chocolat noir étant souvent associé à une qualité supérieure et à un processus de fabrication plus complexe, il est généralement fabriqué à partir de fèves de cacao de meilleure qualité. Ces fèves de cacao de qualité supérieure peuvent être plus sensibles aux fluctuations de prix et être affectées de manière plus significative par les hausses de prix.

    L'impact d'El Niño sur le prix du chocolat : une relation complexe

    Niño, ce phénomène climatique complexe, peut avoir des répercussions significatives sur la production et le prix du chocolat. Les périodes d'El Niño sont caractérisées par un réchauffement anormal des eaux de l'océan Pacifique, ce qui entraîne des changements climatiques à l'échelle mondiale. Ces perturbations climatiques peuvent avoir un effet néfaste sur les principales régions de culture du cacao, telles que l'Afrique de l'Ouest, l'Amérique latine et l'Asie. Lorsque El Niño se manifeste, il peut provoquer des sécheresses prolongées, des inondations dévastatrices et des variations de température, tous ces facteurs ayant un impact direct sur la production de cacao. Les arbres de cacao sont sensibles aux conditions climatiques et nécessitent des niveaux spécifiques de précipitations et de température pour une croissance et une récolte optimales.

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  10. Les sécheresses prolongées peuvent réduire la production de cacao, entraînant une diminution de l'offre sur le marché mondial. Cela peut engendrer une hausse des prix du chocolat, car la demande reste élevée tandis que l'offre diminue. Cependant, il convient de noter que l'impact d'El Niño sur le prix du chocolat peut varier d'une année à l'autre en fonction de l'intensité et de la durée du phénomène, ainsi que des mesures prises par les producteurs pour atténuer les effets. Même si d'autres facteurs entrent en ligne de compte, El Niño peut perturber l'équilibre entre l'offre et la demande de cacao, ce qui peut avoir des conséquences sur le prix de ce délicieux produit tant apprécié à travers le monde.

    https://www.economiematin.fr/prix-du-chocolat-explose-payer-prix-fort

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  11. Les impôts s’envolent et la France s’écrase.


    28 juin 2023


    Avec des taux d’intérêt qui explosent à la hausse, la dette ne peut plus grossir sans pousser les contribuables à bout et l’État à la cessation de paiement.

    Pas de doute : la France est un paradis fiscal. C’est-à-dire que pour le fisc et les taxopathes compulsifs, la France est un vrai paradis.

    Ceci n’est pas une exagération. À ce sujet, l’actualité offre souvent d’intéressantes collisions d’informations que nos médias s’empressent généralement de ne pas rassembler, ces derniers n’aimant ni les coïncidences, ni les contradictions qui viendraient perturber les histoires (rigolotes et souvent à dormir debout) qu’ils nous racontent.

    Prenez par exemple l’appel solennel et parfaitement hypocrite du gouvernement aux Français à réduire leur consommation dans le cadre de leur plan de “sobriété énergétique” : alors que le consommateur français est déjà tabassé par des prix de l’énergie particulièrement élevés, que ces prix sont, du reste, majoritairement composés de taxes et de prélèvements vexatoires pour punir leur consommation, les habituels clowns gouvernementaux veulent les inciter à faire des efforts et éviter le gaspillage. Après la régulation des températures maximales de chauffage dans les foyers, voilà la régulation des températures minimales de climatisation dans les magasins.

    Toute honte bue et avec un “En même temps” tout macronien, on apprend que les prélèvements obligatoires ont atteint des records cette année en France, avec une fiscalité qui augmente (c’est surprenant) beaucoup plus vite que le revenu des individus.

    Et cette fiscalité délirante record se double d’une inventivité sans pareille, comme en témoigne le frétillant factotum locataire actuel de l’Élysée dont l’arrogance et l’incompétence lui font souhaiter une extension internationale (mondiale si possible) de ces taxes et autres vexations.

    En tout cas, pas de doute : avec des prélèvements à hauteur de 759 milliards d’euros et une augmentation de 7% des recettes – soit 50 milliards tout de même, les sourires et les joues rosies de plaisir sont de mise à Bercy où ces belles recettes viendront abonder un budget… en déficit !

    Cependant, une question s’impose : mais où diable passe tout ce pognon de dingue ?

    On pourrait pointer certaines dépenses (pour l’Ukraine sous forme matérielle ou financière), on pourrait évoquer les nombreux, dispendieux et systématiquement inutiles plans plus ou moins quinquennaux d’innovation dans tels ou tels domaines à la mode – oublions le Cloud, ce fut rigolo mais c’est du passé, et concentrons nous à présent sur l’intelligence artificielle, c’est encore plus amusant ! – et croire qu’elles justifient cette explosion fiscale française.

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  12. Manque de bol, même avec ces prélèvements records, la plupart des ministères couinent au “manque de moyen”, et les sempiternelles pleurnicheuses officielles réclament donc encore plus de taxes et de ponctions, à commencer par la Culture qui, actuellement, se roule par terre pour obtenir une nouvelle taxe sur le streaming…

    Au passage, on pourra remarquer la gymnastique phénoménale du Chef de l’État qui peut, en même temps, louer ironiquement l’inventivité, la créativité sans limites de la taxation française d’un côté, de l’autre se lancer lui-même dans ce genre de propositions, tout en continuant par ailleurs de faire croire aux journalistes (qui relaient ces âneries sans sourciller) qu’il a rendu obscène – selon le terme d’Alain Minc, épave triste de la macronerie – l’idée même d’une augmentation d’impôts.

    En face de ces dépenses, reconnaissons que nous disposons à présent d’hôpitaux rutilants, d’écoles d’excellence, de routes superbement entretenues et de services publics respectueux et toujours au taquet pour en faire plus pour les assujettis. Je n’évoque pas notre armée, notre justice, notre diplomatie et notre police qui font pâlir d’envie tous les pays du monde devant leur prestance, leur solidité et leur intégrité.

    - voir schéma sur site -

    Bien sûr, lorsqu’on épluche sérieusement les différents postes de dépense, on se rend compte que plus de la moitié (57%) ne sert qu’à une chose : maintenir une part croissante du peuple sous respiration artificielle de subsides divers, en bidouillant subtilement les différents curseurs économiques pour permettre à cette tranche de population de survivre tout en garantissant qu’elle ne puisse jamais vraiment s’émanciper de la tutelle étatique.

    Difficile équation qui vise à éviter que les Sans-Dents remontent à Paris afin d’aller déboîter quelques mâchoires de Belles-Dents qui ont trop souvent tendance à oublier que le système actuel ne perdure que grâce aux efforts des premiers.

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  13. On comprend donc que les classes moyennes, écrasées d’impôts, perclues de dettes qui grossissent de façon exponentielle au fil des mandats, soutient le reste du pays à bout de bras. Ceci ne peut plus continuer encore très longtemps : chaque jour qui passe, ceux qui ont compris l’arnaque se retirent du système. Petit-à-petit s’amenuise inexorablement le nombre de ceux qui payent pendant que grossit à vue d’œil ceux qui bénéficient, à tel point qu’il y a maintenant nettement plus de foyers qui bénéficient des aides et subsides de l’État que de foyers qui les financent (seulement 44,6 % des foyers sont imposables)… L’incitation à remettre en cause un tel système a ainsi totalement disparu, et la mascarade qui tient lieu de démocratie française n’est plus à même de seulement l’imaginer qu’on puisse trouver un autre système, un tantinet plus juste et moins spoliateur.

    Cependant, avec des taux d’intérêt qui explosent à la hausse, la dette ne peut plus grossir sans pousser les contribuables à bout et l’État à la cessation de paiement. En réalité, le record de prélèvements est un record fort inquiétant : le point de rupture est dépassé, et ce n’est plus qu’une (courte ?) question de temps avant que, d’un coup, les robinets à pognon public s’assèchent brutalement.

    Et lorsque cela va se produire, le peuple français n’aura que les gueules ahuries des dirigeants actuels pour tenter de les rassurer.

    Forcément, ça va très bien se terminer.

    https://www.contrepoints.org/2023/06/28/458996-les-impots-senvolent-et-la-france-secrase

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  14. Le prix de l'électricité passera à 60 centimes et plus en Allemagne – le déficit d'électricité devient énorme


    28 Juin 2023
    Olaf Zinke, AGRARHEUTE*


    Les experts en énergie estiment qu'un prix de l'électricité de 60 à 80 centimes d'euros par kilowattheure est réaliste d'ici 2030. La faute à la pénurie d'électricité qui ne cesse de s'aggraver. Selon eux, il manquera environ un tiers de capacité d'ici 2030 si le développement se poursuit au rythme des deux dernières années.

    Les prix de l'électricité pourraient bientôt augmenter de manière drastique. Les experts en énergie estiment que 60 à 80 centimes d'euros sont possibles. La raison en est la pénurie croissante d'électricité. Celle-ci ne cessera de croître au cours des prochaines années.

    Selon les experts en énergie, il est peu probable que les prix de l'électricité continuent à baisser. En effet, avec le tournant énergétique du gouvernement fédéral, la demande en électricité augmentera beaucoup plus rapidement à l'avenir grâce à un nombre nettement plus important de pompes à chaleur et de voitures électriques.

    Ces derniers temps, les prix de l'électricité ont nettement baissé. Selon les données du portail de comparaison Verivox, l'électricité ne coûte actuellement plus que 29 centimes d'euro par kWh pour les nouveaux clients. En décembre dernier, les prix de l'électricité avaient déjà atteint 55 centimes ou plus. Mais ils sont ensuite redescendus. Selon les experts en énergie, il est peu probable que les prix de l'électricité continuent à baisser.

    En effet, avec le tournant énergétique du gouvernement fédéral, la demande d'électricité augmentera beaucoup plus rapidement à l'avenir en raison de l'augmentation des pompes à chaleur et des voitures électriques. Probablement plus rapidement que l'offre. M. Jürgen Karl, de l'Université Friedrich-Alexander de Nuremberg-Erlangen, considère cette croissance rapide de la demande en électricité comme le goulet d'étranglement du tournant énergétique. « Si le développement des énergies renouvelables n'est pas assez rapide, il y aura une pénurie d'électricité », déclare M. Karl sur tageschau.de.

    L'expert en énergie pense donc que « les centrales à gaz devront être de plus en plus utilisées à l'avenir ». Les grands fournisseurs d'électricité l'ont d'ailleurs déjà annoncé et construisent en outre de nouvelles centrales à gaz pour garantir la sécurité de l'approvisionnement. Si les prix du gaz augmentent, la montée en puissance des centrales à gaz aura à son tour un effet sur le prix de l'électricité. Dans ce contexte, M. Karl estime qu'« un prix de l'électricité de 60 à 80 centimes par kilowattheure est tout à fait réaliste d'ici 2030.

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  15. La faute à la pénurie d'électricité qui ne cesse de s'aggraver : M. Detlef Stolten, directeur de l'Institut de Recherche sur l'Énergie et le Climat au Centre de Recherche de Jülich, a calculé pour le magazine économique Plusminus de la chaîne ARD l'ampleur que pourrait prendre une pénurie d'électricité. Il en résulte une pénurie d'électricité de 104 gigawatts. « Pour résumer très simplement, il manquera environ un tiers de capacité en 2030 si l'on continue à développer l'énergie comme on l'a fait ces deux dernières années. »

    Le déficit d'électricité s'accroît – il n'y a plus de sécurité

    Le cabinet de conseil en entreprise et en stratégie McKinsey parvient à des conclusions similaires dans une étude. On peut y lire : « Pendant longtemps, l'Allemagne a été le leader en matière de sécurité de l'approvisionnement en électricité. En 2020, les consommateurs allemands n'ont dû s'attendre à des pannes de courant que pendant 15 minutes en moyenne. Sur la même période, la France a enregistré 21 minutes, l'Autriche 38 et la Bulgarie 370.

    « Les ménages privés ne sont pas les seuls à profiter de la sécurité d'approvisionnement élevée, l'industrie en est également tributaire, car elle a besoin d'un réseau électrique stable », explique M. Thomas Vahlenkamp, associé principal chez McKinsey. Mais la puissance assurée diminue : alors qu'elle était encore de 105 GW en 2010, elle n'était plus que de 90 GW fin 2022. Si les plans de sortie du charbon et du nucléaire sont maintenus, il pourrait ne rester que 80 GW en 2025 et 70 GW à la fin de la décennie.

    Si l'on ajoute la capacité issue des énergies renouvelables (ER) qui est statistiquement disponible en cas de besoin, la puissance disponible aux heures de pointe s'élève à 99 GW (2022), 92 GW (2025) et 90 GW (2030) – à condition que les objectifs de développement des énergies renouvelables fixés par le gouvernement fédéral soient atteints.

    M. Vahlenkamp déclare à ce sujet : « Les pics de production, c'est du passé – la combinaison d'une capacité assurée en baisse et d'une charge de pointe en hausse grâce à l'électrification peut entraîner des lacunes dans l'approvisionnement. Même en cas de passage généralisé aux énergies renouvelables, d'autres mesures sont nécessaires pour stabiliser le système. »

    Si les leviers du côté de l'offre ne suffisent pas, la gestion de la demande peut également contribuer à combler les lacunes d'approvisionnement (déconnexion des voitures électriques et des pompes à chaleur).

    https://seppi.over-blog.com/2023/06/le-prix-de-l-electricite-passera-a-60-centimes-et-plus-en-allemagne-le-deficit-d-electricite-devient-enorme.html

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  16. Les sénateurs socialistes « contaminés » : une histoire capillotractée


    28 Juin 2023


    Voici une lamentable histoire de manœuvre de communication qui implique 26 sénateurs socialistes, un laboratoire d'analyses sulfureux, l'Agence France Presse (AFP) et les médias panurgiques.

    Un an après...

    Il était une fois 26 sénatrices et sénateurs socialistes qui ont fait le sacrifice d'une mèche de cheveux à des fins d'analyse en... juillet 2022. Pourquoi aura-t-il fallu attendre près d'un an pour l'apprendre et pour obtenir quelques éléments d'information – ou plutôt d'« information » ? Mystère !

    Ces cheveux, qui ne finiront sans doute pas dans un reliquaire, furent confiés à la société – au « laboratoire privé et indépendant tocSeek » selon la dépêche de l'AFP – plus vraisemblablement toxSeek (un jeu de mot un peu approximatif, prononcez « tox(s)ic », mais le « ee » donne un « i » long en anglais).

    Un laboratoire qui soulève de multiples questions

    Cette société propose notamment un « Dépistage de 49 métaux, métaux lourds et terres rares + Près de 1800 polluants organiques » pour la modique somme de 340 euros. La liste des « polluants organiques » est évidemment longue comme le bras. Celle des métaux, etc. est subdivisée en « métaux essentiels », « éléments toxiques ou potentiellement toxiques » et « terres rares ».

    On voit déjà l'approche commerciale adoptée : attirer le chaland hypochondriaque. Tout le boniment est fondé sur cette stratégie.

    L'entreprise a produit un spécimen de « rapport d'analyses toxicologiques ». Au moins, les acheteurs potentiels curieux peuvent savoir s'ils en ont pour leur argent. On y lit, à juste titre :

    « La recherche non ciblée (dépistage) dans le cheveu ne peut être quantifiable car les taux capillaires ne sont pas corrélés avec les taux sanguins. [...] »

    Moyennant quoi on nous fournit des résultats classés en « Niveau[x] d’exposition À RISQUE » – pour lesquels il est nécessaire d’identifier les sources et de les supprimer de l'environnement – et « Niveau[x] d’exposition À SURVEILLER » – pour lesquels il est conseillé d’identifier les sources et les surveiller ou les supprimer.

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  17. Selon ce spécimen de rapport,

    « ACCRÉDITATION ET CONTRÔLE QUALITÉ EXTERNE

    Notre laboratoire est accrédité Cofrac n°8-4182 - norme ISO 15189 (pour son activité de laboratoire de biologie médicale). Notre laboratoire participe au programma QMEQAS (Assurance qualité externe de l’Institut National de santé Publique du Québec)

    Mais l'accréditation Cofrac n°8-4182 est au nom de SELAS I-MITOX – LBM (IMITOX pour Institut Médical International de Toxicologie et de Pharmacologie) dont toxSeek serait un « partenaire ». L'accréditation est aussi pour des analyses qui ne sont pas celles de toxSeek – c'est indiqué à demi-mots.

    Selon son site, « Le laboratoire [I-MITOX ou IMITOX] fait usage de la marque COFRAC sur ses comptes rendus de résultats ». Le spécimen de rapport de toxSeek ne le présente pas...

    Toujours selon ce spécimen de rapport,

    VALIDATION SCIENTIFIQUE

    Les process sont validés scientifiquement par une publication scientifique (revue à comité de lecture) Assesment of exposure to Organic and Inorganic Pollutants in Children’s Hair - International Journal of Public Health Research-2019; 7(1); 18-22 »

    Malgré nos recherches, nous n'avons pas trouvé cet article et nous avons de bonnes raisons d'affirmer qu'il n'existe pas.

    Les commentaires sur les substances détectées sont aussi croquignolets. Ainsi, l'utilisation princioale du glyphosate serait « Contre les mauvaises herbes (cultures agricoles). Chélateur. Antibiotique ». On a biberonné aux meilleures sources de la désinformation... D'ailleurs le glyphosate serait aussi un « Produit de détartrage des chaudières et canalisations »...

    Tous « contaminés » par...

    Pour les sénateurs qui ont fait un don de mèche de cheveux, on ne sait pas. Les résultats des analyses auraient été publiés le mardi 27 juin 2023, mais nous ne les avons pas trouvé.

    Le grand public a en revanche été « contaminé » par une dépêche de l'Agence France Presse (AFP) qui s'est répandue comme une trainée de poudre, les médias faisant preuve d'une grande inventivité pour leur titraille. Du reste, dans sa précipitation à diffuser une bonne nouvelle – bonne parce qu'elle est en fait mauvaise et anxiogène – l'AFP a même mal orthographié le nom du laboratoire...

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  18. Ainsi, pour les titres, le Point : « Un cocktail toxique dépisté dans les cheveux des sénateurs ». Le Monde : « Mercure, pesticides, plastifiants : un cocktail toxique dépisté dans les cheveux des sénateurs ». Libération : « Mercure, pesticides, terres rares… dans les cheveux des sénateurs, les polluants foisonnent » avec un jeu de mots en sur-titre, « Parlement'hair ».

    Le pompon est sans doute décroché par la Dépêche : « "On est contaminés" : mercure, pesticides, plastifiants... Ce mélange toxique inquiétant retrouvé dans les cheveux des sénateurs français ». Tout y est pour faire peur, ou presque.

    L'AFP nous apprend donc, notamment, que :

    « Les analyses ont mis en évidence chez 93 % des sénateurs une présence de "terres rares" (lanthanides), supérieure à la population témoin du laboratoire. »

    Non, c'est chez 24 des 26 sénateurs socialistes qui se sont prêtés à l'embrouille. Et de savoir que cette présence est supérieure à « la population témoin du laboratoire » ne nous avance guère.

    Nous passerons sur le reste : avec les méthodes modernes d'analyse on trouve quasiment de tout dans tout.

    Les réactions des sénateurs sont aussi très « instructives » :

    Mme Angèle Préville, sénatrice du Lot et initiatrice de l'opération, fait la démonstration d'un remarquable esprit logique :

    « C'est une alerte qu'on envoie […] Si c'est dans nos cheveux, ça veut dire qu'on est contaminé. »

    L'AFP n'a trouvé aucune raison de ne pas citer un commentaire abscons de M. Patrick Kanner, sénateur du Nord :

    « Notre mode de vie pèse sur notre qualité sanitaire, c’est clair […] Quand je suis à Paris, matin, midi et soir je mange à l’extérieur, et je ne maîtrise pas ce que je consomme. »

    M. Yan Chantrel, représentant les Français établis hors de France « insiste par ailleurs pour que les questions de santé publique soient "intégrées pleinement" dans les politiques environnementales ». Comme si elles ne l'étaient pas, en tant que de besoin. Et il ajoute :

    « Cela interroge les modes de production et de consommation de notre société, qui créent finalement des nouvelles maladies ».

    Quelle hauteur de vue ! Au fait, quelles nouvelles maladies ?

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  19. L'AFP ajoute :

    « Après avoir modifié ses habitudes, il [M. Yan Chantrel] a accepté d’être retesté à l’automne prochain, avec deux de ses collègues qui ont déclaré des symptômes pouvant être associés à une intolérance aux champs magnétiques (fatigue importante, maux de tête…). »

    Et voilà l'« électrosensibilité » qui monte dans le wagon... En fait, c'est un argument de vente de toxSeek.

    Cette dépêche se devait de citer un représentant de toxSeek, faute de quoi elle aurait péché aux canons – formels – du journalisme :

    « Pour Matthieu Davoli, cofondateur du groupe toxSeek, à l’exception des terres rares, les résultats "sont très cohérents à ce qu’on voit habituellement" dans la population. Cela témoigne d’une exposition "répétée et régulière" à des polluants présents dans l’alimentation et des produits cosmétiques ou d’hygiène. Il note qu’"une contamination sur le long terme peut apporter des effets de perturbations endocriniennes et amener à des maladies chroniques, auto-immunes, neurodégénératives, cancers…" »

    Un laïus initial bateau suivi d'une bonne dose d'anxiogenèse...

    M. Matthieu Davoli est particulièrement compétent pour tenir ce genre de propos : il a, selon ses indications, une formation en... marketing stratégique.

    Mais c'est aussi un très grand spécialiste de l'électro-hypersensibilité, y compris chez les animaux, ainsi que des cancers pédiatriques... Et il est aussi président de l'association ToxSeek Urgence.

    ...Et 'nos' sénateurs socialistes, en quoi sont-ils compétents ?

    https://seppi.over-blog.com/2023/06/les-senateurs-socialistes-contamines-une-histoire-capillotractee.html

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  20. Ce sont les 10 premières nations par PIB par habitant


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 28 JUIN 2023 - 10:15


    Il existe de nombreuses façons de mesurer différentes économies les unes par rapport aux autres, mais comparer les pays en fonction du PIB par habitant reste l'une des méthodes les plus éprouvées.

    Comme le détaille Pallavi Rao de Visual Capitalists ci-dessous, le PIB par habitant tente d'uniformiser les règles du jeu en divisant la production économique d'un pays par sa population, ce qui donne effectivement le PIB moyen par personne. Un PIB par habitant plus élevé correspond généralement à des revenus, des niveaux de consommation et des niveaux de vie plus élevés.

    La simplicité de cette mesure la rend également utile pour les économistes et les décideurs politiques pour communiquer les niveaux de bien-être économique au public.

    Le graphique ci-dessous de theWORLDMAPS classe les 10 premiers pays en termes de PIB par habitant dans différentes régions, en utilisant les données du Fonds monétaire international (FMI).

    - voir cadre sur site -

    Top 10 des pays par PIB par habitant dans le monde
    Voici les 10 premiers pays avec le PIB nominal par habitant le plus élevé au monde en 2023, mesuré en dollars américains :

    - voir cadre sur site -

    Le Luxembourg, l'Irlande et la Norvège sont en tête du classement avec plus de 100 000 dollars de PIB par habitant. Le Luxembourg est un centre de services financiers clé en Europe, l'Irlande est le siège de nombreuses sociétés multinationales et la Norvège est l'un des plus grands exportateurs d'énergie de la région, ce qui explique leur prospérité relative.

    Les pays riches avec des populations plus petites ont tendance à constituer les rangs les plus riches du monde. Selon le FMI, le Luxembourg ne compte qu'un peu plus de 600 000 habitants, ce qui serait une petite ville dans des pays plus peuplés. En fait, dans le top 10, seuls les États-Unis et l'Australie ont une population de plus de 10 millions d'habitants.

    Présentation de la parité de pouvoir d'achat

    L'un des principaux inconvénients de l'utilisation du PIB par habitant est qu'il ne tient pas compte de la force de la monnaie locale par rapport à son taux de change, ce dernier étant fortement influencé par les flux d'investissement et la demande de monnaie nationale.

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  21. Les biens non échangeables dans un pays (coiffures, transports locaux, écoles, etc.) ne sont pas évalués lors de l'utilisation d'une conversion de taux de change. Cela ne tient pas non plus compte des différences de prix entre les pays - par exemple, les légumes frais en Inde sont beaucoup moins chers qu'au Canada.

    Pour résoudre ce problème, les économistes utilisent des indices de parité de pouvoir d'achat (PPA). Un élément clé de ces indices est qu'ils suppriment ces différences de prix et se convertissent en une monnaie commune afin de montrer une prospérité économique relative. Des exemples populaires sont l'indice Big Mac de The Economist et l'indice Latte du Wall Street Journal.

    PIB nominal vs PIB ajusté en fonction de la PPA par habitant
    Dans le cas du PIB, les mesures PPA utilisent un « dollar international » qui peut acheter la même quantité de biens dans un pays donné qu'un dollar américain pourrait acheter en Amérique.

    - voir cadre sur site -

    Immédiatement, il y a quelques différences notables dans les 10 premiers pays en termes de PIB par habitant après ajustement pour la PPA. D'une part, les valeurs de la plupart des pays ont augmenté par rapport à leur valeur nominale (à l'exception des États-Unis, car c'est la référence).

    - voir cadre sur site -

    Certains pays ont changé de rang dans le top 10, comme l'Irlande et le Luxembourg. D'autres ont été remplacés tous ensemble, l'Islande, le Danemark et l'Australie tombant du top 10, remplacés par Macao, les Émirats arabes unis et Saint-Marin.

    Nous pouvons également voir comment les différents calculs du PIB par habitant affectent les classements dans d'autres régions :

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  22. Rang (PPA) Région Pays PPP (Intl $) Nominal ($)

    1 Amériques 🇺🇸 États-Unis 80 030 $ 80 030 $
    2 Amériques 🇬🇾 Guyane 60 650 $ 20 540 $
    3 Amériques 🇨🇦 Canada 60 180 $ 52 720 $
    4 Amériques 🇦🇼 Aruba 49 630 $ 33 090 $
    5 Amériques 🇧🇸 Les Bahamas 43 910 $ 35 460 $
    6 Amériques 🇵🇷 Porto Rico 43 840 $ 38 570 $
    7 Amériques 🇵🇦 Panama 40 180 $ 17 350 $
    8 Amériques 🇹🇹 Trinité-et-Tobago $32,050 $19,860
    9 Amériques 🇰🇳 Saint-Kitts-et-Nevis 29 660 $ 17 860 $
    10 Amériques 🇨🇱 Chili 29 610 $ 17 830 $

    1 Afrique 🇸🇨 Seychelles 39 660 $ 19 540 $
    2 Afrique 🇲🇺 Maurice 29 160 $ 11 550 $
    3 Afrique 🇱🇾 Libye 24 600 $ 6 760 $
    4 Afrique 🇧🇼 Botswana 19 400 $ 7 270 $
    5 Afrique 🇬🇦 Gabon 19 200 $ 9 290 $
    6 Afrique 🇬🇶 Guinée équatoriale 18 510 $ 9 780 $
    7 Afrique 🇪🇬 Égypte 16 980 $ 3 640 $
    8 Afrique 🇿🇦 Afrique du Sud 16 090 $ 6 490 $
    9 Afrique 🇩🇿 Algérie 13 510 $ 4 480 $
    10 Afrique 🇹🇳 Tunisie $13,270 $4,070

    1 Asie 🇸🇬 Singapour 133 890 $ 91 100 $
    2 Asie 🇶🇦 Qatar 124 830 $ 83 890 $
    3 Asie 🇲🇴 Macao SAR 89 560 $ 50 570 $
    4 Asie 🇦🇪 Émirats Arabes Unis $88 220 $49 450
    5 Asie 🇧🇳 Brunéi Darussalam 75 580 $ 35 100 $
    6 Asie 🇭🇰 RAS de Hong Kong 74 600 $ 52 430 $
    7 Asie 🇹🇼 Taïwan 73 340 $ 33 910 $
    8 Asie 🇸🇦 Arabie saoudite 64 840 $ 29 920 $
    9 Asie 🇧🇭 Bahreïn $60 600 $28 390
    10 Asie 🇰🇷 Corée du Sud 56 710 $ 33 390 $

    1 Europe 🇮🇪 Irlande 145 200 $ 114 580 $
    2 Europe 🇱🇺 Luxembourg 142 490 $ 132 370 $
    3 Europe 🇨🇭 Suisse 87 960 $ 98 770 $
    4 Europe 🇳🇴 Norvège 82 650 $ 101 100 $
    5 Europe 🇸🇲 Saint-Marin 78 930 $ 52 950 $
    6 Europe 🇩🇰 Danemark 73 390 $ 68 830 $
    7 Europe 🇳🇱 Pays-Bas 72 970 $ 61 100 $
    8 Europe 🇮🇸 Islande 69 780 $ 75 180 $
    9 Europe 🇦🇹 Autriche 69 500 $ 56 800 $
    10 Europe 🇦🇩 Andorre 69 000 $ 44 390 $

    1 Océanie 🇦🇺 Australie 65 370 $ 64 960 $
    2 Océanie 🇳🇿 Nouvelle-Zélande 54 050 $ 48 830 $
    3 Océanie 🇵🇼 Palaos 16 390 $ 14 800 $
    4 Océanie 🇫🇯 Fidji 15 730 $ 5 890 $
    5 Océanie 🇳🇷 Nauru $11 340 $11 830
    6 Océanie 🇹🇴 Tonga 7 120 $ 5 420 $
    7 Océanie 🇼🇸 Samoa $6,320 $4,440
    8 Océanie 🇹🇻 Tuvalu $5,800 $6,010
    9 Océanie 🇲🇭 Îles Marshall $4,670 $5,160
    10 Océanie 🇵🇬 Papouasie-Nouvelle-Guinée $4,520 $3,520

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  23. Les Amériques et l'Europe

    Les États-Unis sont en tête des Amériques en termes de PIB par habitant nominal et ajusté en fonction de la PPA. Cependant, le Canada chute au 3e rang sous la nouvelle métrique, dépassé par la Guyane.

    En Europe, les suspects habituels du top 10 mondial peuplent la plupart des rangs de la région. Cependant, Andorre se classe au 10e rang des pays les plus riches d'Europe en termes de PIB par habitant (PPA). L'Andorre en particulier bénéficie de son statut de zone économique franche - très peu ou pas de taxes - et d'être un haut lieu du tourisme, le secteur contribuant à 80% à son économie.

    Asie

    Singapour, le Qatar, Macao, les Émirats arabes unis et Hong Kong occupent les premières places en tant que pays les plus riches d'Asie sur les deux listes. Le Qatar et les Émirats arabes unis bénéficient du fait que le pétrole est une exportation clé de la région, tandis que Singapour et sont les principaux centres financiers d'Asie. Macao, où le jeu est légal, est un attrait touristique massif.

    D'un autre côté, Israël et le Japon abandonnent les pays les plus riches d'Asie lors de l'utilisation des calculs de PPA, avec des pays comme l'Arabie saoudite et Bahreïn qui les devancent.

    Afrique et Océanie

    Les nations insulaires des Seychelles et de Maurice sont en tête des pays en termes de PIB par habitant dans les catégories nominales et PPA sur le continent africain, également grâce à leurs industries touristiques en plein essor.

    L'Afrique du Sud, poids lourd économique africain traditionnel, figure également dans cette liste des pays les plus riches d'Afrique. Mais l'Égypte, la troisième plus grande économie de la région, ne fait partie des 10 premiers pays en termes de PIB qu'une fois ajustée pour la PPA, autrement alourdie par sa grande population.

    Et en Océanie, l'ajustement du PIB au pouvoir d'achat n'a pas beaucoup d'effet sur l'écart considérable entre l'Australie et la Nouvelle-Zélande et leurs plus petites îles voisines. Mais certaines économies locales sont nettement plus fortes lors de l'ajustement des PPA, en particulier celle des Fidji, qui a un PIB par habitant (PPP) trois fois supérieur à sa valeur nominale.

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  24. Les inconvénients du PIB par habitant

    Le PIB par habitant est une mesure utile, mais il comporte également son propre ensemble de mises en garde.

    D'une part, il s'agit d'une mesure de la production économique par personne, et non du revenu individuel ou de l'épargne des ménages. Cela lui donne des limites claires dans certains cas, comme en Irlande, où la présence de sociétés multinationales obscurcit la production générale par personne.

    Deuxièmement, les pays peu peuplés font mieux dans le classement. La plupart des plus grandes économies mondiales (Chine, Inde, Royaume-Uni, France) ne se retrouvent pas dans les 10 premiers rangs.

    Enfin, d'autres paramètres d'un bon niveau de vie, dont certains intangibles en termes économiques - droits de l'homme, liberté d'expression - ne sont pas du tout pris en compte.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/these-are-top-10-nations-gdp-capita

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  25. Le wokisme existe-t-il ?


    27 Juin 2023
    Marcel Kuntz*


    Manifestants Black Live Matters aux Pays-Bas en juin 2023 (SOPA IMAGES/SIPA)

    Ma note : Je sors de ma bulle de confort pour reproduire un article de M. Marcel Kuntz sur un nouvel ouvrage, « De la déconstruction au wokisme », dont il est l'auteur. Je le lis à petites doses, quand mon ordinateur rame – ce qui est maintenant fréquent. Il est, d'une certaine manière, passionnant et, certainement, très instructif.

    Le wokisme n’existerait pas. Ce serait un fantasme « réac », une « panique morale ». Pourtant, nous assistons au déboulonnage de statues de personnages historiques condamnés selon les canons de la morale de ces « éveillés » en matière d’injustice, sur la base de la race notamment. Pourtant, ce que l’on appelle la « cancel culture » fait rage dans les universités, étatsuniennes d’abord, et se propage en Europe.

    Pourtant, nous assistons à la réécriture de monuments de la littérature populaire (par exemple des écrits de Roald Dahl, Ian Flemming, etc.) par des sensitivity readers à la demande des éditeurs. Leur rôle est d’expurger les manuscrits des phrases qui pourraient choquer, notamment les minorités ethniques ou sexuelles, et provoquer des polémiques.

    Pourtant, l'Opéra de Florence a changé la fin de Carmen, pour qu’elle ne meure plus poignardée par Don José au 4e acte. Pourtant, le « genre » fait polémique. La « Théorie du Genre » n’existe pas selon Najat Valaud-Belkacem, alors ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (d'août 2014 à mai 2017), face aux critiques concernant ses outils « pédagogiques » sur l’égalité « de genre » à l’école. Une théorie peut-être pas, mais une idéologie du genre, oui. Celle-ci pousse son constructivisme (les différences entre les hommes et les femmes seraient socialement construites, par les normes, les rôles et les relations) jusqu’à nier quelquefois l’altérité des sexes.

    Oublions les dénégations sur le wokisme

    Peu importe le terme (gardons le simplement par commodité). Le fait important est qu’il existe un affrontement politique majeur dans les sociétés occidentales autour de ce phénomène (les cas cités ci-dessus l’attestent…). Il divise même les camps politiques traditionnels, par exemple la gauche dite « universaliste » face à une gauche que ses détracteurs appellent « communautariste » ou « intersectionnelle » (une troisième catégorie tente de naviguer entre les deux…). Il divise aussi certains mouvements d’émancipation (par exemple les féministes que l’on peut qualifier de « canal historique » qui ne se reconnaissent pas dans les néo-féministes d’aujourd’hui).

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  26. La « cancel culture » crée également des antagonismes, par exemple entre ceux qui estiment légitime de censurer des propos non « politiquement corrects » et ceux que cela révulse.

    Le wokisme a déjà fait couler beaucoup d’encre

    Les évènements mentionnés ci-dessus ont eu une large couverture médiatique. Cela va se poursuivre et sans doute s’intensifier. Des livres ont été publiés : ils sont souvent à charge, soit pour dénoncer le wokisme (en l’accusant d’être intolérant, une religion, voire un virus, de favoriser le « retour de la race », de nuire aux enfants), soit en niant sa réalité (ceux qui critiquent le wokisme étant accusés de mener « une offensive réactionnaire »).

    Donc, pourquoi un nouveau livre sur le wokisme ?

    Il m’a semblé qu’il y avait un besoin d’un livre factuel, bref et explicatif de la diversité des facettes du phénomène, de ces références intellectuelles « postmodernes », et de ses origines pour partie aux Etats-Unis (dans la question raciale du pays) et pour une autre partie en Europe (dans l’histoire tragique du continent durant la première partie du XXe siècle).

    J’ai choisi la forme d’un abécédaire, qui permet au lecteur, en partant d’un concept entendu ou lu dans les médias ou sur les réseaux sociaux, de le trouver et le comprendre dans une des 26 entrées du livre ou dans le glossaire qui renverra vers l’entrée la plus pertinente.

    Le lecteur peut donc juger par lui-même quelles réalités décrivent les concepts de « postmodernisme » et de « wokisme » (si on garde ce dernier terme, définissons le second comme la forme exacerbée du premier). Faut-il s’inquiéter ? A titre d’exemple, je liste les évènements de censure et même de renvoi de chercheurs ou d’intellectuels qui ne se sont pas conformés aux nouvelles prescriptions, aux Etats-Unis, et aussi en Europe. Cette liste devrait en étonner plus d’un… Il en va de même de la manière dont une célèbre revue scientifique (Nature), et d’autres, s’accusent de « racisme systémique » et de sexisme, et de là, la science plus largement.

    J’ai eu très tôt eu la conviction qu’il fallait documenter l’impact de ce nouveau mode de pensée sur la science et l’utilisation des technologies. On pouvait penser que les scientifiques, notamment des disciplines expérimentales ou des mathématiques, etc. résisteraient à la « déconstruction » postmoderne. Or il n’en est rien !

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  27. Vers une théorie unifiée

    Les manifestations de la pensée postmoderne sont multiples (théories « critiques », relecture de l’histoire, repentance pour les uns…, victimisation pour d’autres…). Le postmodernisme a profondément modifié les valeurs établies : le mérite a tendance à être remplacé par l’inclusion quasi obligatoire des supposées victimes d’un « patriarcat hétéronormé » et « raciste », la vertu cardinale de justice est déclinée sous différentes formes en référence auxdites victimes, l’« écologie » est devenue la nouvelle forme de lutte anti-capitaliste, etc.

    Le philosophe Jean-François Lyotard avait défini le postmodernisme comme « l’incrédulité à l’égard des métarécits ». Parmi ces Grands Récits figure celui des Lumières, qui fait de l’histoire de l’humanité un long chemin vers l’émancipation. Je montre dans la postface de mon dernier livre que le postmodernisme n’a pas supprimé la foi, les dogmes, ni les mythes, mais les a reconfigurés dans des nouveaux récits. Et que tous les affrontements idéologiques et politiques caractéristiques de cette ère postmoderne ont un impact sur la science.
    _______________

    * Marcel Kuntz est biologiste, directeur de recherche au CNRS, enseignant à l’Université Grenoble-Alpes, et Médaille d’Or 2017 de l’Académie d’Agriculture de France. Son dernier ouvrage : De la déconstruction au wokisme. La science menacée (VA Editions). Ses écrits ne représentent pas une position officielle de ses employeurs.

    Source : Le wokisme existe-t-il ? - Article de blog - 16-06-2023 - Énergie - Factuel Media. Des faits et des effets.

    https://seppi.over-blog.com/2023/06/le-wokisme-existe-t-il.html

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  28. Les fusions communales : une méthode anachronique et autoritaire de la gestion des territoires

    La centralisation française est à bout de souffle, malgré la multiplication des lois de décentralisation. Raul Magni-Berton propose plutôt d’imaginer des politiques basées sur un consentement réel des territoires et de ses habitants avec un principe simple : la subsidiarité ascendante.


    Raul Magni-Berton
    le 28 juin 2023


    Jusqu’à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, il était commun de décréter qu’une terre et ses habitants étaient soudainement soumis aux lois d’une autre nation. La belle ville ukrainienne de Lviv, patrimoine mondial de l’UNESCO, a été tour à tour une ville autrichienne, polonaise, russe et ukrainienne en moins de 100 ans, sans que jamais elle n’ait pu choisir son appartenance.

    En France, il n’y a pas si longtemps, Alsaciens et Savoyards étaient une monnaie d’échange entre grandes puissances.

    Aujourd’hui, cela nous choque. Nous estimons que les territoires et leurs habitants ne sont pas des choses à échanger ou à conquérir. Ils ont des droits, et notamment celui d’avoir leur mot à dire sur leur place au sein d’un système et d’une culture nationale. Cette conviction d’Ernest Renan est devenue bon sens d’aujourd’hui.

    Pour autant, ce bon sens peine à s’appliquer au niveau infranational, particulièrement en France.

    Récemment, les régions ont été redessinées par le pouvoir central, les intercommunalités ont été dans beaucoup de cas des mariages forcés entre communes réticentes. Bien qu’impopulaires, ces pratiques d’un autre temps restent toutefois tolérées parce qu’en tant que Français, les citoyens et résidents français ont des droits. Cela permet d’accepter qu’en tant, par exemple, qu’Auvergnats, Cantaliens ou Mauriacois, ils n’en ont aucun. Ils n’ont pas le droit de sauvegarder leurs frontières, de lever l’impôt, d’exercer les compétences qu’ils estiment utiles à leur développement, de choisir leurs propres règles de décision parce que, comme chacun le sait, en France, c’est l’État et seulement l’État qui dispose de telles compétences.

    Mais la centralisation française est de plus en plus anachronique.

    En Europe, les pays tendent à se décentraliser, et l’Union européenne elle-même prône le principe de subsidiarité qui permet aux territoires d’avoir davantage de droits, en prenant des décisions dans les domaines où il est plus efficace que ce soit eux qui les prennent.

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  29. Les études scientifiques dont ces principes s’inspirent soulignent également que dans les pays développés, l’autonomie des territoires est source d’efficience et de transparence. Elle a même des vertus en situation d’urgence, comme nous avons pu le voir pendant la pandémie de la covid. Enfin, les citoyens et les élus locaux – qui sont les représentants les plus populaires de France – ne cessent de demander plus d’autonomie.

    Sous cette pression européenne, locale, mais aussi économique et scientifique, les lois de décentralisation se multiplient en France, mais produisent paradoxalement de moins en moins d’autonomie des territoires.

    L’un des arguments pour limiter cette autonomie se base sur l’incapacité supposée des territoires à l’utiliser à bon escient. Les démarches récentes de quelques communes pour se défusionner en sont un bon exemple. Les lois de 2010, 2015 et 2019 sur les collectivités territoriales permettaient en effet aux communes de fusionner librement et sans contrainte en créant une commune nouvelle. 2536 communes ont ainsi fusionné, en créant ainsi 787 communes nouvelles plus grandes. Cette démarche pourtant volontaire n’a pas empêché de produire, à l’usage, du mécontentement, et les démarches se multiplient aujourd’hui pour défusionner. Ces faits pourraient plaider en faveur de l’idée que laisser les territoires choisir n’est pas une garantie pour avoir des choix avisés et plus légitimes aux yeux des populations. On pourrait ainsi mettre ces réactions sur le dos d’un caractère gaulois perpétuellement insatisfait, plutôt que sur la centralisation étouffante de notre pays.

    Mais le détail de ce processus plaide bien pour la seconde interprétation.

    Car tout d’abord, la première loi pour créer des communes nouvelles a été faite juste après la suppression de la taxe professionnelle. Il s’agissait de l’une des rares taxes reversées aux communes. Les communes se sont donc retrouvées plus dépendantes de l’enveloppe que l’État veut bien leur donner. Cette œuvre d’insécurisation fiscale des communes a été complétée en 2023 par la suppression de la taxe d’habitation sur la résidence principale.

    Dans ce contexte, la loi de 2010 établissait qu’une commune nouvelle pouvait se créer consensuellement, mais aussi par décision unilatérale du préfet. La menace, toutefois, des interventions préfectorales et des réductions budgétaires n’était manifestement pas suffisante puisque seulement 13 fusions ont été faites les quatre premières années. La loi de 2015 enfonça donc le clou : elle garantissait aux communes nouvelles un niveau stable de dotations de l’État, là où les autres n’avaient pas ces garanties. La crainte d’une baisse de dotation a donné lieu à un nombre de fusions beaucoup plus grand.

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  30. Mis bout à bout, le message des gouvernements successifs a été approximativement le suivant : chers conseillers municipaux, vos communes n’ont désormais plus d’entrées fiscales propres, et l’État doit faire des économies. Il sera obligé d’en faire, mais les communes qui fusionnent, en créant ainsi des économies d’échelle, auront la garantie de ne pas subir des coupes budgétaires pendant trois ans. Par ailleurs, le préfet peut aussi vous fusionner, mais sans les bénéfices liés à un fusionnement volontaire. Y a-t-il des volontaires ?

    Dans ces conditions, les fusions consensuelles ressemblent plutôt à des mariages forcés.

    Supposons donc de proposer des politiques basées sur du vrai consentement et le respect des territoires et de ses habitants. Imaginons des politiques qui leur permettent de choisir leurs compétences, leurs taxes, leur limites territoriales. C’est ce qu’il s’appelle la subsidiarité ascendante. Pouvons-nous imaginer que des fusionnements auront lieu ?

    Tout d’abord, avec le respect et l’autonomie, vient la responsabilité.

    Les communes qui n’arriveront pas à se gérer efficacement seront tentées de s’annexer à celles qui, au contraire, auront fait les bons choix. Aussi, les perspectives économiques que peuvent se profiler dans certaines configurations de fusion, peuvent pousser des communes à fusionner. En effet, dans la mesure où elles peuvent vivre sur fonds propres, un choix efficace garantit une augmentation de revenu. En revanche, lorsqu’elles dépendent financièrement de l’État, aucun choix avisé ne garantit plus de fonds, en dehors de bonnes négociations avec l’État. Enfin, beaucoup de communes peuvent avoir des raisons purement culturelles de fusionner. Ces motivations peuvent être renforcées si les communes peuvent promouvoir leur propre culture et identité.

    Mais après tout, si cela ne marche pas, est-ce grave ?

    La France a un nombre record de communes, dont certaines très petites. Mais si ce modèle est rare, il n’est pas nécessairement inefficace pour autant. Si les communes étaient capables de se gérer elles-mêmes, elles nous donneraient la réponse. Peut-être quelques maires, responsables de choix catastrophiques, seront moins populaires qu’aujourd’hui. Mais à l’inverse, nos gouvernements et notre Parlement le seraient davantage, en n’étant désormais plus responsables des moindres difficultés que peut rencontrer chaque commune de notre beau pays.

    https://www.contrepoints.org/2023/06/28/458843-les-fusions-communales-une-methode-anachronique-et-autoritaire-de-la-gestion-des-territoires

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    1. A l'époque du Dahomey (aujourd'hui Benin), Haute-Volta (Burkina Faso), Soudan français (Mali), etc, les colons incompétents et dictateurs par voies hiérarchiques ordonnaient sans savoir quoi que ce soit, que tel ou tel pays (colonie) était terre à arachide, ou tel à canne à sucre, un autre: bananiers, un autre: ananas, etc, alors que chacune des plante n'a PAS de pays (colonie) mais une terre faite pour, un climat fait pour. C'est ainsi que ces dirigeants lamentables issus des dictateurs de Paris, de Berlin ou de Londres ont donc perdu leurs colonies car les colonisés en savaient bien plus qu'eux !

      C'est ce qui se passe encore actuellement où ces merdes qui dirigent n'ont aucune science, ne savent rien, ne font que des erreurs, conduisent très mal les ministères; et... qui paie pour toutes ces merdes ?

      De partout dans le monde (grâce à l'Internet) la population a compris ce qu'était la Démocratie (Par le Peuple, Pour le Peuple), c'est pourquoi les dictateurs (empires, monarchies et républiques) sont de plus en plus violents, criminels, psychopathes et empêchent que le monde devienne une Suisse !

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  31. Le « Pacte numérique mondial » de l'ONU pour créer Internet 2.0 sans liberté d'expression et sans score de crédit social pour tout le monde


    27/06/2023
    Ethan Huff


    L'Organisation des Nations Unies (ONU) a publié un rapport de suivi de son "Notre programme commun" 2021 intitulé "Un pacte numérique mondial" qui, comme son nom l'indique, présente un cadre pour asservir le monde entier sous la tyrannie numérique.
    Un tout nouvel Internet où aucune liberté d'expression n'est autorisée, combiné à un système de notation du crédit social pour éliminer les détracteurs et les résistants, semble être l'essentiel du document, ainsi qu'un tout nouveau système financier basé sur des protocoles d'identification numérique.

    "Les identifiants numériques liés aux comptes bancaires ou d'argent mobile peuvent améliorer la fourniture de la couverture de protection sociale et servir à mieux atteindre les bénéficiaires éligibles", explique le document. "Les technologies numériques peuvent aider à réduire les fuites, les erreurs et les coûts dans la conception des programmes de protection sociale."

    Il y a aussi des composants de réchauffement climatique et de changement climatique dans "A Global Digital Compact". Les entreprises et même les particuliers seront suivis sur la base de leur soi-disant "empreinte carbone" et évalués pour quelles "libertés" ils sont autorisés en fonction du respect des impératifs climatiques.

    "Les capteurs et les moniteurs connectés à l'Internet des objets, les plates-formes de données basées sur le cloud, les systèmes de suivi activés par la blockchain et les passeports de produits numériques ouvrent de nouvelles capacités pour la mesure et le suivi des impacts environnementaux et sociaux sur les chaînes de valeur", indique le document.

    (En relation: Le Fonds monétaire international [FMI] est occupé à "travailler dur" sur une nouvelle monnaie numérique de la Banque centrale mondiale [CBDC] pour remplacer le dollar et les autres monnaies fiduciaires nationales.)

    L'ONU tire pour un contrôle total sur toute l'humanité
    Pour réussir le plan, le secteur privé devra fusionner avec le secteur public dans de nombreux domaines de la vie quotidienne. C'est ce qu'on appelle le fascisme, la fusion de l'État et du commerce, et c'est un élément constitutif du communisme, car le gouvernement finit par engloutir le secteur privé.

    "Les partenariats entre les États, le secteur privé et la société civile tirent parti de la capacité des outils numériques à fournir des solutions de développement à travers les objectifs de développement durable", affirme l'ONU.

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  32. "Les exemples incluent la Digital Public Infrastructure Alliance, la Coalition for Digital Environmental Sustainability et les partenariats public-privé pour la réponse aux catastrophes."

    La propagation (suppression) de la liberté d'expression en ligne est particulièrement préoccupante pour l'ONU dans son état de cybercontrôle envisagé. Sa vision de l'Internet 2.0 supprimera toute liberté d'expression que l'État juge « offensante » ou « inappropriée » sur la base des récits prescrits par le ministère de la Vérité.

    "La désinformation, les discours de haine et les activités malveillantes et criminelles dans le cyberespace augmentent les risques et les coûts pour tout le monde en ligne [...] nous devons renforcer la responsabilité pour les actes nuisibles et malveillants en ligne", déclare l'ONU dans le document.

    Ce ne sont là que les points évidents décrits dans « Un pacte numérique mondial ». Il y a d'autres aspects subtils dans le document qui incluent un programme délimité par le racisme anti-blanc, ou ce que les globalistes appellent "l'équité".

    Les non-blancs doivent bénéficier d'un plus grand "accès" aux ressources et aux opportunités, nous dit-on. Et les régions du monde qui manquent d'Internet doivent être connectées immédiatement afin de pouvoir faire partie de l'ordre social « esprit de ruche » envisagé par l'ONU.

    "Pour résumer, le Digital Global Compact est une législation mondialiste servant l'objectif final de la politique mondialiste : le contrôle de tous les aspects de la vie, obtenu en insérant un filtre numérique entre les personnes et la réalité", rapporte Off Guardian à propos du plan.

    "Banque, communication, consommation de médias, achats. Chaque interaction que vous aurez se fera à travers une membrane numérique qui peut à la fois surveiller vos échanges avec le monde et - si cela est jugé nécessaire - vous refuser l'accès à ce monde."

    Afin de faire place à un nouvel ordre mondial de ce type, une grande partie de l'ordre existant doit d'abord être démoli. En savoir plus sur Collapse.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Off-Guardian.org
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-06-27-un-global-digital-compact-tyranny-social-credit.html

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  33. L'ONU appelle à la dénonciation


    27 juin 2023
    par Thomas Oysmuller


    L'ONU appelle les gens à se dénoncer en ligne s'ils identifient un "discours de haine".

    L'ONU a fait de la poursuite des allégations de "désinformation" et de "discours de haine" l'une de ses priorités - TKP a récemment rapporté à nouveau ce sujet. Outre les plans de censure à grande échelle, ils veulent désormais aussi favoriser la dénonciation. Par exemple, l'ONU essaie d'encourager les gens à se signaler en ligne pour "discours de haine".

    Priorités de l'ONU

    Guerre imminente entre la Chine et les États-Unis, guerre par procuration de l'OTAN en Ukraine contre la Russie : on pourrait penser que l'ONU concentrerait toutes ses énergies sur la prévention d'une guerre mondiale majeure. Mais elle voit apparemment sa tâche dans la surveillance des médias sociaux et la lutte contre les "discours de haine", qui, grâce à la définition ouverte, peuvent rapidement être utilisés pour contrer les critiques indésirables.

    Les commentaires sous le tweet sont très critiques à l'égard de l'ONU. Il s'agit d'une "manipulation sémantique": étiqueter différentes opinions comme "haine" n'est rien de plus qu'une "censure secrète", dit-on.

    Quoi qu'il en soit, le "discours de haine" est un problème clé pour l'ONU et ses ressources limitées. Reclaim The Net s'interroge, par exemple, sur les priorités de l'ONU : « Vraiment ? C'est ton boulot maintenant ? Que diriez-vous de fournir de la nourriture et de l'eau potable dans les zones de guerre et de négocier des accords de paix ? »

    Mais la guerre nucléaire ne devrait pas être quelque chose dont il faut s'inquiéter, plutôt des tweets ennuyeux à combattre. Surtout depuis qu'Elon Musk a de nouveau rendu Twitter un peu plus libre . L'ONU énumère huit points sur la manière dont « nous pouvons (ou devons) agir ensemble » contre le « discours de haine » : « Pause, vérifiez les faits, réagissez, questionnez, soutenez, signalez, éduquez et impliquez-vous ».

    Le sixième point est particulièrement clair : le reporting. Comme l'écrit l'ONU :

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  34. « La plupart des plateformes et communautés en ligne ont des règles pour garder les discussions des utilisateurs respectueuses et vous permettre de signaler facilement les discours de haine aux administrateurs ou aux modérateurs. Lisez les directives et les conseils des plateformes de médias sociaux pour protéger les utilisateurs contre le harcèlement et les discours de haine. Dans les cas plus graves – qui peuvent impliquer l'incitation à la violence, le harcèlement et/ou les menaces interdites par la loi – vous devez avertir les organisations qui luttent contre le discours de haine et/ou porter plainte auprès de la police (ou des procureurs) . Certains pays disposent d'outils en ligne qui facilitent le signalement des discours de haine.

    Mieux encore - pour ceux qui sont particulièrement motivés - l'ONU recommande de s'impliquer plus directement et de participer à une ONG ou à un groupe de la société civile qui agit activement contre les "discours de haine". Qui sait, peut-être arriverez-vous chez un influenceur financé directement par l'ONU...

    Mais quelque chose se passe contre le complexe mondial de la censure, comme Elena Louisa Lange l'a rapporté mardi sur TKP.

    https://tkp.at/2023/06/27/uno-ruft-zum-denunziantentum-auf/

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    1. Au lieu de demander aux dirigeants de reconnaître publiquement qu'ils sont DES GROS CONS D’ENCULÉS DE SA RACE, ils demandent au Peuple de le faire pour eux !!! et de reconnaître que chaque habitant de ce monde de merde est un gros con qui porte un masque et accepte de se faire inoculer profond en disant à haute voix "Oui j'en veux ! Oui j'en veux encore !"

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  35. Regardez : L'évolution des systèmes d'exploitation de bureau les plus populaires depuis 2003


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 28 JUIN 2023 - 01:45


    Les téléphones portables sont peut-être le moyen le plus courant de se connecter en ligne aujourd'hui, mais l'ère numérique et Internet a commencé pour la plupart des gens avec l'humble ordinateur de bureau.

    Et, comme le détaille Pallavi Rao de Visual Capitalist ci-dessous, au cours des 20 dernières années, une longue liste de systèmes d'exploitation (OS) a été utilisée pour faire fonctionner les ordinateurs de bureau les plus populaires.

    Sjoerd Tilmans a créé un graphique animé montrant l'augmentation et la baisse de la part de marché des systèmes d'exploitation de bureau populaires sur la période de mai 2003 à juin 2022, en utilisant les données de W3Schools et GS Stat Counter.

    - voir sur site -

    Le monopole de Microsoft sur le système d'exploitation de bureau le plus populaire
    L'histoire du marché des systèmes d'exploitation de bureau est une histoire de croissance explosive et de domination du marché par Microsoft.

    Dans les années 1980, la jeune entreprise a signé un partenariat avec le géant de l'informatique personnelle IBM. Microsoft fournirait à IBM un système d'exploitation pour ses ordinateurs, MS-DOS, et recevrait une redevance pour chaque ordinateur vendu.

    Ces redevances ont gonflé les coffres de Microsoft. Et sa sortie de Windows - une interface plus visuelle que DOS - les a aidés à s'emparer du marché des PC. La fin des années 1990 et le début des années 2000 ont vu différentes versions de Windows conquérir le marché :

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  36. Windows 95 :
    La désormais célèbre barre d'outils et le menu Démarrer ont fait leurs débuts ici. La version lancerait également Internet Explorer, autrefois le navigateur le plus populaire au monde.

    Windows 98 :
    Une mise à niveau vers '95 qui prenait en charge plus de matériel comme les USB et connectait plus d'un moniteur.

    Windows XP:
    XP est rapidement devenu un favori des fans en raison de sa stabilité et un succès auprès des clients commerciaux et personnels. Windows XP a régulièrement gagné des parts de marché lors de sa sortie en 2001, devenant rapidement le système d'exploitation de bureau le plus populaire avec un pic de 76 % de part de marché en 2007.

    Microsoft a doublé ses prochaines sorties de la fin des années 2000 à 2020, avec quelques ratés (Windows Vista) et quelques hits (Windows 10). Voici un aperçu des plus populaires :

    Windows 7:
    Sorti en tant que successeur du Windows Vista mal accueilli, il a conservé le même style visuel ("Aero") mais a considérablement amélioré les performances et la stabilité par rapport aux benchmarks de Vista. En 2011, Windows 7 a dépassé XP pour devenir le système d'exploitation de bureau le plus populaire.

    Windows 8 et 8.1 :
    Créé pour l'intégration tablette-bureau, tout comme Microsoft a publié la tablette compagnon Surface. Le menu Démarrer bien-aimé a été remplacé (une décision impopulaire) et un style visuel basé sur des tuiles a été introduit. Cependant, les différences spectaculaires entre les versions de bureau et de tablette ont entraîné une courbe d'apprentissage abrupte, la version 8.1 réintroduisant le bouton Démarrer.

    Windows 10 :
    Le suivi de Windows 8 a conservé l'apparence basée sur les tuiles, mais s'est concentré sur une interface orientée bureau avec des mises à jour de qualité de vie. En 2018, Windows 10 était devenu le système d'exploitation de bureau le plus populaire, culminant finalement à 61 % de part de marché au début de 2022.

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  37. La version la plus récente de Windows publiée, Windows 11, avait mis à jour le style graphique, l'intégration des widgets et introduit le dernier navigateur Internet de Microsoft, Microsoft Edge. Mais il a reçu une réponse mitigée et une adoption lente par rapport à Windows 10, gagnant une part de marché de 8,3 % en juin 2022.

    Microsoft contre. Autres concurrents du système d'exploitation de bureau
    En février 2023, Microsoft avait une avance confortable sur le marché des systèmes d'exploitation de bureau, détenant près de 72 % du marché.

    Dans une seconde lointaine se trouve le macOS d'Apple. L'entreprise la plus rentable au monde tire peut-être l'essentiel de son argent des smartphones, mais Apple a quand même réussi à se tailler un segment petit mais solide du marché des systèmes d'exploitation de bureau. Il a atteint son pic de 19 % en avril 2020.

    L'autre géant de la technologie dans le jeu OS de bureau est Alphabet, dont ChromeOS est unique pour utiliser un navigateur Internet (navigateur Google Chrome) comme interface principale. Généralement présenté comme une option d'appareil plus simple et moins chère, il a été principalement publié avec des ordinateurs portables bon marché appelés "Chromebooks". Plus récemment, Alphabet a annoncé une version pouvant être installée sur le matériel informatique existant en 2022.

    Comparé au système d'exploitation commercialisé ci-dessus, Linux est entièrement gratuit à télécharger et à utiliser, et est le plus grand projet de logiciel open source au monde. Bien que le système d'exploitation ne soit utilisé que dans environ 3 % des ordinateurs de bureau, il était également à la base d'Android et de ChromeOS, et est le système d'exploitation le plus utilisé sur les appareils avec logiciel intégré : routeurs, appareils domestiques intelligents, voitures et même quelques vaisseaux spatiaux. (Le SpaceX Falcon 9, par exemple).

    https://www.zerohedge.com/technology/watch-evolution-most-popular-desktop-operating-systems-2003

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  38. Les abeilles américaines subissent la deuxième saison la plus meurtrière jamais enregistrée


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 28 JUIN 2023 - 02:25


    Les chiffres publiés aujourd'hui révèlent que les apiculteurs aux États-Unis ont perdu environ 48 % de leurs colonies d'abeilles mellifères en 2022-2023.

    Comme le rapporte Martin Armstrong de Statista, selon une enquête annuelle qui suit l'état des ruches gérées, il s'agit du deuxième taux de mortalité le plus élevé jamais enregistré après les 51 % de 2020-21.

    - voir cadre sur site -

    Infographie : les abeilles américaines subissent la deuxième saison la plus meurtrière jamais enregistrée | Statistique
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Les abeilles mellifères sont essentielles à notre approvisionnement alimentaire, pollinisant plus de 100 types de cultures différents.

    Comme l'a rapporté Bee Informed, une collaboration nationale de laboratoires de recherche et d'universités de premier plan en sciences agricoles, la cause la plus importante de décès de colonies signalée par les apiculteurs commerciaux au cours de l'année était le "varroa destructor" - un acarien parasite qui attaque et se nourrit des abeilles mellifères.

    Au cours de l'été, les « problèmes liés à la reine » étaient la deuxième raison la plus souvent citée, suivie des « mauvaises conditions météorologiques ».

    Selon la publication, "bien que le nombre total de colonies d'abeilles mellifères dans le pays soit resté relativement stable au cours des 20 dernières années (~ 2,6 millions de colonies selon les rapports USDA NASS Honey Reports), les taux de perte restent élevés".

    Cela met les apiculteurs sous une "pression substantielle" pour créer de nouvelles colonies chaque année.

    https://www.zerohedge.com/weather/us-honeybees-suffer-second-deadliest-season-record

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  39. Face à une guerre mondiale le monde entier est concerné par une recherche de la paix


    le 27 juin 2023


    Note préliminaire. L’article qui suit est de Bruno Drweski, diplômé de SciencesPo Paris, maître de conférence à l’INALCO (Institut National des Langues et Civilisations Orientales, anciennement « LanguesO »). Bruno Drweski a mauvaise réputation auprès de l’intelligentzia française car il ne dissimule pas sa sympathie pour le Parti communiste et l’idéologie marxiste. Son analyse mérite cependant une lecture attentive, ce que j’ai fait, car pour se faire une opinion il faut aussi (et surtout) recouper plusieurs sources d’informations quelles que soient leur origine. Se contenter d’un seul « son de cloche » est une erreur. Or les médias de grand chemin d’Europe occidentale ont adopté cette attitude monolithique et celle-ci abolit tout sens critique. Pour ces raisons je propose à la lecture cet article.

    « Le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l’orage ! ». L’assertion de Jean Jaurès est plus que jamais d’actualité et Bruno Drweski nous explique pourquoi. Avec une économie en crise, les Etats-Unis misent sur la fuite en avant et semblent prêts à semer la guerre aux quatre coins du monde, sans se soucier des conséquences. Mais les travailleurs qui aspirent à un modèle plus juste et les pays en développement qui souhaitent la stabilité pour prospérer peuvent stopper la course folle d’un impérialisme US en déclin. Explications.

    Préliminaire

    Le capitalisme a besoin d’expansion : depuis le début de l’ère impérialiste, guerres et conquêtes ont presque toutes été liées au processus d’expansion du capitalisme et à son besoin vital de conquérir de nouveaux marchés afin de lutter contre la baisse tendancielle des taux de profit. Ceci explique les deux guerres mondiales du XXe siècle et aussi le caractère global de la soi-disant « guerre froide » opposant le camp impérialiste aux pays socialistes et non alignés.

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  40. L’impérialisme et la politique de « roll back » : depuis le démantèlement de l’URSS, l’impérialisme, centré depuis 1945 sur les États-Unis, leurs vassaux impérialistes et leurs valets, s’est engagé dans une politique de « roll back » tendant à prendre le contrôle de tous les marchés qu’ils ne contrôlaient pas encore, ceux des pays socialistes subsistants comme ceux dépendant d’une bourgeoisie nationale plus ou moins autonome et « développementaliste », et cela au moyen de la guerre, au moyen de pressions militaires, au moyen de sanctions et de blocus ou au moyen de soi-disant « révolutions colorées ». D’où la quarantaine de guerres qui se déroulent actuellement dans le monde et qui sont presque toutes liées les unes aux autres. De la Palestine à l’Afghanistan, de l’Irak à la République Démocratique du Congo, de la Libye à la Syrie, du Sahel au Yémen et de la Yougoslavie à l’Ukraine, tous ces conflits et bien d’autres, malgré leur spécificité, ont eu et ont une seule et même cause principale, l’impérialisme. Il en va de même pour les tentatives de blocus visant des États indépendants comme l’Iran ou Cuba, le Venezuela ou la Syrie, la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC) ou la Russie, le Zimbabwe ou la Biélorussie, etc., et cela s’applique également aux pressions militaires frisant la guerre ouverte en Corée, à Taïwan, au Caucase, en Asie centrale, etc.

    Le choix de mener une politique de pression militaire, une politique de guerre ouverte ou une politique de blocus criminels dépend du rapport de force local qui permet ou non de s’engager dans un conflit ouvert, lequel peut s’avérer possible ici, mais dangereux pour l’impérialisme ailleurs. Cela explique pourquoi, jusqu’à aujourd’hui, les USA et leurs alliés de l’OTAN ou d’ailleurs n’ont pas osé relancer la guerre de Corée « gelée » depuis 1953, alors qu’en même temps ils n’hésitaient pas à intervenir contre l’Irak, la Libye ou la Syrie. Ces pays ont été attaqués parce qu’ils ne possédaient ni « armes de destruction massive » ni armes chimiques, même si la résistance de l’État syrien s’est révélée, à la toute fin, d’une efficacité inattendue. Mais il est également clair que c’est l’équilibre des forces existant dans la péninsule coréenne qui a empêché l’impérialisme d’y relancer la guerre après 1953.

    La paix doit être imposée par un rapport de force provenant des pays en développement, lesquels ont intérêt à se développer
    Aujourd’hui, la politique américaine vise en particulier à détruire la Russie et l’Iran, afin d’atteindre, finalement, la Chine. L’impérialisme doit tout d’abord rechercher les « points faibles » : c’est donc en Ukraine, entité inconsistante et notoirement corrompue quasiment depuis 1991, que l’OTAN a exercé sa principale pression, en 2014 d’abord, puis avant 2022, avec pour principal objectif d’empêcher la renaissance d’un État russe stable et développé, et d’empêcher en même temps la Russie de pouvoir aider la Syrie face à l’intervention de mercenaires de plus d’une centaine de pays, financée par les USA et leurs supplétifs monarchistes arabes, tout en affaiblissant les puissances européennes potentiellement concurrentes. Ce qu’a d’ailleurs reconnu plus tard George Friedman, l’homme de Stratfor et stratège de la CIA.

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  41. Éliminer et démanteler la Russie aurait effectivement déconnecté la Chine de son arrière-pays stratégique eurasien et coupé son accès à des ressources énergétiques vitales, tout en confortant simultanément la domination des États-Unis sur le soi-disant « grand Moyen-Orient », ce qui devait lui permettre d’achever ce mouvement de tenaille contre la Chine, depuis le Sud. Cela explique aussi pourquoi les États-Unis ont longtemps donné l’impression de tolérer le développement de la Chine, censée à leurs yeux se noyer à la fin dans le capitalisme mondialisé. Mais les dirigeants chinois ont, dès le début, vu les choses différemment, formés comme ils l’avaient été par l’expérience douloureuse subie par la Chine pendant la période coloniale, et toujours conscients de l’impact de la révolution de 1911 et des libérations de 1945 et 1949. Après 1989, les dirigeants chinois refusèrent d’attendre indéfiniment, comme l’avaient fait les derniers dirigeants soviétiques et post-soviétiques, qu’on les accepte dans l’antichambre de l’impérialisme.

    Maintenant, une grande partie des élites russes a également compris que son espoir était vain. Il faut donc être conscient que les tensions en Ukraine, en Asie occidentale et en Asie orientale sont liées. Les tensions provoquées à Taïwan, Hong Kong, au Xinjiang, dans la péninsule coréenne ou dans la mer de Chine méridionale, sont liées aux tensions provoquées en Europe de l’Est et dans le « grand Moyen-Orient ». Et cela crée un nouvel équilibre mondial des forces donnant sa chance à la diplomatie, notamment à la diplomatie chinoise, pour en finir avec les politiques bellicistes des USA et de l’OTAN.

    Il est donc clair que, si du point de vue asiatique, la guerre en Ukraine peut sembler à première vue lointaine, elle n’en est pas moins directement liée à l’un des objectifs centraux de l’impérialisme depuis 1949 : faire disparaître la Chine populaire et les autres États socialistes et/ou souverains d’Asie, afin d’assurer l’hégémonie mondiale des États-Unis et de profiter des ressources et de la main-d’œuvre de tous ces pays. Et c’est parce que la résistance des pays et peuples indépendants du Moyen-Orient et de la Russie s’est avérée beaucoup plus dure que prévu, que l’impérialisme tend désormais ouvertement à faire pression simultanément sur l’Iran, la Russie, la Chine, la RPDC et quelques autres pays. D’où les tensions qui se sont réactivées à Taïwan, dans la péninsule coréenne, après des tentatives d’en provoquer d’autres au Tibet, au Xinjiang et à Hong Kong, tout comme on observe actuellement des pressions accrues exercées par les États-Unis et les pays du G7 sur des pays comme l’Indonésie, la Thaïlande, le Myanmar, le Vietnam, les Philippines, le Pakistan ou Sri Lanka afin qu’ils ne rejoignent pas les pays en voie de rompre avec l’hégémonie du dollar nord-américain.

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  42. Cette politique de fuite en avant tous azimuts des USA et de leurs partisans témoigne de leur incapacité d’aujourd’hui à sélectionner un à un leurs adversaires et à poursuivre une politique d’expansion à long terme. L’impérialisme actuel repose en effet sur un système capitaliste désormais dégradé, qui n’a plus les réserves nécessaires pour mener une politique de long terme, comme ce fut le cas après 1945. Le processus de concentration de la propriété capitaliste sur une échelle mondiale ainsi que ses corollaires, délocalisation et désindustrialisation dans les pays du « centre impérialiste », ont rendu les mouvements commerciaux rapides de plus en plus risqués et de plus en plus dépendants de pays qui, de ce fait, ont pris conscience qu’ils disposaient d’atouts leur permettant de mener une politique de développement autonome. C’est évidemment le cas de la Chine, qui a su jouer magistralement du capitalisme mondialisé pour importer et apprendre à maîtriser un savoir-faire assurant son développement, et mener une politique sociale de réduction massive de la pauvreté servant d’exemple à tous les pays victimes du pillage impérialiste, y compris aujourd’hui encore auprès des classes exploitées et défavorisées des pays du « centre impérialiste ».

    Si le capitalisme mène à l’impérialisme et à la guerre, et a besoin de la guerre pour survivre, les pays opposés, engagés dans une politique de développement et de progrès social et national peuvent désormais changer l’équilibre mondial des forces et commencer à imposer une politique de paix, de développement et de désarmement. La Russie a entrepris trop tard le processus de recouvrement de sa dynamique économique pour pouvoir éviter les pressions et les guerres focalisées désormais sur l’Ukraine, mais, à l’échelle mondiale, le rapport de force est en train de changer de façon accélérée, en partie à cause de cette guerre. Désormais, la lutte pour la dé-dollarisation de l’économie mondiale et la multipolarité politique menée par les BRICS et l’Organisation de Coopération de Shanghaï crée une alternative au monde unipolaire centré sur les États-Unis. C’est donc tout l’équilibre international, stratégique, politique et économique qui est en train de basculer aujourd’hui, et la guerre, qui a commencé en 2014 en Ukraine et s’est intensifiée en 2022, a permis de découvrir clairement que de nombreux pays, non seulement n’avaient aucun intérêt à continuer à dépendre de « l’empire du dollar », mais pouvaient désormais s’en affranchir. Cela explique la panique actuelle des États-Unis, de leurs alliés et de leurs agents qui découvrent que leur empire s’effrite bien plus vite qu’on ne pouvait l’imaginer et qu’il leur reste très peu de temps pour tenter de le préserver. D’où leur marche folle vers la guerre en Ukraine depuis 2014, vers des tentatives de multiplication de tensions, de coups d’État et de « révolutions colorées » dans l’espace eurasien et en Afrique, avec simultanément des provocations visant la Chine au Xinjiang, à Hong Kong ou vers sa province insulaire de Taïwan, et aussi avec des exercices militaires américains provocateurs en Corée du Sud, récemment complétés par la menace d’y réintroduire des armes nucléaires nord-américaines.

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  43. Le combat pour la paix doit reposer sur un rapport de force capable d’imposer des négociations
    Dans ce contexte, les peuples du monde doivent comprendre que leur propre destin est lié à celui de tous les autres peuples et que les foyers de la guerre sont devenus quelque peu « nomades ». Une guerre peut désormais éclater n’importe où sur la planète avec les mêmes causes mondiales fondamentales, et la seule réponse possible est que les pays et les peuples indépendants ou qui luttent pour retrouver leur souveraineté créent, par la mobilisation, des rapports de force capables de menacer les fauteurs de guerre, ce qui donne à la Chine et aux autres pays souverains un rôle clé. La diplomatie chinoise met en œuvre des négociations et des initiatives de paix pour l’Ukraine ou l’Asie occidentale, basées sur le principe de négociations entre égaux. Une solution pacifique à la guerre en Ukraine nécessite donc :

    1/ de prendre en compte le besoin de sécurité de chaque pays, incluant bien sûr la Russie qui se sentait menacée par les élargissements de l’OTAN,

    2/ de tenir compte du fait que les États post-soviétiques sont le résultat de compromis faits à l’époque soviétique selon deux axes fondamentaux :

    – les frontières des républiques soviétiques étaient des frontières intérieures créées sur la base de compromis fonctionnant au sein d’une fédération unie,

    – ces frontières étaient légitimes dès lors que chaque nationalité à l’intérieur de chaque république soviétique était reconnue et avait dès lors des droits en principe reconnus.

    Ce type de compromis était censé continuer à fonctionner après le démantèlement de l’Union soviétique, à l’intérieur de chaque entité indépendante conservant des liens particuliers avec les autres au sein de la Communauté des États indépendants (CEI). Mais en Ukraine, ce compromis a été définitivement rompu en 2014, même si les accords de Minsk auraient pu régler en partie le problème pour les deux régions du Donbass.

    Une solution politique en Ukraine doit donc maintenant :
    1/ tenir compte de la réalité des liens particuliers qu’ont entre elles les anciennes entités soviétiques pour des raisons historiques, géographiques, économiques et culturelles,

    2/ tenir compte du fait que toute « l’Eurasie centrale » (« ex-URSS ») se trouve sur la route reliant l’Asie de l’Est à l’Europe de l’Ouest ; cela signifie qu’un projet tel que l’Initiative une Ceinture et une Route (BRI) ouvre des perspectives de développement pacifique, en particulier sur l’axe intégrant la Russie, l’Ukraine et leurs voisins,

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  44. 3/ tenir compte de la réalité de chaque nationalité vivant dans chaque entité ex-soviétique,

    4/ tenir compte du fait que les questions frontalières et même les lignes de cessez-le-feu, dans le cas de la Transnistrie, de l’Abkhazie, de l’Ossétie du Sud ou du Karabagh, peuvent être résolues étape par étape, dès lors que des contacts ouverts se reconstituent dans l’ensemble de l’espace post-soviétique et de la zone eurasienne,

    5/ tenir compte du fait que le rôle de pays comme la Chine, la Turquie ou les pays africains, réellement indépendants, non directement liés aux USA ou à l’Ukraine, mais intéressés par le développement pacifique, est d’une importance capitale pour promouvoir les négociations et les nouvelles perspectives économiques,

    6/ tenir compte du fait que négociations et cessez-le-feu constituent la première étape pour affaiblir les tendances pro-guerre et les interventions étrangères dans le conflit,

    7/ à la toute fin, parce que l’Ukraine était et reste une entité multinationale créée comme un compromis au sein de l’URSS, mettre éventuellement en œuvre le principe d’autodétermination ; mais, d’abord, il faut prendre en compte le fait qu’un Etat aussi instable que l’Ukraine et son élite ne pourra pas survivre sans négociations et sans un minimum de souveraineté. Ce que ni les Etats-Unis ni les pays de l’OTAN ne peuvent ou ne veulent prendre le risque de garantir, pas plus qu’ils n’ont voulu le faire pour la création étatique présidée par Ngo Dinh Diem d’abord puis Nguyen Van Thieu ensuite. Aussi stratégiquement, pour que la paix puisse prévaloir, la question fondamentale pour l’Ukraine est de reconnaître simultanément, dans le cadre de l’intégration économique à long terme de toute l’Eurasie, de l’Asie de l’Est à l’Europe de l’Ouest, la multiethnicité et la coopération eurasienne, qui doivent être soulevées, développées et réalisées en tant qu’objectifs à long terme. Cette « politique d’intégration de la « grande Eurasie » est dans l’intérêt de toutes les nations post-soviétiques et de toutes les nations d’Europe occidentale.

    La paix et les négociations doivent s’imposer pas à pas pour favoriser à terme le développement d’un monde multipolaire dans lequel chaque pays aura les mêmes droits et pourra ainsi participer à une coopération internationale gagnant-gagnant mutuellement avantageuse, tendant à marginaliser la puissance de la seule superpuissance encore dominante aujourd’hui, même si cette superpuissance semble être de plus en plus atone, et donc imprévisible et violente car c’est une bête blessée sentant le danger d’un monde difficilement imaginable où elle ne serait qu’un grand pays parmi d’autres.

    Et aussi de l’auteur : https://youtu.be/_GKQ_qhsm6Y Note. Classe comprador : https://wikirouge.net/Bourgeoisie_comprador

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/06/27/face-a-une-guerre-mondiale-le-monde-entier-est-concerne-par-une-recherche-de-la-paix/

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  45. Les entreprises numériques agissent comme des partis politiques mondiaux et un gouvernement mondial autoritaire - une analyse


    28 juin 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    L'influence que les entreprises numériques ont maintenant sur la politique, les gouvernements et les gens en général a énormément augmenté. Ils déterminent de plus en plus ce que nous voyons et ce que nous pensons être juste ou faux. Ils interviennent maintenant directement dans les élections, manipulent les résultats et laissent les médias vivre ou mourir.

    C'est fou ce que Google et sa filiale YouTube font actuellement avec le candidat à la présidentielle officiellement enregistré Robert F. Kennedy Jr., neveu de l'ancien président qui a été assassiné par la CIA et fils du procureur général américain qui a également été assassiné.

    Le cardiologue britannique Dr. Aseem Malhotra a retweeté une description de ce qui se passe :

    Une société nominalement américaine
    @YouTube @Google
    SUPPRIME ACTIVEMENT
    UN CANDIDAT PRESIDENTIEL
    PENDANT UNE
    CAMPAGNE ÉLECTORALE

    Kennedy lui-même écrit dans un fil Twitter :

    YouTube vient de supprimer une autre de mes vidéos, mettant en vedette l'ancien journaliste politique du NY Post, Al Guart. Les gens ont fait grand cas de la Russie qui aurait manipulé des informations sur Internet pour influencer une élection présidentielle. Ne devrions-nous pas nous inquiéter si les entreprises technologiques géantes font de même ?

    Lorsque l'industrie et le gouvernement sont si étroitement liés, il y a peu de différence entre la censure « privée » et « étatique ». La répression de la liberté d'expression n'est pas soudainement acceptable lorsqu'elle est sous-traitée aux sociétés privées qui contrôlent l'espace public.

    Les fichiers Twitter ont prouvé que de nombreuses agences gouvernementales ont utilisé le FBI pour dire à Twitter qui censurer. Twitter a obéi. Nul doute que Facebook, YouTube et les autres ont reçu des demandes similaires.

    Dans le cas de mon entretien avec Al Guart, YouTube a probablement agi de sa propre initiative. Il a suffisamment intériorisé les désirs politiques de l'establishment pour savoir quoi censurer sans se faire dire.

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  46. Jusqu'à Kennedy. Il souligne l'étroite interdépendance du pouvoir de l'État avec les entreprises. Un petit rappel de ce que Benito Mussolini avait à dire à ce sujet :

    " Le fascisme devrait être appelé à juste titre corporatisme, car c'est l'amalgame du pouvoir corporatif et gouvernemental."

    Les entreprises numériques sont présentes dans le monde entier et, comme aux États-Unis, agissent comme un parti fasciste qui usurpe parfois le pouvoir gouvernemental.

    Suppression du contenu scientifique
    Le 19 juin, l'association « Physicians and Scientists for Health, Freedom and Democracy eV » (MWGFD) a annoncé : « Censorship Tube a effectivement supprimé notre compte YouTube avec plus de 87 000 abonnés à l'improviste. Il est regrettable que les institutions de censure n'emboîtent pas le pas lorsqu'il s'agit d'acquérir des connaissances et l'esprit d'illumination. "

    Des entreprises comme Google, Facebook, Microsoft, Twitter et d'autres entreprises numériques ont pris le contrôle de l'opinion publiée dans le monde. Les moteurs de recherche ne montrent pas ce qui va à l'encontre de leurs intérêts. Ce qui nuit aux profits et ce qui ne convient pas au gouvernement n'est pas montré ou est montré loin derrière. Les médias sociaux de type Facebook utilisent une censure allant de la suppression de messages individuels à l'interdiction de comptes. Les shadowbans garantissent que le contenu indésirable n'est plus affiché et peut être trouvé plus facilement si vous le recherchez directement.

    Dans le même temps, des organisations internationales telles que l'UE, l'OMS et, de plus en plus, l'ONU et leurs sous-organisations s'efforcent d'étendre la censure et de définir les contenus indésirables. Dans le même temps, la coopération avec les grandes entreprises devient de plus en plus étroite - on pense encore à Mussolini.

    Le tout se passe alors sous le rideau de fumée de la prétendue lutte contre la "haine sur le net", la "prévention de la pédopornographie" ou autres prétextes ronflants.

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  47. Influencer les médias classiques

    Ici aussi, nous voyons une coopération étroite entre l'État, les oligarques et les entreprises. Rien que dans la petite Autriche, l'État dépense des sommes énormes pour maintenir les médias grand public. En 2022, 325 millions d'euros, soit 20,7 % de plus que l'année précédente, ont été reversés à des médias à politique éditoriale favorable. Dans les années 2019 à 2022, les médias grand public ont été alimentés au total à hauteur de 1,1 milliard d'euros, comme le rapporte ici .

    Les entreprises numériques gèrent des projets médiatiques, les journalistes sont "formés" ou il existe des partenariats directs, en Autriche par exemple entre Google et l'agence de presse autrichienne APA.

    Un autre outil important est le contrôle des revenus publicitaires. TKP s'est récemment inscrit en tant qu'éditeur pour AdSense, la plate-forme publicitaire de Google. Deux jours plus tard, nous avons reçu le courriel suivant :

    "... nous avons identifié plusieurs cas de non-respect du règlement du programme AdSense sur votre site Web (tkp.at). En conséquence, Google a cessé de diffuser des annonces sur ce site.

    Les problèmes suivants ont été détectés sur votre site :

    "Allégations incroyables et préjudiciables":

    Nous n'autorisons pas le contenu

    Contient des allégations qui se sont avérées fausses et qui pourraient affecter de manière significative la confiance ou la participation aux élections ou aux décisions démocratiques.
    qui étayent des allégations menaçant la santé ou se rapportent à une crise sanitaire grave actuelle et contredisent des preuves scientifiques fiables.
    contrairement aux preuves scientifiques acceptées sur le changement climatique.
    Google n'autorise donc aucun contenu contraire à ses propres intérêts commerciaux ; et aussi ceux de l'industrie pharmaceutique et financière, ainsi que les propriétaires et les investisseurs des grandes entreprises, c'est-à-dire la classe des Rockefeller, Ford, Gates, Soros, Warburg, Rothschild, Clinton, pour n'en nommer que quelques-uns ; et bien sûr l'appareil gouvernemental de l'administration Buden et celui qui est en charge aux États-Unis, l'UE, l'OMS et l'ONU.

    La fusion de la politique et des affaires n'est que trop évidente.

    https://tkp.at/2023/06/28/digital-konzerne-agieren-wie-globale-politische-parteien-und-autoritaere-welt-regierung-eine-analyse/

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  48. Le Green Deal de l'UE commence également à vaciller à Bruxelles


    28 juin 2023
    par Thomas Oysmuller


    Le Green Deal, le grand projet de l'UE, commence à vaciller. Une loi importante qui prévoyait la renaturation des espaces de l'UE semble échouer.

    L'UE veut devenir "climatiquement neutre" d'ici 2050. Mais quatre ans après le début du "Green Deal européen", le plan s'effondre dans de nombreux domaines. L'ambiance est en train de changer non seulement dans les différents États membres ( TKP a fait état du revirement de la Suède ), mais les choses se resserrent également à Bruxelles même. La loi dite de renaturation ne devrait pas venir.

    CDU contre Leyen

    Le vote de combat au sein de la commission de l'environnement s'est prononcé contre le projet de la Commission européenne. Et très proche : le vote s'est terminé 44 contre 44. Les conservateurs ont viré et donc une partie centrale du "Green Deal" est en train de trembler. Le chef de la commission von der Leyen est sous pression. Ses propres amis du parti exigent qu'elle retire le projet.

    Par exemple, le blog « Lost in EU » cite l'eurodéputée Christine Schneider (CDU). Le projet va "conduire à une réduction des terres agricoles et forestières et ainsi mettre en danger notre sécurité alimentaire." Le porte-parole de la politique environnementale du PPE, Peter Liese (CDU), affirme que la loi est "mal faite", même si elle est " bien intentionnés ».

    Le chef du PPE Manfred Weber est même allé plus loin : il a même menacé des députés d'être expulsés du groupe. Il aurait empêché la loi par des pressions et des menaces au sein de sa faction. Le différend sera tranché au Parlement européen à la mi-juillet. Les sociaux-démocrates, les verts, les gauchistes et les libéraux sont derrière le projet de Leyen. Les forces conservatrices et nationales s'y opposent.

    loi controversée

    La loi controversée vise à renaturaliser au moins 20 % des zones terrestres et maritimes de l'UE d'ici 2030. D'ici 2050, tous les écosystèmes nécessitant une renaturation devraient être « mis sur la voie du rétablissement ». La mise en œuvre relève de la responsabilité des États membres. Vous devez établir les plans et les financer. L'UE veut mettre 100 milliards à disposition – l'argent des impôts, bien sûr.

    À première vue, cela semble tout à fait raisonnable et ressemble même à la conservation de la nature et non à la protection du climat. Les critiques de la gauche libérale sont également choqués par le blocus conservateur. "Même Unilever, Nestlé et CocaCola" sont favorables à la loi, "mais le Parti populaire est contre" afin de pouvoir capter "des votes de droite bon marché", dit-on.

    La critique selon laquelle la proposition "idéologiquement programmée" mettrait en péril la sécurité alimentaire de l'Europe est balayée. De plus, les conservateurs expliquent leur blocus avec des arguments inhérents au climat. La renaturation envisagée mettrait également en danger "l'expansion des énergies renouvelables" et l'indépendance de l'UE dans le cas des matières premières rares.

    https://tkp.at/2023/06/28/green-deal-der-eu-beginnt-auch-in-bruessel-zu-wackeln/

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    Réponses
    1. Ce sont des personnes seules dans un nano-groupuscule de dictateurs-sanguinaires. Elles ne demandent l'avis de personne ! D'aucun scientifique ou économiste et prétendent en savoir plus que des dizaines de millions de personnes !

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  49. Cette vidéo provient de la chaîne SecureLife sur Brighteon.com.

    Articles plus connexes :

    Le gaz carbonique n'est pas un polluant; c'est la pierre angulaire de TOUTE VIE sur Terre.

    Le dioxyde de carbone n'est pas un "polluant" responsable du réchauffement climatique, c'est l'élixir de la vie lui-même.

    Études : les niveaux actuels de dioxyde de carbone dans l'atmosphère ne constituent PAS une menace pour l'homme ou l'environnement.

    Le culte du climat veut que les émissions de gaz carbonique de chaque personne soient régulées – plus de respiration… pour la planète !

    Les sources comprennent :

    Expose-News.com 1
    Expose-News.co
    Sources include:
    Expose-News.com 1
    Expose-News.com 2
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-06-28-battle-against-co2-ploy-take-away-freedoms.html

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  50. Le livre blanc, paru sous le titre “Évaluation de la transition vers une mobilité urbaine durable”, établit diverses pratiques visant à faire adopter par la majorité de la population humaine des transports en commun au sein de “villes intelligentes” compactes. Le FEM suggère également que plus de 70 % de la population mondiale doive vivre dans ces villes intelligentes d’ici à l’année 2050 — Actuellement, 45 % de la population mondiale vit dans des régions rurales, ce qui exige que 15 % de la population soit contrainte à migrer dans des villes au cours des deux décennies à venir. Et ce n’est pas tout : il va falloir que les villes moyennes et les petites agglomérations s’agrègent en des réseaux homogènes. En d’autres termes, en mégalopoles.

    L’agenda des transports du FEM exige que sur les 2 milliards de propriétaires de véhicules personnels, 1,5 milliards de personnes perdent l’option d’utiliser un moyen de transport personnel. Cela ne laisserait dans le monde que 500 millions de personnes disposant du “privilège” de posséder leur véhicule.

    N’oublions pas non plus que l’ONU veut des émissions de gaz carbonique à l’équilibre pour 2050, ce qui signifie qu’aucun véhicule à énergie fossile n’existe plus dans 25 ans.

    Le document émis par le FEM est inondé de mots à la mode ineptes, couvrant la rhétorique de “l’équité et l’inclusion” ainsi que d’“objectifs de développement durable” et d’une terminologie de “capitalisme par les parties prenantes.”

    En résumé, la réduction des transports est l’extension d’un machin appelé “Cadre de gouvernance de la mobilité partagée, électrique et automatisée”, et de projets de villes à zéro émission. En retirant leur voiture aux populations, on va contraindre les gens à des zones de plus en plus petites, au sein desquelles les transports de masse sont disponibles. Ces régions de population extrêmement concentrées seront reliées par des réseaux numériques et supervisées par des IA, et feront l’objet de mesures de surveillance sans précédent, et les gouvernements seront en mesure de centraliser et d’édicter les mouvements publics, les consommations d’énergie, les accès à la nourriture et même la manière de se comporter dans l’espace public.

    Et tout ceci est vendu comme un compromis utopique rendant la vie plus simple et plus sécurisée, alors qu’il s’agit dans les faits de la fin de la liberté que nous connaissons. La Chine tient lieu de pays béta-testeur pour ces mesures, qui dispose des plus grandes villes intelligentes et des plus vastes réseaux de surveillance au monde.

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  51. Nous savons que l’objectif derrière la déconstruction du transport personnel est de rassembler les gens comme du bétail au sein de villes de plus en plus compactes et oppressives, mais comment réaliser une réduction du nombre de véhicules à cette échelle ?

    Cela va passer par une suite de régulations sur le carbone et par une montée des prix. Les taxes sur le carbone vont être appliquées afin de rendre intenable l’achat et la possession d’un véhicule à énergie fossile, et l’inflation des prix des véhicules électriques va faire en sorte que seule les classes les plus aisées pourront s’en offrir. Ainsi, l’establishment pourra affirmer “ne jamais avoir interdit les voitures”, mais aura créé les conditions économiques qui vont contraindre la plus grande partie de la population à abandonner son véhicule personnel.

    - voir clip sur site -

    En examinant les projets de zéro-émissions comme une entité pleine et entière, et non plus comme des éléments épars, on comprend que ces projets n’ont rien à voir avec la préservation de l’environnement, de la planète, et tout à voir avec la centralisation du pouvoir.

    *
    Article original en anglais : Climate Authoritarianism: WEF Wants 75% Fewer Private Car Owners By 2050, Zero Hedge, le 28 juin 2023

    https://www.mondialisation.ca/autoritarisme-climatique-le-forum-economique-mondial-veut-reduire-de-75-le-nombre-de-proprietaires-de-voitures-privees-dici-a-2050/5679013?doing_wp_cron=1688017687.8262701034545898437500

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  52. Bizarre - comment la 5G affecte le trafic aérien américain


    29 juin 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    À partir du week-end prochain , des retards et des annulations de vols aux États-Unis sont attendus en raison de la débâcle en cours entourant la perturbation des téléphones portables 5G dans le trafic aérien. Les avertissements de problèmes avec le spectre 5G causant de graves perturbations dans l'aviation existent depuis des années plutôt que quelques mois, mais les problèmes n'ont pas encore été résolus. De manière générale, la résistance à la 5G se développe à l'international.
    Le chaos 5G des compagnies aériennes – où certains avions équipés d'anciens radioaltimètres pourraient être confondus par de puissants signaux 5G lors de l'approche finale des aéroports américains – n'est toujours pas terminé. Les compagnies aériennes ont reçu le 1er juillet pour mettre à jour leurs flottes, mais certaines manqueront la date limite ce week-end pour trois raisons et leurs vols seront retardés en conséquence, selon les médias .

    La catastrophe de la 5G aérienne

    L' arrière-plan est une histoire plutôt bizarre d' un désaccord entre deux agences gouvernementales . Étant donné que la télévision par satellite est essentiellement obsolète, la Federal Communications Commission (FCC) a décidé de vendre aux enchères le spectre aux opérateurs de téléphonie mobile . La Federal Aviation Administration (FAA) n'a remarqué qu'après coup que cela pouvait causer des interférences avec les radioaltimètres .

    Les radioaltimètres des aéronefs font rebondir un signal radio sur le sol et mesurent le signal renvoyé pour déterminer l'altitude de l'aéronef. Cette méthode est beaucoup plus précise que les altimètres basés sur la pression et est utilisée lors de l'approche finale et de l'atterrissage.

    Cela a introduit des restrictions temporaires de la bande C 5G dans environ 50 grands aéroports et a donné à l'industrie du transport aérien jusqu'au 1er juillet 2023 pour vérifier leurs avions plus anciens et mettre à jour les radioaltimètres en conséquence.

    Le WSJ rapporte que le secrétaire aux Transports Pete Buttigieg a admis que 20 % des avions utilisés pour les vols intérieurs et 35 % des avions utilisés pour les vols internationaux n'ont pas encore été mis à jour.

    Les compagnies aériennes affirment que si la modernisation est simple en principe, trois problèmes pratiques empêchent de respecter le délai.

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  53. Premièrement : Le temps d'arrêt de l'avion pour effectuer les travaux est trop court. Les avions ne rapportent pas d'argent lorsqu'ils sont au sol, donc les compagnies aériennes les planifient aussi étroitement que possible, il peut donc être difficile de planifier des heures de hangar imprévues.

    Deuxièmement : des problèmes dans la chaîne d'approvisionnement. Comme chaque avion non conforme entrant ou sortant des États-Unis doit être modernisé, les fournisseurs ont du mal à répondre à la demande.

    Troisièmement, les retards dans la certification. Lorsqu'un nouvel équipement essentiel à la sécurité est installé sur un aéronef, il doit être certifié pour un fonctionnement sûr, ce qui prend également du temps.

    Résistance à la 5G

    Il existe une résistance à la 5G dans le monde entier, ce qui a limité, ralenti et/ou stoppé l'adoption dans certains endroits. Depuis 2017, médecins et scientifiques réclament un moratoire sur la Terre et l'espace en raison des risques biologiques et environnementaux pour la santé, et la majorité des scientifiques s'y opposent.

    Depuis 2018, des cas de personnes et d'animaux présentant des symptômes et des maladies après l'activation ont été signalés dans le monde entier. En 2019, des dirigeants de l'industrie des télécommunications ont témoigné devant le Congrès américain qu'ils n'avaient aucune preuve scientifique de sa sécurité. Certains chercheurs ont également averti que l'activation de la 5G pourrait contribuer aux infections au COVID-19, ainsi qu'à des centaines de milliers, voire des millions de décès d'oiseaux.

    Une autre critique concerne l'utilisation prévue pour les camions et les voitures autonomes. La meilleure utilisation possible pour un suivi continu des personnes numérisées (identification numérique, cartes de vaccination électroniques, surveillance des frontières des villes à 15 minutes, etc.) gagne également du terrain. Les développements de l'industrie numérique au cours des 15 à 20 dernières années laissent craindre que cette technologie ne soit également utilisée principalement contre les personnes.

    En savoir plus sur la technologie 5G et ses dangers .

    https://tkp.at/2023/06/29/skurril-wie-5g-den-us-flugverkehr-beeintraechtigt/

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  54. ENCORE UN ARTICLE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)

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