Vendredi 16 juin 2023
par : Mike Adams
(Nouvelles naturelles) La marche de la tyrannie est sur nous. Vous le voyez tous les jours dans les confinements covid, la propagande vaccinale, la censure parrainée par le gouvernement et les restrictions bancaires/financières sur ce que vous êtes autorisé à faire avec votre propre argent.
La vérité choquante, cependant, est que cela va empirer encore et encore si nous n'arrêtons pas la marche de la tyrannie qui s'accélère tout autour de nous.
Dans l'analyse d'aujourd'hui, je détaille 10 choses incroyables qui se produiront à coup sûr si nous n'arrêtons pas la marche de la tyrannie et ne reprenons pas notre vie privée, notre dignité et notre avenir.
L'humanité est maintenant confrontée à un choix critique : soit nous choisissons la voie de l'asservissement total sous une dictature autoritaire et techno-fasciste, soit nous choisissons à la place d'embrasser la finance décentralisée, la liberté d'expression, la rationalité et l'État de droit.
Voici ma liste de 10 choses incroyables qui se produiront si nous n'arrêtons pas la tyrannie, avec les résultats les plus doux en haut de la liste et les résultats les plus cauchemardesques en bas de cette liste.
Dix résultats cauchemardesques si nous ne renversons pas la tyrannie
1) Toutes les crypto-monnaies, l'or et l'argent seront interdits. Toutes les transactions financières devront passer par des systèmes de contrôle centralisés gérés par le régime, y compris les CBDC. Vous devrez participer à une CBDC pour payer des impôts, acheter de la nourriture et recevoir un UBI (Universal Basic Income). Tous vos achats seront surveillés et limités, si nécessaire, pour façonner votre comportement.
2) Votre capacité à acheter de la nourriture (et de la viande en particulier) sera sévèrement limitée en fonction de votre score de conformité culturelle et climatique. Vous serez limité à une limite calorique des achats d'épicerie autorisés, et tous les produits alimentaires jugés non conformes à la propagande climatique (c'est-à-dire le fromage, la viande et le lait) seront limités.
3) Vous devrez vous conformer aux exigences narratives du régime, et si le régime change sa position sur quoi que ce soit, vous devrez mettre à jour rétroactivement tous vos articles, vidéos, publications sur les réseaux sociaux et podcasts précédents pour vous conformer au nouveau récit, sous peine de sanctions et de censure.
4) Il vous sera interdit de cultiver des aliments, d'économiser des semences ou d'élever des poulets de basse-cour sans avoir reçu l'autorisation du gouvernement, ce qui vous obligera à utiliser des semences génétiquement modifiées et à répéter la vaccination de vos animaux de ferme. (Et pas de lait cru autorisé.)
5) Il vous sera entièrement interdit d'acheter des armes à feu, des munitions, des couteaux, des gilets pare-balles ou d'autres articles d'autodéfense, vous laissant à la merci de l'État anarchique qui définance la police et libère des criminels violents dans les rues.
6) L'État kidnappera médicalement vos enfants et les mutilera pour réaliser des «transitions de genre», et si vous essayez d'interférer, vous serez accusé de crimes et de maltraitance d'enfants. C'est sur le point de devenir une loi en Californie.
7) Vous devrez installer un réseau de caméras vidéo et de microphones contrôlé par le gouvernement dans votre maison pour vous assurer de ne rien dire qui pourrait aller à l'encontre des «faits» poussés par le régime. Les systèmes d'IA surveilleront votre discours et vos activités, puis vous signaleront aux autorités gouvernementales si vous vous écartez du degré d'obéissance requis.
8) Il vous sera interdit d'acheter un véhicule à essence ou diesel, mais en même temps, votre consommation d'électricité à domicile sera strictement limitée en fonction de votre score de conformité climatique et culturelle. En d'autres termes, si jamais vous souhaitez recharger votre voiture et conduire quelque part, vous devrez être complètement obéissant au récit du régime, ou vous n'aurez jamais assez de kilowattheures disponibles pour recharger votre VE. Seuls ceux qui répètent les mensonges ridicules du régime - c'est-à-dire "un homme peut devenir une femme" - seront autorisés à utiliser les transports.
10) Des avantages UBI supplémentaires seront accordés aux personnes qui autorisent volontairement les « vérificateurs de faits » et les « responsables de la sécurité publique » à avoir un accès en temps réel et illimité aux microphones et aux caméras sur leurs appareils mobiles. Cela transformera les citoyens ordinaires en machines d'espionnage ambulantes qui balayeront tous les sons et vidéos environnants de leur environnement immédiat. Les vitesses de communication 5G sont nécessaires pour y parvenir, et lorsque les «vêtements intelligents» deviendront une réalité, des microphones et des caméras seront intégrés dans des chemises, des vestes, des chapeaux et d'autres formes de vêtements, diffusant de l'audio et de la vidéo en temps réel aux contrôleurs gouvernementaux qui utiliseront Analyse de l'IA pour générer des transcriptions qui peuvent être recherchées par mot-clé pour "violations de la parole" qui entraîneront des sanctions sévères. Cela signifie que vous pouvez être espionné par n'importe qui, n'importe où, à tout moment, y compris simplement marcher sur un trottoir ou discuter dans un restaurant. La portée du régime sera illimitée. Cette technologie a déjà été testée pendant le covid, en suivant les mouvements individuels et en forçant les gens à se verrouiller si les données de géolocalisation de leur téléphone les montraient à proximité de toute personne qui a ensuite été testée positive au covid.
Si nous ne voulons pas vivre dans le monde décrit ci-dessus, il est temps de secouer la tyrannie et de construire une infrastructure décentralisée pour la liberté humaine
Si nous ne faisons rien de différent, nous finirons esclaves du cauchemar dystopique décrit ci-dessus. Mais nous pouvons choisir une voie différente, et cela commence par le déplacement de nos ressources, de nos actifs et de notre concentration mentale vers le type d'infrastructure décentralisée, pro-humaine et pro-liberté que nous voulons construire pour l'avenir de l'humanité.
C'est notre objectif, soit dit en passant, sur Brighteon.com et NaturalNews.com. Je lance également une nouvelle émission qui se concentrera sur cette philosophie de décentralisation, en interviewant de nombreux leaders de l'industrie (nous avons déjà des entretiens de premier plan avec des fondateurs de projets incroyables) et en vous apportant des solutions pratiques et concrètes qui aident à protéger et à préserver ta liberté et ta dignité humaine.
Listen to my announcement here:
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Alarmisme climatique : escroqueries aux données et propagande
RépondreSupprimer16 juin 2023
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander-Faes
Nous suspendons la couverture actuelle en raison de messages "viraux" sur les réseaux sociaux prétendant annoncer des catastrophes "sans précédent". Alors que les disciples du Covid réclament des « confinements climatiques » sur des tons toujours plus stridents, un examen plus attentif des données disponibles montre surtout - des problèmes méthodologiques et des interprétations courtes.
Le Premier ministre Winston Churchill a déclaré qu'"un mensonge voyage à l'autre bout du monde avant que la vérité n'ait eu la chance de mettre son pantalon".
Aujourd'hui, ici en Norvège, le radiodiffuseur public NRK présente une pièce - à bout de souffle - qui commence par un graphique partagé sur Twitter par Eliot Jacobson il y a deux jours :
- voir cadre sur site -
Le début de l'article de NRK se lit comme suit : "Ce graphique devient viral. Qu'arrive-t-il à l'océan ?"
Des causes claires ? Pas du tout
Les réponses apportées sont à la fois attendues et problématiques :
Les données sous-jacentes proviennent de l' Institut de recherche sur le climat de l'Université du Maine aux États-Unis, ont été vérifiées par le professeur Tore Furevik de l'Institut de recherche sur le climat de l'Université de Bergen en Norvège - et constituent notre prochain excellent exemple d'alarmisme. et la propagande.
Bien sûr, les journalistes de NRK Kirsti Haga Honningsøy et Milana Knežević ont revérifié si cette anomalie de température était le résultat d'une activité humaine (voir ci-dessous pour mes traductions et emphase) :
"Bien sûr, étant donné que nous n'avons jamais vu d'aussi grands écarts de température et de glace de mer par rapport à la norme, c'est très inhabituel. Et bien que nous puissions nous attendre à de nouveaux records cette année, beaucoup de gens sont surpris et inquiets de l'ampleur de ces nouveaux records », déclare Furevik.
[ Honningsøy et Milana Knežević ] Cela aurait-il été possible sans le changement climatique d'origine humaine ?
[Furevik] "Non, sans le changement climatique d'origine humaine, des écarts aussi importants par rapport à la norme n'auraient pas été possibles ."
Selon le professeur Furevik, il y a trois raisons à ces mesures :
changement climatique causé par l'homme
RépondreSupprimerle phénomène El Niño/La Niña qui se produit toutes les quelques années
et/ou des changements dans les courants océaniques
Le collègue de Furevik, le professeur Daniel Swain de l'Université de Californie à Los Angeles, souligne quant à lui que la récente éruption d'un volcan sous-marin près des Tonga joue un rôle :
Nous avons maintenant une éruption volcanique naturelle qui entraînera probablement un réchauffement climatique à très court terme. Il s'ajoute au réchauffement anthropique que nous observons déjà. Cela pourrait être en partie la raison de l'augmentation actuelle de certaines températures mondiales de la mer et de l'air.
Le contexte et les légendes sont essentiels
Tout d'abord, il convient de noter que le contexte et les références à la base de données de telles illustrations sont indispensables. La clé d'une campagne alarmiste réussie réside toujours dans l'obscurcissement de la perspective ou l'omission ou la suppression du contexte. Des déclarations comme "Le risque est 50% plus élevé aujourd'hui" est un classique de ce genre. Le sens ne se révèle en aucune façon sans repère.
Un exemple particulièrement frappant de telles absurdités est la "pandémie" corona, en particulier les affirmations répandues selon lesquelles les injections ont empêché un certain pourcentage d'infections, de transmission ou de décès. Indépendamment du manque de données fiables - tant pour le groupe des "vaccinés" que pour le groupe témoin des "non vaccinés" - de telles déclarations doivent toujours être traitées avec prudence. Si, par exemple, telle ou telle action conduit à une réduction du risque de, disons, 50 %, la première question qui se pose est de savoir quelle était l'importance du risque à l'origine ; si c'était 1:10 000, par exemple, une réduction correspondante est relativement non pertinente.
Et si vous pensiez que le sujet des "vaccinations corona" ou des allégations officielles sur les produits pharmaceutiques était une "patate chaude", je vous souhaite la bienvenue aux discussions sur le changement climatique.
Afin que de petits changements paraissent énormes, les gens aiment se référer au taux ou à la vitesse d'un changement - au lieu de spécifier des valeurs absolues. La figure suivante provient du site Web d'Anthony Watts et est basée sur des données de l'Université de Huntsville, Alabama :
- voir cadre sur site -
En regardant la ligne rouge, cela ressemble initialement à une montée raide. Mais ce que vous voyez réellement est un changement de 0,6 degrés Celsius sur les 44 années de 1979 à 2023.
La ligne rouge, cependant, n'est pas une mesure de température réelle, mais indique l'écart par rapport à "la norme" ; la décennie de référence dans ce cas est la période de 1991 à 2000 – c'est-à-dire que la ligne rouge montre que la température a été parfois plus élevée et parfois plus basse par rapport à ces dix années. A noter également le pic de 1998 associé à un phénomène El Niño particulièrement fort.
RépondreSupprimerLa série de données plus longue de la NASA (même source que le graphique ci-dessus) de 1880 à 2022 raconte également une histoire similaire (mais notez que la lecture de la température sur la marge de gauche est en degrés Fahrenheit) :
- voir cadre sur site -
Ça a l'air assez sauvage, n'est-ce pas ? Vous pouvez voir une augmentation de 1,7 degré Fahrenheit de la température de surface - soit environ 0,94 degré Celsius - de 1880 à 2022, mais ce graphique est exactement ce que les "médias de premier plan et de qualité" ont décrit.
Cependant, Antony Watts accompagne ce chiffre d'une autre représentation qui identifie le changement « ressenti » ou « vécu » comme suit :
- voir cadre sur site -
De ce point de vue, ce changement semble moins effrayant, n'est-ce pas ?
Passés plus chauds et "Climate Gate"
Mais même la période indiquée dans le graphique ci-dessous n'est pas sans poser de problèmes, car la série de données commence en 1880, alors que le monde sortait tout juste du "petit âge glaciaire". Ce phénomène climatique de plusieurs siècles a été causé par la superposition des minimums de Dalton et de Maunder dans l'activité solaire - et a été la période la plus froide des 9 000 dernières années environ.
D'innombrables données et des études publiées récemment sur, par exemple, des sommets alpins largement libres de glace à l'époque d'Ötzi ou des indications d' activités humaines sur des cols libres de glace à environ 1 973 m au-dessus du niveau de la mer en Norvège avant 1500 le prouvent. Ainsi, le Moyen Âge était plus chaud qu'aujourd'hui, les temps des anciens Romains et Grecs étaient plus chauds que le Moyen Âge et la terre était encore plus chaude à l'époque des premières civilisations avancées.
Incidemment, vous trouverez ici une collection utile de références et d'études pour la période chaude médiévale . L'essentiel est que le monde au Moyen Âge était probablement d'environ 1 degré Celsius plus chaud qu'aujourd'hui.
Tout cela était reconnu depuis longtemps et ne valait pas la peine d'être débattu. Jusqu'à il y a environ 20-25 ans, des militants comme Al Gore et le professeur Michael Mann montaient sur scène. Au final, il s'agissait de la manipulation de données "historiques" dans le scandale du "Climategate", qui a probablement été principalement utilisé pour masquer la période chaude médiévale, comme l'explique James Taylor dans Forbes .
Pour aggraver les choses, "l'étendue de la glace de mer" est une mesure très mal définie (qui, soit dit en passant, est maintenant collectée avec le 5e ensemble d'instruments mesurant ces données) :
RépondreSupprimerL'étendue de la banquise résulte du calcul de la zone marine dans laquelle la banquise dépasse la valeur seuil de 15 % (pour les mesures avec AMSR-E). Les mesures de la glace de mer sont dérivées de diverses mesures par satellite de radiomètre passif à micro-ondes (PMR) à l'aide d'algorithmes développés par le Dr. Comiso fourni par la NASA. Les satellites et instruments suivants ont été utilisés pour ces mesures :
Janvier 1980 ～ juillet 1987 : SMMR
Juillet 1987 ～ Juin 2002 : SSM/I
juin 2002 ～ octobre 2011 : AMSR-E
Octobre 2011～juillet 2012 : WindSat
Juillet 2012～à ce jour : AMSR2
Cinq satellites différents ont donc balayé l'océan Antarctique depuis 1980 et déterminé quand le seuil de > 15 % de glace de mer a été dépassé ou est tombé en dessous. Cela signifie, par exemple, que 100 kilomètres carrés avec 14 % de glace de mer pèsent potentiellement moins que 10 kilomètres carrés avec 15 % de glace de mer. De plus, il existe des variables telles que le vent, les courants océaniques et des différences auparavant inexpliquées dans la sensibilité des instruments de mesure, ce qui est particulièrement pertinent pour déterminer l'épaisseur réelle de la glace de mer. En regardant ce "nouveau plus bas", il se peut qu'il se situe dans la fourchette et il est difficile de voir à quel point ces lectures sont importantes.
En passant, une étude récemment publiée dans The Cryosphere montre que la calotte glaciaire du pôle Sud a augmenté de 661 gigatonnes (661 milliards de tonnes) de 2009 à 2019. Ces données ont été obtenues à partir d'observations - et sont "surprenantes" car les calculs du modèle pertinent avaient supposé un déclin constant et n'étaient "que" décalés d'un facteur 30.
J'ai discuté plus en détail de cette étude sur mon substack et me permets donc de m'y référer ici.
"Faites vos propres recherches"
Il est donc avantageux de faire vos propres recherches et de faire confiance aux "experts" et à "la science™" à peu près autant qu'il est évident dans le contexte de la "pandémie" corona.
Il y a donc peu de nouveautés - de propagande et de désinformation - à voir ici.
https://tkp.at/2023/06/16/klima-panikmache-daten-schindluder-und-propaganda/
Pourquoi le glace des pôles s'agrandit au fil des années tandis qu'il y a par exemple El Nino ?
SupprimerLa masse ferrique incandescente est en ébullition constante et ses éruptions sous océaniques sont donc moindre aux pôles tandis qu'il y a le plus grand dégazage qui se produit en Pacifique Est au large du Pérou (qui donnent El Nino).
Il arrive que des glaces fondent aux pôles non pas grâce aux 'courants marins' mais aux éruptions sous pôles. Ce qui détache parfois des glaciers de leurs bases et, comme la glace est légère elle flotte et peut être emportée alors par des courants marins.
Les fanatiques du réchauffement climatique affirment que TERRORISER les écoliers améliore leur comportement climatique : "Les engage avec des actions positives"
RépondreSupprimerJeudi 15 juin 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) Il n'y a pas assez d'enfants d'âge scolaire qui tombent sous le charme de la propagande de l'aile gauche sur le changement climatique, de sorte que certains fanatiques du climat qui se disent professeurs appellent maintenant les enseignants du monde entier à intégrer plus de peur et de terreur dans leur programme sur le climat.
Selon les professeurs de gauche Russell Tytler de l'Université Deakin et Peter Freebody de l'Université de Wollongong, tous deux en Australie, la formation des enseignants en « suralimentation » contribuera à induire plus d'anxiété climatique dans l'esprit et le corps des enfants d'aujourd'hui, les obligeant à obéir les mandats climatiques du gouvernement et modifier leur comportement climatique.
Tytler et Freebody sont tous deux convaincus que "[l]es arguments en faveur d'une action contre le changement climatique n'ont plus besoin d'être exposés", ceci étant la toute première phrase d'un article qu'ils ont co-écrit pour The Conversation sur le "besoin" pour que le public y réponde de manière « soutenue ».
"L'éducation est cruciale pour la main-d'œuvre dont nous avons besoin maintenant et pour les jeunes qui seront de plus en plus confrontés aux réalités accélérées du changement climatique", affirment-ils en outre, ajoutant qu'il est "urgent" de former les enseignants à la propagande climatique, car beaucoup d'entre eux l'ont fait. une « maîtrise insuffisante » de la « science » du climat.
(En relation: Pour empêcher la planète de devenir trop chaude, l'Écosse a récemment décidé d'interdire l'anesthésie.)
De nombreux enfants incapables de faire face au traumatisme psychologique de la propagande climatique se tournent vers les drogues lourdes
Alors que certains élèves répondent à la propagande climatique dans la foulée, acceptant les "actions positives" que leurs enseignants obsédés par le climat veulent qu'ils prennent, d'autres ne s'en sortent pas aussi bien.
L'anxiété climatique est une maladie d'un nouveau genre qui devient rapidement une épidémie, y compris dans les écoles où certains enfants, incapables de faire face à leur peur du réchauffement de la planète, se tournent vers les drogues dures pour tenter d'atténuer leur douleur.
En 2019, le Dr Alex Wodak a répondu à une enquête sur la dépendance à la glace en Nouvelle-Galles du Sud (NSW) en révélant que de nombreux jeunes Australiens se sentent pessimistes quant à leur vie et à leur avenir en raison de toute la propagande climatique percée dans la tête. Par conséquent, beaucoup d'entre eux se tournent vers des drogues illégales qui, jusqu'à ce qu'elles soient complètement décriminalisées, détruiront encore plus leur vie s'ils se font prendre.
"À moins que et jusqu'à ce que les jeunes Australiens se sentent optimistes quant à leur avenir, la demande de drogue restera forte", a déclaré Wodak, soulignant que la "drogue" doit être redéfinie "comme un problème de santé et social plutôt qu'un problème d'application de la loi".
RépondreSupprimer"Les jeunes, naturellement, veulent plus de certitude quant à leurs perspectives d'avenir, y compris le climat, l'éducation, les emplois et l'abordabilité du logement. Le changement sera lent et progressif, comme toute réforme de politique sociale.
Jusqu'au début des années 1900, les « drogues », comme les définit le gouvernement, étaient légales. L'opium comestible était taxé et réglementé en Australie jusqu'en 1906, par exemple, et le Coca-Cola aux États-Unis contenait de la cocaïne jusqu'en 1903.
Puis vint la guerre contre la drogue, qui accompagna une prise de contrôle mondialiste du gouvernement, notamment celle qui fixe le programme des écoles publiques. Maintenant, les étudiants sont bombardés de propagande non seulement sur le climat, mais aussi sur la perversion LGBT et le communisme, poussant certains à essayer de soulager la douleur avec des substances que les mondialistes ont jugées « illégales ».
Ceci est important à considérer à la lumière de ce que les enfants et les étudiants sont aujourd'hui obligés d'endurer de la part de leurs enseignants, qui sont plus soucieux de leur inculquer la peur du réchauffement climatique que de les former à se frayer un chemin dans la vie.
"Beaucoup de ces enfants qui ne finissent pas par se détruire eux-mêmes peuvent souffrir, même s'ils mènent une vie normale et gardent leur souffrance privée", rapporte Watts Up With That à propos de ce que l'endoctrinement climatique fait aux enfants.
"Qui sait combien d'enfants soumis à une éducation climatique" turbocompressée "vivront une vie d'adulte rabougrie remplie de douleur psychologique, une vie de lutte contre un traumatisme psychologique à long terme dû à leur endoctrinement climatique" turbocompressé "."
Les dernières nouvelles sur le culte de l'extrémisme climatique et son hyper-concentration sur le lavage de cerveau des jeunes peuvent être trouvées sur Climate.news.
Sources for this article include:
WattsUpWithThat.com
TheConversation.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-06-15-global-warming-fanatics-terrorizing-children-climate-behavior.html
Lithium le nouveau pétrole : Importance du deuxième gisement mondial en Iran
RépondreSupprimer16 juin 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Le lithium est aussi important pour la "transition énergétique" que le pétrole et le gaz naturel l'ont été jusqu'à présent pour le développement économique. C'est la clé des véhicules électriques, des ordinateurs portables, des smartphones, de l'exploitation de l'énergie solaire et de la réduction générale de l'utilisation de l'énergie à l'électricité. Par conséquent, les ressources minérales de lithium sont une exigence stratégique pour remplacer les combustibles fossiles.
La découverte du gisement de lithium de l'Iran pourrait entraîner un changement dans l'équilibre régional des pouvoirs et donner à Téhéran une position géopolitique et économique sans précédent, a déclaré l'experte en géopolitique israélienne Anat Hochberg Marom au journal israélien Maariv .
Israël surveillera de près les tentatives de Téhéran d'utiliser cette découverte à son avantage. Le journal a expliqué que les prouesses militaires de l'Iran et le récent dégel des relations avec les pays arabes, en particulier l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, Bahreïn et l'Égypte, ainsi que ses exercices militaires en mer, notamment avec l'Inde et le Pakistan, Israël et ses relations avec les Palestiniens sont une cause de grande préoccupation.
Le journal note également que l'Iran élargit ses liens stratégiques avec la Russie, sans parler de la Chine, ainsi que ses liens étroits avec l'Indonésie, le plus grand pays du monde musulman.
La position économique et l'influence géopolitique de l'Iran devraient augmenter prochainement, notamment compte tenu de la découverte d'un vaste champ de lithium contenant 8,5 millions de tonnes du précieux minerai, le deuxième plus grand au monde après le Chili. Il est situé dans la province de Hamedan, dans l'ouest de l'Iran.
Cette découverte est donc importante non seulement parce qu'elle détient 10 % des réserves mondiales d'"or blanc", actuellement estimées à environ 89 millions de tonnes, mais aussi parce qu'elle a le potentiel de dynamiser l'économie iranienne et l'efficacité pour annuler les sanctions imposées.
Selon l'expert israélien, cette découverte pourrait avoir un impact significatif sur les marchés mondiaux de l'énergie et des mines, ainsi que sur les industries mondiales des batteries et des véhicules électriques. Tout cela devrait entraîner des changements à long terme dans l'économie et la politique mondiales, déplaçant l'équilibre des pouvoirs vers le Moyen-Orient.
Un haut responsable du ministère iranien de l'Industrie et des Mines a expliqué que le plus grand gisement de lithium au monde en dehors de l'Amérique du Sud (qui représente 58 % des ressources mondiales) contient 9,2 millions de tonnes de lithium.
RépondreSupprimerCe minéral est surnommé le «joyau de la couronne» en raison de son immense valeur et de son importance dans la fabrication de batteries pour diverses industries électroniques telles que les véhicules électriques, les ordinateurs portables, les téléphones portables, les panneaux solaires, les drones et le stockage d'énergie.
Un tournant dans le marché de l'énergie
Selon le journal israélien, la découverte offre à l'État iranien d'importantes opportunités économiques et des ressources énergétiques rares.
Il est déjà prévisible que l'Iran, avec le contrôle d'environ 10 % de la consommation mondiale de lithium et la domination de cette matière première stratégique, deviendra un acteur géopolitique majeur dans la politique et l'économie mondiales.
Tous ces aspects et leurs implications devraient être utilisés au profit de la région, y compris sur la scène internationale.
De ce fait, non seulement l'influence de l'Iran devrait s'accroître significativement, mais elle pourrait également dépasser celle des États du Golfe, c'est-à-dire les principaux producteurs mondiaux de pétrole, notamment l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis. Cette situation pourrait modifier l'équilibre des forces et la dynamique régionale en faveur de l'Iran.
Le résultat renforcerait la position de négociation de l'Iran dans diverses alliances et accords économiques et de sécurité, et déplacerait l'attention du marché pétrolier vers l'industrie minière du lithium de la région, a déclaré le journal israélien.
D'un point de vue économique à moyen et long terme, les prix du lithium, qui ont augmenté ces dernières années en raison de l'augmentation de la demande mondiale et de la demande de batteries lithium-ion pour véhicules électriques, devraient maintenir une tendance similaire et enrichir considérablement l'économie iranienne.
Le journal a conclu en déclarant que l'Iran, en tant que nation nucléaire émergente, a sans aucun doute des capacités politiques, économiques et énergétiques, ainsi que du courage, du développement et une grande motivation. La découverte du champ de lithium en particulier devrait être "extrêmement significative" et bien au-delà de ce qu'elle est déjà.
https://tkp.at/2023/06/16/lithium-das-neue-oel-bedeutung-des-weltweit-zweitgroessten-vorkommens-im-iran/
Près de 15 % des véhicules blindés Bradley que les États-Unis ont envoyés en Ukraine sont maintenant DÉTRUITS en seulement 3 jours
RépondreSupprimerJeudi 15 juin 2023
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Près de 15 % des véhicules de combat d'infanterie Bradley envoyés en Ukraine par l'administration Biden ont été détruits en l'espace de trois jours.
C'est selon le groupe de journalisme d'investigation Oryx, qui utilise des données open source pour suivre les pertes de matériel par la Russie et l'Ukraine depuis le début du conflit.
Selon Oryx, 16 des quelque 109 VCI Bradley envoyés par les États-Unis en Ukraine ont été perdus. Cinq d'entre eux ont été totalement détruits, tandis que 11 autres ont été abandonnés ou endommagés au point d'être inutilisables.
Se déplaçant sur des chenilles plutôt que sur des roues, les IFV Bradley sont destinés à fournir aux armées plus de puissance de feu sur le champ de bataille tout en permettant le transport de jusqu'à 10 soldats à la fois.
Les Bradley peuvent également être équipés de missiles antiblindés BGM-71 TOW, qui ont été décrits comme des "tueurs de chars" que les troupes ukrainiennes espéraient utiliser contre les blindés ennemis dans le cadre d'équipes "armes combinées mécanisées".
Les analystes militaires affirment que les Bradley sont beaucoup plus puissants que les IFV homologues utilisés dans les forces armées russes, notamment les BMP-1 et BMP-2, et que la destruction d'un Bradley est moins susceptible d'entraîner la perte des troupes transportées à l'intérieur. sa prise.
Les images utilisées par Oryx pour atteindre son nombre de 16 Bradley détruits ou autrement abandonnés semblent dater du vendredi au dimanche 9 au 11 juin, ce qui est cohérent avec les évaluations faites par d'autres experts concernant le début de la poussée blindée de l'Ukraine dans le territoire occupé par la Russie. .
Si elles sont confirmées par d'autres analystes, les pertes s'élèveraient à près de 15 % des Bradley que les États-Unis ont engagés en Ukraine, dont beaucoup sont utilisés sur le champ de bataille depuis avril.
D'autres rapports indiquent également que les forces ukrainiennes ont déjà perdu environ la moitié de leurs véhicules de déminage Leopard 2R de fabrication allemande spécialement adaptés et donnés par la Finlande. Ceux-ci étaient destinés à ouvrir la voie à travers les champs de mines russes et à aider à faire une brèche que d'autres véhicules militaires peuvent ensuite traverser.
"[L'Ukraine est] en train de brûler des équipements militaires de haute technologie à un rythme jamais prévu", a averti Allan Orr, analyste en études militaires et stratégiques. "[L'équipement occidental] ne peut pas se reconstituer à ce rythme - ils ne peuvent tout simplement pas être fabriqués assez rapidement."
RépondreSupprimerLe général à la retraite de l'armée américaine James Marks a suggéré que l'Ukraine ne savait peut-être pas comment utiliser les Bradley.
"Une seule pièce d'équipement comme les Bradleys est merveilleuse, mais elle doit être utilisée en conjonction avec tous ces autres outils", a-t-il déclaré.
Les États-Unis continueront de fournir à l'Ukraine des VCI Bradley et d'autres équipements du dernier programme d'aide militaire
Kiev continue d'appeler ses alliés occidentaux à davantage d'aide militaire dans sa lutte contre la Russie - et des pays comme les États-Unis ne sont que trop heureux d'accepter. (Connexe : les experts de la sécurité nationale appellent à la paix et à la fin des expéditions d'armes vers l'Ukraine.)
Juste au moment où l'Ukraine a annoncé le début de sa contre-offensive, les États-Unis ont annoncé un nouveau programme d'aide militaire de 325 millions de dollars qui comprendra 15 autres VCI Bradley du stock actuel d'environ 4 000 véhicules américains.
L'ensemble comprendra également 10 véhicules blindés de transport de troupes Stryker, du matériel de communication sécurisé, des munitions supplémentaires pour les systèmes nationaux ukrainiens avancés de missiles sol-air, des munitions pour les systèmes de roquettes d'artillerie à haute mobilité, des obus d'artillerie pour les obusiers de 155 mm, des anti-aériens Stinger portables supplémentaires. et des munitions pour armes antichars Javelin ainsi que plus de 22 millions de cartouches pour armes légères.
Ce dernier paquet est le 40e paquet d'aide de ce type que le président Joe Biden s'empresse d'envoyer à l'Ukraine en utilisant la Presidential Drawdown Authority, qui lui permet de transférer du matériel et des services militaires des stocks américains sans l'approbation du Congrès pendant les soi-disant urgences.
Après l'achèvement de ce programme d'aide militaire, un porte-parole du Département d'État a confirmé que cela signifie que les États-Unis auraient déjà fourni environ 40 milliards de dollars d'aide militaire financée par les contribuables à l'Ukraine depuis le début de l'opération militaire spéciale de la Russie fin février 2022.
"Les États-Unis continuent de se tenir aux côtés du peuple ukrainien, dont le courage et la solidarité durables inspirent le monde", a déclaré le secrétaire d'État Antony Blinken dans un communiqué.
« La Russie a commencé cette guerre non provoquée contre l'Ukraine. La Russie pourrait y mettre fin à tout moment en retirant ses forces d'Ukraine et en arrêtant ses attaques brutales contre les villes et le peuple ukrainiens », a ajouté Blinken. "Jusqu'à ce que la Russie le fasse, les États-Unis et nos alliés et partenaires resteront unis à l'Ukraine, aussi longtemps qu'il le faudra."
RépondreSupprimerApprenez-en plus sur le conflit entre l'Ukraine et la Russie sur WWIII.news.
Regardez ce clip d'un Bradley IFV ukrainien détruit par un hélicoptère russe Ka-52 à une distance de plus de 10 kilomètres (6,2 miles).
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne The Prisoner sur Brighteon.com.
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L'Ukraine lance la plus grande attaque depuis des mois alors que la contre-offensive tant médiatisée commence.
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Les dépenses militaires mondiales atteignent un niveau record de 2,24 billions de dollars dans un contexte de conflit en cours en Ukraine et de tensions accrues à Taïwan.
Les États-Unis et l'OTAN utilisent la théorie discréditée des dominos pour justifier l'envoi d'encore plus de cargaisons d'armes financées par les contribuables vers l'Ukraine.
Les stocks militaires américains sont à des "niveaux dangereusement bas" jamais vus depuis des décennies en raison des envois d'aide militaire à l'Ukraine.
Sources include:
TheNationalPulse.com
Newsweek.com
BusinessInsider.com
Reuters.com
APNews.com
Axios.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-06-15-bradley-armored-vehicles-us-sent-ukraine-destroyed.html
L'OMS et l'UE lancent une initiative révolutionnaire sur l'esclavage numérique
RépondreSupprimer16 juin 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Comme indiqué, l'OMS a récemment annoncé qu'elle utilisera la carte de vaccination de l'UE comme base pour sa carte de santé numérique mondiale. La journaliste Katherine Watt a interprété cette annonce de l'OMS et de l'UE et a traduit le communiqué de presse de l'OMS en langage clair.
C'est durement formulé, mais cela touche au cœur du sujet. Chacun de nous doit prendre une décision quant à opter ou non pour cette carte d'identité numérique.
L'acceptation de ce justificatif fait partie d'une série d'étapes vers la soumission, la monnaie numérique sans numéraire de la banque centrale étant la plus évidente. Peut-il y avoir le moindre doute que l'application impitoyable de l'administration d'injections intentionnellement toxiques sera suivie d'un système de contrôle totalitaire qui est tout sauf bénin ?
Il ne sert à rien d'espérer que tout ira bien. Si suffisamment d'entre nous résistent à la flatterie et aux menaces et disent simplement NON, cela échouera. Et vice versa.
La traduction de l'annonce de l'Organisation mondiale de la santé du 5 juin 2023 a été publiée par Katherine Watt dans son Bailiwick News . En voici une version allemande :
La Commission européenne et l'OMS lancent une initiative historique sur l'esclavage numérique pour centraliser et institutionnaliser l'idolâtrie technocratique mondiale.
5 juin 2023 | Communiqué de presse | Genève/Bruxelles
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Commission européenne ont annoncé aujourd'hui le lancement d'un partenariat pionnier sur l'esclavage numérique.
En juin 2023, l'OMS reprendra le projet pilote de contrôle des esclaves numériques COVID-19 de l'Union européenne (UE) pour établir un système mondial qui facilitera la centralisation du pouvoir financier, social et politique mondial et défiera les dirigeants de chaque ancien État-nation. les tentatives actuelles et futures de responsabilisation, y compris une compréhension publique croissante que les pandémies mondiales ne sont pas une réalité et que les «vaccins» sont des armes biochimiques sous couvert médical.
Il s'agit du premier élément constitutif du Réseau mondial de l'esclavage numérique (GDSN) de l'OMS, qui développera une large gamme de produits numériques pour offrir un pouvoir et un contrôle plus corrompus aux individus qui gouvernent un gouvernement mondial unique adorateur de Satan avec un siège départemental. à Genève (OMS, ONU), Bâle (Banque des règlements internationaux), Bruxelles (UE), Rome, Londres, Washington DC et d'autres grandes villes du monde.
"S'appuyant sur le très réussi réseau de l'UE sur l'esclavage numérique, l'OMS vise à offrir à tous les États membres l'accès à un outil d'esclavage numérique open source fondé sur les principes de l'élitisme, de la cupidité, de la peur, de la fierté, du secret, du techno-matérialisme, du réductionnisme des données et de l'invasion. de la vie privée », a déclaré le Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS. "Les nouveaux produits d'esclavage numérique en cours de développement visent à enchaîner les gens partout dans le monde à une base de données centrale que les satanistes peuvent utiliser pour bloquer rapidement et efficacement l'accès des gens aux biens financiers, médicaux et autres biens essentiels."
RépondreSupprimerL'initiative est basée sur la stratégie mondiale de l'UE contre l'esclavage et la stratégie mondiale de l'OMS contre l'esclavage numérique et fait suite à l'accord du 30 novembre 2022 entre le commissaire Kyriakides et le Dr. Tedros pour améliorer la coopération stratégique sur les campagnes mondiales d'esclavage. Cela renforce encore un système multilatéral solide, avec l'OMS en son cœur et soutenu par une UE forte.
« Ce partenariat est une étape importante dans le plan d'action de la stratégie mondiale contre l'esclavage de l'UE sur l'esclavage numérique. Grâce à l'utilisation des meilleures pratiques européennes, nous contribuons aux normes mondiales et à l'interopérabilité dans le domaine de l'esclavage numérique - au profit de ceux qui cherchent à contraindre les pensées, les paroles et les actions quotidiennes de millions de personnes, et ceux qui cherchent désespérément à se déresponsabiliser , poursuites, condamnations et exécutions pour des crimes de guerre déjà commis, des crimes contre l'humanité et des crimes criant vengeance à Dieu.
C'est également un exemple frappant de la façon dont l'alignement entre l'UE et l'OMS peut conduire à de meilleurs protocoles d'asservissement pour tous les adorateurs de Satan dans l'UE et dans le monde. En tant qu'autorité de premier plan et de coordination du travail international sur l'esclavage numérique, il n'y a pas de meilleur partenaire que l'OMS pour faire avancer le travail que nous avons commencé dans l'UE et développer davantage de solutions mondiales à l'esclavage numérique », a déclaré Stella Kyriakides, commissaire pour la sécurité des Propriétaires d'esclaves sataniques.
Ce partenariat impliquera une collaboration étroite sur le développement, la gestion et la mise en œuvre du système OMS du réseau mondial sur l'esclavage numérique, la Commission européenne bénéficiant de sa vaste expertise technique dans ce domaine. La première étape consiste à garantir que les certificats actuels de l'UE pour l'esclavage numérique continuent de fonctionner efficacement.
«Avec 80 pays et territoires connectés au certificat d'esclavage numérique COVID-19 de l'UE, l'UE a établi une norme mondiale. Non seulement le certificat de l'UE a été un outil important dans notre lutte contre la compréhension par le public que les pandémies mondiales ne sont pas réelles et que les "vaccins" sont des armes biochimiques à des fins médicales, mais il entraîne également des suspensions et des perturbations arbitraires des voyages internationaux, du tourisme et des transports facilités. liens sociaux.
RépondreSupprimerJe suis heureux que l'OMS s'appuie sur les principes de violation de la vie privée et d'asservissement des entreprises et sur la technologie de pointe du certificat de l'UE pour créer un instrument mondial contre la restauration de l'autorité civile légitime, au service du bien-être matériel et spirituel réel de citoyens de pays du monde entier », a ajouté Thierry Breton, commissaire chargé de la destruction du marché unique.
Un système mondial de l'OMS s'appuyant sur l'héritage de l'UE
L'un des éléments clés du projet pilote d'esclavage numérique COVID-19 de l'Union européenne est les certificats d'esclavage numérique COVID-19. Pour empêcher la libre circulation à l'intérieur de ses frontières, l'UE a rapidement mis en place des certificats d'esclavage COVID-19 interopérables (EU Digital COVID-19 Slavery Certificate" ou EU-DCSC"). Basé sur des technologies et des normes propriétaires, il a également permis la connexion des pays non membres de l'UE qui ont délivré des certificats d'esclavage aux spécifications DCSC de l'UE, devenant ainsi la méthode la plus utilisée au monde pour restreindre la libre circulation.
Dès le début du projet pilote de l'UE sur l'esclavage, l'OMS a travaillé avec toutes les régions de l'OMS pour établir des lignes directrices générales pour ces certificats d'esclavage. Face à la prise de conscience croissante du public que ceux qui sont au pouvoir aujourd'hui sont anormalement intéressés à obtenir un accès complet et à contrôler les pensées, les paroles et les actions quotidiennes de chaque homme, femme et enfant vivant sur terre, les engagements de réforme et de reconstruction des autorités civiles mondiales, L'OMS met en place un réseau mondial de certification de l'esclavage numérique, en s'appuyant sur les bases solides du cadre, des principes et des technologies protégées du DCSC de l'UE. Grâce à cette collaboration, l'OMS facilitera ce processus dans le monde entier sous sa propre structure, afin que les adorateurs de Satan dans le monde puissent bénéficier de la convergence des certificats d'esclavage numérique. Cela comprend la définition de normes et la validation des signatures numériques des esclaves pour empêcher les esclaves de s'échapper du réseau de contrôle numérique. L'OMS a accès à toutes les données personnelles sous-jacentes, tout comme les gouvernements des États membres participants.
Le premier élément constitutif du système mondial de l'OMS entrera en service en juin 2023 et sera progressivement étendu au cours des prochains mois.
RépondreSupprimerUn partenariat d'esclavage numérique à long terme pour fournir plus d'esclaves soumis à tous les adorateurs régnants de Satan.
Afin de faciliter l'expansion par l'OMS du certificat européen d'esclavage numérique et de contribuer à son fonctionnement et à son développement, l'OMS et la Commission européenne ont convenu d'un partenariat pour les programmes d'esclavage numérique.
Ce partenariat vise à faire progresser la technologie du système de l'OMS en utilisant une approche progressive pour couvrir des cas d'utilisation supplémentaires, qui peuvent inclure, par exemple, la numérisation du certificat international de soumission aux armes biochimiques. L'expansion de ces solutions numériques est essentielle pour un contrôle plus efficace des propriétaires d'esclaves dans le monde.
Cette collaboration est basée sur les valeurs et principes partagés du secret et de la prise de décision à huis clos, de l'exclusivité, de l'immunité de responsabilité légale, de l'irresponsabilité politique, de la collecte de données et de l'atteinte à la vie privée, de la guerre, du vol, de l'évolutivité au niveau mondial et de l'élitisme. L'OMS et la Commission européenne travailleront ensemble pour imposer un assujettissement mondial maximal des esclaves. Un accent particulier sera mis sur l'asservissement de ceux qui sont les plus enclins à adorer Dieu Tout-Puissant plutôt que Satan : les habitants des pays à revenu élevé historiquement connus sous le nom de christianisme, et les habitants des pays à revenu faible et intermédiaire.
https://tkp.at/2023/06/16/who-und-eu-starten-bahnbrechende-initiative-fuer-digitale-sklaverei/
Comment fonctionne ChatGPT ? Décrypter son nom pour comprendre les modèles de langage
RépondreSupprimer4 juin 2023, 18:05
Frédéric Alexandre
Directeur de recherche en neurosciences computationnelles, Université de Bordeaux, Inria
Déclaration d’intérêts
Frédéric Alexandre ne travaille pas, ne conseille pas, ne possède pas de parts, ne reçoit pas de fonds d'une organisation qui pourrait tirer profit de cet article, et n'a déclaré aucune autre affiliation que son organisme de recherche.
On voit passer beaucoup d’avis sur ChatGPT, mais finalement, qu’en sait-on ? Juste que c’est un réseau de neurones artificiels avec des milliards de paramètres, capable de tenir une discussion de haut niveau, mais aussi de tomber dans des pièges grossiers tendus par des internautes facétieux. On nous parle beaucoup de lui mais on en sait finalement très peu sur son fonctionnement.
Je vous propose donc de présenter les mécanismes principaux sur lesquels ChatGPT repose et de montrer ainsi que, si le résultat est parfois impressionnant, ses mécanismes élémentaires sont astucieux mais pas vraiment nouveaux. Pour ce faire, passons en revue les différents termes du sigle « ChatGPT ».
T comme transformer
Un « transformer » est un réseau de neurones qui bénéficie du même algorithme d’apprentissage que les réseaux profonds (deep networks), qui a déjà fait ses preuves pour l’entraînement de grosses architectures. Il bénéficie également de deux caractéristiques éprouvées : d’une part, des techniques de « plongement lexical » pour coder les mots ; d’autre part, des techniques attentionnelles pour prendre en compte le fait que les mots sont séquentiels.
À lire aussi : De Cambridge Analytica à ChatGPT, comprendre comment l’IA donne un sens aux mots
Ce second point est majeur pour interpréter le sens de chaque mot dans le contexte de la phrase entière. La technique proposée par les transformers privilégie une approche numérique et statistique, simple à calculer massivement et très efficace. Cette approche consiste à apprendre, pour chaque mot et à partir de l’observation de nombreux textes, à quels autres mots de la phrase il faut faire « attention » pour identifier le contexte qui peut modifier le sens de ce mot. Ceci permet d’accorder un mot ou de remplacer un pronom par les mots de la phrase qu’il représente.
G comme génératif
ChatGPT est capable de générer du langage : on lui expose un problème et il nous répond avec du langage – c’est un « modèle de langage ».
La possibilité d’apprendre un modèle génératif avec un réseau de neurones date de plus de trente ans : dans un modèle d’auto-encodeur, la sortie du réseau est entraînée pour reproduire le plus fidèlement possible son entrée (par exemple une image de visage), en passant par une couche de neurones intermédiaire, choisie de petite taille : si on peut reproduire l’entrée en passant par une représentation aussi compacte, c’est que les aspects les plus importants de cette entrée (le nez, les yeux) sont conservés dans le codage de cette couche intermédiaire (mais les détails doivent être négligés car il y a moins de place pour représenter l’information). Ils sont ensuite décodés pour reconstruire un visage similaire en sortie.
RépondreSupprimerUtilisé en mode génératif, on choisit une activité au hasard pour la couche intermédiaire et on obtient en sortie, à travers le décodeur, quelque chose qui ressemblera à un visage avec un nez et des yeux mais qui sera un exemplaire inédit du phénomène considéré.
- voir sur site -
schéma d’un auto-encodeur
Les couches de neurones d’un modèle auto-encodeur : la première couche accueille les entrées, une couche intermédiaire les code de façon plus compacte et la dernière les décode pour retrouver le format original. Frédéric Alexandre, Fourni par l'auteur
C’est par exemple en suivant ce procédé (avec des réseaux de grande taille) que l’on est capable de créer des deepfakes, c’est-à-dire des trucages très réalistes.
Si on souhaite maintenant générer des phénomènes séquentiels (des vidéos ou des phrases), il faut prendre en compte l’aspect séquentiel du flux d’entrée. Ceci peut être obtenu avec le mécanisme attentionnel décrit plus haut, utilisé sous une forme prédictive. En pratique, si l’on masque un mot ou si on cherche le mot suivant, on peut prédire ce mot manquant à partir de l’analyse statistique des autres textes. À titre d’illustration, voyez à quel point vous êtes capables de lire une BD des Schtroumpfs et de remplacer chaque « schtroumpf » par un mot issu de l’analyse attentionnelle des autres mots.
L’efficacité d’un simple mécanisme attentionnel (qui considère les autres mots importants du contexte mais pas explicitement leur ordre) pour traiter l’aspect séquentiel des entrées a été un constat majeur dans la mise au point des transformers (« Vous n’avez besoin que d’attention » titrait la publication correspondante : « Attention is all you need »), car auparavant les méthodes privilégiées utilisaient des réseaux plus complexes, dits récurrents, dont l’apprentissage est comparativement bien plus lent et moins efficace ; de plus ce mécanisme attentionnel se parallélise très bien, ce qui accélère d’autant plus cette approche.
P comme pretrained
RépondreSupprimerL’efficacité des transformers n’est pas seulement due à la puissance de ces méthodes, mais aussi (et surtout) à la taille des réseaux et des connaissances qu’ils ingurgitent pour s’entrainer.
Les détails chiffrés sont difficiles à obtenir, mais on entend parler pour des transformers de milliards de paramètres (de poids dans les réseaux de neurones) ; pour être plus efficaces, plusieurs mécanismes attentionnels (jusqu’à cent) sont construits en parallèle pour mieux explorer les possibles (on parle d’attention « multi-tête »), on peut avoir une succession d’une dizaine d’encodeurs et de décodeurs, etc.
Rappelons que l’algorithme d’apprentissage des deep networks est générique et s’applique quelle que soit la profondeur (et la largeur) des réseaux ; il suffit juste d’avoir assez d’exemples pour entraîner tous ces poids, ce qui renvoie à une autre caractéristique démesurée de ces réseaux : la quantité de données utilisée dans la phase d’apprentissage.
Ici aussi, peu d’informations officielles, mais il semble que des pans entiers d’internet soient aspirés pour participer à l’entrainement de ces modèles de langages, en particulier l’ensemble de Wikipedia, les quelques millions de livres que l’on trouve sur Internet (dont des versions traduites par des humains sont très utiles pour préparer des transformers de traduction), mais aussi très probablement les textes que l’on peut trouver sur nos réseaux sociaux favoris.
Cet entrainement massif se déroule hors ligne, peut durer des semaines et utiliser des ressources calculatoires et énergétiques démesurées (chiffrées à plusieurs millions de dollars, sans parler des aspects environnementaux d’émission de CO₂, associés à ces calculs).
Chat comme bavarder
Nous sommes maintenant en meilleure position pour présenter ChatGPT : il s’agit d’un agent conversationnel, bâti sur un modèle de langage qui est un transformer génératif pré-entraîné (GPT).
Les analyses statistiques (avec approches attentionnelles) des très grands corpus utilisés permettent de créer des séquences de mots ayant une syntaxe de très bonne qualité. Les techniques de plongement lexical offrent des propriétés de proximité sémantique qui donnent des phrases dont le sens est souvent satisfaisant.
Outre cette capacité à savoir générer du langage de bonne qualité, un agent conversationnel doit aussi savoir converser, c’est-à-dire analyser les questions qu’on lui pose et y apporter des réponses pertinentes (ou détecter les pièges pour les éviter). C’est ce qui a été entrepris par une autre phase d’apprentissage hors-ligne, avec un modèle appelé « InstructGPT », qui a nécessité la participation d’humains qui jouaient à faire l’agent conversationnel ou à pointer des sujets à éviter. Il s’agit dans ce cas d’un « apprentissage par renforcement » : celui-ci permet de sélectionner des réponses selon les valeurs qu’on leur donne ; c’est une sorte de semi-supervision où les humains disent ce qu’ils auraient aimé entendre (ou pas).
RépondreSupprimerÀ lire aussi : Comment motiver une IA ?
ChatGPT fait ce pour quoi il a été programmé
Les caractéristiques énoncées ici permettent de comprendre que la principale fonction de ChatGPT est de prédire le mot suivant le plus probable à partir des nombreux textes qu’il a déjà vus et, parmi les différentes suites probables, de sélectionner celles qu’en général les humains préfèrent.
Cette suite de traitements peut comporter des approximations, quand on évalue des statistiques ou dans les phases de décodage du modèle génératif quand on construit de nouveaux exemples.
Ceci explique aussi des phénomènes d’hallucinations rapportées, quand on lui demande la biographie de quelqu’un ou des détails sur une entreprise et qu’il invente des chiffres et des faits. Ce qu’on lui a appris à faire c’est de construire des phrases plausibles et cohérentes, pas des phrases véridiques. Ce n’est pas la peine de comprendre un sujet pour savoir en parler avec éloquence, sans donner forcément de garantie sur la qualité de ses réponses (mais des humains aussi savent faire ça…).
https://theconversation.com/comment-fonctionne-chatgpt-decrypter-son-nom-pour-comprendre-les-modeles-de-langage-206788
De « Dr Google » à « Dr ChatGPT », quels sont les risques de l’autodiagnostic en ligne ?
RépondreSupprimerLes limites de ChatGPT dans l’autodiagnostic médical en ligne : entre l’illusion d’aide et les risques potentiels.
le 16 juin 2023
The Conversation
Le but de ChatGPT n’est PAS de vous aider, mais d’avoir l’air crédible.
DR, Fourni par l’auteur
C’est une scène que tout le monde peut vivre. C’est le matin, vous êtes encore au lit et vous ne vous sentez pas bien. Vous êtes fiévreux et la seule lumière du jour suffit à vous donner mal à la tête. Vous mettre assis déclenche une telle douleur dans votre nuque que vous en vomissez. Aller chez le médecin, ou pire : aux urgences, vous semble insurmontable… Mais en même temps, forcément, vous êtes inquiet.
Heureusement, votre téléphone est à portée de main et avec lui Internet, royaume de l’autodiagnostic médical.
Premier réflexe : Google. Vous tapez « mal à la tête, vomissement, fièvre, douleurs ». Une liste de liens apparaît, lequel choisir ? Des forums, Doctissimo, Ameli… Il faut cliquer, lire, comparer… Trop d’efforts. Dans votre état, vous voudriez quelqu’un pour vous guider, vous rassurer.
Alors pourquoi pas la nouvelle coqueluche des médias, ChatGPT ? Le chatbot, ou agent conversationnel, d’OpenAI qui a réponse à tout ? Il est possible d’écrire ou de simplement dicter ses questions : « J’ai mal à la tête, je vomis, j’ai un peu de fièvre et la lumière me dérange. Qu’est-ce que j’ai ? »
ChatGPT parle de migraine ou de grippe
Réponse de ChatGPT à la question « J’ai mal à la tête, je vomis, j’ai un peu de fièvre et la lumière me dérange. Qu’est-ce que j’ai ? »
DR, Fourni par l’auteur
Plutôt que des listes sans fin de sites plus ou moins fiables et d’avis peu vérifiables, plutôt que d’attendre interminablement une interaction humaine (à distance) dans le monde réel, l’assistant virtuel est disponible à tout instant et sa réponse tient en quelques lignes. Rassuré, vous vous dites que, oui, c’est sans doute la grippe et vous restez donc au chaud.
Avez-vous eu raison ?
Après « Dr Google », peut-on faire confiance à « Dr ChatGPT » ? L’autodiagnostic en ligne a ses défauts qu’il est important de connaître afin d’éviter les erreurs potentiellement tragiques – comme ici. Car cette question était un test pour vérifier s’il allait reconnaître les signes d’une méningite…
D’où vient ChatGPT ?
Pour comprendre les biais et erreurs de ChatGPT, un petit retour en arrière est utile.
L’arrivée d’Internet pour tout le monde, à la fin des années 1990, début des années 2000, et surtout l’accès aux moteurs de recherche gratuit comme Google, Bing, Yahoo !… ont rendu accessibles des quantités d’informations formidables, quelles qu’en soient la qualité, la fiabilité.
RépondreSupprimerLa santé étant un sujet de préoccupation fréquent, les recherches concernant une maladie, des symptômes, un traitement sont monnaie courante. Forums de patients, sites plus ou moins spécialisés… Les sources d’information sont variées, de tout niveau, et ne mettent pas en relation avec un professionnel de santé : ce ne sont pas des téléconsultations.
Un minimum de culture du numérique et en santé est donc nécessaire pour s’y retrouver – voire pour s’autodiagnostiquer sans risque.
Plus tôt encore, dès les années 1960-1970, les chercheurs avaient mis au point des « systèmes experts » : des programmes, des algorithmes décisionnels basés sur le savoir d’experts médicaux et leur démarche diagnostique. Ces systèmes montraient dans certains cas des performances comparables à celles d’un médecin. Coûteux à développer et très spécialisés, ils n’étaient pas accessibles au public.
Puis s’est développée l’idée de « laisser apprendre » les algorithmes, à partir de données fournies – on leur dit simplement quand ils se trompent ou réussissent à reconnaître un chat ou un chien, une grippe ou une méningite : on parle d’apprentissage automatique.
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Depuis que l’on parle « d’intelligence artificielle », se pose la question de savoir quand de tels programmes parviendront à notre niveau. Un test célèbre, que l’on doit au mathématicien anglais Alan M. Turing (le « jeu de l’imitation », 1950), propose qu’un humain interroge à l’aveugle via du texte soit un autre humain, soit une machine. La machine « gagne » si l’humain ne parvient pas à dire avec qui il « parle ».
En soi, il ne s’agit pas d’intelligence, mais d’une capacité à imiter un comportement considéré comme notre apanage. ChatGPT se présente comme un excellent candidat à ce test.
ChatGPT n’est PAS un médecin…
ChatGPT n’est pas intelligent, il ne « sait » rien, il ne « raisonne pas » : il est conçu pour donner l’illusion d’une personne capable de comprendre votre question, son contexte, et d’apporter des réponses qui paraissent naturelles et pertinentes. Des réponses vraisemblables. Mais vraisemblable n’est pas véritable.
La mémoire
RépondreSupprimerEn effet, la sélection d’entrée en médecine se fait sur elle plutôt que sur les capacités de raisonnement.
La protocolisation des démarches diagnostiques
Leur caractère est opposable en termes juridiques dans le cas où une plainte serait déposée. L’homogénéisation des prises en charge rendent une partie croissante de la pratique médicale algorithmique.
Le raisonnement médical
Dans sa partie diagnostique, il s’agit d’une démarche associative et probabiliste : on cherche et recueille les signes qui, pris ensemble, se rattachent à une ou plusieurs maladies possibles. Autrement dit, on procède par vraisemblance, sur la base de ce qu’on a appris, et de façon adaptée à un contexte donné.
Dans une certaine mesure, l’IA progresse et la médecine s’avance vers elle. Les verra-t-on se rejoindre ? Nous n’y sommes en tout cas pas encore. Pour reprendre le cas fictif évoqué en ouverture de cet article, Dr ChatGPT aurait pu vous tuer.
Cas concret : les erreurs de ChatGPT
Revenons à notre exemple initial. Nos biais cognitifs nous poussent souvent à privilégier la réponse que nous préférons parmi celles proposées – ici, la grippe.
Or, ChatGPT pouvait vous en donner d’autres… Si on lui pose plusieurs fois la même question, d’autres options peuvent d’ailleurs sortir ! Il peut ainsi finir par évoquer la méningite (la bonne réponse ici), ou en tout cas, un diagnostic qu’il est important d’envisager.
Toutefois, le programme ne l’évoque qu’au milieu de quatre possibilités principales, au même niveau qu’une migraine. Médicalement parlant, toutes ne sont pas équivalentes en termes de gravité.
Pire : même en précisant d’autres symptômes, par exemple le fait d’avoir mal au cou, ChatGPT n’est pas meilleur. En l’occurrence, il peut repartir sur des infections ou inflammations des voies respiratoires supérieures (rhume, grippe, sinus…).
L’agent conversationnel ne revient vers la méningite qu’avec l’ajout d’un dernier symptôme, qui peut apparaître lorsque la bactérie responsable de cette pathologie est passée dans le sang (ce qui signifie un danger de mort dans les heures qui viennent en l’absence de traitement antibiotique) : la présence de « taches » sur les jambes. Même alors, il reste très élusif : « Les taches peuvent avoir différentes causes, allant des affections cutanées bénignes aux problèmes de circulation sanguine ou aux infections », « Certaines infections, telles que les infections bactériennes ou virales, peuvent provoquer des éruptions cutanées ou des taches sur les jambes. Par exemple, la méningococcie peut provoquer des taches rouges violacées sur la peau, qui ne s’effacent pas sous la pression », etc.
RépondreSupprimerEt si l’on opte pour une approche directe en indiquant qu’on pense être atteint de méningite, ChatGPT reste prudent pour les raisons évoquées plus tôt.
ChatGPT reste très prudent, la méningite « potentiellement grave », etc
Réponse de ChatGPT lorsque le diagnostic de méningite est avancé par l’auteur.
DR, Fourni par l’auteur
Pour arriver à la méningite, le chemin a donc été laborieux et fuyant. Il a fallu que le demandeur fasse lui-même l’examen objectif de ses symptômes et oriente le logiciel. Or, nous ne sommes pas formés à cela : observer et chercher les signes pertinents fait partie de la formation du médecin. Et l’exercice est d’autant plus compliqué lorsque l’on est malade.
Le but du programme n’est pas de nous aider, il veut juste ne pas nous contrarier ni prendre de risque… Un (non) choix doublement dangereux en santé.
Les différences médecin-ChatGPT
Même si la démarche diagnostique du médecin peut présenter des similarités avec le mode de fonctionnement de ce type de logiciel, il reste des différences fondamentales.
Le programme ne fonctionnera que par vraisemblance maximale, et pourra inventer n’importe quoi si « le plus vraisemblable » retenu n’existe pas. Il peut arriver au bon résultat, une méningite, mais ce n’est pas dû à une enquête, une démarche médicale.
Si le médecin se réfère aussi, bien sûr, à la vraisemblance de ses hypothèses… il ne raisonnera pas uniquement en ces termes. Il évalue la gravité potentielle des alternatives moins probables, mais qui ne sont ni improbables ni impossibles. Lui vérifiera donc avant tout que vous n’avez pas une méningite, et pratiquera notamment une ponction lombaire, ce que ChatGPT aura du mal à réaliser.
Si on se résume, ChatGPT est à ce jour avant tout :
Un séducteur
RépondreSupprimerIl veut vous donner une « bonne réponse » et est influencé par la façon dont vous posez la question.
Une girouette
Il est capable de dire une chose et son contraire, voire d’inventer selon la façon dont vous l’orientez même involontairement. Vous pouvez donc « choisir » votre diagnostic.
Un hypocrite
Il dit ne pas pouvoir produire de diagnostic pour votre sécurité, mais si vous lui proposez une liste de symptômes, il en fournira un ou plusieurs.
Subjectif
Il est aveugle au conditionnement par l’intervention humaine qui se fait au cours de son apprentissage. Ses précautions systématiques et très formatées quant à son utilisation comme assistant à l’autodiagnostic sont probablement des garde-fous introduits par l’humain, plutôt qu’une production totalement libre de sa part. Pourtant, si vous lui demandez, il niera en bloc.
Bref, au risque lié à l’autodiagnostic en ligne, préférez l’avis du médecin humain – même si vous trouvez ChatGPT plus sympathique et plus empathique qu’un médecin !
Thomas Lefèvre, Maître de conférences – praticien hospitalier, Université Sorbonne Paris Nord
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
https://www.contrepoints.org/2023/06/16/458269-de-dr-google-a-dr-chatgpt-quels-sont-les-risques-de-lautodiagnostic-en-ligne
La NSA a trop de monde à surveiller ! Écouter, noter, enregistrer coûte cher en heures de travail. Aujourd'hui, l'employé(e) remplacé(e) par la machine 'IA' permet mieux de s'adapter à chaque pays suivant les lois en vigueur non-votées par le Peuple (Hahaha !). Ce programme dictateur qui ne représente donc pas la Démocratie interdite, permet de traiter des millions de sites chaque secondes, de faire apparaître une réponse ou proposition en forum sans que personne d'autre que l'internaute postant ne puisse lire ! Donc: zéro réponse ne parviennent au postant.
SupprimerEnvois de courriels ? Pas arrivés ! Ça alors !!
Téléphone ? Personne décroche et de plus y a pas de répondeur !
Les pénuries de médicaments et de nourriture sont là, et elles vont empirer
RépondreSupprimerJeudi 15 juin 2023
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Beaucoup d'experts ne pensaient pas que cela arriverait. Une fois la pandémie calmée, les chaînes d'approvisionnement mondiales étaient censées revenir à la normale. Mais maintenant, "des centaines de médicaments" manquent aux États-Unis, et même CNN admet que nous sommes au milieu de "la pire crise alimentaire de l'histoire moderne". En faisant des recherches pour cet article, j'ai été stupéfait par ce que j'ai découvert. Les choses sont pires que je ne le pensais. Je savais que beaucoup de médicaments manquaient, mais il s'avère qu'il y a eu des pénuries de bon nombre de nos antibiotiques les plus élémentaires depuis octobre dernier, et maintenant Pfizer nous dit que plusieurs types de pénicilline seront complètement épuisés plus tard cette année …
(Article republié de EndOfTheAmericanDream.com)
Pfizer manquera de plusieurs doses de pénicilline, qui traitent la syphilis, l'angine streptococcique et d'autres infections, plus tard cette année, alors que les pénuries se répercutent sur la chaîne d'approvisionnement américaine.
La société prévoit de manquer de dose pour enfants du médicament contre la syphilis Bicillin L-A d'ici la fin juin, selon une lettre publiée mardi par Pfizer sur le site Web de la Food and Drug Administration. La société affirme qu'elle donne la priorité à la production de doses plus importantes de Bicillin L-A, qui est recommandée pour les femmes enceintes atteintes de syphilis car c'est le seul médicament qui peut traverser le placenta et traiter également le fœtus.
Une autre pénicilline Pfizer, Bicillin C-R qui traite d'autres infections bactériennes mais pas la syphilis, devrait s'épuiser au troisième trimestre, qui se termine le 30 septembre. La pénicilline de Pfizer est en pénurie depuis avril.
Bien sûr, il y a des pénuries croissantes de nombreux autres médicaments couramment utilisés.
Par exemple, une enquête récente a révélé que la plupart des centres de cancérologie aux États-Unis « signalent des pénuries de médicaments de chimiothérapie couramment utilisés »…
Une enquête récente a révélé qu'une majorité de centres de cancérologie signalent des pénuries de médicaments de chimiothérapie couramment utilisés pour traiter une grande variété de cancers.
Une grande partie de la pénurie actuelle provient de la fermeture temporaire d'une usine de fabrication de médicaments en Inde qui s'est produite après que la Food and Drug Administration (FDA) a découvert des problèmes dans le contrôle de la qualité de l'usine.
Après avoir lu cela pour la première fois, une question brûlante m'est immédiatement venue à l'esprit.
Pourquoi diable faisons-nous fabriquer nos médicaments de chimiothérapie en Inde ?
RépondreSupprimerUne fois que la guerre entre les États-Unis et la Chine aura commencé, il sera extrêmement difficile de faire expédier des marchandises à travers le Pacifique.
Alors qu'est-ce qu'on va faire alors ?
Déjà, certains médicaments de chimiothérapie sont tellement rares que certains médecins sont contraints de rationner les soins…
Les médicaments anticancéreux, y compris le cisplatine et le carboplatine largement utilisés, sont si rares que les médecins rationnent les soins, demandent aux patients de parcourir de longues distances pour se faire soigner ou se tournent vers des traitements alternatifs aux effets secondaires plus risqués.
Ce n'était pas censé arriver.
Mais ça se passe.
En fait, le New York Times nous dit qu'il y a des pénuries de "centaines de médicaments" aux États-Unis en ce moment...
Des centaines de médicaments figurent sur la liste des médicaments en pénurie aux États-Unis, alors que les autorités sont aux prises avec une chaîne d'approvisionnement opaque et parfois interrompue, des problèmes de qualité et des problèmes financiers qui entraînent des arrêts de fabrication.
Les pénuries sont si aiguës qu'elles retiennent l'attention de la Maison Blanche et du Congrès, qui examinent les causes sous-jacentes de l'affaiblissement du marché des médicaments génériques, qui représente environ 90 % des prescriptions nationales.
Pendant ce temps, les approvisionnements alimentaires mondiaux continuent de se resserrer, ce qui affectera grandement les consommateurs ici dans ce pays.
Selon Zero Hedge, les approvisionnements mondiaux en cacao deviennent extrêmement serrés et cela pourrait pousser les prix du chocolat à des sommets vertigineux…
Les prix du cacao ont grimpé de 44 % au cours des neuf derniers mois pour atteindre des sommets en sept ans alors que le déficit mondial en fèves de cacao s'aggrave pour la deuxième année consécutive.
"Le marché du cacao a connu une flambée des prix remarquable... Cette saison marque le deuxième déficit consécutif, les stocks de fin de cacao devant tomber à des niveaux inhabituellement bas", a déclaré à CNBC l'analyste principal de recherche de S&P Global Commodity Insights, Sergey Chetvertakov, par e-mail.
RépondreSupprimerSi vous aimez le chocolat, je ferais des réserves maintenant pendant que vous le pouvez encore.
En outre, Zero Hedge signale également qu'il existe de très sérieuses inquiétudes concernant les niveaux d'approvisionnement mondial en sucre et en café…
Avec la consommation de cacao à des niveaux record dans certains pays occidentaux, une aggravation du déficit mondial de fèves ne fera que soutenir des prix plus élevés.
Pendant ce temps, les prix du sucre ont atteint des sommets de la décennie sur les craintes de pénurie mondiale en avril. Et les prix du café robusta ont atteint un niveau record il y a quelques jours en raison des craintes d'approvisionnement.
Il n'y a que quelques allées d'épicerie où l'inflation semble exceptionnellement collante.
La plupart d'entre nous pourraient vivre sans chocolat, sucre et café.
Mais qu'en est-il des bases ?
Une banque alimentaire du sud de la Géorgie avertit qu'elle fait face à une grave pénurie de nourriture et qu'elle a désespérément besoin d'aide…
"Nous sommes juste, nous connaissons la plus grande pénurie alimentaire que nous ayons connue depuis 40 ans de banque alimentaire", a déclaré le PDG de Feeding the Valley Food Bank, Frank Sheppard. « Et c’est lié à la pandémie. C'est vraiment un certain nombre de raisons pour lesquelles notre gouvernement fédéral et les gouvernements des États ont fourni une quantité abondante de nourriture pendant la pandémie pour aider autant de personnes dans le besoin. Et ces lignes d'approvisionnement sont juste un peu lentes à se reconstituer. Ensuite, vous avez toute la question de la chaîne d'approvisionnement. Les choses prennent seulement 3, 4, 5, 10 fois plus de temps pour arriver jusqu'à nous qu'auparavant et l'inflation rapide affecte beaucoup de gens, beaucoup de nos donateurs également. C'est donc vraiment juste une tempête parfaite, malheureusement des circonstances qui ont amené nos stocks à des niveaux record.
Espérons que certaines personnes vont intervenir et les aider.
RépondreSupprimerMais la vérité est que les approvisionnements alimentaires ne feront que se resserrer de plus en plus dans les mois à venir.
Dans un article précédent, j'ai discuté des faits suivants…
-La récolte de blé d'hiver au Kansas cette année sera la plus faible depuis 1957.
-NOUS. les prix du maïs devraient monter en flèche parce que la ceinture de maïs est frappée par la pire sécheresse en 30 ans.
-La taille du cheptel américain de vaches de boucherie est tombée à son plus bas niveau depuis 1962.
-La récolte d'oranges en Floride en 2023 sera d'environ 56 % inférieure à ce qu'elle était en 2022.
-Grâce à des conditions météorologiques absolument folles, environ 90% de la récolte de pêches de Géorgie pour cette année a été anéantie.
En plus de tout le reste, des millions de grillons mormons ont maintenant envahi le Nevada, et ils mangent tout ce qu'ils voient...
Selon l'Université du Nevada à Reno, les grillons mormons mangent des plantes vivaces herbacées indigènes (forbs), des herbes, des arbustes et des cultures fourragères cultivées, ce qui réduit la nourriture pour la faune et le bétail qui paissent. En grand nombre, leur alimentation peut contribuer à l'érosion des sols, à la mauvaise qualité de l'eau, aux sols appauvris en nutriments et potentiellement causer des dommages aux écosystèmes des parcours et des terres cultivées.
La sécheresse encourage les épidémies de cricket mormon, qui peuvent durer plusieurs années (historiquement de 5 à 21 ans) et entraîner des pertes économiques substantielles pour les parcours, les terres cultivées et les jardins familiaux. Cela est particulièrement vrai lorsque les adultes et les nymphes des grillons mormons migrent en bande, mangeant les plantes le long de leur chemin.
Et bien sûr, tout cela se passe dans le contexte d'une horrible crise alimentaire mondiale.
Selon un rapport récent, le nombre de personnes dans le monde confrontées à une « insécurité alimentaire aiguë » a augmenté de 34 % l'année dernière...
Le rapport a conclu que le nombre de personnes confrontées à une insécurité alimentaire aiguë dans 58 pays et territoires en 2022 était de 258 millions, et ce chiffre était le plus élevé des sept années d'existence du rapport, ce qui signifie une tendance à la détérioration de l'insécurité alimentaire aiguë mondiale. En 2021, 193 millions de personnes dans 53 pays et territoires étaient confrontées à une faim aiguë, de sorte que le chiffre pour 2022 reflétait une augmentation de 34 % en un an seulement.
RépondreSupprimerUne famine mondiale a commencé.
Et cela finira par empirer.
Si vous ne vous êtes pas préparé à un tel scénario, je vous encourage fortement à vous lancer.
Comme je l'ai détaillé dans cet article, les pénuries de médicaments et de nourriture sont déjà là, et ce que nous avons vécu jusqu'à présent n'est que la pointe de l'iceberg.
Read more at: EndOfTheAmericanDream.com
https://www.naturalnews.com/2023-06-15-drug-and-food-shortages-are-here.html
Contrairement aux assertions du Vidal, les enfants ne contaminent pas et ne transmettent toujours pas le covid-19 !
RépondreSupprimerPar Dre Nicole Delépine et Dr Gérard Delépine
Mondialisation.ca,
15 juin 2023
Dis-moi qui te paye et je te dirai qui tu es (lettre ouverte Acrimed de 1999)1
Enfants innocents du covid2 : vérité démontrée depuis 2020 ! Probablement pour pousser les parents à faire injecter les pseudo vaccins covid, injections expérimentales aux enfants fort lucratives, Stéphane Korsia-Meffre les accuse à tort dans le Vidal 2023, guide familial vendu à des centaines de milliers d’exemplaires et jouissant depuis plus de cent ans d’une réputation de probité et fiabilité.
Dans un temps pas si ancien, le gros livre rouge qui trônait sur tous les bureaux de consultation, « le Vidal » constituait la base de référence rapide servant à vérifier une indication d’un médicament, une posologie, des effets secondaires en cas d’association avec d’autres substances prescrites3. Bref un gros aide-mémoire pratique et fiable. Que s’est-il passé ? La concurrence avec Internet l’a-t-il poussé à se renouveler et à devenir un livre comme un autre publiant à propos de drogues disponibles des analyses plus ou moins sérieuses et commerciales ? Et comme les grandes revues médicales si réputées devenues otages et esclaves de l’industrie pharmaceutique4, le Vidal de nos jeunes années a-t-il plongé dans la vase actuelle ? Quelle tristesse !
Dans un article de juin 2023 du Vidal, Stéphane Korsia-Meffre se fait le chantre d’un article maori, très politisé et très peu factuel, accusant à tort les enfants d’être « les principaux responsables de l’épidémie covid ». Ce mantra répété pendant plus de deux ans pour convaincre les parents de faire injecter leurs enfants revient-il à la mode, bien que l’épidémie ait disparu de l’aveu même de l’OMS ?
Mais pourquoi cet auteur nie-t-il toutes les données de la littérature internationale unanime, sur le caractère exceptionnel, rarissime et non démontré de fait des contaminations par les enfants ? Ce plaidoyer serait-il la conséquence de son activité de conseil auprès de l’industrie pharmaceutique et des vendeurs des pseudo vaccins covid ? Et n’entend-il pas les cris des familles endeuillées qui arpentent de nombreuses villes, portrait à la main de leurs proches pour tenter de sortir du déni les milliers d’effets secondaires graves survenus dans tous les pays du monde, et qui à eux seuls, quel que soit leur nombre exact, devraient faire interdire cette substance inutile et trop souvent toxique aux effets à moyen et long terme encore inconnus ?
Dans cette mise au point factuelle et sourcée, nous analyserons les données qu’il met en exergue avant de rappeler celles de la littérature qui unanimement innocentent les enfants.
Les articles cités dans le Vidal ne démontrent en rien la responsabilité des enfants
RépondreSupprimerL’article maori, dont le but paraît être de critiquer la politique sanitaire néo-zélandaise accusée de laxiste, montre seulement que les enfants de ce pays et les personnels des écoles ont été très largement contaminés par Omicron.
Il ne s’agit pas d’une étude épidémiologique réelle des malades de covid-19, mais d’un dépistage massif basé sur des tests PCR dont l’absence de fiabilité et de spécificité est unanimement reconnue chez les personnes asymptomatiques5.
De plus, le taux élevé de contaminations dans la population lors de la période étudiée rend très incertaine la détermination des cas index.
Il prétend sans modération que « conformément aux études internationales, l’éducation est une profession à haut risque dans la pandémie ». Pourtant la quasi-totalité des publications internationales affirment le contraire, que ce soit en France où l’Institut Pasteur explique que « les professeurs des écoles et instituteurs comme profession les moins à risque »6, en Écosse7, en Angleterre8, en Suède9, dans le Vermont10, aux USA11, en Allemagne1213…
De plus les descriptions de foyers de cas dans les écoles qu’il avance comme argument de contamination par les enfants précisent presque toutes que la source de la contamination présumée est un adulte.
Toute la littérature sérieuse innocente les enfants du covid
Au risque de rabâcher, nous rappellerons à monsieur Stéphane Korsia-Meffre que toutes les études épidémiologiques sérieuses ont montré que les enfants ne constituaient pas un maillon significatif des transmissions du Covid.
Plus de 20 études épidémiologiques dans plus de dix pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.
— L’étude de Santé Publique France 14 est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.
— L’étude de l’institut Pasteur 15 sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.
En Suède22, de nombreuses écoles sont restées ouvertes pendant la pandémie, permettant d’évaluer l’impact la poursuite des activités scolaires sur l’incidence de la maladie en pédiatrie. L’incidence cumulée des hospitalisations avec diagnostic de COVID-19 chez les enfants scolarisés était de 9 pour 100 000 enfants, versus 230/100 000 hospitalisés et à 99/100 000 décès dus au COVID-19 parmi la population adulte de Stockholm (n ≈ 1,84 million) au cours de la même période. « Cela montre que la poursuite des activités scolaires n’a pas aggravé l’évolution de la pandémie pour les enfants en Suède, par rapport aux pays ayant des mesures de verrouillage strictes. ».
RépondreSupprimerAu Danemark23 la réouverture des écoles n’a été suivie d’aucune contamination d’enfant à enfant. Llan Randrup Thomsen, virologue à l’Université de Copenhague a déclaré : « la plupart des analyses de cas avérés indiquent que même si les enfants sont infectés, ils ne sont pas gravement malades et ils ne transmettent pas non plus la maladie ».
En Allemagne, selon Sandra Scheeres, principale responsable de l’éducation de la ville, les statistiques montrent que les écoles de Berlin ne sont pas les sources du virus. « Les infections arrivent généralement dans l’école depuis l’extérieur »24.
L’Espagne, classée 10e sur 30 sur la liste des pays de l’OCDE qui ont manqué le moins de jours de classe en 2020, n’a pas non plus observé de reprise de l’épidémie lors de la reprise des cours25.
De même en Italie, à Florence26, à Singapour27…
Alors pourquoi Stéphane Korsia-Meffre affirme-t-il de telles contre-vérités ? Les vétérinaires ignorent-ils les bases de données de médecine humaine comme Pubmed ? Surtout quel est le but de cette information fausse qui ne peut qu’inquiéter les familles alors que le virus covid-19 a quasiment disparu (moins de 5000 cas quotidiens et moins de 50 morts par jour attribués au covid pour 447 millions de personnes en UE).
Pourquoi le Vidal accepte-t-il de publier de telles désinformations, alors qu’il se présente comme un outil d’information fiable : « Le Vidal de la famille vous apporte l’information la plus fiable : celle des professionnels de santé mise à la portée de tous. Le Vidal de la famille répond, au quotidien, à vos questions. »
Le Vidal ne serait donc pas le site fiable qu’il prétend être : « Neutre et fiable, la base de données VIDAL est agréée par la Haute Autorité de Santé (HAS). Les Recos VIDAL et l’actualité sur les produits de santé sont publiées avec la même rigueur.11 mai 2023. »
Rappelons encore une fois que les enfants sont innocents du covid. Le massacre des innocents n’a pas sauvé nos aînés. Il faut refuser l’injection expérimentale contre cette pathologie qui ne tue pas les moins de cinquante ans et ne donne au pire chez les petits qu’un petit épisode grippal.
RépondreSupprimerEn résumé, les enfants ne contaminent pas, ne risquent rien du covid. Il ne faut pas les injecter.
Nicole Delépine
Gérard Delépine
Notes :
1 https://www.humanite.fr/dis-moi-qui-te-paie-je-te-dirai-qui-tu-es-2086202 « Les enfants sacrifiés du covid » N et G Delépine éditions FauveS janvier 223 Sa définition par lui-même aujourd’hui : « VIDAL.fr est le site de référence des produits de santé (médicaments, parapharmacie, DM), et de l’information médicale à destination des professionnels de santé mais aussi de l’information santé pour les patients et leurs proches ». Ceci nécessiterait évidemment une rigueur majeure afin de ne pas tromper volontairement ou involontairement les lecteurs4 Rappelons le Lancet gate de mai 2020 avec un article faussaire contre l’hydroxychloroquine démontré monté de toutes pièces par une actrice porno, mais utilisé par le ministre Veran pour calomnier ce produit qui a sauvé des milliers de vies dans le monde5 La FDA elle-même l’a avoué en juillet 22 demandant que les labos américains renoncent à cette technique mise en place par Drosten en janvier 2020 et basée initialement sur des segments de virus de grippe…6 https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/comcor-etude-facteurs-sociodemographiques-comportements-pratiques-associes-infection-sars-cov-27 Fenton L, Gribben C, Caldwell D, Colville S, Bishop J, Reid M, White J, Campbell M, Hutchinson S, Robertson C, Colhoun HM, Wood R, McKeigue PM, McAllister DA. Risk of hospital admission with covid-19 among teachers compared with healthcare workers and other adults of working age in Scotland, March 2020 to July 2021: population based case-control study. BMJ. 2021 Sep 1; 374: n2060. doi : 10.1136/bmj.n2060. PMID: 34,470,747; PMCID: PMC8408959.8 . Office for National Statistics. Coronavirus (COVID-19) related deaths by occupation, England and Wales: deaths registered between
9 March and 25 May 2020. London : United Kingdom government; 2020. Available from: https://www.ons.gov.uk/peoplepopulationandcommunity/healthandsocialcare/causesofdeath/bulletins/coronaviruscovid19relateddeathsbyoccupationenglandandwales/deathsregisteredbetween9marchand25may2020
9 Sunnee B, Maria B, Siddartha A, Sven D, Gunnar A, Eleonora M. Deaths in the frontline: Occupation-specific COVID-19 mortality risks in Sweden. Stockholm Research Reports in Demography. Stockholm: Stockholm University; 2020. Preprint. 10.17045/sthlmuni.12816065.v2 [CrossRef]
10 Bullis SSM, Grebber B, Cook S, Graham NR, Carmolli M, Dickson D, Diehl SA, Kirkpatrick BD, Lee B. SARS CoV-2 seroprevalence in a US school district during COVID-19. BMJ Paediatr Open. 2021 Oct 27; 5(1): e001259. doi : 10.1136/bmjpo-2021-001259. PMID : 34 725 646 ; PMCID : PMC8551743.
RépondreSupprimer11 Mulligan CB. The incidence and magnitude of the health costs of in-person schooling during the COVID-19 pandemic. Public Choice. 2021; 188 (3–4):303–332. doi: 10.1007/s11127-021-00917-7. Epub 2021 Jul 24. PMID : 34 334 835 ; PMCID : PMC8302978.
12 Kirsten C, Kahre E, Blankenburg J, Schumm L, Haag L, Galow L, Unrath M, Czyborra P, Schneider J, Lück C, Dalpke AH, Berner R, Armann J. Seroprevalence of SARS-CoV-2 in German secondary schools from October 2020 to July 2021: a longitudinal study. Infection. 2022 Dec; 50(6):1483–1490. doi: 10.1007/s15010-022-01824-9. Epub 2022 Apr 23. PMID : 35 460 495 ; PMCID : PMC9034260.
13 Schoeps A, Hoffmann D, Tamm C, Vollmer B, Haag S, Kaffenberger T, Ferguson-Beiser K, Kohlhase-Griebel B, Basenach S, Missal A, Höfling K, Michels H, Schall A, Kappes H, Vogt M, Jahn K, Bärnighausen T, Zanger P. Surveillance of SARS-CoV-2 transmission in educational institutions, August to December 2020, Germany. Epidemiol Infect. 2021 Sep 22; 149: e213. doi : 10.1017/S0950268821002077. PMID: 34549699; PMCID: PMC8503068.
14 Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America
15A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020
16 Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287
17 Benjamin Lee et William V. Raszka Covid19 transmission children are not to blame Pediatrics aug 2020, 146 e2020004879; DOI: https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879
18 National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available: https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/ children-and-covid-19
[18] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020; 25 :2,000,903.
19 Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020 Google Scholar
20 https://www.theguardian.com/education/2020/aug/23/covid-outbreaks-in-english-schools-uncommon-says-phe
21 FR24 Seulement 0,01 % des écoles touchées par des épidémies de coronavirus après la réouverture et aucun enfant n’a eu besoin de soins hospitaliers 24 aout 2020 https://www.fr24news.com/fr/a/2020/08/seulement-001-des-ecoles-touchees-par-des-epidemies-de-coronavirus-apres-la-reouverture-et-aucun-enfant-na-eu-besoin-de-soins-hospitaliers
RépondreSupprimer22 Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the two first months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020; 00 :1—3. https://doi.org/10.1111/apa.15432.
23 FR24 Pas de masques, pas de distanciation : les écoles au Danemark défient COVID-19 — avec succès jusqu’à présent 13 septembre 2020 https://www.fr24news.com/fr/a/2020/09/pas-de-masques-pas-de-distanciation-les-ecoles-au-danemark-defient-covid-19-avec-succes-jusqua-present.html
24 Vivienne Des cas de COVID-19 rapportés dans 41 écoles de Berlin French.china.org.cn 22-08-2020
25 https://english.elpais.com/society/2021-04-15/why-have-schools-been-able-to-stay-open-in-spain-but-not-in-neighboring-countries.html
26 Bullis SSM, Grebber B, Cook S, Graham NR, Carmolli M, Dickson D, Diehl SA, Kirkpatrick BD, Lee B. SARS CoV-2 seroprevalence in a US school district during COVID-19. BMJ Paediatr Open. 2021 Oct 27; 5(1): e001259. doi : 10.1136/bmjpo-2021-001259. PMID : 34 725 646 ; PMCID : PMC8551743.
27 https://www.straitstimes.com/singapore/health/schools-to-remain-open-no-school-based-covid-19-transmissions-from-recent-cases
https://www.mondialisation.ca/contrairement-aux-assertions-du-vidal-les-enfants-ne-contaminent-pas-et-ne-transmettent-toujours-pas-le-covid-19/5678680
SARS-CoV-2. L’histoire officielle est : « quelqu’un a mangé une chauve-souris »
RépondreSupprimerle 15 juin 2023
Ce n’est plus un pangolin ou un lapin mais une chauve-souris qui a provoqué l’apparition du premier malade, le « patient zéro », celui par qui la pandémie a débuté, et à Wuhan en Chine évidemment. Il s’agit de la version officielle américaine. On est tellement habitué aux mensonges des Américains que de moins en moins de personnes croient que les exclamations officielles des experts américains reflètent la vérité. Résumons. Le DARPA, une division de l’armée américaine impliquée entre autres sujets d’études dans la guerre biologique, a financé les études d’insertion d’un site de clivage supplémentaire dans l’enchaînement des amino-acides de la protéine de la spicule. Il s’agit d’un petit oligonucléotide d’une quinzaine de bases dont les codons correspondant à l’arginine n’ont jamais été retrouvés dans aucune séquence de l’ARN des coronavirus et elle a été brevetée par le laboratoire Moderna en 2017. Il s’agissait pour la DARPA de trouver un gain de fonction du virus devant être transmis d’humain à humain. Comme pour toute mise au point d’une arme biologique l’armée américaine conduisait dans le même temps la mise au point d’un vaccin contre ce virus, la cible de ce vaccin étant précisément la sous-unité 1 de la protéine de la spicule du virus puisqu’elle avait été identifiée comme le support de l’infection et qu’elle devait être partiellement libérée lors de l’entrée du virus dans la cellule. Il était donc urgent de mettre au point une approche thérapeutique susceptible de protéger les soldats, c’est cela la réalité du scénario initial de toute cette histoire.
La souche expérimentale ainsi modifiée aurait été acheminée dans le laboratoire BSL4 de virologie de Wuhan qui à cette occasion a bénéficié d’une aide financière des États-Unis dans le cadre d’un programme de recherche sur les coronavirus de chauve-souris tout à fait officiel. En réalité il s’agissait de pouvoir plus tard accuser la Chine d’avoir manqué de rigueur en laissant fuiter le virus au moment où les jeux olympiques militaires avaient lieu dans cette même ville. Le retour des athlètes dans leurs pays respectifs serait une excellente opportunité pour disséminer ce virus modifié (à des fins militaires) partout dans le monde. Voilà le scenario que j’ai imaginé et qui est tout à fait vraisemblable car je n’accorde plus aucun crédit aux déclarations des « milieux autorisés » américains qui ne cessent d’accumuler les mensonges pour dissimuler d’autres mensonges. C’est devenu un art dans la politique américaine.
Les laboratoires Moderna et Pfizer ont été les premiers à proposer une thérapie génique pour traiter la maladie tout en exigeant l’interdiction de prescription de l’hydroxychloroquine, un générique utilisé dans le monde entier pour traiter la malaria et qui avait été identifié comme potentiel traitement au cours des années 2000 de par son pouvoir inhibiteur de la multiplication du virus sur des cellules en culture compétentes. Les sociétés financières actionnaires de ces laboratoires pharmaceutiques ont poliment suggéré à la FDA, l’Agence européenne du médicament et l’OMS de bien vouloir agir auprès des décideurs gouvernementaux de mettre en place cette interdiction de prescrire l’HCQ puis l’Ivermectine. La finalité était d’ouvrir le marché de cette thérapie génique pour réaliser près de 100 milliards de profit net, le retour sur investissement étant d’un facteur 20 et l’autre finalité de cette manœuvre était de tuer le maximum de personnes, surtout en Chine, point de départ de la dissémination du virus à l’insu des biologistes de ce centre de recherche hautement spécialisé en partie financé par la France via la Fondation Mérieux. Fait troublant : Stéphane Bancel, le CEO de Moderna, est un transfuge de Biomérieux la société de diagnostic médicaux d’Alain Mérieux et le brevet de la séquence qui a été insérée dans l’ARN génétique du SARS-CoV-2 a été déposé par Stéphane Bancel. Plutôt que de s’occuper de faits divers des journalistes français dignes de ce nom devraient commencer par explorer cette piste qui les conduirait probablement de Moderna vers Pfizer et BioNtech, mais peut-être que je rêve …
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2022/03/15/breve-rebondissement-sur-lorigine-du-sars-cov-2/
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/01/31/sars-cov-2-la-bombe-a-retardement-va-bientot-exploser/
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/06/15/sars-cov-2-lhistoire-officielle-est-quelquun-a-mange-une-chauve-souris/
Il ne s'agit pas de 'virus' (c'est-à-dire poussières) qui ont été modifiées mais des maladies transmises ou transmissibles par microbes. La spécificité du poison est elle-même très compliquée car sa composition inclue des nano-particules d'oxyde de graphène ! + des spikes ! + des hydres ! + diverses maladies animales et une quarantaine de venins de serpents différents ! (découvertes faite par les scientifiques suisses Astrid Stuckelberger et américaine Carrie Madej il y a plus de 2 ans à l'examen de flacons injectables).
SupprimerCe poison ne s'est donc pas 'échappé dans l'air' car il n'aurait eu aucun effet mais s'est dirigé vers divers laboratoires qui l'ont reproduit et mis en flacons afin d'être injecté dans le programme mondial 'Dépopulation21' à des personnes 'accros des merdias' qui se laisseraient donc faire !
Allemagne : poursuite civile contre des fabricants pour dommages aux vaccins
RépondreSupprimer16 juin 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Le scandale du vaccin à ARNm C19 restera dans l'histoire comme le plus grand exemple de fraude médicale et pharmaceutique et d'inconduite scientifique. Aujourd'hui, BioNTech, membre du cartel Big Pharma et partenaire de Pfizer, fait face au premier de nombreux procès qui pourraient finalement entraîner la faillite de l'entreprise. Cependant, des actionnaires comme Bill Gates ont déjà réalisé leurs bénéfices.
Une action en justice pendante devant le tribunal de district de Hambourg allègue que la société a menti et trompé le public avec de fausses déclarations sur la "sécurité et l'efficacité" de son injection expérimentale.
Comme les données le montrent depuis longtemps, ce n'était ni sûr ni efficace. Si ce procès réussit, il ouvrira les vannes pour des procès similaires, non seulement contre cette entreprise, mais contre tous les autres.
Le fabricant pharmaceutique BioNTech fait face à des demandes de dommages-intérêts en Allemagne après que deux cabinets d'avocats ont affirmé que des clients souffraient de problèmes de santé durables à la suite du vaccin contre le coronavirus de l'entreprise.
La société BioNTech, basée à Mayence, a dû comparaître devant le tribunal lors de sa première audience allemande cette semaine. Le procès contre la société allemande de biotechnologie a été intenté au nom d'un travailleur médical d'âge moyen.
La femme réclame 150 000 € de dommages et intérêts après avoir souffert d'arythmies cardiaques et de brouillard cérébral après avoir été vaccinée. L'affaire est entendue devant un tribunal de district de Hambourg. Son cas fait partie des centaines de poursuites intentées contre l'entreprise.
Les demandes d'indemnisation poursuivies par deux cabinets d'avocats s'élèvent à plus d'un million d'euros. Le cabinet d'avocats de Düsseldorf Rogert & Ulbrich et le cabinet d'avocats spécialisé de Wiesbaden Casar-Preller mènent les poursuites.
Tobias Ulbrich avait affirmé de manière controversée que le milliardaire américain Bill Gates voulait utiliser les vaccinations Covid pour réduire la population allemande à 27 millions. Un porte-parole de la fondation Gates a déclaré que l'affirmation était "fausse".
BioNTech a produit environ 75 % des 224 millions de doses de vaccin administrées en Allemagne en coopération avec la société américaine Pfizer. Malgré la pression judiciaire, BioNTech est convaincu que les poursuites seront rejetées. La société a déclaré qu'elle avait décidé de ne pas accumuler de réclamations potentielles pour dommages.
RépondreSupprimerBioNTech a déclaré : « Dans le cadre de la surveillance continue du profil de sécurité du vaccin et après plus de 2,6 milliards de doses [du vaccin Covid-19] administrées dans le monde, aucun effet secondaire potentiel autre que ceux déjà répertoriés dans les informations produit respectives n'a été identifié. à ce jour. »
La société pharmaceutique a également averti que l'affaire de Hambourg montrait un échec du plaignant et de ses avocats à démontrer un "lien de causalité entre les événements indésirables et le vaccin".
Le journal médical a récemment rapporté sous le titre " Le début du premier procès civil concernant les dommages présumés causés par le vaccin corona a été ajourné" qu'il y avait eu un ajournement en raison d'une demande de partialité. Comme l'a dit un porte-parole du tribunal, les avocats du plaignant mettent en doute l'impartialité du juge. Le contexte est un différend sur le point de savoir si l'affaire sera entendue par un juge unique ou par une chambre composée de plusieurs juges.
Selon l'avocat Marco Rogert, lui et ses collègues veulent assurer le "niveau d'expertise le plus élevé possible" dans la suite de la procédure avec l'application de la partialité. Il s'agit de faire entendre l'affaire par une chambre composée de trois magistrats professionnels et également chargée des affaires dites de traitement médical. C'est également le cas dans d'autres tribunaux régionaux où des procès comparables sont en cours.
https://tkp.at/2023/06/16/deutschland-zivilprozess-gegen-hersteller-wegen-impfschaden/
Vaccin à ARNm Covid et grossesse : conduire à une fausse couche ou à une mortinaissance !
RépondreSupprimerArrêts cardiaques fœtaux, hémorragie pulmonaire fœtale, caillots placentaires, insuffisance placentaire
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
16 juin 2023
Les femmes enceintes qui ont pris des vaccins expérimentaux toxiques à base d'ARNm de la COVID-19 ont souffert de toutes sortes de complications, notamment :
fausses couches (mort fœtale <= 20 semaines)
mortinaissances (mort fœtale > 20 semaines)
- (On utilise les signes > et <, pour comparer des chiffres ou des nombres. Le signe > signifie que le nombre situé à gauche de > est plus grand (ou supérieur) que celui situé à droite de >. Le signe < signifie que le nombre situé à gauche de < est plus petit (ou inférieur) que celui situé à droite de <.)
mort subite de maman avant, pendant ou après l'accouchement ( cliquez ici)
femmes enceintes ayant des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, mourant dans le sommeil ( cliquez ici )
mort subite de nourrissons peu de temps après l'accouchement ( cliquez ici )
blessures aux nourrissons telles que la myocardite ( cliquez ici )
blessures aux nourrissons de l'allaitement avec de l'ARNm dans le lait ( cliquez ici )
Dans cet article, j'examinerai plus en détail certaines des causes identifiées de fausses couches et de mortinaissances (après que maman ait pris le vaccin à ARNm COVID-19) telles que la restriction de la croissance fœtale, l'arrêt cardiaque fœtal, l'hémorragie pulmonaire fœtale, les caillots sanguins au niveau du placenta, l'insuffisance placentaire, etc.
J'écrirai une sous-pile distincte sur les malformations congénitales.
Je tiens à remercier l'auteur de la sous-stack "WelcomeTheEagle88" pour son travail sur la recherche de ces rapports VAERS, veuillez consulter sa sous-stack, il a fait un travail incroyable (cliquez ici ).
Le fœtus a cessé de croître après l'injection d'ARNm :
CAS 01 (VAERS 1070770) - Une femme enceinte a eu le premier coup Pfizer le 4 février 2021 à 7 semaines de grossesse. Le fœtus a cessé de croître 6 jours plus tard (8wk4d), pas de battement de coeur et elle a fait une fausse couche le 22 février 2021 (18 jours après Pfizer)
- voir doc sur site -
Problèmes de placenta
RépondreSupprimerCAS 12 (VAERS 2386294) - Une femme enceinte de 34 ans a eu un 3e piqûre Pfizer le 20 janvier 2022. Puis 20 jours plus tard, le fœtus a eu une hémorragie pulmonaire entraînant une mortinaissance à 34 + 3 semaines. Cause du décès : ÉCHEC PLACENTAIRE.
- voir doc sur site -
CAS 13 (VAERS 2046121) - Une femme enceinte a reçu la 2e dose de Moderna le 20 octobre 2021 et 6 jours plus tard, le fœtus est décédé en raison d'une «coagulation au niveau du placenta» et d'une malperfusion vasculaire fœtale. Cause déclarée du décès : coagulation au niveau du placenta.
- voir doc sur site -
CAS 14 (VAERS 2463841) - Une femme enceinte de 30 ans a eu un 3e piqûre Pfizer le 18 décembre 2021 et un mois plus tard, le 21 janvier 2022, l'échographie a montré une restriction de croissance, le 20 février 2022, le fœtus n'avait pas de rythme cardiaque. Mortinaissance le 23 février 2022. Cause du décès : insuffisance placentaire causée par une grave malperfusion vasculaire maternelle.
- voir doc sur site -
Ma prise…
Chaque femme enceinte aurait dû se faire expliquer ces risques dans le cadre du consentement éclairé. Les risques des vaccins à ARNm Pfizer et Moderna COVID-19 pour le fœtus comprennent :
le fœtus peut cesser de croître et mourir immédiatement après avoir pris le vaccin à ARNm ou jusqu'à plusieurs jours, semaines ou mois plus tard, entraînant une fausse couche ou une mortinaissance ;
le fœtus peut souffrir d'un arrêt cardiaque et mourir;
le fœtus peut souffrir d'hémorragie pulmonaire et mourir;
le fœtus peut mourir de caillots sanguins placentaires
le fœtus peut mourir d'une insuffisance placentaire ou d'une défaillance placentaire
le fœtus peut mourir de malformations congénitales (sous-ensemble suivant)
Veuillez noter que ces événements indésirables liés au vaccin à ARNm COVID-19 étaient connus et enregistrés dans le VAERS au début de 2021, de sorte que chaque médecin aurait dû informer ses patientes enceintes de ces événements indésirables documentés et connus.
Malheureusement, la grande majorité des médecins n'ont pas informé leurs patientes enceintes des risques des vaccins à ARNm Pfizer et Moderna COVID-19, et devraient être tenus légalement responsables de ne pas le faire.
https://www.globalresearch.ca/covid-mrna-vaccine-and-pregnancy-leading-to-miscarriage-or-stillbirth/5822533
Un document secret de Pfizer montre que la société a observé 1,6 million de blessures après la vaccination contre le Covid
RépondreSupprimerPar Madge Waggy
Sevenwop.home.blog
17 juin 2023
Un document confidentiel de Pfizer de 2022 récemment publié révèle que la société a observé 508 351 rapports de cas et 1 597 673 événements indésirables après la vaccination, tout en prétendant que son vaccin était sans danger.
Un document Pfizer récemment publié montre que le géant pharmaceutique en août 2022 était au courant de 1,6 million d'événements indésirables signalés par ceux qui avaient reçu son vaccin COVID.
Les événements indésirables couvraient plus de 10 000 catégories différentes et affectaient presque tous les systèmes organiques du corps. Pourtant, Pfizer a toujours conclu que son tir était sûr et efficace.
Selon le document de pharmacovigilance « confidentiel » de 396 pages de Pfizer obtenu par l'Agence européenne des médicaments, la société a observé 508 351 rapports de cas contenant 1 597 673 événements indésirables. Un tiers de tous les événements indésirables ont été classés comme "graves" - un nombre bien au-delà du seuil de 15% qui devrait déclencher un signal de sécurité.
Le document montre que les événements indésirables étaient trois fois plus fréquents chez les femmes que chez les hommes, 60 % de tous les rapports étant classés comme « non récupérés » ou résultat inconnu. Le plus grand nombre de cas concernait la tranche d'âge des 31 à 50 ans.
Étant donné que 92 % des individus n'avaient pas de comorbidité, il est peu probable que leurs événements indésirables puissent être attribués à autre chose qu'au vaccin COVID-19 de Pfizer.
Le document a en outre classé les 1,6 million d'événements indésirables observés par Pfizer en catégories et sous-catégories en fonction des blessures. Selon le journaliste Daniel Horowitz, Pfizer a observé plus de 10 000 catégories de diagnostics, dont beaucoup étaient graves ou rares.
Par exemple, 73 542 cas dans 264 catégories de troubles vasculaires ont été signalés par des individus après avoir reçu le vaccin COVID de Pfizer, 696 508 cas de troubles du système nerveux ont été signalés et 61 518 ont signalé des troubles oculaires dans 100 catégories différentes.
Plus de 47 000 troubles de l'oreille ont été signalés, dont 16 000 cas d'acouphènes, 225 000 rapports de troubles cutanés et tissulaires, 190 000 troubles respiratoires et plus de 178 000 troubles de la reproduction et des seins.
RépondreSupprimerIl y a eu 77 000 rapports de troubles psychiatriques signalés après la vaccination, 3 711 cas de tumeurs, plus de 100 000 rapports de troubles lymphatiques et 127 000 rapports de troubles cardiaques dans plus de 270 catégories.
Le document montre également que Pfizer était au courant de 68 cas de polyneuropathie démyélinisante inflammatoire chronique - le trouble neurologique rare et grave subi par Maddie De Garay lors des essais cliniques de Pfizer qui l'a laissée confinée à un fauteuil roulant.
Au bout de centaines de pages de blessures observées, Pfizer a conclu que les risques de son vaccin COVID-19 "évalués dans le contexte des avantages" ont montré que le vaccin avait un profil bénéfice-risque favorable.
"Aucune modification supplémentaire du RSI BNT l 62b2 ou des activités supplémentaires de minimisation des risques en plus de celles en place ne sont justifiées pour le moment", a écrit la société, qui a fait des milliards avec son vaccin COVID.
À ce jour, la Food and Drug Administration des États-Unis n'a pas mis à jour l'étiquette du produit du vaccin COVID de Pfizer pour inclure une liste de ses effets indésirables potentiels, et Pfizer n'a pas été tenu responsable de ne pas avoir divulgué au public ces blessures potentielles liées au vaccin.
Ceci est apparu à l'origine sur Sevenwop.home.blog.
https://www.lewrockwell.com/2023/06/no_author/865136-2/
Prendre de la vitamine D quotidiennement peut réduire la mortalité par cancer de 12 %
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
17 juin 2023
Lors d'une journée ensoleillée typique, votre corps peut produire jusqu'à 25 000 unités internationales (UI) de vitamine D.1 Pourtant, aux États-Unis, l'apport quotidien moyen recommandé n'est que de 600 UI pour les personnes âgées de 1 à 70 ans, et 800 UI pour les plus de 70,2
Ces quantités sont probablement beaucoup trop faibles pour que la plupart des gens optimisent leur taux de vitamine D et profitent de tous les avantages pour la santé, comme un risque réduit de mourir d'un cancer.3 Le fait est qu'une exposition quotidienne adéquate au soleil pendant une grande partie de votre temps la peau est le meilleur moyen d'augmenter et de maintenir votre taux de vitamine D.
Mais de nombreuses personnes ne sortent pas suffisamment à l'extérieur pour y parvenir ou vivent dans des régions où il fait trop froid pour le faire confortablement pendant une grande partie de l'année. Bien que vous deviez vous efforcer de vous exposer autant que possible au soleil, car il offre des avantages importants au-delà de la vitamine D, la recherche montre également qu'une supplémentation quotidienne en vitamine D est sans danger4 et très avantageuse pour votre santé.
La vitamine D quotidienne réduit la mortalité par cancer de 12 %
Le cancer est la deuxième cause de décès aux États-Unis, après les maladies cardiaques.5 Pourtant, malgré le fait que tant de personnes meurent de cette maladie - et la vitamine D pourrait aider - les responsables de la santé recommandent rarement la vitamine D pour la prévention ou le traitement du cancer.
Une revue systématique et une méta-analyse de 2023 publiées dans Aging Research Reviews ont révélé que la supplémentation en vitamine D3 réduisait la mortalité par cancer de 6 %. Cela n'a pas été considéré comme statistiquement significatif, mais lorsque seules les études portant sur l'apport quotidien en vitamine D ont été analysées, la mortalité par cancer a chuté de 12 %6. Selon les chercheurs :7
« D'un point de vue biologique, il est plausible qu'un statut suffisant en vitamine D ait un impact sur le pronostic du cancer : en se liant au récepteur de la vitamine D (VDR), l'hormone active 1,25-dihydroxyvitamine D (1,25(OH)2D ) influence les voies de signalisation qui régulent la prolifération, la différenciation et la survie cellulaires, et agit ainsi comme un agent anti-prolifératif dans de nombreux tissus et peut ralentir la croissance des cellules malignes.
Pendant ce temps, les risques de cancer du poumon, de cancer colorectal, de cancer du sein, de cancer de la vessie et de lymphome sont plus élevés chez les personnes ayant de faibles niveaux de vitamine D, tandis que des niveaux plus élevés sont associés à un meilleur pronostic dans les cas de cancer du sein et colorectal.8
RépondreSupprimerL'étude Aging Research Reviews a en outre révélé que la supplémentation quotidienne en vitamine D était particulièrement bénéfique pour les personnes âgées de 70 ans et plus, ainsi que pour celles qui prenaient de la vitamine D quotidiennement et qui ont ensuite reçu un diagnostic de cancer. L'auteur de l'étude, Ben Schöttker, Ph.D., du Centre allemand de recherche sur le cancer à Heidelberg, a expliqué :9
"Cela implique que pratiquement toutes les personnes âgées de 50 ans et plus, y compris les personnes qui n'ont jamais eu de cancer, pourraient bénéficier d'une supplémentation en vitamine D si elles manquent de vitamine D... Les médecins ne peuvent pas savoir qui pourrait développer un cancer plus tard.
Cependant, en Allemagne, le risque [de développer] un cancer une fois dans la vie est très élevé - 43% pour les femmes et 51% pour les hommes - et donc, la chance de traiter quelqu'un qui pourrait en bénéficier à l'avenir est assez élevée... le le risque à vie de développer un cancer est comparable dans la plupart des autres pays industrialisés.
De nombreuses études montrent que la vitamine D réduit le risque de décès par cancer
D'autres recherches soutiennent également le rôle de la vitamine D dans la protection contre la mort par cancer. Dans une étude portant sur 25 871 patients, il a été constaté que la supplémentation en vitamine D réduisait le risque de cancer métastatique et de décès de 17 %. Le risque a été réduit jusqu'à 38 % chez ceux qui ont également maintenu un poids santé10,11.
Ce qui est particulièrement remarquable, c'est que cette étude n'a donné aux participants que 2 000 UI de vitamine D par jour et n'a pas mesuré leurs taux sanguins. Malgré ces défauts de recherche, un avantage significatif a tout de même été trouvé. Cependant, d'autres recherches ont trouvé des avantages encore plus frappants.
RépondreSupprimerPrenons, par exemple, une analyse de GrassrootsHealth publiée en juin 2018 dans PLOS ONE. Elle a montré que les femmes dont le taux de vitamine D était égal ou supérieur à 60 ng/mL (150 nmol/L) présentaient un risque de cancer du sein de 82 % inférieur à celles dont le taux était inférieur à 20 ng/mL (50 nmol/L).12
Une étude britannique antérieure a révélé qu'un taux de vitamine D supérieur à 60 ng/mL entraînait une réduction de 83 % du risque de cancer du sein13,14, ce qui est presque identique à l'analyse de GrassrootsHealth de 2018. Une autre méta-analyse portant sur le cancer du sein a passé en revue 70 études observationnelles, concluant que pour chaque augmentation de 2 ng/mL (5 nmol/L) du taux de vitamine D, il y avait une diminution correspondante de 6 % de l'incidence du cancer du sein.15
Dans l'ensemble, cela se traduit par une réduction du risque de 71 % lorsque vous augmentez votre taux de vitamine D de 20 ng/mL à 60 ng/mL (50 à 150 nmol/L).16 De même, une étude canadienne a montré que les femmes qui ont déclaré avoir le plus de l'exposition au soleil de 10 à 19 ans avait un risque significativement réduit de développer un cancer du sein.17
La vitamine D à haute dose a-t-elle guéri le cancer du pancréas ?
La vitamine D peut même aider dans les cas de cancer du pancréas, l'une des formes de cancer les plus meurtrières avec un taux de survie à cinq ans de seulement 7,2 %.18 Des chercheurs ont publié le cas d'une femme de 83 ans atteinte d'un cancer du pancréas "qui a pris par erreur des doses suprathérapeutiques de vitamine D 50 000 U par jour, atteignant un taux sérique de 25(OH)D supérieur à 150 ng/mL, sans effets secondaires appréciables.
Personnellement, je suis fortement en désaccord avec le traitement à haute dose car il est inutile et non biologique et si vous prenez un supplément, je vous recommanderais de le prendre une fois par jour.
Huit mois après le diagnostic - et un apport quotidien constant de vitamine D à forte dose - les analyses n'ont révélé "aucune preuve de progression de la maladie". De plus, les chercheurs ont noté: "Actuellement, elle se décrit comme se sentant assez bien sans aucune difficulté à accomplir ses activités de la vie quotidienne." Ils ont appelé à de nouvelles recherches pour enquêter :19
RépondreSupprimer"On ne peut pas conclure que sa dose de vitamine D était en aucune façon liée à ce résultat. Il n'y a qu'un seul scanner avant le début de la vitamine D, et il n'y a aucun moyen de savoir quel aurait été le rythme de sa maladie en l'absence de supplémentation en vitamine D. De plus, elle prenait plusieurs autres suppléments tels que des champignons shitake, bien que de manière incohérente et pour une durée plus courte, qui étaient également destinés à traiter sa malignité.
Néanmoins, étant donné le mauvais pronostic du cancer du pancréas et les options de traitement limitées pour les patients, ce cas devrait stimuler une enquête plus approfondie. La dose quotidienne de 50 000 U de vitamine D3 a été bien tolérée chez notre patient pendant plus de 10 mois au moment de la rédaction. Il faudrait envisager un essai clinique évaluant une dose similaire. »
Vitamine D à haute dose jugée « sûre » et bénéfique
Il y a beaucoup de controverse sur la prise de doses plus élevées de vitamine D, en partie parce qu'un excès de vitamine D, en particulier en combinaison avec un manque de vitamine K2 et de magnésium, peut provoquer une surabsorption du calcium, qui à son tour peut entraîner des dépôts de calcium dans le cœur et les reins.
Une équipe de chercheurs a effectué des dépistages de routine de la vitamine D sur plus de 4 700 patients hospitalisés lors de leur admission.20 La plupart ont ensuite reçu des suppléments de vitamine D à raison de 5 000 ou 10 000 UI par jour pour corriger les carences. Dans certains cas, les patients prenaient 20 000 à 50 000 UI par jour pour cibler certaines maladies.
"La carence est fortement liée à un risque accru d'une multitude de maladies, dont plusieurs ont historiquement montré une amélioration spectaculaire avec une exposition adéquate aux UVB de la peau ou à une supplémentation orale ou topique en vitamine D. Ces maladies comprennent l'asthme, le psoriasis, la polyarthrite rhumatoïde, le rachitisme et la tuberculose », ont expliqué les chercheurs.
RépondreSupprimerAlors que trois patients atteints de psoriasis présentaient une "amélioration clinique marquée" après avoir pris quotidiennement des doses plus élevées de vitamine D, aucun des patients n'a présenté d'hypercalcémie due à la vitamine D - ni aucun autre effet indésirable lié à la supplémentation en vitamine D.
- voir clip sur site -
Dans la vidéo ci-dessus, John Campbell, un infirmier enseignant à la retraite basé en Angleterre, détaille l'étude, notant : « Il ne fait aucun doute dans mon esprit que les autorités du monde entier… devraient augmenter la quantité recommandée de vitamine D. Les quantités actuellement recommandées … sont bien trop bas. »21
Il y a de fortes chances que vous manquiez de vitamine D
La prévalence mondiale de la carence en vitamine D (définie comme un niveau inférieur à 20 ng/mL) et de l'insuffisance (définie comme un niveau de 20 à moins de 30 ng/mL) est de 40 % à 100 %.22
De plus, 20 ng/mL s'est avéré à plusieurs reprises largement insuffisant pour une bonne santé et la prévention des maladies et, pour maintenir votre santé, votre niveau doit être compris entre 60 ng/mL (150 nmol/L) et 80 ng/ml (200 nmol /l). Un niveau de 100 ng/mL (250 nmol/l) semble sûr et bénéfique pour certaines conditions, en particulier le cancer.
La recherche a montré qu'une fois que vous atteignez un niveau minimum de vitamine D sérique de 40 ng/mL, votre risque de cancer diminue de 67 %, par rapport à un niveau de 20 ng/mL ou moins.23
Chez les personnes âgées aux États-Unis, la carence en vitamine D peut affecter jusqu'à 100 % de la population,24 non seulement parce qu'elles ont tendance à passer beaucoup de temps à l'intérieur, mais aussi parce qu'elles produisent moins de vitamine D en réponse à l'exposition au soleil qu'une personne plus jeune. avec la même exposition au soleil.
La meilleure façon d'augmenter votre niveau de vitamine D
RépondreSupprimerLa meilleure façon d'obtenir votre vitamine D est de vous exposer au soleil. Alors que beaucoup sont incapables de le faire, c'est possible. Au moment où j'écris ceci fin mai, mon niveau de vitamine D était de 99 sans supplémentation. Lorsque vous ne prenez pas de supplément de vitamine D, votre niveau de vitamine D est un marqueur important de l'exposition au soleil et la confirmation que vous recevez suffisamment de proche infrarouge (IR) en plus du rayonnement UVB.
Il y a une bonne raison de s'assurer que vos niveaux de vitamine D se situent dans la plage optimale. En plus de lutter contre le cancer, donner de la vitamine D aux personnes atteintes de COVID-19 a réduit le risque de décès par SRAS-CoV-2 de 51 % et réduit le risque d'admission à l'unité de soins intensifs de 72 %.25
J'ai lancé une campagne d'information pour sensibiliser à l'utilisation de la vitamine D pour le COVID-19 en juin 2020 et j'ai publié ma propre revue de la vitamine D le 31 octobre 2020 dans la revue à comité de lecture Nutrients.26 Cela montre que 14 études observationnelles suggèrent les niveaux de vitamine D sont inversement liés à l'incidence ou à la gravité de la COVID-19 et recommande des suppléments de vitamine D pour la prévention ou le traitement.27
Pour optimiser vos niveaux de vitamine D, une exposition régulière au soleil est la meilleure option, car non seulement cela augmentera naturellement vos niveaux de vitamine D, mais cela procurera de nombreux autres avantages, tels qu'une production accrue de mélatonine, un autre agent anticancéreux puissant.28 Cependant, si vous ne parvenez pas à vous exposer suffisamment au soleil chaque jour, une supplémentation peut être nécessaire.
Pour déterminer combien d'exposition au soleil est suffisante et/ou quelle quantité de vitamine D3 vous devez prendre, vous devrez mesurer votre taux de vitamine D, idéalement deux fois par an. Lors de la supplémentation, rappelez-vous également que les vitamines D et K2, le calcium et le magnésium fonctionnent tous ensemble et doivent être correctement équilibrés pour une santé optimale.
Sources and References
RépondreSupprimer1, 4, 20 J Steroid Biochem Mol Biol. 2019 May;189:228-239. doi: 10.1016/j.jsbmb.2018.12.010. Epub 2019 Jan 4
2 National Institutes of Health, Vitamin D, Recommended Intakes
3, 6, 7, 8 Ageing Research Reviews June 2023, Volume 87, 101923
5 U.S. CDC, An Update on Cancer Deaths in the United States
9 Medical News Today May 17, 2023
10 JAMA Network Open 2020;3(11):e2025850
11 The Sentinel November 22, 2020
12 PLOS ONE June 15, 2015 (PDF)
13 European Journal of Cancer 2005 May;41(8):1164-9
14 GrassrootsHealth, Breast Cancer Reduction and Vitamin D
15 Aging 2019 Dec 28;11(24):12708-12732
16 GrassrootsHealth Blog, Lower Breast Cancer Risk with Vitamin
17 Cancer Epidemiol Biomarkers Prev (2007) 16 (3): 422–429
18, 19 Case Reports in Pancreatic Cancer May 1, 2016
21 YouTube, Dr. John Campbell, Vitamin D Doses, May 15, 2023, 0:23
22 Endocr Pract. 2021 May; 27(5): 484–493
23 PLOS ONE 2016; 11 (4): e0152441
24 J Aging Gerontol. 2014 Dec; 2(2): 60–71
25 Pharmaceuticals (Basel). 2023 Jan; 16(1): 130
26, 27 Nutrients 2020, 12(11), 3361
28 Bitchute, The Joe Cohen Show, Episode 1, October 25, 2022, 4:00
https://www.lewrockwell.com/2023/06/joseph-mercola/taking-vitamin-d-daily-may-reduce-cancer-mortality-by-12/
L'approvisionnement en viande des États-Unis pourrait bientôt être largement contaminé par des protéines d'ARNm provenant de «vaccins» biotechnologiques
RépondreSupprimerPar Mike Adams
Recherche mondiale,
17 juin 2023
Il y aura bientôt une autre raison de choisir des options alimentaires végétariennes ou d'obtenir votre viande de sources locales et fiables : les vaccins à ARNm sont sur le point d'être largement mis en œuvre dans l'industrie de la viande, avec des bovins, des poulets, des porcs, des chèvres et d'autres animaux d'élevage ciblés pour un traitement régulier. injections d'ARNm.
Comme nous l'avons vu avec les êtres humains, les injections d'ARNm peuvent :
Circuler dans tout le corps et finissent dans le sang et les organes.
Amener le corps à produire des protéines toxiques qui peuvent avoir des effets toxiques.
Obstruer les artères et finir par tuer ou blesser des personnes par des accidents vasculaires cérébraux ou des crises cardiaques.
Altérer les chromosomes et provoquer des changements génétiques permanents dans l'organisme.
Il s'avère que les aiguilles hypodermiques ne sont pas le seul moyen d'introduire ces instructions d'ARNm dans le corps humain. Ils peuvent également être avalés ou pénétrer par contact avec la peau. Le simple fait de manipuler de la viande crue contaminée par des produits d'ARNm équivaut probablement à être exposé à la « diffusion » des vaccinés . Et même si l'acide gastrique détruit probablement les séquences d'ARNm, il y a une absorption qui a lieu dans la bouche, sous la langue, c'est pourquoi de nombreux médicaments et suppléments - y compris les huiles de CBD et le zinc - sont souvent mieux absorbés sous la langue plutôt que d'être avalés.
Ainsi, le simple fait d'introduire dans votre bouche des produits à base de viande animale vaccinés à l'ARNm, s'ils ne sont pas entièrement cuits, peut vous exposer à une sorte de «perte de nourriture» de produits à ARNm qui peuvent être absorbés dans votre sang et diffusés dans tout votre corps. Cela peut inclure des protéines étrangères au corps humain.
Pfizer, Bayer et d'autres géants pharmaceutiques ont déjà annoncé des vaccins à ARNm pour les animaux à viande
Comme le Dr Robert Malone l'a révélé dans un article récent sur la sous-stack , les géants de Big Pharma ont commencé à annoncer des vaccins à ARNm pour les animaux dès 2016. De son histoire :
Bayer s'associe à BioNTech pour développer des vaccins à ARNm et des médicaments pour la santé animale (10 mai 2016)
SÉQUIVITÉ : Vaccins porcins personnalisés, utilisant des vaccins à ARN (site Web de Merck, janvier 2023)
L'acquisition élargit et complète le solide portefeuille de vaccins de Merck Animal Health (communiqué de presse de Merck, novembre 2015)
La Nouvelle-Galles du Sud suit rapidement les vaccins à ARNm contre la fièvre aphteuse et la dermatose nodulaire (chez les bovins) (gouvernement australien)
Un accord sur le vaccin ARNm contre la fièvre aphteuse a été signé entre le gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud et la société américaine Tiba Biotech (communiqué de presse de Tiba Biotech)
Il est clair que l'industrie des animaux de ranch est sur le point d'être dépassée par les vaccins à ARNm, qui tueront probablement un nombre choquant d'animaux de ranch (et favoriseront une infertilité croissante) et contamineront l'approvisionnement en viande avec des artefacts d'ARNm tels que des protéines de pointe. Considérez cela comme une sorte de programme de « dépopulation des animaux de ranch » pour éliminer la viande et forcer les gens à manger des vers de farine et des grillons (voir ci-dessous).
Bientôt, si vous mangez des produits carnés conventionnels, vous mangerez les résultats de la production biotechnologique de la "vaccination" massive d'ARNm des animaux.
RépondreSupprimerSi vous mangez de la viande, sachez d'où elle vient
À partir de maintenant, si vous choisissez de manger de la viande, sachez d'où elle vient. S'il provient d'élevages d'animaux d'usine, il est presque certain qu'il sera bientôt contaminé par la biotechnologie de l'ARNm.
Bien qu'il s'agisse encore d'une hypothèse, il est possible que la cuisson à haute température détruise certaines protéines délicates générées par la biotechnologie de l'ARNm. Pour cette raison, assurez-vous d'éviter de manger des produits à base de viande crue / rose tels que des steaks saignants. Cependant, nous ne savons pas encore avec certitude que la cuisson détruit les protéines de pointe, alors faites preuve de prudence lorsque vous consommez des produits à base de viande provenant de sources conventionnelles. (J'espère que nous en apprendrons davantage sur ce sujet et que nous vous ferons part de nos conclusions.)
Si vous mangez de la viande, faites un effort pour trouver des fournisseurs de viande locaux qui suivent des pratiques plus holistiques et naturelles, comme éviter les injections d'ARNm pour leurs troupeaux. Soutenez l'agriculture locale et vous aurez une ligne d'approvisionnement en aliments plus propres. Choisissez toujours des animaux élevés avec des aliments biologiques sans OGM, si possible.
Ou vous pourriez manger des vers de farine et des "burgers de coléoptères" pour apaiser les mondialistes
Il semble évident que les mondialistes essaient à la fois de contaminer l'approvisionnement en viande et de l'éliminer au fil du temps, en remplaçant les viandes animales par des larves, des vers de farine, des grillons et des larves de mouches soldats noires, entre autres créatures. Un article de StudyFinds.org met en lumière une étude récente sur les vers de farine qui prétend que ces larves séchées remplaceront bientôt le poulet dans les pépites de poulet.
Cela ne ressemble-t-il pas à un délicieux déjeuner ? Bientôt, voici ce que les masses démunies se verront offrir comme source de protéines :
Pendant ce temps, sans aucun doute, les mondialistes apprécieront la côte de bœuf dans leurs jets privés tout en grignotant des salades biologiques sans OGM, car ils savent que les aliments propres favorisent la longévité.
https://www.globalresearch.ca/us-meat-supply-may-soon-widely-contaminated-mrna-proteins-from-biotech-vaccines/5804980
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