Les « vaccins » basés sur la génétique – le crime pharmaceutique du siècle ?
10.06.2023 www.kla.tv/26280
Les « vaccins » basés sur la génétique – le crime pharmaceutique du siècle ? Sous-titre : Conférence de presse du 15 mars 2023
Le 15 mars 2023, l'association "Médecins et scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie" a organisé une conférence de presse sur ce sujet. Des voix spécialisées connues comme le professeur Sucharit Bhakdi, le pathologiste Arne Burkhardt et bien d'autres étaient présentes. Kla.TV publie ultérieurement des extraits de la conférence et des parties du communiqué de presse de cette journée importante !
Dans de brèves déclarations, les intervenants spécialisés ont expliqué l'ampleur considérable des dommages causés par la « vaccination » Covid. Ils ont également évoqué les conséquences et les développements qui en découlent, notamment en ce qui concerne la future politique de santé mondiale.
La protéine spike est une arme biologique.
Ulrike Kämmerer, biologiste en biologie humaine et cellulaire ainsi qu'immunologiste, a clairement montré que la protéine spike est une arme biologique avec un énorme potentiel de dommages. Il apparaît de plus en plus clairement qu'il ne s'agit pas d'un projet de politique de santé, mais d'un projet militaire. Mme Kämmerer a dit, entre autres, que : https://rumble.com/v1vfezy-statement-von-prof.-dr.-ulrike-kmmerer-bei-der-mwgfd-pressekonferenz-am-16..html
« Les vaccins font exactement ce qu'ils sont censés faire. Le corps est forcé de fabriquer la dangereuse protéine spike, qui se répand partout dans le corps et fait alors plus de dégâts que ne le ferait l'infection virale en tant que telle dans les cas habituels, surtout justement chez les personnes en bonne santé et non atteintes auparavant. La protéine spike, c'est donc cette épine qui se trouve à la surface des virus. Tout le monde a déjà vu ces images. Normalement, elle n'est produite dans le corps que lorsque les virus attaquent les cellules et les forcent à produire leurs propres composants viraux. L'astuce maintenant, surtout de ces composants ARN-lipides, a été de faire entrer l'information génétique pour la protéine spike dans les cellules. L'ARN normal ne serait pas introduit dans les cellules. [...]
Cela signifie que la protéine spike a été modifiée afin qu'elle possède désormais des propriétés qu'une protéine spike naturelle n'aurait pas. C'est publié, la source est indiquée sur la fiche, entre autres par Madame Segreto de manière très détaillée. Les points les plus importants sont les suivants : Elle a été optimisée pour s'arrimer au récepteur humain ACE2, qui est un récepteur présent sur de très nombreuses cellules, mais également au récepteur neuropiline. Ainsi, cette protéine de pointe peut pénétrer dans les cellules nerveuses et les endommager. Le récepteur ACE2 est, j'ai trouvé hier encore une publication - cela fait penser à M. Lauterbach - qui est en fait, je n'ai même pas pu l'imprimer, du 5 octobre 2020. Et il est déjà explicite, très bien décrit dans PubMed (= base de données d'articles médicaux sur Internet), que la protéine spike du SRAS-CoV-2 endommage les cellules souches de l'hématopoïèse. Cela signifie qu'on savait déjà, avant que la substance ne soit injectée chez l'homme, que dans les cellules humaines, cette protéine spike - et ce indépendamment du fait qu'elle soit transmise par le virus ou qu'elle arrive dans les cellules sous forme de protéine séparée - perturbe massivement les cellules souches hématopoïétiques (= à partir desquelles se forment les cellules sanguines), à partir desquelles se développe notre système immunitaire, à partir desquelles se forment également nos cellules sanguines. Et ils ont même trouvé que les monocytes (= cellules du système immunitaire), c'est-à-dire un élément important de notre système immunitaire cellulaire, sont également amenés à mourir sous l’effet de la protéine spike. Cela explique maintenant très bien pourquoi nous voyons beaucoup de dérégulations immunologiques, aussi bien chez les patients, où ce virus complet du SRAS-CoV-2 parvient fatalement à pénétrer dans le corps via la barrière immunitaire des muqueuses et peut effectivement y causer ces conséquences difficiles. Mais ce qui est beaucoup plus dangereux, c'est cette grande quantité de protéine spike que le corps doit former en raison de l'injection d'ARN, qui apporte cette propriété dangereuse dans le corps et qui perturbe ainsi réellement et durablement le système immunitaire. On voit les premières réactions, les gens qui ont eu une, deux ou plusieurs injections de ce type sont plus sensibles aux infections, ont un deuxième COVID, un troisième COVID, un quatrième COVID, ont d'autres maladies - et on entend très souvent parler de zona (= une maladie virale). Le zona est un signe classique d'un système immunitaire affaibli. [...] C'est un signe tout à fait typique que ces injections perturbent effectivement le système immunitaire de manière durable. Et dans la plupart des cas nous ne voyons pas encore de problèmes mortels et graves. Ça s'accumule, ça s'accumule de plus en plus à chaque injection. »
– a illustré le professeur Arne Burkhardt, pathologiste. Il a notamment déclaré https://rumble.com/v2egjn6-prof.-dr.-arne-burkhardt-mwgfd-pressekonferenz-vom-15.03.2023.html « Oui, merci beaucoup. […]Voici tout d'abord notre étude. Comme je l'ai dit, nous avons maintenant pu examiner 75 cas d'autopsies après coup. Nous avons plus de cas, mais il s'agit de cas que nous avons pour ainsi dire en main, c'est-à-dire que nous avons suffisamment évalués pour pouvoir constater quelques faits fiables à ce sujet. 75 personnes décédées, soit 40 hommes et 35 femmes, âgés de 21,2 à 94,7 ans. Décès entre un jour et six mois après la dernière injection, et ce avec les prétendus vaccins habituels chez nous, surtout Pfizer, BioNTech, donc Comirnaty.
En outre, nous avons de plus en plus de préparations de biopsies de patients vivants. Là aussi, je montrerai quelques exemples, notamment des biopsies de peau avec des modifications correspondantes. Image suivante. Nous avons donc examiné ces 75 personnes décédées et, en passant, quatre d'entre elles avaient eu une véritable infection au Covid-19 avant ou après la vaccination. Pour les autres, nous avons pu l'exclure. 40 autopsies par des pathologistes, 35 par des médecins légistes, une fois par les deux, c'est-à-dire des pathologistes et des médecins légistes, ce qui est certainement très justifié. Et le premier diagnostic que nous avons obtenu était dans 91 % des cas la mort naturelle ou la mort de cause inconnue. Et de plus en plus souvent ces derniers temps, on entend dire qu'il pourrait y avoir un lien avec la vaccination. Mais ces 91 % sont tout de même très impressionnants si on les compare au chiffre que nous venons de trouver sur la base de notre enquête de suivi. Image suivante. C'est maintenant l'examen ultérieur à Reutlingen, un « deuxième avis », comme on dit dans le jargon. Et là, il est presque certain ou très vraisemblable que les circonstances du décès sont dues d'une manière ou d'une autre à la vaccination. Et ce pour 77 %. Dans les présentations précédentes, nous avons parlé de 80 %. Maintenant, nous avons compilé les chiffres exacts pour ce groupe. Mais cela reste toujours possible : incertain dans 14 cas, exclu en fait dans un seul cas et deux cas ne sont pas exploitables.
Image suivante. Les circonstances du décès sont également importantes, j'ai rassemblé ici 19 cas. 15 d'entre eux relèvent de la rubrique des morts subites d'adultes, c'est-à-dire du « syndrome de mort subite de l’adulte » de cause inexpliquée. Et là, il est important de noter qu'une grande partie de nos cas sont morts à la maison, dans la rue, en voiture ou au travail, et que très peu sont morts après une longue hospitalisation ou une thérapie, de sorte que les modifications que nous voyons sur les tissus et les cellules sont en fait essentiellement dues à la vaccination, ou justement pas à des mesures thérapeutiques. […]En fait, le premier résultat a été de constater que cette protéine spike dont il est question ici ne reste pas seulement à l'endroit de l'injection, comme on l'a toujours prétendu, mais qu'elle se répand effectivement dans tout le corps via les vaisseaux sanguins. […] Et je tiens à souligner une fois de plus que les faits sont sur la table. Dans mon cas, ils sont sous le microscope et ils peuvent être regardés par quiconque s'y intéresse et pourront encore l’être dans des centaines d'années. C'est un document d'époque d'une valeur éternelle. Détourner le regard, c'est se rendre complice. C'est maintenant à la justice de jouer. Ceux qui ont commis ces crimes contre l'humanité doivent rendre des comptes. C'est ma conviction la plus profonde et c'est pour cela que je fais tout cet effort, même si je pourrais en fait me prélasser au soleil au bord de la mer. »
Le Dr Christian Fiala de Vienne a expliqué le mécanisme d'action entièrement nouveau de la vaccination par ARNm. Avec la protéine spike, les propres cellules saines du corps sont marquées comme étrangères. Par conséquent, le système immunitaire détruit ses propres cellules saines parce qu'il les considère comme des envahisseurs. Il a légitimement soulevé la question de savoir s'il ne s'agissait pas d'une répétition du scandale de la thalidomide, compte tenu de la destruction auto-immune intentionnelle. Lors du scandale de la thalidomide, de graves malformations ont été observées chez les nouveau-nés en raison de la prise du médicament sédatif thalidomide au début de la grossesse. Ainsi, à la suite de la "vaccination" Covid, on a constaté chez les femmes une augmentation des troubles menstruels, une diminution de la fertilité et des malformations chez les fœtus. Chez les hommes, une diminution considérable de la qualité des spermatozoïdes a été constatée. Selon le Dr Fiala, il ne s'agit là que d'une sélection des dommages causés par la vaccination Covid.
Le bénéfice n'est pas nul, mais négatif
- Le professeur Bhakdi en est convaincu. Il a une nouvelle fois attiré l'attention sur le talon d'Achille de cette affaire de vaccination. Le microbiologiste avait déjà prédit il y a trois ans que les dangers de la vaccination étaient un cauchemar. Cette prédiction reposait sur des principes de base de l'immunologie, tels qu'on peut les lire dans n'importe quel manuel. Tous les « vaccins » à ARNm, et pas seulement les « vaccins » Covid, comportent deux dangers mortels : le premier est le matériel d'enrobage très dangereux. Ces nanoparticules lipidiques protègent l'ARNm et permettent son absorption par les cellules. Cela n'est possible que par le biais de graisses artificielles qui, contrairement aux lipides naturels, sont chargées positivement et provoquent ainsi un dysfonctionnement. En effet, toutes les cellules de l'organisme sont maintenues au moyen de lipides chargés négativement. Avant 2020, l'utilisation de ces lipides chargés positivement n'était même pas autorisée. Dans ce contexte, le Dr Ronald Weikl a également abordé les déclarations trompeuses du service sanitaire de l’armée allemande sur son site Internet. Sous la rubrique « Vaccins et devoir de tolérance », on trouve la formulation suivante : « Celui qui choisit sans hésiter d’entrer dans un restaurant peut tout aussi bien faire confiance aux ingrédients et aux adjuvants contenus dans le vaccin ARNm. Le sel, la graisse, l'eau et le sucre se retrouvent en effet dans les deux. » Au vu des explications du professeur Bhakdi, on ne peut que qualifier de telles déclarations d’irresponsables. Dans le cadre de l'autorisation d'urgence du premier "vaccin Covid" de BioNTech, le fabricant a certes déclaré avoir effectué des tests de sécurité. Mais le fait est que les fabricants de vaccins n'ont jamais réalisé d’études sur les animaux. Le deuxième danger provient des gènes étrangers au corps, qui peuvent passer en nombre massif dans la circulation sanguine et atteindre tous les organes. En effet, toute cellule qui produit une protéine étrangère à l'organisme devient la cible d'une attaque du système immunitaire. Ces substances actives basées sur l'ARNm doivent maintenant être introduites dans tous les domaines de la médecine, conformément à la déclaration d'intention de l'OMS.
Le professeur Werner Bergholz, ancien membre de la commission d'experts pour l'évaluation des mesures Covid19, a fourni des chiffres et des faits sur le manque d'efficacité et la sécurité inexistante. Selon sa devise scientifique « the proof of the pudding is in the eating » (= dans le même sens : c’est en le goûtant qu’on voit si le pudding est bon), le physicien met fin à la fable de l'efficacité. Cela serait déjà connu depuis juillet 2021, date à laquelle Israël a publié ses chiffres. De simples affirmations ne garantissent pas encore le « vaccin » et ne contribuent pas à sa pérennité. Tout au plus à la consolidation de la croyance erronée, ce qui expliquerait pourquoi les médias mainstream ne parlent toujours pas de l'ampleur des chiffres. L'affirmation de Lauterbach selon laquelle seule une personne sur 10 000, soit 0,01 % des « vaccinés », a des effets secondaires graves qui changent leur vie, se révèle rapidement être une blague au vu des chiffres scientifiquement prouvés et solides de diverses études. Plusieurs études, dans lesquelles 100 % des participants ont été observés, démontrent que les effets secondaires sont d'au moins 3 %. Les données officielles de l'armée américaine le confirment également. Ainsi, parmi les 2,5 millions de jeunes militaires, il y a eu une augmentation d’environ 4 % de myocardites (= inflammation du muscle cardiaque) et 3 % de cancers. Et à la question de savoir si ces substances vaccinales Covid19 étaient efficaces, il a répondu : https://rumble.com/v2e6oxs-prof.-dr.-berggholz-mwgfd-pressekonferenz.html
« Clairement : non ! Sucharit Bhakdi vient de le dire et il a aussi dit que c'est encore pire. Non seulement ce n'est pas efficace, mais le système immunitaire est très endommagé. Plus je suis vacciné, plus j'ai de chances d'être infecté soit par le Covid19, soit par une autre infection. Et une étude de novembre d'une clinique de Cleveland a montré que si je suis injecté trois ou quatre fois, mon risque de tomber malade est multiplié par 3. On pourrait aussi dire efficacité de moins 300 %. »
Nouveaux tableaux cliniques dans le contexte du spike
Le professeur Martin Haditsch, spécialiste en virologie, biologie et épidémiologie infectieuse, se penche sur les questions suivantes : comment diagnostiquer les lésions dues à la vaccination, quels paramètres de laboratoire sont appropriés pour le diagnostic et comment pouvons-nous faire la distinction entre le syndrome de Covid Long et le syndrome post-Vac (= lésions après la vaccination). De nombreux signes de la maladie ne sont pas caractéristiques et peuvent se manifester en dehors de la thématique de la maladie de Covid19 : cela constitue un défi pour le diagnostic. A cela s'ajoute la grande variabilité des lésions causées par l'atteinte ubiquitaire (= répandue partout) des organes. Il est donc nécessaire de recenser et de clarifier les nouveaux tableaux cliniques. Ainsi, avec spike des maladies jamais observées auparavant sont apparues dans le contexte de l'immunisation (= vaccination), comme l'ADE, une réaction immunitaire excessive, le VITT, une formation de caillots due à la « vaccination » avec une tendance simultanée aux hémorragies, le V-SIDA, une faiblesse immunitaire due à la « vaccination », le SADS, la mort subite de l'adulte. Alors qu'entre 2016 et 2020, 9 cas de « mort subite et inattendue » ont été recensés en Allemagne, ce chiffre est passé à 500 en 2021.
L’OMS - Attaque systématique et étendue contre la population civile
Un rapport intermédiaire du 28 février 2021 de Pfizer à la FDA (= l'autorité américaine pour les produits alimentaires et pharmaceutiques) fait état, sur 8,5 pages, d'environ 1 300 effets secondaires qui - il faut le noter - ont été signalés dans les 3 mois seulement suivant la mise sur le marché du vaccin. Toute expérimentation animale aurait été interrompue à ce stade. Cela montre aujourd'hui l'urgence de déterminer un profil d'étude fiable et adapté à ces nouvelles maladies, notamment afin de pouvoir présenter des faits solides en cas de procédure judiciaire.
Enfin et surtout, Uwe Kranz, ancien président de l'Office de la police criminelle du Land de Thuringe a pris la parole. Il s'est penché sur l'agenda mondial de l'OMS qui, avec son traité sur les pandémies et son International Health Regulations (= règlement sanitaire international), en abrégé IHR, plane actuellement comme une épée de Damoclès au-dessus de tous les gouvernements. L'ancien assistant au lancement et chef de projet d'Europol poursuit aujourd'hui son travail d'analyse, sauf qu'il s'intéresse désormais au crime organisé dans le secteur de la santé et aux bases de données mondiales. Il montre à quel point les chiffres de la base de données européenne « Eudra Vigilance » sont absurdes et irréalistes, car seuls environ 3 % des dommages et effets secondaires réels des vaccins sont effectivement déclarés. 2 179 125 cas suspects multipliés par 100 serait nettement plus proche de la réalité des dommages liés aux vaccins. Les « Pfizer Files », la correspondance révélée entre la FDA (= autorité américaine pour les produits alimentaires et pharmaceutiques) et Pfizer, qui devait être cachée au public pendant plus de 75 ans, démontrent également le crime sans précédent contre l'humanité.
Seule une plainte FOIA (Freedom of Information Act) déposée par 200 médecins et scientifiques a conduit à la divulgation de 300 000 documents permettant de prouver la corruption internationale et l'action frauduleuse de Pfizer dans la procédure d'autorisation. Il s'agit donc maintenant de s'opposer aux abus de pouvoir de l'OMS. En effet, si on se penche sur le rôle de l'OMS dans le système international, il devient vite évident que l'International Health Regulations (IHR) actuellement en discussion et le projet du « traité sur les pandémies » sont une tentative de réanimation. Car l'OMS est une organisation chroniquement sous-financée, lourde et inefficace, qui doit être gonflée pour devenir un One-World-Government (= gouvernement mondial unique) et qui met en danger la souveraineté de tous les Etats. Le traité prévu sur les pandémies et le IHR deviendraient une invitation à l'abus de pouvoir. Cela se manifeste déjà de manière impressionnante et sans équivoque par la suppression de la « dignité » et des « droits de l'homme » dans le nouveau traité sur les pandémies ou par l'application de mécanismes et de structures de contrôle ou de droits de sanction si les États membres ne « jouent pas le jeu ». L'OMS doit à l'avenir pouvoir décider seule si une pandémie se développe ou non. Cela signifie la suppression totale de la souveraineté nationale et du contrôle financier. Même en cas de menace potentielle, l'ensemble des instruments de l'OMS doit s'appliquer.
Mesdames et Messieurs, les faits qui viennent d'être cités le montrent de manière impressionnante : Non seulement les « vaccins » ne sont pas efficaces, mais ils sont surtout nocifs ! Ainsi, tous les faits indiquent qu'il doit s'agir d'une arme biologique à laquelle l'armée participe en tant que chef de file. En bref, les vaccins à ARNm doivent être qualifiés de crime pharmaceutique de ce siècle !
Diffusez ces informations et mettez en garde votre entourage contre les effets nocifs des vaccins ARNm !
Nous terminons par une citation du professeur Bhakdi :
« C'est devenu tellement clair maintenant. Les responsables sont dos au mur et craignent pour leur propre existence. Pourtant, ces personnes manquent cruellement d'empathie. Ma petite lueur d'espoir, c'est que ces sujets présentés au cours des cinq derniers mois par les médias grand public (MDR, Bild TV, ZDF) sont désormais vus des millions de fois. Ce n'est plus une bulle. Cela se propage déjà à l'extérieur et atteint d'autres personnes. Ce que nous devons faire, c'est continuer à informer de manière à ce que chaque idiot comprenne. Car les faits sont clairs comme de l'eau de roche, si bien que dans les mois à venir, la question sera : « As-tu participé ? » »
de ch. Sources / Liens : Communiqué de presse du MWGFD https://www.mwgfd.org/2023/03/pressemitteilung/
Vidéo de la conférence de presse https://rumble.com/v2djfco-mwgfd-pressekonferenz-vom-15.03.23-genbasierte-impfstoffe-das-pharmaverbrec.html
https://www.bitchute.com/video/pbowFdj5GhAl/
Scandale de la thalidomide https://de.wikipedia.org/wiki/Contergan-Skandal
ALETHEIA Article sur le traité de l'OMS sur les pandémies https://www.aletheia-scimed.ch/de/pandemievertrag/
Le régulateur allemand prévient que la crise énergétique est loin d'être terminée
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 11 JUIN 2023 - 14:10 Rédigé par Tsvetana Paraskova via OilPrice.com,
Selon le président du régulateur allemand de l'énergie, la crise énergétique n'est pas encore terminée malgré les niveaux élevés de stockage de gaz naturel.
Les installations de stockage de gaz naturel dans l'UE ont actuellement une capacité de 70 %, tandis qu'en Allemagne, les réservoirs de stockage de gaz naturel sont remplis à 76 %.
Afin de garantir un approvisionnement suffisant en gaz pour l'hiver à venir, l'Allemagne aura besoin d'un niveau de stockage de 75 % d'ici le 1er septembre.
La crise énergétique n'est pas encore terminée, a déclaré mercredi Klaus Müller, président du régulateur allemand de l'énergie, au média Funke.
Malgré le fait que les niveaux de gaz naturel stocké sont plus confortables qu'au cours des deux années précédentes, la crise est loin d'être terminée et les conditions météorologiques seront le facteur le plus important, a déclaré Müller, président de l'Agence fédérale allemande des réseaux, Bundesnetzagentur.
Au 6 juin, les réservoirs de stockage en Allemagne étaient pleins à 76 %, tandis que dans l'UE, le niveau global est légèrement supérieur à 70 %, selon les données de Gas Infrastructure Europe.
"Si tout se passe bien, nous aurons des installations de stockage complètes à la fin de l'été", a déclaré Müller, faisant référence aux niveaux de stockage de l'Allemagne.
Le régulateur a déclaré dans son dernier rapport hebdomadaire que "pour sécuriser l'approvisionnement en gaz pour l'hiver prochain, il doit y avoir un niveau de stockage de 75% d'ici le 1er septembre".
« Il a été possible d'éviter une situation de déficit de gaz l'hiver dernier. En parallèle, la préparation de l'hiver 2023/2024 est un enjeu majeur. Il est donc toujours important d'économiser du gaz », a ajouté le régulateur.
La consommation de gaz naturel de l'Allemagne au cours de la semaine commençant le 22 mai était de 23,2% inférieure à la consommation moyenne pour la période 2018-2021, et en baisse de 9% par rapport à la semaine précédente, a ajouté le régulateur.
Le mois dernier, l'une des principales entreprises de services publics allemandes, E.On, a déclaré que la crise énergétique n'était pas encore terminée et que la situation de l'approvisionnement énergétique en Europe pourrait se détériorer plus tard cette année.
"La crise n'est pas encore terminée", a déclaré le directeur financier d'E.On, Marc Spieker, lors de la présentation des résultats du premier trimestre du géant des services publics début mai.
"Par rapport à l'environnement de marché actuel, nos prévisions tiennent également compte de la possibilité d'une nouvelle détérioration dans le reste de l'année. Nous pensons que nous sommes bien placés pour faire face à la volatilité qui devrait se poursuivre », a ajouté Spieker.
Le chemin de 4 milliards d'années de l'évolution humaine visualisé
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 11 JUIN 2023 - 13:35
L'histoire de l'évolution humaine est fascinante, s'étendant dans une chaîne ininterrompue sur des millions d'années.
Des plus petites protocellules aux humains modernes, notre espèce a parcouru un parcours remarquable d'adaptation, d'innovation et de survie.
Dans cet article, Mark Belan de Visual Capitalist se penche sur les étapes clés du développement de l'évolution de la vie sur Terre qui ont conduit à l'émergence d'Homo sapiens – nous !
- voir cadre sur site -
Des protocoles aux personnes
L'évolution est le résultat de millions de mutations infimes sur des millions d'années, mais le processus évolutif qui nous a créés peut être divisé en quelques catégories clés.
1. Protocellules et micro-organismes précoces
Les premières formes de vie sur Terre étaient de simples micro-organismes unicellulaires appelés protocellules. Ces cellules précurseurs n'avaient pas de noyau ou d'autres organites liés à la membrane, et elles avaient des protéines génétiques simples appelées ARN.
Au fil du temps, l'ARN s'est complexifié en ADN plus stable. Les protocellules ont lentement développé des organites spécialisés, devenant des microbes plus complexes qui finiraient par former des eucaryotes - les organismes unicellulaires complexes qui donneraient naissance à un large éventail de formes de vie, des simples éponges aux animaux complexes.
2. Les premiers animaux
Dickinsonia est le premier exemple d'un animal que nous connaissons. Bien qu'il s'agisse d'une créature simple et plate dépourvue de bouche ou de système digestif, elle symbolise le premier organisme multicellulaire d'une complexité substantielle.
Au fil du temps, les premiers systèmes d'organes sophistiqués ont commencé à apparaître. La symétrie bilatérale est apparue, ainsi que les premières versions des systèmes nerveux et circulatoire. Des yeux simples, appelés taches oculaires, sont également apparus à l'époque où les moelles épinières et les créatures vertébrées ont commencé à émerger.
L'un des développements les plus significatifs dans l'évolution de la vie a été la transition des environnements marins aux environnements terrestres.
Jusqu'à il y a 500 millions d'années, toute vie était séquestrée dans la mer. Les poissons ont été les premiers vertébrés et ont introduit des organes supplémentaires tels que l'estomac, la rate et des composants corporels tels que les écailles, les dents, le sang, etc. Des poissons osseux sont apparus et, au fil du temps, leur développement a entraîné des modifications sophistiquées du système squelettique, produisant finalement des «proto-membres» qui permettraient aux organismes de marcher sur terre.
Les chercheurs ne savent toujours pas quel organisme spécifique a pu ramper en premier sur terre, mais les candidats partagent ces caractéristiques pré-membres. Tiktaalik est un candidat populaire car il avait des os spécialisés qui suggèrent qu'il pouvait supporter son propre poids tout en sortant des eaux peu profondes.
Ces créatures sont finalement devenues les tétrapodes ("à quatre pattes"), et elles avaient des caractéristiques comme quatre pattes, une colonne vertébrale et des poumons qui pouvaient absorber l'oxygène de l'air. Tous les amphibiens, reptiles, oiseaux et mammifères qui ont suivi sont des descendants des tétrapodes d'origine.
4. Les premiers mammifères
Il y a environ 200 millions d'années, les premiers mammifères sont apparus. Ces premiers mammifères étaient de petites créatures ressemblant à des musaraignes qui vivaient aux côtés des dinosaures. Au fil du temps, cependant, les mammifères ont développé des cheveux, des dents spécialisées, des glandes sudoripares pour réguler la température corporelle et un système circulatoire plus efficace.
Les mammifères ont également apporté des caractéristiques telles que la nocturne, les glandes mammaires, les organes génitaux externes et une variété d'autres caractéristiques qui les distinguaient des autres espèces vivantes à l'époque, comme les oiseaux ou les reptiles.
5. Les grands singes et les premières espèces homosexuelles
Il y a environ 7 millions d'années, les premiers grands singes sont apparus en Afrique. Ces singes, tels que les orangs-outans, les gorilles et les chimpanzés, étaient des créatures très intelligentes et sociales qui vivaient dans des communautés complexes. Au fil du temps, une lignée de singes donnerait naissance aux premiers membres du genre Homo, qui comprend notre propre espèce.
Les principaux changements de développement au cours de cette période ont été la bipédie à plein temps des singes, l'augmentation de la taille du cerveau et le développement avancé des os qui ont permis la dextérité pour la construction d'outils et la chasse. Des inventions comme le feu et les vêtements sont apparues au début du genre Homo, et éventuellement un langage complexe, la perte de cheveux et des changements faciaux spectaculaires ont évolué.
Les chercheurs ont du mal à résoudre la progression exacte de l'espèce Homo. De nombreuses espèces d'Homo existaient en même temps, et comme de nombreux enregistrements de fossiles se chevauchent, déterminer lesquelles sont arrivées en premier est un domaine d'intérêt intense.
L'avenir de l'évolution humaine
Alors que les humains continuent d'évoluer, nous pouvons nous attendre à voir des changements significatifs dans nos capacités physiques et cognitives au cours des 10 000 prochaines années.
Avec l'essor de la technologie et l'interconnexion croissante du monde, nous pourrions assister à une évolution vers une population humaine plus mondialisée et homogène, avec moins de diversité génétique.
Cela a été décrit comme « la grande moyenne », où la diversité génétique diminue et nous commençons à nous ressembler davantage.
D'autres théories suggèrent que nous pourrions développer des caractéristiques comme une taille plus grande et plus légère, avec des cerveaux plus petits et une personnalité moins agressive.
Cependant, comme pour toute évolution, ces changements seront façonnés par une interaction complexe de facteurs génétiques, environnementaux et culturels. Il est impossible de prédire exactement comment les humains évolueront au cours des 10 000 prochaines années, mais une chose est certaine : l'avenir de l'évolution humaine sera façonné par les choix que nous faisons aujourd'hui.
Le gouvernement fédéral allemand nie les dommages causés à la santé de la population civile par les munitions à l'uranium
11 juin 2023 du Dr. Peter F. Mayer
En mars 2023, on a appris que les Britanniques fourniraient à l'Ukraine des munitions perforantes à base d'uranium appauvri. Cela s'est également produit vers la mi-avril. Comme indiqué à plusieurs reprises, les munitions ont été détruites le 13 mai par une frappe aérienne russe dans le dépôt de munitions de Khmelnitzky dans l'ouest de l'Ukraine. Le résultat a été un nuage de poussière d'uranium qui s'est déplacé à travers la Pologne, l'Allemagne jusqu'en Angleterre et s'est entre-temps répandu dans toute l'Europe.
Dans une requête adressée au gouvernement fédéral allemand le 25 avril 2023, le groupe parlementaire AfD a voulu savoir si le gouvernement fédéral condamnerait cette livraison et quels en seraient les effets et les dommages pour les personnes et l'environnement.
Les réponses du gouvernement fédéral continuent les contrevérités massives, les fausses allégations et les tromperies de la campagne de Coron et de vaccination. Le ministère des Affaires étrangères de Baerbock, en tant que répondant aux demandes de renseignements, suit les traces du ministère de la Santé de Spahn/Lauterbach, RKI et PEI.
Abordons brièvement les affirmations des bureaucrates du Département d'État :
"Le gouvernement fédéral a rejeté sans équivoque la combinaison de munitions avec de l'uranium appauvri produit par la Russie en tant que 'composant nucléaire'."
Le rejet et la négation des faits ont été observés de plus en plus fréquemment au cours des trois dernières années, en particulier dans l'UE et en Allemagne . Bien entendu, l'uranium est une matière radioactive couramment utilisée dans de nombreuses industries nucléaires , de la médecine nucléaire aux centrales nucléaires en passant par les armes nucléaires.
Grâce à la désintégration en cours, l'uranium 238 est accompagné d'un certain nombre d'autres éléments et isotopes radioactifs : Th 234, Pa 234 et Pa 234m, U 234, Th 230, Ra 226, Rn 222, Po 218 et ainsi de suite dans la chaîne de désintégration. Dans chaque cas, α ou β est produit – ainsi qu'un rayonnement gamma à Pa 234m. Ce sont des désintégrations nucléaires, c'est-à-dire des modifications des noyaux atomiques par la libération de noyaux d'hélium-4 (2 protons plus 2 neutrons) ou d'un électron et/ou de photons - même si le ministère allemand des Affaires étrangères n'en sait rien. (Noyau latin "noyau" également noyau) La classification des rayonnements des substances radioactives en rayons alpha, bêta et gammapar ordre de pénétrabilité croissante vient de R utherford.
Pour clarifier la dimension, voici le nombre d'atomes pour 1 gramme d'uranium :
1 gramme d'U 238 contient 2,53 * 10 puissance 21 atomes, soit environ 2,53 trillions d'atomes.
Avec une demi-vie d'environ 4,5 milliards d'années , 8 900 atomes d'uranium 238 dans un gramme d'uranium se désintègrent par seconde avec la cascade subséquente dans la chaîne de désintégration.
Dommages aux personnes et à l'environnement
Interrogé sur les dommages causés aux personnes et à l'environnement, la réponse suivante est affirmée :
« Des organisations internationales (Programme des Nations Unies pour l'environnement, Agence internationale de l'énergie atomique) ont évalué la contamination de l'environnement et l'exposition potentielle aux rayonnements de la population dans les zones où des munitions à l'uranium appauvri (UA) ont été utilisées (Kosovo, Serbie, Monténégro, Bosnie-Herzégovine, Irak et Koweit). La contamination environnementale mesurée était faible au regard de la radioactivité associée. En conséquence, selon le Programme des Nations Unies pour l'environnement et l'Agence internationale de l'énergie atomique, aucune exposition significative aux rayonnements de la population n'est à prévoir.
Compte tenu du rôle de ces organisations, la réponse est aussi peu surprenante qu'inexacte. L'OMS aurait même probablement calculé qu'un million de vies ont été sauvées par le tir de munitions à l'uranium, comme pour les injections d'ARNm, qui ont causé une surmortalité cumulée de 100 000 décès rien qu'en Allemagne en 2021 et 2022.
Qu'est-ce qu'une munition à l'uranium et comment ça marche ?
Tout d'abord, un bref résumé de ce que sont les balles DU. C'est simple : les armures sont majoritairement en acier. Si vous tirez avec une munition APFSDS (Armor Penetrating Fin Stabilized Discarding Sabot), qui est également en acier, vous frappez essentiellement le char ennemi avec des munitions de même densité/dureté, ce qui, selon les lois éternelles de Newton, entraînerait l'acier en champignons de munitions et se brise principalement sous la contre-force beaucoup plus forte de l'armure.
Par conséquent, l'armée a commencé à utiliser des balles de tungstène. Le tungstène est beaucoup plus dur/plus dense que l'acier, encore plus dense que l'uranium pur. Cependant, le tungstène est beaucoup plus rare et plus cher. L'uranium appauvri a une dureté similaire mais est moins cher car il est littéralement fabriqué à partir de déchets/sous-produits radioactifs de centrales nucléaires qui ne sont plus nécessaires. Il est en grande partie dépouillé de sa radioactivité, bien sûr, mais il en reste une petite quantité.
Acier environ 8 g/cm³ selon l'alliage Plomb 11,34 g/cc Uranium 19,16 g/cc Tungstène (et or) 19,3 g/cc
Le point de fusion du tungstène est de 3422 degrés, à une température si élevée que l'acier commence à bouillir (point de fusion de l'uranium 1133 degrés, acier entre 900 et 1500 degrés selon l'alliage).
Ainsi, lorsque le tungstène ou l'uranium rencontre une armure en acier, la force qui agit sur eux est comme un couteau sur du beurre. En réalité, c'est beaucoup plus compliqué et détaillé car le tungstène est encore meilleur que l'UA à certains égards, mais il est beaucoup plus cher.
Lorsque les munitions à l'uranium frappent l'armure, une partie de l'énergie d'impact est utilisée pour transformer la balle en poussière en plus de l'effet sur l'acier de l'armure.
Impacts sur la santé et l'environnement
Le ministère britannique de la Défense a publié une déclaration citant des "recherches scientifiques indépendantes" selon lesquelles les effets néfastes de l'uranium appauvri sur la santé sont minimes : vidéo .
Il est difficile de le vérifier pleinement, en grande partie parce qu'il est tellement dans l'intérêt des États-Unis et de l'Occident de balayer de telles recherches sous le tapis et de les dissimuler, mais les chiffres qui circulent sur Internet vont dans ce sens :
Étudier Fallujah, Irak 2005 – 2010 :
la leucémie a augmenté de 38 fois, Tumeurs cérébrales 13x Lymphomes 10x Cancer chez les enfants 10,5x
Ceci est confirmé par des articles parus il y a longtemps, alors qu'il aurait peut-être été un peu plus facile de publier des faits "gênants", avant que Big Tech n'enchaîne complètement Internet avec leurs algorithmes de nettoyage et que la politique américaine et européenne n'accroche le reste des médias. . Par exemple , cet article du Guardian de 2009 confirme une multiplication par 15 des malformations congénitales chez les nourrissons.
La question est de savoir comment l'utilisation de munitions à l'uranium en Ukraine aurait affecté et quelles conséquences peut-on attendre du nuage de poussière. Les batailles de Fallujah, qui sont les principaux responsables de cet empoisonnement à l'UA, ont duré peut-être deux mois au total. Cela dit, on peut considérer le fait qu'en seulement deux mois que DU a été abattu à Fallujah, la population a été empoisonnée à tel point que plus de 14 % des naissances avec malformations ont été touchées.
Ainsi, si la guerre en Ukraine devait se prolonger encore plusieurs années, on peut imaginer le type de contamination qui résulterait d'une opération DU qui durerait 10 ou 20 fois plus longtemps que les combats de Fallujah, qui dévaste la campagne et est empoisonnée.
Cela dépendra donc du nombre total de systèmes compatibles DU que l'Ukraine a reçus et qui ont explosé ou qui n'ont pas encore été reçus. Pour autant que l'on sache, seul le Royaume-Uni a jusqu'à présent fourni des obus à l'UA avec ses chars Challenger.
Cependant, il y avait des nouvelles que des munitions similaires provenaient également des États-Unis. Il est plausible que la région du Donbass ait pu être massivement contaminée, peut-être à une échelle éclipsant celle de la zone d'exclusion de Tchernobyl.
Selon le gouvernement irakien, l'incidence du cancer dans le pays est passée de 40 à 1 600 cas pour 100 000 habitants en 2005 en raison de l'utilisation d'uranium appauvri. Dans les pays de l'ex-Yougoslavie également, l'incidence du cancer a augmenté de 25 %.
Après l'utilisation de projectiles à l'uranium appauvri, de grandes parties des terres cultivées du territoire ukrainien sont contaminées et des substances radioactives sont propagées sur le reste du territoire par les véhicules. Cela causerait d'énormes dommages économiques au complexe agro-industriel ukrainien et stopperait les exportations de produits agricoles ukrainiens.
Le plus gros problème avec l'uranium, cependant, n'est pas sa radioactivité en soi, mais sa "toxicité chimique". Comme d'autres "métaux lourds" tels que le mercure, le plomb, etc., l'uranium est très dangereux pour l'environnement et cancérigène, car ses molécules déplacent les nutriments vitaux dans nos organes, les ganglions lymphatiques, etc., entraînant des perturbations dans la structure de l'ADN, entre autres. choses.
Ajoutez à cela le fait que l'Irak est principalement désertique, tandis que l'Ukraine regorge de champs agricoles qui y sont cultivés et que la nourriture qui y est cultivée est consommée par des millions de personnes, augmentant considérablement la toxicité et l'ampleur des dommages potentiels à la population qui augmentent de façon exponentielle.
La réponse du gouvernement fédéral découle donc parfaitement des contrevérités qui se sont répandues sur les vaccinations Corona et ARNm au cours des trois dernières années.
Voici une autre conversation que j'ai eue avec Alexander Boos sur MEGA Radio à propos des munitions à l'uranium :
L’économie des pays « occidentaux » en chute libre ?
le 11 juin 2023
Pour estimer le produit intérieur brut (PIB) d’un pays il n’existe pas de critères bien définis et chaque Etat s’arrange pour trouver la meilleure méthode de calcul au risque de se voir noté défavorablement par les agences dont c’est le rôle. Ce risque est bien réel et il s’illustre par un seul exemple au sujet de la France révélateur du peu de confiance qui peut être accordé à son calcul de son PIB. Il s’agit de l’incorporation dans ce calcul du salaire des fonctionnaires de l’Etat. Il est difficile de trouver plus grave escroquerie que cette manœuvre inventée pour embellir le PIB et très curieusement la Cour des comptes ne semble pas choquée par cette escroquerie. Les salaires des fonctionnaires sont payés par les impôts des classes laborieuses du secteur privé et les entreprises de ce même secteur privé. Or ces impôts sont comptabilisés dans le calcul du PIB comme les taxes variées et la taxe sur la valeur ajoutée. Comme dans d’autres pays occidentaux l’argent de la drogue est également incorporé au calcul du PIB. Bien malin celui qui est capable d’avancer des montants exacts de cet « argent de la drogue » et le même cas de figure s’applique aux revenus de la prostitution, à l’exception de quelques rares pays occidentaux où les « travailleuses du sexe » sont reconnues officiellement et déclarent leurs revenus à l’administration.
Tous les artifices sont donc utilisés pour gonfler le PIB et on obtient un classement par pays de ce genre :
- voir cadre sur site -
GDP = PIB, GDP PPP = PIB calculé à partir de la parité de pouvoir d’achat (PPP = purchase power parity). La parité de pouvoir d’achat est calculée en considérant un panier de biens de consommation courante incluant également des achats de biens durables ainsi que les dépenses de logement pour chaque pays dans sa devise nationale. Ce pouvoir d’achat est alors calculé sur la base des revenus moyens déclarés auprès de l’administration fiscale du pays considéré. À ce pouvoir d’achat « officiel » est ajouté celui provenant de l’économie informelle échappant donc à l’administration et qui peut être très importante dans certains pays. Pour obtenir une estimation de cette économie informelle des calculs complexes permettent de relier les achats d’une personne A ayant acquis une certaine somme d’argent en vendant un bien acquis à la suite d’un troc ou d’une activité non déclarée comme un service rendu à une personne B, service rétribué après une négociation entre les deux parties. Le calcul de cette économie informelle, certains la considèrent comme illégale car elle échappe à tout contrôle de l’administration, est donc toujours une estimation mais néanmoins très proche de la réalité. Par tradition l’économie de la Russie est en grande partie informelle et les pays occidentaux, obsédés par la mise en place de leurs administrations tentaculaires, classent cette économie dans la catégorie de la corruption et de la fraude. Ce n’est pas nécessairement le cas. Pourquoi Staline a-t-il pourchassé les Koulaks jusqu’à ce que mort s’en suive ? Parce que ces petits paysans vendaient le produit de leur terre directement aux consommateurs et ils étaient de ce fait des petits capitalistes hors du système idéologique de l’Union soviétique. Il est alors possible de proposer un classement des divers pays en fonction de cette parité de pouvoir d’achat exprimée en dollars internationaux tenant compte de la parité des monnaies locales :
Il y a beaucoup à dire au sujet de ce tableau en ce qui concerne les estimations pour 2030. Il n’est nulle part expliqué comment ces estimations ont été obtenues. En effet l’évolution récente consécutive aux évènements d’Ukraine peut profondément changer cette prospective. La « dédollarisation » et le regroupement de plus d’une cinquantaine de pays, certains disent 80 pays, au sein de l’organisation des BRICS et/ou de l’OCS, la mise en place d’une Banque des règlements internationaux alternative à Shanghai et la création d’une monnaie d’échange liée à l’or va bouleverser le paysage géo-économique outre l’organisation géopolitique actuelle. Considérons que tous ces facteurs ont été pris en compte. On remarque que le PIB(PPP) de la Chine sera presque égal au double de celui des USA. L’Inde talonnera l’économie américaine, celle de l’Indonésie sera plus importante que celle du Japon et la Russie suivra de près cette dernière économie. Quant à la Turquie elle aura devancé l’Allemagne qui disputera sa place au Brésil et au Mexique.
On peut à juste titre contester le classement de l’Allemagne compte tenu de sa politique énergétique désastreuse ou encore celui du Japon dont la natalité déjà alarmante ne sera pas rapidement corrigée mais ce type de mesure n’atteint des résultats qu’au moins 20 ans plus tard et sans un changement de politique migratoire complet l’économie japonaise ne sera plus en 2030 au cinquième rang dans ce classement.
Scandale dans l’UE : la Slovaquie avoue que les stocks d’armes européens sont épuisés et qu’il faudra 10 ans pour les recharger
By Cheikh Dieng 12 juin 2023
La guerre en Ukraine a-t-elle déjà épuisé les stock d’armes de l’Union Européenne ? C’est du moins ce que laisse entendre Peter Pellegrini, ancien premier ministre de la Slovaquie, cité par l’agence de presse russe Tass. Pour le chef du gouvernement slovaque, il faudra 5 à 10 ans pour remplir à nouveau le stock d’armes européen.
« Les dépôts d’armes ont été épuisés un peu partout en Europe, toutes les armées devront recharger leurs stocks. C’est un travail de 5 ans 10 ans », a-t-il déclaré, ajoutant que compte tenu de ce fait, la Slovaquie ne pourra pas fournir davantage d’armes à Kiev dans sa contre-offensive contre la Russie.
Pour rappel, Peter Pelligrini n’est hélas pas la première personnalité européenne à faire cette triste révélation sur le stock d’armes européen. En décembre dernier, dans un communiqué publié sur le site officiel de l’Union Européenne, Josep Borrell, chef de la Diplomatie européenne, l’avait déjà annoncé.
« La guerre a été un signal d’alarme pour nous tous concernant nos capacités militaires. Nous avons livré des armes à l’Ukraine, mais ce faisant, nous nous sommes rendu compte que nos stocks militaires ont été vidés. Avec le retour de la guerre conventionnelle au cœur de l’Europe, nous nous sommes rendu compte que nous manquons cruellement de capacités de défense pour nous protéger contre des menaces de grande envergure auxquelles nous ferons face sur le continent européen », avoue-t-il.
Dans la publication lue par Lecourrier-du-soir.com, le chef de la diplomatie européenne avait réitéré le soutien de l’UE à l’Ukraine afin d’aider ce pays à faire face à l’envahisseur russe. « Naturellement, le début de notre discussion fut la guerre de la Russie contre l’Ukraine, une attaque frontale contre un pays voisin », souligne-t-il.
Et d’ajouter : « j’ai mis l’accent sur l’importance de soutenir l’Ukraine, sur le plan politique, économique et militaire, c’est-à-dire par des armes et par une formation militaire afin qu’elle puisse repousser les envahisseurs (russes), car c’est qu’ils sont. Et nous devrions continuer à le faire aussi longtemps que possible, jusqu’à ce que l’Ukraine triomphe ».
Révélation explosive : voici la liste des médias qui ont touché 319 millions de Bill Gates pour contrôler nos opinions
By Cheikh Dieng 11 juin 2023
Une information publiée en 2021 mais qui mérite une nouvelle fois que notre média la mette à la disposition du grand public dans un contexte particulier marqué par une violence et une agressivité indescriptibles des grands médias qui refusent catégoriquement de couvrir la corruption qui gangrène le monde scientifique.
Mais, pour quelles raisons les médias refusent-ils de s’attaquer à Big Pharma ? Sont-ils payés par les labos pour taire les pratiques malsaines courageusement dénoncées par des centaines de scientifiques depuis le début de la pandémie ? Les questions se posent et le débat est ouvert.
En tout cas, ce l’on sait jusqu’ici, c’est que de grands médias en Occident sont financés par le milliardaire Bill Gates dont les liens avec les labos sont connus de tous. Pour vous donner une idée de cette connivence entre le fric et Big Pharma, Lecourrier-du-soir.com a jugé bon de republier une révélation faite il y a un an sur ce sujet.
Excellente lecture
« D’après une révélation explosive faite ce 15 novembre par le média d’investigation MintPressNews qui fédère des journalistes d’investigation du monde entier, Bill Gates a versé, à travers sa fondation, 319 millions de dollars à des médias américains et internationaux qui lui déroulent le tapis rouge en promouvant des sujets qui lui tiennent à cœur
Exclusif
Bill Gates a-t-il pris le contrôle total des opinions des citoyens du monde entier ? La question se pose à la suite d’une révélation explosive faite ce 15 novembre par le média d’investigation MintPresseNews.com. En effet, ce média a révélé que Bill Gates a versé 319 millions de dollars à différents groupes de presse dans le monde pour contrôler la ligne éditoriale et imposer son agenda sur certains sujets.
Le média dit avoir obtenu ces informations en fouillant dans quelque 30 000 dons effectués par la fondation Bill & Melinda Gates et figurant dans sa base de données. MintPressNews.com est allé jusqu’à dévoiler le nom des médias qui ont bénéficié de ce gigantesque financement.
Parmi les médias cités, figurent : CNN, NBC, PBS et The Atlantic pour ce qui concerne les Etats-Unis. Dans le reste du monde, d’autres médias ont été mouillés. Parmi eux, figurent : El Pais (en Espagne), The BBC, The Guardian, The Financial Times et The Daily Telegraph (au Royaume-Uni), Der Spiegel (en Allemagne), Al-Jazeera (au Qatar) et Le Monde (en France).
Les montants versés à ces médias ont été dévoilés. Ainsi, la chaîne américaine CNN a touché 3 600 000 dollars du milliardaire américain. El Pais a touché 3 968 184 dollars; Le Monde aurait touché 4 014 512 dollars; la BBC a touché 3 668 657 dollars; Der Spiegel a touché 5 437 294 dollars. Le média The Guardian semble avoir remporté le gros lot : 12 951 391 dollars. Et la liste n’est pas exhaustive.
D’après la source, cet argent sert à couvrir des thématiques chères à Bill Gates. Par exemple, les 3 600 000 dollars qui ont été attribués à la chaîne CNN servent à couvrir des questions liées au genre et à la parité, avec un focus sur les pays en voie de développement.
Après avoir fourni des informations extrêmement détaillées sur les financements de Gates accordés aux médias, le site d’information MintPressNews explique à quel point cette mainmise sur les médias tue le journalisme, en imposant à la presse une seule ligne favorable au tout-puissant milliardaire américain.
Par ce système qui s’apparente clairement à de la corruption, l’image de Bill Gates est constamment redorée par les médias internationaux qui le présentent ainsi comme un véritable sauveur de la planète. Ses conflits d’intérêts et les graves scandales dans lesquels il est impliqué sont volontairement passés sous silence et ceux qui osent en parler risquent de le payer très cher.
Autrement dit, tout ce qui est défavorable à sa Majesté Gates est purement et simplement censuré.
Des personnes 'Très très riches' forment un nano-groupuscule planqué derrière les rideaux, seule une partie infinitésimale prend la parole en public. Mais comment peuvent-elles dire de si gros mensonges face à 8 milliards de terriens qui contestent les dire ? Les merdias vont jusqu'au bout du monde ! Inventent qu'une poignée de manifestants serait en réalité comptabilisé dans des dizaines de millions ! Et voila ! Le tour est joué ! Faire passer une micro-minorité pour une majorité voire grande majorité ! Les 'sondages' sont d'ailleurs là pour illustrer ces débilités. Faire croire. Avec le pognon on achète tout ! TOUT ! Même des tireurs d'élite !
N'oubliez pas que les rois, présidents ou empereurs ne sont que des pions ! Ils reçoivent chaque jour des informations vraies ou fausses. Ils ne marchent pas dans la rue, ni ne rencontrent le Peuple comme en Démocratie (Suisse) et ne côtoient que des personnes qui sont là au Palais depuis DES décennies et qui ont vu passer grand nombre de rois, présidents ou empereurs !
Les Américains ne veulent pas d'une monnaie numérique de banque centrale ; Nouvelles découvertes de sondage
PAR TYLER DURDEN LUNDI 12 JUIN 2023 - 12:30 Écrit par Adam Dick via l'Institut Ron Paul,
Un sondage du Cato Institute indique que, alors qu'environ la moitié des Américains n'ont pas d'opinion quant à savoir si la Réserve fédérale devrait "commencer à proposer une monnaie numérique émise par le gouvernement, appelée" monnaie numérique de la banque centrale "(CBDC)", parmi ceux avec une opinion sur la question plus de deux fois plus - 34 % des participants au sondage - s'opposent à la perspective que la soutiennent - 16 %.
Ce résultat du sondage mené du 27 février au 8 mars en collaboration avec YouGov est prometteur pour les Américains préoccupés par la menace qu'une CBDC, que la Réserve fédérale et les grandes sociétés financières ont testée en vue de son introduction potentielle, fait peser sur la liberté et la vie privée. en Amérique.
Les résultats du sondage indiquent en outre que, si les Américains peuvent être informés des pouvoirs abusifs du gouvernement qu'une CBDC peut avancer, de nombreux Américains actuellement indécis quant à l'introduction d'une CBDC verront de bonnes raisons de s'y opposer. Emily Ekins et Jordan Gygi ont écrit dans leur article approfondi du Cato Institute du 31 mai concernant les résultats du sondage :
Des majorités écrasantes s'opposeraient à l'adoption d'une CBDC si cela signifiait que le gouvernement pourrait contrôler ce à quoi les gens dépensent leur argent (74 %), que le gouvernement pourrait surveiller leurs dépenses (68 %), qu'une CBDC abolirait tout l'argent américain (68 %), qu'une CBDC attirerait les cyberattaques (65 %), que le gouvernement pourrait imposer une taxe à ceux qui ne dépensent pas d'argent pendant les récessions (64 %), ou que le gouvernement pourrait geler les comptes bancaires numériques des manifestants politiques ( 59 %). Les Américains étaient légèrement opposés (52 %) si une CBDC pouvait amener certaines personnes à cesser d'utiliser les banques privées, entraînant la faillite de certaines banques. Les candidats désormais à la deuxième place des primaires présidentielles républicaines et démocrates – Ron DeSantis et Robert F. Kennedy, Jr. – semblent appartenir au camp anti-CBDC.
Espérons que de plus en plus de politiciens se joindront à eux au cours des prochains mois pour se dresser contre cette menace posée par la Réserve fédérale et le gouvernement américain.
En attendant, il est également important que les Américains de tout le pays éduquent les personnes avec lesquelles ils entrent en contact sur les raisons pour lesquelles une CBDC en Amérique est inacceptable.
Le nouveau sondage du Cato Institute suggère que de nombreuses personnes seront réceptives à ce message.
Comment fonctionne l'industrie de la censure et comment nous pouvons l'arrêter
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 12 juin 2023
Dans cette vidéo, j'interviewe Mike Benz, directeur exécutif de la Foundation for Freedom Online. Benz a commencé comme avocat d'entreprise représentant des entreprises de technologie et de médias avant de rejoindre l'administration Trump, où il a travaillé comme rédacteur de discours pour le Dr Ben Carson, l'ancien secrétaire américain au logement et au développement urbain (HUD) et le président Trump.
Il a également conseillé sur la politique de développement économique. Il a ensuite rejoint le Département d'État en tant que sous-secrétaire adjoint aux communications internationales et aux technologies de l'information. Là, il dirigeait les cyber-bureaux de l'État, c'est-à-dire tout ce qui concernait Internet et la politique étrangère.
"C'est vers la fin de 2020, qui a été une période vraiment fascinante pour assister à la fusion, à bien des égards, des grands gouvernements et des grandes entreprises technologiques elles-mêmes", dit-il. "J'avais grandi, je pense, comme beaucoup d'Américains, avec la conviction que le premier amendement vous protégeait contre la censure gouvernementale.
Les conditions d'engagement dont nous avions bénéficié depuis 1991, date du déploiement du web mondial, jusqu'en 2016, l'élection aux États-Unis et le Brexit au Royaume-Uni, qui est, en réalité, le premier événement politique où l'élection a été déterminée, à bien des égards , par momentum sur internet.
Il y a eu cette période dorée de 25 ans où l'idée d'être censuré par une entreprise du secteur privé, sans parler du gouvernement, était considérée comme quelque chose, pour moi, très profondément anathème pour l'expérience américaine.
Ce dont j'ai été témoin au Département d'État - parce que j'étais au bureau, en gros, que Google et Facebook appelaient lorsqu'ils voulaient des faveurs à l'étranger, lorsqu'ils voulaient la protection américaine ou des politiques américaines pour préserver leur domination en Europe, en Asie ou en Amérique latine Amérique.
Et le gouvernement américain rendait service à ces entreprises technologiques tandis que les entreprises technologiques censuraient les personnes qui votaient pour le gouvernement. C'était une trahison complète de tout contrat social qui sous-tend généralement le partenariat public-privé.
L'Internet a été fondé par l'État de la sécurité nationale
Apparemment, l'expansion rapide de la censure a commencé après 2016, mais vous pouvez faire valoir qu'Internet n'a jamais été destiné à rester libre pour toujours. Au contraire, l'intention de l'utiliser comme un outil totalitaire était probablement ancrée dès le début lorsque l'État de sécurité nationale l'a fondé en 1968.
Le Web mondial, qui est l'interface utilisateur, a été lancé en 1991, et je soupçonne que l'Internet public a été ensemencé et autorisé à se développer afin de capturer et de tirer le meilleur parti de la population qui en dépend, sachant que ce serait le l'outil d'ingénierie sociale le plus efficace jamais conçu. Benz commente :
"Je suis tout à fait d'accord... Beaucoup de gens, en essayant de comprendre ce qui se passe avec la censure du net, disent 'Nous avions cet Internet gratuit, et puis tout à coup il y a eu cet âge de la censure et l'État de la sécurité nationale s'est impliqué du côté de la censure. '
Mais lorsque vous retracez l'histoire, la liberté sur Internet elle-même était en fait un impératif de sécurité nationale. Internet lui-même est le produit d'une nécessité contre-insurrectionnelle du Pentagone pour gérer l'information dans les années 1960, en particulier pour agréger les données des sciences sociales. Et puis, il a été privatisé.
Ouvert à tous les acteurs du secteur privé, il a été transféré de la DARPA [l'Agence des projets de recherche avancée pour la défense] à la National Science Foundation, puis est passé par une série d'universités du côté des infrastructures.
Et puis, dès le départ en 1991, vous avez eu la fin de la guerre froide, et puis simultanément, vous avez eu cette profusion de technologies de liberté sur Internet financées par le Pentagone. Vous aviez des choses comme les VPN, le chat crypté, TOR.
Toutes les premières technologies de liberté sur Internet des années 90 ont été financées par le Pentagone, le Département d'État et développées par la communauté du renseignement, principalement, comme moyen d'utiliser la liberté sur Internet pour aider les groupes dissidents dans les pays étrangers à pouvoir développer une politique pro-américaine. tête de pont, parce que c'était un moyen d'échapper aux médias contrôlés par l'État.
C'était, fondamentalement, un outil d'insurrection pour le gouvernement américain, de la même manière que Voice of America et Radio Free Liberty, et Radio Free Europe étaient des outils de la CIA pendant la guerre froide, pour transmettre, fondamentalement, des pro-États-Unis. contenu aux populations de pays étrangers afin de les orienter vers les intérêts américains. C'était une façon de gérer l'empire mondial.
Internet servait le même objectif, et cela ne pourrait pas être fait si cela s'appelait une opération du Pentagone, une opération du Département d'État ou de la CIA. Mais toutes les entreprises technologiques elles-mêmes en sont le produit. Google a commencé comme une subvention DARPA qui a été obtenue à Stanford par Sergey Brin et Larry Page.
En 1995, ils faisaient partie du programme massif de données numériques de la CIA et de la NSA [National Security Agency’s]. Ils avaient leurs réunions mensuelles avec leurs conseillers de la CIA et de la NSA pour ce programme, où l'objectif déclaré était que la CIA et la NSA soient en mesure de cartographier en ligne les soi-disant « Oiseaux d'une plume »… afin qu'ils puissent être neutralisés.
Comment tout a commencé
Comme l'a noté Benz, l'idée de demander à la communauté du renseignement de cartographier les communautés politiques "Birds of a Feather" afin de les mobiliser ou de les neutraliser était (et est toujours) justifiée au nom du contre-terrorisme. De nos jours, comme nous l'avons vu pendant la pandémie, il est utilisé pour contrôler le discours public, supprimer la vérité et promouvoir des angles de propagande.
La technologie utilisée pour contrôler le discours public est une technique d'intelligence artificielle (IA) appelée traitement du langage naturel (TAL). C'est une façon d'agréger tous ceux qui croient en une certaine chose en ligne dans des bases de données communautaires en fonction des mots qu'ils utilisent, des hashtags, des slogans et des images.
"Des récits émergents, toutes sortes d'affiliations de métadonnées, tout cela peut être agrégé pour créer une carte topographique du réseau de ce en quoi vous croyez et à qui vous êtes associé, afin que tout puisse être rejeté de manière rapide, précise et complète par les équipes de modération de contenu, car ce sont tous des oiseaux de la même plume », explique Benz.
«Le fait que cela soit né de l'État de la sécurité nationale des États-Unis, qui dirige le spectacle, aujourd'hui, me dit essentiellement qu'il y a une continuité entre la liberté d'Internet et la censure d'Internet. Ils sont simplement passés d'un côté à l'autre de l'échiquier.
Qu'est-ce que l'état de la sécurité nationale ?
Pour plus de clarté, lorsque Benz parle de «l'État de sécurité nationale», il fait référence aux institutions qui maintiennent l'ordre international fondé sur des règles. Au niveau national, cela inclut le Pentagone, le Département d'État, le Département de la sécurité intérieure (DHS), certains aspects du Département de la justice (DOJ) et les 17 agences de renseignement.
Parmi ceux-ci, le Pentagone, le Département d'État et la communauté du renseignement (IC) sont les trois principaux qui gèrent l'empire mondial américain depuis les années 1940. Aucun d'entre eux n'est censé être en mesure d'opérer au niveau national, mais dans un sens, leur pouvoir s'est tellement étendu qu'ils contrôlent essentiellement les affaires intérieures.
Comme l'a expliqué Benz, le Pentagone, le Département d'État et IC ne sont pas censés pouvoir opérer au niveau national. "Mais dans un sens, ils contrôlent vraiment les affaires intérieures, parce que leur pouvoir s'est tellement étendu qu'ils ont développé un appareil de blanchiment extraordinaire pour pouvoir financer des institutions internationales qui ensuite boomerang chez eux et contrôler efficacement une grande partie des affaires politiques intérieures, y compris discours sur Internet.
Quant à la CIA, elle a été créée en 1947 en vertu du National Security Act. Il a été créé comme un mécanisme de cape et d'épée, pour faire des choses que le Département d'État voulait faire mais ne pouvait pas se faire prendre en raison des répercussions diplomatiques - des choses comme le trucage des élections, les assassinats, le contrôle des médias, la corruption et d'autres tactiques de subversion.
La naissance de la guerre hybride
Benz poursuit son explication sur comment et pourquoi la censure sur Internet a émergé quand elle l'a fait :
"Donc, il y a l'État de sécurité nationale des États-Unis, puis il y a l'État transatlantique impliquant l'OTAN. L'histoire de l'implication du gouvernement occidental dans la censure d'Internet a vraiment commencé après l'annexion de la Crimée en 2014, qui a été la plus grande humiliation de politique étrangère de l'ère Obama.
L'école de politique étrangère d'Atlanta a été profondément enflammée par cet événement et a blâmé le fait qu'il y avait ces entités dissidentes soutenant la Russie dans l'est de l'Ukraine et en Crimée sur un échec à pénétrer leurs médias, et cette idée que les cœurs et les esprits étaient basculés vers la Russie côté à cause du contenu pro-russe en ligne.
L'OTAN a alors déclaré cette doctrine de la guerre dite hybride - cette idée que la Russie avait gagné la Crimée non pas par une annexion militaire, mais en gagnant, illicitement dans un sens, les cœurs et les esprits des Crimés grâce à l'utilisation de leur propagande. Et la doctrine de la guerre hybride, née en 2014, était cette idée que la guerre n'était plus une chose cinétique.
Il n'y avait pas eu de guerre cinétique en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale. Au lieu de cela, il s'était déplacé sous-kinétique dans les cœurs et les esprits des gens. En fait, l'OTAN a annoncé une doctrine après 2014 intitulée "Des chars aux tweets", dans laquelle elle a déplacé son attention, explicitement, de la guerre cinétique vers les opinions des médias sociaux en ligne.
Le Brexit, qui s'est produit en juin 2016… a également été imputé à l'influence russe. Et donc toutes ces institutions qui ont plaidé pour le contrôle d'Internet en Europe de l'Est ont dit : "Eh bien, cela doit venir maintenant". Maintenant, c'est une chose dans toute l'Europe.
Lorsque Trump a ensuite été élu cinq mois plus tard, envisageant explicitement l'éclatement de l'OTAN, l'enfer s'est déchaîné. Cette idée que nous devons censurer Internet est passée de quelque chose de délicat et de nouveau, de l'avis des chefs du Pentagone et du Département d'État, à quelque chose de totalement essentiel pour sauver l'ensemble de l'ordre international fondé sur des règles qui est sorti du monde. Seconde guerre.
À l'époque, le raisonnement était que le Brexit, au Royaume-Uni, allait donner lieu à Frexit, en France, avec Marine Le Pen et son mouvement là-bas. Matteo Salvini allait provoquer l'Italexit en Italie, il y aurait le Grexit en Grèce, le Spexit en Espagne, et toute l'Union européenne se défait, simplement parce que ces partis populistes de droite voteraient naturellement pour accéder au pouvoir politique.
Ils voteraient pour des politiques énergétiques bon marché de la classe ouvrière qui les rapprocheraient naturellement de la Russie, en raison des prix du pétrole moins chers ou du gaz moins cher. Puis, tout à coup, vous n'avez pas d'UE, vous n'avez pas d'OTAN, et puis, vous n'avez pas d'alliance militaire occidentale.
Donc, à partir de ce moment, après l'élection de Trump, immédiatement, il y a eu cette tournée diplomatique par des responsables du département d'État américain, qui pensaient tous qu'ils obtenaient des promotions en novembre 2016. Ils pensaient qu'ils allaient être promus du département d'État à la sécurité nationale. Conseil. Il s'avère qu'ils ont tous été virés, car quelqu'un avec 5 % de chances de gagner a fini par gagner ce jour-là.
Donc, ils ont pris leurs relations internationales, leurs réseaux internationaux autour du Conseil d'Atlanta, du Conseil des relations étrangères, de tout le groupe de réflexion, de la soupe d'ONG quasi-renseignement, quasi-militaire, financée par le gouvernement, et ils ont fait cette tournée internationale, à partir de Janvier 2017, pour convaincre les pays européens de commencer à censurer leur internet…
De cela est sorti NetzDG [Netzwerkdurchsetzungsgesetz, la loi sur l'application des réseaux] en Allemagne, qui a introduit la nécessité d'une censure des médias sociaux basée sur l'intelligence artificielle.
Tout cela était, essentiellement, dirigé par ce réseau de gens du Département d'État et du Pentagone qui ont ensuite utilisé leurs propres gens internes au gouvernement pour obtenir des subventions et des contrats gouvernementaux avec ces mêmes entités. Finalement, ils se sont tous tournés vers ces entreprises technologiques pour définir également les politiques.
Menace de l'intérieur
Donc, pour résumer, l'infrastructure de la censure mondiale d'Internet a été en grande partie établie par des vétérans de l'IC qui ont été expulsés par l'administration Trump, et cette infrastructure a ensuite été utilisée pour catalyser la réponse de censure internationale pendant COVID fin 2019, début 2020. Benz poursuit :
"Droite. Et ces anciens combattants n'étaient pas seuls. L'histoire complète n'est pas seulement l'état de sécurité fantôme et l'exil. Le fait est ceci. L'administration Trump n'a jamais eu le contrôle de son propre département de la défense, du département d'État ou de la communauté du renseignement.
C'est la communauté du renseignement qui, essentiellement, a conduit sa première mise en accusation, qui a conduit une enquête spéciale du procureur de deux ans et demi qui a réuni 12 à 20 des plus proches associés de Trump. Vous aviez là-bas un chef d'état-major qui cachait les personnalités militaires du gouvernement. Les carrières à l'État menaçaient les élus politiques de l'intérieur. J'ai vécu ça moi-même.
Cet aspect permanent de Washington, avec des carrières indestructibles en haut lieu, combiné à une guerre de territoire au sein du GOP [Parti républicain] entre la droite populiste et la droite néo-conservatrice, la droite néo-conservatrice ayant de nombreux républicains bien placés dans le Le département de la Défense, le département d'État, en IC, pour contrecarrer l'agenda du précédent président là-bas, ont permis à ce réseau politique et à l'exil, du côté de la censure, de travailler avec leurs alliés au sein du gouvernement pour créer ces têtes de pont de la censure.
Ainsi, par exemple, c'est ainsi qu'ils ont créé le… premier bureau de censure gouvernemental permanent du Département de la sécurité intérieure sous la forme de cette entité appelée CISA [la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency, fondée en novembre 2018], qui est censée être juste une cybersécurité entité.
Cela a été fait en raison du blanchiment par la communauté des médias et du renseignement d'une affirmation jamais fondée selon laquelle la Russie aurait potentiellement piraté les élections de 2016, piraté les machines électorales ou les logiciels de vote, ou pourrait être en mesure de le faire à l'avenir, et nous avons donc besoin d'un solide une unité DHS armée jusqu'aux dents pour protéger notre cybersécurité des Russes.
C'est le fluage de la mission du siècle. Après la fin de l'enquête Mueller en juin 2019, cette unité, CISA, au sein du DHS [Department of Homeland Security] - qui avait mis en place tout cela, et qui n'est censée faire que de la cybersécurité - a dit "Eh bien, si vous plissez les yeux et regardez cela, le discours en ligne est une menace pour la cybersécurité, car s'il sape la foi ou la confiance du public dans nos élections, et qu'il se fait en utilisant un cyber-lien, c'est-à-dire une publication sur les réseaux sociaux, alors c'est une forme de menace pour la cybersécurité, car la démocratie est essentielle à notre sécurité. '
Et donc vous êtes passé de cette mission de cybersécurité à un bureau de cybercensure, parce que si vous tweetiez quelque chose sur les bulletins de vote par correspondance lors des élections de 2020, cela était considéré comme une cyberattaque contre des infrastructures critiques, c'est-à-dire les élections.
Quand ils s'en sont sortis en 2020, le DHS a alors dit: "Eh bien, si vous plissez les yeux et regardez-le, la santé publique est également une infrastructure essentielle." Alors, maintenant, le DHS peut ordonner aux entreprises de médias sociaux de censurer les opinions sur COVID-19 .
Ensuite, ils se sont efforcés de dire la même chose à propos des systèmes financiers, des services financiers, de la guerre en Ukraine, de l'immigration. C'est arrivé au point où, fin 2022, le chef de CISA a déclaré que l'infrastructure cognitive est une infrastructure critique.
Les fissures ne sont apparues qu'après que les républicains ont obtenu la majorité à la Chambre des représentants en novembre 2022 et qu'Elon Musk a acquis Twitter. Le soutien public au gouvernement a également diminué lorsque la publication par Musk des fichiers Twitter a révélé l'étendue de l'implication du gouvernement dans la censure des Américains.
Jusqu'à présent, cependant, la sensibilisation du public n'a rien changé. Les entités mêmes qui défendaient autrefois la liberté d'Internet, comme la National Science Foundation, continuent de financer et de promouvoir activement les activités de censure du gouvernement.
L'IA donne aux censeurs des pouvoirs divins
Benz a été "saisi par les enjeux de ce qui se passait sur Internet" pour la première fois en août 2016, après avoir lu une série d'articles traitant de l'utilisation de la PNL pour surveiller, surveiller et réglementer la diffusion d'informations sur les réseaux sociaux en fonction des mots utilisés.
"La DARPA a fourni des dizaines de millions de dollars de financement pour ce traitement du langage, cette capacité de segmentation du langage de l'IA afin, apparemment, d'empêcher ISIS de recruter sur Facebook et Twitter", a déclaré Benz.
« Dans le cadre du prédicat pour mettre des bottes militaires sur le terrain en Syrie, on a beaucoup parlé de l'arrivée de l'EI aux États-Unis, et ils recrutaient sur Facebook et Twitter. Et donc le Pentagone, la DARPA et l'IC ont développé cette capacité de logiciel espion linguistique pour cartographier la dialectique de la façon dont les sympathisants de l'Etat islamique parlent en ligne, les mots qu'ils utilisent, les images qu'ils partagent, les préfixes, les suffixes, toutes les différentes connexions communautaires.
Et puis, j'ai vu que cela était fait à des fins de contrôle politique intérieur au lieu de contre-terrorisme étranger, et du pouvoir dont il dispose. C'est ce qui a totalement changé Internet pour toujours. Avant 2016, il n'y avait pas la capacité technologique de procéder à une censure de masse des médias sociaux. C'était l'époque de ce que les initiés de la censure aiment appeler l'ère du taupe. La censure était réactive.
Cela a été fait par le forum, par des modérateurs, essentiellement. Tout devait être signalé manuellement avant de pouvoir être supprimé, ce qui signifiait que des millions de personnes l'avaient déjà vu, ou qu'il était déjà devenu viral, qu'il avait déjà fait ses dégâts, pour ainsi dire, et que vous coupiez simplement le backend avec un acte de censure.
Vous ne pourriez jamais avoir un appareil de contrôle permanent dans ce cadre, car il y aurait toujours un avantage de premier arrivé à celui qui l'afficherait. Ce que les percées technologiques de la censure de l'IA ont permis après 2016 était une sorte d'arme nucléaire, si vous voulez, du côté de la censure, pour pouvoir mettre fin à la guerre immédiatement.
Vous n'avez pas besoin d'une armée permanente de 100 000 personnes pour censurer COVID. Vous avez besoin d'un bon développeur, travaillant avec un spécialiste des sciences sociales maniaque qui passe toute sa vie à cartographier ce que dit le Dr Mercola en ligne, et ce dont il parle cette semaine, ce que disent ses followers, ce qu'ils disent à propos de ce médicament, ou quoi ils disent à propos de ce vaccin, ou ce qu'ils disent à propos de cette institution.
Tout cela peut être catalogué dans un lexique de la façon dont vous parlez. Et puis, toutes ces discussions peuvent simplement être réduites à zéro. En même temps, ils peuvent super amplifier le langage qu'ils font eux-mêmes. Cela donne donc un contrôle divin à une infime, infime, infime minorité de personnes qui peuvent ensuite l'utiliser pour contrôler le discours de toute la population.
Ce qui est aussi si terrifiant à propos de l'implication de l'État de la sécurité nationale dans ce domaine, c'est que lorsqu'ils ont découvert le pouvoir de cela à la mi-2018, ils ont commencé à le déployer dans tous les autres pays du monde à des fins de contrôle politique là-bas – au bureau du Ghana , au bureau de l'Équateur, en Asie du Sud-Est, dans toute l'Europe.
Peut-on sortir de l'emprise de la censure ?
Au moment d'écrire ces lignes, nous sommes dans une accalmie. La pandémie de COVID a été déclarée au-delà du conflit russo-ukrainien, il n'y a pas de crises politiques majeures en cours qui justifient une forte censure. Cependant, les réseaux et les technologies de suppression radicale sont déjà en place et peuvent être activés à tout moment.
Nous avons également vu récemment à quel point il est facile pour les médias alternatifs d'être infiltrés et renversés, donc le fait qu'il existe des plateformes alternatives ne garantit pas que les futurs efforts de censure échoueront.
"Il y a tellement de vecteurs de menace", dit Benz. «Il y a beaucoup de questions sur ce qui se passe, par exemple, chez Project Veritas, avec la rapidité avec laquelle il a évincé James O’Keefe après avoir publié la vidéo la plus virale de tous les temps, sur Pfizer. C'est environ une semaine plus tard - après leur plus grande réalisation, peut-être, qu'il a été totalement renversé.
Une chose similaire s'est produite avec Fox News avec [le licenciement de] Tucker Carlson, l'animateur de télévision par câble le plus populaire du pays – le gars qui obtient trois fois plus d'audience simultanée que CNN, à l'opposé. Les institutions peuvent absolument être pénétrées et cooptées lorsqu'une pression suffisante est appliquée.
Attaque de flanc transatlantique 2.0 en cours
Comme mentionné précédemment, la censure américaine a vraiment commencé avec l'OTAN. Benz appelle cela l'attaque de flanc transatlantique. Fondamentalement, lorsque les services de renseignement américains veulent avoir un impact sur Internet au niveau national, ils travaillent d'abord avec leurs partenaires européens pour adopter d'abord des changements réglementaires en Europe. Cela finit par se répandre sur le marché américain, et l'IC semble n'avoir rien à voir avec cela.
La première attaque de flanc transatlantique a eu lieu début 2017 avec le NetzDG. Nous sommes à nouveau la cible d'attaques transatlantiques, par le biais de la loi sur les marchés numériques. Cette loi, dit Benz, rendra très difficile pour Rumble et d'autres plateformes de liberté d'expression de maintenir cette posture pendant la prochaine pandémie. Une fois ces plateformes contraintes de se conformer au Digital Markets Act côté européen, les changements se feront sentir partout.
Cause d'un optimisme prudent
Alors que Benz garde l'espoir que des solutions à la censure mondiale se présenteront, il reconnaît toujours que les forces en jeu sont énormes et que les risques sont élevés.
"C'est l'une de ces choses où plus vous voyez ce à quoi nous sommes confrontés, plus cela donne à réfléchir. Je pense qu'il faut garder espoir pour garder l'énergie, pour maintenir l'élan. Avec l'élan, des choses étranges peuvent se produire, même si vous n'êtes pas censé gagner. Des choses étranges se cassent, prennent une vie propre ou refont surface.
Toutes les petites faiblesses du système sont testées, simplement par un élan ici et là. Par exemple, l'acquisition de Twitter par Elon Musk est probablement la raison pour laquelle le GOP a surmonté l'obstacle en menant toutes ces enquêtes du Congrès sur le rôle du gouvernement dans la censure.
Ils avaient l'impression d'avoir un allié sur Twitter, qu'ils avaient le soutien d'un milliardaire. Il y avait une chute d'eau, un impact en cascade. Donc, j'ai bon espoir. Le DHS est actuellement en fuite. Ils ont purgé leur site Web de toutes leurs opérations de censure nationales qu'ils ont répertoriées et dont ils étaient fiers et bruyants pendant deux années entières après la catastrophe du conseil de gouvernance de la désinformation en avril 2022.
Ils avaient déjà un ministère de la Vérité au DHS. Ils ont juste donné à un conseil hypothétique le mauvais nom. Ils ne l'appelaient pas le CISA. Ils ont fait l'erreur de l'appeler par le bon nom, et c'est ce qui a mis fin à tout le soutien politique à l'appareil sous-jacent.
Ainsi, l'importance d'un nom orwellien est essentielle pour maintenir le soutien politique. Mais je suppose que ce que j'essaie de dire, c'est que j'ai bon espoir et que je suis honoré de faire partie de cette flotte rebelle de gens qui essaient de s'attaquer à l'empire derrière la situation de censure.
Mais après avoir vu, dans tant d'itérations, la boîte à outils qu'ils utilisent, c'est une boîte à outils de torture médiévale qui peut faire des choses étranges. La pression peut faire des choses étranges, même à des gens formidables. Et donc je suis prudemment optimiste.
La dorsale Internet essentielle n'est pas politiquement neutre
À mon avis, la décentralisation d'Internet est une innovation clé qui pourrait briser l'emprise de la censure. Cela dit, d'autres aspects, comme la cybersécurité, doivent également être réinventés.
CloudFlare, par exemple, un service de diffusion de contenu et de cybersécurité dans le cloud, contrôle essentiellement Internet car il protège les entreprises et les plates-formes en ligne contre les pirates utilisant des attaques par déni de service (DoS). Sans cela, vous ne pouvez pas survivre en ligne si vous êtes une grande entreprise. Même avec un Internet décentralisé, CloudFlare pourrait toujours être en mesure d'exercer un contrôle en laissant les sites ouverts aux attaques DDoS (déni de service distribué).
Fait troublant, CloudFlare est devenu politique pour la première fois après 2016, lorsqu'il a décidé de supprimer la protection d'un site appelé Kiwi Farms, qui exprimait des opinions anti-transgenres. En conséquence, le site a dû migrer vers un serveur russe pour se remettre en ligne.
Fondamentalement, les citoyens américains ont dû rechercher la liberté d'Internet en Russie parce que leur architecture ne pouvait pas être prise en charge aux États-Unis – tout cela parce qu'un réseau fédérateur d'Internet intégré au gouvernement a pris une décision politique, probablement à la demande de l'IC.
"S'il y a une autre pandémie, par exemple, et qu'il y a une pression pour certaines interventions médicales ou des contre-mesures que certains sites n'acceptent pas, le CloudFlare, absolument, pourrait être une arme à cet égard", déclare Benz.
«L'une des choses que j'ai trouvées si troublantes est que la CISA, cette agence de censure du DHS, après les élections de 2020, a mis en place un sous-comité de liaison avec le secteur privé pour les politiques de mésinformation et de désinformation dans le secteur privé. C'était un sous-comité de sept personnes, avec tous les meilleurs experts en censure de l'Université de Washington et de Stanford.
Vijaya Gadde, l'ancien responsable de la censure chez Twitter, faisait partie de ce conseil. J'ai pensé qu'il était très troublant que le PDG de CloudFlare soit également l'une des sept personnes du conseil de censure du DHS.
Principaux défis d'un Internet décentralisé
Benz continue :
«Pour passer aux différents défis d'un Internet décentralisé, lorsque vous montez dans la pile de censure… ils peuvent passer aux serveurs cloud, aux processeurs de paiement et même à des choses comme CloudFlare et la protection de votre infrastructure.
Au début de la censure, les partisans de la censure ont réfuté le fait que si vous n'aimez pas ce que font les entreprises du secteur privé, créez vos propres entreprises de médias sociaux. Créez votre propre Google, créez votre propre YouTube, créez votre propre Facebook, créez votre propre Twitter.
Et puis, ce qui a commencé à se produire alors que la censure est devenue complètement folle, quand elle est passée de troublante à dérangeante, à saturante… vous avez commencé à voir ces plateformes de médias sociaux alternatives comme Gab et Parler… qui ont tenté d'échapper aux politiques de modération de contenu avec Big Tech . Mais ce qui a commencé à se produire, c'est que ces entreprises de médias sociaux, comme Parler, ont été complètement détruites.
Parler a été retiré de la plate-forme, essentiellement, de tout Internet, lorsque le président venait de s'y installer, après avoir été expulsé de Twitter. Ce fut un moment très instructif, et un moment sur lequel les initiés de la censure ont réfléchi, je devrais dire, à plusieurs reprises, comme un moment de « aurions-nous dû faire cela ? » Nous l'avons fait, mais cela nous coûte beaucoup de capital politique.
Parler a été viré d'Amazon Web Services. Ils ont été expulsés de toutes les banques. Ils ont été bannis des fournisseurs de messagerie. Ils ne pouvaient pas se connecter à Internet, essentiellement, pour conserver la possibilité d'y publier quoi que ce soit. Ainsi, il est passé de créer votre propre entreprise de médias sociaux à créer votre propre banque.
Vous devez maintenant créer votre propre banque et obtenir une licence bancaire pour les processeurs de paiement. Vous devez créer votre propre distribution de courrier électronique. Vous devez créer vos propres serveurs cloud.
Vous devez créer vos propres fournisseurs de services logiciels. Et, éventuellement, aurez-vous besoin de poser vos propres câbles sous-marins à travers les océans Atlantique et Pacifique ? Les entreprises de médias sociaux n'ont pas inventé Internet. Ils se superposent aux infrastructures du Pentagone.
La Chambre doit définancer l'industrie de la censure
Sans aucun doute, il y aura une autre crise, qu'il s'agisse d'une autre pandémie ou d'une guerre ou autre chose, qui remettra à nouveau la machine de la censure à plein régime. En ce moment, nous sommes dans une accalmie, c'est donc le moment de penser à l'avenir et de se préparer. La question est, que pouvons-nous faire ? Comment se prépare-t-on et se défend-il ?
Selon Benz, l'une des stratégies les plus efficaces qui aurait un effet immédiat, et pourrait être mise en œuvre dès maintenant, serait de priver l'industrie de la censure de son financement gouvernemental. Il explique:
« En ce moment, il y a une maison contrôlée par les républicains. L'avantage de la Chambre, c'est qu'elle contrôle les crédits, les cordons de la bourse du gouvernement fédéral. Si le House Appropriations Committee prenait au sérieux la subvention gouvernementale des réseaux de censure dans le secteur privé, vous pourriez définancer la police de la parole, même si, du côté de l'IA, il suffit d'un bon codeur pour pouvoir sortir toute une philosophie politique.
Le fait est qu'ils ne peuvent faire ce travail que grâce à une armée de spécialistes des sciences sociales dans 45 collèges et universités américains différents qui sont payés. Des dizaines de milliers d'entre eux sont payés par la National Science Foundation, par le biais de subventions de la DARPA et du Département d'État, pour cartographier les communautés en ligne dans le cadre des sciences sociales, puis les fournir à l'informaticien pour qu'il les censure.
Ma fondation, la Foundation for Freedom Online, a détaillé 100 millions de dollars, rien qu'au cours des 18 derniers mois, qui sont passés directement des institutions du gouvernement fédéral aux initiés de la censure des médias sociaux. La censure n'est plus un acte, c'est une industrie, et vous pouvez paralyser leur renforcement des capacités.
Lorsque vous pompez plein d'argent, vous passez de quelques personnes à des dizaines de milliers de personnes. La capacité de censure repose sur l'infrastructure d'une industrie qui compte sur le gouvernement pour la payer, et qui compte sur le gouvernement pour diriger leur pénétration dans les institutions.
À l'heure actuelle, il existe environ huit comités du Congrès différents qui tentent de résoudre ce problème sous différents aspects. J'ai personnellement informé huit comités du Congrès différents… Mais seuls quelques-uns de ces comités le prennent suffisamment au sérieux pour approfondir la question, et où cela va secouer reste incertain.
Les institutions gouvernementales, qui assurent le financement et la coordination Institutions du secteur privé qui censurent et consacrent des fonds à la censure par le biais de programmes de responsabilité sociale des entreprises Les institutions de la société civile (universités, ONG, universités, fondations, organisations à but non lucratif et militants) qui effectuent la recherche, l'espionnage et la collecte de données qui sont ensuite transmises au secteur privé pour censure Médias d'information/institutions de vérification des faits, qui font pression sur les institutions, les plateformes et les entreprises pour qu'elles se conforment aux exigences de censure Ce que fait la Fondation pour la liberté en ligne, c'est éduquer les gens sur cette structure et sur les manières dont les législatures et le gouvernement peuvent être restructurés, comment les institutions de la société civile peuvent être établies et comment les médias d'information peuvent être créés pour soutenir et promouvoir la liberté plutôt que la censure.
Pour en savoir plus, assurez-vous de consulter foundationforfreedomonline.com. Vous pouvez également suivre son compte Twitter très actif Benz sur Twitter.
Avant, un homme sur une estrade face à foule s'entendait crier "Parle plus fort ! On entend rien !" Puis sont arrivés les porte-voies, les micro et hauts-parleurs puis l'Internet.
Dialoguer d'un pays à l'autre se fait avec un traducteur, par exemple "Je viendrais ce soir" en "I will come tonight". Puis arriva l''intelligence artificielle' où la phrase "Je viendrais ce soir" peut être traduite par "Sorry, but I can't come tonight" ! "Mais... ma chère amie je ne te comprends pas", réponse: "Shit !" C'est toute l'importance des dialogues écrits et même... vocaux ! puisque l'IA peut contrefaire une voix. C'est ainsi que les personnes 'au bout du monde' seront donc abandonnées !
L’industrie du tourisme, un secteur dynamique et vital, joue un rôle clé dans l’économie mondiale, contribuant environ 10 % au PIB global et générant des millions d’emplois. En raison de facteurs tels que l’augmentation du pouvoir d’achat et l’expansion des classes moyennes, le secteur a connu une croissance spectaculaire, attirant plus d’un milliard de touristes internationaux en 2018. Cependant, avec des impacts négatifs sur l’environnement et la culture locale, l’importance d’un tourisme durable et responsable est désormais au centre des préoccupations. L’industrie continue d’évoluer, s’adaptant aux nouvelles technologies et répondant aux nouvelles demandes des voyageurs, comme l’émergence de nouvelles formes d’hébergement et la personnalisation des expériences de voyage.
Par Rédaction le 10 juin 2023 à 19h00
Un pilier de l'économie mondiale
Le tourisme est un secteur clé de l'économie mondiale, faisant partie des industries les plus importantes et les plus dynamiques. Il contribue largement au PIB mondial, représentant environ 10% de celui-ci. En 2018, il a également généré pas moins de 319 millions d'emplois dans le monde. Ces chiffres démontrent l'importance cruciale de ce secteur pour les économies nationales de différents pays.
De plus, le secteur a connu une croissance considérable ces dernières années, avec un total de 1,4 milliard de touristes internationaux en 2018. Cette croissance rapide s'explique en partie par l'augmentation du pouvoir d'achat des voyageurs, l'élargissement des classes moyennes mondiales et la démocratisation des voyages.
Les enjeux du tourisme
Le tourisme de loisirs représente près de 80% de tous les voyages internationaux, suivi par le tourisme d'affaires et le tourisme de conventions. Les destinations les plus prisées par les touristes internationaux sont toujours les mêmes, à savoir la France, l'Espagne, les États-Unis, la Chine et l'Italie.
Cependant, le tourisme engendre également des impacts négatifs sur l'environnement et la culture locale. Des mesures sont donc nécessaires pour le promouvoir de façon durable et responsable. Le tourisme de santé et de bien-être est également une préoccupation majeure, représentant une part importante du marché du tourisme mondial.
Les perspectives
L'industrie continue de se transformer grâce aux technologies numériques. De nos jours, les voyageurs planifient et réservent leurs voyages en ligne, et ont accès à des informations approfondies sur les destinations avant leur départ. Les plateformes de réservation en ligne comme Booking.com, Expedia ou TripAdvisor ont révolutionné l'industrie du voyage, offrant aux voyageurs de nouvelles opportunités pour personnaliser leur voyage.
Par ailleurs, l'hébergement touristique est également en évolution, avec l'émergence de nouvelles formes d'hébergement comme les locations de vacances et les chambres d'hôtes, qui offrent une alternative intéressante aux hôtels traditionnels. Le tourisme peut également jouer un rôle important dans la promotion de la diversité et de l'acceptation culturelle.
L’adoption croissante des technologies immersives transforme les interactions humaines et redéfinit la frontière entre le réel et le virtuel, mais cela mérite une réflexion approfondie sur la sécurité et l’éthique.
le 11 juin 2023 The Conversation Par Ahmed Azough.
Si, aujourd’hui, nous sommes habitués à surfer sur Internet, partie émergée d’un énorme iceberg de données interconnectées, les évolutions technologiques récentes devraient bientôt nous permettre de nous immerger dans cet océan bouillonnant de big data.
L’immersion vise à procurer à l’utilisateur un sentiment de présence en utilisant des technologies de captation et restitution sensorielle : l’utilisateur se sent transporté dans l’environnement digital créé par des technologies numériques, à tel point qu’il ressent ces objets numériques virtuels comme faisant partie de sa réalité.
De leur côté, les systèmes numériques détectent et interprètent de mieux en mieux les comportements et les émotions de leurs interlocuteurs, à tel point que l’humain a l’impression que ce système est conscient de sa présence et interagit volontairement.
Les films Matrix et plus récemment Ready Player One reflètent bien cette idée : s’interposer entre les récepteurs sensoriels de l’homme et la réalité afin de créer un monde nouveau, que l’on appelle parfois le « métaverse ». Ce concept est déjà utilisé depuis plusieurs années pour les simulateurs d’aviation ou de conduite, ou pour des parcs de loisirs (L’Extraordinaire Voyage au Futuroscope par exemple).
Le web immersif fait suite à trois générations du web : du web 1.0 statique qui ressemble à une « vitrine » d’affichage, au web 2.0 participatif qui intègre les utilisateurs dans la création du contenu, et au web 3.0 dit « sémantique », qui introduit de l’ingénierie de connaissance pour structurer les données.
Cette quatrième génération, le « web 4.0 » ou « web immersif », doit être très accessible grâce aux réseaux haut débit 5G et à l’internet des objets (IoT). Le couplage du web et de la 5G nous fait entrer depuis le début des années 2020 dans l’ère d’un web « ambiant », pervasif et ubiquitaire, où de nombreux objets sont connectés et communiquent de manière autonome.
Les gants à retour haptique captent les sensation tactiles et en fournissent à l’utilisateur. Ils permettent notamment de se former à la manipulation d’équipement dangereux.
Les technologies immersives de réalité virtuelle, augmentée ou mixte sont considérées par plusieurs acteurs comme la quatrième révolution du numérique (après les ordinateurs personnels, les ordinateurs portables et les smartphones). Elles devraient permettre une importante métamorphose de la pratique du Web, dont les fonctionnalités risquent d’évoluer plus ou moins rapidement selon le niveau d’adoption de la technologie, du dispositif utilisé, mais aussi selon l’évolution des réglementations relatives à la protection des données.
À quoi ressemblera Internet avec le web immersif ?
Les agents conversationnels virtuels (comme ChatGPT) répondent de manière naturelle et précise aux requêtes des utilisateurs. Dans le cadre d’un moteur de recherche, les requêtes n’ont plus besoin d’être constituées de mots clés, mais deviennent des discussions naturelles.
Ce type de conversations plus naturelles pour les humains pourrait avoir d’autres applications : un prototype de thérapies de groupe dans le milieu scolaire a par exemple été testé par 134 étudiants à l’université National Tsing Hua University à Taïwan en 2021. Des systèmes similaires sont testés pour des entretiens d’embauche ou des assistants industriels.
Les réponses des moteurs de recherche pourraient être des objets 3D virtuels transférés à l’utilisateur, ou des visites d’environnements virtuels. Les technologies immersives sont même considérées comme une technologie de rupture qui révolutionne la gestion et le marketing du tourisme.
Par ailleurs, les réseaux sociaux, les chats et les forums sont en train d’être transformés en métavers (second life, Meta Horizon worlds). Les visioconférences peuvent évoluer en « holoportation » : un système développé en 2016 par Microsoft, qui permet de la reconstruction 3D de haute qualité et en temps réel d’un espace entier, y compris les personnes, les meubles et les objets qu’il contient, à l’aide d’un ensemble de nouvelles caméras de profondeur. Cette technologie a également été testée dans le domaine de l’éducation à travers quelques prototypes, et a permis de mettre en évidence le rôle important de la présence (et de la téléprésence) dans l’enseignement supérieur.
Des casques de réalité mixte autonomes plus légers et plus puissants pourraient permettre l’adoption de cette technologie à grande échelle, avec par exemple le casque Meta Quest 3 présenté par Mark Zuckerberg le 1 juin 2023.
Côté santé, la chirurgie a connu de nombreuses avancées technologiques, depuis la première téléchirurgie en 2001. Les chirurgiens peuvent travailler à distance avec un écran tridimensionnel, via des jumelles haute définition – mais la latence moyenne, autour de 700 millisecondes, privilégie les usages d’entraînement et de planification. La première opération chirurgicale collaborative de l’épaule au monde à l’aide de la réalité mixte a été réalisée en 2017 à l’hopital Avicenne AP-HP en France. Le retour haptique permet la transmission des informations tactiles aux chirurgiens, ce qui permet de sentir la consistance du tissu et la tension dans les sutures.
Aujourd’hui, plusieurs prototypes de soins médicaux faisant appel à des dispositifs haptiques et de capteurs corporels connectés permettent aussi d’envisager le diagnostic et les soins à distance. Récemment, la NASA a même envoyé virtuellement des médecins sur l’ISS pour aider les astronautes à rester en forme.
L’e-commerce pourrait aussi bénéficier des technologies immersives : des caméras 3D et des capteurs connectés permettraient de transmettre les mensurations exactes des clients et d’essayer (virtuellement) leurs choix dans des chambres d’essayage virtuelles sans se déplacer.
On envisage également que la navigation GPS devienne la navigation « VPS » (pour Visual positioning system) : avec des lunettes de navigation basée sur la réalité augmentée, ainsi que des retours sonores et haptiques, elle deviendrait plus intuitive. Un tel prototype ciblant les personnes âgées a été développé en 2018 à Telecom ParisTech en France.
Enfin, et bien qu’elle en soit à ses balbutiements, la recherche dans le domaine de la « saveur augmentée » vise à développer des dispositifs olfactifs pour sentir des parfums ou goûter des plats à distance.
Tous les sens font l’objet de récents progrès scientifiques et technologiques : la vision, le toucher, l’ouïe, l’odorat, le goût, mais aussi les sens du mouvement, de l’équilibre, de la chaleur, par exemple. Dans ce sens, une interface olfactive souple, miniaturisée et sans fil a été ainsi développée pour la réalité virtuelle à l’université de Hong Kong en 2023.
Dans la modalité visuelle, les dispositifs varient en niveau d’immersion : des écrans de smartphone peu immersifs, à des dispositifs semi-immersifs comme les écrans incurvés et casques de réalités mixtes, jusqu’aux dispositifs immersifs comme les casques VR (virtual reality). Plus ces casques deviennent économiquement abordables, légers et autonomes, plus l’adoption de cette technologie augmente. La communauté anticipe que le casque de réalité mixte nouvelle génération Apple Vision Pro annoncé le 5 juin 2023 lors de l’Apple Worldwide Developers Conference constitue un pas majeur vers l’adoption de la technologie immersive par le grand public, comme l’a constitué l’iPhone 2G en 2007 pour l’adoption des smartphones.
La modalité sonore accompagne souvent ces dispositifs d’immersion visuels à travers le son spatialisé 3D (le son stéréo traditionnel est diffusé en deux canaux seulement, gauche et droite). Le son spatialisé ajoute une dimension supplémentaire en introduisant des informations de localisation sonore verticales, horizontales et en profondeur. Cette technologie est aujourd’hui bien maîtrisée et largement utilisée dans le domaine des jeux vidéo.
Pour le toucher, il existe des dispositifs dits « intrusifs » (car encombrants) comme les gants haptiques et les combinaisons corporelles ; et d’autres dispositifs moins invasifs ultra-minces ainsi que des peaux artificielles connectées sont en développement.
D’autres dispositifs plus ludiques comme les bouches artificielles connectées ou des sex-toys connectés laissent présager du développement à venir de l’industrie « adulte » sur l’internet de demain.
Les risques du web immersif
Aujourd’hui, les technologies immersives posent déjà des défis éthiques importants, avec des risques potentiels pour la santé mentale, notamment le trouble de dépersonnalisation/déréalisation. Elles sont aussi sujettes à de sérieuses préoccupations liées à la négligence personnelle du corps (réel) des utilisateurs, et des environnements physiques réels. Elles peuvent également être utilisées pour enregistrer des données personnelles qui pourraient être déployées de manière à menacer la vie privée et à présenter un danger lié à la manipulation des croyances, des émotions et des comportements des utilisateurs.
Ces défis se trouveront accentués avec le web immersif. Même si des initiatives existent pour encadrer éthiquement l’usage de la réalité virtuelle, l’aspect addictif du web et l’aspect intrusif de l’IoT posent de nouveaux défis et exigent plus d’effort pour la protection des usagers.
L’insécurité, l’intrusion à la vie privée, l’isolement social, les crimes pornographiques, les délits virtuels, les maux de têtes, les blessures physiques ou l’addiction, tous ces dangers se verront accentués et devront attirer l’attention à la fois des designers et des représentants des usagers pour une utilisation plus sûre et plus éthique.
* Ahmed Azough, Professeur de Réalité Virtuelle et Vision par Ordinateur, Pôle Léonard de Vinci
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
Les BRICS: l’avenir du monde sera basé sur la multipolarité et le bénéfice mutuel
Par Mikhail Gamandiy-Egorov Mondialisation.ca, 09 juin 2023
L’Occident s’inquiète de la montée en puissance de la Chine et du retour de la Russie sur la scène internationale en qualité de superpuissance, écrit le quotidien libanais Al Binaa. Selon ledit média – la goutte qui a fait déborder le vase constitue la question de l’expansion des BRICS. Et que c’est sur cette base qu’un monde nouveau sera construit, sur les ruines de l’hégémonie étasunienne.
L’Occident, avec à sa tête les Etats-Unis, ne voile plus son inquiétude quant à la croissance de la puissance économique de la Chine et du retour de la Russie en tant que superpuissance égale aux USA, ainsi que de son influence croissante dans diverses régions du monde. Comme le mentionne l’auteur de l’article – Washington et ses alliés croulent sous les dettes et les crises bancaires, tout en souffrant du ralentissement de la croissance économique, de la montée de l’inflation, du chômage et de la hausse du coût de la vie.
Selon le média libanais – la situation est d’autant plus aggravée par les dépenses à grande échelle des régimes occidentaux dans la confrontation entre l’Otan et la Russie en Ukraine. Pour autant et de l’autre côté du monde, c’est-à-dire en Orient, nous assistons aujourd’hui à des changements encore plus importants qui dessinent l’avenir du monde nouveau. Un monde qui a commencé à émerger des ruines d’une hégémonie étasunienne unilatérale – qui lutte pour le maintien de son pouvoir planétaire, mais jusqu’à présent sans succès. Les nouvelles réalités et rapports de force se sont avérés plus forts que les désirs des USA et de l’Occident.
L’auteur de l’article, Hassan Hardan, rappelle également que lors de la récente rencontre en Afrique du Sud des pays membres des BRICS, il était question de l’adhésion de nouveaux membres – représentés par plusieurs pays en développement capables de jouer un rôle économique et politique important dans les relations internationales. Parmi ces Etats figurent: l’Iran, l’Arabie saoudite, l’Algérie, l’Egypte, les Emirats arabes unis, Bahreïn, la Syrie, le Sénégal, le Soudan, la Turquie, la Tunisie, l’Argentine, l’Afghanistan, la Biélorussie, le Bangladesh, le Venezuela, le Zimbabwe, l’Indonésie, le Kazakhstan, le Mexique, le Nigéria, le Nicaragua, le Pakistan, la Thaïlande ou encore l’Uruguay.
A notre niveau il serait juste de rappeler que bien qu’il soit peu probable que tous les intéressés puissent rejoindre immédiatement le bloc des BRICS, il est probable que l’adhésion des candidatures les mieux préparées soit très certainement à l’ordre du jour des pays constitutifs de l’alliance.
Par contre et pour revenir à l’article d’Al Binaa, son auteur considère que dans un avenir proche pas moins de 13 nouveaux membres seront admis au sein des BRICS. Et en ce sens, il mentionne clairement les bouleversements que cela représentera dans divers domaines. Sur le volet démographique, les BRICS sont pour rappel déjà représentés par les deux pays les plus peuplés du monde, en l’occurrence la Chine et l’Inde. Et avec l’adhésion ne serait-ce que de ces 13 nouveaux membres, la population totale de l’alliance BRICS augmentera d’environ 15-20 %. Ce qui représentera tout simplement près de 60 % de la population terrestre.
En termes de ressources naturelles – suite à cet élargissement prévu – les BRICS deviendront le plus grand propriétaire de pétrole, de gaz et de minéraux à l’échelle mondiale.
Et pourront par la même occasion contrôler la production mondiale et ses prix, puisque ces ressources représentent la base de la détermination des prix des produits manufacturés. Ce qui à son tour augmentera la concurrence avec les produits occidentaux. Et cela permettra aux pays membres des BRICS de conquérir les marchés mondiaux – grâce à la qualité des produits et à la capacité de les produire à un prix plus bas.
Dans le volet militaire, le potentiel des pays BRICS montera également en puissance, car outre la Russie et la Chine (respectivement les 2ème et 3ème puissances militaires mondiales), de nombreux autres États possèdent une industrie militaire développée. Cela sans d’ailleurs oublier que l’Inde est quant à elle la 4ème puissance militaire mondiale et est elle aussi une puissance nucléaire.
Enfin et selon Hassan Hardan – nombre de pays qui aspirent à rejoindre les BRICS pour définitivement donner naissance au concept des BRICS+, possèdent une position géographique importante. Cela permettra alors à l’alliance pro-multipolaire de prendre le contrôle des voies navigables et des détroits internationaux, de même que des routes de transport terrestre, en brisant ainsi le monopole de Washington et de l’Occident dans ce domaine d’importance stratégique.
Pour finir et sans réellement de nécessité à y rajouter quelque chose, il faudrait certainement juste rappeler que ces processus se déroulent au même moment que les pays BRICS et de nombreux Etats du Sud global travaillent activement à se libérer de la mainmise des instruments économico-financiers de l’Occident. Et cela avec des résultats qui ne sont plus à présenter – même si ledit processus n’est qu’en début de son chemin. De manière encore plus générale, il est aujourd’hui évident que dans le cadre des événements contemporains – la ligne de démarcation Est-Sud versus Ouest, entre le monde multipolaire et les nostalgiques de l’unipolarité – sera bel et bien tracée.
Mexique – Mettons fin à l'incertitude et adoptons la technologie
12 Juin 2023 Georgina Gutierrez, Réseau Mondial d'Agriculteurs*
Mes vaches laitières n'ont pas de bouton marche/arrêt.
Elles ont besoin d'un apport quotidien de nourriture dans le cadre d'un régime adapté qui leur fournit une excellente alimentation pour la santé et la productivité. Le maïs est l'une de leurs meilleures sources d'énergie. Ici, au Mexique, nous achetons des quantités importantes de maïs aux producteurs des États-Unis parce que mon pays n'a pas la capacité de produire tout le maïs dont les agriculteurs et les autres industries ont besoin.
C'est pourquoi l'interdiction des importations de maïs génétiquement modifié que mon gouvernement s'apprête à décréter est si destructrice : elle portera préjudice aux agriculteurs et aux consommateurs mexicains et nuira à nos relations avec notre plus grand et plus important partenaire commercial.
Le Mexique doit faire marche arrière et adopter les technologies et les échanges qui permettent à tous les Mexicains de prospérer.
Les États-Unis sont une puissance en matière de production de maïs. Au nord du Rio Grande, les agriculteurs en produisent d'énormes quantités, grâce à un climat idéal, à un sol riche et aux meilleures technologies du XXIe siècle. Ils récoltent bien plus de maïs que les Américains n'en ont besoin et en exportent environ un tiers.
C'est ainsi qu'un maïs de haute qualité et abordable devient disponible pour moi, au sud de la frontière, où nous ne pouvons en fait pas cultiver suffisamment de maïs pour répondre à nos besoins. L'année dernière, la production totale de maïs du Mexique a été inférieure de 38 % à la demande intérieure.
L'ironie de la chose, c'est qu'en dépit de ces déficits, les racines les plus profondes de cette culture se trouvent ici. Il y a quelque 10.000 ans, bien avant l'arrivée des Européens sur notre continent, les anciens Mexicains cultivaient une plante sauvage appelée téosinte. Bien que la téosinte existe toujours en tant qu'espèce, les agriculteurs mexicains ont utilisé des méthodes de sélection traditionnelles pour la transformer en quelque chose de nouveau. Chaque plante de maïs dans le monde a donc un héritage mexicain.
De nombreuses autres cultures et aliments populaires sont également originaires du Mexique : le chocolat, les tomates, les haricots, les cacahuètes, la gomme, les avocats, les papayes, les ananas, l'agave, les piments et les poivrons. Les herbes mexicaines qui sont aujourd'hui indispensables à la médecine moderne pourraient constituer une autre longue liste.
L'histoire du maïs au Mexique est une histoire d'innovation. Tout comme nos ancêtres ont transformé la téosinte en l'une des meilleures cultures au monde, nous voyons aujourd'hui la science moderne rendre le maïs encore plus fort, meilleur et plus durable, avec des variétés génétiquement modifiées capables de vaincre les mauvaises herbes et les parasites, deux des plus grands ennemis auxquels les agriculteurs aient jamais été confrontés.
Nous restons fidèles à notre héritage en acceptant ces innovations. Les rejeter, c'est trahir les hommes et les femmes qui, un jour, se sont penchés sur la téosinte et ont pensé qu'ils pouvaient l'améliorer.
Pourtant, le maïs reste inégalé dans la culture mexicaine, et nombreux sont ceux qui souhaitent le protéger. Si cela signifie que les espèces indigènes auront toujours un avenir, alors la protection est une bonne idée. Malheureusement, cette volonté de protection s'est transformée en un protectionnisme économique qui frappera tous les Mexicains dans leur portefeuille.
C'est ainsi que fonctionne la loi de l'offre et de la demande : si nous ne pouvons pas acheter de produits de cultures génétiquement modifiées aux États-Unis ou ailleurs, l'offre diminuera, ce qui nous obligera à payer plus cher pour tout. Les restaurants feront payer plus cher les tortillas, les éleveurs feront payer plus cher la viande de bœuf et je devrai faire payer plus cher le lait de mes vaches laitières.
Ce sont les Mexicains les plus pauvres qui souffriront le plus. À l'heure actuelle, environ 10 % des Mexicains n'ont pas accès à une nourriture suffisante. Selon une étude, si le gouvernement interdit le maïs génétiquement modifié, « ce pourcentage devrait doubler ou tripler dans les neuf États mexicains les plus pauvres, principalement dans le sud du pays ». Pour ces malheureux, les œufs deviendraient un « produit de luxe ». Près de 57.000 Mexicains perdront leur emploi.
L'interdiction viole également notre accord commercial avec les États-Unis et le Canada et crée une tension inutile à un moment où nous avons trop d'autres problèmes diplomatiques et de sécurité à régler, tels que les migrations et le trafic de drogue.
Et dans quel but ? Absolument rien. L'interdiction du maïs génétiquement modifié ne fera que nous nuire, sans nous aider en quoi que ce soit. Elle ne fait que servir les intérêts mal informés et dangereux d'idéologues antiscientifiques.
La bonne nouvelle, c'est que le gouvernement mexicain est peut-être en train de revenir à la raison, même si c'est lentement. En février, il a repoussé l'interdiction du maïs génétiquement modifié, qui devait entrer en vigueur en janvier 2024. Aujourd'hui, il n'y a pas de date limite – et si nous avons de la chance, il n'y en aura jamais.
Nous avons besoin de plus qu'une date reportée. Le Mexique doit faire volte-face et éliminer l'incertitude qui continue de semer la confusion et l'animosité – et annoncer, une fois pour toutes, que tous les types de maïs sont les bienvenus dans notre pays aujourd'hui comme ils l'étaient lorsque les agriculteurs, il y a bien longtemps, les ont découverts et ont commencé à les améliorer. _______________
* Georgina Gutierrez
Gina Gutierrez est Agvocate de proximité pour le Réseau Mondial d'Agriculteurs (Global Farmer Network). Elle est une éleveuse de vaches laitières de cinquième génération de la région centrale du Mexique. En 2015, Gina a créé une page Facebook pour défendre la filière laitière. La Vida Lactea compte aujourd'hui près de 60.000 followers. Elle a obtenu une maîtrise en droit des sociétés. Elle écrit régulièrement pour les magazines Ganadero et Holstein de Mexico. En 2018, Gina a remporté le prix Kleckner du Global Farmer Network.
Source : Mexico – Let’s Stop the Uncertainty and Embrace Technology – Global Farmer Network
Le système électronique rend le Su30 russe invisible pour le F35 américain ? – Que va devenir le F-16 ?
12 juin 2023 du Dr. Peter F. Mayer
L'armée de l'air ukrainienne doit être équipée de 48 des plus anciens avions de chasse américains F16. Depuis que cette information a été connue, il y a eu des discussions et des spéculations sur la façon dont cet avion se comporterait dans l'espace aérien ukrainien et, en particulier, par rapport à l'armée de l'air russe.
Des conclusions intéressantes peuvent être tirées d'un article du média respecté BulgarianMilitary.com intitulé « Le Su-30 a utilisé le système Khibiny EW pour intercepter le F-35 », qui traite principalement des points suivants :
Selon l'analyste russe Andrei Andreyev, le 30 avril 2022, l'OTAN a envoyé des F-35A de l'armée de l'air italienne en Estonie en réponse à l'invasion russe de l'Ukraine et pour sécuriser les pays baltes. L'escadron de chasse fait partie du 32e escadron de transport aérien basé à la base aérienne d'Amendola dans le sud de l'Italie.
Presque immédiatement après leur arrivée, les F-35 italiens ont commencé des patrouilles conjointes avec les Alliés pour remplir la mission de "patrouille aérienne". Les avions sont dans les airs tous les jours, y compris le 9 mai lorsque l'incident en question s'est produit.
Le 9 mai, il a été signalé qu'un Su-30SM russe avait intercepté un F-35 italien au-dessus de la mer Baltique. L'interception s'est produite parce que le F-35 se rapprochait de l'avion de transport militaire An-12 de l'armée de l'air russe, qui était escorté par le Su-30SM.
- voir clip sur site -
"C'est sorti presque de nulle part. J'étais très confus parce que je ne m'attendais pas à les voir de si près », le pilote italien décrit ses premières impressions sur l'apparition soudaine du Su-30SM.
Les systèmes de détection et d'alerte de l'avion de chasse américain n'ont pas réussi à les détecter à plusieurs reprises et ont dû être redémarrés. Le pilote italien rapporte qu'ils ont été avertis que les Russes pourraient utiliser Khibiny, un système de guerre électronique, mais lorsqu'ils y ont été confrontés en action lorsque les instruments d'avertissement et de ciblage du F-35 ont momentanément échoué, il a commencé à s'inquiéter de près.
Poursuivant son histoire, il évoque les manœuvres du F-35 et du Su-30SM russe et qualifie le pilote ennemi de provocateur car il voulait tester les capacités de l'avion de chasse américain.
Le pilote italien a déclaré à Military History of Italy qu'il ne s'attendait pas à ce que le chasseur le plus moderne d'Amérique, le F-35, avec tous ses systèmes et armes, puisse être "contourné" si facilement, d'autant plus que c'est au Su-30 est un chasseur de quatrième génération, bien qu'amélioré.
Khibiny est un système de guerre électronique dont le développement a commencé à l'époque soviétique et se poursuit à ce jour. Les premiers échantillons du système étaient rudimentaires, lourds et n'atteignaient pas la fonctionnalité souhaitée.
Plus tard, dans les années 1980, Khibiny est devenu une priorité de la coopération conjointe entre KNIRTI et Sukhoi Aviation. Aujourd'hui, Khibiny a été amélioré à plusieurs reprises et est considéré comme un excellent système de guerre électronique.
Initialement, la Russie avait l'intention d'intégrer Khibiny dans le Su-34. Moscou a ensuite décidé que le Su-30 devrait également être équipé de ce système. Le Su-30SM est l'avion prenant part aux opérations militaires en Ukraine et transportant ledit système de guerre électronique.
Le système est conçu pour déformer les paramètres du signal réfléchi. Cela aide le système à retarder la détection de son avion porteur. On dit qu'avec le Khibiny activé, les avions ennemis qui sont à portée des avions russes ont du mal à trouver la portée, et surtout la vitesse et les positions angulaires.
Alors, comment le déploiement prévu de F-16 en Ukraine ira-t-il contre le Su-30SM russe ? Avec le F-35 "tâtonnant dans le noir" avec le Su-30SM russe portant le système de guerre électronique Khibiny, qu'adviendra-t-il des F-16 clairement inférieurs qui doivent servir en Ukraine ?
États américains de l'Arizona et du Mississippi avec identifiant mobile officiel
12 juin 2023 du Dr. Peter F. Mayer
L'un des principaux programmes mondiaux consiste à connecter les personnes avec une identité numérique. Cela a été pratiqué avec les cartes de vaccination corona, en particulier dans l'UE et aux États-Unis. Mais ce n'est pas tout, tout doit être enregistré numériquement, car les élites et les puissantes organisations mondiales en ont besoin pour le compte CO2 individuel, pour la monnaie numérique de la banque centrale, en remplacement des passeports, des permis de conduire et de tous les autres types de cartes d'identité et dans les pays comme l'Allemagne bientôt également pour vérifier si les 10 grammes par mois de consommation de viande autorisée n'ont pas été dépassés.
En tout cas, l'UE et l'OMS montrent la voie avec le passeport numérique de santé, qui était la marque de fabrique des régimes autoritaires. Mais les États américains ont également leur propre identité mobile, qui peut être obtenue sur le Play Store de Google et l'App Store d'Apple.
La description de Google est courte, celle d'Apple est un peu plus longue :
Intuitif et facile à utiliser, Mobile ID est déverrouillé par une correspondance selfie pour vérifier l'identité, ou par un code PIN ou TouchID/FaceID auto-sélectionné, de sorte que vos informations personnelles sont toujours protégées.
Vous pouvez vous inscrire pour votre Mississippi mID en cinq étapes faciles :
1. Téléchargez l'application et définissez les autorisations
2. Confirmez l'accès à votre numéro de téléphone
3. Utilisez l'appareil photo de votre appareil pour numériser le recto et le verso de votre permis de conduire ou de votre carte d'identité.
4. Suivez les étapes d'enregistrement de l'application pour prendre un selfie.
5. Configurez la sécurité de l'application et vous êtes prêt à partir !
Remarque : Arizona/Mississippi Mobile ID est considéré comme une pièce d'identité officielle de l'État et sert de complément à votre pièce d'identité physique. Veuillez continuer à avoir votre carte d'identité physique sur vous, car tous les bureaux ne sont pas encore en mesure de vérifier la mID.
Il s'agit donc d'une fusion électronique de tous les enregistrements numériques, des cartes d'identité à la santé en passant par les transactions bancaires, les passeports et permis de conduire et autres données personnelles.
C'est incroyable comme les gens semblent manquer d'imagination pour se rendre compte que même si vous ne vous souciez pas du contrôle descendant aujourd'hui, vous faites certainement le pari à sens unique qu'il n'y aura jamais plus de moment dans le futur où ces qui contrôlent la base de données et les algorithmes chercheront à abuser du pouvoir d'avoir toutes les informations personnelles en un seul endroit. Littérature sur les identités numériques sur Amazon.
La page du Mississippi explique plus en détail :
"N'oubliez pas de télécharger la nouvelle application d'identification mobile du Mississippi. Il remplacera votre permis de conduire et votre passeport et vous permettra d'éviter les files d'attente à l'aéroport, et bientôt vous pourrez avoir tous vos comptes bancaires et vos données de santé sur votre « identifiant mobile », permettant à votre médecin de mieux prendre soin de vous et votre banque pour offrir de meilleurs services et bien sûr, elle remplacera vos cartes de crédit afin que vous puissiez acheter et vendre n'importe quoi en toute sécurité, rapidement et facilement ».
Mississippi Mobile ID est un moyen pratique et sans contact de vérifier votre identité à partir de votre téléphone et comprend plusieurs couches de contrôles de sécurité et de confidentialité.
Mississippi Mobile ID vous permet de contrôler les informations que vous partagez lors d'une transaction. Par exemple, lors de l'achat d'articles soumis à une limite d'âge, l'application peut confirmer que vous avez l'âge légal sans fournir votre date de naissance ou votre adresse.
Beau nouveau monde ! Incidemment, les gouverneurs sont des deux partis, dans le Mississippi un républicain et en Arizona un démocrate. Donc, tous deux du Parti de l'unité des États-Unis.
Mais ce mot « immigration » a un sens courant très différent de son sens propre, surtout chez les démagogues qui veulent exploiter l’inquiétude des Français dans ce domaine : ils parlent de l’immigration pour évoquer le stock des migrants et de leurs descendants. C’est la raison pour laquelle il vaut mieux dire, comme le font certains commentateurs sérieux, la population « issue de l’immigration ».
Cette population est difficile à évaluer, et elle est souvent gonflée par des démagogues, ou sous-évaluée par d’autres démagogues d’idéologie inverse. Les premiers pensent que l’assimilation est impossible, et les seconds qu’elle n’est pas souhaitable par respect des cultures d’origine.
À mon avis, les deux se trompent.
Ceux qui pensent que l’assimilation n’est pas souhaitable et que le multiculturalisme sera un progrès devraient jeter un œil sur le Liban : ce pays, qui était comparé à la Suisse, a sombré dans de multiples guerres civiles qui ont fait fuir les élites, et en particulier les chrétiens francophones.
Cela se terminera probablement par un gouvernement islamiste dépendant du Hezbollah, « le parti de Dieu » soutenu par l’Iran. Un pas dans ce sens est l’interdiction ce mois de mai 2023 du maillot de bain sur la grande plage de Saïda.
Ceux qui pensent que l’assimilation est impossible n’ont qu’une vue très partielle : ils ne remarquent que les non assimilés, c’est-à-dire la première génération, ce qui est bien naturel, et une partie de la deuxième.
Ne soyons pas hypocrites : ils ciblent les populations d’origine arabe ou musulmane, en oubliant qu’elles ne représentent qu’une partie, certes importante, de la population issue de l’immigration. En particulier, les chiffres de stock qui circulent sont ceux de l’ensemble de la population issue de l’immigration non européenne, qui comprend bien d’autres composantes.
L’erreur est de penser que ces populations étaient musulmanes dans leur totalité lors de leur entrée en France, et que la religion va se transmettre indéfiniment au fil des générations.
Or, l’expérience montre que l’assimilation est un mécanisme quasi-automatique : les parents ou les grands-parents découvrent un jour que leurs descendants sont français. Dans certains groupes, c’est le cas dès la deuxième génération, dans d’autres surtout dans la troisième.
Cette assimilation est accélérée par les mariages mixtes, qui sont fréquents.
Bref, dans dix ans, l’assimilation aura grosso modo compensé les nouvelles arrivées, si elles restent au niveau actuel. Bien sûr, n’étant pas prophète, je ne peux pas vous garantir qu’il n’y aura pas de panique migratoire ou antimigratoire qui pourrait changer cela.
Quant à l’action très réelle des mouvements islamistes, des mafieux et autres perturbateurs, c’est un problème d’ordre public. Sujet très délicat, qui n’est pas celui de cet article démographique et économique.
L’immigration telle qu’on la souhaite
Presque tous les métiers sont à court de personnel, et l’économie française est bloquée à tous les niveaux, des moins qualifiés aux plus qualifiés.
Nous avons vu que la pyramide des âges nous dit que ce blocage ne fera que s’accentuer.
Or, il est patent que les Français ne veulent pas travailler davantage : dans les dix ans qui viennent, aurons-nous un gouvernement qui reviendra sur les 35 heures, les cinq semaines de congés payés, la retraite à 62 ans en moyenne, comme en témoignent les violents remous contre le passage à 64 ans d’une partie des promotions concernées ?
Un miracle à espérer !
Il ne reste donc mathématiquement que deux solutions : une vigoureuse croissance de la productivité et l’immigration.
Or, l’émigration des Français va encore aggraver le problème démographique.
L’émigration
Elle est très importante : dans ma famille, et dans celles de beaucoup de personnes que je fréquente, les enfants partent à l’étranger, et on ne sait pas s’ils reviendront un jour.
Et même s’ils reviennent, « le stock » de Français à l’étranger, déjà important, va croître rapidement.
Cette émigration n’est pas mesurable, puisque quand vous quittez la France vous ne laissez aucune trace statistique disant que vous partez pour la journée ou pour la vie. Et comme elle n’est pas mesurée, on en parle peu, alors que c’est un élément très important.
J’avais déjà tiré la sonnette d’alarme en 2014 dans mon article « Émigration : chut… la France se vide », et cela n’a fait que s’accentuer depuis, notamment du fait de la mondialisation de l’information qui permet à chacun de saisir des opportunités à l’étranger.
Les conséquences économiques et identitaires sont évidemment catastrophiques.
La productivité
L’économie française, et celle de nombreux autres pays, est profondément perturbée par la baisse de la fécondité depuis des décennies, et donc aujourd’hui par celle de la population active.
Dans le cas de la France, cette baisse est plus limitée qu’ailleurs, mais son effet est renforcé par le fait que nous travaillons beaucoup moins que nos concurrents.
Comment faire face à cette insuffisance quantitative du travail français si nos concitoyens restent imperméables à la nécessité de travailler davantage ?
Mathématiquement, il faudrait augmenter notre productivité bien au-delà de celle de nos voisins.
Or, la productivité ne se décrète pas.
C’est le résultat d’un travail de fourmi dans chaque entreprise, dont le résultat dépend du niveau de formation des employés et du progrès technique, notamment la numérisation.
En sens inverse, la productivité est freinée par les dégâts de la bureaucratisation générale du secteur public et de certaines grandes entreprises. Par expérience professionnelle, je suis très sensible à cette bureaucratisation qui est un phénomène humain naturel, contre lequel il faut lutter sans arrêt.
La bureaucratisation est particulièrement envahissante en France du fait de notre centralisation, qui nous amène à multiplier les lois générales et les réglementations, pour s’apercevoir dans un second temps qu’elles s’appliquent mal dans certains cas avant de les compliquer ensuite par des exceptions.
Si chaque loi part d’une bonne intention – c’est du moins ce qui est affiché – leur cumul devient alors inextricable.
J’ai des amis experts-comptables qui passent ainsi leur mois de janvier, puis une bonne partie des mois suivants, à changer les programmes et les paramètres pour tenir compte des nouveautés de la gestion du personnel ou des nouvelles taxes, ou de nouvelles exceptions. Et qui assistent navrés aux fraudes et au trafic que cette complexité permet.
Le problème est analogue chez les pharmaciens qui passeraient plusieurs heures par jour, malgré l’aide des logiciels spécialisés, à régler non seulement les mêmes contraintes administratives que les autres Français, mais aussi le suivi des variations des règles de la sécurité sociale, ainsi que les enquêtes et renseignements sur la viabilité des ordonnances (dont les conditions varient dans le temps) et le suivi de certains produits utilisables par des toxicomanes…
À côté de cela, il y a tout ce qui touche les programmes scolaires et l’organisation scolaire plus soucieuse de l’égalité sociale que du maintien du niveau. Or, le déclin des compétences des élèves français est une des raisons de la stagnation de notre productivité.
Il y a également les réglementations environnementales et l’application des trouvailles de la bureaucratie européenne. Les agriculteurs subissent le cumul des deux, avec 40 % des dossiers à remplir destinés à Bruxelles.
Certes, l’administration française est dans l’ensemble bien numérisée, mais je me demande parfois si ça n’a pas un effet pervers.
De l’avis des intéressés, comptables, pharmaciens, agriculteurs et tous les autres… certaines complications seraient inapplicables sans ordinateur. Bref, la numérisation permet des complications réglementaires qu’il aurait été impossible de mettre en place sans elle.
De toute façon, je ne vois pas d’évolution importante prévisible dans les dix ans à venir touchant les principaux facteurs de productivité : même des réformes importantes de l’enseignement mettront des dizaines d’années à se répercuter dans la pyramide des âges.
Il faudra donc un miracle, par exemple des réformes fondamentales en matière d’autonomie locale et de décentralisation.
Autre miracle possible : une rupture technologique.
On parle par exemple beaucoup d’intelligence artificielle et récemment des robots conversationnels… Mais la première réaction de certains est de les bloquer !
De toute façon, il faut du temps pour transformer les structures professionnelles en conséquence. On se souvient qu’il a fallu un siècle pour que l’électricité transforme la vie quotidienne et l’industrie, et que ce n’est toujours pas fini pour les véhicules ! Il a également fallu des dizaines d’années pour que la numérisation soit efficace.
Nous voici donc une fois de plus ramenés à la soupape de l’immigration.
Mais cette nécessité mathématique n’est pas acceptée.
En conclusion : vers une hypocrisie sur l’immigration ? Mon optimisme naturel m’amène à prévoir des miracles.
Un premier « miracle » est prévisible. L’homme est adaptable, il travaillera plus ou moins clandestinement pour obtenir ce qui manque : aide aux parents dans la famille, action bénévole et charitable à l’extérieur, vrai travail après la retraite, mais au noir, sauf si les gouvernants ont la sagesse de libérer totalement le cumul emploi-retraite, robots de compagnie…
On réalisera peut-être alors qu’on s’est fait rouler dans la farine par des démagogues vantant le miracle d’avoir à la fois davantage de temps libre et autant de services de la part du reste de la société. Je pense bien sûr aux plus tonitruants comme Mitterrand et Mélenchon.
Un deuxième miracle serait que l’un des blocages ci-dessus disparaisse, le plus important étant peut-être celui de l’enseignement. Les réformes de l’apprentissage vont dans le bon sens, ainsi que l’action conjointe d’Emmanuel Macron et du maire socialiste de Marseille pour des écoles plus autonomes. Mais elles sont rejetées par les syndicats d’enseignants.
Un autre miracle est possible : une meilleure gestion économique, juridique et surtout psychologique de la question migratoire.
Au Festival de géopolitique de Grenoble en 2019, j’exposais que les pays les plus opposés à l’immigration pour des raisons identitaires, dont, à l’époque, la Hongrie, seraient amenés à être hypocrites en la matière ou à faire disparaître leurs peuples pour « sauver leur identité », comme le Japon demain, ou la Chine après-demain.
C’est exactement ce qui est arrivé : la politique officielle reste la « fermeture migratoire », mais les entreprises sont cruellement à court de main-d’œuvre, les jeunes n’étant soit pas nés, soit partis en Allemagne. Ces pays font donc venir de nombreux étrangers, avec probablement la complicité passive des pouvoirs politiques.
On nage en pleine hypocrisie : on voudrait bénéficier du travail de la population issue de l’immigration, mais on ne supporte pas sa présence !
Les politiques auront cette contradiction à gérer.
Je ne critique pas les Français, car tous les pays ont une opinion publique opposée à l’immigration, du Japon à l’Afrique du Sud et au Chili. C’est donc dans ce domaine qu’un miracle serait très utile.
L’exemple des Allemands qui ont eu à gérer un brusque afflux de Syriens ne connaissant même pas l’alphabet latin nous montre que c’est possible. Et la Grande-Bretagne a connu plus de 600 000 arrivées nettes (immigration moins émigration) en 2022, dont plus de 400 000 principalement en provenance de l’Inde et du Pakistan, si on enlève les Ukrainiens et les Chinois de Hong Kong fuyant la répression de Pékin. Le Premier ministre conservateur, le chef du parti indépendantiste écossais et le maire de Londres sont d’ailleurs issus de l’immigration indopakistanaise !
A lecture de cet article (daté de 2014) l'on comprend mieux que les terriens sont pris pour des cons ! La 'dette' est INREMBOURSABLE ! Les banques (autre nom du gang des escrocs) prêtent 'de l'argent' (par clavier d'ordinateur crédite un compte) alors qu'elles n'ont PAS UN SOU EN COFFRE ! Pas un sou car PERSONNE AU MONDE ne remboursent !! C'est ce que l'on appelle L'escroquerie officielle avec tous ses rubans, décorations et pourquoi pas des majorettes !
Mais (Houlala, là je sens que vous allez lire...) AUCUN journaliste (çà alors ! ils sont pourtant des millions) n'a dénoncé cet hologramme de pyramide de Ponzi. A u c u n ! L'or est une astuce, un détournement d'attention, une bricole, un paravent, bref UNE GROSSE CONNERIE qui n'a jamais servi à la monnaie qui circule d'y être adossé ! Donc, jusqu'à nos très lointain ancêtres qui vivaient de trocs a existé LA planche à billets (ou plutôt... à poils !) remplacée par le clavier d'ordinateur (çà va plus vite).
Donc, après des siècles de monnaies de singe ou 'image de Mickeys' arrive le fantôme de l'invisible L'Argent Électrique ! Pchitt ! Ton compte est vidé ! Vidé de chez vi-dé ! Bêh ouais, ce doit être les russes ou les chinois ou des pirates de l'informatique ! HAHAHA ! ou des Extraterrestres !
Puis, arrive la confusion (ou fusion à la con) avec l'invasion de 'réfugié climatiques de mes deux' ! Cet l'occupation ! Oui mais cela va permettre de fournir des ouvriers aux usines ! HAHAHA ! (ils ne savent ni lire, ni écrire et ne parlent même pas français !) et donc, se retrouvent à 100 % bénéficiaires d'allocs familiale, logement et soins de santé. Pas belle la vie ? Et, compte tenu du nombre exponentiel de machines et d'ordi pour remplacer l'homme... c'est pas près de changer !
Les « vaccins » basés sur la génétique – le crime pharmaceutique du siècle ?
RépondreSupprimer10.06.2023
www.kla.tv/26280
Les « vaccins » basés sur la génétique – le crime pharmaceutique du siècle ?
Sous-titre : Conférence de presse du 15 mars 2023
Le 15 mars 2023, l'association "Médecins et scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie" a organisé une conférence de presse sur ce sujet. Des voix spécialisées connues comme le professeur Sucharit Bhakdi, le pathologiste Arne Burkhardt et bien d'autres étaient présentes. Kla.TV publie ultérieurement des extraits de la conférence et des parties du communiqué de presse de cette journée importante !
Dans de brèves déclarations, les intervenants spécialisés ont expliqué l'ampleur considérable des dommages causés par la « vaccination » Covid. Ils ont également évoqué les conséquences et les développements qui en découlent, notamment en ce qui concerne la future politique de santé mondiale.
La protéine spike est une arme biologique.
Ulrike Kämmerer, biologiste en biologie humaine et cellulaire ainsi qu'immunologiste, a clairement montré que la protéine spike est une arme biologique avec un énorme potentiel de dommages. Il apparaît de plus en plus clairement qu'il ne s'agit pas d'un projet de politique de santé, mais d'un projet militaire. Mme Kämmerer a dit, entre autres, que :
https://rumble.com/v1vfezy-statement-von-prof.-dr.-ulrike-kmmerer-bei-der-mwgfd-pressekonferenz-am-16..html
« Les vaccins font exactement ce qu'ils sont censés faire. Le corps est forcé de fabriquer la dangereuse protéine spike, qui se répand partout dans le corps et fait alors plus de dégâts que ne le ferait l'infection virale en tant que telle dans les cas habituels, surtout justement chez les personnes en bonne santé et non atteintes auparavant. La protéine spike, c'est donc cette épine qui se trouve à la surface des virus. Tout le monde a déjà vu ces images. Normalement, elle n'est produite dans le corps que lorsque les virus attaquent les cellules et les forcent à produire leurs propres composants viraux. L'astuce maintenant, surtout de ces composants ARN-lipides, a été de faire entrer l'information génétique pour la protéine spike dans les cellules. L'ARN normal ne serait pas introduit dans les cellules. [...]
Cela signifie que la protéine spike a été modifiée afin qu'elle possède désormais des propriétés qu'une protéine spike naturelle n'aurait pas. C'est publié, la source est indiquée sur la fiche, entre autres par Madame Segreto de manière très détaillée. Les points les plus importants sont les suivants : Elle a été optimisée pour s'arrimer au récepteur humain ACE2, qui est un récepteur présent sur de très nombreuses cellules, mais également au récepteur neuropiline. Ainsi, cette protéine de pointe peut pénétrer dans les cellules nerveuses et les endommager. Le récepteur ACE2 est, j'ai trouvé hier encore une publication - cela fait penser à M. Lauterbach - qui est en fait, je n'ai même pas pu l'imprimer, du 5 octobre 2020. Et il est déjà explicite, très bien décrit dans PubMed (= base de données d'articles médicaux sur Internet), que la protéine spike du SRAS-CoV-2 endommage les cellules souches de l'hématopoïèse. Cela signifie qu'on savait déjà, avant que la substance ne soit injectée chez l'homme, que dans les cellules humaines, cette protéine spike - et ce indépendamment du fait qu'elle soit transmise par le virus ou qu'elle arrive dans les cellules sous forme de protéine séparée - perturbe massivement les cellules souches hématopoïétiques (= à partir desquelles se forment les cellules sanguines), à partir desquelles se développe notre système immunitaire, à partir desquelles se forment également nos cellules sanguines. Et ils ont même trouvé que les monocytes (= cellules du système immunitaire), c'est-à-dire un élément important de notre système immunitaire cellulaire, sont également amenés à mourir sous l’effet de la protéine spike. Cela explique maintenant très bien pourquoi nous voyons beaucoup de dérégulations immunologiques, aussi bien chez les patients, où ce virus complet du SRAS-CoV-2 parvient fatalement à pénétrer dans le corps via la barrière immunitaire des muqueuses et peut effectivement y causer ces conséquences difficiles. Mais ce qui est beaucoup plus dangereux, c'est cette grande quantité de protéine spike que le corps doit former en raison de l'injection d'ARN, qui apporte cette propriété dangereuse dans le corps et qui perturbe ainsi réellement et durablement le système immunitaire. On voit les premières réactions, les gens qui ont eu une, deux ou plusieurs injections de ce type sont plus sensibles aux infections, ont un deuxième COVID, un troisième COVID, un quatrième COVID, ont d'autres maladies - et on entend très souvent parler de zona (= une maladie virale). Le zona est un signe classique d'un système immunitaire affaibli. [...] C'est un signe tout à fait typique que ces injections perturbent effectivement le système immunitaire de manière durable. Et dans la plupart des cas nous ne voyons pas encore de problèmes mortels et graves. Ça s'accumule, ça s'accumule de plus en plus à chaque injection. »
RépondreSupprimerLes faits sont sur la table ou sous le microscope
RépondreSupprimer– a illustré le professeur Arne Burkhardt, pathologiste.
Il a notamment déclaré
https://rumble.com/v2egjn6-prof.-dr.-arne-burkhardt-mwgfd-pressekonferenz-vom-15.03.2023.html
« Oui, merci beaucoup. […]Voici tout d'abord notre étude. Comme je l'ai dit, nous avons maintenant pu examiner 75 cas d'autopsies après coup. Nous avons plus de cas, mais il s'agit de cas que nous avons pour ainsi dire en main, c'est-à-dire que nous avons suffisamment évalués pour pouvoir constater quelques faits fiables à ce sujet. 75 personnes décédées, soit 40 hommes et 35 femmes, âgés de 21,2 à 94,7 ans. Décès entre un jour et six mois après la dernière injection, et ce avec les prétendus vaccins habituels chez nous, surtout Pfizer, BioNTech, donc Comirnaty.
En outre, nous avons de plus en plus de préparations de biopsies de patients vivants. Là aussi, je montrerai quelques exemples, notamment des biopsies de peau avec des modifications correspondantes. Image suivante. Nous avons donc examiné ces 75 personnes décédées et, en passant, quatre d'entre elles avaient eu une véritable infection au Covid-19 avant ou après la vaccination. Pour les autres, nous avons pu l'exclure. 40 autopsies par des pathologistes, 35 par des médecins légistes, une fois par les deux, c'est-à-dire des pathologistes et des médecins légistes, ce qui est certainement très justifié. Et le premier diagnostic que nous avons obtenu était dans 91 % des cas la mort naturelle ou la mort de cause inconnue. Et de plus en plus souvent ces derniers temps, on entend dire qu'il pourrait y avoir un lien avec la vaccination. Mais ces 91 % sont tout de même très impressionnants si on les compare au chiffre que nous venons de trouver sur la base de notre enquête de suivi. Image suivante. C'est maintenant l'examen ultérieur à Reutlingen, un « deuxième avis », comme on dit dans le jargon. Et là, il est presque certain ou très vraisemblable que les circonstances du décès sont dues d'une manière ou d'une autre à la vaccination. Et ce pour 77 %. Dans les présentations précédentes, nous avons parlé de 80 %. Maintenant, nous avons compilé les chiffres exacts pour ce groupe. Mais cela reste toujours possible : incertain dans 14 cas, exclu en fait dans un seul cas et deux cas ne sont pas exploitables.
Image suivante. Les circonstances du décès sont également importantes, j'ai rassemblé ici 19 cas. 15 d'entre eux relèvent de la rubrique des morts subites d'adultes, c'est-à-dire du « syndrome de mort subite de l’adulte » de cause inexpliquée. Et là, il est important de noter qu'une grande partie de nos cas sont morts à la maison, dans la rue, en voiture ou au travail, et que très peu sont morts après une longue hospitalisation ou une thérapie, de sorte que les modifications que nous voyons sur les tissus et les cellules sont en fait essentiellement dues à la vaccination, ou justement pas à des mesures thérapeutiques. […]En fait, le premier résultat a été de constater que cette protéine spike dont il est question ici ne reste pas seulement à l'endroit de l'injection, comme on l'a toujours prétendu, mais qu'elle se répand effectivement dans tout le corps via les vaisseaux sanguins. […] Et je tiens à souligner une fois de plus que les faits sont sur la table. Dans mon cas, ils sont sous le microscope et ils peuvent être regardés par quiconque s'y intéresse et pourront encore l’être dans des centaines d'années. C'est un document d'époque d'une valeur éternelle. Détourner le regard, c'est se rendre complice. C'est maintenant à la justice de jouer. Ceux qui ont commis ces crimes contre l'humanité doivent rendre des comptes. C'est ma conviction la plus profonde et c'est pour cela que je fais tout cet effort, même si je pourrais en fait me prélasser au soleil au bord de la mer. »
Répétition du scandale de la thalidomide ?
RépondreSupprimerLe Dr Christian Fiala de Vienne a expliqué le mécanisme d'action entièrement nouveau de la vaccination par ARNm. Avec la protéine spike, les propres cellules saines du corps sont marquées comme étrangères. Par conséquent, le système immunitaire détruit ses propres cellules saines parce qu'il les considère comme des envahisseurs. Il a légitimement soulevé la question de savoir s'il ne s'agissait pas d'une répétition du scandale de la thalidomide, compte tenu de la destruction auto-immune intentionnelle. Lors du scandale de la thalidomide, de graves malformations ont été observées chez les nouveau-nés en raison de la prise du médicament sédatif thalidomide au début de la grossesse. Ainsi, à la suite de la "vaccination" Covid, on a constaté chez les femmes une augmentation des troubles menstruels, une diminution de la fertilité et des malformations chez les fœtus. Chez les hommes, une diminution considérable de la qualité des spermatozoïdes a été constatée. Selon le Dr Fiala, il ne s'agit là que d'une sélection des dommages causés par la vaccination Covid.
Le bénéfice n'est pas nul, mais négatif
- Le professeur Bhakdi en est convaincu. Il a une nouvelle fois attiré l'attention sur le talon d'Achille de cette affaire de vaccination. Le microbiologiste avait déjà prédit il y a trois ans que les dangers de la vaccination étaient un cauchemar. Cette prédiction reposait sur des principes de base de l'immunologie, tels qu'on peut les lire dans n'importe quel manuel. Tous les « vaccins » à ARNm, et pas seulement les « vaccins » Covid, comportent deux dangers mortels : le premier est le matériel d'enrobage très dangereux. Ces nanoparticules lipidiques protègent l'ARNm et permettent son absorption par les cellules. Cela n'est possible que par le biais de graisses artificielles qui, contrairement aux lipides naturels, sont chargées positivement et provoquent ainsi un dysfonctionnement. En effet, toutes les cellules de l'organisme sont maintenues au moyen de lipides chargés négativement. Avant 2020, l'utilisation de ces lipides chargés positivement n'était même pas autorisée. Dans ce contexte, le Dr Ronald Weikl a également abordé les déclarations trompeuses du service sanitaire de l’armée allemande sur son site Internet. Sous la rubrique « Vaccins et devoir de tolérance », on trouve la formulation suivante : « Celui qui choisit sans hésiter d’entrer dans un restaurant peut tout aussi bien faire confiance aux ingrédients et aux adjuvants contenus dans le vaccin ARNm. Le sel, la graisse, l'eau et le sucre se retrouvent en effet dans les deux. » Au vu des explications du professeur Bhakdi, on ne peut que qualifier de telles déclarations d’irresponsables. Dans le cadre de l'autorisation d'urgence du premier "vaccin Covid" de BioNTech, le fabricant a certes déclaré avoir effectué des tests de sécurité. Mais le fait est que les fabricants de vaccins n'ont jamais réalisé d’études sur les animaux. Le deuxième danger provient des gènes étrangers au corps, qui peuvent passer en nombre massif dans la circulation sanguine et atteindre tous les organes. En effet, toute cellule qui produit une protéine étrangère à l'organisme devient la cible d'une attaque du système immunitaire. Ces substances actives basées sur l'ARNm doivent maintenant être introduites dans tous les domaines de la médecine, conformément à la déclaration d'intention de l'OMS.
Efficacité de la vaccination de moins 300 %
RépondreSupprimerLe professeur Werner Bergholz, ancien membre de la commission d'experts pour l'évaluation des mesures Covid19, a fourni des chiffres et des faits sur le manque d'efficacité et la sécurité inexistante. Selon sa devise scientifique « the proof of the pudding is in the eating » (= dans le même sens : c’est en le goûtant qu’on voit si le pudding est bon), le physicien met fin à la fable de l'efficacité. Cela serait déjà connu depuis juillet 2021, date à laquelle Israël a publié ses chiffres. De simples affirmations ne garantissent pas encore le « vaccin » et ne contribuent pas à sa pérennité. Tout au plus à la consolidation de la croyance erronée, ce qui expliquerait pourquoi les médias mainstream ne parlent toujours pas de l'ampleur des chiffres. L'affirmation de Lauterbach selon laquelle seule une personne sur 10 000, soit 0,01 % des « vaccinés », a des effets secondaires graves qui changent leur vie, se révèle rapidement être une blague au vu des chiffres scientifiquement prouvés et solides de diverses études. Plusieurs études, dans lesquelles 100 % des participants ont été observés, démontrent que les effets secondaires sont d'au moins 3 %. Les données officielles de l'armée américaine le confirment également. Ainsi, parmi les 2,5 millions de jeunes militaires, il y a eu une augmentation d’environ 4 % de myocardites (= inflammation du muscle cardiaque) et 3 % de cancers. Et à la question de savoir si ces substances vaccinales Covid19 étaient efficaces, il a répondu :
https://rumble.com/v2e6oxs-prof.-dr.-berggholz-mwgfd-pressekonferenz.html
« Clairement : non ! Sucharit Bhakdi vient de le dire et il a aussi dit que c'est encore pire. Non seulement ce n'est pas efficace, mais le système immunitaire est très endommagé. Plus je suis vacciné, plus j'ai de chances d'être infecté soit par le Covid19, soit par une autre infection. Et une étude de novembre d'une clinique de Cleveland a montré que si je suis injecté trois ou quatre fois, mon risque de tomber malade est multiplié par 3. On pourrait aussi dire efficacité de moins 300 %. »
Nouveaux tableaux cliniques dans le contexte du spike
Le professeur Martin Haditsch, spécialiste en virologie, biologie et épidémiologie infectieuse, se penche sur les questions suivantes : comment diagnostiquer les lésions dues à la vaccination, quels paramètres de laboratoire sont appropriés pour le diagnostic et comment pouvons-nous faire la distinction entre le syndrome de Covid Long et le syndrome post-Vac (= lésions après la vaccination).
De nombreux signes de la maladie ne sont pas caractéristiques et peuvent se manifester en dehors de la thématique de la maladie de Covid19 : cela constitue un défi pour le diagnostic. A cela s'ajoute la grande variabilité des lésions causées par l'atteinte ubiquitaire (= répandue partout) des organes. Il est donc nécessaire de recenser et de clarifier les nouveaux tableaux cliniques. Ainsi, avec spike des maladies jamais observées auparavant sont apparues dans le contexte de l'immunisation (= vaccination), comme l'ADE, une réaction immunitaire excessive, le VITT, une formation de caillots due à la « vaccination » avec une tendance simultanée aux hémorragies, le V-SIDA, une faiblesse immunitaire due à la « vaccination », le SADS, la mort subite de l'adulte.
Alors qu'entre 2016 et 2020, 9 cas de « mort subite et inattendue » ont été recensés en Allemagne, ce chiffre est passé à 500 en 2021.
L’OMS - Attaque systématique et étendue contre la population civile
RépondreSupprimerUn rapport intermédiaire du 28 février 2021 de Pfizer à la FDA (= l'autorité américaine pour les produits alimentaires et pharmaceutiques) fait état, sur 8,5 pages, d'environ 1 300 effets secondaires qui - il faut le noter - ont été signalés dans les 3 mois seulement suivant la mise sur le marché du vaccin. Toute expérimentation animale aurait été interrompue à ce stade. Cela montre aujourd'hui l'urgence de déterminer un profil d'étude fiable et adapté à ces nouvelles maladies, notamment afin de pouvoir présenter des faits solides en cas de procédure judiciaire.
Enfin et surtout, Uwe Kranz, ancien président de l'Office de la police criminelle du Land de Thuringe a pris la parole. Il s'est penché sur l'agenda mondial de l'OMS qui, avec son traité sur les pandémies et son International Health Regulations (= règlement sanitaire international), en abrégé IHR, plane actuellement comme une épée de Damoclès au-dessus de tous les gouvernements. L'ancien assistant au lancement et chef de projet d'Europol poursuit aujourd'hui son travail d'analyse, sauf qu'il s'intéresse désormais au crime organisé dans le secteur de la santé et aux bases de données mondiales. Il montre à quel point les chiffres de la base de données européenne « Eudra Vigilance » sont absurdes et irréalistes, car seuls environ 3 % des dommages et effets secondaires réels des vaccins sont effectivement déclarés. 2 179 125 cas suspects multipliés par 100 serait nettement plus proche de la réalité des dommages liés aux vaccins. Les « Pfizer Files », la correspondance révélée entre la FDA (= autorité américaine pour les produits alimentaires et pharmaceutiques) et Pfizer, qui devait être cachée au public pendant plus de 75 ans, démontrent également le crime sans précédent contre l'humanité.
Seule une plainte FOIA (Freedom of Information Act) déposée par 200 médecins et scientifiques a conduit à la divulgation de 300 000 documents permettant de prouver la corruption internationale et l'action frauduleuse de Pfizer dans la procédure d'autorisation. Il s'agit donc maintenant de s'opposer aux abus de pouvoir de l'OMS. En effet, si on se penche sur le rôle de l'OMS dans le système international, il devient vite évident que l'International Health Regulations (IHR) actuellement en discussion et le projet du « traité sur les pandémies » sont une tentative de réanimation. Car l'OMS est une organisation chroniquement sous-financée, lourde et inefficace, qui doit être gonflée pour devenir un One-World-Government (= gouvernement mondial unique) et qui met en danger la souveraineté de tous les Etats. Le traité prévu sur les pandémies et le IHR deviendraient une invitation à l'abus de pouvoir. Cela se manifeste déjà de manière impressionnante et sans équivoque par la suppression de la « dignité » et des « droits de l'homme » dans le nouveau traité sur les pandémies ou par l'application de mécanismes et de structures de contrôle ou de droits de sanction si les États membres ne « jouent pas le jeu ». L'OMS doit à l'avenir pouvoir décider seule si une pandémie se développe ou non. Cela signifie la suppression totale de la souveraineté nationale et du contrôle financier. Même en cas de menace potentielle, l'ensemble des instruments de l'OMS doit s'appliquer.
Mesdames et Messieurs, les faits qui viennent d'être cités le montrent de manière impressionnante :
RépondreSupprimerNon seulement les « vaccins » ne sont pas efficaces, mais ils sont surtout nocifs ! Ainsi, tous les faits indiquent qu'il doit s'agir d'une arme biologique à laquelle l'armée participe en tant que chef de file. En bref, les vaccins à ARNm doivent être qualifiés de crime pharmaceutique de ce siècle !
Diffusez ces informations et mettez en garde votre entourage contre les effets nocifs des vaccins ARNm !
Nous terminons par une citation du professeur Bhakdi :
« C'est devenu tellement clair maintenant. Les responsables sont dos au mur et craignent pour leur propre existence. Pourtant, ces personnes manquent cruellement d'empathie. Ma petite lueur d'espoir, c'est que ces sujets présentés au cours des cinq derniers mois par les médias grand public (MDR, Bild TV, ZDF) sont désormais vus des millions de fois. Ce n'est plus une bulle. Cela se propage déjà à l'extérieur et atteint d'autres personnes. Ce que nous devons faire, c'est continuer à informer de manière à ce que chaque idiot comprenne. Car les faits sont clairs comme de l'eau de roche, si bien que dans les mois à venir, la question sera : « As-tu participé ? » »
de ch.
Sources / Liens :
Communiqué de presse du MWGFD
https://www.mwgfd.org/2023/03/pressemitteilung/
Vidéo de la conférence de presse
https://rumble.com/v2djfco-mwgfd-pressekonferenz-vom-15.03.23-genbasierte-impfstoffe-das-pharmaverbrec.html
https://www.bitchute.com/video/pbowFdj5GhAl/
Scandale de la thalidomide
https://de.wikipedia.org/wiki/Contergan-Skandal
ALETHEIA
Article sur le traité de l'OMS sur les pandémies
https://www.aletheia-scimed.ch/de/pandemievertrag/
https://www.kla.tv/fr
Le régulateur allemand prévient que la crise énergétique est loin d'être terminée
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 11 JUIN 2023 - 14:10
Rédigé par Tsvetana Paraskova via OilPrice.com,
Selon le président du régulateur allemand de l'énergie, la crise énergétique n'est pas encore terminée malgré les niveaux élevés de stockage de gaz naturel.
Les installations de stockage de gaz naturel dans l'UE ont actuellement une capacité de 70 %, tandis qu'en Allemagne, les réservoirs de stockage de gaz naturel sont remplis à 76 %.
Afin de garantir un approvisionnement suffisant en gaz pour l'hiver à venir, l'Allemagne aura besoin d'un niveau de stockage de 75 % d'ici le 1er septembre.
La crise énergétique n'est pas encore terminée, a déclaré mercredi Klaus Müller, président du régulateur allemand de l'énergie, au média Funke.
Malgré le fait que les niveaux de gaz naturel stocké sont plus confortables qu'au cours des deux années précédentes, la crise est loin d'être terminée et les conditions météorologiques seront le facteur le plus important, a déclaré Müller, président de l'Agence fédérale allemande des réseaux, Bundesnetzagentur.
Au 6 juin, les réservoirs de stockage en Allemagne étaient pleins à 76 %, tandis que dans l'UE, le niveau global est légèrement supérieur à 70 %, selon les données de Gas Infrastructure Europe.
"Si tout se passe bien, nous aurons des installations de stockage complètes à la fin de l'été", a déclaré Müller, faisant référence aux niveaux de stockage de l'Allemagne.
Le régulateur a déclaré dans son dernier rapport hebdomadaire que "pour sécuriser l'approvisionnement en gaz pour l'hiver prochain, il doit y avoir un niveau de stockage de 75% d'ici le 1er septembre".
« Il a été possible d'éviter une situation de déficit de gaz l'hiver dernier. En parallèle, la préparation de l'hiver 2023/2024 est un enjeu majeur. Il est donc toujours important d'économiser du gaz », a ajouté le régulateur.
La consommation de gaz naturel de l'Allemagne au cours de la semaine commençant le 22 mai était de 23,2% inférieure à la consommation moyenne pour la période 2018-2021, et en baisse de 9% par rapport à la semaine précédente, a ajouté le régulateur.
Le mois dernier, l'une des principales entreprises de services publics allemandes, E.On, a déclaré que la crise énergétique n'était pas encore terminée et que la situation de l'approvisionnement énergétique en Europe pourrait se détériorer plus tard cette année.
"La crise n'est pas encore terminée", a déclaré le directeur financier d'E.On, Marc Spieker, lors de la présentation des résultats du premier trimestre du géant des services publics début mai.
RépondreSupprimer"Par rapport à l'environnement de marché actuel, nos prévisions tiennent également compte de la possibilité d'une nouvelle détérioration dans le reste de l'année. Nous pensons que nous sommes bien placés pour faire face à la volatilité qui devrait se poursuivre », a ajouté Spieker.
https://www.zerohedge.com/energy/germanys-regulator-warns-energy-crisis-far-over
Le chemin de 4 milliards d'années de l'évolution humaine visualisé
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 11 JUIN 2023 - 13:35
L'histoire de l'évolution humaine est fascinante, s'étendant dans une chaîne ininterrompue sur des millions d'années.
Des plus petites protocellules aux humains modernes, notre espèce a parcouru un parcours remarquable d'adaptation, d'innovation et de survie.
Dans cet article, Mark Belan de Visual Capitalist se penche sur les étapes clés du développement de l'évolution de la vie sur Terre qui ont conduit à l'émergence d'Homo sapiens – nous !
- voir cadre sur site -
Des protocoles aux personnes
L'évolution est le résultat de millions de mutations infimes sur des millions d'années, mais le processus évolutif qui nous a créés peut être divisé en quelques catégories clés.
1. Protocellules et micro-organismes précoces
Les premières formes de vie sur Terre étaient de simples micro-organismes unicellulaires appelés protocellules. Ces cellules précurseurs n'avaient pas de noyau ou d'autres organites liés à la membrane, et elles avaient des protéines génétiques simples appelées ARN.
Au fil du temps, l'ARN s'est complexifié en ADN plus stable. Les protocellules ont lentement développé des organites spécialisés, devenant des microbes plus complexes qui finiraient par former des eucaryotes - les organismes unicellulaires complexes qui donneraient naissance à un large éventail de formes de vie, des simples éponges aux animaux complexes.
2. Les premiers animaux
Dickinsonia est le premier exemple d'un animal que nous connaissons. Bien qu'il s'agisse d'une créature simple et plate dépourvue de bouche ou de système digestif, elle symbolise le premier organisme multicellulaire d'une complexité substantielle.
Au fil du temps, les premiers systèmes d'organes sophistiqués ont commencé à apparaître. La symétrie bilatérale est apparue, ainsi que les premières versions des systèmes nerveux et circulatoire. Des yeux simples, appelés taches oculaires, sont également apparus à l'époque où les moelles épinières et les créatures vertébrées ont commencé à émerger.
3. Poissons et tétrapodes
RépondreSupprimerL'un des développements les plus significatifs dans l'évolution de la vie a été la transition des environnements marins aux environnements terrestres.
Jusqu'à il y a 500 millions d'années, toute vie était séquestrée dans la mer. Les poissons ont été les premiers vertébrés et ont introduit des organes supplémentaires tels que l'estomac, la rate et des composants corporels tels que les écailles, les dents, le sang, etc. Des poissons osseux sont apparus et, au fil du temps, leur développement a entraîné des modifications sophistiquées du système squelettique, produisant finalement des «proto-membres» qui permettraient aux organismes de marcher sur terre.
Les chercheurs ne savent toujours pas quel organisme spécifique a pu ramper en premier sur terre, mais les candidats partagent ces caractéristiques pré-membres. Tiktaalik est un candidat populaire car il avait des os spécialisés qui suggèrent qu'il pouvait supporter son propre poids tout en sortant des eaux peu profondes.
Ces créatures sont finalement devenues les tétrapodes ("à quatre pattes"), et elles avaient des caractéristiques comme quatre pattes, une colonne vertébrale et des poumons qui pouvaient absorber l'oxygène de l'air. Tous les amphibiens, reptiles, oiseaux et mammifères qui ont suivi sont des descendants des tétrapodes d'origine.
4. Les premiers mammifères
Il y a environ 200 millions d'années, les premiers mammifères sont apparus. Ces premiers mammifères étaient de petites créatures ressemblant à des musaraignes qui vivaient aux côtés des dinosaures. Au fil du temps, cependant, les mammifères ont développé des cheveux, des dents spécialisées, des glandes sudoripares pour réguler la température corporelle et un système circulatoire plus efficace.
Les mammifères ont également apporté des caractéristiques telles que la nocturne, les glandes mammaires, les organes génitaux externes et une variété d'autres caractéristiques qui les distinguaient des autres espèces vivantes à l'époque, comme les oiseaux ou les reptiles.
5. Les grands singes et les premières espèces homosexuelles
RépondreSupprimerIl y a environ 7 millions d'années, les premiers grands singes sont apparus en Afrique. Ces singes, tels que les orangs-outans, les gorilles et les chimpanzés, étaient des créatures très intelligentes et sociales qui vivaient dans des communautés complexes. Au fil du temps, une lignée de singes donnerait naissance aux premiers membres du genre Homo, qui comprend notre propre espèce.
Les principaux changements de développement au cours de cette période ont été la bipédie à plein temps des singes, l'augmentation de la taille du cerveau et le développement avancé des os qui ont permis la dextérité pour la construction d'outils et la chasse. Des inventions comme le feu et les vêtements sont apparues au début du genre Homo, et éventuellement un langage complexe, la perte de cheveux et des changements faciaux spectaculaires ont évolué.
Les chercheurs ont du mal à résoudre la progression exacte de l'espèce Homo. De nombreuses espèces d'Homo existaient en même temps, et comme de nombreux enregistrements de fossiles se chevauchent, déterminer lesquelles sont arrivées en premier est un domaine d'intérêt intense.
L'avenir de l'évolution humaine
Alors que les humains continuent d'évoluer, nous pouvons nous attendre à voir des changements significatifs dans nos capacités physiques et cognitives au cours des 10 000 prochaines années.
Avec l'essor de la technologie et l'interconnexion croissante du monde, nous pourrions assister à une évolution vers une population humaine plus mondialisée et homogène, avec moins de diversité génétique.
Cela a été décrit comme « la grande moyenne », où la diversité génétique diminue et nous commençons à nous ressembler davantage.
D'autres théories suggèrent que nous pourrions développer des caractéristiques comme une taille plus grande et plus légère, avec des cerveaux plus petits et une personnalité moins agressive.
Cependant, comme pour toute évolution, ces changements seront façonnés par une interaction complexe de facteurs génétiques, environnementaux et culturels. Il est impossible de prédire exactement comment les humains évolueront au cours des 10 000 prochaines années, mais une chose est certaine : l'avenir de l'évolution humaine sera façonné par les choix que nous faisons aujourd'hui.
https://www.zerohedge.com/medical/4-billion-year-path-human-evolution-visualized
Le gouvernement fédéral allemand nie les dommages causés à la santé de la population civile par les munitions à l'uranium
RépondreSupprimer11 juin 2023
du Dr. Peter F. Mayer
En mars 2023, on a appris que les Britanniques fourniraient à l'Ukraine des munitions perforantes à base d'uranium appauvri. Cela s'est également produit vers la mi-avril. Comme indiqué à plusieurs reprises, les munitions ont été détruites le 13 mai par une frappe aérienne russe dans le dépôt de munitions de Khmelnitzky dans l'ouest de l'Ukraine. Le résultat a été un nuage de poussière d'uranium qui s'est déplacé à travers la Pologne, l'Allemagne jusqu'en Angleterre et s'est entre-temps répandu dans toute l'Europe.
Dans une requête adressée au gouvernement fédéral allemand le 25 avril 2023, le groupe parlementaire AfD a voulu savoir si le gouvernement fédéral condamnerait cette livraison et quels en seraient les effets et les dommages pour les personnes et l'environnement.
Les réponses du gouvernement fédéral continuent les contrevérités massives, les fausses allégations et les tromperies de la campagne de Coron et de vaccination. Le ministère des Affaires étrangères de Baerbock, en tant que répondant aux demandes de renseignements, suit les traces du ministère de la Santé de Spahn/Lauterbach, RKI et PEI.
Abordons brièvement les affirmations des bureaucrates du Département d'État :
"Le gouvernement fédéral a rejeté sans équivoque la combinaison de munitions avec de l'uranium appauvri produit par la Russie en tant que 'composant nucléaire'."
Le rejet et la négation des faits ont été observés de plus en plus fréquemment au cours des trois dernières années, en particulier dans l'UE et en Allemagne . Bien entendu, l'uranium est une matière radioactive couramment utilisée dans de nombreuses industries nucléaires , de la médecine nucléaire aux centrales nucléaires en passant par les armes nucléaires.
Grâce à la désintégration en cours, l'uranium 238 est accompagné d'un certain nombre d'autres éléments et isotopes radioactifs : Th 234, Pa 234 et Pa 234m, U 234, Th 230, Ra 226, Rn 222, Po 218 et ainsi de suite dans la chaîne de désintégration. Dans chaque cas, α ou β est produit – ainsi qu'un rayonnement gamma à Pa 234m. Ce sont des désintégrations nucléaires, c'est-à-dire des modifications des noyaux atomiques par la libération de noyaux d'hélium-4 (2 protons plus 2 neutrons) ou d'un électron et/ou de photons - même si le ministère allemand des Affaires étrangères n'en sait rien. (Noyau latin "noyau" également noyau) La classification des rayonnements des substances radioactives en rayons alpha, bêta et gammapar ordre de pénétrabilité croissante vient de R utherford.
Pour clarifier la dimension, voici le nombre d'atomes pour 1 gramme d'uranium :
RépondreSupprimer1 gramme d'U 238 contient 2,53 * 10 puissance 21 atomes, soit environ 2,53 trillions d'atomes.
Avec une demi-vie d'environ 4,5 milliards d'années , 8 900 atomes d'uranium 238 dans un gramme d'uranium se désintègrent par seconde avec la cascade subséquente dans la chaîne de désintégration.
Dommages aux personnes et à l'environnement
Interrogé sur les dommages causés aux personnes et à l'environnement, la réponse suivante est affirmée :
« Des organisations internationales (Programme des Nations Unies pour l'environnement, Agence internationale de l'énergie atomique) ont évalué la contamination de l'environnement et l'exposition potentielle aux rayonnements de la population dans les zones où des munitions à l'uranium appauvri (UA) ont été utilisées (Kosovo, Serbie, Monténégro, Bosnie-Herzégovine, Irak et Koweit). La contamination environnementale mesurée était faible au regard de la radioactivité associée. En conséquence, selon le Programme des Nations Unies pour l'environnement et l'Agence internationale de l'énergie atomique, aucune exposition significative aux rayonnements de la population n'est à prévoir.
Compte tenu du rôle de ces organisations, la réponse est aussi peu surprenante qu'inexacte. L'OMS aurait même probablement calculé qu'un million de vies ont été sauvées par le tir de munitions à l'uranium, comme pour les injections d'ARNm, qui ont causé une surmortalité cumulée de 100 000 décès rien qu'en Allemagne en 2021 et 2022.
Qu'est-ce qu'une munition à l'uranium et comment ça marche ?
Tout d'abord, un bref résumé de ce que sont les balles DU. C'est simple : les armures sont majoritairement en acier. Si vous tirez avec une munition APFSDS (Armor Penetrating Fin Stabilized Discarding Sabot), qui est également en acier, vous frappez essentiellement le char ennemi avec des munitions de même densité/dureté, ce qui, selon les lois éternelles de Newton, entraînerait l'acier en champignons de munitions et se brise principalement sous la contre-force beaucoup plus forte de l'armure.
Par conséquent, l'armée a commencé à utiliser des balles de tungstène. Le tungstène est beaucoup plus dur/plus dense que l'acier, encore plus dense que l'uranium pur. Cependant, le tungstène est beaucoup plus rare et plus cher. L'uranium appauvri a une dureté similaire mais est moins cher car il est littéralement fabriqué à partir de déchets/sous-produits radioactifs de centrales nucléaires qui ne sont plus nécessaires. Il est en grande partie dépouillé de sa radioactivité, bien sûr, mais il en reste une petite quantité.
Faits de densité :
RépondreSupprimerAcier environ 8 g/cm³ selon l'alliage
Plomb 11,34 g/cc
Uranium 19,16 g/cc
Tungstène (et or) 19,3 g/cc
Le point de fusion du tungstène est de 3422 degrés, à une température si élevée que l'acier commence à bouillir (point de fusion de l'uranium 1133 degrés, acier entre 900 et 1500 degrés selon l'alliage).
Ainsi, lorsque le tungstène ou l'uranium rencontre une armure en acier, la force qui agit sur eux est comme un couteau sur du beurre. En réalité, c'est beaucoup plus compliqué et détaillé car le tungstène est encore meilleur que l'UA à certains égards, mais il est beaucoup plus cher.
Lorsque les munitions à l'uranium frappent l'armure, une partie de l'énergie d'impact est utilisée pour transformer la balle en poussière en plus de l'effet sur l'acier de l'armure.
Impacts sur la santé et l'environnement
Le ministère britannique de la Défense a publié une déclaration citant des "recherches scientifiques indépendantes" selon lesquelles les effets néfastes de l'uranium appauvri sur la santé sont minimes : vidéo .
Il est difficile de le vérifier pleinement, en grande partie parce qu'il est tellement dans l'intérêt des États-Unis et de l'Occident de balayer de telles recherches sous le tapis et de les dissimuler, mais les chiffres qui circulent sur Internet vont dans ce sens :
Étudier Fallujah, Irak 2005 – 2010 :
la leucémie a augmenté de 38 fois,
Tumeurs cérébrales 13x
Lymphomes 10x
Cancer chez les enfants 10,5x
Ceci est confirmé par des articles parus il y a longtemps, alors qu'il aurait peut-être été un peu plus facile de publier des faits "gênants", avant que Big Tech n'enchaîne complètement Internet avec leurs algorithmes de nettoyage et que la politique américaine et européenne n'accroche le reste des médias. . Par exemple , cet article du Guardian de 2009 confirme une multiplication par 15 des malformations congénitales chez les nourrissons.
La question est de savoir comment l'utilisation de munitions à l'uranium en Ukraine aurait affecté et quelles conséquences peut-on attendre du nuage de poussière. Les batailles de Fallujah, qui sont les principaux responsables de cet empoisonnement à l'UA, ont duré peut-être deux mois au total. Cela dit, on peut considérer le fait qu'en seulement deux mois que DU a été abattu à Fallujah, la population a été empoisonnée à tel point que plus de 14 % des naissances avec malformations ont été touchées.
Ainsi, si la guerre en Ukraine devait se prolonger encore plusieurs années, on peut imaginer le type de contamination qui résulterait d'une opération DU qui durerait 10 ou 20 fois plus longtemps que les combats de Fallujah, qui dévaste la campagne et est empoisonnée.
Cela dépendra donc du nombre total de systèmes compatibles DU que l'Ukraine a reçus et qui ont explosé ou qui n'ont pas encore été reçus. Pour autant que l'on sache, seul le Royaume-Uni a jusqu'à présent fourni des obus à l'UA avec ses chars Challenger.
Cependant, il y avait des nouvelles que des munitions similaires provenaient également des États-Unis. Il est plausible que la région du Donbass ait pu être massivement contaminée, peut-être à une échelle éclipsant celle de la zone d'exclusion de Tchernobyl.
Selon le gouvernement irakien, l'incidence du cancer dans le pays est passée de 40 à 1 600 cas pour 100 000 habitants en 2005 en raison de l'utilisation d'uranium appauvri. Dans les pays de l'ex-Yougoslavie également, l'incidence du cancer a augmenté de 25 %.
RépondreSupprimerAprès l'utilisation de projectiles à l'uranium appauvri, de grandes parties des terres cultivées du territoire ukrainien sont contaminées et des substances radioactives sont propagées sur le reste du territoire par les véhicules. Cela causerait d'énormes dommages économiques au complexe agro-industriel ukrainien et stopperait les exportations de produits agricoles ukrainiens.
Le plus gros problème avec l'uranium, cependant, n'est pas sa radioactivité en soi, mais sa "toxicité chimique". Comme d'autres "métaux lourds" tels que le mercure, le plomb, etc., l'uranium est très dangereux pour l'environnement et cancérigène, car ses molécules déplacent les nutriments vitaux dans nos organes, les ganglions lymphatiques, etc., entraînant des perturbations dans la structure de l'ADN, entre autres. choses.
Ajoutez à cela le fait que l'Irak est principalement désertique, tandis que l'Ukraine regorge de champs agricoles qui y sont cultivés et que la nourriture qui y est cultivée est consommée par des millions de personnes, augmentant considérablement la toxicité et l'ampleur des dommages potentiels à la population qui augmentent de façon exponentielle.
La réponse du gouvernement fédéral découle donc parfaitement des contrevérités qui se sont répandues sur les vaccinations Corona et ARNm au cours des trois dernières années.
Voici une autre conversation que j'ai eue avec Alexander Boos sur MEGA Radio à propos des munitions à l'uranium :
https://tkp.at/2023/06/11/deutsche-bundesregierung-leugnet-gesundheitliche-schaedigung-der-zivilbevoelkerung-durch-uranmunition/
L’économie des pays « occidentaux » en chute libre ?
RépondreSupprimerle 11 juin 2023
Pour estimer le produit intérieur brut (PIB) d’un pays il n’existe pas de critères bien définis et chaque Etat s’arrange pour trouver la meilleure méthode de calcul au risque de se voir noté défavorablement par les agences dont c’est le rôle. Ce risque est bien réel et il s’illustre par un seul exemple au sujet de la France révélateur du peu de confiance qui peut être accordé à son calcul de son PIB. Il s’agit de l’incorporation dans ce calcul du salaire des fonctionnaires de l’Etat. Il est difficile de trouver plus grave escroquerie que cette manœuvre inventée pour embellir le PIB et très curieusement la Cour des comptes ne semble pas choquée par cette escroquerie. Les salaires des fonctionnaires sont payés par les impôts des classes laborieuses du secteur privé et les entreprises de ce même secteur privé. Or ces impôts sont comptabilisés dans le calcul du PIB comme les taxes variées et la taxe sur la valeur ajoutée. Comme dans d’autres pays occidentaux l’argent de la drogue est également incorporé au calcul du PIB. Bien malin celui qui est capable d’avancer des montants exacts de cet « argent de la drogue » et le même cas de figure s’applique aux revenus de la prostitution, à l’exception de quelques rares pays occidentaux où les « travailleuses du sexe » sont reconnues officiellement et déclarent leurs revenus à l’administration.
Tous les artifices sont donc utilisés pour gonfler le PIB et on obtient un classement par pays de ce genre :
- voir cadre sur site -
GDP = PIB, GDP PPP = PIB calculé à partir de la parité de pouvoir d’achat (PPP = purchase power parity). La parité de pouvoir d’achat est calculée en considérant un panier de biens de consommation courante incluant également des achats de biens durables ainsi que les dépenses de logement pour chaque pays dans sa devise nationale. Ce pouvoir d’achat est alors calculé sur la base des revenus moyens déclarés auprès de l’administration fiscale du pays considéré. À ce pouvoir d’achat « officiel » est ajouté celui provenant de l’économie informelle échappant donc à l’administration et qui peut être très importante dans certains pays. Pour obtenir une estimation de cette économie informelle des calculs complexes permettent de relier les achats d’une personne A ayant acquis une certaine somme d’argent en vendant un bien acquis à la suite d’un troc ou d’une activité non déclarée comme un service rendu à une personne B, service rétribué après une négociation entre les deux parties. Le calcul de cette économie informelle, certains la considèrent comme illégale car elle échappe à tout contrôle de l’administration, est donc toujours une estimation mais néanmoins très proche de la réalité. Par tradition l’économie de la Russie est en grande partie informelle et les pays occidentaux, obsédés par la mise en place de leurs administrations tentaculaires, classent cette économie dans la catégorie de la corruption et de la fraude. Ce n’est pas nécessairement le cas. Pourquoi Staline a-t-il pourchassé les Koulaks jusqu’à ce que mort s’en suive ? Parce que ces petits paysans vendaient le produit de leur terre directement aux consommateurs et ils étaient de ce fait des petits capitalistes hors du système idéologique de l’Union soviétique. Il est alors possible de proposer un classement des divers pays en fonction de cette parité de pouvoir d’achat exprimée en dollars internationaux tenant compte de la parité des monnaies locales :
- voir cadre sur site -
Il y a beaucoup à dire au sujet de ce tableau en ce qui concerne les estimations pour 2030. Il n’est nulle part expliqué comment ces estimations ont été obtenues. En effet l’évolution récente consécutive aux évènements d’Ukraine peut profondément changer cette prospective. La « dédollarisation » et le regroupement de plus d’une cinquantaine de pays, certains disent 80 pays, au sein de l’organisation des BRICS et/ou de l’OCS, la mise en place d’une Banque des règlements internationaux alternative à Shanghai et la création d’une monnaie d’échange liée à l’or va bouleverser le paysage géo-économique outre l’organisation géopolitique actuelle. Considérons que tous ces facteurs ont été pris en compte. On remarque que le PIB(PPP) de la Chine sera presque égal au double de celui des USA. L’Inde talonnera l’économie américaine, celle de l’Indonésie sera plus importante que celle du Japon et la Russie suivra de près cette dernière économie. Quant à la Turquie elle aura devancé l’Allemagne qui disputera sa place au Brésil et au Mexique.
RépondreSupprimerOn peut à juste titre contester le classement de l’Allemagne compte tenu de sa politique énergétique désastreuse ou encore celui du Japon dont la natalité déjà alarmante ne sera pas rapidement corrigée mais ce type de mesure n’atteint des résultats qu’au moins 20 ans plus tard et sans un changement de politique migratoire complet l’économie japonaise ne sera plus en 2030 au cinquième rang dans ce classement.
Source: https://www.worldeconomics.com/Indicator-Data/Economic-Size/Revaluation-of-GDP.aspx
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/06/11/leconomie-des-pays-occidentaux-en-chute-libre/
Scandale dans l’UE : la Slovaquie avoue que les stocks d’armes européens sont épuisés et qu’il faudra 10 ans pour les recharger
RépondreSupprimerBy Cheikh Dieng
12 juin 2023
La guerre en Ukraine a-t-elle déjà épuisé les stock d’armes de l’Union Européenne ? C’est du moins ce que laisse entendre Peter Pellegrini, ancien premier ministre de la Slovaquie, cité par l’agence de presse russe Tass. Pour le chef du gouvernement slovaque, il faudra 5 à 10 ans pour remplir à nouveau le stock d’armes européen.
« Les dépôts d’armes ont été épuisés un peu partout en Europe, toutes les armées devront recharger leurs stocks. C’est un travail de 5 ans 10 ans », a-t-il déclaré, ajoutant que compte tenu de ce fait, la Slovaquie ne pourra pas fournir davantage d’armes à Kiev dans sa contre-offensive contre la Russie.
Pour rappel, Peter Pelligrini n’est hélas pas la première personnalité européenne à faire cette triste révélation sur le stock d’armes européen. En décembre dernier, dans un communiqué publié sur le site officiel de l’Union Européenne, Josep Borrell, chef de la Diplomatie européenne, l’avait déjà annoncé.
« La guerre a été un signal d’alarme pour nous tous concernant nos capacités militaires. Nous avons livré des armes à l’Ukraine, mais ce faisant, nous nous sommes rendu compte que nos stocks militaires ont été vidés. Avec le retour de la guerre conventionnelle au cœur de l’Europe, nous nous sommes rendu compte que nous manquons cruellement de capacités de défense pour nous protéger contre des menaces de grande envergure auxquelles nous ferons face sur le continent européen », avoue-t-il.
Dans la publication lue par Lecourrier-du-soir.com, le chef de la diplomatie européenne avait réitéré le soutien de l’UE à l’Ukraine afin d’aider ce pays à faire face à l’envahisseur russe. « Naturellement, le début de notre discussion fut la guerre de la Russie contre l’Ukraine, une attaque frontale contre un pays voisin », souligne-t-il.
Et d’ajouter : « j’ai mis l’accent sur l’importance de soutenir l’Ukraine, sur le plan politique, économique et militaire, c’est-à-dire par des armes et par une formation militaire afin qu’elle puisse repousser les envahisseurs (russes), car c’est qu’ils sont. Et nous devrions continuer à le faire aussi longtemps que possible, jusqu’à ce que l’Ukraine triomphe ».
https://lecourrier-du-soir.com/scandale-dans-lue-la-slovaquie-avoue-que-les-stocks-darmes-europeens-sont-epuises-et-quil-faudra-10-ans-pour-les-recharger/
Révélation explosive : voici la liste des médias qui ont touché 319 millions de Bill Gates pour contrôler nos opinions
RépondreSupprimerBy Cheikh Dieng
11 juin 2023
Une information publiée en 2021 mais qui mérite une nouvelle fois que notre média la mette à la disposition du grand public dans un contexte particulier marqué par une violence et une agressivité indescriptibles des grands médias qui refusent catégoriquement de couvrir la corruption qui gangrène le monde scientifique.
Mais, pour quelles raisons les médias refusent-ils de s’attaquer à Big Pharma ? Sont-ils payés par les labos pour taire les pratiques malsaines courageusement dénoncées par des centaines de scientifiques depuis le début de la pandémie ? Les questions se posent et le débat est ouvert.
En tout cas, ce l’on sait jusqu’ici, c’est que de grands médias en Occident sont financés par le milliardaire Bill Gates dont les liens avec les labos sont connus de tous. Pour vous donner une idée de cette connivence entre le fric et Big Pharma, Lecourrier-du-soir.com a jugé bon de republier une révélation faite il y a un an sur ce sujet.
Excellente lecture
« D’après une révélation explosive faite ce 15 novembre par le média d’investigation MintPressNews qui fédère des journalistes d’investigation du monde entier, Bill Gates a versé, à travers sa fondation, 319 millions de dollars à des médias américains et internationaux qui lui déroulent le tapis rouge en promouvant des sujets qui lui tiennent à cœur
Exclusif
Bill Gates a-t-il pris le contrôle total des opinions des citoyens du monde entier ? La question se pose à la suite d’une révélation explosive faite ce 15 novembre par le média d’investigation MintPresseNews.com. En effet, ce média a révélé que Bill Gates a versé 319 millions de dollars à différents groupes de presse dans le monde pour contrôler la ligne éditoriale et imposer son agenda sur certains sujets.
Le média dit avoir obtenu ces informations en fouillant dans quelque 30 000 dons effectués par la fondation Bill & Melinda Gates et figurant dans sa base de données. MintPressNews.com est allé jusqu’à dévoiler le nom des médias qui ont bénéficié de ce gigantesque financement.
Parmi les médias cités, figurent : CNN, NBC, PBS et The Atlantic pour ce qui concerne les Etats-Unis. Dans le reste du monde, d’autres médias ont été mouillés. Parmi eux, figurent : El Pais (en Espagne), The BBC, The Guardian, The Financial Times et The Daily Telegraph (au Royaume-Uni), Der Spiegel (en Allemagne), Al-Jazeera (au Qatar) et Le Monde (en France).
Les montants versés à ces médias ont été dévoilés. Ainsi, la chaîne américaine CNN a touché 3 600 000 dollars du milliardaire américain. El Pais a touché 3 968 184 dollars; Le Monde aurait touché 4 014 512 dollars; la BBC a touché 3 668 657 dollars; Der Spiegel a touché 5 437 294 dollars. Le média The Guardian semble avoir remporté le gros lot : 12 951 391 dollars. Et la liste n’est pas exhaustive.
D’après la source, cet argent sert à couvrir des thématiques chères à Bill Gates. Par exemple, les 3 600 000 dollars qui ont été attribués à la chaîne CNN servent à couvrir des questions liées au genre et à la parité, avec un focus sur les pays en voie de développement.
RépondreSupprimerAprès avoir fourni des informations extrêmement détaillées sur les financements de Gates accordés aux médias, le site d’information MintPressNews explique à quel point cette mainmise sur les médias tue le journalisme, en imposant à la presse une seule ligne favorable au tout-puissant milliardaire américain.
Par ce système qui s’apparente clairement à de la corruption, l’image de Bill Gates est constamment redorée par les médias internationaux qui le présentent ainsi comme un véritable sauveur de la planète. Ses conflits d’intérêts et les graves scandales dans lesquels il est impliqué sont volontairement passés sous silence et ceux qui osent en parler risquent de le payer très cher.
Autrement dit, tout ce qui est défavorable à sa Majesté Gates est purement et simplement censuré.
https://lecourrier-du-soir.com/revelation-explosive-voici-la-liste-des-medias-qui-ont-touche-319-millions-de-bill-gates-pour-controler-nos-opinions-2/
Des personnes 'Très très riches' forment un nano-groupuscule planqué derrière les rideaux, seule une partie infinitésimale prend la parole en public. Mais comment peuvent-elles dire de si gros mensonges face à 8 milliards de terriens qui contestent les dire ? Les merdias vont jusqu'au bout du monde ! Inventent qu'une poignée de manifestants serait en réalité comptabilisé dans des dizaines de millions ! Et voila ! Le tour est joué ! Faire passer une micro-minorité pour une majorité voire grande majorité ! Les 'sondages' sont d'ailleurs là pour illustrer ces débilités. Faire croire. Avec le pognon on achète tout ! TOUT ! Même des tireurs d'élite !
SupprimerN'oubliez pas que les rois, présidents ou empereurs ne sont que des pions ! Ils reçoivent chaque jour des informations vraies ou fausses. Ils ne marchent pas dans la rue, ni ne rencontrent le Peuple comme en Démocratie (Suisse) et ne côtoient que des personnes qui sont là au Palais depuis DES décennies et qui ont vu passer grand nombre de rois, présidents ou empereurs !
Les Américains ne veulent pas d'une monnaie numérique de banque centrale ; Nouvelles découvertes de sondage
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 12 JUIN 2023 - 12:30
Écrit par Adam Dick via l'Institut Ron Paul,
Un sondage du Cato Institute indique que, alors qu'environ la moitié des Américains n'ont pas d'opinion quant à savoir si la Réserve fédérale devrait "commencer à proposer une monnaie numérique émise par le gouvernement, appelée" monnaie numérique de la banque centrale "(CBDC)", parmi ceux avec une opinion sur la question plus de deux fois plus - 34 % des participants au sondage - s'opposent à la perspective que la soutiennent - 16 %.
Ce résultat du sondage mené du 27 février au 8 mars en collaboration avec YouGov est prometteur pour les Américains préoccupés par la menace qu'une CBDC, que la Réserve fédérale et les grandes sociétés financières ont testée en vue de son introduction potentielle, fait peser sur la liberté et la vie privée. en Amérique.
Les résultats du sondage indiquent en outre que, si les Américains peuvent être informés des pouvoirs abusifs du gouvernement qu'une CBDC peut avancer, de nombreux Américains actuellement indécis quant à l'introduction d'une CBDC verront de bonnes raisons de s'y opposer. Emily Ekins et Jordan Gygi ont écrit dans leur article approfondi du Cato Institute du 31 mai concernant les résultats du sondage :
Des majorités écrasantes s'opposeraient à l'adoption d'une CBDC si cela signifiait que le gouvernement pourrait contrôler ce à quoi les gens dépensent leur argent (74 %), que le gouvernement pourrait surveiller leurs dépenses (68 %), qu'une CBDC abolirait tout l'argent américain (68 %), qu'une CBDC attirerait les cyberattaques (65 %), que le gouvernement pourrait imposer une taxe à ceux qui ne dépensent pas d'argent pendant les récessions (64 %), ou que le gouvernement pourrait geler les comptes bancaires numériques des manifestants politiques ( 59 %). Les Américains étaient légèrement opposés (52 %) si une CBDC pouvait amener certaines personnes à cesser d'utiliser les banques privées, entraînant la faillite de certaines banques.
Les candidats désormais à la deuxième place des primaires présidentielles républicaines et démocrates – Ron DeSantis et Robert F. Kennedy, Jr. – semblent appartenir au camp anti-CBDC.
Espérons que de plus en plus de politiciens se joindront à eux au cours des prochains mois pour se dresser contre cette menace posée par la Réserve fédérale et le gouvernement américain.
En attendant, il est également important que les Américains de tout le pays éduquent les personnes avec lesquelles ils entrent en contact sur les raisons pour lesquelles une CBDC en Amérique est inacceptable.
Le nouveau sondage du Cato Institute suggère que de nombreuses personnes seront réceptives à ce message.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/americans-dont-want-central-bank-digital-currency-new-poll-finds
Comment fonctionne l'industrie de la censure et comment nous pouvons l'arrêter
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
12 juin 2023
Dans cette vidéo, j'interviewe Mike Benz, directeur exécutif de la Foundation for Freedom Online. Benz a commencé comme avocat d'entreprise représentant des entreprises de technologie et de médias avant de rejoindre l'administration Trump, où il a travaillé comme rédacteur de discours pour le Dr Ben Carson, l'ancien secrétaire américain au logement et au développement urbain (HUD) et le président Trump.
Il a également conseillé sur la politique de développement économique. Il a ensuite rejoint le Département d'État en tant que sous-secrétaire adjoint aux communications internationales et aux technologies de l'information. Là, il dirigeait les cyber-bureaux de l'État, c'est-à-dire tout ce qui concernait Internet et la politique étrangère.
"C'est vers la fin de 2020, qui a été une période vraiment fascinante pour assister à la fusion, à bien des égards, des grands gouvernements et des grandes entreprises technologiques elles-mêmes", dit-il. "J'avais grandi, je pense, comme beaucoup d'Américains, avec la conviction que le premier amendement vous protégeait contre la censure gouvernementale.
Les conditions d'engagement dont nous avions bénéficié depuis 1991, date du déploiement du web mondial, jusqu'en 2016, l'élection aux États-Unis et le Brexit au Royaume-Uni, qui est, en réalité, le premier événement politique où l'élection a été déterminée, à bien des égards , par momentum sur internet.
Il y a eu cette période dorée de 25 ans où l'idée d'être censuré par une entreprise du secteur privé, sans parler du gouvernement, était considérée comme quelque chose, pour moi, très profondément anathème pour l'expérience américaine.
Ce dont j'ai été témoin au Département d'État - parce que j'étais au bureau, en gros, que Google et Facebook appelaient lorsqu'ils voulaient des faveurs à l'étranger, lorsqu'ils voulaient la protection américaine ou des politiques américaines pour préserver leur domination en Europe, en Asie ou en Amérique latine Amérique.
Et le gouvernement américain rendait service à ces entreprises technologiques tandis que les entreprises technologiques censuraient les personnes qui votaient pour le gouvernement. C'était une trahison complète de tout contrat social qui sous-tend généralement le partenariat public-privé.
RépondreSupprimerL'Internet a été fondé par l'État de la sécurité nationale
Apparemment, l'expansion rapide de la censure a commencé après 2016, mais vous pouvez faire valoir qu'Internet n'a jamais été destiné à rester libre pour toujours. Au contraire, l'intention de l'utiliser comme un outil totalitaire était probablement ancrée dès le début lorsque l'État de sécurité nationale l'a fondé en 1968.
Le Web mondial, qui est l'interface utilisateur, a été lancé en 1991, et je soupçonne que l'Internet public a été ensemencé et autorisé à se développer afin de capturer et de tirer le meilleur parti de la population qui en dépend, sachant que ce serait le l'outil d'ingénierie sociale le plus efficace jamais conçu. Benz commente :
"Je suis tout à fait d'accord... Beaucoup de gens, en essayant de comprendre ce qui se passe avec la censure du net, disent 'Nous avions cet Internet gratuit, et puis tout à coup il y a eu cet âge de la censure et l'État de la sécurité nationale s'est impliqué du côté de la censure. '
Mais lorsque vous retracez l'histoire, la liberté sur Internet elle-même était en fait un impératif de sécurité nationale. Internet lui-même est le produit d'une nécessité contre-insurrectionnelle du Pentagone pour gérer l'information dans les années 1960, en particulier pour agréger les données des sciences sociales. Et puis, il a été privatisé.
Ouvert à tous les acteurs du secteur privé, il a été transféré de la DARPA [l'Agence des projets de recherche avancée pour la défense] à la National Science Foundation, puis est passé par une série d'universités du côté des infrastructures.
Et puis, dès le départ en 1991, vous avez eu la fin de la guerre froide, et puis simultanément, vous avez eu cette profusion de technologies de liberté sur Internet financées par le Pentagone. Vous aviez des choses comme les VPN, le chat crypté, TOR.
Toutes les premières technologies de liberté sur Internet des années 90 ont été financées par le Pentagone, le Département d'État et développées par la communauté du renseignement, principalement, comme moyen d'utiliser la liberté sur Internet pour aider les groupes dissidents dans les pays étrangers à pouvoir développer une politique pro-américaine. tête de pont, parce que c'était un moyen d'échapper aux médias contrôlés par l'État.
RépondreSupprimerC'était, fondamentalement, un outil d'insurrection pour le gouvernement américain, de la même manière que Voice of America et Radio Free Liberty, et Radio Free Europe étaient des outils de la CIA pendant la guerre froide, pour transmettre, fondamentalement, des pro-États-Unis. contenu aux populations de pays étrangers afin de les orienter vers les intérêts américains. C'était une façon de gérer l'empire mondial.
Internet servait le même objectif, et cela ne pourrait pas être fait si cela s'appelait une opération du Pentagone, une opération du Département d'État ou de la CIA. Mais toutes les entreprises technologiques elles-mêmes en sont le produit. Google a commencé comme une subvention DARPA qui a été obtenue à Stanford par Sergey Brin et Larry Page.
En 1995, ils faisaient partie du programme massif de données numériques de la CIA et de la NSA [National Security Agency’s]. Ils avaient leurs réunions mensuelles avec leurs conseillers de la CIA et de la NSA pour ce programme, où l'objectif déclaré était que la CIA et la NSA soient en mesure de cartographier en ligne les soi-disant « Oiseaux d'une plume »… afin qu'ils puissent être neutralisés.
Comment tout a commencé
Comme l'a noté Benz, l'idée de demander à la communauté du renseignement de cartographier les communautés politiques "Birds of a Feather" afin de les mobiliser ou de les neutraliser était (et est toujours) justifiée au nom du contre-terrorisme. De nos jours, comme nous l'avons vu pendant la pandémie, il est utilisé pour contrôler le discours public, supprimer la vérité et promouvoir des angles de propagande.
La technologie utilisée pour contrôler le discours public est une technique d'intelligence artificielle (IA) appelée traitement du langage naturel (TAL). C'est une façon d'agréger tous ceux qui croient en une certaine chose en ligne dans des bases de données communautaires en fonction des mots qu'ils utilisent, des hashtags, des slogans et des images.
"Des récits émergents, toutes sortes d'affiliations de métadonnées, tout cela peut être agrégé pour créer une carte topographique du réseau de ce en quoi vous croyez et à qui vous êtes associé, afin que tout puisse être rejeté de manière rapide, précise et complète par les équipes de modération de contenu, car ce sont tous des oiseaux de la même plume », explique Benz.
RépondreSupprimer«Le fait que cela soit né de l'État de la sécurité nationale des États-Unis, qui dirige le spectacle, aujourd'hui, me dit essentiellement qu'il y a une continuité entre la liberté d'Internet et la censure d'Internet. Ils sont simplement passés d'un côté à l'autre de l'échiquier.
Qu'est-ce que l'état de la sécurité nationale ?
Pour plus de clarté, lorsque Benz parle de «l'État de sécurité nationale», il fait référence aux institutions qui maintiennent l'ordre international fondé sur des règles. Au niveau national, cela inclut le Pentagone, le Département d'État, le Département de la sécurité intérieure (DHS), certains aspects du Département de la justice (DOJ) et les 17 agences de renseignement.
Parmi ceux-ci, le Pentagone, le Département d'État et la communauté du renseignement (IC) sont les trois principaux qui gèrent l'empire mondial américain depuis les années 1940. Aucun d'entre eux n'est censé être en mesure d'opérer au niveau national, mais dans un sens, leur pouvoir s'est tellement étendu qu'ils contrôlent essentiellement les affaires intérieures.
Comme l'a expliqué Benz, le Pentagone, le Département d'État et IC ne sont pas censés pouvoir opérer au niveau national. "Mais dans un sens, ils contrôlent vraiment les affaires intérieures, parce que leur pouvoir s'est tellement étendu qu'ils ont développé un appareil de blanchiment extraordinaire pour pouvoir financer des institutions internationales qui ensuite boomerang chez eux et contrôler efficacement une grande partie des affaires politiques intérieures, y compris discours sur Internet.
Quant à la CIA, elle a été créée en 1947 en vertu du National Security Act. Il a été créé comme un mécanisme de cape et d'épée, pour faire des choses que le Département d'État voulait faire mais ne pouvait pas se faire prendre en raison des répercussions diplomatiques - des choses comme le trucage des élections, les assassinats, le contrôle des médias, la corruption et d'autres tactiques de subversion.
La naissance de la guerre hybride
Benz poursuit son explication sur comment et pourquoi la censure sur Internet a émergé quand elle l'a fait :
"Donc, il y a l'État de sécurité nationale des États-Unis, puis il y a l'État transatlantique impliquant l'OTAN. L'histoire de l'implication du gouvernement occidental dans la censure d'Internet a vraiment commencé après l'annexion de la Crimée en 2014, qui a été la plus grande humiliation de politique étrangère de l'ère Obama.
L'école de politique étrangère d'Atlanta a été profondément enflammée par cet événement et a blâmé le fait qu'il y avait ces entités dissidentes soutenant la Russie dans l'est de l'Ukraine et en Crimée sur un échec à pénétrer leurs médias, et cette idée que les cœurs et les esprits étaient basculés vers la Russie côté à cause du contenu pro-russe en ligne.
RépondreSupprimerL'OTAN a alors déclaré cette doctrine de la guerre dite hybride - cette idée que la Russie avait gagné la Crimée non pas par une annexion militaire, mais en gagnant, illicitement dans un sens, les cœurs et les esprits des Crimés grâce à l'utilisation de leur propagande. Et la doctrine de la guerre hybride, née en 2014, était cette idée que la guerre n'était plus une chose cinétique.
Il n'y avait pas eu de guerre cinétique en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale. Au lieu de cela, il s'était déplacé sous-kinétique dans les cœurs et les esprits des gens. En fait, l'OTAN a annoncé une doctrine après 2014 intitulée "Des chars aux tweets", dans laquelle elle a déplacé son attention, explicitement, de la guerre cinétique vers les opinions des médias sociaux en ligne.
Le Brexit, qui s'est produit en juin 2016… a également été imputé à l'influence russe. Et donc toutes ces institutions qui ont plaidé pour le contrôle d'Internet en Europe de l'Est ont dit : "Eh bien, cela doit venir maintenant". Maintenant, c'est une chose dans toute l'Europe.
Lorsque Trump a ensuite été élu cinq mois plus tard, envisageant explicitement l'éclatement de l'OTAN, l'enfer s'est déchaîné. Cette idée que nous devons censurer Internet est passée de quelque chose de délicat et de nouveau, de l'avis des chefs du Pentagone et du Département d'État, à quelque chose de totalement essentiel pour sauver l'ensemble de l'ordre international fondé sur des règles qui est sorti du monde. Seconde guerre.
À l'époque, le raisonnement était que le Brexit, au Royaume-Uni, allait donner lieu à Frexit, en France, avec Marine Le Pen et son mouvement là-bas. Matteo Salvini allait provoquer l'Italexit en Italie, il y aurait le Grexit en Grèce, le Spexit en Espagne, et toute l'Union européenne se défait, simplement parce que ces partis populistes de droite voteraient naturellement pour accéder au pouvoir politique.
Ils voteraient pour des politiques énergétiques bon marché de la classe ouvrière qui les rapprocheraient naturellement de la Russie, en raison des prix du pétrole moins chers ou du gaz moins cher. Puis, tout à coup, vous n'avez pas d'UE, vous n'avez pas d'OTAN, et puis, vous n'avez pas d'alliance militaire occidentale.
Donc, à partir de ce moment, après l'élection de Trump, immédiatement, il y a eu cette tournée diplomatique par des responsables du département d'État américain, qui pensaient tous qu'ils obtenaient des promotions en novembre 2016. Ils pensaient qu'ils allaient être promus du département d'État à la sécurité nationale. Conseil. Il s'avère qu'ils ont tous été virés, car quelqu'un avec 5 % de chances de gagner a fini par gagner ce jour-là.
RépondreSupprimerDonc, ils ont pris leurs relations internationales, leurs réseaux internationaux autour du Conseil d'Atlanta, du Conseil des relations étrangères, de tout le groupe de réflexion, de la soupe d'ONG quasi-renseignement, quasi-militaire, financée par le gouvernement, et ils ont fait cette tournée internationale, à partir de Janvier 2017, pour convaincre les pays européens de commencer à censurer leur internet…
De cela est sorti NetzDG [Netzwerkdurchsetzungsgesetz, la loi sur l'application des réseaux] en Allemagne, qui a introduit la nécessité d'une censure des médias sociaux basée sur l'intelligence artificielle.
Tout cela était, essentiellement, dirigé par ce réseau de gens du Département d'État et du Pentagone qui ont ensuite utilisé leurs propres gens internes au gouvernement pour obtenir des subventions et des contrats gouvernementaux avec ces mêmes entités. Finalement, ils se sont tous tournés vers ces entreprises technologiques pour définir également les politiques.
Menace de l'intérieur
Donc, pour résumer, l'infrastructure de la censure mondiale d'Internet a été en grande partie établie par des vétérans de l'IC qui ont été expulsés par l'administration Trump, et cette infrastructure a ensuite été utilisée pour catalyser la réponse de censure internationale pendant COVID fin 2019, début 2020. Benz poursuit :
"Droite. Et ces anciens combattants n'étaient pas seuls. L'histoire complète n'est pas seulement l'état de sécurité fantôme et l'exil. Le fait est ceci. L'administration Trump n'a jamais eu le contrôle de son propre département de la défense, du département d'État ou de la communauté du renseignement.
C'est la communauté du renseignement qui, essentiellement, a conduit sa première mise en accusation, qui a conduit une enquête spéciale du procureur de deux ans et demi qui a réuni 12 à 20 des plus proches associés de Trump. Vous aviez là-bas un chef d'état-major qui cachait les personnalités militaires du gouvernement. Les carrières à l'État menaçaient les élus politiques de l'intérieur. J'ai vécu ça moi-même.
Cet aspect permanent de Washington, avec des carrières indestructibles en haut lieu, combiné à une guerre de territoire au sein du GOP [Parti républicain] entre la droite populiste et la droite néo-conservatrice, la droite néo-conservatrice ayant de nombreux républicains bien placés dans le Le département de la Défense, le département d'État, en IC, pour contrecarrer l'agenda du précédent président là-bas, ont permis à ce réseau politique et à l'exil, du côté de la censure, de travailler avec leurs alliés au sein du gouvernement pour créer ces têtes de pont de la censure.
RépondreSupprimerAinsi, par exemple, c'est ainsi qu'ils ont créé le… premier bureau de censure gouvernemental permanent du Département de la sécurité intérieure sous la forme de cette entité appelée CISA [la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency, fondée en novembre 2018], qui est censée être juste une cybersécurité entité.
Cela a été fait en raison du blanchiment par la communauté des médias et du renseignement d'une affirmation jamais fondée selon laquelle la Russie aurait potentiellement piraté les élections de 2016, piraté les machines électorales ou les logiciels de vote, ou pourrait être en mesure de le faire à l'avenir, et nous avons donc besoin d'un solide une unité DHS armée jusqu'aux dents pour protéger notre cybersécurité des Russes.
C'est le fluage de la mission du siècle. Après la fin de l'enquête Mueller en juin 2019, cette unité, CISA, au sein du DHS [Department of Homeland Security] - qui avait mis en place tout cela, et qui n'est censée faire que de la cybersécurité - a dit "Eh bien, si vous plissez les yeux et regardez cela, le discours en ligne est une menace pour la cybersécurité, car s'il sape la foi ou la confiance du public dans nos élections, et qu'il se fait en utilisant un cyber-lien, c'est-à-dire une publication sur les réseaux sociaux, alors c'est une forme de menace pour la cybersécurité, car la démocratie est essentielle à notre sécurité. '
Et donc vous êtes passé de cette mission de cybersécurité à un bureau de cybercensure, parce que si vous tweetiez quelque chose sur les bulletins de vote par correspondance lors des élections de 2020, cela était considéré comme une cyberattaque contre des infrastructures critiques, c'est-à-dire les élections.
Quand ils s'en sont sortis en 2020, le DHS a alors dit: "Eh bien, si vous plissez les yeux et regardez-le, la santé publique est également une infrastructure essentielle." Alors, maintenant, le DHS peut ordonner aux entreprises de médias sociaux de censurer les opinions sur COVID-19 .
Ensuite, ils se sont efforcés de dire la même chose à propos des systèmes financiers, des services financiers, de la guerre en Ukraine, de l'immigration. C'est arrivé au point où, fin 2022, le chef de CISA a déclaré que l'infrastructure cognitive est une infrastructure critique.
Les fissures ne sont apparues qu'après que les républicains ont obtenu la majorité à la Chambre des représentants en novembre 2022 et qu'Elon Musk a acquis Twitter. Le soutien public au gouvernement a également diminué lorsque la publication par Musk des fichiers Twitter a révélé l'étendue de l'implication du gouvernement dans la censure des Américains.
RépondreSupprimerJusqu'à présent, cependant, la sensibilisation du public n'a rien changé. Les entités mêmes qui défendaient autrefois la liberté d'Internet, comme la National Science Foundation, continuent de financer et de promouvoir activement les activités de censure du gouvernement.
L'IA donne aux censeurs des pouvoirs divins
Benz a été "saisi par les enjeux de ce qui se passait sur Internet" pour la première fois en août 2016, après avoir lu une série d'articles traitant de l'utilisation de la PNL pour surveiller, surveiller et réglementer la diffusion d'informations sur les réseaux sociaux en fonction des mots utilisés.
"La DARPA a fourni des dizaines de millions de dollars de financement pour ce traitement du langage, cette capacité de segmentation du langage de l'IA afin, apparemment, d'empêcher ISIS de recruter sur Facebook et Twitter", a déclaré Benz.
« Dans le cadre du prédicat pour mettre des bottes militaires sur le terrain en Syrie, on a beaucoup parlé de l'arrivée de l'EI aux États-Unis, et ils recrutaient sur Facebook et Twitter. Et donc le Pentagone, la DARPA et l'IC ont développé cette capacité de logiciel espion linguistique pour cartographier la dialectique de la façon dont les sympathisants de l'Etat islamique parlent en ligne, les mots qu'ils utilisent, les images qu'ils partagent, les préfixes, les suffixes, toutes les différentes connexions communautaires.
Et puis, j'ai vu que cela était fait à des fins de contrôle politique intérieur au lieu de contre-terrorisme étranger, et du pouvoir dont il dispose. C'est ce qui a totalement changé Internet pour toujours. Avant 2016, il n'y avait pas la capacité technologique de procéder à une censure de masse des médias sociaux. C'était l'époque de ce que les initiés de la censure aiment appeler l'ère du taupe. La censure était réactive.
Cela a été fait par le forum, par des modérateurs, essentiellement. Tout devait être signalé manuellement avant de pouvoir être supprimé, ce qui signifiait que des millions de personnes l'avaient déjà vu, ou qu'il était déjà devenu viral, qu'il avait déjà fait ses dégâts, pour ainsi dire, et que vous coupiez simplement le backend avec un acte de censure.
Vous ne pourriez jamais avoir un appareil de contrôle permanent dans ce cadre, car il y aurait toujours un avantage de premier arrivé à celui qui l'afficherait. Ce que les percées technologiques de la censure de l'IA ont permis après 2016 était une sorte d'arme nucléaire, si vous voulez, du côté de la censure, pour pouvoir mettre fin à la guerre immédiatement.
Vous n'avez pas besoin d'une armée permanente de 100 000 personnes pour censurer COVID. Vous avez besoin d'un bon développeur, travaillant avec un spécialiste des sciences sociales maniaque qui passe toute sa vie à cartographier ce que dit le Dr Mercola en ligne, et ce dont il parle cette semaine, ce que disent ses followers, ce qu'ils disent à propos de ce médicament, ou quoi ils disent à propos de ce vaccin, ou ce qu'ils disent à propos de cette institution.
Tout cela peut être catalogué dans un lexique de la façon dont vous parlez. Et puis, toutes ces discussions peuvent simplement être réduites à zéro. En même temps, ils peuvent super amplifier le langage qu'ils font eux-mêmes. Cela donne donc un contrôle divin à une infime, infime, infime minorité de personnes qui peuvent ensuite l'utiliser pour contrôler le discours de toute la population.
RépondreSupprimerCe qui est aussi si terrifiant à propos de l'implication de l'État de la sécurité nationale dans ce domaine, c'est que lorsqu'ils ont découvert le pouvoir de cela à la mi-2018, ils ont commencé à le déployer dans tous les autres pays du monde à des fins de contrôle politique là-bas – au bureau du Ghana , au bureau de l'Équateur, en Asie du Sud-Est, dans toute l'Europe.
Peut-on sortir de l'emprise de la censure ?
Au moment d'écrire ces lignes, nous sommes dans une accalmie. La pandémie de COVID a été déclarée au-delà du conflit russo-ukrainien, il n'y a pas de crises politiques majeures en cours qui justifient une forte censure. Cependant, les réseaux et les technologies de suppression radicale sont déjà en place et peuvent être activés à tout moment.
Nous avons également vu récemment à quel point il est facile pour les médias alternatifs d'être infiltrés et renversés, donc le fait qu'il existe des plateformes alternatives ne garantit pas que les futurs efforts de censure échoueront.
"Il y a tellement de vecteurs de menace", dit Benz. «Il y a beaucoup de questions sur ce qui se passe, par exemple, chez Project Veritas, avec la rapidité avec laquelle il a évincé James O’Keefe après avoir publié la vidéo la plus virale de tous les temps, sur Pfizer. C'est environ une semaine plus tard - après leur plus grande réalisation, peut-être, qu'il a été totalement renversé.
Une chose similaire s'est produite avec Fox News avec [le licenciement de] Tucker Carlson, l'animateur de télévision par câble le plus populaire du pays – le gars qui obtient trois fois plus d'audience simultanée que CNN, à l'opposé. Les institutions peuvent absolument être pénétrées et cooptées lorsqu'une pression suffisante est appliquée.
Attaque de flanc transatlantique 2.0 en cours
Comme mentionné précédemment, la censure américaine a vraiment commencé avec l'OTAN. Benz appelle cela l'attaque de flanc transatlantique. Fondamentalement, lorsque les services de renseignement américains veulent avoir un impact sur Internet au niveau national, ils travaillent d'abord avec leurs partenaires européens pour adopter d'abord des changements réglementaires en Europe. Cela finit par se répandre sur le marché américain, et l'IC semble n'avoir rien à voir avec cela.
La première attaque de flanc transatlantique a eu lieu début 2017 avec le NetzDG. Nous sommes à nouveau la cible d'attaques transatlantiques, par le biais de la loi sur les marchés numériques. Cette loi, dit Benz, rendra très difficile pour Rumble et d'autres plateformes de liberté d'expression de maintenir cette posture pendant la prochaine pandémie. Une fois ces plateformes contraintes de se conformer au Digital Markets Act côté européen, les changements se feront sentir partout.
RépondreSupprimerCause d'un optimisme prudent
Alors que Benz garde l'espoir que des solutions à la censure mondiale se présenteront, il reconnaît toujours que les forces en jeu sont énormes et que les risques sont élevés.
"C'est l'une de ces choses où plus vous voyez ce à quoi nous sommes confrontés, plus cela donne à réfléchir. Je pense qu'il faut garder espoir pour garder l'énergie, pour maintenir l'élan. Avec l'élan, des choses étranges peuvent se produire, même si vous n'êtes pas censé gagner. Des choses étranges se cassent, prennent une vie propre ou refont surface.
Toutes les petites faiblesses du système sont testées, simplement par un élan ici et là. Par exemple, l'acquisition de Twitter par Elon Musk est probablement la raison pour laquelle le GOP a surmonté l'obstacle en menant toutes ces enquêtes du Congrès sur le rôle du gouvernement dans la censure.
Ils avaient l'impression d'avoir un allié sur Twitter, qu'ils avaient le soutien d'un milliardaire. Il y avait une chute d'eau, un impact en cascade. Donc, j'ai bon espoir. Le DHS est actuellement en fuite. Ils ont purgé leur site Web de toutes leurs opérations de censure nationales qu'ils ont répertoriées et dont ils étaient fiers et bruyants pendant deux années entières après la catastrophe du conseil de gouvernance de la désinformation en avril 2022.
Ils avaient déjà un ministère de la Vérité au DHS. Ils ont juste donné à un conseil hypothétique le mauvais nom. Ils ne l'appelaient pas le CISA. Ils ont fait l'erreur de l'appeler par le bon nom, et c'est ce qui a mis fin à tout le soutien politique à l'appareil sous-jacent.
Ainsi, l'importance d'un nom orwellien est essentielle pour maintenir le soutien politique. Mais je suppose que ce que j'essaie de dire, c'est que j'ai bon espoir et que je suis honoré de faire partie de cette flotte rebelle de gens qui essaient de s'attaquer à l'empire derrière la situation de censure.
Mais après avoir vu, dans tant d'itérations, la boîte à outils qu'ils utilisent, c'est une boîte à outils de torture médiévale qui peut faire des choses étranges. La pression peut faire des choses étranges, même à des gens formidables. Et donc je suis prudemment optimiste.
La dorsale Internet essentielle n'est pas politiquement neutre
À mon avis, la décentralisation d'Internet est une innovation clé qui pourrait briser l'emprise de la censure. Cela dit, d'autres aspects, comme la cybersécurité, doivent également être réinventés.
CloudFlare, par exemple, un service de diffusion de contenu et de cybersécurité dans le cloud, contrôle essentiellement Internet car il protège les entreprises et les plates-formes en ligne contre les pirates utilisant des attaques par déni de service (DoS). Sans cela, vous ne pouvez pas survivre en ligne si vous êtes une grande entreprise. Même avec un Internet décentralisé, CloudFlare pourrait toujours être en mesure d'exercer un contrôle en laissant les sites ouverts aux attaques DDoS (déni de service distribué).
Fait troublant, CloudFlare est devenu politique pour la première fois après 2016, lorsqu'il a décidé de supprimer la protection d'un site appelé Kiwi Farms, qui exprimait des opinions anti-transgenres. En conséquence, le site a dû migrer vers un serveur russe pour se remettre en ligne.
RépondreSupprimerFondamentalement, les citoyens américains ont dû rechercher la liberté d'Internet en Russie parce que leur architecture ne pouvait pas être prise en charge aux États-Unis – tout cela parce qu'un réseau fédérateur d'Internet intégré au gouvernement a pris une décision politique, probablement à la demande de l'IC.
"S'il y a une autre pandémie, par exemple, et qu'il y a une pression pour certaines interventions médicales ou des contre-mesures que certains sites n'acceptent pas, le CloudFlare, absolument, pourrait être une arme à cet égard", déclare Benz.
«L'une des choses que j'ai trouvées si troublantes est que la CISA, cette agence de censure du DHS, après les élections de 2020, a mis en place un sous-comité de liaison avec le secteur privé pour les politiques de mésinformation et de désinformation dans le secteur privé. C'était un sous-comité de sept personnes, avec tous les meilleurs experts en censure de l'Université de Washington et de Stanford.
Vijaya Gadde, l'ancien responsable de la censure chez Twitter, faisait partie de ce conseil. J'ai pensé qu'il était très troublant que le PDG de CloudFlare soit également l'une des sept personnes du conseil de censure du DHS.
Principaux défis d'un Internet décentralisé
Benz continue :
«Pour passer aux différents défis d'un Internet décentralisé, lorsque vous montez dans la pile de censure… ils peuvent passer aux serveurs cloud, aux processeurs de paiement et même à des choses comme CloudFlare et la protection de votre infrastructure.
Au début de la censure, les partisans de la censure ont réfuté le fait que si vous n'aimez pas ce que font les entreprises du secteur privé, créez vos propres entreprises de médias sociaux. Créez votre propre Google, créez votre propre YouTube, créez votre propre Facebook, créez votre propre Twitter.
Et puis, ce qui a commencé à se produire alors que la censure est devenue complètement folle, quand elle est passée de troublante à dérangeante, à saturante… vous avez commencé à voir ces plateformes de médias sociaux alternatives comme Gab et Parler… qui ont tenté d'échapper aux politiques de modération de contenu avec Big Tech . Mais ce qui a commencé à se produire, c'est que ces entreprises de médias sociaux, comme Parler, ont été complètement détruites.
Parler a été retiré de la plate-forme, essentiellement, de tout Internet, lorsque le président venait de s'y installer, après avoir été expulsé de Twitter. Ce fut un moment très instructif, et un moment sur lequel les initiés de la censure ont réfléchi, je devrais dire, à plusieurs reprises, comme un moment de « aurions-nous dû faire cela ? » Nous l'avons fait, mais cela nous coûte beaucoup de capital politique.
Parler a été viré d'Amazon Web Services. Ils ont été expulsés de toutes les banques. Ils ont été bannis des fournisseurs de messagerie. Ils ne pouvaient pas se connecter à Internet, essentiellement, pour conserver la possibilité d'y publier quoi que ce soit. Ainsi, il est passé de créer votre propre entreprise de médias sociaux à créer votre propre banque.
Vous devez maintenant créer votre propre banque et obtenir une licence bancaire pour les processeurs de paiement. Vous devez créer votre propre distribution de courrier électronique. Vous devez créer vos propres serveurs cloud.
RépondreSupprimerVous devez créer vos propres fournisseurs de services logiciels. Et, éventuellement, aurez-vous besoin de poser vos propres câbles sous-marins à travers les océans Atlantique et Pacifique ? Les entreprises de médias sociaux n'ont pas inventé Internet. Ils se superposent aux infrastructures du Pentagone.
La Chambre doit définancer l'industrie de la censure
Sans aucun doute, il y aura une autre crise, qu'il s'agisse d'une autre pandémie ou d'une guerre ou autre chose, qui remettra à nouveau la machine de la censure à plein régime. En ce moment, nous sommes dans une accalmie, c'est donc le moment de penser à l'avenir et de se préparer. La question est, que pouvons-nous faire ? Comment se prépare-t-on et se défend-il ?
Selon Benz, l'une des stratégies les plus efficaces qui aurait un effet immédiat, et pourrait être mise en œuvre dès maintenant, serait de priver l'industrie de la censure de son financement gouvernemental. Il explique:
« En ce moment, il y a une maison contrôlée par les républicains. L'avantage de la Chambre, c'est qu'elle contrôle les crédits, les cordons de la bourse du gouvernement fédéral. Si le House Appropriations Committee prenait au sérieux la subvention gouvernementale des réseaux de censure dans le secteur privé, vous pourriez définancer la police de la parole, même si, du côté de l'IA, il suffit d'un bon codeur pour pouvoir sortir toute une philosophie politique.
Le fait est qu'ils ne peuvent faire ce travail que grâce à une armée de spécialistes des sciences sociales dans 45 collèges et universités américains différents qui sont payés. Des dizaines de milliers d'entre eux sont payés par la National Science Foundation, par le biais de subventions de la DARPA et du Département d'État, pour cartographier les communautés en ligne dans le cadre des sciences sociales, puis les fournir à l'informaticien pour qu'il les censure.
Ma fondation, la Foundation for Freedom Online, a détaillé 100 millions de dollars, rien qu'au cours des 18 derniers mois, qui sont passés directement des institutions du gouvernement fédéral aux initiés de la censure des médias sociaux. La censure n'est plus un acte, c'est une industrie, et vous pouvez paralyser leur renforcement des capacités.
Lorsque vous pompez plein d'argent, vous passez de quelques personnes à des dizaines de milliers de personnes. La capacité de censure repose sur l'infrastructure d'une industrie qui compte sur le gouvernement pour la payer, et qui compte sur le gouvernement pour diriger leur pénétration dans les institutions.
À l'heure actuelle, il existe environ huit comités du Congrès différents qui tentent de résoudre ce problème sous différents aspects. J'ai personnellement informé huit comités du Congrès différents… Mais seuls quelques-uns de ces comités le prennent suffisamment au sérieux pour approfondir la question, et où cela va secouer reste incertain.
Les institutions gouvernementales, qui assurent le financement et la coordination
RépondreSupprimerInstitutions du secteur privé qui censurent et consacrent des fonds à la censure par le biais de programmes de responsabilité sociale des entreprises
Les institutions de la société civile (universités, ONG, universités, fondations, organisations à but non lucratif et militants) qui effectuent la recherche, l'espionnage et la collecte de données qui sont ensuite transmises au secteur privé pour censure
Médias d'information/institutions de vérification des faits, qui font pression sur les institutions, les plateformes et les entreprises pour qu'elles se conforment aux exigences de censure
Ce que fait la Fondation pour la liberté en ligne, c'est éduquer les gens sur cette structure et sur les manières dont les législatures et le gouvernement peuvent être restructurés, comment les institutions de la société civile peuvent être établies et comment les médias d'information peuvent être créés pour soutenir et promouvoir la liberté plutôt que la censure.
Pour en savoir plus, assurez-vous de consulter foundationforfreedomonline.com. Vous pouvez également suivre son compte Twitter très actif Benz sur Twitter.
This originally appeared on Mercola.com.
https://www.lewrockwell.com/2023/06/joseph-mercola/how-the-censorship-industry-works-and-how-we-can-stop-it/
Avant, un homme sur une estrade face à foule s'entendait crier "Parle plus fort ! On entend rien !"
SupprimerPuis sont arrivés les porte-voies, les micro et hauts-parleurs puis l'Internet.
Dialoguer d'un pays à l'autre se fait avec un traducteur, par exemple "Je viendrais ce soir" en "I will come tonight". Puis arriva l''intelligence artificielle' où la phrase "Je viendrais ce soir" peut être traduite par "Sorry, but I can't come tonight" ! "Mais... ma chère amie je ne te comprends pas", réponse: "Shit !"
C'est toute l'importance des dialogues écrits et même... vocaux ! puisque l'IA peut contrefaire une voix. C'est ainsi que les personnes 'au bout du monde' seront donc abandonnées !
Tourisme : Quel avenir pour le secteur mondial ?
RépondreSupprimerL’industrie du tourisme, un secteur dynamique et vital, joue un rôle clé dans l’économie mondiale, contribuant environ 10 % au PIB global et générant des millions d’emplois. En raison de facteurs tels que l’augmentation du pouvoir d’achat et l’expansion des classes moyennes, le secteur a connu une croissance spectaculaire, attirant plus d’un milliard de touristes internationaux en 2018. Cependant, avec des impacts négatifs sur l’environnement et la culture locale, l’importance d’un tourisme durable et responsable est désormais au centre des préoccupations. L’industrie continue d’évoluer, s’adaptant aux nouvelles technologies et répondant aux nouvelles demandes des voyageurs, comme l’émergence de nouvelles formes d’hébergement et la personnalisation des expériences de voyage.
Par Rédaction
le 10 juin 2023 à 19h00
Un pilier de l'économie mondiale
Le tourisme est un secteur clé de l'économie mondiale, faisant partie des industries les plus importantes et les plus dynamiques. Il contribue largement au PIB mondial, représentant environ 10% de celui-ci. En 2018, il a également généré pas moins de 319 millions d'emplois dans le monde. Ces chiffres démontrent l'importance cruciale de ce secteur pour les économies nationales de différents pays.
De plus, le secteur a connu une croissance considérable ces dernières années, avec un total de 1,4 milliard de touristes internationaux en 2018. Cette croissance rapide s'explique en partie par l'augmentation du pouvoir d'achat des voyageurs, l'élargissement des classes moyennes mondiales et la démocratisation des voyages.
Les enjeux du tourisme
Le tourisme de loisirs représente près de 80% de tous les voyages internationaux, suivi par le tourisme d'affaires et le tourisme de conventions. Les destinations les plus prisées par les touristes internationaux sont toujours les mêmes, à savoir la France, l'Espagne, les États-Unis, la Chine et l'Italie.
Cependant, le tourisme engendre également des impacts négatifs sur l'environnement et la culture locale. Des mesures sont donc nécessaires pour le promouvoir de façon durable et responsable. Le tourisme de santé et de bien-être est également une préoccupation majeure, représentant une part importante du marché du tourisme mondial.
Les perspectives
L'industrie continue de se transformer grâce aux technologies numériques. De nos jours, les voyageurs planifient et réservent leurs voyages en ligne, et ont accès à des informations approfondies sur les destinations avant leur départ. Les plateformes de réservation en ligne comme Booking.com, Expedia ou TripAdvisor ont révolutionné l'industrie du voyage, offrant aux voyageurs de nouvelles opportunités pour personnaliser leur voyage.
Par ailleurs, l'hébergement touristique est également en évolution, avec l'émergence de nouvelles formes d'hébergement comme les locations de vacances et les chambres d'hôtes, qui offrent une alternative intéressante aux hôtels traditionnels. Le tourisme peut également jouer un rôle important dans la promotion de la diversité et de l'acceptation culturelle.
https://www.economiematin.fr/tourisme-voyage-monde-enjeux
L'enjeu de l'avenir du tourisme est... mal en point !
SupprimerL'arrivée du 'pass-sanitaire' va empêcher les terriens de se déplacer et d'apprendre !
Web immersif : et si nous ressentions Internet ?
RépondreSupprimerL’adoption croissante des technologies immersives transforme les interactions humaines et redéfinit la frontière entre le réel et le virtuel, mais cela mérite une réflexion approfondie sur la sécurité et l’éthique.
le 11 juin 2023
The Conversation
Par Ahmed Azough.
Si, aujourd’hui, nous sommes habitués à surfer sur Internet, partie émergée d’un énorme iceberg de données interconnectées, les évolutions technologiques récentes devraient bientôt nous permettre de nous immerger dans cet océan bouillonnant de big data.
L’immersion vise à procurer à l’utilisateur un sentiment de présence en utilisant des technologies de captation et restitution sensorielle : l’utilisateur se sent transporté dans l’environnement digital créé par des technologies numériques, à tel point qu’il ressent ces objets numériques virtuels comme faisant partie de sa réalité.
De leur côté, les systèmes numériques détectent et interprètent de mieux en mieux les comportements et les émotions de leurs interlocuteurs, à tel point que l’humain a l’impression que ce système est conscient de sa présence et interagit volontairement.
Les films Matrix et plus récemment Ready Player One reflètent bien cette idée : s’interposer entre les récepteurs sensoriels de l’homme et la réalité afin de créer un monde nouveau, que l’on appelle parfois le « métaverse ». Ce concept est déjà utilisé depuis plusieurs années pour les simulateurs d’aviation ou de conduite, ou pour des parcs de loisirs (L’Extraordinaire Voyage au Futuroscope par exemple).
Le web immersif fait suite à trois générations du web : du web 1.0 statique qui ressemble à une « vitrine » d’affichage, au web 2.0 participatif qui intègre les utilisateurs dans la création du contenu, et au web 3.0 dit « sémantique », qui introduit de l’ingénierie de connaissance pour structurer les données.
Cette quatrième génération, le « web 4.0 » ou « web immersif », doit être très accessible grâce aux réseaux haut débit 5G et à l’internet des objets (IoT). Le couplage du web et de la 5G nous fait entrer depuis le début des années 2020 dans l’ère d’un web « ambiant », pervasif et ubiquitaire, où de nombreux objets sont connectés et communiquent de manière autonome.
Les gants à retour haptique captent les sensation tactiles et en fournissent à l’utilisateur. Ils permettent notamment de se former à la manipulation d’équipement dangereux.
Les technologies immersives de réalité virtuelle, augmentée ou mixte sont considérées par plusieurs acteurs comme la quatrième révolution du numérique (après les ordinateurs personnels, les ordinateurs portables et les smartphones). Elles devraient permettre une importante métamorphose de la pratique du Web, dont les fonctionnalités risquent d’évoluer plus ou moins rapidement selon le niveau d’adoption de la technologie, du dispositif utilisé, mais aussi selon l’évolution des réglementations relatives à la protection des données.
À quoi ressemblera Internet avec le web immersif ?
Les agents conversationnels virtuels (comme ChatGPT) répondent de manière naturelle et précise aux requêtes des utilisateurs. Dans le cadre d’un moteur de recherche, les requêtes n’ont plus besoin d’être constituées de mots clés, mais deviennent des discussions naturelles.
Ce type de conversations plus naturelles pour les humains pourrait avoir d’autres applications : un prototype de thérapies de groupe dans le milieu scolaire a par exemple été testé par 134 étudiants à l’université National Tsing Hua University à Taïwan en 2021. Des systèmes similaires sont testés pour des entretiens d’embauche ou des assistants industriels.
Les réponses des moteurs de recherche pourraient être des objets 3D virtuels transférés à l’utilisateur, ou des visites d’environnements virtuels. Les technologies immersives sont même considérées comme une technologie de rupture qui révolutionne la gestion et le marketing du tourisme.
RépondreSupprimerPar ailleurs, les réseaux sociaux, les chats et les forums sont en train d’être transformés en métavers (second life, Meta Horizon worlds). Les visioconférences peuvent évoluer en « holoportation » : un système développé en 2016 par Microsoft, qui permet de la reconstruction 3D de haute qualité et en temps réel d’un espace entier, y compris les personnes, les meubles et les objets qu’il contient, à l’aide d’un ensemble de nouvelles caméras de profondeur. Cette technologie a également été testée dans le domaine de l’éducation à travers quelques prototypes, et a permis de mettre en évidence le rôle important de la présence (et de la téléprésence) dans l’enseignement supérieur.
Des casques de réalité mixte autonomes plus légers et plus puissants pourraient permettre l’adoption de cette technologie à grande échelle, avec par exemple le casque Meta Quest 3 présenté par Mark Zuckerberg le 1 juin 2023.
Côté santé, la chirurgie a connu de nombreuses avancées technologiques, depuis la première téléchirurgie en 2001. Les chirurgiens peuvent travailler à distance avec un écran tridimensionnel, via des jumelles haute définition – mais la latence moyenne, autour de 700 millisecondes, privilégie les usages d’entraînement et de planification. La première opération chirurgicale collaborative de l’épaule au monde à l’aide de la réalité mixte a été réalisée en 2017 à l’hopital Avicenne AP-HP en France. Le retour haptique permet la transmission des informations tactiles aux chirurgiens, ce qui permet de sentir la consistance du tissu et la tension dans les sutures.
Aujourd’hui, plusieurs prototypes de soins médicaux faisant appel à des dispositifs haptiques et de capteurs corporels connectés permettent aussi d’envisager le diagnostic et les soins à distance. Récemment, la NASA a même envoyé virtuellement des médecins sur l’ISS pour aider les astronautes à rester en forme.
L’e-commerce pourrait aussi bénéficier des technologies immersives : des caméras 3D et des capteurs connectés permettraient de transmettre les mensurations exactes des clients et d’essayer (virtuellement) leurs choix dans des chambres d’essayage virtuelles sans se déplacer.
On envisage également que la navigation GPS devienne la navigation « VPS » (pour Visual positioning system) : avec des lunettes de navigation basée sur la réalité augmentée, ainsi que des retours sonores et haptiques, elle deviendrait plus intuitive. Un tel prototype ciblant les personnes âgées a été développé en 2018 à Telecom ParisTech en France.
Enfin, et bien qu’elle en soit à ses balbutiements, la recherche dans le domaine de la « saveur augmentée » vise à développer des dispositifs olfactifs pour sentir des parfums ou goûter des plats à distance.
Que peut-on virtualiser ?
RépondreSupprimerTous les sens font l’objet de récents progrès scientifiques et technologiques : la vision, le toucher, l’ouïe, l’odorat, le goût, mais aussi les sens du mouvement, de l’équilibre, de la chaleur, par exemple. Dans ce sens, une interface olfactive souple, miniaturisée et sans fil a été ainsi développée pour la réalité virtuelle à l’université de Hong Kong en 2023.
Dans la modalité visuelle, les dispositifs varient en niveau d’immersion : des écrans de smartphone peu immersifs, à des dispositifs semi-immersifs comme les écrans incurvés et casques de réalités mixtes, jusqu’aux dispositifs immersifs comme les casques VR (virtual reality). Plus ces casques deviennent économiquement abordables, légers et autonomes, plus l’adoption de cette technologie augmente. La communauté anticipe que le casque de réalité mixte nouvelle génération Apple Vision Pro annoncé le 5 juin 2023 lors de l’Apple Worldwide Developers Conference constitue un pas majeur vers l’adoption de la technologie immersive par le grand public, comme l’a constitué l’iPhone 2G en 2007 pour l’adoption des smartphones.
La modalité sonore accompagne souvent ces dispositifs d’immersion visuels à travers le son spatialisé 3D (le son stéréo traditionnel est diffusé en deux canaux seulement, gauche et droite). Le son spatialisé ajoute une dimension supplémentaire en introduisant des informations de localisation sonore verticales, horizontales et en profondeur. Cette technologie est aujourd’hui bien maîtrisée et largement utilisée dans le domaine des jeux vidéo.
Pour le toucher, il existe des dispositifs dits « intrusifs » (car encombrants) comme les gants haptiques et les combinaisons corporelles ; et d’autres dispositifs moins invasifs ultra-minces ainsi que des peaux artificielles connectées sont en développement.
D’autres dispositifs plus ludiques comme les bouches artificielles connectées ou des sex-toys connectés laissent présager du développement à venir de l’industrie « adulte » sur l’internet de demain.
Les risques du web immersif
Aujourd’hui, les technologies immersives posent déjà des défis éthiques importants, avec des risques potentiels pour la santé mentale, notamment le trouble de dépersonnalisation/déréalisation. Elles sont aussi sujettes à de sérieuses préoccupations liées à la négligence personnelle du corps (réel) des utilisateurs, et des environnements physiques réels. Elles peuvent également être utilisées pour enregistrer des données personnelles qui pourraient être déployées de manière à menacer la vie privée et à présenter un danger lié à la manipulation des croyances, des émotions et des comportements des utilisateurs.
Ces défis se trouveront accentués avec le web immersif. Même si des initiatives existent pour encadrer éthiquement l’usage de la réalité virtuelle, l’aspect addictif du web et l’aspect intrusif de l’IoT posent de nouveaux défis et exigent plus d’effort pour la protection des usagers.
L’insécurité, l’intrusion à la vie privée, l’isolement social, les crimes pornographiques, les délits virtuels, les maux de têtes, les blessures physiques ou l’addiction, tous ces dangers se verront accentués et devront attirer l’attention à la fois des designers et des représentants des usagers pour une utilisation plus sûre et plus éthique.
*
Ahmed Azough, Professeur de Réalité Virtuelle et Vision par Ordinateur, Pôle Léonard de Vinci
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
https://www.contrepoints.org/2023/06/11/458023-web-immersif-et-si-nous-ressentions-internet
Les BRICS: l’avenir du monde sera basé sur la multipolarité et le bénéfice mutuel
RépondreSupprimerPar Mikhail Gamandiy-Egorov
Mondialisation.ca,
09 juin 2023
L’Occident s’inquiète de la montée en puissance de la Chine et du retour de la Russie sur la scène internationale en qualité de superpuissance, écrit le quotidien libanais Al Binaa. Selon ledit média – la goutte qui a fait déborder le vase constitue la question de l’expansion des BRICS. Et que c’est sur cette base qu’un monde nouveau sera construit, sur les ruines de l’hégémonie étasunienne.
L’Occident, avec à sa tête les Etats-Unis, ne voile plus son inquiétude quant à la croissance de la puissance économique de la Chine et du retour de la Russie en tant que superpuissance égale aux USA, ainsi que de son influence croissante dans diverses régions du monde. Comme le mentionne l’auteur de l’article – Washington et ses alliés croulent sous les dettes et les crises bancaires, tout en souffrant du ralentissement de la croissance économique, de la montée de l’inflation, du chômage et de la hausse du coût de la vie.
Selon le média libanais – la situation est d’autant plus aggravée par les dépenses à grande échelle des régimes occidentaux dans la confrontation entre l’Otan et la Russie en Ukraine. Pour autant et de l’autre côté du monde, c’est-à-dire en Orient, nous assistons aujourd’hui à des changements encore plus importants qui dessinent l’avenir du monde nouveau. Un monde qui a commencé à émerger des ruines d’une hégémonie étasunienne unilatérale – qui lutte pour le maintien de son pouvoir planétaire, mais jusqu’à présent sans succès. Les nouvelles réalités et rapports de force se sont avérés plus forts que les désirs des USA et de l’Occident.
L’auteur de l’article, Hassan Hardan, rappelle également que lors de la récente rencontre en Afrique du Sud des pays membres des BRICS, il était question de l’adhésion de nouveaux membres – représentés par plusieurs pays en développement capables de jouer un rôle économique et politique important dans les relations internationales. Parmi ces Etats figurent: l’Iran, l’Arabie saoudite, l’Algérie, l’Egypte, les Emirats arabes unis, Bahreïn, la Syrie, le Sénégal, le Soudan, la Turquie, la Tunisie, l’Argentine, l’Afghanistan, la Biélorussie, le Bangladesh, le Venezuela, le Zimbabwe, l’Indonésie, le Kazakhstan, le Mexique, le Nigéria, le Nicaragua, le Pakistan, la Thaïlande ou encore l’Uruguay.
A notre niveau il serait juste de rappeler que bien qu’il soit peu probable que tous les intéressés puissent rejoindre immédiatement le bloc des BRICS, il est probable que l’adhésion des candidatures les mieux préparées soit très certainement à l’ordre du jour des pays constitutifs de l’alliance.
Par contre et pour revenir à l’article d’Al Binaa, son auteur considère que dans un avenir proche pas moins de 13 nouveaux membres seront admis au sein des BRICS. Et en ce sens, il mentionne clairement les bouleversements que cela représentera dans divers domaines. Sur le volet démographique, les BRICS sont pour rappel déjà représentés par les deux pays les plus peuplés du monde, en l’occurrence la Chine et l’Inde. Et avec l’adhésion ne serait-ce que de ces 13 nouveaux membres, la population totale de l’alliance BRICS augmentera d’environ 15-20 %. Ce qui représentera tout simplement près de 60 % de la population terrestre.
En termes de ressources naturelles – suite à cet élargissement prévu – les BRICS deviendront le plus grand propriétaire de pétrole, de gaz et de minéraux à l’échelle mondiale.
RépondreSupprimerEt pourront par la même occasion contrôler la production mondiale et ses prix, puisque ces ressources représentent la base de la détermination des prix des produits manufacturés. Ce qui à son tour augmentera la concurrence avec les produits occidentaux. Et cela permettra aux pays membres des BRICS de conquérir les marchés mondiaux – grâce à la qualité des produits et à la capacité de les produire à un prix plus bas.
Dans le volet militaire, le potentiel des pays BRICS montera également en puissance, car outre la Russie et la Chine (respectivement les 2ème et 3ème puissances militaires mondiales), de nombreux autres États possèdent une industrie militaire développée. Cela sans d’ailleurs oublier que l’Inde est quant à elle la 4ème puissance militaire mondiale et est elle aussi une puissance nucléaire.
Enfin et selon Hassan Hardan – nombre de pays qui aspirent à rejoindre les BRICS pour définitivement donner naissance au concept des BRICS+, possèdent une position géographique importante. Cela permettra alors à l’alliance pro-multipolaire de prendre le contrôle des voies navigables et des détroits internationaux, de même que des routes de transport terrestre, en brisant ainsi le monopole de Washington et de l’Occident dans ce domaine d’importance stratégique.
Pour finir et sans réellement de nécessité à y rajouter quelque chose, il faudrait certainement juste rappeler que ces processus se déroulent au même moment que les pays BRICS et de nombreux Etats du Sud global travaillent activement à se libérer de la mainmise des instruments économico-financiers de l’Occident. Et cela avec des résultats qui ne sont plus à présenter – même si ledit processus n’est qu’en début de son chemin. De manière encore plus générale, il est aujourd’hui évident que dans le cadre des événements contemporains – la ligne de démarcation Est-Sud versus Ouest, entre le monde multipolaire et les nostalgiques de l’unipolarité – sera bel et bien tracée.
https://www.mondialisation.ca/les-brics-lavenir-du-monde-sera-base-sur-la-multipolarite-et-le-benefice-mutuel/5678468
Mexique – Mettons fin à l'incertitude et adoptons la technologie
RépondreSupprimer12 Juin 2023
Georgina Gutierrez, Réseau Mondial d'Agriculteurs*
Mes vaches laitières n'ont pas de bouton marche/arrêt.
Elles ont besoin d'un apport quotidien de nourriture dans le cadre d'un régime adapté qui leur fournit une excellente alimentation pour la santé et la productivité. Le maïs est l'une de leurs meilleures sources d'énergie. Ici, au Mexique, nous achetons des quantités importantes de maïs aux producteurs des États-Unis parce que mon pays n'a pas la capacité de produire tout le maïs dont les agriculteurs et les autres industries ont besoin.
C'est pourquoi l'interdiction des importations de maïs génétiquement modifié que mon gouvernement s'apprête à décréter est si destructrice : elle portera préjudice aux agriculteurs et aux consommateurs mexicains et nuira à nos relations avec notre plus grand et plus important partenaire commercial.
Le Mexique doit faire marche arrière et adopter les technologies et les échanges qui permettent à tous les Mexicains de prospérer.
Les États-Unis sont une puissance en matière de production de maïs. Au nord du Rio Grande, les agriculteurs en produisent d'énormes quantités, grâce à un climat idéal, à un sol riche et aux meilleures technologies du XXIe siècle. Ils récoltent bien plus de maïs que les Américains n'en ont besoin et en exportent environ un tiers.
C'est ainsi qu'un maïs de haute qualité et abordable devient disponible pour moi, au sud de la frontière, où nous ne pouvons en fait pas cultiver suffisamment de maïs pour répondre à nos besoins. L'année dernière, la production totale de maïs du Mexique a été inférieure de 38 % à la demande intérieure.
L'ironie de la chose, c'est qu'en dépit de ces déficits, les racines les plus profondes de cette culture se trouvent ici. Il y a quelque 10.000 ans, bien avant l'arrivée des Européens sur notre continent, les anciens Mexicains cultivaient une plante sauvage appelée téosinte. Bien que la téosinte existe toujours en tant qu'espèce, les agriculteurs mexicains ont utilisé des méthodes de sélection traditionnelles pour la transformer en quelque chose de nouveau. Chaque plante de maïs dans le monde a donc un héritage mexicain.
De nombreuses autres cultures et aliments populaires sont également originaires du Mexique : le chocolat, les tomates, les haricots, les cacahuètes, la gomme, les avocats, les papayes, les ananas, l'agave, les piments et les poivrons. Les herbes mexicaines qui sont aujourd'hui indispensables à la médecine moderne pourraient constituer une autre longue liste.
L'histoire du maïs au Mexique est une histoire d'innovation. Tout comme nos ancêtres ont transformé la téosinte en l'une des meilleures cultures au monde, nous voyons aujourd'hui la science moderne rendre le maïs encore plus fort, meilleur et plus durable, avec des variétés génétiquement modifiées capables de vaincre les mauvaises herbes et les parasites, deux des plus grands ennemis auxquels les agriculteurs aient jamais été confrontés.
RépondreSupprimerNous restons fidèles à notre héritage en acceptant ces innovations. Les rejeter, c'est trahir les hommes et les femmes qui, un jour, se sont penchés sur la téosinte et ont pensé qu'ils pouvaient l'améliorer.
Pourtant, le maïs reste inégalé dans la culture mexicaine, et nombreux sont ceux qui souhaitent le protéger. Si cela signifie que les espèces indigènes auront toujours un avenir, alors la protection est une bonne idée. Malheureusement, cette volonté de protection s'est transformée en un protectionnisme économique qui frappera tous les Mexicains dans leur portefeuille.
C'est ainsi que fonctionne la loi de l'offre et de la demande : si nous ne pouvons pas acheter de produits de cultures génétiquement modifiées aux États-Unis ou ailleurs, l'offre diminuera, ce qui nous obligera à payer plus cher pour tout. Les restaurants feront payer plus cher les tortillas, les éleveurs feront payer plus cher la viande de bœuf et je devrai faire payer plus cher le lait de mes vaches laitières.
Ce sont les Mexicains les plus pauvres qui souffriront le plus. À l'heure actuelle, environ 10 % des Mexicains n'ont pas accès à une nourriture suffisante. Selon une étude, si le gouvernement interdit le maïs génétiquement modifié, « ce pourcentage devrait doubler ou tripler dans les neuf États mexicains les plus pauvres, principalement dans le sud du pays ». Pour ces malheureux, les œufs deviendraient un « produit de luxe ». Près de 57.000 Mexicains perdront leur emploi.
L'interdiction viole également notre accord commercial avec les États-Unis et le Canada et crée une tension inutile à un moment où nous avons trop d'autres problèmes diplomatiques et de sécurité à régler, tels que les migrations et le trafic de drogue.
Et dans quel but ? Absolument rien. L'interdiction du maïs génétiquement modifié ne fera que nous nuire, sans nous aider en quoi que ce soit. Elle ne fait que servir les intérêts mal informés et dangereux d'idéologues antiscientifiques.
La bonne nouvelle, c'est que le gouvernement mexicain est peut-être en train de revenir à la raison, même si c'est lentement. En février, il a repoussé l'interdiction du maïs génétiquement modifié, qui devait entrer en vigueur en janvier 2024. Aujourd'hui, il n'y a pas de date limite – et si nous avons de la chance, il n'y en aura jamais.
Nous avons besoin de plus qu'une date reportée. Le Mexique doit faire volte-face et éliminer l'incertitude qui continue de semer la confusion et l'animosité – et annoncer, une fois pour toutes, que tous les types de maïs sont les bienvenus dans notre pays aujourd'hui comme ils l'étaient lorsque les agriculteurs, il y a bien longtemps, les ont découverts et ont commencé à les améliorer.
RépondreSupprimer_______________
* Georgina Gutierrez
Gina Gutierrez est Agvocate de proximité pour le Réseau Mondial d'Agriculteurs (Global Farmer Network). Elle est une éleveuse de vaches laitières de cinquième génération de la région centrale du Mexique. En 2015, Gina a créé une page Facebook pour défendre la filière laitière. La Vida Lactea compte aujourd'hui près de 60.000 followers. Elle a obtenu une maîtrise en droit des sociétés. Elle écrit régulièrement pour les magazines Ganadero et Holstein de Mexico. En 2018, Gina a remporté le prix Kleckner du Global Farmer Network.
Source : Mexico – Let’s Stop the Uncertainty and Embrace Technology – Global Farmer Network
https://seppi.over-blog.com/2023/06/mexique-mettons-fin-a-l-incertitude-et-adoptons-la-technologie.html
Le système électronique rend le Su30 russe invisible pour le F35 américain ? – Que va devenir le F-16 ?
RépondreSupprimer12 juin 2023
du Dr. Peter F. Mayer
L'armée de l'air ukrainienne doit être équipée de 48 des plus anciens avions de chasse américains F16. Depuis que cette information a été connue, il y a eu des discussions et des spéculations sur la façon dont cet avion se comporterait dans l'espace aérien ukrainien et, en particulier, par rapport à l'armée de l'air russe.
Des conclusions intéressantes peuvent être tirées d'un article du média respecté BulgarianMilitary.com intitulé « Le Su-30 a utilisé le système Khibiny EW pour intercepter le F-35 », qui traite principalement des points suivants :
Selon l'analyste russe Andrei Andreyev, le 30 avril 2022, l'OTAN a envoyé des F-35A de l'armée de l'air italienne en Estonie en réponse à l'invasion russe de l'Ukraine et pour sécuriser les pays baltes. L'escadron de chasse fait partie du 32e escadron de transport aérien basé à la base aérienne d'Amendola dans le sud de l'Italie.
Presque immédiatement après leur arrivée, les F-35 italiens ont commencé des patrouilles conjointes avec les Alliés pour remplir la mission de "patrouille aérienne". Les avions sont dans les airs tous les jours, y compris le 9 mai lorsque l'incident en question s'est produit.
Le 9 mai, il a été signalé qu'un Su-30SM russe avait intercepté un F-35 italien au-dessus de la mer Baltique. L'interception s'est produite parce que le F-35 se rapprochait de l'avion de transport militaire An-12 de l'armée de l'air russe, qui était escorté par le Su-30SM.
- voir clip sur site -
"C'est sorti presque de nulle part. J'étais très confus parce que je ne m'attendais pas à les voir de si près », le pilote italien décrit ses premières impressions sur l'apparition soudaine du Su-30SM.
Les systèmes de détection et d'alerte de l'avion de chasse américain n'ont pas réussi à les détecter à plusieurs reprises et ont dû être redémarrés. Le pilote italien rapporte qu'ils ont été avertis que les Russes pourraient utiliser Khibiny, un système de guerre électronique, mais lorsqu'ils y ont été confrontés en action lorsque les instruments d'avertissement et de ciblage du F-35 ont momentanément échoué, il a commencé à s'inquiéter de près.
Poursuivant son histoire, il évoque les manœuvres du F-35 et du Su-30SM russe et qualifie le pilote ennemi de provocateur car il voulait tester les capacités de l'avion de chasse américain.
RépondreSupprimerLe pilote italien a déclaré à Military History of Italy qu'il ne s'attendait pas à ce que le chasseur le plus moderne d'Amérique, le F-35, avec tous ses systèmes et armes, puisse être "contourné" si facilement, d'autant plus que c'est au Su-30 est un chasseur de quatrième génération, bien qu'amélioré.
Khibiny est un système de guerre électronique dont le développement a commencé à l'époque soviétique et se poursuit à ce jour. Les premiers échantillons du système étaient rudimentaires, lourds et n'atteignaient pas la fonctionnalité souhaitée.
Plus tard, dans les années 1980, Khibiny est devenu une priorité de la coopération conjointe entre KNIRTI et Sukhoi Aviation. Aujourd'hui, Khibiny a été amélioré à plusieurs reprises et est considéré comme un excellent système de guerre électronique.
Initialement, la Russie avait l'intention d'intégrer Khibiny dans le Su-34. Moscou a ensuite décidé que le Su-30 devrait également être équipé de ce système. Le Su-30SM est l'avion prenant part aux opérations militaires en Ukraine et transportant ledit système de guerre électronique.
Le système est conçu pour déformer les paramètres du signal réfléchi. Cela aide le système à retarder la détection de son avion porteur. On dit qu'avec le Khibiny activé, les avions ennemis qui sont à portée des avions russes ont du mal à trouver la portée, et surtout la vitesse et les positions angulaires.
Alors, comment le déploiement prévu de F-16 en Ukraine ira-t-il contre le Su-30SM russe ? Avec le F-35 "tâtonnant dans le noir" avec le Su-30SM russe portant le système de guerre électronique Khibiny, qu'adviendra-t-il des F-16 clairement inférieurs qui doivent servir en Ukraine ?
En savoir plus sur les avions de chasse du monde.
https://tkp.at/2023/06/12/macht-elektronisches-system-russische-su30-unsichtbar-fuer-us-f35-was-wird-aus-der-f-16/
États américains de l'Arizona et du Mississippi avec identifiant mobile officiel
RépondreSupprimer12 juin 2023
du Dr. Peter F. Mayer
L'un des principaux programmes mondiaux consiste à connecter les personnes avec une identité numérique. Cela a été pratiqué avec les cartes de vaccination corona, en particulier dans l'UE et aux États-Unis. Mais ce n'est pas tout, tout doit être enregistré numériquement, car les élites et les puissantes organisations mondiales en ont besoin pour le compte CO2 individuel, pour la monnaie numérique de la banque centrale, en remplacement des passeports, des permis de conduire et de tous les autres types de cartes d'identité et dans les pays comme l'Allemagne bientôt également pour vérifier si les 10 grammes par mois de consommation de viande autorisée n'ont pas été dépassés.
En tout cas, l'UE et l'OMS montrent la voie avec le passeport numérique de santé, qui était la marque de fabrique des régimes autoritaires. Mais les États américains ont également leur propre identité mobile, qui peut être obtenue sur le Play Store de Google et l'App Store d'Apple.
La description de Google est courte, celle d'Apple est un peu plus longue :
Intuitif et facile à utiliser, Mobile ID est déverrouillé par une correspondance selfie pour vérifier l'identité, ou par un code PIN ou TouchID/FaceID auto-sélectionné, de sorte que vos informations personnelles sont toujours protégées.
Vous pouvez vous inscrire pour votre Mississippi mID en cinq étapes faciles :
1. Téléchargez l'application et définissez les autorisations
2. Confirmez l'accès à votre numéro de téléphone
3. Utilisez l'appareil photo de votre appareil pour numériser le recto et le verso de votre permis de conduire ou de votre carte d'identité.
4. Suivez les étapes d'enregistrement de l'application pour prendre un selfie.
5. Configurez la sécurité de l'application et vous êtes prêt à partir !
Remarque : Arizona/Mississippi Mobile ID est considéré comme une pièce d'identité officielle de l'État et sert de complément à votre pièce d'identité physique. Veuillez continuer à avoir votre carte d'identité physique sur vous, car tous les bureaux ne sont pas encore en mesure de vérifier la mID.
Il s'agit donc d'une fusion électronique de tous les enregistrements numériques, des cartes d'identité à la santé en passant par les transactions bancaires, les passeports et permis de conduire et autres données personnelles.
C'est incroyable comme les gens semblent manquer d'imagination pour se rendre compte que même si vous ne vous souciez pas du contrôle descendant aujourd'hui, vous faites certainement le pari à sens unique qu'il n'y aura jamais plus de moment dans le futur où ces qui contrôlent la base de données et les algorithmes chercheront à abuser du pouvoir d'avoir toutes les informations personnelles en un seul endroit. Littérature sur les identités numériques sur Amazon.
RépondreSupprimerLa page du Mississippi explique plus en détail :
"N'oubliez pas de télécharger la nouvelle application d'identification mobile du Mississippi. Il remplacera votre permis de conduire et votre passeport et vous permettra d'éviter les files d'attente à l'aéroport, et bientôt vous pourrez avoir tous vos comptes bancaires et vos données de santé sur votre « identifiant mobile », permettant à votre médecin de mieux prendre soin de vous et votre banque pour offrir de meilleurs services et bien sûr, elle remplacera vos cartes de crédit afin que vous puissiez acheter et vendre n'importe quoi en toute sécurité, rapidement et facilement ».
Mississippi Mobile ID est un moyen pratique et sans contact de vérifier votre identité à partir de votre téléphone et comprend plusieurs couches de contrôles de sécurité et de confidentialité.
Mississippi Mobile ID vous permet de contrôler les informations que vous partagez lors d'une transaction. Par exemple, lors de l'achat d'articles soumis à une limite d'âge, l'application peut confirmer que vous avez l'âge légal sans fournir votre date de naissance ou votre adresse.
Beau nouveau monde ! Incidemment, les gouverneurs sont des deux partis, dans le Mississippi un républicain et en Arizona un démocrate. Donc, tous deux du Parti de l'unité des États-Unis.
https://tkp.at/2023/06/12/us-bundesstaaten-arizona-und-mississippi-mit-offizieller-mobiler-id/
Mais ce mot « immigration » a un sens courant très différent de son sens propre, surtout chez les démagogues qui veulent exploiter l’inquiétude des Français dans ce domaine : ils parlent de l’immigration pour évoquer le stock des migrants et de leurs descendants. C’est la raison pour laquelle il vaut mieux dire, comme le font certains commentateurs sérieux, la population « issue de l’immigration ».
RépondreSupprimerCette population est difficile à évaluer, et elle est souvent gonflée par des démagogues, ou sous-évaluée par d’autres démagogues d’idéologie inverse. Les premiers pensent que l’assimilation est impossible, et les seconds qu’elle n’est pas souhaitable par respect des cultures d’origine.
À mon avis, les deux se trompent.
Ceux qui pensent que l’assimilation n’est pas souhaitable et que le multiculturalisme sera un progrès devraient jeter un œil sur le Liban : ce pays, qui était comparé à la Suisse, a sombré dans de multiples guerres civiles qui ont fait fuir les élites, et en particulier les chrétiens francophones.
Cela se terminera probablement par un gouvernement islamiste dépendant du Hezbollah, « le parti de Dieu » soutenu par l’Iran. Un pas dans ce sens est l’interdiction ce mois de mai 2023 du maillot de bain sur la grande plage de Saïda.
Ceux qui pensent que l’assimilation est impossible n’ont qu’une vue très partielle : ils ne remarquent que les non assimilés, c’est-à-dire la première génération, ce qui est bien naturel, et une partie de la deuxième.
Ne soyons pas hypocrites : ils ciblent les populations d’origine arabe ou musulmane, en oubliant qu’elles ne représentent qu’une partie, certes importante, de la population issue de l’immigration. En particulier, les chiffres de stock qui circulent sont ceux de l’ensemble de la population issue de l’immigration non européenne, qui comprend bien d’autres composantes.
L’erreur est de penser que ces populations étaient musulmanes dans leur totalité lors de leur entrée en France, et que la religion va se transmettre indéfiniment au fil des générations.
Or, l’expérience montre que l’assimilation est un mécanisme quasi-automatique : les parents ou les grands-parents découvrent un jour que leurs descendants sont français. Dans certains groupes, c’est le cas dès la deuxième génération, dans d’autres surtout dans la troisième.
Cette assimilation est accélérée par les mariages mixtes, qui sont fréquents.
Bref, dans dix ans, l’assimilation aura grosso modo compensé les nouvelles arrivées, si elles restent au niveau actuel. Bien sûr, n’étant pas prophète, je ne peux pas vous garantir qu’il n’y aura pas de panique migratoire ou antimigratoire qui pourrait changer cela.
RépondreSupprimerQuant à l’action très réelle des mouvements islamistes, des mafieux et autres perturbateurs, c’est un problème d’ordre public. Sujet très délicat, qui n’est pas celui de cet article démographique et économique.
L’immigration telle qu’on la souhaite
Presque tous les métiers sont à court de personnel, et l’économie française est bloquée à tous les niveaux, des moins qualifiés aux plus qualifiés.
Nous avons vu que la pyramide des âges nous dit que ce blocage ne fera que s’accentuer.
Or, il est patent que les Français ne veulent pas travailler davantage : dans les dix ans qui viennent, aurons-nous un gouvernement qui reviendra sur les 35 heures, les cinq semaines de congés payés, la retraite à 62 ans en moyenne, comme en témoignent les violents remous contre le passage à 64 ans d’une partie des promotions concernées ?
Un miracle à espérer !
Il ne reste donc mathématiquement que deux solutions : une vigoureuse croissance de la productivité et l’immigration.
Or, l’émigration des Français va encore aggraver le problème démographique.
L’émigration
Elle est très importante : dans ma famille, et dans celles de beaucoup de personnes que je fréquente, les enfants partent à l’étranger, et on ne sait pas s’ils reviendront un jour.
Et même s’ils reviennent, « le stock » de Français à l’étranger, déjà important, va croître rapidement.
Cette émigration n’est pas mesurable, puisque quand vous quittez la France vous ne laissez aucune trace statistique disant que vous partez pour la journée ou pour la vie. Et comme elle n’est pas mesurée, on en parle peu, alors que c’est un élément très important.
RépondreSupprimerJ’avais déjà tiré la sonnette d’alarme en 2014 dans mon article « Émigration : chut… la France se vide », et cela n’a fait que s’accentuer depuis, notamment du fait de la mondialisation de l’information qui permet à chacun de saisir des opportunités à l’étranger.
Les conséquences économiques et identitaires sont évidemment catastrophiques.
La productivité
L’économie française, et celle de nombreux autres pays, est profondément perturbée par la baisse de la fécondité depuis des décennies, et donc aujourd’hui par celle de la population active.
Dans le cas de la France, cette baisse est plus limitée qu’ailleurs, mais son effet est renforcé par le fait que nous travaillons beaucoup moins que nos concurrents.
Comment faire face à cette insuffisance quantitative du travail français si nos concitoyens restent imperméables à la nécessité de travailler davantage ?
Mathématiquement, il faudrait augmenter notre productivité bien au-delà de celle de nos voisins.
Or, la productivité ne se décrète pas.
C’est le résultat d’un travail de fourmi dans chaque entreprise, dont le résultat dépend du niveau de formation des employés et du progrès technique, notamment la numérisation.
En sens inverse, la productivité est freinée par les dégâts de la bureaucratisation générale du secteur public et de certaines grandes entreprises. Par expérience professionnelle, je suis très sensible à cette bureaucratisation qui est un phénomène humain naturel, contre lequel il faut lutter sans arrêt.
La bureaucratisation est particulièrement envahissante en France du fait de notre centralisation, qui nous amène à multiplier les lois générales et les réglementations, pour s’apercevoir dans un second temps qu’elles s’appliquent mal dans certains cas avant de les compliquer ensuite par des exceptions.
Si chaque loi part d’une bonne intention – c’est du moins ce qui est affiché – leur cumul devient alors inextricable.
RépondreSupprimerJ’ai des amis experts-comptables qui passent ainsi leur mois de janvier, puis une bonne partie des mois suivants, à changer les programmes et les paramètres pour tenir compte des nouveautés de la gestion du personnel ou des nouvelles taxes, ou de nouvelles exceptions. Et qui assistent navrés aux fraudes et au trafic que cette complexité permet.
Le problème est analogue chez les pharmaciens qui passeraient plusieurs heures par jour, malgré l’aide des logiciels spécialisés, à régler non seulement les mêmes contraintes administratives que les autres Français, mais aussi le suivi des variations des règles de la sécurité sociale, ainsi que les enquêtes et renseignements sur la viabilité des ordonnances (dont les conditions varient dans le temps) et le suivi de certains produits utilisables par des toxicomanes…
À côté de cela, il y a tout ce qui touche les programmes scolaires et l’organisation scolaire plus soucieuse de l’égalité sociale que du maintien du niveau. Or, le déclin des compétences des élèves français est une des raisons de la stagnation de notre productivité.
Il y a également les réglementations environnementales et l’application des trouvailles de la bureaucratie européenne. Les agriculteurs subissent le cumul des deux, avec 40 % des dossiers à remplir destinés à Bruxelles.
Certes, l’administration française est dans l’ensemble bien numérisée, mais je me demande parfois si ça n’a pas un effet pervers.
De l’avis des intéressés, comptables, pharmaciens, agriculteurs et tous les autres… certaines complications seraient inapplicables sans ordinateur. Bref, la numérisation permet des complications réglementaires qu’il aurait été impossible de mettre en place sans elle.
De toute façon, je ne vois pas d’évolution importante prévisible dans les dix ans à venir touchant les principaux facteurs de productivité : même des réformes importantes de l’enseignement mettront des dizaines d’années à se répercuter dans la pyramide des âges.
Il faudra donc un miracle, par exemple des réformes fondamentales en matière d’autonomie locale et de décentralisation.
Autre miracle possible : une rupture technologique.
On parle par exemple beaucoup d’intelligence artificielle et récemment des robots conversationnels… Mais la première réaction de certains est de les bloquer !
De toute façon, il faut du temps pour transformer les structures professionnelles en conséquence. On se souvient qu’il a fallu un siècle pour que l’électricité transforme la vie quotidienne et l’industrie, et que ce n’est toujours pas fini pour les véhicules ! Il a également fallu des dizaines d’années pour que la numérisation soit efficace.
Nous voici donc une fois de plus ramenés à la soupape de l’immigration.
RépondreSupprimerMais cette nécessité mathématique n’est pas acceptée.
En conclusion : vers une hypocrisie sur l’immigration ?
Mon optimisme naturel m’amène à prévoir des miracles.
Un premier « miracle » est prévisible. L’homme est adaptable, il travaillera plus ou moins clandestinement pour obtenir ce qui manque : aide aux parents dans la famille, action bénévole et charitable à l’extérieur, vrai travail après la retraite, mais au noir, sauf si les gouvernants ont la sagesse de libérer totalement le cumul emploi-retraite, robots de compagnie…
On réalisera peut-être alors qu’on s’est fait rouler dans la farine par des démagogues vantant le miracle d’avoir à la fois davantage de temps libre et autant de services de la part du reste de la société. Je pense bien sûr aux plus tonitruants comme Mitterrand et Mélenchon.
Un deuxième miracle serait que l’un des blocages ci-dessus disparaisse, le plus important étant peut-être celui de l’enseignement. Les réformes de l’apprentissage vont dans le bon sens, ainsi que l’action conjointe d’Emmanuel Macron et du maire socialiste de Marseille pour des écoles plus autonomes. Mais elles sont rejetées par les syndicats d’enseignants.
Un autre miracle est possible : une meilleure gestion économique, juridique et surtout psychologique de la question migratoire.
Au Festival de géopolitique de Grenoble en 2019, j’exposais que les pays les plus opposés à l’immigration pour des raisons identitaires, dont, à l’époque, la Hongrie, seraient amenés à être hypocrites en la matière ou à faire disparaître leurs peuples pour « sauver leur identité », comme le Japon demain, ou la Chine après-demain.
RépondreSupprimerC’est exactement ce qui est arrivé : la politique officielle reste la « fermeture migratoire », mais les entreprises sont cruellement à court de main-d’œuvre, les jeunes n’étant soit pas nés, soit partis en Allemagne. Ces pays font donc venir de nombreux étrangers, avec probablement la complicité passive des pouvoirs politiques.
On nage en pleine hypocrisie : on voudrait bénéficier du travail de la population issue de l’immigration, mais on ne supporte pas sa présence !
Les politiques auront cette contradiction à gérer.
Je ne critique pas les Français, car tous les pays ont une opinion publique opposée à l’immigration, du Japon à l’Afrique du Sud et au Chili. C’est donc dans ce domaine qu’un miracle serait très utile.
L’exemple des Allemands qui ont eu à gérer un brusque afflux de Syriens ne connaissant même pas l’alphabet latin nous montre que c’est possible. Et la Grande-Bretagne a connu plus de 600 000 arrivées nettes (immigration moins émigration) en 2022, dont plus de 400 000 principalement en provenance de l’Inde et du Pakistan, si on enlève les Ukrainiens et les Chinois de Hong Kong fuyant la répression de Pékin. Le Premier ministre conservateur, le chef du parti indépendantiste écossais et le maire de Londres sont d’ailleurs issus de l’immigration indopakistanaise !
https://www.contrepoints.org/2023/06/13/458106-quel-visage-aura-la-france-dans-10-ans
😎 Il faudra 398 879 561 ans pour rembourser la dette du gouvernement américain
Supprimerjeudi 23 octobre 2014
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/10/il-faudra-398-879-561-ans-pour.html
A lecture de cet article (daté de 2014) l'on comprend mieux que les terriens sont pris pour des cons !
La 'dette' est INREMBOURSABLE ! Les banques (autre nom du gang des escrocs) prêtent 'de l'argent' (par clavier d'ordinateur crédite un compte) alors qu'elles n'ont PAS UN SOU EN COFFRE ! Pas un sou car PERSONNE AU MONDE ne remboursent !!
C'est ce que l'on appelle L'escroquerie officielle avec tous ses rubans, décorations et pourquoi pas des majorettes !
Mais (Houlala, là je sens que vous allez lire...) AUCUN journaliste (çà alors ! ils sont pourtant des millions) n'a dénoncé cet hologramme de pyramide de Ponzi. A u c u n !
L'or est une astuce, un détournement d'attention, une bricole, un paravent, bref UNE GROSSE CONNERIE qui n'a jamais servi à la monnaie qui circule d'y être adossé !
Donc, jusqu'à nos très lointain ancêtres qui vivaient de trocs a existé LA planche à billets (ou plutôt... à poils !) remplacée par le clavier d'ordinateur (çà va plus vite).
Donc, après des siècles de monnaies de singe ou 'image de Mickeys' arrive le fantôme de l'invisible L'Argent Électrique ! Pchitt ! Ton compte est vidé ! Vidé de chez vi-dé ! Bêh ouais, ce doit être les russes ou les chinois ou des pirates de l'informatique ! HAHAHA ! ou des Extraterrestres !
Puis, arrive la confusion (ou fusion à la con) avec l'invasion de 'réfugié climatiques de mes deux' ! Cet l'occupation ! Oui mais cela va permettre de fournir des ouvriers aux usines ! HAHAHA ! (ils ne savent ni lire, ni écrire et ne parlent même pas français !) et donc, se retrouvent à 100 % bénéficiaires d'allocs familiale, logement et soins de santé. Pas belle la vie ? Et, compte tenu du nombre exponentiel de machines et d'ordi pour remplacer l'homme... c'est pas près de changer !
ENCORE UN ARTICLE DE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)
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