Bassines : les dégâts des zozos (une petite revue de presse)
14 Novembre 2021
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Un « démontage » ou une « neutralisation » ? Non du vandalisme
Les faits ont été rapportés dans les médias, brut de décoffrage, sans mise en perspective.
Le samedi 6 novembre 2021, près (ou plus) de 2.000 personnes ont manifesté contre les « bassines », sur la commune de Mauzé-sur-le-Mignon, près de Niort, à l’appel du collectif « Bassines non merci ! », de la Confédération paysanne, et du mouvement « Les Soulèvements de la terre ».
Les « bassines » sont des réserves d'eau creusées et étanchéifiées par des bâches, alimentées par les eaux de pluie et, selon la configuration, par les eaux de ruissellement ou d'une rivière, ou par pompage dans la nappe phréatique quand elle est bien pourvue. Elles servent à l'irrigation – évidemment quand la situation hydrique est mauvaise et que les plantes ont besoin d'eau, mais aussi à d'autres fins comme le soutien de l'étiage d'une rivière ou l'alimentation en eau douce de bassins ostréicoles.
En fin de journée, les manifestants se sont dirigés vers la bassine de Cramchaban en Charente-Maritime. « Des dégradations ont été commises sur les bâches. Elles ont été découpées puis incendiées » note benoîtement Ouest-France, qui a couvert l'ensemble de l'événement et a titré néanmoins : « ...trois gendarmes blessés et une retenue d’eau saccagée. » Les dégâts sont considérables et ont été chiffrés à plus de 450.000 euros.
France Bleu rapporte dans « Des militants anti-bassines vident et dégradent une retenue d'eau à Cram-Chaban en Charente-Maritime » : « Des pompes ont été déconnectées et emportées par les manifestants ». En langage pénal, cela s'appelle : « volées »
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Des réactions « officielles » bien timides
Le préfet des Deux-Sèvres a fait publier un communiqué de presse fort mollasson. Le chargé de la sécurité et de l'ordre public « condamne ce recours unilatéral (sic !) à la violence et souhaite un retour rapide au calme » ! Celui de Charente-Maritime avait apparemment piscine.
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Comment, dans ces circonstances, les manifestants et surtout délinquants ne pourraient-ils pas se prévaloir d'une sorte de garantie d'impunité ? La question se pose aussi, du reste, pour les « faucheurs volontaires » dont la dernière action a été décrite – de manière complaisante – comme suit par France 3-Régions : « OGM : des faucheurs volontaires mènent une "inspection citoyenne" chez RAGT à Calmont dans l'Aveyron ».
Les journaleux ont-ils conscience du fait qu'en diffusant de tels messages, ils banalisent ce genre de délinquance ? (Source)
Ce qu'en a rapporté M. Claude Tabel, président du directoire de RAGT, et Terre-Net est un peu différent :
Mais revenons aux bassines. Ce n'est qu'un gazouillis, me dire-vous, que ce « No bassaran, ni ici ailleurs, ni aujourd'hui ni demain », de M. Nicolas Girod, porte-parole de la Confédération Paysanne ? Il signe au contraire une radicalisation.
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Et que répond M. Julien Denormandie, Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation ?
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« Je condamne avec la plus grande fermeté ces dégradations. Justice devra être rendue. Rien ne justifie de telles dégradations. »
C'est un peu beaucoup léger de la part du gouvernement. On peut visiter le fil de ce gazouillis de M. Julien Denormandie pour prendre la mesure de l'incompréhension des enjeux de l'irrigation sur ce réseau social et, par voie de conséquence, de l'importance d'un réel effort de pédagogie.
Ce parti aspire à gouverner !
Prenons-le d'Ouest-France : « Deux-Sèvres. EELV justifie le saccage de la réserve d’eau de Cramchaban ». En chapô :
« Dans un communiqué diffusé ce mardi 9 novembre, EELV Poitou-Charentes déclare soutenir "sans réserve" l’acte de "désobéissance civile réalisé à visage découvert et devant témoins" samedi 6 novembre à Cramchaban. »
La bassine de Cramchaban fait l'objet d'un bras-de-fer judiciaire qui n'est pas encore terminé. Ce fil de M. Clément Barraud nous semble faire un point objectif. Il demeure cependant que des manifestants se sont livrés à des actes de vandalisme et qu'un parti qui aspire à gouverner la France, après en avoir conquis la présidence, cautionne ces actes.
Notons que l'opposition aux bassines par la voie judiciaire est le fait de Nature Environnement 17.
Reporterre, dans l'article mis en lien ci-dessus, rapporte, le nœud du litige semblant être une étude d'impact mal fichue et incomplète :
« […] Ainsi, au bout de douze ans de procédure, les cinq réserves devraient se retrouver sans autorisation. Sauf qu’elles sont déjà construites, sauf que les millions d’argent public ont déjà été dépensés, sauf qu’elles ont déjà prélevé quantité d’eau dans la nappe — elles ont une capacité totale de 1,5 million de mètres cubes. Alors, que faire ? "On ne demande pas nécessairement leur démolition, explique Patrick Picaud, car maintenant qu’elles existent, autant les utiliser, mais dans de bonnes conditions, avec un vrai encadrement, en concertation avec tous les acteurs du territoire." »
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L'eurodéputé Benoît Biteau justifie aussi une « neutralisation » – un vocabulaire qui suscite des souvenirs – de la bassine de Cramchaban avec un mille-feuille argumentatif qui tient du gloubi-boulga.
Joint par Reporterre, « l’eurodéputé Benoît Biteau ne décolère pas. » :
« […] face à ces passages en force, la désobéissance civile reste la seule solution : "Quand on a des équipements dans l’illégalité la plus complète, quand les décisions de justice ne sont pas respectées, quand l’État ne fait rien, on a quoi comme autre solution pour se faire entendre ?" »
Il est vrai que le niveau de tolérance de M. Benoît Biteau est particulièrement bas. Mais la procédure judiciaire suit son cours...
Vachement au courant sur le statut de l'eau (source) !
Le candidat à la présidence de la République Yannick Jadot ne semble pas s'être exprimé sur les événements du samedi 6 novembre. Il a toutefois été un fervent soutien des opposants aux bassines – sans doute bassiné (aussi) par M. Benoît Biteau – et a participé à des manifestations.
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Des « paysan.ne.s » se réjouissent de la destruction de moyens de production agricole
Prenons-le du communiqué de presse de la Confédération Paysanne. D'abord, l'« exploit » :
« Les manifestant.e.s ont ensuite collectivement investi le site d'une méga-bassine illégale de 5 hectares (180 000 m3), et ce malgré un fort dispositif policier. Les anti-bassines ont dû couper à travers champs, échapper aux gazs lacrymogènes et aux coups de matraque, traverser à pied un cours d'eau et passer plusieurs barrages de police mais ont finalement pu entrer sur le site de la "bassine de la honte", une bassine qui avait déjà fait l'objet de 5 condamnations par la justice.
La pompe qui alimente la bassine et puise directement dans la nappe phréatique a été démontée par des paysan.ne.s et emmenée. Une fois la foule montée sur le talus de la bassine, un débâchage a été effectué pour la mettre hors d'état de nuire. La bassine a ainsi été vidée et l'eau rendue à la nappe ! »
Pour rappel : les procédures judiciaires suivent leur cours. Delon Reporterre :
« En novembre 2020, la cour administrative de Bordeaux a ainsi demandé aux agriculteurs de régulariser cette étude, faute de quoi ces réserves ne pourraient plus être utilisées. Le 4 novembre dernier, au terme d’une nouvelle enquête publique, rebelote : la commissaire enquêtrice donnait un avis défavorable au projet de mégabassines. C’est à présent à la cour d’appel de Bordeaux de statuer. »
Le langage se fait va-t-en-guerre et belliqueux :
« Pour Nicolas Girod, porte-parole de la Confédération paysanne, c'est "une pleine et éclatante victoire, une démonstration de force que nous sommes un mouvement populaire, nombreux à nous battre pour un territoire dynamique et un projet de société juste socialement et écologiquement".
Nous prévenons les porteurs de ces projets de bassines : notre détermination à nous battre pour un partage juste de la ressource en eau reste sans faille et il est temps pour vous d'abandonner vos projets, sans quoi nous reviendrons ! A Mauzé comme ailleurs, nous continuerons à faire valoir que l'eau est un commun et que les sols ne doivent plus être empoisonnés. NO BASSARAN ! »
Revenir sur terre avec M. Armand Paquereau
Avant cela, voici encore « Deux-Sèvres : tout comprendre à la querelle des bassines », un article de mai 2018 de la Nouvelle République qui fait un point de la situation, évidemment vieux de maintenant plus de trois (et il en est coulé de l'eau...).
Dans Contrepoints, « Guerre des bassines : un besoin vital pour les agriculteurs menacés », M. Armand Paquereau, agriculteur à la retraite et notamment auteur de « Cultiver la terre de Charentes » édité en 2010 par Le Croît Vif, fait un point sur ce qu'il convient d'appeler « la guerre de l'eau ». Il aborde plusieurs thématiques et en déborde, si l'on peut dire, sur Sivens, Caussade et la régulation du débit de la Seine (lire : la protection de Paris contre les inondations).
Non pas la guerre que se livrent certains pays dans le monde pour s'accaparer ou récupérer de l'eau nécessaire à l'irrigation, donc à l'agriculture, donc à la souveraineté et la sécurité alimentaires (au moins partielles) ; mais celle menée par des gens qui veulent empêcher une utilisation efficace de l'eau aux fins précitées.
Retenons ceci :
« Le slogan "L’eau de l’hiver pour l’été" n’est pas une vue de l’esprit : il n’existe aucun gaspillage de la ressource.
L’exemple en Charente des retenues de Lavaud (7,8 millions m3) mis en eau en 1989 et de Mas Chaban (14,2 millions m3) mis en eau en 2000 prouvent non seulement qu’ils ne grèvent pas la ressource en eau, mais qu’ils limitent les crues lors de leur remplissage, évitant la pollution des parcs ostréicoles par les débordements de certaines stations d’épuration entraînés par le flux de la Charente. Outre l’irrigation, ils permettent d’alimenter l’étiage du fleuve et d’apporter un complément d’eau douce aux mêmes parcs maritimes à une période cruciale.
L’inauguration le 26 juin 1990 du lac réservoir Aube par Jacques Toubon refermait le dossier né dans les années 1920 des 5 lacs réservoirs achevés (Orient-Temple-Amance-Der-Pannecières) assurant désormais pleinement la régulation de la Seine, de l’Aube, de la Marne et de l’Yonne.
Cette lutte de 70 ans témoigne de l’acharnement de certains à s’opposer à ce qui est désormais considéré comme une formidable avancée technologique, économique et sociale. »
Terre de Touraine se trompe peut-être de titre
M. Jean-Yves Chauveau reste scotché sur les bassines avec « Gestion de l'eau : l’Etat, casque bleu des bassines ».
Le chapô est un résumé :
« Les dix-neuf réserves de substitution des Deux-Sèvres, attaquées par les opposants radicaux, sont le fruit d’une longue concertation validée par les ONG. »
Par « ONG », il semble qu'il faille essentiellement entendre France Nature Environnement (FNE) locale :
« ATTITUDE RESPONSABLE DES ONG
Thierry Baudoud, responsable de la "Coop de l’eau" – société coopérative anonyme de l’eau des Deux-Sèvres qui regroupe 450 irrigants –, explique que depuis le lancement du dossier "nous marchons sur deux pieds : le dialogue et la légalité, avec l’Etat garant des bonnes règles".
François Pellerin, hydrogéologue de formation, est la cheville ouvrière pour la FNE locale. "Le pour ou contre n’est pas la bonne façon de poser la question de la gestion de l’usage agricole de l’eau, dont on aura toujours besoin". Il dit" adhérer à la vision globale de la FNE qui est réticente aux réserves", mais resitue la position de l’association dans le contexte local avec une participation directe des ONG à l’organisme unique de gestion des eaux et la gouvernance du système. Pour lui, le fait de "prendre le risque de la concertation doit avoir en contrepartie un engagement des producteurs dans des pratiques agro-environnementales." Les opposants, après la concertation, ont joué le jeu de la démocratie et du factuel et, une fois l’accord trouvé, ont retiré leur action en contentieux au tribunal administratif. »
Mais il reste d'irréductibles Gaulois, associés à une mouvance (prétendument) syndicale qui s'oppose frontalement à des modèles (non pas un) d'agriculture qui font le pari de la modernité et de l'efficacité...
Et, s'agissant de l'État, il n'est pas sûr qu'il jouera le rôle de casque bleu et ne se déculottera pas comme à Sivens. On peut aussi poser la question de la justice administrative et pénale (voir notamment ci-dessus pour les « faucheurs »).
Mme Emmanuelle Ducros explique « les dessous de la guerre de l’eau »...
(Source)
« Agriculture: les dessous de la guerre de l’eau », publié par l'Opinion le 9 novembre 2021 sous la plume de Mme Emmanuelle Ducros, a un chapô sujet à question :
« Des opposants au stockage ont détruit, ce week-end dans les Deux-Sèvres, un bassin de rétention à usage agricole, pourtant totalement légal. »
Comme on l'a vu plus haut, les opposants n'ont pas relâché la pression et la justice administrative continue de statuer sur des reproches faits il y a plus d'une décennie à propos de l'étude d'impact.
Reprenons ici deux paragraphes, l'un spécifique aux bassines et l'autre plus général sur la vision de notre système socio-économique :
« "On voit des élus promouvoir l’incivilité, se fâche Eric Frétillère [président d’Irrigants de France]. J’espère que l’Etat va réagir. Les saboteurs ont agi à visage découvert, postant sur les réseaux sociaux des photos d’eux buvant des bières devant les incendies." Ce stockage avait pourtant été négocié dans les règles avec toutes les parties prenantes, y compris les associations écologistes. "Toutes ont signé. Tout est légal. Il y a un engagement environnemental fort, raisonné, avec la plantation de haies, une variété de production, du maïs au maraîchage bio, ajoute Eric Frétillère. Un projet d’agriculture pour demain, productive et de grande qualité. Ce qu’il faut face au changement climatique, car si on ne prévoit pas d’adaptation, cette région deviendra un désert agricole." »
[…]
Abcès de fixation. Ce dossier illustre le caractère polémique du sujet de l’eau à usage agricole. Un abcès de fixation, matérialisant la frontière entre les tenants d’une agriculture modernisée et des militants anticapitalistes qui voient dans la gestion de la ressource "la main des lobbies de l’agriculture industrielle". Régulièrement, des installations sont dégradées. On se souvient de la ZAD qui s’était installée autour du projet de retenue collinaire de Sivens. »
...et un éditorial de M. Olivier Baccuzat
(Source)
Le titre de ce « L’insupportable mépris du droit au nom de l’écologie », un éditorial de M. Olivier Baccuzat publié le 11 novembre 2021 dans l'Opinion est faux : l'« écologie » n'est qu'un prétexte et un faux-nez. En conclusion :
« Quoi d’étonnant ? Sur tout, désormais, l’époque est au laïus "mon identité, mon choix, mon droit" tirant profit de la faiblesse d’un Etat qui, à l’image du piteux exemple de Notre-Dame-des-Landes, préfère démissionner devant ces multiples entorses à l’Etat de droit, plutôt que de sévir et rappeler que si la liberté passe par le respect des droits de chacun, l’ordre, seul rempart possible contre la violence, impose le respect des droits de tous. Quoi qu’en pense une minorité. »
Un éditorial de M. Jean-Paul Pelras dans l'Agri du 9 novembre 2021
« Il faut d’urgence confier l’agriculture française aux écologistes ! » est un titre d'éditorial volontiers provocateur.
Retenons, là aussi, deux paragraphes :
« À l’heure où la France va devenir, pour la première fois de son histoire agricole, dépendante des importations, n’y a-t-il pas d’autres combats à mener que celui consistant à se tirer une balle dans le pied ? À l’heure où les défis alimentaires sont au cœur des enjeux démographiques, géopolitiques et planétaires, pourquoi, si ce n’est pour répondre à certaines idéologies politiciennes, entraver, comme ce fut le cas pour le lac de Caussade dans le Lot-et-Garonne, l’irrigation des cultures et, de facto, limiter le potentiel de production ?
À l’instar de ce qui se passa dans l’Aude au printemps dernier, quand des ONG se sont opposées au décollage de l’hélicoptère destiné à traiter les vignes contre le mildiou là où, sols détrempés obligent, les tracteurs ne pouvaient pas entrer, les écologistes ont clairement choisi leur camp. Celui qui entend réduire de façon drastique tout ce qui permet à notre agriculture de demeurer compétitive que ce soit avec l’utilisation d’intrants, l’apport de nouvelles technologies ou, en l’occurrence, l’irrigation. À ce titre, la responsabilité de celles et ceux qui, au-delà des discours inclusifs et démagogiques, encouragent une limitation des productions est ici clairement engagée. »
Le réquisitoire de M. Jean-Paul Pelras à l'encontre des dirigeants d'EÉLV et de la Confédération Paysanne est percutant et, surtout, parfaitement justifié. Comment remplira-t-on les assiettes et les bols des Français, trois fois par jour, avec une agriculture qui serait conforme à leur idéologie ?
Ratisser plus large !
Mais un examen attentif de la situation exige de mettre en cause d'autres acteurs économiques, politiques et sociaux.
L'acte d'accusation serait long et diversifié, mais peut se résumer par « démission collective ».
Les enjeux ne sont pas clairement expliqués – alors que par ailleurs on nous bassine avec le dérèglement climatique.
M. Alain Rousset, président du Conseil régional de la Nouvelle-Aquitaine vient ainsi de faire un effort louable, le 12 novembre 2021, avec « Bassines. Alain Rousset, président de Nouvelle-Aquitaine : "L’engagement des travaux est légal" ». Mais pourquoi diable avoir fait un laïus sur la réduction de 50 % de l'usage de pesticides, ouvrant ainsi un nouveau front et une nouvelle opportunité de contestation et de gesticulation ?
C'est le reflet d'une maladie de notre système socio-politique, décrite ci-dessus par M. Olivier Baccuzat : la faiblesse d'un État – au sens très large – qui n'a pas compris qu'il y a des situations où tendre la main revient à se faire bouffer les doigts.
Faisons ici une mention particulière de la galaxie européenne, avec ses bien-pensants et mal-faisants Pacte Vert et stratégie de la ferme à la table.
Post scriptum de (pas tout à fait) midi
Voir aussi Terre-Net, "Indignation quasi générale après les actions contre les retenues d’eau"
Mais jusqu'où peuvent aller les inoculés trisomiques ? S'en prendre à l'eau !!
La faute aux écoles d'idiots ? des merdias ? bref, de la politique qui les lance et les soutient !
A savoir qu'une nappe ne se remplie pas par les eaux de pluies (Prenez un tamis, mettez-y de la terre dedans et versez de l'eau dessus. L'eau qui s'écoule dessous est IMPROPRE ! Çà alors !! L'eau de pluies ne pénètre que de peu dans la terre puis, - le soleil ou le vent venant la terre sèche - L'eau remonte par capilarité et s'évapore.
Mais alors d'où l'eau propre vient-elle ??!
Depuis des millions d'années des milliards de m² d'eau de pluies, des fleuves et des rivières se sont déversés dans les mers et océans... sans qu'ils ou elles ne montent !!! Çà alors !! (Regardez la quantité d'eau transportée par un fleuve !!).
L'eau des bassins maritimes & océaniques s'infiltre continuellement aux planchers maritimes & océaniques vers le magma. L'eau est alors chauffée/bouillie et remonte par des galeries vers la mer ou l'océan (sources chaudes emportées par les lames de fonds qui ressortent aux côtes d'Azur ou bretonnes, entr'autres). Cette superficie correspond aux 4/5 ème de la surface terrestre (78 %). L'eau ressort aussi sous terre (22 %), elle monte vers des geysers (sources chaudes au ras du sol), ou vers des sources de montagnes ou vers des nappes phréatiques. C'est pourquoi cette eau est pure, sans coloration, sans goût et sans bactérie.
L'eau est inépuisable. Il n'y a pas une goutte d'eau de plus ou de moins depuis des millions d'années.
Et oui ! Tout se recycle ! Même la combustion des gaz ou liquides ou solides se retransforment en ce qu'ils ou elles étaient ! Çà alors !!
D'Amazon au zoom : que se passe-t-il dans une minute Internet en 2021
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 13 NOV 2021 - 23:00
Dans notre vie de tous les jours, il ne peut pas se passer grand chose en une minute. Mais, comme le détaille Visual Capitalist ci-dessous, lorsque l'on évalue la profondeur de l'activité Internet qui se produit en même temps, cela peut être extraordinaire. Aujourd'hui, il existe environ cinq milliards d'internautes dans le monde.
Cette infographie annuelle de Domo capture le volume d'activité en cours dans une minute donnée et la quantité de données générées par les utilisateurs. Pour le moins, il y en a beaucoup.
- voir cadre sur site -
La minute Internet
Au cœur de l'activité numérique mondiale se trouvent les services et applications du quotidien qui sont devenus incontournables dans nos vies. Collectivement, ceux-ci produisent des quantités inimaginables d'activité des utilisateurs et de données associées.
Voici quelques-uns des chiffres clés de ce qui se passe en une minute :
Les clients d'Amazon dépensent 283 000 $
12 millions de personnes envoient un iMessage
6 millions de personnes achètent en ligne
Les utilisateurs d'Instacart dépensent 67 000 $
Les utilisateurs de Slack envoient 148 000 messages
Microsoft Teams connecte 100 000 utilisateurs
Les utilisateurs de YouTube diffusent 694 000 vidéos
Facebook Live reçoit 44 millions de vues
Les utilisateurs d'Instagram partagent 65 000 photos
Les utilisateurs de Tiktok regardent 167 millions de vidéos
Comme le montrent ces faits, les grandes entreprises technologiques ont une grande influence sur nos vies. Cette influence devient difficile à ignorer et attire de plus en plus l'attention des médias et des politiques. Et certains voient dans cette attention une explication plausible de la raison pour laquelle Facebook a changé de nom, pour se dissocier de l'ancien dans le processus.
Une mesure tangible de cette influence est la quantité massive de revenus que les grandes entreprises technologiques génèrent. Pour avoir une meilleure idée de cela, nous pouvons également examiner les capacités de génération de revenus de Big Tech sur une base par minute :
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Une grande partie des revenus générés par ces actions d'élite d'un billion de dollars peut être attribuée à toute l'activité sur leurs différents réseaux et plateformes.
En d'autres termes, les 5,7 millions de recherches Google effectuées chaque minute sont la clé de leurs ventes de 433 014 $ par minute.
La minute Internet au fil des ans La quantité de données et d'informations dans l'univers numérique doublant effectivement tous les deux ans, il est juste de dire que la minute Internet a subi quelques changements au fil des ans. Voici quelques domaines qui ont connu une croissance impressionnante :
En 2016, les utilisateurs de Snapchat 527 000 photos par minute, contre 2 millions en 2021
En 2017, Twitter a enregistré 452 000 Tweets par minute, contre 575 000 en 2021
En 2018, 862 823 $ ont été dépensés en ligne, tandis que 2 millions de personnes faisaient des achats par minute en 2021
En 2019, 4,5 millions de vidéos sur YouTube étaient visionnées chaque minute, tandis qu'en 2021, les utilisateurs diffusaient 694 000 heures.
En 2020, les utilisateurs de Netflix ont diffusé 404 000 heures par minute, passant à 452 000 heures en 2021
Voici un aperçu des services qui ont été présentés dans les différentes itérations de ce graphique au fil des ans :
- voir cadre sur site -
Twitter, Instagram et Youtube sont les trois seules marques à être présentées chaque année.
Perspectives de croissance d'Internet
La roue des minutes Internet permet également de mettre en perspective le taux d'adoption rapide d'Internet. Par exemple, en 1993, il n'y avait que 14 millions d'internautes dans le monde. Mais aujourd'hui, il y en a plus de 14 millions rien qu'au Chili.
Cela dit, le marché total adressable a encore de la place. Selon certaines mesures, le nombre total d'utilisateurs d'Internet a augmenté de 500 millions en 2021, soit un bond d'environ 11% par rapport à 4,5 milliards d'utilisateurs en 2020. Cela correspond à un nombre étonnant de 950 nouveaux utilisateurs par minute.
De plus, à long terme, avec la mise en place d'infrastructures adaptées, certaines zones des marchés émergents peuvent connaître une croissance soutenue du nombre de citoyens connectés. Voici d'où pourrait provenir le prochain milliard d'internautes, sur la base des plus grandes populations déconnectées.
- voir liste sur site -
Avec cette trajectoire de croissance à l'esprit, on peut s'attendre à ce que les chiffres futurs deviennent encore plus étonnants. Mais l'esprit humain est connu pour être mauvais pour interpréter les grands nombres, donc dans les éditions futures, les chiffres minute Internet devront peut-être être réduits à la seconde Internet.
A ne pas oublier que tous ces chiffres cités sont faux, censurés par x plateformes qui évaluent à la hausse ou dévaluent chaque site !! (Notez que le nombre de blogs ou vidéos censurés dépassent de loin le plafond de l'intelligence !).
La FDA rappelle des millions de tests COVID-19 à domicile sur de faux positifs
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 13 NOV 2021 - 18:30 Rédigé par Jack Phillips via Epoch Times,
La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a confirmé jeudi qu'elle rappelait quelque 2 millions de tests COVID-19 à domicile d'Ellume, car ils peuvent produire des "faux positifs" en raison d'un défaut de fabrication.
L'entreprise a d'abord informé l'agence fédérale de réglementation du défaut de certains lots en octobre. Mais mercredi, la FDA a déclaré avoir identifié des lots supplémentaires affectés par le défaut de fabrication, fabriqués entre le 24 février 2021 et le 11 août 2021.
À ce jour, environ 35 faux positifs des tests COVID-19 ont été signalés à la FDA. Aucun décès n'a été signalé lié au test, selon l'agence.
Un « faux positif » indique qu'un individu a contracté le virus du PCC (Parti communiste chinois), qui cause le COVID-19, alors qu'en réalité ce n'est pas le cas.
La FDA a noté que les faux positifs pourraient entraîner « un diagnostic ou un traitement retardé pour la cause réelle de la maladie de la personne, qui pourrait être une autre maladie potentiellement mortelle qui n'est pas COVID-19 » ou recevoir « un traitement COVID-19 inutile d'un service de santé fournisseur », ce qui peut « entraîner des effets secondaires ».
Un autre problème, a noté la FDA, est l'isolement, y compris la surveillance des contacts familiaux ou proches pour les symptômes, la limitation des contacts avec la famille ou les amis et l'absence à l'école ou au travail. »
Soulignant la gravité du problème, la FDA a déclaré qu'elle "a identifié cela comme un rappel de classe I, le type de rappel le plus grave … l'utilisation de ces tests peut entraîner de graves conséquences néfastes pour la santé ou la mort".
Le test d'antigène détecte les protéines du virus CCP à partir d'un échantillon nasal, et il est disponible sans ordonnance pour les personnes âgées de 2 ans et plus. Il est également livré avec un analyseur qui se connecte à une application pour smartphone pour montrer aux utilisateurs comment effectuer le test et comprendre les résultats du test.
Ellume a rappelé 2 212 335 tests aux États-Unis à ce jour. Plus tôt cette année, la société basée en Australie a annoncé qu'elle avait effectué environ 200 000 de ses tests.
L'administration Biden avait signé un accord de 231 millions de dollars avec Ellume, qui a reçu l'approbation de produire ses tests sous l'administration Trump l'année dernière.
En octobre, le Dr Sean Parsons, directeur général d'Ellume, a annoncé que la société avait créé plus de garanties pour empêcher que le problème ne se reproduise.
"Je suis vraiment désolé que cela se soit produit", a-t-il déclaré au New York Times à l'époque.
"Nous cherchons tous à rechercher la précision, et avoir ces faux positifs est décevant."
Et un porte-parole a déclaré que la «cause profonde» du problème avait été identifiée. La société expédie déjà de nouveaux produits aux États-Unis, a ajouté le porte-parole au NY Times.
(...) Soulignant la gravité du problème, la FDA a déclaré qu'elle "a identifié cela comme un rappel de classe I, le type de rappel le plus grave … l'utilisation de ces tests peut entraîner de graves conséquences néfastes pour la santé ou la mort".
Le test d'antigène détecte les protéines du virus CCP à partir d'un échantillon nasal, et il est disponible sans ordonnance pour les personnes âgées de 2 ans et plus. Il est également livré avec un analyseur qui se connecte à une application pour smartphone pour montrer aux utilisateurs comment effectuer le test et comprendre les résultats du test. (...)
Dès lors que de faux tests (écouvillons) pénètrent dans la cavité nasale pour y déposer des milliards de nano-particules d'oxyde de graphène afin de répondre aux ordres de diriger n'importe qui n'importe où n'importe quand, il y a donc une prise de contrôle aux 100 % de l'individu chargé d'obéir aux ordres. Mais, cela ne se passe pas toujours comme on peut l'imaginer et, des personnes décèdent plus tôt que prévue !
Le sommet sur le climat de Glasgow se termine dans les larmes, l'échec et les engagements pris
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 13 NOV 2021 - 16:20
Le sommet sur le climat le moins vert de l'histoire s'est soldé par une énorme victoire pour le charbon – après que l'Inde et la Chine aient forcé des changements de langue de dernière minute dans le texte final du Pacte climatique de Glasgow pour « réduire progressivement » au lieu de « supprimer progressivement » l'énergie au charbon sans relâche.
Les changements de langue ont été introduits samedi soir au cours de la dernière demi-heure de la session finale, lorsque l'Inde a plongé avec la demande, ainsi que l'ajout d'une clause qui se lit "tout en fournissant un soutien ciblé aux plus pauvres et aux plus vulnérables".
Plus précisément, le pacte de 197 nations verrait les parties s'engager à « intensifier les efforts pour réduire progressivement l'énergie au charbon et éliminer les subventions inefficaces aux combustibles fossiles tout en fournissant un soutien ciblé aux plus pauvres et aux plus vulnérables conformément aux circonstances nationales et en reconnaissant le besoin de soutien vers une transition juste."
Auparavant, le texte se lisait comme suit : « y compris l'accélération des efforts visant à éliminer progressivement l'énergie au charbon et les subventions inefficaces aux combustibles fossiles, reconnaissant la nécessité d'un soutien vers une transition juste ».
Ainsi, l'Inde et la Chine viennent de rouvrir la porte sur ce qui allait déjà être une tâche presque impossible pour éliminer le charbon, et les pays occidentaux se sont désormais engagés à « un soutien ciblé » sous la forme de l'argent des contribuables pour les pays les plus pauvres.
Bambou... Et tandis que les bénéficiaires desdits changements ont fait un tour de victoire, l'Inde a déclaré (avec un visage impassible) qu'elle "appellerait les parties à intensifier le développement et le déploiement" de technologies vertes et une transition vers une consommation d'énergie plus faible - tandis que la Chine a publié un encore moins un soutien spécifique à l'appel "selon ce que les délégués de l'Inde, de la Chine, de l'Afrique du Sud et de la Bolivie, et des pays partageant les mêmes idées et d'autres pays en développement, ont exprimé [comme] des préoccupations".
Si jamais Greta devait être énervée par des "mots vides", c'est le moment
Larmes d'échec
En réponse aux changements de dernière minute, le président de la COP26, Alok Sharma, a présenté ses excuses, se disant "profondément désolé" de la façon dont l'événement s'est terminé.
"Puis-je juste dire à tous les délégués que je m'excuse pour la façon dont ce processus s'est déroulé et je suis profondément désolé", a-t-il déclaré à la foule, ajoutant "Je comprends également la profonde déception mais je pense que, comme vous l'avez noté, il est également vital que nous protéger ce paquet."
La Suisse était énervée - exprimant sa "profonde déception à la suite d'un processus peu transparent", ajoutant "Nous n'avons pas besoin de réduire progressivement le charbon mais de supprimer progressivement le charbon".
Le représentant suisse a déclaré que le changement de dernière minute apporté au libellé sur l'élimination progressive de l'utilisation des combustibles fossiles rendrait plus difficile l'atteinte de l'objectif de la COP26.
"Cela ne nous rapprochera pas de 1,5 mais rendra plus difficile l'atteindre."
Frans Timmermans, l'envoyé de l'UE, a déclaré qu'il était déçu par la nouvelle formulation : « Plus vous prenez de temps pour éliminer progressivement le charbon, plus vous mettez de charge sur l'environnement naturel et plus vous faites peser de charge sur votre économie. -FT
L'émissaire américain pour le climat, John Kerry, "a simplement dû l'accepter".
Engagement à signaler la vertu maximale
Mis à part les stylos fantaisie, nous supposons que les participants à la COP26 retournent dans leur pays avec une tâche des plus sérieuses : lancer la boîte sur la route pour l'instant, puis revenir l'année prochaine avec des plans pour renforcer leurs objectifs de réduction des émissions à l'horizon 2030. Les pays riches ont l'avantage supplémentaire de « doubler au moins » le montant d'argent qu'ils donnent aux pays en développement en échange de leur adaptation au changement de saisons.
Comme toujours, il n'y a pas de détails à la base d'un engagement à transférer des masses d'argent des pays riches vers les pays pauvres.
Les banques alimentaires américaines luttent pour nourrir les affamés au milieu d'une «tempête parfaite» d'inflation alimentaire
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 13 NOV 2021 - 14:00
La plus grande banque alimentaire des États-Unis a du mal à nourrir les gens au milieu d'une tempête parfaite de flambée des prix des denrées alimentaires et de problèmes de chaîne d'approvisionnement.
Katie Fitzgerald, directrice de l'exploitation de Feeding America, une organisation à but non lucratif qui exploite plus de 200 banques alimentaires à travers le pays, a déclaré à AP News que son réseau de banques alimentaires est déjà étiré en raison de la demande sans précédent stimulée par le ralentissement de la pandémie de virus dans l'économie dernière année. Elle a averti qu'il est devenu plus difficile pour son organisation d'absorber l'inflation alimentaire, ce qui réduit le nombre de familles à nourrir cette saison des vacances.
Les perturbations de la chaîne d'approvisionnement, la baisse des stocks, les coûts de transport et de carburant plus élevés et les pénuries de main-d'œuvre aggravent la situation des banques alimentaires sur lesquelles des millions de personnes comptent. Elle a déclaré que son organisation avait déjà échangé des produits alimentaires de plus petite taille ou en avait entièrement remplacé certains pour étirer davantage le dollar.
Fitzgerald a déclaré que la flambée de l'inflation alimentaire est une "insulte aux blessures" pour les familles qui dépendent des banques alimentaires.
Michael Altfest, directeur de la région de la baie de San Francisco, de la banque alimentaire communautaire du comté d'Alameda à Oakland, a déclaré que la banque alimentaire dépensait 60 000 $ supplémentaires en nourriture par mois et dépensait 1 million de dollars par mois pour distribuer 4,5 millions de livres de nourriture.
Altfest a déclaré à l'époque pré-COVID. La banque alimentaire dépensait un quart de l'argent pour distribuer 2,5 millions de livres de nourriture. Il a souligné que les prix des haricots verts et des pêches en conserve ont augmenté de 9 %, du thon en conserve et du tilapia congelé de plus de 6 %, des poulets congelés de 5 livres ont augmenté de 13 % et des flocons d'avoine ont bondi de 17 %.
De nouvelles personnes se présentent chaque semaine au garde-manger de Shiloh Mercy House dans l'est d'Oakland malgré le fait que le président Biden fasse la promotion de son succès économique et de son plan de « reconstruire en mieux ».
La flambée de l'inflation alimentaire nuit aux familles : "Et beaucoup de gens disent simplement qu'ils ne peuvent pas se permettre de manger", a déclaré Jason Bautista, responsable des événements de l'association caritative.
Cela survient alors que les prix à la consommation ont atteint mercredi leur plus haut niveau depuis des décennies. Les prix de la viande, de la volaille, du poisson et des œufs ont augmenté de 11,9 %, le sous-indice du bœuf augmentant de 20,1 % et l'indice du porc augmentant de 14,1 %, sa plus importante augmentation sur 12 mois depuis la période se terminant en décembre 1990.
Sonia Lujan-Perez, une résidente d'Oakland, 45 ans, paie 2 200 $ de loyer mensuel et n'a plus d'argent pour nourrir sa famille. Elle fréquente les banques alimentaires locales parce que les prix des aliments ont grimpé en flèche au cours de la dernière année.
Lujan-Perez a déclaré que la banque alimentaire "est merveilleuse pour moi parce que je vais économiser beaucoup d'argent". Ce Noël serait "difficile" pour ses deux enfants car elle ne s'offrirait pas de cadeaux.
Le prochain cauchemar politique de Biden est déjà arrivé : l'inflation alimentaire. Les gains salariaux réels sont anéantis à mesure que le coût de tout augmente. L'humeur aigre pour le président apparaît dans les données des sondages.
L'administration Biden a tenté de contrer l'inflation alimentaire croissante pour les travailleurs pauvres en annonçant une augmentation du programme d'assistance nutritionnelle supplémentaire, ou SNAP, à plus de 40 millions de bénéficiaires en août. Cela signifie que la prestation mensuelle moyenne a augmenté de plus de 36 $ par personne, mais même cela n'a pas réussi à satisfaire l'estomac de millions d'Américains affamés.
Il y a aussi un autre problème. Bryan Nichols, vice-président des ventes de Transnational Foods, qui livre à 100 banques alimentaires associées à Feeding America, a déclaré que l'approvisionnement en conserves d'Asie est devenu plus complexe à mesure que les pénuries dues à la congestion des ports se sont matérialisées. Il a également déclaré que l'importation de conserves d'outre-mer était devenue incroyablement chère, car les tarifs des conteneurs d'expédition sont passés de "4 000 $ à 18 000 $" en moins d'un an.
Dans le sud du Colorado, la PDG de Care and Share Food Bank, Lynne Telford, explique que le coût des produits alimentaires monte en flèche.
Telford a déclaré: "Le coût d'un camion de beurre d'arachide de 40 000 livres a grimpé de 80 % par rapport à juin 2019 à 51 000 $ en août. Le macaroni au fromage a augmenté de 19% par rapport à il y a un an et le prix de gros du bœuf haché a augmenté de 5 % en trois mois."
Elle a déclaré que son organisation dépensait plus d'argent pour compenser le manque de dons, et son autre crainte est qu'il n'y ait pas assez de nourriture pour les vacances.
"L'autre chose, c'est que nous ne mangeons pas assez de nourriture pour les fêtes, comme la farce et la sauce aux canneberges. Nous devons donc compléter avec d'autres types de nourriture, ce qui, vous le savez, nous rend triste", a déclaré Telford, dont la banque alimentaire a nourri plus de 200 000 personnes l'an dernier.
Les données des banques alimentaires soulignent ce que de nombreux travailleurs américains pauvres savent déjà. Certains des taux d'inflation les plus élevés depuis des décennies écrasent leurs budgets car ils peuvent à peine se permettre de survivre. Une telle douleur dans le portefeuille les rend affamés, sortant d'une pandémie démoralisante, menaçant Biden et les démocrates avant la mi-mandat de l'année prochaine.
Le seul choix qui nous reste : l'esclavage ou la liberté
par Joseph Stroberg 2021-11-13
Habituellement, mes conversations avec des experts sur la pandémie COVID tournent autour de l'infection et de son traitement. L'interview d'aujourd'hui avec le gourou de la finance Catherine Austin Fitts s'attaquera le sujet de la COVID sous un angle différent.
Austin Fitts a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID. « J'ai eu une carrière très réussie à Wall Street, puis je suis allée brièvement à Washington et j'ai été atterrée par la corruption hypothécaire et je suis partie », dit-elle. « J'ai créé mon propre cabinet, qui a très bien marché, et j'ai été prise dans un litige avec le gouvernement fédéral.
Cela était dû en partie à la découverte que les principaux médias étaient une entreprise criminelle. J'ai décidé pendant cette période que j'arrêterai d'essayer de discuter de quoi que ce soit avec des gens par le biais des médias. En fait, je répondrai que directement aux questions des gens. Ce processus de ne répondre que constamment aux questions des gens... s'est transformé en deux entreprises, dont l'une était une entreprise de conseils en investissements, lancée en 2007.
J'ai découvert que bon nombre des problèmes financiers et de nombreuses difficultés financières auxquels mes clients étaient confrontés étaient vraiment générés par la santé, et que nombreux d'entre eux provenaient de blessures vaccinales et d'effets indésirables des vaccins. Je ne suis plus conseillère en investissements... je de donne pas de conseil individuel en investissement.
Mais ce que j'ai découvert c'était qu'il était absolument impératif, si vous vouliez aider les clients à réussir à construire leur bien-être financier familial, d'intégrer les investissements dans la santé et le bien-être aux investissements dans les questions financières. J'avais des gens qui me disaient qu'ils mettaient des millions de dollars dans leur compte d'actions, mais qui n'avaient pas les moyens de se payer de la nourriture bio ou biodynamique.
J'ai l'air de, es-tu folle ? Donc il y avait une intégration qui devait se produire. À cause des extraordinaires dépenses liées aux blessures vaccinales et aux événements indésirables, cela m'a amenée à beaucoup m'intéresser aux vaccins. J'ai passé de nombreuses années à lire et à étudier ce qui se passait et pour quelles raisons les mensonges étaient si gros ».
Selon Austin Fitts, votre santé et vos finances personnelles ne peuvent tout simplement pas être séparées. Les deux sont vraiment comme les deux faces d'une même pièce et les personnes qui n'apprennent pas à naviguer à travers les mensonges des industries médicales et financières peuvent se retrouver en très mauvaise situation, tant du point de vue de la santé que du point de vue financier.
La fraude de l'injection
Un des crimes les plus odieux de cette pandémie est l'obligation de ces injections COVID expérimentales tout en donnant simultanément aux sociétés pharmaceutiques une immunité complète. Elles ne sont responsables de rien, peu importe combien de personnes sont blessées ou meurent. Une personne peut être forcée à prendre cette injection et souffrir d'une invalidité permanente nécessitant des millions de dollars de soins, et le patient doit en assumer les coûts, quand bien même il a été contraint. « Au début de la pandémie COVID-19 j'ai publié un article intitulé « La Fraude de l'Injection »[1]» dit Austin Fitts, « et j'ai passé en revue tous les différents problèmes de responsabilité.
L'objectif des formulaires COVID-19 que nous avons publiés sur notre site Internet est d'essayer de ramener la responsabilité là où elle devrait être, parce que vous observez un transfert de milliards de dollars qui incombent aux familles pour des soins de santé, d'invalidité, de compensations salariales, de chômage, de décès, etc.,etc.. Le transfert des engagements financiers sur les particuliers est extraordinaire.
Ce que nous essayons de faire avec les formulaires COVID-19 c'est de donner aux personnes des formulaires qu'ils pourraient utiliser dans les négociations avec leurs employeurs et leurs écoles pour essayer de les tenir pour responsables du consentement éclairé... Ensuite il passe en revue les questions de soins de santé, les questions de handicap, les questions de compensations salariales, les questions d'assurance-vie...
Ce processus a commencé par quelque chose appelé le formulaire de déclaration de situation financière familiale. Nous avions de nombreux abonnés dont les épouses voulaient recevoir l'injection.
Il était très important pour moi de donner aux gens un formulaire qu'ils pourraient parcourir avec leur conjoint et m'assurer qu'un événement indésirable impactant le conjoint ne se traduirait pas en faillite pour la famille parce qu'il y a des mesures que les gens peuvent prendre pour protéger la famille de la catastrophe financière s'ils sont assez stupides pour aller prendre une de ces injections.
Donc cela a commencé avec le formulaire de déclaration de situation financière familiale, puis il s'est traduit en formulaire pour employé et pour l'université, et des abonnés m'ont dit qu'ils étaient en mesure de dissuader leurs employeurs d'exiger l'injection après qu'ils aient examiné ensemble le formulaire.
C'est incroyable parce que les employeurs et les universités ne font que mentir aux gens que ce soit au sujet des événements indésirables et des risques potentiels, ou de ce qu'est la loi.
Je mets au défi tout employeur qui essaie de dire qu'ils imposent ceci alors qu'ils sont encore sous autorisation d'utilisation d'urgence, de produire un document du gouvernement, qu'il s'agisse d'une disposition légale ou réglementaire, qui dit qu'ils ont une base juridique pour le faire. Pour autant que je sache, l'OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Sécurité au Travail et Administration de la Santé) n'a rien publié à ce jour. » Y a-t-il un chantage conspirationniste en cours ?
Alors que je pense que de nombreux employeurs et d'administrateurs d'écoles sont tout simplement ignorants et ont été victimes de la campagne de propagande la plus réussie de l'Histoire moderne, Austin Fitts soupçonne qu'ils savent exactement ce qu'ils font. « Je ne pense pas qu'il s'agisse de propagande », dit-elle. 'Je pense qu'ils subissent une pression terrible à la fois du gouvernement et des banques... Je pense qu'il y a dans les coulisses un chantage conspirationniste RICO (Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act — Loi fédérale conçue pour combattre le crime organisé aux États-Unis — NdT) en cours.
Je pense qu'ils le comprennent. Et je pense qu'ils sont sérieusement menacés par le système bancaire. Si vous regardez la pression la plus forte que nous voyons, elle vient des banques centrales et du côté de la finance.
Depuis un an j'ai passé beaucoup de temps avec les Médecins pour l'éthique COVID à apprendre ce que ces médecins et scientifiques savent, ce qu'il y a dans cette injection COVID et ce qu'elle fait. Il y a toute une partie des ingrédients dont nous ne savons toujours pas ce qu'ils sont.
Et, j'ose le dire, je crois que c'est relié à la raison pour laquelle les directeurs des banques centrales insistent tant. Je pense que ces gars dépendent vraiment du réseau intelligent et d'une technologie effrayante pour les aider à passer aux dernières étapes du contrôle financier, qui est, je pense, ce pour quoi ils font pression. » Il ne reste plus qu'un seul choix : l'esclavage ou la liberté
Pour empêcher la mise en œuvre de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts à faire des sacrifices à court terme. Tout le monde doit être prêt à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelle qu'en soit la conséquence, que vous m'enleviez ma pension de retraite, que vous me licenciez, que vous me discréditiez et que je ne puisse plus jamais travailler dans ma profession ».
C'est cela qu'il faudra pour garder même nos libertés les plus fondamentales.
S'ils arrivent à imposer les passeports (les pass sanitaires — NdT), je dirais que, d'un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les monnaies numériques des banques centrales (MNBC - NdT). Donc, quoi que nous fassions, il nous faut arrêter les pass. Les pass leur donnent le genre de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui ensuite mène aux MNBC. — Catherine Austin Fitts
Comme l'a relevé Austin Fitts :
« Il s'agit d'esclavage ou de liberté. Si vous regardez ce qu'ils préparent, ce qu'ils visent, c'est une grille complète de contrôle financier et technologique. Ceci est de l'esclavage. Je veux dire, lorsque le Forum Économique Mondial dit, nous sommes en 2030 et vous n'avez pas de biens, qu'est-ce qui n'est pas clair là-dedans ? Vous n'avez pas de biens signifie que vous êtes un esclave ».
D'après les statistiques fédérales aux États-Unis, la richesse de la moitié inférieure de la population a augmenté durant la pandémie à cause de l'inflation immobilière. « Je peux vous assurer que ceci est une ruse », dit Austin Fitts. En ce qui concerne les liquidités, environ 70 à 80 % des Américains n'ont pratiquement pas de réserve d'argent liquide.
« C'est parce que ce que nous avons vu est un effort énorme pour... mettre en faillite la population et les gouvernements afin qu'il soit plus facile pour les directeurs des banques centrales de prendre le contrôle. C'est ce que j'ai écrit depuis 1998 que ceci est un coup d'État financier.
En ce moment le coup d'État financier est en train d'être consolidé, où les directeurs des banques centrales ne servent que de juridiction sur le Trésor et les recettes fiscales. Et s'ils peuvent obtenir les passeports avec la MNBC (rappel : Monnaie Numérique des Banques Centrales — NdT) alors il sera possible que les impôts soient retirés de nos comptes et que l'on prenne nos actifs.
Donc, nous sommes en présence d'un véritable coup d'État, et c'est pourquoi, si vous jetez un coup d'œil sur l'ensemble de la population, nous sommes les gars qui construisent la prison. Nous avons le pouvoir d'arrêter cela. » Les raisons pour lesquelles nous devons rejeter les passeports vaccinaux
Je soupçonne que les MNBC sont au cœur de ce complot, et je crois fermement que les cryptomonnaies décentralisées telles que les Bitcoins sont une alternative puissante et importante pour contrer le contrôle des banques centrales sur le système financier. Austin Fitts n'est pas d'accord, soulignant que toutes les cryptomonnaies fonctionnent sur des systèmes contrôlés par le système de gouvernance existant.
« Je crois que toute technologie blockchain (une blockchain permet de stocker et d'échanger de la valeur sur Internet sans intermédiaire centralisé — NdT) dans le système de gouvernance actuel est un danger', dit-elle. « Ayant plaidé pour le Ministère de la Justice durant 11 ans sur les questions financières et les questions d'argent, je pense qu'ils ont la capacité d'exercer un contrôle remarquable sur n'importe lequel d'entre eux... je veux dire, ils contrôlent le matériel informatique, les satellites, les câbles... et beaucoup de gens croient que les cryptomonnaies actuelles sont bien plus privées que je pense qu'elles ne le sont ».
Bien que le gouvernement ne contrôle pas les clés privées et les éléments décentralisés, ils ont toujours encore bon nombre de moyens d'accéder aux données privées de personnes ciblées. « J'ai vu plein de gens être assignés à comparaître et voir le FBI débarquer à leur porte, et c'est incroyable ce qu'ils choisissent de transmettre et de coopérer », dit Austin Fitts. En bref, la capacité du gouvernement de mettre à exécution une menace lorsqu'ils veulent quelque chose de vous est profonde, ce qui rend presque impossible toute résistance. « Maintenant, je crois toujours que nous avons le pouvoir de renverser cela complètement, dit-elle. « Je veux néanmoins mentionner une chose, parce que la chose importante, notre point à risque, ce ne sont pas les MNBC. Il leur faudra un certain temps pour imaginer les MNBC. Notre point à risque se sont les passeports vaccinaux.
S'ils obtiennent les passeports, alors je dirais que, d'un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les MNBC. Donc, quoi que nous fassions, nous devons arrêter les passeports. Les passeports leur donnent le type de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui conduit alors aux MNBC ».
Le passeport vaccinal est un ticket d'entrée pour l'esclavage financier
Comme l'explique Austin Fitts, les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et trace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.
Si le gouvernement ne veut pas que vous achetiez quoi que ce soit à plus de 8 km de votre domicile, ils ont la capacité de vous empêcher de le faire. S'ils ne veulent pas que vous achetiez des pizzas, ils ont la capacité de vous empêcher d'acheter des pizzas. « Donc c'est l'Étape 1 pour la construction de cette grille de contrôle. Si vous allez sur solari.com et cliquez sur Cash Friday — qui est une campagne que nous menons pour inciter tout le monde à faire ses dépenses à l'aide d'argent liquide les vendredis — vous allez voir une vidéo de 56 secondes du directeur général de la Banque des Règlements Internationaux expliquant comment avec la MNBC ils auront la capacité de mettre en application toutes les règles qu'ils veulent créer sur les MNBC et votre argent.
C'est très effrayant et cela communique le contrôle qu'ils pensent qu'ils vont avoir lorsque ceci sera terminé. Mais pour obtenir ce contrôle, vous avez d'abord besoin que l'ensemble du système de passeport voie le jour. C'est en gros la grille d'information sur laquelle les MNBC peuvent ensuite se brancher...
Si vous avez un système de passeport qui est en place qui peut littéralement arrêter vos transactions financières à moins que vous n'ayez un autre rappel, imaginez, avec les MNBC, il peut arrêter toutes vos transactions. Il peut changer le montant de l'argent. Il peut retirer de l'argent de votre compte bancaire. En d'autres mots, ce n'est plus une monnaie. C'est un crédit que la société stocke et la société contrôle tout...
Les passeports sont déjà là. Nous devons arrêter cela maintenant. J'ai vu des applications de passeport qui montrent que les gens reçoivent huit rappels ou plus. Qui va s'inquiéter au sujet des MNBC si vous avez eu deux de ces injections et huit rappels ? Je veux dire, la question est : serez-vous encore en vie à ce moment-là ? Je ne sais pas ». Que pouvez-vous faire maintenant ?
Donc, comment le citoyen moyen peut-il résister à ce plan diabolique ? Une des stratégies serait de déménager dans un État ou un pays qui a rendu illégal les obligations de détenir un passeport vaccinal. Une autre stratégie est de simplement refuser le passeport, quelles qu'en soient les conséquences.
Cela vaut également pour ceux qui ont eu une ou deux injections COVID. Pour que le passeport reste valide, vous devrez prendre des rappels. Combien êtes-vous prêt à en prendre ? Combien de fois êtes-vous prêt à risquer votre santé et votre vie ? À un moment donné il vous faudra prendre la même décision que tous ceux qui ne sont pas vaccinés — la liberté ou l'esclavage.
Ce que cela signifie c'est qu'il nous faudra également créer des systèmes alternatifs et parallèles pour tout ce dont on nous privera d'accès si nous n'avons pas de passeport vaccinal valide. Cela inclut l'éducation, la production alimentaire, toutes sortes de services, les soins de santé et l'économie.
Ces systèmes parallèles seront de toute façon cruciaux, puisqu'il semble que les programmes sociaux — Sécurité Sociale, Medicare et Medicaid — n'auront plus d'argent en 2028. Et, à mesure que ces programmes disparaissent, ils feront couler l'industrie pharmaceutique avec eux, puisqu'ils sont la première source de revenus des sociétés pharmaceutiques. « J'ai découvert qu'il y avait toute une communauté de gens qui vivaient en VL (véhicule de loisir, véhicule aménagé avec à l'intérieur un espace de vie — NdT) tout simplement parce qu'ils ne faisaient confiance à aucune juridiction. Ils voulaient avoir la possibilité de se lever et de partir, et ce groupe est en progression constante.
Donc, mon sentiment c'est que nous devons dire non, et nous devons faire tout ce que nous pouvons faire. J'ai pris cette décision lors du litige auquel le gouvernement était partie prenante parce que j'étais absolument convaincue que si je continuais à dire non, il y avait de fortes chances que je puisse être tuée. J'ai été empoisonnée en maintes occasions, donc j'ai eu affaire à un harcèlement assez grave.
Tout ce que je peux vous dire c'est qu'avoir dit non s'est avéré être la chose la plus intelligente que je n'aie jamais faite. Je ne dis pas que ce n'est pas difficile. C'est exceptionnellement gênant. Je suis passé de personne nantie à une personne ayant à vivre des périodes de pauvreté extrême. C'était assez horrible.
Mais en même temps, vous sortez de l'autre bout et c'est une belle vie. C'est juste une belle vie que d'être libre ... Je ne pense pas qu'il y ait un autre moyen de parvenir à une vie libre et inspirée que de s'y lancer. Il vous faut dire non. Et si nous ne disons pas non, nous allons être des esclaves. Franchement, je préfère être morte que de prendre ces injections. Dieu sait ce qui s'y trouve. » Il n'y a pas de vaccination obligatoire aux États-Unis
Récemment, le président Biden a publié une directive présidentielle inconstitutionnelle selon laquelle les entreprises de 100 employés ou plus sont tenues de rendre obligatoire l'injection de tous les membres du personnel. L'amende peut s'élever jusqu'à 700 000 dollars par infraction.
De telles grosses amendes pourraient rapidement mettre en faillite toutes les entreprises hormis les plus riches si elles ne s'y conforment pas. Néanmoins, même ici, il y a le choix, parce qu'en l'état actuel des choses, il n'y a pas de règle ou de loi LÉGALE dictant des règles en matière de vaccination pour les entreprises privées. « Ceci est un génocide », dit Austin Fitts. 'Il n'y a pas de règle d'urgence temporaire OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Administration de la Sécurité au Travail et de la Santé — NdT). Il n'y a pas de document. Si je suis une entreprise et que vous n'avez pas de loi, pas de règlement, pas de règlement d'urgence — vous ne pouvez pas légiférer par conférence de presse, et vous ne pouvez pas appliquer des sanctions pécuniaires à partir de rien.
Je ne sais pas sur quelle base juridique vous pouvez appliquer une sanction pécuniaire civile à une violation d'une loi non existante et d'une règle non existante. Maintenant, je ne suis pas en train de vous dire que vous ne pouvez pas trouver un juge et le menacer et l'effrayer afin qu'il adhère à cela. Mais je dois vous dire, s'il y a quelque chose qui vaut la peine d'être plaidé, c'est bien cela.
Mais voyons si une entreprise peut exister en tant que sujet politique. Si toutes les entreprises dans le Monde sont en fait captives du chantage de l'organisation SPECTRE — parce que ça tourne vraiment en James Bond — (alors), personne ne peut représenter l'actionnaire, parce qu'ils ne peuvent pas dire non au crime organisé.
Alors nous n'avons plus d'économie. Nous n'avons plus de marché boursier. Nous n'avons plus de pays. Nous n'avons plus de civilisation. Nous n'avons plus qu'une mafia, n'est-ce pas ? Tout a disparu.
Donc, pour moi, je ne peux songer à quelque chose de mieux à plaider que de savoir si oui ou non nous allons avoir une loi. Si tout n'est que la règle de la mafia, il n'y aura pas d'entreprises. Il n'y aura pas de marché boursier. Il n'y aura pas de système financier. Et bon nombre d'entre nous vont mourir.
Donc je pense qu'il va nous falloir décider si nous voulons ou non avoir un État de Droit... Je ne crois pas que le crime organisé avec toute sa force coercitive ait le pouvoir de tout saboter pendant que les gens se dressent. » Qui est derrière tout cela ?
Quant à savoir qui est derrière cette gigantesque manipulation, c'est difficile à dire. Je pense que le plus proche que nous puissions arriver sur l'identité de ces criminels ce sont les actionnaires privés de Vanguard [Ndlr : et de Blackrock], parce que Vanguard possède la plupart des entreprises du Monde. Austin Fitts pense que ce sont les propriétaires privés des banques centrales. Elle explique : « Vanguard appartient essentiellement à elle-même. Donc la question est qui la contrôle dans les coulisses ? J'ai un livre en ligne intitulé « Dillon Read et l'Aristocratie des Profits Boursiers ». J'ai essayé par trois fois de le publier en version papier et à chaque fois j'ai été menacée. La dernière fois ils ont menacé quelqu'un de ma famille.
Donc je l'ai laissé en ligne. (Dans ce livre), je raconte l'histoire de comment j'ai été une associée et membre du conseil d'administration de Dillon Read. À un moment donné, j'ai été surprise par leur choix du prochain président de la compagnie. (Il y avait) là (dans cette compagnie — NdT) un merveilleux associé dont le père avait dirigé la compagnie autrefois, alors je lui ai dit 'Je suis surprise de ce choix. Ce n'est pas du tout un « gars de Nick » (Nick étant l'ancien président — NdT)
Nick Brady, le PDG de la compagnie, était allé (avait été élu — NdT) au Sénat pendant un moment, c'est pourquoi ils amenaient un autre président. Et mon associé a dit, 'Nick ne l'a pas choisi. Les Rothschild l'ont choisi'. J'ai dit, 'Attends une minute. Nous sommes propriétaires de l'entreprise. Qu'est-ce que les Rothschild ont à voir avec nous ? Et il m'a simplement regardée et a roulé les yeux... et est parti comme si j'étais la personne la plus stupide d'Amérique. Le surnom d'Austin Fitts donné par le comité qui dirige le Monde est "Mr Global". Elle reconnaît qu'elle ne comprend pas complètement comment ça fonctionne au sommet, mais elle sait que la prise de décision est très centralisée, qu'elle est probablement gérée par le comité, et que les membres (du comité — NdT) sont tenus au secret pour une durée de 50 ans. 'Depuis la Deuxième Guerre Mondiale, il y a une quantité d'argent énorme qui disparaît de manière constante à cause du système financier', dit-elle. 'C'est presque comme si la planète est une REIT (real estate investment trust — société d'investissement immobilière). Je n'oublierai jamais la scène du film 'Jupiter Ascending' où la princesse d'une galaxie lointaine regarde cette Terrienne et lui dit 'La Terre n'est qu'une toute petite partie d'une société bien plus grande'.
En fait, si vous regardez le système financier, c'est comme ça que ça marche — comme si tout le monde était forcé à produire ce dividende et qu'il (le système financier — NdT) devient très dysfonctionnel à cause du secret.
Maintenant on m'a dit à plusieurs reprises — et j'ai tendance à le croire — que les personnes qui dirigent littéralement ce que la plupart des gens appellent l'État Profond ont essayé de comprendre comment ils pourraient augmenter la transparence et ils se heurtent à tellement de problèmes de responsabilité que tout simplement ils abandonnent.
S'il y a une solution dont nous avons tous besoin, c'est d'apporter une énorme transparence et réduire le risque avec les personnes au sommet. Parce que je pense qu'une des raisons pour lesquelles ils poussent au contrôle complet c'est... qu'ils peuvent alors gérer les choses de manière centralisée avec l'intelligence artificielle...
Le contrôle complet c'est : vous êtes sur un réseau intelligent qui est sous surveillance 24/7 (24 h/24, 7 jours/7 — NdT) et qui vous soumet à toutes sortes de propagande et de contrôle de l'esprit, et ils ont le pouvoir d'effacer votre compte si vous ne vous comportez pas bien. Ceci peut être géré par logiciel, l'IA (Intelligence Artificielle — NdT) et un réseau intelligent (grâce au passeport vaccinal et la MNBC)...
Je le décrirais comme un système d'esclavage... Ils peuvent littéralement garantir un être humain et le connecter au système bancaire, et ils peuvent arrêter toute révolution violente une fois qu'ils ont en gros numérisé et mis tout le monde sur un système de contrôle des transactions financières...
Je pense que c'est une terrible erreur. Mais je pense qu'ils... ne savent pas quoi faire d'autre. Si nous arrivons à nous sortir de cela, premièrement, nous devons simplement dire non et refuser de rentrer dans la boîte. L'autre (deuxièmement — NdT) c'est qu'il nous faut apporter de la transparence là où nous pouvons tous changer. Parce qu'il nous faut une réinitialisation. Si nous continuons comme nous le faisons, ça ne marchera pas. » Il nous faut une réinitialisation, mais pas de 'la grande réinitialisation'
Ils sont nombreux à avoir souligné que c'est une inéluctabilité mathématique que le système financier des banques centrales s'effondre. Vous ne pouvez pas accumuler des dettes à perpétuité. Ce n'est tout simplement qu'une question de quand. Comme l'a fait remarquer Austin Fitts, nous avons actuellement un retour sur investissement négatif.
Mais le système financier peut certainement être remanié pour un retour sur investissement positif. Néanmoins, pour faire cela, nous ne pouvons pas permettre aux sociétés de fonctionner au-dessus de lois. Elle explique : « À l'heure actuelle, nous avons une doctrine juridique qui dit qu'aussi longtemps qu'ils peuvent se faire de l'argent, ils sont plus ou moins libres d'agir au-dessus des lois. L'économie doit être subordonnée à la société. Vous ne pouvez pas laisser votre vie économique déterminer la primauté du droit. Et donc, nous avons pratiquement donné une immunité juridique aux grandes banques internationales, et à travers elles, aux entreprises.
Le modèle d'entreprise actuel, tel qu'il existe actuellement, ne marche pas. Ce que nous observons c'est la destruction de la société afin qu'il puisse continuer à fonctionner. Franchement, vous ne pouvez pas avoir une économie ou une société en bonne santé si le secteur financier est dominant plutôt que subordonné. Le système financier devrait servir la société et la civilisation, et non l'inverse. » Des signes d'un changement positif
Cependant, il y a des signes d'un réel changement — un changement positif. Austin Fitts fait remarquer, pour la première fois de sa vie, elle voit des personnes extrêmement talentueuses et bien éduquées qui ont toujours été réticentes à faire des vagues disant qu'elles veulent sortir (du système — NdT) ; elles préfèrent mourir plutôt que d'être réduites en esclavage par le crime organisé. « Je me rappelle d'un scientifique et médecin vraiment formidable me disant, 'Je suis prêt à commencer une toute nouvelle civilisation'. Il y a une vague de talents et de solennité que je n'ai jamais vue et qui dit 'Je préfère faire partie de la nouveauté. J'en ai marre de celle-ci.
Donc je vois une formidable cassure — et non simplement un refoulement — de la part de personnes qui veulent être partie prenante de quelque chose de civilisé. Elles réalisent que la corruption a atteint un point où il est inutile d'essayer de s'entendre ou d'être au milieu de la route ou de suivre...
Le défi pour nous tous est comment pouvons-nous basculer nos économies et notre épargne retraite pour financer la création de cette nouvelle capacité ? D'une part, vous avez des étudiants qui quittent l'école et qui doivent faire l'école à la maison. D'autre part, vous avez des enseignants qui quittent l'école parce qu'ils ne veulent pas recevoir l'injection.
Nous devons créer des entreprises et des réseaux et des sites web qui nous aident à nous rencontrer. Si ce processus se déroule dans un esprit d'entreprise, il pourrait être très positif et très excitant.
C'est ce que je vois dans les nouveaux médias. Mais cela doit également se produire dans les services de santé et dans l'éducation, et il faudra que suffisamment de personnes réalisent que le Titanic est en train de couler. Il n'est pas possible de revenir en arrière. Elles pourraient tout aussi bien récupérer quelques planches et commencer à construire des arches.
Sans intégrité il n'y a pas de civilisation. Donc, si vous voulez faire partie de quelque chose qui a de l'intégrité, vous ne pouvez pas rester (dans l'ancien système). Je le répète, il n'y a pas de juste milieu... Je dis, dites oui à la science, dites oui à l'intégrité, dites oui à la loi.
La situation de chaque personne est différente, mais trouvez un moyen de traduire ce oui en quelque chose de productif. Soyez utile. C'est ce que j'ai essayé de faire. J'ai eu une vie merveilleuse en tant que banquier d'affaires, mais je me suis réveillée et je ne pouvais plus (continuer)... j'ai fait des transactions portant sur des milliards de dollars. Je ne savais pas faire un plan financier pour quelqu'un qui avait 25 000 dollars.
Donc j'ai commencé par simplement répondre aux questions des gens et ces questions ont évolué jusqu'à devenir deux entreprises, le Solari Report et le Solari Investment Advisory Services (pour cette dernière 'Service de Conseils en Investissement — NdT). Cela a pris de nombreuses années, mais je n'ai fait qu'essayer d'être utile. Donc chacun d'entre nous doit commencer par là.
Nous devons nous demander 'quelle compétence ai-je' ? Quelles compétences puis-je acquérir ? Dans quelles compétences puis-je évoluer ? Et comment puis-je servir les gens autour de moi ? Que puis-je faire pour être utile ? Et nous partons de là.
Mais vous devez choisir l'intégrité et la civilisation ou choisir d'être un esclave du crime organisé. Vous devez faire ce choix. Et voulez-vous savoir ? C'est un choix dangereux. J'ai failli ne pas y arriver. Mais comme je l'ai dit à mon ancien collègue, je préfère mourir dans le désert que d'être dans des endroits souterrains avec vous les gars. »
Genève : plusieurs milliers de personnes manifestent contre les mesures anti-Covid (VIDEOS)
13 nov. 2021, 21:14
Plusieurs milliers de personnes ont protesté à Genève contre les mesures anti-Covid et appelé dans la foulée à voter «non» au référendum prévu le 28 novembre sur la «loi Covid-19». Le texte prévoit notamment l'instauration d'un «certificat Covid». Plusieurs milliers de personnes ont manifesté le 13 novembre à Genève (Suisse) contre les mesures anti-Covid mises en place par le gouvernement fédéral, et pour dire non à la «loi Covid-19» qui va être soumise au vote populaire le 28 novembre.
Ouvert par des sonneurs de cloches suisses qui se font appeler «les sonneurs de la liberté», le cortège qui comptait 5 000 manifestants selon les organisateurs, 2 500 selon la police genevoise, a parcouru les rues de la ville jusqu'aux abords du palais des Nations, siège européen des Nations unies. Les manifestants dénonçaient pêle-mêle sur les panneaux et banderoles la «vaccination forcée», la «surveillance de masse» et les «discriminations» générées selon eux par l'ensemble des restrictions imposées depuis le début de la pandémie de Covid-19 au sein de la Confédération helvétique.
Les êtres humains ne sont pas là pour être tracés, pour être traités comme du bétail Le rassemblement a aussi appelé à voter «non» au référendum organisé le 28 novembre sur la «loi Covid-19» encadrant un dispositif anti-Covid, qui selon eux, a été durci par des modifications parlementaires intervenues en mars dernier. Ces modifications permettent notamment de donner la base légale nécessaire à l'instauration d'un «certificat Covid» pour les personnes vaccinées ou guéries, tout en étendant les possibilités de traçage des contacts pour «briser les chaînes de contamination».
«Cette loi est discriminatoire, ça va créer une société à deux vitesses et ce n'est pas du tout en accord avec notre constitution et nos valeurs suisses», a affirmé à l'AFP Agnès Aédo, porte-parole des «Amis de la constitution», un des groupes à l'origine du référendum. «Les êtres humains ne sont pas là pour être tracés, pour être traités comme du bétail et on ne doit pas faire de ségrégation entre les différentes personnes, ça c'est le message vraiment important»«», a ajouté Chloé Frammery, l'une des figures de proue des militants anti-restrictions sanitaires en Suisse romande.
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 13 NOV 2021 - 19:30 Rédigé par Michael Shellenberger via Substack,
Présentation de la taxonomie de la religion éveillée
Au cours de la dernière année, un nombre croissant de progressistes et de libéraux ont souligné les meurtres par la police d'hommes noirs non armés, l'augmentation des émissions de carbone et des événements météorologiques extrêmes, et le meurtre de personnes trans comme preuve que les États-Unis n'ont pas pris de mesures contre le racisme, changement climatique et transphobie. D'autres ont souligné la guerre contre la drogue, la criminalisation de l'itinérance et l'incarcération de masse comme preuve que peu de choses ont changé aux États-Unis au cours des 30 dernières années.
Et pourtant, sur chacune de ces questions, les États-Unis ont fait des progrès significatifs.
Les meurtres par la police d'Afro-Américains dans nos 58 plus grandes villes sont passés de 217 par an dans les années 1970 à 157 par an dans les années 2010. Entre 2011 et 2020, les émissions de carbone ont diminué de 14 % aux États-Unis, plus que dans tout autre pays, alors que seulement 300 personnes sont mortes de catastrophes naturelles, soit une baisse de plus de 90 % au cours du siècle dernier. L'acceptation des personnes trans par le public est plus élevée que jamais. La population carcérale et carcérale totale des États-Unis a culminé en 2008 et a considérablement diminué depuis. Seulement 4 % des prisonniers d'État, qui représentent 87 % de la population carcérale totale, sont pour possession de drogue non violente ; seulement 14 % sont accusés d'une infraction non violente en matière de drogue. Et de nombreuses grandes villes, dont Los Angeles, San Francisco et Seattle, ont effectivement dépénalisé le camping public des sans-abri.
Les progressistes répondent que ces gains masquent de larges inégalités et sont menacés. Les Noirs américains sont tués entre deux et trois fois plus que les Américains blancs, selon une analyse du Washington Post sur les meurtres de policiers entre 2015 et 2020. Les émissions de carbone augmentent à nouveau alors que les États-Unis sortent de la pandémie de covid, et les scientifiques pensent que le réchauffement climatique contribue aux phénomènes météorologiques extrêmes. En 2020, Human Rights Campaign a constaté qu'au moins 44 personnes transgenres et non conformes au genre ont été tuées, ce qui est le plus grand nombre depuis qu'elle a commencé à suivre les décès en 2013, et ce nombre a déjà atteint 45 cette année. La prohibition des drogues reste en vigueur, des sans-abri sont toujours arrêtés et les États-Unis continuent d'avoir l'un des taux d'incarcération les plus élevés au monde.
Mais ces chiffres masquent également des réalités importantes. Il n'y a pas de différences raciales dans les meurtres par la police lorsqu'il s'agit de déterminer si le suspect était ou non armé ou menaçant (tirs « justifiés » contre « injustifiés »). Alors que les émissions de carbone augmenteront en 2021, il y a tout lieu de croire qu'elles continueront de baisser à l'avenir, tant que le gaz naturel continuera de remplacer le charbon et que les centrales nucléaires continueront de fonctionner. Bien que le changement climatique puisse contribuer aux événements météorologiques extrêmes, ni l'IPCC ni aucun autre organisme scientifique ne prédit qu'il dépassera la résilience croissante pour provoquer une augmentation du nombre de décès dus aux catastrophes naturelles. Les chercheurs ne savent pas si les personnes trans sont tuées de manière disproportionnée par rapport aux personnes cis, si les homicides trans sont en augmentation ou si les personnes trans sont tuées parce qu'elles sont trans plutôt que pour une autre raison. Vingt-six États ont décriminalisé la marijuana, et la Californie et l'Oregon ont respectivement décriminalisé et légalisé la possession de toutes les drogues. Les procureurs de district progressistes de San Francisco, Los Angeles et d'autres grandes villes ont réduit les poursuites contre des personnes pour avoir enfreint de nombreuses lois liées à l'itinérance, notamment le camping public, la consommation de drogues en public et le vol.
Et pourtant, de nombreux Américains seraient surpris d'apprendre l'une des informations ci-dessus ; certains le rejetteraient carrément comme faux. Considérez que, malgré la baisse des meurtres policiers d'Afro-américains, la part du public qui a déclaré que la violence policière est un problème grave ou extrêmement grave est passée de 32 à 45 % entre 2015 et 2020. Malgré la baisse des émissions de carbone, 47 % des le public était d'accord avec la déclaration : « Les émissions de carbone ont augmenté aux États-Unis au cours des 10 dernières années », et seulement 16 % n'étaient pas d'accord. Pendant ce temps, 46 % des Américains sont d'accord avec l'affirmation selon laquelle « les décès dus aux catastrophes naturelles augmenteront à l'avenir en raison du changement climatique » et seulement 16 % ne sont pas d'accord, malgré l'absence de tout scénario scientifique étayant de telles craintes. Et malgré le manque de preuves solides, les médias grand public ont largement rapporté que le meurtre de personnes trans est en augmentation.
Le fossé entre la réalité et la perception est alarmant pour des raisons qui dépassent l'importance d'avoir un électorat informé pour une démocratie libérale saine. La méfiance à l'égard de la police semble avoir contribué à l'augmentation de près de 30 % des homicides après les manifestations de 2020 Black Lives Matter l'année dernière, à la fois en enhardissant les criminels et en provoquant un retrait de la police. Un nombre croissant de recherches révèle que la couverture médiatique du changement climatique contribue à l'augmentation des niveaux d'anxiété et de dépression chez les enfants. Et il y a de bonnes raisons de craindre que la désinformation sur le meurtre d'individus trans et non conformes au genre contribue à l'anxiété et à la dépression chez les jeunes trans et dysphoriques de genre.
Les médias sociaux, les ONG et la mort de Dieu
Pourquoi donc ? Pourquoi existe-t-il un tel fossé entre la perception et la réalité sur tant de questions importantes ?
Une partie de la raison semble provenir de l'essor des médias sociaux et des changements correspondants dans les médias d'information au cours de la dernière décennie. Les médias sociaux alimentent une certitude croissante et injustifiée, le dogmatisme et l'intolérance de la diversité des points de vue et des informations non confirmées. Les plateformes de médias sociaux, notamment Facebook, Twitter et Instagram, récompensent les utilisateurs pour le partage d'informations populaires auprès de leurs pairs, en particulier les opinions extrêmes, et punissent les utilisateurs pour avoir exprimé des opinions impopulaires, plus modérées et moins émotionnelles. Ce cycle s'auto-renforce. Le public recherche des opinions qui renforcent la leur. Les experts cherchent des conclusions et les journalistes écrivent des articles qui affirment les prédispositions de leur public. C'est peut-être pour ces raisons qu'une grande partie des médias n'ont pas informé leur public qu'il n'y a pas de différences raciales dans les meurtres de policiers, que les émissions sont en baisse et que les allégations d'augmentation des meurtres trans sont non scientifiques.
Une autre raison peut être due à l'influence d'organisations de plaidoyer bien financées pour façonner les perceptions du public, en particulier en combinaison avec les médias sociaux. Des organisations telles que l'American Civil Liberties Union, la Human Rights Campaign et la Drug Policy Alliance ont induit en erreur les journalistes, les décideurs et le public à propos des meurtres de policiers, de la politique en matière de drogue et des meurtres trans, souvent en omettant simplement des informations contextuelles cruciales. Il en va de même pour les militants du climat, y compris ceux qui opèrent en tant qu'experts et journalistes, qui cachent des informations sur la baisse des décès dus aux catastrophes naturelles, le coût des catastrophes par rapport à la croissance du PIB et la baisse des émissions américaines.
Mais aucune de ces explications ne capture pleinement la qualité religieuse d'une grande partie du discours progressiste sur les questions relatives à la race, au climat, aux trans, à la criminalité, à la drogue, à l'itinérance et à la question connexe de la maladie mentale. Un nombre croissant de penseurs libéraux, hétérodoxes et conservateurs utilisent le mot « réveil » pour décrire la religiosité de tant de causes progressistes aujourd'hui. Dans son nouveau livre, Woke Racism, le linguiste de l'Université Columbia, John McWhorter, soutient que le wokeisme devrait, littéralement, être considéré comme une religion.
Comme preuve pour son argument, McWhorter pointe des mythes répandus, comme l'affirmation démystifiée selon laquelle la guerre d'indépendance américaine a été menée pour maintenir l'esclavage, ou que les disparités raciales dans les performances éducatives sont dues à des enseignants racistes. Il souligne la ferveur religieuse de Woke en cherchant à censurer, licencier et punir autrement les hérétiques pour avoir des opinions tabous. Et McWhorter suggère que, parce que le Wokeism répond à des besoins psychologiques et spirituels spécifiques de sens, d'appartenance et de statut, souligner ses éléments surnaturels est susceptible d'avoir peu d'impact chez les Woke.
Mais juste parce qu'une idéologie est dogmatique et pharisaïque n'en fait pas nécessairement une religion, et il est donc juste de se demander si le wokeisme est autre chose qu'un nouveau système de croyances. Il n'y a aucun élément évidemment mythologique ou surnaturel dans l'idéologie de Woke, et ses adeptes justifient rarement, voire jamais, leurs déclarations en faisant référence à un dieu ou à une puissance supérieure. Mais un examen plus approfondi du wokeisme révèle en effet toute une série de croyances mythologiques et surnaturelles, y compris l'idée que les Blancs d'aujourd'hui sont responsables des actions racistes des Blancs dans le passé ; que le changement climatique risque de faire disparaître les humains ; et qu'une personne peut changer de sexe en s'identifiant simplement comme étant du sexe opposé.
En lisant le nouveau livre de McWhorter, j'ai été surpris de découvrir de nombreuses similitudes entre le racisme éveillé et l'environnementalisme apocalyptique, que dans Apocalypse Never je décris comme une religion. Chacun offre un péché originel comme cause des maux actuels (par exemple, l'esclavage, la révolution industrielle). Chacun a des démons coupables (par exemple, des Blancs, des « négateurs du climat », etc.), des victimes sacrées (par exemple, des Noirs, des insulaires pauvres, etc.) (par exemple, les militants du BLM, Greta Thunberg, etc.). Et chacun a un ensemble de tabous (par exemple, dire "Toutes les vies comptent", critiquer les énergies renouvelables, etc.) et de rituels de purification (par exemple, s'agenouiller/s'excuser, acheter des compensations de carbone, etc.).
J'ai également vu des parallèles entre le racisme éveillé, l'environnementalisme apocalyptique et la victimologie, que je décris à San Fransicko comme une religion complète avec le point de vue métaphysique (essentialiste) selon lequel les gens peuvent être classés comme victimes ou oppresseurs, selon la nature de leur identité ou de leur expérience.
J'ai contacté un nouvel ami, Peter Boghossian, un philosophe qui a récemment démissionné de son poste à l'Université d'État de Portland en réponse à la répression wokeiste, et d'autres experts de différents mouvements Woke, et ensemble nous avons construit une taxonomie de la religion Woke (ci-dessous). Il comprend sept domaines thématiques (racisme, changement climatique, trans, criminalité, maladie mentale, drogue et sans-abrisme) couverts par Woke Racism, Apocalypse Never, San Fransicko, les recherches de Peter et les écrits d'autres critiques du Wokeism. Et il recoupe dix catégories religieuses (péché originel, diables coupables, mythes, victimes sacrées, les élus, croyances surnaturelles, faits tabous, discours tabou, rituels purifiants, discours purifiant). Nous avons été surpris par la facilité de remplir chaque catégorie et par les similitudes et les différences fascinantes entre elles.
Nous avons décidé de publier la Woke Religion Taxonomy parce qu'elle était utile à notre propre compréhension du Wokeism en tant que religion, et nous pensions que cela pourrait aider les autres. La taxonomie identifie les mythes courants et les croyances surnaturelles et aide à expliquer pourquoi tant de gens continuent de les avoir, malgré des preuves accablantes qu'ils sont faux. Nous ne nous faisons aucune illusion que la taxonomie réduira le pouvoir que le wokeisme détient sur les vrais croyants. Mais nous pensons également qu'il aidera à orienter ceux qui sont déconcertés par son irrationalisme et qui recherchent une vue d'ensemble accessible. Enfin, nous le publions parce que nous reconnaissons que nous pourrions avoir tort, que ce soit sur des questions de fait ou de classification, et espérons que cela encouragera une discussion et un débat sains. En tant que tel, nous l'avons publié avec la mise en garde qu'il s'agit de la « Version 1.0 » dans l'espoir que nous la réviserons à l'avenir.
Peter et moi tenons à souligner que nous avons publié la Taxonomie au service du projet libéral et démocratique de progrès social et environnemental, que nous pensons être menacé par le wokeisme. Nous pensons que les États-Unis sont bien placés pour réduire les meurtres de policiers, la criminalité et les émissions de carbone ; protéger la vie et la santé mentale des personnes trans, non conformes au genre et cis; et mieux traiter les malades mentaux et les toxicomanes. Mais pour cela, il faudra que le wokeisme affaiblisse son emprise sur la psyché américaine.
Comme Peter l'écrit, « le sectarisme et la discrimination raciale sont réels et n'ont pas leur place dans la société. Oui, le racisme persiste. Oui, l'homophobie persiste. Oui, il y a une haine continue des personnes trans. Celles-ci sont moralement odieuses et nous devons tous travailler ensemble pour y mettre fin. La religion éveillée, cependant, n'est pas le moyen d'arrêter ces horreurs morales. Cela rend nos problèmes communs plus difficiles à résoudre.
Selon un rapport de Bloomberg, le clone de MySpace SpaceHey a dépassé la barre des 200 000 utilisateurs un an après son lancement.
Conçu à l'origine comme un projet de passe-temps par le développeur Web allemand Anton Röhm, âgé de 18 ans, le site a reçu des éloges pour sa configuration respectueuse de la confidentialité et ses vibrations nostalgiques qui ne reposent pas sur des goûts et des algorithmes. Comme le montre Florian Zandt de Statista dans le graphique ci-dessous, il est peu probable que le réseau social se rapproche de l'attrait de MySpace – ce qui pourrait être une bonne chose tout bien considéré.
- voir sur site -
Infographie : L'ascension et la chute de MySpace | Statistique Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Lorsque Rupert Murdoch's News Corp. a acheté le site pour 580 millions de dollars en juillet 2005, deux ans après son lancement, tous les signes laissaient présager un avenir radieux pour la plate-forme de médias sociaux. Facebook et YouTube ne gagnaient que lentement du terrain, Instagram, Twitter ou WeChat n'étaient que des idées dans la tête de leurs fondateurs, et le site comptait 22 millions d'utilisateurs. À son apogée en 2006 et 2007, il était évalué à 12 milliards de dollars avant une fusion potentielle avec Yahoo après être devenu le site Web le plus visité des États-Unis. Son plus grand concurrent Facebook a dépassé MySpace en termes de visiteurs uniques en mai 2008, la base d'utilisateurs du site déclinait déjà rapidement.
En juin 2011, les estimations plaçaient la base d'utilisateurs du réseau social à environ 60 millions après un mois d'exode de millions de visiteurs. La plate-forme de Mark Zuckerberg, en revanche, a touché 687 millions d'utilisateurs dans le monde à cette époque. Cela n'a pas empêché la superstar de la pop Justin Timberlake et la société de publicité Specific Media de récupérer le réseau en difficulté pour 35 millions de dollars et de promettre une nouvelle image de marque moderne axée sur la musique du site. Ses utilisateurs n'ont pas bien accueilli cette idée : en octobre 2013, la nouvelle phase de MySpace a été mise en ligne, se qualifiant de destination de divertissement social au lieu d'un réseau social, alors que sa base d'utilisateurs était tombée à seulement 36 millions. Au cours des deux dernières années, le site autrefois célèbre a finalisé sa descente dans l'obscurité, d'abord vendu à Time Inc. avec sa société mère Viant pour un montant non divulgué en 2016, puis à Meredith Corporation en 2018. vrais gros titres en mars 2019, perdant toutes les données utilisateur du lancement à 2015 en raison d'une migration de serveur bâclée.
Étonnamment, le site existe toujours et est régulièrement rempli de contenus éditoriaux syndiqués et sa maison mère semble s'être redressée avec assez de succès : après avoir racheté ses actions à Meredith Corporation fin 2019, Viant est devenue publique en février et à partir de Le 12 novembre se situe à une capitalisation boursière de 680 millions de dollars. Pourtant, un renouveau des aspects sociaux de MySpace semble peu probable – mais au moins maintenant, il existe une alternative pour les fans d'expériences rétro sur les réseaux sociaux.
Nocivité des vaccins......................... 43 % Lady Di.............................................. 34 Illuminati........................................... 27 Grand remplacement....................... 25 Signes sur les billets de banques...... 23 Complots sionistes............................ 22 Trafic de drogue contrôlé par la CIA. 19 11 Septembre 2001.......................... 17 Traînées blanches des avions........... 15 Américains sur la lune...................... 9
à 36:34 on remarque ce sondage idiot. 'Lady Di' c'est quoi la question ? Si elle a existé ou non ? Le '11 Septembre 2001' c'est quoi la question ? S'il a existé ou non ? Les 'Traînées blanches des avions' c'est quoi la question ? Vous parlez des contrails ou des chemtrails ?
La question à savoir si ces évènements existent ou non est un peu ambigu !
Prenons le simple exemple (pour tester les cons) de cette question: "Estimez vous qu'une république, une monarchie ou un empire peut être une Démocratie" Là, c'est pas loin des 99 % !! qui répondront par un oui !! Car ils ne savent pas ce qu'est une Démocratie !! Il ne savent pas que la Démocratie c'est 'Par le Peuple, Pour le Peuple'. Il ne savent pas qu'il n'y a qu'un seul pays au monde en Démocratie !! Ce pays c'est la Suisse. Plus de 56 % des suisses ignorent le nom du chef ou de la cheffe d’État Suisse ! (il ou elle change chaque année).
Maintenant, le démantèlement organisé de l’approvisionnement mondial en engrais ?
par F. William Engdahl. 14 novembre 2021
Les pénuries mondiales d’énergie qui ont fait exploser les prix du charbon, du pétrole et du gaz naturel au cours des derniers mois sont une conséquence prévisible de la folle poursuite de politiques économiques « zéro carbone » qui ont vu des gouvernements insensés subventionner une part croissante de l’électricité produite par des centrales solaires et éoliennes peu fiables. L’une des conséquences a été la multiplication par cinq du prix du gaz naturel ou du méthane dans le monde entier. Cela va de la Chine à l’UE, aux États-Unis et au-delà. Cette pénurie de gaz naturel et l’explosion de son prix ont eu pour conséquence une crise croissante de la production d’engrais pour l’agriculture mondiale. Tout ceci n’est peut-être pas un accident. Il s’inscrit dans l’agenda de la Grande Réinitialisation de l’ONU 2030 du Forum économique mondial.
Les engrais à base d’ammoniac fabriqués à partir d’azote (la plus grande partie de notre air, donc jamais en pénurie) et de gaz naturel ou de méthane (CH4) représentent près de 70 % de tous les engrais utilisés pour soutenir les principales cultures agricoles telles que le blé, le maïs, le riz et même le café. La flambée des prix du gaz naturel, de 300 à 500 % au cours des derniers mois, a eu un effet dévastateur sur la production mondiale d’engrais, dont 80 % du coût de fabrication des engrais ammoniacaux est imputable au gaz naturel.
Lorsque l’ouragan Ida a traversé la Louisiane le 25 août, le plus grand complexe d’usines d’ammoniac du monde, appartenant à CF Industries, a été fermé pour des raisons de sécurité et n’a rouvert que dix jours plus tard. Curieusement, à ce moment-là, deux autres usines de la même CF Industries, celles du Royaume-Uni, ont annoncé qu’elles fermeraient deux autres usines d’engrais le 22 septembre, en invoquant le prix élevé du gaz naturel comme cause, alors que leur usine de Louisiane venait d’être fermée pendant dix jours. Ces deux usines fournissent environ deux tiers de la demande intérieure d’engrais au Royaume-Uni. Le gouvernement a été contraint d’accorder des subventions d’urgence à CF Industries pour rouvrir temporairement l’une des deux usines afin d’atténuer les pressions. L’effet combiné de ces trois fermetures majeures par le même groupe a aggravé la crise de l’approvisionnement mondial en engrais. Ce n’est peut-être qu’une coïncidence si les deux plus grands actionnaires de CF Industries sont Vanguard et BlackRock.
Cette crise fait boule de neige. Début octobre, des fermetures de la production d’engrais à base d’ammoniac ont été annoncées par le géant allemand de la chimie, BASF, en Belgique et en Allemagne, pour une durée indéterminée. Cela concerne également la production d’AdBlue, un additif pour carburant diesel à base d’ammoniac.
D’autres fermetures sont en cours à Achema en Lituanie et à OCI aux Pays-Bas. Yara International réduit de 40% sa production d’engrais à base d’ammoniac dans l’UE. Fertiberia en Espagne ferme une usine ainsi que OPZ en Ukraine, un important producteur d’engrais. En Autriche, Borealis AG a fermé sa production et le plus grand producteur d’ammoniac d’Allemagne, SKW Piesteritz, a réduit sa production de 20%.
Aggravant la crise mondiale des engrais, l’administration Biden a imposé en août des sanctions au gouvernement biélorusse, désignant explicitement Belaruskali OAO, le quatrième producteur mondial d’engrais, pour avoir « soutenu le régime biélorusse aux dépens du peuple biélorusse ». Belaruskali contrôle environ un cinquième du marché mondial des engrais à base de potasse.
Le cœur de la sécurité alimentaire mondiale
Les engrais à base d’azote sont de loin les plus utilisés dans l’agriculture mondiale, soit environ trois quarts de tous les engrais commerciaux. Depuis la mise au point du procédé Haber-Bosch en Allemagne juste avant la Première Guerre mondiale, la production artificielle d’engrais azotés a soutenu l’énorme expansion de la productivité agricole. Les engrais azotés sont fabriqués à partir d’ammoniac (NH3) produit par le procédé Haber-Bosch. Ce procédé consomme beaucoup d’énergie et utilise du gaz naturel (CH4), qui est du méthane, pour fournir de l’hydrogène. Ce NH3 ou ammoniac est utilisé comme matière première pour d’autres engrais azotés, comme le nitrate d’ammonium anhydre (NH4NO3) et l’urée (CO(NH2)2). Depuis la Seconde Guerre mondiale, le rendement des cultures est devenu fortement dépendant des engrais azotés. On estime que pour les États-Unis, les rendements moyens du maïs diminueraient de 40 % sans les engrais azotés.
Aujourd’hui, on estime que la moitié de la population mondiale dépend peut-être des engrais azotés. Selon des études publiées dans la revue scientifique Nature, 48 % de la population mondiale en 2008 dépendait des engrais azotés pour son accès quotidien à la nourriture. « Cela signifie que les engrais azotés ont assuré en 2015 la sécurité alimentaire de 3,5 milliards de personnes qui, autrement, seraient mortes de faim ».
Le choc de la Chine
Ajoutant un énorme choc à la pénurie mondiale croissante d’engrais, Pékin a décidé ces dernières semaines de réduire fortement ou de geler les exportations d’engrais pour diverses raisons, notamment des pénuries de charbon et de gaz naturel pour l’énergie électrique et une tentative paniquée de contrôler l’inflation intérieure. Les inondations record de l’été dans la province du Henan ont touché le cœur de la région céréalière de la Chine, et le gouvernement a lancé une campagne pour que les citoyens se soumettent à une « campagne d’assiettes propres 2.0 » afin de mettre fin au gaspillage alimentaire, ce qui, selon certains, est un moyen de masquer les graves échecs de récolte.
La Chine, l’Inde et les États-Unis sont de loin les plus grands utilisateurs mondiaux d’engrais azotés en tonnes par acre. La Chine est également l’un des principaux exportateurs d’engrais. En septembre, le gouvernement a annoncé l’interdiction d’exporter des engrais azotés et phosphatés jusqu’en juin 2022. En raison de la flambée des prix mondiaux du gaz naturel et du charbon importé par la Chine, le pays a connu d’importantes coupures d’électricité dues à la fermeture de compagnies d’électricité plutôt que de vendre de l’énergie à perte. L’une des conséquences de cette crise complexe est l’interdiction d’exporter des engrais. La Chine est le plus grand exportateur d’engrais azotés à base d’urée, représentant près d’un tiers de l’offre mondiale, et est également un grand fabricant de phosphate.
En Bavière, dans le sud de l’Allemagne, les agriculteurs seraient dans l’impossibilité d’acheter des engrais au moins jusqu’à l’été prochain. L’extension de la crise mondiale des engrais entraînera une forte réduction des cultures de maïs fourrager, de blé, de riz, de café et autres en 2022. Cette crise survient alors que l’inflation des prix des denrées alimentaires est la plus forte depuis des décennies, et qu’elle est encore aggravée par les mesures du Covid et les perturbations du commerce maritime mondial.
Derrière la crise croissante de la pénurie d’engrais dans le monde se cache la multiplication par cinq du prix du méthane ou du gaz naturel, comme on l’appelle habituellement. Cette situation trouve son origine dans les politiques vertes délibérément « anti-carbone » de l’administration Biden et de l’Union européenne avec son programme « Fit for 55 » visant à réduire les émissions de gaz carbonique de 55% d’ici 2030. L’administration Biden a forcé le désinvestissement dans le gaz de schiste américain, et l’expansion forcée des énergies vertes hautement subventionnées comme l’éolien et le solaire ont créé un réseau électrique peu fiable. Lorsque le vent ne souffle pas ou que le soleil ne brille pas, l’énergie électrique alternative fait défaut. Le stockage est un énorme problème. Ce n’était pas si grave lorsque l’énergie solaire ou éolienne ne représentait qu’un infime pourcentage du réseau. Mais aujourd’hui, dans des pays comme l’Allemagne, qui dépend de l’énergie, les alternatives peuvent représenter 42 % de la consommation électrique brute. Alors que les centrales nucléaires et au charbon sont taxées jusqu’à l’extinction pour la folie du zéro carbone, les prix du pétrole et du gaz naturel explosent. Les nouveaux investissements dans l’exploitation des hydrocarbures s’effondrent en conséquence, et les réserves sont limitées au moment même où tout le monde en a besoin.
La crise croissante de la production mondiale d’engrais s’inscrit parfaitement dans le cadre de l’Agenda 2030 de l’ONU pour une agriculture « durable » (sic), par lequel les mondialistes, tels que le Forum économique mondial de Klaus Schwab et BlackRock de Wall Street, le plus grand fonds d’investissement privé au monde, qui gère 9000 milliards de dollars d’actifs, entendent réduire considérablement la production de viande, en la remplaçant par de fausses viandes cultivées en laboratoire ou même par des insectes comme source de protéines.
On assiste à une diabolisation croissante de l’agriculture, et notamment de la production de viande, sous prétexte qu’elle serait une source majeure du réchauffement climatique. Le méthane est désormais une cible majeure de l’agenda vert des États-Unis et de l’Union européenne. En particulier, lors de la récente conférence des Nations unies sur le réchauffement climatique (COP 26), une centaine de pays ont signé une proposition conjointe de l’UE et des États-Unis visant à réduire les émissions de méthane de 30 % d’ici à 2030. Il faut s’attendre à ce que les gouvernements et les ONG s’attaquent de plus en plus à notre système alimentaire en utilisant la flambée des prix des engrais, les campagnes contre la viande et les demandes d’agriculture « durable » pour augmenter encore le coût des denrées alimentaires. La clé de cette attaque est la guerre du Green New Deal contre le pétrole, le gaz et le charbon, le système énergétique à faible coût qui est au cœur de l’économie mondiale actuelle et qui permet d’échapper à la pauvreté depuis la Seconde Guerre mondiale.
Comme les éoliennes consomment plus d'électricité qu'elles n'en peuvent produire (lorsqu'il n'y a pas de vent les pales de 60 t. doivent tourner pour éviter le grippage ! Et, comme pour faire mouvoir 180 tonnes faut pas s'appeler Moulinex...). Les ordures qui les ont mis en place tout en sachant par avance qu'elles ne fonctionneraient jamais savaient aussi qu'avec le nombre de millions d'implantées aboutirait forcément une pénurie énergétique après la mort de milliards d'oiseaux et d'abeilles grâce à la 'vert-marq' !
Horloge à quelques heures de minuit pour les ports californiens débordés
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 14 NOV 2021 - 17:00 Par Greg Miller de FreightWaves,
Le flot de conteneurs d'importation dans le sud de la Californie se poursuit sans relâche – un record absolu de 81 porte-conteneurs ont été bloqués au large de Los Angeles et de Long Beach mardi. Le temps d'attente au mouillage pour Los Angeles explose et fait désormais plus que doubler le temps d'attente début septembre.
Les ports devraient commencer à facturer lundi des frais de temps de séjour excédentaires très controversés, un plan que certains membres du Conseil consultatif national des expéditeurs ont qualifié de « catastrophique », « fou » et « hors du champ gauche ».
Il ne reste que quelques heures avant le début des frais, il reste encore plus de 51 000 conteneurs sur les terminaux qui ont dépassé les limites de temps de séjour du plan.
- voir graphique sur site -
Si le plan tarifaire n'est pas retardé ou modifié, le coût total pour les transporteurs – qui serait en grande partie répercuté sur les importateurs – commencerait lundi prochain en millions par jour et passerait à des dizaines de millions par jour plus tard dans la semaine.
Il y a des spéculations en cours selon lesquelles les ports reculeront et annonceront un sursis, étant donné la baisse du nombre de conteneurs à séjour excédentaire ces dernières semaines et les coûts énormes qui seraient répercutés sur les importateurs américains.
Interrogé sur le niveau des frais qui devrait commencer la semaine prochaine, un porte-parole du port de Los Angeles a déclaré à American Shipper : « La Commission portuaire a accordé au directeur exécutif un pouvoir discrétionnaire concernant le programme. Plus de détails et d'informations viendront au plus tard le 15. »
Nouveau record de mouillage… encore une fois
Selon le Marine Exchange of Southern California, 111 porte-conteneurs étaient dans le port mardi, un nouveau record. Parmi ceux-ci, 30 étaient aux postes d'amarrage de Los Angeles/Long Beach, 32 au mouillage et un record de 49 « flânerie » (dans les circuits d'attente).
Graphique : expéditeur américain basé sur les données de Marine Exchange of Southern California Le décompte offshore de 81 n'inclut pas six autres navires non porte-conteneurs dans la file d'attente transportant des boîtes. La capacité totale des 87 navires transportant des conteneurs au large était de 576 720 unités équivalentes à vingt pieds. En supposant que les navires sont à pleine capacité et une valeur douanière moyenne de 43 899 $ par importation EVP (la moyenne enregistrée par le port de Los Angeles en 2020), la valeur de la cargaison flottant au large est d'environ 25 milliards de dollars.
Pendant ce temps, le temps d'attente au mouillage continue de s'intensifier. Le port de Los Angeles a déclaré que l'attente moyenne pour le mouillage à quai était un record de 16,6 jours jeudi. Le temps d'attente a fortement augmenté au cours de la semaine dernière.
- voir graphique sur site -
Graphique par expéditeur américain basé sur les données du signal du port de Los Angeles
La date limite approche pour le plan de frais controversé
Le 25 octobre, les ports de Los Angeles et de Long Beach ont annoncé un plan soutenu par l'administration Biden pour les frais d'urgence sur les conteneurs qui restent trop longtemps dans les terminaux. Les frais devaient initialement commencer le 1er novembre. Cela a été reporté au 15 novembre. Les frais étaient initialement fixés pour couvrir les conteneurs transportés par camion qui avaient séjourné pendant neuf jours ou plus et ceux qui se déplaçaient par train après trois jours ou plus. Les ports ont ensuite repoussé le calendrier ferroviaire à six jours ou plus.
Les responsables du port ont déclaré à plusieurs reprises qu'ils ne voulaient pas facturer les frais et reconsidéreraient si des progrès suffisants étaient réalisés avant le 15 novembre. L'espoir était que la seule menace des frais exclurait la nécessité de les évaluer.
Il y a effectivement eu des progrès considérables.
Au port de Long Beach, les conteneurs locaux (de camionnage) de neuf jours ou plus sont passés de 28 558 le 1er novembre à 20 534 mardi, soit une baisse de 28 %. Les conteneurs intermodaux (ferroviaires) de six jours ou plus sont passés de 1 643 à 573, une baisse de 65 %.
Le port de Los Angeles a déclaré à American Shipper que ses temps de séjour intermodaux n'étaient pas disponibles. Pour une estimation des temps de séjour des conteneurs locaux, les boîtes dans les terminaux de Los Angeles pendant neuf jours ou plus sont passées de 42 277 le 1er novembre à 30 210 le 10 novembre, soit une baisse de 28 %.
Les frais commenceraient à 100 $ par jour et augmenteraient de 100 $ chaque jour. Ainsi, par exemple, le septième jour après le début des évaluations, si un conteneur était toujours dans les ports, les frais seraient de 2 800 $. Il est important de noter que les conteneurs ne seraient pas facturés pour leur temps de séjour excédentaire accumulé avant le 15 novembre. En d'autres termes, les frais pour un conteneur local qui avait séjourné pendant 15 jours au 15 novembre seraient de 100 $ (le même qu'un jour après la limite de huit jours), et non 2 800 $ (sept jours après la limite).
En supposant que le taux de baisse quotidien des conteneurs à temps de séjour excédentaire reste le même que la tendance du 1er au 10 novembre, le nombre de conteneurs "en retard" à Los Angeles et Long Beach combinés serait tomber à environ 42 000 lundi (sans compter les conteneurs ferroviaires intermodaux tardifs de Los Angeles, le nombre réel serait donc plus élevé). Les frais globaux pour tous les transporteurs combinés seraient de 4,2 millions de dollars lundi dans ce scénario, plus les frais pour les boîtes intermodales tardives de Los Angeles.
Après cela, le scénario des frais devient plus spéculatif, car, par exemple, le troisième jour du programme, il n'y a aucun moyen de prédire combien de conteneurs en retard seront facturés le taux de retard d'un jour, le taux de retard de deux jours ou le taux de retard de trois jours. Par souci de simplicité, supposons qu'ils soient uniformément répartis (c'est-à-dire que le deuxième jour, la moitié a dépassé la date limite de deux jours, la moitié a dépassé la date limite d'un jour).
Dans un tel scénario, les frais globaux quotidiens facturés aux transporteurs passeraient à 40 millions de dollars le septième jour. Les frais cumulatifs pour tous les transporteurs maritimes à la fin de la première semaine seulement seraient de 144 millions de dollars. Les transporteurs ont explicitement déclaré qu'ils répercuteraient ces coûts sur les expéditeurs dans la mesure du possible, soulevant la question de savoir dans quelle mesure le plan de redevances portuaires soutenu par Biden serait politiquement durable, même après quelques jours.
« A World Gone Mad » : le quartier chic de LA lutte contre l'aggravation de la crise des sans-abri
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 14 NOV 2021 - 22:00 Rédigé par Jamie Joseph via Epoch Times,
Abbott Kinney Boulevard est un joyau caché parfait dans le quartier de Venice à Los Angeles, connu pour ses boutiques et ses restaurants locaux. La bande d'un kilomètre de long chante au rythme des clients de la classe moyenne supérieure qui viennent à Venice Beach pour s'imprégner de son rythme particulier. La communauté de propriétaires unie du quartier qui vit dans la région depuis des décennies est fière de résider dans ce coin unique de la ville.
Mais au cours de la dernière année, la communauté de cette partie de Venise s'est encore rapprochée d'une frustration commune : les campements de sans-abri de plus en plus nombreux.
Le problème n'est pas nouveau pour Los Angeles dans son ensemble, qui compte plus de 41 000 personnes vivant dans ses rues, selon le dernier décompte des sans-abri, avec plus de 66 000 sans-abri dans tout le comté. Une prévision de la Table ronde économique estime que ce nombre pourrait atteindre près de 90 000 d'ici 2023.
Venise compte environ 2 000 personnes sans logement, ce qui en fait le deuxième plus grand rassemblement de sans-abri de la ville après Skid Row au centre-ville de Los Angeles.
La drogue, les aiguilles, les déchets, la violence, les incendies et les campements sont devenus trop courants dans la communauté de Venise. Ils disent que leurs appels à l'aide tombent souvent dans l'oreille d'un sourd en ce qui concerne les dirigeants de leur ville, tandis que les touristes, les propriétaires, les travailleurs et d'autres sans-abri sont victimes d'agressions aléatoires par une foule plus violente de passagers.
"C'est un monde devenu fou", a déclaré Deborah Keaton, résidente de Venise, à Epoch Times. « C'est aussi notre propre fabrication. Je suis un libéral, un démocrate, et nous avons voté pour ces mesures qui dépénalisent une grande partie de ce comportement, et donc il n'y a aucune répercussion pour ces gars-là.
Lorsque Keaton sort de chez elle sur North Venice Blvd. entre Abbott Kinney et Electric Ave., sa réalité n'est pas l'expérience de clôture blanche qu'elle a acquise il y a 30 ans lorsqu'elle a acheté sa maison. Un campement, comprenant une poignée de camping-cars garés, est apparu à côté de sa maison, faisant de la sienne la maison la plus proche du nouveau point chaud du quartier pour le crime et le trafic de drogue.
Les personnes de passage vivant à l'intérieur des camping-cars jouent de la musique forte toute la journée et toute la nuit, a-t-elle déclaré. Elle a déposé un rapport de police contre le chef de file apparent du campement de camping-cars, Brandon Washington, parce qu'elle dit qu'il s'est approché de sa porte et aurait proféré des menaces contre sa famille.
«Il a sonné, et il était perdu, et il m'a dit:« J'ai juste besoin de connaître toutes les personnes méchantes, votre mari est-il méchant ? Parce que je dois tuer votre mari », a déclaré Keaton. "C'était effrayant."
Elle a capturé toute l'interaction sur sa caméra de sonnette Ring.
« Il n’y a aucune répercussion pour ces gars, et ils ne peuvent pas être retenus et ils le savent. Beaucoup de ces gars ont été arrêtés 400 fois », a-t-elle déclaré.
Les voisins allèguent que Washington – qui semble souvent se droguer – a prostitué des femmes dans les camping-cars, en plus de vendre de la méthamphétamine à d'autres sans-abri. Keaton a déclaré qu'au cours de l'été, une femme se cachait dans son jardin, car elle a déclaré que Washington la "proximait".
Ces histoires sont devenues trop courantes à Venise.
Ansar El Muhammad, qui se fait appeler "Frère Stan" à Venise, ne connaît que trop bien le sort de Washington. Il y a environ 20 ans, Washington était au mariage de la nièce de Muhammad. Tous deux sont nés et ont grandi à Venise et ont couru dans les mêmes cercles.
"Même si tout le monde s'énerve à ce sujet, ce sont des êtres humains", a déclaré Muhammad à Epoch Times. « Brandon est un bon gars, ce sont les drogues qui lui font ça. Donc, je comprends le point de vue des voisins.
Muhammad est devenu en quelque sorte un protecteur de quartier, prenant les choses en main. Il dirige la Fondation H.E.L.P.E.R, une coalition d'intervention contre les gangs au service des quartiers de Venise et de Mar Vista.
Les voisins de Venise disent qu'ils lui font tellement confiance qu'ils l'appellent d'abord lorsqu'il y a un problème de sécurité ou de bruit. Les sans-abri lui font également confiance, il est donc capable de garder la paix.
La plupart des vagabonds à Venise sont impliqués dans certains éléments de l'activité des gangs, même s'ils ne font pas officiellement partie d'un ensemble, a-t-il déclaré. La toxicomanie est également endémique parmi les sans-abri, ce qui les rend plus difficiles à accepter des ressources.
« Alors, pour mon ami d'ici, qu'est-ce que je fais ? J'établis une relation, je dois attendre qu'il dise 'Stan, je suis prêt'", a-t-il déclaré.
D'autres travailleurs de proximité à travers le comté ont dit la même chose à Epoch Times : le contact doit être établi à plusieurs reprises avant que certaines personnes acceptent de l'aide.
Pat, un résident sans abri de Venice Beach, a déclaré à Epoch Times plus tôt cette année qu'il devrait y avoir plus de solutions de la part des dirigeants de la ville pour encourager des programmes de réadaptation spéciaux qui « donneraient aux gens un sentiment de responsabilité ».
« Il doit y avoir un moyen, un chemin à suivre pour passer de dormir sur le trottoir à finalement avoir une place. Mais je pense que toute l'énergie pour donner cette voie à suivre devrait venir de la personne dans cette situation », a-t-il déclaré.
Les voisins critiquent les politiques locales
L'équipe de sensibilisation et de services aux sans-abri du département du shérif de Los Angeles (LASD HOST) a effectué un nettoyage du trottoir entourant les camping-cars les 8 et 9 septembre, mais Keaton a déclaré qu'elle n'appliquerait aucune mesure qui forcerait les camping-cars à bouger. Elle craint que les ordures ne s'accumulent à nouveau et n'attirent d'autres activités criminelles.
"Le LAPD dit qu'il ne peut pas l'appliquer parce qu'il vient du bureau du maire, mais selon le département du shérif, le LAPD n'est pas censé prendre les ordres du bureau du maire, mais c'est l'affaire", a déclaré Keaton.
Le membre du conseil d'administration du conseil de quartier de Venise, Soledad Ursua, a déclaré à Epoch Times que les camping-cars recevaient des citations, mais qu'un fournisseur de services aux sans-abri de la région paierait les billets.
Ursua a déclaré que la pandémie avait également changé la situation des sans-abri en encourageant les personnes de passage à déménager dans de nouvelles zones résidentielles de la ville à proximité des zones commerciales.
"C'est différent parce qu'il y a des gens qui vendent totalement de la drogue, ils en font, et c'est à l'extérieur d'une résidence", a déclaré Ursua.
"J'ai dû nettoyer trois fois des excréments humains dans mon abri d'auto", a-t-elle ajouté.
Au cours de l'été, HOST a mené un vaste effort de nettoyage et de sensibilisation sur la promenade de Venise. Le shérif de Los Angeles Alex Villanueva a déployé des députés dans la région tandis que les médias ont critiqué les dirigeants de la ville pour ne pas avoir abordé le problème. Les incendies de campements ont atteint un niveau record : plus de 54 % de tous les incendies à Los Angeles ont été causés par des campements cette année, a rapporté le service d'incendie de Los Angeles.
Le quartier a également connu une forte augmentation de la criminalité au cours de l'été, selon les statistiques fournies au Conseil de quartier de Venise par le capitaine de LAPD Steve Embrich.
Les chiffres depuis le début de l'année ont montré que les vols ont presque triplé depuis la même période l'année dernière. Les vols à main armée liés aux sans-abri ont augmenté de 260 %, les agressions liées aux sans-abri avec une arme mortelle ont augmenté de 118 %, les crimes contre les biens et les cambriolages dans la région ont augmenté de 85 % et le grand vol d'automobiles a augmenté de 74 %.
"Nous avons été inondés d'appels, d'inquiétudes, d'images de l'actualité, de personnes prenant le téléphone, nous envoyant des e-mails, nous envoyant des lettres, sur ce qui se passe à Venise", a déclaré Villanueva aux journalistes lors d'une conférence de presse à l'intérieur de la salle des fêtes. Justice le 23 juin. "Et c'est un microcosme de ce qui se passe dans tout le comté de Los Angeles."
Le membre du conseil de Los Angeles, Mike Bonin, qui était également un défenseur local du financement du LAPD, a contrecarré les efforts de Villanueva et a demandé au Comité des sans-abri et de la pauvreté de Los Angeles de transférer 5 millions de dollars d'aide budgétée pour financer des programmes de logement dans son district. Ces fonds ont été envoyés au Centre St. Joseph pour mener des activités de sensibilisation sur la promenade.
Cependant, certaines tentes ont commencé à réapparaître sur la promenade, les résidents affirmant que de nombreux sans-abri venaient d'être déplacés.
Un membre sans logement de la communauté de Venise, Butch Say, pense que la plupart des sans-abri à Venise ne veulent pas d'aide. Say, qui s'est décrit comme un nomade itinérant, a déclaré à Epoch Times lors du nettoyage de la promenade que la plupart d'entre eux préféraient vivre dans la rue.
«Ils disent:« Non, j'aime ça ici. Personne ne me dit quoi faire et je cours en sous-vêtements », a-t-il déclaré. « Tu sais, peu importe. Ils sont fous. Que puis-je dire ? C'est Venise.
Pas un problème de « logement »
Alors que Los Angeles faisait face à une crise des sans-abri avant la pandémie de COVID-19, les restrictions de la ville ont peut-être exacerbé le problème. Le couvre-feu sur les tentes en public a été annulé et les équipes d'assainissement ont été coupées pour atténuer la propagation du virus. D'autres codes de ville ont également été suspendus. En conséquence, de nombreux sans-abri, pour la plupart des toxicomanes, ont afflué vers la plage.
Dans une précédente interview avec Epoch Times, le propriétaire du bar local Luis Perez a déclaré que Venise avait toujours eu une communauté originale de sans-abri, mais qu'ils étaient en grande partie des artistes et des artistes. Ils n'étaient pas toxicomanes. Il a dit avoir vu des sans-abri être amenés en bus et déposés sur la promenade.
Alors que les dirigeants des États et des villes colportent le modèle du «logement d'abord» sanctionné par l'État, qui suggère que la solution au sans-abrisme réside dans la construction de logements plus abordables, les natifs de Venice Beach ont une perspective différente.
« Beaucoup d'entre eux ne veulent pas de logement. Vous voyez, c'est le problème : ils ont mis tout cet argent ici pour le logement, mais il y a moins de 5 % de cette population à travers la ville qui le veut. Ils disent ‘au diable le logement’ », a déclaré Muhammad. "Tu sais pourquoi? Parce que ce sont des toxicomanes.
Le 10 novembre, le gouverneur Gavin Newsom a visité le centre médical West Los Angeles VA. Au cours de la conférence de presse, Newsom a déclaré aux journalistes que 22 milliards de dollars de fonds étaient investis pour résoudre "le problème de l'abordabilité, du logement et de l'itinérance, afin de soutenir ces efforts dans tout l'État de Californie".
« Oui, je vois ce que vous voyez, oui, je suis conscient de ce qui se passe, mais je suis aussi plus optimiste que jamais. Nous voyons des progrès », a-t-il déclaré.
Mais les habitants disent qu'ils regardent autour d'eux, et le problème semble s'aggraver.
« J'ai voté pour la proposition HHH. Je [serais] le premier à dire que je veux une solution. Et honnêtement, je voterais probablement pour un autre si je pensais que l'argent serait dépensé correctement », a déclaré Robert Thibodeau, membre du conseil d'administration du conseil de quartier de Venise.
« Mais le problème, c'est où sont les solutions lumière sur le terrain ? Où est la réponse de style FEMA, le genre de solutions immédiates frappantes que vous auriez avec [l'ouragan] Katrina, parce que pour moi, c'est Katrina. "
Les propriétaires d'entreprises locales - le cœur de Venise - se sont également exprimés. Klaus Moeller, copropriétaire de Ben & Jerry's sur la promenade, a déclaré à Epoch Times dans un e-mail au cours de l'été que "ce n'est pas un problème de sans-abri local".
"C'est un problème pour les personnes de passage hors de l'État et les trafiquants/usagers de drogue qui s'installent parce qu'ils peuvent agir sans répercussions", a-t-il déclaré.
Moeller a ajouté que ses employés avaient été attaqués par des personnes de passage sur la promenade.
Les voisins ont également critiqué la proposition HHH, une obligation de 1,2 milliard de dollars passée en 2016 par Angelenos pour construire 10 000 logements avec services de soutien. En février, le contrôleur municipal a découvert que seulement 489 des unités financées par des obligations étaient prêtes à être occupées.
En raison du manque de logements avec services de soutien, un certain nombre de petits villages d'origine ont surgi à travers le comté en tant qu'alternative moins coûteuse pour le logement provisoire. Cependant, certains résidents disent qu'ils ne feront pas beaucoup de différence.
« Ils ne bougeraient pas à l'intérieur. Ce n'est pas une crise du logement, c'est une crise de toxicomanie », a déclaré à Epoch Times Kate Linden, originaire de Los Angeles et nouvelle résidente de Venise.
Linden a déclaré qu'elle envoyait chaque semaine un courrier électronique au lieutenant Geff Deedrick, qui dirige les efforts HOST, pour lui faire savoir ce qui se passait. Mais l'équipe HOST ne peut entrer que lorsqu'elle reçoit des ordres.
Auparavant, le lieutenant Deedrick avait déclaré à Epoch Times : « L'équipe HOST fournit cette mentalité de gardien, afin que vous puissiez avoir un espace sûr pour ces discussions, mais c'est là que les décideurs politiques et les cadres et ces choses, nous leur laissons cela ; nous nous déployons sous la direction du shérif.
Les résidents lancent une campagne de rappel
De nombreux voisins de Venise qui ont initialement voté pour le membre du Conseil Bonin pour les représenter dans le 11e arrondissement, comme Keaton, retirent leur soutien. Plus tôt cette année, une campagne de rappel a été lancée et le 10 novembre, les pétitionnaires ont recueilli suffisamment de signatures pour faire avancer le processus électoral de rappel.
Ils blâment Bonin pour l'itinérance accrue et le manque d'application de la loi sur le camping dans la rue qui, selon eux, amènent l'activité des gangs dans le quartier. Le 22 octobre, le conseil municipal de Los Angeles a voté l'interdiction des campements dans 54 zones spécifiées, Bonin et Nithya Raman, membre du conseil, étant les deux seules voix dissidentes.
Thibodeau a déclaré que les points de vue de Bonin se situent en « frange radicale », qui s'aligne sur les groupes d'intérêts spéciaux et les militants d'extrême gauche. Thibodeau, qui s'identifie comme centriste, a déclaré avoir envoyé des dizaines de courriels au bureau de Bonin sans réponse.
"Ce qui est triste, c'est que cela s'est produit en grande partie à cause d'un niveau de tolérance plus élevé dans la communauté et d'une compassion dans la communauté – nous avons été maltraités, parce que nous sommes des gens compatissants", a déclaré Thibodeau à Epoch Times.
« Il n'appliquera pas [les restrictions de camping] dans son district. Alors, maintenant quoi, il est aussi en charge de la police ?
Lors d'une réunion du conseil municipal le mois dernier, Bonin a voté pour ne pas interdire le camping en raison d'un manque d'engagement préalable dans la rue pour informer les sans-abri. Mais selon les documents de la ville (pdf), le coût de la signalisation et de la sensibilisation coûterait jusqu'à 2 millions de dollars.
"Il y avait un accord sur les engagements de rue, et je pense que nous devons vivre selon cette partie également", a déclaré Bonin. «Je suis certain que beaucoup de travail a été fait, mais ce n'est toujours pas au niveau de ce à quoi nous nous sommes engagés en tant qu'organisme. Et je crains que nous perdions l'engagement envers la stratégie d'engagement dans la rue et que nous ne nous assurons pas qu'elle dispose de ressources adéquates. »
Ajoutant aux frustrations des résidents, le LAPD a les mains liées en raison des politiques de capture et de libération de la ville. Les sans-abri qui commettent des crimes sont souvent de retour dans la rue en quelques heures s'ils refusent les services.
Thibodeau a déclaré qu'il pensait que Bonin transformait Venise en une "zone de confinement" en n'appliquant aucune ordonnance anti-camping. Pendant ce temps, Bonin prévoit plusieurs grands développements de logements avec services de soutien à Venice Beach et Mar Vista.
Bonin et le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, ont également défendu les unités de soutien A Bridge Housing à Venise pour 8 millions de dollars provenant des fonds Prop. HHH. Les résidents disent que la plupart des sans-abri qui résident dans le refuge sont des « résidents doubles », ce qui signifie qu'ils ont un lit dans le refuge ainsi qu'une tente dans la rue.
« Il n'y a pas de nouvelles installations prévues à Pacific Palisades. Il se trouve que Brentwood a le VA mais nulle part ailleurs à Brentwood… nous créons donc une zone de confinement ici comme Skid Row », a-t-il déclaré.
En ce qui concerne le trottoir du boulevard N. Venice occupé par des camping-cars et des tentes, Thibodeau a déclaré : « Vivre à côté de ce genre de choses est très épuisant. » Il a dit qu'il envisageait d'organiser des manifestations de rue pour résoudre le problème.
Le bureau du membre du conseil Bonin n'a pas répondu à une demande de commentaire avant la date limite de la presse.
L'Autriche ordonne le verrouillage des Unvaxx'd et ordonne à la police d'effectuer des contrôles ponctuels
PAR TYLER DURDEN LUNDI 15 NOV 2021 - 03:30 Rédigé par Jack Phillips via Epoch Times,
Le chancelier autrichien Alexander Schallenberg a annoncé dimanche que le pays placerait des millions de personnes qui ne sont pas complètement vaccinées contre le COVID-19 en lock-out (emprisonnements à domicile !) à partir de lundi.
Environ 65 % de la population de ce pays d'Europe centrale est vaccinée, selon les données du gouvernement. En vertu des mesures révélées dimanche, les personnes non vaccinées sont sommées de rester chez elles, sauf pour des raisons limitées.
Les règles, a déclaré le gouvernement, seront appliquées par des policiers qui seront dans les rues pour effectuer des contrôles ponctuels sur les personnes qui sont en public. Les personnes non vaccinées sont déjà exclues des lieux de divertissement, des bars, des restaurants et des lieux et entreprises similaires.
"Nous ne prenons pas cette mesure à la légère mais elle est nécessaire", a déclaré Schallenberg lors d'une conférence de presse annonçant les nouvelles mesures.
Schallenberg a admis que le gouvernement a essentiellement « dit à un tiers de la population : vous ne quitterez plus votre appartement sauf pour certaines raisons. C'est une réduction massive des contacts entre les vaccinés et les non vaccinés.
Désormais, les personnes non vaccinées ne peuvent quitter leur domicile que pour un nombre limité de raisons, comme aller au travail ou acheter des produits de première nécessité. On ne sait pas comment cela serait appliqué. Le verrouillage de l'Autriche ne s'applique pas aux moins de 12 ans, aux personnes qui se sont récemment remises du COVID-19, et durera 10 jours, a déclaré le ministre de la Santé Wolfgang Mueckstein.
Vendredi, Schallenberg a allégué que la vaccination contre le COVID-19 du pays était « honteusement faible » et a indiqué que le gouvernement devrait donner le « feu vert » aux restrictions radicales du week-end.
Un panneau avertit les visiteurs des contrôles de leur statut – vaccinés ou guéris du COVID-19 – à l'entrée du « Christkindlmarkt », le marché de Noël classique de Vienne, sur la place devant l'hôtel de ville de Vienne, en Autriche, le 12 novembre , 2021 (Georg Hockmuth/APA/AFP via Getty Images)
Selon des séquences vidéo publiées en ligne, des foules de personnes ont été vues manifester contre le mandat des vaccins à Salzbourg et dans d'autres villes autrichiennes, critiquant les "médias menteurs" samedi. D'autres manifestations ont eu lieu dimanche, selon des images.
Le ministre de l'Intérieur Karl Nehammer a déclaré qu'il y aura des contrôles de police approfondis et des amendes pouvant aller jusqu'à 1 450 euros (1 660 $) pour les infractions, et toutes les interactions avec la police comprendront la vérification du statut vaccinal des personnes. Cette décision a suscité une condamnation considérable en ligne, certains commentateurs notant qu'elle limiterait gravement la liberté de mouvement pour potentiellement des millions de personnes.
"A partir de demain, chaque citoyen, chaque personne qui vit en Autriche doit savoir qu'elle peut être contrôlée par la police", a déclaré Nehammer lors de la conférence de presse.
La présentation d'un laissez-passer officiel COVID-19 prouvant que vous avez été vacciné, récupéré du COVID-19 ou récemment testé est requise depuis des mois dans divers endroits, notamment des restaurants, des théâtres, des cafés et des coiffeurs.
Dans l'Allemagne voisine, malgré le fait que son système de laissez-passer pour le vaccin «2G» est en place depuis des mois maintenant, les cas de COVID-19 ont atteint leur plus haut niveau la semaine dernière. Plus de 50 000 cas ont été confirmés par les autorités sanitaires.
Le chancelier allemand en attente Olaf Scholz a déclaré jeudi au Parlement que de nouvelles mesures sont nécessaires "pour traverser cet hiver … nous devons mettre notre pays à l'abri de l'hiver". En outre, le porte-parole du gouvernement Steffen Seibert a été cité par VOA News comme disant que le virus "se propage de façon spectaculaire" et a affirmé qu'une "réponse rapide et unifiée" était nécessaire.
L'USDA augmentera l'abattage de porcs chez les transformateurs pour apprivoiser la « flation de la viande »
PAR TYLER DURDEN LUNDI 15 NOV 2021 - 05:45
Le président Biden s'enfonce rapidement dans les sondages au milieu d'une poussée d'inflation qui augmente le plus rapidement depuis quatre décennies. Une combinaison d'inflation de la nourriture, du logement et de l'énergie a écrasé les salaires réels alors que les Américains deviennent de plus en plus mécontents de la Maison Blanche pour leur échec à apprivoiser le monstre de l'inflation.
Nous l'avons souligné, l'administration Biden panique à propos de l'inflation avant la mi-mandat. Cette semaine, les responsables de l'administration ont publié plusieurs déclarations indiquant qu'ils travaillaient avec diligence pour réparer les chaînes d'approvisionnement harcelées et tentaient de réduire les prix à la consommation.
L'alimentation est un domaine sur lequel l'administration s'est concentrée. Les dernières données de l'IPC montrent que les viandes, la volaille, le poisson et les œufs ont considérablement augmenté en octobre, ce qui rend les consommateurs très mal à l'aise et leur portefeuille s'amenuise avant la saison des vacances.
L'administration Biden semble être passée à l'offensive cette semaine après une déclaration par courrier électronique de la porte-parole du département américain de l'Agriculture (USDA), Kate Waters, a déclaré à Bloomberg que le gouvernement fédéral menait un programme pilote avec des transformateurs de viande pour permettre un abattage plus rapide des porcs. L'objectif est qu'une plus grande offre vienne en ligne et mette fin à la flambée des prix.
Dans le cadre du programme pilote, les emballeurs de viande seront tenus d'appliquer de nouvelles mesures de sécurité par le biais d'accords avec les syndicats ou les comités de sécurité des employés. Les limites d'abattage ont été un goulot d'étranglement important pour l'augmentation de la production. L'action de l'USDA montre à quel point l'administration Biden est désespérée pour lutter contre la « flation de la viande » avant les mi-parcours.
La lenteur de la production porcine peut également être attribuée à des pénuries de main-d'œuvre et à des chaînes d'approvisionnement encombrées.
Le programme d'essai permettra à l'USDA d'observer si l'allongement des délais d'abattage entraînera une augmentation de la production. Si c'est le cas, cela pourrait être une solution dans le sol
Stephanie Ruhle de NBC s'embarrasse du "Dirty Little Secret" sur l'inflation
PAR TYLER DURDEN LUNDI 15 NOV 2021 - 04:44
FAIT : Le coût des « trucs » que les Américains achètent augmente à son rythme le plus rapide en 30 ans…
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FAIT : Les anticipations d'inflation à court terme ont atteint un nouveau sommet de cycle - le plus élevé depuis 2008...
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FAIT : Alors que les « attitudes d'achat » pour les maisons, les voitures et les gros biens ménagers durables se sont effondrées à des niveaux record (citant des prix élevés)...
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... La note d'approbation du président Biden est au plus bas de son mandat, tombant au rythme le plus rapide de tous les présidents depuis la Seconde Guerre mondiale...
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Il n'est donc pas surprenant que la semaine dernière, nous ayons vu MSNBC se battre pour l'administration Biden, déployant son meilleur bretzel-logicien pour expliquer pourquoi toute cette inflation est littéralement - attendez - bonne.
Dans un tweet maintenant supprimé, MSNBC a tenté l'ultime éclaircissement en affirmant que "l'inflation que nous voyons maintenant est une bonne chose"...
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Il n'est pas surprenant qu'après s'être fait rationner dans une réaction furieuse, MSNBC a fait la seule chose qu'il pouvait et a supprimé son tweet, car sa dernière tentative de propagande de masse a terriblement mal tourné.
Mais l'aile « NBC » de la Maison Blanche refuse d'abandonner sa propagande.
Et maintenant, la journaliste de NBC Stephanie Ruhle, clairement dans 'Camp Transitory' alors même que la Fed elle-même commence à se distancer de ce récit, explique dans une récente interview que "personne ne sait exactement quand [les prix] baissent", mais, elle dit, ne vous inquiétez pas de la flambée du coût de la vie en Amérique, car, comme l'explique l'ancien Wall Streeter "il faut mettre tout cela en perspective..."
"Cette inflation n'est pas isolée, et le gouvernement a prédit que ce serait une reprise difficile, une reprise entièrement liée à Covid.
C'est pourquoi vous voyez des choses comme ce crédit d'impôt pour enfants élargi. Vous avez les familles de plus de 60 millions d'enfants, en moyenne, qui touchent 430 $ par mois. Pour les personnes à revenu fixe, les personnes âgées bénéficiant de la sécurité sociale, ces paiements fixes sont ajustés l'année prochaine en hausse de 5,9% pour l'inflation.
Et le sale petit secret ici, alors que personne n'aime payer plus, en moyenne nous avons l'argent pour le faire.
[ZH : Pas d'amour pour Stephy, les salaires réels ont baissé pendant sept mois consécutifs...]
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[ZH : Alors que les prix à la consommation s'accélèrent loin des revenus...]
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L'épargne des ménages a atteint un niveau record pendant la pandémie.
[ZH : et que s'est-il passé depuis notre cher Steph ? Le taux d'épargne est revenu aux normes pré-COVID alors que les Américains ont épuisé cet argent «refoulé» pour couvrir la flambée du coût de la vie avec Bidenflation.]
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Bien que le marché boursier ne soit pas l'économie, vous avez plus de la moitié des ménages américains avec des investissements sur les marchés et ils ont atteint des sommets du marché.
[ZH: oh Stephy, as-tu vu ce que Main Street fait depuis que Wall Street atteint des records de record et de record]
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Il faut donc mettre tout cela en perspective. À cette époque l'année dernière, quand vous et moi parlions, personne n'avait de vaccin. Aujourd'hui, 200 millions d'Américains le font, et nous voyons cette poussée de la demande et cela fait monter les prix."
Combien de temps avant la suppression de ce segment NBC ?
Et qu'est-ce qui donne à Mme Ruhle une perspective si unique pour se prononcer sur les problèmes des pauvres ?
Simple - gagner des millions en vendant des CDS pour parier sur l'effondrement du marché immobilier américain pendant que vous travailliez chez CS et Deutsche Bank.
Elle a commencé sa carrière dans la finance en 1997 chez Credit Suisse First Boston. Chez CSFB, elle a occupé le poste de vice-présidente et a été la vendeuse de dérivés de crédit la plus productive aux États-Unis.
Après un passage de six ans au Crédit Suisse, Ruhle a rejoint la Deutsche Bank où elle a travaillé en tant que directrice générale des ventes de crédits structurés au sein de la division des titres à revenu fixe.
Tout comme nous nous sommes moqués du tweet maintenant supprimé de MSNBC, soulignant désespérément que l'inflation est une "bonne chose", le mème est terminé...
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Vous obtiendrez des prix plus élevés, Américains, et aimez ça !!...
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Bien sûr, nous savons ce qui va suivre... quiconque suggère que l'inflation pourrait être un problème est probablement une menace pour la sécurité nationale ("l'enfer, c'est comme crier au feu dans un théâtre, n'est-ce pas?")
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Pendant ce temps, même le tristement optimiste Wall Street commence à dire la vérité, avec Goldman avertissant que les choses vont empirer avant de s'améliorer.
Bassines : les dégâts des zozos (une petite revue de presse)
RépondreSupprimer14 Novembre 2021
(Source)
Un « démontage » ou une « neutralisation » ? Non du vandalisme
Les faits ont été rapportés dans les médias, brut de décoffrage, sans mise en perspective.
Le samedi 6 novembre 2021, près (ou plus) de 2.000 personnes ont manifesté contre les « bassines », sur la commune de Mauzé-sur-le-Mignon, près de Niort, à l’appel du collectif « Bassines non merci ! », de la Confédération paysanne, et du mouvement « Les Soulèvements de la terre ».
Les « bassines » sont des réserves d'eau creusées et étanchéifiées par des bâches, alimentées par les eaux de pluie et, selon la configuration, par les eaux de ruissellement ou d'une rivière, ou par pompage dans la nappe phréatique quand elle est bien pourvue. Elles servent à l'irrigation – évidemment quand la situation hydrique est mauvaise et que les plantes ont besoin d'eau, mais aussi à d'autres fins comme le soutien de l'étiage d'une rivière ou l'alimentation en eau douce de bassins ostréicoles.
En fin de journée, les manifestants se sont dirigés vers la bassine de Cramchaban en Charente-Maritime. « Des dégradations ont été commises sur les bâches. Elles ont été découpées puis incendiées » note benoîtement Ouest-France, qui a couvert l'ensemble de l'événement et a titré néanmoins : « ...trois gendarmes blessés et une retenue d’eau saccagée. » Les dégâts sont considérables et ont été chiffrés à plus de 450.000 euros.
France Bleu rapporte dans « Des militants anti-bassines vident et dégradent une retenue d'eau à Cram-Chaban en Charente-Maritime » : « Des pompes ont été déconnectées et emportées par les manifestants ». En langage pénal, cela s'appelle : « volées »
(Source)
Des réactions « officielles » bien timides
Le préfet des Deux-Sèvres a fait publier un communiqué de presse fort mollasson. Le chargé de la sécurité et de l'ordre public « condamne ce recours unilatéral (sic !) à la violence et souhaite un retour rapide au calme » ! Celui de Charente-Maritime avait apparemment piscine.
(Source)
Comment, dans ces circonstances, les manifestants et surtout délinquants ne pourraient-ils pas se prévaloir d'une sorte de garantie d'impunité ? La question se pose aussi, du reste, pour les « faucheurs volontaires » dont la dernière action a été décrite – de manière complaisante – comme suit par France 3-Régions : « OGM : des faucheurs volontaires mènent une "inspection citoyenne" chez RAGT à Calmont dans l'Aveyron ».
Les journaleux ont-ils conscience du fait qu'en diffusant de tels messages, ils banalisent ce genre de délinquance ? (Source)
Ce qu'en a rapporté M. Claude Tabel, président du directoire de RAGT, et Terre-Net est un peu différent :
(Source)
Un gazouillis fort bienvenu et apprécié (source).
Mais revenons aux bassines. Ce n'est qu'un gazouillis, me dire-vous, que ce « No bassaran, ni ici ailleurs, ni aujourd'hui ni demain », de M. Nicolas Girod, porte-parole de la Confédération Paysanne ? Il signe au contraire une radicalisation.
RépondreSupprimer(Source)
Et que répond M. Julien Denormandie, Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation ?
(Source)
« Je condamne avec la plus grande fermeté ces dégradations. Justice devra être rendue. Rien ne justifie de telles dégradations. »
C'est un peu beaucoup léger de la part du gouvernement. On peut visiter le fil de ce gazouillis de M. Julien Denormandie pour prendre la mesure de l'incompréhension des enjeux de l'irrigation sur ce réseau social et, par voie de conséquence, de l'importance d'un réel effort de pédagogie.
Ce parti aspire à gouverner !
Prenons-le d'Ouest-France : « Deux-Sèvres. EELV justifie le saccage de la réserve d’eau de Cramchaban ». En chapô :
« Dans un communiqué diffusé ce mardi 9 novembre, EELV Poitou-Charentes déclare soutenir "sans réserve" l’acte de "désobéissance civile réalisé à visage découvert et devant témoins" samedi 6 novembre à Cramchaban. »
La bassine de Cramchaban fait l'objet d'un bras-de-fer judiciaire qui n'est pas encore terminé. Ce fil de M. Clément Barraud nous semble faire un point objectif. Il demeure cependant que des manifestants se sont livrés à des actes de vandalisme et qu'un parti qui aspire à gouverner la France, après en avoir conquis la présidence, cautionne ces actes.
Notons que l'opposition aux bassines par la voie judiciaire est le fait de Nature Environnement 17.
Reporterre, dans l'article mis en lien ci-dessus, rapporte, le nœud du litige semblant être une étude d'impact mal fichue et incomplète :
« […] Ainsi, au bout de douze ans de procédure, les cinq réserves devraient se retrouver sans autorisation. Sauf qu’elles sont déjà construites, sauf que les millions d’argent public ont déjà été dépensés, sauf qu’elles ont déjà prélevé quantité d’eau dans la nappe — elles ont une capacité totale de 1,5 million de mètres cubes. Alors, que faire ? "On ne demande pas nécessairement leur démolition, explique Patrick Picaud, car maintenant qu’elles existent, autant les utiliser, mais dans de bonnes conditions, avec un vrai encadrement, en concertation avec tous les acteurs du territoire." »
(Source
L'eurodéputé Benoît Biteau justifie aussi une « neutralisation » – un vocabulaire qui suscite des souvenirs – de la bassine de Cramchaban avec un mille-feuille argumentatif qui tient du gloubi-boulga.
Joint par Reporterre, « l’eurodéputé Benoît Biteau ne décolère pas. » :
RépondreSupprimer« […] face à ces passages en force, la désobéissance civile reste la seule solution : "Quand on a des équipements dans l’illégalité la plus complète, quand les décisions de justice ne sont pas respectées, quand l’État ne fait rien, on a quoi comme autre solution pour se faire entendre ?" »
Il est vrai que le niveau de tolérance de M. Benoît Biteau est particulièrement bas. Mais la procédure judiciaire suit son cours...
Vachement au courant sur le statut de l'eau (source) !
Le candidat à la présidence de la République Yannick Jadot ne semble pas s'être exprimé sur les événements du samedi 6 novembre. Il a toutefois été un fervent soutien des opposants aux bassines – sans doute bassiné (aussi) par M. Benoît Biteau – et a participé à des manifestations.
(Source)
Des « paysan.ne.s » se réjouissent de la destruction de moyens de production agricole
Prenons-le du communiqué de presse de la Confédération Paysanne. D'abord, l'« exploit » :
« Les manifestant.e.s ont ensuite collectivement investi le site d'une méga-bassine illégale de 5 hectares (180 000 m3), et ce malgré un fort dispositif policier. Les anti-bassines ont dû couper à travers champs, échapper aux gazs lacrymogènes et aux coups de matraque, traverser à pied un cours d'eau et passer plusieurs barrages de police mais ont finalement pu entrer sur le site de la "bassine de la honte", une bassine qui avait déjà fait l'objet de 5 condamnations par la justice.
La pompe qui alimente la bassine et puise directement dans la nappe phréatique a été démontée par des paysan.ne.s et emmenée. Une fois la foule montée sur le talus de la bassine, un débâchage a été effectué pour la mettre hors d'état de nuire. La bassine a ainsi été vidée et l'eau rendue à la nappe ! »
Pour rappel : les procédures judiciaires suivent leur cours. Delon Reporterre :
« En novembre 2020, la cour administrative de Bordeaux a ainsi demandé aux agriculteurs de régulariser cette étude, faute de quoi ces réserves ne pourraient plus être utilisées. Le 4 novembre dernier, au terme d’une nouvelle enquête publique, rebelote : la commissaire enquêtrice donnait un avis défavorable au projet de mégabassines. C’est à présent à la cour d’appel de Bordeaux de statuer. »
Le langage se fait va-t-en-guerre et belliqueux :
« Pour Nicolas Girod, porte-parole de la Confédération paysanne, c'est "une pleine et éclatante victoire, une démonstration de force que nous sommes un mouvement populaire, nombreux à nous battre pour un territoire dynamique et un projet de société juste socialement et écologiquement".
Nous prévenons les porteurs de ces projets de bassines : notre détermination à nous battre pour un partage juste de la ressource en eau reste sans faille et il est temps pour vous d'abandonner vos projets, sans quoi nous reviendrons ! A Mauzé comme ailleurs, nous continuerons à faire valoir que l'eau est un commun et que les sols ne doivent plus être empoisonnés. NO BASSARAN ! »
RépondreSupprimerRevenir sur terre avec M. Armand Paquereau
Avant cela, voici encore « Deux-Sèvres : tout comprendre à la querelle des bassines », un article de mai 2018 de la Nouvelle République qui fait un point de la situation, évidemment vieux de maintenant plus de trois (et il en est coulé de l'eau...).
Dans Contrepoints, « Guerre des bassines : un besoin vital pour les agriculteurs menacés », M. Armand Paquereau, agriculteur à la retraite et notamment auteur de « Cultiver la terre de Charentes » édité en 2010 par Le Croît Vif, fait un point sur ce qu'il convient d'appeler « la guerre de l'eau ». Il aborde plusieurs thématiques et en déborde, si l'on peut dire, sur Sivens, Caussade et la régulation du débit de la Seine (lire : la protection de Paris contre les inondations).
Non pas la guerre que se livrent certains pays dans le monde pour s'accaparer ou récupérer de l'eau nécessaire à l'irrigation, donc à l'agriculture, donc à la souveraineté et la sécurité alimentaires (au moins partielles) ; mais celle menée par des gens qui veulent empêcher une utilisation efficace de l'eau aux fins précitées.
Retenons ceci :
« Le slogan "L’eau de l’hiver pour l’été" n’est pas une vue de l’esprit : il n’existe aucun gaspillage de la ressource.
L’exemple en Charente des retenues de Lavaud (7,8 millions m3) mis en eau en 1989 et de Mas Chaban (14,2 millions m3) mis en eau en 2000 prouvent non seulement qu’ils ne grèvent pas la ressource en eau, mais qu’ils limitent les crues lors de leur remplissage, évitant la pollution des parcs ostréicoles par les débordements de certaines stations d’épuration entraînés par le flux de la Charente. Outre l’irrigation, ils permettent d’alimenter l’étiage du fleuve et d’apporter un complément d’eau douce aux mêmes parcs maritimes à une période cruciale.
L’inauguration le 26 juin 1990 du lac réservoir Aube par Jacques Toubon refermait le dossier né dans les années 1920 des 5 lacs réservoirs achevés (Orient-Temple-Amance-Der-Pannecières) assurant désormais pleinement la régulation de la Seine, de l’Aube, de la Marne et de l’Yonne.
Cette lutte de 70 ans témoigne de l’acharnement de certains à s’opposer à ce qui est désormais considéré comme une formidable avancée technologique, économique et sociale. »
RépondreSupprimerTerre de Touraine se trompe peut-être de titre
M. Jean-Yves Chauveau reste scotché sur les bassines avec « Gestion de l'eau : l’Etat, casque bleu des bassines ».
Le chapô est un résumé :
« Les dix-neuf réserves de substitution des Deux-Sèvres, attaquées par les opposants radicaux, sont le fruit d’une longue concertation validée par les ONG. »
Par « ONG », il semble qu'il faille essentiellement entendre France Nature Environnement (FNE) locale :
« ATTITUDE RESPONSABLE DES ONG
Thierry Baudoud, responsable de la "Coop de l’eau" – société coopérative anonyme de l’eau des Deux-Sèvres qui regroupe 450 irrigants –, explique que depuis le lancement du dossier "nous marchons sur deux pieds : le dialogue et la légalité, avec l’Etat garant des bonnes règles".
François Pellerin, hydrogéologue de formation, est la cheville ouvrière pour la FNE locale. "Le pour ou contre n’est pas la bonne façon de poser la question de la gestion de l’usage agricole de l’eau, dont on aura toujours besoin". Il dit" adhérer à la vision globale de la FNE qui est réticente aux réserves", mais resitue la position de l’association dans le contexte local avec une participation directe des ONG à l’organisme unique de gestion des eaux et la gouvernance du système. Pour lui, le fait de "prendre le risque de la concertation doit avoir en contrepartie un engagement des producteurs dans des pratiques agro-environnementales." Les opposants, après la concertation, ont joué le jeu de la démocratie et du factuel et, une fois l’accord trouvé, ont retiré leur action en contentieux au tribunal administratif. »
Mais il reste d'irréductibles Gaulois, associés à une mouvance (prétendument) syndicale qui s'oppose frontalement à des modèles (non pas un) d'agriculture qui font le pari de la modernité et de l'efficacité...
Et, s'agissant de l'État, il n'est pas sûr qu'il jouera le rôle de casque bleu et ne se déculottera pas comme à Sivens. On peut aussi poser la question de la justice administrative et pénale (voir notamment ci-dessus pour les « faucheurs »).
Mme Emmanuelle Ducros explique « les dessous de la guerre de l’eau »...
(Source)
« Agriculture: les dessous de la guerre de l’eau », publié par l'Opinion le 9 novembre 2021 sous la plume de Mme Emmanuelle Ducros, a un chapô sujet à question :
« Des opposants au stockage ont détruit, ce week-end dans les Deux-Sèvres, un bassin de rétention à usage agricole, pourtant totalement légal. »
RépondreSupprimerComme on l'a vu plus haut, les opposants n'ont pas relâché la pression et la justice administrative continue de statuer sur des reproches faits il y a plus d'une décennie à propos de l'étude d'impact.
Reprenons ici deux paragraphes, l'un spécifique aux bassines et l'autre plus général sur la vision de notre système socio-économique :
« "On voit des élus promouvoir l’incivilité, se fâche Eric Frétillère [président d’Irrigants de France]. J’espère que l’Etat va réagir. Les saboteurs ont agi à visage découvert, postant sur les réseaux sociaux des photos d’eux buvant des bières devant les incendies." Ce stockage avait pourtant été négocié dans les règles avec toutes les parties prenantes, y compris les associations écologistes. "Toutes ont signé. Tout est légal. Il y a un engagement environnemental fort, raisonné, avec la plantation de haies, une variété de production, du maïs au maraîchage bio, ajoute Eric Frétillère. Un projet d’agriculture pour demain, productive et de grande qualité. Ce qu’il faut face au changement climatique, car si on ne prévoit pas d’adaptation, cette région deviendra un désert agricole." »
[…]
Abcès de fixation. Ce dossier illustre le caractère polémique du sujet de l’eau à usage agricole. Un abcès de fixation, matérialisant la frontière entre les tenants d’une agriculture modernisée et des militants anticapitalistes qui voient dans la gestion de la ressource "la main des lobbies de l’agriculture industrielle". Régulièrement, des installations sont dégradées. On se souvient de la ZAD qui s’était installée autour du projet de retenue collinaire de Sivens. »
...et un éditorial de M. Olivier Baccuzat
(Source)
Le titre de ce « L’insupportable mépris du droit au nom de l’écologie », un éditorial de M. Olivier Baccuzat publié le 11 novembre 2021 dans l'Opinion est faux : l'« écologie » n'est qu'un prétexte et un faux-nez. En conclusion :
« Quoi d’étonnant ? Sur tout, désormais, l’époque est au laïus "mon identité, mon choix, mon droit" tirant profit de la faiblesse d’un Etat qui, à l’image du piteux exemple de Notre-Dame-des-Landes, préfère démissionner devant ces multiples entorses à l’Etat de droit, plutôt que de sévir et rappeler que si la liberté passe par le respect des droits de chacun, l’ordre, seul rempart possible contre la violence, impose le respect des droits de tous. Quoi qu’en pense une minorité. »
Un éditorial de M. Jean-Paul Pelras dans l'Agri du 9 novembre 2021
(Source)
« Il faut d’urgence confier l’agriculture française aux écologistes ! » est un titre d'éditorial volontiers provocateur.
RépondreSupprimerRetenons, là aussi, deux paragraphes :
« À l’heure où la France va devenir, pour la première fois de son histoire agricole, dépendante des importations, n’y a-t-il pas d’autres combats à mener que celui consistant à se tirer une balle dans le pied ? À l’heure où les défis alimentaires sont au cœur des enjeux démographiques, géopolitiques et planétaires, pourquoi, si ce n’est pour répondre à certaines idéologies politiciennes, entraver, comme ce fut le cas pour le lac de Caussade dans le Lot-et-Garonne, l’irrigation des cultures et, de facto, limiter le potentiel de production ?
À l’instar de ce qui se passa dans l’Aude au printemps dernier, quand des ONG se sont opposées au décollage de l’hélicoptère destiné à traiter les vignes contre le mildiou là où, sols détrempés obligent, les tracteurs ne pouvaient pas entrer, les écologistes ont clairement choisi leur camp. Celui qui entend réduire de façon drastique tout ce qui permet à notre agriculture de demeurer compétitive que ce soit avec l’utilisation d’intrants, l’apport de nouvelles technologies ou, en l’occurrence, l’irrigation. À ce titre, la responsabilité de celles et ceux qui, au-delà des discours inclusifs et démagogiques, encouragent une limitation des productions est ici clairement engagée. »
Le réquisitoire de M. Jean-Paul Pelras à l'encontre des dirigeants d'EÉLV et de la Confédération Paysanne est percutant et, surtout, parfaitement justifié. Comment remplira-t-on les assiettes et les bols des Français, trois fois par jour, avec une agriculture qui serait conforme à leur idéologie ?
Ratisser plus large !
Mais un examen attentif de la situation exige de mettre en cause d'autres acteurs économiques, politiques et sociaux.
L'acte d'accusation serait long et diversifié, mais peut se résumer par « démission collective ».
Les enjeux ne sont pas clairement expliqués – alors que par ailleurs on nous bassine avec le dérèglement climatique.
M. Alain Rousset, président du Conseil régional de la Nouvelle-Aquitaine vient ainsi de faire un effort louable, le 12 novembre 2021, avec « Bassines. Alain Rousset, président de Nouvelle-Aquitaine : "L’engagement des travaux est légal" ». Mais pourquoi diable avoir fait un laïus sur la réduction de 50 % de l'usage de pesticides, ouvrant ainsi un nouveau front et une nouvelle opportunité de contestation et de gesticulation ?
C'est le reflet d'une maladie de notre système socio-politique, décrite ci-dessus par M. Olivier Baccuzat : la faiblesse d'un État – au sens très large – qui n'a pas compris qu'il y a des situations où tendre la main revient à se faire bouffer les doigts.
Faisons ici une mention particulière de la galaxie européenne, avec ses bien-pensants et mal-faisants Pacte Vert et stratégie de la ferme à la table.
Post scriptum de (pas tout à fait) midi
Voir aussi Terre-Net, "Indignation quasi générale après les actions contre les retenues d’eau"
https://seppi.over-blog.com/2021/11/bassines-les-degats-des-zozos-une-petite-revue-de-presse.html
Mais jusqu'où peuvent aller les inoculés trisomiques ? S'en prendre à l'eau !!
SupprimerLa faute aux écoles d'idiots ? des merdias ? bref, de la politique qui les lance et les soutient !
A savoir qu'une nappe ne se remplie pas par les eaux de pluies (Prenez un tamis, mettez-y de la terre dedans et versez de l'eau dessus. L'eau qui s'écoule dessous est IMPROPRE ! Çà alors !!
L'eau de pluies ne pénètre que de peu dans la terre puis, - le soleil ou le vent venant la terre sèche - L'eau remonte par capilarité et s'évapore.
Mais alors d'où l'eau propre vient-elle ??!
Depuis des millions d'années des milliards de m² d'eau de pluies, des fleuves et des rivières se sont déversés dans les mers et océans... sans qu'ils ou elles ne montent !!! Çà alors !! (Regardez la quantité d'eau transportée par un fleuve !!).
L'eau des bassins maritimes & océaniques s'infiltre continuellement aux planchers maritimes & océaniques vers le magma. L'eau est alors chauffée/bouillie et remonte par des galeries vers la mer ou l'océan (sources chaudes emportées par les lames de fonds qui ressortent aux côtes d'Azur ou bretonnes, entr'autres). Cette superficie correspond aux 4/5 ème de la surface terrestre (78 %). L'eau ressort aussi sous terre (22 %), elle monte vers des geysers (sources chaudes au ras du sol), ou vers des sources de montagnes ou vers des nappes phréatiques. C'est pourquoi cette eau est pure, sans coloration, sans goût et sans bactérie.
L'eau est inépuisable. Il n'y a pas une goutte d'eau de plus ou de moins depuis des millions d'années.
Et oui ! Tout se recycle ! Même la combustion des gaz ou liquides ou solides se retransforment en ce qu'ils ou elles étaient ! Çà alors !!
D'Amazon au zoom : que se passe-t-il dans une minute Internet en 2021
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 NOV 2021 - 23:00
Dans notre vie de tous les jours, il ne peut pas se passer grand chose en une minute. Mais, comme le détaille Visual Capitalist ci-dessous, lorsque l'on évalue la profondeur de l'activité Internet qui se produit en même temps, cela peut être extraordinaire. Aujourd'hui, il existe environ cinq milliards d'internautes dans le monde.
Cette infographie annuelle de Domo capture le volume d'activité en cours dans une minute donnée et la quantité de données générées par les utilisateurs. Pour le moins, il y en a beaucoup.
- voir cadre sur site -
La minute Internet
Au cœur de l'activité numérique mondiale se trouvent les services et applications du quotidien qui sont devenus incontournables dans nos vies. Collectivement, ceux-ci produisent des quantités inimaginables d'activité des utilisateurs et de données associées.
Voici quelques-uns des chiffres clés de ce qui se passe en une minute :
Les clients d'Amazon dépensent 283 000 $
12 millions de personnes envoient un iMessage
6 millions de personnes achètent en ligne
Les utilisateurs d'Instacart dépensent 67 000 $
Les utilisateurs de Slack envoient 148 000 messages
Microsoft Teams connecte 100 000 utilisateurs
Les utilisateurs de YouTube diffusent 694 000 vidéos
Facebook Live reçoit 44 millions de vues
Les utilisateurs d'Instagram partagent 65 000 photos
Les utilisateurs de Tiktok regardent 167 millions de vidéos
Comme le montrent ces faits, les grandes entreprises technologiques ont une grande influence sur nos vies. Cette influence devient difficile à ignorer et attire de plus en plus l'attention des médias et des politiques. Et certains voient dans cette attention une explication plausible de la raison pour laquelle Facebook a changé de nom, pour se dissocier de l'ancien dans le processus.
Une mesure tangible de cette influence est la quantité massive de revenus que les grandes entreprises technologiques génèrent. Pour avoir une meilleure idée de cela, nous pouvons également examiner les capacités de génération de revenus de Big Tech sur une base par minute :
- voir cadre sur site -
Une grande partie des revenus générés par ces actions d'élite d'un billion de dollars peut être attribuée à toute l'activité sur leurs différents réseaux et plateformes.
En d'autres termes, les 5,7 millions de recherches Google effectuées chaque minute sont la clé de leurs ventes de 433 014 $ par minute.
La minute Internet au fil des ans
La quantité de données et d'informations dans l'univers numérique doublant effectivement tous les deux ans, il est juste de dire que la minute Internet a subi quelques changements au fil des ans. Voici quelques domaines qui ont connu une croissance impressionnante :
En 2016, les utilisateurs de Snapchat 527 000 photos par minute, contre 2 millions en 2021
RépondreSupprimerEn 2017, Twitter a enregistré 452 000 Tweets par minute, contre 575 000 en 2021
En 2018, 862 823 $ ont été dépensés en ligne, tandis que 2 millions de personnes faisaient des achats par minute en 2021
En 2019, 4,5 millions de vidéos sur YouTube étaient visionnées chaque minute, tandis qu'en 2021, les utilisateurs diffusaient 694 000 heures.
En 2020, les utilisateurs de Netflix ont diffusé 404 000 heures par minute, passant à 452 000 heures en 2021
Voici un aperçu des services qui ont été présentés dans les différentes itérations de ce graphique au fil des ans :
- voir cadre sur site -
Twitter, Instagram et Youtube sont les trois seules marques à être présentées chaque année.
Perspectives de croissance d'Internet
La roue des minutes Internet permet également de mettre en perspective le taux d'adoption rapide d'Internet. Par exemple, en 1993, il n'y avait que 14 millions d'internautes dans le monde. Mais aujourd'hui, il y en a plus de 14 millions rien qu'au Chili.
Cela dit, le marché total adressable a encore de la place. Selon certaines mesures, le nombre total d'utilisateurs d'Internet a augmenté de 500 millions en 2021, soit un bond d'environ 11% par rapport à 4,5 milliards d'utilisateurs en 2020. Cela correspond à un nombre étonnant de 950 nouveaux utilisateurs par minute.
De plus, à long terme, avec la mise en place d'infrastructures adaptées, certaines zones des marchés émergents peuvent connaître une croissance soutenue du nombre de citoyens connectés. Voici d'où pourrait provenir le prochain milliard d'internautes, sur la base des plus grandes populations déconnectées.
- voir liste sur site -
Avec cette trajectoire de croissance à l'esprit, on peut s'attendre à ce que les chiffres futurs deviennent encore plus étonnants. Mais l'esprit humain est connu pour être mauvais pour interpréter les grands nombres, donc dans les éditions futures, les chiffres minute Internet devront peut-être être réduits à la seconde Internet.
https://www.zerohedge.com/technology/amazon-zoom-what-happens-internet-minute-2021
A ne pas oublier que tous ces chiffres cités sont faux, censurés par x plateformes qui évaluent à la hausse ou dévaluent chaque site !! (Notez que le nombre de blogs ou vidéos censurés dépassent de loin le plafond de l'intelligence !).
SupprimerLa FDA rappelle des millions de tests COVID-19 à domicile sur de faux positifs
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 NOV 2021 - 18:30
Rédigé par Jack Phillips via Epoch Times,
La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a confirmé jeudi qu'elle rappelait quelque 2 millions de tests COVID-19 à domicile d'Ellume, car ils peuvent produire des "faux positifs" en raison d'un défaut de fabrication.
L'entreprise a d'abord informé l'agence fédérale de réglementation du défaut de certains lots en octobre. Mais mercredi, la FDA a déclaré avoir identifié des lots supplémentaires affectés par le défaut de fabrication, fabriqués entre le 24 février 2021 et le 11 août 2021.
À ce jour, environ 35 faux positifs des tests COVID-19 ont été signalés à la FDA. Aucun décès n'a été signalé lié au test, selon l'agence.
Un « faux positif » indique qu'un individu a contracté le virus du PCC (Parti communiste chinois), qui cause le COVID-19, alors qu'en réalité ce n'est pas le cas.
La FDA a noté que les faux positifs pourraient entraîner « un diagnostic ou un traitement retardé pour la cause réelle de la maladie de la personne, qui pourrait être une autre maladie potentiellement mortelle qui n'est pas COVID-19 » ou recevoir « un traitement COVID-19 inutile d'un service de santé fournisseur », ce qui peut « entraîner des effets secondaires ».
Un autre problème, a noté la FDA, est l'isolement, y compris la surveillance des contacts familiaux ou proches pour les symptômes, la limitation des contacts avec la famille ou les amis et l'absence à l'école ou au travail. »
Soulignant la gravité du problème, la FDA a déclaré qu'elle "a identifié cela comme un rappel de classe I, le type de rappel le plus grave … l'utilisation de ces tests peut entraîner de graves conséquences néfastes pour la santé ou la mort".
Le test d'antigène détecte les protéines du virus CCP à partir d'un échantillon nasal, et il est disponible sans ordonnance pour les personnes âgées de 2 ans et plus. Il est également livré avec un analyseur qui se connecte à une application pour smartphone pour montrer aux utilisateurs comment effectuer le test et comprendre les résultats du test.
Ellume a rappelé 2 212 335 tests aux États-Unis à ce jour. Plus tôt cette année, la société basée en Australie a annoncé qu'elle avait effectué environ 200 000 de ses tests.
L'administration Biden avait signé un accord de 231 millions de dollars avec Ellume, qui a reçu l'approbation de produire ses tests sous l'administration Trump l'année dernière.
En octobre, le Dr Sean Parsons, directeur général d'Ellume, a annoncé que la société avait créé plus de garanties pour empêcher que le problème ne se reproduise.
"Je suis vraiment désolé que cela se soit produit", a-t-il déclaré au New York Times à l'époque.
"Nous cherchons tous à rechercher la précision, et avoir ces faux positifs est décevant."
Et un porte-parole a déclaré que la «cause profonde» du problème avait été identifiée. La société expédie déjà de nouveaux produits aux États-Unis, a ajouté le porte-parole au NY Times.
Epoch Times a contacté Ellume pour commentaires.
https://www.zerohedge.com/covid-19/fda-recalls-millions-home-covid-19-tests-over-false-positives
(...) Soulignant la gravité du problème, la FDA a déclaré qu'elle "a identifié cela comme un rappel de classe I, le type de rappel le plus grave … l'utilisation de ces tests peut entraîner de graves conséquences néfastes pour la santé ou la mort".
SupprimerLe test d'antigène détecte les protéines du virus CCP à partir d'un échantillon nasal, et il est disponible sans ordonnance pour les personnes âgées de 2 ans et plus. Il est également livré avec un analyseur qui se connecte à une application pour smartphone pour montrer aux utilisateurs comment effectuer le test et comprendre les résultats du test. (...)
Dès lors que de faux tests (écouvillons) pénètrent dans la cavité nasale pour y déposer des milliards de nano-particules d'oxyde de graphène afin de répondre aux ordres de diriger n'importe qui n'importe où n'importe quand, il y a donc une prise de contrôle aux 100 % de l'individu chargé d'obéir aux ordres. Mais, cela ne se passe pas toujours comme on peut l'imaginer et, des personnes décèdent plus tôt que prévue !
Le sommet sur le climat de Glasgow se termine dans les larmes, l'échec et les engagements pris
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 NOV 2021 - 16:20
Le sommet sur le climat le moins vert de l'histoire s'est soldé par une énorme victoire pour le charbon – après que l'Inde et la Chine aient forcé des changements de langue de dernière minute dans le texte final du Pacte climatique de Glasgow pour « réduire progressivement » au lieu de « supprimer progressivement » l'énergie au charbon sans relâche.
Les changements de langue ont été introduits samedi soir au cours de la dernière demi-heure de la session finale, lorsque l'Inde a plongé avec la demande, ainsi que l'ajout d'une clause qui se lit "tout en fournissant un soutien ciblé aux plus pauvres et aux plus vulnérables".
Plus précisément, le pacte de 197 nations verrait les parties s'engager à « intensifier les efforts pour réduire progressivement l'énergie au charbon et éliminer les subventions inefficaces aux combustibles fossiles tout en fournissant un soutien ciblé aux plus pauvres et aux plus vulnérables conformément aux circonstances nationales et en reconnaissant le besoin de soutien vers une transition juste."
Auparavant, le texte se lisait comme suit : « y compris l'accélération des efforts visant à éliminer progressivement l'énergie au charbon et les subventions inefficaces aux combustibles fossiles, reconnaissant la nécessité d'un soutien vers une transition juste ».
Ainsi, l'Inde et la Chine viennent de rouvrir la porte sur ce qui allait déjà être une tâche presque impossible pour éliminer le charbon, et les pays occidentaux se sont désormais engagés à « un soutien ciblé » sous la forme de l'argent des contribuables pour les pays les plus pauvres.
Bambou...
Et tandis que les bénéficiaires desdits changements ont fait un tour de victoire, l'Inde a déclaré (avec un visage impassible) qu'elle "appellerait les parties à intensifier le développement et le déploiement" de technologies vertes et une transition vers une consommation d'énergie plus faible - tandis que la Chine a publié un encore moins un soutien spécifique à l'appel "selon ce que les délégués de l'Inde, de la Chine, de l'Afrique du Sud et de la Bolivie, et des pays partageant les mêmes idées et d'autres pays en développement, ont exprimé [comme] des préoccupations".
Si jamais Greta devait être énervée par des "mots vides", c'est le moment
Larmes d'échec
En réponse aux changements de dernière minute, le président de la COP26, Alok Sharma, a présenté ses excuses, se disant "profondément désolé" de la façon dont l'événement s'est terminé.
"Puis-je juste dire à tous les délégués que je m'excuse pour la façon dont ce processus s'est déroulé et je suis profondément désolé", a-t-il déclaré à la foule, ajoutant "Je comprends également la profonde déception mais je pense que, comme vous l'avez noté, il est également vital que nous protéger ce paquet."
La Suisse était énervée - exprimant sa "profonde déception à la suite d'un processus peu transparent", ajoutant "Nous n'avons pas besoin de réduire progressivement le charbon mais de supprimer progressivement le charbon".
Le représentant suisse a déclaré que le changement de dernière minute apporté au libellé sur l'élimination progressive de l'utilisation des combustibles fossiles rendrait plus difficile l'atteinte de l'objectif de la COP26.
"Cela ne nous rapprochera pas de 1,5 mais rendra plus difficile l'atteindre."
RépondreSupprimerFrans Timmermans, l'envoyé de l'UE, a déclaré qu'il était déçu par la nouvelle formulation : « Plus vous prenez de temps pour éliminer progressivement le charbon, plus vous mettez de charge sur l'environnement naturel et plus vous faites peser de charge sur votre économie. -FT
L'émissaire américain pour le climat, John Kerry, "a simplement dû l'accepter".
Engagement à signaler la vertu maximale
Mis à part les stylos fantaisie, nous supposons que les participants à la COP26 retournent dans leur pays avec une tâche des plus sérieuses : lancer la boîte sur la route pour l'instant, puis revenir l'année prochaine avec des plans pour renforcer leurs objectifs de réduction des émissions à l'horizon 2030. Les pays riches ont l'avantage supplémentaire de « doubler au moins » le montant d'argent qu'ils donnent aux pays en développement en échange de leur adaptation au changement de saisons.
Comme toujours, il n'y a pas de détails à la base d'un engagement à transférer des masses d'argent des pays riches vers les pays pauvres.
https://www.zerohedge.com/energy/glasgow-climate-summit-ends-tears-failure-and-kicking-can-commitments
Les banques alimentaires américaines luttent pour nourrir les affamés au milieu d'une «tempête parfaite» d'inflation alimentaire
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 NOV 2021 - 14:00
La plus grande banque alimentaire des États-Unis a du mal à nourrir les gens au milieu d'une tempête parfaite de flambée des prix des denrées alimentaires et de problèmes de chaîne d'approvisionnement.
Katie Fitzgerald, directrice de l'exploitation de Feeding America, une organisation à but non lucratif qui exploite plus de 200 banques alimentaires à travers le pays, a déclaré à AP News que son réseau de banques alimentaires est déjà étiré en raison de la demande sans précédent stimulée par le ralentissement de la pandémie de virus dans l'économie dernière année. Elle a averti qu'il est devenu plus difficile pour son organisation d'absorber l'inflation alimentaire, ce qui réduit le nombre de familles à nourrir cette saison des vacances.
Les perturbations de la chaîne d'approvisionnement, la baisse des stocks, les coûts de transport et de carburant plus élevés et les pénuries de main-d'œuvre aggravent la situation des banques alimentaires sur lesquelles des millions de personnes comptent. Elle a déclaré que son organisation avait déjà échangé des produits alimentaires de plus petite taille ou en avait entièrement remplacé certains pour étirer davantage le dollar.
Fitzgerald a déclaré que la flambée de l'inflation alimentaire est une "insulte aux blessures" pour les familles qui dépendent des banques alimentaires.
Michael Altfest, directeur de la région de la baie de San Francisco, de la banque alimentaire communautaire du comté d'Alameda à Oakland, a déclaré que la banque alimentaire dépensait 60 000 $ supplémentaires en nourriture par mois et dépensait 1 million de dollars par mois pour distribuer 4,5 millions de livres de nourriture.
Altfest a déclaré à l'époque pré-COVID. La banque alimentaire dépensait un quart de l'argent pour distribuer 2,5 millions de livres de nourriture. Il a souligné que les prix des haricots verts et des pêches en conserve ont augmenté de 9 %, du thon en conserve et du tilapia congelé de plus de 6 %, des poulets congelés de 5 livres ont augmenté de 13 % et des flocons d'avoine ont bondi de 17 %.
De nouvelles personnes se présentent chaque semaine au garde-manger de Shiloh Mercy House dans l'est d'Oakland malgré le fait que le président Biden fasse la promotion de son succès économique et de son plan de « reconstruire en mieux ».
La flambée de l'inflation alimentaire nuit aux familles : "Et beaucoup de gens disent simplement qu'ils ne peuvent pas se permettre de manger", a déclaré Jason Bautista, responsable des événements de l'association caritative.
Cela survient alors que les prix à la consommation ont atteint mercredi leur plus haut niveau depuis des décennies. Les prix de la viande, de la volaille, du poisson et des œufs ont augmenté de 11,9 %, le sous-indice du bœuf augmentant de 20,1 % et l'indice du porc augmentant de 14,1 %, sa plus importante augmentation sur 12 mois depuis la période se terminant en décembre 1990.
Sonia Lujan-Perez, une résidente d'Oakland, 45 ans, paie 2 200 $ de loyer mensuel et n'a plus d'argent pour nourrir sa famille. Elle fréquente les banques alimentaires locales parce que les prix des aliments ont grimpé en flèche au cours de la dernière année.
Lujan-Perez a déclaré que la banque alimentaire "est merveilleuse pour moi parce que je vais économiser beaucoup d'argent". Ce Noël serait "difficile" pour ses deux enfants car elle ne s'offrirait pas de cadeaux.
RépondreSupprimerLe prochain cauchemar politique de Biden est déjà arrivé : l'inflation alimentaire. Les gains salariaux réels sont anéantis à mesure que le coût de tout augmente. L'humeur aigre pour le président apparaît dans les données des sondages.
L'administration Biden a tenté de contrer l'inflation alimentaire croissante pour les travailleurs pauvres en annonçant une augmentation du programme d'assistance nutritionnelle supplémentaire, ou SNAP, à plus de 40 millions de bénéficiaires en août. Cela signifie que la prestation mensuelle moyenne a augmenté de plus de 36 $ par personne, mais même cela n'a pas réussi à satisfaire l'estomac de millions d'Américains affamés.
Il y a aussi un autre problème. Bryan Nichols, vice-président des ventes de Transnational Foods, qui livre à 100 banques alimentaires associées à Feeding America, a déclaré que l'approvisionnement en conserves d'Asie est devenu plus complexe à mesure que les pénuries dues à la congestion des ports se sont matérialisées. Il a également déclaré que l'importation de conserves d'outre-mer était devenue incroyablement chère, car les tarifs des conteneurs d'expédition sont passés de "4 000 $ à 18 000 $" en moins d'un an.
Dans le sud du Colorado, la PDG de Care and Share Food Bank, Lynne Telford, explique que le coût des produits alimentaires monte en flèche.
Telford a déclaré: "Le coût d'un camion de beurre d'arachide de 40 000 livres a grimpé de 80 % par rapport à juin 2019 à 51 000 $ en août. Le macaroni au fromage a augmenté de 19% par rapport à il y a un an et le prix de gros du bœuf haché a augmenté de 5 % en trois mois."
Elle a déclaré que son organisation dépensait plus d'argent pour compenser le manque de dons, et son autre crainte est qu'il n'y ait pas assez de nourriture pour les vacances.
"L'autre chose, c'est que nous ne mangeons pas assez de nourriture pour les fêtes, comme la farce et la sauce aux canneberges. Nous devons donc compléter avec d'autres types de nourriture, ce qui, vous le savez, nous rend triste", a déclaré Telford, dont la banque alimentaire a nourri plus de 200 000 personnes l'an dernier.
Les données des banques alimentaires soulignent ce que de nombreux travailleurs américains pauvres savent déjà. Certains des taux d'inflation les plus élevés depuis des décennies écrasent leurs budgets car ils peuvent à peine se permettre de survivre. Une telle douleur dans le portefeuille les rend affamés, sortant d'une pandémie démoralisante, menaçant Biden et les démocrates avant la mi-mandat de l'année prochaine.
https://www.zerohedge.com/markets/us-food-banks-struggle-feed-hungry-amid-perfect-storm-food-inflation
Le seul choix qui nous reste : l'esclavage ou la liberté
RépondreSupprimerpar Joseph Stroberg
2021-11-13
Habituellement, mes conversations avec des experts sur la pandémie COVID tournent autour de l'infection et de son traitement. L'interview d'aujourd'hui avec le gourou de la finance Catherine Austin Fitts s'attaquera le sujet de la COVID sous un angle différent.
Austin Fitts a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID.
« J'ai eu une carrière très réussie à Wall Street, puis je suis allée brièvement à Washington et j'ai été atterrée par la corruption hypothécaire et je suis partie », dit-elle. « J'ai créé mon propre cabinet, qui a très bien marché, et j'ai été prise dans un litige avec le gouvernement fédéral.
Cela était dû en partie à la découverte que les principaux médias étaient une entreprise criminelle. J'ai décidé pendant cette période que j'arrêterai d'essayer de discuter de quoi que ce soit avec des gens par le biais des médias. En fait, je répondrai que directement aux questions des gens. Ce processus de ne répondre que constamment aux questions des gens... s'est transformé en deux entreprises, dont l'une était une entreprise de conseils en investissements, lancée en 2007.
J'ai découvert que bon nombre des problèmes financiers et de nombreuses difficultés financières auxquels mes clients étaient confrontés étaient vraiment générés par la santé, et que nombreux d'entre eux provenaient de blessures vaccinales et d'effets indésirables des vaccins. Je ne suis plus conseillère en investissements... je de donne pas de conseil individuel en investissement.
Mais ce que j'ai découvert c'était qu'il était absolument impératif, si vous vouliez aider les clients à réussir à construire leur bien-être financier familial, d'intégrer les investissements dans la santé et le bien-être aux investissements dans les questions financières. J'avais des gens qui me disaient qu'ils mettaient des millions de dollars dans leur compte d'actions, mais qui n'avaient pas les moyens de se payer de la nourriture bio ou biodynamique.
J'ai l'air de, es-tu folle ? Donc il y avait une intégration qui devait se produire. À cause des extraordinaires dépenses liées aux blessures vaccinales et aux événements indésirables, cela m'a amenée à beaucoup m'intéresser aux vaccins. J'ai passé de nombreuses années à lire et à étudier ce qui se passait et pour quelles raisons les mensonges étaient si gros ».
Selon Austin Fitts, votre santé et vos finances personnelles ne peuvent tout simplement pas être séparées. Les deux sont vraiment comme les deux faces d'une même pièce et les personnes qui n'apprennent pas à naviguer à travers les mensonges des industries médicales et financières peuvent se retrouver en très mauvaise situation, tant du point de vue de la santé que du point de vue financier.
RépondreSupprimerLa fraude de l'injection
Un des crimes les plus odieux de cette pandémie est l'obligation de ces injections COVID expérimentales tout en donnant simultanément aux sociétés pharmaceutiques une immunité complète. Elles ne sont responsables de rien, peu importe combien de personnes sont blessées ou meurent. Une personne peut être forcée à prendre cette injection et souffrir d'une invalidité permanente nécessitant des millions de dollars de soins, et le patient doit en assumer les coûts, quand bien même il a été contraint.
« Au début de la pandémie COVID-19 j'ai publié un article intitulé « La Fraude de l'Injection »[1]» dit Austin Fitts, « et j'ai passé en revue tous les différents problèmes de responsabilité.
L'objectif des formulaires COVID-19 que nous avons publiés sur notre site Internet est d'essayer de ramener la responsabilité là où elle devrait être, parce que vous observez un transfert de milliards de dollars qui incombent aux familles pour des soins de santé, d'invalidité, de compensations salariales, de chômage, de décès, etc.,etc.. Le transfert des engagements financiers sur les particuliers est extraordinaire.
Ce que nous essayons de faire avec les formulaires COVID-19 c'est de donner aux personnes des formulaires qu'ils pourraient utiliser dans les négociations avec leurs employeurs et leurs écoles pour essayer de les tenir pour responsables du consentement éclairé... Ensuite il passe en revue les questions de soins de santé, les questions de handicap, les questions de compensations salariales, les questions d'assurance-vie...
Ce processus a commencé par quelque chose appelé le formulaire de déclaration de situation financière familiale. Nous avions de nombreux abonnés dont les épouses voulaient recevoir l'injection.
Il était très important pour moi de donner aux gens un formulaire qu'ils pourraient parcourir avec leur conjoint et m'assurer qu'un événement indésirable impactant le conjoint ne se traduirait pas en faillite pour la famille parce qu'il y a des mesures que les gens peuvent prendre pour protéger la famille de la catastrophe financière s'ils sont assez stupides pour aller prendre une de ces injections.
Donc cela a commencé avec le formulaire de déclaration de situation financière familiale, puis il s'est traduit en formulaire pour employé et pour l'université, et des abonnés m'ont dit qu'ils étaient en mesure de dissuader leurs employeurs d'exiger l'injection après qu'ils aient examiné ensemble le formulaire.
C'est incroyable parce que les employeurs et les universités ne font que mentir aux gens que ce soit au sujet des événements indésirables et des risques potentiels, ou de ce qu'est la loi.
Je mets au défi tout employeur qui essaie de dire qu'ils imposent ceci alors qu'ils sont encore sous autorisation d'utilisation d'urgence, de produire un document du gouvernement, qu'il s'agisse d'une disposition légale ou réglementaire, qui dit qu'ils ont une base juridique pour le faire. Pour autant que je sache, l'OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Sécurité au Travail et Administration de la Santé) n'a rien publié à ce jour. »
Y a-t-il un chantage conspirationniste en cours ?
Alors que je pense que de nombreux employeurs et d'administrateurs d'écoles sont tout simplement ignorants et ont été victimes de la campagne de propagande la plus réussie de l'Histoire moderne, Austin Fitts soupçonne qu'ils savent exactement ce qu'ils font.
RépondreSupprimer« Je ne pense pas qu'il s'agisse de propagande », dit-elle. 'Je pense qu'ils subissent une pression terrible à la fois du gouvernement et des banques... Je pense qu'il y a dans les coulisses un chantage conspirationniste RICO (Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act — Loi fédérale conçue pour combattre le crime organisé aux États-Unis — NdT) en cours.
Je pense qu'ils le comprennent. Et je pense qu'ils sont sérieusement menacés par le système bancaire. Si vous regardez la pression la plus forte que nous voyons, elle vient des banques centrales et du côté de la finance.
Depuis un an j'ai passé beaucoup de temps avec les Médecins pour l'éthique COVID à apprendre ce que ces médecins et scientifiques savent, ce qu'il y a dans cette injection COVID et ce qu'elle fait. Il y a toute une partie des ingrédients dont nous ne savons toujours pas ce qu'ils sont.
Et, j'ose le dire, je crois que c'est relié à la raison pour laquelle les directeurs des banques centrales insistent tant. Je pense que ces gars dépendent vraiment du réseau intelligent et d'une technologie effrayante pour les aider à passer aux dernières étapes du contrôle financier, qui est, je pense, ce pour quoi ils font pression. »
Il ne reste plus qu'un seul choix : l'esclavage ou la liberté
Pour empêcher la mise en œuvre de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts à faire des sacrifices à court terme. Tout le monde doit être prêt à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelle qu'en soit la conséquence, que vous m'enleviez ma pension de retraite, que vous me licenciez, que vous me discréditiez et que je ne puisse plus jamais travailler dans ma profession ».
C'est cela qu'il faudra pour garder même nos libertés les plus fondamentales.
S'ils arrivent à imposer les passeports (les pass sanitaires — NdT), je dirais que, d'un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les monnaies numériques des banques centrales (MNBC - NdT). Donc, quoi que nous fassions, il nous faut arrêter les pass. Les pass leur donnent le genre de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui ensuite mène aux MNBC. — Catherine Austin Fitts
Comme l'a relevé Austin Fitts :
« Il s'agit d'esclavage ou de liberté. Si vous regardez ce qu'ils préparent, ce qu'ils visent, c'est une grille complète de contrôle financier et technologique. Ceci est de l'esclavage. Je veux dire, lorsque le Forum Économique Mondial dit, nous sommes en 2030 et vous n'avez pas de biens, qu'est-ce qui n'est pas clair là-dedans ? Vous n'avez pas de biens signifie que vous êtes un esclave ».
D'après les statistiques fédérales aux États-Unis, la richesse de la moitié inférieure de la population a augmenté durant la pandémie à cause de l'inflation immobilière. « Je peux vous assurer que ceci est une ruse », dit Austin Fitts. En ce qui concerne les liquidités, environ 70 à 80 % des Américains n'ont pratiquement pas de réserve d'argent liquide.
RépondreSupprimer« C'est parce que ce que nous avons vu est un effort énorme pour... mettre en faillite la population et les gouvernements afin qu'il soit plus facile pour les directeurs des banques centrales de prendre le contrôle. C'est ce que j'ai écrit depuis 1998 que ceci est un coup d'État financier.
En ce moment le coup d'État financier est en train d'être consolidé, où les directeurs des banques centrales ne servent que de juridiction sur le Trésor et les recettes fiscales. Et s'ils peuvent obtenir les passeports avec la MNBC (rappel : Monnaie Numérique des Banques Centrales — NdT) alors il sera possible que les impôts soient retirés de nos comptes et que l'on prenne nos actifs.
Donc, nous sommes en présence d'un véritable coup d'État, et c'est pourquoi, si vous jetez un coup d'œil sur l'ensemble de la population, nous sommes les gars qui construisent la prison. Nous avons le pouvoir d'arrêter cela. »
Les raisons pour lesquelles nous devons rejeter les passeports vaccinaux
Je soupçonne que les MNBC sont au cœur de ce complot, et je crois fermement que les cryptomonnaies décentralisées telles que les Bitcoins sont une alternative puissante et importante pour contrer le contrôle des banques centrales sur le système financier. Austin Fitts n'est pas d'accord, soulignant que toutes les cryptomonnaies fonctionnent sur des systèmes contrôlés par le système de gouvernance existant.
« Je crois que toute technologie blockchain (une blockchain permet de stocker et d'échanger de la valeur sur Internet sans intermédiaire centralisé — NdT) dans le système de gouvernance actuel est un danger', dit-elle. « Ayant plaidé pour le Ministère de la Justice durant 11 ans sur les questions financières et les questions d'argent, je pense qu'ils ont la capacité d'exercer un contrôle remarquable sur n'importe lequel d'entre eux... je veux dire, ils contrôlent le matériel informatique, les satellites, les câbles... et beaucoup de gens croient que les cryptomonnaies actuelles sont bien plus privées que je pense qu'elles ne le sont ».
Bien que le gouvernement ne contrôle pas les clés privées et les éléments décentralisés, ils ont toujours encore bon nombre de moyens d'accéder aux données privées de personnes ciblées. « J'ai vu plein de gens être assignés à comparaître et voir le FBI débarquer à leur porte, et c'est incroyable ce qu'ils choisissent de transmettre et de coopérer », dit Austin Fitts. En bref, la capacité du gouvernement de mettre à exécution une menace lorsqu'ils veulent quelque chose de vous est profonde, ce qui rend presque impossible toute résistance.
« Maintenant, je crois toujours que nous avons le pouvoir de renverser cela complètement, dit-elle. « Je veux néanmoins mentionner une chose, parce que la chose importante, notre point à risque, ce ne sont pas les MNBC. Il leur faudra un certain temps pour imaginer les MNBC. Notre point à risque se sont les passeports vaccinaux.
S'ils obtiennent les passeports, alors je dirais que, d'un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les MNBC. Donc, quoi que nous fassions, nous devons arrêter les passeports. Les passeports leur donnent le type de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui conduit alors aux MNBC ».
Le passeport vaccinal est un ticket d'entrée pour l'esclavage financier
Comme l'explique Austin Fitts, les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et trace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.
RépondreSupprimerSi le gouvernement ne veut pas que vous achetiez quoi que ce soit à plus de 8 km de votre domicile, ils ont la capacité de vous empêcher de le faire. S'ils ne veulent pas que vous achetiez des pizzas, ils ont la capacité de vous empêcher d'acheter des pizzas.
« Donc c'est l'Étape 1 pour la construction de cette grille de contrôle. Si vous allez sur solari.com et cliquez sur Cash Friday — qui est une campagne que nous menons pour inciter tout le monde à faire ses dépenses à l'aide d'argent liquide les vendredis — vous allez voir une vidéo de 56 secondes du directeur général de la Banque des Règlements Internationaux expliquant comment avec la MNBC ils auront la capacité de mettre en application toutes les règles qu'ils veulent créer sur les MNBC et votre argent.
C'est très effrayant et cela communique le contrôle qu'ils pensent qu'ils vont avoir lorsque ceci sera terminé. Mais pour obtenir ce contrôle, vous avez d'abord besoin que l'ensemble du système de passeport voie le jour. C'est en gros la grille d'information sur laquelle les MNBC peuvent ensuite se brancher...
Si vous avez un système de passeport qui est en place qui peut littéralement arrêter vos transactions financières à moins que vous n'ayez un autre rappel, imaginez, avec les MNBC, il peut arrêter toutes vos transactions. Il peut changer le montant de l'argent. Il peut retirer de l'argent de votre compte bancaire. En d'autres mots, ce n'est plus une monnaie. C'est un crédit que la société stocke et la société contrôle tout...
Les passeports sont déjà là. Nous devons arrêter cela maintenant. J'ai vu des applications de passeport qui montrent que les gens reçoivent huit rappels ou plus. Qui va s'inquiéter au sujet des MNBC si vous avez eu deux de ces injections et huit rappels ? Je veux dire, la question est : serez-vous encore en vie à ce moment-là ? Je ne sais pas ».
Que pouvez-vous faire maintenant ?
Donc, comment le citoyen moyen peut-il résister à ce plan diabolique ? Une des stratégies serait de déménager dans un État ou un pays qui a rendu illégal les obligations de détenir un passeport vaccinal. Une autre stratégie est de simplement refuser le passeport, quelles qu'en soient les conséquences.
Cela vaut également pour ceux qui ont eu une ou deux injections COVID. Pour que le passeport reste valide, vous devrez prendre des rappels. Combien êtes-vous prêt à en prendre ? Combien de fois êtes-vous prêt à risquer votre santé et votre vie ? À un moment donné il vous faudra prendre la même décision que tous ceux qui ne sont pas vaccinés — la liberté ou l'esclavage.
Ce que cela signifie c'est qu'il nous faudra également créer des systèmes alternatifs et parallèles pour tout ce dont on nous privera d'accès si nous n'avons pas de passeport vaccinal valide. Cela inclut l'éducation, la production alimentaire, toutes sortes de services, les soins de santé et l'économie.
RépondreSupprimerCes systèmes parallèles seront de toute façon cruciaux, puisqu'il semble que les programmes sociaux — Sécurité Sociale, Medicare et Medicaid — n'auront plus d'argent en 2028. Et, à mesure que ces programmes disparaissent, ils feront couler l'industrie pharmaceutique avec eux, puisqu'ils sont la première source de revenus des sociétés pharmaceutiques.
« J'ai découvert qu'il y avait toute une communauté de gens qui vivaient en VL (véhicule de loisir, véhicule aménagé avec à l'intérieur un espace de vie — NdT) tout simplement parce qu'ils ne faisaient confiance à aucune juridiction. Ils voulaient avoir la possibilité de se lever et de partir, et ce groupe est en progression constante.
Donc, mon sentiment c'est que nous devons dire non, et nous devons faire tout ce que nous pouvons faire. J'ai pris cette décision lors du litige auquel le gouvernement était partie prenante parce que j'étais absolument convaincue que si je continuais à dire non, il y avait de fortes chances que je puisse être tuée. J'ai été empoisonnée en maintes occasions, donc j'ai eu affaire à un harcèlement assez grave.
Tout ce que je peux vous dire c'est qu'avoir dit non s'est avéré être la chose la plus intelligente que je n'aie jamais faite. Je ne dis pas que ce n'est pas difficile. C'est exceptionnellement gênant. Je suis passé de personne nantie à une personne ayant à vivre des périodes de pauvreté extrême. C'était assez horrible.
Mais en même temps, vous sortez de l'autre bout et c'est une belle vie. C'est juste une belle vie que d'être libre ... Je ne pense pas qu'il y ait un autre moyen de parvenir à une vie libre et inspirée que de s'y lancer. Il vous faut dire non. Et si nous ne disons pas non, nous allons être des esclaves. Franchement, je préfère être morte que de prendre ces injections. Dieu sait ce qui s'y trouve. »
Il n'y a pas de vaccination obligatoire aux États-Unis
Récemment, le président Biden a publié une directive présidentielle inconstitutionnelle selon laquelle les entreprises de 100 employés ou plus sont tenues de rendre obligatoire l'injection de tous les membres du personnel. L'amende peut s'élever jusqu'à 700 000 dollars par infraction.
De telles grosses amendes pourraient rapidement mettre en faillite toutes les entreprises hormis les plus riches si elles ne s'y conforment pas. Néanmoins, même ici, il y a le choix, parce qu'en l'état actuel des choses, il n'y a pas de règle ou de loi LÉGALE dictant des règles en matière de vaccination pour les entreprises privées.
« Ceci est un génocide », dit Austin Fitts. 'Il n'y a pas de règle d'urgence temporaire OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Administration de la Sécurité au Travail et de la Santé — NdT). Il n'y a pas de document. Si je suis une entreprise et que vous n'avez pas de loi, pas de règlement, pas de règlement d'urgence — vous ne pouvez pas légiférer par conférence de presse, et vous ne pouvez pas appliquer des sanctions pécuniaires à partir de rien.
Je ne sais pas sur quelle base juridique vous pouvez appliquer une sanction pécuniaire civile à une violation d'une loi non existante et d'une règle non existante. Maintenant, je ne suis pas en train de vous dire que vous ne pouvez pas trouver un juge et le menacer et l'effrayer afin qu'il adhère à cela. Mais je dois vous dire, s'il y a quelque chose qui vaut la peine d'être plaidé, c'est bien cela.
RépondreSupprimerMais voyons si une entreprise peut exister en tant que sujet politique. Si toutes les entreprises dans le Monde sont en fait captives du chantage de l'organisation SPECTRE — parce que ça tourne vraiment en James Bond — (alors), personne ne peut représenter l'actionnaire, parce qu'ils ne peuvent pas dire non au crime organisé.
Alors nous n'avons plus d'économie. Nous n'avons plus de marché boursier. Nous n'avons plus de pays. Nous n'avons plus de civilisation. Nous n'avons plus qu'une mafia, n'est-ce pas ? Tout a disparu.
Donc, pour moi, je ne peux songer à quelque chose de mieux à plaider que de savoir si oui ou non nous allons avoir une loi. Si tout n'est que la règle de la mafia, il n'y aura pas d'entreprises. Il n'y aura pas de marché boursier. Il n'y aura pas de système financier. Et bon nombre d'entre nous vont mourir.
Donc je pense qu'il va nous falloir décider si nous voulons ou non avoir un État de Droit... Je ne crois pas que le crime organisé avec toute sa force coercitive ait le pouvoir de tout saboter pendant que les gens se dressent. »
Qui est derrière tout cela ?
Quant à savoir qui est derrière cette gigantesque manipulation, c'est difficile à dire. Je pense que le plus proche que nous puissions arriver sur l'identité de ces criminels ce sont les actionnaires privés de Vanguard [Ndlr : et de Blackrock], parce que Vanguard possède la plupart des entreprises du Monde. Austin Fitts pense que ce sont les propriétaires privés des banques centrales. Elle explique :
« Vanguard appartient essentiellement à elle-même. Donc la question est qui la contrôle dans les coulisses ? J'ai un livre en ligne intitulé « Dillon Read et l'Aristocratie des Profits Boursiers ». J'ai essayé par trois fois de le publier en version papier et à chaque fois j'ai été menacée. La dernière fois ils ont menacé quelqu'un de ma famille.
Donc je l'ai laissé en ligne. (Dans ce livre), je raconte l'histoire de comment j'ai été une associée et membre du conseil d'administration de Dillon Read. À un moment donné, j'ai été surprise par leur choix du prochain président de la compagnie. (Il y avait) là (dans cette compagnie — NdT) un merveilleux associé dont le père avait dirigé la compagnie autrefois, alors je lui ai dit 'Je suis surprise de ce choix. Ce n'est pas du tout un « gars de Nick » (Nick étant l'ancien président — NdT)
Nick Brady, le PDG de la compagnie, était allé (avait été élu — NdT) au Sénat pendant un moment, c'est pourquoi ils amenaient un autre président. Et mon associé a dit, 'Nick ne l'a pas choisi. Les Rothschild l'ont choisi'. J'ai dit, 'Attends une minute. Nous sommes propriétaires de l'entreprise. Qu'est-ce que les Rothschild ont à voir avec nous ? Et il m'a simplement regardée et a roulé les yeux... et est parti comme si j'étais la personne la plus stupide d'Amérique.
RépondreSupprimerLe surnom d'Austin Fitts donné par le comité qui dirige le Monde est "Mr Global". Elle reconnaît qu'elle ne comprend pas complètement comment ça fonctionne au sommet, mais elle sait que la prise de décision est très centralisée, qu'elle est probablement gérée par le comité, et que les membres (du comité — NdT) sont tenus au secret pour une durée de 50 ans.
'Depuis la Deuxième Guerre Mondiale, il y a une quantité d'argent énorme qui disparaît de manière constante à cause du système financier', dit-elle. 'C'est presque comme si la planète est une REIT (real estate investment trust — société d'investissement immobilière). Je n'oublierai jamais la scène du film 'Jupiter Ascending' où la princesse d'une galaxie lointaine regarde cette Terrienne et lui dit 'La Terre n'est qu'une toute petite partie d'une société bien plus grande'.
En fait, si vous regardez le système financier, c'est comme ça que ça marche — comme si tout le monde était forcé à produire ce dividende et qu'il (le système financier — NdT) devient très dysfonctionnel à cause du secret.
Maintenant on m'a dit à plusieurs reprises — et j'ai tendance à le croire — que les personnes qui dirigent littéralement ce que la plupart des gens appellent l'État Profond ont essayé de comprendre comment ils pourraient augmenter la transparence et ils se heurtent à tellement de problèmes de responsabilité que tout simplement ils abandonnent.
S'il y a une solution dont nous avons tous besoin, c'est d'apporter une énorme transparence et réduire le risque avec les personnes au sommet. Parce que je pense qu'une des raisons pour lesquelles ils poussent au contrôle complet c'est... qu'ils peuvent alors gérer les choses de manière centralisée avec l'intelligence artificielle...
Le contrôle complet c'est : vous êtes sur un réseau intelligent qui est sous surveillance 24/7 (24 h/24, 7 jours/7 — NdT) et qui vous soumet à toutes sortes de propagande et de contrôle de l'esprit, et ils ont le pouvoir d'effacer votre compte si vous ne vous comportez pas bien. Ceci peut être géré par logiciel, l'IA (Intelligence Artificielle — NdT) et un réseau intelligent (grâce au passeport vaccinal et la MNBC)...
Je le décrirais comme un système d'esclavage... Ils peuvent littéralement garantir un être humain et le connecter au système bancaire, et ils peuvent arrêter toute révolution violente une fois qu'ils ont en gros numérisé et mis tout le monde sur un système de contrôle des transactions financières...
Je pense que c'est une terrible erreur. Mais je pense qu'ils... ne savent pas quoi faire d'autre. Si nous arrivons à nous sortir de cela, premièrement, nous devons simplement dire non et refuser de rentrer dans la boîte. L'autre (deuxièmement — NdT) c'est qu'il nous faut apporter de la transparence là où nous pouvons tous changer. Parce qu'il nous faut une réinitialisation. Si nous continuons comme nous le faisons, ça ne marchera pas. »
Il nous faut une réinitialisation, mais pas de 'la grande réinitialisation'
Ils sont nombreux à avoir souligné que c'est une inéluctabilité mathématique que le système financier des banques centrales s'effondre. Vous ne pouvez pas accumuler des dettes à perpétuité. Ce n'est tout simplement qu'une question de quand. Comme l'a fait remarquer Austin Fitts, nous avons actuellement un retour sur investissement négatif.
RépondreSupprimerMais le système financier peut certainement être remanié pour un retour sur investissement positif. Néanmoins, pour faire cela, nous ne pouvons pas permettre aux sociétés de fonctionner au-dessus de lois. Elle explique :
« À l'heure actuelle, nous avons une doctrine juridique qui dit qu'aussi longtemps qu'ils peuvent se faire de l'argent, ils sont plus ou moins libres d'agir au-dessus des lois. L'économie doit être subordonnée à la société. Vous ne pouvez pas laisser votre vie économique déterminer la primauté du droit. Et donc, nous avons pratiquement donné une immunité juridique aux grandes banques internationales, et à travers elles, aux entreprises.
Le modèle d'entreprise actuel, tel qu'il existe actuellement, ne marche pas. Ce que nous observons c'est la destruction de la société afin qu'il puisse continuer à fonctionner. Franchement, vous ne pouvez pas avoir une économie ou une société en bonne santé si le secteur financier est dominant plutôt que subordonné. Le système financier devrait servir la société et la civilisation, et non l'inverse. »
Des signes d'un changement positif
Cependant, il y a des signes d'un réel changement — un changement positif. Austin Fitts fait remarquer, pour la première fois de sa vie, elle voit des personnes extrêmement talentueuses et bien éduquées qui ont toujours été réticentes à faire des vagues disant qu'elles veulent sortir (du système — NdT) ; elles préfèrent mourir plutôt que d'être réduites en esclavage par le crime organisé.
« Je me rappelle d'un scientifique et médecin vraiment formidable me disant, 'Je suis prêt à commencer une toute nouvelle civilisation'. Il y a une vague de talents et de solennité que je n'ai jamais vue et qui dit 'Je préfère faire partie de la nouveauté. J'en ai marre de celle-ci.
Donc je vois une formidable cassure — et non simplement un refoulement — de la part de personnes qui veulent être partie prenante de quelque chose de civilisé. Elles réalisent que la corruption a atteint un point où il est inutile d'essayer de s'entendre ou d'être au milieu de la route ou de suivre...
Le défi pour nous tous est comment pouvons-nous basculer nos économies et notre épargne retraite pour financer la création de cette nouvelle capacité ? D'une part, vous avez des étudiants qui quittent l'école et qui doivent faire l'école à la maison. D'autre part, vous avez des enseignants qui quittent l'école parce qu'ils ne veulent pas recevoir l'injection.
Nous devons créer des entreprises et des réseaux et des sites web qui nous aident à nous rencontrer. Si ce processus se déroule dans un esprit d'entreprise, il pourrait être très positif et très excitant.
C'est ce que je vois dans les nouveaux médias. Mais cela doit également se produire dans les services de santé et dans l'éducation, et il faudra que suffisamment de personnes réalisent que le Titanic est en train de couler. Il n'est pas possible de revenir en arrière. Elles pourraient tout aussi bien récupérer quelques planches et commencer à construire des arches.
RépondreSupprimerSans intégrité il n'y a pas de civilisation. Donc, si vous voulez faire partie de quelque chose qui a de l'intégrité, vous ne pouvez pas rester (dans l'ancien système). Je le répète, il n'y a pas de juste milieu... Je dis, dites oui à la science, dites oui à l'intégrité, dites oui à la loi.
La situation de chaque personne est différente, mais trouvez un moyen de traduire ce oui en quelque chose de productif. Soyez utile. C'est ce que j'ai essayé de faire. J'ai eu une vie merveilleuse en tant que banquier d'affaires, mais je me suis réveillée et je ne pouvais plus (continuer)... j'ai fait des transactions portant sur des milliards de dollars. Je ne savais pas faire un plan financier pour quelqu'un qui avait 25 000 dollars.
Donc j'ai commencé par simplement répondre aux questions des gens et ces questions ont évolué jusqu'à devenir deux entreprises, le Solari Report et le Solari Investment Advisory Services (pour cette dernière 'Service de Conseils en Investissement — NdT). Cela a pris de nombreuses années, mais je n'ai fait qu'essayer d'être utile. Donc chacun d'entre nous doit commencer par là.
Nous devons nous demander 'quelle compétence ai-je' ? Quelles compétences puis-je acquérir ? Dans quelles compétences puis-je évoluer ? Et comment puis-je servir les gens autour de moi ? Que puis-je faire pour être utile ? Et nous partons de là.
Mais vous devez choisir l'intégrité et la civilisation ou choisir d'être un esclave du crime organisé. Vous devez faire ce choix. Et voulez-vous savoir ? C'est un choix dangereux. J'ai failli ne pas y arriver. Mais comme je l'ai dit à mon ancien collègue, je préfère mourir dans le désert que d'être dans des endroits souterrains avec vous les gars. »
Traduction Jean Bitterlin, le 12 novembre 2021
https://nouveau-monde.ca/le-seul-choix-qui-nous-reste-lesclavage-ou-la-liberte/
Genève : plusieurs milliers de personnes manifestent contre les mesures anti-Covid (VIDEOS)
RépondreSupprimer13 nov. 2021, 21:14
Plusieurs milliers de personnes ont protesté à Genève contre les mesures anti-Covid et appelé dans la foulée à voter «non» au référendum prévu le 28 novembre sur la «loi Covid-19». Le texte prévoit notamment l'instauration d'un «certificat Covid». Plusieurs milliers de personnes ont manifesté le 13 novembre à Genève (Suisse) contre les mesures anti-Covid mises en place par le gouvernement fédéral, et pour dire non à la «loi Covid-19» qui va être soumise au vote populaire le 28 novembre.
Ouvert par des sonneurs de cloches suisses qui se font appeler «les sonneurs de la liberté», le cortège qui comptait 5 000 manifestants selon les organisateurs, 2 500 selon la police genevoise, a parcouru les rues de la ville jusqu'aux abords du palais des Nations, siège européen des Nations unies. Les manifestants dénonçaient pêle-mêle sur les panneaux et banderoles la «vaccination forcée», la «surveillance de masse» et les «discriminations» générées selon eux par l'ensemble des restrictions imposées depuis le début de la pandémie de Covid-19 au sein de la Confédération helvétique.
Les êtres humains ne sont pas là pour être tracés, pour être traités comme du bétail Le rassemblement a aussi appelé à voter «non» au référendum organisé le 28 novembre sur la «loi Covid-19» encadrant un dispositif anti-Covid, qui selon eux, a été durci par des modifications parlementaires intervenues en mars dernier. Ces modifications permettent notamment de donner la base légale nécessaire à l'instauration d'un «certificat Covid» pour les personnes vaccinées ou guéries, tout en étendant les possibilités de traçage des contacts pour «briser les chaînes de contamination».
«Cette loi est discriminatoire, ça va créer une société à deux vitesses et ce n'est pas du tout en accord avec notre constitution et nos valeurs suisses», a affirmé à l'AFP Agnès Aédo, porte-parole des «Amis de la constitution», un des groupes à l'origine du référendum. «Les êtres humains ne sont pas là pour être tracés, pour être traités comme du bétail et on ne doit pas faire de ségrégation entre les différentes personnes, ça c'est le message vraiment important»«», a ajouté Chloé Frammery, l'une des figures de proue des militants anti-restrictions sanitaires en Suisse romande.
https://francais.rt.com/international/92625-geneve-milliers-personnes-manifestent-contre-mesures-anti-covid
Échec vaccinal mondial
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 14 NOV 2021 - 07:00
Rédigé par Alex Berenson via la sous-pile « Vérités non signalées »,
De Singapour aux Pays-Bas en passant par l'Islande et le Vermont. Et bientôt dans toute la moitié nord des États-Unis...
Ce n'est pas comme ça que ça devait se passer.
Décès atteignant de nouveaux sommets à Singapour (85% de la population entièrement vaccinée - PAS d'adultes, l'ensemble de la population) :
- voir graphique sur site -
Source : Bloomberg
Un nouveau confinement aux Pays-Bas (70% entièrement vaccinés)
Et en Islande (76% complètement vaccinés) :
Comme le Vermont - l'État américain le plus vacciné (71 % entièrement vacciné) atteint des sommets pour les cas :
- voir graphique sur site -
Source : Bloomberg
Le virus va virus.
Et il semble de plus en plus que plus nous essayons de l'empêcher de virus, plus le rebond est mauvais.
https://www.zerohedge.com/covid-19/worldwide-vaccine-failure
Pourquoi le wokeism est une religion
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 NOV 2021 - 19:30
Rédigé par Michael Shellenberger via Substack,
Présentation de la taxonomie de la religion éveillée
Au cours de la dernière année, un nombre croissant de progressistes et de libéraux ont souligné les meurtres par la police d'hommes noirs non armés, l'augmentation des émissions de carbone et des événements météorologiques extrêmes, et le meurtre de personnes trans comme preuve que les États-Unis n'ont pas pris de mesures contre le racisme, changement climatique et transphobie. D'autres ont souligné la guerre contre la drogue, la criminalisation de l'itinérance et l'incarcération de masse comme preuve que peu de choses ont changé aux États-Unis au cours des 30 dernières années.
Et pourtant, sur chacune de ces questions, les États-Unis ont fait des progrès significatifs.
Les meurtres par la police d'Afro-Américains dans nos 58 plus grandes villes sont passés de 217 par an dans les années 1970 à 157 par an dans les années 2010. Entre 2011 et 2020, les émissions de carbone ont diminué de 14 % aux États-Unis, plus que dans tout autre pays, alors que seulement 300 personnes sont mortes de catastrophes naturelles, soit une baisse de plus de 90 % au cours du siècle dernier. L'acceptation des personnes trans par le public est plus élevée que jamais. La population carcérale et carcérale totale des États-Unis a culminé en 2008 et a considérablement diminué depuis. Seulement 4 % des prisonniers d'État, qui représentent 87 % de la population carcérale totale, sont pour possession de drogue non violente ; seulement 14 % sont accusés d'une infraction non violente en matière de drogue. Et de nombreuses grandes villes, dont Los Angeles, San Francisco et Seattle, ont effectivement dépénalisé le camping public des sans-abri.
Les progressistes répondent que ces gains masquent de larges inégalités et sont menacés. Les Noirs américains sont tués entre deux et trois fois plus que les Américains blancs, selon une analyse du Washington Post sur les meurtres de policiers entre 2015 et 2020. Les émissions de carbone augmentent à nouveau alors que les États-Unis sortent de la pandémie de covid, et les scientifiques pensent que le réchauffement climatique contribue aux phénomènes météorologiques extrêmes. En 2020, Human Rights Campaign a constaté qu'au moins 44 personnes transgenres et non conformes au genre ont été tuées, ce qui est le plus grand nombre depuis qu'elle a commencé à suivre les décès en 2013, et ce nombre a déjà atteint 45 cette année. La prohibition des drogues reste en vigueur, des sans-abri sont toujours arrêtés et les États-Unis continuent d'avoir l'un des taux d'incarcération les plus élevés au monde.
RépondreSupprimerMais ces chiffres masquent également des réalités importantes. Il n'y a pas de différences raciales dans les meurtres par la police lorsqu'il s'agit de déterminer si le suspect était ou non armé ou menaçant (tirs « justifiés » contre « injustifiés »). Alors que les émissions de carbone augmenteront en 2021, il y a tout lieu de croire qu'elles continueront de baisser à l'avenir, tant que le gaz naturel continuera de remplacer le charbon et que les centrales nucléaires continueront de fonctionner. Bien que le changement climatique puisse contribuer aux événements météorologiques extrêmes, ni l'IPCC ni aucun autre organisme scientifique ne prédit qu'il dépassera la résilience croissante pour provoquer une augmentation du nombre de décès dus aux catastrophes naturelles. Les chercheurs ne savent pas si les personnes trans sont tuées de manière disproportionnée par rapport aux personnes cis, si les homicides trans sont en augmentation ou si les personnes trans sont tuées parce qu'elles sont trans plutôt que pour une autre raison. Vingt-six États ont décriminalisé la marijuana, et la Californie et l'Oregon ont respectivement décriminalisé et légalisé la possession de toutes les drogues. Les procureurs de district progressistes de San Francisco, Los Angeles et d'autres grandes villes ont réduit les poursuites contre des personnes pour avoir enfreint de nombreuses lois liées à l'itinérance, notamment le camping public, la consommation de drogues en public et le vol.
Et pourtant, de nombreux Américains seraient surpris d'apprendre l'une des informations ci-dessus ; certains le rejetteraient carrément comme faux. Considérez que, malgré la baisse des meurtres policiers d'Afro-américains, la part du public qui a déclaré que la violence policière est un problème grave ou extrêmement grave est passée de 32 à 45 % entre 2015 et 2020. Malgré la baisse des émissions de carbone, 47 % des le public était d'accord avec la déclaration : « Les émissions de carbone ont augmenté aux États-Unis au cours des 10 dernières années », et seulement 16 % n'étaient pas d'accord. Pendant ce temps, 46 % des Américains sont d'accord avec l'affirmation selon laquelle « les décès dus aux catastrophes naturelles augmenteront à l'avenir en raison du changement climatique » et seulement 16 % ne sont pas d'accord, malgré l'absence de tout scénario scientifique étayant de telles craintes. Et malgré le manque de preuves solides, les médias grand public ont largement rapporté que le meurtre de personnes trans est en augmentation.
Le fossé entre la réalité et la perception est alarmant pour des raisons qui dépassent l'importance d'avoir un électorat informé pour une démocratie libérale saine. La méfiance à l'égard de la police semble avoir contribué à l'augmentation de près de 30 % des homicides après les manifestations de 2020 Black Lives Matter l'année dernière, à la fois en enhardissant les criminels et en provoquant un retrait de la police. Un nombre croissant de recherches révèle que la couverture médiatique du changement climatique contribue à l'augmentation des niveaux d'anxiété et de dépression chez les enfants. Et il y a de bonnes raisons de craindre que la désinformation sur le meurtre d'individus trans et non conformes au genre contribue à l'anxiété et à la dépression chez les jeunes trans et dysphoriques de genre.
RépondreSupprimerLes médias sociaux, les ONG et la mort de Dieu
Pourquoi donc ? Pourquoi existe-t-il un tel fossé entre la perception et la réalité sur tant de questions importantes ?
Une partie de la raison semble provenir de l'essor des médias sociaux et des changements correspondants dans les médias d'information au cours de la dernière décennie. Les médias sociaux alimentent une certitude croissante et injustifiée, le dogmatisme et l'intolérance de la diversité des points de vue et des informations non confirmées. Les plateformes de médias sociaux, notamment Facebook, Twitter et Instagram, récompensent les utilisateurs pour le partage d'informations populaires auprès de leurs pairs, en particulier les opinions extrêmes, et punissent les utilisateurs pour avoir exprimé des opinions impopulaires, plus modérées et moins émotionnelles. Ce cycle s'auto-renforce. Le public recherche des opinions qui renforcent la leur. Les experts cherchent des conclusions et les journalistes écrivent des articles qui affirment les prédispositions de leur public. C'est peut-être pour ces raisons qu'une grande partie des médias n'ont pas informé leur public qu'il n'y a pas de différences raciales dans les meurtres de policiers, que les émissions sont en baisse et que les allégations d'augmentation des meurtres trans sont non scientifiques.
Une autre raison peut être due à l'influence d'organisations de plaidoyer bien financées pour façonner les perceptions du public, en particulier en combinaison avec les médias sociaux. Des organisations telles que l'American Civil Liberties Union, la Human Rights Campaign et la Drug Policy Alliance ont induit en erreur les journalistes, les décideurs et le public à propos des meurtres de policiers, de la politique en matière de drogue et des meurtres trans, souvent en omettant simplement des informations contextuelles cruciales. Il en va de même pour les militants du climat, y compris ceux qui opèrent en tant qu'experts et journalistes, qui cachent des informations sur la baisse des décès dus aux catastrophes naturelles, le coût des catastrophes par rapport à la croissance du PIB et la baisse des émissions américaines.
Mais aucune de ces explications ne capture pleinement la qualité religieuse d'une grande partie du discours progressiste sur les questions relatives à la race, au climat, aux trans, à la criminalité, à la drogue, à l'itinérance et à la question connexe de la maladie mentale. Un nombre croissant de penseurs libéraux, hétérodoxes et conservateurs utilisent le mot « réveil » pour décrire la religiosité de tant de causes progressistes aujourd'hui. Dans son nouveau livre, Woke Racism, le linguiste de l'Université Columbia, John McWhorter, soutient que le wokeisme devrait, littéralement, être considéré comme une religion.
RépondreSupprimerComme preuve pour son argument, McWhorter pointe des mythes répandus, comme l'affirmation démystifiée selon laquelle la guerre d'indépendance américaine a été menée pour maintenir l'esclavage, ou que les disparités raciales dans les performances éducatives sont dues à des enseignants racistes. Il souligne la ferveur religieuse de Woke en cherchant à censurer, licencier et punir autrement les hérétiques pour avoir des opinions tabous. Et McWhorter suggère que, parce que le Wokeism répond à des besoins psychologiques et spirituels spécifiques de sens, d'appartenance et de statut, souligner ses éléments surnaturels est susceptible d'avoir peu d'impact chez les Woke.
Mais juste parce qu'une idéologie est dogmatique et pharisaïque n'en fait pas nécessairement une religion, et il est donc juste de se demander si le wokeisme est autre chose qu'un nouveau système de croyances. Il n'y a aucun élément évidemment mythologique ou surnaturel dans l'idéologie de Woke, et ses adeptes justifient rarement, voire jamais, leurs déclarations en faisant référence à un dieu ou à une puissance supérieure. Mais un examen plus approfondi du wokeisme révèle en effet toute une série de croyances mythologiques et surnaturelles, y compris l'idée que les Blancs d'aujourd'hui sont responsables des actions racistes des Blancs dans le passé ; que le changement climatique risque de faire disparaître les humains ; et qu'une personne peut changer de sexe en s'identifiant simplement comme étant du sexe opposé.
La religion éveillée : une taxonomie
RépondreSupprimerEn lisant le nouveau livre de McWhorter, j'ai été surpris de découvrir de nombreuses similitudes entre le racisme éveillé et l'environnementalisme apocalyptique, que dans Apocalypse Never je décris comme une religion. Chacun offre un péché originel comme cause des maux actuels (par exemple, l'esclavage, la révolution industrielle). Chacun a des démons coupables (par exemple, des Blancs, des « négateurs du climat », etc.), des victimes sacrées (par exemple, des Noirs, des insulaires pauvres, etc.) (par exemple, les militants du BLM, Greta Thunberg, etc.). Et chacun a un ensemble de tabous (par exemple, dire "Toutes les vies comptent", critiquer les énergies renouvelables, etc.) et de rituels de purification (par exemple, s'agenouiller/s'excuser, acheter des compensations de carbone, etc.).
J'ai également vu des parallèles entre le racisme éveillé, l'environnementalisme apocalyptique et la victimologie, que je décris à San Fransicko comme une religion complète avec le point de vue métaphysique (essentialiste) selon lequel les gens peuvent être classés comme victimes ou oppresseurs, selon la nature de leur identité ou de leur expérience.
J'ai contacté un nouvel ami, Peter Boghossian, un philosophe qui a récemment démissionné de son poste à l'Université d'État de Portland en réponse à la répression wokeiste, et d'autres experts de différents mouvements Woke, et ensemble nous avons construit une taxonomie de la religion Woke (ci-dessous). Il comprend sept domaines thématiques (racisme, changement climatique, trans, criminalité, maladie mentale, drogue et sans-abrisme) couverts par Woke Racism, Apocalypse Never, San Fransicko, les recherches de Peter et les écrits d'autres critiques du Wokeism. Et il recoupe dix catégories religieuses (péché originel, diables coupables, mythes, victimes sacrées, les élus, croyances surnaturelles, faits tabous, discours tabou, rituels purifiants, discours purifiant). Nous avons été surpris par la facilité de remplir chaque catégorie et par les similitudes et les différences fascinantes entre elles.
Nous avons décidé de publier la Woke Religion Taxonomy parce qu'elle était utile à notre propre compréhension du Wokeism en tant que religion, et nous pensions que cela pourrait aider les autres. La taxonomie identifie les mythes courants et les croyances surnaturelles et aide à expliquer pourquoi tant de gens continuent de les avoir, malgré des preuves accablantes qu'ils sont faux. Nous ne nous faisons aucune illusion que la taxonomie réduira le pouvoir que le wokeisme détient sur les vrais croyants. Mais nous pensons également qu'il aidera à orienter ceux qui sont déconcertés par son irrationalisme et qui recherchent une vue d'ensemble accessible. Enfin, nous le publions parce que nous reconnaissons que nous pourrions avoir tort, que ce soit sur des questions de fait ou de classification, et espérons que cela encouragera une discussion et un débat sains. En tant que tel, nous l'avons publié avec la mise en garde qu'il s'agit de la « Version 1.0 » dans l'espoir que nous la réviserons à l'avenir.
Peter et moi tenons à souligner que nous avons publié la Taxonomie au service du projet libéral et démocratique de progrès social et environnemental, que nous pensons être menacé par le wokeisme. Nous pensons que les États-Unis sont bien placés pour réduire les meurtres de policiers, la criminalité et les émissions de carbone ; protéger la vie et la santé mentale des personnes trans, non conformes au genre et cis; et mieux traiter les malades mentaux et les toxicomanes. Mais pour cela, il faudra que le wokeisme affaiblisse son emprise sur la psyché américaine.
RépondreSupprimerComme Peter l'écrit, « le sectarisme et la discrimination raciale sont réels et n'ont pas leur place dans la société. Oui, le racisme persiste. Oui, l'homophobie persiste. Oui, il y a une haine continue des personnes trans. Celles-ci sont moralement odieuses et nous devons tous travailler ensemble pour y mettre fin. La religion éveillée, cependant, n'est pas le moyen d'arrêter ces horreurs morales. Cela rend nos problèmes communs plus difficiles à résoudre.
- voir cadre sur site :
https://www.zerohedge.com/political/why-wokeism-religion
L'ascension et la chute de MySpace
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 14 NOV 2021 - 07:35
Selon un rapport de Bloomberg, le clone de MySpace SpaceHey a dépassé la barre des 200 000 utilisateurs un an après son lancement.
Conçu à l'origine comme un projet de passe-temps par le développeur Web allemand Anton Röhm, âgé de 18 ans, le site a reçu des éloges pour sa configuration respectueuse de la confidentialité et ses vibrations nostalgiques qui ne reposent pas sur des goûts et des algorithmes. Comme le montre Florian Zandt de Statista dans le graphique ci-dessous, il est peu probable que le réseau social se rapproche de l'attrait de MySpace – ce qui pourrait être une bonne chose tout bien considéré.
- voir sur site -
Infographie : L'ascension et la chute de MySpace | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Lorsque Rupert Murdoch's News Corp. a acheté le site pour 580 millions de dollars en juillet 2005, deux ans après son lancement, tous les signes laissaient présager un avenir radieux pour la plate-forme de médias sociaux. Facebook et YouTube ne gagnaient que lentement du terrain, Instagram, Twitter ou WeChat n'étaient que des idées dans la tête de leurs fondateurs, et le site comptait 22 millions d'utilisateurs. À son apogée en 2006 et 2007, il était évalué à 12 milliards de dollars avant une fusion potentielle avec Yahoo après être devenu le site Web le plus visité des États-Unis. Son plus grand concurrent Facebook a dépassé MySpace en termes de visiteurs uniques en mai 2008, la base d'utilisateurs du site déclinait déjà rapidement.
En juin 2011, les estimations plaçaient la base d'utilisateurs du réseau social à environ 60 millions après un mois d'exode de millions de visiteurs. La plate-forme de Mark Zuckerberg, en revanche, a touché 687 millions d'utilisateurs dans le monde à cette époque. Cela n'a pas empêché la superstar de la pop Justin Timberlake et la société de publicité Specific Media de récupérer le réseau en difficulté pour 35 millions de dollars et de promettre une nouvelle image de marque moderne axée sur la musique du site. Ses utilisateurs n'ont pas bien accueilli cette idée : en octobre 2013, la nouvelle phase de MySpace a été mise en ligne, se qualifiant de destination de divertissement social au lieu d'un réseau social, alors que sa base d'utilisateurs était tombée à seulement 36 millions. Au cours des deux dernières années, le site autrefois célèbre a finalisé sa descente dans l'obscurité, d'abord vendu à Time Inc. avec sa société mère Viant pour un montant non divulgué en 2016, puis à Meredith Corporation en 2018. vrais gros titres en mars 2019, perdant toutes les données utilisateur du lancement à 2015 en raison d'une migration de serveur bâclée.
Étonnamment, le site existe toujours et est régulièrement rempli de contenus éditoriaux syndiqués et sa maison mère semble s'être redressée avec assez de succès : après avoir racheté ses actions à Meredith Corporation fin 2019, Viant est devenue publique en février et à partir de Le 12 novembre se situe à une capitalisation boursière de 680 millions de dollars. Pourtant, un renouveau des aspects sociaux de MySpace semble peu probable – mais au moins maintenant, il existe une alternative pour les fans d'expériences rétro sur les réseaux sociaux.
https://www.zerohedge.com/technology/rise-and-fall-myspace
- Théories du complot - (Ifop. Février 2019)
RépondreSupprimer% des personnes d'accord avec ces affirmations:
Nocivité des vaccins......................... 43 %
Lady Di.............................................. 34
Illuminati........................................... 27
Grand remplacement....................... 25
Signes sur les billets de banques...... 23
Complots sionistes............................ 22
Trafic de drogue contrôlé par la CIA. 19
11 Septembre 2001.......................... 17
Traînées blanches des avions........... 15
Américains sur la lune...................... 9
à 36:34 on remarque ce sondage idiot.
'Lady Di' c'est quoi la question ? Si elle a existé ou non ?
Le '11 Septembre 2001' c'est quoi la question ? S'il a existé ou non ?
Les 'Traînées blanches des avions' c'est quoi la question ? Vous parlez des contrails ou des chemtrails ?
La question à savoir si ces évènements existent ou non est un peu ambigu !
Prenons le simple exemple (pour tester les cons) de cette question:
"Estimez vous qu'une république, une monarchie ou un empire peut être une Démocratie"
Là, c'est pas loin des 99 % !! qui répondront par un oui !!
Car ils ne savent pas ce qu'est une Démocratie !!
Il ne savent pas que la Démocratie c'est 'Par le Peuple, Pour le Peuple'.
Il ne savent pas qu'il n'y a qu'un seul pays au monde en Démocratie !!
Ce pays c'est la Suisse.
Plus de 56 % des suisses ignorent le nom du chef ou de la cheffe d’État Suisse ! (il ou elle change chaque année).
https://odysee.com/@DiscreetL:6/Vivre-Sainement-La-pyramide-du-pouvoir-arnaque-des-medias:4
Maintenant, le démantèlement organisé de l’approvisionnement mondial en engrais ?
RépondreSupprimerpar F. William Engdahl.
14 novembre 2021
Les pénuries mondiales d’énergie qui ont fait exploser les prix du charbon, du pétrole et du gaz naturel au cours des derniers mois sont une conséquence prévisible de la folle poursuite de politiques économiques « zéro carbone » qui ont vu des gouvernements insensés subventionner une part croissante de l’électricité produite par des centrales solaires et éoliennes peu fiables. L’une des conséquences a été la multiplication par cinq du prix du gaz naturel ou du méthane dans le monde entier. Cela va de la Chine à l’UE, aux États-Unis et au-delà. Cette pénurie de gaz naturel et l’explosion de son prix ont eu pour conséquence une crise croissante de la production d’engrais pour l’agriculture mondiale. Tout ceci n’est peut-être pas un accident. Il s’inscrit dans l’agenda de la Grande Réinitialisation de l’ONU 2030 du Forum économique mondial.
Les engrais à base d’ammoniac fabriqués à partir d’azote (la plus grande partie de notre air, donc jamais en pénurie) et de gaz naturel ou de méthane (CH4) représentent près de 70 % de tous les engrais utilisés pour soutenir les principales cultures agricoles telles que le blé, le maïs, le riz et même le café. La flambée des prix du gaz naturel, de 300 à 500 % au cours des derniers mois, a eu un effet dévastateur sur la production mondiale d’engrais, dont 80 % du coût de fabrication des engrais ammoniacaux est imputable au gaz naturel.
Lorsque l’ouragan Ida a traversé la Louisiane le 25 août, le plus grand complexe d’usines d’ammoniac du monde, appartenant à CF Industries, a été fermé pour des raisons de sécurité et n’a rouvert que dix jours plus tard. Curieusement, à ce moment-là, deux autres usines de la même CF Industries, celles du Royaume-Uni, ont annoncé qu’elles fermeraient deux autres usines d’engrais le 22 septembre, en invoquant le prix élevé du gaz naturel comme cause, alors que leur usine de Louisiane venait d’être fermée pendant dix jours. Ces deux usines fournissent environ deux tiers de la demande intérieure d’engrais au Royaume-Uni. Le gouvernement a été contraint d’accorder des subventions d’urgence à CF Industries pour rouvrir temporairement l’une des deux usines afin d’atténuer les pressions. L’effet combiné de ces trois fermetures majeures par le même groupe a aggravé la crise de l’approvisionnement mondial en engrais. Ce n’est peut-être qu’une coïncidence si les deux plus grands actionnaires de CF Industries sont Vanguard et BlackRock.
Cette crise fait boule de neige. Début octobre, des fermetures de la production d’engrais à base d’ammoniac ont été annoncées par le géant allemand de la chimie, BASF, en Belgique et en Allemagne, pour une durée indéterminée. Cela concerne également la production d’AdBlue, un additif pour carburant diesel à base d’ammoniac.
RépondreSupprimerD’autres fermetures sont en cours à Achema en Lituanie et à OCI aux Pays-Bas. Yara International réduit de 40% sa production d’engrais à base d’ammoniac dans l’UE. Fertiberia en Espagne ferme une usine ainsi que OPZ en Ukraine, un important producteur d’engrais. En Autriche, Borealis AG a fermé sa production et le plus grand producteur d’ammoniac d’Allemagne, SKW Piesteritz, a réduit sa production de 20%.
Aggravant la crise mondiale des engrais, l’administration Biden a imposé en août des sanctions au gouvernement biélorusse, désignant explicitement Belaruskali OAO, le quatrième producteur mondial d’engrais, pour avoir « soutenu le régime biélorusse aux dépens du peuple biélorusse ». Belaruskali contrôle environ un cinquième du marché mondial des engrais à base de potasse.
Le cœur de la sécurité alimentaire mondiale
Les engrais à base d’azote sont de loin les plus utilisés dans l’agriculture mondiale, soit environ trois quarts de tous les engrais commerciaux. Depuis la mise au point du procédé Haber-Bosch en Allemagne juste avant la Première Guerre mondiale, la production artificielle d’engrais azotés a soutenu l’énorme expansion de la productivité agricole. Les engrais azotés sont fabriqués à partir d’ammoniac (NH3) produit par le procédé Haber-Bosch. Ce procédé consomme beaucoup d’énergie et utilise du gaz naturel (CH4), qui est du méthane, pour fournir de l’hydrogène. Ce NH3 ou ammoniac est utilisé comme matière première pour d’autres engrais azotés, comme le nitrate d’ammonium anhydre (NH4NO3) et l’urée (CO(NH2)2). Depuis la Seconde Guerre mondiale, le rendement des cultures est devenu fortement dépendant des engrais azotés. On estime que pour les États-Unis, les rendements moyens du maïs diminueraient de 40 % sans les engrais azotés.
Aujourd’hui, on estime que la moitié de la population mondiale dépend peut-être des engrais azotés. Selon des études publiées dans la revue scientifique Nature, 48 % de la population mondiale en 2008 dépendait des engrais azotés pour son accès quotidien à la nourriture. « Cela signifie que les engrais azotés ont assuré en 2015 la sécurité alimentaire de 3,5 milliards de personnes qui, autrement, seraient mortes de faim ».
RépondreSupprimerLe choc de la Chine
Ajoutant un énorme choc à la pénurie mondiale croissante d’engrais, Pékin a décidé ces dernières semaines de réduire fortement ou de geler les exportations d’engrais pour diverses raisons, notamment des pénuries de charbon et de gaz naturel pour l’énergie électrique et une tentative paniquée de contrôler l’inflation intérieure. Les inondations record de l’été dans la province du Henan ont touché le cœur de la région céréalière de la Chine, et le gouvernement a lancé une campagne pour que les citoyens se soumettent à une « campagne d’assiettes propres 2.0 » afin de mettre fin au gaspillage alimentaire, ce qui, selon certains, est un moyen de masquer les graves échecs de récolte.
La Chine, l’Inde et les États-Unis sont de loin les plus grands utilisateurs mondiaux d’engrais azotés en tonnes par acre. La Chine est également l’un des principaux exportateurs d’engrais. En septembre, le gouvernement a annoncé l’interdiction d’exporter des engrais azotés et phosphatés jusqu’en juin 2022. En raison de la flambée des prix mondiaux du gaz naturel et du charbon importé par la Chine, le pays a connu d’importantes coupures d’électricité dues à la fermeture de compagnies d’électricité plutôt que de vendre de l’énergie à perte. L’une des conséquences de cette crise complexe est l’interdiction d’exporter des engrais. La Chine est le plus grand exportateur d’engrais azotés à base d’urée, représentant près d’un tiers de l’offre mondiale, et est également un grand fabricant de phosphate.
En Bavière, dans le sud de l’Allemagne, les agriculteurs seraient dans l’impossibilité d’acheter des engrais au moins jusqu’à l’été prochain. L’extension de la crise mondiale des engrais entraînera une forte réduction des cultures de maïs fourrager, de blé, de riz, de café et autres en 2022. Cette crise survient alors que l’inflation des prix des denrées alimentaires est la plus forte depuis des décennies, et qu’elle est encore aggravée par les mesures du Covid et les perturbations du commerce maritime mondial.
Attaque du méthane lors de la COP26
RépondreSupprimerDerrière la crise croissante de la pénurie d’engrais dans le monde se cache la multiplication par cinq du prix du méthane ou du gaz naturel, comme on l’appelle habituellement. Cette situation trouve son origine dans les politiques vertes délibérément « anti-carbone » de l’administration Biden et de l’Union européenne avec son programme « Fit for 55 » visant à réduire les émissions de gaz carbonique de 55% d’ici 2030. L’administration Biden a forcé le désinvestissement dans le gaz de schiste américain, et l’expansion forcée des énergies vertes hautement subventionnées comme l’éolien et le solaire ont créé un réseau électrique peu fiable. Lorsque le vent ne souffle pas ou que le soleil ne brille pas, l’énergie électrique alternative fait défaut. Le stockage est un énorme problème. Ce n’était pas si grave lorsque l’énergie solaire ou éolienne ne représentait qu’un infime pourcentage du réseau. Mais aujourd’hui, dans des pays comme l’Allemagne, qui dépend de l’énergie, les alternatives peuvent représenter 42 % de la consommation électrique brute. Alors que les centrales nucléaires et au charbon sont taxées jusqu’à l’extinction pour la folie du zéro carbone, les prix du pétrole et du gaz naturel explosent. Les nouveaux investissements dans l’exploitation des hydrocarbures s’effondrent en conséquence, et les réserves sont limitées au moment même où tout le monde en a besoin.
La crise croissante de la production mondiale d’engrais s’inscrit parfaitement dans le cadre de l’Agenda 2030 de l’ONU pour une agriculture « durable » (sic), par lequel les mondialistes, tels que le Forum économique mondial de Klaus Schwab et BlackRock de Wall Street, le plus grand fonds d’investissement privé au monde, qui gère 9000 milliards de dollars d’actifs, entendent réduire considérablement la production de viande, en la remplaçant par de fausses viandes cultivées en laboratoire ou même par des insectes comme source de protéines.
On assiste à une diabolisation croissante de l’agriculture, et notamment de la production de viande, sous prétexte qu’elle serait une source majeure du réchauffement climatique. Le méthane est désormais une cible majeure de l’agenda vert des États-Unis et de l’Union européenne. En particulier, lors de la récente conférence des Nations unies sur le réchauffement climatique (COP 26), une centaine de pays ont signé une proposition conjointe de l’UE et des États-Unis visant à réduire les émissions de méthane de 30 % d’ici à 2030. Il faut s’attendre à ce que les gouvernements et les ONG s’attaquent de plus en plus à notre système alimentaire en utilisant la flambée des prix des engrais, les campagnes contre la viande et les demandes d’agriculture « durable » pour augmenter encore le coût des denrées alimentaires. La clé de cette attaque est la guerre du Green New Deal contre le pétrole, le gaz et le charbon, le système énergétique à faible coût qui est au cœur de l’économie mondiale actuelle et qui permet d’échapper à la pauvreté depuis la Seconde Guerre mondiale.
source : https://journal-neo.org
traduit par Réseau International
https://reseauinternational.net/maintenant-le-demantelement-organise-de-lapprovisionnement-mondial-en-engrais/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=maintenant-le-demantelement-organise-de-lapprovisionnement-mondial-en-engrais
Comme les éoliennes consomment plus d'électricité qu'elles n'en peuvent produire (lorsqu'il n'y a pas de vent les pales de 60 t. doivent tourner pour éviter le grippage ! Et, comme pour faire mouvoir 180 tonnes faut pas s'appeler Moulinex...). Les ordures qui les ont mis en place tout en sachant par avance qu'elles ne fonctionneraient jamais savaient aussi qu'avec le nombre de millions d'implantées aboutirait forcément une pénurie énergétique après la mort de milliards d'oiseaux et d'abeilles grâce à la 'vert-marq' !
SupprimerHorloge à quelques heures de minuit pour les ports californiens débordés
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 14 NOV 2021 - 17:00
Par Greg Miller de FreightWaves,
Le flot de conteneurs d'importation dans le sud de la Californie se poursuit sans relâche – un record absolu de 81 porte-conteneurs ont été bloqués au large de Los Angeles et de Long Beach mardi. Le temps d'attente au mouillage pour Los Angeles explose et fait désormais plus que doubler le temps d'attente début septembre.
Les ports devraient commencer à facturer lundi des frais de temps de séjour excédentaires très controversés, un plan que certains membres du Conseil consultatif national des expéditeurs ont qualifié de « catastrophique », « fou » et « hors du champ gauche ».
Il ne reste que quelques heures avant le début des frais, il reste encore plus de 51 000 conteneurs sur les terminaux qui ont dépassé les limites de temps de séjour du plan.
- voir graphique sur site -
Si le plan tarifaire n'est pas retardé ou modifié, le coût total pour les transporteurs – qui serait en grande partie répercuté sur les importateurs – commencerait lundi prochain en millions par jour et passerait à des dizaines de millions par jour plus tard dans la semaine.
Il y a des spéculations en cours selon lesquelles les ports reculeront et annonceront un sursis, étant donné la baisse du nombre de conteneurs à séjour excédentaire ces dernières semaines et les coûts énormes qui seraient répercutés sur les importateurs américains.
Interrogé sur le niveau des frais qui devrait commencer la semaine prochaine, un porte-parole du port de Los Angeles a déclaré à American Shipper : « La Commission portuaire a accordé au directeur exécutif un pouvoir discrétionnaire concernant le programme. Plus de détails et d'informations viendront au plus tard le 15. »
Nouveau record de mouillage… encore une fois
Selon le Marine Exchange of Southern California, 111 porte-conteneurs étaient dans le port mardi, un nouveau record. Parmi ceux-ci, 30 étaient aux postes d'amarrage de Los Angeles/Long Beach, 32 au mouillage et un record de 49 « flânerie » (dans les circuits d'attente).
- voir graphique sur site -
Graphique : expéditeur américain basé sur les données de Marine Exchange of Southern California
RépondreSupprimerLe décompte offshore de 81 n'inclut pas six autres navires non porte-conteneurs dans la file d'attente transportant des boîtes. La capacité totale des 87 navires transportant des conteneurs au large était de 576 720 unités équivalentes à vingt pieds. En supposant que les navires sont à pleine capacité et une valeur douanière moyenne de 43 899 $ par importation EVP (la moyenne enregistrée par le port de Los Angeles en 2020), la valeur de la cargaison flottant au large est d'environ 25 milliards de dollars.
Pendant ce temps, le temps d'attente au mouillage continue de s'intensifier. Le port de Los Angeles a déclaré que l'attente moyenne pour le mouillage à quai était un record de 16,6 jours jeudi. Le temps d'attente a fortement augmenté au cours de la semaine dernière.
- voir graphique sur site -
Graphique par expéditeur américain basé sur les données du signal du port de Los Angeles
La date limite approche pour le plan de frais controversé
Le 25 octobre, les ports de Los Angeles et de Long Beach ont annoncé un plan soutenu par l'administration Biden pour les frais d'urgence sur les conteneurs qui restent trop longtemps dans les terminaux. Les frais devaient initialement commencer le 1er novembre. Cela a été reporté au 15 novembre. Les frais étaient initialement fixés pour couvrir les conteneurs transportés par camion qui avaient séjourné pendant neuf jours ou plus et ceux qui se déplaçaient par train après trois jours ou plus. Les ports ont ensuite repoussé le calendrier ferroviaire à six jours ou plus.
Les responsables du port ont déclaré à plusieurs reprises qu'ils ne voulaient pas facturer les frais et reconsidéreraient si des progrès suffisants étaient réalisés avant le 15 novembre. L'espoir était que la seule menace des frais exclurait la nécessité de les évaluer.
Il y a effectivement eu des progrès considérables.
Au port de Long Beach, les conteneurs locaux (de camionnage) de neuf jours ou plus sont passés de 28 558 le 1er novembre à 20 534 mardi, soit une baisse de 28 %. Les conteneurs intermodaux (ferroviaires) de six jours ou plus sont passés de 1 643 à 573, une baisse de 65 %.
Le port de Los Angeles a déclaré à American Shipper que ses temps de séjour intermodaux n'étaient pas disponibles. Pour une estimation des temps de séjour des conteneurs locaux, les boîtes dans les terminaux de Los Angeles pendant neuf jours ou plus sont passées de 42 277 le 1er novembre à 30 210 le 10 novembre, soit une baisse de 28 %.
- voir graphique sur site -
Carte : Port de Los Angeles
Si cela se produit, combien cela peut-il coûter ?
RépondreSupprimerLes frais commenceraient à 100 $ par jour et augmenteraient de 100 $ chaque jour. Ainsi, par exemple, le septième jour après le début des évaluations, si un conteneur était toujours dans les ports, les frais seraient de 2 800 $. Il est important de noter que les conteneurs ne seraient pas facturés pour leur temps de séjour excédentaire accumulé avant le 15 novembre. En d'autres termes, les frais pour un conteneur local qui avait séjourné pendant 15 jours au 15 novembre seraient de 100 $ (le même qu'un jour après la limite de huit jours), et non 2 800 $ (sept jours après la limite).
En supposant que le taux de baisse quotidien des conteneurs à temps de séjour excédentaire reste le même que la tendance du 1er au 10 novembre, le nombre de conteneurs "en retard" à Los Angeles et Long Beach combinés serait tomber à environ 42 000 lundi (sans compter les conteneurs ferroviaires intermodaux tardifs de Los Angeles, le nombre réel serait donc plus élevé). Les frais globaux pour tous les transporteurs combinés seraient de 4,2 millions de dollars lundi dans ce scénario, plus les frais pour les boîtes intermodales tardives de Los Angeles.
Après cela, le scénario des frais devient plus spéculatif, car, par exemple, le troisième jour du programme, il n'y a aucun moyen de prédire combien de conteneurs en retard seront facturés le taux de retard d'un jour, le taux de retard de deux jours ou le taux de retard de trois jours. Par souci de simplicité, supposons qu'ils soient uniformément répartis (c'est-à-dire que le deuxième jour, la moitié a dépassé la date limite de deux jours, la moitié a dépassé la date limite d'un jour).
Dans un tel scénario, les frais globaux quotidiens facturés aux transporteurs passeraient à 40 millions de dollars le septième jour. Les frais cumulatifs pour tous les transporteurs maritimes à la fin de la première semaine seulement seraient de 144 millions de dollars. Les transporteurs ont explicitement déclaré qu'ils répercuteraient ces coûts sur les expéditeurs dans la mesure du possible, soulevant la question de savoir dans quelle mesure le plan de redevances portuaires soutenu par Biden serait politiquement durable, même après quelques jours.
- voir graphique sur site -
https://www.zerohedge.com/economics/clock-just-hours-midnight-overwhelmed-california-ports
« A World Gone Mad » : le quartier chic de LA lutte contre l'aggravation de la crise des sans-abri
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 14 NOV 2021 - 22:00
Rédigé par Jamie Joseph via Epoch Times,
Abbott Kinney Boulevard est un joyau caché parfait dans le quartier de Venice à Los Angeles, connu pour ses boutiques et ses restaurants locaux. La bande d'un kilomètre de long chante au rythme des clients de la classe moyenne supérieure qui viennent à Venice Beach pour s'imprégner de son rythme particulier. La communauté de propriétaires unie du quartier qui vit dans la région depuis des décennies est fière de résider dans ce coin unique de la ville.
Mais au cours de la dernière année, la communauté de cette partie de Venise s'est encore rapprochée d'une frustration commune : les campements de sans-abri de plus en plus nombreux.
Le problème n'est pas nouveau pour Los Angeles dans son ensemble, qui compte plus de 41 000 personnes vivant dans ses rues, selon le dernier décompte des sans-abri, avec plus de 66 000 sans-abri dans tout le comté. Une prévision de la Table ronde économique estime que ce nombre pourrait atteindre près de 90 000 d'ici 2023.
Venise compte environ 2 000 personnes sans logement, ce qui en fait le deuxième plus grand rassemblement de sans-abri de la ville après Skid Row au centre-ville de Los Angeles.
La drogue, les aiguilles, les déchets, la violence, les incendies et les campements sont devenus trop courants dans la communauté de Venise. Ils disent que leurs appels à l'aide tombent souvent dans l'oreille d'un sourd en ce qui concerne les dirigeants de leur ville, tandis que les touristes, les propriétaires, les travailleurs et d'autres sans-abri sont victimes d'agressions aléatoires par une foule plus violente de passagers.
"C'est un monde devenu fou", a déclaré Deborah Keaton, résidente de Venise, à Epoch Times. « C'est aussi notre propre fabrication. Je suis un libéral, un démocrate, et nous avons voté pour ces mesures qui dépénalisent une grande partie de ce comportement, et donc il n'y a aucune répercussion pour ces gars-là.
Lorsque Keaton sort de chez elle sur North Venice Blvd. entre Abbott Kinney et Electric Ave., sa réalité n'est pas l'expérience de clôture blanche qu'elle a acquise il y a 30 ans lorsqu'elle a acheté sa maison. Un campement, comprenant une poignée de camping-cars garés, est apparu à côté de sa maison, faisant de la sienne la maison la plus proche du nouveau point chaud du quartier pour le crime et le trafic de drogue.
Les personnes de passage vivant à l'intérieur des camping-cars jouent de la musique forte toute la journée et toute la nuit, a-t-elle déclaré. Elle a déposé un rapport de police contre le chef de file apparent du campement de camping-cars, Brandon Washington, parce qu'elle dit qu'il s'est approché de sa porte et aurait proféré des menaces contre sa famille.
«Il a sonné, et il était perdu, et il m'a dit:« J'ai juste besoin de connaître toutes les personnes méchantes, votre mari est-il méchant ? Parce que je dois tuer votre mari », a déclaré Keaton. "C'était effrayant."
RépondreSupprimerElle a capturé toute l'interaction sur sa caméra de sonnette Ring.
« Il n’y a aucune répercussion pour ces gars, et ils ne peuvent pas être retenus et ils le savent. Beaucoup de ces gars ont été arrêtés 400 fois », a-t-elle déclaré.
Les voisins allèguent que Washington – qui semble souvent se droguer – a prostitué des femmes dans les camping-cars, en plus de vendre de la méthamphétamine à d'autres sans-abri. Keaton a déclaré qu'au cours de l'été, une femme se cachait dans son jardin, car elle a déclaré que Washington la "proximait".
Ces histoires sont devenues trop courantes à Venise.
Ansar El Muhammad, qui se fait appeler "Frère Stan" à Venise, ne connaît que trop bien le sort de Washington. Il y a environ 20 ans, Washington était au mariage de la nièce de Muhammad. Tous deux sont nés et ont grandi à Venise et ont couru dans les mêmes cercles.
"Même si tout le monde s'énerve à ce sujet, ce sont des êtres humains", a déclaré Muhammad à Epoch Times. « Brandon est un bon gars, ce sont les drogues qui lui font ça. Donc, je comprends le point de vue des voisins.
Muhammad est devenu en quelque sorte un protecteur de quartier, prenant les choses en main. Il dirige la Fondation H.E.L.P.E.R, une coalition d'intervention contre les gangs au service des quartiers de Venise et de Mar Vista.
Les voisins de Venise disent qu'ils lui font tellement confiance qu'ils l'appellent d'abord lorsqu'il y a un problème de sécurité ou de bruit. Les sans-abri lui font également confiance, il est donc capable de garder la paix.
La plupart des vagabonds à Venise sont impliqués dans certains éléments de l'activité des gangs, même s'ils ne font pas officiellement partie d'un ensemble, a-t-il déclaré. La toxicomanie est également endémique parmi les sans-abri, ce qui les rend plus difficiles à accepter des ressources.
« Alors, pour mon ami d'ici, qu'est-ce que je fais ? J'établis une relation, je dois attendre qu'il dise 'Stan, je suis prêt'", a-t-il déclaré.
D'autres travailleurs de proximité à travers le comté ont dit la même chose à Epoch Times : le contact doit être établi à plusieurs reprises avant que certaines personnes acceptent de l'aide.
Pat, un résident sans abri de Venice Beach, a déclaré à Epoch Times plus tôt cette année qu'il devrait y avoir plus de solutions de la part des dirigeants de la ville pour encourager des programmes de réadaptation spéciaux qui « donneraient aux gens un sentiment de responsabilité ».
« Il doit y avoir un moyen, un chemin à suivre pour passer de dormir sur le trottoir à finalement avoir une place. Mais je pense que toute l'énergie pour donner cette voie à suivre devrait venir de la personne dans cette situation », a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerLes voisins critiquent les politiques locales
L'équipe de sensibilisation et de services aux sans-abri du département du shérif de Los Angeles (LASD HOST) a effectué un nettoyage du trottoir entourant les camping-cars les 8 et 9 septembre, mais Keaton a déclaré qu'elle n'appliquerait aucune mesure qui forcerait les camping-cars à bouger. Elle craint que les ordures ne s'accumulent à nouveau et n'attirent d'autres activités criminelles.
"Le LAPD dit qu'il ne peut pas l'appliquer parce qu'il vient du bureau du maire, mais selon le département du shérif, le LAPD n'est pas censé prendre les ordres du bureau du maire, mais c'est l'affaire", a déclaré Keaton.
Le membre du conseil d'administration du conseil de quartier de Venise, Soledad Ursua, a déclaré à Epoch Times que les camping-cars recevaient des citations, mais qu'un fournisseur de services aux sans-abri de la région paierait les billets.
Ursua a déclaré que la pandémie avait également changé la situation des sans-abri en encourageant les personnes de passage à déménager dans de nouvelles zones résidentielles de la ville à proximité des zones commerciales.
"C'est différent parce qu'il y a des gens qui vendent totalement de la drogue, ils en font, et c'est à l'extérieur d'une résidence", a déclaré Ursua.
"J'ai dû nettoyer trois fois des excréments humains dans mon abri d'auto", a-t-elle ajouté.
Au cours de l'été, HOST a mené un vaste effort de nettoyage et de sensibilisation sur la promenade de Venise. Le shérif de Los Angeles Alex Villanueva a déployé des députés dans la région tandis que les médias ont critiqué les dirigeants de la ville pour ne pas avoir abordé le problème. Les incendies de campements ont atteint un niveau record : plus de 54 % de tous les incendies à Los Angeles ont été causés par des campements cette année, a rapporté le service d'incendie de Los Angeles.
Le quartier a également connu une forte augmentation de la criminalité au cours de l'été, selon les statistiques fournies au Conseil de quartier de Venise par le capitaine de LAPD Steve Embrich.
Les chiffres depuis le début de l'année ont montré que les vols ont presque triplé depuis la même période l'année dernière. Les vols à main armée liés aux sans-abri ont augmenté de 260 %, les agressions liées aux sans-abri avec une arme mortelle ont augmenté de 118 %, les crimes contre les biens et les cambriolages dans la région ont augmenté de 85 % et le grand vol d'automobiles a augmenté de 74 %.
"Nous avons été inondés d'appels, d'inquiétudes, d'images de l'actualité, de personnes prenant le téléphone, nous envoyant des e-mails, nous envoyant des lettres, sur ce qui se passe à Venise", a déclaré Villanueva aux journalistes lors d'une conférence de presse à l'intérieur de la salle des fêtes. Justice le 23 juin. "Et c'est un microcosme de ce qui se passe dans tout le comté de Los Angeles."
Le membre du conseil de Los Angeles, Mike Bonin, qui était également un défenseur local du financement du LAPD, a contrecarré les efforts de Villanueva et a demandé au Comité des sans-abri et de la pauvreté de Los Angeles de transférer 5 millions de dollars d'aide budgétée pour financer des programmes de logement dans son district. Ces fonds ont été envoyés au Centre St. Joseph pour mener des activités de sensibilisation sur la promenade.
RépondreSupprimerCependant, certaines tentes ont commencé à réapparaître sur la promenade, les résidents affirmant que de nombreux sans-abri venaient d'être déplacés.
Un membre sans logement de la communauté de Venise, Butch Say, pense que la plupart des sans-abri à Venise ne veulent pas d'aide. Say, qui s'est décrit comme un nomade itinérant, a déclaré à Epoch Times lors du nettoyage de la promenade que la plupart d'entre eux préféraient vivre dans la rue.
«Ils disent:« Non, j'aime ça ici. Personne ne me dit quoi faire et je cours en sous-vêtements », a-t-il déclaré. « Tu sais, peu importe. Ils sont fous. Que puis-je dire ? C'est Venise.
Pas un problème de « logement »
Alors que Los Angeles faisait face à une crise des sans-abri avant la pandémie de COVID-19, les restrictions de la ville ont peut-être exacerbé le problème. Le couvre-feu sur les tentes en public a été annulé et les équipes d'assainissement ont été coupées pour atténuer la propagation du virus. D'autres codes de ville ont également été suspendus. En conséquence, de nombreux sans-abri, pour la plupart des toxicomanes, ont afflué vers la plage.
Dans une précédente interview avec Epoch Times, le propriétaire du bar local Luis Perez a déclaré que Venise avait toujours eu une communauté originale de sans-abri, mais qu'ils étaient en grande partie des artistes et des artistes. Ils n'étaient pas toxicomanes. Il a dit avoir vu des sans-abri être amenés en bus et déposés sur la promenade.
Alors que les dirigeants des États et des villes colportent le modèle du «logement d'abord» sanctionné par l'État, qui suggère que la solution au sans-abrisme réside dans la construction de logements plus abordables, les natifs de Venice Beach ont une perspective différente.
« Beaucoup d'entre eux ne veulent pas de logement. Vous voyez, c'est le problème : ils ont mis tout cet argent ici pour le logement, mais il y a moins de 5 % de cette population à travers la ville qui le veut. Ils disent ‘au diable le logement’ », a déclaré Muhammad. "Tu sais pourquoi? Parce que ce sont des toxicomanes.
Le 10 novembre, le gouverneur Gavin Newsom a visité le centre médical West Los Angeles VA. Au cours de la conférence de presse, Newsom a déclaré aux journalistes que 22 milliards de dollars de fonds étaient investis pour résoudre "le problème de l'abordabilité, du logement et de l'itinérance, afin de soutenir ces efforts dans tout l'État de Californie".
« Oui, je vois ce que vous voyez, oui, je suis conscient de ce qui se passe, mais je suis aussi plus optimiste que jamais. Nous voyons des progrès », a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerMais les habitants disent qu'ils regardent autour d'eux, et le problème semble s'aggraver.
« J'ai voté pour la proposition HHH. Je [serais] le premier à dire que je veux une solution. Et honnêtement, je voterais probablement pour un autre si je pensais que l'argent serait dépensé correctement », a déclaré Robert Thibodeau, membre du conseil d'administration du conseil de quartier de Venise.
« Mais le problème, c'est où sont les solutions lumière sur le terrain ? Où est la réponse de style FEMA, le genre de solutions immédiates frappantes que vous auriez avec [l'ouragan] Katrina, parce que pour moi, c'est Katrina. "
Les propriétaires d'entreprises locales - le cœur de Venise - se sont également exprimés. Klaus Moeller, copropriétaire de Ben & Jerry's sur la promenade, a déclaré à Epoch Times dans un e-mail au cours de l'été que "ce n'est pas un problème de sans-abri local".
"C'est un problème pour les personnes de passage hors de l'État et les trafiquants/usagers de drogue qui s'installent parce qu'ils peuvent agir sans répercussions", a-t-il déclaré.
Moeller a ajouté que ses employés avaient été attaqués par des personnes de passage sur la promenade.
Les voisins ont également critiqué la proposition HHH, une obligation de 1,2 milliard de dollars passée en 2016 par Angelenos pour construire 10 000 logements avec services de soutien. En février, le contrôleur municipal a découvert que seulement 489 des unités financées par des obligations étaient prêtes à être occupées.
En raison du manque de logements avec services de soutien, un certain nombre de petits villages d'origine ont surgi à travers le comté en tant qu'alternative moins coûteuse pour le logement provisoire. Cependant, certains résidents disent qu'ils ne feront pas beaucoup de différence.
« Ils ne bougeraient pas à l'intérieur. Ce n'est pas une crise du logement, c'est une crise de toxicomanie », a déclaré à Epoch Times Kate Linden, originaire de Los Angeles et nouvelle résidente de Venise.
Linden a déclaré qu'elle envoyait chaque semaine un courrier électronique au lieutenant Geff Deedrick, qui dirige les efforts HOST, pour lui faire savoir ce qui se passait. Mais l'équipe HOST ne peut entrer que lorsqu'elle reçoit des ordres.
Auparavant, le lieutenant Deedrick avait déclaré à Epoch Times : « L'équipe HOST fournit cette mentalité de gardien, afin que vous puissiez avoir un espace sûr pour ces discussions, mais c'est là que les décideurs politiques et les cadres et ces choses, nous leur laissons cela ; nous nous déployons sous la direction du shérif.
RépondreSupprimerLes résidents lancent une campagne de rappel
De nombreux voisins de Venise qui ont initialement voté pour le membre du Conseil Bonin pour les représenter dans le 11e arrondissement, comme Keaton, retirent leur soutien. Plus tôt cette année, une campagne de rappel a été lancée et le 10 novembre, les pétitionnaires ont recueilli suffisamment de signatures pour faire avancer le processus électoral de rappel.
Ils blâment Bonin pour l'itinérance accrue et le manque d'application de la loi sur le camping dans la rue qui, selon eux, amènent l'activité des gangs dans le quartier. Le 22 octobre, le conseil municipal de Los Angeles a voté l'interdiction des campements dans 54 zones spécifiées, Bonin et Nithya Raman, membre du conseil, étant les deux seules voix dissidentes.
Thibodeau a déclaré que les points de vue de Bonin se situent en « frange radicale », qui s'aligne sur les groupes d'intérêts spéciaux et les militants d'extrême gauche. Thibodeau, qui s'identifie comme centriste, a déclaré avoir envoyé des dizaines de courriels au bureau de Bonin sans réponse.
"Ce qui est triste, c'est que cela s'est produit en grande partie à cause d'un niveau de tolérance plus élevé dans la communauté et d'une compassion dans la communauté – nous avons été maltraités, parce que nous sommes des gens compatissants", a déclaré Thibodeau à Epoch Times.
« Il n'appliquera pas [les restrictions de camping] dans son district. Alors, maintenant quoi, il est aussi en charge de la police ?
Lors d'une réunion du conseil municipal le mois dernier, Bonin a voté pour ne pas interdire le camping en raison d'un manque d'engagement préalable dans la rue pour informer les sans-abri. Mais selon les documents de la ville (pdf), le coût de la signalisation et de la sensibilisation coûterait jusqu'à 2 millions de dollars.
"Il y avait un accord sur les engagements de rue, et je pense que nous devons vivre selon cette partie également", a déclaré Bonin. «Je suis certain que beaucoup de travail a été fait, mais ce n'est toujours pas au niveau de ce à quoi nous nous sommes engagés en tant qu'organisme. Et je crains que nous perdions l'engagement envers la stratégie d'engagement dans la rue et que nous ne nous assurons pas qu'elle dispose de ressources adéquates. »
Ajoutant aux frustrations des résidents, le LAPD a les mains liées en raison des politiques de capture et de libération de la ville. Les sans-abri qui commettent des crimes sont souvent de retour dans la rue en quelques heures s'ils refusent les services.
RépondreSupprimerThibodeau a déclaré qu'il pensait que Bonin transformait Venise en une "zone de confinement" en n'appliquant aucune ordonnance anti-camping. Pendant ce temps, Bonin prévoit plusieurs grands développements de logements avec services de soutien à Venice Beach et Mar Vista.
Bonin et le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, ont également défendu les unités de soutien A Bridge Housing à Venise pour 8 millions de dollars provenant des fonds Prop. HHH. Les résidents disent que la plupart des sans-abri qui résident dans le refuge sont des « résidents doubles », ce qui signifie qu'ils ont un lit dans le refuge ainsi qu'une tente dans la rue.
« Il n'y a pas de nouvelles installations prévues à Pacific Palisades. Il se trouve que Brentwood a le VA mais nulle part ailleurs à Brentwood… nous créons donc une zone de confinement ici comme Skid Row », a-t-il déclaré.
En ce qui concerne le trottoir du boulevard N. Venice occupé par des camping-cars et des tentes, Thibodeau a déclaré : « Vivre à côté de ce genre de choses est très épuisant. » Il a dit qu'il envisageait d'organiser des manifestations de rue pour résoudre le problème.
Le bureau du membre du conseil Bonin n'a pas répondu à une demande de commentaire avant la date limite de la presse.
https://www.zerohedge.com/political/world-gone-mad-upscale-la-neighborhood-wrestles-worsening-homeless-crisis
L'Autriche ordonne le verrouillage des Unvaxx'd et ordonne à la police d'effectuer des contrôles ponctuels
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 15 NOV 2021 - 03:30
Rédigé par Jack Phillips via Epoch Times,
Le chancelier autrichien Alexander Schallenberg a annoncé dimanche que le pays placerait des millions de personnes qui ne sont pas complètement vaccinées contre le COVID-19 en lock-out (emprisonnements à domicile !) à partir de lundi.
Environ 65 % de la population de ce pays d'Europe centrale est vaccinée, selon les données du gouvernement. En vertu des mesures révélées dimanche, les personnes non vaccinées sont sommées de rester chez elles, sauf pour des raisons limitées.
Les règles, a déclaré le gouvernement, seront appliquées par des policiers qui seront dans les rues pour effectuer des contrôles ponctuels sur les personnes qui sont en public. Les personnes non vaccinées sont déjà exclues des lieux de divertissement, des bars, des restaurants et des lieux et entreprises similaires.
"Nous ne prenons pas cette mesure à la légère mais elle est nécessaire", a déclaré Schallenberg lors d'une conférence de presse annonçant les nouvelles mesures.
Schallenberg a admis que le gouvernement a essentiellement « dit à un tiers de la population : vous ne quitterez plus votre appartement sauf pour certaines raisons. C'est une réduction massive des contacts entre les vaccinés et les non vaccinés.
Désormais, les personnes non vaccinées ne peuvent quitter leur domicile que pour un nombre limité de raisons, comme aller au travail ou acheter des produits de première nécessité. On ne sait pas comment cela serait appliqué. Le verrouillage de l'Autriche ne s'applique pas aux moins de 12 ans, aux personnes qui se sont récemment remises du COVID-19, et durera 10 jours, a déclaré le ministre de la Santé Wolfgang Mueckstein.
Vendredi, Schallenberg a allégué que la vaccination contre le COVID-19 du pays était « honteusement faible » et a indiqué que le gouvernement devrait donner le « feu vert » aux restrictions radicales du week-end.
Un panneau avertit les visiteurs des contrôles de leur statut – vaccinés ou guéris du COVID-19 – à l'entrée du « Christkindlmarkt », le marché de Noël classique de Vienne, sur la place devant l'hôtel de ville de Vienne, en Autriche, le 12 novembre , 2021 (Georg Hockmuth/APA/AFP via Getty Images)
RépondreSupprimerSelon des séquences vidéo publiées en ligne, des foules de personnes ont été vues manifester contre le mandat des vaccins à Salzbourg et dans d'autres villes autrichiennes, critiquant les "médias menteurs" samedi. D'autres manifestations ont eu lieu dimanche, selon des images.
Le ministre de l'Intérieur Karl Nehammer a déclaré qu'il y aura des contrôles de police approfondis et des amendes pouvant aller jusqu'à 1 450 euros (1 660 $) pour les infractions, et toutes les interactions avec la police comprendront la vérification du statut vaccinal des personnes. Cette décision a suscité une condamnation considérable en ligne, certains commentateurs notant qu'elle limiterait gravement la liberté de mouvement pour potentiellement des millions de personnes.
"A partir de demain, chaque citoyen, chaque personne qui vit en Autriche doit savoir qu'elle peut être contrôlée par la police", a déclaré Nehammer lors de la conférence de presse.
La présentation d'un laissez-passer officiel COVID-19 prouvant que vous avez été vacciné, récupéré du COVID-19 ou récemment testé est requise depuis des mois dans divers endroits, notamment des restaurants, des théâtres, des cafés et des coiffeurs.
Dans l'Allemagne voisine, malgré le fait que son système de laissez-passer pour le vaccin «2G» est en place depuis des mois maintenant, les cas de COVID-19 ont atteint leur plus haut niveau la semaine dernière. Plus de 50 000 cas ont été confirmés par les autorités sanitaires.
Le chancelier allemand en attente Olaf Scholz a déclaré jeudi au Parlement que de nouvelles mesures sont nécessaires "pour traverser cet hiver … nous devons mettre notre pays à l'abri de l'hiver". En outre, le porte-parole du gouvernement Steffen Seibert a été cité par VOA News comme disant que le virus "se propage de façon spectaculaire" et a affirmé qu'une "réponse rapide et unifiée" était nécessaire.
https://www.zerohedge.com/covid-19/austria-orders-lockdown-unvaxxd-directs-police-carry-out-spot-checks
Pays par pays la dictature se renforce pour tester les réactions des victimes.
SupprimerL'USDA augmentera l'abattage de porcs chez les transformateurs pour apprivoiser la « flation de la viande »
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 15 NOV 2021 - 05:45
Le président Biden s'enfonce rapidement dans les sondages au milieu d'une poussée d'inflation qui augmente le plus rapidement depuis quatre décennies. Une combinaison d'inflation de la nourriture, du logement et de l'énergie a écrasé les salaires réels alors que les Américains deviennent de plus en plus mécontents de la Maison Blanche pour leur échec à apprivoiser le monstre de l'inflation.
Nous l'avons souligné, l'administration Biden panique à propos de l'inflation avant la mi-mandat. Cette semaine, les responsables de l'administration ont publié plusieurs déclarations indiquant qu'ils travaillaient avec diligence pour réparer les chaînes d'approvisionnement harcelées et tentaient de réduire les prix à la consommation.
L'alimentation est un domaine sur lequel l'administration s'est concentrée. Les dernières données de l'IPC montrent que les viandes, la volaille, le poisson et les œufs ont considérablement augmenté en octobre, ce qui rend les consommateurs très mal à l'aise et leur portefeuille s'amenuise avant la saison des vacances.
L'administration Biden semble être passée à l'offensive cette semaine après une déclaration par courrier électronique de la porte-parole du département américain de l'Agriculture (USDA), Kate Waters, a déclaré à Bloomberg que le gouvernement fédéral menait un programme pilote avec des transformateurs de viande pour permettre un abattage plus rapide des porcs. L'objectif est qu'une plus grande offre vienne en ligne et mette fin à la flambée des prix.
Dans le cadre du programme pilote, les emballeurs de viande seront tenus d'appliquer de nouvelles mesures de sécurité par le biais d'accords avec les syndicats ou les comités de sécurité des employés. Les limites d'abattage ont été un goulot d'étranglement important pour l'augmentation de la production. L'action de l'USDA montre à quel point l'administration Biden est désespérée pour lutter contre la « flation de la viande » avant les mi-parcours.
La lenteur de la production porcine peut également être attribuée à des pénuries de main-d'œuvre et à des chaînes d'approvisionnement encombrées.
Le programme d'essai permettra à l'USDA d'observer si l'allongement des délais d'abattage entraînera une augmentation de la production. Si c'est le cas, cela pourrait être une solution dans le sol
https://www.zerohedge.com/commodities/usda-increase-pig-slaughtering-processors-tame-meatflation
Stephanie Ruhle de NBC s'embarrasse du "Dirty Little Secret" sur l'inflation
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 15 NOV 2021 - 04:44
FAIT : Le coût des « trucs » que les Américains achètent augmente à son rythme le plus rapide en 30 ans…
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FAIT : Les anticipations d'inflation à court terme ont atteint un nouveau sommet de cycle - le plus élevé depuis 2008...
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FAIT : Alors que les « attitudes d'achat » pour les maisons, les voitures et les gros biens ménagers durables se sont effondrées à des niveaux record (citant des prix élevés)...
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... La note d'approbation du président Biden est au plus bas de son mandat, tombant au rythme le plus rapide de tous les présidents depuis la Seconde Guerre mondiale...
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Il n'est donc pas surprenant que la semaine dernière, nous ayons vu MSNBC se battre pour l'administration Biden, déployant son meilleur bretzel-logicien pour expliquer pourquoi toute cette inflation est littéralement - attendez - bonne.
Dans un tweet maintenant supprimé, MSNBC a tenté l'ultime éclaircissement en affirmant que "l'inflation que nous voyons maintenant est une bonne chose"...
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Il n'est pas surprenant qu'après s'être fait rationner dans une réaction furieuse, MSNBC a fait la seule chose qu'il pouvait et a supprimé son tweet, car sa dernière tentative de propagande de masse a terriblement mal tourné.
Mais l'aile « NBC » de la Maison Blanche refuse d'abandonner sa propagande.
Et maintenant, la journaliste de NBC Stephanie Ruhle, clairement dans 'Camp Transitory' alors même que la Fed elle-même commence à se distancer de ce récit, explique dans une récente interview que "personne ne sait exactement quand [les prix] baissent", mais, elle dit, ne vous inquiétez pas de la flambée du coût de la vie en Amérique, car, comme l'explique l'ancien Wall Streeter "il faut mettre tout cela en perspective..."
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Elle continue :
"Cette inflation n'est pas isolée, et le gouvernement a prédit que ce serait une reprise difficile, une reprise entièrement liée à Covid.
RépondreSupprimerC'est pourquoi vous voyez des choses comme ce crédit d'impôt pour enfants élargi. Vous avez les familles de plus de 60 millions d'enfants, en moyenne, qui touchent 430 $ par mois. Pour les personnes à revenu fixe, les personnes âgées bénéficiant de la sécurité sociale, ces paiements fixes sont ajustés l'année prochaine en hausse de 5,9% pour l'inflation.
Et le sale petit secret ici, alors que personne n'aime payer plus, en moyenne nous avons l'argent pour le faire.
[ZH : Pas d'amour pour Stephy, les salaires réels ont baissé pendant sept mois consécutifs...]
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[ZH : Alors que les prix à la consommation s'accélèrent loin des revenus...]
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L'épargne des ménages a atteint un niveau record pendant la pandémie.
[ZH : et que s'est-il passé depuis notre cher Steph ? Le taux d'épargne est revenu aux normes pré-COVID alors que les Américains ont épuisé cet argent «refoulé» pour couvrir la flambée du coût de la vie avec Bidenflation.]
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Bien que le marché boursier ne soit pas l'économie, vous avez plus de la moitié des ménages américains avec des investissements sur les marchés et ils ont atteint des sommets du marché.
[ZH: oh Stephy, as-tu vu ce que Main Street fait depuis que Wall Street atteint des records de record et de record]
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Il faut donc mettre tout cela en perspective. À cette époque l'année dernière, quand vous et moi parlions, personne n'avait de vaccin. Aujourd'hui, 200 millions d'Américains le font, et nous voyons cette poussée de la demande et cela fait monter les prix."
"Perspective" en effet !
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La source
Regardez le gaslighting complet ici :
RépondreSupprimer- voir clip sur site -
Combien de temps avant la suppression de ce segment NBC ?
Et qu'est-ce qui donne à Mme Ruhle une perspective si unique pour se prononcer sur les problèmes des pauvres ?
Simple - gagner des millions en vendant des CDS pour parier sur l'effondrement du marché immobilier américain pendant que vous travailliez chez CS et Deutsche Bank.
Elle a commencé sa carrière dans la finance en 1997 chez Credit Suisse First Boston. Chez CSFB, elle a occupé le poste de vice-présidente et a été la vendeuse de dérivés de crédit la plus productive aux États-Unis.
Après un passage de six ans au Crédit Suisse, Ruhle a rejoint la Deutsche Bank où elle a travaillé en tant que directrice générale des ventes de crédits structurés au sein de la division des titres à revenu fixe.
Tout comme nous nous sommes moqués du tweet maintenant supprimé de MSNBC, soulignant désespérément que l'inflation est une "bonne chose", le mème est terminé...
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Vous obtiendrez des prix plus élevés, Américains, et aimez ça !!...
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Bien sûr, nous savons ce qui va suivre... quiconque suggère que l'inflation pourrait être un problème est probablement une menace pour la sécurité nationale ("l'enfer, c'est comme crier au feu dans un théâtre, n'est-ce pas?")
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Pendant ce temps, même le tristement optimiste Wall Street commence à dire la vérité, avec Goldman avertissant que les choses vont empirer avant de s'améliorer.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/nbcs-stephanie-ruhle-embarrasses-herself-over-dirty-little-secret-about-inflation