L'initiative de l'OMS « promouvoirait les comportements souhaités » en surveillant les médias sociaux
De Michael Nevradakis Recherche mondiale, 02 juin 2023
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) propose un ensemble de recommandations pour les «systèmes de surveillance par écoute sociale» conçus pour faire face à ce qu'elle décrit comme une «menace pour la santé» posée par la «désinformation» en ligne.
L'initiative de préparation et de résilience aux menaces émergentes (PRET) de l'OMS affirme que la "désinformation" a entraîné une "infodémie" qui constitue une menace - même dans les cas où les informations sont "exactes".
Le PRET a fait sourciller, au moment où les États membres de l'OMS sont engagés dans des négociations sur deux instruments controversés : le « traité pandémie » et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI).
La dernière version du traité sur la pandémie contient un libellé sur la manière dont les États membres de l'OMS s'engageraient à «l'écoute sociale». En vertu de l'article 18(b), les États membres de l'OMS s'engageraient à :
« Mener des activités régulières de sensibilisation de la communauté, d'écoute sociale et d'analyses et de consultations périodiques avec les organisations de la société civile et les médias pour identifier la prévalence et les profils de la désinformation, qui contribuent à concevoir des stratégies de communication et de messagerie pour le public afin de contrer la désinformation, la désinformation et les fausses nouvelles, renforçant ainsi la confiance du public et favorisant le respect des mesures de santé publique et sociales.
Revenant sur les propositions « d'écoute sociale » du PRET, Michael Rectenwald, Ph.D. , auteur de « Google Archipelago : The Digital Gulag and the Simulation of Freedom » et ancien professeur d'études libérales à l'Université de New York, a déclaré à The Defender :
« L'initiative PRET de l'OMS fait partie de la tentative de l'ONU d'instituer une tyrannie « médicale » mondiale en utilisant la surveillance, « l'écoute sociale » et la censure. Le PRET est le bras technocratique du traité pandémique proposé par l'OMS, qui, s'il était accepté par les États-nations, équivaudrait à l'abandon de la souveraineté nationale et individuelle à cet organe de « gouvernance mondiale ».
« Quel meilleur moyen d'établir un gouvernement mondial unique qu'en utilisant les soi-disant crises mondiales qui doivent être traitées par rien de moins que la « gouvernance mondiale » ? Je rappelle aux lecteurs que vous ne pouvez pas vous conformer à votre façon de sortir de la tyrannie.
L'OMS pourrait utiliser l'intelligence artificielle pour surveiller les conversations sur les réseaux sociaux Un document de l'OMS décrivant l'initiative PRET - "Module 1 : Planification des pandémies d'agents pathogènes respiratoires, version 1.0" - contient une définition de l'infodémie :
"L'infodémie est la surabondance d'informations - exactes ou non - qui rend difficile pour les individus d'adopter des comportements qui protégeront leur santé et celle de leurs familles et communautés.
"L'infodémie peut avoir un impact direct sur la santé, entraver la mise en œuvre de contre-mesures de santé publique et saper la confiance et la cohésion sociale."
Le document recommande qu'en réponse à "l'infodémie", les pays "incorporent les derniers outils et approches d'apprentissage partagé et d'action collective établis pendant la pandémie de COVID-19 ".
Selon le document de l'OMS, cela peut être fait si les gouvernements "établissent et investissent dans des ressources pour des systèmes de surveillance d'écoute sociale et des capacités pour identifier les préoccupations ainsi que les rumeurs et la désinformation".
Ces ressources comprennent « de nouveaux outils et approches pour l'écoute sociale… utilisant de nouvelles technologies telles que l'intelligence artificielle pour écouter les préoccupations de la population sur les réseaux sociaux ».
Selon le document :
"Pour instaurer la confiance, il est important d'être réactif aux besoins et aux préoccupations, de relayer les informations en temps opportun et de former les dirigeants et les agents de santé [travailleurs de la santé] aux principes de communication des risques et d'encourager leur application."
La communication sur les risques "devrait être adaptée à la communauté d'intérêts, en se concentrant sur les groupes vulnérables et en leur donnant la priorité", a déclaré l'OMS.
La communication « sur mesure » était une caractéristique des efforts de santé publique pendant la pandémie de COVID-19.
Par exemple, en novembre 2021, la Fondation Rockefeller, la National Science Foundation et le Social Science Research Council ont lancé le Mercury Project , qui visait «à accroître l'utilisation des vaccins COVID-19 et d'autres mesures de santé publique recommandées en luttant contre la mésinformation et la désinformation». — en partie en étudiant les « impacts différentiels entre les groupes sociodémographiques ».
De même, le PRET déclare qu'il "intégrera les derniers outils et approches d'apprentissage partagé et d'action collective établis pendant la pandémie de COVID-19".
Ces « outils et approches » pourraient être déployés lors des « événements respiratoires aigus », selon le document, qui recommande aux gouvernements :
« Développez et mettez en œuvre des stratégies de communication et de changement de comportement basées sur des informations infodémiques, et testez-les lors d'événements respiratoires aigus, y compris la grippe saisonnière.
"Cela comprend la mise en œuvre de la gestion de l'infodémie dans tous les secteurs et une approche coordonnée avec d'autres acteurs, notamment les universités, la société civile et les agences internationales."
Ce n'est pas la première fois que l'OMS s'attaque à la soi-disant «infodémie».
Une revue de l'OMS publiée le 1er septembre 2022, intitulée "Infodémies et désinformation sur la santé : une revue systématique des revues", a révélé que "les infodémies et la désinformation ... ont souvent un impact négatif sur la santé mentale des gens et augmentent la réticence à la vaccination, et peuvent retarder la fourniture de soins de santé .”
Dans l'examen, l'OMS a conclu que les "infodémies" peuvent être traitées en "élaborant des politiques juridiques, en créant et en promouvant des campagnes de sensibilisation, en améliorant le contenu lié à la santé dans les médias de masse et en augmentant les connaissances numériques et en santé des gens".
Et un document distinct et non daté de l'OMS conseille le public sur la manière dont nous pouvons " aplanir la courbe infodémique ".
L'OMS et Google annoncent une collaboration ciblant la "désinformation médicale" Les propositions PRET de l'OMS ont coïncidé avec un nouvel accord de collaboration pluriannuel avec Google pour la fourniture "d'informations crédibles liées à la santé pour aider des milliards de personnes dans le monde à répondre aux problèmes de santé publique émergents et futurs".
L'accord a été annoncé le 23 mai par le Dr Karen DeSalvo, directrice de la santé de Google, sur le blog de l'entreprise. Elle a écrit:
« L'information est un déterminant essentiel de la santé. Obtenir les bonnes informations, au bon moment, peut conduire à de meilleurs résultats de santé pour tous. Nous l'avons vu de nos propres yeux avec la pandémie de COVID-19 lorsqu'il était difficile pour les gens du monde entier de trouver des informations utiles en ligne.
"Nous avons travaillé avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sur une série d'efforts pour aider les gens à prendre des décisions éclairées concernant leur santé - d'une alerte SOS à la diffusion de contenu localement pertinent sur COVID-19 aux politiques de YouTube sur la désinformation médicale."
L'une des façons dont Google collaborera avec l'OMS consiste à créer davantage de "panneaux de connaissances" qui apparaîtront en bonne place dans les résultats de recherche pour les questions liées à la santé sur la plate-forme.
"Chaque jour, les gens viennent sur Google Search à la recherche d'informations fiables sur divers problèmes de santé et symptômes", a écrit DeSalvo. "Pour les aider à accéder à des informations fiables, nos panneaux de connaissances citent le contenu de sources fiables couvrant des centaines de conditions allant du rhume à l'anxiété."
"En travaillant en étroite collaboration avec l'OMS, nous allons bientôt nous étendre pour couvrir davantage de conditions telles que la BPCO [maladie pulmonaire obstructive chronique], l'hypertension, le diabète de type 2, le Mpox , Ebola, les troubles dépressifs, le paludisme et plus encore", a-t-elle ajouté.
Google rendra ces panneaux de connaissances disponibles en plusieurs langues, dont l'anglais, l'arabe, le chinois, le français, le russe et l'espagnol.
Le message de DeSalvo du 23 mai a également abordé une collaboration en cours entre Google et l'OMS, Open Health Stack (OHS), qui "aide [s] à accélérer la transformation numérique des systèmes de santé dans le monde" et "abaisse [s] la barrière à des soins de santé équitables .”
Google a également accordé à l'OMS plus de 320 millions de dollars "en publicité sur la recherche Google via des subventions publicitaires", permettant à l'agence "de publier des sujets de santé au-delà du COVID-19, tels que Mpox, la santé mentale, la grippe, Ebola et les catastrophes naturelles".
Google devrait fournir 50 millions de dollars supplémentaires en subventions publicitaires à l'OMS cette année.
Selon Google, les subventions publicitaires à l'OMS représentent le don le plus important de l'entreprise à une seule organisation.
Par ailleurs, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a tweeté le 22 mai sur les propres efforts de l'agence pour lutter contre la prétendue « désinformation » et la « désinformation ».
Le tweet contient une vidéo de 35 secondes, qui prétend que la «désinformation» voyage «six fois plus vite que les faits», tout en faisant la promotion de l'initiative « Rumor Control » de la FDA .
Une priorité absolue du commissaire de la FDA, le Dr Robert Califf , "Rumor Control" a été lancé en août 2022 et rejoint d'autres initiatives de l'agence pour lutter contre la "désinformation" et la "désinformation".
«La propagation croissante des rumeurs, de la désinformation et de la désinformation sur la science, la médecine et la FDA met les patients et les consommateurs en danger», selon la page Web Rumor Control de la FDA. "Nous sommes ici pour fournir les faits."
L'initiative demande au public de faire «trois choses faciles» pour «empêcher les rumeurs de se propager»: «ne croyez pas les rumeurs», «ne les faites pas passer» et «obtenez des informations sur la santé de sources fiables comme la FDA et notre partenaires gouvernementaux.
"Rumor Control" semble avoir été inspiré par une initiative développée par le Virality Project , "une coalition d'entités de recherche" de six institutions "axées sur le soutien à l'échange d'informations en temps réel entre la communauté de la recherche, les responsables de la santé publique, les agences gouvernementales, les autorités civiles". les organisations de la société et les plateformes de médias sociaux.
Des documents publiés dans le cadre des « fichiers Twitter » en mars ont révélé que le projet Virality, basé sur l'Observatoire Internet de Stanford, appelait également à la création d'un comité de désinformation juste un jour avant que Biden n'annonce son intention de lancer sa gouvernance de la désinformation gérée par le gouvernement . Conseil .
Semblable aux recommandations du PRET de cibler des informations « exactes » qui contredisent néanmoins les récits de santé publique de l'établissement, le projet de viralité a travaillé avec Twitter et d'autres plateformes de médias sociaux, leur recommandant de « prendre des mesures même contre les « histoires d'effets secondaires réels des vaccins » et les « vraies publications qui pourrait alimenter l'hésitation.
Ces efforts de censure comprenaient au moins un tweet de Robert F. Kennedy Jr., président en congé de Children's Health Defence .
Mauvais lots (« lots chauds ») de vaccins à ARNm Pfizer COVID-19 : 4,2 % des doses de vaccin Pfizer sont mortelles, mais qu'en est-il du reste ?
Trois sites Web pour vérifier la gravité de votre lot COVID-19.
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 02 juin 2023
Une lettre de recherche danoise de Max Schmeling publiée en janvier 2023, a examiné la "sécurité" du lot d'ARNm Pfizer COVID-19 des vaccins Pfizer administrés au Danemark en 2021. ( cliquez ici )
Résumé Chaque point représente un « lot de vaccin » ( chaque lot contient un certain nombre de flacons de vaccin, chacun contenant un certain nombre de doses de vaccin) 4,2 % des doses provoquent 71 % des effets indésirables des injections Pfizer et 50 % des décès 32 % des doses provoquent < 1 % des événements indésirables, des événements graves et des décès liés à la piqûre de Pfizer Le chercheur français Hervé Seligmann a confirmé les résultats en mai 2023 ( cliquez ici ).
- voir graph sur site -
Il semble y avoir 3 types distincts de lots de vaccins ARNm Pfizer COVID-19 :
Les lots à « haute toxicité » - fréquences élevées d'événements indésirables et de décès Les lots « toxicité intermédiaire » – fréquences moyennes d'effets indésirables Les lots « à faible toxicité » – faibles fréquences d'effets indésirables Commentaires de l'experte en sécurité des médicaments à la retraite Sasha Latypova ( cliquez ici ): « Nous avons vu des regroupements, par exemple, par codes alphanumériques, à la fois chez Pfizer et Moderna. Selon les lettres utilisées dans la numérotation alphanumérique - qui devrait être juste aléatoire, nous savions que cet ensemble de lettres produirait une toxicité plus élevée, et cet ensemble de lettres produirait une toxicité plus faible.
« Nous avions également des regroupements par dates de fabrication . [Cela] ne devrait pas non plus se produire - vous ne devriez pas avoir de différence entre le produit le premier du mois et le trentième du mois.
Deux jeunes hommes contractent une myopéricardite à cause du même lot de vaccin administré le même jour Une étude italienne publiée en mars 2022 a fait état de deux jeunes hommes qui ont pris un vaccin Moderna du même lot le même jour. Tous deux ont développé une myopéricardite exactement 3 jours après avoir reçu leur vaccin à ARNm . ( cliquez ici )
C'est une preuve supplémentaire que c'est le lot de vaccins qui pose problème et non les différences de santé de l'individu.
Le scandale Wyeth - Les grandes sociétés pharmaceutiques ont appris dans les années 1970 à disperser géographiquement les mauvais lots de vaccins pour éviter d'être détectés Dans les années 1970, Wyeth Pharmaceutical, racheté par Pfizer en 2009, avait un groupe de décès d'enfants par le SMSN (syndrome de mort subite du nourrisson) dans le Tennessee, à cause de son vaccin DTC. ( cliquez ici )
Les dirigeants de Wyeth ont décidé de diviser les lots ou les lots de vaccins pour ne plus jamais autoriser l'envoi d'un groupe de flacons d'un lot à un seul État ou département de la santé. En limitant la distribution des flacons à 2000 au maximum dans une région géographique, il était moins probable qu'un groupe de blessures soit lié au vaccin.
Au lieu de rappeler des « lots chauds » de vaccins mortels, ils ont dispersé les lots dans tout le pays afin que personne ne fasse le lien avec les événements indésirables.
- voir graph sur site -
À quel point mon lot de vaccins est-il mauvais ? Il existe trois sites Web sur lesquels vous pouvez déterminer la gravité de votre lot de vaccins Pfizer ou Moderna :
Ma prise… Le concept de roulette russe continue de s'appliquer aux vaccins ARNm Pfizer & Moderna COVID-19. Environ 4 % des doses de Pfizer sont assez mortelles et représentent 70 % des effets secondaires et 50 % des décès.
Mais qu'en est-il du reste? 64 % des doses de Pfizer avaient des niveaux intermédiaires d'effets indésirables. C'est encore une mauvaise nouvelle.
Même les 32 % restants des doses « à faible toxicité » de Pfizer ne peuvent être considérées comme « sûres », car elles causent environ 1 % des effets secondaires et 1 % des décès.
Fait intéressant, le fait qu'il existe trois modèles distincts suggère que les composants du vaccin peuvent être différents dans chaque type de lot, et qu'un contrôle de qualité médiocre ou la dégradation de l'ARNm ne peuvent à eux seuls expliquer ces différences marquées.
Nattokinase pour le traitement des dommages causés par le vaccin et du syndrome post-vacc
2 juin 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Les protocoles développés pour lutter contre les dommages causés par les vaccins sont régulièrement mis à jour. L'un d'eux est celui de la FLCCC Alliance, qui contient de la nattokinase en plus du bleu de méthylène, dont TKP a récemment fait état ici . Nattokinase a également été un problème ici auparavant.
Dans mes interviews vidéo sur RTV avec Florian Schilling, nous avons souvent parlé de la nattokinase comme option de traitement. En principe , la nattokinase peut aider à la thrombose. En cas de syndrome post-vaccin et de covid long, il est principalement utilisé pour éliminer la microthrombose.
Le natto est un aliment japonais, pas nécessairement tolérable pour les non-japonais en raison de son odeur et de son goût, qui est créé par la fermentation du soja. De là, vous obtenez la nattokinase d'une part et la vitamine K2 d'autre part - toutes deux très efficaces en relation avec le sang et le système vasculaire.
Une étude japonaise intitulée Effet dégradant de la nattokinase sur la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 sur 12 hommes japonais jeunes et en bonne santé a révélé que déjà une dose unique de 2000 FU active plusieurs voies fibrinolytiques et antithrombotiques.
La nattokinase NSK-SD a été décrite par des sources japonaises comme une forme particulièrement efficace , comme on peut le lire dans certaines études.
Le protocole FLCCC Alliance i-Recover recommande 100 à 200 mg par jour. Robert Malone à ce sujet dans la vidéo :
- voir clip sur site -
Docteur Robert Malone : « Je viens de terminer ce protocole de récupération FLCCC qui comprend plusieurs médicaments différents. Et je l'ai complété avec un autre ingrédient qui est une enzyme - qui aide à décomposer ces amas de fibrine - appelée nattokinase. Et je peux vous dire personnellement... que je me sens beaucoup mieux. Ma femme me dit que mes pas sont plus longs ; J'ai beaucoup plus d'énergie et d'endurance qu'auparavant après avoir terminé ce protocole - qui, comme vous le dites, est conçu en partie pour déplacer les protéines de pointe de divers sites de liaison dans votre corps."
Un haut responsable de l'OMS appelle à une action mondiale pour limiter les libertés individuelles
2 juin 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Un haut responsable de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a exhorté les gouvernements du monde à donner la priorité aux "mesures susceptibles de restreindre les libertés individuelles". Cette exigence a été formulée par le Dr. Abdullah Assiri, coprésident d'un groupe de travail de l'OMS chargé d'étudier les modifications du droit international qui élargiraient les pouvoirs de l'OMS, lors d'une réunion la semaine dernière.
Assiri, le coprésident du groupe de travail de l'OMS chargé d'amender le Règlement sanitaire international (RSI), est allé plus loin en prenant le pouvoir au sein de l'organe de l'ONU en exhortant les membres à œuvrer pour priver le public de ses libertés. Assiri a fait ces commentaires lors d'une table ronde stratégique lors de la 76e Assemblée mondiale de la santé, une réunion annuelle de l'organe décisionnel de l'OMS.
Au cours de l'appel, les membres de l'OMS ont discuté du Traité international sur la pandémie et des amendements au Règlement sanitaire international - deux outils qui, ensemble, élargiront les pouvoirs de l'OMS pour lutter contre la "désinformation", renforcer ses pouvoirs de surveillance et promouvoir les passeports de vaccination mondiaux.
Assiri a mis à jour les progrès de l'OMS sur les modifications apportées au Règlement sanitaire international avant de suggérer que les libertés individuelles devraient être restreintes par cette autorité sanitaire non élue.
"Cependant, le monde a besoin d'autres mandats juridiques, comme le Traité sur la pandémie, pour faire face à une pandémie donnée si elle devait se produire, et elle le fera", a déclaré Assiri. « La hiérarchisation des mesures susceptibles de limiter les libertés individuelles, l'organisation et le partage d'informations, de connaissances et de ressources, et surtout la fourniture de ressources pour le contrôle de la pandémie sont nécessaires pendant une pandémie. Les ressources pour mener à bien ces actions ne sont tout simplement pas disponibles à l'heure actuelle.
Alors que les nouveaux pouvoirs étendus contenus dans le Traité sur la pandémie et les amendements au RSI restreignent les libertés individuelles, telles que la vie privée et la liberté d'expression, les responsables de l'OMS ne l'ont jusqu'à présent pas directement reconnu.
Les commentaires d'Assiri sont le dernier des nombreux exemples où l'OMS continue d'appeler à plus de pouvoir, alors même que l'autorité sanitaire non élue a déjà acquis une influence significative pendant la pandémie.
L'OMS crée une rhétorique et, dans une large mesure, même de fausses allégations, comme celle de l'immunité collective par des injections d'ARNm, qui sont ensuite vendues par les médias et dans les études comme un "consensus scientifique". Depuis 2020, l'OMS s'est associée à YouTube, Facebook et Wikipedia et a eu une influence directe sur les règles linguistiques sur ces plateformes. Google a renouvelé son partenariat avec l'OMS le mois dernier.
Mais alors que l'OMS exerce déjà une influence majeure sur le discours en ligne, elle a fait pression pour encore plus de pouvoir en 2021 (lorsque les travaux sur le traité international sur la pandémie ont commencé) et 2022 (lorsque l'administration Biden a proposé des modifications au RSI). La prise de contrôle de l'OMS s'est heurtée à l'opposition de politiciens aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en Australie et en Europe. L'OMS prévoit d'achever le Traité sur la pandémie et les amendements au RSI d'ici mai 2024.
Une fois adopté, le Traité sur la pandémie s'appliquera aux 194 États membres de l'OMS (représentant 98 % des pays du monde) et les amendements au RSI s'appliqueront à 196 pays. Les deux instruments sont juridiquement contraignants en vertu du droit international.
Il est incroyable que nos politiciens y participent et que le Bundestag allemand ait pratiquement décidé de se soumettre complètement à l'OMS.
Quelques mois après l'administration des vaccins contre le SRAS-Cov-2 à des millions de personnes, de nombreux types d'effets secondaires ont été signalés dans le monde. Les informations sur les événements indésirables ont été niées et masquées par les agences gouvernementales et les médias financés par l'État et parrainés par les entreprises, qu'il s'agisse de rumeurs, de spéculations de profanes ou d'enquêtes scientifiques sérieuses menées par des universitaires qualifiés.
Cependant, en 2023, les registres nationaux des blessures par vaccin montrent de graves lacunes dans les vaccins en cours de développement pour lutter contre le SRAS-Cov-2. Dans un rapport publié dans l'International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, les auteurs ont analysé les données des systèmes gouvernementaux de surveillance et d'auto-déclaration en Allemagne, en Israël, en Écosse, au Royaume-Uni et aux États-Unis "pour identifier les effets indésirables à long terme". événements du vaccin Trouver des produits COVID qui ne peuvent pas être capturés par les analyses de sécurité accélérées ». Cette section du résumé indique :
Nos données démontrent, entre autres tendances, une augmentation des rapports d'événements indésirables lorsque nous comparons les produits COVID aux vaccins contre la grippe et la coqueluche, et un nombre statistiquement significativement plus élevé d'hospitalisations parmi le personnel militaire, ainsi qu'une augmentation des conditions thromboemboliques telles que les anomalies menstruelles, myocardites, et événements cérébrovasculaires de l'introduction de la réglementation sur les injections COVID par rapport aux cinq années précédentes… Notre méta-analyse des incidents vaccinaux nationaux et internationaux souligne l'importance d'une réévaluation des politiques de santé publique qui favorise la vaccination universelle de masse et les rappels multiples pour tous les groupes démographiques . Combiné avec des rapports informels de témoins fiables,
À ce stade tardif de la période de pandémie déclarée, les gouvernements et leurs diverses plateformes de propagande ne peuvent plus cacher ces événements indésirables et peuvent maintenant se trouver dans ce que l'on pourrait appeler le « refroidissement de la pandémie ». Un article de 2015 dans The New Yorker traitait de ce phénomène sociologique.
Le terme a été utilisé dans une étude de 1952 par Erving Goffman pour décrire un élément important de la supercherie, mais il décrit également de manière générale tout mécanisme social nécessaire pour aider les gens à s'adapter à la perte matérielle et à l'humiliation. Lorsqu'une victime est forcée d'admettre qu'elle a été victime d'une arnaque ou d'une arnaque, les auteurs doivent faire des efforts pour l'aider à s'adapter. Sinon, la victime pourrait faire quelque chose d'« irrationnel », comme se venger violemment, s'exposer dans les médias, déposer une plainte pénale ou intenter une action en justice. Il faut leur rappeler qu'ils ont encore des choses précieuses qu'ils pourraient perdre, alors ils n'ont qu'à accepter la perte et l'humiliation et retourner auprès de leur femme et de leurs enfants.Oui, il y a eu quelques rares événements indésirables. Faites la queue et remplissez ce formulaire pour réclamer l'indemnisation à laquelle vous avez légalement droit. Nous prendrons soin de vous sous peu .
TKP a régulièrement publié des prépublications et des études évaluées par des pairs qui confirment les taux accrus de nombreux événements indésirables pour la santé après la vaccination. La chose curieuse à leur sujet, cependant, est qu'ils se terminent souvent très timidement, contenant des mots comme celui de l' extrait suivant :
Le nombre de cas signalés est relativement faible par rapport aux centaines de millions de vaccinations, et la protection offerte par la vaccination COVID-19 dépasse de loin les risques.
Cette tendance a également été relevée dans la récente étude Cochrane sur l'efficacité du port du masque. Enfin, plutôt que de souligner qu'il n'y a aucune preuve de bénéfice du port du masque dans de nombreuses études, les auteurs ont énuméré toutes les façons dont les études qu'ils ont examinées pourraient contenir des erreurs non détectées. C'était comme s'ils avaient peur d'avoir fait une découverte importante qui changerait la politique du gouvernement.
Mais dans cette étude, nous avons également obtenu le témoignage de l'auteur principal Tom Jefferson sur le temps qu'il a lutté pour faire publier son étude. Parce que l'examen est nécessaire pour la publication. Vous pouvez lire l'interview de Jefferson sur son combat ici .
Avec le problème de l'évaluation, cependant, nous sommes revenus au consensus. L'évaluation est fondamentalement absurde et nuisible. Parce que les experts ne disent rien d'autre que "nous sommes d'accord". Les insights révolutionnaires n'ont donc lieu qu'en dehors du consensus, voire rompent avec lui.
L' article de 2009 cité par Michael Crichton déclare :
« Aujourd'hui, les méthodes pour parvenir à un consensus ont changé, mais le résultat pourrait être le même : la mort de l'esprit. L'utilisation et l'abus de la « science consensuelle » sont au moins partiellement responsables de la crise actuelle du système d'examen scientifique et médical par les pairs. Bien que l'examen par les pairs soit considéré comme l'un des piliers sacrés de l'édifice scientifique, il est critiqué depuis un certain temps pour contrôler l'accès aux publications et aux financements, mettant ainsi le problème au premier plan.
De nombreuses études sont évidemment conçues pour survivre à l'examen, même dans la phase de préimpression et la toute première publication. Les vrais résultats sont encadrés par des aveux religieux et des phrases comme « la vaccination a sauvé des millions de vies » sont récitées. Exactement ces parties de texte des études peuvent ensuite être trouvées dans les médias d'entreprise et tout va bien.
La famille d'un étudiant décédé des suites d'un vaccin COVID-19 poursuit l'administration de Biden
Par Zachary Stieber 2 juin 2023
La famille d’un étudiant décédé d’une inflammation cardiaque causée par le vaccin COVID-19 de Pfizer a poursuivi l’administration du président Joe Biden, alléguant que des responsables se sont livrés à une « faute intentionnelle ».
Les responsables du département américain de la Défense (DOD) ont fait la promotion à tort de la vaccination contre le COVID-19 en affirmant à plusieurs reprises que les vaccins disponibles étaient "sûrs et efficaces", ont déclaré des proches de George Watts Jr., l'étudiant, dans le nouveau procès.
Cette promotion "a dupé des millions d'Américains, y compris M. Watts, pour qu'ils soient les sujets humains du DOD dans son expérience médicale, la plus grande de l'histoire moderne", indique le procès.
La Loi sur la préparation du public et la protection civile autorise des poursuites contre certaines personnes si elles se sont livrées à une « inconduite volontaire » et si cette inconduite a causé la mort ou des blessures graves.
Les vaccins COVID-19 sont couverts par la loi en raison d'une déclaration entrée sous l'administration Trump en 2020 après que COVID-19 a commencé à circuler.
« La conduite du DOD et le préjudice causé, comme allégué dans les quatre coins du procès, parlent d'eux-mêmes », a déclaré Ray Flores, un avocat représentant la famille Watts, à Epoch Times par e-mail. «Je n'ai pas d'autre commentaire que de dire: mon seul devoir est de défendre mon client. Si le DOD transmet une offre de règlement, je veillerai à ce qu'elle soit prise en compte.
La poursuite a été déposée devant un tribunal américain à Washington.
Le Pentagone et le ministère de la Justice n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
Watts est mort subitement Watts était étudiant au Corning Community College lorsque l'école a rendu obligatoire la vaccination contre le COVID-19 pour les cours en personne en 2021. Il a reçu une dose de Pfizer le 27 août 2021 et une deuxième dose environ trois semaines plus tard.
Watts a rapidement commencé à ressentir une gamme de symptômes, notamment des picotements dans les pieds, des douleurs dans les talons, un engourdissement dans les mains et les doigts, du sang dans son sperme et son urine et une pression des sinus, selon les membres de la famille et les dossiers de santé.
Watts s'est rendu aux urgences de l'hôpital Robert Packer le 12 octobre 2021 en raison des symptômes. Les radiographies ont montré des poumons clairs et un contour cardiaque normal.
Watts a été renvoyé chez lui avec des suggestions de suivi avec des spécialistes, mais est retourné aux urgences le 19 octobre 2021, avec une aggravation des symptômes malgré une semaine d'antibiotique Augmentin. On lui a diagnostiqué une sinusite et une bronchite.
En parlant à sa mère à la maison le 27 octobre 2021, Watts s'est soudainement effondré. Le personnel médical d'urgence s'est précipité à la maison mais l'a trouvé inconscient. Il a été transporté d'urgence au même hôpital dans une ambulance. Il a été déclaré décédé à 24 ans.
Selon un médecin de l'hôpital, citant des dossiers hospitaliers et des membres de sa famille, Watts n'avait aucun antécédent médical au dossier qui expliquerait sa mort subite, sans antécédent connu de toxicomanie ou de signes évidents de toxicomanie. Sa mère a décrit son fils comme un « jeune homme en bonne santé ».
Le Dr Robert Stoppacher, un pathologiste qui a pratiqué une autopsie sur le corps, a déclaré que le décès était dû à une «myocardite liée au vaccin COVID-19». Le certificat de décès ne mentionne aucune autre cause. Un test COVID-19 est revenu négatif. Le Dr Sanjay Verma, basé en Californie, a examiné les documents de l'affaire Watts et a déclaré qu'il pensait que le décès avait été causé par la vaccination contre le COVID-19.
Pfizer n'a pas répondu à une demande de commentaire.
Watts a pris le vaccin sous pression
Le mandat du collège communautaire comprenait une période de grâce de 35 jours après l'approbation par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis d'un vaccin COVID-19.
Watts n'a reçu le vaccin que "parce que l'école lui a autrement interdit d'assister à des cours en personne", selon la poursuite. Mais il a attendu que Comirnaty soit autorisé avant de se rendre à un rendez-vous le 27 août 2021. À son arrivée, cependant, il a reçu les doses délivrées en vertu d'une autorisation d'urgence, car la formulation nouvellement approuvée n'était pas encore disponible.
Les responsables auraient dû immédiatement remplacer les anciennes doses de vaccin à la lumière de l'approbation, indique le procès, notant les décisions de justice qui ont conclu que l'armée avait illégalement besoin d'un vaccin expérimental contre l'anthrax.
«Le DOD s'est continuellement et sciemment engagé dans une tromperie et une exagération massives et délibérées pour créer une demande afin de pousser les vaccins dans les bras d'autant d'Américains que possible, faisant de la majorité du pays (y compris M. Watts) des participants inconscients à son programme humain de masse. expérience », déclare le costume.
Elle demande au tribunal d'accorder des dommages-intérêts.
Les agences des Nations Unies préviennent que «l'insécurité alimentaire aiguë» risque de s'aggraver dans 18 points chauds de la faim
Par Jessica Corbett Recherche mondiale, 02 juin 2023
Alors qu'El Niño se profile et que les combats font rage au Soudan, deux agences des Nations Unies ont averti lundi que "l'insécurité alimentaire aiguë est susceptible de se détériorer davantage dans 18 points chauds de la faim" dans 22 pays de juin à novembre.
L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM) ont lancé cet avertissement dans un rapport conjoint.
"L'Afghanistan, le Nigeria, la Somalie, le Soudan du Sud et le Yémen restent au plus haut niveau de préoccupation", indique le rapport. « Haïti, le Sahel (Burkina Faso et Mali) et le Soudan ont été élevés au plus haut niveau de préoccupation ; cela est dû aux sévères restrictions de mouvement des personnes et des biens en Haïti, ainsi qu'au Burkina Faso et au Mali, et à la récente éruption du conflit au Soudan.
"Le Pakistan, la République centrafricaine, l'Éthiopie, le Kenya, la République démocratique du Congo et la République arabe syrienne sont des points chauds très préoccupants, et l'avertissement est également étendu au Myanmar", poursuit la publication. « Le Liban, El Salvador et le Nicaragua ont été ajoutés à la liste des pays du point chaud de la faim depuis l'édition de septembre 2022. Le Malawi, le Guatemala et le Honduras restent des pays sensibles à la faim.
Le document souligne que l'aggravation des conditions dans les points chauds se produit dans le contexte d'une «crise alimentaire mondiale», de sorte que «les pays et les situations couverts dans ce rapport mettent en évidence les détériorations les plus importantes de la faim attendues au cours de la période de projection», mais ne représentent pas toutes pays confrontés à des niveaux élevés d'insécurité alimentaire aiguë.
« Le conflit perturbera les moyens de subsistance, y compris les activités agricoles et les échanges commerciaux, car les gens sont directement attaqués ou fuient la perspective d'attaques, ou sont confrontés à des restrictions de mouvement et à des obstacles administratifs », indique le rapport. "Les nouveaux conflits émergents, en particulier l'éruption d'un conflit au Soudan, entraîneront probablement les tendances mondiales des conflits et auront un impact sur plusieurs pays voisins."
"L'utilisation de munitions explosives et de tactiques de siège dans plusieurs points chauds de la faim continue de pousser les gens à des niveaux catastrophiques d'insécurité alimentaire aiguë", ajoute le document, "soulignant le rôle essentiel de l'accès humanitaire dans la prévention des pires conséquences de la faim".
Le nouveau rapport est notamment venu alors que le PAM a annoncé que samedi, six semaines après le début des combats au Soudan - déplaçant près de 1,4 million de personnes - le programme des Nations Unies a pu commencer à distribuer une aide alimentaire aux milliers de personnes touchées par le conflit dans et autour du capitale Khartoum.
« C'est une percée majeure. Nous avons enfin pu aider les familles qui sont bloquées à Khartoum et qui luttent pour survivre chaque jour alors que la nourriture et les fournitures de base diminuent », a déclaré Eddie Rowe, directeur national du PAM au Soudan, dans un communiqué.
"Nous avons travaillé 24 heures sur 24 pour atteindre les gens à Khartoum depuis le début des combats", a ajouté Rowe. « Une fenêtre s'est ouverte en fin de semaine dernière qui nous a permis de commencer les distributions alimentaires. Le PAM doit faire plus, mais cela dépend des parties au conflit et de la sécurité et de l'accès qu'elles garantissent de manière réaliste sur le terrain.
Outre les conflits armés, les facteurs de détérioration dans les régions ciblées par le rapport comprennent les problèmes économiques et l'urgence climatique. La publication souligne que l'année dernière, "les risques économiques ont entraîné la faim dans plus de pays que les conflits" et "l'économie mondiale devrait ralentir en 2023 - dans un contexte de resserrement monétaire dans les économies avancées - augmentant le coût du crédit".
"Les conditions météorologiques extrêmes, telles que les fortes pluies, les tempêtes tropicales, les cyclones, les inondations, la sécheresse et l'augmentation de la variabilité climatique, restent des facteurs importants dans certains pays et régions", explique le document, notant que les experts anticipent les conditions d'El Niño - ou le réchauffement de la mer températures de surface à travers l'océan Pacifique tropical - dans les mois à venir, "avec des implications importantes pour plusieurs points chauds de la faim".
Le rapport souligne qu'une « assistance urgente et renforcée » dans tous les points chauds « est essentielle pour éviter une nouvelle détérioration de l'insécurité alimentaire aiguë et de la malnutrition » et, dans certains cas, « les actions humanitaires sont essentielles pour prévenir de nouvelles famines et de nouveaux décès ».
Les dirigeants de l'agence ont fait écho à l'appel à l'action de la publication. Cindy McCain, directrice exécutive du PAM, a déclaré dans un communiqué que "non seulement plus de personnes dans plus d'endroits dans le monde souffrent de la faim, mais la gravité de la faim à laquelle elles sont confrontées est pire que jamais".
"Ce rapport indique clairement : l'Ae doit agir maintenant pour sauver des vies, aider les gens à s'adapter au changement climatique et, en fin de compte, prévenir la famine", a déclaré McCain. "Si nous ne le faisons pas, les résultats seront catastrophiques."
Le directeur général de la FAO, Qu Dongyu, a souligné que "les voies du statu quo ne sont plus une option dans le paysage actuel des risques si nous voulons parvenir à la sécurité alimentaire mondiale pour tous, en veillant à ce que personne ne soit laissé pour compte".
"Nous devons fournir des interventions agricoles immédiates et urgentes pour sortir les gens du bord de la faim, les aider à reconstruire leur vie et fournir des solutions à long terme pour s'attaquer aux causes profondes de l'insécurité alimentaire", a-t-il déclaré. "Investir dans la réduction des risques de catastrophe dans le secteur agricole peut débloquer d'importants dividendes de résilience et doit être intensifié."
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L’agroécologie face à la réalité, entre idéologie et difficultés
L’agroécologie peine à s’imposer malgré la pression médiatique, mais quelles sont les raisons de cette difficulté ?
Armand Paquereau le 3 juin 2023
L’agroécologie a pour vocation de libérer l’agriculture de sa dépendance aux apports exogènes, que ce soit en matière de produits de défense des cultures et des animaux, de moyens énergétiques de production ou d’utilisation d’éléments fertilisants.
Une méthode qui peine à s’imposer
Malgré la pression médiatique sans limite et des individus regroupés en associations diverses, dont une association paysanne dont on se demande si elle défend bien les agriculteurs, qui s’arrogent le droit de recourir à la violence pour imposer cette idéologie, les principes de l’agroécologie, synonymes de Bio dans l’opinion, ont du mal à s’imposer.
Les objectifs successifs affichés d’atteindre en Bio 15 % de la surface agricole utilisée en 2022 et 18 % en 2027 sont loin d’être atteints. Ainsi, sur les 26,8 millions d’hectares de surface agricole utilisée, la Bio ne couvre que 2,8 millions d’hectares soit 10,44 % en 2022.
Depuis la fin du confinement, une récession des achats Bio semble se confirmer. De plus, un phénomène de déconversion semble s’amplifier. En 2022 selon l’agence Bio, quelque 2174 producteurs ont opté pour la déconversion, avec une augmentation de 42 % sur un an.
La baisse de la consommation des produits Bio pousse même de grands groupes de l’agro-industrie, comme Lactalis, Cavac ou Bodin Volailles, à encourager les producteurs bio à se déconvertir.
Cette tendance mérite d’être étudiée avec soin pour envisager l’avenir.
Certes la Bio permet de se libérer (partiellement) de la dépendance aux sources exogènes d’intrants et d’être moins fragile aux fluctuations des cours des intrants chimiques, notamment importés (voir infra). Mais il est indéniable que les rendements en Bio sont largement inférieurs à ceux obtenus en agriculture dite intensive, tellement décriée. Les raisons sont connues, même si elles sont volontairement occultées. La production d’une récolte est proportionnelle à la masse végétale capable de capter l’énergie solaire et de transformer le gaz carbonique capté par la photosynthèse des plantes en oxygène et en hydrates de carbone, bases élémentaires de toute alimentation, qu’elle soit humaine ou animale. Or, la masse végétale est proportionnelle à la quantité d’azote assimilable dans le sol. C’est ce qui explique que l’apport d’engrais minéraux azotés fabriqués chimiquement augmente les rendements de manière significative.
La source d’azote en Bio ne peut provenir que de la décomposition de la masse végétale (compost, fumier animal) ou de la récupération de l’azote stocké par les légumineuses. Mais une exploitation Bio en autarcie ne peut rivaliser en apports azotés avec ceux exogènes issus de la chimie, surtout lorsqu’ils sont accompagnés des éléments P (phosphore) et K (potassium) que la Bio s’interdit.
Les rendements en Bio sont aussi limités par l’absence d’herbicides sélectifs. Et les différents binages ou rotations de cultures ne permettent pas de contrôler les plantes invasives (datura, ambroisie, lampourde, etc.).
Les déconventions en Bio sont aussi accélérées par la récente suppression des primes de maintien qui venaient compenser la perte de rendement et l’augmentation des façons culturales et du coût de la main d’œuvre induits.
La dépendance de l’agriculture « industrielle »
Le mot « industrielle » est mis entre guillemets, car la dépendance est aussi sensible pour une exploitation de 20 hectares que pour une de 200.
En effet, le poste approvisionnement est très sensible aux fluctuations de prix, sensibilité augmentée par le décalage de cette fluctuation avec celle des prix de vente de produits. Quand une hausse du prix d’achat des intrants est concomitante avec une baisse de prix de vente, l’équilibre de gestion de l’entreprise est compromis. La guerre en Ukraine a fait s’envoler les prix des carburants et des engrais à un point tel que des agriculteurs se sont interrogés sur la rentabilité d’emblaver, tant l’incertitude de la volatilité des prix était considérable.
La situation au Sénégal est une illustration du phénomène. L’augmentation du prix des engrais azotés est telle que les producteurs ne peuvent suffisamment s’approvisionner, et la diminution de la dose accessible ne permet plus un rendement suffisant pour assurer la rentabilité de la culture.
Le programme « Plan Sénégal émergeant vert », adopté par l’État en 2019, subventionne l’achat d’engrais organiques Bio à hauteur de 50 % du prix. Mais comme le constate un agriculteur, « il faut entre 10 à 15 sacs d’engrais organiques en plus par rapport aux engrais minéraux pour une même parcelle. Et tous les ans, dès mars, les stocks deviennent insuffisants sur l’ensemble du pays »
Le directeur de l’horticulture au ministère de l’Agriculture du Sénégal évalue de 15 à 20 % la part d’engrais minéraux importés, problème qui touche également les engrais organiques qui sont importés à 60 %, surtout d’Europe.
Le Sénégal souhaite « développer l’agriculture agri-écologique pour se prémunir contre le changement climatique et les chocs conjoncturels ». Cependant, ce type d’agriculture étant hyper dépendant des intrants organiques, et au vu des difficultés précédemment développées, cet objectif semble difficilement atteignable.
Le précédent du Sri Lanka
Le Sri Lanka a été le premier pays au monde à passer, en avril 2021, à une agriculture 100 % Bio. Gotabaya Rajapaksa, alors président, avait interdit l’importation d’engrais et de produits chimiques. Dès les premiers mois, la production a chuté de 20 %. Il a fallu faire machine arrière six mois plus tard.
Au total, un tiers des terres cultivables ont été abandonnées dans le pays, après la tentative de passage à l’agriculture bio. Sans accompagnement ni stock suffisant d’engrais organiques sur l’île, les fermiers n’ont rien pu faire. Le pays a été confronté à des baisses de production, puis des pénuries, et enfin une flambée des prix.
En octobre 2021, Buddhi Marambe, professeur à la faculté d’agriculture de l’université de Peradeniya mettait en garde : « Sans s’appuyer sur des preuves scientifiques concrètes, et en appliquant cette réforme dans des temporalités trop courtes, l’agriculture biologique va droit dans le mur ». Ces propos lui ont valu d’être exclu de ce comité d’experts !
En Inde, le gouvernement a financé en 2004 un projet similaire dans la région de Sikkim. Ce reportage d’Arte est une apologie de la Bio, mais malgré les 13 années d’adaptation et autant de millions d’aides attribués par le gouvernement de cette région, qui représente 0,1 % des terres cultivables du pays, il y est reconnu que la production n’est pas suffisante pour nourrir la population. Au regard de ce reportage, on peut se demander combien d’écologistes accepteraient d’arracher les mauvaises herbes à la main, de mélanger la bouse de vache aux déchets végétaux pour faire du compost, et de l’urine de vache avec des orties pour « élaborer » de l’insecticide qu’il faut pulvériser tous les trois à cinq jours pour écarter les insectes. On y voit aussi les enfants de l’agriculteur gratter la terre à mains nues autour des plants de tomates… Difficile à extrapoler dans notre pays !
Restons pragmatiques…
Sans renier la vocation de l’agroécologie à limiter les risques éventuels liés à l’utilisation des engrais et produits chimiques en agriculture, il est nécessaire de prendre en compte la vocation première et principale de l’agriculture : avec le concours de l’eau et des éléments contenus dans la terre arable et du recyclage de la biomasse tirer de l’énergie solaire, produire une nourriture suffisante en quantité et en qualité pour nourrir les populations. La chimie, la génétique, la mécanisation ont boosté les rendements.
Les agriculteurs ont démontré depuis plus d’un demi-siècle leur faculté d’adaptation aux progrès techniques, agronomiques et sociétaux. Malgré la disparition des trois quarts d’entre eux, ils ont permis de faire face à l’augmentation des besoins alimentaires d’une population croissante et en même temps ont permis d’abaisser des deux tiers la part alimentaire dans le budget des ménages.
Si la majorité d’entre eux ne se précipitent pas vers la Bio, si certains qui ont tenté l’expérience abandonnent, c’est sans doute qu’il existe des raisons majeures que veulent ignorer l’idéologie écologiste et les décideurs politiques.
Dans un contexte économique de paupérisation générale, on ne peut demander à des consommateurs de payer plus cher des produits biologiques ou demander à des producteurs de baisser leurs rendements et augmenter la pénibilité de leur travail sans que ces efforts soient justement et équitablement rémunérés.
Une obsession périlleuse
La volonté écologiste de supprimer toute pollution, réelle ou supposée, qui pourrait émaner de notre territoire conduit à des décisions très inquiétantes dont on mesure déjà l’étendue.
Pour protéger des centres-villes, on crée des ZFE qui interdisent au travailleur pauvre de prendre sa voiture exclue des normes, mais on tolère le gros SUV qui parcourt des milliers de kilomètres pour aller au ski ou à la plage…
Pour ne pas sentir la fiente de poule des élevages, on met une telle pression aux éleveurs que la production se délocalise et que près de 50 % de la viande de poulet que nous consommons est importée.
Pour protéger notre air, nos sols et les eaux qu’ils contiennent, on interdit aux agriculteurs des produits indispensables à la conduite rentable de leurs entreprises, mais on accepte des produits importés qui contiennent des résidus de ces produits interdits en France.
C’est ainsi qu’après les délocalisations des aciéries, des industries textiles, pharmaceutiques, automobiles, c’est maintenant la volonté agroécologique qui met en péril l’agriculture française. Ceci est gravissime, car la dépendance alimentaire est un danger majeur de déstabilisation sociale. Souvenons-nous des émeutes de la faim en 2008 dans de nombreux pays.
Ventre affamé n’a pas d’oreilles. Si la faim fait sortir le loup du3/ bois, elle pourrait faire sortir les Français de leur soumission.
Les programmes 'bio' sont des programmes pour les cons, ou plutôt pour 'les nouveaux paysans', vous savez, ce qui viennent de la ville et s'installent à la campagne et veulent... créer ! innover ! faire à leurs idées ! révolutionner l'agriculture sans la connaître ! bref, des gros cons de 'parisiens' qui ne connaissent rien mais donnent conseils ! HAHAHAHAHA !
L'Italie fait un pas vers les « techniques d'évolution assistée » – les nouvelles technologies génomiques
3 Juin 2023 Publié dans #NGT
Les commissions réunies de l'industrie, du commerce et de l'agriculture du Sénat italien ont approuvé le 30 mai 2023 un article additionnel à l'article 9 du décret-loi sur la sécheresse autorisant les essais en plein champ de « techniques d'évolution assistée » (TEA).
On entend par « techniques d'évolution assistée » les nouvelles techniques génomiques selon un article de Wired qui fait référence au prix Nobel de Mmes Emmanuelle Charpentier et Jennifer Doudna). Mais il est difficile de déterminer la portée exacte de la notion. Quant au sort qui sera réservé à cet article qui, en France, aurait tout l'air d'un cavalier législatif...
Mais il s'agit d'une sorte de message, d'autant plus important que l'article a été adopté à l'unanimité, sans abstentions.
M. Luigi Cattivelli, directeur du Centre de Génomique et de Bio-informatique du CREA (Conseil pour la Recherche en Agriculture et Analyse de l'Économie Rurale) a déclaré :
« C'est un pas qui change la perception de l'innovation génétique dans le pays. Il y a encore quelques années, tout le monde aurait été contre l'innovation génétique et aurait plaidé pour un retour au passé. C'est la première fois qu'un acte formel et public, au lieu de la restreindre, la favorise. La législation européenne existait, avait été transposée, mais était bloquée ici. L'étape d'aujourd'hui sert à rendre enfin opérationnelle l'expérimentation des techniques d'évolution assistée, qui était potentiellement applicable, mais n'avait jamais été mise en œuvre, parce que plusieurs étapes de mise en œuvre manquaient entre les mains des régions ; par exemple, l'identification du terrain est manquante, ce qui rend la transposition effectivement nulle et non avenue. [Les raisons] tiennent au fait que personne ne voulait prendre la responsabilité de lancer un essai sur son propre territoire. »
Confagricoltura a publié un communiqué de presse, « L'approbation de l'amendement TEA est un grand pas en avant pour la recherche et l'agriculture. Il s'agit maintenant d'accélérer la proposition de règlement européen » :
« "L'approbation à l'unanimité de l'amendement au décret-loi "sécheresse" sur les techniques d'évolution assistée est un grand pas en avant pour la recherche scientifique et l'agriculture, mettant fin à une longue période d'obscurantisme technologique. Cependant, sans cadre européen, les TEA resteront à un niveau expérimental."
C'est ce qu'a déclaré le président de la Confagricoltura, Massimiliano Giansanti, en commentant le feu vert unanime des commissions VIII et IX réunies du Sénat à la mesure autorisant l'expérimentation sur le terrain des techniques d'évolution assistée. "Nous remercions le sénateur De Carlo, premier signataire de l'amendement, mais aussi l'honorable Nevi et les parlementaires qui ont rendu cette avancée possible."
"Il faut maintenant travailler à la présentation de la proposition de règlement sur les techniques génomiques par la Commission Européenne, prévue pour la fin juin, et à son approbation ultérieure par le Parlement Européen et le Conseil dans les plus brefs délais, faute de quoi on risque de bloquer l'avancement du dossier, ajoute M. Giansanti. Tout dérapage bloquerait en effet la procédure d'adoption pour une année supplémentaire, compte tenu des élections européennes de 2024 pour le nouveau Parlement et de l'installation de la Commission."
Les techniques d'évolution assistée, ajoute la Confagricoltura, sont une réponse efficace à l'urgence climatique et à la demande alimentaire, permettant de réduire l'utilisation de pesticides et d'eau et de garantir la productivité nécessaire pour répondre à l'augmentation de la population.
L'état de l'art des TEA sera discuté à la Confagricoltura au Palazzo Della Valle le 7 juin, lors d'une conférence réunissant des personnalités du monde entier. »
Comme on le sait par ailleurs, le vice-président de la Commission Européenne a menacé de ne pas présenter le projet de règlement si les instances décisionnelles refusent d'adopter ses projets sur l'utilisation durable des pesticides (SUR) et la loi sur la restauration de la nature (NRL)...
(...) Les techniques d'évolution assistée, ajoute la Confagricoltura, sont une réponse efficace à l'urgence climatique et à la demande alimentaire, permettant de réduire l'utilisation de pesticides et d'eau et de garantir la productivité nécessaire pour répondre à l'augmentation de la population. (...)
Les chiens ne font pas des chats !
C'est TOUS LES JOURS (24h/24) qu'il y a DES millions de tonnes d'eaux douces (venues des fleuves & des rivières) qui se déversent en mers & océans (sans qu'elles ou ils ne montent !! Mais que fait la police ?). Et, des paysans sont en sécheresse ! (faute de ruisseaux qui amènent l'eau aux cultures !).
La réduction des pesticides (introuvables pour lutter contre les noctuelles & aleurodes qui ravagent les tomates !) propose un avenir heureux sans manger ! Whôaw !
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Alors que la France 'fulminait' à 916 400 naissances en 1971 elle est passée à 723 000 en 2022*. Donc: il devrait y avoir beaucoup moins de monde sur les routes qu'il y a 50 ans ! (même si chaque enfant a sa voiture). Or, sur les routes... ce ne sont que camions, camions, voitures, camions ! et des super hyper marchés naissent chaque jour ! Çà alors ! La raison est qu'il y a x dizaines de millions d'étrangers (touristes ? NON ! 'réfugiés climatiques' !) . Idem aux States. (mais comment ses estrangers 'sans le sou' sont-ils arrivés ?!).
Pour une Journée mondiale du lait saine et nutritive !
3 Juin 2023 Brad Clark, Réseau Mondial d'Agriculteurs*
Les gens pensent parfois que les vaches de notre ferme laitière sont condamnées à une vie misérable dans de petites cellules de prison – jusqu'à ce qu'ils arrivent, regardent autour d'eux et apprennent la vérité sur ce que nous faisons ici dans le Wisconsin (frontière Nord Canada et Lac Michigan) rural.
L'élimination des mythes est l'une des principales raisons pour lesquelles nous accueillons des visiteurs sur notre lieu de travail très fréquenté. La semaine dernière, il s'agissait de 41 élèves de première année d'une école locale. Nous nous attendons à une plus grande affluence prochainement, à l'approche de la Journée mondiale du lait, qui aura lieu le 1er juin.
À mesure que les gens s'éloignent des réalités de l'agriculture, ils sont de moins en moins informés sur la production alimentaire et de plus en plus vulnérables à toutes sortes d'idées fausses ou de mensonges sensationnalistes sur les réseaux sociaux.
La réalité est bien différente de ce que beaucoup de gens croient.
Commençons par un fait simple et indiscutable : le lait est une boisson étonnante et nutritive. Je le préfère glacé dans un verre. D'autres l'apprécient dans des saveurs telles que le chocolat et la fraise. Beaucoup de gens le consomment avec des céréales pour le petit-déjeuner. Quelle que soit la manière dont vous appréciez cette boisson, elle est riche en calcium, en phosphore, en vitamines, etc., et constitue un élément essentiel d'un régime alimentaire sain.
Le lait est également polyvalent. Bien que notre exploitation familiale produise depuis longtemps du lait destiné à être consommé, la majeure partie de notre production actuelle est destinée à la fabrication de fromages et de yaourts.
Et c'est le résultat d'un travail acharné. Nous trayons nos vaches trois fois par jour, toutes les huit heures, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Nous ne nous arrêtons jamais, pas même la nuit, sauf pour désinfecter le matériel à la fin de chaque période de traite.
Le meilleur lait provient des meilleurs animaux, ce qui signifie qu'il faut les garder heureux, propres et en bonne santé. On ne peut pas se tromper en faisant ce qu'il faut, et c'est pourquoi nous produisons notre lait de haute qualité d'une manière saine.
Tout d'abord, nos vaches sont heureuses. Elles peuvent se promener dans l'étable, manger et boire quand elles le souhaitent. Elles aiment s'installer dans des stalles individuelles et s'allonger sur de confortables lits de sable. Elles vivent dans le luxe bovin. Nous gardons les adultes à l'intérieur, et c'est ce qu'ils choisiraient, tout comme vous préférez probablement vous détendre dans une maison climatisée plutôt que de souffrir sous le soleil brûlant de l'été.
La production alimentaire américaine a pris une tournure très dangereuse dans la mauvaise direction
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 02 JUIN 2023 - 20:00 Écrit par Michael Snyder via le blog The End of The American Dream,
Si les agriculteurs et les éleveurs ne produisent pas assez de nourriture, nous ne mangeons pas.
Nous devrions donc toujours être très reconnaissants envers nos agriculteurs et nos éleveurs qui travaillent dur. Malheureusement, des fermes et des ranchs partout aux États-Unis ont été frappés par une série de catastrophes au cours des derniers mois et, par conséquent, la production alimentaire s'est détériorée. Cela signifie-t-il donc que nous devrions nous attendre à ce qu'il y ait bientôt des pénuries de certains articles ? Malheureusement, il semble que ce soit probablement le cas. Par exemple, on rapporte qu'environ 90 pour cent de la récolte de pêches de la Géorgie pour cette année ont été détruits...
L'été approche à grands pas et en Géorgie, l'été est synonyme de pêches.
Mais les horticulteurs de l'Université de Géorgie affirment qu'environ 90 % de la récolte de l'État de Peach a été détruite par le mauvais temps et le 'réchauffement climatique'.
La dernière fois que les choses ont été aussi mauvaises, c'était en 1955, selon Lawton Pearson de Pearson Farm à Fort Valley, en Géorgie.
J'aime vraiment une bonne pêche.
Mais si vous voulez mordre à pleines dents dans des pêches fraîches dans les mois à venir, elles ne viendront pas de Géorgie…
Alors ne comptez pas enfoncer vos dents dans une pêche du Peach State de sitôt.
"Pas des pêches de Géorgie", dit Pearson. "Je ne pense pas que vous verrez des pêches de Géorgie dans l'épicerie."
Peut-être pensez-vous que nous allons simplement manger plus d'oranges à la place.
Malheureusement, on prévoit qu'une combinaison de facteurs entraînera une baisse de 56 % de la récolte d'oranges de Floride cette année…
L'industrie des agrumes de Floride a affiché sa pire récolte depuis 1937, ce qui devrait donner aux amateurs d'orange une pause au supermarché.
Les dommages causés par la saison des ouragans de 2022, combinés à l'impact de la maladie du verdissement des agrumes, ravagent la récolte d'oranges du Sunshine State.
Cela entraînera probablement une montée en flèche des prix des agrumes dans tout le pays, car les agriculteurs de Floride ont enregistré leur plus petite récolte d'oranges en 90 ans, selon le dernier rapport agricole de l'État.
J'avais prévenu que cette sécheresse sans fin causerait d'énormes problèmes pour la production alimentaire, et maintenant ce jour est arrivé.
La bonne nouvelle est qu'il n'y aura pas de famine aux États-Unis en 2023.
Nous aurons encore assez à manger.
Mais il ne fait aucun doute que les approvisionnements alimentaires se raréfient et que la famine a commencé à éclater dans bon nombre des régions les plus pauvres du globe.
Bien sûr, la nourriture n'est pas la seule chose qui manque.
On rapporte que les pénuries de médicaments aux États-Unis « approchent des niveaux record »…
Des milliers de patients sont confrontés à des retards dans l'obtention de traitements contre le cancer et d'autres maladies potentiellement mortelles, les pénuries de médicaments aux États-Unis approchant des niveaux records.
Les hôpitaux parcourent les étagères pour trouver des fournitures d'un médicament qui inverse l'empoisonnement au plomb et d'un liquide stérile nécessaire pour arrêter le cœur pour un pontage. Certains antibiotiques sont encore rares après la saison de la grippe hivernale lorsque les médecins et les patients ont frénétiquement chassé des médicaments pour des affections comme l'angine streptococcique. Même le Tylenol pour enfants était difficile à trouver.
Nous sommes en train de passer d'une ère d'abondance à une ère de pénurie.
Pour la plupart d'entre nous, aller au magasin et obtenir ce que nous voulons n'a jamais été un problème.
Mais aujourd'hui, les conditions changent rapidement et le monde entier est en concurrence pour des ressources en constante diminution.
Dans le même temps, la production alimentaire mondiale est touchée par la sécheresse, les maladies, les catastrophes naturelles et des conditions météorologiques incroyablement folles.
Comme je le détaille dans « La fin des temps », une grave famine mondiale est inévitable au cours de ce siècle. Quels que soient les choix que les dirigeants font maintenant, ce n'est qu'une question de temps avant que la demande mondiale de nourriture ne dépasse largement la production mondiale de nourriture.
La plupart d'entre vous qui lisez ceci vivent dans des pays riches, et les pays riches auront les ressources nécessaires pour acheter la plupart des aliments qui sont réellement produits.
Mais même si les pays les plus riches s'en tireront relativement mieux que les pays les plus pauvres, la vérité est que tout le monde en souffrira.
J'espère donc que vous vous préparez aux temps difficiles qui s'annoncent, car ils ébranleront profondément notre société.
Pouvoir d’achat : 6 Français sur 10 en quête de bons plans
Les vents économiques contraires de 2023 modifient significativement les habitudes de consommation des Français. Inflation persistante, réduction du pouvoir d’achat, ces facteurs imposent de nouveaux choix de consommation pour la majorité des Français. Décryptons ensemble ce changement de comportement.
Par Paolo Garoscio le 2 juin 2023 à 13h57
39 % des consommateurs optent plus fréquemment pour des produits de marques génériques.
Inflation et baisse du pouvoir d'achat : les catalyseurs du changement
L'étude de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) révèle une chute inévitable du pouvoir d'achat des Français en 2023. Les chiffres sont sans appel : une inflation à 5,2 % en 2022 contre 1,6 % en 2021 et une hausse significative des prix de l'énergie (+23,1 %) et de l'alimentation (+6,8 %). Ce contexte économique difficile est directement responsable de la transformation des habitudes de consommation chez 82 % des consommateurs français, dévoile de son côté GetApp.
La conséquence directe est une diminution de l'achat ou de l'utilisation de certaines catégories de produits et de services. Les secteurs les plus touchés sont notamment l'habillement (68 %), l'alimentation (67 %), les bars et restaurants (61 %), les factures domestiques liées à l'électricité, le gaz et l'eau (57 %), les produits de beauté (56 %), les divertissements et activités culturelles (56 %), le matériel électronique (54 %), les appareils ménagers (52 %) et les produits durables (50 %).
La recherche d'économies : un nouvel art de consommer
L'inflation et la baisse du pouvoir d'achat ont donné lieu à de nouvelles méthodes de consommation. Les consommateurs cherchent à maximiser leur budget en profitant des meilleures offres. En tête des solutions : la recherche de réductions, plébiscitée par 63% des consommateurs, selon GetApp qui a analysé les nouvelles habitudes de consommation dans le cadre de son étude sur les conséquences de l’inflation.
L'utilisation accrue de bons de réduction (50 %), une recherche et comparaison plus approfondie des prix et produits avant d'effectuer un achat (47 %), l'achat de produits d'occasion (30 %) et une inscription plus fréquente aux programmes de fidélité (26 %) figurent parmi les stratégies adoptées par les Français pour s'adapter à l'augmentation des prix. De plus, 68 % d'entre eux choisissent d'acheter des produits moins chers et 39 % optent plus fréquemment pour des produits de marques génériques.
La baisse du pouvoir d'achat change les modes de paiement
La crise économique actuelle a aussi influencé les choix de méthodes de paiement des Français. En effet, parmi ceux qui ont modifié leurs habitudes de consommation, 52 % ont également changé leurs méthodes de paiement. Parmi ces consommateurs, 20 % paient désormais plus souvent par carte de crédit, 15 % en espèces, 14 % avec des cartes de débit et 3 % avec des portefeuilles numériques.
Malgré ces adaptations, 92 % des personnes interrogées se disent "assez" ou "très" inquiètes face à la hausse des prix. Ces changements dans les habitudes de consommation sont certes un signe de résilience, mais également le reflet d'un sentiment d'inquiétude face à une situation économique difficile.
"L'argent liquide est imprimé en liberté" - 530 000 Autrichiens ont exigé que le droit aux paiements en espèces soit ajouté à la Constitution, mais ils sont trahis, déclare le FPÖ
Un monde sans argent liquide conduirait à des citoyens "financièrement incapables", affirme le Parti de la liberté d'Autriche (FPÖ)
Par John Cody Recherche mondiale, 02 juin 2023
Après que 530 000 Autrichiens ont signé une pétition référendaire demandant que le droit aux paiements en espèces soit inscrit dans la constitution autrichienne en 2022, la classe politique autrichienne refuse d'aller de l'avant avec l'ajout de ce droit légal, prévient le Parti autrichien de la liberté (FPÖ).
« Nulle part ailleurs dans le monde, une vie quotidienne sans argent liquide n'est aussi clairement rejetée qu'en Autriche. Nous voyons ce désir justifié de la population, qui se reflète dans la pétition populaire "Pour un paiement en espèces sans restriction", comme un ordre de travail concret au parlement !", a déclaré le porte-parole des finances et du budget du Parti autrichien de la liberté (FPÖ) Hubert Fuchs lors d'une conférence de presse. un débat parlementaire.
Bien que le référendum ne soit pas contraignant, dans un pays de 8,9 millions d'habitants, le fait que plus d'un demi-million de personnes aient signé la pétition référendaire montre un large niveau de résistance contre la poussée des monnaies numériques promue par les banques centrales du monde entier et des institutions comme le Conseil économique mondial. Forum (WEF). Il s'agissait du 13e référendum le plus populaire de l'histoire du pays. Cependant, le Parti populaire autrichien (ÖVP) de centre droit, dont on dit depuis longtemps qu'il soutient le droit à l'argent, rejoint maintenant les partis de gauche autrichiens et bloque toute tentative d'ajouter ce droit à la constitution du pays.
Le FPÖ dit que "l'argent c'est la liberté" Fuchs considère le grand soutien à la pétition comme un mandat clair pour le Conseil national, qui est l'une des deux chambres du parlement autrichien.
« Les initiateurs et partisans de cette pétition ne veulent pas seulement des mots de remerciement. Il s'agit plutôt d'une demande concrète au Conseil national pour s'assurer que le gouvernement fédéral se ressaisisse enfin. Mais permettez-moi de signaler la commission des finances : notre motion pour la préservation des liquidités a de nouveau été rejetée par l'ÖVP. Il ne s'agit donc que de belles paroles et de belles paroles, alors que celles-ci ne sont pas suivies d'action », a déclaré Fuchs.
L'ÖVP tenterait de blâmer ses partenaires de la coalition, les Verts, mais le FPÖ rejette ces affirmations. Fuchs soutient que si "rien ne peut être avancé dans le pays (par la législation), on devrait revenir bientôt aux urnes - la république en serait grandement servie".
Le FPÖ, connu pour sa position contre les sanctions contre la Russie et ses appels à stopper l'immigration en construisant la « Forteresse Autriche », est actuellement le parti le plus populaire du pays , avec des sondages le plaçant à environ 27 %. Le parti, bien que conservateur, a une vision sceptique du capitalisme de marché libre débridé et soutient que le gouvernement doit se protéger contre les spéculateurs immobiliers et fournir de généreuses prestations en espèces pour encourager les Autrichiens à avoir plus d'enfants.
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Le parti a également fait du droit aux paiements en espèces une partie intégrante de sa plate-forme, arguant qu'ils garantissent l'absence de surveillance gouvernementale et protègent également les Autrichiens des banques et des établissements de cartes de crédit prédateurs.
« Nous, le Parti de la liberté, contrairement à tous les autres partis, militons déjà depuis des années pour la préservation de l'argent liquide ainsi que pour l'ancrage du droit aux paiements en espèces dans la constitution. Cela figurait également dans le programme gouvernemental ÖVP-FPÖ (du gouvernement précédent), mais n'a malheureusement plus pu être mis en œuvre. Et je me demande pourquoi, si tous les partis sont favorables à la préservation de l'argent liquide, en particulier le Parti populaire autrichien (ÖVP), ils n'ont pas déposé de motion à ce sujet aujourd'hui ? » demanda Fuchs. "Selon la situation juridique actuelle, il n'y a pas d'obligation réelle d'accepter de l'argent liquide. Les dispositions légales pertinentes doivent être renforcées ici.
Fuchs a également déclaré dans son discours que la mise en place d'un système financier où seules les monnaies numériques existent conduirait à une augmentation du blanchiment d'argent et du financement clandestin du terrorisme, car selon lui, les monnaies numériques et les cryptomonnaies sont un foyer de criminalité.
« Cette liberté de choix doit continuer d'exister à l'avenir. Cash est la protection des données en action. L'argent est la liberté imprimée. Et un autre aspect ne doit pas rester sous silence : sans argent, comment les enfants sont-ils censés apprendre à gérer l'argent et donc à faire des affaires ? L'argent à portée de main est très important pour les enfants. Mais ce n'est pas seulement important pour les enfants, mais aussi pour les adultes en termes de contrôle de leurs propres dépenses », a expliqué le porte-parole des finances et du budget du FPÖ.
Fuchs fait peut-être référence à la pratique de nombreux consommateurs qui reviennent aux espèces pour mieux contrôler leurs dépenses, ce qui est une tendance observée aux États-Unis cette année. Les experts affirment que l'utilisation d'espèces physiques au lieu de paiements électroniques aide les gens à mieux contrôler et suivre leurs dépenses.
Cependant, le FPÖ mentionne également une nouvelle étude Marketmind, qui montre que 48 % des femmes et 40 % des hommes en Autriche ne peuvent pas obtenir de carte de crédit en raison de leurs faibles revenus et dépendent donc de l'argent liquide.
« Ce n'est pas étonnant si l'on considère que dans notre pays, environ 17 % de la population doit être classée comme menacée de pauvreté. Ce n'est qu'une des nombreuses raisons pour lesquelles nous devons insister de toutes nos forces sur (le droit de) recevoir de l'argent liquide », a déclaré le porte-parole du FPÖ pour la protection des consommateurs, Peter Worm.
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« Compte tenu du fait que plus de 530 000 citoyens ont signé le référendum intitulé 'Pour des paiements en espèces sans restriction', il est plus qu'opportun de reconnaître l'importance de la question. L'opposition unifiée de l'ÖVP, du SPÖ, des Verts et des NEOS parle haut et fort de la réception de l'argent, mais vote contre chacune de nos propositions visant à garantir que l'argent, y compris les pièces en cents et en euros ainsi que les billets sous leur forme actuelle, soit préservé et à ancrer l'argent en général dans notre constitution. Notre demande visant à établir une obligation constitutionnelle de contracter pour la circulation des biens et des services dans le cadre de l'acceptation de base des espèces comme moyen de paiement dans le système juridique autrichien a également échoué en raison des quatre parties », a expliqué Wurm.
«Mais nous, les libéraux, continuerons de nous conformer à la volonté des citoyens. L'argent est synonyme de survie, de liberté et d'autodétermination. Le citoyen transparent est déjà devenu une réalité dans une certaine mesure, et seul le fait de recevoir de l'argent sous une forme protégée par la Constitution peut empêcher que des choses encore pires ne se produisent », a souligné Wurm.
En Autriche, 50% de toutes les transactions sont encore effectuées en espèces, bien au-dessus de la moyenne européenne d'environ 30%. Les Allemands sont également contre les transactions numériques, avec seulement 9 % d'entre eux déclarant qu'ils utiliseraient les paiements mobiles.
Comme Remix News l'a signalé précédemment , les organisations de protection de la vie privée et des droits civils défendent depuis longtemps le droit d'encaisser avec l'argument selon lequel la vie privée, les libertés civiles et la sécurité financière sont en jeu. L'abolition de l'argent liquide obligerait les citoyens à effectuer toutes les transactions via un support numérique, tel que les paiements mobiles, les cartes de crédit ou les devises numériques. Les banques et les médias électroniques restent vulnérables aux attaques de piratage et même aux catastrophes naturelles, par exemple, si le réseau électrique devait être mis hors service. L'Agence suédoise des contingences civiles, qui fait partie du ministère de la Justice, a averti dans un rapport qu'une société totalement sans numéraire serait extrêmement vulnérable si le pays était attaqué ou exposé à une catastrophe naturelle.
Pour les personnes soucieuses de la confidentialité, comme celles en Allemagne et en Autriche, les paiements numériques offrent aux forces de l'ordre et aux autorités gouvernementales une fenêtre directe sur toutes les transactions.
Plus inquiétant encore pour certains, la monnaie numérique pourrait un jour être liée aux comportements politiques et sociaux des pays occidentaux dans un système de crédit social, comme on le voit en Chine. Déjà, lors des manifestations des camionneurs « Freedom Convoy » contre les politiques de Covid-19 au Canada, le gouvernement de gauche de Justin Trudeau a pris la décision sans précédent de geler les comptes bancaires des manifestants. Bien que les groupes de liberté civile aient décrié l'action autoritaire comme un abus de pouvoir flagrant, de nombreux critiques craignent que l'action puisse désormais servir de modèle pour faire face aux manifestants et à la dissidence à l'avenir. Si les dissidents et ceux qui critiquent le gouvernement ne peuvent pas garder leur argent en dehors de l'espace numérique, ils n'auront nulle part où cacher leurs finances si les gouvernements, comme celui du Canada, prennent des mesures contre eux.
Coup d'État mondial et la « grande réinitialisation ». Dette mondiale et « traitement de choc » néolibéral
Chapitre XII du livre électronique, The Worldwide Corona Crisis: Global Coup d'Etat Against Humanity
Par le Pr Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 02 juin 2023
"Le FMI, la Banque mondiale et les dirigeants mondiaux savaient très bien quel serait l'impact sur les pauvres du monde de la fermeture de l'économie mondiale par des blocages liés au COVID.
Pourtant, ils l'ont sanctionné et il y a maintenant la perspective que plus d'un quart de milliard de personnes supplémentaires dans le monde tomberont dans des niveaux de pauvreté extrêmes rien qu'en 2022. » ( Colin Todhunter , juillet 2022)
Histoire du « traitement de choc » économique. Du Programme d'Ajustement Structurel (PAS) à « l'Ajustement Global (AG) » La fermeture (simultanée) des économies nationales d'environ 193 États membres de l'ONU le 11 mars 2020 est diabolique et sans précédent. Des millions de personnes ont perdu leur emploi et leurs économies de toute une vie. Dans les pays en développement, la pauvreté, la famine et le désespoir règnent. La fermeture des économies nationales a entraîné une spirale de la dette mondiale. De plus en plus, les gouvernements nationaux sont contrôlés par les créanciers, qui financent actuellement les filets de sécurité sociale, les renflouements des entreprises et les subventions.
Bien que ce modèle d'« intervention mondiale » soit sans précédent, il présente certaines caractéristiques qui rappellent les réformes macroéconomiques au niveau des pays, notamment l'imposition d'une « médecine économique » forte par le FMI. Pour aborder cette question, examinons l'histoire de ce qu'on appelle le « traitement de choc économique » ( un terme utilisé pour la première fois dans les années 1970 ). 1
En tant que professeur invité à l'Université catholique du Chili, j'ai vécu le coup d'État militaire dirigé contre le gouvernement démocratiquement élu de Salvador Allende. Il s'agissait d'une opération de la CIA dirigée par le secrétaire d'État Henry Kissinger associée à des réformes macro-économiques dévastatrices.
Dans le mois suivant le coup d'État, le prix du pain est passé de 11 à 40 escudos du jour au lendemain. 2 Cet effondrement artificiel des salaires réels et de l'emploi sous la dictature de Pinochet a conduit à un processus d'appauvrissement à l'échelle nationale.
Alors que les prix des denrées alimentaires montaient en flèche, les salaires avaient été gelés pour assurer « la stabilité économique et conjurer les pressions inflationnistes ». Du jour au lendemain, tout un pays avait été précipité dans une misère abyssale ; en moins d'un an, le prix du pain au Chili a été multiplié par 36 et 85 % de la population chilienne est passée sous le seuil de pauvreté. C'était la « réinitialisation » du Chili en 1973.
Deux ans et demi plus tard, en 1976, je suis retourné en Amérique latine en tant que professeur invité à l'Université nationale de Cordoba, dans le cœur industriel du nord de l'Argentine. Mon séjour a coïncidé avec un autre coup d'État militaire en mars 1976.
Derrière les massacres et les violations des droits de l'homme, des réformes macro-économiques de « libre marché » avaient également été prescrites - cette fois sous la supervision des créanciers argentins de New York, dont David Rockefeller qui était un ami du ministre de l'Économie de la Junte José Alfredo Martinez de Hoz . 3
Association des anciens de Chase
Le Chili et l'Argentine étaient des « répétitions générales » pour les choses à venir. L'imposition du Programme d'ajustement structurel (PAS) du FMI et de la Banque mondiale a été imposée à plus de 100 pays à partir du début des années 1980 (voir Michel Chossudovsky, La mondialisation de la pauvreté et le nouvel ordre mondial , Global Research, 2003). 4
Exemple notoire de « marché libre » : le Pérou en août 1990 a été puni pour non-conformité aux diktats du FMI ; le prix du carburant a été augmenté de 31 fois et le prix du pain a augmenté de plus de 12 fois en une seule journée. 5 Ces réformes – menées au nom de la « démocratie » – ont été bien plus dévastatrices que celles appliquées au Chili et en Argentine sous le régime militaire.
Le confinement de mars 2020. « Guerre économique »
Et maintenant, le 11 mars 2020, nous entrons dans une nouvelle phase de déstabilisation macro-économique, plus dévastatrice et destructrice que 40 ans de "traitement de choc" et de mesures d'austérité imposées par le FMI au nom des intérêts financiers dominants.
Il y a rupture, rupture historique et continuité. C'est du « néolibéralisme au nième degré » .
Fermeture de l'économie mondiale : impacts économiques et sociaux au niveau de la planète entière
Comparez ce qui arrive à l'économie mondiale aujourd'hui avec les mesures macro-économiques « négociées » pays par pays imposées par les créanciers dans le cadre du Programme d'ajustement structurel (PAS). L'« ajustement global » du 11 mars 2020 n'a pas été négocié avec les gouvernements nationaux. Il a été imposé par un "partenariat public-privé", soutenu par de la fausse science, soutenu par la propagande médiatique et accepté par des politiciens cooptés et corrompus.
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Inégalités sociales et appauvrissement « artificiels ». La mondialisation de la pauvreté Comparez les "lignes directrices" du 11 mars 2020 " Ajustement global " affectant la planète entière au Chili du 11 septembre 1973 .
Ironie du sort, les mêmes intérêts du Big Money à l'origine de « l'ajustement mondial » de 2020 étaient activement impliqués au Chili (1973) et en Argentine (1976). Souvenez-vous de « l'opération Condor » et de la « guerre sale » ( Guerra Sucia ).
Il y a continuité. Les mêmes intérêts financiers puissants, y compris les bureaucraties du FMI et de la Banque mondiale en liaison avec la Réserve fédérale, Wall Street, la Banque des règlements internationaux (BRI) et le Forum économique mondial (WEF) sont actuellement impliqués dans la préparation et la gestion de l'après-pandémie opérations de dette « nouvelle normalité » (au nom des créanciers) dans le cadre de la Grande réinitialisation.
Henry Kissinger a participé à la coordination de la « réinitialisation » du 11 septembre 1973 au Chili.
L'année suivante (1974), il est chargé de la rédaction du « National Strategic Security Memorandum 200 (NSSM 200) qui identifie le dépeuplement comme « la plus haute priorité de la politique étrangère américaine envers le tiers monde ». 6
La poussée du « dépeuplement » sous la grande réinitialisation ?
Aujourd'hui, Henry Kissinger est un fervent partisan aux côtés de la Fondation Gates (elle aussi résolument engagée dans le dépeuplement) du Great Reset sous l'égide du Forum économique mondial (WEF) (voir chapitre XIII).
Nul besoin de négocier avec les gouvernements nationaux ni de procéder à un « changement de régime ». Le projet de confinement du 11 mars 2020 constitue un « Ajustement Global » qui déclenche des faillites, du chômage et des privatisations à une bien plus grande échelle affectant d'un seul coup les économies nationales de plus de 150 pays.
Et tout ce processus est présenté à l'opinion publique comme un moyen de lutter contre le « virus tueur » qui, selon les CDC et l'OMS, s'apparente à la grippe saisonnière (voir chapitre III).
La structure de pouvoir hégémonique du capitalisme mondial
Big Money, y compris les fondations milliardaires, en sont la force motrice. Il s'agit d'une alliance complexe entre Wall Street et l'establishment bancaire, les grands conglomérats pétroliers et énergétiques, les soi-disant «entrepreneurs de la défense», les grandes entreprises pharmaceutiques, les conglomérats biotechnologiques, les médias d'entreprise, les géants des télécommunications, des communications et de la technologie numérique, ainsi que un réseau de groupes de réflexion, de groupes de pression, de laboratoires de recherche, etc. La propriété intellectuelle joue également un rôle central.
Ce puissant réseau décisionnel digital-financier implique également de grandes institutions créancières et bancaires : la Réserve fédérale, la Banque centrale européenne (BCE), le FMI, la Banque mondiale, les banques régionales de développement et la Banque des règlements internationaux basée à Bâle. (BIS), qui joue un rôle stratégique clé.
Les entités financières de loin les plus puissantes sont les conglomérats géants de portefeuilles d'investissement, notamment Black Rock, Vanguard, State Street et Fidelity. Ils contrôlent :
« … un total combiné de 20 billions de dollars d'actifs gérés…. En comptant prudemment, un effet de levier quatre à cinq fois supérieur ( c'est-à-dire quelque 80 à 100 000 milliards de dollars américains) » . Ces puissants conglomérats financiers ont un effet de levier supérieur au PIB mondial qui est de l'ordre d'environ 82 000 milliards de dollars. 7
À leur tour, les échelons supérieurs de l'appareil d'État américain (et les alliés occidentaux de Washington) sont directement ou indirectement impliqués, y compris le Pentagone, le renseignement américain (et ses laboratoires de recherche), les autorités sanitaires, la sécurité intérieure et le département d'État américain (y compris les États-Unis ambassades dans plus de 150 pays).
La "vraie économie" et le "Big Money"
Pourquoi ces politiques de confinement liées au COVID sont-elles le fer de lance de la faillite, de la pauvreté et du chômage ?
Le capitalisme mondial n'est pas monolithique. Il existe en effet « un conflit de classe » « entre les super riches et la grande majorité de la population mondiale ».
Mais il existe aussi une intense rivalité au sein du système capitaliste ; à savoir un conflit entre le "Big Money Capital" et ce que l'on pourrait qualifier de "Real Capitalism" qui consiste en des sociétés dans différents domaines d'activité productive aux niveaux national et régional. Il comprend également les petites et moyennes entreprises.
Ce qui est en cours est un processus de concentration de la richesse (et de contrôle des technologies de pointe) sans précédent dans l'histoire du monde, par lequel l'establishment financier (c'est-à-dire les créanciers de plusieurs milliards de dollars) est appelé à s'approprier les actifs réels des entreprises en faillite ainsi que de l'État. actifs.
L'« économie réelle » constitue « le paysage économique » de l'activité économique réelle : actifs productifs, agriculture, industrie, services, infrastructures économiques et sociales, investissement, emploi, etc. L'économie réelle aux niveaux mondial et national est visée par le confinement et fermeture de l'activité économique. Les institutions financières de Global Money sont les « créanciers » de l'économie réelle.
Les individus et les organisations impliqués dans la simulation 201 du 18 octobre 2019 sont désormais impliqués dans la gestion effective de la crise une fois qu'elle est entrée en vigueur le 30 janvier 2020 dans le cadre de l'urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) de l'OMS, qui à son tour a fixé le scène de la crise financière de février 2020 et du confinement de mars (voir chapitre I).
Le confinement et la fermeture des économies nationales ont déclenché plusieurs vagues de chômage de masse couplées à la faillite artificielle (appliquée dans le monde entier) des petites et moyennes entreprises (voir chapitre IV).
Tout cela est mené par l'installation d'un État totalitaire mondial qui a l'intention de briser toutes les formes de protestation et de résistance.
Le programme de vaccination COVID (y compris le passeport numérique intégré et le QR Code ) fait partie intégrante d'un régime totalitaire mondial (voir chapitre VIII et chapitre XIII).
Qu'est-ce que l'infâme ID2020 ? Il s'agit d'une alliance de partenaires publics-privés, y compris des agences des Nations Unies et de la société civile. Il s'agit d'un programme d'identification électronique qui utilise la vaccination généralisée comme plate-forme d'identité numérique. Le programme exploite les opérations existantes d'enregistrement des naissances et de vaccination pour fournir aux nouveau-nés une identité numérique portable et persistante liée par biométrie. zones rouges, masques faciaux, distanciation sociale, confinement. ( Peter Koenig, 12 mars 2020) 8
"La grande réinitialisation"
Les mêmes puissants créanciers qui ont déclenché la crise mondiale de la dette COVID établissent désormais une « nouvelle normalité » qui consiste essentiellement à imposer ce que le Forum économique mondial décrit comme la « grande réinitialisation ».
En utilisant les verrouillages et les restrictions de COVID-19 pour accélérer cette transformation, la Grande Réinitialisation est déployée sous le couvert d'une "Quatrième Révolution Industrielle" dans laquelle les entreprises plus anciennes doivent être conduites à la faillite ou absorbées par des monopoles, fermant ainsi d'énormes sections de l'économie pré-COVID. Les économies sont en train d'être « restructurées » et de nombreux emplois seront assurés par des machines pilotées par l'IA.
Les chômeurs (et il y en aura beaucoup) seraient placés sur une sorte de revenu de base universel et verraient leurs dettes (l'endettement et la faillite à grande échelle sont le résultat délibéré des blocages et des restrictions) annulées en échange de la remise de leurs actifs au état ou plus précisément aux institutions financières contribuant à conduire ce Grand Reset . Le WEF affirme que le public « louera » tout ce dont il a besoin : retirer le droit de propriété sous prétexte de « consommation durable » et de « sauver la planète ». Bien sûr, la petite élite qui a déployé cette grande réinitialisation possédera tout. (Colin Todhunter, Dystopian Great Reset, 9 novembre 2020) 9
La grande réinitialisation du Forum économique mondial a mis longtemps à se préparer. "Appuyez sur le bouton de réinitialisation" en vue de sauver l'économie mondiale a été annoncé par le président du WEF, Klaus Schwab , en janvier 2014, six ans avant l'assaut de la pandémie de COVID-19.
"Ce que nous voulons faire à Davos cette année [2014], c'est appuyer sur le bouton de réinitialisation, le monde est trop pris en mode crise."
Deux ans plus tard, dans une interview de 2016 avec la chaîne de télévision suisse francophone (RTS), Klaus Schwab a parlé de l'implantation de micropuces dans le corps humain, qui est essentiellement la base du vaccin «expérimental» contre l'ARNm du COVID.
"Ce que nous voyons est une sorte de fusion du monde physique, numérique et biologique", a déclaré Klaus Schwab.
Schwab a expliqué que les êtres humains recevront bientôt une puce qui sera implantée dans leur corps afin de fusionner avec le monde numérique.
RTS : « Quand cela arrivera-t-il ?
KS : « Certainement dans les dix prochaines années.
"On pourrait imaginer qu'on va les implanter dans notre cerveau ou dans notre peau."
"Et puis on peut imaginer qu'il y a une communication directe entre le cerveau et le monde numérique."
Cliquez ici pour regarder l'interview , Towards Digital Tyranny , avec Peter Koenig. Cliquez ici pour la version Bitchute .
Juin 2020. Le WEF annonce officiellement la grande réinitialisation
"La pandémie représente une fenêtre d'opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde afin de créer un avenir plus sain, plus équitable et plus prospère." -Klaus Schwab, WEF (juin 2020)
Ce qui est envisagé dans le cadre de « la grande réinitialisation » est un scénario dans lequel les créanciers mondiaux se seront appropriés d'ici 2030 la richesse mondiale tout en appauvrissant de larges secteurs de la population mondiale.
En 2030, "vous ne posséderez rien et vous serez heureux". ( Cliquez ici pour regarder la vidéo )
Les Nations Unies : un instrument de gouvernance mondiale au nom d'un partenariat public-privé non élu Le système des Nations Unies est également complice. Il a approuvé la «gouvernance mondiale» et la grande réinitialisation. Et le Vatican aussi.
Alors que le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, reconnaît à juste titre que la pandémie est "plus qu'une crise sanitaire", aucune analyse ou débat significatif sous les auspices de l'ONU sur les véritables causes de cette crise n'a été entrepris.
Selon un rapport de l'ONU de septembre 2020 :
« Des centaines de milliers de vies ont été perdues. La vie de milliards de personnes a été bouleversée. En plus des impacts sur la santé, le COVID-19 a exposé et exacerbé de profondes inégalités … Il nous a touchés en tant qu'individus, en tant que familles, communautés et sociétés. Elle a eu un impact sur toutes les générations, y compris sur celles qui ne sont pas encore nées. La crise a mis en évidence des fragilités au sein des nations et entre elles, ainsi que dans nos systèmes pour mettre en place une réponse mondiale coordonnée aux menaces partagées. ( Rapport de l'ONU ) 10
Les décisions de grande envergure qui ont provoqué la destruction sociale et économique dans le monde ne sont pas mentionnées. Pas de débat au Conseil de sécurité de l'ONU. Consensus entre les cinq membres permanents du CSNU.
V le virus est tenu pour responsable du processus de destruction économique.
Le projet de « partenariat public-privé » du Forum économique mondial intitulé « Reimagine and Reset Our World » a été approuvé par les Nations Unies.
Retour en arrière sur George Kennan et la doctrine Truman à la fin des années 1940. Kennan croyait que l'ONU offrait un moyen utile de « relier le pouvoir à la moralité », en utilisant la moralité comme un moyen d'approuver automatiquement les « guerres humanitaires » de l'Amérique.
La crise du COVID, les mesures de confinement et le vaccin ARNm sont l'aboutissement d'un processus historique.
Le confinement et la fermeture de l'économie mondiale sont des « armes de destruction massive » qui, au sens propre du terme, « détruisent la vie des gens ». Abondamment documenté, le vaccin à ARNm COVID-19 est mieux décrit comme un «vaccin tueur».
Nous avons affaire à de vastes « crimes contre l'humanité ».
Le président Joe Biden et la « grande réinitialisation » Joe Biden est un politicien soigné, un mandataire de confiance, au service des intérêts de l'establishment financier.
N'oublions pas que Joe Biden était un fervent partisan de l'invasion de l'Irak au motif que Saddam Hussein « possédait des armes de destruction massive ». "Le peuple américain a été trompé dans cette guerre", a déclaré le sénateur Dick Durbin . Ne vous laissez plus tromper par Joe Biden. 11
Acronymes évolutifs : 9/11, GWOT, WMD et maintenant COVID. Biden a été récompensé pour avoir soutenu l'invasion de l'Irak.
Pendant la campagne électorale, Fox News a décrit Biden comme un « socialiste » qui menace le capitalisme ; "Le lien inquiétant de Joe Biden avec le mouvement socialiste 'Great Reset'".
Bien que ce soit un non-sens absolu, de nombreux « progressistes » et militants anti-guerre ont approuvé Joe Biden sans analyser les conséquences plus larges de la présidence de Biden.
"The Great Reset" est socialement source de division, c'est raciste. C'est un projet diabolique du capitalisme mondial. Elle constitue une menace pour la grande majorité des travailleurs américains ainsi que pour les petites et moyennes entreprises. Elle sape également plusieurs secteurs importants de l'économie capitaliste.
La présidence Biden et le confinement
En ce qui concerne le COVID, Biden est fermement déterminé à maintenir la fermeture partielle de l'économie américaine et de l'économie mondiale comme moyen de "combattre le virus tueur".
Le président Biden est un fervent partisan du confinement corona. Non seulement il approuve l'adoption de politiques de verrouillage fermes contre le COVID-19, mais son administration s'est engagée envers la «grande réinitialisation» du Forum économique mondial et le «passeport vaccin» en tant que partie intégrante de la politique étrangère américaine, à mettre en œuvre ou plus correctement «imposée». " mondial.
À son tour, l'administration Biden-Harris tentera de passer outre toutes les formes de résistance populaire au verrouillage du coronavirus.
Ce qui se déroule est une phase nouvelle et destructrice de l'impérialisme américain. C'est un projet totalitaire d'ingénierie économique et sociale, qui finit par détruire la vie des gens dans le monde entier. Ce «nouveau» programme néolibéral utilisant le confinement corona comme instrument d'oppression sociale a été approuvé par le président Biden et la direction du Parti démocrate.
La Maison Blanche Biden s'est engagée à mettre en place ce que David Rockefeller a appelé la «gouvernance mondiale».
Il convient de noter que le mouvement de protestation aux États-Unis contre le verrouillage est faible. En fait, il n'y a pas de mouvement de protestation national cohérent à la base. Pourquoi? Parce que les «forces progressistes», y compris les intellectuels de gauche, les dirigeants d'ONG, les dirigeants syndicaux et syndicaux - dont la plupart sont alignés sur le Parti démocrate - ont depuis le début soutenu le confinement. Et ils soutiennent également Joe Biden.
Ironie du sort, les militants anti-guerre ainsi que les détracteurs du néolibéralisme ont soutenu Joe Biden.
À moins qu'il n'y ait des protestations importantes et une résistance organisée, aux niveaux national et international, la Grande Réinitialisation sera intégrée aux programmes de politique étrangère nationale et américaine de l'administration Joe Biden-Kamala Harris.
C'est ce que vous appelez l'impérialisme à « visage humain ».
Où est le mouvement de protestation contre ce « partenariat public-privé » Corona non élu ?
Les mêmes fondations philanthropiques (Rockefeller, Ford, Soros, et al.) qui sont les architectes tacites du « Great Reset » et de la « Global Governance » sont également impliquées dans le financement (généreux) de l'activisme climatique, de l'Extinction Rebellion, du World Social Forum, Black Lives Matter, LGBT, et al.
Cela signifie que la base de ces mouvements sociaux est souvent induite en erreur et trahie par leurs dirigeants qui sont régulièrement cooptés et généreusement récompensés par une poignée de fondations d'entreprise.
Le Forum social mondial (FSM), qui célèbre son 21e anniversaire, rassemble des militants altermondialistes engagés du monde entier. Mais qui contrôle le FSM ? Dès le début en janvier 2001, il a été (initialement) financé par la Fondation Ford.
C'est ce que vous appelez « la dissidence fabriquée » (beaucoup plus insidieuse que le « consentement fabriqué » d'Herman-Chomsky).
L'objectif des élites financières « a été de fragmenter le mouvement populaire en une vaste mosaïque de « faites-le vous-même ». L'activisme a tendance à être fragmentaire. Il n'y a pas de mouvement intégré anti-mondialisation anti-guerre. (Michel Chossudovsky, Manufacturing Dissent , Global Research, 2010) 12
Selon les mots de McGeorge Bundy, président de la Fondation Ford (1966-1979) :
« Tout ce que la Fondation [Ford] a fait pourrait être considéré comme « rendre le monde sûr pour le capitalisme », réduire les tensions sociales en aidant à réconforter les affligés, fournir des soupapes de sécurité pour les en colère et améliorer le fonctionnement du gouvernement. 13
Le mouvement de protestation contre la Grande Réinitialisation qui constitue un « coup d'État mondial » nécessite un processus de mobilisation mondiale :
« Il ne peut y avoir de mouvement de masse significatif lorsque la dissidence est généreusement financée par ces mêmes intérêts corporatifs [WEF, Gates, Ford, et al.] qui sont la cible du mouvement de protestation ». 14
*
Remarques
1 Michel Chossudovsky, avril-juin 1975. Hacia El Nuevo Modelo Económico Chileno Inflación Y Redistribución Del Ingreso. https://www.jstor.org/stable/20856482?refreqid=excelsior%3A9228243fa26a81bb3c2b0c2d58094922&seq=1
2 Idem.
3 Michel Chossudovsky, 16 avril 1977. Violence légitimée et politique économique en Argentine. https://www.jstor.org/stable/4365500?seq=1
4 Prof Michel Chossudovsky, 3 juin 2020. Comprendre la mondialisation de la pauvreté et le nouvel ordre mondial. https://www.globalresearch.ca/understand-the-globalization-of-poverty-and-the-new-world-order/25371
5 Idem.
6 Conseil de sécurité nationale, 10 décembre 1974. Implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité des États-Unis et les intérêts étrangers (LE RAPPORT KISSINGER). https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/PCAAB500.pdf
7 Peter Koenig, 22 janvier 2022. La crise du COVID-Omicron : la feuille de route vers un krach financier mondial, l'inflation, la numérisation. https://www.globalresearch.ca/covid-omicron-is-killing-christmas-and-beyond-financial-crash-inflation-digitization/5765170
8 Peter Keonig, 12 mars 2020. Le vaccin contre le coronavirus : le vrai danger est « Agenda ID2020 ». La vaccination comme plate-forme pour «l'identité numérique». https://www.globalresearch.ca/coronavirus-causes-effects-real-danger-agenda-id2020/5706153
9 Colin Todhunter, 9 novembre 2020. « Great Reset » dystopique : « Ne rien posséder et être heureux », Être humain en 2030. https://www.globalresearch.ca/own-nothing-happy-being-human-2030/ 5728960
10 ONU, septembre 2020. Réponse globale des Nations Unies à la COVID-19. https://www.un.org/sites/un2.un.org/files/un-comprehensive-response-to-covid-19.pdf
11 Mark Weisbrot, 17 février 2020. VAUT-IL LE PRIX ? Joe Biden et le lancement de la guerre en Irak (narré par Danny Glover). https://www.youtube.com/watch?v=vhcuei8_UJM
12 Prof Michel Chossudovsky, 20 septembre 2010. « Fabrication de la dissidence » : Le mouvement anti-mondialisation est financé par les élites patronales. https://www.globalresearch.ca/manufacturing-dissent-the-anti-globalization-movement-is-funded-by-the-corporate-elites/21110
La couverture des "actualités" sur le changement climatique est ACHETÉ avec des subventions qui financent les médias d'entreprise - tout comme la façon dont Pfizer paie pour les FAKE NEWS faisant la promotion des piqûres de COVID
Jeudi 01 juin 2023 par : Ethan Huff
(Natural News) L'Associated Press (AP) a publié dernièrement beaucoup de propagande élogieuse sur le changement climatique, y compris des approbations pour ce qu'elle décrit comme «l'environnementalisme du casque de Joe Biden». Il s'avère que l'AP est payé par l'industrie climatique pour colporter de telles tripes, un peu comme la façon dont Pfizer paie pour de faux segments d'information faisant la promotion des «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
The Federalist a récemment mené une analyse qui examine spécifiquement les articles de l'AP sur le «changement climatique», le «réchauffement climatique» et la «catastrophe climatique». De telles histoires se comptent par centaines, et rien qu'en 2022, l'AP a reçu 8 millions de dollars en "subventions" pour la faveur.
Tout cet argent va directement dans la soi-disant "initiative de journalisme climatique" de l'AP, qui vise à employer 20 nouveaux journalistes dont le travail sera de "transformer la façon dont l'AP couvre l'histoire du climat". Ces journalistes présumés ont-ils inventé l'expression «l'environnementalisme du casque de Biden», nous demandons-nous?
Dans un autre lavage de cerveau climatique de l’AP, les journalistes ont mentionné l’ancien haut conseiller de Clinton, John Podesta, qui est cité à plusieurs reprises comme supervisant la loi sur la réduction de l’inflation du régime Biden et les 369 milliards de dollars qui ont été alloués aux efforts du régime en matière d’énergie verte.
Nulle part dans le rapport de l'AP, il n'est mentionné une seule fois que Podesta a une histoire politique douteuse et sournoise, ayant été surnommé le "chef du nettoyage de la Maison Blanche" pendant les années corrompues de Clinton.
"En tant que service de presse, le changement de marque du casque de sécurité de l'AP apparaîtra dans des milliers de journaux à travers le monde en tant que nouvelles", écrit Larry Behrens du Federalist. "Nous ne savons pas si les millions que l'AP a reçus pour la couverture climatique ont joué un rôle pour aider Biden à renommer sa politique énergétique, et c'est précisément le but."
(En relation: Selon Robert F. Kennedy Jr., candidat à la présidence, les «méga milliardaires» sont à l'origine de l'arnaque au changement climatique et de la tyrannie qu'elle nous impose à tous.)
Alors qu'ils mettent en faillite les journaux locaux, la machine climatique remplace ses journalistes par de nouveaux propagandistes du climat Alors que le monde s'enfonce dans l'abîme de l'ère numérique, les journaux locaux du monde entier luttent pour survivre ou sont déjà en faillite. Et prêts à les remplacer, les hordes de propagandistes du climat sont embauchés par des gens comme l'AP et financés par le gouvernement fédéral avec l'argent de vos impôts.
C'est un stratagème sournois qui a mis du temps à venir, et le plan a toujours été d'éliminer tous les reportages véridiques en privant les médias indépendants de financement. Une fois anéantie, la brigade climatique attend pour reconstruire à partir de ses cendres une nouvelle machine de propagande centrée sur le "vert", ce qu'elle fait maintenant dans tout le pays et dans le monde.
"Ce n'est un secret pour personne que dans tout le pays, en particulier dans les zones rurales, les journaux luttent pour survivre", explique Behrens.
"Il n'est pas rare d'entrer dans un journal d'une petite ville et de trouver une personne couvrant ce qui était auparavant deux ou même trois postes différents à temps plein. La gauche écologiste a reconnu cette lutte et fournit maintenant de l'argent et une rééducation des journalistes pour combler le vide avec sa propre version de l'information.
Un exemple récent de cela est le Poynter Institute, reconnu à l'échelle nationale, qui a offert des subventions de 15 000 $ aux journalistes ou aux salles de rédaction souhaitant couvrir la région des Grands Lacs en Amérique du Nord - mais avec un hic. Pour être éligibles, les bénéficiaires potentiels doivent fournir à Poynter "une brève description de ce qu'ils vont sonder, pourquoi ils pensent qu'il y a une histoire à raconter et comment ils prévoient de rapporter l'histoire".
En d'autres termes, afin d'obtenir cet argent doux et doux, un journaliste ou une salle de rédaction doit rapporter comme Poynter l'attend : avec un penchant pro-climat qui accélère la "vertisation" de la planète.
Soit dit en passant, le Poynter Institute reçoit un «soutien financier» de la Fondation Joyce, qui, selon des documents déposés auprès de l'IRS, est financée par Bloomberg Philanthropies, une idée originale du milliardaire chéri du climat Michael Bloomberg.
Les dernières nouvelles sur le changement climatique et le réchauffement climatique sont disponibles sur GreenTyranny.news.
Le pic ESG est derrière nous : les investisseurs jettent des fantasmes climatiques sur Exxon et Chevron
Par Jo Nova June 3rd, 2023
Presque toutes les propositions des militants pour le climat ont été annulées :
Comment les temps ont changé. Après la crise énergétique de 2022, les investisseurs des grandes entreprises pétrolières et gazières rejettent l'activisme climatique. Il y a un an, près d'un tiers des investisseurs de Chevron et d'Exxon ont voté pour les objectifs d'émissions draconiens du « Scope 3 ». Ces objectifs sont ridicules – obligeant les géants pétroliers et gaziers à adopter un plan pour réduire l'utilisation par des tiers de leurs propres produits. C'est comme une forme de sabotage d'entreprise.
Cette année, seulement 10 % environ des mêmes investisseurs ont voté pour ces mesures. Et apparemment, il y a une tendance similaire de l'autre côté de l'Atlantique avec les investisseurs de BP et de Shell qui rejettent également l'activisme.
C'est un signe très encourageant que la domination de BlackRock et al est en train de décliner - ils intimident le monde avec l'argent des autres, et la nouvelle se répand alors que les États américains ripostent.
ESG Blowback : les investisseurs rejettent les mesures climatiques chez Exxon et Chevron Par Collin Eaton et Jenny Strasburg, The Wall Street Journal
Les votes ont été abyssaux pour les militants du climat. Selon les résultats préliminaires, toutes les 20 propositions d'actionnaires des deux sociétés, sauf deux, ont recueilli moins de 25% des votes des investisseurs, certaines ayant obtenu des résultats bien pires que des propositions similaires présentées l'année dernière.
Ces dernières semaines, des propositions climatiques similaires n'ont pas réussi à convaincre la plupart des actionnaires lors des assemblées annuelles des géants pétroliers et gaziers britanniques BP et Shell à Londres.
C'est toujours dingue que 10 % des investisseurs pétroliers votent pour un plan visant à empêcher leurs clients d'utiliser leur propre produit, mais si ces 10% étaient BlackRock et Vanguard, les géants de la gestion d'actifs financiers eux-mêmes, alors ils ont d'autres moyens de profiter de ces votes.
Le sort ESG est rompu : Mais les votes de mercredi ont montré comment certains actionnaires ont reculé pour pousser les grandes compagnies pétrolières à adopter certains objectifs climatiques. Les investisseurs ont déclaré que de nombreuses voix poussant les mesures ESG ont été étouffées à la suite de la guerre de la Russie en Ukraine, qui a fait monter en flèche les prix du pétrole et du gaz alors que les approvisionnements mondiaux étaient réduits.
Les investissements dans les combustibles fossiles ont poussé de nombreuses sociétés pétrolières à enregistrer des bénéfices l'an dernier, ce qui a attiré certains investisseurs qui avaient fui après des années de maigres rendements de l'industrie. Le directeur général d'Exxon, Darren Woods, a déclaré mercredi que la société avait bénéficié d'investissements dans les combustibles fossiles lorsque d'autres se sont retirés.
Mais Woods et d'autres dirigeants de l'industrie ont fait valoir que certaines propositions liées au climat se retourneraient contre elles ou aggraveraient la situation économique. Woods a déclaré que plusieurs propositions rejetées mercredi auraient obligé l'entreprise à supposer que le monde réduirait les émissions de carbone à un rythme beaucoup plus rapide que ne l'avaient prévu les observateurs.
"Certains [iraient] jusqu'à nous forcer à réduire le développement du pétrole et du gaz", a-t-il déclaré. "Cela ne ferait rien pour réduire la demande mondiale."
C'est un bon signe que le marché libre n'est pas encore mort. _________
ESG Signifie : enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance d'entreprise.
L'initiative de l'OMS « promouvoirait les comportements souhaités » en surveillant les médias sociaux
RépondreSupprimerDe Michael Nevradakis
Recherche mondiale,
02 juin 2023
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) propose un ensemble de recommandations pour les «systèmes de surveillance par écoute sociale» conçus pour faire face à ce qu'elle décrit comme une «menace pour la santé» posée par la «désinformation» en ligne.
L'initiative de préparation et de résilience aux menaces émergentes (PRET) de l'OMS affirme que la "désinformation" a entraîné une "infodémie" qui constitue une menace - même dans les cas où les informations sont "exactes".
Le PRET a fait sourciller, au moment où les États membres de l'OMS sont engagés dans des négociations sur deux instruments controversés : le « traité pandémie » et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI).
La dernière version du traité sur la pandémie contient un libellé sur la manière dont les États membres de l'OMS s'engageraient à «l'écoute sociale». En vertu de l'article 18(b), les États membres de l'OMS s'engageraient à :
« Mener des activités régulières de sensibilisation de la communauté, d'écoute sociale et d'analyses et de consultations périodiques avec les organisations de la société civile et les médias pour identifier la prévalence et les profils de la désinformation, qui contribuent à concevoir des stratégies de communication et de messagerie pour le public afin de contrer la désinformation, la désinformation et les fausses nouvelles, renforçant ainsi la confiance du public et favorisant le respect des mesures de santé publique et sociales.
Revenant sur les propositions « d'écoute sociale » du PRET, Michael Rectenwald, Ph.D. , auteur de « Google Archipelago : The Digital Gulag and the Simulation of Freedom » et ancien professeur d'études libérales à l'Université de New York, a déclaré à The Defender :
RépondreSupprimer« L'initiative PRET de l'OMS fait partie de la tentative de l'ONU d'instituer une tyrannie « médicale » mondiale en utilisant la surveillance, « l'écoute sociale » et la censure. Le PRET est le bras technocratique du traité pandémique proposé par l'OMS, qui, s'il était accepté par les États-nations, équivaudrait à l'abandon de la souveraineté nationale et individuelle à cet organe de « gouvernance mondiale ».
« Quel meilleur moyen d'établir un gouvernement mondial unique qu'en utilisant les soi-disant crises mondiales qui doivent être traitées par rien de moins que la « gouvernance mondiale » ? Je rappelle aux lecteurs que vous ne pouvez pas vous conformer à votre façon de sortir de la tyrannie.
L'OMS pourrait utiliser l'intelligence artificielle pour surveiller les conversations sur les réseaux sociaux
Un document de l'OMS décrivant l'initiative PRET - "Module 1 : Planification des pandémies d'agents pathogènes respiratoires, version 1.0" - contient une définition de l'infodémie :
"L'infodémie est la surabondance d'informations - exactes ou non - qui rend difficile pour les individus d'adopter des comportements qui protégeront leur santé et celle de leurs familles et communautés.
"L'infodémie peut avoir un impact direct sur la santé, entraver la mise en œuvre de contre-mesures de santé publique et saper la confiance et la cohésion sociale."
Le document recommande qu'en réponse à "l'infodémie", les pays "incorporent les derniers outils et approches d'apprentissage partagé et d'action collective établis pendant la pandémie de COVID-19 ".
Selon le document de l'OMS, cela peut être fait si les gouvernements "établissent et investissent dans des ressources pour des systèmes de surveillance d'écoute sociale et des capacités pour identifier les préoccupations ainsi que les rumeurs et la désinformation".
Ces ressources comprennent « de nouveaux outils et approches pour l'écoute sociale… utilisant de nouvelles technologies telles que l'intelligence artificielle pour écouter les préoccupations de la population sur les réseaux sociaux ».
RépondreSupprimerSelon le document :
"Pour instaurer la confiance, il est important d'être réactif aux besoins et aux préoccupations, de relayer les informations en temps opportun et de former les dirigeants et les agents de santé [travailleurs de la santé] aux principes de communication des risques et d'encourager leur application."
La communication sur les risques "devrait être adaptée à la communauté d'intérêts, en se concentrant sur les groupes vulnérables et en leur donnant la priorité", a déclaré l'OMS.
La communication « sur mesure » était une caractéristique des efforts de santé publique pendant la pandémie de COVID-19.
Par exemple, en novembre 2021, la Fondation Rockefeller, la National Science Foundation et le Social Science Research Council ont lancé le Mercury Project , qui visait «à accroître l'utilisation des vaccins COVID-19 et d'autres mesures de santé publique recommandées en luttant contre la mésinformation et la désinformation». — en partie en étudiant les « impacts différentiels entre les groupes sociodémographiques ».
De même, le PRET déclare qu'il "intégrera les derniers outils et approches d'apprentissage partagé et d'action collective établis pendant la pandémie de COVID-19".
Ces « outils et approches » pourraient être déployés lors des « événements respiratoires aigus », selon le document, qui recommande aux gouvernements :
« Développez et mettez en œuvre des stratégies de communication et de changement de comportement basées sur des informations infodémiques, et testez-les lors d'événements respiratoires aigus, y compris la grippe saisonnière.
"Cela comprend la mise en œuvre de la gestion de l'infodémie dans tous les secteurs et une approche coordonnée avec d'autres acteurs, notamment les universités, la société civile et les agences internationales."
Ce n'est pas la première fois que l'OMS s'attaque à la soi-disant «infodémie».
Une revue de l'OMS publiée le 1er septembre 2022, intitulée "Infodémies et désinformation sur la santé : une revue systématique des revues", a révélé que "les infodémies et la désinformation ... ont souvent un impact négatif sur la santé mentale des gens et augmentent la réticence à la vaccination, et peuvent retarder la fourniture de soins de santé .”
Dans l'examen, l'OMS a conclu que les "infodémies" peuvent être traitées en "élaborant des politiques juridiques, en créant et en promouvant des campagnes de sensibilisation, en améliorant le contenu lié à la santé dans les médias de masse et en augmentant les connaissances numériques et en santé des gens".
RépondreSupprimerEt un document distinct et non daté de l'OMS conseille le public sur la manière dont nous pouvons " aplanir la courbe infodémique ".
L'OMS et Google annoncent une collaboration ciblant la "désinformation médicale"
Les propositions PRET de l'OMS ont coïncidé avec un nouvel accord de collaboration pluriannuel avec Google pour la fourniture "d'informations crédibles liées à la santé pour aider des milliards de personnes dans le monde à répondre aux problèmes de santé publique émergents et futurs".
L'accord a été annoncé le 23 mai par le Dr Karen DeSalvo, directrice de la santé de Google, sur le blog de l'entreprise. Elle a écrit:
« L'information est un déterminant essentiel de la santé. Obtenir les bonnes informations, au bon moment, peut conduire à de meilleurs résultats de santé pour tous. Nous l'avons vu de nos propres yeux avec la pandémie de COVID-19 lorsqu'il était difficile pour les gens du monde entier de trouver des informations utiles en ligne.
"Nous avons travaillé avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sur une série d'efforts pour aider les gens à prendre des décisions éclairées concernant leur santé - d'une alerte SOS à la diffusion de contenu localement pertinent sur COVID-19 aux politiques de YouTube sur la désinformation médicale."
L'une des façons dont Google collaborera avec l'OMS consiste à créer davantage de "panneaux de connaissances" qui apparaîtront en bonne place dans les résultats de recherche pour les questions liées à la santé sur la plate-forme.
"Chaque jour, les gens viennent sur Google Search à la recherche d'informations fiables sur divers problèmes de santé et symptômes", a écrit DeSalvo. "Pour les aider à accéder à des informations fiables, nos panneaux de connaissances citent le contenu de sources fiables couvrant des centaines de conditions allant du rhume à l'anxiété."
"En travaillant en étroite collaboration avec l'OMS, nous allons bientôt nous étendre pour couvrir davantage de conditions telles que la BPCO [maladie pulmonaire obstructive chronique], l'hypertension, le diabète de type 2, le Mpox , Ebola, les troubles dépressifs, le paludisme et plus encore", a-t-elle ajouté.
Google rendra ces panneaux de connaissances disponibles en plusieurs langues, dont l'anglais, l'arabe, le chinois, le français, le russe et l'espagnol.
Le message de DeSalvo du 23 mai a également abordé une collaboration en cours entre Google et l'OMS, Open Health Stack (OHS), qui "aide [s] à accélérer la transformation numérique des systèmes de santé dans le monde" et "abaisse [s] la barrière à des soins de santé équitables .”
RépondreSupprimerGoogle a également accordé à l'OMS plus de 320 millions de dollars "en publicité sur la recherche Google via des subventions publicitaires", permettant à l'agence "de publier des sujets de santé au-delà du COVID-19, tels que Mpox, la santé mentale, la grippe, Ebola et les catastrophes naturelles".
Google devrait fournir 50 millions de dollars supplémentaires en subventions publicitaires à l'OMS cette année.
Selon Google, les subventions publicitaires à l'OMS représentent le don le plus important de l'entreprise à une seule organisation.
Par ailleurs, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a tweeté le 22 mai sur les propres efforts de l'agence pour lutter contre la prétendue « désinformation » et la « désinformation ».
Le tweet contient une vidéo de 35 secondes, qui prétend que la «désinformation» voyage «six fois plus vite que les faits», tout en faisant la promotion de l'initiative « Rumor Control » de la FDA .
Une priorité absolue du commissaire de la FDA, le Dr Robert Califf , "Rumor Control" a été lancé en août 2022 et rejoint d'autres initiatives de l'agence pour lutter contre la "désinformation" et la "désinformation".
«La propagation croissante des rumeurs, de la désinformation et de la désinformation sur la science, la médecine et la FDA met les patients et les consommateurs en danger», selon la page Web Rumor Control de la FDA. "Nous sommes ici pour fournir les faits."
L'initiative demande au public de faire «trois choses faciles» pour «empêcher les rumeurs de se propager»: «ne croyez pas les rumeurs», «ne les faites pas passer» et «obtenez des informations sur la santé de sources fiables comme la FDA et notre partenaires gouvernementaux.
"Rumor Control" semble avoir été inspiré par une initiative développée par le Virality Project , "une coalition d'entités de recherche" de six institutions "axées sur le soutien à l'échange d'informations en temps réel entre la communauté de la recherche, les responsables de la santé publique, les agences gouvernementales, les autorités civiles". les organisations de la société et les plateformes de médias sociaux.
Des documents publiés dans le cadre des « fichiers Twitter » en mars ont révélé que le projet Virality, basé sur l'Observatoire Internet de Stanford, appelait également à la création d'un comité de désinformation juste un jour avant que Biden n'annonce son intention de lancer sa gouvernance de la désinformation gérée par le gouvernement . Conseil .
RépondreSupprimerSemblable aux recommandations du PRET de cibler des informations « exactes » qui contredisent néanmoins les récits de santé publique de l'établissement, le projet de viralité a travaillé avec Twitter et d'autres plateformes de médias sociaux, leur recommandant de « prendre des mesures même contre les « histoires d'effets secondaires réels des vaccins » et les « vraies publications qui pourrait alimenter l'hésitation.
Ces efforts de censure comprenaient au moins un tweet de Robert F. Kennedy Jr., président en congé de Children's Health Defence .
https://www.globalresearch.ca/who-initiative-would-promote-desired-behaviors-surveilling-social-media/5821036
Mauvais lots (« lots chauds ») de vaccins à ARNm Pfizer COVID-19 : 4,2 % des doses de vaccin Pfizer sont mortelles, mais qu'en est-il du reste ?
RépondreSupprimerTrois sites Web pour vérifier la gravité de votre lot COVID-19.
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
02 juin 2023
Une lettre de recherche danoise de Max Schmeling publiée en janvier 2023, a examiné la "sécurité" du lot d'ARNm Pfizer COVID-19 des vaccins Pfizer administrés au Danemark en 2021. ( cliquez ici )
Résumé
Chaque point représente un « lot de vaccin » ( chaque lot contient un certain nombre de flacons de vaccin, chacun contenant un certain nombre de doses de vaccin)
4,2 % des doses provoquent 71 % des effets indésirables des injections Pfizer et 50 % des décès
32 % des doses provoquent < 1 % des événements indésirables, des événements graves et des décès liés à la piqûre de Pfizer
Le chercheur français Hervé Seligmann a confirmé les résultats en mai 2023 ( cliquez ici ).
- voir graph sur site -
Il semble y avoir 3 types distincts de lots de vaccins ARNm Pfizer COVID-19 :
Les lots à « haute toxicité » - fréquences élevées d'événements indésirables et de décès
Les lots « toxicité intermédiaire » – fréquences moyennes d'effets indésirables
Les lots « à faible toxicité » – faibles fréquences d'effets indésirables
Commentaires de l'experte en sécurité des médicaments à la retraite Sasha Latypova ( cliquez ici ):
« Nous avons vu des regroupements, par exemple, par codes alphanumériques, à la fois chez Pfizer et Moderna. Selon les lettres utilisées dans la numérotation alphanumérique - qui devrait être juste aléatoire, nous savions que cet ensemble de lettres produirait une toxicité plus élevée, et cet ensemble de lettres produirait une toxicité plus faible.
« Nous avions également des regroupements par dates de fabrication . [Cela] ne devrait pas non plus se produire - vous ne devriez pas avoir de différence entre le produit le premier du mois et le trentième du mois.
Deux jeunes hommes contractent une myopéricardite à cause du même lot de vaccin administré le même jour
Une étude italienne publiée en mars 2022 a fait état de deux jeunes hommes qui ont pris un vaccin Moderna du même lot le même jour. Tous deux ont développé une myopéricardite exactement 3 jours après avoir reçu leur vaccin à ARNm . ( cliquez ici )
C'est une preuve supplémentaire que c'est le lot de vaccins qui pose problème et non les différences de santé de l'individu.
RépondreSupprimerLe scandale Wyeth - Les grandes sociétés pharmaceutiques ont appris dans les années 1970 à disperser géographiquement les mauvais lots de vaccins pour éviter d'être détectés
Dans les années 1970, Wyeth Pharmaceutical, racheté par Pfizer en 2009, avait un groupe de décès d'enfants par le SMSN (syndrome de mort subite du nourrisson) dans le Tennessee, à cause de son vaccin DTC. ( cliquez ici )
Les dirigeants de Wyeth ont décidé de diviser les lots ou les lots de vaccins pour ne plus jamais autoriser l'envoi d'un groupe de flacons d'un lot à un seul État ou département de la santé. En limitant la distribution des flacons à 2000 au maximum dans une région géographique, il était moins probable qu'un groupe de blessures soit lié au vaccin.
Au lieu de rappeler des « lots chauds » de vaccins mortels, ils ont dispersé les lots dans tout le pays afin que personne ne fasse le lien avec les événements indésirables.
- voir graph sur site -
À quel point mon lot de vaccins est-il mauvais ?
Il existe trois sites Web sur lesquels vous pouvez déterminer la gravité de votre lot de vaccins Pfizer ou Moderna :
https://howbadismybatch.com
https://vaersaware.com/toxiclot-search
https://matchyourbatch.org/
- voir doc sur site -
Ma prise…
Le concept de roulette russe continue de s'appliquer aux vaccins ARNm Pfizer & Moderna COVID-19. Environ 4 % des doses de Pfizer sont assez mortelles et représentent 70 % des effets secondaires et 50 % des décès.
Mais qu'en est-il du reste? 64 % des doses de Pfizer avaient des niveaux intermédiaires d'effets indésirables. C'est encore une mauvaise nouvelle.
Même les 32 % restants des doses « à faible toxicité » de Pfizer ne peuvent être considérées comme « sûres », car elles causent environ 1 % des effets secondaires et 1 % des décès.
Fait intéressant, le fait qu'il existe trois modèles distincts suggère que les composants du vaccin peuvent être différents dans chaque type de lot, et qu'un contrôle de qualité médiocre ou la dégradation de l'ARNm ne peuvent à eux seuls expliquer ces différences marquées.
https://www.globalresearch.ca/bad-batches-hot-lots-pfizer-covid-19-mrna-vaccines-4-2-pfizer-vaccine-doses-deadly-but-what-about-rest/5821084
Nattokinase pour le traitement des dommages causés par le vaccin et du syndrome post-vacc
RépondreSupprimer2 juin 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Les protocoles développés pour lutter contre les dommages causés par les vaccins sont régulièrement mis à jour. L'un d'eux est celui de la FLCCC Alliance, qui contient de la nattokinase en plus du bleu de méthylène, dont TKP a récemment fait état ici . Nattokinase a également été un problème ici auparavant.
Dans mes interviews vidéo sur RTV avec Florian Schilling, nous avons souvent parlé de la nattokinase comme option de traitement. En principe , la nattokinase peut aider à la thrombose. En cas de syndrome post-vaccin et de covid long, il est principalement utilisé pour éliminer la microthrombose.
Le natto est un aliment japonais, pas nécessairement tolérable pour les non-japonais en raison de son odeur et de son goût, qui est créé par la fermentation du soja. De là, vous obtenez la nattokinase d'une part et la vitamine K2 d'autre part - toutes deux très efficaces en relation avec le sang et le système vasculaire.
Une étude japonaise intitulée Effet dégradant de la nattokinase sur la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 sur 12 hommes japonais jeunes et en bonne santé a révélé que déjà une dose unique de 2000 FU active plusieurs voies fibrinolytiques et antithrombotiques.
La nattokinase NSK-SD a été décrite par des sources japonaises comme une forme particulièrement efficace , comme on peut le lire dans certaines études.
Le protocole FLCCC Alliance i-Recover recommande 100 à 200 mg par jour. Robert Malone à ce sujet dans la vidéo :
- voir clip sur site -
Docteur Robert Malone : « Je viens de terminer ce protocole de récupération FLCCC qui comprend plusieurs médicaments différents. Et je l'ai complété avec un autre ingrédient qui est une enzyme - qui aide à décomposer ces amas de fibrine - appelée nattokinase. Et je peux vous dire personnellement... que je me sens beaucoup mieux. Ma femme me dit que mes pas sont plus longs ; J'ai beaucoup plus d'énergie et d'endurance qu'auparavant après avoir terminé ce protocole - qui, comme vous le dites, est conçu en partie pour déplacer les protéines de pointe de divers sites de liaison dans votre corps."
L'intégralité de l'entretien est à retrouver ici .
RépondreSupprimerLa littérature sur la nattokinase est disponible ici .
https://tkp.at/2023/06/02/nattokinase-zur-behandlung-von-impfschaeden-und-post-vacc-syndrom/
Un haut responsable de l'OMS appelle à une action mondiale pour limiter les libertés individuelles
RépondreSupprimer2 juin 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Un haut responsable de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a exhorté les gouvernements du monde à donner la priorité aux "mesures susceptibles de restreindre les libertés individuelles". Cette exigence a été formulée par le Dr. Abdullah Assiri, coprésident d'un groupe de travail de l'OMS chargé d'étudier les modifications du droit international qui élargiraient les pouvoirs de l'OMS, lors d'une réunion la semaine dernière.
Assiri, le coprésident du groupe de travail de l'OMS chargé d'amender le Règlement sanitaire international (RSI), est allé plus loin en prenant le pouvoir au sein de l'organe de l'ONU en exhortant les membres à œuvrer pour priver le public de ses libertés. Assiri a fait ces commentaires lors d'une table ronde stratégique lors de la 76e Assemblée mondiale de la santé, une réunion annuelle de l'organe décisionnel de l'OMS.
Au cours de l'appel, les membres de l'OMS ont discuté du Traité international sur la pandémie et des amendements au Règlement sanitaire international - deux outils qui, ensemble, élargiront les pouvoirs de l'OMS pour lutter contre la "désinformation", renforcer ses pouvoirs de surveillance et promouvoir les passeports de vaccination mondiaux.
Assiri a mis à jour les progrès de l'OMS sur les modifications apportées au Règlement sanitaire international avant de suggérer que les libertés individuelles devraient être restreintes par cette autorité sanitaire non élue.
"Cependant, le monde a besoin d'autres mandats juridiques, comme le Traité sur la pandémie, pour faire face à une pandémie donnée si elle devait se produire, et elle le fera", a déclaré Assiri. « La hiérarchisation des mesures susceptibles de limiter les libertés individuelles, l'organisation et le partage d'informations, de connaissances et de ressources, et surtout la fourniture de ressources pour le contrôle de la pandémie sont nécessaires pendant une pandémie. Les ressources pour mener à bien ces actions ne sont tout simplement pas disponibles à l'heure actuelle.
Alors que les nouveaux pouvoirs étendus contenus dans le Traité sur la pandémie et les amendements au RSI restreignent les libertés individuelles, telles que la vie privée et la liberté d'expression, les responsables de l'OMS ne l'ont jusqu'à présent pas directement reconnu.
Les commentaires d'Assiri sont le dernier des nombreux exemples où l'OMS continue d'appeler à plus de pouvoir, alors même que l'autorité sanitaire non élue a déjà acquis une influence significative pendant la pandémie.
L'OMS crée une rhétorique et, dans une large mesure, même de fausses allégations, comme celle de l'immunité collective par des injections d'ARNm, qui sont ensuite vendues par les médias et dans les études comme un "consensus scientifique". Depuis 2020, l'OMS s'est associée à YouTube, Facebook et Wikipedia et a eu une influence directe sur les règles linguistiques sur ces plateformes. Google a renouvelé son partenariat avec l'OMS le mois dernier.
Mais alors que l'OMS exerce déjà une influence majeure sur le discours en ligne, elle a fait pression pour encore plus de pouvoir en 2021 (lorsque les travaux sur le traité international sur la pandémie ont commencé) et 2022 (lorsque l'administration Biden a proposé des modifications au RSI). La prise de contrôle de l'OMS s'est heurtée à l'opposition de politiciens aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en Australie et en Europe. L'OMS prévoit d'achever le Traité sur la pandémie et les amendements au RSI d'ici mai 2024.
RépondreSupprimerUne fois adopté, le Traité sur la pandémie s'appliquera aux 194 États membres de l'OMS (représentant 98 % des pays du monde) et les amendements au RSI s'appliqueront à 196 pays. Les deux instruments sont juridiquement contraignants en vertu du droit international.
Il est incroyable que nos politiciens y participent et que le Bundestag allemand ait pratiquement décidé de se soumettre complètement à l'OMS.
https://tkp.at/2023/06/02/hoher-who-beamter-fordert-globale-massnahmen-zur-einschraenkung-der-individuellen-freiheitsrechte/
Quelques mois après l'administration des vaccins contre le SRAS-Cov-2 à des millions de personnes, de nombreux types d'effets secondaires ont été signalés dans le monde. Les informations sur les événements indésirables ont été niées et masquées par les agences gouvernementales et les médias financés par l'État et parrainés par les entreprises, qu'il s'agisse de rumeurs, de spéculations de profanes ou d'enquêtes scientifiques sérieuses menées par des universitaires qualifiés.
RépondreSupprimerCependant, en 2023, les registres nationaux des blessures par vaccin montrent de graves lacunes dans les vaccins en cours de développement pour lutter contre le SRAS-Cov-2. Dans un rapport publié dans l'International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, les auteurs ont analysé les données des systèmes gouvernementaux de surveillance et d'auto-déclaration en Allemagne, en Israël, en Écosse, au Royaume-Uni et aux États-Unis "pour identifier les effets indésirables à long terme". événements du vaccin Trouver des produits COVID qui ne peuvent pas être capturés par les analyses de sécurité accélérées ». Cette section du résumé indique :
Nos données démontrent, entre autres tendances, une augmentation des rapports d'événements indésirables lorsque nous comparons les produits COVID aux vaccins contre la grippe et la coqueluche, et un nombre statistiquement significativement plus élevé d'hospitalisations parmi le personnel militaire, ainsi qu'une augmentation des conditions thromboemboliques telles que les anomalies menstruelles, myocardites, et événements cérébrovasculaires de l'introduction de la réglementation sur les injections COVID par rapport aux cinq années précédentes… Notre méta-analyse des incidents vaccinaux nationaux et internationaux souligne l'importance d'une réévaluation des politiques de santé publique qui favorise la vaccination universelle de masse et les rappels multiples pour tous les groupes démographiques . Combiné avec des rapports informels de témoins fiables,
À ce stade tardif de la période de pandémie déclarée, les gouvernements et leurs diverses plateformes de propagande ne peuvent plus cacher ces événements indésirables et peuvent maintenant se trouver dans ce que l'on pourrait appeler le « refroidissement de la pandémie ». Un article de 2015 dans The New Yorker traitait de ce phénomène sociologique.
Le terme a été utilisé dans une étude de 1952 par Erving Goffman pour décrire un élément important de la supercherie, mais il décrit également de manière générale tout mécanisme social nécessaire pour aider les gens à s'adapter à la perte matérielle et à l'humiliation. Lorsqu'une victime est forcée d'admettre qu'elle a été victime d'une arnaque ou d'une arnaque, les auteurs doivent faire des efforts pour l'aider à s'adapter. Sinon, la victime pourrait faire quelque chose d'« irrationnel », comme se venger violemment, s'exposer dans les médias, déposer une plainte pénale ou intenter une action en justice. Il faut leur rappeler qu'ils ont encore des choses précieuses qu'ils pourraient perdre, alors ils n'ont qu'à accepter la perte et l'humiliation et retourner auprès de leur femme et de leurs enfants.Oui, il y a eu quelques rares événements indésirables. Faites la queue et remplissez ce formulaire pour réclamer l'indemnisation à laquelle vous avez légalement droit. Nous prendrons soin de vous sous peu .
RépondreSupprimerTKP a régulièrement publié des prépublications et des études évaluées par des pairs qui confirment les taux accrus de nombreux événements indésirables pour la santé après la vaccination. La chose curieuse à leur sujet, cependant, est qu'ils se terminent souvent très timidement, contenant des mots comme celui de l' extrait suivant :
Le nombre de cas signalés est relativement faible par rapport aux centaines de millions de vaccinations, et la protection offerte par la vaccination COVID-19 dépasse de loin les risques.
Cette tendance a également été relevée dans la récente étude Cochrane sur l'efficacité du port du masque. Enfin, plutôt que de souligner qu'il n'y a aucune preuve de bénéfice du port du masque dans de nombreuses études, les auteurs ont énuméré toutes les façons dont les études qu'ils ont examinées pourraient contenir des erreurs non détectées. C'était comme s'ils avaient peur d'avoir fait une découverte importante qui changerait la politique du gouvernement.
Mais dans cette étude, nous avons également obtenu le témoignage de l'auteur principal Tom Jefferson sur le temps qu'il a lutté pour faire publier son étude. Parce que l'examen est nécessaire pour la publication. Vous pouvez lire l'interview de Jefferson sur son combat ici .
Avec le problème de l'évaluation, cependant, nous sommes revenus au consensus. L'évaluation est fondamentalement absurde et nuisible. Parce que les experts ne disent rien d'autre que "nous sommes d'accord". Les insights révolutionnaires n'ont donc lieu qu'en dehors du consensus, voire rompent avec lui.
RépondreSupprimerL' article de 2009 cité par Michael Crichton déclare :
« Aujourd'hui, les méthodes pour parvenir à un consensus ont changé, mais le résultat pourrait être le même : la mort de l'esprit. L'utilisation et l'abus de la « science consensuelle » sont au moins partiellement responsables de la crise actuelle du système d'examen scientifique et médical par les pairs. Bien que l'examen par les pairs soit considéré comme l'un des piliers sacrés de l'édifice scientifique, il est critiqué depuis un certain temps pour contrôler l'accès aux publications et aux financements, mettant ainsi le problème au premier plan.
De nombreuses études sont évidemment conçues pour survivre à l'examen, même dans la phase de préimpression et la toute première publication. Les vrais résultats sont encadrés par des aveux religieux et des phrases comme « la vaccination a sauvé des millions de vies » sont récitées. Exactement ces parties de texte des études peuvent ensuite être trouvées dans les médias d'entreprise et tout va bien.
Simon King , CC BY-SA 4.0 , via Wikimedia Commons
https://tkp.at/2023/06/02/strategien-zur-reduktion-und-leugnung-der-impfschaeden/
La famille d'un étudiant décédé des suites d'un vaccin COVID-19 poursuit l'administration de Biden
RépondreSupprimerPar Zachary Stieber
2 juin 2023
La famille d’un étudiant décédé d’une inflammation cardiaque causée par le vaccin COVID-19 de Pfizer a poursuivi l’administration du président Joe Biden, alléguant que des responsables se sont livrés à une « faute intentionnelle ».
Les responsables du département américain de la Défense (DOD) ont fait la promotion à tort de la vaccination contre le COVID-19 en affirmant à plusieurs reprises que les vaccins disponibles étaient "sûrs et efficaces", ont déclaré des proches de George Watts Jr., l'étudiant, dans le nouveau procès.
Cette promotion "a dupé des millions d'Américains, y compris M. Watts, pour qu'ils soient les sujets humains du DOD dans son expérience médicale, la plus grande de l'histoire moderne", indique le procès.
La Loi sur la préparation du public et la protection civile autorise des poursuites contre certaines personnes si elles se sont livrées à une « inconduite volontaire » et si cette inconduite a causé la mort ou des blessures graves.
Les vaccins COVID-19 sont couverts par la loi en raison d'une déclaration entrée sous l'administration Trump en 2020 après que COVID-19 a commencé à circuler.
« La conduite du DOD et le préjudice causé, comme allégué dans les quatre coins du procès, parlent d'eux-mêmes », a déclaré Ray Flores, un avocat représentant la famille Watts, à Epoch Times par e-mail. «Je n'ai pas d'autre commentaire que de dire: mon seul devoir est de défendre mon client. Si le DOD transmet une offre de règlement, je veillerai à ce qu'elle soit prise en compte.
La poursuite a été déposée devant un tribunal américain à Washington.
Le Pentagone et le ministère de la Justice n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
Watts est mort subitement
Watts était étudiant au Corning Community College lorsque l'école a rendu obligatoire la vaccination contre le COVID-19 pour les cours en personne en 2021. Il a reçu une dose de Pfizer le 27 août 2021 et une deuxième dose environ trois semaines plus tard.
Watts a rapidement commencé à ressentir une gamme de symptômes, notamment des picotements dans les pieds, des douleurs dans les talons, un engourdissement dans les mains et les doigts, du sang dans son sperme et son urine et une pression des sinus, selon les membres de la famille et les dossiers de santé.
RépondreSupprimerWatts s'est rendu aux urgences de l'hôpital Robert Packer le 12 octobre 2021 en raison des symptômes. Les radiographies ont montré des poumons clairs et un contour cardiaque normal.
Watts a été renvoyé chez lui avec des suggestions de suivi avec des spécialistes, mais est retourné aux urgences le 19 octobre 2021, avec une aggravation des symptômes malgré une semaine d'antibiotique Augmentin. On lui a diagnostiqué une sinusite et une bronchite.
En parlant à sa mère à la maison le 27 octobre 2021, Watts s'est soudainement effondré. Le personnel médical d'urgence s'est précipité à la maison mais l'a trouvé inconscient. Il a été transporté d'urgence au même hôpital dans une ambulance. Il a été déclaré décédé à 24 ans.
Selon un médecin de l'hôpital, citant des dossiers hospitaliers et des membres de sa famille, Watts n'avait aucun antécédent médical au dossier qui expliquerait sa mort subite, sans antécédent connu de toxicomanie ou de signes évidents de toxicomanie. Sa mère a décrit son fils comme un « jeune homme en bonne santé ».
Le Dr Robert Stoppacher, un pathologiste qui a pratiqué une autopsie sur le corps, a déclaré que le décès était dû à une «myocardite liée au vaccin COVID-19». Le certificat de décès ne mentionne aucune autre cause. Un test COVID-19 est revenu négatif. Le Dr Sanjay Verma, basé en Californie, a examiné les documents de l'affaire Watts et a déclaré qu'il pensait que le décès avait été causé par la vaccination contre le COVID-19.
Pfizer n'a pas répondu à une demande de commentaire.
Watts a pris le vaccin sous pression
Le mandat du collège communautaire comprenait une période de grâce de 35 jours après l'approbation par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis d'un vaccin COVID-19.
Watts n'a reçu le vaccin que "parce que l'école lui a autrement interdit d'assister à des cours en personne", selon la poursuite. Mais il a attendu que Comirnaty soit autorisé avant de se rendre à un rendez-vous le 27 août 2021. À son arrivée, cependant, il a reçu les doses délivrées en vertu d'une autorisation d'urgence, car la formulation nouvellement approuvée n'était pas encore disponible.
RépondreSupprimerLes responsables auraient dû immédiatement remplacer les anciennes doses de vaccin à la lumière de l'approbation, indique le procès, notant les décisions de justice qui ont conclu que l'armée avait illégalement besoin d'un vaccin expérimental contre l'anthrax.
«Le DOD s'est continuellement et sciemment engagé dans une tromperie et une exagération massives et délibérées pour créer une demande afin de pousser les vaccins dans les bras d'autant d'Américains que possible, faisant de la majorité du pays (y compris M. Watts) des participants inconscients à son programme humain de masse. expérience », déclare le costume.
Elle demande au tribunal d'accorder des dommages-intérêts.
https://www.theepochtimes.com/family-of-college-student-who-died-from-covid-19-vaccine-sues-biden-administration_5306833.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
Les agences des Nations Unies préviennent que «l'insécurité alimentaire aiguë» risque de s'aggraver dans 18 points chauds de la faim
RépondreSupprimerPar Jessica Corbett
Recherche mondiale,
02 juin 2023
Alors qu'El Niño se profile et que les combats font rage au Soudan, deux agences des Nations Unies ont averti lundi que "l'insécurité alimentaire aiguë est susceptible de se détériorer davantage dans 18 points chauds de la faim" dans 22 pays de juin à novembre.
L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM) ont lancé cet avertissement dans un rapport conjoint.
"L'Afghanistan, le Nigeria, la Somalie, le Soudan du Sud et le Yémen restent au plus haut niveau de préoccupation", indique le rapport. « Haïti, le Sahel (Burkina Faso et Mali) et le Soudan ont été élevés au plus haut niveau de préoccupation ; cela est dû aux sévères restrictions de mouvement des personnes et des biens en Haïti, ainsi qu'au Burkina Faso et au Mali, et à la récente éruption du conflit au Soudan.
"Le Pakistan, la République centrafricaine, l'Éthiopie, le Kenya, la République démocratique du Congo et la République arabe syrienne sont des points chauds très préoccupants, et l'avertissement est également étendu au Myanmar", poursuit la publication. « Le Liban, El Salvador et le Nicaragua ont été ajoutés à la liste des pays du point chaud de la faim depuis l'édition de septembre 2022. Le Malawi, le Guatemala et le Honduras restent des pays sensibles à la faim.
Le document souligne que l'aggravation des conditions dans les points chauds se produit dans le contexte d'une «crise alimentaire mondiale», de sorte que «les pays et les situations couverts dans ce rapport mettent en évidence les détériorations les plus importantes de la faim attendues au cours de la période de projection», mais ne représentent pas toutes pays confrontés à des niveaux élevés d'insécurité alimentaire aiguë.
« Le conflit perturbera les moyens de subsistance, y compris les activités agricoles et les échanges commerciaux, car les gens sont directement attaqués ou fuient la perspective d'attaques, ou sont confrontés à des restrictions de mouvement et à des obstacles administratifs », indique le rapport. "Les nouveaux conflits émergents, en particulier l'éruption d'un conflit au Soudan, entraîneront probablement les tendances mondiales des conflits et auront un impact sur plusieurs pays voisins."
"L'utilisation de munitions explosives et de tactiques de siège dans plusieurs points chauds de la faim continue de pousser les gens à des niveaux catastrophiques d'insécurité alimentaire aiguë", ajoute le document, "soulignant le rôle essentiel de l'accès humanitaire dans la prévention des pires conséquences de la faim".
Le nouveau rapport est notamment venu alors que le PAM a annoncé que samedi, six semaines après le début des combats au Soudan - déplaçant près de 1,4 million de personnes - le programme des Nations Unies a pu commencer à distribuer une aide alimentaire aux milliers de personnes touchées par le conflit dans et autour du capitale Khartoum.
RépondreSupprimer« C'est une percée majeure. Nous avons enfin pu aider les familles qui sont bloquées à Khartoum et qui luttent pour survivre chaque jour alors que la nourriture et les fournitures de base diminuent », a déclaré Eddie Rowe, directeur national du PAM au Soudan, dans un communiqué.
"Nous avons travaillé 24 heures sur 24 pour atteindre les gens à Khartoum depuis le début des combats", a ajouté Rowe. « Une fenêtre s'est ouverte en fin de semaine dernière qui nous a permis de commencer les distributions alimentaires. Le PAM doit faire plus, mais cela dépend des parties au conflit et de la sécurité et de l'accès qu'elles garantissent de manière réaliste sur le terrain.
Outre les conflits armés, les facteurs de détérioration dans les régions ciblées par le rapport comprennent les problèmes économiques et l'urgence climatique. La publication souligne que l'année dernière, "les risques économiques ont entraîné la faim dans plus de pays que les conflits" et "l'économie mondiale devrait ralentir en 2023 - dans un contexte de resserrement monétaire dans les économies avancées - augmentant le coût du crédit".
"Les conditions météorologiques extrêmes, telles que les fortes pluies, les tempêtes tropicales, les cyclones, les inondations, la sécheresse et l'augmentation de la variabilité climatique, restent des facteurs importants dans certains pays et régions", explique le document, notant que les experts anticipent les conditions d'El Niño - ou le réchauffement de la mer températures de surface à travers l'océan Pacifique tropical - dans les mois à venir, "avec des implications importantes pour plusieurs points chauds de la faim".
Le rapport souligne qu'une « assistance urgente et renforcée » dans tous les points chauds « est essentielle pour éviter une nouvelle détérioration de l'insécurité alimentaire aiguë et de la malnutrition » et, dans certains cas, « les actions humanitaires sont essentielles pour prévenir de nouvelles famines et de nouveaux décès ».
Les dirigeants de l'agence ont fait écho à l'appel à l'action de la publication. Cindy McCain, directrice exécutive du PAM, a déclaré dans un communiqué que "non seulement plus de personnes dans plus d'endroits dans le monde souffrent de la faim, mais la gravité de la faim à laquelle elles sont confrontées est pire que jamais".
RépondreSupprimer"Ce rapport indique clairement : l'Ae doit agir maintenant pour sauver des vies, aider les gens à s'adapter au changement climatique et, en fin de compte, prévenir la famine", a déclaré McCain. "Si nous ne le faisons pas, les résultats seront catastrophiques."
Le directeur général de la FAO, Qu Dongyu, a souligné que "les voies du statu quo ne sont plus une option dans le paysage actuel des risques si nous voulons parvenir à la sécurité alimentaire mondiale pour tous, en veillant à ce que personne ne soit laissé pour compte".
"Nous devons fournir des interventions agricoles immédiates et urgentes pour sortir les gens du bord de la faim, les aider à reconstruire leur vie et fournir des solutions à long terme pour s'attaquer aux causes profondes de l'insécurité alimentaire", a-t-il déclaré. "Investir dans la réduction des risques de catastrophe dans le secteur agricole peut débloquer d'importants dividendes de résilience et doit être intensifié."
De Common Dreams : Notre travail est sous licence Creative Commons (CC BY-NC-ND 3.0). N'hésitez pas à republier et partager largem
https://www.globalresearch.ca/un-agencies-warn-acute-food-insecurity-likely-worsen-18-hunger-hot-spots/5821103
L’agroécologie face à la réalité, entre idéologie et difficultés
RépondreSupprimerL’agroécologie peine à s’imposer malgré la pression médiatique, mais quelles sont les raisons de cette difficulté ?
Armand Paquereau
le 3 juin 2023
L’agroécologie a pour vocation de libérer l’agriculture de sa dépendance aux apports exogènes, que ce soit en matière de produits de défense des cultures et des animaux, de moyens énergétiques de production ou d’utilisation d’éléments fertilisants.
Une méthode qui peine à s’imposer
Malgré la pression médiatique sans limite et des individus regroupés en associations diverses, dont une association paysanne dont on se demande si elle défend bien les agriculteurs, qui s’arrogent le droit de recourir à la violence pour imposer cette idéologie, les principes de l’agroécologie, synonymes de Bio dans l’opinion, ont du mal à s’imposer.
Les objectifs successifs affichés d’atteindre en Bio 15 % de la surface agricole utilisée en 2022 et 18 % en 2027 sont loin d’être atteints. Ainsi, sur les 26,8 millions d’hectares de surface agricole utilisée, la Bio ne couvre que 2,8 millions d’hectares soit 10,44 % en 2022.
Depuis la fin du confinement, une récession des achats Bio semble se confirmer. De plus, un phénomène de déconversion semble s’amplifier. En 2022 selon l’agence Bio, quelque 2174 producteurs ont opté pour la déconversion, avec une augmentation de 42 % sur un an.
La baisse de la consommation des produits Bio pousse même de grands groupes de l’agro-industrie, comme Lactalis, Cavac ou Bodin Volailles, à encourager les producteurs bio à se déconvertir.
Cette tendance mérite d’être étudiée avec soin pour envisager l’avenir.
Certes la Bio permet de se libérer (partiellement) de la dépendance aux sources exogènes d’intrants et d’être moins fragile aux fluctuations des cours des intrants chimiques, notamment importés (voir infra). Mais il est indéniable que les rendements en Bio sont largement inférieurs à ceux obtenus en agriculture dite intensive, tellement décriée. Les raisons sont connues, même si elles sont volontairement occultées. La production d’une récolte est proportionnelle à la masse végétale capable de capter l’énergie solaire et de transformer le gaz carbonique capté par la photosynthèse des plantes en oxygène et en hydrates de carbone, bases élémentaires de toute alimentation, qu’elle soit humaine ou animale. Or, la masse végétale est proportionnelle à la quantité d’azote assimilable dans le sol. C’est ce qui explique que l’apport d’engrais minéraux azotés fabriqués chimiquement augmente les rendements de manière significative.
La source d’azote en Bio ne peut provenir que de la décomposition de la masse végétale (compost, fumier animal) ou de la récupération de l’azote stocké par les légumineuses. Mais une exploitation Bio en autarcie ne peut rivaliser en apports azotés avec ceux exogènes issus de la chimie, surtout lorsqu’ils sont accompagnés des éléments P (phosphore) et K (potassium) que la Bio s’interdit.
Les rendements en Bio sont aussi limités par l’absence d’herbicides sélectifs. Et les différents binages ou rotations de cultures ne permettent pas de contrôler les plantes invasives (datura, ambroisie, lampourde, etc.).
Les déconventions en Bio sont aussi accélérées par la récente suppression des primes de maintien qui venaient compenser la perte de rendement et l’augmentation des façons culturales et du coût de la main d’œuvre induits.
RépondreSupprimerLa dépendance de l’agriculture « industrielle »
Le mot « industrielle » est mis entre guillemets, car la dépendance est aussi sensible pour une exploitation de 20 hectares que pour une de 200.
En effet, le poste approvisionnement est très sensible aux fluctuations de prix, sensibilité augmentée par le décalage de cette fluctuation avec celle des prix de vente de produits. Quand une hausse du prix d’achat des intrants est concomitante avec une baisse de prix de vente, l’équilibre de gestion de l’entreprise est compromis. La guerre en Ukraine a fait s’envoler les prix des carburants et des engrais à un point tel que des agriculteurs se sont interrogés sur la rentabilité d’emblaver, tant l’incertitude de la volatilité des prix était considérable.
La situation au Sénégal est une illustration du phénomène. L’augmentation du prix des engrais azotés est telle que les producteurs ne peuvent suffisamment s’approvisionner, et la diminution de la dose accessible ne permet plus un rendement suffisant pour assurer la rentabilité de la culture.
Le programme « Plan Sénégal émergeant vert », adopté par l’État en 2019, subventionne l’achat d’engrais organiques Bio à hauteur de 50 % du prix. Mais comme le constate un agriculteur, « il faut entre 10 à 15 sacs d’engrais organiques en plus par rapport aux engrais minéraux pour une même parcelle. Et tous les ans, dès mars, les stocks deviennent insuffisants sur l’ensemble du pays »
Le directeur de l’horticulture au ministère de l’Agriculture du Sénégal évalue de 15 à 20 % la part d’engrais minéraux importés, problème qui touche également les engrais organiques qui sont importés à 60 %, surtout d’Europe.
Le Sénégal souhaite « développer l’agriculture agri-écologique pour se prémunir contre le changement climatique et les chocs conjoncturels ». Cependant, ce type d’agriculture étant hyper dépendant des intrants organiques, et au vu des difficultés précédemment développées, cet objectif semble difficilement atteignable.
Le précédent du Sri Lanka
Le Sri Lanka a été le premier pays au monde à passer, en avril 2021, à une agriculture 100 % Bio. Gotabaya Rajapaksa, alors président, avait interdit l’importation d’engrais et de produits chimiques. Dès les premiers mois, la production a chuté de 20 %. Il a fallu faire machine arrière six mois plus tard.
Au total, un tiers des terres cultivables ont été abandonnées dans le pays, après la tentative de passage à l’agriculture bio. Sans accompagnement ni stock suffisant d’engrais organiques sur l’île, les fermiers n’ont rien pu faire. Le pays a été confronté à des baisses de production, puis des pénuries, et enfin une flambée des prix.
RépondreSupprimerEn octobre 2021, Buddhi Marambe, professeur à la faculté d’agriculture de l’université de Peradeniya mettait en garde : « Sans s’appuyer sur des preuves scientifiques concrètes, et en appliquant cette réforme dans des temporalités trop courtes, l’agriculture biologique va droit dans le mur ». Ces propos lui ont valu d’être exclu de ce comité d’experts !
En Inde, le gouvernement a financé en 2004 un projet similaire dans la région de Sikkim. Ce reportage d’Arte est une apologie de la Bio, mais malgré les 13 années d’adaptation et autant de millions d’aides attribués par le gouvernement de cette région, qui représente 0,1 % des terres cultivables du pays, il y est reconnu que la production n’est pas suffisante pour nourrir la population. Au regard de ce reportage, on peut se demander combien d’écologistes accepteraient d’arracher les mauvaises herbes à la main, de mélanger la bouse de vache aux déchets végétaux pour faire du compost, et de l’urine de vache avec des orties pour « élaborer » de l’insecticide qu’il faut pulvériser tous les trois à cinq jours pour écarter les insectes. On y voit aussi les enfants de l’agriculteur gratter la terre à mains nues autour des plants de tomates… Difficile à extrapoler dans notre pays !
Restons pragmatiques…
Sans renier la vocation de l’agroécologie à limiter les risques éventuels liés à l’utilisation des engrais et produits chimiques en agriculture, il est nécessaire de prendre en compte la vocation première et principale de l’agriculture : avec le concours de l’eau et des éléments contenus dans la terre arable et du recyclage de la biomasse tirer de l’énergie solaire, produire une nourriture suffisante en quantité et en qualité pour nourrir les populations. La chimie, la génétique, la mécanisation ont boosté les rendements.
Les agriculteurs ont démontré depuis plus d’un demi-siècle leur faculté d’adaptation aux progrès techniques, agronomiques et sociétaux. Malgré la disparition des trois quarts d’entre eux, ils ont permis de faire face à l’augmentation des besoins alimentaires d’une population croissante et en même temps ont permis d’abaisser des deux tiers la part alimentaire dans le budget des ménages.
Si la majorité d’entre eux ne se précipitent pas vers la Bio, si certains qui ont tenté l’expérience abandonnent, c’est sans doute qu’il existe des raisons majeures que veulent ignorer l’idéologie écologiste et les décideurs politiques.
Dans un contexte économique de paupérisation générale, on ne peut demander à des consommateurs de payer plus cher des produits biologiques ou demander à des producteurs de baisser leurs rendements et augmenter la pénibilité de leur travail sans que ces efforts soient justement et équitablement rémunérés.
RépondreSupprimerUne obsession périlleuse
La volonté écologiste de supprimer toute pollution, réelle ou supposée, qui pourrait émaner de notre territoire conduit à des décisions très inquiétantes dont on mesure déjà l’étendue.
Pour protéger des centres-villes, on crée des ZFE qui interdisent au travailleur pauvre de prendre sa voiture exclue des normes, mais on tolère le gros SUV qui parcourt des milliers de kilomètres pour aller au ski ou à la plage…
Pour ne pas sentir la fiente de poule des élevages, on met une telle pression aux éleveurs que la production se délocalise et que près de 50 % de la viande de poulet que nous consommons est importée.
Pour protéger notre air, nos sols et les eaux qu’ils contiennent, on interdit aux agriculteurs des produits indispensables à la conduite rentable de leurs entreprises, mais on accepte des produits importés qui contiennent des résidus de ces produits interdits en France.
C’est ainsi qu’après les délocalisations des aciéries, des industries textiles, pharmaceutiques, automobiles, c’est maintenant la volonté agroécologique qui met en péril l’agriculture française. Ceci est gravissime, car la dépendance alimentaire est un danger majeur de déstabilisation sociale. Souvenons-nous des émeutes de la faim en 2008 dans de nombreux pays.
Ventre affamé n’a pas d’oreilles. Si la faim fait sortir le loup du3/ bois, elle pourrait faire sortir les Français de leur soumission.
https://www.contrepoints.org/2023/06/03/457500-lagroecologie-face-a-la-realite-entre-ideologie-et-difficultes
Les programmes 'bio' sont des programmes pour les cons, ou plutôt pour 'les nouveaux paysans', vous savez, ce qui viennent de la ville et s'installent à la campagne et veulent... créer ! innover ! faire à leurs idées ! révolutionner l'agriculture sans la connaître ! bref, des gros cons de 'parisiens' qui ne connaissent rien mais donnent conseils ! HAHAHAHAHA !
SupprimerL'Italie fait un pas vers les « techniques d'évolution assistée » – les nouvelles technologies génomiques
RépondreSupprimer3 Juin 2023
Publié dans #NGT
Les commissions réunies de l'industrie, du commerce et de l'agriculture du Sénat italien ont approuvé le 30 mai 2023 un article additionnel à l'article 9 du décret-loi sur la sécheresse autorisant les essais en plein champ de « techniques d'évolution assistée » (TEA).
On entend par « techniques d'évolution assistée » les nouvelles techniques génomiques selon un article de Wired qui fait référence au prix Nobel de Mmes Emmanuelle Charpentier et Jennifer Doudna). Mais il est difficile de déterminer la portée exacte de la notion. Quant au sort qui sera réservé à cet article qui, en France, aurait tout l'air d'un cavalier législatif...
Mais il s'agit d'une sorte de message, d'autant plus important que l'article a été adopté à l'unanimité, sans abstentions.
M. Luigi Cattivelli, directeur du Centre de Génomique et de Bio-informatique du CREA (Conseil pour la Recherche en Agriculture et Analyse de l'Économie Rurale) a déclaré :
« C'est un pas qui change la perception de l'innovation génétique dans le pays. Il y a encore quelques années, tout le monde aurait été contre l'innovation génétique et aurait plaidé pour un retour au passé. C'est la première fois qu'un acte formel et public, au lieu de la restreindre, la favorise. La législation européenne existait, avait été transposée, mais était bloquée ici. L'étape d'aujourd'hui sert à rendre enfin opérationnelle l'expérimentation des techniques d'évolution assistée, qui était potentiellement applicable, mais n'avait jamais été mise en œuvre, parce que plusieurs étapes de mise en œuvre manquaient entre les mains des régions ; par exemple, l'identification du terrain est manquante, ce qui rend la transposition effectivement nulle et non avenue. [Les raisons] tiennent au fait que personne ne voulait prendre la responsabilité de lancer un essai sur son propre territoire. »
Confagricoltura a publié un communiqué de presse, « L'approbation de l'amendement TEA est un grand pas en avant pour la recherche et l'agriculture. Il s'agit maintenant d'accélérer la proposition de règlement européen » :
« "L'approbation à l'unanimité de l'amendement au décret-loi "sécheresse" sur les techniques d'évolution assistée est un grand pas en avant pour la recherche scientifique et l'agriculture, mettant fin à une longue période d'obscurantisme technologique. Cependant, sans cadre européen, les TEA resteront à un niveau expérimental."
RépondreSupprimerC'est ce qu'a déclaré le président de la Confagricoltura, Massimiliano Giansanti, en commentant le feu vert unanime des commissions VIII et IX réunies du Sénat à la mesure autorisant l'expérimentation sur le terrain des techniques d'évolution assistée. "Nous remercions le sénateur De Carlo, premier signataire de l'amendement, mais aussi l'honorable Nevi et les parlementaires qui ont rendu cette avancée possible."
"Il faut maintenant travailler à la présentation de la proposition de règlement sur les techniques génomiques par la Commission Européenne, prévue pour la fin juin, et à son approbation ultérieure par le Parlement Européen et le Conseil dans les plus brefs délais, faute de quoi on risque de bloquer l'avancement du dossier, ajoute M. Giansanti. Tout dérapage bloquerait en effet la procédure d'adoption pour une année supplémentaire, compte tenu des élections européennes de 2024 pour le nouveau Parlement et de l'installation de la Commission."
Les techniques d'évolution assistée, ajoute la Confagricoltura, sont une réponse efficace à l'urgence climatique et à la demande alimentaire, permettant de réduire l'utilisation de pesticides et d'eau et de garantir la productivité nécessaire pour répondre à l'augmentation de la population.
L'état de l'art des TEA sera discuté à la Confagricoltura au Palazzo Della Valle le 7 juin, lors d'une conférence réunissant des personnalités du monde entier. »
Comme on le sait par ailleurs, le vice-président de la Commission Européenne a menacé de ne pas présenter le projet de règlement si les instances décisionnelles refusent d'adopter ses projets sur l'utilisation durable des pesticides (SUR) et la loi sur la restauration de la nature (NRL)...
https://seppi.over-blog.com/2023/06/l-italie-fait-un-pas-vers-les-techniques-d-evolution-assistee-les-nouvelles-technologies-genomiques.html
(...) Les techniques d'évolution assistée, ajoute la Confagricoltura, sont une réponse efficace à l'urgence climatique et à la demande alimentaire, permettant de réduire l'utilisation de pesticides et d'eau et de garantir la productivité nécessaire pour répondre à l'augmentation de la population. (...)
SupprimerLes chiens ne font pas des chats !
C'est TOUS LES JOURS (24h/24) qu'il y a DES millions de tonnes d'eaux douces (venues des fleuves & des rivières) qui se déversent en mers & océans (sans qu'elles ou ils ne montent !! Mais que fait la police ?). Et, des paysans sont en sécheresse ! (faute de ruisseaux qui amènent l'eau aux cultures !).
La réduction des pesticides (introuvables pour lutter contre les noctuelles & aleurodes qui ravagent les tomates !) propose un avenir heureux sans manger ! Whôaw !
*
Alors que la France 'fulminait' à 916 400 naissances en 1971 elle est passée à 723 000 en 2022*. Donc: il devrait y avoir beaucoup moins de monde sur les routes qu'il y a 50 ans ! (même si chaque enfant a sa voiture). Or, sur les routes... ce ne sont que camions, camions, voitures, camions ! et des super hyper marchés naissent chaque jour ! Çà alors !
La raison est qu'il y a x dizaines de millions d'étrangers (touristes ? NON ! 'réfugiés climatiques' !) . Idem aux States. (mais comment ses estrangers 'sans le sou' sont-ils arrivés ?!).
*https://www.insee.fr/fr/statistiques/6687000
2023 : 65 m
1971 : 51 m
1950 : 41 m
https://www.insee.fr/fr/statistiques/serie/000067670
De 2,9 naissances par couple en 1901, on passe à 1,76 en 2022 (1,66 en 1994/dégringolade à partir de 1975).
En 2016, 30,4 % des nouveau-nés en France métropolitaine ont au moins un parent né à l’étranger (22,4 % en 2000)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Démographie_de_la_France
Pour une Journée mondiale du lait saine et nutritive !
RépondreSupprimer3 Juin 2023
Brad Clark, Réseau Mondial d'Agriculteurs*
Les gens pensent parfois que les vaches de notre ferme laitière sont condamnées à une vie misérable dans de petites cellules de prison – jusqu'à ce qu'ils arrivent, regardent autour d'eux et apprennent la vérité sur ce que nous faisons ici dans le Wisconsin (frontière Nord Canada et Lac Michigan) rural.
L'élimination des mythes est l'une des principales raisons pour lesquelles nous accueillons des visiteurs sur notre lieu de travail très fréquenté. La semaine dernière, il s'agissait de 41 élèves de première année d'une école locale. Nous nous attendons à une plus grande affluence prochainement, à l'approche de la Journée mondiale du lait, qui aura lieu le 1er juin.
À mesure que les gens s'éloignent des réalités de l'agriculture, ils sont de moins en moins informés sur la production alimentaire et de plus en plus vulnérables à toutes sortes d'idées fausses ou de mensonges sensationnalistes sur les réseaux sociaux.
La réalité est bien différente de ce que beaucoup de gens croient.
Commençons par un fait simple et indiscutable : le lait est une boisson étonnante et nutritive. Je le préfère glacé dans un verre. D'autres l'apprécient dans des saveurs telles que le chocolat et la fraise. Beaucoup de gens le consomment avec des céréales pour le petit-déjeuner. Quelle que soit la manière dont vous appréciez cette boisson, elle est riche en calcium, en phosphore, en vitamines, etc., et constitue un élément essentiel d'un régime alimentaire sain.
Le lait est également polyvalent. Bien que notre exploitation familiale produise depuis longtemps du lait destiné à être consommé, la majeure partie de notre production actuelle est destinée à la fabrication de fromages et de yaourts.
Et c'est le résultat d'un travail acharné. Nous trayons nos vaches trois fois par jour, toutes les huit heures, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Nous ne nous arrêtons jamais, pas même la nuit, sauf pour désinfecter le matériel à la fin de chaque période de traite.
Le meilleur lait provient des meilleurs animaux, ce qui signifie qu'il faut les garder heureux, propres et en bonne santé. On ne peut pas se tromper en faisant ce qu'il faut, et c'est pourquoi nous produisons notre lait de haute qualité d'une manière saine.
Tout d'abord, nos vaches sont heureuses. Elles peuvent se promener dans l'étable, manger et boire quand elles le souhaitent. Elles aiment s'installer dans des stalles individuelles et s'allonger sur de confortables lits de sable. Elles vivent dans le luxe bovin. Nous gardons les adultes à l'intérieur, et c'est ce qu'ils choisiraient, tout comme vous préférez probablement vous détendre dans une maison climatisée plutôt que de souffrir sous le soleil brûlant de l'été.
La production alimentaire américaine a pris une tournure très dangereuse dans la mauvaise direction
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 02 JUIN 2023 - 20:00
Écrit par Michael Snyder via le blog The End of The American Dream,
Si les agriculteurs et les éleveurs ne produisent pas assez de nourriture, nous ne mangeons pas.
Nous devrions donc toujours être très reconnaissants envers nos agriculteurs et nos éleveurs qui travaillent dur. Malheureusement, des fermes et des ranchs partout aux États-Unis ont été frappés par une série de catastrophes au cours des derniers mois et, par conséquent, la production alimentaire s'est détériorée. Cela signifie-t-il donc que nous devrions nous attendre à ce qu'il y ait bientôt des pénuries de certains articles ? Malheureusement, il semble que ce soit probablement le cas. Par exemple, on rapporte qu'environ 90 pour cent de la récolte de pêches de la Géorgie pour cette année ont été détruits...
L'été approche à grands pas et en Géorgie, l'été est synonyme de pêches.
Mais les horticulteurs de l'Université de Géorgie affirment qu'environ 90 % de la récolte de l'État de Peach a été détruite par le mauvais temps et le 'réchauffement climatique'.
La dernière fois que les choses ont été aussi mauvaises, c'était en 1955, selon Lawton Pearson de Pearson Farm à Fort Valley, en Géorgie.
J'aime vraiment une bonne pêche.
Mais si vous voulez mordre à pleines dents dans des pêches fraîches dans les mois à venir, elles ne viendront pas de Géorgie…
Alors ne comptez pas enfoncer vos dents dans une pêche du Peach State de sitôt.
"Pas des pêches de Géorgie", dit Pearson. "Je ne pense pas que vous verrez des pêches de Géorgie dans l'épicerie."
Peut-être pensez-vous que nous allons simplement manger plus d'oranges à la place.
Malheureusement, on prévoit qu'une combinaison de facteurs entraînera une baisse de 56 % de la récolte d'oranges de Floride cette année…
L'industrie des agrumes de Floride a affiché sa pire récolte depuis 1937, ce qui devrait donner aux amateurs d'orange une pause au supermarché.
Les dommages causés par la saison des ouragans de 2022, combinés à l'impact de la maladie du verdissement des agrumes, ravagent la récolte d'oranges du Sunshine State.
Cela entraînera probablement une montée en flèche des prix des agrumes dans tout le pays, car les agriculteurs de Floride ont enregistré leur plus petite récolte d'oranges en 90 ans, selon le dernier rapport agricole de l'État.
J'avais prévenu que cette sécheresse sans fin causerait d'énormes problèmes pour la production alimentaire, et maintenant ce jour est arrivé.
RépondreSupprimerLa bonne nouvelle est qu'il n'y aura pas de famine aux États-Unis en 2023.
Nous aurons encore assez à manger.
Mais il ne fait aucun doute que les approvisionnements alimentaires se raréfient et que la famine a commencé à éclater dans bon nombre des régions les plus pauvres du globe.
Bien sûr, la nourriture n'est pas la seule chose qui manque.
On rapporte que les pénuries de médicaments aux États-Unis « approchent des niveaux record »…
Des milliers de patients sont confrontés à des retards dans l'obtention de traitements contre le cancer et d'autres maladies potentiellement mortelles, les pénuries de médicaments aux États-Unis approchant des niveaux records.
Les hôpitaux parcourent les étagères pour trouver des fournitures d'un médicament qui inverse l'empoisonnement au plomb et d'un liquide stérile nécessaire pour arrêter le cœur pour un pontage. Certains antibiotiques sont encore rares après la saison de la grippe hivernale lorsque les médecins et les patients ont frénétiquement chassé des médicaments pour des affections comme l'angine streptococcique. Même le Tylenol pour enfants était difficile à trouver.
Nous sommes en train de passer d'une ère d'abondance à une ère de pénurie.
Pour la plupart d'entre nous, aller au magasin et obtenir ce que nous voulons n'a jamais été un problème.
Mais aujourd'hui, les conditions changent rapidement et le monde entier est en concurrence pour des ressources en constante diminution.
Dans le même temps, la production alimentaire mondiale est touchée par la sécheresse, les maladies, les catastrophes naturelles et des conditions météorologiques incroyablement folles.
Comme je le détaille dans « La fin des temps », une grave famine mondiale est inévitable au cours de ce siècle. Quels que soient les choix que les dirigeants font maintenant, ce n'est qu'une question de temps avant que la demande mondiale de nourriture ne dépasse largement la production mondiale de nourriture.
La plupart d'entre vous qui lisez ceci vivent dans des pays riches, et les pays riches auront les ressources nécessaires pour acheter la plupart des aliments qui sont réellement produits.
Mais même si les pays les plus riches s'en tireront relativement mieux que les pays les plus pauvres, la vérité est que tout le monde en souffrira.
J'espère donc que vous vous préparez aux temps difficiles qui s'annoncent, car ils ébranleront profondément notre société.
https://www.zerohedge.com/political/us-food-production-has-taken-very-dangerous-turn-wrong-direction
Pouvoir d’achat : 6 Français sur 10 en quête de bons plans
RépondreSupprimerLes vents économiques contraires de 2023 modifient significativement les habitudes de consommation des Français. Inflation persistante, réduction du pouvoir d’achat, ces facteurs imposent de nouveaux choix de consommation pour la majorité des Français. Décryptons ensemble ce changement de comportement.
Par Paolo Garoscio
le 2 juin 2023 à 13h57
39 % des consommateurs optent plus fréquemment pour des produits de marques génériques.
Inflation et baisse du pouvoir d'achat : les catalyseurs du changement
L'étude de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) révèle une chute inévitable du pouvoir d'achat des Français en 2023. Les chiffres sont sans appel : une inflation à 5,2 % en 2022 contre 1,6 % en 2021 et une hausse significative des prix de l'énergie (+23,1 %) et de l'alimentation (+6,8 %). Ce contexte économique difficile est directement responsable de la transformation des habitudes de consommation chez 82 % des consommateurs français, dévoile de son côté GetApp.
La conséquence directe est une diminution de l'achat ou de l'utilisation de certaines catégories de produits et de services. Les secteurs les plus touchés sont notamment l'habillement (68 %), l'alimentation (67 %), les bars et restaurants (61 %), les factures domestiques liées à l'électricité, le gaz et l'eau (57 %), les produits de beauté (56 %), les divertissements et activités culturelles (56 %), le matériel électronique (54 %), les appareils ménagers (52 %) et les produits durables (50 %).
La recherche d'économies : un nouvel art de consommer
L'inflation et la baisse du pouvoir d'achat ont donné lieu à de nouvelles méthodes de consommation. Les consommateurs cherchent à maximiser leur budget en profitant des meilleures offres. En tête des solutions : la recherche de réductions, plébiscitée par 63% des consommateurs, selon GetApp qui a analysé les nouvelles habitudes de consommation dans le cadre de son étude sur les conséquences de l’inflation.
L'utilisation accrue de bons de réduction (50 %), une recherche et comparaison plus approfondie des prix et produits avant d'effectuer un achat (47 %), l'achat de produits d'occasion (30 %) et une inscription plus fréquente aux programmes de fidélité (26 %) figurent parmi les stratégies adoptées par les Français pour s'adapter à l'augmentation des prix. De plus, 68 % d'entre eux choisissent d'acheter des produits moins chers et 39 % optent plus fréquemment pour des produits de marques génériques.
La baisse du pouvoir d'achat change les modes de paiement
La crise économique actuelle a aussi influencé les choix de méthodes de paiement des Français. En effet, parmi ceux qui ont modifié leurs habitudes de consommation, 52 % ont également changé leurs méthodes de paiement. Parmi ces consommateurs, 20 % paient désormais plus souvent par carte de crédit, 15 % en espèces, 14 % avec des cartes de débit et 3 % avec des portefeuilles numériques.
Malgré ces adaptations, 92 % des personnes interrogées se disent "assez" ou "très" inquiètes face à la hausse des prix. Ces changements dans les habitudes de consommation sont certes un signe de résilience, mais également le reflet d'un sentiment d'inquiétude face à une situation économique difficile.
https://www.economiematin.fr/consommation-pouvoir-achat-argent-changement-habitude
"L'argent liquide est imprimé en liberté" - 530 000 Autrichiens ont exigé que le droit aux paiements en espèces soit ajouté à la Constitution, mais ils sont trahis, déclare le FPÖ
RépondreSupprimerUn monde sans argent liquide conduirait à des citoyens "financièrement incapables", affirme le Parti de la liberté d'Autriche (FPÖ)
Par John Cody
Recherche mondiale,
02 juin 2023
Après que 530 000 Autrichiens ont signé une pétition référendaire demandant que le droit aux paiements en espèces soit inscrit dans la constitution autrichienne en 2022, la classe politique autrichienne refuse d'aller de l'avant avec l'ajout de ce droit légal, prévient le Parti autrichien de la liberté (FPÖ).
« Nulle part ailleurs dans le monde, une vie quotidienne sans argent liquide n'est aussi clairement rejetée qu'en Autriche. Nous voyons ce désir justifié de la population, qui se reflète dans la pétition populaire "Pour un paiement en espèces sans restriction", comme un ordre de travail concret au parlement !", a déclaré le porte-parole des finances et du budget du Parti autrichien de la liberté (FPÖ) Hubert Fuchs lors d'une conférence de presse. un débat parlementaire.
Bien que le référendum ne soit pas contraignant, dans un pays de 8,9 millions d'habitants, le fait que plus d'un demi-million de personnes aient signé la pétition référendaire montre un large niveau de résistance contre la poussée des monnaies numériques promue par les banques centrales du monde entier et des institutions comme le Conseil économique mondial. Forum (WEF). Il s'agissait du 13e référendum le plus populaire de l'histoire du pays. Cependant, le Parti populaire autrichien (ÖVP) de centre droit, dont on dit depuis longtemps qu'il soutient le droit à l'argent, rejoint maintenant les partis de gauche autrichiens et bloque toute tentative d'ajouter ce droit à la constitution du pays.
Le FPÖ dit que "l'argent c'est la liberté" Fuchs considère le grand soutien à la pétition comme un mandat clair pour le Conseil national, qui est l'une des deux chambres du parlement autrichien.
« Les initiateurs et partisans de cette pétition ne veulent pas seulement des mots de remerciement. Il s'agit plutôt d'une demande concrète au Conseil national pour s'assurer que le gouvernement fédéral se ressaisisse enfin. Mais permettez-moi de signaler la commission des finances : notre motion pour la préservation des liquidités a de nouveau été rejetée par l'ÖVP. Il ne s'agit donc que de belles paroles et de belles paroles, alors que celles-ci ne sont pas suivies d'action », a déclaré Fuchs.
L'ÖVP tenterait de blâmer ses partenaires de la coalition, les Verts, mais le FPÖ rejette ces affirmations. Fuchs soutient que si "rien ne peut être avancé dans le pays (par la législation), on devrait revenir bientôt aux urnes - la république en serait grandement servie".
Le FPÖ, connu pour sa position contre les sanctions contre la Russie et ses appels à stopper l'immigration en construisant la « Forteresse Autriche », est actuellement le parti le plus populaire du pays , avec des sondages le plaçant à environ 27 %. Le parti, bien que conservateur, a une vision sceptique du capitalisme de marché libre débridé et soutient que le gouvernement doit se protéger contre les spéculateurs immobiliers et fournir de généreuses prestations en espèces pour encourager les Autrichiens à avoir plus d'enfants.
RépondreSupprimer- voir clip sur site -
Le parti a également fait du droit aux paiements en espèces une partie intégrante de sa plate-forme, arguant qu'ils garantissent l'absence de surveillance gouvernementale et protègent également les Autrichiens des banques et des établissements de cartes de crédit prédateurs.
« Nous, le Parti de la liberté, contrairement à tous les autres partis, militons déjà depuis des années pour la préservation de l'argent liquide ainsi que pour l'ancrage du droit aux paiements en espèces dans la constitution. Cela figurait également dans le programme gouvernemental ÖVP-FPÖ (du gouvernement précédent), mais n'a malheureusement plus pu être mis en œuvre. Et je me demande pourquoi, si tous les partis sont favorables à la préservation de l'argent liquide, en particulier le Parti populaire autrichien (ÖVP), ils n'ont pas déposé de motion à ce sujet aujourd'hui ? » demanda Fuchs. "Selon la situation juridique actuelle, il n'y a pas d'obligation réelle d'accepter de l'argent liquide. Les dispositions légales pertinentes doivent être renforcées ici.
Fuchs a également déclaré dans son discours que la mise en place d'un système financier où seules les monnaies numériques existent conduirait à une augmentation du blanchiment d'argent et du financement clandestin du terrorisme, car selon lui, les monnaies numériques et les cryptomonnaies sont un foyer de criminalité.
« Cette liberté de choix doit continuer d'exister à l'avenir. Cash est la protection des données en action. L'argent est la liberté imprimée. Et un autre aspect ne doit pas rester sous silence : sans argent, comment les enfants sont-ils censés apprendre à gérer l'argent et donc à faire des affaires ? L'argent à portée de main est très important pour les enfants. Mais ce n'est pas seulement important pour les enfants, mais aussi pour les adultes en termes de contrôle de leurs propres dépenses », a expliqué le porte-parole des finances et du budget du FPÖ.
Fuchs fait peut-être référence à la pratique de nombreux consommateurs qui reviennent aux espèces pour mieux contrôler leurs dépenses, ce qui est une tendance observée aux États-Unis cette année. Les experts affirment que l'utilisation d'espèces physiques au lieu de paiements électroniques aide les gens à mieux contrôler et suivre leurs dépenses.
RépondreSupprimerCependant, le FPÖ mentionne également une nouvelle étude Marketmind, qui montre que 48 % des femmes et 40 % des hommes en Autriche ne peuvent pas obtenir de carte de crédit en raison de leurs faibles revenus et dépendent donc de l'argent liquide.
« Ce n'est pas étonnant si l'on considère que dans notre pays, environ 17 % de la population doit être classée comme menacée de pauvreté. Ce n'est qu'une des nombreuses raisons pour lesquelles nous devons insister de toutes nos forces sur (le droit de) recevoir de l'argent liquide », a déclaré le porte-parole du FPÖ pour la protection des consommateurs, Peter Worm.
- voir clip sur site -
« Compte tenu du fait que plus de 530 000 citoyens ont signé le référendum intitulé 'Pour des paiements en espèces sans restriction', il est plus qu'opportun de reconnaître l'importance de la question. L'opposition unifiée de l'ÖVP, du SPÖ, des Verts et des NEOS parle haut et fort de la réception de l'argent, mais vote contre chacune de nos propositions visant à garantir que l'argent, y compris les pièces en cents et en euros ainsi que les billets sous leur forme actuelle, soit préservé et à ancrer l'argent en général dans notre constitution. Notre demande visant à établir une obligation constitutionnelle de contracter pour la circulation des biens et des services dans le cadre de l'acceptation de base des espèces comme moyen de paiement dans le système juridique autrichien a également échoué en raison des quatre parties », a expliqué Wurm.
«Mais nous, les libéraux, continuerons de nous conformer à la volonté des citoyens. L'argent est synonyme de survie, de liberté et d'autodétermination. Le citoyen transparent est déjà devenu une réalité dans une certaine mesure, et seul le fait de recevoir de l'argent sous une forme protégée par la Constitution peut empêcher que des choses encore pires ne se produisent », a souligné Wurm.
En Autriche, 50% de toutes les transactions sont encore effectuées en espèces, bien au-dessus de la moyenne européenne d'environ 30%. Les Allemands sont également contre les transactions numériques, avec seulement 9 % d'entre eux déclarant qu'ils utiliseraient les paiements mobiles.
Pourquoi protéger l'argent liquide ?
Comme Remix News l'a signalé précédemment , les organisations de protection de la vie privée et des droits civils défendent depuis longtemps le droit d'encaisser avec l'argument selon lequel la vie privée, les libertés civiles et la sécurité financière sont en jeu. L'abolition de l'argent liquide obligerait les citoyens à effectuer toutes les transactions via un support numérique, tel que les paiements mobiles, les cartes de crédit ou les devises numériques. Les banques et les médias électroniques restent vulnérables aux attaques de piratage et même aux catastrophes naturelles, par exemple, si le réseau électrique devait être mis hors service. L'Agence suédoise des contingences civiles, qui fait partie du ministère de la Justice, a averti dans un rapport qu'une société totalement sans numéraire serait extrêmement vulnérable si le pays était attaqué ou exposé à une catastrophe naturelle.
RépondreSupprimerPour les personnes soucieuses de la confidentialité, comme celles en Allemagne et en Autriche, les paiements numériques offrent aux forces de l'ordre et aux autorités gouvernementales une fenêtre directe sur toutes les transactions.
Plus inquiétant encore pour certains, la monnaie numérique pourrait un jour être liée aux comportements politiques et sociaux des pays occidentaux dans un système de crédit social, comme on le voit en Chine. Déjà, lors des manifestations des camionneurs « Freedom Convoy » contre les politiques de Covid-19 au Canada, le gouvernement de gauche de Justin Trudeau a pris la décision sans précédent de geler les comptes bancaires des manifestants. Bien que les groupes de liberté civile aient décrié l'action autoritaire comme un abus de pouvoir flagrant, de nombreux critiques craignent que l'action puisse désormais servir de modèle pour faire face aux manifestants et à la dissidence à l'avenir. Si les dissidents et ceux qui critiquent le gouvernement ne peuvent pas garder leur argent en dehors de l'espace numérique, ils n'auront nulle part où cacher leurs finances si les gouvernements, comme celui du Canada, prennent des mesures contre eux.
https://www.globalresearch.ca/cash-printed-freedom-530000-austrians-demanded-right-cash-payments-added-constitution-but-they-being-betrayed-says-fpo/5821145
Coup d'État mondial et la « grande réinitialisation ». Dette mondiale et « traitement de choc » néolibéral
RépondreSupprimerChapitre XII du livre électronique, The Worldwide Corona Crisis: Global Coup d'Etat Against Humanity
Par le Pr Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
02 juin 2023
"Le FMI, la Banque mondiale et les dirigeants mondiaux savaient très bien quel serait l'impact sur les pauvres du monde de la fermeture de l'économie mondiale par des blocages liés au COVID.
Pourtant, ils l'ont sanctionné et il y a maintenant la perspective que plus d'un quart de milliard de personnes supplémentaires dans le monde tomberont dans des niveaux de pauvreté extrêmes rien qu'en 2022. » ( Colin Todhunter , juillet 2022)
Histoire du « traitement de choc » économique. Du Programme d'Ajustement Structurel (PAS) à « l'Ajustement Global (AG) »
La fermeture (simultanée) des économies nationales d'environ 193 États membres de l'ONU le 11 mars 2020 est diabolique et sans précédent. Des millions de personnes ont perdu leur emploi et leurs économies de toute une vie. Dans les pays en développement, la pauvreté, la famine et le désespoir règnent. La fermeture des économies nationales a entraîné une spirale de la dette mondiale. De plus en plus, les gouvernements nationaux sont contrôlés par les créanciers, qui financent actuellement les filets de sécurité sociale, les renflouements des entreprises et les subventions.
Bien que ce modèle d'« intervention mondiale » soit sans précédent, il présente certaines caractéristiques qui rappellent les réformes macroéconomiques au niveau des pays, notamment l'imposition d'une « médecine économique » forte par le FMI. Pour aborder cette question, examinons l'histoire de ce qu'on appelle le « traitement de choc économique » ( un terme utilisé pour la première fois dans les années 1970 ). 1
Flashback au Chili, 11 septembre 1973
RépondreSupprimerEn tant que professeur invité à l'Université catholique du Chili, j'ai vécu le coup d'État militaire dirigé contre le gouvernement démocratiquement élu de Salvador Allende. Il s'agissait d'une opération de la CIA dirigée par le secrétaire d'État Henry Kissinger associée à des réformes macro-économiques dévastatrices.
Dans le mois suivant le coup d'État, le prix du pain est passé de 11 à 40 escudos du jour au lendemain. 2 Cet effondrement artificiel des salaires réels et de l'emploi sous la dictature de Pinochet a conduit à un processus d'appauvrissement à l'échelle nationale.
Alors que les prix des denrées alimentaires montaient en flèche, les salaires avaient été gelés pour assurer « la stabilité économique et conjurer les pressions inflationnistes ». Du jour au lendemain, tout un pays avait été précipité dans une misère abyssale ; en moins d'un an, le prix du pain au Chili a été multiplié par 36 et 85 % de la population chilienne est passée sous le seuil de pauvreté. C'était la « réinitialisation » du Chili en 1973.
Deux ans et demi plus tard, en 1976, je suis retourné en Amérique latine en tant que professeur invité à l'Université nationale de Cordoba, dans le cœur industriel du nord de l'Argentine. Mon séjour a coïncidé avec un autre coup d'État militaire en mars 1976.
Derrière les massacres et les violations des droits de l'homme, des réformes macro-économiques de « libre marché » avaient également été prescrites - cette fois sous la supervision des créanciers argentins de New York, dont David Rockefeller qui était un ami du ministre de l'Économie de la Junte José Alfredo Martinez de Hoz . 3
Association des anciens de Chase
Le Chili et l'Argentine étaient des « répétitions générales » pour les choses à venir. L'imposition du Programme d'ajustement structurel (PAS) du FMI et de la Banque mondiale a été imposée à plus de 100 pays à partir du début des années 1980 (voir Michel Chossudovsky, La mondialisation de la pauvreté et le nouvel ordre mondial , Global Research, 2003). 4
Exemple notoire de « marché libre » : le Pérou en août 1990 a été puni pour non-conformité aux diktats du FMI ; le prix du carburant a été augmenté de 31 fois et le prix du pain a augmenté de plus de 12 fois en une seule journée. 5 Ces réformes – menées au nom de la « démocratie » – ont été bien plus dévastatrices que celles appliquées au Chili et en Argentine sous le régime militaire.
RépondreSupprimerLe confinement de mars 2020. « Guerre économique »
Et maintenant, le 11 mars 2020, nous entrons dans une nouvelle phase de déstabilisation macro-économique, plus dévastatrice et destructrice que 40 ans de "traitement de choc" et de mesures d'austérité imposées par le FMI au nom des intérêts financiers dominants.
Il y a rupture, rupture historique et continuité. C'est du « néolibéralisme au nième degré » .
Fermeture de l'économie mondiale : impacts économiques et sociaux au niveau de la planète entière
Comparez ce qui arrive à l'économie mondiale aujourd'hui avec les mesures macro-économiques « négociées » pays par pays imposées par les créanciers dans le cadre du Programme d'ajustement structurel (PAS). L'« ajustement global » du 11 mars 2020 n'a pas été négocié avec les gouvernements nationaux. Il a été imposé par un "partenariat public-privé", soutenu par de la fausse science, soutenu par la propagande médiatique et accepté par des politiciens cooptés et corrompus.
Cliquez ici pour télécharger l'eBook complet .
Inégalités sociales et appauvrissement « artificiels ». La mondialisation de la pauvreté
Comparez les "lignes directrices" du 11 mars 2020 " Ajustement global " affectant la planète entière au Chili du 11 septembre 1973 .
Ironie du sort, les mêmes intérêts du Big Money à l'origine de « l'ajustement mondial » de 2020 étaient activement impliqués au Chili (1973) et en Argentine (1976). Souvenez-vous de « l'opération Condor » et de la « guerre sale » ( Guerra Sucia ).
Il y a continuité. Les mêmes intérêts financiers puissants, y compris les bureaucraties du FMI et de la Banque mondiale en liaison avec la Réserve fédérale, Wall Street, la Banque des règlements internationaux (BRI) et le Forum économique mondial (WEF) sont actuellement impliqués dans la préparation et la gestion de l'après-pandémie opérations de dette « nouvelle normalité » (au nom des créanciers) dans le cadre de la Grande réinitialisation.
Henry Kissinger a participé à la coordination de la « réinitialisation » du 11 septembre 1973 au Chili.
RépondreSupprimerL'année suivante (1974), il est chargé de la rédaction du « National Strategic Security Memorandum 200 (NSSM 200) qui identifie le dépeuplement comme « la plus haute priorité de la politique étrangère américaine envers le tiers monde ». 6
La poussée du « dépeuplement » sous la grande réinitialisation ?
Aujourd'hui, Henry Kissinger est un fervent partisan aux côtés de la Fondation Gates (elle aussi résolument engagée dans le dépeuplement) du Great Reset sous l'égide du Forum économique mondial (WEF) (voir chapitre XIII).
Nul besoin de négocier avec les gouvernements nationaux ni de procéder à un « changement de régime ». Le projet de confinement du 11 mars 2020 constitue un « Ajustement Global » qui déclenche des faillites, du chômage et des privatisations à une bien plus grande échelle affectant d'un seul coup les économies nationales de plus de 150 pays.
Et tout ce processus est présenté à l'opinion publique comme un moyen de lutter contre le « virus tueur » qui, selon les CDC et l'OMS, s'apparente à la grippe saisonnière (voir chapitre III).
La structure de pouvoir hégémonique du capitalisme mondial
Big Money, y compris les fondations milliardaires, en sont la force motrice. Il s'agit d'une alliance complexe entre Wall Street et l'establishment bancaire, les grands conglomérats pétroliers et énergétiques, les soi-disant «entrepreneurs de la défense», les grandes entreprises pharmaceutiques, les conglomérats biotechnologiques, les médias d'entreprise, les géants des télécommunications, des communications et de la technologie numérique, ainsi que un réseau de groupes de réflexion, de groupes de pression, de laboratoires de recherche, etc. La propriété intellectuelle joue également un rôle central.
Ce puissant réseau décisionnel digital-financier implique également de grandes institutions créancières et bancaires : la Réserve fédérale, la Banque centrale européenne (BCE), le FMI, la Banque mondiale, les banques régionales de développement et la Banque des règlements internationaux basée à Bâle. (BIS), qui joue un rôle stratégique clé.
Les entités financières de loin les plus puissantes sont les conglomérats géants de portefeuilles d'investissement, notamment Black Rock, Vanguard, State Street et Fidelity. Ils contrôlent :
« … un total combiné de 20 billions de dollars d'actifs gérés…. En comptant prudemment, un effet de levier quatre à cinq fois supérieur ( c'est-à-dire quelque 80 à 100 000 milliards de dollars américains) » . Ces puissants conglomérats financiers ont un effet de levier supérieur au PIB mondial qui est de l'ordre d'environ 82 000 milliards de dollars. 7
RépondreSupprimerÀ leur tour, les échelons supérieurs de l'appareil d'État américain (et les alliés occidentaux de Washington) sont directement ou indirectement impliqués, y compris le Pentagone, le renseignement américain (et ses laboratoires de recherche), les autorités sanitaires, la sécurité intérieure et le département d'État américain (y compris les États-Unis ambassades dans plus de 150 pays).
La "vraie économie" et le "Big Money"
Pourquoi ces politiques de confinement liées au COVID sont-elles le fer de lance de la faillite, de la pauvreté et du chômage ?
Le capitalisme mondial n'est pas monolithique. Il existe en effet « un conflit de classe » « entre les super riches et la grande majorité de la population mondiale ».
Mais il existe aussi une intense rivalité au sein du système capitaliste ; à savoir un conflit entre le "Big Money Capital" et ce que l'on pourrait qualifier de "Real Capitalism" qui consiste en des sociétés dans différents domaines d'activité productive aux niveaux national et régional. Il comprend également les petites et moyennes entreprises.
Ce qui est en cours est un processus de concentration de la richesse (et de contrôle des technologies de pointe) sans précédent dans l'histoire du monde, par lequel l'establishment financier (c'est-à-dire les créanciers de plusieurs milliards de dollars) est appelé à s'approprier les actifs réels des entreprises en faillite ainsi que de l'État. actifs.
L'« économie réelle » constitue « le paysage économique » de l'activité économique réelle : actifs productifs, agriculture, industrie, services, infrastructures économiques et sociales, investissement, emploi, etc. L'économie réelle aux niveaux mondial et national est visée par le confinement et fermeture de l'activité économique. Les institutions financières de Global Money sont les « créanciers » de l'économie réelle.
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Gouvernance mondiale : vers un État totalitaire
RépondreSupprimerLes individus et les organisations impliqués dans la simulation 201 du 18 octobre 2019 sont désormais impliqués dans la gestion effective de la crise une fois qu'elle est entrée en vigueur le 30 janvier 2020 dans le cadre de l'urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) de l'OMS, qui à son tour a fixé le scène de la crise financière de février 2020 et du confinement de mars (voir chapitre I).
Le confinement et la fermeture des économies nationales ont déclenché plusieurs vagues de chômage de masse couplées à la faillite artificielle (appliquée dans le monde entier) des petites et moyennes entreprises (voir chapitre IV).
Tout cela est mené par l'installation d'un État totalitaire mondial qui a l'intention de briser toutes les formes de protestation et de résistance.
Le programme de vaccination COVID (y compris le passeport numérique intégré et le QR Code ) fait partie intégrante d'un régime totalitaire mondial (voir chapitre VIII et chapitre XIII).
Qu'est-ce que l'infâme ID2020 ? Il s'agit d'une alliance de partenaires publics-privés, y compris des agences des Nations Unies et de la société civile. Il s'agit d'un programme d'identification électronique qui utilise la vaccination généralisée comme plate-forme d'identité numérique. Le programme exploite les opérations existantes d'enregistrement des naissances et de vaccination pour fournir aux nouveau-nés une identité numérique portable et persistante liée par biométrie. zones rouges, masques faciaux, distanciation sociale, confinement. ( Peter Koenig, 12 mars 2020) 8
"La grande réinitialisation"
Les mêmes puissants créanciers qui ont déclenché la crise mondiale de la dette COVID établissent désormais une « nouvelle normalité » qui consiste essentiellement à imposer ce que le Forum économique mondial décrit comme la « grande réinitialisation ».
En utilisant les verrouillages et les restrictions de COVID-19 pour accélérer cette transformation, la Grande Réinitialisation est déployée sous le couvert d'une "Quatrième Révolution Industrielle" dans laquelle les entreprises plus anciennes doivent être conduites à la faillite ou absorbées par des monopoles, fermant ainsi d'énormes sections de l'économie pré-COVID. Les économies sont en train d'être « restructurées » et de nombreux emplois seront assurés par des machines pilotées par l'IA.
Les chômeurs (et il y en aura beaucoup) seraient placés sur une sorte de revenu de base universel et verraient leurs dettes (l'endettement et la faillite à grande échelle sont le résultat délibéré des blocages et des restrictions) annulées en échange de la remise de leurs actifs au état ou plus précisément aux institutions financières contribuant à conduire ce Grand Reset . Le WEF affirme que le public « louera » tout ce dont il a besoin : retirer le droit de propriété sous prétexte de « consommation durable » et de « sauver la planète ». Bien sûr, la petite élite qui a déployé cette grande réinitialisation possédera tout. (Colin Todhunter, Dystopian Great Reset, 9 novembre 2020) 9
Appuyez sur le bouton de réinitialisation
RépondreSupprimerLa grande réinitialisation du Forum économique mondial a mis longtemps à se préparer. "Appuyez sur le bouton de réinitialisation" en vue de sauver l'économie mondiale a été annoncé par le président du WEF, Klaus Schwab , en janvier 2014, six ans avant l'assaut de la pandémie de COVID-19.
"Ce que nous voulons faire à Davos cette année [2014], c'est appuyer sur le bouton de réinitialisation, le monde est trop pris en mode crise."
Deux ans plus tard, dans une interview de 2016 avec la chaîne de télévision suisse francophone (RTS), Klaus Schwab a parlé de l'implantation de micropuces dans le corps humain, qui est essentiellement la base du vaccin «expérimental» contre l'ARNm du COVID.
"Ce que nous voyons est une sorte de fusion du monde physique, numérique et biologique", a déclaré Klaus Schwab.
Schwab a expliqué que les êtres humains recevront bientôt une puce qui sera implantée dans leur corps afin de fusionner avec le monde numérique.
RTS : « Quand cela arrivera-t-il ?
KS : « Certainement dans les dix prochaines années.
"On pourrait imaginer qu'on va les implanter dans notre cerveau ou dans notre peau."
"Et puis on peut imaginer qu'il y a une communication directe entre le cerveau et le monde numérique."
Cliquez ici pour regarder l'interview , Towards Digital Tyranny , avec Peter Koenig. Cliquez ici pour la version Bitchute .
Juin 2020. Le WEF annonce officiellement la grande réinitialisation
"La pandémie représente une fenêtre d'opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde afin de créer un avenir plus sain, plus équitable et plus prospère." -Klaus Schwab, WEF (juin 2020)
Ce qui est envisagé dans le cadre de « la grande réinitialisation » est un scénario dans lequel les créanciers mondiaux se seront appropriés d'ici 2030 la richesse mondiale tout en appauvrissant de larges secteurs de la population mondiale.
En 2030, "vous ne posséderez rien et vous serez heureux". ( Cliquez ici pour regarder la vidéo )
RépondreSupprimerLes Nations Unies : un instrument de gouvernance mondiale au nom d'un partenariat public-privé non élu
Le système des Nations Unies est également complice. Il a approuvé la «gouvernance mondiale» et la grande réinitialisation. Et le Vatican aussi.
Alors que le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, reconnaît à juste titre que la pandémie est "plus qu'une crise sanitaire", aucune analyse ou débat significatif sous les auspices de l'ONU sur les véritables causes de cette crise n'a été entrepris.
Selon un rapport de l'ONU de septembre 2020 :
« Des centaines de milliers de vies ont été perdues. La vie de milliards de personnes a été bouleversée. En plus des impacts sur la santé, le COVID-19 a exposé et exacerbé de profondes inégalités … Il nous a touchés en tant qu'individus, en tant que familles, communautés et sociétés. Elle a eu un impact sur toutes les générations, y compris sur celles qui ne sont pas encore nées. La crise a mis en évidence des fragilités au sein des nations et entre elles, ainsi que dans nos systèmes pour mettre en place une réponse mondiale coordonnée aux menaces partagées. ( Rapport de l'ONU ) 10
Les décisions de grande envergure qui ont provoqué la destruction sociale et économique dans le monde ne sont pas mentionnées. Pas de débat au Conseil de sécurité de l'ONU. Consensus entre les cinq membres permanents du CSNU.
V le virus est tenu pour responsable du processus de destruction économique.
Le projet de « partenariat public-privé » du Forum économique mondial intitulé « Reimagine and Reset Our World » a été approuvé par les Nations Unies.
Retour en arrière sur George Kennan et la doctrine Truman à la fin des années 1940. Kennan croyait que l'ONU offrait un moyen utile de « relier le pouvoir à la moralité », en utilisant la moralité comme un moyen d'approuver automatiquement les « guerres humanitaires » de l'Amérique.
La crise du COVID, les mesures de confinement et le vaccin ARNm sont l'aboutissement d'un processus historique.
Le confinement et la fermeture de l'économie mondiale sont des « armes de destruction massive » qui, au sens propre du terme, « détruisent la vie des gens ». Abondamment documenté, le vaccin à ARNm COVID-19 est mieux décrit comme un «vaccin tueur».
Nous avons affaire à de vastes « crimes contre l'humanité ».
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Le président Joe Biden et la « grande réinitialisation »
RépondreSupprimerJoe Biden est un politicien soigné, un mandataire de confiance, au service des intérêts de l'establishment financier.
N'oublions pas que Joe Biden était un fervent partisan de l'invasion de l'Irak au motif que Saddam Hussein « possédait des armes de destruction massive ». "Le peuple américain a été trompé dans cette guerre", a déclaré le sénateur Dick Durbin . Ne vous laissez plus tromper par Joe Biden. 11
Acronymes évolutifs : 9/11, GWOT, WMD et maintenant COVID. Biden a été récompensé pour avoir soutenu l'invasion de l'Irak.
Pendant la campagne électorale, Fox News a décrit Biden comme un « socialiste » qui menace le capitalisme ; "Le lien inquiétant de Joe Biden avec le mouvement socialiste 'Great Reset'".
Bien que ce soit un non-sens absolu, de nombreux « progressistes » et militants anti-guerre ont approuvé Joe Biden sans analyser les conséquences plus larges de la présidence de Biden.
"The Great Reset" est socialement source de division, c'est raciste. C'est un projet diabolique du capitalisme mondial. Elle constitue une menace pour la grande majorité des travailleurs américains ainsi que pour les petites et moyennes entreprises. Elle sape également plusieurs secteurs importants de l'économie capitaliste.
La présidence Biden et le confinement
En ce qui concerne le COVID, Biden est fermement déterminé à maintenir la fermeture partielle de l'économie américaine et de l'économie mondiale comme moyen de "combattre le virus tueur".
Le président Biden est un fervent partisan du confinement corona. Non seulement il approuve l'adoption de politiques de verrouillage fermes contre le COVID-19, mais son administration s'est engagée envers la «grande réinitialisation» du Forum économique mondial et le «passeport vaccin» en tant que partie intégrante de la politique étrangère américaine, à mettre en œuvre ou plus correctement «imposée». " mondial.
À son tour, l'administration Biden-Harris tentera de passer outre toutes les formes de résistance populaire au verrouillage du coronavirus.
Ce qui se déroule est une phase nouvelle et destructrice de l'impérialisme américain. C'est un projet totalitaire d'ingénierie économique et sociale, qui finit par détruire la vie des gens dans le monde entier. Ce «nouveau» programme néolibéral utilisant le confinement corona comme instrument d'oppression sociale a été approuvé par le président Biden et la direction du Parti démocrate.
La Maison Blanche Biden s'est engagée à mettre en place ce que David Rockefeller a appelé la «gouvernance mondiale».
Le mouvement de protestation
RépondreSupprimerIl convient de noter que le mouvement de protestation aux États-Unis contre le verrouillage est faible. En fait, il n'y a pas de mouvement de protestation national cohérent à la base. Pourquoi? Parce que les «forces progressistes», y compris les intellectuels de gauche, les dirigeants d'ONG, les dirigeants syndicaux et syndicaux - dont la plupart sont alignés sur le Parti démocrate - ont depuis le début soutenu le confinement. Et ils soutiennent également Joe Biden.
Ironie du sort, les militants anti-guerre ainsi que les détracteurs du néolibéralisme ont soutenu Joe Biden.
À moins qu'il n'y ait des protestations importantes et une résistance organisée, aux niveaux national et international, la Grande Réinitialisation sera intégrée aux programmes de politique étrangère nationale et américaine de l'administration Joe Biden-Kamala Harris.
C'est ce que vous appelez l'impérialisme à « visage humain ».
Où est le mouvement de protestation contre ce « partenariat public-privé » Corona non élu ?
Les mêmes fondations philanthropiques (Rockefeller, Ford, Soros, et al.) qui sont les architectes tacites du « Great Reset » et de la « Global Governance » sont également impliquées dans le financement (généreux) de l'activisme climatique, de l'Extinction Rebellion, du World Social Forum, Black Lives Matter, LGBT, et al.
Cela signifie que la base de ces mouvements sociaux est souvent induite en erreur et trahie par leurs dirigeants qui sont régulièrement cooptés et généreusement récompensés par une poignée de fondations d'entreprise.
Le Forum social mondial (FSM), qui célèbre son 21e anniversaire, rassemble des militants altermondialistes engagés du monde entier. Mais qui contrôle le FSM ? Dès le début en janvier 2001, il a été (initialement) financé par la Fondation Ford.
C'est ce que vous appelez « la dissidence fabriquée » (beaucoup plus insidieuse que le « consentement fabriqué » d'Herman-Chomsky).
L'objectif des élites financières « a été de fragmenter le mouvement populaire en une vaste mosaïque de « faites-le vous-même ». L'activisme a tendance à être fragmentaire. Il n'y a pas de mouvement intégré anti-mondialisation anti-guerre. (Michel Chossudovsky, Manufacturing Dissent , Global Research, 2010) 12
Selon les mots de McGeorge Bundy, président de la Fondation Ford (1966-1979) :
« Tout ce que la Fondation [Ford] a fait pourrait être considéré comme « rendre le monde sûr pour le capitalisme », réduire les tensions sociales en aidant à réconforter les affligés, fournir des soupapes de sécurité pour les en colère et améliorer le fonctionnement du gouvernement. 13
RépondreSupprimerLe mouvement de protestation contre la Grande Réinitialisation qui constitue un « coup d'État mondial » nécessite un processus de mobilisation mondiale :
« Il ne peut y avoir de mouvement de masse significatif lorsque la dissidence est généreusement financée par ces mêmes intérêts corporatifs [WEF, Gates, Ford, et al.] qui sont la cible du mouvement de protestation ». 14
*
Remarques
1 Michel Chossudovsky, avril-juin 1975. Hacia El Nuevo Modelo Económico Chileno Inflación Y Redistribución Del Ingreso. https://www.jstor.org/stable/20856482?refreqid=excelsior%3A9228243fa26a81bb3c2b0c2d58094922&seq=1
2 Idem.
3 Michel Chossudovsky, 16 avril 1977. Violence légitimée et politique économique en Argentine. https://www.jstor.org/stable/4365500?seq=1
4 Prof Michel Chossudovsky, 3 juin 2020. Comprendre la mondialisation de la pauvreté et le nouvel ordre mondial. https://www.globalresearch.ca/understand-the-globalization-of-poverty-and-the-new-world-order/25371
5 Idem.
6 Conseil de sécurité nationale, 10 décembre 1974. Implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité des États-Unis et les intérêts étrangers (LE RAPPORT KISSINGER). https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/PCAAB500.pdf
7 Peter Koenig, 22 janvier 2022. La crise du COVID-Omicron : la feuille de route vers un krach financier mondial, l'inflation, la numérisation. https://www.globalresearch.ca/covid-omicron-is-killing-christmas-and-beyond-financial-crash-inflation-digitization/5765170
8 Peter Keonig, 12 mars 2020. Le vaccin contre le coronavirus : le vrai danger est « Agenda ID2020 ». La vaccination comme plate-forme pour «l'identité numérique». https://www.globalresearch.ca/coronavirus-causes-effects-real-danger-agenda-id2020/5706153
9 Colin Todhunter, 9 novembre 2020. « Great Reset » dystopique : « Ne rien posséder et être heureux », Être humain en 2030. https://www.globalresearch.ca/own-nothing-happy-being-human-2030/ 5728960
10 ONU, septembre 2020. Réponse globale des Nations Unies à la COVID-19. https://www.un.org/sites/un2.un.org/files/un-comprehensive-response-to-covid-19.pdf
11 Mark Weisbrot, 17 février 2020. VAUT-IL LE PRIX ? Joe Biden et le lancement de la guerre en Irak (narré par Danny Glover). https://www.youtube.com/watch?v=vhcuei8_UJM
RépondreSupprimer12 Prof Michel Chossudovsky, 20 septembre 2010. « Fabrication de la dissidence » : Le mouvement anti-mondialisation est financé par les élites patronales. https://www.globalresearch.ca/manufacturing-dissent-the-anti-globalization-movement-is-funded-by-the-corporate-elites/21110
13 Idem.
14 Idem.
https://www.globalresearch.ca/global-coup-detat-great-reset-global-debt-neoliberal-shock-treatment/5820780
La couverture des "actualités" sur le changement climatique est ACHETÉ avec des subventions qui financent les médias d'entreprise - tout comme la façon dont Pfizer paie pour les FAKE NEWS faisant la promotion des piqûres de COVID
RépondreSupprimerJeudi 01 juin 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) L'Associated Press (AP) a publié dernièrement beaucoup de propagande élogieuse sur le changement climatique, y compris des approbations pour ce qu'elle décrit comme «l'environnementalisme du casque de Joe Biden». Il s'avère que l'AP est payé par l'industrie climatique pour colporter de telles tripes, un peu comme la façon dont Pfizer paie pour de faux segments d'information faisant la promotion des «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
The Federalist a récemment mené une analyse qui examine spécifiquement les articles de l'AP sur le «changement climatique», le «réchauffement climatique» et la «catastrophe climatique». De telles histoires se comptent par centaines, et rien qu'en 2022, l'AP a reçu 8 millions de dollars en "subventions" pour la faveur.
Tout cet argent va directement dans la soi-disant "initiative de journalisme climatique" de l'AP, qui vise à employer 20 nouveaux journalistes dont le travail sera de "transformer la façon dont l'AP couvre l'histoire du climat". Ces journalistes présumés ont-ils inventé l'expression «l'environnementalisme du casque de Biden», nous demandons-nous?
Dans un autre lavage de cerveau climatique de l’AP, les journalistes ont mentionné l’ancien haut conseiller de Clinton, John Podesta, qui est cité à plusieurs reprises comme supervisant la loi sur la réduction de l’inflation du régime Biden et les 369 milliards de dollars qui ont été alloués aux efforts du régime en matière d’énergie verte.
Nulle part dans le rapport de l'AP, il n'est mentionné une seule fois que Podesta a une histoire politique douteuse et sournoise, ayant été surnommé le "chef du nettoyage de la Maison Blanche" pendant les années corrompues de Clinton.
"En tant que service de presse, le changement de marque du casque de sécurité de l'AP apparaîtra dans des milliers de journaux à travers le monde en tant que nouvelles", écrit Larry Behrens du Federalist. "Nous ne savons pas si les millions que l'AP a reçus pour la couverture climatique ont joué un rôle pour aider Biden à renommer sa politique énergétique, et c'est précisément le but."
(En relation: Selon Robert F. Kennedy Jr., candidat à la présidence, les «méga milliardaires» sont à l'origine de l'arnaque au changement climatique et de la tyrannie qu'elle nous impose à tous.)
Alors qu'ils mettent en faillite les journaux locaux, la machine climatique remplace ses journalistes par de nouveaux propagandistes du climat
RépondreSupprimerAlors que le monde s'enfonce dans l'abîme de l'ère numérique, les journaux locaux du monde entier luttent pour survivre ou sont déjà en faillite. Et prêts à les remplacer, les hordes de propagandistes du climat sont embauchés par des gens comme l'AP et financés par le gouvernement fédéral avec l'argent de vos impôts.
C'est un stratagème sournois qui a mis du temps à venir, et le plan a toujours été d'éliminer tous les reportages véridiques en privant les médias indépendants de financement. Une fois anéantie, la brigade climatique attend pour reconstruire à partir de ses cendres une nouvelle machine de propagande centrée sur le "vert", ce qu'elle fait maintenant dans tout le pays et dans le monde.
"Ce n'est un secret pour personne que dans tout le pays, en particulier dans les zones rurales, les journaux luttent pour survivre", explique Behrens.
"Il n'est pas rare d'entrer dans un journal d'une petite ville et de trouver une personne couvrant ce qui était auparavant deux ou même trois postes différents à temps plein. La gauche écologiste a reconnu cette lutte et fournit maintenant de l'argent et une rééducation des journalistes pour combler le vide avec sa propre version de l'information.
Un exemple récent de cela est le Poynter Institute, reconnu à l'échelle nationale, qui a offert des subventions de 15 000 $ aux journalistes ou aux salles de rédaction souhaitant couvrir la région des Grands Lacs en Amérique du Nord - mais avec un hic. Pour être éligibles, les bénéficiaires potentiels doivent fournir à Poynter "une brève description de ce qu'ils vont sonder, pourquoi ils pensent qu'il y a une histoire à raconter et comment ils prévoient de rapporter l'histoire".
En d'autres termes, afin d'obtenir cet argent doux et doux, un journaliste ou une salle de rédaction doit rapporter comme Poynter l'attend : avec un penchant pro-climat qui accélère la "vertisation" de la planète.
Soit dit en passant, le Poynter Institute reçoit un «soutien financier» de la Fondation Joyce, qui, selon des documents déposés auprès de l'IRS, est financée par Bloomberg Philanthropies, une idée originale du milliardaire chéri du climat Michael Bloomberg.
Les dernières nouvelles sur le changement climatique et le réchauffement climatique sont disponibles sur GreenTyranny.news.
Les sources comprennent :
LeFédéraliste.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-06-01-climate-news-bought-grants-media-corruption-fraud.html
Le pic ESG est derrière nous : les investisseurs jettent des fantasmes climatiques sur Exxon et Chevron
RépondreSupprimerPar Jo Nova
June 3rd, 2023
Presque toutes les propositions des militants pour le climat ont été annulées :
Comment les temps ont changé. Après la crise énergétique de 2022, les investisseurs des grandes entreprises pétrolières et gazières rejettent l'activisme climatique. Il y a un an, près d'un tiers des investisseurs de Chevron et d'Exxon ont voté pour les objectifs d'émissions draconiens du « Scope 3 ». Ces objectifs sont ridicules – obligeant les géants pétroliers et gaziers à adopter un plan pour réduire l'utilisation par des tiers de leurs propres produits. C'est comme une forme de sabotage d'entreprise.
Cette année, seulement 10 % environ des mêmes investisseurs ont voté pour ces mesures. Et apparemment, il y a une tendance similaire de l'autre côté de l'Atlantique avec les investisseurs de BP et de Shell qui rejettent également l'activisme.
C'est un signe très encourageant que la domination de BlackRock et al est en train de décliner - ils intimident le monde avec l'argent des autres, et la nouvelle se répand alors que les États américains ripostent.
ESG Blowback : les investisseurs rejettent les mesures climatiques chez Exxon et Chevron
Par Collin Eaton et Jenny Strasburg, The Wall Street Journal
Les votes ont été abyssaux pour les militants du climat. Selon les résultats préliminaires, toutes les 20 propositions d'actionnaires des deux sociétés, sauf deux, ont recueilli moins de 25% des votes des investisseurs, certaines ayant obtenu des résultats bien pires que des propositions similaires présentées l'année dernière.
Ces dernières semaines, des propositions climatiques similaires n'ont pas réussi à convaincre la plupart des actionnaires lors des assemblées annuelles des géants pétroliers et gaziers britanniques BP et Shell à Londres.
C'est toujours dingue que 10 % des investisseurs pétroliers votent pour un plan visant à empêcher leurs clients d'utiliser leur propre produit, mais si ces 10% étaient BlackRock et Vanguard, les géants de la gestion d'actifs financiers eux-mêmes, alors ils ont d'autres moyens de profiter de ces votes.
Le sort ESG est rompu :
Mais les votes de mercredi ont montré comment certains actionnaires ont reculé pour pousser les grandes compagnies pétrolières à adopter certains objectifs climatiques. Les investisseurs ont déclaré que de nombreuses voix poussant les mesures ESG ont été étouffées à la suite de la guerre de la Russie en Ukraine, qui a fait monter en flèche les prix du pétrole et du gaz alors que les approvisionnements mondiaux étaient réduits.
Les investissements dans les combustibles fossiles ont poussé de nombreuses sociétés pétrolières à enregistrer des bénéfices l'an dernier, ce qui a attiré certains investisseurs qui avaient fui après des années de maigres rendements de l'industrie. Le directeur général d'Exxon, Darren Woods, a déclaré mercredi que la société avait bénéficié d'investissements dans les combustibles fossiles lorsque d'autres se sont retirés.
Mais Woods et d'autres dirigeants de l'industrie ont fait valoir que certaines propositions liées au climat se retourneraient contre elles ou aggraveraient la situation économique. Woods a déclaré que plusieurs propositions rejetées mercredi auraient obligé l'entreprise à supposer que le monde réduirait les émissions de carbone à un rythme beaucoup plus rapide que ne l'avaient prévu les observateurs.
RépondreSupprimer"Certains [iraient] jusqu'à nous forcer à réduire le développement du pétrole et du gaz", a-t-il déclaré. "Cela ne ferait rien pour réduire la demande mondiale."
C'est un bon signe que le marché libre n'est pas encore mort.
_________
ESG Signifie : enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance d'entreprise.
https://joannenova.com.au/2023/06/peak-esg-is-behind-us-investors-throw-out-climate-fantasies-at-exxon-and-chevron/
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