En Grèce, les non-vaccinés devront payer 100 euros au fisc !
mardi 30 novembre 2021
Le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis a annoncé la vaccination obligatoire contre la Covid-19 pour tous les Grecs de plus de 60 ans avant une réunion du cabinet à Athènes mardi, dans le but de lutter contre la nouvelle menace du variant omicron avant la saison des fêtes.
Ceux qui refusent de se faire vacciner devront payer une amende mensuelle de 100 euros (114 $) pour chaque mois où ils ne se font pas piquer, à partir du 16 janvier, selon Mitsotakis. La sanction sera imposée par le fisc directement à ceux qui n'ont pas été vaccinés et les fonds collectés seront reversés aux hôpitaux grecs luttant contre la pandémie.
Vous vouliez le nouvel ordre mondial le voilà : le traité pandémique de l'OMS en discussion
mardi 30 novembre 2021
La crise du coronavirus a permis d'accélérer le mouvement de globalisation, qui la précédait. Mais les instruments politico-juridiques ne sont plus adaptés à la nouvelle situation : si les États, qui résistaient encore, ont failli, le défaut de base légale est flagrant et l'installation d'une gouvernance externalisée des peuples et des pays dans la durée ne peut entrer dans les cadres restreints des législations d'urgence et des traités existants. Au son de "Plus jamais ça", comme s'il s'agissait d'une guerre sainte - qui ne soit menée justement contre nous, l' ONU et l'OMS appellent à l'adoption rapide d'un Traité pandémique, désarmant les Etats, renforçant justement les pouvoirs et "l'indépendance" (de qui ?) de l'OMS. Il n'est plus question de droits, encore moins fondamentaux, ni d'Etats souverains, mais d'une étrange "sécurité", totale et totalitaire, réduisant les Etats à des instruments répressifs dépossédés de tout pouvoir réel et les hommes à des cellules en danger de contamination, qu'il faut sauver d'elles-mêmes. Puisque tant qu'il restera une cellule contaminée, le monde sera en danger ...
L'OMS se réunit en urgence en ce moment pour trois jours à Genève, il faut dire qu'il y a vraiment urgence, cela fait deux ans que ça dure, que le virus-roi varie et évolue tranquillement, que les populations sont de plus en plus écrasées et les Etats de plus en plus discrédités. Les gens s'habituent au Covid, la résistance s'intensifie et se propage, parallèlement à la radicalisation des mesures adoptées contre les gens, évidemment "pour leur bien" et puisque ça ne marche pas (sanitairement) depuis deux ans, il faut continuer.
Comme le déclare le directeur de l'OMS : "Si nous avons compris quelque chose, c'est que pas une seule région, pas un seul Etat, pas une seule société et pas un seul individu ne sera en sécurité tant que nous ne garantissons la sécurité de tous et de chacun."
Comment l'humanité a-t-elle pu vivre avant, quand il y avait des pandémies qui se propageaient sur différents continents, sans pour autant arrêter la vie de tous, tant que la sécurité de chacun sera garantie ? Par ailleurs, nous ne savons toujours pas ce que signifie cette "sécurité" : nous propose-t-on la vie éternelle ou la prison à vie ?
Mais quelle chance, justement super Omicron est arrivé et le monde n'est pas prêt à l'accueillir - aïe aïe aïe, il faut faire quelque chose. Et, Ô miracle, la réponse est déjà là, le Traité pandémique de l'ONU arrive dans vos assiettes.
La Parisien nous rejoue une mauvaise parodie de la der des der avec "Plus jamais ça!", reprenant sans même sourire les paroles caricaturales et déplacées du directeur de l'OMS.
« Tout cela se reproduira à moins que vous, les nations du monde, ne vous unissiez pour dire d’une seule voix : plus jamais ça ! », a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, à l’ouverture de la réunion de l’Assemblée mondiale de la santé. Donc, cet organe décisionnel s'est réuni en toute urgence pour quoi ? Pour adopter le Traité pandémique, que vous trouverez ici, dont l'intérêt est de sortir la gouvernance des limites posées par les textes en vigueur, qui ne sont pourtant pas si contraignantes que cela, comme l'expérience le montre.
Plusieurs éléments apparaissent. Il s'agit notamment de renforcer le travail sur les données génétiques, de donner un fondement à la limitation globale des droits de l'homme, au transfert des compétences étatiques vers l'OMS, etc. L'intérêt de l'adoption d'un Traité, et non pas d'une modification du règlement sanitaire, est politique et juridique : le fait de la ratification au plus haut niveau va impliquer les décideurs politiques dans les pays et juridiquement, le traité va entrer dans l'ordre juridique national. Ce traité doit également être global, car il doit non seulement interagir avec les autres instruments juridiques internationaux déjà existants, mais il doit en simplifier les mécanismes et élargir leur champ d'action. Surtout, il permet de se réapproprier la définition de la pandémie, qui va permettre de lancer ces mécanismes de gouvernance.
Dans la négociation de ce traité, les ONG et les entreprises, notamment pharmaceutiques, sont considérées, en plus des "partenaires" qualifiés de scientifiques, qui font la comm covidienne, comme des sujets de premier choix. La question des conflits d'intérêt est abordée pour être immédiatement écartée, puisqu'ils détiennent des "informations" importantes ...
Même s'il va falloir du temps pour ratifier ce traité, il est attendu qu'il provoque un effet politique de mobilisation dans les pays et donc, de facto, des effets avant même son entrée formelle en vigueur. Ces mécanismes s'appuient évidemment sur le principe de loyauté internationale, ce qui effectivement fonctionne très bien au niveau des élites dirigeantes, quel que soit le pays.
Si la forme et la question du financement sont très développées dans le projet publié, la question du contenu est touchée de manière assez floue, car c'est bien le plus sensible. L'on peut ainsi lire :
"Les mesures proposées jusqu'à présent sous différentes formes et forums visent à combler à la fois les lacunes et les faiblesses du cadre normatif international actuel pour la PPR. Les propositions couvrent un large éventail de questions, depuis la notification, le partage d'informations et les voyages internationaux et les mesures liées au commerce - domaines déjà couverts (mais largement considérés comme inadéquats) dans le RSI (2005), à la réduction du risque de pandémie de propagation des zoonoses et la refonte du financement mondial de la PPR - des domaines où existent certaines formes de coopération internationale, mais pas encore de règles contraignantes.
La question du partage rapide et équitable des agents pathogènes et des données de séquençage génétique – non couverte par le RSI (2005) mais étroitement liée au Protocole de Nagoya – a suscité une attention considérable. Des appels ont également été lancés pour établir une interface science-politique pour la PPR, par analogie avec le GIEC.Des examens indépendants ont recommandé d'adopter une formulation plus pratique des mesures de voyage actuellement dans le RSI (2005), et de revoir la coordination internationale des restrictions de voyage et aux frontières en vue des prochaines pandémies.
La nécessité de règles de conformité et de responsabilité a été mentionnée dans la plupart des examens. Les avis comprenaient également la nécessité pour le traité de définir le terme « pandémie », actuellement absent du RSI (2005).
En ce qui concerne les questions transversales, des points ont été soulevés concernant les droits de l'homme, les dimensions intersectorielles et de développement d'un futur traité. Les liens avec les politiques environnementales et One Health ont été constamment soulignés. Les propositions concernant la fourniture et l'accès équitable aux vaccins et autres produits et technologies essentiels ont souligné les liens avec les règles du commerce international et de la propriété intellectuelle. Les propositions faisaient également référence à une stratégie globale visant à renforcer les capacités de l'OMS en matière de PPR.
Les problèmes soulevés moins souvent, mais néanmoins attirant l'attention, incluent la préparation des systèmes de santé au-delà des capacités de santé publique couvertes par le RSI (2005), et les problèmes liés à la réponse sociale et économique pour soutenir l'action et les résultats en matière de santé. (...) Une proposition a également été faite pour repenser le paradigme de la sécurité sanitaire mondiale afin de se concentrer sur « la sécurité des personnes et non des frontières ». Si les formulations sont vagues, l'ONU donne le ton : il faut renforcer les pouvoirs de l'OMS sur les politiques nationales et sur les hommes. Sans oublier, évidemment, une hausse du financement. Dans cette nouvelle vision de la gouvernance globale, l'OMS doit être, je cite, "plus indépendante", la question étant de savoir de qui ...
Mais il se trouve des voix pour affirmer qu'un traité, c'est trop long, il faut encore aller plus vite dans le renoncement de la gouvernance nationale et du transfert des compétences. Evidemment, tel est le cas des Etats-Unis, puisque à la fin, ils sont les bénéficiaires politiques directs de ce mouvement. Ce qui en fait ressemble à une sorte de chantage : soit vous renoncer définitivement à ce qu'il vous reste de souveraineté et adoptez un traité en ce sens, soit, de toute manière, nous prendrons ces compétences. Et il n'y a aucune raison d'attendre la moindre résistance des élites gouvernantes.
PS : Le ministère russe des Affaires étrangères a annoncé que les préparations d'une prochaine rencontre en réel entre Biden et Poutine étaient bien avancées.
Pas d'épicerie ni de carburant pour ceux qui ne sont pas vaccinés, selon l'administration d'Aurangaban (Inde)
lundi 29 novembre 2021
L'administration du district d'Aurangabad a ordonné aux magasins de rationnement et aux pompes à essence de ne fournir des produits d'épicerie et du carburant qu'aux personnes qui ont pris au moins une dose du vaccin Covid-19, une mesure destinée à accélérer la vaccination dans le district de Marathwada.
Dans l'ordre publié mardi, le collecteur du district d'Aurangabad, Sunil Chavan, a ordonné aux autorités des magasins à prix équitable et des pompes à essence de vérifier les certificats de vaccination des clients. Selon l'arrêté, seuls les citoyens ayant pris au moins une dose du vaccin contre le Covid-19 pourront faire leurs courses dans les magasins de rationnement, pour acheter des bonbonnes de gaz et pour se procurer le carburant dans les pompes à essence.
Si l'ordre n'est pas respecté, l'administration prendra des mesures contre les personnes concernées, en vertu de la loi sur la gestion des catastrophes et de la loi sur les maladies épidémiques, a déclaré Chavan.
Comment la Californie a « résolu » son empilement record de navires : il les a déplacés hors de vue, au-dessus de l'horizon
PAR TYLER DURDEN LUNDI 29 NOV 2021 - 19:00 Par Greg Miller de FreightWaves,
D'une certaine manière, le nombre de porte-conteneurs bloqués en attente au large de Los Angeles et de Long Beach a chuté. L'embouteillage a atteint un pic de 86 porte-conteneurs au large le 16 novembre, selon les données du Marine Exchange of Southern California. Une semaine plus tard, il n'était plus que de 61, le plus bas depuis début octobre.
Problème résolu ?
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Loin de là.
Les porte-conteneurs en attente sont toujours là, plus que jamais. C'est juste que d'autres sont à l'horizon, où vous ne pouvez pas les voir, grâce à la mise en œuvre réussie d'un nouveau système de file d'attente qui a commencé la semaine dernière.
"Le flux global de porte-conteneurs et de sauvegarde globale n'a pas changé", a reconnu le directeur exécutif de Marine Exchange of Southern California, Kip Louttit.
Si vous incluez tous les porte-conteneurs physiquement au mouillage mardi au large de LA/LB, ainsi que les navires en attente à moins de 40 milles des ports, qui étaient comptés dans le système de file d'attente précédent, ainsi que tous les navires en attente plus loin qui sont maintenant techniquement dans la file d'attente dans le cadre du nouveau système, 93 porte-conteneurs attendaient mardi des postes d'amarrage à Los Angeles/Long Beach, un nouveau record historique.
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Graphique : expéditeur américain basé sur les données du Marine Exchange of Southern California. Compté selon l'ancien système : navires signalés par le Marine Exchange comprenant le nombre à l'ancre plus le flânage dans les 40 milles. Compté selon le nouveau système : expédié avec une heure d'arrivée calculée avant l'heure de la liste de file d'attente principale de ce jour.
Nouveau plan de file d'attente rapidement adopté
Le nouveau système de file d'attente a été conçu pour réduire considérablement le nombre de porte-conteneurs en attente juste au large de Los Angeles/Long Beach, dans le but déclaré de réduire les émissions nocives et d'améliorer la sécurité pendant les mois d'hiver en espaçant les navires.
Un point de vue plus cynique a émergé : un objectif non déclaré est d'effacer une séance de photos politiquement dérangeante – des images accrocheuses de porte-conteneurs inactifs s'étirant au loin.
Le nouveau plan est entièrement volontaire et encourage les navires à opérer en dehors d'une zone de sécurité et de qualité de l'air (SAQA) qui s'étend sur 150 milles à l'ouest des ports et à 50 milles au nord et au sud. Les navires n'ont pas à demander l'autorisation d'entrer dans la SAQA et sont encouragés à entrer dans la SAQA s'ils ont besoin de faire le plein, ont des problèmes de sécurité ou ont une affectation à quai dans les 72 heures. D'ici la fin de l'année, l'espoir est de réduire le nombre de navires aux mouillages d'un maximum de 55 à 25-35 et de réduire le nombre de navires errant dans la SAQA à près de zéro.
Au cours des 100 dernières années, les porte-conteneurs ont été placés dans la file d'attente LA/LB lorsqu'ils ont atteint la ligne de 20 milles des ports. Mais compte tenu des goulots d'étranglement historiques sur terre en 2021, ce protocole du premier arrivé, premier servi a rassemblé un nombre sans précédent de navires dans une petite zone.
Dans le cadre du nouveau système, les porte-conteneurs participants reçoivent une heure d'arrivée calculée (CTA) par le Pacific Maritime Monitoring System (PacMMS) après avoir quitté leur dernier port d'escale, que ce soit Shanghai ou Oakland. Ils peuvent alors économiser du carburant en se déplaçant lentement vers LA/LB, sachant que leur place dans la file est réservée en fonction de leur CTA, et attendre en dehors de la SAQA.
Les transporteurs maritimes ont facilement accepté le nouveau protocole. Lundi, 109 porte-conteneurs étaient déjà inscrits au PacMMS. Chaque jour qui passe, de plus en plus de porte-conteneurs arrivent d'Asie et s'éloignent de LA/LB. Il y a maintenant des navires à destination de LA/LB dans des circuits d'attente au sud d'Ensenada, au Mexique, au nord de San Francisco et à plus de 400 milles dans le Pacifique.
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Navires inscrits dans le PacMMS à partir de lundi et leurs emplacements. Carte : Échange maritime du sud de la Californie
Les problèmes à terre maintiennent les attentes au large des côtes élevées Le nouveau protocole de mise en file d'attente complique les comparaisons historiques sur l'ampleur de l'embouteillage des porte-conteneurs en Californie du Sud.
La meilleure approximation de pommes à pommes est de prendre le nombre de navires à l'ancre et flânant dans les zones d'attente héritées à moins de 40 milles des ports, tel que rapporté par le Marine Exchange, puis d'ajouter le nombre de navires qui ont un CTA avant le date et heure auxquelles la liste de file d'attente principale quotidienne de la bourse maritime a été générée.
En d'autres termes, ajoutez les navires qui auraient hypothétiquement attendu juste au large de LA/LB, s'ils n'avaient pas intentionnellement ralenti ou choisi d'attendre ailleurs le long de la côte du Pacifique.
Mardi, il y avait 36 porte-conteneurs au mouillage et 25 flânant dans un rayon de 40 milles (le total de flânage est la moitié de ce qu'il était la semaine précédente). Cependant, il y avait 32 porte-conteneurs supplémentaires avec des CTA avant l'heure du rapport de la liste principale des files d'attente de mardi, ce qui porte le total «virtuel» à un record de 93.
Les chiffres confirment la rapidité avec laquelle le nouveau plan de files d'attente est accepté et soulignent également que l'embouteillage au large ne s'améliore toujours pas.
En raison de l'agitation logistique à terre - dans les terminaux, avec les camions, le rail et les entrepôts - le temps d'attente pour se rendre du mouillage à un poste d'amarrage à Los Angeles continue d'augmenter. Mardi, le temps d'attente a atteint un nouveau record historique : 18,6 jours.
Avant la fin de cette année 2021 l’Allemagne mettra à l’arrêt définitif, comme cela était prévu, les installations de production électrique nucléaire de Brokdorf, de Grohnde et de Gundremmingen. Il manquera donc au réseau électrique 4050 MW de puissance au cours de l’hiver qui vient. C’est une pure folie. Afin d’éviter un black-out l’Allemagne devra mettre aussi à l’arrêt toutes les industries fortes consommatrices d’électricité, depuis la chimie jusqu’aux constructions automobiles. En effet, s’il n’y a pas de vent et que les panneaux solaires sont recouverts de neige autant dire que des régions entières de ce pays le plus prospère d’Europe se retrouveront alternativement dans le noir. Qu’à cela ne tienne les Verts, maintenant bien assis au gouvernement, ne lâcheront rien. Avec Corinne Le page les verts allemands ont convaincu leurs homologues français d’obtenir la fermeture de Fessenheim sous le fallacieux prétexte que cette installation était trop près de l’Allemagne. On assiste au dénouement de cette campagne anti-nucléaire allemande. À la fin de 2022, quoiqu’il arrive, les trois dernières usines seront fermées, encore 4000 MW de capacité de production annulés.
La situation de l’Allemagne va donc être extrêmement tendue durant l’hiver à venir. Les tergiversations juridiques pour l’autorisation du fonctionnement du gazoduc Nord-Stream-2 vont inévitablement conduire à un désastre. Les Verts veulent annihiler toute activité industrielle dans leur pays et par conséquent toute vie et toute prospérité. Et la contagiosité de ce parti de fous est remarquable puisque le Ministre allemand de la santé Jens Spahn préconise un confinement d’une année de tous les non-vaccinés. Les Allemands vont-ils rouvrir des camps de concentration. Ils en seraient bien capables …
Note. Le réacteur de Brokdorf mis en service en 1986 est un PWR de 1410 MW, celui de Grohnde est un PWR de 1360 MW mis en service en 1985 et celui de Gunderemmingen est un BWR de 1280 MW mis en service en 1988.
Inspiré d’un billet de Pierre Gosselin paru sur son site notrickszone
« Un désastre lent se joue » alors que l'Allemagne s'apprête à fermer 8,5 GW de capacité nucléaire de base
PAR TYLER DURDEN MARDI 30 NOV 2021 - 03:30 Rédigé par P Gosselin via NoTricksZone.com,
Sur Facebook, l'observateur danois Peter Bardland présente un graphique et un commentaire sur la prochaine sortie rapide de l'énergie nucléaire en Allemagne.
D'ici la fin de 2022, le gouvernement aura fermé 6 autres centrales d'une capacité totale (charge de base) de 8,54 gigawatts !
- voir carte sur site -
Graphique : Présenté par Peter Bardland
Hier, nous avons commenté ici que l'Allemagne fermera en fait toutes les sources d'énergie de base, ce qui a ironiquement empêché le pays de s'éteindre en 2021, car l'énergie éolienne et solaire n'a pas fonctionné comme prévu.
« Un désastre qui se joue »… « assez fou » Bardland écrit :
Dans un peu plus d'un mois, l'Allemagne fermera 3 de ses centrales nucléaires les plus récentes et les meilleures et plus de 4050 MW d'électricité disparaîtront du réseau électrique du nord de l'Europe. 4050 MW équivaut à la consommation moyenne d'électricité de tout le Danemark.
Cela mettra encore plus la sécurité d'approvisionnement sous pression et il est assez fou de choisir de le faire au milieu de l'hiver.
Non seulement les 4050 MW d'énergie nucléaire coupée entraîneront plus d'émissions de gaz carbonique, mais ils causeront également beaucoup plus de pollution due à la combustion de la biomasse et des combustibles fossiles. L'hiver prochain, l'Allemagne fermera les 3 dernières centrales nucléaires, également de 4000 MW.
Quiconque a suivi le débat politique sur l'énergie et le climat, même superficiellement, au cours des 10 à 20 dernières années peut voir que l'Allemagne, le Danemark et d'autres « pays fous verts » le font vigoureusement CONTRE ce que la logique et la science dictent.
Nous voyons un lent désastre se produire avec les Verts dans le rôle principal du méchant fou, acharné à vouloir anéantir la vie et la prospérité.
(PS. Achetez des vêtements chauds, de la nourriture, de l'eau et des bougies, pour l'hiver à venir).
En plus de la folie de l'arrêt de l'alimentation de base, le ministre allemand de la Santé Jens Spahn a déclaré qu'il était en faveur d'un verrouillage complet d'un an des Allemands non vaxxés. Il y a certainement quelque chose dans l'eau de quelqu'un.
Renault dévoile une voiture volante pour voyager sur les autoroutes du ciel
PAR TYLER DURDEN MARDI 30 NOV 2021 - 04:15
Le constructeur automobile français Renault a dévoilé une voiture volante pour le 60e anniversaire de l'emblématique Renault 4.
Renault s'est associé à la société de design basée à Miami TheArsenale pour créer la voiture volante basée sur une version mise à jour de la 4 (également connue sous le nom de 4L ou "quatrelle"), dont la production a commencé en 1961 et s'est terminée en 1992. La version moderne de la 4 se trouve au-dessus du cadre du drone. « AIR4 est un symbole d'indépendance et de liberté, né de la prise de conscience que le trafic s'aggrave, que les vies s'arrêtent et que le monde au-dessus de nous n'est pas entravé », a écrit Renault.
TheArsenale a écrit : « Un symbole d'indépendance et de liberté sous forme de fibre de carbone, l'AIR4 est né de la prise de conscience que le trafic s'aggrave, les vies s'arrêtent, mais le monde au-dessus de nous est clair.
Les spécifications de l'AIR4 montrent qu'il est alimenté par des batteries lithium-polymère de 22 000 mAh, ce qui signifie qu'il peut voler à une vitesse de 55 mph et avoir une capacité de levage totale d'environ 840 livres. Il n'y avait aucune mention du temps de vol.
AIR4 devrait être présenté au musée Atelier Renault à Paris et dans le monde, notamment à Miami, New York et Macao en 2022.
"Après un an de célébration, nous voulions créer quelque chose d'inhabituel pour clôturer le 60e anniversaire de la 4L", a déclaré Arnaud Belloni, directeur marketing de Renault. "Cette collaboration avec The Arsenale était un choix naturel. Le show car volant AIR4 est quelque chose d'inédit et un clin d'œil à ce à quoi cette icône pourrait ressembler dans 60 ans."
L'été dernier, Renault a annoncé la réédition de la Renault 4 en version électrifiée d'ici 2025. Le constructeur prévoit que jusqu'à 90 % des voitures vendues sous sa marque seront électriques d'ici 2030. Quant à l'AIR4, il n'y avait pas mot si la voiture volante serait produite en série.
A part la carrosserie qui rappelle la '4L' les 4 pattes en étoile situent l'engin dans les hélicoptères manqués ! De plus il ou elle ne roule pas ! Drone d'affaire !
Le fait le plus frappant dans le nouveau livre de Robert F. Kennedy, Jr.
Par Thomas DiLorenzo 1er décembre 2021
Je viens de recevoir ma copie de RFK Jr. En parcourant les deux premiers chapitres, une chose est vraiment ressortie – que Fauci verse quelque 7 milliards de dollars en subventions de recherche aux chercheurs en « santé publique » du monde entier. Il occupe ce poste depuis 30 ans. Cela signifie que depuis trente ans, il y a eu un contrôle monopolistique d'un seul homme sur pratiquement tous les « examens par les pairs » liés à la santé publique. Cela prouve à quel point Fauci est un larbin clownesque, menteur, incompétent et corrompu lorsqu'il répond aux critiques par des déclarations telles que "tout le monde que je connais est d'accord avec moi sur ce point". Oui, tous ceux qui travaillent pour lui et sont payés par lui, ou souhaitent travailler pour lui et être payés par lui (avec l'argent des contribuables). Cela signifie que l'examen par les pairs de « santé publique » est une blague et une fraude. Aucune autre profession au monde ne serait prise au sérieux si un seul bureaucrate du gouvernement était effectivement en charge de toutes les publications professionnelles dans l'ensemble du domaine.
Et ce que Fauci ne contrôle pas par le biais du financement gouvernemental, d'autres bureaucrates gouvernementaux au NIH et ailleurs le font. Ce sont des aspirants Fauci dans ce domaine corrompu, puant et frauduleux de la santé « publique ». Pas étonnant que le Dr Scott Atlas, un vrai médecin et chercheur en médecine, ait été si choqué par l'immense incompétence à laquelle il a été exposé alors qu'il siégeait au groupe de travail COVID du président Trump et assistait à des réunions avec l'idiot Fauci et cette femme au foulard loufoque. Il a dit à Tucker Carlson que les deux semblaient à 100% détachés et ignorants de la science pertinente et n'ont fait que répéter le verrouillage/masquage de la gauche/vous devez obéir/jab-chaque-enfant/fermer-tout-le- les points de discussion des écoles et des églises sans même discuter d'aucune base scientifique pour aucun d'entre eux.
Une critique du livre de Robert F. Kennedy « Le vrai Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma et la Guerre mondiale contre la Démocratie et la Santé publique ».
Le livre de Robert F. Kennedy Jr « Le vrai Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma et la Guerre mondiale contre la Démocratie et la Santé publique » devrait faire la une de tous les médias d’information aux États-Unis. Au lieu de cela, il a été accueilli par un silence assourdissant.
Les détracteurs qui cherchaient à faire passer Kennedy pour un fou profitant d'un nom célèbre avaient marqué un point en février, lorsque Instagram avait supprimé définitivement son compte, prétendument pour avoir fait de fausses déclarations sur le coronavirus et les vaccins. Néanmoins, le livre, publié il y a quelques jours seulement, est déjà un succès pop certifié sur Amazon.
RFK Jr, président du conseil d'administration et conseiller juridique en chef de Children's Health Defense, entreprend de déconstruire une nouvelle normalité qui nous envahit tous depuis début 2020. Dans mon livre « Raging Twenties », publié début 2021, j'ai appelé cette force le techno-féodalisme.
Kennedy la décrit comme « un totalitarisme croissant », avec « une propagande et une censure de masse, la promotion orchestrée de la terreur, la manipulation de la science, la suppression du débat, la diffamation de la dissidence et le recours à la force pour empêcher toute protestation ».
En se concentrant sur le Dr Anthony Fauci comme pivot de la plus grande histoire du XXIe siècle, RFK Jr peut peindre une toile complexe de la militarisation planifiée et, surtout, de la monétisation de la médecine, un processus toxique géré par Big Pharma, Big Tech et le complexe militaire/renseignements - et consciencieusement promu par les médias grand public.
Tout le monde sait maintenant que les grands gagnants ont été Big Finance, Big Pharma, Big Tech et Big Data, avec une niche spéciale pour les mastodontes de la Silicon Valley.
Pourquoi Fauci ? RFK Jr. fait valoir que pendant cinq décennies, il a été essentiellement un agent de Big Pharma, nourrissant « un réseau complexe d'enchevêtrements financiers entre les sociétés pharmaceutiques et l'Institut national des Allergies et des Maladies infectieuses (NIAID) et ses employés qui a transformé le NIAID en une filiale sans faille de l'industrie pharmaceutique ». Fauci promeut sans ambages sa relation privilégiée avec l'industrie pharmaceutique comme un « partenariat public-privé ».
Les contours complets de cette histoire très alambiquée n'ont sans doute jamais été examinés de cette manière, de façon très documentée et avec une multitude de liens. Fauci n'est peut-être pas un nom connu en dehors des États-Unis et surtout dans les pays du Sud. Et pourtant, c'est ce public mondial qui devrait être particulièrement intéressé par son histoire.
RFK Jr accuse Fauci d'avoir poursuivi des stratégies infâmes depuis le début du Covid-19 - de la falsification de la science à la suppression et au sabotage de produits concurrents qui apportent des marges bénéficiaires inférieures.
Le verdict de Kennedy est sans appel : « Tony Fauci ne fait pas de la santé publique ; c'est un homme d'affaires, qui a utilisé sa fonction pour enrichir ses partenaires pharmaceutiques et étendre la portée de l'influence qui a fait de lui le médecin le plus puissant - et le plus despotique - de l'histoire de l'humanité ».
Il s'agit d'une accusation très grave. Il appartient aux lecteurs d'examiner les faits de l'affaire et de décider si Fauci est une sorte de Dr Strangelove médical.
Pas de vitamine D ?
La première place revient à la modélisation privilégiée par Fauci qui a surestimé de 525% les décès dus au Covid, élaborée par le fabricant Neil Ferguson de l'Imperial College de Londres, dûment financé par la Fondation Bill et Melinda Gates. C'est ce modèle, démystifié par la suite, qui a justifié l'hystérie du confinement à travers la planète.
Kennedy attribue au Dr Jessica Rose, chercheuse canadienne sur les vaccins, l'accusation selon laquelle Fauci était en première ligne pour effacer la notion d'immunité naturelle, alors même que tout au long de l'année 2020, les CDC et l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) ont admis que les personnes ayant un système immunitaire sain couraient un risque minime de mourir du Covid.
Le Dr Pierre Kory, président de la Front Line Covid-19 Critical Care Alliance, a été parmi ceux qui ont dénoncé le modus operandi de Fauci, qui privilégie le développement de vaccins technologiques tout en ne laissant aucune place aux médicaments efficaces contre le Covid : « Il est absolument choquant qu'il n'ait recommandé aucun soin ambulatoire, pas même de la vitamine D ».
Le cardiologue clinicien Peter McCullough et son équipe de médecins de première ligne ont testé des protocoles prophylactiques utilisant, par exemple, l'ivermectine - « nous disposions de données formidables provenant d'équipes médicales au Bangladesh » - et ont ajouté d'autres médicaments tels que l'azithromycine, le zinc, la vitamine D et la vitamine C par voie intraveineuse. Et tout cela alors que dans toute l'Asie, l'utilisation de lavages nasaux salins était généralisée.
Le 1er juillet 2020, McCullough et son équipe ont soumis leur premier protocole révolutionnaire à l'American Journal of Medicine. Il est devenu le document le plus téléchargé au monde pour aider les médecins à traiter le Covid-19.
McCullough s'est plaint l'année dernière que Fauci n'a jamais, à ce jour, publié quoi que ce soit sur la façon de traiter un patient Covid. Il a en outre allégué : « Quiconque tente de publier un nouveau protocole de traitement se retrouve bloqué hermétiquement par les revues qui sont toutes sous le contrôle de Fauci ».
Il y a pire. McCullough :
« L'ensemble de l'establishment médical essayait de faire disparaître les traitements précoces et de faire taire tous les médecins qui parlaient de réussite. Une génération entière de médecins a tout simplement cessé de pratiquer la médecine ». (Un avis contraire dirait que McCullough s'est laissé emporter : Un million de médecins américains - le nombre approximatif de praticiens à un moment donné - ne pouvaient pas tous être dans le coup).
Le livre affirme que les raisons du manque de recherches originales sur la façon de combattre le Covid sont la dépendance d'universitaires américains très respectés vis-à-vis des milliards de dollars accordés par le National Institute of Health (NIH) et le fait qu'ils étaient terrifiés à l'idée de contredire Fauci.
Kory et McCullough, spécialistes de première ligne du Covid, auraient affirmé que la suppression par Fauci des traitements précoces et des médicaments hors brevet était responsable de près de 80% des décès attribués au Covid aux États-Unis.
Comment tuer la concurrence
Le livre donne un aperçu détaillé d'une offensive présumée de Big Pharma pour tuer l'hydroxychloroquine (HCQ) - avec des mercenaires de la recherche financés par l'axe Gates-Fauci qui auraient mal interprété et mal rapporté des résultats négatifs en utilisant des protocoles défectueux.
Kennedy affirme que Bill Gates, en 2020, contrôlait pratiquement tout l'appareil de l'OMS, en tant que plus grand bailleur de fonds après le gouvernement américain (avant que Trump ne retire les États-Unis de l'OMS) et qu'il a utilisé l'agence pour discréditer totalement l'HCQ.
Le livre aborde également le Lancet gate - lorsque les deux plus grandes revues scientifiques du monde, The Lancet et le New England Journal of Medicine, ont publié des études frauduleuses provenant d'une base de données inexistante appartenant à une société inconnue jusqu'alors.
Quelques semaines plus tard seulement, les deux revues, profondément embarrassées et voyant leur crédibilité durement acquise remise en cause, ont retiré les études. Il n'y a jamais eu d'explication quant à la raison pour laquelle elles se sont impliquées dans ce qui pourrait être interprété comme l'une des plus graves fraudes de l'histoire de l'édition scientifique.
Mais tout cela a servi un objectif. Pour Big Pharma, dit Kennedy, tuer l'HCQ et, plus tard, l'ivermectine (IVM) étaient des priorités absolues. L'ivermectine est un concurrent peu rentable d'un produit de Merck, le molnupiravir, qui est essentiellement une imitation, mais qui peut être vendu au détail à un prix rentable de 700$ le traitement.
Fauci était très excité par une étude prometteuse sur le remdesivir de Gilead - qui non seulement n'est pas efficace contre le Covid mais est de facto un poison mortel, à 3000$ le traitement.
Le livre suggère que Fauci aurait pu vouloir tuer l'HCQ et l'IVM parce que, selon les règles fédérales américaines, la reconnaissance par la FDA de l'HCQ et de l'IVM tuerait automatiquement le remdesivir. Il se trouve que la Fondation Bill et Melinda Gates a une participation importante dans Gilead.
Un point essentiel pour Kennedy est que les vaccins étaient le Saint Graal de Big Pharma.
Il explique en détail comment ce qui pourrait être considéré comme une alliance Fauci-Gates a investi « des milliards de dollars provenant des contribuables et déduits des impôts dans le développement » d'une « plateforme ARNm pour les vaccins qui, en théorie, leur permettrait de produire rapidement de nouveaux "boosters" pour combattre chaque "variant échappé" »
Les vaccins, écrit-il, « sont l'un des rares produits commerciaux qui multiplient les profits par défaillance... La bonne nouvelle pour Big Pharma était que toute l'humanité serait en permanence dépendante de rappels semestriels, voire triennaux ». Toute ressemblance avec notre réalité actuelle des « rappels » n'est pas une simple coïncidence.
Le résumé final des données de l'essai clinique de Pfizer fera lever d'innombrables sourcils. L'ensemble du processus n'a duré que six mois. Il s'agit du document que Pfizer a soumis à la FDA pour obtenir l'approbation de son vaccin. Il est incroyable que Pfizer ait obtenu l'approbation d'urgence de la FDA alors qu'il avait été démontré que le vaccin pouvait prévenir un décès dû au Covid (c'est moi qui souligne) sur 22 000 personnes vaccinées.
Peter McCullough :
« Puisque l'essai clinique a montré que les vaccins réduisent le risque absolu de moins de 1%, ces vaccins ne peuvent pas influencer les courbes épidémiques. C'est mathématiquement impossible ». La matrice Gates
Bill Gates - protégé en Teflon par la quasi-totalité des grands médias occidentaux - décrit la philosophie opérationnelle de sa fondation comme du « philantrocapitalisme ». Il s'agit plutôt d'auto-philantropie stratégique, car tant le capital de la fondation que sa valeur nette ont gonflé en beauté (23 milliards de dollars rien que pendant les verrouillages de 2020).
La Fondation Bill et Melinda Gates -
« une organisation à but non lucratif qui lutte contre la pauvreté, la maladie et l'inégalité dans le monde » - investit dans des multinationales pharmaceutiques, alimentaires, agricoles, énergétiques, télécoms et technologiques. Elle exerce un contrôle de facto considérable sur les agences internationales de santé et d'agriculture ainsi que sur les médias grand public - comme l'a montré la Columbia Journalism Review en août 2020.
Gates, qui n'a pas de diplôme d'études supérieures, ni même de diplôme de médecine (comme l'auteur Kennedy, il faut le noter, dont la formation était celle d'un avocat), dispense sa sagesse dans le monde entier en tant qu'expert en santé. La fondation détient des actions et des obligations de Pfizer, Merck, GSK, Novartis et Sanofi, entre autres géants, ainsi que des positions importantes dans Gilead, AstraZeneca et Moderna.
Le livre examine dans les moindres détails comment Gates contrôle l'OMS (le plus grand donateur direct : 604,2 millions de dollars en 2018-2019, derniers chiffres disponibles). Déjà en 2011, Gates a ordonné : « Les 183 États membres, vous devez faire des vaccins un axe central de vos systèmes de santé ». L'année suivante, l'Assemblée mondiale de la Santé, qui fixe l'agenda de l'OMS, a adopté un Plan mondial pour les Vaccins conçu par - qui d'autre ? - la Fondation Bill et Melinda Gates.
La Fondation contrôle également le Groupe consultatif stratégique d'Experts (SAGE), le principal groupe consultatif de l'OMS sur les vaccins, ainsi que la cruciale GAVI Alliance (anciennement l'Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination), qui est le deuxième plus grand donateur de l'OMS.
GAVI est un « partenariat public-privé » de Gates qui, pour l'essentiel, organise la vente en gros de vaccins par Big Pharma aux pays pauvres. Il y a trois mois à peine, le premier ministre britannique Boris Johnson a proclamé que « GAVI est la nouvelle OTAN ». Le siège mondial de GAVI se trouve à Genève. La Suisse a accordé à Gates une immunité diplomatique totale.
Peu de gens, à l'Est comme à l'Ouest, savent que c'est Gates qui, en 2017, a choisi le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, sans diplôme de médecine et avec des antécédents plutôt douteux.
Le Dr Vandana Shiva, la principale militante indienne des droits de l'homme (régulièrement accusée d'être simplement anti-vax), résume :
« Gates s'est emparé de l'OMS et l'a transformée en un instrument de pouvoir personnel qu'il manie dans le but cynique d'augmenter les profits pharmaceutiques. Il a détruit à lui seul l'infrastructure de la santé publique dans le monde. Il a privatisé nos systèmes de santé et nos systèmes alimentaires pour servir ses propres objectifs ». Jouer avec les pandémies
Le chapitre 12 du livre, intitulé « Jeux de germes », est sans doute le plus explosif, car il se concentre sur l'appareil américain d'armes biologiques et de biosécurité, avec une mention spéciale pour Robert Kadlec, qui pourrait revendiquer le leadership de la logique - contagieuse - selon laquelle les maladies infectieuses constituent une menace pour la sécurité nationale des États-Unis, nécessitant ainsi une réponse militarisée.
Le livre affirme que Kadlec, étroitement lié aux agences d'espionnage, à Big Pharma, au Pentagone et à divers entrepreneurs militaires, est également lié aux investissements de Fauci dans des expériences de « gain de fonction » capables de créer des superbactéries pandémiques.
Fauci nie fermement avoir promu de telles expériences. En 1998 déjà, Kadlec avait rédigé un document stratégique interne pour le Pentagone - mais pas pour Fauci - qui faisait la promotion du rôle des agents pathogènes pandémiques en tant qu'armes furtives ne laissant aucune empreinte digitale.
Depuis 2005, la DARPA, qui a inventé l'internet en construisant l'ARPANET en 1969, finance la recherche sur les armes biologiques. La DARPA - appelez-la l'investisseur providentiel du Pentagone - a également développé le GPS, les bombardiers furtifs, les satellites météorologiques, les drones sans pilote et ce prodige du combat qu'est le fusil M16.
Il est important de rappeler qu'en 2017, la DARPA a fait transiter 6,5 millions de dollars par l'EcoHealth Alliance de Peter Daszak pour financer des travaux sur le « gain de fonction » au laboratoire de Wuhan, en plus des expériences sur le gain de fonction menées à Fort Detrick. EcoHealth Alliance était l'organisation par laquelle Kadlec, Fauci et la DARPA ont financé ces expériences de gain de fonction.
Peu de gens savent que la DARPA a aussi financé la technologie clé du vaccin Moderna, depuis 2013.
RFK Jr relie consciencieusement les progrès des Jeux de Germes, en commençant par Dark Winter en 2001, qui mettait l'accent sur la volonté du Pentagone de développer des vaccins contre les armes biologiques (le nom de code a été inventé par Kadlec) ; l'attaque à l'anthrax trois semaines après le 11 septembre ; Atlantic Storm en 2003 et 2005, axé sur la réponse à une attaque terroriste libérant la variole ; Global Mercury 2003 ; et Lockstep en 2010, qui développait un scénario financé par la Fondation Rockefeller où nous trouvons cette perle :
Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont exercé leur autorité et imposé des règles et des restrictions hermétiques, allant du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de température corporelle à l'entrée d'espaces communs comme les gares et les supermarchés. Même après la disparition de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités se sont maintenus, voire intensifiés. Afin de se protéger de la propagation de problèmes de plus en plus globaux - des pandémies et du terrorisme transnational aux crises environnementales et à la pauvreté croissante - les dirigeants du monde entier ont pris une emprise plus ferme sur le pouvoir. RFK Jr dépeint un tableau dans lequel, à la mi-2017, la Fondation Rockefeller et les agences de renseignement américaines avaient pratiquement couronné Bill Gates en tant que principal financier de l'entreprise militaire/renseignements de simulation de pandémie.
C'est ainsi qu'est née la simulation MARS (Mountain Associated Respiratory Virus) lors du G20 en Allemagne en 2017. MARS concernait un nouveau virus respiratoire qui s'est propagé à partir de marchés très fréquentés dans une région montagneuse d'une nation non nommée qui ressemblait beaucoup à la Chine.
Cela devient de plus en plus curieux quand on apprend que les deux modérateurs de MARS étaient très proches de la Fondation Bill et Melinda Gates, et que l'un d'eux, David Heymann, siégeait avec le PDG de Moderna au conseil d'administration de la Fondation Mérieux USA. Il se trouve que BioMerieux est la société française qui a construit le laboratoire de Wuhan.
Big Pharma embrasse les services de renseignements occidentaux
Ensuite, il y a eu le SPARS 2017 au Johns Hopkins Center for Health Security. La Fondation Bill et Melinda Gates est l'un des principaux bailleurs de fonds de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health. SPARS 2017 a simulé une pandémie de coronavirus entre 2025 et 2028. Comme le note RFK Jr, « l'exercice s'est avéré être un prédicteur sinistrement précis de la pandémie de Covid-19 ».
En 2018, l'expert en armes biologiques Peter Daszak a été intronisé comme le connecteur clé par lequel Fauci, Kadlec, la DARPA et l'USAID - qui était autrefois une couverture de la CIA et qui relève désormais du Conseil de Sécurité nationale - ont transféré des subventions pour financer la recherche sur les gains de fonction, notamment au laboratoire de biosécurité de l'Institut de Virologie de Wuhan.
Crimson Contagion, supervisé par Kadlec après huit mois de planification, est arrivé en août 2019. Fauci était à bord de l'auto-décrit « exercice fonctionnel », représentant le NIH, aux côtés de Robert Redfield du CDC et de plusieurs membres du Conseil de Sécurité national. Le jeu de guerre s'est déroulé en secret, dans tout le pays. Le Rapport d'Après-Action de Crimson Contagion n'a été publié que sur demande de la FOIA.
La star du spectacle de la pandémie de Gates était sans aucun doute l'Événement 201 en octobre 2019, qui s'est tenu seulement 3 semaines avant que les services de renseignement américains puissent - ou non - soupçonner que le Covid-19 circulait à Wuhan. L'Événement 201 concernait une pandémie mondiale de coronavirus. RFK Jr soutient de manière convaincante que l'Événement 201 était aussi proche que possible d'une simulation « en temps réel ».
Le chapitre du livre intitulé « Jeux de Germes » amène le lecteur à reconnaître ce que les médias grand public ont tout simplement refusé de rapporter : comment l'implication omniprésente des services de renseignement américains (et britanniques) a une présence secrète - et pourtant dominante - dans l'ensemble de la réponse au Covid-19.
Un très bon exemple est le Wellcome Trust - la version britannique de la Fondation Bill et Melinda Gates - qui est une émanation de GlaxoSmith Kline, l'entreprise de Big Pharma. Elle incarne le mariage entre Big Pharma et les services secrets occidentaux.
La présidente du Wellcome Trust, de 2015 à 2020, était une ancienne directrice générale du MI5, Dame Eliza Manningham-Buller. Elle était également présidente de l'Imperial College depuis 2001. Le « Dr Fauci anglais », Neil Ferguson, à l'origine des tristement célèbres modèles erronés et mortels qui ont conduit à tous les enfermements, était un épidémiologiste travaillant pour le Wellcome Trust.
Ce ne sont là que quelques-unes des idées et des liens tissés dans le livre de RFK Jr. Dans le cadre du service public, l'ensemble de ce livre devrait être mis à la disposition du public du monde entier. Ces questions concernent l'ensemble de la planète, en particulier les pays du Sud.
Le lauréat du prix Nobel Luc Montaigner a noté que « tragiquement pour l'humanité, il y a beaucoup, beaucoup de contrevérités émanant de Fauci et de ses sbires ». Ce qui est encore plus tragique, c'est ce qui émane de ses maîtres.
Tout comme le débat sur le climat, ce sont les escrocs qui prétendent être « la science » alors même qu'ils la détruisent.
C'est un bouclier sacré pour repousser les questions auxquelles ils ne veulent pas répondre.
Rand Paul affirme que Fauci agit comme le «grand prêtre» de la science et que c'est «dangereux» The Daily Mail
"C'est en quelque sorte une façon de mettre fin à tout débat parce que si vous l'attaquez ou si vous avez un débat sur l'un de ses édits ou ses mandats, vous attaquez la science", a déclaré Paul mardi.
«Mais c’est une sorte d’idée très, très dangereuse. L'idée qu'un bureaucrate du gouvernement représente la science et qu'il est maintenant intouchable - que c'est un peu comme si vous contredisiez maintenant le grand prêtre de la science, si vous dites quelque chose.
Ted Cruz veut savoir : a-t-il ou non financé la recherche Gain of Function ?
Le sénateur Ted Cruz qualifie Fauci de « bureaucrate le plus dangereux de l'histoire de l'Amérique » Le courrier quotidien
[Ted] Cruz a déclaré à Sean Hannity: «Je dois dire que le Dr Fauci, je pense, est le bureaucrate le plus dangereux de l'histoire du pays. Il a parlé de nuire à la science, mais je ne pense pas que quiconque ait nui à la science ou à la crédibilité des médecins plus que le Dr Fauci car tout au long de cette pandémie, il a été malhonnête, il a été politique, il a été partisan.
Se référant à cette interview, Cruz a poursuivi: «(Fauci) a dit, je représente la science. Je suis scientifique. Je rigolais. C'est comme Louis XIV, le roi soleil en France disant "Je suis l'Etat". C'est cette illusion de grandeur.
Il y a une peine de cinq ans de prison pour avoir menti au Congrès.
Cruz a également souligné ce qu'il prétend être une violation d'une loi américaine – 18USC, Code 1001 – faite par Fauci lorsqu'il a déclaré lors d'une audience au Sénat en mai que les National Institutes of Health, dont il est directeur, ne finançaient pas le gain. de la recherche sur la fonction à l'Institut de virologie de Wuhan, le laboratoire chinois d'où le COVID a peut-être fui.
« Vous avez déclaré que nous ne financions pas la recherche sur le gain de fonction, le NIH a déclaré que nous financions la recherche sur le gain de fonction. Ils ne peuvent pas être vrais tous les deux. Et si vous mentez au Congrès, c'est un crime.
C'est pourquoi nous devons gagner le débat scientifique, pas seulement économique.
Pas mal : un médicament contre l'alcoolisme pourrait stopper un tiers des infections à Covid, certains décès aussi
December 1st, 2021
Juste un autre médicament bon marché, sûr et utilisé depuis longtemps que nos ministres de la Santé doivent ignorer
Une nouvelle étude a porté sur 944 000 vétérans américains qui ont subi un test Covid à un moment donné. Parmi ceux-ci, 2 200 étaient des alcooliques auxquels on a également prescrit du disulfirame. On pourrait s’attendre à ce que les alcooliques s’écrasent et brûlent contre Covid, mais parmi eux, étrangement, les infections étaient plus faibles que chez les non-alcooliques – 34% de moins. Et il n'y a pas eu de décès de Covid dans le 188 non plus. Malheureusement, le taux de mortalité chez les vétérinaires infectés qui ont attrapé Covid, mais n'utilisaient pas de disulfirame, était de 3%.
Ce n'est qu'une étude observationnelle très étrange, pas une étude randomisée. Le mécanisme n'est pas connu avec certitude, mais il est suggéré que le médicament interfère avec une enzyme dont le virus a besoin et peut réduire l'hyperinflammation. N'avons-nous pas déjà entendu cela?
L'ivermectine semble être meilleure, mais pour les personnes qui n'y ont pas accès, il existe au moins la possibilité de devenir alcoolique. Penser à la corruption à la FDA ou à la TGA vous aidera. Et si vous êtes déjà alcoolique, mieux vaut vous faire soigner maintenant avant qu'ils ne l'interdisent.
Il a évidemment besoin d'une étude approfondie. Gardez à l'esprit qu'il n'y avait que 188 vétérans alcooliques qui ont attrapé Covid. Mais encore, aucun d'entre eux n'est décédé, et nous nous attendrions à 5 ou 6 décès dans un groupe de 188 vétérinaires non alcooliques.
Vous vous demandez ce que le médicament pourrait accomplir dans un groupe de test sans alcool ?
Le message ici est que nous vivons dans une mer d'antiviraux, mais notre système de financement, la bureaucratie et notre profond marais médical nous gênent.
Étude : Un médicament utilisé pour le traitement de l'alcoolisme peut lutter contre le COVID-19 grave Par HealthDay News
Les enquêteurs ont découvert que les personnes prenant du disulfirame, connu sous le nom d'Antabuse, pour l'alcoolisme avaient un risque plus faible d'infection par COVID-19 et étaient moins susceptibles de mourir du coronavirus…
Écoutez la douce naïveté d'un professeur :
« C'est un excellent candidat pour un médicament réutilisé. Il pourrait facilement être mis à disposition dans le monde entier si nous pouvons prouver qu'il a un effet positif sur les patients atteints de COVID-19 », a déclaré Chris Sander, professeur de biologie cellulaire à la Harvard Medical School.
Ils ont noté que le disulfirame est prescrit depuis plus de 60 ans comme traitement de l'alcoolisme et qu'il est sûr, peu coûteux, familier aux médecins et largement utilisé dans de nombreux pays.
Et il pense que ce sont de bons arguments de vente. Si seulement ce médicament coûtait 3 000 $ la dose, à peine utile et entièrement breveté.
RÉFÉRENCE
Fillmore N, Bell S, Shen C, Nguyen V, La J, Dubreuil M, et al. (2021) L'utilisation du disulfirame est associée à un risque plus faible de COVID-19 : une étude de cohorte rétrospective. PLoS ONE 16(10) : e0259061. https://doi.org/10.1371/journal.pone.0259061
La pandémie de Make Believe et la variante OMICRON
Par Bill Sardi 1er décembre 2021
Sans raison valable, le monde craque pour la nouvelle de la mutation OMICRON du coronavirus Covid-19 même si les données sur son infectiosité et sa mortalité sont encore inconnues.
Le directeur de l'Institut national des maladies infectieuses a déclaré que la redoutable variante OMICRON de Covid-19, qui a été détectée pour la première fois en Afrique du Sud, est probable (mais pas réellement confirmée) aux États-Unis. La Maison Blanche, se protégeant contre les critiques politiques pour manquement à l'action, a restreint l'entrée des non-ressortissants de huit pays sud-africains.
Un rapport dans Nature Magazine indique que la variante OMICRON présente un grand nombre de mutations trouvées dans d'autres variantes et "elle semble se propager rapidement". (« Semble être. »
La Maison Blanche recommande des injections de rappel qui, selon elle, sont « sûres, gratuites, pratiques et approuvées », mais peut-être pas efficaces, du moins pas au fil du temps. En fait, les injections de rappel ne se sont pas avérées sûres ou efficaces. La Maison Blanche semble faire un informateur pour les fabricants de vaccins.
Comment la protection temporaire finit-elle par être efficace ?
CNBC, faisant état de la baisse de l'immunité des vaccins Covid-19, cite une étude publiée dans Science selon laquelle l'immunité contre un vaccin à protéine à pic d'ARN est passée de 86 % à 43 % de février à octobre et un autre vaccin à protéine à pic d'ARN de 89 % à 58 %, tandis qu'un vaccin vecteur adénovirus est passé de 86 % à 13 %. On dit que les injections de rappel sont efficaces à 95 %, mais ce n'est que tôt après la vaccination. C'est parce que les vaccins ne traitent que les protéines de pointe, pas le virus lui-même. ("Pas le virus lui-même." "Pas le virus lui-même." Répétition de l'auteur, afin que les lecteurs ne manquent pas ce point.)
Les mesures préventives sont une farce
L'Organisation mondiale de la santé déclare : « Il est rappelé aux individus de prendre des mesures pour réduire leur risque de COVID-19, y compris des mesures de santé publique et sociales éprouvées telles que le port de masques bien ajustés, l'hygiène des mains, l'éloignement physique, l'amélioration de la ventilation des espaces intérieurs, l'évitement des espaces surpeuplés et se faire vacciner. Comment appelle-t-on un président qui donne des ordres aux gens sans autorité ni justification ? (Je vais répondre pour vous : un tyranniste.)
La Floride, qui n'impose pas de masques faciaux ni de vaccination, signale les cas de Covid-19 par habitant les plus bas du pays.
Un examen scientifique des masques faciaux révèle qu'il s'agit d'une méthode totalement peu fiable pour ralentir ou prévenir la propagation des maladies. Même lorsque les masques faciaux n'étaient pas utilisés dans la salle d'opération avec des plaies ouvertes, aucune augmentation des infections n'a été notée.
Les pandémies disparaissent généralement
Les mutations ne sont ni nouvelles ni inattendues. Les coronavirus, comme les virus de la grippe, mutent rapidement et souvent ces mutations n'entraînent aucune pandémie en développement et s'éteignent.
Un rapport de Reuters indique: "la nouvelle variante a plus de 30 mutations dans la partie du virus que les vaccins actuels ciblent" et que les mutations d'Omicron "sont susceptibles de rendre certains traitements Covid-19, y compris certains anticorps fabriqués, inefficaces". Oh, donc les vaccins et les rappels sont/ne sont pas efficaces, c'est quoi ?
Attendez les médicaments anti-Covid
En tant que mise en place de nouveaux médicaments anti-Covid-19, le rapport de Reuters indique: "les pilules antivirales expérimentales (Paxlovid et Molnupiravir) ciblent les parties du virus qui ne sont pas modifiées dans Omicron".
Si les médicaments sont efficaces, il n'y aura aucune raison de poursuivre la vaccination de masse. Si peu de personnes se retrouvent avec des infections graves ou ont une infection mortelle, il serait préférable de simplement traiter les personnes gravement malades avec ces nouveaux médicaments et de sauter complètement les vaccins problématiques. Droit ?
Mais il y a plus caché derrière les rideaux
Le Dr Mike Hansen dit dans un rapport en ligne, dit que ces "mutations sont dans la protéine de pointe". Selon un rapport de Genomics, de telles mutations « impliquent » qu'elles sont plus pathogènes.
En novembre 2020, il y avait 83 475 séquences de gènes disponibles sur Partage de toutes les données sur la grippe, 29 903 qui étaient « le génome entier complet du Covid-19 séquencé le plus tôt de Wuhan, en Chine, qui a été utilisé à des fins de comparaison avec les souches ultérieures. Cependant, les chercheurs disent : « il existe une génération implacable de variantes génomiques pour TOUT virus à ARN. » Cependant, il s'agissait de séquences fabriquées en laboratoire, et non du virus mère ou sœur.
Impossible d'identifier une seule mutation corrélée à une transmission accrue
Vers la fin de 2020, des chercheurs britanniques ont publié un rapport dans Nature Communications concernant « les spéculations que Covid-19 pourrait évoluer vers une transmissibilité plus élevée ». Pourtant, parmi les 46 723 mutations identifiées à partir d'échantillons mondiaux, cette équipe de recherche a déclaré qu'elle ne pouvait "pas identifier une seule mutation récurrente associée de manière convaincante à une augmentation de la transmission".
De manière incongrue, en 2005, des chercheurs ont signalé que les coronavirus présentent « des génomes stables qui changent très peu avec le temps ». Que s'est-il passé depuis 2005 ? Quelqu'un ou quelque chose les fait maintenant muter rapidement.
Les mutations ont-elles encore de l'importance ?
Des informations effrayantes abondent sur les taux de gravité et de mortalité associés au virus Covid-19 nouvellement muté en circulation.
Cependant, un rapport dans Nature Magazine demande : « Les mutations de Covid-19 sont-elles encore importantes ? Le rapport a poursuivi en disant: "Les scientifiques ont cette fascination folle pour ces mutations."
La journaliste Ewen Callaway écrit : « Différentes souches de Covid-19 n’ont pas encore eu d’impact majeur sur le tribunal de la pandémie, mais elles pourraient le faire à l’avenir. » (« Pourrait dans le futur. » « Pourrait dans le futur. » Répété pour que les lecteurs ne négligent pas ce point.)
OK, nous allons imposer des verrouillages, des masques faciaux, etc., etc. sur une mutation peut-être/peut-être pas mortelle.
Callaway cite un autre scientifique pour dire : « Ce qui est irritant, ce sont les gens qui prennent leurs résultats dans des environnements très contrôlés, et disent que cela signifie quelque chose pour la pandémie. Cela, nous sommes si loin de le savoir. En d'autres termes, interpréter ces mutations est une arnaque dans le monde réel.
À propos de ces pseudo-virus
Et comprenez cela, personne ne surveille les mutations du virus lui-même, car il est potentiellement trop dangereux à expérimenter. Ainsi, les chercheurs utilisent des pseudo-virus inventés. Hé, peut-être que l'écrivain médical Jon Rapoport et le Dr Andrew Kaufman, qui n'arrêtent pas de claquer leurs moules à tarte sur le virus inexistant, ont raison ?!
Rapport de Nature Magazine : « Les pseudo-virus ne transportent que la protéine de pointe du coronavirus, dans la plupart des cas, et les expériences ne mesurent donc que la capacité de ces particules à pénétrer dans les cellules, pas les aspects de leurs effets à l'intérieur des cellules, et encore moins sur un organisme. Ils sont également dépourvus des trois autres mutations que portent presque tous les virus D614G. « L’essentiel, c’est qu’ils ne sont pas le virus ! dit le rapport. (Point d'exclamation ajouté.)
La redoutable mutation D614G
Le graphique ci-dessous montre la propagation de la mutation redoutée D614G.
- voir sur site -
Cependant, de nombreux scientifiques disent qu'il ne reste aucune preuve solide que le D614G a un effet significatif sur la propagation du virus, et les chercheurs ont encore plus de questions que de réponses sur les mutations du coronavirus, et personne n'a encore trouvé de changement dans le SRAS-CoV-2 qui devrait soulever des préoccupations de santé publique! Tout cela n'a-t-il été que de la propagande pour les fabricants de vaccins ?
D'autres données génomiques ont souligné cette stabilité — plus de 90 000 isolats ont été séquencés et rendus publics (voir www.gisaid.org). Deux virus Covid-19 collectés partout dans le monde diffèrent en moyenne de seulement 10 lettres d'ARN sur 29 903 !
Malgré le faible taux de mutation du virus, les chercheurs ont répertorié plus de 12 000 mutations dans les génomes du SRAS-CoV-2. Mais le rapport de Nature Magazine dit : « Les scientifiques peuvent repérer les mutations plus rapidement qu'ils ne peuvent les comprendre. De nombreuses mutations n'auront aucune conséquence sur la capacité du virus à se propager ou à provoquer une maladie, car elles NE MODIFIENT PAS LA FORME D'UNE PROTÉINE. »
Les mutations pourraient être bénéfiques
Mais un rapport publié sur Technology Networks déclare : « La mutation D614G provoque l'ouverture d'un rabat sur la pointe d'une pointe, permettant au virus d'infecter les cellules plus efficacement, mais créant également une voie vers le noyau vulnérable du virus. Alors, cette mutation est-elle bénéfique ou délétère ?
Le rapport poursuit en disant : « Avec un volet ouvert, il est plus facile pour les anticorps – comme ceux des vaccins actuellement testés – de s'infiltrer et de désactiver le virus. »
Virus non authentique
Mais il y a plus. Le rapport indique que «des travaux antérieurs reposaient cependant sur un virus pseudo-typé qui incluait la protéine de liaison au récepteur mais n'était pas authentique. (« Pas authentique. » « Pas authentique. » L'accent répétitif de l'auteur.).
Les chercheurs utilisaient la génétique inverse. Les chercheurs mettent en garde contre le fait que les résultats de la pathologie peuvent ne pas être vrais dans les études humaines. » Ils n'ont pas utilisé un vrai virus en laboratoire, seulement un virus manipulé. Est-ce que tu a reçu sa?
De nombreux chercheurs soupçonnent que si une mutation a aidé le virus à se propager plus rapidement, cela s'est probablement produit plus tôt, lorsque le virus a sauté pour la première fois chez l'homme ou a acquis la capacité de se déplacer efficacement d'une personne à une autre.
Il y avait évidemment plus de personnes sensibles lorsque la pandémie a commencé au début de 2020.
« À l’heure actuelle, sur la base des données gouvernementales les plus récentes, seuls environ trois Américains sur mille pourraient éventuellement transmettre Covid-19 à quelqu’un. En d'autres termes, près de 99,7% des personnes aux États-Unis ne représentent actuellement aucune menace pour quiconque de propager le virus. Et malgré le nombre important de cas, 24 cas sur 25 sont récupérés, ce qui signifie non seulement que ces personnes ne sont plus des menaces, mais aussi qu'elles ont désormais la forme d'immunité la plus forte contre Covid-19. »
«Dès le départ, les reportages des médias sur Covid-19 ont été calculés pour attiser la peur. Que ce soit par sensationnalisme pour les clics, le désir de façonner les résultats politiques ou la panique dans les salles de presse, les médias ont offert un régime implacable de terreur à propos de la pandémie avec peu ou pas de contexte.
L'idée que presque tout le monde se remet de ce virus, comme d'autres maladies, est rarement entrée dans les nouvelles, encore moins dans l'esprit de la population terrifiée. Au fur et à mesure que le nombre total de cas augmentait, le nombre de ceux qui s'étaient rétablis et qui étaient maintenant immunisés a discrètement augmenté. Les nombres de cas n'ont également jamais été placés dans le contexte d'un nombre encore plus grand : la population. »
Voici les estimations de l'indice sans menace de Sanders au 15 novembre :
Présumé récupéré : 45 265 569 Cas actifs : 1 118 866 Pourcentage du total des cas présumés guéris : 96,0 % Pourcentage du total des cas actifs : 2,4 % Pourcentage de la population totale des États-Unis avec des cas actifs de Covid : plus de 0,3% Pourcentage de la population américaine décédée avec ou de Covid-19 : plus de 0,2% Pourcentage de la population américaine ne présentant aucune menace de transmettre le COVID-19 : près de 99,7 %z. Cela signifie que si vous entrez dans un magasin COSTCO et qu'il compte 300 acheteurs, ou une église avec 500 fidèles, ou même un stade de football avec des milliers de fans, étant donné seulement un petit nombre avec lequel vous entrez réellement en contact, la chance que vous auriez être exposé au virus, et encore moins infecté, est nul.
J'ai l'idée distincte que toutes ces restrictions et mandats sans autorité légale ne sont que des exercices pour entraîner les Américains à se conformer, un peu comme les chiens sont entraînés. Ensuite, le poison est glissé dans le Kool-Aid.
Et maintenant, pour plus de terreur imaginaire d'Orson Welles et de la guerre des mondes.
Les inoculés sont devenus au fil des mois de véritables boites de Pétri !! On leur enfonce quelque chose dans le cul (ils en redemandent) et s'étonnent que suivant les clients qu'ils ou elles peuvent avoir ont des réactions différentes ! Bêh ouais ! Si à ta première passe il te file le sida, la seconde la variole, et la troisième la rage ou le cholèra, t'as tout un paquet de chance de muter et d'en chier de toutes les couleurs !
Par Paul Craig Roberts PaulCraigRoberts.org 1er décembre 2021
Les non vaccinés n'alimentent pas les variantes COVID
La souche Covid «super mutante» déclenche une intervention d'urgence
Ces « souches mutantes » ou variantes sont produites en réponse au vaccin Covid. En d'autres termes, Fauci, Big Pharma, l'establishment médical et des politiciens stupides ont déclenché un virus en constante évolution sur le monde. Le seul espoir est d'arrêter immédiatement toute vaccination contre le Covid.
Les vaccinés contre le Covid représentent une grave menace pour les non vaccinés, non seulement parce que les vaccinés « ont expulsé » le virus, transmettant ainsi le virus à d'autres, mais aussi parce que le vaccin permet au virus de muter afin d'échapper à une réponse immunitaire. L'immunité que le variant muté du virus obtient grâce au vaccin confère également au virus une protection contre le système immunitaire humain inné. En d'autres termes, les personnes qui n'ont pas endommagé leur système immunitaire inné en prenant le vaccin pourraient désormais être confrontées à une variante que leur système immunitaire est moins capable de repousser.
Ce que Fauci a fait en finançant la création du virus Covid-19 et en faisant passer le « vaccin » de Big Pharma à travers le processus d’utilisation d’urgence, c’est de créer un virus Frankenstein capable d’échapper aux réponses immunitaires.
Reste à voir à quel point cela s'avère mauvais pour l'humanité. Ce que nous savons, c'est que plus les gens sont vaccinés, pire ce sera. Toute vaccination Covid doit être arrêtée immédiatement avant que les dommages au système immunitaire ne rendent plus de personnes vulnérables aux maladies et à la mort.
Si nous ajoutons à l'équation les faits connus selon lesquels le vaccin lui-même provoque des effets secondaires nocifs et mortels et endommage le système immunitaire inné, rendant les vaccinés plus sensibles à tous les autres virus et maladies, le vaccin Covid est une menace pour la vie humaine sur le niveau des armes thermonucléaires.
Attribuer le « vaccin » Covid à une simple erreur de l'establishment médical semble tiré par les cheveux. Covid-19 n'était pas une menace qui justifiait le risque qu'un vaccin expérimental modifiant les gènes soit utilisé sur la masse de l'humanité. Cela ressemble vraiment à un programme visant à réduire la population humaine.
Si les nouvelles variantes s'avèrent plus infectieuses et plus mortelles, sur quoi un établissement médical incompétent ou corrompu les accusera-t-il ? Les non vaccinés continueront-ils d'être le bouc émissaire ? Les camps de concentration australiens vont-ils s'étendre à travers le monde ? Un nouveau virus sera-t-il responsable de l'échec du vaccin à ARNm ? Une libération de la variole est-elle dans notre avenir ?
Nous avons atteint le point où il est clair que nous pouvons avoir une confiance nulle dans l'établissement médical, un établissement qui refuse intentionnellement des traitements sûrs et efficaces connus aux patients mourants afin de maximiser ses revenus. Regarde ça.
À en juger par les taux élevés de vaccination dans les pays occidentaux, la majorité des populations ont subi un lavage de cerveau et considèrent le protocole de vaccination mortel comme une protection. Les médias ont systématiquement déformé la menace de Covid depuis le début et sont maintenant trop responsables d'effrayer un grand nombre de personnes par des blessures et la mort pour admettre les faits. Les médias continueront de mentir pour se protéger et protéger l'establishment médical.
Il semble que les gouvernements du « monde libre » ne seront pas satisfaits tant que des taux de vaccination de 100 % ne seront pas appliqués, que ce soit via la politique autrichienne consistant à confiner toute la population en résidence surveillée ou la politique australienne consistant à enfermer les gens dans des camps de concentration.
Il était une fois – il n'y a pas si longtemps – le Parti démocrate était au moins nominalement un parti populiste, ostensiblement opposé à la politique des élites, que le GOP était censé représenter. Existe-t-il une meilleure mesure de la façon dont ces rôles se sont inversés que la poussée de voitures électriques par des élitistes démocrates tels que le secrétaire aux transports de Biden Thing, Pete Buttigieg ?
Il conseille avec désinvolture aux Américains moyens qui ont du mal à payer 3,40 $ pour un gallon d'essence qui leur a coûté 2,20 $ juste avant que lui et Biden Thing ne prennent le contrôle de l'appareil gouvernemental d'un républicain pour y faire face en se débarrassant de leur voiture à essence. en faveur d'une voiture électrique.
« Ils n'auront plus jamais à se soucier des prix du gaz », dit-il.
Le problème, bien sûr, est que les voitures électriques coûtent encore plus cher que le carburant d'une voiture non électrique à 3,40 $ le gallon.
Ou même 5$.
Le moins cher d'entre eux - aucun n'étant abordable - autocollant pour environ 35 000 $ pour commencer et c'est pour la version avec la batterie faible qui peut parcourir environ 150 miles avant que sa batterie ne soit déchargée et nécessitera d'attendre au moins une demi-heure ou plus pour récupérer toute charge importante. Si vous avez besoin d'une voiture qui peut voyager plus que cela avant qu'elle ne voyage plus, le prix s'élève à 40 000 $ ou plus - et cela n'inclut pas les mises à niveau de câblage nécessaires à la maison pour pouvoir se recharger en moins d'une nuit .
Il ne prend pas non plus en compte le coût futur du remplacement de la batterie lorsqu'elle perd inévitablement sa capacité à se recharger.
Ces coûts sont bien entendu insignifiants si vous êtes branché. . . dans les poches de personnes prostrées, obligées de remettre une grande partie de leurs gains pour que vous puissiez toucher un salaire gouvernemental à six chiffres, comme le fait Buttigieg.
Qu'ils mangent des volts !
Il pourrait aussi bien le dire. Il le pense certainement. Le mépris insensible - ou est-ce simplement l'oubli ? – le Secretary Thing montre que la situation dans laquelle lui et les siens ont placé les Américains moyens n’est rien de moins qu’étonnante.
Et exaspérant.
L'insupportable culot élitiste de ces gens, qui imposent des souffrances tout à fait inutiles et tout à fait évitables - les prix de l'essence devraient baisser, comme ils l'étaient, avant que le Biden Thing ne s'empare de l'appareil gouvernemental - puis sourire et dire aux gens de juste dépenser plus d'argent qu'ils n'ont pas, ça vaut moins avec le passage de toutes les 24 heures à cause d'autres politiques qui peuvent être mises aux pieds de ces mêmes créatures, sur des choses qu'ils ne peuvent pas se permettre et qui leur coûtent plus que de l'argent.
Le temps du Secretaire Thing est précieux, alors que celui des petites gens – comme nous l’appelait autrefois un autre élitiste – ne l’est pas. Il n'a pas à planifier sa journée – ou ses déplacements – en fonction des limites des véhicules électriques. Il a la possibilité de prendre des photos dans un VE (comme son patron, le Biden Thing l'a récemment fait avec 75 000 $ pour démarrer GM EV) ou d'être emmené là où il doit être, en ce moment - peu importe à quelle distance - sans avoir attendre, pour n'importe quoi. Il existe des Chevrolet Suburban blindées et non électriques avec de gros moteurs V8 qui tournent toujours au ralenti. Des jets du gouvernement pour emmener le Secrétaire Thing à la prochaine séance de photos. Leurs réservoirs étaient toujours pleins grâce à l'approvisionnement illimité de l'argent des autres qui les finance et les alimente.
Peu le peuvent. Les véhicules électriques - même avec des commissions fiscales « généreuses » - coûtent toujours autant à l'achat qu'une voiture de luxe d'entrée de gamme non électrique, ce qui en fait un luxe pour les riches, qui ne craignent pas d'attendre - ou qui (comme c'est généralement le cas ) disposent d'une voiture de secours non électrique à portée de main pour ne pas avoir à attendre.
C'est pas sorcier. Mais c'est de la science politique. Nous pouvons voir quelles sont les priorités du parti qui n'est même plus purement populiste, qui est devenu élitiste comme le GOP ne l'a jamais été, même dans les représentations les plus exagérées du Parti démocrate. Ce qui est devenu la chose même à laquelle il s'est prétendument opposé, sans (apparemment) même s'en rendre compte.
Ces choses continuent de prononcer des slogans populistes – « reconstruisez mieux ! » – tout en poursuivant des politiques qui assurent l'asservissement de la population.
L'une des deux choses doit être vraie.
Premièrement, que les démocrates entendent serf la population ; deuxièmement, ils sont tellement déconnectés qu'ils ne perçoivent plus à quel point ils sont devenus élitistes, ne se mélangeant qu'entre eux et croyant ainsi que tout le monde est comme eux.
Peut se permettre de dépenser plus de 40 000 $ pour « économiser de l'argent » sur l'essence qui coûte 3,40 $ le gallon.
Cela pourrait aussi être les deux choses, tordues ensemble. Comme les orateurs du parti décrits dans le 1984 d'Orwell – qui pratiquaient quelque chose appelé Duckspeak, le bruit inconscient d'un animal qui était aussi – en même temps – consciemment craché des claptrap prononcés avec un sourire narquois cynique et une dérision consciente des rubes agressés par lui.
Tout ce que nous pouvons savoir avec certitude, c'est que s'il cancane comme un canard, c'en est probablement un.
Le récit selon lequel l'homme cuisine sa planète comme une dinde de Thanksgiving exagérée n'a survécu que parce que les médias l'ont soutenu. Mais nous sommes convaincus que l'histoire finira par s'effondrer. Les preuves ne favorisent pas les alarmistes climatiques.
Un exemple le plus récent qui devrait aider à faire pencher la balance vers la raison : les chercheurs ont découvert que le réchauffement de l'océan Arctique n'est pas un événement récent qui coïncide avec l'accélération industrielle d'après-guerre et la croissance de la propriété automobile. Elle a commencé au début du siècle précédent.
Selon une étude de l'Université de Cambridge, le réchauffement est arrivé "des décennies plus tôt que les enregistrements ne le suggèrent" et est "dû à l'eau plus chaude qui s'écoule dans le délicat écosystème polaire de l'océan Atlantique", explique Science Daily.
"Les résultats, rapportés dans la revue Science Advances, fournissent la première perspective historique sur l'atlantification de l'océan Arctique et révèlent une connexion avec l'Atlantique Nord qui est beaucoup plus forte qu'on ne le pensait auparavant."
En d'autres termes, il existe des influences climatiques et environnementales qui ne sont toujours pas entièrement comprises.
Pourtant, tout ce que nous entendons, c'est que nous devons faire confiance aux scientifiques, qui sont parvenus à un consensus selon lequel l'habitude de l'homme à brûler des combustibles fossiles entraîne un désastre planétaire. Aucune dissidence par rapport à cette déclaration n'est autorisée. Ceux qui refusent de prêter allégeance à l'histoire acceptée sont considérés comme indésirables.
C'est là où nous en sommes en 2021, et où nous en sommes depuis une vingtaine d'années - dans le monde des études climatiques, la science indésirable a dépassé l'enquête honnête et ouverte.
Bien qu'elles soient extrêmement importantes, les découvertes dans l'Arctique elles-mêmes ne sont qu'une partie de l'histoire. Ce qu'ils impliquent est également important. Les chercheurs ont conclu « que leurs résultats exposent également une faille possible dans les modèles climatiques, car ils ne reproduisent pas cette atlantification précoce au début du siècle dernier », explique Science Daily.
Possible ? Il y a beaucoup à suggérer que les modèles que le monde devrait s'incliner ont largement raté la cible.
« Lorsque l'histoire de la modélisation du climat vient d'être écrite dans un avenir lointain, l'histoire principale pourrait bien être la façon dont la réponse facile et calculable s'est avérée être la mauvaise, entraînant un réchauffement surestimé et de fausses craintes dues aux ) effet de serre », écrivait Robert L. Bradley Jr. il y a quelques mois pour l'American Institute for Economic Research.
Bradley fonde son observation sur les commentaires de Steven Koonin, qui n'est pas un agent républicain ni un shill d'entreprise, mais un physicien formé au Massachusetts Institute of Technology et à CalTech et nommé par Obama, qui a déclaré que parce que les résultats produits par les modèles « ne ressemblent généralement pas à grand-chose comme le système climatique que nous observons, les modélisateurs ajustent ensuite (« ajustent ») ces paramètres pour obtenir une meilleure correspondance avec certaines caractéristiques du système climatique réel.
La vérité enfouie est que les modèles sont à près d'un demi-degré Celsius. Ceux employés par les Nations Unies indiquent que la température mondiale moyenne aurait dû augmenter de 1,5 degré depuis 1850, mais les "meilleures estimations montrent" que l'augmentation a été d'un peu plus d'un degré.
En termes simples, « les modèles climatiques surchauffent ».
L'économiste David R. Henderson et Charles L. Hooper, membre invité de la Hoover Institution, déclarent que parce que "nous n'avons pratiquement aucune capacité à mener des expériences contrôlées, telles que l'augmentation et la diminution des niveaux de gaz carbonique dans l'atmosphère et la mesure du changement de température qui en résulte", les chercheurs "construisent élaborer des modèles informatiques qui utilisent la physique pour calculer comment l'énergie entre, traverse et sort de la terre, de l'eau et de l'atmosphère de notre planète.
Les modèles, par conséquent, "ont de sérieuses limitations qui limitent considérablement leur valeur pour faire des prédictions et orienter les politiques". Les données qui y sont introduites manquent tellement de valeur que nous devrions être sceptiques quant à tout ce qu'ils crachent.
La réalité finira par rattraper l'hyperbole climatique. Et bientôt, nous l'espérons. Les médias et les politiciens et militants attisant et perpétuant la peur sont en train de faire justice.
(...) Selon une étude de l'Université de Cambridge, le réchauffement est arrivé "des décennies plus tôt que les enregistrements ne le suggèrent" et est "dû à l'eau plus chaude qui s'écoule dans le délicat écosystème polaire de l'océan Atlantique", explique Science Daily. (...)
Mais !!! Qu'est-ce qu'ils apprennent dans les 'universités britanniques' ??! Ils apprennent à être CON !
Ils viendraient de s'apercevoir qu'il y aurait des fuites magmatiques sous les glaces des pôles !! Çà alors !! Bêh dis-donc ! S'ils doivent attendre d'aller à l''université' pour apprendre çà... moi au cm1 je savais déjà ! Des 'fuites' appelées des sources chaudes IL Y EN A DES MILLIONS (voire des milliards) qui tapissent les planchers maritimes & océaniques !! Ce sont ces mêmes sources chaudes qui réchauffent les courants (lames de fonds) et qui apportent donc des températures douces çà et là en Côte d'Azur ou côtes bretonnes pour ne citer que celles-là.
Les prix de l'électricité finlandais sont multipliés par 5 en raison d'un temps anormalement froid et d'une aggravation de la crise énergétique
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 01 DEC 2021 - 02:45
La Finlande a succombé à la crise énergétique alors que les ménages et les entreprises ont payé au début de la semaine 422 € par MWh (taxes comprises), soit environ cinq fois plus qu'il y a un an, selon les données de la bourse d'électricité Nord Pool.
La nation d'Europe du Nord bordant la Suède, la Norvège et la Russie est dépendante de l'énergie, ce qui signifie qu'elle doit importer des volumes élevés de combustibles fossiles, tels que le pétrole et le gaz naturel. Les sources nationales de production d'électricité comprennent les centrales thermiques, nucléaires et hydroélectriques.
Des experts en énergie ont déclaré à RT News que la flambée des prix du gaz naturel en Europe centrale était attribuée à la flambée des prix de l'électricité. Les experts ont mis en garde contre très peu de soulagement pour les ménages et les entreprises finlandais qui pourraient connaître des coûts d'électricité accrus jusqu'à l'été prochain.
La remontée massive des prix du gaz en Europe ne s'atténuera pas de sitôt. Mardi, le prix du gaz au hub néerlandais TTF, le prix du gaz de référence pour l'Europe, a grimpé à 100 € par MWh.
- voir graphique sur site -
"Selon nos prévisions, le prix de l'électricité restera élevé en hiver mais commencera à baisser au printemps. Il est probable qu'il ne sera pas aussi élevé qu'aujourd'hui, mais le niveau global reste élevé", a déclaré la compagnie d'électricité finlandaise Fingrid. a déclaré le porte-parole Mikko Heikkila.
"La Finlande est très dépendante des importations. En hiver, nous avons besoin de l'énergie des pays voisins, mais si le marché de l'électricité et la production nationale d'électricité fonctionnent normalement, l'hiver prochain, il y aura suffisamment d'électricité", a déclaré Heikkila.
La flambée des prix de l'électricité survient alors que la température moyenne du pays restera bien en deçà d'une ligne de tendance sur 30 ans jusqu'au 15 décembre.
- voir graphique sur site -
Les degrés-jours de chauffage du pays montrent que la demande d'électricité continuera d'augmenter car les températures restent bien inférieures à la moyenne.
Le russe Gazprom PJSC, principal fournisseur de gaz naturel en Europe, a averti lundi que les prix resteraient élevés dans les prochains mois, offrant très peu de soulagement aux ménages qui chauffent leur maison au gaz et aux centrales électriques qui produisent de l'énergie avec. Avec l'hiver de l'hémisphère nord dans quelques semaines, il semble que la crise énergétique de l'Europe va s'aggraver.
La flambée de l'inflation énergétique et la hausse des prix des denrées alimentaires sont à l'origine d'un « hiver de mécontentement » dans toute l'Europe. Méfiez-vous des politiciens de l'UE.
Les coûts de l'énergie pourraient augmenter de 50 % en Pennsylvanie à partir de ce mois
mardi 30 novembre 2021 par : Cassie B.
(Natural News) La Pennsylvania Public Utility Commission (PUC) a averti que les Pennsylvaniens pourraient être touchés par des factures d'énergie jusqu'à 50 % plus élevées à partir de mercredi.
Dans un communiqué de presse du PUC, ils ont expliqué : « La plupart des services publics d'électricité réglementés de Pennsylvanie ajustent le prix qu'ils facturent pour la partie production des factures des clients le 1er décembre pour les clients non commerçants, également connu sous le nom de « Prix à comparer » ( CTP)."
Le PTC représente environ la moitié de la facture totale des services publics de la plupart des clients, bien qu'il dépende également des niveaux d'utilisation et du fournisseur de services publics.
À Pike County Light & Power, les coûts de l'énergie devraient augmenter de 50,2 % à partir du 1er décembre, passant de 6,5234 cents par kWh à 9,796 cents par kWh. Pendant ce temps, la société de distribution d'électricité PPL augmente son PTC pour tous les clients résidentiels de 26 %, passant de 7,544 cents par kWh à 9,502 cents par kWh ; cela équivaut à une augmentation d'environ 40 $ par mois pour les clients du chauffage électrique qui utilisent 2000 kilowattheures par mois. Pendant ce temps, Citizens Electric instituera une hausse de 13,9% du PTC.
Le président de la PUC a averti que l'arrivée de l'hiver et les changements de prix signifient qu'il est temps pour les gens de commencer à examiner de plus près leurs options énergétiques et à chercher des moyens d'économiser sur leurs factures de services publics dans les mois à venir. À cette fin, ils ont encouragé les gens à examiner attentivement leurs factures d'électricité et à comprendre comment leurs prix de l'énergie sont structurés, en plus d'en apprendre davantage sur la conservation de l'énergie.
Quelle est la cause de la hausse des prix de l'énergie ?
Un porte-parole de la PUC a imputé la situation aux « forces du marché ». Les prix du carburant pour les groupes électrogènes augmentent en raison du prix du gaz naturel, ce qui entraîne une augmentation des prix de l'électricité sur les marchés de gros de l'électricité.
La nouvelle survient juste un mois après que l'Energy Information Administration des États-Unis a publié un rapport qui prévoyait que le pays connaîtrait la plus forte augmentation des coûts de chauffage en hiver depuis 2008.
Dans une interview avec Fox News, le directeur de la politique environnementale du Mackinac Center for Public Policy, Jason Hayes, a reproché à l'administration Biden ses politiques énergétiques. Il a déclaré qu'il ne pouvait pas comprendre pourquoi certains dirigeants occidentaux n'avaient pas reconnu l'importance de garantir à la population une énergie et une électricité fiables et abordables.
« Il semble que les seuls pays qui comprennent que nous avons besoin d'une énergie distribuable fiable et abordable sont la Chine et la Russie. Et ils sont les seuls à produire de l'énergie et ils sont plus qu'heureux de garder cette énergie en otage pour le reste du monde », a-t-il déclaré.
Au cours de ses premières heures au pouvoir, Biden a annulé le pipeline Keystone XL qui aurait transporté le pétrole du Canada vers les États-Unis et a suspendu les baux pour le pétrole et le gaz naturel sur les terres fédérales. Plusieurs États ont déposé une plainte pour bloquer la pause, et jusqu'à présent, les tribunaux se sont rangés de leur côté. Biden envisage également de fermer le pipeline de la canalisation 5 dans le Michigan, qui fournit de l'énergie à la péninsule supérieure de l'État.
Comment les Pennsylvaniens peuvent économiser de l'argent sur l'électricité cet hiver Le coût du chauffage de votre maison représente environ un tiers d'une facture de services publics typique. Par conséquent, trouver d'autres moyens de rester au chaud, comme baisser le chauffage et s'habiller plus chaudement à la maison, peut faire une différence significative.
De plus, faire inspecter votre fournaise au début de l'hiver peut vous aider à vous assurer qu'elle fonctionne à plein rendement. Remplacez vos filtres tous les mois et gardez les plinthes chauffantes et les registres d'air chaud propres et non obstrués. Vous devriez également réduire votre utilisation de ventilateurs de cuisine et de salle de bain, car ils peuvent aspirer l'air chaud de votre maison.
Selon The Balance, régler votre thermostat à 7 à 10 degrés de moins que d'habitude pendant huit heures par jour peut vous faire économiser jusqu'à 10 % sur vos factures de chauffage. Vous devez également débrancher les appareils électroniques et les chargeurs rarement utilisés lorsqu'ils ne sont pas utilisés. Assurez-vous de vérifier votre maison pour les fuites d'air et les courants d'air, et utilisez des coupe-froid ou du calfeutrage pour sceller les espaces. Il est particulièrement important de trouver des moyens d'économiser de l'énergie, car les Américains continuent de faire face à la hausse des prix et à l'inflation.
En Grèce, les non-vaccinés devront payer 100 euros au fisc !
RépondreSupprimermardi 30 novembre 2021
Le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis a annoncé la vaccination obligatoire contre la Covid-19 pour tous les Grecs de plus de 60 ans avant une réunion du cabinet à Athènes mardi, dans le but de lutter contre la nouvelle menace du variant omicron avant la saison des fêtes.
Ceux qui refusent de se faire vacciner devront payer une amende mensuelle de 100 euros (114 $) pour chaque mois où ils ne se font pas piquer, à partir du 16 janvier, selon Mitsotakis. La sanction sera imposée par le fisc directement à ceux qui n'ont pas été vaccinés et les fonds collectés seront reversés aux hôpitaux grecs luttant contre la pandémie.
https://www.bloombergquint.com/politics/greece-to-impose-monthly-fines-on-unvaccinated-people-over-60
Vous vouliez le nouvel ordre mondial le voilà : le traité pandémique de l'OMS en discussion
RépondreSupprimermardi 30 novembre 2021
La crise du coronavirus a permis d'accélérer le mouvement de globalisation, qui la précédait. Mais les instruments politico-juridiques ne sont plus adaptés à la nouvelle situation : si les États, qui résistaient encore, ont failli, le défaut de base légale est flagrant et l'installation d'une gouvernance externalisée des peuples et des pays dans la durée ne peut entrer dans les cadres restreints des législations d'urgence et des traités existants. Au son de "Plus jamais ça", comme s'il s'agissait d'une guerre sainte - qui ne soit menée justement contre nous, l' ONU et l'OMS appellent à l'adoption rapide d'un Traité pandémique, désarmant les Etats, renforçant justement les pouvoirs et "l'indépendance" (de qui ?) de l'OMS. Il n'est plus question de droits, encore moins fondamentaux, ni d'Etats souverains, mais d'une étrange "sécurité", totale et totalitaire, réduisant les Etats à des instruments répressifs dépossédés de tout pouvoir réel et les hommes à des cellules en danger de contamination, qu'il faut sauver d'elles-mêmes. Puisque tant qu'il restera une cellule contaminée, le monde sera en danger ...
L'OMS se réunit en urgence en ce moment pour trois jours à Genève, il faut dire qu'il y a vraiment urgence, cela fait deux ans que ça dure, que le virus-roi varie et évolue tranquillement, que les populations sont de plus en plus écrasées et les Etats de plus en plus discrédités. Les gens s'habituent au Covid, la résistance s'intensifie et se propage, parallèlement à la radicalisation des mesures adoptées contre les gens, évidemment "pour leur bien" et puisque ça ne marche pas (sanitairement) depuis deux ans, il faut continuer.
Comme le déclare le directeur de l'OMS : "Si nous avons compris quelque chose, c'est que pas une seule région, pas un seul Etat, pas une seule société et pas un seul individu ne sera en sécurité tant que nous ne garantissons la sécurité de tous et de chacun."
Comment l'humanité a-t-elle pu vivre avant, quand il y avait des pandémies qui se propageaient sur différents continents, sans pour autant arrêter la vie de tous, tant que la sécurité de chacun sera garantie ? Par ailleurs, nous ne savons toujours pas ce que signifie cette "sécurité" : nous propose-t-on la vie éternelle ou la prison à vie ?
Mais quelle chance, justement super Omicron est arrivé et le monde n'est pas prêt à l'accueillir - aïe aïe aïe, il faut faire quelque chose. Et, Ô miracle, la réponse est déjà là, le Traité pandémique de l'ONU arrive dans vos assiettes.
La Parisien nous rejoue une mauvaise parodie de la der des der avec "Plus jamais ça!", reprenant sans même sourire les paroles caricaturales et déplacées du directeur de l'OMS.
« Tout cela se reproduira à moins que vous, les nations du monde, ne vous unissiez pour dire d’une seule voix : plus jamais ça ! », a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, à l’ouverture de la réunion de l’Assemblée mondiale de la santé.
Donc, cet organe décisionnel s'est réuni en toute urgence pour quoi ? Pour adopter le Traité pandémique, que vous trouverez ici, dont l'intérêt est de sortir la gouvernance des limites posées par les textes en vigueur, qui ne sont pourtant pas si contraignantes que cela, comme l'expérience le montre.
Plusieurs éléments apparaissent. Il s'agit notamment de renforcer le travail sur les données génétiques, de donner un fondement à la limitation globale des droits de l'homme, au transfert des compétences étatiques vers l'OMS, etc. L'intérêt de l'adoption d'un Traité, et non pas d'une modification du règlement sanitaire, est politique et juridique : le fait de la ratification au plus haut niveau va impliquer les décideurs politiques dans les pays et juridiquement, le traité va entrer dans l'ordre juridique national. Ce traité doit également être global, car il doit non seulement interagir avec les autres instruments juridiques internationaux déjà existants, mais il doit en simplifier les mécanismes et élargir leur champ d'action. Surtout, il permet de se réapproprier la définition de la pandémie, qui va permettre de lancer ces mécanismes de gouvernance.
RépondreSupprimerDans la négociation de ce traité, les ONG et les entreprises, notamment pharmaceutiques, sont considérées, en plus des "partenaires" qualifiés de scientifiques, qui font la comm covidienne, comme des sujets de premier choix. La question des conflits d'intérêt est abordée pour être immédiatement écartée, puisqu'ils détiennent des "informations" importantes ...
Même s'il va falloir du temps pour ratifier ce traité, il est attendu qu'il provoque un effet politique de mobilisation dans les pays et donc, de facto, des effets avant même son entrée formelle en vigueur. Ces mécanismes s'appuient évidemment sur le principe de loyauté internationale, ce qui effectivement fonctionne très bien au niveau des élites dirigeantes, quel que soit le pays.
Si la forme et la question du financement sont très développées dans le projet publié, la question du contenu est touchée de manière assez floue, car c'est bien le plus sensible. L'on peut ainsi lire :
"Les mesures proposées jusqu'à présent sous différentes formes et forums visent à combler à la fois les lacunes et les faiblesses du cadre normatif international actuel pour la PPR. Les propositions couvrent un large éventail de questions, depuis la notification, le partage d'informations et les voyages internationaux et les mesures liées au commerce - domaines déjà couverts (mais largement considérés comme inadéquats) dans le RSI (2005), à la réduction du risque de pandémie de propagation des zoonoses et la refonte du financement mondial de la PPR - des domaines où existent certaines formes de coopération internationale, mais pas encore de règles contraignantes.
La question du partage rapide et équitable des agents pathogènes et des données de séquençage génétique – non couverte par le RSI (2005) mais étroitement liée au Protocole de Nagoya – a suscité une attention considérable. Des appels ont également été lancés pour établir une interface science-politique pour la PPR, par analogie avec le GIEC.Des examens indépendants ont recommandé d'adopter une formulation plus pratique des mesures de voyage actuellement dans le RSI (2005), et de revoir la coordination internationale des restrictions de voyage et aux frontières en vue des prochaines pandémies.
La nécessité de règles de conformité et de responsabilité a été mentionnée dans la plupart des examens. Les avis comprenaient également la nécessité pour le traité de définir le terme « pandémie », actuellement absent du RSI (2005).
RépondreSupprimerEn ce qui concerne les questions transversales, des points ont été soulevés concernant les droits de l'homme, les dimensions intersectorielles et de développement d'un futur traité. Les liens avec les politiques environnementales et One Health ont été constamment soulignés. Les propositions concernant la fourniture et l'accès équitable aux vaccins et autres produits et technologies essentiels ont souligné les liens avec les règles du commerce international et de la propriété intellectuelle. Les propositions faisaient également référence à une stratégie globale visant à renforcer les capacités de l'OMS en matière de PPR.
Les problèmes soulevés moins souvent, mais néanmoins attirant l'attention, incluent la préparation des systèmes de santé au-delà des capacités de santé publique couvertes par le RSI (2005), et les problèmes liés à la réponse sociale et économique pour soutenir l'action et les résultats en matière de santé. (...) Une proposition a également été faite pour repenser le paradigme de la sécurité sanitaire mondiale afin de se concentrer sur « la sécurité des personnes et non des frontières ».
Si les formulations sont vagues, l'ONU donne le ton : il faut renforcer les pouvoirs de l'OMS sur les politiques nationales et sur les hommes. Sans oublier, évidemment, une hausse du financement. Dans cette nouvelle vision de la gouvernance globale, l'OMS doit être, je cite, "plus indépendante", la question étant de savoir de qui ...
Mais il se trouve des voix pour affirmer qu'un traité, c'est trop long, il faut encore aller plus vite dans le renoncement de la gouvernance nationale et du transfert des compétences. Evidemment, tel est le cas des Etats-Unis, puisque à la fin, ils sont les bénéficiaires politiques directs de ce mouvement. Ce qui en fait ressemble à une sorte de chantage : soit vous renoncer définitivement à ce qu'il vous reste de souveraineté et adoptez un traité en ce sens, soit, de toute manière, nous prendrons ces compétences. Et il n'y a aucune raison d'attendre la moindre résistance des élites gouvernantes.
PS : Le ministère russe des Affaires étrangères a annoncé que les préparations d'une prochaine rencontre en réel entre Biden et Poutine étaient bien avancées.
https://russiepolitics.blogspot.com/2021/11/vous-vouliez-le-nouvel-ordre-mondial-le.html
Pas d'épicerie ni de carburant pour ceux qui ne sont pas vaccinés, selon l'administration d'Aurangaban (Inde)
RépondreSupprimerlundi 29 novembre 2021
L'administration du district d'Aurangabad a ordonné aux magasins de rationnement et aux pompes à essence de ne fournir des produits d'épicerie et du carburant qu'aux personnes qui ont pris au moins une dose du vaccin Covid-19, une mesure destinée à accélérer la vaccination dans le district de Marathwada.
Dans l'ordre publié mardi, le collecteur du district d'Aurangabad, Sunil Chavan, a ordonné aux autorités des magasins à prix équitable et des pompes à essence de vérifier les certificats de vaccination des clients. Selon l'arrêté, seuls les citoyens ayant pris au moins une dose du vaccin contre le Covid-19 pourront faire leurs courses dans les magasins de rationnement, pour acheter des bonbonnes de gaz et pour se procurer le carburant dans les pompes à essence.
Si l'ordre n'est pas respecté, l'administration prendra des mesures contre les personnes concernées, en vertu de la loi sur la gestion des catastrophes et de la loi sur les maladies épidémiques, a déclaré Chavan.
https://www.hindustantimes.com/india-news/no-groceries-fuel-for-those-not-vaccinated-says-aurangabad-administration-101636543580218.html
https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/11/pas-depicerie-ni-de-carburant-pour-ceux.html
Comment la Californie a « résolu » son empilement record de navires : il les a déplacés hors de vue, au-dessus de l'horizon
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 29 NOV 2021 - 19:00
Par Greg Miller de FreightWaves,
D'une certaine manière, le nombre de porte-conteneurs bloqués en attente au large de Los Angeles et de Long Beach a chuté. L'embouteillage a atteint un pic de 86 porte-conteneurs au large le 16 novembre, selon les données du Marine Exchange of Southern California. Une semaine plus tard, il n'était plus que de 61, le plus bas depuis début octobre.
Problème résolu ?
- voir graphique sur site -
Loin de là.
Les porte-conteneurs en attente sont toujours là, plus que jamais. C'est juste que d'autres sont à l'horizon, où vous ne pouvez pas les voir, grâce à la mise en œuvre réussie d'un nouveau système de file d'attente qui a commencé la semaine dernière.
"Le flux global de porte-conteneurs et de sauvegarde globale n'a pas changé", a reconnu le directeur exécutif de Marine Exchange of Southern California, Kip Louttit.
Si vous incluez tous les porte-conteneurs physiquement au mouillage mardi au large de LA/LB, ainsi que les navires en attente à moins de 40 milles des ports, qui étaient comptés dans le système de file d'attente précédent, ainsi que tous les navires en attente plus loin qui sont maintenant techniquement dans la file d'attente dans le cadre du nouveau système, 93 porte-conteneurs attendaient mardi des postes d'amarrage à Los Angeles/Long Beach, un nouveau record historique.
- voir graphique sur site -
Graphique : expéditeur américain basé sur les données du Marine Exchange of Southern California. Compté selon l'ancien système : navires signalés par le Marine Exchange comprenant le nombre à l'ancre plus le flânage dans les 40 milles. Compté selon le nouveau système : expédié avec une heure d'arrivée calculée avant l'heure de la liste de file d'attente principale de ce jour.
Nouveau plan de file d'attente rapidement adopté
Le nouveau système de file d'attente a été conçu pour réduire considérablement le nombre de porte-conteneurs en attente juste au large de Los Angeles/Long Beach, dans le but déclaré de réduire les émissions nocives et d'améliorer la sécurité pendant les mois d'hiver en espaçant les navires.
Un point de vue plus cynique a émergé : un objectif non déclaré est d'effacer une séance de photos politiquement dérangeante – des images accrocheuses de porte-conteneurs inactifs s'étirant au loin.
Le nouveau plan est entièrement volontaire et encourage les navires à opérer en dehors d'une zone de sécurité et de qualité de l'air (SAQA) qui s'étend sur 150 milles à l'ouest des ports et à 50 milles au nord et au sud. Les navires n'ont pas à demander l'autorisation d'entrer dans la SAQA et sont encouragés à entrer dans la SAQA s'ils ont besoin de faire le plein, ont des problèmes de sécurité ou ont une affectation à quai dans les 72 heures. D'ici la fin de l'année, l'espoir est de réduire le nombre de navires aux mouillages d'un maximum de 55 à 25-35 et de réduire le nombre de navires errant dans la SAQA à près de zéro.
Au cours des 100 dernières années, les porte-conteneurs ont été placés dans la file d'attente LA/LB lorsqu'ils ont atteint la ligne de 20 milles des ports. Mais compte tenu des goulots d'étranglement historiques sur terre en 2021, ce protocole du premier arrivé, premier servi a rassemblé un nombre sans précédent de navires dans une petite zone.
Dans le cadre du nouveau système, les porte-conteneurs participants reçoivent une heure d'arrivée calculée (CTA) par le Pacific Maritime Monitoring System (PacMMS) après avoir quitté leur dernier port d'escale, que ce soit Shanghai ou Oakland. Ils peuvent alors économiser du carburant en se déplaçant lentement vers LA/LB, sachant que leur place dans la file est réservée en fonction de leur CTA, et attendre en dehors de la SAQA.
RépondreSupprimerLes transporteurs maritimes ont facilement accepté le nouveau protocole. Lundi, 109 porte-conteneurs étaient déjà inscrits au PacMMS. Chaque jour qui passe, de plus en plus de porte-conteneurs arrivent d'Asie et s'éloignent de LA/LB. Il y a maintenant des navires à destination de LA/LB dans des circuits d'attente au sud d'Ensenada, au Mexique, au nord de San Francisco et à plus de 400 milles dans le Pacifique.
- voir sur site -
Navires inscrits dans le PacMMS à partir de lundi et leurs emplacements. Carte : Échange maritime du sud de la Californie
Les problèmes à terre maintiennent les attentes au large des côtes élevées
Le nouveau protocole de mise en file d'attente complique les comparaisons historiques sur l'ampleur de l'embouteillage des porte-conteneurs en Californie du Sud.
La meilleure approximation de pommes à pommes est de prendre le nombre de navires à l'ancre et flânant dans les zones d'attente héritées à moins de 40 milles des ports, tel que rapporté par le Marine Exchange, puis d'ajouter le nombre de navires qui ont un CTA avant le date et heure auxquelles la liste de file d'attente principale quotidienne de la bourse maritime a été générée.
En d'autres termes, ajoutez les navires qui auraient hypothétiquement attendu juste au large de LA/LB, s'ils n'avaient pas intentionnellement ralenti ou choisi d'attendre ailleurs le long de la côte du Pacifique.
Mardi, il y avait 36 porte-conteneurs au mouillage et 25 flânant dans un rayon de 40 milles (le total de flânage est la moitié de ce qu'il était la semaine précédente). Cependant, il y avait 32 porte-conteneurs supplémentaires avec des CTA avant l'heure du rapport de la liste principale des files d'attente de mardi, ce qui porte le total «virtuel» à un record de 93.
Les chiffres confirment la rapidité avec laquelle le nouveau plan de files d'attente est accepté et soulignent également que l'embouteillage au large ne s'améliore toujours pas.
En raison de l'agitation logistique à terre - dans les terminaux, avec les camions, le rail et les entrepôts - le temps d'attente pour se rendre du mouillage à un poste d'amarrage à Los Angeles continue d'augmenter. Mardi, le temps d'attente a atteint un nouveau record historique : 18,6 jours.
https://www.zerohedge.com/economics/how-california-solved-its-record-ship-pileup-it-moved-them-out-sight-over-horizon
Les Allemands (les Verts) ont perdu la raison
RépondreSupprimerle 29 novembre 2021
Avant la fin de cette année 2021 l’Allemagne mettra à l’arrêt définitif, comme cela était prévu, les installations de production électrique nucléaire de Brokdorf, de Grohnde et de Gundremmingen. Il manquera donc au réseau électrique 4050 MW de puissance au cours de l’hiver qui vient. C’est une pure folie. Afin d’éviter un black-out l’Allemagne devra mettre aussi à l’arrêt toutes les industries fortes consommatrices d’électricité, depuis la chimie jusqu’aux constructions automobiles. En effet, s’il n’y a pas de vent et que les panneaux solaires sont recouverts de neige autant dire que des régions entières de ce pays le plus prospère d’Europe se retrouveront alternativement dans le noir. Qu’à cela ne tienne les Verts, maintenant bien assis au gouvernement, ne lâcheront rien. Avec Corinne Le page les verts allemands ont convaincu leurs homologues français d’obtenir la fermeture de Fessenheim sous le fallacieux prétexte que cette installation était trop près de l’Allemagne. On assiste au dénouement de cette campagne anti-nucléaire allemande. À la fin de 2022, quoiqu’il arrive, les trois dernières usines seront fermées, encore 4000 MW de capacité de production annulés.
La situation de l’Allemagne va donc être extrêmement tendue durant l’hiver à venir. Les tergiversations juridiques pour l’autorisation du fonctionnement du gazoduc Nord-Stream-2 vont inévitablement conduire à un désastre. Les Verts veulent annihiler toute activité industrielle dans leur pays et par conséquent toute vie et toute prospérité. Et la contagiosité de ce parti de fous est remarquable puisque le Ministre allemand de la santé Jens Spahn préconise un confinement d’une année de tous les non-vaccinés. Les Allemands vont-ils rouvrir des camps de concentration. Ils en seraient bien capables …
Note. Le réacteur de Brokdorf mis en service en 1986 est un PWR de 1410 MW, celui de Grohnde est un PWR de 1360 MW mis en service en 1985 et celui de Gunderemmingen est un BWR de 1280 MW mis en service en 1988.
Inspiré d’un billet de Pierre Gosselin paru sur son site notrickszone
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/11/29/les-allemands-les-verts-ont-perdu-la-raison/
Chaque année (hiver) c'est la France qui vend de l'électricité NUCLÉAIRE (trop près de la France) aux allemands et aux suisses.
Supprimer« Un désastre lent se joue » alors que l'Allemagne s'apprête à fermer 8,5 GW de capacité nucléaire de base
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 30 NOV 2021 - 03:30
Rédigé par P Gosselin via NoTricksZone.com,
Sur Facebook, l'observateur danois Peter Bardland présente un graphique et un commentaire sur la prochaine sortie rapide de l'énergie nucléaire en Allemagne.
D'ici la fin de 2022, le gouvernement aura fermé 6 autres centrales d'une capacité totale (charge de base) de 8,54 gigawatts !
- voir carte sur site -
Graphique : Présenté par Peter Bardland
Hier, nous avons commenté ici que l'Allemagne fermera en fait toutes les sources d'énergie de base, ce qui a ironiquement empêché le pays de s'éteindre en 2021, car l'énergie éolienne et solaire n'a pas fonctionné comme prévu.
« Un désastre qui se joue »… « assez fou »
Bardland écrit :
Dans un peu plus d'un mois, l'Allemagne fermera 3 de ses centrales nucléaires les plus récentes et les meilleures et plus de 4050 MW d'électricité disparaîtront du réseau électrique du nord de l'Europe. 4050 MW équivaut à la consommation moyenne d'électricité de tout le Danemark.
Cela mettra encore plus la sécurité d'approvisionnement sous pression et il est assez fou de choisir de le faire au milieu de l'hiver.
Non seulement les 4050 MW d'énergie nucléaire coupée entraîneront plus d'émissions de gaz carbonique, mais ils causeront également beaucoup plus de pollution due à la combustion de la biomasse et des combustibles fossiles. L'hiver prochain, l'Allemagne fermera les 3 dernières centrales nucléaires, également de 4000 MW.
Quiconque a suivi le débat politique sur l'énergie et le climat, même superficiellement, au cours des 10 à 20 dernières années peut voir que l'Allemagne, le Danemark et d'autres « pays fous verts » le font vigoureusement CONTRE ce que la logique et la science dictent.
Nous voyons un lent désastre se produire avec les Verts dans le rôle principal du méchant fou, acharné à vouloir anéantir la vie et la prospérité.
(PS. Achetez des vêtements chauds, de la nourriture, de l'eau et des bougies, pour l'hiver à venir).
En plus de la folie de l'arrêt de l'alimentation de base, le ministre allemand de la Santé Jens Spahn a déclaré qu'il était en faveur d'un verrouillage complet d'un an des Allemands non vaxxés. Il y a certainement quelque chose dans l'eau de quelqu'un.
https://www.zerohedge.com/energy/slow-disaster-playing-out-germany-moves-shut-down-85-gw-baseload-nuclear-capacity
Quand ils veulent tuer quelqu'un ils le font.
SupprimerRenault dévoile une voiture volante pour voyager sur les autoroutes du ciel
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 30 NOV 2021 - 04:15
Le constructeur automobile français Renault a dévoilé une voiture volante pour le 60e anniversaire de l'emblématique Renault 4.
Renault s'est associé à la société de design basée à Miami TheArsenale pour créer la voiture volante basée sur une version mise à jour de la 4 (également connue sous le nom de 4L ou "quatrelle"), dont la production a commencé en 1961 et s'est terminée en 1992. La version moderne de la 4 se trouve au-dessus du cadre du drone. « AIR4 est un symbole d'indépendance et de liberté, né de la prise de conscience que le trafic s'aggrave, que les vies s'arrêtent et que le monde au-dessus de nous n'est pas entravé », a écrit Renault.
TheArsenale a écrit : « Un symbole d'indépendance et de liberté sous forme de fibre de carbone, l'AIR4 est né de la prise de conscience que le trafic s'aggrave, les vies s'arrêtent, mais le monde au-dessus de nous est clair.
Les spécifications de l'AIR4 montrent qu'il est alimenté par des batteries lithium-polymère de 22 000 mAh, ce qui signifie qu'il peut voler à une vitesse de 55 mph et avoir une capacité de levage totale d'environ 840 livres. Il n'y avait aucune mention du temps de vol.
AIR4 devrait être présenté au musée Atelier Renault à Paris et dans le monde, notamment à Miami, New York et Macao en 2022.
"Après un an de célébration, nous voulions créer quelque chose d'inhabituel pour clôturer le 60e anniversaire de la 4L", a déclaré Arnaud Belloni, directeur marketing de Renault. "Cette collaboration avec The Arsenale était un choix naturel. Le show car volant AIR4 est quelque chose d'inédit et un clin d'œil à ce à quoi cette icône pourrait ressembler dans 60 ans."
L'été dernier, Renault a annoncé la réédition de la Renault 4 en version électrifiée d'ici 2025. Le constructeur prévoit que jusqu'à 90 % des voitures vendues sous sa marque seront électriques d'ici 2030. Quant à l'AIR4, il n'y avait pas mot si la voiture volante serait produite en série.
https://www.zerohedge.com/technology/renault-unveils-flying-car-travel-sky-highways
A part la carrosserie qui rappelle la '4L' les 4 pattes en étoile situent l'engin dans les hélicoptères manqués !
SupprimerDe plus il ou elle ne roule pas ! Drone d'affaire !
Le fait le plus frappant dans le nouveau livre de Robert F. Kennedy, Jr.
RépondreSupprimerPar Thomas DiLorenzo
1er décembre 2021
Je viens de recevoir ma copie de RFK Jr. En parcourant les deux premiers chapitres, une chose est vraiment ressortie – que Fauci verse quelque 7 milliards de dollars en subventions de recherche aux chercheurs en « santé publique » du monde entier. Il occupe ce poste depuis 30 ans. Cela signifie que depuis trente ans, il y a eu un contrôle monopolistique d'un seul homme sur pratiquement tous les « examens par les pairs » liés à la santé publique. Cela prouve à quel point Fauci est un larbin clownesque, menteur, incompétent et corrompu lorsqu'il répond aux critiques par des déclarations telles que "tout le monde que je connais est d'accord avec moi sur ce point". Oui, tous ceux qui travaillent pour lui et sont payés par lui, ou souhaitent travailler pour lui et être payés par lui (avec l'argent des contribuables). Cela signifie que l'examen par les pairs de « santé publique » est une blague et une fraude. Aucune autre profession au monde ne serait prise au sérieux si un seul bureaucrate du gouvernement était effectivement en charge de toutes les publications professionnelles dans l'ensemble du domaine.
Et ce que Fauci ne contrôle pas par le biais du financement gouvernemental, d'autres bureaucrates gouvernementaux au NIH et ailleurs le font. Ce sont des aspirants Fauci dans ce domaine corrompu, puant et frauduleux de la santé « publique ». Pas étonnant que le Dr Scott Atlas, un vrai médecin et chercheur en médecine, ait été si choqué par l'immense incompétence à laquelle il a été exposé alors qu'il siégeait au groupe de travail COVID du président Trump et assistait à des réunions avec l'idiot Fauci et cette femme au foulard loufoque. Il a dit à Tucker Carlson que les deux semblaient à 100% détachés et ignorants de la science pertinente et n'ont fait que répéter le verrouillage/masquage de la gauche/vous devez obéir/jab-chaque-enfant/fermer-tout-le- les points de discussion des écoles et des églises sans même discuter d'aucune base scientifique pour aucun d'entre eux.
https://www.lewrockwell.com/2021/12/thomas-dilorenzo/the-most-striking-fact-in-robert-f-kennedy-jr-s-new-book/
Fauci comme Dark Vador de la Guerre du Covid
RépondreSupprimer30 novembre 2021
par Pepe Escobar.
Une critique du livre de Robert F. Kennedy « Le vrai Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma et la Guerre mondiale contre la Démocratie et la Santé publique ».
Le livre de Robert F. Kennedy Jr « Le vrai Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma et la Guerre mondiale contre la Démocratie et la Santé publique » devrait faire la une de tous les médias d’information aux États-Unis. Au lieu de cela, il a été accueilli par un silence assourdissant.
Les détracteurs qui cherchaient à faire passer Kennedy pour un fou profitant d'un nom célèbre avaient marqué un point en février, lorsque Instagram avait supprimé définitivement son compte, prétendument pour avoir fait de fausses déclarations sur le coronavirus et les vaccins. Néanmoins, le livre, publié il y a quelques jours seulement, est déjà un succès pop certifié sur Amazon.
RFK Jr, président du conseil d'administration et conseiller juridique en chef de Children's Health Defense, entreprend de déconstruire une nouvelle normalité qui nous envahit tous depuis début 2020. Dans mon livre « Raging Twenties », publié début 2021, j'ai appelé cette force le techno-féodalisme.
Kennedy la décrit comme « un totalitarisme croissant », avec « une propagande et une censure de masse, la promotion orchestrée de la terreur, la manipulation de la science, la suppression du débat, la diffamation de la dissidence et le recours à la force pour empêcher toute protestation ».
En se concentrant sur le Dr Anthony Fauci comme pivot de la plus grande histoire du XXIe siècle, RFK Jr peut peindre une toile complexe de la militarisation planifiée et, surtout, de la monétisation de la médecine, un processus toxique géré par Big Pharma, Big Tech et le complexe militaire/renseignements - et consciencieusement promu par les médias grand public.
Tout le monde sait maintenant que les grands gagnants ont été Big Finance, Big Pharma, Big Tech et Big Data, avec une niche spéciale pour les mastodontes de la Silicon Valley.
Pourquoi Fauci ? RFK Jr. fait valoir que pendant cinq décennies, il a été essentiellement un agent de Big Pharma, nourrissant « un réseau complexe d'enchevêtrements financiers entre les sociétés pharmaceutiques et l'Institut national des Allergies et des Maladies infectieuses (NIAID) et ses employés qui a transformé le NIAID en une filiale sans faille de l'industrie pharmaceutique ». Fauci promeut sans ambages sa relation privilégiée avec l'industrie pharmaceutique comme un « partenariat public-privé ».
Les contours complets de cette histoire très alambiquée n'ont sans doute jamais été examinés de cette manière, de façon très documentée et avec une multitude de liens. Fauci n'est peut-être pas un nom connu en dehors des États-Unis et surtout dans les pays du Sud. Et pourtant, c'est ce public mondial qui devrait être particulièrement intéressé par son histoire.
RFK Jr accuse Fauci d'avoir poursuivi des stratégies infâmes depuis le début du Covid-19 - de la falsification de la science à la suppression et au sabotage de produits concurrents qui apportent des marges bénéficiaires inférieures.
RépondreSupprimerLe verdict de Kennedy est sans appel : « Tony Fauci ne fait pas de la santé publique ; c'est un homme d'affaires, qui a utilisé sa fonction pour enrichir ses partenaires pharmaceutiques et étendre la portée de l'influence qui a fait de lui le médecin le plus puissant - et le plus despotique - de l'histoire de l'humanité ».
Il s'agit d'une accusation très grave. Il appartient aux lecteurs d'examiner les faits de l'affaire et de décider si Fauci est une sorte de Dr Strangelove médical.
Pas de vitamine D ?
La première place revient à la modélisation privilégiée par Fauci qui a surestimé de 525% les décès dus au Covid, élaborée par le fabricant Neil Ferguson de l'Imperial College de Londres, dûment financé par la Fondation Bill et Melinda Gates. C'est ce modèle, démystifié par la suite, qui a justifié l'hystérie du confinement à travers la planète.
Kennedy attribue au Dr Jessica Rose, chercheuse canadienne sur les vaccins, l'accusation selon laquelle Fauci était en première ligne pour effacer la notion d'immunité naturelle, alors même que tout au long de l'année 2020, les CDC et l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) ont admis que les personnes ayant un système immunitaire sain couraient un risque minime de mourir du Covid.
Le Dr Pierre Kory, président de la Front Line Covid-19 Critical Care Alliance, a été parmi ceux qui ont dénoncé le modus operandi de Fauci, qui privilégie le développement de vaccins technologiques tout en ne laissant aucune place aux médicaments efficaces contre le Covid : « Il est absolument choquant qu'il n'ait recommandé aucun soin ambulatoire, pas même de la vitamine D ».
Le cardiologue clinicien Peter McCullough et son équipe de médecins de première ligne ont testé des protocoles prophylactiques utilisant, par exemple, l'ivermectine - « nous disposions de données formidables provenant d'équipes médicales au Bangladesh » - et ont ajouté d'autres médicaments tels que l'azithromycine, le zinc, la vitamine D et la vitamine C par voie intraveineuse. Et tout cela alors que dans toute l'Asie, l'utilisation de lavages nasaux salins était généralisée.
Le 1er juillet 2020, McCullough et son équipe ont soumis leur premier protocole révolutionnaire à l'American Journal of Medicine. Il est devenu le document le plus téléchargé au monde pour aider les médecins à traiter le Covid-19.
McCullough s'est plaint l'année dernière que Fauci n'a jamais, à ce jour, publié quoi que ce soit sur la façon de traiter un patient Covid. Il a en outre allégué : « Quiconque tente de publier un nouveau protocole de traitement se retrouve bloqué hermétiquement par les revues qui sont toutes sous le contrôle de Fauci ».
Il y a pire. McCullough :
« L'ensemble de l'establishment médical essayait de faire disparaître les traitements précoces et de faire taire tous les médecins qui parlaient de réussite. Une génération entière de médecins a tout simplement cessé de pratiquer la médecine ».
(Un avis contraire dirait que McCullough s'est laissé emporter : Un million de médecins américains - le nombre approximatif de praticiens à un moment donné - ne pouvaient pas tous être dans le coup).
Le livre affirme que les raisons du manque de recherches originales sur la façon de combattre le Covid sont la dépendance d'universitaires américains très respectés vis-à-vis des milliards de dollars accordés par le National Institute of Health (NIH) et le fait qu'ils étaient terrifiés à l'idée de contredire Fauci.
RépondreSupprimerKory et McCullough, spécialistes de première ligne du Covid, auraient affirmé que la suppression par Fauci des traitements précoces et des médicaments hors brevet était responsable de près de 80% des décès attribués au Covid aux États-Unis.
Comment tuer la concurrence
Le livre donne un aperçu détaillé d'une offensive présumée de Big Pharma pour tuer l'hydroxychloroquine (HCQ) - avec des mercenaires de la recherche financés par l'axe Gates-Fauci qui auraient mal interprété et mal rapporté des résultats négatifs en utilisant des protocoles défectueux.
Kennedy affirme que Bill Gates, en 2020, contrôlait pratiquement tout l'appareil de l'OMS, en tant que plus grand bailleur de fonds après le gouvernement américain (avant que Trump ne retire les États-Unis de l'OMS) et qu'il a utilisé l'agence pour discréditer totalement l'HCQ.
Le livre aborde également le Lancet gate - lorsque les deux plus grandes revues scientifiques du monde, The Lancet et le New England Journal of Medicine, ont publié des études frauduleuses provenant d'une base de données inexistante appartenant à une société inconnue jusqu'alors.
Quelques semaines plus tard seulement, les deux revues, profondément embarrassées et voyant leur crédibilité durement acquise remise en cause, ont retiré les études. Il n'y a jamais eu d'explication quant à la raison pour laquelle elles se sont impliquées dans ce qui pourrait être interprété comme l'une des plus graves fraudes de l'histoire de l'édition scientifique.
Mais tout cela a servi un objectif. Pour Big Pharma, dit Kennedy, tuer l'HCQ et, plus tard, l'ivermectine (IVM) étaient des priorités absolues. L'ivermectine est un concurrent peu rentable d'un produit de Merck, le molnupiravir, qui est essentiellement une imitation, mais qui peut être vendu au détail à un prix rentable de 700$ le traitement.
Fauci était très excité par une étude prometteuse sur le remdesivir de Gilead - qui non seulement n'est pas efficace contre le Covid mais est de facto un poison mortel, à 3000$ le traitement.
Le livre suggère que Fauci aurait pu vouloir tuer l'HCQ et l'IVM parce que, selon les règles fédérales américaines, la reconnaissance par la FDA de l'HCQ et de l'IVM tuerait automatiquement le remdesivir. Il se trouve que la Fondation Bill et Melinda Gates a une participation importante dans Gilead.
Un point essentiel pour Kennedy est que les vaccins étaient le Saint Graal de Big Pharma.
Il explique en détail comment ce qui pourrait être considéré comme une alliance Fauci-Gates a investi
« des milliards de dollars provenant des contribuables et déduits des impôts dans le développement » d'une « plateforme ARNm pour les vaccins qui, en théorie, leur permettrait de produire rapidement de nouveaux "boosters" pour combattre chaque "variant échappé" »
Les vaccins, écrit-il,
RépondreSupprimer« sont l'un des rares produits commerciaux qui multiplient les profits par défaillance... La bonne nouvelle pour Big Pharma était que toute l'humanité serait en permanence dépendante de rappels semestriels, voire triennaux ».
Toute ressemblance avec notre réalité actuelle des « rappels » n'est pas une simple coïncidence.
Le résumé final des données de l'essai clinique de Pfizer fera lever d'innombrables sourcils. L'ensemble du processus n'a duré que six mois. Il s'agit du document que Pfizer a soumis à la FDA pour obtenir l'approbation de son vaccin. Il est incroyable que Pfizer ait obtenu l'approbation d'urgence de la FDA alors qu'il avait été démontré que le vaccin pouvait prévenir un décès dû au Covid (c'est moi qui souligne) sur 22 000 personnes vaccinées.
Peter McCullough :
« Puisque l'essai clinique a montré que les vaccins réduisent le risque absolu de moins de 1%, ces vaccins ne peuvent pas influencer les courbes épidémiques. C'est mathématiquement impossible ».
La matrice Gates
Bill Gates - protégé en Teflon par la quasi-totalité des grands médias occidentaux - décrit la philosophie opérationnelle de sa fondation comme du « philantrocapitalisme ». Il s'agit plutôt d'auto-philantropie stratégique, car tant le capital de la fondation que sa valeur nette ont gonflé en beauté (23 milliards de dollars rien que pendant les verrouillages de 2020).
La Fondation Bill et Melinda Gates -
« une organisation à but non lucratif qui lutte contre la pauvreté, la maladie et l'inégalité dans le monde »
- investit dans des multinationales pharmaceutiques, alimentaires, agricoles, énergétiques, télécoms et technologiques. Elle exerce un contrôle de facto considérable sur les agences internationales de santé et d'agriculture ainsi que sur les médias grand public - comme l'a montré la Columbia Journalism Review en août 2020.
Gates, qui n'a pas de diplôme d'études supérieures, ni même de diplôme de médecine (comme l'auteur Kennedy, il faut le noter, dont la formation était celle d'un avocat), dispense sa sagesse dans le monde entier en tant qu'expert en santé. La fondation détient des actions et des obligations de Pfizer, Merck, GSK, Novartis et Sanofi, entre autres géants, ainsi que des positions importantes dans Gilead, AstraZeneca et Moderna.
Le livre examine dans les moindres détails comment Gates contrôle l'OMS (le plus grand donateur direct : 604,2 millions de dollars en 2018-2019, derniers chiffres disponibles). Déjà en 2011, Gates a ordonné : « Les 183 États membres, vous devez faire des vaccins un axe central de vos systèmes de santé ». L'année suivante, l'Assemblée mondiale de la Santé, qui fixe l'agenda de l'OMS, a adopté un Plan mondial pour les Vaccins conçu par - qui d'autre ? - la Fondation Bill et Melinda Gates.
La Fondation contrôle également le Groupe consultatif stratégique d'Experts (SAGE), le principal groupe consultatif de l'OMS sur les vaccins, ainsi que la cruciale GAVI Alliance (anciennement l'Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination), qui est le deuxième plus grand donateur de l'OMS.
RépondreSupprimerGAVI est un « partenariat public-privé » de Gates qui, pour l'essentiel, organise la vente en gros de vaccins par Big Pharma aux pays pauvres. Il y a trois mois à peine, le premier ministre britannique Boris Johnson a proclamé que « GAVI est la nouvelle OTAN ». Le siège mondial de GAVI se trouve à Genève. La Suisse a accordé à Gates une immunité diplomatique totale.
Peu de gens, à l'Est comme à l'Ouest, savent que c'est Gates qui, en 2017, a choisi le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, sans diplôme de médecine et avec des antécédents plutôt douteux.
Le Dr Vandana Shiva, la principale militante indienne des droits de l'homme (régulièrement accusée d'être simplement anti-vax), résume :
« Gates s'est emparé de l'OMS et l'a transformée en un instrument de pouvoir personnel qu'il manie dans le but cynique d'augmenter les profits pharmaceutiques. Il a détruit à lui seul l'infrastructure de la santé publique dans le monde. Il a privatisé nos systèmes de santé et nos systèmes alimentaires pour servir ses propres objectifs ».
Jouer avec les pandémies
Le chapitre 12 du livre, intitulé « Jeux de germes », est sans doute le plus explosif, car il se concentre sur l'appareil américain d'armes biologiques et de biosécurité, avec une mention spéciale pour Robert Kadlec, qui pourrait revendiquer le leadership de la logique - contagieuse - selon laquelle les maladies infectieuses constituent une menace pour la sécurité nationale des États-Unis, nécessitant ainsi une réponse militarisée.
Le livre affirme que Kadlec, étroitement lié aux agences d'espionnage, à Big Pharma, au Pentagone et à divers entrepreneurs militaires, est également lié aux investissements de Fauci dans des expériences de « gain de fonction » capables de créer des superbactéries pandémiques.
Fauci nie fermement avoir promu de telles expériences. En 1998 déjà, Kadlec avait rédigé un document stratégique interne pour le Pentagone - mais pas pour Fauci - qui faisait la promotion du rôle des agents pathogènes pandémiques en tant qu'armes furtives ne laissant aucune empreinte digitale.
Depuis 2005, la DARPA, qui a inventé l'internet en construisant l'ARPANET en 1969, finance la recherche sur les armes biologiques. La DARPA - appelez-la l'investisseur providentiel du Pentagone - a également développé le GPS, les bombardiers furtifs, les satellites météorologiques, les drones sans pilote et ce prodige du combat qu'est le fusil M16.
RépondreSupprimerIl est important de rappeler qu'en 2017, la DARPA a fait transiter 6,5 millions de dollars par l'EcoHealth Alliance de Peter Daszak pour financer des travaux sur le « gain de fonction » au laboratoire de Wuhan, en plus des expériences sur le gain de fonction menées à Fort Detrick. EcoHealth Alliance était l'organisation par laquelle Kadlec, Fauci et la DARPA ont financé ces expériences de gain de fonction.
Peu de gens savent que la DARPA a aussi financé la technologie clé du vaccin Moderna, depuis 2013.
RFK Jr relie consciencieusement les progrès des Jeux de Germes, en commençant par Dark Winter en 2001, qui mettait l'accent sur la volonté du Pentagone de développer des vaccins contre les armes biologiques (le nom de code a été inventé par Kadlec) ; l'attaque à l'anthrax trois semaines après le 11 septembre ; Atlantic Storm en 2003 et 2005, axé sur la réponse à une attaque terroriste libérant la variole ; Global Mercury 2003 ; et Lockstep en 2010, qui développait un scénario financé par la Fondation Rockefeller où nous trouvons cette perle :
Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont exercé leur autorité et imposé des règles et des restrictions hermétiques, allant du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de température corporelle à l'entrée d'espaces communs comme les gares et les supermarchés. Même après la disparition de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités se sont maintenus, voire intensifiés. Afin de se protéger de la propagation de problèmes de plus en plus globaux - des pandémies et du terrorisme transnational aux crises environnementales et à la pauvreté croissante - les dirigeants du monde entier ont pris une emprise plus ferme sur le pouvoir.
RFK Jr dépeint un tableau dans lequel, à la mi-2017, la Fondation Rockefeller et les agences de renseignement américaines avaient pratiquement couronné Bill Gates en tant que principal financier de l'entreprise militaire/renseignements de simulation de pandémie.
C'est ainsi qu'est née la simulation MARS (Mountain Associated Respiratory Virus) lors du G20 en Allemagne en 2017. MARS concernait un nouveau virus respiratoire qui s'est propagé à partir de marchés très fréquentés dans une région montagneuse d'une nation non nommée qui ressemblait beaucoup à la Chine.
Cela devient de plus en plus curieux quand on apprend que les deux modérateurs de MARS étaient très proches de la Fondation Bill et Melinda Gates, et que l'un d'eux, David Heymann, siégeait avec le PDG de Moderna au conseil d'administration de la Fondation Mérieux USA. Il se trouve que BioMerieux est la société française qui a construit le laboratoire de Wuhan.
Big Pharma embrasse les services de renseignements occidentaux
RépondreSupprimerEnsuite, il y a eu le SPARS 2017 au Johns Hopkins Center for Health Security. La Fondation Bill et Melinda Gates est l'un des principaux bailleurs de fonds de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health. SPARS 2017 a simulé une pandémie de coronavirus entre 2025 et 2028. Comme le note RFK Jr, « l'exercice s'est avéré être un prédicteur sinistrement précis de la pandémie de Covid-19 ».
En 2018, l'expert en armes biologiques Peter Daszak a été intronisé comme le connecteur clé par lequel Fauci, Kadlec, la DARPA et l'USAID - qui était autrefois une couverture de la CIA et qui relève désormais du Conseil de Sécurité nationale - ont transféré des subventions pour financer la recherche sur les gains de fonction, notamment au laboratoire de biosécurité de l'Institut de Virologie de Wuhan.
Crimson Contagion, supervisé par Kadlec après huit mois de planification, est arrivé en août 2019. Fauci était à bord de l'auto-décrit « exercice fonctionnel », représentant le NIH, aux côtés de Robert Redfield du CDC et de plusieurs membres du Conseil de Sécurité national. Le jeu de guerre s'est déroulé en secret, dans tout le pays. Le Rapport d'Après-Action de Crimson Contagion n'a été publié que sur demande de la FOIA.
La star du spectacle de la pandémie de Gates était sans aucun doute l'Événement 201 en octobre 2019, qui s'est tenu seulement 3 semaines avant que les services de renseignement américains puissent - ou non - soupçonner que le Covid-19 circulait à Wuhan. L'Événement 201 concernait une pandémie mondiale de coronavirus. RFK Jr soutient de manière convaincante que l'Événement 201 était aussi proche que possible d'une simulation « en temps réel ».
Le chapitre du livre intitulé « Jeux de Germes » amène le lecteur à reconnaître ce que les médias grand public ont tout simplement refusé de rapporter : comment l'implication omniprésente des services de renseignement américains (et britanniques) a une présence secrète - et pourtant dominante - dans l'ensemble de la réponse au Covid-19.
Un très bon exemple est le Wellcome Trust - la version britannique de la Fondation Bill et Melinda Gates - qui est une émanation de GlaxoSmith Kline, l'entreprise de Big Pharma. Elle incarne le mariage entre Big Pharma et les services secrets occidentaux.
La présidente du Wellcome Trust, de 2015 à 2020, était une ancienne directrice générale du MI5, Dame Eliza Manningham-Buller. Elle était également présidente de l'Imperial College depuis 2001. Le « Dr Fauci anglais », Neil Ferguson, à l'origine des tristement célèbres modèles erronés et mortels qui ont conduit à tous les enfermements, était un épidémiologiste travaillant pour le Wellcome Trust.
Ce ne sont là que quelques-unes des idées et des liens tissés dans le livre de RFK Jr. Dans le cadre du service public, l'ensemble de ce livre devrait être mis à la disposition du public du monde entier. Ces questions concernent l'ensemble de la planète, en particulier les pays du Sud.
Le lauréat du prix Nobel Luc Montaigner a noté que « tragiquement pour l'humanité, il y a beaucoup, beaucoup de contrevérités émanant de Fauci et de ses sbires ». Ce qui est encore plus tragique, c'est ce qui émane de ses maîtres.
source : https://asiatimes.com
https://reseauinternational.net/fauci-comme-dark-vador-de-la-guerre-du-covid/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=fauci-comme-dark-vador-de-la-guerre-du-covid
Fauci se proclame Dieu de la science
RépondreSupprimerDecember 1st, 2021
Tout comme le débat sur le climat, ce sont les escrocs qui prétendent être « la science » alors même qu'ils la détruisent.
C'est un bouclier sacré pour repousser les questions auxquelles ils ne veulent pas répondre.
Rand Paul affirme que Fauci agit comme le «grand prêtre» de la science et que c'est «dangereux»
The Daily Mail
"C'est en quelque sorte une façon de mettre fin à tout débat parce que si vous l'attaquez ou si vous avez un débat sur l'un de ses édits ou ses mandats, vous attaquez la science", a déclaré Paul mardi.
«Mais c’est une sorte d’idée très, très dangereuse. L'idée qu'un bureaucrate du gouvernement représente la science et qu'il est maintenant intouchable - que c'est un peu comme si vous contredisiez maintenant le grand prêtre de la science, si vous dites quelque chose.
Ted Cruz veut savoir : a-t-il ou non financé la recherche Gain of Function ?
Le sénateur Ted Cruz qualifie Fauci de « bureaucrate le plus dangereux de l'histoire de l'Amérique »
Le courrier quotidien
[Ted] Cruz a déclaré à Sean Hannity: «Je dois dire que le Dr Fauci, je pense, est le bureaucrate le plus dangereux de l'histoire du pays. Il a parlé de nuire à la science, mais je ne pense pas que quiconque ait nui à la science ou à la crédibilité des médecins plus que le Dr Fauci car tout au long de cette pandémie, il a été malhonnête, il a été politique, il a été partisan.
Se référant à cette interview, Cruz a poursuivi: «(Fauci) a dit, je représente la science. Je suis scientifique. Je rigolais. C'est comme Louis XIV, le roi soleil en France disant "Je suis l'Etat". C'est cette illusion de grandeur.
Il y a une peine de cinq ans de prison pour avoir menti au Congrès.
Cruz a également souligné ce qu'il prétend être une violation d'une loi américaine – 18USC, Code 1001 – faite par Fauci lorsqu'il a déclaré lors d'une audience au Sénat en mai que les National Institutes of Health, dont il est directeur, ne finançaient pas le gain. de la recherche sur la fonction à l'Institut de virologie de Wuhan, le laboratoire chinois d'où le COVID a peut-être fui.
« Vous avez déclaré que nous ne financions pas la recherche sur le gain de fonction, le NIH a déclaré que nous financions la recherche sur le gain de fonction. Ils ne peuvent pas être vrais tous les deux. Et si vous mentez au Congrès, c'est un crime.
C'est pourquoi nous devons gagner le débat scientifique, pas seulement économique.
https://joannenova.com.au/2021/12/fauci-appoints-himself-god-of-science/#more-80777
Pas mal : un médicament contre l'alcoolisme pourrait stopper un tiers des infections à Covid, certains décès aussi
RépondreSupprimerDecember 1st, 2021
Juste un autre médicament bon marché, sûr et utilisé depuis longtemps que nos ministres de la Santé doivent ignorer
Une nouvelle étude a porté sur 944 000 vétérans américains qui ont subi un test Covid à un moment donné. Parmi ceux-ci, 2 200 étaient des alcooliques auxquels on a également prescrit du disulfirame. On pourrait s’attendre à ce que les alcooliques s’écrasent et brûlent contre Covid, mais parmi eux, étrangement, les infections étaient plus faibles que chez les non-alcooliques – 34% de moins. Et il n'y a pas eu de décès de Covid dans le 188 non plus. Malheureusement, le taux de mortalité chez les vétérinaires infectés qui ont attrapé Covid, mais n'utilisaient pas de disulfirame, était de 3%.
Ce n'est qu'une étude observationnelle très étrange, pas une étude randomisée. Le mécanisme n'est pas connu avec certitude, mais il est suggéré que le médicament interfère avec une enzyme dont le virus a besoin et peut réduire l'hyperinflammation. N'avons-nous pas déjà entendu cela?
L'ivermectine semble être meilleure, mais pour les personnes qui n'y ont pas accès, il existe au moins la possibilité de devenir alcoolique. Penser à la corruption à la FDA ou à la TGA vous aidera. Et si vous êtes déjà alcoolique, mieux vaut vous faire soigner maintenant avant qu'ils ne l'interdisent.
Il a évidemment besoin d'une étude approfondie. Gardez à l'esprit qu'il n'y avait que 188 vétérans alcooliques qui ont attrapé Covid. Mais encore, aucun d'entre eux n'est décédé, et nous nous attendrions à 5 ou 6 décès dans un groupe de 188 vétérinaires non alcooliques.
Vous vous demandez ce que le médicament pourrait accomplir dans un groupe de test sans alcool ?
Le message ici est que nous vivons dans une mer d'antiviraux, mais notre système de financement, la bureaucratie et notre profond marais médical nous gênent.
Étude : Un médicament utilisé pour le traitement de l'alcoolisme peut lutter contre le COVID-19 grave
Par HealthDay News
Les enquêteurs ont découvert que les personnes prenant du disulfirame, connu sous le nom d'Antabuse, pour l'alcoolisme avaient un risque plus faible d'infection par COVID-19 et étaient moins susceptibles de mourir du coronavirus…
Écoutez la douce naïveté d'un professeur :
« C'est un excellent candidat pour un médicament réutilisé. Il pourrait facilement être mis à disposition dans le monde entier si nous pouvons prouver qu'il a un effet positif sur les patients atteints de COVID-19 », a déclaré Chris Sander, professeur de biologie cellulaire à la Harvard Medical School.
Ils ont noté que le disulfirame est prescrit depuis plus de 60 ans comme traitement de l'alcoolisme et qu'il est sûr, peu coûteux, familier aux médecins et largement utilisé dans de nombreux pays.
Et il pense que ce sont de bons arguments de vente. Si seulement ce médicament coûtait 3 000 $ la dose, à peine utile et entièrement breveté.
RÉFÉRENCE
Fillmore N, Bell S, Shen C, Nguyen V, La J, Dubreuil M, et al. (2021) L'utilisation du disulfirame est associée à un risque plus faible de COVID-19 : une étude de cohorte rétrospective. PLoS ONE 16(10) : e0259061. https://doi.org/10.1371/journal.pone.0259061
https://joannenova.com.au/2021/12/not-bad-drug-for-alcoholism-may-stop-a-third-of-covid-infections-some-deaths-too/#more-80762
La pandémie de Make Believe et la variante OMICRON
RépondreSupprimerPar Bill Sardi
1er décembre 2021
Sans raison valable, le monde craque pour la nouvelle de la mutation OMICRON du coronavirus Covid-19 même si les données sur son infectiosité et sa mortalité sont encore inconnues.
Le directeur de l'Institut national des maladies infectieuses a déclaré que la redoutable variante OMICRON de Covid-19, qui a été détectée pour la première fois en Afrique du Sud, est probable (mais pas réellement confirmée) aux États-Unis. La Maison Blanche, se protégeant contre les critiques politiques pour manquement à l'action, a restreint l'entrée des non-ressortissants de huit pays sud-africains.
Un rapport dans Nature Magazine indique que la variante OMICRON présente un grand nombre de mutations trouvées dans d'autres variantes et "elle semble se propager rapidement". (« Semble être. »
La Maison Blanche recommande des injections de rappel qui, selon elle, sont « sûres, gratuites, pratiques et approuvées », mais peut-être pas efficaces, du moins pas au fil du temps. En fait, les injections de rappel ne se sont pas avérées sûres ou efficaces. La Maison Blanche semble faire un informateur pour les fabricants de vaccins.
Comment la protection temporaire finit-elle par être efficace ?
CNBC, faisant état de la baisse de l'immunité des vaccins Covid-19, cite une étude publiée dans Science selon laquelle l'immunité contre un vaccin à protéine à pic d'ARN est passée de 86 % à 43 % de février à octobre et un autre vaccin à protéine à pic d'ARN de 89 % à 58 %, tandis qu'un vaccin vecteur adénovirus est passé de 86 % à 13 %. On dit que les injections de rappel sont efficaces à 95 %, mais ce n'est que tôt après la vaccination. C'est parce que les vaccins ne traitent que les protéines de pointe, pas le virus lui-même. ("Pas le virus lui-même." "Pas le virus lui-même." Répétition de l'auteur, afin que les lecteurs ne manquent pas ce point.)
Les mesures préventives sont une farce
L'Organisation mondiale de la santé déclare : « Il est rappelé aux individus de prendre des mesures pour réduire leur risque de COVID-19, y compris des mesures de santé publique et sociales éprouvées telles que le port de masques bien ajustés, l'hygiène des mains, l'éloignement physique, l'amélioration de la ventilation des espaces intérieurs, l'évitement des espaces surpeuplés et se faire vacciner. Comment appelle-t-on un président qui donne des ordres aux gens sans autorité ni justification ? (Je vais répondre pour vous : un tyranniste.)
Futilité, pas prévention
RépondreSupprimerLa Floride, qui n'impose pas de masques faciaux ni de vaccination, signale les cas de Covid-19 par habitant les plus bas du pays.
Un examen scientifique des masques faciaux révèle qu'il s'agit d'une méthode totalement peu fiable pour ralentir ou prévenir la propagation des maladies. Même lorsque les masques faciaux n'étaient pas utilisés dans la salle d'opération avec des plaies ouvertes, aucune augmentation des infections n'a été notée.
Les pandémies disparaissent généralement
Les mutations ne sont ni nouvelles ni inattendues. Les coronavirus, comme les virus de la grippe, mutent rapidement et souvent ces mutations n'entraînent aucune pandémie en développement et s'éteignent.
Un rapport de Reuters indique: "la nouvelle variante a plus de 30 mutations dans la partie du virus que les vaccins actuels ciblent" et que les mutations d'Omicron "sont susceptibles de rendre certains traitements Covid-19, y compris certains anticorps fabriqués, inefficaces". Oh, donc les vaccins et les rappels sont/ne sont pas efficaces, c'est quoi ?
Attendez les médicaments anti-Covid
En tant que mise en place de nouveaux médicaments anti-Covid-19, le rapport de Reuters indique: "les pilules antivirales expérimentales (Paxlovid et Molnupiravir) ciblent les parties du virus qui ne sont pas modifiées dans Omicron".
Si les médicaments sont efficaces, il n'y aura aucune raison de poursuivre la vaccination de masse. Si peu de personnes se retrouvent avec des infections graves ou ont une infection mortelle, il serait préférable de simplement traiter les personnes gravement malades avec ces nouveaux médicaments et de sauter complètement les vaccins problématiques. Droit ?
Mais il y a plus caché derrière les rideaux
Le Dr Mike Hansen dit dans un rapport en ligne, dit que ces "mutations sont dans la protéine de pointe". Selon un rapport de Genomics, de telles mutations « impliquent » qu'elles sont plus pathogènes.
En novembre 2020, il y avait 83 475 séquences de gènes disponibles sur Partage de toutes les données sur la grippe, 29 903 qui étaient « le génome entier complet du Covid-19 séquencé le plus tôt de Wuhan, en Chine, qui a été utilisé à des fins de comparaison avec les souches ultérieures. Cependant, les chercheurs disent : « il existe une génération implacable de variantes génomiques pour TOUT virus à ARN. » Cependant, il s'agissait de séquences fabriquées en laboratoire, et non du virus mère ou sœur.
Impossible d'identifier une seule mutation corrélée à une transmission accrue
Vers la fin de 2020, des chercheurs britanniques ont publié un rapport dans Nature Communications concernant « les spéculations que Covid-19 pourrait évoluer vers une transmissibilité plus élevée ». Pourtant, parmi les 46 723 mutations identifiées à partir d'échantillons mondiaux, cette équipe de recherche a déclaré qu'elle ne pouvait "pas identifier une seule mutation récurrente associée de manière convaincante à une augmentation de la transmission".
De manière incongrue, en 2005, des chercheurs ont signalé que les coronavirus présentent « des génomes stables qui changent très peu avec le temps ». Que s'est-il passé depuis 2005 ? Quelqu'un ou quelque chose les fait maintenant muter rapidement.
RépondreSupprimerLes mutations ont-elles encore de l'importance ?
Des informations effrayantes abondent sur les taux de gravité et de mortalité associés au virus Covid-19 nouvellement muté en circulation.
Cependant, un rapport dans Nature Magazine demande : « Les mutations de Covid-19 sont-elles encore importantes ? Le rapport a poursuivi en disant: "Les scientifiques ont cette fascination folle pour ces mutations."
La journaliste Ewen Callaway écrit : « Différentes souches de Covid-19 n’ont pas encore eu d’impact majeur sur le tribunal de la pandémie, mais elles pourraient le faire à l’avenir. » (« Pourrait dans le futur. » « Pourrait dans le futur. » Répété pour que les lecteurs ne négligent pas ce point.)
OK, nous allons imposer des verrouillages, des masques faciaux, etc., etc. sur une mutation peut-être/peut-être pas mortelle.
Callaway cite un autre scientifique pour dire : « Ce qui est irritant, ce sont les gens qui prennent leurs résultats dans des environnements très contrôlés, et disent que cela signifie quelque chose pour la pandémie. Cela, nous sommes si loin de le savoir. En d'autres termes, interpréter ces mutations est une arnaque dans le monde réel.
À propos de ces pseudo-virus
Et comprenez cela, personne ne surveille les mutations du virus lui-même, car il est potentiellement trop dangereux à expérimenter. Ainsi, les chercheurs utilisent des pseudo-virus inventés. Hé, peut-être que l'écrivain médical Jon Rapoport et le Dr Andrew Kaufman, qui n'arrêtent pas de claquer leurs moules à tarte sur le virus inexistant, ont raison ?!
Rapport de Nature Magazine : « Les pseudo-virus ne transportent que la protéine de pointe du coronavirus, dans la plupart des cas, et les expériences ne mesurent donc que la capacité de ces particules à pénétrer dans les cellules, pas les aspects de leurs effets à l'intérieur des cellules, et encore moins sur un organisme. Ils sont également dépourvus des trois autres mutations que portent presque tous les virus D614G. « L’essentiel, c’est qu’ils ne sont pas le virus ! dit le rapport. (Point d'exclamation ajouté.)
La redoutable mutation D614G
Le graphique ci-dessous montre la propagation de la mutation redoutée D614G.
- voir sur site -
Cependant, de nombreux scientifiques disent qu'il ne reste aucune preuve solide que le D614G a un effet significatif sur la propagation du virus, et les chercheurs ont encore plus de questions que de réponses sur les mutations du coronavirus, et personne n'a encore trouvé de changement dans le SRAS-CoV-2 qui devrait soulever des préoccupations de santé publique! Tout cela n'a-t-il été que de la propagande pour les fabricants de vaccins ?
Des mutations sans signification
RépondreSupprimerD'autres données génomiques ont souligné cette stabilité — plus de 90 000 isolats ont été séquencés et rendus publics (voir www.gisaid.org). Deux virus Covid-19 collectés partout dans le monde diffèrent en moyenne de seulement 10 lettres d'ARN sur 29 903 !
Malgré le faible taux de mutation du virus, les chercheurs ont répertorié plus de 12 000 mutations dans les génomes du SRAS-CoV-2. Mais le rapport de Nature Magazine dit : « Les scientifiques peuvent repérer les mutations plus rapidement qu'ils ne peuvent les comprendre. De nombreuses mutations n'auront aucune conséquence sur la capacité du virus à se propager ou à provoquer une maladie, car elles NE MODIFIENT PAS LA FORME D'UNE PROTÉINE. »
Les mutations pourraient être bénéfiques
Mais un rapport publié sur Technology Networks déclare : « La mutation D614G provoque l'ouverture d'un rabat sur la pointe d'une pointe, permettant au virus d'infecter les cellules plus efficacement, mais créant également une voie vers le noyau vulnérable du virus. Alors, cette mutation est-elle bénéfique ou délétère ?
Le rapport poursuit en disant : « Avec un volet ouvert, il est plus facile pour les anticorps – comme ceux des vaccins actuellement testés – de s'infiltrer et de désactiver le virus. »
Virus non authentique
Mais il y a plus. Le rapport indique que «des travaux antérieurs reposaient cependant sur un virus pseudo-typé qui incluait la protéine de liaison au récepteur mais n'était pas authentique. (« Pas authentique. » « Pas authentique. » L'accent répétitif de l'auteur.).
Les chercheurs utilisaient la génétique inverse. Les chercheurs mettent en garde contre le fait que les résultats de la pathologie peuvent ne pas être vrais dans les études humaines. » Ils n'ont pas utilisé un vrai virus en laboratoire, seulement un virus manipulé. Est-ce que tu a reçu sa?
De nombreux chercheurs soupçonnent que si une mutation a aidé le virus à se propager plus rapidement, cela s'est probablement produit plus tôt, lorsque le virus a sauté pour la première fois chez l'homme ou a acquis la capacité de se déplacer efficacement d'une personne à une autre.
Il y avait évidemment plus de personnes sensibles lorsque la pandémie a commencé au début de 2020.
L'économiste Jon Sanders le dit ainsi :
« À l’heure actuelle, sur la base des données gouvernementales les plus récentes, seuls environ trois Américains sur mille pourraient éventuellement transmettre Covid-19 à quelqu’un. En d'autres termes, près de 99,7% des personnes aux États-Unis ne représentent actuellement aucune menace pour quiconque de propager le virus. Et malgré le nombre important de cas, 24 cas sur 25 sont récupérés, ce qui signifie non seulement que ces personnes ne sont plus des menaces, mais aussi qu'elles ont désormais la forme d'immunité la plus forte contre Covid-19. »
RépondreSupprimer«Dès le départ, les reportages des médias sur Covid-19 ont été calculés pour attiser la peur. Que ce soit par sensationnalisme pour les clics, le désir de façonner les résultats politiques ou la panique dans les salles de presse, les médias ont offert un régime implacable de terreur à propos de la pandémie avec peu ou pas de contexte.
L'idée que presque tout le monde se remet de ce virus, comme d'autres maladies, est rarement entrée dans les nouvelles, encore moins dans l'esprit de la population terrifiée. Au fur et à mesure que le nombre total de cas augmentait, le nombre de ceux qui s'étaient rétablis et qui étaient maintenant immunisés a discrètement augmenté. Les nombres de cas n'ont également jamais été placés dans le contexte d'un nombre encore plus grand : la population. »
Voici les estimations de l'indice sans menace de Sanders au 15 novembre :
Présumé récupéré : 45 265 569
Cas actifs : 1 118 866
Pourcentage du total des cas présumés guéris : 96,0 %
Pourcentage du total des cas actifs : 2,4 %
Pourcentage de la population totale des États-Unis avec des cas actifs de Covid : plus de 0,3%
Pourcentage de la population américaine décédée avec ou de Covid-19 : plus de 0,2%
Pourcentage de la population américaine ne présentant aucune menace de transmettre le COVID-19 : près de 99,7 %z.
Cela signifie que si vous entrez dans un magasin COSTCO et qu'il compte 300 acheteurs, ou une église avec 500 fidèles, ou même un stade de football avec des milliers de fans, étant donné seulement un petit nombre avec lequel vous entrez réellement en contact, la chance que vous auriez être exposé au virus, et encore moins infecté, est nul.
J'ai l'idée distincte que toutes ces restrictions et mandats sans autorité légale ne sont que des exercices pour entraîner les Américains à se conformer, un peu comme les chiens sont entraînés. Ensuite, le poison est glissé dans le Kool-Aid.
Et maintenant, pour plus de terreur imaginaire d'Orson Welles et de la guerre des mondes.
https://www.lewrockwell.com/2021/12/no_author/the-make-believe-pandemic-the-omicron-variant/
Les inoculés sont devenus au fil des mois de véritables boites de Pétri !! On leur enfonce quelque chose dans le cul (ils en redemandent) et s'étonnent que suivant les clients qu'ils ou elles peuvent avoir ont des réactions différentes ! Bêh ouais ! Si à ta première passe il te file le sida, la seconde la variole, et la troisième la rage ou le cholèra, t'as tout un paquet de chance de muter et d'en chier de toutes les couleurs !
SupprimerLa vaccination provoque des variantes de Covid
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
1er décembre 2021
Les non vaccinés n'alimentent pas les variantes COVID
La souche Covid «super mutante» déclenche une intervention d'urgence
Ces « souches mutantes » ou variantes sont produites en réponse au vaccin Covid. En d'autres termes, Fauci, Big Pharma, l'establishment médical et des politiciens stupides ont déclenché un virus en constante évolution sur le monde. Le seul espoir est d'arrêter immédiatement toute vaccination contre le Covid.
Les vaccinés contre le Covid représentent une grave menace pour les non vaccinés, non seulement parce que les vaccinés « ont expulsé » le virus, transmettant ainsi le virus à d'autres, mais aussi parce que le vaccin permet au virus de muter afin d'échapper à une réponse immunitaire. L'immunité que le variant muté du virus obtient grâce au vaccin confère également au virus une protection contre le système immunitaire humain inné. En d'autres termes, les personnes qui n'ont pas endommagé leur système immunitaire inné en prenant le vaccin pourraient désormais être confrontées à une variante que leur système immunitaire est moins capable de repousser.
Ce que Fauci a fait en finançant la création du virus Covid-19 et en faisant passer le « vaccin » de Big Pharma à travers le processus d’utilisation d’urgence, c’est de créer un virus Frankenstein capable d’échapper aux réponses immunitaires.
Reste à voir à quel point cela s'avère mauvais pour l'humanité. Ce que nous savons, c'est que plus les gens sont vaccinés, pire ce sera. Toute vaccination Covid doit être arrêtée immédiatement avant que les dommages au système immunitaire ne rendent plus de personnes vulnérables aux maladies et à la mort.
Si nous ajoutons à l'équation les faits connus selon lesquels le vaccin lui-même provoque des effets secondaires nocifs et mortels et endommage le système immunitaire inné, rendant les vaccinés plus sensibles à tous les autres virus et maladies, le vaccin Covid est une menace pour la vie humaine sur le niveau des armes thermonucléaires.
Attribuer le « vaccin » Covid à une simple erreur de l'establishment médical semble tiré par les cheveux. Covid-19 n'était pas une menace qui justifiait le risque qu'un vaccin expérimental modifiant les gènes soit utilisé sur la masse de l'humanité. Cela ressemble vraiment à un programme visant à réduire la population humaine.
Si les nouvelles variantes s'avèrent plus infectieuses et plus mortelles, sur quoi un établissement médical incompétent ou corrompu les accusera-t-il ? Les non vaccinés continueront-ils d'être le bouc émissaire ? Les camps de concentration australiens vont-ils s'étendre à travers le monde ? Un nouveau virus sera-t-il responsable de l'échec du vaccin à ARNm ? Une libération de la variole est-elle dans notre avenir ?
RépondreSupprimerNous avons atteint le point où il est clair que nous pouvons avoir une confiance nulle dans l'établissement médical, un établissement qui refuse intentionnellement des traitements sûrs et efficaces connus aux patients mourants afin de maximiser ses revenus. Regarde ça.
À en juger par les taux élevés de vaccination dans les pays occidentaux, la majorité des populations ont subi un lavage de cerveau et considèrent le protocole de vaccination mortel comme une protection. Les médias ont systématiquement déformé la menace de Covid depuis le début et sont maintenant trop responsables d'effrayer un grand nombre de personnes par des blessures et la mort pour admettre les faits. Les médias continueront de mentir pour se protéger et protéger l'establishment médical.
Il semble que les gouvernements du « monde libre » ne seront pas satisfaits tant que des taux de vaccination de 100 % ne seront pas appliqués, que ce soit via la politique autrichienne consistant à confiner toute la population en résidence surveillée ou la politique australienne consistant à enfermer les gens dans des camps de concentration.
https://www.lewrockwell.com/2021/12/paul-craig-roberts/vaccination-causes-covid-variants/
Laissez-les manger des volts !
RépondreSupprimerBy Eric Peters
29 novembre 2021
Il était une fois – il n'y a pas si longtemps – le Parti démocrate était au moins nominalement un parti populiste, ostensiblement opposé à la politique des élites, que le GOP était censé représenter. Existe-t-il une meilleure mesure de la façon dont ces rôles se sont inversés que la poussée de voitures électriques par des élitistes démocrates tels que le secrétaire aux transports de Biden Thing, Pete Buttigieg ?
Il conseille avec désinvolture aux Américains moyens qui ont du mal à payer 3,40 $ pour un gallon d'essence qui leur a coûté 2,20 $ juste avant que lui et Biden Thing ne prennent le contrôle de l'appareil gouvernemental d'un républicain pour y faire face en se débarrassant de leur voiture à essence. en faveur d'une voiture électrique.
« Ils n'auront plus jamais à se soucier des prix du gaz », dit-il.
Le problème, bien sûr, est que les voitures électriques coûtent encore plus cher que le carburant d'une voiture non électrique à 3,40 $ le gallon.
Ou même 5$.
Le moins cher d'entre eux - aucun n'étant abordable - autocollant pour environ 35 000 $ pour commencer et c'est pour la version avec la batterie faible qui peut parcourir environ 150 miles avant que sa batterie ne soit déchargée et nécessitera d'attendre au moins une demi-heure ou plus pour récupérer toute charge importante. Si vous avez besoin d'une voiture qui peut voyager plus que cela avant qu'elle ne voyage plus, le prix s'élève à 40 000 $ ou plus - et cela n'inclut pas les mises à niveau de câblage nécessaires à la maison pour pouvoir se recharger en moins d'une nuit .
Il ne prend pas non plus en compte le coût futur du remplacement de la batterie lorsqu'elle perd inévitablement sa capacité à se recharger.
Ces coûts sont bien entendu insignifiants si vous êtes branché. . . dans les poches de personnes prostrées, obligées de remettre une grande partie de leurs gains pour que vous puissiez toucher un salaire gouvernemental à six chiffres, comme le fait Buttigieg.
Qu'ils mangent des volts !
Il pourrait aussi bien le dire. Il le pense certainement. Le mépris insensible - ou est-ce simplement l'oubli ? – le Secretary Thing montre que la situation dans laquelle lui et les siens ont placé les Américains moyens n’est rien de moins qu’étonnante.
Et exaspérant.
L'insupportable culot élitiste de ces gens, qui imposent des souffrances tout à fait inutiles et tout à fait évitables - les prix de l'essence devraient baisser, comme ils l'étaient, avant que le Biden Thing ne s'empare de l'appareil gouvernemental - puis sourire et dire aux gens de juste dépenser plus d'argent qu'ils n'ont pas, ça vaut moins avec le passage de toutes les 24 heures à cause d'autres politiques qui peuvent être mises aux pieds de ces mêmes créatures, sur des choses qu'ils ne peuvent pas se permettre et qui leur coûtent plus que de l'argent.
Le temps du Secretaire Thing est précieux, alors que celui des petites gens – comme nous l’appelait autrefois un autre élitiste – ne l’est pas. Il n'a pas à planifier sa journée – ou ses déplacements – en fonction des limites des véhicules électriques. Il a la possibilité de prendre des photos dans un VE (comme son patron, le Biden Thing l'a récemment fait avec 75 000 $ pour démarrer GM EV) ou d'être emmené là où il doit être, en ce moment - peu importe à quelle distance - sans avoir attendre, pour n'importe quoi. Il existe des Chevrolet Suburban blindées et non électriques avec de gros moteurs V8 qui tournent toujours au ralenti. Des jets du gouvernement pour emmener le Secrétaire Thing à la prochaine séance de photos. Leurs réservoirs étaient toujours pleins grâce à l'approvisionnement illimité de l'argent des autres qui les finance et les alimente.
Les petits peuvent attendre.
RépondreSupprimerS'ils peuvent payer.
Peu le peuvent. Les véhicules électriques - même avec des commissions fiscales « généreuses » - coûtent toujours autant à l'achat qu'une voiture de luxe d'entrée de gamme non électrique, ce qui en fait un luxe pour les riches, qui ne craignent pas d'attendre - ou qui (comme c'est généralement le cas ) disposent d'une voiture de secours non électrique à portée de main pour ne pas avoir à attendre.
C'est pas sorcier. Mais c'est de la science politique. Nous pouvons voir quelles sont les priorités du parti qui n'est même plus purement populiste, qui est devenu élitiste comme le GOP ne l'a jamais été, même dans les représentations les plus exagérées du Parti démocrate. Ce qui est devenu la chose même à laquelle il s'est prétendument opposé, sans (apparemment) même s'en rendre compte.
Ces choses continuent de prononcer des slogans populistes – « reconstruisez mieux ! » – tout en poursuivant des politiques qui assurent l'asservissement de la population.
L'une des deux choses doit être vraie.
Premièrement, que les démocrates entendent serf la population ; deuxièmement, ils sont tellement déconnectés qu'ils ne perçoivent plus à quel point ils sont devenus élitistes, ne se mélangeant qu'entre eux et croyant ainsi que tout le monde est comme eux.
Peut se permettre de dépenser plus de 40 000 $ pour « économiser de l'argent » sur l'essence qui coûte 3,40 $ le gallon.
Cela pourrait aussi être les deux choses, tordues ensemble. Comme les orateurs du parti décrits dans le 1984 d'Orwell – qui pratiquaient quelque chose appelé Duckspeak, le bruit inconscient d'un animal qui était aussi – en même temps – consciemment craché des claptrap prononcés avec un sourire narquois cynique et une dérision consciente des rubes agressés par lui.
Tout ce que nous pouvons savoir avec certitude, c'est que s'il cancane comme un canard, c'en est probablement un.
https://www.ericpetersautos.com/2021/11/29/let-them-eat-volts/
Ces modèles climatiques laids
RépondreSupprimerComité de rédaction I & I
30 novembre 2021
Le récit selon lequel l'homme cuisine sa planète comme une dinde de Thanksgiving exagérée n'a survécu que parce que les médias l'ont soutenu. Mais nous sommes convaincus que l'histoire finira par s'effondrer. Les preuves ne favorisent pas les alarmistes climatiques.
Un exemple le plus récent qui devrait aider à faire pencher la balance vers la raison : les chercheurs ont découvert que le réchauffement de l'océan Arctique n'est pas un événement récent qui coïncide avec l'accélération industrielle d'après-guerre et la croissance de la propriété automobile. Elle a commencé au début du siècle précédent.
Selon une étude de l'Université de Cambridge, le réchauffement est arrivé "des décennies plus tôt que les enregistrements ne le suggèrent" et est "dû à l'eau plus chaude qui s'écoule dans le délicat écosystème polaire de l'océan Atlantique", explique Science Daily.
"Les résultats, rapportés dans la revue Science Advances, fournissent la première perspective historique sur l'atlantification de l'océan Arctique et révèlent une connexion avec l'Atlantique Nord qui est beaucoup plus forte qu'on ne le pensait auparavant."
En d'autres termes, il existe des influences climatiques et environnementales qui ne sont toujours pas entièrement comprises.
Pourtant, tout ce que nous entendons, c'est que nous devons faire confiance aux scientifiques, qui sont parvenus à un consensus selon lequel l'habitude de l'homme à brûler des combustibles fossiles entraîne un désastre planétaire. Aucune dissidence par rapport à cette déclaration n'est autorisée. Ceux qui refusent de prêter allégeance à l'histoire acceptée sont considérés comme indésirables.
C'est là où nous en sommes en 2021, et où nous en sommes depuis une vingtaine d'années - dans le monde des études climatiques, la science indésirable a dépassé l'enquête honnête et ouverte.
Bien qu'elles soient extrêmement importantes, les découvertes dans l'Arctique elles-mêmes ne sont qu'une partie de l'histoire. Ce qu'ils impliquent est également important. Les chercheurs ont conclu « que leurs résultats exposent également une faille possible dans les modèles climatiques, car ils ne reproduisent pas cette atlantification précoce au début du siècle dernier », explique Science Daily.
Possible ? Il y a beaucoup à suggérer que les modèles que le monde devrait s'incliner ont largement raté la cible.
« Lorsque l'histoire de la modélisation du climat vient d'être écrite dans un avenir lointain, l'histoire principale pourrait bien être la façon dont la réponse facile et calculable s'est avérée être la mauvaise, entraînant un réchauffement surestimé et de fausses craintes dues aux ) effet de serre », écrivait Robert L. Bradley Jr. il y a quelques mois pour l'American Institute for Economic Research.
RépondreSupprimerBradley fonde son observation sur les commentaires de Steven Koonin, qui n'est pas un agent républicain ni un shill d'entreprise, mais un physicien formé au Massachusetts Institute of Technology et à CalTech et nommé par Obama, qui a déclaré que parce que les résultats produits par les modèles « ne ressemblent généralement pas à grand-chose comme le système climatique que nous observons, les modélisateurs ajustent ensuite (« ajustent ») ces paramètres pour obtenir une meilleure correspondance avec certaines caractéristiques du système climatique réel.
La vérité enfouie est que les modèles sont à près d'un demi-degré Celsius. Ceux employés par les Nations Unies indiquent que la température mondiale moyenne aurait dû augmenter de 1,5 degré depuis 1850, mais les "meilleures estimations montrent" que l'augmentation a été d'un peu plus d'un degré.
En termes simples, « les modèles climatiques surchauffent ».
L'économiste David R. Henderson et Charles L. Hooper, membre invité de la Hoover Institution, déclarent que parce que "nous n'avons pratiquement aucune capacité à mener des expériences contrôlées, telles que l'augmentation et la diminution des niveaux de gaz carbonique dans l'atmosphère et la mesure du changement de température qui en résulte", les chercheurs "construisent élaborer des modèles informatiques qui utilisent la physique pour calculer comment l'énergie entre, traverse et sort de la terre, de l'eau et de l'atmosphère de notre planète.
Les modèles, par conséquent, "ont de sérieuses limitations qui limitent considérablement leur valeur pour faire des prédictions et orienter les politiques". Les données qui y sont introduites manquent tellement de valeur que nous devrions être sceptiques quant à tout ce qu'ils crachent.
La réalité finira par rattraper l'hyperbole climatique. Et bientôt, nous l'espérons. Les médias et les politiciens et militants attisant et perpétuant la peur sont en train de faire justice.
— Écrit par le comité de rédaction d'I&I
https://issuesinsights.com/2021/11/30/those-ugly-climate-models/
(...) Selon une étude de l'Université de Cambridge, le réchauffement est arrivé "des décennies plus tôt que les enregistrements ne le suggèrent" et est "dû à l'eau plus chaude qui s'écoule dans le délicat écosystème polaire de l'océan Atlantique", explique Science Daily. (...)
SupprimerMais !!! Qu'est-ce qu'ils apprennent dans les 'universités britanniques' ??!
Ils apprennent à être CON !
Ils viendraient de s'apercevoir qu'il y aurait des fuites magmatiques sous les glaces des pôles !! Çà alors !! Bêh dis-donc ! S'ils doivent attendre d'aller à l''université' pour apprendre çà... moi au cm1 je savais déjà !
Des 'fuites' appelées des sources chaudes IL Y EN A DES MILLIONS (voire des milliards) qui tapissent les planchers maritimes & océaniques !!
Ce sont ces mêmes sources chaudes qui réchauffent les courants (lames de fonds) et qui apportent donc des températures douces çà et là en Côte d'Azur ou côtes bretonnes pour ne citer que celles-là.
Voir:
Est-ce que 40 000 volcans sont importants ?
mercredi 13 décembre 2017
http://joannenova.com.au/2017/12/do-40000-volcanoes-matter/#more-56139
https://huemaurice5.blogspot.com/2017/12/est-ce-que-40-000-volcans-sont.html
Les prix de l'électricité finlandais sont multipliés par 5 en raison d'un temps anormalement froid et d'une aggravation de la crise énergétique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 01 DEC 2021 - 02:45
La Finlande a succombé à la crise énergétique alors que les ménages et les entreprises ont payé au début de la semaine 422 € par MWh (taxes comprises), soit environ cinq fois plus qu'il y a un an, selon les données de la bourse d'électricité Nord Pool.
La nation d'Europe du Nord bordant la Suède, la Norvège et la Russie est dépendante de l'énergie, ce qui signifie qu'elle doit importer des volumes élevés de combustibles fossiles, tels que le pétrole et le gaz naturel. Les sources nationales de production d'électricité comprennent les centrales thermiques, nucléaires et hydroélectriques.
Des experts en énergie ont déclaré à RT News que la flambée des prix du gaz naturel en Europe centrale était attribuée à la flambée des prix de l'électricité. Les experts ont mis en garde contre très peu de soulagement pour les ménages et les entreprises finlandais qui pourraient connaître des coûts d'électricité accrus jusqu'à l'été prochain.
La remontée massive des prix du gaz en Europe ne s'atténuera pas de sitôt. Mardi, le prix du gaz au hub néerlandais TTF, le prix du gaz de référence pour l'Europe, a grimpé à 100 € par MWh.
- voir graphique sur site -
"Selon nos prévisions, le prix de l'électricité restera élevé en hiver mais commencera à baisser au printemps. Il est probable qu'il ne sera pas aussi élevé qu'aujourd'hui, mais le niveau global reste élevé", a déclaré la compagnie d'électricité finlandaise Fingrid. a déclaré le porte-parole Mikko Heikkila.
"La Finlande est très dépendante des importations. En hiver, nous avons besoin de l'énergie des pays voisins, mais si le marché de l'électricité et la production nationale d'électricité fonctionnent normalement, l'hiver prochain, il y aura suffisamment d'électricité", a déclaré Heikkila.
La flambée des prix de l'électricité survient alors que la température moyenne du pays restera bien en deçà d'une ligne de tendance sur 30 ans jusqu'au 15 décembre.
- voir graphique sur site -
Les degrés-jours de chauffage du pays montrent que la demande d'électricité continuera d'augmenter car les températures restent bien inférieures à la moyenne.
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerLe russe Gazprom PJSC, principal fournisseur de gaz naturel en Europe, a averti lundi que les prix resteraient élevés dans les prochains mois, offrant très peu de soulagement aux ménages qui chauffent leur maison au gaz et aux centrales électriques qui produisent de l'énergie avec. Avec l'hiver de l'hémisphère nord dans quelques semaines, il semble que la crise énergétique de l'Europe va s'aggraver.
La flambée de l'inflation énergétique et la hausse des prix des denrées alimentaires sont à l'origine d'un « hiver de mécontentement » dans toute l'Europe. Méfiez-vous des politiciens de l'UE.
https://www.zerohedge.com/commodities/finnish-electricity-prices-jump-5x-amid-unseasonably-cold-weather-and-worsening-energy
Les coûts de l'énergie pourraient augmenter de 50 % en Pennsylvanie à partir de ce mois
RépondreSupprimermardi 30 novembre 2021
par : Cassie B.
(Natural News) La Pennsylvania Public Utility Commission (PUC) a averti que les Pennsylvaniens pourraient être touchés par des factures d'énergie jusqu'à 50 % plus élevées à partir de mercredi.
Dans un communiqué de presse du PUC, ils ont expliqué : « La plupart des services publics d'électricité réglementés de Pennsylvanie ajustent le prix qu'ils facturent pour la partie production des factures des clients le 1er décembre pour les clients non commerçants, également connu sous le nom de « Prix à comparer » ( CTP)."
Le PTC représente environ la moitié de la facture totale des services publics de la plupart des clients, bien qu'il dépende également des niveaux d'utilisation et du fournisseur de services publics.
À Pike County Light & Power, les coûts de l'énergie devraient augmenter de 50,2 % à partir du 1er décembre, passant de 6,5234 cents par kWh à 9,796 cents par kWh. Pendant ce temps, la société de distribution d'électricité PPL augmente son PTC pour tous les clients résidentiels de 26 %, passant de 7,544 cents par kWh à 9,502 cents par kWh ; cela équivaut à une augmentation d'environ 40 $ par mois pour les clients du chauffage électrique qui utilisent 2000 kilowattheures par mois. Pendant ce temps, Citizens Electric instituera une hausse de 13,9% du PTC.
Le président de la PUC a averti que l'arrivée de l'hiver et les changements de prix signifient qu'il est temps pour les gens de commencer à examiner de plus près leurs options énergétiques et à chercher des moyens d'économiser sur leurs factures de services publics dans les mois à venir. À cette fin, ils ont encouragé les gens à examiner attentivement leurs factures d'électricité et à comprendre comment leurs prix de l'énergie sont structurés, en plus d'en apprendre davantage sur la conservation de l'énergie.
Quelle est la cause de la hausse des prix de l'énergie ?
Un porte-parole de la PUC a imputé la situation aux « forces du marché ». Les prix du carburant pour les groupes électrogènes augmentent en raison du prix du gaz naturel, ce qui entraîne une augmentation des prix de l'électricité sur les marchés de gros de l'électricité.
La nouvelle survient juste un mois après que l'Energy Information Administration des États-Unis a publié un rapport qui prévoyait que le pays connaîtrait la plus forte augmentation des coûts de chauffage en hiver depuis 2008.
Dans une interview avec Fox News, le directeur de la politique environnementale du Mackinac Center for Public Policy, Jason Hayes, a reproché à l'administration Biden ses politiques énergétiques. Il a déclaré qu'il ne pouvait pas comprendre pourquoi certains dirigeants occidentaux n'avaient pas reconnu l'importance de garantir à la population une énergie et une électricité fiables et abordables.
« Il semble que les seuls pays qui comprennent que nous avons besoin d'une énergie distribuable fiable et abordable sont la Chine et la Russie. Et ils sont les seuls à produire de l'énergie et ils sont plus qu'heureux de garder cette énergie en otage pour le reste du monde », a-t-il déclaré.
Au cours de ses premières heures au pouvoir, Biden a annulé le pipeline Keystone XL qui aurait transporté le pétrole du Canada vers les États-Unis et a suspendu les baux pour le pétrole et le gaz naturel sur les terres fédérales. Plusieurs États ont déposé une plainte pour bloquer la pause, et jusqu'à présent, les tribunaux se sont rangés de leur côté. Biden envisage également de fermer le pipeline de la canalisation 5 dans le Michigan, qui fournit de l'énergie à la péninsule supérieure de l'État.
RépondreSupprimerComment les Pennsylvaniens peuvent économiser de l'argent sur l'électricité cet hiver
Le coût du chauffage de votre maison représente environ un tiers d'une facture de services publics typique. Par conséquent, trouver d'autres moyens de rester au chaud, comme baisser le chauffage et s'habiller plus chaudement à la maison, peut faire une différence significative.
De plus, faire inspecter votre fournaise au début de l'hiver peut vous aider à vous assurer qu'elle fonctionne à plein rendement. Remplacez vos filtres tous les mois et gardez les plinthes chauffantes et les registres d'air chaud propres et non obstrués. Vous devriez également réduire votre utilisation de ventilateurs de cuisine et de salle de bain, car ils peuvent aspirer l'air chaud de votre maison.
Selon The Balance, régler votre thermostat à 7 à 10 degrés de moins que d'habitude pendant huit heures par jour peut vous faire économiser jusqu'à 10 % sur vos factures de chauffage. Vous devez également débrancher les appareils électroniques et les chargeurs rarement utilisés lorsqu'ils ne sont pas utilisés. Assurez-vous de vérifier votre maison pour les fuites d'air et les courants d'air, et utilisez des coupe-froid ou du calfeutrage pour sceller les espaces. Il est particulièrement important de trouver des moyens d'économiser de l'énergie, car les Américains continuent de faire face à la hausse des prix et à l'inflation.
Les sources de cet article incluent :
TheEpochTimes.com
FoxBusiness.com
TheBalance.com
https://www.naturalnews.com/2021-11-30-energy-costs-could-rise-pennsylvania-december.html