Le droit légal à l’avortement – Qui sont les tireurs de ficelles ?
20.06.2023 www.kla.tv/26345
« Pour que l'avortement soit d'abord considéré comme une question de santé et non plus une affaire pénale. » C'est ce qu'a demandé une initiative parlementaire suisse, voulant ainsi légaliser l'avortement. L'initiative visait à mettre l'accent sur l'autodétermination et la liberté de la femme en créant une loi spéciale sur l'avortement, qui sortirait l'avortement du code pénal. Elle a été déposée en juin 2022 par Léonore Porchet, conseillère nationale des Verts et présidente de « Santé sexuelle Suisse ». Le 7 mars 2023, l'initiative a été rejetée par le Conseil national par 99 voix contre 91. Ce résultat serré confirme une tendance. En effet, l'avortement a déjà été supprimé du code pénal dans 32 pays. La France souhaite désormais inscrire le droit à l'avortement dans la Constitution, comme l'a récemment annoncé le président Emmanuel Macron. Mais d'où vient cette volonté de légaliser l'avortement ?
La cheville ouvrière suisse de la légalisation de l'avortement est l'organisation « Santé sexuelle Suisse ». Elle est partenaire de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) et membre de l’IPPF, Fédération internationale de planning familial. L'organisation reçoit chaque année environ 800 000 francs de subventions de l'Office fédéral de la santé publique.
L’IPPF est la force motrice mondiale derrière les revendications pour l'autodétermination des femmes et la lutte contre la surpopulation. Elle a été fondée en 1952 et est active dans 170 pays. Elle compte également parmi ses membres les organisations "Pro Familia" en Allemagne et la Fédération américaine de planning familial, également appelée Planning familial. Afin de comprendre les efforts déployés pour faire de l'avortement un droit dépénalisé, le contexte et le financement de l'organisation du Planning familial seront examinés plus en détail.
Fondation du Planning familial
Margaret Sanger est une infirmière et une militante féministe américaine. En 1916, elle a ouvert avec des collègues la première clinique de contrôle des naissances dans un quartier pauvre de Brooklyn, à New York. La clinique a été créée pour libérer les femmes de « l'état chronique » de grossesse et des dangers d'un avortement auto-infligé. Les efforts continus de Sanger ont finalement abouti à la création de la ligue américaine pour le contrôle des naissances en 1921 et de la Fédération pour le contrôle des naissances en 1939, qui est devenue en 1942 le Planning familial.
Dans sa lutte pour le contrôle des naissances, Margaret Sanger a envisagé de nombreuses solutions possibles. Parmi celles-ci, l'eugénisme, alors en plein essor, était une idéologie dont l'objectif était d'améliorer le patrimoine génétique humain en empêchant la reproduction des « dégénérés » génétiques.
L'eugénisme était un thème dominant lors des conférences de Margaret Sanger sur le contrôle des naissances. Elle a parlé publiquement de la nécessité de mettre un terme à la procréation par des personnes inaptes. En 1920, Sanger déclara publiquement que « Le contrôle des naissances n'est ni plus ni moins que de faciliter le processus d'élimination des inaptes [et] de prévenir la naissance de malformations. »
Et dans une interview de 1957 avec Mike Wallace, elle a continué à développer sa vision de l'éradication des « dégénérés » génétiques : « Je pense que le plus grand péché au monde est de donner naissance à des enfants qui ont des maladies héréditaires, qui n'ont aucune chance d'être en fait des êtres humains. Être un criminel et un détenu, ce sont des caractéristiques avec lesquelles on naît. C'est le plus grand péché que les hommes puissent commettre. »
Financement de la Fédération internationale de planning familial et du Planning familial La famille Rockefeller, en particulier John D. Rockefeller Jr, le fondateur de la dynastie Rockefeller, a été un partisan précoce de la vision de Margaret Sanger. Dès 1942, les Rockefeller ont commencé à soutenir l'organisation et cela s'est poursuivi jusqu'en 1975.
Plus tard, la Fédération internationale de planning familial a été financée par la Standard Oil et Shell. Et voilà que le fondateur de la Standard Oil, qui deviendra plus tard Shell, n'est autre que John D. Rockefeller lui-même. Ainsi, la poursuite du financement par les Rockefeller s'est poursuivie de manière cachée.
L'autre financier était DuPont. DuPont qui était à l'origine une usine d'explosifs, s'est transformée avec le temps en un groupe industriel de produits chimiques et d'énergie, et s'étend également au secteur de la santé. La famille DuPont, tout comme les Rockefeller, fait partie des familles les plus puissantes du monde.
En outre, le financement initial provenait des fonds du « Hugh Moore Fund » . Hugh Moore a créé le « Hugh Moore Fund for International Peace » afin de financer des organisations œuvrant pour le contrôle démographique. Son objectif premier était d'influencer la politique démographique afin de réduire le nombre d'êtres humains.
Parmi les donateurs actuels du Planning familial figurent d'autres noms connus, comme la Fondation Bill & Melinda Gates. Il est intéressant de noter que le père de Bill Gates, William H. Gates, était membre du conseil d'administration de la Fédération américaine de planning familial. Un autre donateur est la Fondation Buffett connue pour son engagement en faveur du contrôle démographique et de l'avortement. En 2014, la fondation a versé plus de 1,2 milliard de dollars à des organisations qui pratiquent ou défendent l'avortement. La Fondation Ford finance également l'organisation Planning familial. Ford a souvent collaboré avec la Fondation Rockefeller pour le financement de programmes de contrôle de la population. Selon les meilleures estimations, Ford a dépensé 150 millions de dollars pour des programmes de contrôle des naissances entre 1958 et 1983, avec un pic de financement de 25 millions de dollars en 1969. La Fondation Turner est un autre financeur. Ted Turner s'engage, selon ses propres dires, pour une politique mondiale de l'enfant unique. Il utilise sa richesse pour faire la promotion de l'avortement et du contrôle des naissances.
Lorsqu'on lit des noms aussi connus que ceux qui financent la plus grande industrie mondiale de l'avortement, on ne peut s'empêcher de penser qu'un agenda perfide pourrait se cacher derrière leur soutien. Par le biais de l'argent, ces puissants ont déjà réussi à exercer une influence profonde sur la politique nationale, y compris en Suisse, afin d'imposer leur agenda. Il semble qu'il s'agisse une fois de plus d'une forme de criminalité prétexte. Sous le prétexte de la santé des femmes, on introduit un droit dépénalisé à l'avortement et donc à l'homicide légal de vies humaines.
de sak. Sources / Liens : Santé sexuelle Suisse : https://www.sexuelle-gesundheit.ch/ueber-uns
(...) Dans sa lutte pour le contrôle des naissances, Margaret Sanger a envisagé de nombreuses solutions possibles. Parmi celles-ci, l'eugénisme, alors en plein essor, était une idéologie dont l'objectif était d'améliorer le patrimoine génétique humain en empêchant la reproduction des « dégénérés » génétiques. (...)
Comme celles et ceux qui sont appelés complotistes (anti-dictature) et aussi 'la reproduction des « dégénérés » génétiques.' !! AUCUNE femme au monde ne pourra désormais enfanter !!
Dans l'absolu, il n'y a aucune personne surdouée qui ne peut pas mettre au monde d'enfant trisomique, car l'intelligence n'est PAS génétique (on l'a tous vu avec les dégénérés qui tentent aujourd'hui de gouverner le monde).
Elle fait le buzz sur les réseaux sociaux depuis quelques jours. Une activité militaire accrue est signalée à travers les États-Unis. Personne ne sait vraiment ce qu'il y a derrière.
Chars, véhicules blindés, hélicoptères et avions de chasse : les militaires font leur apparition dans de nombreux coins des États-Unis depuis quelques jours. Les villes sont particulièrement touchées. Bien que des enregistrements vidéo plus anciens soient publiés encore et encore, il est désormais incontesté qu'il y a eu une augmentation significative de l'activité militaire aux États-Unis.
Suspect ou pas ? Il n'y a pas de déclaration officielle à ce sujet, mais il est souvent fait référence à des exercices annuels. Il n'y a donc rien de suspect derrière.
L'armée se déplace dans le centre-ville de Philadelphie.
Mais d'innombrables journalistes citoyens voient les choses différemment. Vous demandez à quoi sert cette mobilisation. Il n'y a actuellement aucun état d'urgence dans aucun État américain qui devrait être déclaré conformément à la constitution américaine afin d'activer l'armée. 29 grandes villes ont importé d'importants équipements militaires. La Maison Blanche est muette à ce sujet.
Certains enregistrements ont été "vérifiés". Par exemple, des hélicoptères militaires appartenant à la garde nationale de l'armée de l'Idaho ont été filmés en Californie. Ceux-ci ont été déplacés d'une zone d'entraînement militaire vers un dépôt d'armes.
Cependant, la plupart des vidéos bourdonnent sur le web sans contextualisation. Cela conduit à des spéculations massives. Cet utilisateur spécule par exemple sur « se préparer à une cyberattaque ».
Par exemple, alors que le journaliste citoyen Patrick Humphrey dit que "quelque chose de grand" est sur le point de se produire, d'autres disent que ce n'est qu'une pratique courante. "L'armée/la Garde nationale transporte régulièrement en permanence du matériel pour l'exercice, l'entraînement, le stockage/le déplacement ou la sécurité des VIP", disent des voix informelles.
Dans tous les cas, les transferts ont lieu en même temps que l'exercice massif de l'OTAN "Air Defender 2023" en Europe. Le sommet de l'OTAN aura lieu en Lituanie à la mi-juillet.
Dans tous les cas, les théories spectaculaires ne connaissent guère de limites : d'une nouvelle "pandémie" (après tout, Gates venait de se rendre à Xi Jinping) à une prochaine invasion extraterrestre (mise en scène), tout est inclus.
Même si ni une pandémie ni des extraterrestres ne devraient arriver : l'activité militaire américaine est actuellement très visible.
Bilderberg Whistleblower expose le plan directeur des mondialistes et comment l'arrêter
Par Alexandra Bruce La télé du savoir interdit 21 juin 2023
Journaliste d'investigation, auteur et vétéran du contre-espionnage militaire russe depuis 24 ans, Daniel Estulin se joint à Alex Jones pour discuter des origines de l'ordre bancaire libéral et de ce qu'il appelle leur « programme satanique mondial ».
Daniel continue de prétendre, comme il le fait depuis des années, que Trump, Poutine et Xi font tous partie de la même équipe, cherchant à vaincre cette hégémonie vieille de 500 ans, qui, à son tour, fait ce qu'elle peut pour faire s'effondrer les États-Unis.
«Ce sont trois amis [entre guillemets] qui combattent un ennemi mondial commun, qui est bien plus puissant que n'importe lequel d'entre eux individuellement, à savoir les financiers bancaires libéraux mondiaux. Et l'idée était, vous unissez vos forces pour détruire les financiers libéraux mondiaux et ensuite, vous vous asseyez à la table proverbiale - appelons cela l'accord de Yalta 2.0... les gagnants de cette crise post-mondiale, c'est-à-dire les États-Unis, c'est-à-dire la Russie, c'est-à-dire la Chine, c'est-à-dire l'Inde, en tant que pays le plus peuplé du monde.
"Mais encore une fois, je le répète, des efforts assez substantiels, Alex, sont faits par cette classe libérale, globalement pour s'assurer qu'aucun centre alternatif dans le monde, où qu'il soit, n'apparaisse - y compris aux États-Unis - ce qui est l'une des raisons pour lesquelles ils détruisons et démantelons les États-Unis.
Daniel rappelle à Alex comment, en 2006, lors du tournage de son interview pour le film "Endgame", il avait prédit que d'ici 2020-2025, les États-Unis seraient dans un état d'effondrement "post-crise", semblable à ce qui s'est passé. l'Union soviétique en 1991, ce qui ne semblait pas du tout plausible à l'époque. Cependant, aujourd'hui, nous voyons des membres du Congrès américain discuter ouvertement d'un « divorce national » entre les États rouges et bleus.
Daniel dit qu'il est inutile de poursuivre George Soros et d'autres personnes. Nous devons changer le modèle de gestion lui-même. "Mais pour faire cela et créer un centre alternatif - ou des centres - de pensée conceptuelle à l'échelle mondiale, vous devez créer un système et si vous essayez de le faire sans avoir d'idées conceptuelles, vous obtiendrez une réforme administrative complètement inefficace et inefficace - qui est ce que nous voyons en ce moment…
« La vraie réforme consiste à mettre fin au système monétaire impérial, à mettre fin à son contrôle de l'émission et du prix de la monnaie, à le remplacer par un système de crédit souverain. Et cela implique aussi de mettre fin au pouvoir des banques centrales privées, à commencer par la Réserve fédérale. Et donc, nous devrions éradiquer tout ce qui pue la mondialisation.
Daniel dit: «Lorsque Poutine et Trump se sont rencontrés à Helsinki, Poutine a suggéré à Donald Trump – et Trump l'a d'abord accompagné – qu'ils devaient s'unir pour créer un groupe de réflexion/institution économique en Russie – pas aux États-Unis, parce que Poutine a expliqué que vous ne pouviez pas le faire aux États-Unis, car ils le saboteraient - où les deux nations avec des experts des États-Unis, qui comprennent l'économie physique, il y a beaucoup de grands économistes américains qui ne sont pas des penseurs libéraux. « Libéral », c'est-à-dire vivre aux dépens de quelqu'un d'autre. »
Ainsi, le système mondialiste s'effondre - qu'en sortira-t-il ? Si les mondialistes réussissent, leur ordre mondial actuel sera effondré en un gouvernement mondial désindustrialisé et autoritaire qui cherche à réduire la population humaine à 1 milliard de personnes. Il s'agit d'un ancien programme qui a été énoncé dans les "Limites à la croissance" du Club de Rome.
Daniel prédit que nous assisterons à l'effondrement de l'économie de services actuelle dans le sixième paradigme technologique. Le Cinquième Paradigme Technologique portait sur la numérisation de la société et on peut désormais dire que nous sommes dans la seconde moitié de ce Cinquième Paradigme Technologique, marqué par les robots et l'Intelligence Artificielle.
Le sixième paradigme technologique sera caractérisé par des développements continus dans les nanotechnologies, la biotechnologie, l'informatique quantique et l'IA, aux points de convergence des mondes physique, numérique et biologique. Le risque va considérablement augmenter de « la fin du monde » qui a été prédite depuis des millénaires. L'humanité sera-t-elle prête intellectuellement, moralement et culturellement à gérer ces processus ?
Comme le dit Daniel, « l'effondrement moral de la nation n'est pas dû à des pertes matérielles, mais à un manque de vision d'un avenir meilleur ».
Reprinted with permission from Forbidden Knowledge TV.
BlackRock propulse les entreprises dans les bras du Nouvel Ordre Mondial
Par Alex Newman Le nouvel américain 21 juin 2023
BlackRock est un outil essentiel de l'État profond pour amener les grandes entreprises dans le nouvel ordre mondial, explique Alex Newman, rédacteur en chef de The New American, dans cet épisode de Behind The Deep State. BlackRock, avec environ 10 000 milliards de dollars sous gestion, est l'une des principales parties prenantes de pratiquement toutes les entreprises auxquelles vous pouvez penser, y compris la plupart des méga-banques. Il utilise cette influence et votre argent pour militariser les affaires contre notre nation, notre liberté, nos familles et tout ce qui est bon. Ceci est la première partie d'une série sur BlackRock.
Les Britanniques passent à l'étape suivante avec l'argent de Digi-Bed
20 juin 2023 par Thomas Oysmuller
Un projet pilote pour la CBDC britannique (monnaie de banque centrale numérique) a été achevé à Londres. Les paiements CBDC seraient «moins chers et plus efficaces», voilà le résultat.
Un projet pilote pour la propre monnaie numérique de la banque centrale du Royaume-Uni a été mené à bien en Grande-Bretagne. L'étude test du projet Rosalind a été menée conjointement par la Banque d'Angleterre et la Banque des règlements internationaux. L'étude est en cours depuis juillet 2022. Le rapport final montre qu'ils sont extrêmement satisfaits.
Bord de la route
La CBDC rendrait les paiements entre particuliers « moins chers et plus efficaces ». De plus, les entreprises auraient plus de facilité à développer de nouveaux produits financiers et la fraude pourrait être réduite. L'étude a examiné comment mettre en œuvre des prototypes d'interfaces de programmation d'applications dans les CBDC.
Encore plus explosif : l'étude incluait également le concept de "programmabilité". C'est la principale différence entre la monnaie d'aujourd'hui et la monnaie numérique de la banque centrale. La CBDC ne pourrait alors pas être librement cédée et émise, mais liée à certaines conditions. Certains fonds pourraient alors n'être « gratuits » que pour certaines dépenses.
Cependant, la Banque d'Angleterre et la BRI écartent la critique de la programmabilité. Des interfaces « bien conçues » permettraient idéalement à une banque centrale d'interagir avec le secteur privé.
"L'expérience Rosalind a stimulé l'innovation de la banque centrale dans deux domaines clés : nous avons exploré comment une couche API pourrait prendre en charge un système CBDC de détail et permettre des paiements CBDC sécurisés dans divers cas d'utilisation", a déclaré Francesca Road, directrice du London Innovation Centre de la Bank for International . Règlements dans un communiqué de presse.
Cependant, selon la Banque d'Angleterre, l'introduction du Britcoin est encore "dans quelques années". Cependant, « Bloomberg » indique que la probabilité de l'introduction du CBDCS par la Banque d'Angleterre serait actuellement d'environ 70 %.
Quant à la recherche, cela n'a d'importance que si elle peut être rattachée au complexe de subventions industrielles, qui n'est utile que pour produire plus de subventions. Le cosmos de recevoir de tels prix n'est pertinent que pour le matériel réel qu'il produit en termes de connaissances, mais pour le processus d'obtention du prix. L'argent peut alors retourner dans des poches non méritantes, avec des universitaires bénéficiaires, pour utiliser un terme populaire et atroce «se racheter» des fonctions d'enseignement. Comme l'a insisté avec une faible conviction un doyen sans importance ni pertinence : "Peu importe le nombre d'articles que vous écrivez ou le nombre de livres que vous écrivez - votre allocation de travail est la même que la suivante."
Un paresseux insensé avec une publication écrite avec plusieurs autres cancres mérite les mêmes éloges académiques que l'auteur unique de nombreuses pièces, avec un profil un peu plus grand que le rayon standard de 200 mètres vénéré dans les tours insulaires. Les dés, semble-t-il, sont jetés avant que vous ne vous rendiez compte d'une terrible réalité : la doyenne veut que vous soyez à son niveau, celui de la merveille engourdie du tableur qui touche un salaire tous les quinze jours avec une cognition minimale - sauf pour justifier les diktats du collège satanique qu'elle dessert.
Au milieu de cette situation désordonnée, les universités australiennes continuent de se livrer à cette pratique la plus odieuse : le sous-paiement du personnel, notamment ceux qui ont des contrats temporaires. Les taux de rémunération des universitaires occasionnels – et, dans certains cas, du personnel permanent – sont tout simplement scandaleux. En mars 2022, le Comité sénatorial permanent de l'économie a noté que 21 des 40 universités australiennes s'étaient rendues coupables de sous-payer le personnel.
Alors pourquoi exprimer son horreur ou sa surprise face à la dernière révélation selon laquelle les cartes-cadeaux sont utilisées pour payer le personnel académique ? Une enquête menée par la publication australienne Crikey , utilisant la liberté d'information, a révélé que cela était particulièrement évident à l'Université de technologie de Sydney.
Selon le rapport, "une faculté a débattu de l'utilisation des cartes-cadeaux comme moyen de paiement pour les universitaires pas plus tard que l'année dernière". Un message Microsoft Teams d'un responsable des ressources humaines a également déclaré en octobre de l'année dernière, avec une certaine agitation, que la faculté de santé souhaitait "avoir une autre idée de la carte-cadeau".
L'équipe des relations publiques de l'UTS a été immédiatement piqué à l'action. «Les cartes-cadeaux sont utilisées à l'UTS, comme dans toute autre organisation, en signe d'appréciation pour les non-employés qui donnent bénévolement de leur temps à l'université, par exemple, en tant que participants à la recherche, ou en tant que membres de panels d'événements ou en tant qu'un- hors conférenciers invités », a expliqué un porte-parole.
Le Comité permanent du Sénat a également constaté que divers « membres du personnel académique occasionnel ont été payés en chèques-cadeaux, au lieu des salaires, charges, congés et pensions de retraite auxquels ils ont droit ». Le Dr Hayley Singer, membre du réseau des occasionnels de l'Université de Melbourne, a déclaré au comité qu'elle avait «contesté cela à l'époque parce que je sais que je ne peux pas payer le loyer, payer le transport ou payer les factures médicales avec des cartes-cadeaux. C'est ainsi que les universitaires occasionnels et précaires sont traités lorsque nous apportons notre professionnalisme et notre expertise sur le campus et dans la salle de classe ».
Si seulement Singer réalisait que toute la fonction de l'université managériale moderne est d'éviter et d'exhorter le professionnalisme de toute sorte, notamment dans les domaines qui donnent à l'éducation sa plus grande valeur. Être professionnel, c'est être subversif, ce qui rend cet individu indispensable. Mieux vaut rejoindre les feuilles de diffusion.
* Le Dr Binoy Kampmark était boursier du Commonwealth au Selwyn College de Cambridge. Il enseigne actuellement à l'Université RMIT. Il contribue régulièrement à Global Research et Asia-Pacific Research. Courriel : bkampmark@gmail.com
Betegeuse pourrait devenir une supernova de notre vivant – plus brillante que la lune
Par Jo Nova June 20th, 2023
Les astronomes sont très excités. Un nouvel article suggère que Bételgeuse – la géante rouge d'Orion – pourrait n'être qu'à une ou deux décennies (ou peut-être un siècle) de devenir une supernova. C'est le genre de chose qui n'arrive qu'une fois tous les mille ans. Chaque fois qu'il explosera, il brillera plus fort que la lune et dominera le ciel pendant quelques mois à un an.
C'est à 600 années-lumière, donc si elle va devenir une supernova dans les vingt prochaines années, alors, bien sûr, cela doit déjà s'être produit et la lumière est en route.
Avant que quiconque ne craque les champs, le nouveau papier de Saio est basé sur des modèles essayant de comprendre ce qui se passe sur une boule de feu palpitante à 5 600 billions de kilomètres.
Charlie Martin, PJ Media :
Verrons-nous une supernova de notre vivant ? Il n'y a pas eu de supernova dans notre quartier depuis le 4 juillet 1054, lorsque les astronomes chinois ont observé une supernova, désormais étiquetée SN1054, qui est restée visible pendant près de deux ans. Les restes de cette supernova sont maintenant appelés la nébuleuse du Crabe.
À la fin de sa vie, après qu'une étoile n'a plus d'hydrogène pour fusionner, elle commence à s'effondrer. La pression et la chaleur supplémentaires générées déclenchent la fusion avec le noyau d'hélium qui produit du carbone. Lorsque l'hélium s'épuise, l'étoile rétrécit à nouveau et met sous pression le noyau de carbone, fusionnant le carbone en éléments plus gros. Mais ces étapes sont plus courtes et plus rapides. Vous trouverez ci-dessous un graphique des chronologies (avec une échelle logarithmique), et dans la dernière estimation de Saio, Bételgeuse brûle déjà à travers le noyau de carbone et a moins de 20% du carbone restant, et peut-être aussi bas que 0,5%. La ligne rouge (le carbone) atteint théoriquement un creux en moins de 10 à 100 ans.
Betegeuse, supernova, figure 6. Vie d'une étoile.
- voir clip sur site -
Le jeu est terminé lorsqu'il se fraye un chemin jusqu'au fer : Charlie Martin :
Si l'étoile a une masse supérieure à la limite de Chandrasekhar, la gravité fait que le matériau stellaire continue de fusionner, produisant des éléments de plus en plus loin jusqu'au fer et au nickel. Finalement, cependant, le noyau de l'étoile est en grande partie constitué de fer, et la fusion du fer nécessite plus d'énergie qu'elle n'en libère. À ce stade, l'équilibre entre la chaleur de fusion et la pression gravitationnelle est rompu. L'étoile s'effondre vers l'intérieur à 20 % ou plus de la vitesse de la lumière ; l'onde de choc comprime le noyau jusqu'à ce que les atomes s'effondrent ; et les électrons rencontrent les protons, les convertissant en neutrons et neutrinos et libérant d'immenses quantités d'énergie - 100 "ennemis", soit environ 1046 Joules.
Nous ne voyons peut-être pas la supernova, mais à partir de 6h40, nous pouvons au moins voir le Dr Becky Smethurst devenir véritablement excité. Elle l'explique bien. Mais quelles sont les chances qu'une étoile de 10 millions d'années atteigne la fin des jours au 21e siècle. Bon, je suis sceptique...
Parfois, il est agréable de s'éloigner de la politique.
À quelle distance se trouve Bételgeuse ?
Pour mettre en perspective le peu que nous savons, j'ai tapé "à quelle distance est Bételgeuse" et j'ai découvert à ma grande surprise, nous n'en avons pas beaucoup d'idée. Il y a trois ans, Bételgeuse a été «découverte» comme étant beaucoup plus proche que nous ne le pensions à 543 années-lumière. Mais en janvier de cette année, il s'est avéré qu'il se trouvait à 724 années-lumière de la Terre, ou au moins entre 613 et 881 années-lumière. Exactement…
Bételgeuse est un biggie. Voir la progression des corps astronomiques jusqu'à Bételgeuse dans la série 5. Si c'était là où se trouve notre soleil, il atteindrait la ceinture d'astéroïdes. Heureusement que ce n'est pas notre soleil.
Plus de dette signifie plus d’impôts, moins de croissance et des salaires plus faibles
Les dépenses à fort déficit ne sont pas un outil de croissance, mais un outil de copinage et un fardeau pour l’avenir.
le 22 juin 2023 Par Daniel Lacalle. Mises Institute
Depuis 1960, le Congrès a relevé le plafond de la dette 78 fois, selon Bloomberg. Le processus de relèvement du plafond de la dette est devenu si régulier que les marchés s’en inquiètent à peine. En outre, comme l’a montré la crise du plafond de la dette en 2011, l’impact sur les prix des actifs s’est surtout fait sentir dans les économies émergentes. En 2011, les dettes turque et indienne ont été les plus touchées, tandis que les bons du Trésor ont augmenté.
Les hommes politiques pensent que le relèvement du plafond de la dette est une politique sociale et que la dette n’a pas d’importance. Jusqu’à ce qu’elle le devienne. La dette des États-Unis par rapport au PIB est maintenant de 123,4 %, et le risque de perdre confiance dans les bons du Trésor américain en tant qu’actif le moins risqué est excessivement élevé.
Le problème du budget des États-Unis est évident au niveau des dépenses obligatoires et discrétionnaires. Concentrer toute l’attention sur les dépenses discrétionnaires ne résout pas le problème du déficit et de la dette. Essayer de convaincre les citoyens américains que le problème de la dette peut être résolu en augmentant les impôts, c’est aussi leur mentir.
Les dépenses obligatoires représentent environ 63 % du budget, les dépenses discrétionnaires près de 30 % et, malgré les faibles coûts d’emprunt, les intérêts nets consomment déjà 8 % du budget.
Le budget des États-Unis n’est pas viable, quel que soit l’angle sous lequel on l’examine.
Les projections pour l’année fiscale 2023 indiquent des dépenses de 5,9 trillions de dollars. Les dépenses ont augmenté après la pandémie de grippe aviaire il y a 19 ans. Cependant, au lieu de les ramener à leur niveau d’avant la pandémie, les dépenses ont été consolidées et annualisées. Le budget américain était déjà confronté à un problème de dépenses avant la pandémie, les dépenses ayant augmenté plus rapidement que la croissance économique.
Les mêmes projections, fournies par le Center on Budget and Policy Priorities, prévoient un déficit de 1000 milliards de dollars, même en tenant compte d’un montant record de 4000 milliards de dollars de recettes.
Les États-Unis ne peuvent en aucun cas ramener le déficit budgétaire à zéro en augmentant les impôts et les recettes. Il est impossible pour l’économie américaine de générer une augmentation annuelle consolidée des recettes fiscales de 1000 milliards de dollars par rapport à un niveau cyclique élevé de 4900 milliards de dollars. Et il ne s’agit là que de ramener le déficit à zéro, sans même commencer à s’attaquer à la réduction de la dette nette, pourtant si nécessaire.
Les déficits sont toujours un problème de dépenses, car par nature, les recettes sont cycliques et volatiles, tandis que les dépenses deviennent intouchables et augmentent chaque année.
Les néo-keynésiens diront que les déficits n’ont pas d’importance et que la dette est un atout pour le reste du monde. Si c’était le cas, pourquoi cette obsession des hausses d’impôts massives ? Il est évident que l’idée que les déficits et la dette n’ont pas d’importance parce qu’ils sont constamment refinancés n’a pas de sens. Ils sont importants parce que la confiance dans la solvabilité de l’État et de sa monnaie dépend de sa capacité à gérer la dette à un niveau qui n’effraie pas les investisseurs nationaux et internationaux. La dette n’est un atout pour les autres que si la solvabilité de l’État émetteur n’est pas remise en question.
Le plus gros problème est que la solvabilité et la confiance des États-Unis sont remises en question dans le monde entier. Les banques centrales réduisent leur exposition aux bons du Trésor américain en tant qu’actifs de réserve, précisément en raison de la baisse de confiance dans les comptes publics et des inquiétudes croissantes quant à la sécurité et à la solidité des obligations d’État en tant que valeur refuge. En 2022, de nombreuses banques centrales ont vu leurs réserves s’effondrer en raison de la baisse de valeur des bons du Trésor.
Toute l’erreur néo-keynésienne repose sur l’idée que l’État peut toujours absorber davantage de richesses du secteur privé sans que cela ne lui coûte quoi que ce soit. Or, ce coût est déjà évident. L’inflation est là, et elle est la conséquence directe d’années de monétisation de la dette publique. De plus, le cocktail dangereux comprend une forte inflation, une hausse des impôts et une augmentation de la dette. Les comptes publics ne s’améliorent pas, même avec des recettes record. L’inflation ne réduit pas le niveau global de la dette car les dépenses déficitaires augmentent en même temps que les prix à la consommation, voire davantage.
Le monde s’interroge sur les finances publiques des États-Unis, et c’est pourquoi le Congrès doit agir et freiner les dépenses. Si les choses continuent ainsi, les dépenses discrétionnaires atteindront 2500 milliards de dollars dans une décennie, et le déficit sera encore d’un demi-billion de dollars américains à la fin de la même période, même si l’économie croît sans récessions ni années de crise, une véritable impossibilité, et que l’emploi n’en souffre pas.
Le budget des États-Unis n’est absolument pas viable, et le problème réside dans les dépenses élevées et inutiles. Si le Congrès ne s’efforce pas de réduire les dépenses, la confiance mondiale dans la dette américaine risque de s’effondrer, et une monétisation accrue ne fera qu’empirer les choses, car elle détruira la confiance dans l’ensemble du système monétaire, à commencer par la monnaie.
Le maintien de ces énormes déséquilibres budgétaires ne sera pas résolu par une augmentation des impôts. Il est impossible d’augmenter les recettes de 1000 milliards de dollars chaque année et en permanence. De plus, des recettes plus élevées conduiraient les gouvernements à se sentir à l’aise et à dépenser encore plus.
Les gigantesques déséquilibres budgétaires des États-Unis mettent en péril le dollar américain et la sécurité de la dette nationale. Il n’y a rien de social à détruire le statut de réserve d’une monnaie et l’attrait d’une obligation pour les investisseurs.
Si les hommes politiques se souciaient vraiment des citoyens américains et de leur bien-être, ils devraient défendre la monnaie et la solvabilité des comptes publics. Toute autre mesure ne fera qu’accélérer l’explosion de la bombe à retardement de la dette au visage de nos fils et de nos filles.
2022 a été un signal d’alarme qui a démoli le mythe de la monétisation éternelle de la dette avec une faible inflation. Il est temps d’être sérieux.
Une dette plus élevée signifie davantage d’impôts, une croissance plus faible et des salaires réels plus faibles à l’avenir. Les dépenses à fort déficit ne sont pas un outil de croissance, mais un outil de copinage et un fardeau pour l’avenir.
Comprendre l'escroquerie de la dette. PERSONNE n'a de l'argent et pourtant... les banques en prêtent !! Cà alors !! Les banques ne prêtent pas de l'argent mais inventent une valeur sur l'ordinateur. Donc, si vous avez un ordinateur, votre créez un compte à la 'Banquechezmoi'', le créditez de un ou plusieurs milliards et çà y est ! VOUS ÊTES RIIIIICHE ! Sauf que vous, vous n'êtes pas escroc-officiel. C'est là que çà merde.
C’est le cas notamment du Haut-Commissariat au Plan, présidé par M. François Bayrou, qui produisit le 9 juillet 2021 un rapport, « L’agriculture : Enjeu de reconquête », qui servit bientôt, comme d’autres, à caler une armoire. Il a suscité quelque intérêt notamment par sa balance commerciale de la ratatouille :
« Si l’on exprime par exemple en chiffres du commerce extérieur les cinq légumes d’une ratatouille, on aboutit à un déficit de 650 millions d’euros en 2019 (- 289 millions d’euros pour les tomates, 160 millions concernant les poivrons, 110 millions s’agissant des courgettes, 47 millions pour les aubergines, et enfin 44 millions pour les oignons). »
… et une proposition de loi
Au Sénat, MM. Laurent Duplomb, Pierre Louault, Serge Mérillou et quelque 170 collègues ont déposé le 14 février 2023 une proposition de loi « pour un choc de compétitivité en faveur de la ferme France » (dossier législatif) donnant corps aux recommandations précitées. Elle a été adoptée le 23 mai 2023 par 210 voix pour, 94 contr et 26 abstentions (texte transmis à l’Assemblée nationale).
Moquons-nous de la dysenterie verbale : dans la désignation du haut-commissaire à la compétitivité des filières agricoles et agroalimentaires, la compétitivité est assortie de l’adjectif « durable »… des fois qu’on penserait qu’elle pourrait être temporaire ou précaire.
Les sénateurs ont adopté un ajout (proposé à ce stade) au début du Code rural et de la pêche maritime :
« I A. – La souveraineté alimentaire est un intérêt fondamental de la Nation au sens de l’article 410-1 du Code pénal. »
Ramons dans le labyrinthe législatif vers l’article 410-1 du Code pénal :
« Les intérêts fondamentaux de la nation s’entendent au sens du présent titre de son indépendance, de l’intégrité de son territoire, de sa sécurité, de la forme républicaine de ses institutions, des moyens de sa défense et de sa diplomatie, de la sauvegarde de sa population en France et à l’étranger, de l’équilibre de son milieu naturel et de son environnement et des éléments essentiels de son potentiel scientifique et économique et de son patrimoine culturel. »
Attention ! La terre ce n'est pas la mer ! En mer, on pêche, on mange tous les jours. A la campagne, on sème (suivant les saisons ! ou serre s'il y a), puis faut de la chaleur et de l'humidité pour que la plante germe, puis elle pousse et sort de terre, puis elle se développe grâce à l'engrais pour nourriture et produits de traitement contre les maladies et les insectes. Puis il fut aussi du soleil ! Puis il faut aussi un paysan. Attention ! là, on est pas sur les faux forums de jardinage anti-jardiniers ! On est dans un champs où il est nécessaire d'avoir un paysan, un paysan ne se forme pas en un jour, un mois ou un an. Il faut 3 GÉNÉRATIONS de paysans pour survivre dans l'agriculture !
Protéger nos réseaux d'eau à l'ère des cybermenaces
22 Juin 2023 Susan Goldhaber, ACSH*
Lorsque nous ouvrons le robinet, nous nous attendons tous à avoir de l'eau potable propre et sûre. Les menaces qui pèsent sur la cybersécurité des systèmes publics d'approvisionnement en eau potable sont des problèmes cruciaux, mais souvent négligés, auxquels notre pays est confronté. L'Agence de Protection de l'Environnement (EPA) est confrontée à la question de savoir comment réglementer ces menaces émergentes.
Ma note : Cet article traite beaucoup de procédures états-uniennes, mais porte sur un sujet important. Est-il traité de manière satisfaisante en France ? Et il n'y a pas que la sécurité informatique, mais aussi physique.
En mai 2021, le Département de la Sécurité Intérieure a lancé un avertissement selon lequel
« les cyberattaques de haut niveau contre les réseaux du secteur des systèmes d'approvisionnement en eau et de traitement des eaux usées vont se multiplier, car les cyberacteurs criminels, étatiques et terroristes, cherchent à exploiter les vulnérabilités persistantes pour atteindre des objectifs financiers, géopolitiques ou idéologiques ».
Cette inquiétude n'était pas vaine. Au cours des trois dernières années :
Des pirates informatiques d'Oldsmar, en Floride, ont tenté d'augmenter le niveau d'hydroxyde de sodium (soude caustique) dans l'eau de 100 parties par million (ppm) à 11.100 ppm, un niveau qui peut causer des difficultés à avaler, des nausées/vomissements, des douleurs abdominales et des dommages au tractus gastro-intestinal. Heureusement, un employé vigilant a remarqué que le curseur de son ordinateur se déplaçait tout seul, a réinitialisé les niveaux d'hydroxyde de sodium et a alerté son supérieur avant que des dommages ne fussent causés.
Dans la région de la baie de San Francisco, un pirate informatique, utilisant le nom d'utilisateur et le mot de passe d'un compte TeamView (un programme populaire qui permet aux utilisateurs de contrôler leurs ordinateurs à distance) d'un ancien employé, a supprimé des programmes que l'usine de traitement des eaux utilisait pour traiter l'eau potable. Le piratage ayant été découvert et corrigé rapidement, aucune défaillance n'a été signalée à la suite de cet incident.
En Israël, des pirates informatiques, ont tenté, en vain, d'augmenter les niveaux de chlore dans cinq installations nationales d'approvisionnement en eau. Si cette tentative avait réussi, elle aurait pu entraîner d'importants problèmes de santé dans tout le pays et nuire gravement à l'industrie agricole (car les installations d'approvisionnement en eau contrôlent également les pompes agricoles).
Le défi de la cybersécurité
L'EPA fournit un soutien et une assistance technique pour sécuriser les 52.000 systèmes d'approvisionnement en eau et les 16.000 systèmes de traitement des eaux usées du pays. Toutefois, en vertu de la loi sur la salubrité de l'eau potable (Safe Drinking Water Act), ce sont les États, et non le gouvernement fédéral, qui sont les premiers responsables de la sûreté et de la sécurité des systèmes d'approvisionnement en eau sur leur territoire.
Aux États-Unis, les ressources et les capacités varient. Il existe une multitude de systèmes, dont beaucoup sont assez petits et disposent de budgets limités, et un nombre croissant de systèmes d'approvisionnement en eau gérés par des entreprises privées. Les usines qui desservent de grandes populations disposent souvent d'un personnel spécialisé dans la cybersécurité. En revanche, dans les petites collectivités, une ou deux personnes gèrent l'ensemble du système d'approvisionnement en eau, et aucun membre du personnel n'est formé à la cybersécurité.
Il existe deux approches réglementaires distinctes.
L'approche de l'EPA
La loi sur la sécurité de l'eau potable (Safe Drinking Water Act) a été rédigée avant l'apparition de l'internet et, a fortiori, des cybermenaces. La loi ne donne pas à l'EPA le pouvoir direct d'établir des réglementations en matière de cybersécurité. Mais elle dispose d'une solution de contournement, à savoir l'obligation pour les systèmes publics de distribution d'eau de mener périodiquement des enquêtes sanitaires, c'est-à-dire des examens sur place « évaluant les installations, l'équipement, le fonctionnement et l'entretien en vue de produire et de distribuer de l'eau potable sûre ».
Traditionnellement, l'objectif de l'enquête sanitaire était d'identifier les conditions d'insalubrité et de s'assurer que le système d'approvisionnement en eau fonctionne de manière à fournir de l'eau potable de la source au robinet [1]. L'EPA a réagi à la cybersécurité dans les réseaux publics de distribution d'eau en publiant un mémorandum en mars dernier :
« L'EPA interprète les exigences réglementaires relatives à la conduite d'enquêtes sanitaires comme exigeant que lorsqu'une PWS [Public Water Authority – autorité publique de l'eau] utilise une technologie opérationnelle, telle qu'un système de contrôle industriel (ICS), dans le cadre de l'équipement ou du fonctionnement de tout composant requis d'une enquête sanitaire, l'enquête sanitaire de cette PWS doit inclure une évaluation de l'adéquation de la cybersécurité de cette technologie opérationnelle pour la production et la distribution d'une eau potable sûre. »
Les procureurs généraux de l'Arkansas, de l'Iowa et du Missouri ont intenté un procès à l'EPA le mois dernier, affirmant que le mémorandum sur la cybersécurité modifie la manière dont ils mènent les enquêtes sanitaires et impose une technologie et des coûts accrus aux petits systèmes d'approvisionnement en eau ruraux. Ils affirment que l'EPA :
a contourné illégalement les exigences de la loi sur la procédure administrative (Administrative Procedure Act), notamment en ce qui concerne les commentaires et l'examen publics ;
a empiété sur la souveraineté des États en menaçant de retirer des millions de dollars de financement et d'assumer l'autorité de mise en œuvre si les États ne se conformaient pas aux exigences ;
a imposé un « mandat non financé » impliquant des coûts importants, notamment des heures de travail et des ressources supplémentaires pour mener à bien les enquêtes sanitaires élargies, sans financements additionnels.
L'approche de l'American Water Works Association (AWWA)
L'AWWA, la plus grande association représentant les services de distribution d'eau aux États-Unis, a publié un rapport en 2021 concluant qu'une approche co-réglementaire, s'appuyant sur la loi de 2018 sur l'infrastructure de l'eau, était la meilleure option. Cette loi exige que les systèmes d'eau communautaires desservant plus de 3.300 personnes élaborent des évaluations des risques et de la résilience ainsi que des plans d'intervention d'urgence. Ces plans doivent tenir compte des risques pour les « systèmes électroniques, informatiques ou autres systèmes automatisés (y compris la sécurité de ces systèmes) qui sont utilisés par le système »
L'AWWA a recommandé la création d'une nouvelle entité, la Water Risk and Resilience Organization (WRRO – organisation pour les risques liés à l'eau et la résilience), pour servir et représenter les points de vue des services publics de l'eau. Le Congrès approuverait explicitement la création de la WRRO et l'extension de la surveillance de la cybersécurité à l'EPA. En collaboration avec l'EPA, cette organisation élaborerait des normes de cybersécurité, que l'EPA approuverait ou rejetterait. Si l'EPA rejetait une norme, elle fournirait des recommandations spécifiques pour une nouvelle soumission. La WRRO et l'EPA se partageraient les responsabilités en matière d'audit de conformité et d'application.
L'approche proposée par l'AWWA répondrait à l'une des principales préoccupations de la Cyberspace Solarium Commission, mandatée par le Congrès, à savoir « l'insuffisance de la coordination entre l'EPA et les autres parties prenantes en matière de sécurité des services de distribution d'eau ».
La gestion de la cybersécurité a peu de chances de réussir par la voie réglementaire. La cybersécurité nécessite un état d'esprit et une approche de partenariat. L'approche de l'AWWA semble être un bon point de départ pour faire face aux menaces de cybersécurité qui pèsent sur nos systèmes d'approvisionnement en eau. _____________
[1] Les huit composantes d'une enquête sanitaire sont la source d'eau brute, le traitement, la distribution, le stockage de l'eau finie, les pompes, la surveillance et les rapports, la gestion et l'exploitation, et la conformité de l'opérateur.
Source : A Republican-Led Lawsuit Threatens Critical US Cyber Protections (un procès mené par les Républicains menace les protections essentielles des États-Unis en matière de cybersécurité), Wired
* Susan Goldhaber, M.P.H., est une écotoxicologue qui a plus de 40 ans d'expérience dans des agences fédérales et d'État ainsi que dans le secteur privé. Elle s'intéresse particulièrement aux substances chimiques présentes dans l'eau potable, l'air et les déchets dangereux. Elle se concentre actuellement sur la traduction des données scientifiques en informations utilisables par le public.
Source : Protecting Our Water Systems in the Age of Cyber Threats | American Council on Science and Health (acsh.org)
Déclin des oiseaux : bref décryptage d'une manipulation scientifico-médiatique
22 Juin 2023 André Heitz, Haute Savoie*
« Les pratiques agricoles sont à l'origine du déclin des populations d'oiseaux en Europe », tel est le titre traduit d'un article publié dans PNAS le 15 mai 2023, de Stanislas Rigal, Vasilis Dakos, Vincent Devictor et 48 autres auteurs dont la contribution essentielle aura été de fournir des données (et de donner à l'étude l'apparence d'une recherche internationale). [1] C'est de la « science » militante.
Son destin de référence pour l'agribashing et la rhétorique décroissante est déjà scellé. Le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) en a fait la promotion avec un titre encore plus accusateur, « L’intensification de l’agriculture est à l'origine de la disparition des oiseaux en Europe ». [2] C'est un peu bémolisé dans le texte, mais le coupable est précisé : « […] les recherches montrent que l’effet néfaste dominant est celui de l'intensification de l'agriculture, c’est-à-dire de l’augmentation de la quantité d’engrais et de pesticides utilisée par hectares (sic). » Et donc « [c]es travaux démontrent l’urgence de repenser le mode de production alimentaire actuel ».
L'étude souffre de malfaçons et biais méthodologiques. C'est même apparent à la lecture du communiqué du CNRS ! Il comporte en effet un graphique qui montre que, sur la période considérée (1980-2016), le déclin général allégué de 25 % est le résultat d'une baisse rapide pendant la première moitié de la décennie 1980 et d'une relative stabilité sur les trois décennies suivantes. Il est dès lors difficile de parler de déclin ou de disparition et de jeter à la vindicte médiatique et populaire une agriculture qui n'a pas connu – que l'on sache – une évolution comparable.
L'étude comporte aussi trois graphiques sur l'évolution d'un indice multi-espèces, de l'abondance (des effectifs) et de la biomasse de 115 espèces d'oiseaux communes entre 1980 et 2016 au niveau européen (Union Européenne, Norvège, Royaume-Uni et Suisse). Les effectifs remontent à partir du milieu de la décennie 2000. La remontée, à partir de 2000 environ, est encore plus nette pour la biomasse. Mais ces données essentielles ont été reléguées dans les informations supplémentaires !
La thèse du déclin ou de la disparition a aussi été étayée par défaut, par l'absence de références textuelles ou graphiques aux espèces dites « généralistes ». Or celles-ci ont prospéré ! Pour la France, M. Philippe Stoop a calculé sur European Scientist, par exemple, que l'augmentation des effectifs et de la biomasse des seuls pigeons ramiers depuis 2001 est supérieure à la diminution de l'ensemble des espèces des milieux agricoles. [3] Il y a, en quelque sorte, « grand remplacement ».
Quant au rôle de l'agriculture, les auteurs ont utilisé un indicateur comptable et non agronomique, peu pertinent, présentant des évolutions très différentes dans le temps et d'un pays à l'autre, et peu représentatif du rôle (allégué) des engrais et des (tous les) pesticides. Des facteurs importants comme l'évolution des habitats, les ressources alimentaires, la météo, la concurrence entre espèces, la prédation ou les maladies n'ont pas été évoqués ou seulement incidemment.
Mises côte à côte comme l'a fait Libération, les cartes des déclins (allégués) de l'avifaune et de l'intensification (alléguée) agricole ne montrent pas le lien de « quasi-causalité » allégué. [4]
Il n'empêche que l'agriculture, dans toute sa complexité et pas seulement du point de vue de l'intensification, joue un rôle. C'est particulièrement le cas pour les espèces dites « des milieux agricoles », en déclin important (57 % entre 1980 et 2016 selon l'étude) – et concurrencées par les « généralistes ». Les agriculteurs peuvent et doivent contribuer à des évolutions de l'avifaune considérées comme favorables. ________________
OUI depuis plus de 20 ans il y a le déclins des oiseaux et disparitions des hirondelles. Il y a tous les jours des millions d'oiseaux et d'abeilles massacrés par les éoliennes de la Vertmark.
Conseil d'éthique allemand : la "crise climatique" comme urgence mondiale, "OneHealth" comme sauvetage
22 juin 2023 par Thomas Oysmuller
La soi-disant « crise climatique » est déjà une urgence mondiale. Le Conseil d'éthique allemand voit la réponse à cela dans l'idéologie « OneHealth », a-t-il précisé lors de sa conférence annuelle. Seuls les collectifs peuvent être « sains », mais pas les individus.
Le Conseil d'éthique allemand, et avec lui l'agenda politique, s'expose : le Covid n'était que le début. Il n'y a guère de meilleur endroit pour voir cela que lors de la réunion annuelle actuelle du Conseil d'éthique, qui a eu lieu mercredi. Le sujet était "OneHealth" - l'idéologie de la nouvelle normalité technocratique. Chaque domaine de la vie, qu'il s'agisse de l'agriculture, de la nature, des animaux et des personnes, est soumis à un dogme de "sécurité sanitaire" qui ne connaît plus de différences ni de particularités - TKP en a rendu compte plus en détail .
« OneHealh » sauve le climat Dans le langage de la présidente du conseil d'éthique, Alena Buyx (elle fait également partie de la commission autrichienne de traitement du corona !), cela ressemble à ceci : « Nous ne pouvons pas considérer notre santé isolément comme un problème de traitement médical. Au contraire, nous devrions de plus en plus comprendre la santé de manière holistique. Avec la crise climatique, les liens complexes entre la santé écologique, animale et humaine ne deviennent que trop clairs.
Le nouveau grand sujet est la « crise climatique » et elle devrait être contrôlée politiquement avec « OneHealth » :
« La crise climatique est déjà une urgence médicale mondiale et OneHealth a un grand potentiel pour renverser la situation ; les participants au Forum C en conviennent. Mais vous devez trouver des moyens de parler des défis de manière appropriée », a commenté le Conseil d'éthique lors d'un événement.
Pratiquement dénué de sens socialement jusqu'au Covid, le Conseil a donné le feu vert aux politiciens pour leur extrémisme Covid avec son "expertise" et, en tant que plus haute autorité morale, a éliminé les critiques à son encontre. Le fait que le positionnement du Conseil d'éthique - son positionnement réclamait toujours des restrictions Covid plus strictes de la part des politiques - n'était pas un hasard, mais devait devenir la règle, se voit particulièrement bien avec le sujet de OneHealth.
OneHealth - le terme « One Health » dit déjà tout : l'individu, l'être humain individuel, avec ses besoins (et capacités) physiques et psychologiques particuliers est mis de côté, c'est tout « l'organisme humain » qui compte désormais. "Sain" ne peut plus être un individu, mais seulement le "collectif".
Quoi de neuf sur #OneHealth ? La sociologue Gesa Lindemann de @UniOldenburg présentera le sujet au début de la conférence et montrera où les perspectives changent avec l'approche. pic.twitter.com/KzgWvoJ25s – Conseil d'éthique allemand (@ethikrat) 21 juin 2023
La citation de Gesa Lindemann doit être lue attentivement, elle donne un aperçu profond. La mise en œuvre de ce projet passe par l'État, donc pour Lindemann "une condition préalable importante" est "un État fonctionnel auquel les gens font également confiance".
Les frontières entre les humains et les animaux sont floues dans la nouvelle idéologie de "OneHealth". "La santé animale et environnementale" déciderait donc de "l'avenir de l'humanité", estime le vétérinaire Sascha Knauff. Ceci est également basé sur les affirmations longtemps réfutées selon lesquelles Covid-19 se serait propagé à l'homme en tant que zoonose, bien que l'origine du virus en laboratoire ne puisse guère être mise en doute. Mais le Conseil d'éthique fait le monde comme il lui plaît : « Les dangers posés par les zoonoses telles que le SRAS-CoV-2 rendent évidente l'importance de One Health. Le changement climatique exacerbera bon nombre de ces dangers.
L'ensemble du fil Twitter auto-exposant sur la conférence est incroyable. On ne cache pas la direction dans laquelle il doit aller.
L'érudit littéraire Michael Esders commente l'auto-divulgation du Conseil d'éthique : " Quiconque pense que le comportement du Conseil d'éthique pendant la "pandémie", y compris la légitimation de la vaccination obligatoire, était une erreur, devrait regarder ces déclarations sur OneHealth . Les libertés sont balayées, le changement climatique est considéré comme une "urgence médicale mondiale".
Le nouveau paradigme devrait également être inscrit juridiquement à l'ONU à travers la réforme de l'OMS.
Un compte Twitter anonyme a commenté la conférence : "OneHealth signifie en fait OneHell - et le soi-disant Conseil d'éthique joue à nouveau un rôle central - quoi d'autre ?"
Greta Thunberg a prédit la fin de l'humanité aujourd'hui
22 juin 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Les prédictions apocalyptiques nous accompagnent depuis longtemps pour faire respecter divers agendas. "Tout le monde connaîtra bientôt quelqu'un qui est mort de Covid", a déclaré le chancelier à court terme autrichien Kurz au printemps 2020 pour faire passer les mesures corona nuisibles. L'une des nombreuses déclarations absurdes de Kurz. Il y a cinq ans aujourd'hui, Thunberg affirmait que « si nous n'arrêtons pas d'utiliser les combustibles fossiles dans les cinq prochaines années, le changement climatique anéantira toute l'humanité » .
Les mesures Corona ont servi à générer des milliards de profits pour les industries pharmaceutique et de la santé et, surtout, à enrichir encore plus leurs propriétaires milliardaires. L'hystérie climatique sert à écraser la paysannerie et à déplacer la production agricole vers des usines appartenant aux mêmes milliardaires. Et cela sert également à engendrer des industries entièrement nouvelles, comme tout ce qui a trait à l'énergie solaire et éolienne, à la construction de maisons, à l'immobilier, à la propriété foncière, etc.
Dans un tweet du 21 juin 2018 maintenant supprimé, Thunberg a averti que nous n'avions que cinq ans pour sauver la planète du "changement climatique".
Aujourd'hui est l'anniversaire de la prédiction apocalyptique de Thunberg. La seule chose qui a changé depuis lors est la prise progressive du pouvoir par les élites financières au pouvoir et les multinationales, alors que le climat et l'utilisation des énergies fossiles n'ont changé que de manière marginale.
Alors qu'elle n'avait que 15 ans, Thunberg a écrit :
Un éminent climatologue avertit que le changement climatique anéantira toute l'humanité si nous n'arrêtons pas d'utiliser les combustibles fossiles dans les cinq prochaines années.
Ces avertissements alarmants, mais oubliés plus tard, avec des dates très claires et sûres, sont une partie importante de la propagande du WEF, des capitalistes financiers comme Larry Fink, PDG du gestionnaire d'actifs le plus riche BlackRock , ou des milliardaires comme Gates ou Soros et leur rang et filer les politiciens de l'UE et surtout les verts.
Cette affaire a pris une tournure propre en raison de l'effet Streisand, car Thunberg a été surpris en train de supprimer la réclamation juste avant la date limite.
Se souvenir de ces prévisions d'échéance est dangereux pour le capital financier car si la civilisation a effectivement dépassé le point de non-retour, elle pourrait limiter son pouvoir politique à mesure que les gens prennent conscience de la façon dont on leur ment.
Recommandations de livres TKP :
Livres de Promedia Verlag Mensonges, mensonges, mensonges : Terreur, tyrannie et conflagration mondiale comme nouvelle normalité des mondialistes
Certaines parties de l'océan Atlantique connaissent une vague de chaleur marine "exceptionnelle", suscitant des inquiétudes quant aux impacts sur la vie marine au large des côtes du Royaume-Uni et de l'Irlande, tandis que les scientifiques, en particulier ceux qui surveillent les ouragans, s'inquiètent d'une saison active sous les tropiques.
Le météorologue Colin McCarthy a tweeté: "Nous assistons à l'un des événements de vague de chaleur marine les plus extrêmes jamais enregistrés dans l'histoire moderne." Il a déclaré qu'une étendue d'eau surchauffée de 4 000 milles de long s'étend des eaux côtières au large de l'Afrique de l'Ouest aux eaux côtières juste au sud de l'Islande.
- voir carte sur site -
Certaines parties de la mer du Nord connaissent les températures les plus élevées depuis des décennies. Certaines zones relèvent de la catégorie quatre vague de chaleur marine – définie comme « extrême », selon la National Oceanic and Atmospheric Administration. Les températures de l'eau dans certaines régions sont de 9 degrés Fahrenheit au-dessus des niveaux moyens pour cette période de l'année.
"L'est de l'Atlantique, de l'Islande aux tropiques, est beaucoup plus chaud que la moyenne. Mais les régions autour de certaines parties du nord-ouest de l'Europe, y compris certaines parties du Royaume-Uni, ont parmi les températures de surface de la mer les plus élevées par rapport à la moyenne", a déclaré Stephen. Belcher, scientifique en chef du Met Office, a déclaré dans un communiqué.
Le scientifique en chef du Met Office, le professeur Stephen Belcher, a déclaré: "Mai 2023 a connu les températures les plus élevées de tous les mois de mai depuis 1850."
La canicule est "très exceptionnelle", a déclaré à CNN Mika Rantanen, chercheur à l'Institut météorologique finlandais. Il a dit que c'est "actuellement le plus fort sur Terre".
Richard Unsworth, professeur agrégé de biosciences à l'Université de Swansea au Royaume-Uni, a déclaré que la vague de chaleur dans l'Atlantique était "totalement sans précédent".
Les scientifiques indiquent de manière alarmante que l'eau surchauffée pourrait nuire à la vie marine car l'eau chaude contient moins d'oxygène.
Les prévisionnistes ont déclaré que les eaux anormalement chaudes de la zone tropicale de l'Atlantique pourraient déjà être responsables de deux perturbations se dirigeant vers la mer des Caraïbes.
Certaines régions de l'Atlantique n'ont enregistré des températures observées que pendant la haute saison des ouragans en septembre, ce qui indique que l'été pourrait être long et chaud.
Le météorologue Ben Noll a déclaré que ces eaux beaucoup plus chaudes que la moyenne dans les sujets se produisent dans une région connue pour être un "terrain fertile pour les ouragans".
"L'Atlantique est définitivement en feu", a déclaré Micheal Fischer, assistant scientifique à l'Institut coopératif d'études marines et atmosphériques de l'Université de Miami-NOAA, au Miami Herald.
Il pourrait y avoir plusieurs causes à l'augmentation des températures de surface de la mer, avec le phénomène météorologique El Niño en cours qui a tendance à avoir un effet de réchauffement dans certaines parties du monde. Certains ont également évoqué le manque de poussière du Sahara, qui refroidit généralement certaines parties de l'Atlantique en réfléchissant la lumière du soleil.
Deux conséquences de la canicule marine dans l'Atlantique pourraient être une faune marine dévastatrice sur les côtes européennes et une augmentation des perturbations tropicales dans la région nord-américaine.
Non, même en été la Terre ne s'est pas plus rapproché du soleil !
Il y a aux planchers maritimes & océaniques DES milliers de sources sous-océaniques (appelées 'mini-volcans') qui réchauffent continuellement les lames de fonds. Ces courants marins ressortent aux côtes et réchauffent l'atmosphère (Côtes d'Azur et bretonnes, etc).
Il se pourrait bien qu'un 'mini-volcans s'ouvre de plusieurs mètres pour devenir un comparable aux volcans terrestres.
La fusion nucléaire pour sortir des énergies fossiles ?
Pour Philippe Charlez, la fusion nucléaire est la seule technologie véritablement renouvelable, et donc à même de remplacer des énergies fossiles.
le 22 juin 2023 Philippe Charlez
Grand économiste du début du XXe siècle, Joseph Schumpeter fût le premier à proposer une vision dynamique de la croissance économique. Elle s’appuie sur l’idée de la « destruction créatrice » énonçant que toute innovation détruisant la technologie précédente est source de croissance.
La société préindustrielle était une société d’énergies renouvelables.
On se chauffait, on cuisinait et on s’éclairait au bois (biomasse), on moulait le grain grâce à l’hydraulique (moulin à eau) et l’éolien (moulin à vent), on se déplaçait sur les mers à la force du vent et à terre sur le dos d’un cheval nourri à l’avoine (biomasse). Hélas, cette société fut incapable d’offrir à nos aïeux la croissance économique nécessaire à leur développement.
Il s’agissait là de renouvelables « non technologiques ».
Aussi, durant une bonne partie du XIXe siècle, de grands scientifiques tentèrent de « techniciser » les énergies renouvelables : pile de Volta (batterie), électrolyse de Nicholson (production d’hydrogène vert), voiture électrique de Stratingh, pile à combustible de Schönbein, effet photoélectrique de Hertz (ancêtre du panneau photovoltaïque), utilisation d’huile d’arachide et d’alcool (bicarburants) dans les premiers moteurs thermiques.
Bien que la plupart des technologies renouvelables aient été découvertes avant la fin du XIXe siècle, nos illustres ancêtres ne les ont jamais industrialisées, considérant le charbon, puis le pétrole et le gaz bien plus efficaces pour assurer leur développement. Dans le jargon Schumpeterien, les énergies fossiles apparaissent donc comme la « destruction créatrice » des énergies renouvelables.
La croissance verte cherche à inverser le processus et à faire des énergies renouvelables la destruction créatrice des fossiles : mission impossible.
Fut-elle propre et renouvelable, une énergie non pilotable comme le solaire ou l’éolien (réserves infinies à l’échelle humaine) ne peut être destruction créatrice d’une énergie pilotable, même si cette dernière n’est pas renouvelable (consommatrice de ressources naturelles finies) et émettrice de gaz carbonique. Seule une énergie pilotable, renouvelable et non émettrice de déchets pourrait être destruction créatrice des fossiles.
Le nucléaire de seconde (réacteurs actuels à eau pressurisée et à neutrons lents) et de troisième (EPR) génération est pilotable et n’émet pas ou très peu de gaz carbonique.
En revanche, il est consommateur de ressources naturelles (uranium235) contenues en quantités limitées dans l’écorce terrestre et il génère des déchets radioactifs (uranium appauvri et plutonium) qu’il faudra traiter, voire entreposer durant plusieurs millénaires dans des stockages géologiques. Il ne coche donc pas les cases de la destruction créatrice.
Le nucléaire de quatrième génération (surgénération à neutrons rapide) utilise du plutonium239 (n’existant pas à l’état naturel, mais fabriqué directement dans le réacteur à partir d’uranium238) comme matériau fissile. L’uranium238 étant 140 fois moins rare que l’uranium235, le combustible nucléaire deviendrait de ce fait pratiquement inépuisable à l’échelle humaine. À ce jour, il n’existe que trois surgénérateurs : deux en Russie de 560 et 820 MW et un expérimental de 20 MW en Chine près de Pékin. La France fut pourtant pionnière en la matière avec le prototype Superphénix (puissance de 1,2 GW). Mis en service en 1986, il fût définitivement abandonné par le gouvernement de gauche plurielle de Lionel Jospin. Superphénix renaquit de ses cendres en 2006 avec le projet ASTRID (600 MW). Avec les mêmes arguments, les Verts eurent la peau d’ASTRID en 2018.
Petit frère de l’uranium238 avec des ressources naturelles 4 fois supérieures, le thorium232 est un autre élément se prêtant à la surgénération nucléaire. S’il n’existe pas aujourd’hui de surgénérateur au thorium dans le monde, la Chine vient d’annoncer la mise en service d’un prototype expérimental. Pour être développée à une échelle industrielle, cette filière prometteuse nécessitera encore de nombreuses années de recherches et d’investissements. La France, dont le granite de Quintin en Bretagne contient d’abondantes réserves de thorium, n’a malheureusement aujourd’hui aucun projet de surgénération au thorium dans ses cartons.
Le Graal de la perfection se trouve dans le cœur du soleil
Une fois de plus, l’Europe obsédée par un « Green Deal » purement moral fait fausse route.
Alors que les réacteurs à neutrons rapides français ont été reportés aux calendes grecques, les grandes puissances nucléaires (Chine, Russie, États-Unis, Inde) s’engagent sur cette voie qui coche presque toutes les cases de la destruction créatrice des fossiles : ressources pratiquement infinies (et donc renouvelables) et bien moins de déchets hautement radioactifs.
Le Graal de la perfection se trouve dans le cœur du soleil : c’est la fusion nucléaire. Alors que la fission (classique ou surgénération) cherche à produire de l’énergie en cassant un gros atome fissile (uranium, plutonium, thorium), la fusion cherche au contraire à combiner deux atomes légers, (deux isotopes de l’hydrogène – deutérium et tritium) pour produire un atome plus lourd (de l’hélium) tout en libérant des neutrons.
Comparée à tous ses confrères énergétiques, la fusion nucléaire coche toutes les cases de l’énergie parfaite : elle est pilotable et n’émet pas de déchets (l’hélium n’est pas radioactif). Par ailleurs, compte tenu des réserves quasi illimitées de deutérium dans l’eau de mer et des quantités substantielles de tritium pouvant être produites par irradiation du lithium, la disponibilité en combustibles serait assurée pour plusieurs dizaines de milliers d’années. La fusion nucléaire pourrait donc être considérée à l’échelle humaine comme une énergie renouvelable. Enfin, dans la mesure où il ne s’agit pas d’une réaction en chaîne, un dysfonctionnement du réacteur arrête immédiatement le processus. La fusion élimine toutes les externalités négatives de la fission : ressources, déchets et risque d’accident majeur.
Installé près de Cadarache dans la vallée de la Durance, le projet ITER vise à démontrer la possibilité de produire de l’électricité nucléaire à partir de la fusion. ITER pourrait libérer pour quelques millénaires l’humanité de sa geôle énergétique, pérenniser la société de croissance et renvoyer aux oubliettes les passions tristes des collapsologues décroissantistes.
Hélas, les chiffres parlent d’eux-mêmes : depuis dix ans, l’humanité a investi 5000 milliards de dollars dans les renouvelables contre moins de 20 milliards de dollars dans ITER. Sans commentaires !
Le changement climatique s'avère être un homme de 71 ans nommé Ed
21/06/2023 Rédacteurs en chef
De nombreux problèmes, allant des incendies de forêt au crime en passant par la maladie mentale, ont été imputés à quelqu'un du nom de "changement climatique". (Article de Daniel Greenfield republié de FrontPageMag.com)
Réchauffement climatique pour augmenter les crimes violents aux États-Unis - Les gens aux États-Unis pourraient voir des dizaines de milliers de crimes extra-violents chaque année, à cause du seul changement climatique. UC Boulder Pourquoi la santé mentale est une priorité pour l'action contre le changement climatique – OMS
Les scientifiques expliquent les facteurs qui ont fait exploser l'Oak Fire si soudainement - ABC News
Les facteurs se sont avérés être en effet le 'changement climatique'. Et le changement climatique s'est avéré être un homme de 71 ans nommé Ed.
Un homme de 71 ans a été arrêté pour avoir prétendument déclenché un énorme incendie de forêt dévastateur dans le parc national de Yosemite, que l'on pensait auparavant avoir été causé par le changement climatique. Edward Fredrick Wackerman de Mariposa, en Californie, a été arrêté vendredi, soupçonné d'incendie criminel pour avoir prétendument allumé l'Oak Fire, qui a détruit 127 maisons, provoqué l'évacuation de milliers de personnes et ravagé près de 20 000 acres de végétation en juillet 2022.
Bonne nouvelle, les amis. Nous pouvons arrêter d'augmenter les impôts, d'interdire les voitures et d'envoyer des équipes SWAT de l'EPA chez les gens pour avoir tenté de combler les marécages sur leur propre terrain.
Le changement climatique a été attrapé et est derrière les barreaux. Nous pouvons respirer à l'aise et Al Gore peut obtenir un vrai travail.
Les États-Unis approuvent la viande de poulet d'élevage – la Hollande exproprie les agriculteurs
22 juin 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Les animaux de la ferme ont fait leur temps, la viande peut être élevée industriellement dans la cornue. Peu importe qu'elle consomme plus d'énergie et nuise à l'environnement tant qu'elle peut éliminer les paysans et prendre d'assaut ce dernier bastion qui n'a pas encore été entre les mains des magnats de la finance et des oligarques. Les dommages sanitaires qui ne manqueront pas de survenir plaisent à nouveau à l'industrie pharmaceutique.
La viande de poulet cultivée en laboratoire a été approuvée par le département américain de l'Agriculture (USDA) mercredi - une percée majeure pour la viande "de culture cellulaire". La FDA avait précédemment désigné ce type d' aliment comme inoffensif pour la santé.
Avec la première approbation officielle aux États-Unis, les aliments issus de l'élevage industriel arrivent d'abord dans les restaurants et enfin aux consommateurs via les supermarchés. L'USDA a autorisé deux sociétés californiennes, Upside Foods et Good Meat, à recevoir les inspections d'État nécessaires pour vendre de la viande et de la volaille.
" Cette approbation changera fondamentalement la façon dont la viande arrive sur notre table ", a déclaré Uma Valeti, PDG et fondatrice d'UPSIDE Foods, dans un communiqué . "C'est un grand pas en avant vers un avenir plus durable - un avenir qui préserve le choix et la vie."
Josh Tetrick, co-fondateur et PDG d'Eat Just, l'opérateur de Good Meat, a qualifié cette annonce de "moment important pour notre entreprise, l'industrie et le système alimentaire".
Les entreprises s'efforcent d'apporter de la viande de culture sur le marché américain depuis des années. La Food and Drug Administration a déjà classé les aliments des deux sociétés comme étant sans danger pour la consommation humaine. Mais avant que la nourriture ne puisse arriver sur le marché, elle devait être inspectée par l' USDA.
Les progrès de la technologie de la culture cellulaire ont permis aux développeurs d'aliments d'utiliser des cellules animales pour produire des aliments. Comme indiqué, la production de "boeuf" à partir de la cornue a également commencé en Hollande depuis début mai. Chez Google, nous trouverons surtout des rapports positifs à ce sujet. Le co-fondateur de Google, Sergej Brin, est l'un des investisseurs qui a financé le développement dès le début.
Les deux entreprises américaines lanceront leur poulet d'élevage en quantités limitées par l'intermédiaire de restaurants partenaires sélectionnés. Upside a déjà traité la première commande de son poulet de culture, passée par le chef triplement étoilé Dominique Crenn, a annoncé mercredi la société. Good Meat a également annoncé qu'elle avait immédiatement commencé à produire le premier lot de ses poulets reproducteurs pour le restaurateur José Andrés, dont l'entreprise exploite plus de deux douzaines de restaurants à travers les États-Unis.
Des sommes colossales pour le financement expliquent l'intérêt du capital financier À ce jour, UPSIDE Food a levé 598 millions de dollars d'investissements en 7 tours auprès de 40 investisseurs.
La société Eat Just a été financée en 12 tours par 43 investisseurs à hauteur de 465 millions de dollars.
Environ 1 milliard de dollars ont été investis dans ces deux sociétés seulement. Mosa Meat, basée aux Pays-Bas, qui élève du bœuf et l'expédie en Allemagne, a déjà levé 96 millions de dollars . Outre le co-fondateur de Google, Sergej Brin, les investisseurs incluent également "l'ambassadeur de l'environnement et du climat" de l'ONU.
Recommandations de la littérature sur la viande de laboratoire.
Les conséquences pour les agriculteurs aux Pays-Bas et aux États-Unis L'investissement dans le poulet cultivé en laboratoire est d'environ 1 milliard de dollars. Aux Pays-Bas et aux États-Unis, les agriculteurs sont expropriés pour protéger ces investissements.
La Hollande tire sur les agriculteurs qui osent sauver leurs moyens de subsistance des voyous du gouvernement qui veulent les emmener.
Il existe un risque très réel que cela se produise dans tous les pays actuellement infiltrés par des agents du #WEF, comme nous l'avons vu plus tôt lorsque 3000 fermes en Hollande ont été expropriées par le gouvernement néerlandais.
Le WEF ordonne au gouvernement américain de saisir les fermes et de brûler des millions de bovins d'ici 2025 - The People's Voice Un nouvel ordre fasciste du #WEF arrive. Ils ont infiltré nos gouvernements et nos frontières. Détruisez les fermes indépendantes. Prenez le contrôle de la #nourriture.
Mensonges, mensonges, mensonges : Terreur, tyrannie et conflagration mondiale comme nouvelle normalité des mondialistes Voici le profil de Jessica Rose :
- voir doc sur site -
Ce qu'elle a à dire au monde est réprimé dans l'UE.
La Journée mondiale des réfugiés marquée par 108 millions de personnes déplacées
La tragédie méditerranéenne impliquant les garde-côtes grecs caractérise la crise naissante qui trouve son origine dans les guerres et les politiques impérialistes des États-Unis
Par Abayomi Azikiwe Recherche mondiale, 22 juin 2023
Le 20 juin de chaque année est commémoré comme la Journée mondiale des réfugiés, une reconnaissance de ceux qui ont fui leur pays de naissance pour chercher un soulagement à des conditions dangereuses d'origine humaine ainsi qu'à des catastrophes naturelles.
En 2023, le nombre de réfugiés et de personnes déplacées à l'international (PDI) a atteint des niveaux sans précédent, 108,4 millions étant désignés par les Nations Unies comme appartenant à ces deux catégories.
Le nombre de personnes déplacées aujourd'hui est deux fois plus élevé que celui des personnes déplacées à la fin de la Seconde Guerre mondiale. De nombreux réfugiés et déplacés internes souffrent des conséquences directes des guerres de changement de régime et d'occupation menées par les États-Unis et l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN).
Ce qui n'est souvent pas mentionné, c'est le grand nombre de réfugiés et de personnes déplacées d'Ukraine, qui a été au centre d'une guerre par procuration menée par l'OTAN contre la Fédération de Russie au cours des neuf dernières années. Depuis le début de la dernière phase de la guerre le 24 février 2022, des millions d'Ukrainiens et d'autres vivant à l'intérieur du pays ont échappé aux combats.
Les chiffres donnés pour le nombre de réfugiés ukrainiens dépassent les 8 millions. Beaucoup ont fui vers la Pologne voisine qui est un centre militaire pour la guerre soutenue par l'OTAN, fournissant une base arrière pour l'entraînement, l'armement et le lancement des troupes ukrainiennes dans la bataille contre les forces armées russes.
Les autres régions géopolitiques touchées par les programmes de déstabilisation du Pentagone et de la Central Intelligence Agency (CIA) sont la Syrie, où Washington a soutenu une insurrection contre le gouvernement du président Bachar al-Assad à partir de 2011. La Libye a été le premier projet à grande échelle du Commandement américain pour l'Afrique. (AFRICOM) qui, grâce à l'utilisation de deux résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies, a bombardé l'État riche en pétrole tout en déployant des rebelles pour prendre le contrôle de zones urbaines et de ports stratégiques au cours des premiers mois de 2011.
La guerre du Pentagone et de l'OTAN contre la Libye a tué entre 50 000 et 100 000 personnes et déplacé plus de deux millions de personnes. L'assassinat de l'ancien dirigeant le colonel Mouammar Kadhafi et le renversement du système politique de la Jamahiriya ont conduit à la prolifération généralisée d'armes qui ont été acheminées vers des groupes rebelles, dont beaucoup ont leurs origines au sein des services de renseignement américains.
Depuis la destruction de la Libye sous le président démocrate Barack Obama, l'État auparavant le plus prospère d'Afrique est devenu une source d'instabilité, de factionnalisme et de traite des êtres humains. Les milliers de personnes, y compris des nourrissons et des enfants, qui sont trafiquées à travers la Libye et d'autres États d'Afrique du Nord, représentent le sous-produit humain d'une politique de militarisme impérialiste visant à perpétuer le contrôle hégémonique de l'Occident sur une majorité de la population mondiale.
La tragédie du 13 juin en Méditerranée
Environ 500 personnes sont toujours portées disparues après le naufrage d'un navire dangereux en Méditerranée cherchant à entrer dans l'Union européenne. 82 personnes ont été confirmées mortes tandis qu'un petit nombre d'autres ont été secourues par les garde-côtes grecs au large de Pylos.
Depuis le jour de la catastrophe, il y a eu des rapports contradictoires sur les détails de l'événement tragique. Les porte-parole des garde-côtes grecs ont déclaré que le navire transportant environ 750 personnes avait refusé l'aide de leur personnel.
Ce récit a été contesté par des groupes d'aide aux réfugiés et des survivants des noyades massives. Les politiciens grecs et les agences de défense des réfugiés ont condamné le rôle du gouvernement intérimaire du Premier ministre Ioannis Sarmas pour ne pas avoir rempli ses obligations en vertu du droit maritime international de secourir les navires en détresse.
Il a été rapporté qu'une corde était attachée au navire du migrant dans le but de le faire sortir des eaux grecques vers l'Italie. Dans un premier temps, les garde-côtes grecs ont nié que cela se soit produit, continuant à répéter que les migrants ne voulaient pas d'assistance et se dirigeaient vers les eaux italiennes.
Un rapport publié par la BBC a révélé :
« Une organisation qui fournit un soutien aux migrants en mer, Alarm Phone, a envoyé un e-mail mardi 13 juin après-midi avertissant les garde-côtes et d'autres que pas moins de 750 personnes étaient à bord et qu'elles demandaient de l'aide de toute urgence. Deux récits de survivants ont suggéré que le fait d'attacher une corde au bateau de pêche aurait pu le faire couler. L'un vient d'un conseiller local de la ville portuaire de Kalamata qui avait précédemment parlé à un Syrien de 24 ans. «Le bateau des garde-côtes les a attachés avec une corde et a essayé de les remorquer vers la gauche. Pour une raison inconnue, le bateau a viré à droite et a soudainement coulé », a déclaré Tasos Polychronopoulos. Un autre rescapé a donné une version similaire à l'ancien Premier ministre Alexis Tsipras lors d'une visite à Kalamata jeudi 15 juin. "Les garde-côtes grecs ont demandé au navire de les suivre, mais ils n'ont pas pu, " a dit un traducteur à M. Tsipras. "Les garde-côtes ont alors jeté une corde mais parce qu'ils ne savaient pas comment tirer la corde, le navire a commencé à se balancer à droite et à gauche." "Le bateau des garde-côtes allait trop vite, mais le navire pendait déjà sur la gauche, et c'est comme ça qu'il a coulé."
Neuf personnes, dont plusieurs Égyptiens, ont été arrêtées, soupçonnées de trafic d'êtres humains, rapporte la télévision grecque.
Bien que la noyade de migrants des 13 et 14 juin ait été un exemple profond du sort des personnes déplacées par les politiques militaires et économiques impérialistes, de tels incidents se produisent depuis près d'une décennie. Les États-Unis et d'autres États de l'UE-OTAN parlent des conditions des migrants et des autres personnes déplacées comme s'ils n'avaient joué aucun rôle dans la crise.
Alors qu'en fait, les pays occidentaux industrialisés sont à l'origine de l'instabilité croissante dans la région eurasienne et en Afrique. De plus, la situation à la frontière sud entre les États-Unis et le Mexique est provoquée par les mêmes politiques impérialistes d'exploitation, de déstabilisation et de militarisme.
De plus, l'existence de la crise migratoire provoquée par les États occidentaux a fourni une justification à l'ascension des groupements, des partis politiques et des gouvernements d'ultra-droite et néo-fascistes en Europe, au Royaume-Uni et en Amérique du Nord. L'afflux de millions de personnes non blanches en Europe et en Amérique du Nord alimente le racisme et la violence institutionnels.
Une trahison de la Convention et du Protocole sur les réfugiés
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, où des dizaines de millions de personnes ont été tuées dans la guerre et le génocide systématique, les Nations Unies ont adopté la Convention sur les réfugiés afin de protéger les personnes qui ont fui leur pays, ont été déplacées à l'intérieur des frontières nationales ou qui restent apatrides en raison de injustices internationales.
Selon la déclaration des Nations Unies en l'honneur de la Journée mondiale des réfugiés :
« Les réfugiés sont parmi les personnes les plus vulnérables au monde. La Convention de 1951 sur les réfugiés et son Protocole de 1967 contribuent à les protéger. Ce sont les seuls instruments juridiques mondiaux couvrant explicitement les aspects les plus importants de la vie d'un réfugié. Selon leurs dispositions, les réfugiés méritent, au minimum, les mêmes normes de traitement dont jouissent les autres ressortissants étrangers dans un pays donné et, dans de nombreux cas, le même traitement que les nationaux. La Convention de 1951 contient un certain nombre de droits et souligne également les obligations des réfugiés envers leur pays d'accueil. La pierre angulaire de la Convention de 1951 est le principe de non-refoulement. Selon ce principe, un réfugié ne doit pas être renvoyé dans un pays où il fait face à de graves menaces pour sa vie ou sa liberté.
Cependant, l'incapacité non seulement à protéger les droits des réfugiés, mais à les considérer comme un outil politique à manipuler par les États occidentaux, viole clairement la lettre et l'esprit de la Convention sur les réfugiés. Il ne peut y avoir de renversement de cette crise sans un défi concerté aux politiques militaires et économiques des États impérialistes.
En réalité, plus les fonds et les armes envoyés à l'Ukraine augmenteront inévitablement le nombre de réfugiés et de personnes déplacées. Tant que les États-Unis et les autres États occidentaux continueront de soutenir l'État d'Israël contre les Palestiniens et les autres pays voisins, il y aura des gens qui fuiront la région en quête de sécurité.
La présence croissante de l'AFRICOM et de l'ancienne opération française Barkhane n'a apporté aucune aide aux gouvernements africains dans leur quête pour renforcer leurs appareils de sécurité intérieure. En revanche, le niveau d'instabilité dans divers États du continent s'est aggravé en raison des interventions impérialistes.
Par conséquent, afin de mettre fin aux crises de migration et de déplacement interne, l'ONU, les organisations de masse et les partis politiques doivent s'opposer à la déstabilisation impérialiste et aux occupations militaires. Un monde doit être créé où chacun a droit à un logement décent, à la nourriture, à l'eau, à la sécurité économique et au droit à la pleine égalité et à l'autodétermination.
Abus de l'IA "de l'état profond" : le plus grand danger de l'IA et pourtant personne n'en parle !
Par Karsten Riise Recherche mondiale, 22 juin 2023
Il y a beaucoup de problèmes de suivi concernant l'intelligence artificielle (IA) - l'un des grands suivis est la concentration d'un pouvoir inimaginable dans l'état profond, que l'IA permettra.
Peu de gens sont conscients du niveau de brouillard diffusé depuis l'État profond américain sur l'IA.
L'abus de l'IA à l'état profond est le plus grand danger de l'IA. Et pourtant, personne n'en parle !
Tous les discours sur "l'IA prenant le contrôle du monde" sont une mauvaise direction. Il pointe délibérément dans la fausse direction.
Le rôle de la grande technologie est une préoccupation, mais la façon dont elle est présentée est également une mauvaise direction - détournant l'attention de l'état profond.
Après tout, les grandes technologies - comme les médias grand public - font ce que l'État profond leur ordonne de faire. Cela n'est pas public – et peut même aller à l'encontre de la loi !
Le Washington Post donne un exemple frappant du discours public abyssal dans son rapport d'aujourd'hui 21 juin 2023 sur les initiatives législatives sur l'IA - voir lien .
Lire attentivement.
Il s'agit (A) de la "menace de l'IA qui prend le dessus" et (B) de la peur des "grandes entreprises".
C'est un bon cocktail pour effrayer beaucoup de conservateurs tech-sceptiques et de libéraux craignant la technologie et les faire aspirer à toutes les libertés que les législateurs veulent écrire, non pas pour le public, mais pour l'État profond et eux-mêmes contre le public.
PERSONNE dans l'arène politique ne parle du risque que l'IA pose entre les mains de l'État profond - et comment y faire face.
Toute discussion éparse sur le risque d'utilisation et d'abus de l'IA par l'État est toujours détournée des États-Unis - généralement vers la « Chine ». Les gens ne doivent pas être dupes.
Un système de « points sociaux » pour chaque individu existe peut-être déjà aux États-Unis, qui sera bientôt géré par l'IA. Ce ne sera tout simplement pas une chose connue du public. Et à l'intérieur de l'état profond, cela s'appellera quelque chose de "bon", comme "l'évaluation individuelle des risques" ou autre. Ajoutez à cela la "police prédictive" gérée par l'IA, pour cibler, harceler et détruire des groupes et des individus, et vous obtenez un cocktail très puissant.
Je voudrais ici rappeler les discussions qui ont eu lieu pendant des décennies sur Internet et l'État de surveillance. Et soyez sûr que, quoi que fassent les États-Unis, des pays comme le Canada, le Danemark, la Suède et d'autres pays prétentieux « bienfaisants » les soutiendront. Le Danemark a enfreint ses propres lois pour se plier en quatre pour construire une station d'espionnage pour les États-Unis. Et remarquez, qu'une prédominance des protagonistes du top IA sont liés à l'Université de Toronto au Canada.
Personne ne craint qu'Internet ne prenne le contrôle de la société. Mais nous savons tous qu'Internet est utilisé pour la surveillance et le contrôle. Contrôle des citoyens américains et de tous les autres en dehors des États-Unis. Personne ne veut abolir Internet à cause de cela, car nous en bénéficions tous tellement. Mais à l'exception de quelques-uns qui sont désormais poursuivis par l'État profond américain, personne ne prend suffisamment au sérieux la discussion sur la surveillance et le contrôle pour y faire quoi que ce soit.
L'IA va dans le même sens.
Au final, le Monde est mieux servi en étant multipolaire ; ne pas concentrer tout le pouvoir - y compris tout le pouvoir de l'IA - entre les mains d'une élite dans un seul État.
Voici la liste des médias qui ont touché 319 millions de Bill Gates pour contrôler nos opinions
Par Cheikh Dieng Mondialisation.ca, 21 juin 2023
Une information publiée en 2021 mais qui mérite une nouvelle fois que notre média la mette à la disposition du grand public dans un contexte particulier marqué par une violence et une agressivité indescriptibles des grands médias qui refusent catégoriquement de couvrir la corruption qui gangrène le monde scientifique.
Mais, pour quelles raisons les médias refusent-ils de s’attaquer à Big Pharma ? Sont-ils payés par les labos pour taire les pratiques malsaines courageusement dénoncées par des centaines de scientifiques depuis le début de la pandémie ? Les questions se posent et le débat est ouvert.
En tout cas, ce l’on sait jusqu’ici, c’est que de grands médias en Occident sont financés par le milliardaire Bill Gates dont les liens avec les labos sont connus de tous. Pour vous donner une idée de cette connivence entre le fric et Big Pharma, Lecourrier-du-soir.com a jugé bon de republier une révélation faite il y a un an sur ce sujet.
«D’après une révélation explosive faite ce 15 novembre par le média d’investigation Mint Press News qui fédère des journalistes d’investigation du monde entier, Bill Gates a versé, à travers sa fondation, 319 millions de dollars à des médias américains et internationaux qui lui déroulent le tapis rouge en promouvant des sujets qui lui tiennent à cœur».
Bill Gates a-t-il pris le contrôle total des opinions des citoyens du monde entier ? La question se pose à la suite d’une révélation explosive faite ce 15 novembre par le média d’investigation MintPresseNews.com. En effet, ce média a révélé que Bill Gates a versé 319 millions de dollars à différents groupes de presse dans le monde pour contrôler la ligne éditoriale et imposer son agenda sur certains sujets.
Le média dit avoir obtenu ces informations en fouillant dans quelque 30 000 dons effectués par la fondation Bill & Melinda Gates et figurant dans sa base de données. MintPressNews.com est allé jusqu’à dévoiler le nom des médias qui ont bénéficié de ce gigantesque financement.
Parmi les médias cités, figurent : CNN, NBC, PBS et The Atlantic pour ce qui concerne les États-Unis. Dans le reste du monde, d’autres médias ont été mouillés. Parmi eux, figurent : El Pais (en Espagne), The BBC, The Guardian, The Financial Times et The Daily Telegraph (au Royaume-Uni), Der Spiegel (en Allemagne), Al-Jazeera (au Qatar) et Le Monde (en France).
Les montants versés à ces médias ont été dévoilés. Ainsi, la chaîne américaine CNN a touché 3 600 000 dollars du milliardaire américain. El Pais a touché 3 968 184 dollars ; Le Monde aurait touché 4 014 512 dollars ; la BBC a touché 3 668 657 dollars ; Der Spiegel a touché 5 437 294 dollars. Le média The Guardian semble avoir remporté le gros lot : 12 951 391 dollars. Et la liste n’est pas exhaustive.
D’après la source, cet argent sert à couvrir des thématiques chères à Bill Gates. Par exemple, les 3 600 000 dollars qui ont été attribués à la chaîne CNN servent à couvrir des questions liées au genre et à la parité, avec un focus sur les pays en voie de développement.
Après avoir fourni des informations extrêmement détaillées sur les financements de Gates accordés aux médias, le site d’information Mint Press News explique à quel point cette mainmise sur les médias tue le journalisme, en imposant à la presse une seule ligne favorable au tout-puissant milliardaire américain.
Par ce système qui s’apparente clairement à de la corruption, l’image de Bill Gates est constamment redorée par les médias internationaux qui le présentent ainsi comme un véritable sauveur de la planète. Ses conflits d’intérêts et les graves scandales dans lesquels il est impliqué sont volontairement passés sous silence et ceux qui osent en parler risquent de le payer très cher.
Autrement dit, tout ce qui est défavorable à sa Majesté Gates est purement et simplement censuré.
Le droit légal à l’avortement – Qui sont les tireurs de ficelles ?
RépondreSupprimer20.06.2023
www.kla.tv/26345
« Pour que l'avortement soit d'abord considéré comme une question de santé et non plus une affaire pénale. » C'est ce qu'a demandé une initiative parlementaire suisse, voulant ainsi légaliser l'avortement. L'initiative visait à mettre l'accent sur l'autodétermination et la liberté de la femme en créant une loi spéciale sur l'avortement, qui sortirait l'avortement du code pénal. Elle a été déposée en juin 2022 par Léonore Porchet, conseillère nationale des Verts et présidente de « Santé sexuelle Suisse ». Le 7 mars 2023, l'initiative a été rejetée par le Conseil national par 99 voix contre 91. Ce résultat serré confirme une tendance. En effet, l'avortement a déjà été supprimé du code pénal dans 32 pays. La France souhaite désormais inscrire le droit à l'avortement dans la Constitution, comme l'a récemment annoncé le président Emmanuel Macron. Mais d'où vient cette volonté de légaliser l'avortement ?
La cheville ouvrière suisse de la légalisation de l'avortement est l'organisation « Santé sexuelle Suisse ». Elle est partenaire de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) et membre de l’IPPF, Fédération internationale de planning familial. L'organisation reçoit chaque année environ 800 000 francs de subventions de l'Office fédéral de la santé publique.
L’IPPF est la force motrice mondiale derrière les revendications pour l'autodétermination des femmes et la lutte contre la surpopulation. Elle a été fondée en 1952 et est active dans 170 pays. Elle compte également parmi ses membres les organisations "Pro Familia" en Allemagne et la Fédération américaine de planning familial, également appelée Planning familial.
Afin de comprendre les efforts déployés pour faire de l'avortement un droit dépénalisé, le contexte et le financement de l'organisation du Planning familial seront examinés plus en détail.
Fondation du Planning familial
Margaret Sanger est une infirmière et une militante féministe américaine. En 1916, elle a ouvert avec des collègues la première clinique de contrôle des naissances dans un quartier pauvre de Brooklyn, à New York. La clinique a été créée pour libérer les femmes de « l'état chronique » de grossesse et des dangers d'un avortement auto-infligé. Les efforts continus de Sanger ont finalement abouti à la création de la ligue américaine pour le contrôle des naissances en 1921 et de la Fédération pour le contrôle des naissances en 1939, qui est devenue en 1942 le Planning familial.
RépondreSupprimerObjectifs du Planning familial
Dans sa lutte pour le contrôle des naissances, Margaret Sanger a envisagé de nombreuses solutions possibles. Parmi celles-ci, l'eugénisme, alors en plein essor, était une idéologie dont l'objectif était d'améliorer le patrimoine génétique humain en empêchant la reproduction des « dégénérés » génétiques.
L'eugénisme était un thème dominant lors des conférences de Margaret Sanger sur le contrôle des naissances. Elle a parlé publiquement de la nécessité de mettre un terme à la procréation par des personnes inaptes. En 1920, Sanger déclara publiquement que « Le contrôle des naissances n'est ni plus ni moins que de faciliter le processus d'élimination des inaptes [et] de prévenir la naissance de malformations. »
Et dans une interview de 1957 avec Mike Wallace, elle a continué à développer sa vision de l'éradication des « dégénérés » génétiques : « Je pense que le plus grand péché au monde est de donner naissance à des enfants qui ont des maladies héréditaires, qui n'ont aucune chance d'être en fait des êtres humains. Être un criminel et un détenu, ce sont des caractéristiques avec lesquelles on naît. C'est le plus grand péché que les hommes puissent commettre. »
Financement de la Fédération internationale de planning familial et du Planning familial
La famille Rockefeller, en particulier John D. Rockefeller Jr, le fondateur de la dynastie Rockefeller, a été un partisan précoce de la vision de Margaret Sanger. Dès 1942, les Rockefeller ont commencé à soutenir l'organisation et cela s'est poursuivi jusqu'en 1975.
Plus tard, la Fédération internationale de planning familial a été financée par la Standard Oil et Shell. Et voilà que le fondateur de la Standard Oil, qui deviendra plus tard Shell, n'est autre que John D. Rockefeller lui-même. Ainsi, la poursuite du financement par les Rockefeller s'est poursuivie de manière cachée.
L'autre financier était DuPont. DuPont qui était à l'origine une usine d'explosifs, s'est transformée avec le temps en un groupe industriel de produits chimiques et d'énergie, et s'étend également au secteur de la santé. La famille DuPont, tout comme les Rockefeller, fait partie des familles les plus puissantes du monde.
En outre, le financement initial provenait des fonds du « Hugh Moore Fund » . Hugh Moore a créé le « Hugh Moore Fund for International Peace » afin de financer des organisations œuvrant pour le contrôle démographique. Son objectif premier était d'influencer la politique démographique afin de réduire le nombre d'êtres humains.
Parmi les donateurs actuels du Planning familial figurent d'autres noms connus, comme la Fondation Bill & Melinda Gates. Il est intéressant de noter que le père de Bill Gates, William H. Gates, était membre du conseil d'administration de la Fédération américaine de planning familial. Un autre donateur est la Fondation Buffett connue pour son engagement en faveur du contrôle démographique et de l'avortement. En 2014, la fondation a versé plus de 1,2 milliard de dollars à des organisations qui pratiquent ou défendent l'avortement. La Fondation Ford finance également l'organisation Planning familial. Ford a souvent collaboré avec la Fondation Rockefeller pour le financement de programmes de contrôle de la population. Selon les meilleures estimations, Ford a dépensé 150 millions de dollars pour des programmes de contrôle des naissances entre 1958 et 1983, avec un pic de financement de 25 millions de dollars en 1969. La Fondation Turner est un autre financeur. Ted Turner s'engage, selon ses propres dires, pour une politique mondiale de l'enfant unique. Il utilise sa richesse pour faire la promotion de l'avortement et du contrôle des naissances.
RépondreSupprimerLorsqu'on lit des noms aussi connus que ceux qui financent la plus grande industrie mondiale de l'avortement, on ne peut s'empêcher de penser qu'un agenda perfide pourrait se cacher derrière leur soutien. Par le biais de l'argent, ces puissants ont déjà réussi à exercer une influence profonde sur la politique nationale, y compris en Suisse, afin d'imposer leur agenda. Il semble qu'il s'agisse une fois de plus d'une forme de criminalité prétexte. Sous le prétexte de la santé des femmes, on introduit un droit dépénalisé à l'avortement et donc à l'homicide légal de vies humaines.
de sak.
Sources / Liens :
Santé sexuelle Suisse :
https://www.sexuelle-gesundheit.ch/ueber-uns
https://www.sexuelle-gesundheit.ch/ueber-uns/jahresbericht
Initiative parlementaire suisse : https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/amtliches-bulletin/amtliches-bulletin-die-verhandlungen?SubjectId=59916
L'avortement en France : https://www.faz.net/aktuell/politik/frankreich-macron-will-recht-auf-abtreibung-in-verfassung-verankern-18733696.html
A propos de Margaret Sanger :
https://www.youtube.com/watch?v=bPY_Bsxvjqg
https://www.pbs.org/wgbh/americanexperience/features/pill-eugenics-and-birth-control/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Margaret_Sanger
https://de.wikipedia.org/wiki/Margaret_Sanger#Eugenik
Financement:
https://www.rbf.org/about/our-history/timeline/planned-parenthood
https://en.wikipedia.org/wiki/Planned_Parenthood
https://de.wikipedia.org/wiki/William_H._Gates,_Sr.
https://de.wikipedia.org/wiki/International_Planned_Parenthood_Federation
https://de.wikipedia.org/wiki/E._I._du_Pont_de_Nemours_and_Company
https://www.history.de/news/detail/die-maechtigsten-familien-der-welt.html
https://www.kath.net/print/29258
https://www.influencewatch.org/non-profit/susan-thompson-buffett-foundation/
https://www.influencewatch.org/person/allen-greenberg/
https://www.influencewatch.org/non-profit/ford-foundation/
https://www.kla.tv/fr
(...) Dans sa lutte pour le contrôle des naissances, Margaret Sanger a envisagé de nombreuses solutions possibles. Parmi celles-ci, l'eugénisme, alors en plein essor, était une idéologie dont l'objectif était d'améliorer le patrimoine génétique humain en empêchant la reproduction des « dégénérés » génétiques. (...)
SupprimerComme celles et ceux qui sont appelés complotistes (anti-dictature) et aussi 'la reproduction des « dégénérés » génétiques.' !! AUCUNE femme au monde ne pourra désormais enfanter !!
Dans l'absolu, il n'y a aucune personne surdouée qui ne peut pas mettre au monde d'enfant trisomique, car l'intelligence n'est PAS génétique (on l'a tous vu avec les dégénérés qui tentent aujourd'hui de gouverner le monde).
Forte activité militaire aux États-Unis
RépondreSupprimer21 juin 2023
par Thomas Oysmuller
Elle fait le buzz sur les réseaux sociaux depuis quelques jours. Une activité militaire accrue est signalée à travers les États-Unis. Personne ne sait vraiment ce qu'il y a derrière.
Chars, véhicules blindés, hélicoptères et avions de chasse : les militaires font leur apparition dans de nombreux coins des États-Unis depuis quelques jours. Les villes sont particulièrement touchées. Bien que des enregistrements vidéo plus anciens soient publiés encore et encore, il est désormais incontesté qu'il y a eu une augmentation significative de l'activité militaire aux États-Unis.
Suspect ou pas ?
Il n'y a pas de déclaration officielle à ce sujet, mais il est souvent fait référence à des exercices annuels. Il n'y a donc rien de suspect derrière.
L'armée se déplace dans le centre-ville de Philadelphie.
Mais d'innombrables journalistes citoyens voient les choses différemment. Vous demandez à quoi sert cette mobilisation. Il n'y a actuellement aucun état d'urgence dans aucun État américain qui devrait être déclaré conformément à la constitution américaine afin d'activer l'armée. 29 grandes villes ont importé d'importants équipements militaires. La Maison Blanche est muette à ce sujet.
Certains enregistrements ont été "vérifiés". Par exemple, des hélicoptères militaires appartenant à la garde nationale de l'armée de l'Idaho ont été filmés en Californie. Ceux-ci ont été déplacés d'une zone d'entraînement militaire vers un dépôt d'armes.
Cependant, la plupart des vidéos bourdonnent sur le web sans contextualisation. Cela conduit à des spéculations massives. Cet utilisateur spécule par exemple sur « se préparer à une cyberattaque ».
Par exemple, alors que le journaliste citoyen Patrick Humphrey dit que "quelque chose de grand" est sur le point de se produire, d'autres disent que ce n'est qu'une pratique courante. "L'armée/la Garde nationale transporte régulièrement en permanence du matériel pour l'exercice, l'entraînement, le stockage/le déplacement ou la sécurité des VIP", disent des voix informelles.
Dans tous les cas, les transferts ont lieu en même temps que l'exercice massif de l'OTAN "Air Defender 2023" en Europe. Le sommet de l'OTAN aura lieu en Lituanie à la mi-juillet.
Dans tous les cas, les théories spectaculaires ne connaissent guère de limites : d'une nouvelle "pandémie" (après tout, Gates venait de se rendre à Xi Jinping) à une prochaine invasion extraterrestre (mise en scène), tout est inclus.
Même si ni une pandémie ni des extraterrestres ne devraient arriver : l'activité militaire américaine est actuellement très visible.
https://tkp.at/2023/06/21/hohe-militaeraktivitaet-in-den-usa/
Bilderberg Whistleblower expose le plan directeur des mondialistes et comment l'arrêter
RépondreSupprimerPar Alexandra Bruce
La télé du savoir interdit
21 juin 2023
Journaliste d'investigation, auteur et vétéran du contre-espionnage militaire russe depuis 24 ans, Daniel Estulin se joint à Alex Jones pour discuter des origines de l'ordre bancaire libéral et de ce qu'il appelle leur « programme satanique mondial ».
Daniel continue de prétendre, comme il le fait depuis des années, que Trump, Poutine et Xi font tous partie de la même équipe, cherchant à vaincre cette hégémonie vieille de 500 ans, qui, à son tour, fait ce qu'elle peut pour faire s'effondrer les États-Unis.
«Ce sont trois amis [entre guillemets] qui combattent un ennemi mondial commun, qui est bien plus puissant que n'importe lequel d'entre eux individuellement, à savoir les financiers bancaires libéraux mondiaux. Et l'idée était, vous unissez vos forces pour détruire les financiers libéraux mondiaux et ensuite, vous vous asseyez à la table proverbiale - appelons cela l'accord de Yalta 2.0... les gagnants de cette crise post-mondiale, c'est-à-dire les États-Unis, c'est-à-dire la Russie, c'est-à-dire la Chine, c'est-à-dire l'Inde, en tant que pays le plus peuplé du monde.
"Mais encore une fois, je le répète, des efforts assez substantiels, Alex, sont faits par cette classe libérale, globalement pour s'assurer qu'aucun centre alternatif dans le monde, où qu'il soit, n'apparaisse - y compris aux États-Unis - ce qui est l'une des raisons pour lesquelles ils détruisons et démantelons les États-Unis.
Daniel rappelle à Alex comment, en 2006, lors du tournage de son interview pour le film "Endgame", il avait prédit que d'ici 2020-2025, les États-Unis seraient dans un état d'effondrement "post-crise", semblable à ce qui s'est passé. l'Union soviétique en 1991, ce qui ne semblait pas du tout plausible à l'époque. Cependant, aujourd'hui, nous voyons des membres du Congrès américain discuter ouvertement d'un « divorce national » entre les États rouges et bleus.
Daniel dit qu'il est inutile de poursuivre George Soros et d'autres personnes. Nous devons changer le modèle de gestion lui-même. "Mais pour faire cela et créer un centre alternatif - ou des centres - de pensée conceptuelle à l'échelle mondiale, vous devez créer un système et si vous essayez de le faire sans avoir d'idées conceptuelles, vous obtiendrez une réforme administrative complètement inefficace et inefficace - qui est ce que nous voyons en ce moment…
« La vraie réforme consiste à mettre fin au système monétaire impérial, à mettre fin à son contrôle de l'émission et du prix de la monnaie, à le remplacer par un système de crédit souverain. Et cela implique aussi de mettre fin au pouvoir des banques centrales privées, à commencer par la Réserve fédérale. Et donc, nous devrions éradiquer tout ce qui pue la mondialisation.
RépondreSupprimerDaniel dit: «Lorsque Poutine et Trump se sont rencontrés à Helsinki, Poutine a suggéré à Donald Trump – et Trump l'a d'abord accompagné – qu'ils devaient s'unir pour créer un groupe de réflexion/institution économique en Russie – pas aux États-Unis, parce que Poutine a expliqué que vous ne pouviez pas le faire aux États-Unis, car ils le saboteraient - où les deux nations avec des experts des États-Unis, qui comprennent l'économie physique, il y a beaucoup de grands économistes américains qui ne sont pas des penseurs libéraux. « Libéral », c'est-à-dire vivre aux dépens de quelqu'un d'autre. »
Ainsi, le système mondialiste s'effondre - qu'en sortira-t-il ? Si les mondialistes réussissent, leur ordre mondial actuel sera effondré en un gouvernement mondial désindustrialisé et autoritaire qui cherche à réduire la population humaine à 1 milliard de personnes. Il s'agit d'un ancien programme qui a été énoncé dans les "Limites à la croissance" du Club de Rome.
Daniel prédit que nous assisterons à l'effondrement de l'économie de services actuelle dans le sixième paradigme technologique. Le Cinquième Paradigme Technologique portait sur la numérisation de la société et on peut désormais dire que nous sommes dans la seconde moitié de ce Cinquième Paradigme Technologique, marqué par les robots et l'Intelligence Artificielle.
Le sixième paradigme technologique sera caractérisé par des développements continus dans les nanotechnologies, la biotechnologie, l'informatique quantique et l'IA, aux points de convergence des mondes physique, numérique et biologique. Le risque va considérablement augmenter de « la fin du monde » qui a été prédite depuis des millénaires. L'humanité sera-t-elle prête intellectuellement, moralement et culturellement à gérer ces processus ?
Comme le dit Daniel, « l'effondrement moral de la nation n'est pas dû à des pertes matérielles, mais à un manque de vision d'un avenir meilleur ».
Reprinted with permission from Forbidden Knowledge TV.
https://www.lewrockwell.com/2023/06/no_author/bilderberg-whistleblower-exposes-globalists-master-plan-and-how-to-stop-it/
BlackRock propulse les entreprises dans les bras du Nouvel Ordre Mondial
RépondreSupprimerPar Alex Newman
Le nouvel américain
21 juin 2023
BlackRock est un outil essentiel de l'État profond pour amener les grandes entreprises dans le nouvel ordre mondial, explique Alex Newman, rédacteur en chef de The New American, dans cet épisode de Behind The Deep State. BlackRock, avec environ 10 000 milliards de dollars sous gestion, est l'une des principales parties prenantes de pratiquement toutes les entreprises auxquelles vous pouvez penser, y compris la plupart des méga-banques. Il utilise cette influence et votre argent pour militariser les affaires contre notre nation, notre liberté, nos familles et tout ce qui est bon. Ceci est la première partie d'une série sur BlackRock.
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This originally appeared on The New American.
https://www.lewrockwell.com/2023/06/no_author/blackrock-driving-business-into-the-arms-of-the-new-world-order/
Les Britanniques passent à l'étape suivante avec l'argent de Digi-Bed
RépondreSupprimer20 juin 2023
par Thomas Oysmuller
Un projet pilote pour la CBDC britannique (monnaie de banque centrale numérique) a été achevé à Londres. Les paiements CBDC seraient «moins chers et plus efficaces», voilà le résultat.
Un projet pilote pour la propre monnaie numérique de la banque centrale du Royaume-Uni a été mené à bien en Grande-Bretagne. L'étude test du projet Rosalind a été menée conjointement par la Banque d'Angleterre et la Banque des règlements internationaux. L'étude est en cours depuis juillet 2022. Le rapport final montre qu'ils sont extrêmement satisfaits.
Bord de la route
La CBDC rendrait les paiements entre particuliers « moins chers et plus efficaces ». De plus, les entreprises auraient plus de facilité à développer de nouveaux produits financiers et la fraude pourrait être réduite. L'étude a examiné comment mettre en œuvre des prototypes d'interfaces de programmation d'applications dans les CBDC.
Encore plus explosif : l'étude incluait également le concept de "programmabilité". C'est la principale différence entre la monnaie d'aujourd'hui et la monnaie numérique de la banque centrale. La CBDC ne pourrait alors pas être librement cédée et émise, mais liée à certaines conditions. Certains fonds pourraient alors n'être « gratuits » que pour certaines dépenses.
Cependant, la Banque d'Angleterre et la BRI écartent la critique de la programmabilité. Des interfaces « bien conçues » permettraient idéalement à une banque centrale d'interagir avec le secteur privé.
"L'expérience Rosalind a stimulé l'innovation de la banque centrale dans deux domaines clés : nous avons exploré comment une couche API pourrait prendre en charge un système CBDC de détail et permettre des paiements CBDC sécurisés dans divers cas d'utilisation", a déclaré Francesca Road, directrice du London Innovation Centre de la Bank for International . Règlements dans un communiqué de presse.
Cependant, selon la Banque d'Angleterre, l'introduction du Britcoin est encore "dans quelques années". Cependant, « Bloomberg » indique que la probabilité de l'introduction du CBDCS par la Banque d'Angleterre serait actuellement d'environ 70 %.
https://tkp.at/2023/06/20/briten-nehmen-naechsten-schritt-zum-digi-zentralbankgeld/
Quant à la recherche, cela n'a d'importance que si elle peut être rattachée au complexe de subventions industrielles, qui n'est utile que pour produire plus de subventions. Le cosmos de recevoir de tels prix n'est pertinent que pour le matériel réel qu'il produit en termes de connaissances, mais pour le processus d'obtention du prix. L'argent peut alors retourner dans des poches non méritantes, avec des universitaires bénéficiaires, pour utiliser un terme populaire et atroce «se racheter» des fonctions d'enseignement. Comme l'a insisté avec une faible conviction un doyen sans importance ni pertinence : "Peu importe le nombre d'articles que vous écrivez ou le nombre de livres que vous écrivez - votre allocation de travail est la même que la suivante."
RépondreSupprimerUn paresseux insensé avec une publication écrite avec plusieurs autres cancres mérite les mêmes éloges académiques que l'auteur unique de nombreuses pièces, avec un profil un peu plus grand que le rayon standard de 200 mètres vénéré dans les tours insulaires. Les dés, semble-t-il, sont jetés avant que vous ne vous rendiez compte d'une terrible réalité : la doyenne veut que vous soyez à son niveau, celui de la merveille engourdie du tableur qui touche un salaire tous les quinze jours avec une cognition minimale - sauf pour justifier les diktats du collège satanique qu'elle dessert.
Au milieu de cette situation désordonnée, les universités australiennes continuent de se livrer à cette pratique la plus odieuse : le sous-paiement du personnel, notamment ceux qui ont des contrats temporaires. Les taux de rémunération des universitaires occasionnels – et, dans certains cas, du personnel permanent – sont tout simplement scandaleux. En mars 2022, le Comité sénatorial permanent de l'économie a noté que 21 des 40 universités australiennes s'étaient rendues coupables de sous-payer le personnel.
Alors pourquoi exprimer son horreur ou sa surprise face à la dernière révélation selon laquelle les cartes-cadeaux sont utilisées pour payer le personnel académique ? Une enquête menée par la publication australienne Crikey , utilisant la liberté d'information, a révélé que cela était particulièrement évident à l'Université de technologie de Sydney.
Selon le rapport, "une faculté a débattu de l'utilisation des cartes-cadeaux comme moyen de paiement pour les universitaires pas plus tard que l'année dernière". Un message Microsoft Teams d'un responsable des ressources humaines a également déclaré en octobre de l'année dernière, avec une certaine agitation, que la faculté de santé souhaitait "avoir une autre idée de la carte-cadeau".
L'équipe des relations publiques de l'UTS a été immédiatement piqué à l'action. «Les cartes-cadeaux sont utilisées à l'UTS, comme dans toute autre organisation, en signe d'appréciation pour les non-employés qui donnent bénévolement de leur temps à l'université, par exemple, en tant que participants à la recherche, ou en tant que membres de panels d'événements ou en tant qu'un- hors conférenciers invités », a expliqué un porte-parole.
RépondreSupprimerLe Comité permanent du Sénat a également constaté que divers « membres du personnel académique occasionnel ont été payés en chèques-cadeaux, au lieu des salaires, charges, congés et pensions de retraite auxquels ils ont droit ». Le Dr Hayley Singer, membre du réseau des occasionnels de l'Université de Melbourne, a déclaré au comité qu'elle avait «contesté cela à l'époque parce que je sais que je ne peux pas payer le loyer, payer le transport ou payer les factures médicales avec des cartes-cadeaux. C'est ainsi que les universitaires occasionnels et précaires sont traités lorsque nous apportons notre professionnalisme et notre expertise sur le campus et dans la salle de classe ».
Si seulement Singer réalisait que toute la fonction de l'université managériale moderne est d'éviter et d'exhorter le professionnalisme de toute sorte, notamment dans les domaines qui donnent à l'éducation sa plus grande valeur. Être professionnel, c'est être subversif, ce qui rend cet individu indispensable. Mieux vaut rejoindre les feuilles de diffusion.
*
Le Dr Binoy Kampmark était boursier du Commonwealth au Selwyn College de Cambridge. Il enseigne actuellement à l'Université RMIT. Il contribue régulièrement à Global Research et Asia-Pacific Research. Courriel : bkampmark@gmail.com
https://www.globalresearch.ca/forget-university-gift-cards-professionalism-australian-academy/5822888
Betegeuse pourrait devenir une supernova de notre vivant – plus brillante que la lune
RépondreSupprimerPar Jo Nova
June 20th, 2023
Les astronomes sont très excités. Un nouvel article suggère que Bételgeuse – la géante rouge d'Orion – pourrait n'être qu'à une ou deux décennies (ou peut-être un siècle) de devenir une supernova. C'est le genre de chose qui n'arrive qu'une fois tous les mille ans. Chaque fois qu'il explosera, il brillera plus fort que la lune et dominera le ciel pendant quelques mois à un an.
C'est à 600 années-lumière, donc si elle va devenir une supernova dans les vingt prochaines années, alors, bien sûr, cela doit déjà s'être produit et la lumière est en route.
Avant que quiconque ne craque les champs, le nouveau papier de Saio est basé sur des modèles essayant de comprendre ce qui se passe sur une boule de feu palpitante à 5 600 billions de kilomètres.
Charlie Martin, PJ Media :
Verrons-nous une supernova de notre vivant ?
Il n'y a pas eu de supernova dans notre quartier depuis le 4 juillet 1054, lorsque les astronomes chinois ont observé une supernova, désormais étiquetée SN1054, qui est restée visible pendant près de deux ans. Les restes de cette supernova sont maintenant appelés la nébuleuse du Crabe.
À la fin de sa vie, après qu'une étoile n'a plus d'hydrogène pour fusionner, elle commence à s'effondrer. La pression et la chaleur supplémentaires générées déclenchent la fusion avec le noyau d'hélium qui produit du carbone. Lorsque l'hélium s'épuise, l'étoile rétrécit à nouveau et met sous pression le noyau de carbone, fusionnant le carbone en éléments plus gros. Mais ces étapes sont plus courtes et plus rapides. Vous trouverez ci-dessous un graphique des chronologies (avec une échelle logarithmique), et dans la dernière estimation de Saio, Bételgeuse brûle déjà à travers le noyau de carbone et a moins de 20% du carbone restant, et peut-être aussi bas que 0,5%. La ligne rouge (le carbone) atteint théoriquement un creux en moins de 10 à 100 ans.
Betegeuse, supernova, figure 6. Vie d'une étoile.
- voir clip sur site -
Le jeu est terminé lorsqu'il se fraye un chemin jusqu'au fer :
Charlie Martin :
Si l'étoile a une masse supérieure à la limite de Chandrasekhar, la gravité fait que le matériau stellaire continue de fusionner, produisant des éléments de plus en plus loin jusqu'au fer et au nickel. Finalement, cependant, le noyau de l'étoile est en grande partie constitué de fer, et la fusion du fer nécessite plus d'énergie qu'elle n'en libère. À ce stade, l'équilibre entre la chaleur de fusion et la pression gravitationnelle est rompu. L'étoile s'effondre vers l'intérieur à 20 % ou plus de la vitesse de la lumière ; l'onde de choc comprime le noyau jusqu'à ce que les atomes s'effondrent ; et les électrons rencontrent les protons, les convertissant en neutrons et neutrinos et libérant d'immenses quantités d'énergie - 100 "ennemis", soit environ 1046 Joules.
RépondreSupprimerNous ne voyons peut-être pas la supernova, mais à partir de 6h40, nous pouvons au moins voir le Dr Becky Smethurst devenir véritablement excité. Elle l'explique bien. Mais quelles sont les chances qu'une étoile de 10 millions d'années atteigne la fin des jours au 21e siècle. Bon, je suis sceptique...
Parfois, il est agréable de s'éloigner de la politique.
À quelle distance se trouve Bételgeuse ?
Pour mettre en perspective le peu que nous savons, j'ai tapé "à quelle distance est Bételgeuse" et j'ai découvert à ma grande surprise, nous n'en avons pas beaucoup d'idée. Il y a trois ans, Bételgeuse a été «découverte» comme étant beaucoup plus proche que nous ne le pensions à 543 années-lumière. Mais en janvier de cette année, il s'est avéré qu'il se trouvait à 724 années-lumière de la Terre, ou au moins entre 613 et 881 années-lumière. Exactement…
Bételgeuse est un biggie. Voir la progression des corps astronomiques jusqu'à Bételgeuse dans la série 5. Si c'était là où se trouve notre soleil, il atteindrait la ceinture d'astéroïdes. Heureusement que ce n'est pas notre soleil.
- voir photo sur site -
Terre, Mars, Vénus, Soleil, Jupiter, Saturne, Sirius, Arcturus, Bételgeuse, Antarès, Pollux, Aldébaran, Canis Majoris.
Dave Jarvis (https://dave.autonoma.ca/)
LES RÉFÉRENCES
"Le stade évolutif de Bételgeuse déduit de ses périodes de pulsation" par Saio et al.
https://joannenova.com.au/2023/06/betegeuse-may-go-supernova-in-our-lifetime-brighter-than-the-moon/
Plus de dette signifie plus d’impôts, moins de croissance et des salaires plus faibles
RépondreSupprimerLes dépenses à fort déficit ne sont pas un outil de croissance, mais un outil de copinage et un fardeau pour l’avenir.
le 22 juin 2023
Par Daniel Lacalle.
Mises Institute
Depuis 1960, le Congrès a relevé le plafond de la dette 78 fois, selon Bloomberg. Le processus de relèvement du plafond de la dette est devenu si régulier que les marchés s’en inquiètent à peine. En outre, comme l’a montré la crise du plafond de la dette en 2011, l’impact sur les prix des actifs s’est surtout fait sentir dans les économies émergentes. En 2011, les dettes turque et indienne ont été les plus touchées, tandis que les bons du Trésor ont augmenté.
Les hommes politiques pensent que le relèvement du plafond de la dette est une politique sociale et que la dette n’a pas d’importance. Jusqu’à ce qu’elle le devienne. La dette des États-Unis par rapport au PIB est maintenant de 123,4 %, et le risque de perdre confiance dans les bons du Trésor américain en tant qu’actif le moins risqué est excessivement élevé.
Le problème du budget des États-Unis est évident au niveau des dépenses obligatoires et discrétionnaires. Concentrer toute l’attention sur les dépenses discrétionnaires ne résout pas le problème du déficit et de la dette. Essayer de convaincre les citoyens américains que le problème de la dette peut être résolu en augmentant les impôts, c’est aussi leur mentir.
Les dépenses obligatoires représentent environ 63 % du budget, les dépenses discrétionnaires près de 30 % et, malgré les faibles coûts d’emprunt, les intérêts nets consomment déjà 8 % du budget.
Le budget des États-Unis n’est pas viable, quel que soit l’angle sous lequel on l’examine.
Les projections pour l’année fiscale 2023 indiquent des dépenses de 5,9 trillions de dollars. Les dépenses ont augmenté après la pandémie de grippe aviaire il y a 19 ans. Cependant, au lieu de les ramener à leur niveau d’avant la pandémie, les dépenses ont été consolidées et annualisées. Le budget américain était déjà confronté à un problème de dépenses avant la pandémie, les dépenses ayant augmenté plus rapidement que la croissance économique.
Les mêmes projections, fournies par le Center on Budget and Policy Priorities, prévoient un déficit de 1000 milliards de dollars, même en tenant compte d’un montant record de 4000 milliards de dollars de recettes.
RépondreSupprimerLes États-Unis ne peuvent en aucun cas ramener le déficit budgétaire à zéro en augmentant les impôts et les recettes. Il est impossible pour l’économie américaine de générer une augmentation annuelle consolidée des recettes fiscales de 1000 milliards de dollars par rapport à un niveau cyclique élevé de 4900 milliards de dollars. Et il ne s’agit là que de ramener le déficit à zéro, sans même commencer à s’attaquer à la réduction de la dette nette, pourtant si nécessaire.
Les déficits sont toujours un problème de dépenses, car par nature, les recettes sont cycliques et volatiles, tandis que les dépenses deviennent intouchables et augmentent chaque année.
Les néo-keynésiens diront que les déficits n’ont pas d’importance et que la dette est un atout pour le reste du monde. Si c’était le cas, pourquoi cette obsession des hausses d’impôts massives ? Il est évident que l’idée que les déficits et la dette n’ont pas d’importance parce qu’ils sont constamment refinancés n’a pas de sens. Ils sont importants parce que la confiance dans la solvabilité de l’État et de sa monnaie dépend de sa capacité à gérer la dette à un niveau qui n’effraie pas les investisseurs nationaux et internationaux. La dette n’est un atout pour les autres que si la solvabilité de l’État émetteur n’est pas remise en question.
Le plus gros problème est que la solvabilité et la confiance des États-Unis sont remises en question dans le monde entier. Les banques centrales réduisent leur exposition aux bons du Trésor américain en tant qu’actifs de réserve, précisément en raison de la baisse de confiance dans les comptes publics et des inquiétudes croissantes quant à la sécurité et à la solidité des obligations d’État en tant que valeur refuge. En 2022, de nombreuses banques centrales ont vu leurs réserves s’effondrer en raison de la baisse de valeur des bons du Trésor.
Toute l’erreur néo-keynésienne repose sur l’idée que l’État peut toujours absorber davantage de richesses du secteur privé sans que cela ne lui coûte quoi que ce soit. Or, ce coût est déjà évident. L’inflation est là, et elle est la conséquence directe d’années de monétisation de la dette publique. De plus, le cocktail dangereux comprend une forte inflation, une hausse des impôts et une augmentation de la dette. Les comptes publics ne s’améliorent pas, même avec des recettes record. L’inflation ne réduit pas le niveau global de la dette car les dépenses déficitaires augmentent en même temps que les prix à la consommation, voire davantage.
Le monde s’interroge sur les finances publiques des États-Unis, et c’est pourquoi le Congrès doit agir et freiner les dépenses. Si les choses continuent ainsi, les dépenses discrétionnaires atteindront 2500 milliards de dollars dans une décennie, et le déficit sera encore d’un demi-billion de dollars américains à la fin de la même période, même si l’économie croît sans récessions ni années de crise, une véritable impossibilité, et que l’emploi n’en souffre pas.
RépondreSupprimerLe budget des États-Unis n’est absolument pas viable, et le problème réside dans les dépenses élevées et inutiles. Si le Congrès ne s’efforce pas de réduire les dépenses, la confiance mondiale dans la dette américaine risque de s’effondrer, et une monétisation accrue ne fera qu’empirer les choses, car elle détruira la confiance dans l’ensemble du système monétaire, à commencer par la monnaie.
Le maintien de ces énormes déséquilibres budgétaires ne sera pas résolu par une augmentation des impôts. Il est impossible d’augmenter les recettes de 1000 milliards de dollars chaque année et en permanence. De plus, des recettes plus élevées conduiraient les gouvernements à se sentir à l’aise et à dépenser encore plus.
Les gigantesques déséquilibres budgétaires des États-Unis mettent en péril le dollar américain et la sécurité de la dette nationale. Il n’y a rien de social à détruire le statut de réserve d’une monnaie et l’attrait d’une obligation pour les investisseurs.
Si les hommes politiques se souciaient vraiment des citoyens américains et de leur bien-être, ils devraient défendre la monnaie et la solvabilité des comptes publics. Toute autre mesure ne fera qu’accélérer l’explosion de la bombe à retardement de la dette au visage de nos fils et de nos filles.
2022 a été un signal d’alarme qui a démoli le mythe de la monétisation éternelle de la dette avec une faible inflation. Il est temps d’être sérieux.
Une dette plus élevée signifie davantage d’impôts, une croissance plus faible et des salaires réels plus faibles à l’avenir. Les dépenses à fort déficit ne sont pas un outil de croissance, mais un outil de copinage et un fardeau pour l’avenir.
https://www.contrepoints.org/2023/06/22/458568-plus-de-dette-signifie-plus-dimpots-moins-de-croissance-et-des-salaires-plus-faibles
Comprendre l'escroquerie de la dette. PERSONNE n'a de l'argent et pourtant... les banques en prêtent !! Cà alors !!
SupprimerLes banques ne prêtent pas de l'argent mais inventent une valeur sur l'ordinateur.
Donc, si vous avez un ordinateur, votre créez un compte à la 'Banquechezmoi'', le créditez de un
ou plusieurs milliards et çà y est ! VOUS ÊTES RIIIIICHE !
Sauf que vous, vous n'êtes pas escroc-officiel. C'est là que çà merde.
C’est le cas notamment du Haut-Commissariat au Plan, présidé par M. François Bayrou, qui produisit le 9 juillet 2021 un rapport, « L’agriculture : Enjeu de reconquête », qui servit bientôt, comme d’autres, à caler une armoire. Il a suscité quelque intérêt notamment par sa balance commerciale de la ratatouille :
RépondreSupprimer« Si l’on exprime par exemple en chiffres du commerce extérieur les cinq légumes d’une ratatouille, on aboutit à un déficit de 650 millions d’euros en 2019 (- 289 millions d’euros pour les tomates, 160 millions concernant les poivrons, 110 millions s’agissant des courgettes, 47 millions pour les aubergines, et enfin 44 millions pour les oignons). »
… et une proposition de loi
Au Sénat, MM. Laurent Duplomb, Pierre Louault, Serge Mérillou et quelque 170 collègues ont déposé le 14 février 2023 une proposition de loi « pour un choc de compétitivité en faveur de la ferme France » (dossier législatif) donnant corps aux recommandations précitées. Elle a été adoptée le 23 mai 2023 par 210 voix pour, 94 contr et 26 abstentions (texte transmis à l’Assemblée nationale).
Moquons-nous de la dysenterie verbale : dans la désignation du haut-commissaire à la compétitivité des filières agricoles et agroalimentaires, la compétitivité est assortie de l’adjectif « durable »… des fois qu’on penserait qu’elle pourrait être temporaire ou précaire.
Les sénateurs ont adopté un ajout (proposé à ce stade) au début du Code rural et de la pêche maritime :
« I A. – La souveraineté alimentaire est un intérêt fondamental de la Nation au sens de l’article 410-1 du Code pénal. »
Ramons dans le labyrinthe législatif vers l’article 410-1 du Code pénal :
« Les intérêts fondamentaux de la nation s’entendent au sens du présent titre de son indépendance, de l’intégrité de son territoire, de sa sécurité, de la forme républicaine de ses institutions, des moyens de sa défense et de sa diplomatie, de la sauvegarde de sa population en France et à l’étranger, de l’équilibre de son milieu naturel et de son environnement et des éléments essentiels de son potentiel scientifique et économique et de son patrimoine culturel. »
Attention ! La terre ce n'est pas la mer ! En mer, on pêche, on mange tous les jours. A la campagne, on sème (suivant les saisons ! ou serre s'il y a), puis faut de la chaleur et de l'humidité pour que la plante germe, puis elle pousse et sort de terre, puis elle se développe grâce à l'engrais pour nourriture et produits de traitement contre les maladies et les insectes. Puis il fut aussi du soleil !
RépondreSupprimerPuis il faut aussi un paysan. Attention ! là, on est pas sur les faux forums de jardinage anti-jardiniers ! On est dans un champs où il est nécessaire d'avoir un paysan, un paysan ne se forme pas en un jour, un mois ou un an. Il faut 3 GÉNÉRATIONS de paysans pour survivre dans l'agriculture !
Alors, Siiiiiiii vous voulez manger demain...
Protéger nos réseaux d'eau à l'ère des cybermenaces
RépondreSupprimer22 Juin 2023
Susan Goldhaber, ACSH*
Lorsque nous ouvrons le robinet, nous nous attendons tous à avoir de l'eau potable propre et sûre. Les menaces qui pèsent sur la cybersécurité des systèmes publics d'approvisionnement en eau potable sont des problèmes cruciaux, mais souvent négligés, auxquels notre pays est confronté. L'Agence de Protection de l'Environnement (EPA) est confrontée à la question de savoir comment réglementer ces menaces émergentes.
Ma note : Cet article traite beaucoup de procédures états-uniennes, mais porte sur un sujet important. Est-il traité de manière satisfaisante en France ? Et il n'y a pas que la sécurité informatique, mais aussi physique.
En mai 2021, le Département de la Sécurité Intérieure a lancé un avertissement selon lequel
« les cyberattaques de haut niveau contre les réseaux du secteur des systèmes d'approvisionnement en eau et de traitement des eaux usées vont se multiplier, car les cyberacteurs criminels, étatiques et terroristes, cherchent à exploiter les vulnérabilités persistantes pour atteindre des objectifs financiers, géopolitiques ou idéologiques ».
Cette inquiétude n'était pas vaine. Au cours des trois dernières années :
Des pirates informatiques d'Oldsmar, en Floride, ont tenté d'augmenter le niveau d'hydroxyde de sodium (soude caustique) dans l'eau de 100 parties par million (ppm) à 11.100 ppm, un niveau qui peut causer des difficultés à avaler, des nausées/vomissements, des douleurs abdominales et des dommages au tractus gastro-intestinal. Heureusement, un employé vigilant a remarqué que le curseur de son ordinateur se déplaçait tout seul, a réinitialisé les niveaux d'hydroxyde de sodium et a alerté son supérieur avant que des dommages ne fussent causés.
Dans la région de la baie de San Francisco, un pirate informatique, utilisant le nom d'utilisateur et le mot de passe d'un compte TeamView (un programme populaire qui permet aux utilisateurs de contrôler leurs ordinateurs à distance) d'un ancien employé, a supprimé des programmes que l'usine de traitement des eaux utilisait pour traiter l'eau potable. Le piratage ayant été découvert et corrigé rapidement, aucune défaillance n'a été signalée à la suite de cet incident.
En Israël, des pirates informatiques, ont tenté, en vain, d'augmenter les niveaux de chlore dans cinq installations nationales d'approvisionnement en eau. Si cette tentative avait réussi, elle aurait pu entraîner d'importants problèmes de santé dans tout le pays et nuire gravement à l'industrie agricole (car les installations d'approvisionnement en eau contrôlent également les pompes agricoles).
RépondreSupprimerLe défi de la cybersécurité
L'EPA fournit un soutien et une assistance technique pour sécuriser les 52.000 systèmes d'approvisionnement en eau et les 16.000 systèmes de traitement des eaux usées du pays. Toutefois, en vertu de la loi sur la salubrité de l'eau potable (Safe Drinking Water Act), ce sont les États, et non le gouvernement fédéral, qui sont les premiers responsables de la sûreté et de la sécurité des systèmes d'approvisionnement en eau sur leur territoire.
Aux États-Unis, les ressources et les capacités varient. Il existe une multitude de systèmes, dont beaucoup sont assez petits et disposent de budgets limités, et un nombre croissant de systèmes d'approvisionnement en eau gérés par des entreprises privées. Les usines qui desservent de grandes populations disposent souvent d'un personnel spécialisé dans la cybersécurité. En revanche, dans les petites collectivités, une ou deux personnes gèrent l'ensemble du système d'approvisionnement en eau, et aucun membre du personnel n'est formé à la cybersécurité.
Il existe deux approches réglementaires distinctes.
L'approche de l'EPA
La loi sur la sécurité de l'eau potable (Safe Drinking Water Act) a été rédigée avant l'apparition de l'internet et, a fortiori, des cybermenaces. La loi ne donne pas à l'EPA le pouvoir direct d'établir des réglementations en matière de cybersécurité. Mais elle dispose d'une solution de contournement, à savoir l'obligation pour les systèmes publics de distribution d'eau de mener périodiquement des enquêtes sanitaires, c'est-à-dire des examens sur place « évaluant les installations, l'équipement, le fonctionnement et l'entretien en vue de produire et de distribuer de l'eau potable sûre ».
Traditionnellement, l'objectif de l'enquête sanitaire était d'identifier les conditions d'insalubrité et de s'assurer que le système d'approvisionnement en eau fonctionne de manière à fournir de l'eau potable de la source au robinet [1]. L'EPA a réagi à la cybersécurité dans les réseaux publics de distribution d'eau en publiant un mémorandum en mars dernier :
« L'EPA interprète les exigences réglementaires relatives à la conduite d'enquêtes sanitaires comme exigeant que lorsqu'une PWS [Public Water Authority – autorité publique de l'eau] utilise une technologie opérationnelle, telle qu'un système de contrôle industriel (ICS), dans le cadre de l'équipement ou du fonctionnement de tout composant requis d'une enquête sanitaire, l'enquête sanitaire de cette PWS doit inclure une évaluation de l'adéquation de la cybersécurité de cette technologie opérationnelle pour la production et la distribution d'une eau potable sûre. »
RépondreSupprimerLes procureurs généraux de l'Arkansas, de l'Iowa et du Missouri ont intenté un procès à l'EPA le mois dernier, affirmant que le mémorandum sur la cybersécurité modifie la manière dont ils mènent les enquêtes sanitaires et impose une technologie et des coûts accrus aux petits systèmes d'approvisionnement en eau ruraux. Ils affirment que l'EPA :
a contourné illégalement les exigences de la loi sur la procédure administrative (Administrative Procedure Act), notamment en ce qui concerne les commentaires et l'examen publics ;
a empiété sur la souveraineté des États en menaçant de retirer des millions de dollars de financement et d'assumer l'autorité de mise en œuvre si les États ne se conformaient pas aux exigences ;
a imposé un « mandat non financé » impliquant des coûts importants, notamment des heures de travail et des ressources supplémentaires pour mener à bien les enquêtes sanitaires élargies, sans financements additionnels.
L'approche de l'American Water Works Association (AWWA)
L'AWWA, la plus grande association représentant les services de distribution d'eau aux États-Unis, a publié un rapport en 2021 concluant qu'une approche co-réglementaire, s'appuyant sur la loi de 2018 sur l'infrastructure de l'eau, était la meilleure option. Cette loi exige que les systèmes d'eau communautaires desservant plus de 3.300 personnes élaborent des évaluations des risques et de la résilience ainsi que des plans d'intervention d'urgence. Ces plans doivent tenir compte des risques pour les « systèmes électroniques, informatiques ou autres systèmes automatisés (y compris la sécurité de ces systèmes) qui sont utilisés par le système »
L'AWWA a recommandé la création d'une nouvelle entité, la Water Risk and Resilience Organization (WRRO – organisation pour les risques liés à l'eau et la résilience), pour servir et représenter les points de vue des services publics de l'eau. Le Congrès approuverait explicitement la création de la WRRO et l'extension de la surveillance de la cybersécurité à l'EPA. En collaboration avec l'EPA, cette organisation élaborerait des normes de cybersécurité, que l'EPA approuverait ou rejetterait. Si l'EPA rejetait une norme, elle fournirait des recommandations spécifiques pour une nouvelle soumission. La WRRO et l'EPA se partageraient les responsabilités en matière d'audit de conformité et d'application.
RépondreSupprimerL'approche proposée par l'AWWA répondrait à l'une des principales préoccupations de la Cyberspace Solarium Commission, mandatée par le Congrès, à savoir « l'insuffisance de la coordination entre l'EPA et les autres parties prenantes en matière de sécurité des services de distribution d'eau ».
La gestion de la cybersécurité a peu de chances de réussir par la voie réglementaire. La cybersécurité nécessite un état d'esprit et une approche de partenariat. L'approche de l'AWWA semble être un bon point de départ pour faire face aux menaces de cybersécurité qui pèsent sur nos systèmes d'approvisionnement en eau.
_____________
[1] Les huit composantes d'une enquête sanitaire sont la source d'eau brute, le traitement, la distribution, le stockage de l'eau finie, les pompes, la surveillance et les rapports, la gestion et l'exploitation, et la conformité de l'opérateur.
Source : A Republican-Led Lawsuit Threatens Critical US Cyber Protections (un procès mené par les Républicains menace les protections essentielles des États-Unis en matière de cybersécurité), Wired
* Susan Goldhaber, M.P.H., est une écotoxicologue qui a plus de 40 ans d'expérience dans des agences fédérales et d'État ainsi que dans le secteur privé. Elle s'intéresse particulièrement aux substances chimiques présentes dans l'eau potable, l'air et les déchets dangereux. Elle se concentre actuellement sur la traduction des données scientifiques en informations utilisables par le public.
Source : Protecting Our Water Systems in the Age of Cyber Threats | American Council on Science and Health (acsh.org)
https://seppi.over-blog.com/2023/06/proteger-nos-reseaux-d-eau-a-l-ere-des-cybermenaces.html
Déclin des oiseaux : bref décryptage d'une manipulation scientifico-médiatique
RépondreSupprimer22 Juin 2023
André Heitz, Haute Savoie*
« Les pratiques agricoles sont à l'origine du déclin des populations d'oiseaux en Europe », tel est le titre traduit d'un article publié dans PNAS le 15 mai 2023, de Stanislas Rigal, Vasilis Dakos, Vincent Devictor et 48 autres auteurs dont la contribution essentielle aura été de fournir des données (et de donner à l'étude l'apparence d'une recherche internationale). [1] C'est de la « science » militante.
Son destin de référence pour l'agribashing et la rhétorique décroissante est déjà scellé. Le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) en a fait la promotion avec un titre encore plus accusateur, « L’intensification de l’agriculture est à l'origine de la disparition des oiseaux en Europe ». [2] C'est un peu bémolisé dans le texte, mais le coupable est précisé : « […] les recherches montrent que l’effet néfaste dominant est celui de l'intensification de l'agriculture, c’est-à-dire de l’augmentation de la quantité d’engrais et de pesticides utilisée par hectares (sic). » Et donc « [c]es travaux démontrent l’urgence de repenser le mode de production alimentaire actuel ».
L'étude souffre de malfaçons et biais méthodologiques. C'est même apparent à la lecture du communiqué du CNRS ! Il comporte en effet un graphique qui montre que, sur la période considérée (1980-2016), le déclin général allégué de 25 % est le résultat d'une baisse rapide pendant la première moitié de la décennie 1980 et d'une relative stabilité sur les trois décennies suivantes. Il est dès lors difficile de parler de déclin ou de disparition et de jeter à la vindicte médiatique et populaire une agriculture qui n'a pas connu – que l'on sache – une évolution comparable.
L'étude comporte aussi trois graphiques sur l'évolution d'un indice multi-espèces, de l'abondance (des effectifs) et de la biomasse de 115 espèces d'oiseaux communes entre 1980 et 2016 au niveau européen (Union Européenne, Norvège, Royaume-Uni et Suisse). Les effectifs remontent à partir du milieu de la décennie 2000. La remontée, à partir de 2000 environ, est encore plus nette pour la biomasse. Mais ces données essentielles ont été reléguées dans les informations supplémentaires !
La thèse du déclin ou de la disparition a aussi été étayée par défaut, par l'absence de références textuelles ou graphiques aux espèces dites « généralistes ». Or celles-ci ont prospéré ! Pour la France, M. Philippe Stoop a calculé sur European Scientist, par exemple, que l'augmentation des effectifs et de la biomasse des seuls pigeons ramiers depuis 2001 est supérieure à la diminution de l'ensemble des espèces des milieux agricoles. [3] Il y a, en quelque sorte, « grand remplacement ».
Quant au rôle de l'agriculture, les auteurs ont utilisé un indicateur comptable et non agronomique, peu pertinent, présentant des évolutions très différentes dans le temps et d'un pays à l'autre, et peu représentatif du rôle (allégué) des engrais et des (tous les) pesticides. Des facteurs importants comme l'évolution des habitats, les ressources alimentaires, la météo, la concurrence entre espèces, la prédation ou les maladies n'ont pas été évoqués ou seulement incidemment.
RépondreSupprimerMises côte à côte comme l'a fait Libération, les cartes des déclins (allégués) de l'avifaune et de l'intensification (alléguée) agricole ne montrent pas le lien de « quasi-causalité » allégué. [4]
Il n'empêche que l'agriculture, dans toute sa complexité et pas seulement du point de vue de l'intensification, joue un rôle. C'est particulièrement le cas pour les espèces dites « des milieux agricoles », en déclin important (57 % entre 1980 et 2016 selon l'étude) – et concurrencées par les « généralistes ». Les agriculteurs peuvent et doivent contribuer à des évolutions de l'avifaune considérées comme favorables.
________________
[1] https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.2216573120
[2] https://www.cnrs.fr/fr/lintensification-de-lagriculture-est-lorigine-de-la-disparition-des-oiseaux-en-europe
[3] https://www.europeanscientist.com/fr/opinion/oiseaux-deurope-les-populations-remontent-mais-ce-nest-pas-forcement-une-bonne-nouvelle/
[4] https://www.liberation.fr/environnement/biodiversite/800-millions-doiseaux-disparus-en-europe-lagriculture-intensive-est-la-principale-responsable-20230515_4C5CGBIAYFCTXICU2ASYNWUCXQ/
* Une version de cet article été publiée dans La France Agricole du 16 juin 2023.
Une analyse plus détaillée a été publiée sur ce blog en trois parties. La première est ici.
https://seppi.over-blog.com/2023/06/declin-des-oiseaux-bref-decryptage-d-une-manipulation-scientifico-mediatique.html
OUI depuis plus de 20 ans il y a le déclins des oiseaux et disparitions des hirondelles. Il y a tous les jours des millions d'oiseaux et d'abeilles massacrés par les éoliennes de la Vertmark.
SupprimerConseil d'éthique allemand : la "crise climatique" comme urgence mondiale, "OneHealth" comme sauvetage
RépondreSupprimer22 juin 2023
par Thomas Oysmuller
La soi-disant « crise climatique » est déjà une urgence mondiale. Le Conseil d'éthique allemand voit la réponse à cela dans l'idéologie « OneHealth », a-t-il précisé lors de sa conférence annuelle. Seuls les collectifs peuvent être « sains », mais pas les individus.
Le Conseil d'éthique allemand, et avec lui l'agenda politique, s'expose : le Covid n'était que le début. Il n'y a guère de meilleur endroit pour voir cela que lors de la réunion annuelle actuelle du Conseil d'éthique, qui a eu lieu mercredi. Le sujet était "OneHealth" - l'idéologie de la nouvelle normalité technocratique. Chaque domaine de la vie, qu'il s'agisse de l'agriculture, de la nature, des animaux et des personnes, est soumis à un dogme de "sécurité sanitaire" qui ne connaît plus de différences ni de particularités - TKP en a rendu compte plus en détail .
« OneHealh » sauve le climat
Dans le langage de la présidente du conseil d'éthique, Alena Buyx (elle fait également partie de la commission autrichienne de traitement du corona !), cela ressemble à ceci : « Nous ne pouvons pas considérer notre santé isolément comme un problème de traitement médical. Au contraire, nous devrions de plus en plus comprendre la santé de manière holistique. Avec la crise climatique, les liens complexes entre la santé écologique, animale et humaine ne deviennent que trop clairs.
Le nouveau grand sujet est la « crise climatique » et elle devrait être contrôlée politiquement avec « OneHealth » :
« La crise climatique est déjà une urgence médicale mondiale et OneHealth a un grand potentiel pour renverser la situation ; les participants au Forum C en conviennent. Mais vous devez trouver des moyens de parler des défis de manière appropriée », a commenté le Conseil d'éthique lors d'un événement.
Pratiquement dénué de sens socialement jusqu'au Covid, le Conseil a donné le feu vert aux politiciens pour leur extrémisme Covid avec son "expertise" et, en tant que plus haute autorité morale, a éliminé les critiques à son encontre. Le fait que le positionnement du Conseil d'éthique - son positionnement réclamait toujours des restrictions Covid plus strictes de la part des politiques - n'était pas un hasard, mais devait devenir la règle, se voit particulièrement bien avec le sujet de OneHealth.
OneHealth - le terme « One Health » dit déjà tout : l'individu, l'être humain individuel, avec ses besoins (et capacités) physiques et psychologiques particuliers est mis de côté, c'est tout « l'organisme humain » qui compte désormais. "Sain" ne peut plus être un individu, mais seulement le "collectif".
Quoi de neuf sur #OneHealth ? La sociologue Gesa Lindemann de @UniOldenburg présentera le sujet au début de la conférence et montrera où les perspectives changent avec l'approche. pic.twitter.com/KzgWvoJ25s
RépondreSupprimer– Conseil d'éthique allemand (@ethikrat) 21 juin 2023
La citation de Gesa Lindemann doit être lue attentivement, elle donne un aperçu profond. La mise en œuvre de ce projet passe par l'État, donc pour Lindemann "une condition préalable importante" est "un État fonctionnel auquel les gens font également confiance".
Les frontières entre les humains et les animaux sont floues dans la nouvelle idéologie de "OneHealth". "La santé animale et environnementale" déciderait donc de "l'avenir de l'humanité", estime le vétérinaire Sascha Knauff. Ceci est également basé sur les affirmations longtemps réfutées selon lesquelles Covid-19 se serait propagé à l'homme en tant que zoonose, bien que l'origine du virus en laboratoire ne puisse guère être mise en doute. Mais le Conseil d'éthique fait le monde comme il lui plaît : « Les dangers posés par les zoonoses telles que le SRAS-CoV-2 rendent évidente l'importance de One Health. Le changement climatique exacerbera bon nombre de ces dangers.
L'ensemble du fil Twitter auto-exposant sur la conférence est incroyable. On ne cache pas la direction dans laquelle il doit aller.
L'érudit littéraire Michael Esders commente l'auto-divulgation du Conseil d'éthique : " Quiconque pense que le comportement du Conseil d'éthique pendant la "pandémie", y compris la légitimation de la vaccination obligatoire, était une erreur, devrait regarder ces déclarations sur OneHealth . Les libertés sont balayées, le changement climatique est considéré comme une "urgence médicale mondiale".
Le nouveau paradigme devrait également être inscrit juridiquement à l'ONU à travers la réforme de l'OMS.
Un compte Twitter anonyme a commenté la conférence : "OneHealth signifie en fait OneHell - et le soi-disant Conseil d'éthique joue à nouveau un rôle central - quoi d'autre ?"
https://tkp.at/2023/06/22/deutscher-ethikrat-klimakrise-als-globaler-notfall-onehealth-als-rettung/
Greta Thunberg a prédit la fin de l'humanité aujourd'hui
RépondreSupprimer22 juin 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Les prédictions apocalyptiques nous accompagnent depuis longtemps pour faire respecter divers agendas. "Tout le monde connaîtra bientôt quelqu'un qui est mort de Covid", a déclaré le chancelier à court terme autrichien Kurz au printemps 2020 pour faire passer les mesures corona nuisibles. L'une des nombreuses déclarations absurdes de Kurz. Il y a cinq ans aujourd'hui, Thunberg affirmait que « si nous n'arrêtons pas d'utiliser les combustibles fossiles dans les cinq prochaines années, le changement climatique anéantira toute l'humanité » .
Les mesures Corona ont servi à générer des milliards de profits pour les industries pharmaceutique et de la santé et, surtout, à enrichir encore plus leurs propriétaires milliardaires. L'hystérie climatique sert à écraser la paysannerie et à déplacer la production agricole vers des usines appartenant aux mêmes milliardaires. Et cela sert également à engendrer des industries entièrement nouvelles, comme tout ce qui a trait à l'énergie solaire et éolienne, à la construction de maisons, à l'immobilier, à la propriété foncière, etc.
Dans un tweet du 21 juin 2018 maintenant supprimé, Thunberg a averti que nous n'avions que cinq ans pour sauver la planète du "changement climatique".
Aujourd'hui est l'anniversaire de la prédiction apocalyptique de Thunberg. La seule chose qui a changé depuis lors est la prise progressive du pouvoir par les élites financières au pouvoir et les multinationales, alors que le climat et l'utilisation des énergies fossiles n'ont changé que de manière marginale.
Alors qu'elle n'avait que 15 ans, Thunberg a écrit :
Un éminent climatologue avertit que le changement climatique anéantira toute l'humanité si nous n'arrêtons pas d'utiliser les combustibles fossiles dans les cinq prochaines années.
Ces avertissements alarmants, mais oubliés plus tard, avec des dates très claires et sûres, sont une partie importante de la propagande du WEF, des capitalistes financiers comme Larry Fink, PDG du gestionnaire d'actifs le plus riche BlackRock , ou des milliardaires comme Gates ou Soros et leur rang et filer les politiciens de l'UE et surtout les verts.
Cette affaire a pris une tournure propre en raison de l'effet Streisand, car Thunberg a été surpris en train de supprimer la réclamation juste avant la date limite.
Se souvenir de ces prévisions d'échéance est dangereux pour le capital financier car si la civilisation a effectivement dépassé le point de non-retour, elle pourrait limiter son pouvoir politique à mesure que les gens prennent conscience de la façon dont on leur ment.
RépondreSupprimerRecommandations de livres TKP :
Livres de Promedia Verlag
Mensonges, mensonges, mensonges : Terreur, tyrannie et conflagration mondiale comme nouvelle normalité des mondialistes
https://tkp.at/2023/06/22/heute-ende-der-menschheit-laut-vorhersage-von-greta-thunberg/
L'Atlantique est en feu
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 22 JUIN 2023 - 00:40
Certaines parties de l'océan Atlantique connaissent une vague de chaleur marine "exceptionnelle", suscitant des inquiétudes quant aux impacts sur la vie marine au large des côtes du Royaume-Uni et de l'Irlande, tandis que les scientifiques, en particulier ceux qui surveillent les ouragans, s'inquiètent d'une saison active sous les tropiques.
Le météorologue Colin McCarthy a tweeté: "Nous assistons à l'un des événements de vague de chaleur marine les plus extrêmes jamais enregistrés dans l'histoire moderne." Il a déclaré qu'une étendue d'eau surchauffée de 4 000 milles de long s'étend des eaux côtières au large de l'Afrique de l'Ouest aux eaux côtières juste au sud de l'Islande.
- voir carte sur site -
Certaines parties de la mer du Nord connaissent les températures les plus élevées depuis des décennies. Certaines zones relèvent de la catégorie quatre vague de chaleur marine – définie comme « extrême », selon la National Oceanic and Atmospheric Administration. Les températures de l'eau dans certaines régions sont de 9 degrés Fahrenheit au-dessus des niveaux moyens pour cette période de l'année.
"L'est de l'Atlantique, de l'Islande aux tropiques, est beaucoup plus chaud que la moyenne. Mais les régions autour de certaines parties du nord-ouest de l'Europe, y compris certaines parties du Royaume-Uni, ont parmi les températures de surface de la mer les plus élevées par rapport à la moyenne", a déclaré Stephen. Belcher, scientifique en chef du Met Office, a déclaré dans un communiqué.
Le scientifique en chef du Met Office, le professeur Stephen Belcher, a déclaré: "Mai 2023 a connu les températures les plus élevées de tous les mois de mai depuis 1850."
La canicule est "très exceptionnelle", a déclaré à CNN Mika Rantanen, chercheur à l'Institut météorologique finlandais. Il a dit que c'est "actuellement le plus fort sur Terre".
Richard Unsworth, professeur agrégé de biosciences à l'Université de Swansea au Royaume-Uni, a déclaré que la vague de chaleur dans l'Atlantique était "totalement sans précédent".
Les scientifiques indiquent de manière alarmante que l'eau surchauffée pourrait nuire à la vie marine car l'eau chaude contient moins d'oxygène.
Les prévisionnistes ont déclaré que les eaux anormalement chaudes de la zone tropicale de l'Atlantique pourraient déjà être responsables de deux perturbations se dirigeant vers la mer des Caraïbes.
Certaines régions de l'Atlantique n'ont enregistré des températures observées que pendant la haute saison des ouragans en septembre, ce qui indique que l'été pourrait être long et chaud.
Le météorologue Ben Noll a déclaré que ces eaux beaucoup plus chaudes que la moyenne dans les sujets se produisent dans une région connue pour être un "terrain fertile pour les ouragans".
"L'Atlantique est définitivement en feu", a déclaré Micheal Fischer, assistant scientifique à l'Institut coopératif d'études marines et atmosphériques de l'Université de Miami-NOAA, au Miami Herald.
Il pourrait y avoir plusieurs causes à l'augmentation des températures de surface de la mer, avec le phénomène météorologique El Niño en cours qui a tendance à avoir un effet de réchauffement dans certaines parties du monde. Certains ont également évoqué le manque de poussière du Sahara, qui refroidit généralement certaines parties de l'Atlantique en réfléchissant la lumière du soleil.
RépondreSupprimerDeux conséquences de la canicule marine dans l'Atlantique pourraient être une faune marine dévastatrice sur les côtes européennes et une augmentation des perturbations tropicales dans la région nord-américaine.
https://www.zerohedge.com/weather/atlantic-fire
Non, même en été la Terre ne s'est pas plus rapproché du soleil !
SupprimerIl y a aux planchers maritimes & océaniques DES milliers de sources sous-océaniques (appelées 'mini-volcans') qui réchauffent continuellement les lames de fonds. Ces courants marins ressortent aux côtes et réchauffent l'atmosphère (Côtes d'Azur et bretonnes, etc).
Il se pourrait bien qu'un 'mini-volcans s'ouvre de plusieurs mètres pour devenir un comparable aux volcans terrestres.
La fusion nucléaire pour sortir des énergies fossiles ?
RépondreSupprimerPour Philippe Charlez, la fusion nucléaire est la seule technologie véritablement renouvelable, et donc à même de remplacer des énergies fossiles.
le 22 juin 2023
Philippe Charlez
Grand économiste du début du XXe siècle, Joseph Schumpeter fût le premier à proposer une vision dynamique de la croissance économique. Elle s’appuie sur l’idée de la « destruction créatrice » énonçant que toute innovation détruisant la technologie précédente est source de croissance.
La société préindustrielle était une société d’énergies renouvelables.
On se chauffait, on cuisinait et on s’éclairait au bois (biomasse), on moulait le grain grâce à l’hydraulique (moulin à eau) et l’éolien (moulin à vent), on se déplaçait sur les mers à la force du vent et à terre sur le dos d’un cheval nourri à l’avoine (biomasse). Hélas, cette société fut incapable d’offrir à nos aïeux la croissance économique nécessaire à leur développement.
Il s’agissait là de renouvelables « non technologiques ».
Aussi, durant une bonne partie du XIXe siècle, de grands scientifiques tentèrent de « techniciser » les énergies renouvelables : pile de Volta (batterie), électrolyse de Nicholson (production d’hydrogène vert), voiture électrique de Stratingh, pile à combustible de Schönbein, effet photoélectrique de Hertz (ancêtre du panneau photovoltaïque), utilisation d’huile d’arachide et d’alcool (bicarburants) dans les premiers moteurs thermiques.
Bien que la plupart des technologies renouvelables aient été découvertes avant la fin du XIXe siècle, nos illustres ancêtres ne les ont jamais industrialisées, considérant le charbon, puis le pétrole et le gaz bien plus efficaces pour assurer leur développement. Dans le jargon Schumpeterien, les énergies fossiles apparaissent donc comme la « destruction créatrice » des énergies renouvelables.
La croissance verte cherche à inverser le processus et à faire des énergies renouvelables la destruction créatrice des fossiles : mission impossible.
Fut-elle propre et renouvelable, une énergie non pilotable comme le solaire ou l’éolien (réserves infinies à l’échelle humaine) ne peut être destruction créatrice d’une énergie pilotable, même si cette dernière n’est pas renouvelable (consommatrice de ressources naturelles finies) et émettrice de gaz carbonique. Seule une énergie pilotable, renouvelable et non émettrice de déchets pourrait être destruction créatrice des fossiles.
Mais cette énergie existe-t-elle vraiment ?
RépondreSupprimerLe nucléaire de seconde (réacteurs actuels à eau pressurisée et à neutrons lents) et de troisième (EPR) génération est pilotable et n’émet pas ou très peu de gaz carbonique.
En revanche, il est consommateur de ressources naturelles (uranium235) contenues en quantités limitées dans l’écorce terrestre et il génère des déchets radioactifs (uranium appauvri et plutonium) qu’il faudra traiter, voire entreposer durant plusieurs millénaires dans des stockages géologiques. Il ne coche donc pas les cases de la destruction créatrice.
Le nucléaire de quatrième génération (surgénération à neutrons rapide) utilise du plutonium239 (n’existant pas à l’état naturel, mais fabriqué directement dans le réacteur à partir d’uranium238) comme matériau fissile. L’uranium238 étant 140 fois moins rare que l’uranium235, le combustible nucléaire deviendrait de ce fait pratiquement inépuisable à l’échelle humaine. À ce jour, il n’existe que trois surgénérateurs : deux en Russie de 560 et 820 MW et un expérimental de 20 MW en Chine près de Pékin. La France fut pourtant pionnière en la matière avec le prototype Superphénix (puissance de 1,2 GW). Mis en service en 1986, il fût définitivement abandonné par le gouvernement de gauche plurielle de Lionel Jospin. Superphénix renaquit de ses cendres en 2006 avec le projet ASTRID (600 MW). Avec les mêmes arguments, les Verts eurent la peau d’ASTRID en 2018.
Petit frère de l’uranium238 avec des ressources naturelles 4 fois supérieures, le thorium232 est un autre élément se prêtant à la surgénération nucléaire. S’il n’existe pas aujourd’hui de surgénérateur au thorium dans le monde, la Chine vient d’annoncer la mise en service d’un prototype expérimental. Pour être développée à une échelle industrielle, cette filière prometteuse nécessitera encore de nombreuses années de recherches et d’investissements. La France, dont le granite de Quintin en Bretagne contient d’abondantes réserves de thorium, n’a malheureusement aujourd’hui aucun projet de surgénération au thorium dans ses cartons.
Le Graal de la perfection se trouve dans le cœur du soleil
Une fois de plus, l’Europe obsédée par un « Green Deal » purement moral fait fausse route.
Alors que les réacteurs à neutrons rapides français ont été reportés aux calendes grecques, les grandes puissances nucléaires (Chine, Russie, États-Unis, Inde) s’engagent sur cette voie qui coche presque toutes les cases de la destruction créatrice des fossiles : ressources pratiquement infinies (et donc renouvelables) et bien moins de déchets hautement radioactifs.
Le Graal de la perfection se trouve dans le cœur du soleil : c’est la fusion nucléaire. Alors que la fission (classique ou surgénération) cherche à produire de l’énergie en cassant un gros atome fissile (uranium, plutonium, thorium), la fusion cherche au contraire à combiner deux atomes légers, (deux isotopes de l’hydrogène – deutérium et tritium) pour produire un atome plus lourd (de l’hélium) tout en libérant des neutrons.
RépondreSupprimerComparée à tous ses confrères énergétiques, la fusion nucléaire coche toutes les cases de l’énergie parfaite : elle est pilotable et n’émet pas de déchets (l’hélium n’est pas radioactif). Par ailleurs, compte tenu des réserves quasi illimitées de deutérium dans l’eau de mer et des quantités substantielles de tritium pouvant être produites par irradiation du lithium, la disponibilité en combustibles serait assurée pour plusieurs dizaines de milliers d’années. La fusion nucléaire pourrait donc être considérée à l’échelle humaine comme une énergie renouvelable. Enfin, dans la mesure où il ne s’agit pas d’une réaction en chaîne, un dysfonctionnement du réacteur arrête immédiatement le processus. La fusion élimine toutes les externalités négatives de la fission : ressources, déchets et risque d’accident majeur.
Installé près de Cadarache dans la vallée de la Durance, le projet ITER vise à démontrer la possibilité de produire de l’électricité nucléaire à partir de la fusion. ITER pourrait libérer pour quelques millénaires l’humanité de sa geôle énergétique, pérenniser la société de croissance et renvoyer aux oubliettes les passions tristes des collapsologues décroissantistes.
Hélas, les chiffres parlent d’eux-mêmes : depuis dix ans, l’humanité a investi 5000 milliards de dollars dans les renouvelables contre moins de 20 milliards de dollars dans ITER. Sans commentaires !
https://www.contrepoints.org/2023/06/22/458498-la-fusion-nucleaire-pour-sortir-des-energies-fossiles
Le changement climatique s'avère être un homme de 71 ans nommé Ed
RépondreSupprimer21/06/2023
Rédacteurs en chef
De nombreux problèmes, allant des incendies de forêt au crime en passant par la maladie mentale, ont été imputés à quelqu'un du nom de "changement climatique".
(Article de Daniel Greenfield republié de FrontPageMag.com)
Réchauffement climatique pour augmenter les crimes violents aux États-Unis - Les gens aux États-Unis pourraient voir des dizaines de milliers de crimes extra-violents chaque année, à cause du seul changement climatique. UC Boulder
Pourquoi la santé mentale est une priorité pour l'action contre le changement climatique – OMS
Les scientifiques expliquent les facteurs qui ont fait exploser l'Oak Fire si soudainement - ABC News
Les facteurs se sont avérés être en effet le 'changement climatique'. Et le changement climatique s'est avéré être un homme de 71 ans nommé Ed.
Un homme de 71 ans a été arrêté pour avoir prétendument déclenché un énorme incendie de forêt dévastateur dans le parc national de Yosemite, que l'on pensait auparavant avoir été causé par le changement climatique.
Edward Fredrick Wackerman de Mariposa, en Californie, a été arrêté vendredi, soupçonné d'incendie criminel pour avoir prétendument allumé l'Oak Fire, qui a détruit 127 maisons, provoqué l'évacuation de milliers de personnes et ravagé près de 20 000 acres de végétation en juillet 2022.
Bonne nouvelle, les amis. Nous pouvons arrêter d'augmenter les impôts, d'interdire les voitures et d'envoyer des équipes SWAT de l'EPA chez les gens pour avoir tenté de combler les marécages sur leur propre terrain.
Le changement climatique a été attrapé et est derrière les barreaux. Nous pouvons respirer à l'aise et Al Gore peut obtenir un vrai travail.
En savoir plus sur :
FrontPageMag.com
https://www.naturalnews.com/2023-06-21-climate-change-turns-out-guy-named-ed.html
Les États-Unis approuvent la viande de poulet d'élevage – la Hollande exproprie les agriculteurs
RépondreSupprimer22 juin 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Les animaux de la ferme ont fait leur temps, la viande peut être élevée industriellement dans la cornue. Peu importe qu'elle consomme plus d'énergie et nuise à l'environnement tant qu'elle peut éliminer les paysans et prendre d'assaut ce dernier bastion qui n'a pas encore été entre les mains des magnats de la finance et des oligarques. Les dommages sanitaires qui ne manqueront pas de survenir plaisent à nouveau à l'industrie pharmaceutique.
La viande de poulet cultivée en laboratoire a été approuvée par le département américain de l'Agriculture (USDA) mercredi - une percée majeure pour la viande "de culture cellulaire". La FDA avait précédemment désigné ce type d' aliment comme inoffensif pour la santé.
Avec la première approbation officielle aux États-Unis, les aliments issus de l'élevage industriel arrivent d'abord dans les restaurants et enfin aux consommateurs via les supermarchés. L'USDA a autorisé deux sociétés californiennes, Upside Foods et Good Meat, à recevoir les inspections d'État nécessaires pour vendre de la viande et de la volaille.
" Cette approbation changera fondamentalement la façon dont la viande arrive sur notre table ", a déclaré Uma Valeti, PDG et fondatrice d'UPSIDE Foods, dans un communiqué . "C'est un grand pas en avant vers un avenir plus durable - un avenir qui préserve le choix et la vie."
Josh Tetrick, co-fondateur et PDG d'Eat Just, l'opérateur de Good Meat, a qualifié cette annonce de "moment important pour notre entreprise, l'industrie et le système alimentaire".
Les entreprises s'efforcent d'apporter de la viande de culture sur le marché américain depuis des années. La Food and Drug Administration a déjà classé les aliments des deux sociétés comme étant sans danger pour la consommation humaine. Mais avant que la nourriture ne puisse arriver sur le marché, elle devait être inspectée par l' USDA.
Les progrès de la technologie de la culture cellulaire ont permis aux développeurs d'aliments d'utiliser des cellules animales pour produire des aliments. Comme indiqué, la production de "boeuf" à partir de la cornue a également commencé en Hollande depuis début mai. Chez Google, nous trouverons surtout des rapports positifs à ce sujet. Le co-fondateur de Google, Sergej Brin, est l'un des investisseurs qui a financé le développement dès le début.
RépondreSupprimerLes deux entreprises américaines lanceront leur poulet d'élevage en quantités limitées par l'intermédiaire de restaurants partenaires sélectionnés. Upside a déjà traité la première commande de son poulet de culture, passée par le chef triplement étoilé Dominique Crenn, a annoncé mercredi la société. Good Meat a également annoncé qu'elle avait immédiatement commencé à produire le premier lot de ses poulets reproducteurs pour le restaurateur José Andrés, dont l'entreprise exploite plus de deux douzaines de restaurants à travers les États-Unis.
Des sommes colossales pour le financement expliquent l'intérêt du capital financier
À ce jour, UPSIDE Food a levé 598 millions de dollars d'investissements en 7 tours auprès de 40 investisseurs.
La société Eat Just a été financée en 12 tours par 43 investisseurs à hauteur de 465 millions de dollars.
Environ 1 milliard de dollars ont été investis dans ces deux sociétés seulement. Mosa Meat, basée aux Pays-Bas, qui élève du bœuf et l'expédie en Allemagne, a déjà levé 96 millions de dollars . Outre le co-fondateur de Google, Sergej Brin, les investisseurs incluent également "l'ambassadeur de l'environnement et du climat" de l'ONU.
Recommandations de la littérature sur la viande de laboratoire.
Les conséquences pour les agriculteurs aux Pays-Bas et aux États-Unis
L'investissement dans le poulet cultivé en laboratoire est d'environ 1 milliard de dollars. Aux Pays-Bas et aux États-Unis, les agriculteurs sont expropriés pour protéger ces investissements.
La Hollande tire sur les agriculteurs qui osent sauver leurs moyens de subsistance des voyous du gouvernement qui veulent les emmener.
Il existe un risque très réel que cela se produise dans tous les pays actuellement infiltrés par des agents du #WEF, comme nous l'avons vu plus tôt lorsque 3000 fermes en Hollande ont été expropriées par le gouvernement néerlandais.
RépondreSupprimerLe WEF ordonne au gouvernement américain de saisir les fermes et de brûler des millions de bovins d'ici 2025 - The People's Voice Un nouvel ordre fasciste du #WEF arrive. Ils ont infiltré nos gouvernements et nos frontières. Détruisez les fermes indépendantes. Prenez le contrôle de la #nourriture.
https://tkp.at/2023/06/22/usa-genehmigt-gezuechtetes-huehnerfleisch-holland-enteignet-die-bauern/
Recommandations de livres TKP :
RépondreSupprimerMensonges, mensonges, mensonges : Terreur, tyrannie et conflagration mondiale comme nouvelle normalité des mondialistes
Voici le profil de Jessica Rose :
- voir doc sur site -
Ce qu'elle a à dire au monde est réprimé dans l'UE.
https://tkp.at/2023/06/21/so-macht-twitter-die-eu-zensur-sichtbar/
La Journée mondiale des réfugiés marquée par 108 millions de personnes déplacées
RépondreSupprimerLa tragédie méditerranéenne impliquant les garde-côtes grecs caractérise la crise naissante qui trouve son origine dans les guerres et les politiques impérialistes des États-Unis
Par Abayomi Azikiwe
Recherche mondiale,
22 juin 2023
Le 20 juin de chaque année est commémoré comme la Journée mondiale des réfugiés, une reconnaissance de ceux qui ont fui leur pays de naissance pour chercher un soulagement à des conditions dangereuses d'origine humaine ainsi qu'à des catastrophes naturelles.
En 2023, le nombre de réfugiés et de personnes déplacées à l'international (PDI) a atteint des niveaux sans précédent, 108,4 millions étant désignés par les Nations Unies comme appartenant à ces deux catégories.
Le nombre de personnes déplacées aujourd'hui est deux fois plus élevé que celui des personnes déplacées à la fin de la Seconde Guerre mondiale. De nombreux réfugiés et déplacés internes souffrent des conséquences directes des guerres de changement de régime et d'occupation menées par les États-Unis et l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN).
Ce qui n'est souvent pas mentionné, c'est le grand nombre de réfugiés et de personnes déplacées d'Ukraine, qui a été au centre d'une guerre par procuration menée par l'OTAN contre la Fédération de Russie au cours des neuf dernières années. Depuis le début de la dernière phase de la guerre le 24 février 2022, des millions d'Ukrainiens et d'autres vivant à l'intérieur du pays ont échappé aux combats.
Les chiffres donnés pour le nombre de réfugiés ukrainiens dépassent les 8 millions. Beaucoup ont fui vers la Pologne voisine qui est un centre militaire pour la guerre soutenue par l'OTAN, fournissant une base arrière pour l'entraînement, l'armement et le lancement des troupes ukrainiennes dans la bataille contre les forces armées russes.
RépondreSupprimerLes autres régions géopolitiques touchées par les programmes de déstabilisation du Pentagone et de la Central Intelligence Agency (CIA) sont la Syrie, où Washington a soutenu une insurrection contre le gouvernement du président Bachar al-Assad à partir de 2011. La Libye a été le premier projet à grande échelle du Commandement américain pour l'Afrique. (AFRICOM) qui, grâce à l'utilisation de deux résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies, a bombardé l'État riche en pétrole tout en déployant des rebelles pour prendre le contrôle de zones urbaines et de ports stratégiques au cours des premiers mois de 2011.
La guerre du Pentagone et de l'OTAN contre la Libye a tué entre 50 000 et 100 000 personnes et déplacé plus de deux millions de personnes. L'assassinat de l'ancien dirigeant le colonel Mouammar Kadhafi et le renversement du système politique de la Jamahiriya ont conduit à la prolifération généralisée d'armes qui ont été acheminées vers des groupes rebelles, dont beaucoup ont leurs origines au sein des services de renseignement américains.
Depuis la destruction de la Libye sous le président démocrate Barack Obama, l'État auparavant le plus prospère d'Afrique est devenu une source d'instabilité, de factionnalisme et de traite des êtres humains. Les milliers de personnes, y compris des nourrissons et des enfants, qui sont trafiquées à travers la Libye et d'autres États d'Afrique du Nord, représentent le sous-produit humain d'une politique de militarisme impérialiste visant à perpétuer le contrôle hégémonique de l'Occident sur une majorité de la population mondiale.
La tragédie du 13 juin en Méditerranée
Environ 500 personnes sont toujours portées disparues après le naufrage d'un navire dangereux en Méditerranée cherchant à entrer dans l'Union européenne. 82 personnes ont été confirmées mortes tandis qu'un petit nombre d'autres ont été secourues par les garde-côtes grecs au large de Pylos.
Depuis le jour de la catastrophe, il y a eu des rapports contradictoires sur les détails de l'événement tragique. Les porte-parole des garde-côtes grecs ont déclaré que le navire transportant environ 750 personnes avait refusé l'aide de leur personnel.
RépondreSupprimerCe récit a été contesté par des groupes d'aide aux réfugiés et des survivants des noyades massives. Les politiciens grecs et les agences de défense des réfugiés ont condamné le rôle du gouvernement intérimaire du Premier ministre Ioannis Sarmas pour ne pas avoir rempli ses obligations en vertu du droit maritime international de secourir les navires en détresse.
Il a été rapporté qu'une corde était attachée au navire du migrant dans le but de le faire sortir des eaux grecques vers l'Italie. Dans un premier temps, les garde-côtes grecs ont nié que cela se soit produit, continuant à répéter que les migrants ne voulaient pas d'assistance et se dirigeaient vers les eaux italiennes.
Un rapport publié par la BBC a révélé :
« Une organisation qui fournit un soutien aux migrants en mer, Alarm Phone, a envoyé un e-mail mardi 13 juin après-midi avertissant les garde-côtes et d'autres que pas moins de 750 personnes étaient à bord et qu'elles demandaient de l'aide de toute urgence. Deux récits de survivants ont suggéré que le fait d'attacher une corde au bateau de pêche aurait pu le faire couler. L'un vient d'un conseiller local de la ville portuaire de Kalamata qui avait précédemment parlé à un Syrien de 24 ans. «Le bateau des garde-côtes les a attachés avec une corde et a essayé de les remorquer vers la gauche. Pour une raison inconnue, le bateau a viré à droite et a soudainement coulé », a déclaré Tasos Polychronopoulos. Un autre rescapé a donné une version similaire à l'ancien Premier ministre Alexis Tsipras lors d'une visite à Kalamata jeudi 15 juin. "Les garde-côtes grecs ont demandé au navire de les suivre, mais ils n'ont pas pu, " a dit un traducteur à M. Tsipras. "Les garde-côtes ont alors jeté une corde mais parce qu'ils ne savaient pas comment tirer la corde, le navire a commencé à se balancer à droite et à gauche." "Le bateau des garde-côtes allait trop vite, mais le navire pendait déjà sur la gauche, et c'est comme ça qu'il a coulé."
Neuf personnes, dont plusieurs Égyptiens, ont été arrêtées, soupçonnées de trafic d'êtres humains, rapporte la télévision grecque.
Bien que la noyade de migrants des 13 et 14 juin ait été un exemple profond du sort des personnes déplacées par les politiques militaires et économiques impérialistes, de tels incidents se produisent depuis près d'une décennie. Les États-Unis et d'autres États de l'UE-OTAN parlent des conditions des migrants et des autres personnes déplacées comme s'ils n'avaient joué aucun rôle dans la crise.
RépondreSupprimerAlors qu'en fait, les pays occidentaux industrialisés sont à l'origine de l'instabilité croissante dans la région eurasienne et en Afrique. De plus, la situation à la frontière sud entre les États-Unis et le Mexique est provoquée par les mêmes politiques impérialistes d'exploitation, de déstabilisation et de militarisme.
De plus, l'existence de la crise migratoire provoquée par les États occidentaux a fourni une justification à l'ascension des groupements, des partis politiques et des gouvernements d'ultra-droite et néo-fascistes en Europe, au Royaume-Uni et en Amérique du Nord. L'afflux de millions de personnes non blanches en Europe et en Amérique du Nord alimente le racisme et la violence institutionnels.
Une trahison de la Convention et du Protocole sur les réfugiés
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, où des dizaines de millions de personnes ont été tuées dans la guerre et le génocide systématique, les Nations Unies ont adopté la Convention sur les réfugiés afin de protéger les personnes qui ont fui leur pays, ont été déplacées à l'intérieur des frontières nationales ou qui restent apatrides en raison de injustices internationales.
Selon la déclaration des Nations Unies en l'honneur de la Journée mondiale des réfugiés :
« Les réfugiés sont parmi les personnes les plus vulnérables au monde. La Convention de 1951 sur les réfugiés et son Protocole de 1967 contribuent à les protéger. Ce sont les seuls instruments juridiques mondiaux couvrant explicitement les aspects les plus importants de la vie d'un réfugié. Selon leurs dispositions, les réfugiés méritent, au minimum, les mêmes normes de traitement dont jouissent les autres ressortissants étrangers dans un pays donné et, dans de nombreux cas, le même traitement que les nationaux. La Convention de 1951 contient un certain nombre de droits et souligne également les obligations des réfugiés envers leur pays d'accueil. La pierre angulaire de la Convention de 1951 est le principe de non-refoulement. Selon ce principe, un réfugié ne doit pas être renvoyé dans un pays où il fait face à de graves menaces pour sa vie ou sa liberté.
Cependant, l'incapacité non seulement à protéger les droits des réfugiés, mais à les considérer comme un outil politique à manipuler par les États occidentaux, viole clairement la lettre et l'esprit de la Convention sur les réfugiés. Il ne peut y avoir de renversement de cette crise sans un défi concerté aux politiques militaires et économiques des États impérialistes.
RépondreSupprimerEn réalité, plus les fonds et les armes envoyés à l'Ukraine augmenteront inévitablement le nombre de réfugiés et de personnes déplacées. Tant que les États-Unis et les autres États occidentaux continueront de soutenir l'État d'Israël contre les Palestiniens et les autres pays voisins, il y aura des gens qui fuiront la région en quête de sécurité.
La présence croissante de l'AFRICOM et de l'ancienne opération française Barkhane n'a apporté aucune aide aux gouvernements africains dans leur quête pour renforcer leurs appareils de sécurité intérieure. En revanche, le niveau d'instabilité dans divers États du continent s'est aggravé en raison des interventions impérialistes.
Par conséquent, afin de mettre fin aux crises de migration et de déplacement interne, l'ONU, les organisations de masse et les partis politiques doivent s'opposer à la déstabilisation impérialiste et aux occupations militaires. Un monde doit être créé où chacun a droit à un logement décent, à la nourriture, à l'eau, à la sécurité économique et au droit à la pleine égalité et à l'autodétermination.
https://www.globalresearch.ca/world-refugee-day-marked-by-108-million-being-displaced/5823229
Abus de l'IA "de l'état profond" : le plus grand danger de l'IA et pourtant personne n'en parle !
RépondreSupprimerPar Karsten Riise
Recherche mondiale,
22 juin 2023
Il y a beaucoup de problèmes de suivi concernant l'intelligence artificielle (IA) - l'un des grands suivis est la concentration d'un pouvoir inimaginable dans l'état profond, que l'IA permettra.
Peu de gens sont conscients du niveau de brouillard diffusé depuis l'État profond américain sur l'IA.
L'abus de l'IA à l'état profond est le plus grand danger de l'IA. Et pourtant, personne n'en parle !
Tous les discours sur "l'IA prenant le contrôle du monde" sont une mauvaise direction. Il pointe délibérément dans la fausse direction.
Le rôle de la grande technologie est une préoccupation, mais la façon dont elle est présentée est également une mauvaise direction - détournant l'attention de l'état profond.
Après tout, les grandes technologies - comme les médias grand public - font ce que l'État profond leur ordonne de faire. Cela n'est pas public – et peut même aller à l'encontre de la loi !
Le Washington Post donne un exemple frappant du discours public abyssal dans son rapport d'aujourd'hui 21 juin 2023 sur les initiatives législatives sur l'IA - voir lien .
Lire attentivement.
Il s'agit (A) de la "menace de l'IA qui prend le dessus" et (B) de la peur des "grandes entreprises".
C'est un bon cocktail pour effrayer beaucoup de conservateurs tech-sceptiques et de libéraux craignant la technologie et les faire aspirer à toutes les libertés que les législateurs veulent écrire, non pas pour le public, mais pour l'État profond et eux-mêmes contre le public.
PERSONNE dans l'arène politique ne parle du risque que l'IA pose entre les mains de l'État profond - et comment y faire face.
Toute discussion éparse sur le risque d'utilisation et d'abus de l'IA par l'État est toujours détournée des États-Unis - généralement vers la « Chine ». Les gens ne doivent pas être dupes.
Un système de « points sociaux » pour chaque individu existe peut-être déjà aux États-Unis, qui sera bientôt géré par l'IA. Ce ne sera tout simplement pas une chose connue du public. Et à l'intérieur de l'état profond, cela s'appellera quelque chose de "bon", comme "l'évaluation individuelle des risques" ou autre. Ajoutez à cela la "police prédictive" gérée par l'IA, pour cibler, harceler et détruire des groupes et des individus, et vous obtenez un cocktail très puissant.
Je voudrais ici rappeler les discussions qui ont eu lieu pendant des décennies sur Internet et l'État de surveillance. Et soyez sûr que, quoi que fassent les États-Unis, des pays comme le Canada, le Danemark, la Suède et d'autres pays prétentieux « bienfaisants » les soutiendront. Le Danemark a enfreint ses propres lois pour se plier en quatre pour construire une station d'espionnage pour les États-Unis. Et remarquez, qu'une prédominance des protagonistes du top IA sont liés à l'Université de Toronto au Canada.
RépondreSupprimerPersonne ne craint qu'Internet ne prenne le contrôle de la société. Mais nous savons tous qu'Internet est utilisé pour la surveillance et le contrôle. Contrôle des citoyens américains et de tous les autres en dehors des États-Unis. Personne ne veut abolir Internet à cause de cela, car nous en bénéficions tous tellement. Mais à l'exception de quelques-uns qui sont désormais poursuivis par l'État profond américain, personne ne prend suffisamment au sérieux la discussion sur la surveillance et le contrôle pour y faire quoi que ce soit.
L'IA va dans le même sens.
Au final, le Monde est mieux servi en étant multipolaire ; ne pas concentrer tout le pouvoir - y compris tout le pouvoir de l'IA - entre les mains d'une élite dans un seul État.
https://www.globalresearch.ca/deep-state-abuse-ai-biggest-danger-ai-yet-nobody-talks-about-it/5823194
Voici la liste des médias qui ont touché 319 millions de Bill Gates pour contrôler nos opinions
RépondreSupprimerPar Cheikh Dieng
Mondialisation.ca,
21 juin 2023
Une information publiée en 2021 mais qui mérite une nouvelle fois que notre média la mette à la disposition du grand public dans un contexte particulier marqué par une violence et une agressivité indescriptibles des grands médias qui refusent catégoriquement de couvrir la corruption qui gangrène le monde scientifique.
Mais, pour quelles raisons les médias refusent-ils de s’attaquer à Big Pharma ? Sont-ils payés par les labos pour taire les pratiques malsaines courageusement dénoncées par des centaines de scientifiques depuis le début de la pandémie ? Les questions se posent et le débat est ouvert.
En tout cas, ce l’on sait jusqu’ici, c’est que de grands médias en Occident sont financés par le milliardaire Bill Gates dont les liens avec les labos sont connus de tous. Pour vous donner une idée de cette connivence entre le fric et Big Pharma, Lecourrier-du-soir.com a jugé bon de republier une révélation faite il y a un an sur ce sujet.
«D’après une révélation explosive faite ce 15 novembre par le média d’investigation Mint Press News qui fédère des journalistes d’investigation du monde entier, Bill Gates a versé, à travers sa fondation, 319 millions de dollars à des médias américains et internationaux qui lui déroulent le tapis rouge en promouvant des sujets qui lui tiennent à cœur».
Bill Gates a-t-il pris le contrôle total des opinions des citoyens du monde entier ? La question se pose à la suite d’une révélation explosive faite ce 15 novembre par le média d’investigation MintPresseNews.com. En effet, ce média a révélé que Bill Gates a versé 319 millions de dollars à différents groupes de presse dans le monde pour contrôler la ligne éditoriale et imposer son agenda sur certains sujets.
Le média dit avoir obtenu ces informations en fouillant dans quelque 30 000 dons effectués par la fondation Bill & Melinda Gates et figurant dans sa base de données. MintPressNews.com est allé jusqu’à dévoiler le nom des médias qui ont bénéficié de ce gigantesque financement.
Parmi les médias cités, figurent : CNN, NBC, PBS et The Atlantic pour ce qui concerne les États-Unis. Dans le reste du monde, d’autres médias ont été mouillés. Parmi eux, figurent : El Pais (en Espagne), The BBC, The Guardian, The Financial Times et The Daily Telegraph (au Royaume-Uni), Der Spiegel (en Allemagne), Al-Jazeera (au Qatar) et Le Monde (en France).
RépondreSupprimerLes montants versés à ces médias ont été dévoilés. Ainsi, la chaîne américaine
CNN a touché 3 600 000 dollars du milliardaire américain.
El Pais a touché 3 968 184 dollars ;
Le Monde aurait touché 4 014 512 dollars ;
la BBC a touché 3 668 657 dollars ;
Der Spiegel a touché 5 437 294 dollars.
Le média The Guardian semble avoir remporté le gros lot : 12 951 391 dollars.
Et la liste n’est pas exhaustive.
D’après la source, cet argent sert à couvrir des thématiques chères à Bill Gates. Par exemple, les 3 600 000 dollars qui ont été attribués à la chaîne CNN servent à couvrir des questions liées au genre et à la parité, avec un focus sur les pays en voie de développement.
Après avoir fourni des informations extrêmement détaillées sur les financements de Gates accordés aux médias, le site d’information Mint Press News explique à quel point cette mainmise sur les médias tue le journalisme, en imposant à la presse une seule ligne favorable au tout-puissant milliardaire américain.
Par ce système qui s’apparente clairement à de la corruption, l’image de Bill Gates est constamment redorée par les médias internationaux qui le présentent ainsi comme un véritable sauveur de la planète. Ses conflits d’intérêts et les graves scandales dans lesquels il est impliqué sont volontairement passés sous silence et ceux qui osent en parler risquent de le payer très cher.
Autrement dit, tout ce qui est défavorable à sa Majesté Gates est purement et simplement censuré.
https://www.mondialisation.ca/voici-la-liste-des-medias-qui-ont-touche-319-millions-de-bill-gates-pour-controler-nos-opinions/5678805
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