- ENTREE de SECOURS -



vendredi 30 juin 2023

Implants cérébraux : la nature humaine remise en question – The Conversation

JUIN 27, 2023

 PAR LHK


Audition d’Éric Fourneret lors de la consultation sur l’intelligence artificielle et le transhumanisme organisée par la MGEN et la Commission nationale Française pour l’UNESCO.

Decembre 2020  Updated: May 7, 2022

Authors

Éric FourneretPhilosophe, Braintech Lab (Inserm, U205), équipe « Neurotechnologies et Dynamique des Réseaux », Université Grenoble Alpes (UGA)

Blaise YvertDirecteur de recherche à l’Inserm, responsable de l’équipe Neurotechnologies et Dynamique des Réseaux, Inserm

Clément HébertChargé de recherche implants Neuronaux, neuroprothèses, Inserm U1216 Grenoble Institut des Neurosciences, Université Grenoble Alpes (UGA)

Disclosure statement

Éric Fourneret a reçu des financements de « Braincom ».

En lien avec cette réflexion, Blaise Yvert a reçu des financements de l’Agence Nationale pour la Recherche (Projets Neuromeddle et Brainspeak) et de l’Union Européenne (Projets Horizon 2020 Braincom et Flagship Graphene)

Clément Hébert does not work for, consult, own shares in or receive funding from any company or organisation that would benefit from this article, and has disclosed no relevant affiliations beyond their academic appointment.

Les implants cérébraux peuvent être définis comme des dispositifs artificiels d’interface avec le cerveau. Ils permettent notamment de proposer des solutions de suppléance artificielle dans le cas de fonctions perdues, comme la parole.

Ces avancées technologiques se révèlent particulièrement intéressantes, par exemple, pour offrir des nouveaux modes de communication à des individus atteints de paralysie sévère.

Mais si l’aide que promet cette technologie semble précieuse, elle suscite néanmoins un questionnement éthique qu’il est essentiel de saisir, alors même que la technologie se développe.

Deux approches de grande envergure

Comprendre le fonctionnement du cerveau et améliorer nos capacités d’intervention pour remédier à certains de ses dysfonctionnements font partie des défis majeurs relevés par les neurosciences de ces dix dernières années. Et deux approches différentes et de grande envergure se sont concrétisées.

Dans la première, avant tout théorique, il s’agit de modéliser de manière réaliste le fonctionnement du cerveau grâce à des réseaux de neurones artificiels (informatiques ou électroniques) : c’est l’objectif du projet européen Human Brain Project. Dans la seconde, pragmatique, on cherche à développer des implants cérébraux pour enregistrer et stimuler le plus grand nombre de neurones possibles : c’est le but du vaste projet américain Brain Initiative, ou encore du projet européen Braincom.

D’ici très peu de temps, arrivera donc logiquement le moment où l’on disposera d’une part de vastes réseaux artificiels neuromimétiques, et d’autre part d’interfaces à très haute résolution permettant un couplage bidirectionnel (enregistrement et stimulation) avec des millions de neurones du cerveau. Or la fusion de ces deux mondes technologiques, prévisible, conduirait à l’émergence de vastes réseaux hybrides couplant l’activité du cerveau avec celle de réseaux artificiels. Et ce n’est pas de la pure science-fiction : des preuves de concept ont déjà été fournies par des réseaux hybrides simples, à l’instar de la technique de « dynamic clamp ».

Vers des réseaux neuronaux « hybrides »

Née à la fin des années 1990, la technique de dynamic clamp permet de coupler un neurone artificiel à un neurone réel par le biais d’une électrode intracellulaire : l’activité de l’un modifie celle de l’autre de manière bidirectionnelle. Et à l’avenir, l’avènement d’implants intégrant un grand nombre de microélectrodes extracellulaires – et assurant chacune une liaison bidirectionnelle stable avec un neurone individuel – devrait permettre la construction de réseaux hybrides à grande échelle, y compris in vivo au niveau de vastes régions cérébrales.

Certes, ce n’est pas encore d’actualité. Mais force est de constater que la route n’est sans doute plus si longue. En effet, des réseaux neuromorphiques sont déjà capables d’apprendre automatiquement à reproduire l’activité d’ensembles de neurones réels enregistrés par un implant cérébral. Cela signifie que l’on dispose déjà de la technologie permettant à plusieurs neurones réels de contrôler des réseaux artificiels complexes. Et inversement, on sait aussi s’appuyer sur des réseaux artificiels pour stimuler, de manière plus ou moins précise, des neurones réels.

Le développement d’implants cérébraux permet ainsi d’entrevoir l’avènement d’un couplage hybride entre le cerveau et de vastes réseaux artificiels. L’optimisation de ces technologies autorisera la simulation des neurones artificiels grâce à des circuits neuromorphiques à très basse consommation énergétique, et rendra possible, à terme, l’implantation de ces technologies d’hybridation.Audition d’Éric Fourneret lors de la consultation sur l’intelligence artificielle et le transhumanisme organisée par la MGEN et la Commission nationale Française pour l’UNESCO.

Dans ce contexte, et même si l’implantation de dispositifs artificiels dans le corps n’est pas quelque chose de nouveau, les frontières traditionnelles entre ce qui est naturel et artificiel, entre l’homme et la machine, entre le vivant et l’inanimé, deviennent plus ambiguës. Une des principales questions soulevées, si ce n’est la principale à partir de laquelle toutes les autres se posent, est alors la suivante : quelle « forme de vie » la technologie des implants cérébraux peut-elle produire ?

La nature humaine en question

Il n’est toutefois pas question de se laisser embarquer dans une ambition éthique réductrice ne s’attardant que sur les scénarios du pire (collapsologie), ou à l’inverse ne considérant que les scénarios du mieux (discours technoprophétique). On le sait, chaque nouvelle technologie est porteuse de bienfaits pour les êtres humains, tout en nécessitant souvent une transformation sociale (par exemple, pour ajuster le cadre normatif de l’action sociale). Mais elle suscite parfois de vives interrogations quant aux effets indésirables liés à son utilisation, qu’il faudrait gérer moralement, socialement et juridiquement.

De la même manière, le développement d’implants cérébraux nous place sur cette ligne de crête, entre bienfaits et dérives potentielles. En effet, il ne s’agit pas d’intervenir sur un organe quelconque. C’est du cerveau qu’émerge notre sentiment de présence au monde, c’est-à-dire notre conscience. Et d’elle dépend notre capacité à saisir le monde et soi-même au moyen d’un même acte : de penser la frontière entre l’être humain et le monde et, simultanément, de penser l’articulation entre les deux. Or l’hybridation du cerveau avec des dispositifs électroniques possède d’autre part un potentiel d’impact sans précédent dans notre façon de nous représenter l’Homme. Et pour cause…

Il n’existe pas, de façon naturelle, d’êtres humains dont le fonctionnement neurophysiologique du cerveau s’organise sous l’influence de composants électroniques implantés, voire à terme, de réseaux de neurones artificiels. Aussi, cette séparation conceptuelle entre l’inné à l’Homme et les artifices acquis pourrait-elle rendre difficile la catégorisation sociale de l’individu équipé d’un implant cérébral. Ni totalement humain, ni totalement machine, il est un mélange de deux réalités différentes dont le caractère hybride pourrait produire une nouvelle unité humaine dans le corps biologique.

L’implant cérébral, une prothèse parmi d’autres ?

On pourrait objecter qu’il existe d’ores et déjà des prothèses de hanche et des pacemakers. L’implant cérébral est-il si différent de ces dispositifs artificiels qui, socialement, ne posent pas de difficulté particulière ?

On pourrait répondre par la négative. Si l’implant cérébral est socialement perçu comme le prolongement électronique du cerveau d’un individu, de la même manière qu’une jambe prothétique prolonge le corps, alors il n’est pas différent d’une prothèse traditionnelle – la conscientisation de la frontière entre l’Homme et le monde étant maintenue dans son fonctionnement originel. Dans ce cas, l’implant constitue une sorte de projection organique, dans l’acceptation qu’en a faite Canguilhem : ce dispositif artificiel possède un sens biologique, sa fonction consistant à compenser la défaillance d’un organe naturel.

Cela pourrait néanmoins poser problème. Si cette forme d’hybridation se révélait être une instance de régulation et d’organisation du rapport au monde étrangère à celle, originelle, laissant penser à une forme d’hétéronomie (telle l’expérience du cerveau dans une cuve imaginée par le philosophe Hilary Putnam en 1981), elle pourrait être considérée par la société comme une nouvelle corporéité humaine, où la conscience de quelque chose est médiée par le dispositif artificiel. En effet, si le substrat de la pensée s’anime en synergie avec des réseaux de neurones artificiels, la conscientisation de la frontière entre l’Homme et le monde s’artificialise. Or dans ce cas, l’hybridation est susceptible d’être vécue, à tort ou à raison, comme dénaturante. Et cela pourrait conduire à transformer les systèmes de normes et de règles qui encadrent les conduites au sein d’une collectivité composée d’êtres humains hybrides, et d’autres qui ne le sont pas.

Certes, notre contact avec le monde est de plus en plus médié par des artifices, sans aucune référence faite aux implants cérébraux – comme en témoignent les téléphones portables, ordinateurs et autres écrans à travers lesquels on entre en contact avec le réel. Mais comme nous l’avons déjà souligné, avec ces implants, la recherche s’oriente vers une technologie d’hybridation directe entre le cerveau et des réseaux de neurones artificiels. Et dans ces conditions, il importe de se pencher sérieusement sur la façon dont cette technologie peut affecter notre représentation de la « nature humaine ».

Penser l’humanité de la technique et la technicité de l’humanité

L’une des plus importantes caractéristiques de l’Homme est d’avoir inventé et créé des techniques et des technologies pour satisfaire ses besoins et compenser ses vulnérabilités, selon ses facultés et son intelligence, selon sa volonté et ses désirs. Il suffit qu’une chose soit, d’une certaine manière, pour être déterminée dans son développement et dans sa destination. Aussi, que l’être humain soit une espèce technicienne – particularité qu’il partage à des degrés différents, on le sait aujourd’hui, avec d’autres animaux – détermine-t-il sa destination sous la forme d’un effacement de la frontière entre nature et artifice.

Considérant que le monde lui offre des possibilités pour répondre à ses besoins et innover pour s’opposer aux misères de la vie, l’humanité est un entrelacement, de plus en plus serré, de la nature et de la technique. Bien qu’étant autre que la technique, elle habite le monde par et dans la technique. Et son évolution révèle une frontière entre le naturel et l’artifice beaucoup moins catégorique qu’on ne le croit : au cours du temps, elle est devenue de plus en plus poreuse. On ne peut donc pas définir la nature humaine en faisant abstraction des technologies par lesquelles l’humanité habite le monde. Voilà pourquoi, penser les implications éthiques du développement des implants cérébraux consiste à penser ces liens étroits entre l’Homme et la technique.

Cette réflexion, bien entendu, ne s’inscrit pas dans une démarche dogmatique qui prendrait la forme d’une collapsologie ou, à l’inverse, d’une prophétie technologique. Il est en effet du rôle de la philosophie et de l’éthique d’interroger par la seule raison les implications des nouvelles neuro-technologies, en s’en tenant aux faits et non à des scénarios de science-fiction sans fondements dans le réel. Ces faits sont fournis par les neuroscientifiques et par leurs résultats. Voilà pourquoi la séparation, encore trop marquée, entre la réflexion philosophique et les recherches technoscientifiques en cours, est embarrassante et inadéquate dans l’examen des implications éthiques des implants cérébraux.

Pour les étudier, il faudrait bien au contraire une interaction forte et étroite entre, d’une part, les acteurs des sciences humaines et sociales, et d’autre part, les neuro et techno-scientifiques, ingénieurs, informaticiens, biologistes et médecins. C’est ensemble qu’ils devraient poursuivre ce vieux débat à la croisée de tous les savoirs : « Qu’est-ce qu’être humain ? ». Ensemble qu’ils devraient examiner ce qui engage notre condition en tant qu’être humain, et réfléchir aux critères d’évaluation du processus technologique que représentent les implants cérébraux. On peut alors dire que c’est vers l’altérité Homme-Technologie, et non vers une dualité indépassable, qu’il faut se tourner pour mieux connaître et comprendre quels sont les enjeux du développement des implants cérébraux concernant nos représentations de la nature humaine.

Cet article s’inscrit dans la continuité de la consultation publique sur l’intelligence artificielle et le transhumanisme organisée en 2020 par la MGEN et la Commission nationale Française pour l’Unesco. Une partie des auditions menées dans le cadre de cette consultation sont visionnables en ligne.

https://theconversation.com/implants-cerebraux-la-nature-humaine-remise-en-question-136584

https://lilianeheldkhawam.com/2023/06/27/implants-cerebraux-la-nature-humaine-remise-en-question-the-conversation/

56 commentaires:

  1. Premièrement a été lancée une FAUSSE épidémie... de virus !! (poussières !!) avec à la clé l'obligation vaccinale ! Or, il N'EXISTE PAS de vaccin anti-poussières ! et de plus, il faut 10 ou 15 ans pour faire un vaccin, et là... fait en 8 jours !!

    Deuxièmement, malgré le nombre important de placebos (estimés à 75 % la première piqûre, 50 % la seconde, 25 % à la 3 ème et...), les victimes du désastre cérébral l'ont payé cher ! des centaines de millions de morts à travers le monde ! (d'où l'arrivée vite-fait de millions d'immigrés pour 'combler les vides' !). Les 'rescapés' (les pas morts) se sont donc fait inoculer (une ou plusieurs fois !!) des nano-particules d'oxyde de graphène qui prennent le contrôle de ce qu'il ont comme cerveau. Donc si on leur dit "Va te faire inoculer !" ils y vont !! Si on leur dit "Jette toi par la fenêtre !" ils s'y jettent !

    Pas belle la vie ?

    Ce n'est pas plus difficile que çà ! Un suppo dans le cul et çà maaaaarche !!

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  2. L’idéologie du « genre » est la route vers le transhumanisme


    le 29 juin 2023


    Article d’Ella Kietlinska et Jan Jekielek, journalistes auprès de The Epoch Times, du 28 juin 2023. Les inserts entre crochets sont le fait de votre serviteur pour une meilleure compréhension du texte.

    La pression en faveur de l’affirmation du genre au cours des dernières années crée non seulement un marché pour l’industrie de la reproduction technologique, mais constitue également une « rampe vers le transhumanisme », a déclaré un journaliste d’investigation.

    Les soins d’ «affirmation de genre » pour les personnes qui croient que leur identité de genre entre en conflit avec leur sexe à la naissance [le sexe d’un enfant est déterminé lors de la conception] créent un marché très rentable pour l’industrie de la reproduction technologique, qui comprend la congélation des œufs, la maternité de substitution, la manipulation génétique et d’autres technologies, en particulier pour les grandes sociétés pharmaceutiques et les grandes entreprises technologiques, a déclaré Jennifer Bilek, journaliste d’investigation.

    Cependant, l’objectif des transgenres consiste à assimiler les hommes et les femmes tout au long de leur vie, a déclaré Bilek à l’émission « American Thought Leaders » d’Epoch TV. La société occidentale est en train de changer les lois et la langue [émergence de l’idéologie woke] pour effacer les femmes de la langue et déplacer les hommes dans tous les espaces y compris les sports pour les femmes, a-t-elle ajouté. « Ce n’est pas vraiment ce que les gens pensent », a affirmé Bilek. « Ce n’est pas du tout une question de droits de la personne pour les marginalisés. Il est placé sous la bannière du mouvement des droits civiques des LGBT parce que les lesbiennes et les gais auront aussi besoin de techniques de procréation assistée pour qu’ils créent leur propre famille. » « Les droits de l’homme ne viennent pas de la haute société », comme on pourrait s’y attendre en voyant le drapeau transgenre accroché à la Maison-Blanche et à d’autres institutions gouvernementales, a déclaré Bilek. « Les droits de la personne viennent du bas de la société, des organisations de base ».

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  3. Disparition du dimorphisme sexuel

    Le principe fondamental de l’idéologie de genre est le « sexe sur un spectre », a déclaré M. Bilek. « Ils veulent que les gens croient et adoptent la croyance que nous ne sommes pas une espèce sexuellement dimorphe, que nous existons sur un spectre de sexes », a-t-elle expliqué [le spectre sexuel est l’exacte transposition du sigle LGBTQ+]. Ceci est enseigné partout en Amérique dans les écoles, montré dans les films d’Hollywood, et est présent dans les médias, les bibliothèques et les livres, affirme Bilek. Même les formulaires qui demandent aux gens de remplir leur genre offrent une option appelée « X » en plus de « masculin » et de « féminin », a-t-elle ajouté. « Ce qu’ils font, c’est déconstruire systématiquement le sexe au sein de la culture », a affirmé Bilek, l’appelant « une dissolution du dimorphisme sexuel ». « Toute cette sexualisation des enfants autour des LGBT en fait partie ».

    La journaliste a remarqué que l’idéologie de genre n’est pas poussée vers les personnes âgées, elle cible les jeunes, la prochaine génération, a déclaré Bilek. « Parce que vous vous toilettez, beaucoup de gens pensent qu’il s’agit de pédophilie. C’est probablement juste à un certain niveau. Je crois qu’il s’agit davantage de les préparer à de nouvelles intrusions dans leur biologie ». On dit aux enfants que, grâce à la technologie médicale, les garçons peuvent devenir des filles et que les filles peuvent devenir des garçons, si elles le souhaitent, a dit Bilek. « Tous les progrès réalisés en biotechnologie concernent le génie génétique et l’intrusion dans le corps humain. »

    Mme Bilek est préoccupée par l’approbation récente de la nouvelle neurotechnologie d’Elon Musk, qui l’appelle « déchiquetage humain ».

    « C’est une grande intrusion dans notre psychologie et dans notre corps », a-t-elle dit. « Et il y aura de plus en plus de ceci. » La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a approuvé en mai une étude clinique sur les implants cérébraux chez les humains qui serait réalisée par l’entreprise de neurotechnologie Neuralink d’Elon Musk. Selon son site Web, Neuralink cherche à construire « le premier implant neural qui vous permettra de contrôler un ordinateur ou un appareil mobile partout où vous allez ». Musk a déjà indiqué qu’il espérait que l’entreprise aiderait un jour les personnes atteintes de maladies débilitantes, comme les lésions graves de la moelle épinière, la sclérose latérale amyotrophique et d’autres maladies, dont l’obésité, l’autisme, la dépression et la schizophrénie. Il est également optimiste au sujet de cette technologie qui pourrait permettre la navigation web et la télépathie.

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  4. Dysphorie de genre

    Mme Bilek a déclaré que, selon elle, si l’objectif de la transition entre les sexes avait été d’aider les personnes atteintes de dysphorie de genre, cet objectif n’aurait pas été présenté comme un « mode de vie positif ». « Cela n’a aucun sens, mis à part le contexte de la dissolution du dimorphisme sexuel. C’est ce qui se passe ici ». « Les gens ont toutes sortes de dysphories du corps aujourd’hui parce que nous vivons dans un environnement très dissocié », a dit Bilek. Les gens sont dissociés de la terre, de la nourriture et de ses sources, et dissociés les uns des autres par la technologie, en vivant très loin les uns des autres, et en communiquant via des machines, a-t-elle expliqué. « Tout cela est exacerbé par l’épidémie de COVID-19, mais nous ne célébrons pas d’autres identités autour de la dysphorie… comme l’anorexie ou le trouble de l’identité corporelle ».

    L’anorexie est un trouble alimentaire causé par une peur intense de prendre du poids et une perception déformée du poids. Le trouble de l’identité corporelle, c’est lorsqu’une personne a l’impression que ses membres ne lui appartiennent pas.

    Le transgenrisme n’est pas « quelque chose de scientifique ou de réel », a déclaré M. Bilek. « C’est un système de croyances que de faire participer les gens à l’assimilation des hommes et des femmes parce qu’ils vont transférer la reproduction au secteur de la technologie. » « Dans ce cas, les hommes et les femmes ne sont pas pertinents… les systèmes reproducteurs masculins et féminins seront créés par la technologie ». En dehors de cela, la dysphorie du corps n’est pas une bonne raison pour adapter les caractéristiques sexuelles d’un individu à celle du sexe opposé, déclare Bilek. « Ce n’est pas une bonne raison de faire cela pour la société. Cela cause évidemment des ravages et du tort à toutes les personnes concernées ».

    « Des transgenres aux transhumains »

    L’une des personnalités clés dans le développement du transgenrisme est le Dr. Martine Rothblatt, entrepreneur américain, selon Bilek. Mme Rothblatt « a écrit au sujet du transgenrisme comme une rampe d’accès au transhumanisme ». Mme Rothblatt est membre du conseil d’administration de la Mayo Clinic. Elle a dirigé le projet biopolitique de l’Association internationale Bar ( https://www.ibanet.org ) visant à rédiger une Déclaration universelle sur le génome humain et les droits de l’homme pour les Nations Unies. La déclaration a été adoptée par l’UNESCO en 1997 et approuvée par l’Assemblée générale des Nations Unies un an plus tard (

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  5. https://www.unesco.org/en/ethics-science-technology/human-genome-and-human-rights?TSPD_101_R0=080713870fab2000f7ff57921e76e89bee29630a131174bd215d689990fd709fd64acfed0ef9df9f08616c9a1c14300098848649415250f80176ddbaa56705d8124662723d9b2952821e646f268a473adb3e11e872558e4c8f37f2bceca460d7 ).

    Pour Rothblatt, un homme biologique qui s’identifie comme une femme, a-t-elle déclaré sur TED Talks en 2015, et que sa décision de transition a été prise en consultation avec son épouse et ses quatre enfants. « J’ai discuté avec chacun d’eux que je sentais que mon âme était toujours féminine ». Lors d’une conférence organisée par l’Université de Victoria au Canada en 2016, M. Rothblatt a déclaré que de nombreuses personnes choisissent de ne pas être un homme ou une femme et de s’exprimer en fonction de leur sexe.

    La technologie transgenre est très semblable à la technologie transhumaine, la différence étant que le fait de devenir transgenre ne change que la caractéristique sexuelle d’un individu tandis que la technologie transhumaine change la caractéristique génétique d’une personne, Rothblatt a dit dans son discours liminaire à la conférence. Le stade ultime du transhumanisme technologique serait de télécharger l’esprit d’une personne pour pouvoir reproduire sa personnalité et ses souvenirs de choix dans les médias sociaux, a déclaré Rothblatt, auteur du livre « From Transgender to Transhuman : A Manifesto on the Freedom of Form ».

    Rothblatt a dit à TED Talks que les gens pouvaient créer un « fichier mental », qui est « la collection de leurs manières, personnalité, souvenirs, sentiments, croyances, attitudes et valeurs » qu’ils ont déversé sur les médias sociaux. « Que vous vous rendiez compte que vous téléchargez votre esprit ou non, pour la première fois dans l’histoire, de grandes parties de ce qui est dans notre esprit sont en fait stockées en dehors de notre esprit dans des serveurs », a déclaré M. Rothblatt à l’Université de Victoria.

    La technologie pour reconstruire cet esprit téléchargé n’existe pas aujourd’hui, a dit M. Rothblatt, mais toutes les tendances indiquent « qu’il existera avant le milieu de ce siècle ». Rothblatt a imaginé qu’après que le corps de la personne soit « distribué », l’esprit téléchargé peut supposer une caractéristique physique d’une entité vivante utilisant des drones microscopiques, appelés « nanobots », qui sera créée avec l’avancement de la technologie des nanobots. Des milliers de ces nanorobots, comme un essaim, « volent en coordination grâce à un réseau sans fil qui les a tous connectés… serait en mesure d’assumer différentes formes », a déclaré M. Rothblatt à la conférence. Par conséquent Rothblatt a commandé une compagnie d’IA et de robotique pour créer une version robot de la femme ( https://www.hansonrobotics.com/bina48-9/ ). À l’avenir, tout le monde dans le monde « sera en mesure de développer des clones mentaux d’eux-mêmes qui auront leur propre vie sur le web », a déclaré Rothblatt lors de l’événement TED Talk.

    L’une des plus actives activistes du transgenrisme est Jennifer Pritzker. Elle dirige une fondation qui fait des dons aux institutions culturelles qui ont adopté les principes transgenres, elle est un grand moteur de l’idéologie de genre, a déclaré Mme Bilek.

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  6. Jennifer Pritzker ( https://www.forbes.com/profile/jennifer-pritzker/?sh=286fbcd65808 ), milliardaire de Chicago et ancien combattant de l’armée à la retraite, a fait don de 2 millions de dollars en 2016 à l’Université de Victoria pour établir et soutenir une chaire d’études transgenres, a rapporté le Chicago Tribune. Née homme et père de trois enfants, Pritzker a annoncé en 2013 une transition de genre vers une femme. Source : https://www.theepochtimes.com/in-depth-gender-ideology-is-a-road-to-transhumanism-investigative-journalist_5362797.html

    Note de votre serviteur. : Neuralink, oui, mais … On connait de mieux en mieux le fonctionnement du cerveau, cependant le réseau tridimensionnel des neurones connectant diverses régions du cerveau effectuant des tâches précises n’est pas encore connu avec précision. Imaginer des « nanobots » implantés directement dans le cerveau relève encore de la science-fiction. En effet, il faut se placer dans cette réflexion à l’échelle d’un neurone ou d’un réseau de neurones. Un implant interagissant avec un neurone bien identifié. Il y a environ 200 millions d’axones dans le cerveau et le reste du corps (les axones des nerfs moteurs et sensitifs). Un axone remplit la fonction d’un câble sous-marin reliant des centres de télécommunications. L’axone est un véritable câble électrique dont l’isolant est la myéline elle-même tapissée de cellules de Schwann qui assurent le maintien de la conductivité électrique de l’axone connectant des synapses entre eux et le diamètre d’un axone est de l’ordre du micron, hors gaine de myéline. L’idée d’Elon Musk serait d’implanter un dispositif permettant d’engendrer des impulsions électriques au niveau d’un axone afin que la situation soit plus simple. En effet le flux d’électrons le long d’un axone est à sens unique alors qu’au niveau d’un synapse contrôler vers quel dendrite l’impulsion va se transmettre relève du rêve. Pour l’instant on ignore quel est le mécanisme de ce choix au niveau synaptique. Parmi les 200 millions d’axones que compte un cerveau humain des circuits électroniques miniaturisés, comme on sait en graver à l’échelle de quelques nanomètres, seraient très difficiles à implanter de manière spécifique. Le projet Neuralink sera très probablement un échec cuisant, mais on peut toujours rêver. Dans ce domaine je n’entretiens aucun rêve.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/06/29/lideologie-du-genre-est-la-route-vers-le-transhumanisme/

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  7. La France construit un nouvel hôpital militaire en préparation de la guerre


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 30 JUIN 2023 - 11:00
    Via Remix News,


    Lors de son deuxième jour à Marseille, mardi 27 juin, Macron a annoncé qu'un nouvel hôpital militaire serait construit sur le site de Sainte-Marthe d'ici « le début de la prochaine décennie », rapporte CNews.

    Le président français Emmanuel Macron, à gauche, rencontre le maire de Marseille Benoît Payan alors qu'il arrive à l'hôtel de ville pour une visite de trois jours à Marseille, dans le sud de la France, le lundi 26 juin 2023. (Guillaume Horcajuelo/Pool Photo via AP)

    Le président français Emmanuel Macron a annoncé la construction d'un hôpital militaire à Marseille, avec l'installation destinée à "préparer la France à une éventuelle guerre de haute intensité".

    Bien que Macron ait déclaré dans un communiqué que l'hôpital sera en mesure de fournir une gamme de services de santé, il "jouera un rôle clé en cas de guerre majeure", a déclaré le président, ajoutant que "le centre médical de nouvelle génération est destiné à répondre aux besoins de l'armée pour les décennies à venir.

    Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, de plus en plus de pays européens repensent leurs stratégies de combat et développent leurs forces armées.

    De nombreux pays tentent maintenant de se préparer à un éventuel conflit imminent, dans lequel les équipements de combat les plus avancés et les plus puissants, à l'exclusion des armes nucléaires, devraient être déployés. Pour la France, le nouvel hôpital remplira le rôle de pouvoir "traiter les blessés de combat plus graves", selon Macron, qui a déclaré que la construction coûterait au gouvernement 300 millions d'euros.

    Ce ne sera pas le premier hôpital militaire de Marseille. L'hôpital de Laveran fonctionne depuis longtemps, mais les autorités locales estiment qu'il n'est plus assez moderne pour relever les défis de la guerre en Ukraine ou des futurs conflits à venir.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/france-builds-new-military-hospital-preparation-war

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  8. L'université crée un guide linguistique qui efface « l'homme » et « la mère » de l'existence. Vous n'êtes pas autorisé à dire maman et papa ?


    Par Steve Watson
    Recherche mondiale,
    30 juin 2023


    L'Université de Caroline du Nord (UNC) a partagé un guide linguistique «inclusif» , établissant des lignes directrices sur ce que les étudiants et le personnel sont et ne sont pas autorisés à dire.

    Le guide efface essentiellement le mot «homme» de l'existence et décourage l'utilisation des mots «mère» et «père».

    Une déclaration de l'université affirme

    "Carolina s'engage à créer un environnement d'apprentissage inclusif et équitable pour chaque Tar Heel. Pour représenter pleinement la diversité de nos étudiants, de nos professeurs, de notre personnel et de tous les membres de notre communauté, il est important d'utiliser un langage qui appuie ces valeurs.

    Il continue,

    "Ce guide linguistique inclusif peut servir de point de départ pour communiquer d'une manière qui soutient une communauté diversifiée et accueillante."

    Voici ce qui n'est pas autorisé :

    - voir cadre sur site -

    Tout mot contenant 'homme' est jeté à la poubelle.

    De plus… Ne dis pas 'maman', dis 'tuteur'.

    Et ne dites pas "pauvres", dites "des personnes dont les revenus sont inférieurs au seuil de pauvreté fédéral".

    - voir cadre sur site -

    Il y a beaucoup de règles ici…

    - voir cadre sur site -

    N'oubliez pas qu'il existe également une orientation romantique, sauf si vous êtes "aromantique":

    - voir cadre sur site -

    Cette folie sévit dans tout le pays et elle déborde de l'éducation éveillée dans le monde réel.

    https://www.globalresearch.ca/university-creates-language-guide-that-erases-man-mother-from-existence-not-allowed-say-mom-dad/5822857

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  9. Comment fonctionne la désinformation américaine : de Washington à Moscou et retour


    Par Karsten Riise
    Recherche mondiale,
    30 juin 2023


    Sieste une tasse de café - ou un verre de cognac, si vous le souhaitez.

    Parce que voici une histoire très, très intéressante. Méfiez-vous – car cela se transforme en un véritable roman d'espionnage, où vous ne savez jamais qui est vraiment qui, ou pour qui ils prétendent travailler.

    Commencez par l'histoire à la une de CNN aujourd'hui vendredi 30 juin 2023 - une histoire calomniant le général russe Surovikin pour avoir été complice du coup d'État manqué de Wagner samedi dernier 24 juin 2023.

    Après l'insurrection de courte durée, les questions tourbillonnent sur le haut commandant russe et Prigozhin

    Par Ivana Kottasová , Jo Shelley , Anna Chernova et Sophie Tanno , CNN

    L'un est connu sous le nom de "Général Armageddon", l'autre comme "le chef de Poutine". Tous deux ont un passé mouvementé et une réputation de brutalité. L'un a lancé l'insurrection, l'autre l'aurait su d'avance. Et pour le moment, les deux sont introuvables.

    Le commandant de l'armée de l'air russe Sergey Surovikin et le chef Wagner Yevgeny Prigozhin n'ont pas été vus en public depuis des jours alors que des questions tourbillonnent sur le rôle que Surovikin a pu jouer dans la mutinerie de courte durée de Prigozhin.

    Le Kremlin est resté silencieux sur le sujet, se lançant plutôt dans une campagne agressive pour réaffirmer l'autorité du président russe Vladimir Poutine.

    L'histoire de CNN est intéressante non pas pour son contenu, mais pour sa référence à une source "russe", le soi-disant "Moscow Times". Allez sur "Moscow Times" pour trouver la source de l'histoire de CNN sur le général Surovikin, et vous trouverez ceci :

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  10. Sur qui Prigozhin comptait-il pour soutenir sa mutinerie ratée ?

    Par Mikhail Komin, The Moscow Times

    L'un des aspects les plus choquants de la mutinerie du week-end par la société militaire privée Wagner d'Evgueni Prigojine est que les forces armées russes semblent n'avoir pratiquement rien fait pour arrêter les troupes de Wagner alors qu'elles se déplaçaient d'abord des camps de campagne en Ukraine vers la ville de Russie méridionale. Rostov-sur-le-Don, où ils s'emparèrent des principaux quartiers généraux militaires, puis presque jusqu'à Moscou.

    En théorie, ces quartiers généraux - en tant que centre de commandement principal des opérations russes en Ukraine - auraient dû être l'un des sites les plus sécurisés du pays. Pourtant, Prigozhin a pu se faufiler avec sa bande de mercenaires et prendre en otage deux généraux de haut rang : le premier chef adjoint de la direction principale de l'état-major général Vladimir Alekseyev et le vice-ministre de la Défense Yunus-bek Yevkurov.

    Même après qu'une affaire pénale a été ouverte contre Prigozhin, soupçonné d'incitation à l'insurrection armée et que Poutine s'est adressé à la nation, qualifiant les actions de Prigozhin de « coup de poignard dans le dos », il n'y a toujours pas eu de résistance. Il semble que le patron du franc-tireur Wagner ne se trompe peut-être pas dans sa conviction qu'il y a beaucoup de gens au sein des forces armées et des services de sécurité qui sympathisent secrètement avec sa cause.

    L'histoire du "Moscow Times" a été officiellement publiée hier, 29 juin 2023. Elle est détaillée et effectivement intéressante. Beaucoup de noms, de parcours et d'hypothèses. Tout cela peut être vrai – ou non. Lisez attentivement l'histoire du "Moscow Times" jusqu'à la toute fin - et vous verrez la petite note en bas : "Cette histoire a été publiée pour la première fois par le Carnegie Endowment for International Peace". Cliquez ici pour Carnegie , et oui, vous retrouvez la même histoire publiée par Carnegie déjà mardi dernier, 27 juin 2023.

    Mais bon - quelque chose ne va pas ici. Carnegie à Moscou a été fermée en tant qu'agent étranger par les autorités russes déjà le 8 avril 2022, il y a plus d'un an. Vous faites ensuite défiler vers le bas de la page Carnegie avec «l'histoire russe» sur les «généraux», et vous trouvez l'adresse de Carnegie au bas de la page Web. Ça dit : « 1179 Massachusetts Avenue NW, Washington DC » !!

    Ainsi, "l'histoire de Surovikin" de CNN a été concoctée à Washington DC. Après avoir été préparée à Washington, l'histoire a ensuite été envoyée à la « Russie » ou plutôt au « Moscow Times », qui peut en fait également être écrit de Washington (qui sait). Et du "Moscow Times" à "Russie", l'histoire a ensuite été "renvoyée" aux États-Unis pour être publiée par CNN comme étant basée sur des sources "russes" (résidant à Washington, en fait).

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  11. Bonne histoire.

    Cela en dit long sur le fonctionnement de la machine de désinformation et de relations publiques des États-Unis. CNN aurait tout aussi bien pu faire référence à Carnegie à Washington DC comme leur source "russe" - mais cela aurait immédiatement révélé les origines américaines profondes de l'histoire de CNN. Au lieu de cela, CNN a caché l'origine de leur histoire et a prétendu qu'elle était basée sur des sources à Moscou - ce qui n'est pas le cas. Tout cela n'empêche pas une partie de cette histoire d'être vraie ou partiellement vraie. Comme on le sait, la désinformation fonctionne mieux lorsque les mensonges se mêlent aux vérités. Tout ce que nous pouvons dire, c'est que la CIA et l'État profond américain travaillent sans relâche pour éliminer l'un des généraux les plus efficaces de Russie, le général Surovikin. Le New York Timesa d'abord "cassé" l'histoire de Surovikin basée sur des "responsables américains", qui n'auraient pu être rien d'autre que la CIA. En fait, la CIA a probablement informé les dirigeants du Congrès (le "Congrès intérieur" ou Gang des Huit) de la tentative de coup d'État imminente en Russie déjà la semaine dernière, le mercredi 21 juin 2023, trois jours avant qu'elle ne se produise. Le New York Times a ensuite affirmé que le général Surovikin avait "disparu" ou avait été "détenu". Tout cela malgré le porte-parole du Kremlin, Peskov, qui a déclaré que ce ne sont que des "rumeurs". Et maintenant, CNN, avec l'aide secrète de Carnegie, "suit" en attaquant la loyauté, l'honnêteté et l'intégrité du général Surovikin.

    Il faut beaucoup d'efforts pour détruire un général ennemi. Normalement, vous devez soit avoir de la chance pour bombarder son quartier général, soit envoyer un commandement des forces spéciales hautement qualifié pour une opération de frappe. Mais parfois, vous avez une chance rare d'essayer de détruire un général ennemi de manière "pacifique". Ou plutôt, vous emmenez la guerre dans un domaine de guerre « pacifique »… comme la presse.

    *

    Karsten Riise est titulaire d'un Master of Science (Econ) de la Copenhagen Business School et d'un diplôme universitaire en culture et langues espagnoles de l'Université de Copenhague. Il est l'ancien vice-président directeur financier (CFO) de Mercedes-Benz au Danemark et en Suède.

    https://www.globalresearch.ca/how-us-disinfo-works-from-washington-to-moscow-back/5824279

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  12. Décision de la Cour suprême « action positive » : un effort pour préserver le statut d'une minuscule élite


    Par Libération
    Recherche mondiale,
    30 juin 2023


    La Cour suprême a porté aujourd'hui un coup dévastateur à l'un des outils les plus importants disponibles pour lutter contre la ségrégation intense ressentie dans presque tous les domaines de la société : l'action positive. La décision d'aujourd'hui dans les poursuites intentées contre Harvard et l'Université de Caroline du Nord met effectivement fin à cette pratique dans l'enseignement supérieur sur la base du raisonnement profondément ironique selon lequel elle viole la clause de protection égale du 14e amendement. L'assurance de l'opinion majoritaire que "rien n'interdit aux universités de tenir compte de la discussion d'un candidat sur la manière dont la race a affecté la vie du candidat" - ce qui signifie qu'elle n'interdit pas à un candidat, par exemple, de mentionner le fait qu'il est noir dans un essai personnel - n'a aucun sens face à l'atteinte historique à l'égalité raciale que constitue le reste du pouvoir.

    Dans une déformation scandaleuse de l'histoire, les six juges de droite qui ont voté pour cette décision l'ont présentée comme faisant partie d'un long héritage de décisions qui ont supprimé la discrimination raciale de la loi, comme Brown v. Board of Education et Loving v. Virginia . Les politiques adoptées par les institutions éducatives, ou toute autre institution puissante, ne peuvent être comprises en dehors de leur contexte social et historique.

    Des décisions comme Brown et Loving ont contribué à renverser le système politique explicitement suprématiste blanc qui était en place depuis la fondation du pays. Dans ces cas, bien sûr, la demande était d'annuler les références explicites à la race dans la loi. Mais l'égalité juridique formelle ne se traduit pas par elle-même en égalité sociale. Les communautés noires, latinos et autres opprimées restent surreprésentées dans les emplois les moins bien rémunérés, les quartiers les plus négligés et les écoles les plus sous-financées. C'est pour répondre à cette réalité que des programmes d'action positive ont commencé à être mis en œuvre dans les années 1960 et 1970, visant à garantir une représentation notamment dans les établissements d'enseignement.

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  13. Les opposants à l'action positive prétendent défendre les étudiants blancs pauvres et de la classe moyenne qui, selon ces droites, sont victimes de «racisme inversé». Mais les six juges millionnaires qui ont statué sur cette affaire ne se soucient pas des étudiants de la classe ouvrière de n'importe quelle race - et les donateurs ultra-riches qui financent l'organisation faussement nommée "Students for Fair Admissions" qui est le plaignant dans l'affaire. Ce que cette décision vise vraiment, c'est de conserver les privilèges d'une petite élite.

    Le tribunal n'a rien dit sur la pratique de Harvard des «admissions héritées», par exemple. Entre 2014 et 2019, le taux d'acceptation global pour Harvard était de 6 %. Mais pour les candidats hérités dont les membres de la famille ont également fréquenté Harvard, le taux d'acceptation était de 33 %. Pour la petite poignée de familles extrêmement riches et blanches qui ont régné sur ce pays pendant des siècles, les prestigieuses institutions d'enseignement supérieur ne sont que pour elles. Leurs enfants obtiennent tous les avantages du monde dès leur naissance. L'admission d'étudiants noirs et latinos ainsi que l'admission d'étudiants blancs pauvres est un affront à l'ordre social inégal qu'ils considèrent comme naturel et donné par Dieu. Ils sont également horrifiés par les propositions visant à rendre l'enseignement supérieur gratuit et à annuler la dette étudiante.

    Comment l'action positive a été gagnée - et a été attaquée

    L'apartheid Jim Crow aux États-Unis a pris fin à cause de la lutte héroïque du mouvement de libération des Noirs dans les années 1950 et 1960 qui a profondément ébranlé la classe dirigeante et l'a forcée à adopter une forme de gouvernement plus démocratique. Souvent, c'est la lutte des étudiants existants qui a forcé les universités à adopter des politiques d'action positive. Par exemple, les grèves étudiantes du tiers monde à l'UC Berkeley et à l'université d'État de San Francisco en 1968 et 1969 - dirigées par une organisation d'étudiants révolutionnaires appelée Front de libération du tiers monde - ont conduit à certains des premiers programmes d'action positive dans le pays et à la création des premiers programmes d'études ethniques.

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  14. Alors que la ségrégation légale a été déracinée avec l'adoption du Civil Rights Act de 1964 et du Voting Rights Act de 1965, la lutte de libération des Noirs a commencé à se concentrer sur les revendications d'une transformation sociale encore plus radicale. Les Blancs latinos, autochtones, asiatiques et progressistes sont également entrés dans la lutte en grand nombre et ont menacé le système capitaliste lui-même. De nombreuses institutions se sont senties obligées d'accepter les demandes d'instituer des politiques d'action positive.

    Mais ce qui s'est passé ensuite illustre une vérité fondamentale sur les concessions obtenues dans le cadre du système existant : tout gain progressif obtenu peut être retiré. En 1978, la Cour suprême a rendu la décision Bakke , qui a affaibli l'action positive en interdisant l'utilisation de quotas. L'inclusion de la race comme un facteur parmi d'autres dans les processus d'admission a été confirmée dans les décisions ultérieures, mais sur une base de plus en plus étroite. La décision Grutter de 2003 a suggéré arbitrairement que dans 25 ans, les programmes d'action positive ne seront plus nécessaires, et la décision Fisher de 2016 a imposé la norme juridique de « contrôle strict » aux programmes existants.

    Ce qu'il faut en ce moment, c'est en fait une expansion massive de l'action positive, et non son interdiction de facto. Un programme national complet d'action positive véritablement capable de déraciner l'inégalité raciale garantirait que les étudiants noirs, latinos et autochtones qui sont soumis à la pire pauvreté dans ce système soient les principaux bénéficiaires, par opposition aux couches de classe qui sont soumises à des matières moins extrêmes. privation. Et cela devrait être appliqué non seulement dans l'éducation, mais aussi dans le logement, le marché du travail et d'autres domaines clés de la société.

    https://www.globalresearch.ca/affirmative-action-ruling-effort-preserve-status-tiny-elite/5824239

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  15. C'est vraiment terrifiant


    De James G. Rickards
    Recherche mondiale,
    30 juin 2023


    Le « coup d'État » en Russie est terminé, mais il y a actuellement une évolution très inquiétante en Ukraine qui devrait effrayer tout le monde.

    C'est le risque croissant d'une guerre nucléaire. Je ne suis pas hyperbolique.

    Décomposons tout cela…

    Le président Biden accuse le président russe Vladimir Poutine de se préparer à utiliser des armes nucléaires tactiques en Ukraine.

    La théorie est que si la Russie est en danger d'effondrement militaire en Ukraine, Poutine aura recours à l'utilisation d'armes nucléaires tactiques en désespoir de cause.

    Mais vous pouvez fondamentalement exclure cela parce que la Russie ne perd pas la guerre en Ukraine. En fait, il gagne la guerre et continue de prendre de l'ampleur.

    La Russie écrase l'offensive ukrainienne tant attendue et progresse ou maintient la ligne dans d'autres secteurs.

    Pendant ce temps, les usines d'armement russes produisent des quantités massives d'armes et de munitions tandis que l'Occident gratte le fond du baril pour trouver suffisamment d'armes et de munitions à envoyer en Ukraine.

    C'est une guerre d'usure et il n'y a aucun moyen pratique pour l'Ukraine de gagner cette guerre.

    Alors pourquoi Poutine aurait-il besoin d'utiliser des armes nucléaires ?

    La réponse, bien sûr, est qu'il ne le ferait pas. Il gagne la guerre.

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  16. Maîtrise de l'épée nucléaire
    Mais de tels avertissements concernant l'utilisation d'armes nucléaires par Poutine ne sont pas nouveaux. Biden accuse la Russie de menacer d'utiliser des armes nucléaires depuis le début de la guerre en février dernier.

    Un certain recul est nécessaire pour évaluer cette affirmation. Pour mémoire, les États-Unis sont le premier et le seul pays à avoir mené une guerre nucléaire, ce qu'ils ont fait entre le 6 et le 9 août 1945, tuant environ un quart de million de civils.

    Poutine a clairement indiqué que la Russie n'utiliserait pas d'armes nucléaires à moins que les États-Unis ou les alliés de l'OTAN ne le fassent d'abord.

    Les États-Unis n'ont pas fait d'engagement similaire.

    Biden a basé son évaluation de la menace sur le fait que Poutine a récemment déplacé des armes nucléaires tactiques vers son allié, la Biélorussie, qui est plus proche de Kiev.

    C'est vrai, mais cela ignore commodément le fait que les États-Unis ont placé des armes nucléaires en Allemagne, que le Royaume-Uni et la France sont des puissances nucléaires à part entière et que des sous-marins et des destroyers de la marine américaine équipés de missiles nucléaires sont déployés autour de la Russie.

    La Biélorussie possédait également des armes nucléaires lorsqu'elle faisait partie de l'Union soviétique avant 1991. En bref, il n'y avait rien de particulièrement provocateur dans la décision de Poutine par rapport au positionnement antérieur et au déploiement américain de bombes nucléaires.

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  17. Folie !

    Ce qui est provocateur, c'est un article récent de Michael Rubin, un ancien responsable du Pentagone et maintenant chercheur résident à l'American Enterprise Institute, un groupe de réflexion basé à Washington, DC.

    Rubin a recommandé que les États-Unis fournissent eux-mêmes des armes nucléaires tactiques aux Ukrainiens.

    La justification est une version de la doctrine de destruction mutuelle assurée, MAD, qui a maintenu la stabilité entre les États-Unis et l'ex-Union soviétique (en réalité la Russie) pendant la guerre froide.

    L'idée est que si chaque camp a suffisamment d'armes nucléaires pour survivre à une première frappe de l'autre et lancer une deuxième frappe de son côté, alors aucun des deux camps ne déclenchera une guerre nucléaire car il serait détruit à son tour.

    La doctrine MAD a du mérite sous réserve d'une longue liste de conditions comprenant de grands arsenaux, des procédures de commandement et de contrôle sécurisées, une bonne communication entre les protagonistes (comme la «hot line») et un leadership rationnel des deux côtés.

    Aucune de ces conditions ne s'applique à l'Ukraine. Il aurait un arsenal modeste (pas suffisant pour survivre à une première frappe), un commandement et un contrôle faibles, n'aurait presque aucune communication avec la Russie et aurait un leadership désespéré et peu sûr.

    C'est presque comme si la proposition de Rubin était conçue pour forcer Poutine à attaquer n'importe quelle capacité nucléaire ukrainienne afin de justifier l'escalade par les États-Unis et d'obtenir des bottes américaines et de l'OTAN sur le terrain en Ukraine.

    C'est un court chemin vers la troisième guerre mondiale. Toute discussion sur la fourniture d'armes nucléaires à l'Ukraine est irresponsable.

    L'idée de Rubin pourrait être à l'origine du plan de Poutine visant à déplacer des armes nucléaires en Biélorussie afin de dissuader les États-Unis d'aller plus loin.

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  18. Bien sûr, les actions de Poutine en Biélorussie sont un exemple d'escalade, ce qui pourrait être exactement ce que voulaient Rubin et les autres fauteurs de guerre aux États-Unis.

    En termes simples, l'idée de Rubin est imprudente et rapproche le monde de la guerre nucléaire.

    Lorsque vous entendez Biden parler de la menace de Poutine d'utiliser des armes nucléaires, il est essentiel de garder à l'esprit que les États-Unis sont la véritable menace et agissent dans le but d'intensifier la guerre et d'entraîner l'OTAN dans une guerre directe avec la Russie.

    L'Ukraine mènera-t-elle une attaque sous faux drapeau contre une centrale nucléaire ?
    Mais ce n'est pas tout. Il est possible qu'une Ukraine de plus en plus désespérée tente d'organiser une attaque sous faux drapeau contre la centrale nucléaire de Zaporizhzhia (ZNPP) dans la région de Kherson et blâme la Russie.

    Le président ukrainien Zelenskyy et le chef des services de renseignement ukrainiens ont récemment mis en garde contre une éventuelle attaque russe contre la centrale.

    En d'autres termes, ils pourraient mettre en place les conditions d'une attaque sous fausse bannière.

    "Vous voyez, nous vous avions prévenu que cela arriverait !"

    Une telle attaque pourrait potentiellement propager des radiations nucléaires dans toute la région et peut-être au-delà.

    Ce ne serait pas au niveau de Tchernobyl parce que la centrale fonctionne à une capacité beaucoup plus petite que Tchernobyl.

    Néanmoins, cela serait considéré comme un crime de guerre inacceptable par la Russie, ce qui déclencherait l'indignation internationale et ouvrirait la voie à une intervention directe de l'OTAN.

    Incidemment, le ZNPP est actuellement sous contrôle russe, mais une grande partie du territoire environnant est toujours détenue par les Ukrainiens.

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  19. Comment une attaque contre la plante pourrait-elle se dérouler ? Voici quelques détails supplémentaires :

    L'Ukraine (sous la direction des États-Unis et avec l'aide des États-Unis) pourrait envoyer une équipe de commandos sur place, placer des explosifs lourds, puis les faire exploser de manière à provoquer une fusion partielle et un dégagement de radiations.

    Les vents dominants transporteraient les radiations en direction de la Roumanie, de la Pologne et de la Slovaquie, qui sont toutes membres de l'OTAN.

    Une fois que les radiations auront atteint ces pays, elles seront considérées comme une "attaque" contre les membres de l'OTAN.

    Cela déclenchera l'article 5 du traité de l'OTAN, qui stipule qu'une attaque contre l'un est une attaque contre tous.

    En fait, les sens. Lindsey Graham et Richard Blumenthal viennent de proposer une législation stipulant que l'utilisation d'armes nucléaires russes en Ukraine serait considérée comme une attaque directe contre l'OTAN.

    Bombarder une centrale nucléaire n'est pas la même chose qu'employer des armes nucléaires tactiques, mais pensez-vous vraiment qu'ils feraient cette distinction ?

    Le déclencheur de l'article 5 fournirait une couverture juridique aux États-Unis, au Royaume-Uni, à la France, à l'Allemagne et au reste de la coalition pour envoyer des troupes en Ukraine pour soutenir l'offensive défaillante.

    La prochaine étape serait un combat direct entre les troupes américaines et russes. Et c'est une passerelle directe vers la troisième guerre mondiale.

    Est-ce vraiment un non-sens complotiste ?

    Vous pourriez rejeter tout ce discours comme un non-sens complotiste. Après tout, pourquoi l'Ukraine voudrait-elle créer un grave accident nucléaire sur son propre sol ?

    Je voudrais juste vous rappeler qu'il existe des preuves crédibles (selon les services de renseignement allemands) que les agences de sécurité ukrainiennes étaient responsables de la destruction du gazoduc Nord Stream 2, le plus grand acte d'éco-terrorisme jamais commis.

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  20. En toute honnêteté, il existe également des preuves crédibles que les États-Unis ont mené l'attaque, il se peut donc que ce ne soit pas l'Ukraine. Mais cela reste une possibilité légitime.

    Il est également probable que l'Ukraine ait détruit le barrage hydroélectrique de Nova Kakhovka au début du mois dans le but de saper la position de la Russie dans la région.

    Le résultat a été une catastrophe environnementale.

    Comme pour Nord Stream 2, il n'y a aucune preuve définitive que l'Ukraine était responsable. Bien sûr, comme pour le pipeline, l'Ukraine a blâmé la Russie.

    Bien qu'il soit possible que la Russie l'ait fait, la Russie risquait de perdre beaucoup plus que l'Ukraine à cause de la destruction du barrage et des inondations qui ont suivi.

    Si vous étiez détective, l'Ukraine serait votre principal suspect.

    En supposant que l'Ukraine soit responsable à la fois de l'incident de l'oléoduc et du barrage, serait-il hors de question qu'elle organise un incident nucléaire si cela signifiait amener l'OTAN directement dans la guerre ?

    Je ne pense pas que ce serait le cas.

    Encore une fois, je n'ai aucune preuve que l'Ukraine était réellement responsable de la destruction de l'oléoduc ou du barrage. Mais c'est une possibilité raisonnable.

    C'est pourquoi vous ne devriez pas exclure la possibilité d'une attaque sous fausse bannière contre la centrale nucléaire.

    Encore une fois, l'Ukraine devient désespérée et les temps désespérés appellent des mesures désespérées.

    Donc, s'il y a une attaque contre la centrale nucléaire de Zaporizhzhia dans les jours à venir, vous saurez qui en est responsable.

    Vous saurez également que le monde est un pas de plus vers la guerre nucléaire.

    *

    James G. Rickards est l'éditeur de Strategic Intelligence , Project Prophesy , Crash Speculator et Gold Speculator . Il est un avocat, économiste et banquier d'investissement américain avec 40 ans d'expérience dans les marchés de capitaux à Wall Street. Il a été le principal négociateur du sauvetage de Long-Term Capital Management LP (LTCM) par la Réserve fédérale américaine en 1998. Ses clients comprennent des investisseurs institutionnels et des directions gouvernementales.

    https://www.globalresearch.ca/this-actually-terrifying/5824272

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  21. Le soutien hautement préjudiciable et irrationnel apporté par le Premier ministre britannique Tony Blair à l'invasion de l'Irak, entraînant la destruction et la déstabilisation d'un pays et la mort et la ruine de plusieurs centaines de milliers de personnes, directement et indirectement, en est un exemple flagrant. À cette époque, Tony Blair avait fourni un tel soutien non rationnel et irréfléchi à l'invasion menée par les États-Unis qu'il était largement qualifié de caniche de Bush dans son propre pays.

    Même plus tôt, les principaux pays européens s'étaient entendus dans la destruction et la désintégration de l'ex-Yougoslavie par les États-Unis, soulevant de sérieuses questions sur la prise de décision bien informée en Europe, même pour protéger la sienne. Ici, nous avons pu voir que même sur des questions au sein de l'Europe, il y avait une conduite hautement discutable et non rationnelle de la part des principaux pays européens et même les médias soi-disant indépendants ont joué un grand rôle dans la diffusion de mensonges et de demi-vérités, ce qui rend difficile le règlement pacifique des problèmes. .

    Encore plus tôt, lorsqu'il y avait eu des suppressions de groupes de gauche dans des pays comme l'Italie, la France et la Grèce, qui avaient fait partie de la résistance courageuse contre les nazis, plusieurs gouvernements s'étaient entendus.

    Après la désintégration de l'URSS, lorsque la violation des promesses de l'OTAN a commencé à s'étendre vers l'Est et a ensuite été très proche d'encercler la Russie, l'Europe s'est à nouveau entièrement complice, malgré les graves menaces à la paix mondiale et à la paix européenne liées à cela. Les hauts dirigeants des principaux pays européens ont eux-mêmes déclaré qu'ils n'utilisaient les accords de Minsk que pour donner à l'Ukraine le temps de s'armer adéquatement (pour faire face à la Russie).

    Lorsque Nord Stream a explosé et que les révélations de Hersh avaient déjà été largement discutées, les gouvernements et même les médias semblaient éviter tout le temps la vérité la plus probable.

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  22. Cela nous amène à la situation actuelle où un nombre croissant d'Européens ont le sentiment qu'en termes de satisfaction de leurs besoins énergétiques, on leur a refusé les choix appropriés, et probablement un nombre moindre mais néanmoins significatif de personnes pensent également (mais ne peuvent pas affirmer) que la voie du cessez-le-feu et de la paix est la meilleure voie à suivre pour résoudre la crise ukrainienne (et non la voie consistant à envoyer sans cesse de plus en plus d'armes à l'Ukraine).

    Le point commun à toutes ces situations qui représentent des exemples importants d'échec de la politique européenne est le fait que toutes ces politiques impliquaient la nécessité d'accompagner le rôle attendu de l'Europe par les USA. Il semble donc que si l'Europe veut éviter de tels échecs politiques à l'avenir et opter plutôt pour une prise de décision rationnelle, alors c'est une relation qui devrait être réglée - l'Europe devrait être en mesure d'agir indépendamment de toute pression ou attente des États-Unis, indépendamment des bases militaires et même des déploiements d'armes nucléaires que les États-Unis ont dans de nombreux pays européens et malgré le fait que la plupart des pays européens sont membres de l'OTAN.

    Quand Emmanuel Macron , le président français, a déclaré en revenant d'une récente tournée en Chine que les pays européens ne devraient pas être comme des vassaux des États-Unis, ne devraient pas être entraînés dans une guerre avec la Chine et devraient pouvoir exercer une autonomie stratégique, il y avait des voix de protestation au sein de l'Europe mais aussi de soutien. Il est probable que le soutien à ce point de vue soit plus large que ce que nous voyons s'exprimer plus ouvertement. Tout en parlant de ce soutien plus large, le président du Conseil européen et ancien Premier ministre belge, Charles Michel , a déclaré : « beaucoup pensent vraiment comme Macron ».

    Plus provocateur bien que moins rapporté était le commentaire du professeur Yanis Varoufakis qui, en tant qu'ancien ministre des finances de la Grèce au moment d'une grave crise économique, avait gagné beaucoup de respect pour avoir résisté aux politiques inutiles des grands patrons de l'Union européenne. Il a déclaré,

    « Ce n'est pas que l'Union européenne soit un vassal des États-Unis. C'est pire qu'un vassal. Les vassaux avaient une certaine autonomie sous le féodalisme. Nous sommes des serfs. Nous ne sommes même pas des serfs, qui avaient certains droits sous le féodalisme.

    Cependant, si des mots comme vassal ou serf doivent être utilisés pour les principaux pays européens ou pour l'Union européenne, alors quel serait vraiment le statut auquel l'Ukraine est réduite, du moins par rapport à certains grands pays européens, vassal de vassal ou serf de serf ?

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  23. L'Europe aimera-t-elle être une partie, un allié proche de toute future guerre des États-Unis contre la Chine ? Ou aimerait-il être un allié des États-Unis dans une future guerre aussi injuste et destructrice que l'a été l'invasion de l'Irak ? La plupart des gens en Europe ne sont peut-être pas du tout satisfaits de cela, mais certaines sections, par exemple les grands capitalistes ou l'industrie de l'armement ou les politiciens proches de ces sections, peuvent opter pour cela pour leurs raisons étroites. Ainsi, bien que la majorité des gens n'y soient pas favorables, l'Europe pourrait à nouveau être étroitement impliquée dans des guerres hautement destructrices.

    Après toutes les énormes destructions des deux premières guerres mondiales qui étaient centrées en Europe, personne en Europe ne voudrait la possibilité d'une troisième guerre centrée à nouveau en Europe. Néanmoins, le fait demeure que d'éminents experts ont mis en garde contre l'escalade du conflit ukrainien en une guerre nucléaire et une troisième guerre mondiale.

    La leçon la plus importante de l'histoire en Europe est que les guerres d'agression finissent par se révéler elles aussi autodestructrices. Cette leçon ne doit pas être ignorée ou négligée.

    Du 16 au 20siècle, l'Europe a été au centre des invasions et des guerres les plus destructrices du monde, des guerres bien plus destructrices que celles qu'avaient déclenchées les pires envahisseurs des siècles précédents, liées aussi aux pires formes de pillage et d'exploitation prolongées sur de très longues années. L'écrasante majorité des autochtones de continents entiers d'Amérique et d'Australie ont été décimés. L'un des commerces d'esclaves les plus barbares et les plus importants s'est déchaîné. La marche du progrès s'est brutalement brisée à travers de vastes nations, y compris des civilisations très anciennes, pour les plonger dans la guerre et la famine. La précipitation et la concurrence féroce pour le pillage de terres lointaines ont finalement (et inévitablement) conduit à des affrontements internes au sein de l'Europe, plongeant le continent dans deux guerres mondiales, infligeant une destruction et une détresse indicibles à ses nations les plus puissantes, ainsi qu'à une grande partie du reste du monde.

    Cependant, même en quittant plusieurs colonies, l'Europe a infligé de lourdes destructions évitables à nombre d'entre elles. Alors que les années d'après-guerre ont été consacrées à juste titre à la reconstruction, à l'intensification de la coopération interne et au progrès économique, plusieurs pays européens sont également devenus des membres volontaires de l'ordre néocolonial dominant qui a continué à mal exploiter les pays du Sud en matière de commerce, de dette et bien d'autres choses encore. . Les principaux pays européens ont continué à participer aux invasions et aux projets de renversement de la démocratie du nouveau patron mondial américain, ou du moins n'ont rien fait pour s'y opposer. Ainsi, certains grands pays européens ont joué un rôle important dans la destruction de pays comme l'Irak, l'Afghanistan et la Libye, ou dans le renversement de gouvernements démocratiques dans plusieurs pays.

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  24. *

    Bharat Dogra est l'organisateur honoraire de la Campagne pour sauver la Terre maintenant. Ses livres récents incluent Planet in Peril, A Day in 2071, Protecting Earth for Children et Earth without Borders.

    https://www.globalresearch.ca/europe-strategic-auto

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  25. Et si tous les travailleurs pouvaient être indépendants…

    Vers une fin de l’indépendance pour les travailleurs de plateformes dans l’Union Européenne ? La nouvelle directive approuvée par les eurodéputés pourrait remodeler le paysage du travail indépendant… au péril de l’innovation.


    Jean-Philippe Delsol
    le 1 juillet 2023
    Un article de l’Iref-Europe


    Livreurs à vélo, chauffeurs VTC, professeurs ou psychologues…

    Dans l’Union européenne, environ 28 millions de personnes travailleraient sous le statut d’indépendant pour des plateformes comme Deliveroo, Bolt ou Uber. Elles pourraient être 43 millions en 2025. Fonctionnaires et élus européens, surprotégés, ne peuvent pas imaginer que des travailleurs préfèrent leur indépendance au risque de leur inquiétude, être le loup plutôt que le chien de la fable.

    La technocratie européenne s’évertue à tuer l’innovation

    Les eurodéputés ont validé en février dernier une proposition de directive, publiée par la Commission le 9 décembre 2021, puis retravaillée et présentée par le Conseil européen début juin à l’effet d’améliorer les conditions de travail des travailleurs des plateformes.

    Alors qu’aujourd’hui, ceux-ci doivent démontrer qu’ils sont, le cas échéant, salariés, si cette directive aboutit, les travailleurs seront légalement présumés être des salariés si dans leur relation avec une plateforme numérique celle-ci remplit au moins trois des sept critères énoncés dans la directive, à savoir que la plateforme :

    Détermine les plafonds du niveau de rémunération

    Exige de la personne exécutant un travail via une plateforme qu’elle respecte des règles spécifiques en matière d’apparence, de conduite à l’égard du destinataire du service ou d’exécution du travail
    Supervise l’exécution du travail, y compris par des moyens électroniques
    Restreint, notamment au moyen de sanctions, la liberté d’organiser son travail en limitant la latitude de choisir ses horaires ou ses périodes d’absence
    Restreint, notamment au moyen de sanctions, la liberté d’organiser son travail en limitant la latitude d’accepter ou de refuser des tâches
    Restreint, notamment au moyen de sanctions, la liberté d’organiser son travail en limitant la latitude de faire appel à des sous-traitants ou à des remplaçants
    Restreint la possibilité de se constituer une clientèle ou d’exécuter un travail pour un tiers.

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  26. Cette directive veut donc imposer de nombreuses obligations aux plateformes pour garantir les nouveaux droits des « travailleurs ».

    Peu à peu, la technocratie européenne s’évertue à tuer l’innovation et préserver son vieux monde. Elle rend plus chers les services qui venaient augmenter le pouvoir d’achat de tous. Mais surtout, elle viole les droits élémentaires de chacun à travailler selon ses choix.

    L’Europe ne comprend pas que certains salariés préfèrent être « indépendants »
    Et elle refuse de comprendre que le meilleur accomplissement humain est dans la liberté et la responsabilité individuelles.

    Elle devrait se ressourcer dans la lecture de Hyacinthe Dubreuil.

    Il y a déjà plus d’un siècle, cet ouvrier syndicaliste CGT d’origine, mais chrétien, prônait la transformation du travail salarié en travail indépendant. Il voulait individualiser la situation de chacun en fonction de ses qualités propres. « Notre désordre actuel, ajoutait-il, provient de toute évidence, du fait que l’on veut soumettre l’individu aux lois du groupe en ignorant les siennes ».

    Il proposait donc que les entreprises soient organisées en petits ateliers autonomes pour réaliser des tâches successives de fabrication avec des équipes dont les membres seraient rémunérés en fonction de l’efficacité de leur organisation. Les individus seraient ainsi maîtres et responsables de leur travail autant que de leur rémunération. Il voulait en fait que les salariés puissent disposer des moyens d’accomplir leur existence « sur les trois plans économique, intellectuel et moral ». Ce qui supposait pour lui qu’on leur rende leur autonomie et la responsabilité de leur travail. C’est précisément ce que peuvent trouver les individus dans le travail indépendant.

    L’Europe aime les fonctionnaires et les salariés. Elle ne comprend pas que certains préfèrent être « indépendants », travailler pour leur compte. Parce qu’elle aime ceux qui ont besoin de sa protection, pas ceux qui aimeraient s’en passer. Elle voudrait donc que tous soient salariés, ou le plus grand nombre. Dans l’esprit collectiviste ambiant qui l’anime désormais, elle n’a de cesse de vouloir remettre tous les travailleurs sous le statut du salariat, soumis à des règles uniformes et publiques.

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  27. Au motif de les protéger tous, il s’agit de les assujettir tous à un même moule ; de les obliger à s’assurer auprès d’une sécurité sociale très onéreuse et peu efficace ; de les empêcher de souscrire des retraites par capitalisation pourtant plus protectrices ; de les soumettre à des conventions collectives plutôt qu’à des contrats qu’ils pourraient librement négocier.

    Il est prévu que la directive entre en vigueur en 2025. Mais la négociation n’est pas encore achevée. Souhaitons que l’Europe retrouve ses esprits d’ici là.

    https://www.contrepoints.org/2023/07/01/459090-et-si-tous-les-travailleurs-pouvaient-etre-independants

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  28. L’USDA approuve la première viande produite en laboratoire aux États-Unis, mais les scientifiques et les experts en sécurité alimentaire ne sont pas convaincus par ce produit

    Le ministère américain de l'agriculture a approuvé mercredi la vente de viande produite en laboratoire pour la première fois, donnant à deux entreprises californiennes de technologie alimentaire le feu vert pour vendre du poulet cultivé en laboratoire à partir de cellules animales.


    Par Brenda Baletti
    Mondialisation.ca, 30 juin 2023
    The Defender 23 juin 2023


    Le ministère américain de l’agriculture (USDA) a approuvé mercredi la vente de viande produite en laboratoire pour la première fois, donnant à deux entreprises californiennes de technologie alimentaire le feu vert pour vendre du poulet cultivé en laboratoire à partir de cellules animales, a rapporté l’Associated Press (AP).

    L’autorisation accordée à Upside Foods et Good Meat – les deux premières entreprises à passer par le processus d’approbation réglementaire – fait des États-Unis le deuxième pays au monde, après Singapour, à autoriser la vente de viande produite en laboratoire ou “cultivée”.

    La viande est fabriquée à partir de cellules provenant d’un animal vivant, d’un œuf fécondé ou d’une “banque spéciale de cellules stockées” et cultivées dans des cuves en acier. Au fil des semaines, il se transforme en feuilles ou en masses, selon l’entreprise, de muscle et de tissu conjonctif qui sont ensuite façonnés en forme d’escalopes de poulet et de saucisses, puis cuisinés comme des aliments.

    Malgré la vantardise des médias grand public concernant les prétendus avantages environnementaux de la viande cultivée en laboratoire, de nombreux consommateurs sont sceptiques, voire dégoûtés, que ce soit par souci de sécurité ou simplement parce que “cela semble bizarre”, selon un récent sondage réalisé par le Centre AP-NORC pour la recherche sur les affaires publiques.

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  29. Il est également extrêmement coûteux à produire et ne peut pas encore être produit à grande échelle. Les experts s’interrogent également sur sa sécurité.

    “C’est un rêve qui devient réalité”, a déclaré Uma Valeti, PDG d’Upside Foods, dans une interview accordée à Reuters. “Cela marque une nouvelle ère.

    “L’annonce que nous sommes désormais en mesure de produire et de vendre de la viande cultivée aux États-Unis est un événement majeur. pour notre entreprisepour l’industrie et pour le système alimentaire”,a déclaré Josh Tetrick, cofondateur de Eat Just et PDG de sa filiale Good Meat, qui fabrique la viande de laboratoire, mercredi matin dans un communiqué.

    La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a qualifié la viande de “révolution alimentaire“.

    Les entreprises ont reçu l’approbation de l’USDA pour les inspections fédérales requises pour vendre de la viande et de la volaille aux États-Unis, plusieurs mois après que la FDA a déclaré que la viande était “propre à la consommation humaine” l’année dernière et que l’USDA a approuvé leurs étiquettes commerciales au début de ce mois.

    Eric Schulze, docteur en sciences, vice-président de Upside Food chargé de la réglementation et de la politique publique, a guidé l’entreprise tout au long du processus réglementaire, en veillant à ce que la viande cultivée en laboratoire ne soit pas soumise à des obstacles réglementaires supplémentaires par rapport à n’importe quel autre produit carné ordinaire, “parce que notre poulet est de la viande ! Upside indique-t-il sur son site web

    Avant de rejoindre Upside, M. Schulze a travaillé à la FDA, chargée de la réglementation de l’industrie biotechnologique.

    Les deux entreprises prévoient de lancer publiquement le produit dans des restaurants exclusifs – elles travaillent toutes deux avec des chefs étoilés. Le chef Dominique Crenn servira le poulet de laboratoire Upside au Bar Crenn de San Francisco, et les produits Good Meat feront leurs débuts dans l’un des restaurants de Washington, D.C., appartenant au célèbre chef José Andrés.

    D’autres chefs célèbres sont moins enthousiastes à l’égard de la viande. Le chef Andrew Gruel a tweeté :

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  30. Upside Foods a également annoncé un “concours” visant à motiver les consommateurs à participer pour avoir la chance d’être parmi les premiers consommateurs américains à essayer son poulet cultivé à partir de cellules.

    Des chercheurs universitaires s’efforcent de trouver un moyen d’améliorer l’acceptation de la viande par les consommateurs, certains avec le soutien financier du ministère américain de l’agriculture.

    Comment la “saucisse” est fabriquée

    La viande cultivée sur cellules est fabriquée à l’aide de techniques développées dans l’industrie biopharmaceutique. Les cellules provenant d’animaux vivants ou d’une banque de cellules – où des cellules “immortalisées” sont produites à partir de cellules souches cultivées – sont cultivées dans de grandes cuves en acier appelées cultivateurs ou bioréacteurs.

    Les cellules sont “nourries” d’un mélange de sucres, d’acides aminés et gras, de sels et de vitamines pour proliférer rapidement.

    Les processus brevetés utilisés par les différentes entreprises varient. Upside Foods produit de grandes feuilles de muscle et de tissu conjonctif qu’elle façonne ensuite en formes ressemblant à des escalopes de poulet et à des saucisses. La culture de la viande prend environ trois semaines.

    La compagnie Good Meat fait croître les cellules en grandes masses plutôt qu’en feuilles. “Le produit de poulet fabriqué ressemble à un produit de poulet conventionnel”, a écrit Good Meat dans le dossier qu’elle a remis à la FDA au sujet de la sécurité de son produit.

    Les deux entreprises disposent d’usines pilotes pour la production de viande en Californie. Upside Foods produit sa viande dans une usine de 70 000 pieds carrés à Emeryville et Good Meat dans une usine de 100 000 pieds carrés à Alameda.

    Les experts du secteur estiment que la viande ne sera pas disponible à grande échelle avant sept à dix ans.

    L’AP a rapporté qu’aucune des deux entreprises n’a voulu divulguer le coût d’une escalope de poulet. Ils ont seulement indiqué que le prix avait été réduit de manière significative depuis qu’ils ont commencé à échantillonner la viande.

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  31. À terme, ils espèrent que le produit se vendra environ 20 dollars la livre, ce qui, selon eux, correspond au prix moyen d’un poulet biologique.

    Les deux entreprises prévoient d’étendre leurs activités à d’autres types de viande.

    Utilisation “troublante” du génie génétique pour promouvoir la croissance cellulaire continue

    Selon Jaydee Hanson et Julia Ranney du Center for Food Safety (CFS), les méthodes de production utilisées pour créer de la viande cultivée en laboratoire soulèvent une série de problèmes de santé humaine et de sécurité alimentaire.

    Ils ont écrit que les brevets publics d’entreprises telles que Memphis Meats (rebaptisée Upside Foods en 2021) et Eat Just (Good Meat) montrent que les entreprises utilisent des facteurs de croissance qui pourraient favoriser le développement de cellules similaires à des cellules cancéreuses ou des cellules mutées dans la viande de laboratoire qui pourrait être absorbée dans la circulation sanguine humaine après la digestion.

    Dans une interview avec The Defender, Hanson a déclaré :

    “L’entreprise indique également qu’elle utilise le génie génétique pour favoriser la croissance continue des cellules. C’est inquiétant, car il est probable que les gènes manipulés puissent favoriser l’apparition de cancers”.

    Il a ajouté que “les gènes cancérigènes ne devraient pas être utilisés dans la production alimentaire. Les additifs alimentaires cancérigènes sont illégaux. Malheureusement, l’entreprise n’indique pas exactement quels gènes elle utilise pour les cellules génétiquement modifiées”.

    S’exprimant l’année dernière dans le cadre d’une table ronde sur les préoccupations liées à la viande produite en laboratoire, Michael Hansen, Ph.D., scientifique principal à Consumer Reports, a également mis en doute la sécurité de la viande produite en laboratoire.

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  32. Selon lui, les “intrants” utilisés dans la viande de laboratoire cultivée sur cellules sont en fait des “recombinants”, c’est-à-dire des segments d’ADN manipulés, ce qui est “plus compliqué et plus déconcertant” que les produits issus du génie génétique – qui ont été signalés comme dangereux pour la santé humaine – que l’on trouve dans les viandes d’origine végétale telles que le ” Impossible Burger“.

    Le panéliste Tom Neltner, directeur de la politique en matière de produits chimiques au Fonds de défense de l’environnement (EDF), a déclaré qu’il était d’accord sur la nécessité de disposer de sources durables de protéines, mais a averti que les produits seront « propriétaires » et que “nous ne connaîtrons pas leur effet ou leur nature ».

    Les panélistes ont également fait part de leurs préoccupations concernant les effets que les nouveaux ingrédients peuvent avoir sur le microbiome humain.

    Selon le CSA, la viande cultivée est plus susceptible de développer des bactéries ou d’autres agents pathogènes et elle n’a pas la même immunité ni la même capacité à excréter les toxines qu’un animal, car elle est dépourvue de ces systèmes.

    Cela pourrait rendre la viande cultivée dans des cuves à bioréacteurs plus sensible à ces éléments, à moins qu’elle ne soit traitée avec des antibiotiques ou d’autres traitements similaires.

    Comme l’a récemment rapporté The Defender, il a été révélé en 2019 que Memphis Meats utilisait la technologie d’édition génétique CRISPR dans le cadre de son processus breveté de conservation de la viande cultivée en laboratoire.

    Dans une interview accordée au Defender en octobre 2022, Claire Robinson, rédactrice en chef de GMWatch, a déclaré que CRISPR pourrait avoir des effets non désirés susceptibles de nuire à la santé humaine.

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  33. Dans l’ensemble, en raison de la nature nouvelle de la “viande” cultivée en laboratoire, du manque de transparence des entreprises concernées et de la myriade de risques potentiels pour la santé des consommateurs, une réglementation rigoureuse de ce produit est d’une importance vitale”, a écrit le CSA.

    L’impact sur l’environnement est “plusieurs fois supérieur” à celui de la production animale

    Les partisans de la viande cultivée en laboratoire – les entreprises qui la développent, les organisations à but non lucratif créées pour la promouvoir, les médias et les chercheurs financés par les investisseurs du secteur – affirment que la culture de la viande dans des bioréacteurs est essentielle pour réduire l’impact environnemental de la production industrielle de viande et pour mettre fin à la souffrance animale.

    Mais les avantages environnementaux sont en grande partie supposés, sur la base des impacts connus du système industriel de la viande existant, plutôt que réellement mesurés. Ou bien ils sont estimés sur la base de paramètres étroits et potentiellement trompeurs.

    Une étude récente de l’université de Californie à Davis a fait les gros titres lorsqu’elle a indiqué que l’impact environnemental de la viande produite en laboratoire était “probablement supérieur de plusieurs ordres de grandeur” à celui de la viande produite par des animaux ordinaires, sur la base des méthodes de production actuelles et de celles qui seront utilisées dans un avenir proche.

    La recherche, basée sur la production de bœuf cultivé en laboratoire, a évalué l’énergie nécessaire et les émissions de gaz à effet de serre à tous les stades de la production et a révélé que le potentiel de réchauffement planétaire de la viande cultivée en laboratoire était 25 fois plus élevé que celui de la viande animale.

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  34. Des recherches similaires menées par des chercheurs du programme LEAP (Livestock, Environment and People) de l’Oxford Martin School ont montré qu’à long terme, il était probable que l’impact environnemental de la viande produite en laboratoire soit plus important que celui des animaux élevés de manière conventionnelle.

    Gates, Branson et d’autres investisseurs en capital-risque à l’origine de la viande cultivée en laboratoire

    Plus de 100 entreprises développent de la viande cultivée en laboratoire.

    Selon le cabinet d’études de marché Grand View Research, le secteur était évalué à environ 247 millions de dollars en 2022 et pourrait atteindre 25 milliards de dollars d’ici à 2030, selon les prévisions du cabinet de conseil McKinsey & Company.

    Les entreprises de production de viande cultivée en laboratoire sont soutenues par 3 milliards de dollars d’investissements de la part d’entreprises de l’industrie de la viande telles que Cargill, Tyson et JBS, des sociétés de capital-risque telles que Blue Yard Capital, Union Square Ventures, S2G Ventures et Emerald Technology Ventures, des milliardaires tels que Bill Gates et Richard Branson, ainsi que des agences gouvernementales du monde entier, notamment la Qatar Investment Authority et l’USDA.

    La société mère de Good Meat, Eat Just, anciennement connue sous le nom de Hampton Creek, a démarré avec le soutien de Bill Gates, du PDG de Salesforce Marc Benioff et d’un conseil d’administration comprenant l’ancienne secrétaire à la santé et aux services sociaux des États-Unis, Kathleen Sebelius, et le cofondateur de Google DeepMind, Mustafa Suleyman.

    Mais l’entreprise, dont les premiers produits comprenaient de la mayo végétalienne et d’autres produits à base de plantes, a été en proie à des scandales – notamment des allégations d’employés selon lesquelles l’entreprise “a étiré la vérité“dans ses étiquettes de viande cultivée, pour respecter les délais, ce qui a conduit à la démission de l’ensemble du conseil d’administration, qui n’a conservé que son PDG, M. Tetrick.

    M. Tetrick a rebaptisé la société Eat Just et a obtenu un nouveau financement du Qatar, de Vulcan Capital du cofondateur de Microsoft, Paul Allen, et d’autres investisseurs.

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  35. Upside Foods, anciennement connu sous le nom de Memphis Meats, a attiré plus de 600 millions de dollars d’investissements en R&D, notamment de la part de Bill Gates, Richard Branson, Kimbal Musk, le frère d’Elon Musk, et du géant de la viande Cargill. Crunchbase.com estime que l’évaluation boursière d’Upside Food se situe entre 1 et 10 milliards de dollars.

    M. Gates a déclaré que “tous les pays riches devraient passer à un bœuf 100 % synthétique“.

    Selon Upside Foods, les autres investisseurs dans l’entreprise comprennent Tyson Foods, le plus grand producteur de volaille au monde, Whole Foods – propriété de Jeff Bezos et d’Amazon – et le PDG de Whole Foods, John Mackey, qui fait également partie du conseil consultatif du Good Food Institute (GFI) aux côtés de Valeti, le PDG d’Upside.

    Le GFI est une organisation internationale à but non lucratif de plusieurs millions de dollars dont la mission est d’”accélérer l’innovation en matière de protéines alternatives”. Ses “experts” sont cités dans la plupart des articles des grands médias sur la viande produite en laboratoire.

    Le plus grand donateur de la GFI – et le seul à la financer de manière substantielle – est le projet Open Philanthropy, dont l’un des principaux bailleurs de fonds est Dustin Moskovitz, cofondateur de Facebook avec Mark Zuckerberg.

    Open Philanthropy finance également le Johns Hopkins Center for Health Security, l’Université Rockefeller, la Clinton Health Access Initiative et des études sur l’industrialisation de la production de viande d’insectes.

    https://www.mondialisation.ca/lusda-approuve-la-premiere-viande-produite-en-laboratoire-aux-etats-unis-mais-les-scientifiques-et-les-experts-en-securite-alimentaire-ne-sont-pas-convaincus-par-ce-produit/5679070?doing_wp_cron=1688189303.9803049564361572265625

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    1. Dès lors qu'est fabriqué un produit de A à Z, il peut facilement y être introduit des particules, nano-particules d'oxyde de graphène (comme dans les seringues pour les Expérimentation Génique d'Essais) ! suite à quoi les gens perdent totalement le contrôle de leur cerveau.
      Combien avez-vous rencontré de cons ces 3 dernières années ! 'Houlala plus que çà ?' Je ne vous le fais pas dire !

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  36. Fanatique ? Le nouvelle directrice du CDC de Joe Biden était une fervente partisane des mandats, masques et confinements lors de la pandémie

    La candidate choisie par le président Biden pour diriger les Centres de contrôle et de prévention des maladies a "fait ses preuves en matière de protection de la santé et de la sécurité des Américains", selon la Maison Blanche, mais ses détracteurs ont attaqué son soutien à des mandats stricts et à des mesures de confinements et se quesionnent sur les liens de son dernier employeur avec la Fondation Gates et le Forum économique mondial.


    Par Michael Nevradakis
    Mondialisation.ca,
    30 juin 2023


    Le choix du président Biden pour diriger les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) a “fait ses preuves en matière de protection de la santé et de la sécurité des Américains”, selon la Maison Blanche.

    La Maison Blanche a cité la Dr Mandy Cohen pour son “leadership dans la crise du COVID-19”, qui lui a valu des “éloges bipartisans” et sa “capacité à trouver un terrain d’entente et à mettre en œuvre une politique complexe”.

    Mais les détracteurs de la personne nommée par M. Biden qui se sont entretenus avec The Defender voient d’un autre œil les antécédents de Mme Cohen, en particulier son soutien aux fermetures et aux mandats pendant la pandémie, alors qu’elle dirigeait la réponse de la Caroline du Nord à la pandémie en tant que chef du département de la santé et des services sociaux de la Caroline du Nord (NCDHHS).

    Le Dr Peter McCullough a déclaré au Defender : “Mme Cohen semble être totalement impliquée dans le “complexe bio-pharmaceutique”.

    M. McCullough, auteur de “The Courage to Face COVID-19: Preventing Hospitalization and Death While Battling the Bio-Pharmaceutical Complex” (Le courage face au COVID-19 : prévenir l’hospitalisation et la mort en luttant contre le complexe bio-pharmaceutique), a déclaré :

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  37. “Elle s’est trouvée du mauvais côté de chaque intervention de santé publique de la pandémie, n’a pas su reconnaître les thérapeutiques précoces et l’immunité naturelle et, à ce jour, n’a pas reconnu le désastre en matière de sécurité que représente le programme de vaccination massive et indiscriminée COVID-19.

    Alex Berenson, commentateur et ancien journaliste du New York Times, a décrit Mme Cohen comme “un dictateur COVID de la santé publique” et “la pire personne possible pour devenir le prochain chef du CDC” – ce qui, selon lui, prouve que l’administration Biden “a tiré toutes les mauvaises leçons depuis 2021”.

    Selon Jeffrey A. Tucker, fondateur et président de l’Institut Brownstone, “la consultation de la ligne du temps [de Cohen] est un étrange retour du passé, marqué par des discours alarmistes, pseudo-scientifiques et propagandistes qui brisent le cœur. Elle a passé avec brio les trois tests de conformité: fermetures, masquage et obligation de vaccination”.

    Le New York Post a cité des vidéos montrant Mme Cohen “jubilant de la mise en œuvre des fermetures COVID, suivant de manière incohérente ses propres directives d’atténuation et forçant les écoles publiques à masquer les élèves à l’intérieur, quel que soit leur statut vaccinal”.

    Mme Cohen prendra la direction de l’agence au début du mois de juillet. Elle remplace le Dr Rochelle Walensky, qui dirige le CDC depuis janvier 2021. Mme Walensky, qui a présenté sa démission en mai en invoquant la fin de l’état d’urgence national COVID-19, quittera ses fonctions le 30 juin.

    La nomination de Mme Cohen n’a pas nécessité d’audition par le Sénat. Toutefois, le projet de loi omnibus sur les dépenses récemment adopté exige une confirmation par le Sénat à partir de janvier 2025.

    Selon Politico, “la mission de Mme Cohen consiste officiellement à rétablir la confiance dans une agence dont la directrice sortante, Rochelle Walensky, a reconnu qu’elle n’avait pas répondu de manière fiable aux attentes après l’arrivée de COVID. ” Son “travail officiel au CDC tournera autour de la refonte de l’agence lancée par Walensky”.

    Selon le New York Times, Mme Cohen était “le premier choix de Jeffrey D. Zients”, l’ancien coordinateur de la réponse au COVID-19 de l’administration Biden.

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  38. La gestion par Mme Walensky de la réponse à la pandémie, que certains considèrent comme responsable de la perte de confiance du public dans l’agence, a fait l’objet d’une audition controversée devant la sous-commission de la Chambre des représentants sur la pandémie de coronavirus.

    Mme Walensky a félicité Mme Cohen,la décrivant comme “un leader respecté de la santé publique qui a aidé la Caroline du Nord à traverser avec succès” le COVID-19, et dont “l’expérience unique et le mandat accompli en Caroline du Nord (…) la rendent parfaitement apte à diriger le CDC qui va de l’avant en s’appuyant sur les leçons tirées du COVID-19 pour créer une organisation prête à relever les défis de la santé publique à l’avenir”.

    Mme Cohen arrive alors que le CDC “est passé d’une agence rarement discutée à un sujet de table de cuisine et à un paratonnerre politique”, écrit Roll Call. Elle s’efforcera d’obtenir un budget et des pouvoirs accrus dans le cadre de la loi de finances pour l’exercice 2024 et de la réautorisation d’une loi de 2006 sur la préparation aux pandémies.

    Les législateurs républicains se sont opposés à toute augmentation du budget ou de l’autorité du CDC.

    L’affirmation de Mme Walensky selon laquelle Mme Cohen devra se préparer à la prochaine urgence de santé publique a fait froncer les sourcils, tout comme les déclarations de Mme Cohen selon lesquelles le CDC n’en a pas fait assez sous l’administration Trump au début de la pandémie de COVID-19.

    “Je pense que les CDC n’étaient pas suffisamment préparés et qu’ils ont manqué d’exécution”, a déclaré Mme Cohen lors d’une conférence à l’université de Duke. “Malheureusement, ils ont commis quelques faux pas qui ont vraiment nui à leur crédibilité à long terme. Selon Mme Cohen, le CDC n’a pas été en mesure de communiquer efficacement avec le public.

    Commentant la nomination de Mme Cohen, Brian Hooker, Ph.D., P.E., directeur principal de la science et de la recherche pour Children’s Health Defense, a déclaré au Defender :

    « Le Dr Mandy Cohen, en tant que secrétaire d’État à la santé de Caroline du Nord, a fait adopter les mesures COVID-19 les plus draconiennes que l’on puisse imaginer.

    “Avec elle à la tête du CDC, je m’attends à ce que nous ayons encore plus de mensonges et de dissimulations concernant la réponse catastrophique de l’agence à la pandémie et ses horribles résultats en général.

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  39. Connexions du secteur privé avec les fabricants de vaccins, Gates, Big Tech, WEF

    Selon la Maison Blanche, Mme Cohen, interniste, arrive au CDC après avoir travaillé dans le secteur privé, où elle est vice-présidente exécutive d’Aledade et PDG d’Aledade Care Solutions, poste qu’elle a occupé après avoir dirigé le NCDHHS.

    Aledade “aide les cabinets de soins primaires indépendants, les centres de santé et les cliniques à fournir de meilleurs soins à leurs patients et à prospérer dans le cadre des soins fondés sur la valeur“.

    La direction et le conseil d’administration d’Aledade comprennent des personnes ayant occupé des postes dans des organisations fédérales de santé publique et dans le secteur des grandes technologies, ainsi que des personnes ayant des liens avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates:

    Farzad Mostashari, PDG, a travaillé pour le ministère américain de la santé et des services sociaux (HHS) et a été “expert distingué au centre Engelberg pour la réforme des soins de santé de l’Institut Brookings”.
    Le président Mat Kendall, la directrice médicale Emily Maxson et le directeur de la performance Ahmed Haque ont également travaillé pour le ministère de la santé et des services sociaux.
    Sean Cavanaugh, responsable des politiques, et Travis Broome, premier vice-président chargé des politiques et de l’économie, ont travaillé auparavant pour les Centers for Medicare & Medicaid Services.
    Nick Kinkaid, directeur des produits, a travaillé pour des entreprises telles que Google, Walmart et Tesla.
    Ritwik Tewari, directeur de la technologie, a travaillé précédemment pour Meta, “où il a supervisé la plateforme d’intelligence artificielle pour la plateforme publicitaire de l’entreprise, qui représente plusieurs milliards de dollars”, et avant cela, il a travaillé pour Microsoft.
    Le directeur financier John Doyle a été “membre de la classe 2012 des Henry Crown Fellows de l’Institut Aspen“.
    Bob Kocher, membre du conseil d’administration, a servi dans l’administration Obama en tant qu’assistant spécial du président pour les soins de santé et la politique économique au sein du Conseil économique national, et a travaillé auparavant pour le ministère de la santé et des services sociaux.
    Julie Sunderland, membre du conseil d’administration, était directrice des investissements liés aux programmes de la Fondation Bill et Melinda Gates, “où elle était responsable de la gestion du pool d’investissements liés aux programmes de la fondation, d’une valeur de 1,5 milliard de dollars, qui se concentre sur les investissements stratégiques dans la santé mondiale, le développement mondial et l’éducation aux États-Unis”.
    Phyllis Yale, membre du conseil d’administration, “intervient fréquemment lors de conférences sectorielles, y compris à plusieurs reprises lors de la réunion annuelle du Forum économique mondial“.
    Michelle Ryan, membre du conseil d’administration, a travaillé pour Johnson & Johnsonpendant près de 30 ans, dernièrement en tant que trésorière, jusqu’à sa retraite en 2021.
    Aledade a été soutenue par plusieurs sociétés de capital-risque, dont GV, “la branche de capital-risque d’Alphabet, Inc.” (Google), et Biomatics Capital, “une société de capital-risque basée à Seattle et spécialisée dans la santé numérique et la génomique”, fondée par Sunderland.

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  40. M. Tucker s’est inquiété du fait que la formation de Mme Cohen signifie que son mandat en tant que directrice du CDC ne sera pas marqué par le changement, mais par la poursuite de la même chose.

    “Elle est un membre fidèle du groupe d’enfermement et démontre ainsi qu’elle est prête à recommencer si l’occasion se présente”, a-t-il écrit.

    Les politiques de confinement sont “arbitraires et ne respectent absolument pas les droits de l’homme”.

    Lors d’un séminaire organisé en mai 2022 à l’université de Duke, Mme Cohen a été interrogée sur la gestion des crises et sur la manière dont les responsables de la santé publique de différents États se sont coordonnés pour mettre en œuvre les restrictions relatives au COVID-19.

    Mme Cohen a évoqué les discussions qu’elle a eues avec Marylou Sudders, ministre de la santé du Massachusetts, la personne qu’elle “appelait le plus souvent” pour obtenir des conseils sur la politique relative au COVID-19, et a souligné la gravité des décisions dont elle était responsable.

    Selon Michael P. Senger, avocat et auteur de “Snake Oil: How Xi Jinping Shut Down the World” :

    Mandy Cohen, nouvelle directrice du CDC, se souvient de la manière dont elle et ses collègues ont conçu les mandats COVID lorsqu’elle était directrice de la santé en Caroline du Nord.

    “Elle m’a demandé si j’allais leur permettre d’avoir un football professionnel. J’ai répondu que non. Et elle m’a dit : “OK, nous non plus.”pic.twitter.com/0pZl3dL01D

    – Michael P Senger (@michaelpsenger) 2 juin 2023

    Mme Cohen a également déclaré : “Je lui demandais : “Quand vas-tu envisager d’alléger les masques ?” [She’d be like] “Lundi prochain”, et je lui répondais : “D’accord ! Lundi prochain”.

    Tucker, écrivant pour le Brownstone Institute, a déclaré : “Si vous pensiez qu’il y avait une quelconque science derrière tout cela, Mandy a révélé le contraire par inadvertance. Ils ont pris des décisions sur la base d’un club étrange de despotes de fermeture et confinement qui ont acquis un sentiment de pouvoir et de contrôle simplement en discutant au téléphone entre eux”.

    “Il prenaient leurs décisions de façon arbitraire et ne tenaient absolument pas compte des droits de l’homme”, a déclaré M. Tucker.

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  41. Dans une vidéo datant de juin 2021, Mme Cohen fait référence à des “données définitives” du CDC, affirmant que ces données montraient que les vaccins COVID-19 empêchaient l’infection ou la transmission du virus.

    Mandy Cohen, choisie par M. Biden comme nouvelle directrice du CDC en juin 2021, discutant des “données définitives” du CDC montrant que les vaccins empêchent de contracter ou de transmettre le Covid.

    Tout le monde commet des erreurs, mais ne pas reconnaître des erreurs colossales comme celle-ci est disqualifiant. pic.twitter.com/KDrRrTpdQJ

    – Laura Powell (@LauraPowellEsq) 1er juin 2023

    Jay Bhattacharya, professeur de politique de santé à l’université de Stanford et critique virulent des vaccins COVID-19 et des restrictions, a répondu sur Twitter qu’il faudrait demander à Mme Cohen “comment elle a pu se tromper si lourdement sur les données scientifiques”.

    Interrogée lors d’une audition à la Chambre des représentants sur des déclarations similaires qu’elle avait faites au sujet des vaccins COVID-19, Mme Walensky a déclaré qu’elle s’en tenait à ses déclarations, qui étaient “généralement exactes“.

    Selon M. Berenson, Mme Cohen a également “poussé à la création de mandats pour les travailleurs de la santé et a explicitement lié l’assouplissement des restrictions aux niveaux de vaccination”.

    Le 22 juillet 2021, Mme Cohen, au nom du NCDHHS, a salué le soutien public de la North Carolina Healthcare Association à l’obligation de vaccination contre le COVID-19 pour les employés du secteur de la santé. “Les vaccinations sont notre moyen d’échapper à la pandémie. N’attendez pas pour vous faire vacciner”, a déclaré Mme Cohen.

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  42. Six jours plus tard, le NCDHHS a annoncé une obligation de vaccination contre le COVID-19 pour les travailleurs des établissements médicaux gérés par l’État, à moins qu’ils ne bénéficient d’une exemption médicale ou religieuse. Le 12 octobre 2021, 94 % des travailleurs avaient été vaccinés, 6 % avaient bénéficié d’une exemption et 16 travailleurs avaient été licenciés parce qu’ils n’avaient pas été vaccinés.

    Dans une autre annonce faite en 2021, Mme Cohen a établi un lien entre les restrictions COVID-19 de la Caroline du Nord et les niveaux de vaccination, déclarant : “Nous nous trouvons dans une situation prometteuse. Avec l’amélioration des paramètres clés du COVID-19 en Caroline du Nord et l’augmentation des vaccinations, nous pouvons utiliser de manière responsable notre approche d’assouplissement des restrictions, guidée par la science et les données.”

    Responsable de “certaines des plus longues fermetures d’écoles du pays”.

    Mme Cohen a également supervisé des fermetures d’écoles et des politiques de masquage strictes pour les enfants de Caroline du Nord.

    Ramesh Thakur, qui écrit pour le Brownstone Institute, décrit Cohen comme “une fanatique du confinement, du masque et du vaccin”.

    Toutefois, Mme Cohen ne semble pas avoir toujours pratiqué ce qu’elle prêchait. Dans une vidéo datant de juin 2020, on voit Mme Cohen entrer dans une pièce sans porter de masque, alors qu’elle n’en portait un seulement lorsqu’elle était devant la caméra.

    En dépit de son plaidoyer en faveur des fermetures COVID et des masques obligatoires, même pour les jeunes écoliers, voici la nouvelle directrice du CDC, Mandy Cohen, en juin 2020, entrant dans une pièce sans masque jusqu’à ce que les caméras se mettent en marche, quelques semaines avant sa photo de profil avec le masque de Fauci .pic.twitter.com/mrqsNf9cfA

    – Michael P Senger (@michaelpsenger) 2 juin 2023

    Cela n’a pas empêché Mme Cohen d’exiger que les écoliers portent des masques, quel que soit leur statut vaccinal, même si l’obligation de porter des masques en Caroline du Nord avait pris fin.

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  43. Le 26 juillet 2021, Mme Cohen a tweeté que “les écoles accueillant des élèves de la maternelle à la 8e année devraient exiger que tous les enfants et le personnel portent des masques à l’intérieur, quel que soit leur statut vaccinal”. Les écoles qui accueillent des élèves de la 9e à la 12e année doivent veiller à ce que toute personne qui n’est pas complètement vaccinée, y compris les élèves, porte un masque à l’intérieur”.

    En ce qui concerne les fermetures d’écoles, le Dr Robert Malone, qui critique les politiques vaccinales et les fermetures de COVID-19, a écrit sur Substack que la Caroline du Nord “a connu certaines des plus longues fermetures d’écoles du pays”.

    Confirmant la déclaration de Malone, le K-12 School Opening Tracker de Burbio, qui a examiné “les opérations scolaires K-12 au cours des années scolaires 2020/21 et 2021/22”, classe la Caroline du Nord dans la moitié inférieure des États américains pour l’apprentissage en personne.

    Selon le plan de réouverture des écoles de Caroline du Nord de juillet 2020, les districts scolaires devaient imposer le port de masques à tous les élèves, enseignants et membres du personnel, imposer une distance sociale et des limites de capacité dans les bâtiments scolaires, exiger que les élèves et le personnel scolaire subissent des contrôles de température quotidiens, et élaborer des plans de quarantaine pour les élèves “présentant des symptômes de coronavirus”.

    Selon M. Berenson:

    “En plus de continuer les fermetures jusqu’en mars 2021, Mme Cohen a également menacé d’intenter une action en justice contre un district scolaire qui souhaitait abandonner les quarantaines et la recherche des contacts – en septembre 2021, bien après que l’absence de risque du COVID pour les enfants d’âge scolaire soit devenue évidente”.

    Le 29 septembre 2021, le Charlotte Observer a rapporté que le conseil scolaire du comté de l’Union avait reçu un ultimatum de Mme Cohen “pour annuler une nouvelle politique qui élimine les mesures de quarantaine COVID-19 pour la plupart des élèves et du personnel”. Dans le cas contraire, selon les termes de Mme Cohen, “une action en justice pourrait être nécessaire pour protéger la santé publique”.

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  44. Il est décevant de voir que la nouvelle directtice du CDC, @DrMandyCohen, a menacé un district scolaire de Caroline du Nord de poursuites judiciaires en raison de son projet d’éliminer la recherche des contacts et la plupart des mesures de quarantaine. https://t.co/LKNXXd0Gmi pic.twitter.com/cO2ZiPMz7l
    – Anthony LaMesa (@ajlamesa) 1er juin 2023

    Le 13 septembre 2021, le conseil de l’éducation du comté de l’Union a voté à 8 voix contre 1 “l’abandon de la recherche des contacts et de la plupart des dispositions relatives à la quarantaine”, selon le Charlotte Observer.

    “Je tiens à souligner que l’action du conseil d’éducation du comté de l’Union constitue une menace imminente de graves conséquences sanitaires pour les élèves, les enseignants, le personnel et le public en général”, a écrit Mme Cohen à la présidente du conseil d’éducation du comté de l’Union, Melissa Merrell.

    Une analyse réalisée par Politico en 2021 sur les performances de chaque État pendant la pandémie a donné à la Caroline du Nord une note inférieure à la moyenne en matière de bien-être et d’éducation.

    28 législateurs républicains s’opposent à la sélection de Mme Cohen

    Le soutien apporté par Mme Cohen aux obligations de vaccination, de confinement et de port de masques a conduit 28 législateurs républicains à envoyer une lettre au président Biden pour s’opposer à sa nomination à la tête du CDC.

    Selon la lettre, “le Dr Cohen n’est pas apte à occuper ce poste. Tout au long de sa carrière, le Dr Cohen a politisé la science, ignoré les libertés civiles et diffusé des informations erronées sur l’efficacité et la nécessité des vaccinations COVID … et sur la nécessité des masques” et “s’est toujours engagée dans une politique partisane de gauche”.

    “Dr Cohen était une partisane des restrictions inutiles et non scientifiques du COVID sur les enfants scolarisés”, ajoute la lettre.

    Faisant référence à sa menace d’action en justice contre le conseil de l’éducation du comté de l’Union, la lettre indique que “la volonté du Dr Cohen de menacer le district scolaire fait passer la politique avant le bien-être des enfants” et n’est “qu’un nouvel exemple d’une longue liste d’abus en matière de santé publique que le peuple américain a enduré aux mains des bureaucrates tout au long de la pandémie de COVID-19”.

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  45. La lettre concluait:

    “Etant donné sa forte affiliation au parti démocrate et aux confinements du COVID-19, il sera difficile pour le peuple américain de faire confiance au Dr Cohen pour diriger le CDC en tant qu’acteur non partisan qui prend des décisions objectives fondées sur des données scientifiques, et non sur l’opportunisme politique. Par conséquent, nous vous demandons instamment de revenir sur la nomination du Dr Cohen au poste de directeur du CDC”.

    Politico note que si les républicains n’ont “aucun espoir de bloquer sa nomination” au Congrès puisqu’aucune confirmation du Sénat n’est nécessaire, “l’opposition des républicains, surtout si elle est plus largement partagée au sein de leur groupe parlementaire, pourrait compliquer la tâche de Mme Cohen pour achever la réorganisation de l’agence de Mme Walensky”.

    Dans un tweet daté du 2 juin, le trésorier de Caroline du Nord Dale Folwell, candidat républicain au poste de gouverneur de l’État en 2024, a écrit que “les actions du Dr Mandy Cohen pendant le Covid ont entraîné davantage de maladies, de décès, de pauvreté et d’analphabétisme. En tant que gouverneur de la Caroline du Nord, j’aurais du mal à suivre son exemple au CDC si j’étais choisi par le POTUS.”

    Le travail au sein du gouvernement fédéral ne lui est pas étranger

    La nomination de Mme Cohen au poste de directrice du CDC n’est pas le premier poste qu’elle occupe au sein du gouvernement fédéral : elle a déjà été directrice des opérations et chef du personnel des Centers for Medicare & Medicaid Services, et directrice par intérim du Center for Consumer Information and Insurance Oversight, où elle “a été impliquée dans de nombreux aspects de l’élaboration et la mise en œuvre du Affordable Care Act, (loi pour les soins abordables) “.

    Selon le Washington Post, Mme Cohen a également travaillé avec le chirurgien général américain Vivek Murthy pour fonder Doctors for Obama, qui a fait campagne pour Barack Obama en 2008 et “a ensuite été rebaptisé Doctors for America, afin de défendre l’Affordable Care Act, la loi sur les soins de santé de M. Obama”.

    Un communiqué de l’université de Harvard indique que Mme Cohen “a également travaillé au ministère des anciens combattants sur la santé des femmes et sur les questions liées au VIH en Afrique du Sud”. Elle est diplômée de l’école de santé publique T.H. Chan de Harvard, qui l’a honorée en 2020 et dont sont issus six anciens directeurs de CDC.

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  46. Mme Cohen est également titulaire d’un diplôme de médecine de l’université de Yale. Après ses études de médecine, elle a suivi une formation d’interniste au Massachusetts General Hospital, où, selon Politico, “son intérêt pour la politique était évident”.

    Le Washington Post a rapporté que “certains membres du personnel du CDC et d’anciens élèves se sont hérissés … à l’annonce de sa sélection, déplorant que sa carrière ait été davantage axée sur la gestion de programmes de santé tels que Medicare et Medicaid que sur la santé publique traditionnelle”.

    Andy Slavitt, ancien conseiller principal temporaire de l’équipe d’intervention COVID-19 de l’administration Biden – qui est poursuivi par Berenson pour censure – a décrit Cohen comme étant “plus un opérateur et aussi politiquement sophistiqué”.

    Michael Nevradakis, Ph. D.

    https://www.mondialisation.ca/fanatique-le-nouvelle-directrice-du-cdc-de-joe-biden-etait-une-fervente-partisane-des-mandats-masques-et-confinements-lors-de-la-pandemie/5679041?doing_wp_cron=1688190566.9615199565887451171875

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  47. Tour d'horizon de la propagande sur le changement climatique : les banquiers annoncent leur intention de confisquer des biens privés pour lutter contre le changement climatique


    Par Ben Bartee
    Recherche mondiale,
    30 juin 2023


    Étudier les mensonges du « changement climatique » bouleversant l'économie pour le contrôle social, tel que relayé par nos seigneurs technocratiques autoproclamés.

    La lettre d'amour annuelle du PDG de JPMorgan & Chase, Jamie Dimon, à ses actionnaires s'ouvre sur une auto-félicitation pour le maintien de la rentabilité même dans l'état actuel de l'inflation - quelque chose que la plupart des Américains de la classe moyenne ou de la classe ouvrière ne peuvent pas nécessairement dire.

    Après tout, les classes moyennes et ouvrières américaines n'ont pas de sénateurs, de régulateurs et de présidents en numérotation abrégée, alors pourquoi profiteraient-elles des largesses économiques accordées aux architectes de la fusion multinationale du pouvoir des entreprises et de l' État ?

    Le néoféodalisme mondial bourdonne à toute allure. Pourtant, les propriétés des serfs ne diminuent pas assez vite pour des gens comme le Forum économique mondial .

    JPMorgan & Chase, explique Dimon, a juste la solution : confisquer ce qui reste de leur propriété pour le changement climatique sous domaine éminent.

    Via JPMorgan Chase & Co. (nous soulignons) :

    "La fenêtre d'action pour éviter les impacts les plus coûteux du changement climatique mondial se ferme...

    Des réformes d'autorisation sont désespérément nécessaires pour permettre aux investissements [dans l'énergie verte] d'être réalisés de n'importe quelle manière opportune. Nous devrons peut-être même évoquer le domaine éminent - nous n'obtenons tout simplement pas les investissements adéquats assez rapidement pour les initiatives de réseau, solaire, éolien et de pipeline. Des politiques telles que la loi sur les infrastructures bipartisanes, la loi sur la création d'incitations utiles à la production de semi-conducteurs (CHIPS) et la science, et la loi sur la réduction de l'inflation (IRA) - qui ont le potentiel de débloquer plus de 1 billion de dollars dans le développement de technologies propres - doivent être mises en œuvre efficacement. ”

    Le gouvernement irlandais annonce des intentions génocidaires contre les vaches du pays
    Comme je l'ai récemment couvert ailleurs , le gouvernement capturé de l'Irlande prévoit de sacrifier plusieurs milliers de vaches aux dieux du changement climatique.

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  48. Le phénomène des gouvernements suicidaires immolant leurs propres industries agricoles nationales, plus ou moins le même phénomène, comme je l'ai couvert ailleurs , est en cours dans des pays du tiers monde comme le Sri Lanka ainsi qu'à travers l'Europe - tout cela au nom de la lutte contre ce qu'on appelle « le changement climatique ». » que les « experts » oints ne prennent même plus la peine d'entrer dans les détails après que leurs prédictions histrioniques antérieures de mortalités massives n'aient pas abouti.

    En parlant de cela, une petite autiste visionnaire - une guerrière courageuse et étonnante de la cause du changement climatique populaire auprès de tous les bons technocrates - a récemment franchi une étape sans cérémonie dans sa carrière de pronostiqueur du changement climatique…

    La date limite pour la prédiction hystérique de Greta Thunberg sur l'apocalypse du changement climatique va et vient
    Via Western Journal , 20 juin :

    « Il y a cinq ans, presque jour pour jour, Greta Thunberg a fait une affirmation apocalyptique sur le sort du monde, et maintenant nous savons si cela s'est réalisé ou non.

    Le 21 juin 2018 , l'activiste climatique suédois alors âgé de 15 ans a envoyé un tweet alarmant qui semblait impliquer qu'en raison du changement climatique causé par les combustibles fossiles, il ne nous restait plus que cinq ans pour agir afin d'empêcher la fin du monde .

    "Un scientifique de haut niveau avertit que le changement climatique anéantira toute l'humanité à moins que nous n'arrêtions d'utiliser les combustibles fossiles au cours des cinq prochaines années", lit-on dans le tweet.

    Maintenant, c'est presque le cinquième anniversaire du terrible avertissement de Thunberg, et à la surprise de presque personne, sauf peut-être Thunberg, le monde a survécu et semble aller nulle part pour le moment.

    Dans un monde sain d'esprit, ce genre de proclamation totalement discréditante et exagérée ne serait que cela - discréditer et disqualifier de la vie publique.

    Au lieu de cela, les médias d'État d'entreprise déplaceront silencieusement les poteaux de but, et la mascotte de leur Asperger préférée sera autorisée à poursuivre ses prévisions histrioniques de malheur et de tristesse jusqu'à ce que nous soyons tous enfermés dans des villes de 15 minutes.

    https://www.globalresearch.ca/climate-change-propaganda-roundup-bankers-announce-plans-confiscate-private-property-climate-change/5824217

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  49. Ces industries sont les plus « à risque » pour l'automatisation de l'IA


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 01 JUILLET 2023 - 05:20


    Depuis la sortie d'outils comme ChatGPT, l'intelligence artificielle (IA) a commencé à imprégner les industries du monde entier, transformant notre façon de travailler et de vivre.

    Pour mieux comprendre ce paysage en évolution rapide, Marcus Lu et Sabrina Lam de Visual Capitalist - en utilisant les données de MSCI - ont classé les industries américaines en fonction de leur part estimée de l'emploi qui pourrait être exposée à l'automatisation basée sur l'IA.

    Données et faits saillants

    Cette analyse provient d'un rapport de mars 2023 publié par Goldman Sachs Global Investment Research.

    Les auteurs ont estimé l'exposition à l'automatisation pour plus de 900 emplois aux États-Unis à l'aide de la base de données professionnelle O*NET, qui fournit des détails sur les types de tâches effectuées par chaque profession. Les estimations de l'exposition ont ensuite été pondérées par la part de l'emploi de chaque profession et agrégées au niveau de l'industrie.

    Part estimée de l'industrie américaine dans l'emploi exposé à l'IA (%)

    Bureau et soutien administratif 46 %
    Juridique 44%
    Architecture et ingénierie 37%
    Sciences de la vie, physiques et sociales 36%
    Opérations commerciales et financières 35%
    Services communautaires et sociaux 33 %
    Gestion 32%
    Ventes et connexes 31 %
    Informatique et Mathématiques 29%
    Agriculture, pêche et foresterie 28 %
    Service de protection 28%
    Professionnels de la santé et techniciens 28 %
    Enseignement scolaire et bibliothèque 27%
    Assistance médicale 26%
    Arts, design, divertissement, sports et médias 26 %
    Toutes les industries en moyenne 25%
    Soins et services personnels 19 %
    Liés à la préparation et au service des aliments 12 %
    Transport et déplacement de matériel 11 %
    Production 9%
    Construction et extraction 6%
    Installation, entretien et réparation 4 %
    Nettoyage et entretien des bâtiments et des terrains 1%

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  50. Selon ces résultats, le "soutien de bureau et administratif" sera probablement le plus affecté par l'automatisation basée sur l'IA à 46%. Cette transformation pourrait avoir un impact important sur les tâches courantes telles que la saisie de données, la planification de réunions et la gestion de documents.

    La deuxième industrie la plus importante, «légale», suit de près avec 44%. L'IA devrait automatiser les processus juridiques tels que l'analyse des contrats, et pourrait même être utilisée pour anticiper les résultats des affaires judiciaires.

    Comme prévu, les industries qui ne seront pas fortement touchées sont celles qui dépendent fortement du travail manuel, comme «la construction et l'extraction».

    Analyse comparative de l'avenir automatisé

    L'IA est encore une technologie très nouvelle et en développement. Son impact sur la productivité du travail à l'avenir dépend de sa capacité (à quelle vitesse il s'améliore) et de son adoption (à quelle vitesse les gens et les entreprises commencent à l'utiliser).

    Il est peu probable que les taux d'adoption soient les mêmes dans le monde, car les résultats de l'enquête ont montré que certains pays sont plus optimistes que d'autres à l'égard de l'IA.

    Dans le scénario le plus agressif, Goldman Sachs estime que l'automatisation de l'IA pourrait avoir un impact sur jusqu'à 300 millions d'emplois dans le monde et entraîner potentiellement une augmentation de 7 % du PIB annuel (soit environ 7 000 milliards de dollars).

    Compte tenu de l'énorme potentiel de perturbation de l'IA, il est plus important que jamais pour les investisseurs de garder une longueur d'avance. C'est pourquoi MSCI a créé l'indice MSCI ACWI IMI Robotics & AI, qui compare un univers investissable d'entreprises associées à l'adoption de l'IA, de la robotique et de l'automatisation.

    https://www.zerohedge.com/technology/these-industries-are-most-risk-ai-automation

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    Réponses
    1. Je rappelle que l''I.A.' est UN PROGRAMME ! Il suffit donc d'adapter le programme à la politique. Si ton 'IA' te dit qu'un rond est carré C'EST QU'IL EST CARRÉ ! T'as compris ?
      Quand tu vois les Greta, Charles, Micron et l'autre con :
      “Vladimir Putin is clearly losing the War in Iraq.” — “Joe Biden,” US President
      Là, t'as touché le fond du fond !

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  51. Un état de loi martiale : l'Amérique est une dictature militaire déguisée en démocratie


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 01 JUILLET 2023 - 05:40
    Rédigé par John et Nisha Whitehead via The Rutherford Institute,


    "Quel pays peut préserver ses libertés si ses dirigeants ne sont pas avertis de temps à autre que leur peuple conserve l'esprit de résistance ?"
    - Thomas Jefferson

    Le gouvernement piétine nos libertés.

    Exemple : les fondateurs de l'Amérique ne voulaient pas d'un gouvernement militaire gouverné par la force. Ils ont plutôt opté pour une république liée par l'État de droit : la Constitution américaine.

    Pourtant, au cours des plus de 240 dernières années, cette république constitutionnelle s'est transformée en une dictature militaire déguisée en démocratie.

    La plupart des Américains semblent relativement indifférents à cet état de loi martiale.

    Incroyablement, lorsque le président Biden s'est vanté du fait que le citoyen moyen n'a aucune chance contre l'énorme arsenal de puissance de feu militarisée du gouvernement, cela a à peine provoqué une ondulation.

    Comme Biden l'a fait remarquer lors d'un événement de collecte de fonds en Californie, "J'aime ces gars qui disent que le deuxième amendement est - vous savez, l'arbre de la liberté est de l'eau avec le sang des patriotes. Eh bien, si [vous] voulez faire ça, vous voulez travailler contre le gouvernement, vous avez besoin d'un F-16. Vous avez besoin d'autre chose qu'un simple AR-15.

    Le message envoyé aux citoyens est clair : il n'y a pas de place dans notre pays aujourd'hui pour le genre de révolution que nos ancêtres ont montée contre un gouvernement tyrannique.

    D'ailleurs, le gouvernement a déclaré une guerre totale à toute résistance de la part des citoyens à ses mandats, prises de pouvoir et abus.

    Selon cette norme, si la déclaration d'indépendance avait été rédigée aujourd'hui, elle aurait fait de ses signataires des extrémistes ou des terroristes, les plaçant sur une liste de surveillance gouvernementale, ciblés pour la surveillance de leurs activités et de leur correspondance, et potentiellement arrêtés, détenus indéfiniment, dépouillés de leurs droits et qualifiés de combattants ennemis.

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  52. Ce n'est plus le sujet de la spéculation et de l'avertissement.

    Depuis des années, le gouvernement met en garde contre les dangers du terrorisme intérieur, érige des systèmes de surveillance pour surveiller ses propres citoyens, crée des systèmes de classification pour étiqueter tout point de vue qui remet en question le statu quo comme extrémiste, et forme les forces de l'ordre à assimiler toute personne possédant des anti- le gouvernement considère comme un terroriste domestique.

    Un rapport de 2008 de l'Army War College a révélé que "la violence civile généralisée à l'intérieur des États-Unis obligerait l'establishment de la défense à réorienter les priorités in extremis pour défendre l'ordre intérieur fondamental et la sécurité humaine". Le rapport de 44 pages poursuit en avertissant que les causes potentielles de tels troubles civils pourraient inclure une autre attaque terroriste, "un effondrement économique imprévu, la perte d'un ordre politique et juridique fonctionnel, une résistance ou une insurrection intérieure délibérée, des urgences de santé publique généralisées et des catastrophes naturelles et naturelles catastrophiques". catastrophes humaines ».

    Des rapports ultérieurs du Département de la sécurité intérieure visant à identifier, surveiller et étiqueter les militants de droite et de gauche et les vétérans militaires comme des extrémistes (c'est-à-dire des terroristes) se sont traduits par des programmes de surveillance pré-crime à part entière. Près d'une décennie plus tard, après avoir verrouillé le pays et dépensé des milliards pour lutter contre le terrorisme, le DHS a conclu que la plus grande menace n'était pas l'EI mais l'extrémisme de droite national.

    Pour compléter cette campagne axée sur le profit visant à transformer les citoyens américains en combattants ennemis (et l'Amérique en champ de bataille), un secteur technologique est de connivence avec le gouvernement pour créer un Big Brother qui sait tout, voit tout et est incontournable. Ce ne sont pas seulement les drones, les centres de fusion, les lecteurs de plaques d'immatriculation, les appareils Stingray et la NSA dont vous devez vous soucier. Vous êtes également suivi par les boîtes noires dans vos voitures, votre téléphone portable, les appareils intelligents de votre maison, les cartes de fidélité d'épicerie, les comptes de médias sociaux, les cartes de crédit, les services de streaming tels que Netflix, Amazon et les comptes de lecteurs de livres électroniques.

    Les événements de ces dernières années ont tous fait partie d'un plan directeur pour nous faire taire et nous faire taire de manière préventive : en rendant la révolution pacifique impossible et la révolution violente inévitable.

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  53. ENCORE UN ARTICLE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)

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  54. ENCORE 5 ARTICLES CENSURÉS ! (60 - 5 = 55)

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