- ENTREE de SECOURS -



jeudi 4 novembre 2021

Les 3 pays dans lesquels je m'expatrierais si j avais 30 ans en 2021

https://www.objectifeco.com/expatriation/mode-demploi/debuter-choisir-son-pays/les-3-pays-dans-lesquels-je-m-expatrierais-si-j-avais-30-ans-en-2021.html 

10 commentaires:

  1. Nucléaire : sortir du mythe de la fin de vie à 40 ans

    Si nous choisissions d’abandonner l’atome, quel en serait le coût ?


    Par Jean-François Moreau1.
    5 NOVEMBRE 2021


    Dans son intervention du 19 octobre 2021 sur RMC, Jean-Luc Mélenchon a brandi le spectre de la péremption supposée des réacteurs, en affirmant que « les centrales ont été construites avec une durée de vie de 40 ans », tout en insinuant qu’il était possible de les bricoler « pour les faire durer 20 ans » de plus. Une affirmation qui se heurte à la réalité scientifique.

    NON, LES CENTRALES NUCLÉAIRES N’ONT PAS DE DATE DE PÉREMPTION

    Contrairement à ce qu’affirme le candidat de la France insoumise, les centrales nucléaires n’ont pas de limite d’utilisation prédéfinie. Il faut distinguer la durée de vie de l’ensemble, de celle des éléments qui constituent cet ensemble. Par exemple, pour un réacteur, cette limite correspond à l’impossibilité de remplacer une pièce essentielle ou bien à un risque de sûreté, ce qui est très rarement le cas.

    Pourquoi 40 ans ?

    Comme bien souvent, ce sont les États-Unis qui nous servent d’étalon. En l’occurrence, le délai de 40 années provient de l’application de règles antitrust appliquées par la Nuclear Regulatory Commission (NRC). Mais il n’aura pas échappé à Jean-Luc Mélenchon qu’en France, c’est l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) qui délivre les autorisations de fonctionnement, renouvelables après réévaluation du niveau de sûreté.

    Ainsi, il n’existe ni limite réglementaire ni limite « naturelle » pour les centrales françaises. Contrairement à ce que soutient le candidat, nos réacteurs ne seront pas obsolètes d’ici la fin du prochain quinquennat ou « rafistolés », comme un taxi-brousse, mais bel et bien remis à niveau par un grand carénage.

    Si au lieu d’engager ce programme de renforcement de nos installations nucléaires, nous choisissions d’abandonner l’atome, quel en serait le coût ? Les estimations varient. L’Institut Montaigne avance le chiffre de 217 milliards d’euros. De son côté, Global Chance souligne qu’une sortie du nucléaire en 20 ans coûterait la même chose qu’un maintien du mix actuel.

    On le voit, quel que soit le scénario retenu, la sortie du nucléaire n’est pas intéressante économiquement. Mais qu’en est-il sur le plan climatique, dans l’hypothèse d’une transition énergétique rapide fondée sur le recours aux énergies renouvelables (ENR) ?

    LE NUCLÉAIRE N’EST PAS PLUS ÉMETTEUR DE GAZ À EFFET DE SERRE QUE LES ENR

    Pour se rendre compte des effets d’une transition brutale, observons l’exemple allemand, pays de l’Energiewende. Depuis 2012 et la fin annoncée et en partie consommée du nucléaire, le bilan carbone du pays a-t-il baissé ? Évidemment non, puisque pour compenser l’abandon du nucléaire, l’Allemagne a massivement recours au charbon, dont le pays ne sortira qu’en 2038, si les objectifs affichés par Berlin sont respectés.

    Les conséquences de l’Energiewende sont d’autant plus délétères que les renouvelables ne sont elles-mêmes pas exemptes d’externalités négatives : une seule éolienne offshore nécessite 5000 tonnes de béton et le recyclage des pales, dont la durée de vie est limitée à 30 ans, en est encore à ses balbutiements.

    Ainsi, pour l’Agence européenne de l’Environnement, c’est bien la France qui est dans le haut du classement des pays les moins émetteurs de gaz à effet de serre dans l’UE en tonnes de CO2 par habitant (un peu moins de 7).

    L’Allemagne, en revanche, fait figure de cancre avec quasiment 11 tonnes. Pas étonnant si l’on se souvient que dans ses quatre scénarios visant à limiter la hausse de la température à 1,5 °C d’ici 2100, le GIEC conclut à la nécessité d’une augmentation significative du nucléaire, et non à sa réduction…

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  2. LE CLIMAT ET LA SOUVERAINETÉ EUROPÉENNE SONT DES ENJEUX INDISSOCIABLES

    Comme le sait certainement Jean-Luc Mélenchon, l’urgence climatique repose sur une sortie des énergies fossiles. Or, en sortant du nucléaire « au plus vite » comme l’Allemagne, il faudra se tourner vers une énergie pilotable non dépendante des aléas climatiques, mais plus polluante.

    L’élu serait alors probablement le gaz, combustible fossile émetteur de gaz à effet de serre (69 fois plus que le nucléaire). Compte tenu de la baisse de la production en mer du Nord, nous deviendrions rapidement dépendants de pays producteurs extra-européens, au premier rang desquels la Russie.

    Cela a été bien compris par Moscou mais aussi Pékin, qui constitueraient un duopole auquel la France ne pourrait contester le leadership si elle s’entêtait à sortir du nucléaire. Le discours de Jean-Luc Mélenchon aurait donc, s’il était mis en application, des conséquences délétères pour le climat, mais aussi pour l’indépendance stratégique européenne.

    N’en déplaise au leader Insoumis, les Français semblent de plus en plus nombreux à l’avoir compris : désormais, seuls 15 % d’entre eux considèrent l’atome comme un handicap, contre 34% en 2019, selon un sondage BVA d’octobre 2021.

    Jean-François Moreau est ingénieur de formation, journaliste spécialisé dans les domaines des énergies, de la transition énergétique et de l’efficacité énergétique des bâtiments. ↩

    https://www.contrepoints.org/2021/11/05/410815-nucleaire-sortir-du-mythe-de-la-fin-de-vie-a-40-ans

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    1. Y a ceux qui font de la politique, des gros cons qui ne connaissent rien mais qui parlent, et puis y a les scientifiques qui ne sont pas écoutés ou censurés quand ils parlent.

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  3. LES TARIFS DES ÉNERGIES RENOUVELABLES FRAPPENT PLUS LES FRANÇAIS QUE LE COVID


    par LUDOVIC GRANGEON
    05/11/2021


    Démanteler une éolienne peut revenir à plus de 500.000 euros.

    En 2019, un jeune sur deux de 16 à 29 ans a eu des problèmes pour payer son loyer et son électricité, comme 40% des personnes de 30 à 44 ans. Les statistiques récentes de l’INSEE sont claires. A l’approche de l’hiver, jamais les pauvres n’auront eu aussi froid ni autant de problèmes avec leur facture d’électricité. Depuis l'arrivée des éoliennes, les prix flambent.

    Pour le moment, le taux de pauvreté à 14,6 % de la population française est stable en 2020 par rapport à 2019. Les aides de la crise masquent probablement ce chiffre, mais le problème vient donc des charges. Même si des chèques énergie soulagent les plus pauvres, il ne faut pas oublier que ces aides seront payées … par les Français aussi… et que ce sera donc une double peine pour l’économie de la Nation, déjà endettée à 120 % du PIB et plus.

    Plutôt que remplir deux fois un tonneau percé, il vaut mieux en boucher les trous.

    Pour ceux qui n’y croient pas : le seul exemple de la taxe CSPE sur l’électricité, passée en 15 ans d’éolien de 3.30€ à 22.50€ soit 680% d’augmentation !!! Et il y en a 3 autres du même ordre. Les taxes pèsent plus de la moitié du l'électricité et la part des énergies renouvelables a explosé. Le problème est donc bien dans les tarifs aberrants de l’électricité et la conception actuelle de son marché, à propos desquels le Ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, ne décolère pas depuis l’automne, et qu'il souhaite réformer le plus vite possible. L’augmentation des taxes et subventions aux énergies renouvelables atteint des montants astronomiques, et surtout une dette colossale due aux dissimulations antérieures, remboursée aussi par une taxe qui s'ajoute aux autres. Plusieurs taxes sont parties dans le budget général pour que ça ne se remarque pas trop, notamment celle qui avait fait hurler les Gilets Jaunes, où l’essence finançait en plus les éoliennes avec en prime 4 augmentations en un an de l’électricité. Le ministre écologiste de Rugy avait sans doute trop mangé de homard ce jour-là.

    Les affirmations du secteur des éoliennes sur la « rentabilité de sa production » sont biaisées et peu honnêtes : le prix final est affiché après déduction de toutes les aides perçues, d’un tarif fixe garanti à l’avance sur 15 ans à prix d’or par rapport aux fluctuations du marché, sans prendre en compte l’entretien du réseau doublé à cause de leur installation anarchique en rase campagne loin des lieux de consommation, sans prendre en charge la dette due aux taxes de soutien de leur tarif. L'éolien n'assume toujours pas les coûts de recyclage de ses installations qui polluent beaucoup plus qu’on ne le croyait, selon le constat d’économie circulaire du Ministère lui-même. (béton, transformateurs, lanthanides, centaine de milliers de tonnes de pales toxiques non recyclables). Si les éoliennes étaient performantes, elles seraient sur le marché de l'électricité depuis longtemps comme tout le monde. Nous n'avons plus les moyens d'entretenir ce gouffre financier qui en plus ne marche pas puisqu'il ne remplace rien d'autre. Le solaire est en partie compensé par l'autoconsommation, mais pas l'éolien. Il est surprenant que ce secteur prétende parler au nom des énergies renouvelables alors que l'hydraulique pèse 2 fois plus que l'éolien et coûte 2 fois moins cher sans aide. Pourquoi les journalistes montrent ils toujours une éolienne au lieu d'une chute d'eau en parlant d'énergies renouvelables ?

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  4. Après l’essence, les autoroutes, et le vent, l’eau de pluie deviendrait à péage.

    Un peu de pédagogie : Imaginons une petite comparaison avec l’eau potable pour comprendre pourquoi ce système est aberrant. Si l’eau était gérée comme le vent …. On paierait l’eau de pluie deux fois plus cher que l’eau du robinet. Les réseaux vitaux d’eau potable seraient considérés comme un secours en fournissant pourtant 80 % des besoins. Des promoteurs pourraient installer des réservoirs privés partout où ils veulent et nous obliger à consommer leur eau avant celle du robinet, à prix d’or fixe et garanti par l’Etat… et le percepteur. Ils auraient même le droit d’exiger que les réseaux d’eau potable remplissent à perte leur réservoir en cas de sécheresse pour nous la revendre à prix d’or (Arenh). Les producteurs classiques seraient en difficulté, ce qui ferait encore monter les tarifs et la facture de l’eau pourrait grimper à 4 fois le prix. Cette comparaison illustre exactement ce qui se passe sur le marché de l’électricité en raison de la gestion aberrante du tarif des énergies renouvelables, dans des conditions « chaotiques » selon les termes très durs de la Cour des Comptes.

    Et quand on parle de l’eau, le danger est présent aussi car les milieux d’affaires à Bruxelles veulent maintenant privatiser nos barrages… Les factures d’eau pourraient exploser aussi et renchérir beaucoup plus encore l'électricité, car la véritable énergie renouvelable peu chère en France reste encore l'hydraulique (12-15%) qui pèse deux fois l'éolien (7-8%) . De plus, l'hydroélectricité est beaucoup plus pilotable que l'éolien aléatoire qui dépend du vent instantané. L'hydroélectricité fait donc beaucoup moins tourner les centrales gaz et charbon que l'éolien.

    http://www.economiematin.fr/news-prix-energie-renouvelable-france-consommation-grangeon

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    1. (...) Démanteler une éolienne peut revenir à plus de 500.000 euros. (...)

      Un bon terroriste te fait sauter çà pour 3 francs 6 sous !

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    2. Y a même des étrangers qui viendraient la démonter pour rien, l'emporter à la revendre chez eux dans leurs pays de merde !

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  5. Fuite de document à la COP26 : la Commission européenne demande à ce que le gaz fossile et le nucléaire soient labellisés « énergie verte »


    par Candice Vacle.
    4 novembre 2021


    Quand vous entendez « énergie verte » à quoi pensez-vous ?

    Aux centrales solaires, à l’hydroélectricité, aux éoliennes,…

    La Commission européenne (composée de membres non élus) a une manière très surprenante de concevoir l’« énergie verte ». En effet, lors de la COP26 a fuité deux pages d’une proposition d’un texte juridique de la Commission européenne « demandant à ce que le gaz fossile et le nucléaire soient deux activités labellisées « énergie verte » par l’Union européenne (UE) »1.

    S’agit-il d’un détournement des mots à des fins politiques ?

    « Inclure le gaz fossile comme une énergie verte de « transition » au sein de la taxonomie [c’est-à-dire classification] européenne serait un contre-sens climatique. Depuis 2015, les scientifiques martèlent que pour limiter le dérèglement climatique, il faudrait laisser dans nos sous-sols plus de la moitié des réserves mondiales de gaz. Et les Nations unies ainsi que la revue Nature viennent tous deux de démontrer que la production de gaz doit diminuer de 3 % par an pour maintenir le réchauffement global à +1,5°C », écrit Médiapart le 1 novembre 2021[1].

    Quant au nucléaire, il s’agit de la pollution des eaux, des sols, de l’air et le problème des déchets nucléaires2. Ces déchets radioactifs émettent des rayonnements invisibles pouvant être dangereux (ex : cancer) voire mortels. Certains d’entre eux ont une durée de vie très longue se comptant en millions d’années. Et les plus dangereux ont une concentration radioactive si élevée que seulement des machines peuvent manipuler les conteneurs qui les contiennent3.

    La fuite de ce document européen vient rappeler que la France promeut activement le gaz fossile Hongrois explique Médiapart[1]. Pourquoi ? La raison de ce curieux soutien réside, selon Médiapart dans le fait que la France « demande en contrepartie leur appui pour que le nucléaire soit considéré comme une énergie climato-compatible avec les engagements climatiques de l’UE ».

    Candice Vacle

    https://reseauinternational.net/fuite-de-document-a-la-cop26-la-commission-europeenne-demande-a-ce-que-le-gaz-fossile-et-le-nucleaire-soient-labellises-energie-verte/

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  6. La Nina déclenche une "vague de froid" à travers la Chine alors que le PCC demande aux ménages de stocker de la nourriture


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 04 NOV. 2021 - 19:45


    L'Administration météorologique chinoise (CMA) a mis en garde jeudi contre une explosion de froid qui balaierait le pays du nord-ouest au sud-est de la Chine en raison d'un événement météorologique de La Nina.

    Xue Jianjun, directeur adjoint de la CMA, a déclaré : « L'air froid entraînera une chute de température dans tout le pays par rapport à la mi-octobre. La vague de froid est venue de l'ouest de la Sibérie qui a ensuite été renforcée par l'air froid du pôle Nord.

    "De fortes chutes de neige ou de pluie s'empareront du nord-est et du nord de la Chine et de la région autonome de Mongolie intérieure, et les agriculteurs devraient y stocker le maïs à l'extérieur avant les précipitations", a déclaré Jianjun.

    L'AMC a averti le mois dernier qu'une configuration météorologique de La Nina apporterait un temps plus froid dans le pays. Le moment de l'air plus frais est problématique au milieu d'une crise énergétique qui a entraîné des rationnements d'électricité à l'échelle nationale.

    Pékin a compris à l'avance que La Nina apporterait un temps plus froid. Il a ordonné aux principales sociétés énergétiques publiques du pays de sécuriser à tout prix les approvisionnements en charbon pour cet hiver en septembre.

    L'agence de presse d'État Xinhua News Agency a déclaré que "la possibilité d'événements de refroidissement extrêmes et forts progressifs est élevée".

    Les prévisions de température moyenne de Bloomberg pour la Chine montrent une baisse profonde des températures cette semaine. Le temps restera bien en deçà d'une moyenne de 30 ans jusqu'à la mi-décembre.

    Dans un certain contexte, un événement de La Nina en 2008 a déclenché un coup de neige dévastateur et un temps glacial qui a causé des morts et des dommages aux cultures, affectant 20 provinces.

    Il est donc désormais logique que le ministère du Commerce ait demandé lundi aux ménages de s'approvisionner en nourriture en cas d'urgence, principalement parce qu'il s'attend à des pénuries alimentaires.

    La Chine pourrait être confrontée à un monde de problèmes car le temps froid continuera de peser sur les approvisionnements énergétiques et alimentaires, ouvrant la possibilité à un hiver de mécontentement parmi ses citoyens.

    Du côté positif, La Nina pourrait être une bonne nouvelle pour Pékin d'accueillir les Jeux olympiques d'hiver en février.

    https://www.zerohedge.com/markets/la-nina-sparks-cold-wave-across-china-ccp-tells-households-stockpile-food

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  7. La Californie forcée d'adopter le gaz naturel


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 04 NOV. 2021 - 20:45
    Rédigé par Irina Slav via OilPrice.com,


    Les sécheresses sévères et les incendies de forêt cette année ont poussé la Californie à se tourner vers le gaz naturel afin de sécuriser ses approvisionnements énergétiques cet hiver, a rapporté Reuters, avec la California Public Utility Commission à voter cette semaine sur l'extension de l'installation de stockage de gaz à Los Angeles.

    Les sécheresses ont gravement réduit la production hydroélectrique dans l'État, tandis que les incendies de forêt ont compromis les importations d'électricité, qui constituent une grande partie du bouquet énergétique de la Californie. L'État prévoit également de fermer quatre centrales au gaz et sa centrale nucléaire, et le mois dernier, la PUC a ordonné aux services publics de commencer à acheter de l'énergie renouvelable et du stockage de batteries, a rapporté le Wall Street Journal.

    "Alors que les entreprises passent rapidement à des contrats d'électricité, la California Energy Commission et le gestionnaire de réseau de l'État ont récemment exprimé leur inquiétude quant au fait que les achats pourraient ne pas suffire à empêcher les pénuries d'électricité au cours des étés à venir", indique le rapport.

    Selon le rapport de Reuters, également cette semaine, les régulateurs voteront sur l'augmentation de la quantité de gaz stockée dans la plus grande installation de stockage de gaz de Californie - Aliso Canyon.

    - voir clip sur site -

    L'installation est problématique : il y a six ans, une fuite de plusieurs mois a fait les gros titres, et il a été suggéré qu'elle doit être fermée.

    Les problèmes avec Aliso Canyon ont contribué à l'approvisionnement limité en gaz de la Californie ainsi qu'à un manque de pipelines. Mais, selon la commissaire de la PUC, Martha Guzman Aceves, une petite augmentation de capacité « nous permettra de passer cet hiver pendant que nous poursuivons nos progrès vers la planification de la manière de réduire ou d'éliminer notre utilisation d'Aliso Canyon d'ici 2027 ou 2035, ou à tout moment dans entre."

    Jusqu'à ce que cela se produise, la fermeture prévue des centrales au gaz pourrait être à nouveau retardée.

    Initialement, ils devaient prendre leur retraite l'année dernière, mais les craintes de pannes d'électricité le soir, lorsque la demande augmente mais que la production d'énergie solaire diminue, ont entraîné un report. Désormais, l'un sera fermé cette année et les trois autres en 2023.

    https://www.zerohedge.com/energy/california-forced-embrace-natural-gas

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