Vous imaginez-vous avec des effets secondaires à chaque vaccin ?! Combien en avez vous eu dans votre vie ? Combien de morts d'effet secondaire depuis 100 ans ?
En l'ABSENCE de posologie accompagnant les flacons d'expérimentation génique d'essais ON NE DOIT PAS DONNER CE 'MÉDICAMENT' !
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU UNE PANDÉMIE
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT SANS FAIRE UNE SÉROLOGIE PRÉCÉDEMMENT
Regardez : la dernière « solution » d'Al Gore contre le changement climatique est la surveillance de masse
PAR TYLER DURDEN LUNDI 08 NOV 2021 - 10h45 Rédigé par Steve Watson via Summit News,
S'exprimant lors du rassemblement des propriétaires de jets privés et de super yachts, également connu sous le nom de sommet COP 26, Al Gore a présenté sa dernière solution pour réduire les émissions de carbone, la surveillance de masse via des satellites, des capteurs et l'intelligence artificielle.
Dans l'interview d'Andrea Mitchell de MSNBC, Gore a déclaré que la technologie créée par la coalition Climate TRACE surveillera les émissions de gaz à effet de serre et éliminera les coupables.
"Nous obtenons des données de manière cohérente à partir de 300 satellites existants, de plus de 11 000 capteurs terrestres, aériens et marins, de multiples flux de données Internet et en utilisant l'intelligence artificielle", a expliqué Gore, ajoutant
"Toutes ces informations sont combinées, lumière visible, infrarouge, toutes les autres informations qui sont apportées, et nous pouvons maintenant déterminer avec précision d'où viennent les émissions de gaz à effet de serre."
Gore, qui a déclaré en 2008 qu'il n'y aurait plus de calottes glaciaires polaires d'ici cinq ans, a poursuivi : « Et l'année prochaine, nous l'aurons jusqu'au niveau de chaque centrale électrique, raffinerie, chaque grand navire, chaque avion, chaque déchet, dépotoir, et nous aurons l'identité des personnes qui sont responsables de chacun de ces flux d'émissions de gaz à effet de serre.
Et qu'arrivera-t-il, je vous prie, à ces criminels climatiques Al ?
« Si les investisseurs ou les gouvernements, ou les militants de la société civile veulent les tenir pour responsables, ils auront les informations sur lesquelles fonder leur action et les tenir pour responsables », a proclamé Gore.
Ce que Gore et ses 300 satellites découvriront, c'est que c'est l'élite de la classe du luxe super riche qui est le plus gros pollueur au monde.
De nouvelles recherches menées par l'Institute for European Environmental Policy (IEEP) et le Stockholm Environment Institute (SEI) ont révélé que d'ici 2030, l'empreinte carbone des 1% les plus riches de l'humanité est en passe d'être 30 fois supérieure à la taille compatible avec la limitation réchauffement climatique à 1,5°C d'ici la fin du siècle, l'objectif de température le plus ambitieux de l'Accord de Paris.
Le rapport note que si les tendances actuelles se poursuivent, les 1 % les plus riches représenteront 16 % des émissions mondiales de gaz carbonique en 2030.
Le document note qu'« ils entraînent de plus en plus l'étendue des inégalités mondiales et ont probablement un impact plus important sur l'acceptabilité politique et sociale des efforts nationaux de réduction des émissions », ajoutant « Il est donc notable que dans tous les principaux pays émetteurs, les plus riches 10 % et 1 % au niveau national devraient avoir des empreintes de consommation par habitant nettement supérieures au niveau mondial de 1,5 °C par habitant. »
"Les émissions d'un seul vol spatial d'un milliardaire dépasseraient les émissions à vie de quelqu'un du milliard de personnes les plus pauvres sur Terre", a déclaré Nafkote Dabi, responsable de la politique climatique d'Oxfam, dans un autre communiqué.
Dabi a ajouté : « Une petite élite semble avoir un laissez-passer gratuit pour polluer. Leurs émissions surdimensionnées alimentent des conditions météorologiques extrêmes dans le monde entier et mettent en péril l'objectif international de limiter le chauffage mondial. »
« Les émissions des 10 % les plus riches à elles seules pourraient nous envoyer au-delà de la limite convenue au cours des neuf prochaines années », poursuit Dabi, affirmant que « cela aurait des résultats catastrophiques pour certaines des personnes les plus vulnérables de la Terre qui sont déjà confrontées à des tempêtes meurtrières, la faim et le dénuement.
Comme nous l'avons noté la semaine dernière, le Sommet sur le climat de la COP a attiré des dignitaires d'élite sur plus de 400 jets privés, avec des estimations prudentes suggérant que cela équivaudrait à 13 000 tonnes de gaz carbonique.
Jeff Bezos, Bill Gates et le prince Charles, qui vivent leur vie sur des jets privés, des super yachts et des vols spatiaux, se sont immédiatement mis à faire la leçon au reste du monde sur leur empreinte carbone.
Ils font le tour de la planète pour se rencontrer, se gaver de bifteck de chevreuil et de bœuf de première qualité, tout en disant à tout le monde de se taire, de rester à la maison et de manger des insectes :
Ce que l'escroc al gore ne dit pas c'est que le gaz carbonique n'a AUCUN pouvoir calorifique, que TOUS les gaz de l'atmosphère se recyclent immédiatement (sans quoi il n'y aurait jamais eu de vie sur Terre !) et que TOUS les gaz présents dans l'atmosphère sont créé par le magma.
Pareillement que TOUT se que nous remontons de sous-terre et que nous déposons sur ou sous terre revient d'où s'est venu !
Notre planète peut avoir 150 milliards de camions et d'habitants elle ne pèsera pas 1 gramme de plus ou de moins qu'il y a depuis toujours !
Seul le magma et ses gaz rejetés dans l'atmosphère gère le climat mondial quoi que nous fassions ou que des volcans entrent en éruption !
OMS, ONU : la peur, fondement de l’intervention publique
C’est l’étrange alarmisme de l’OMS qui devrait nous alarmer.
Par Jonathan Frickert. 9 NOVEMBRE 2021
Dénombrerons-nous 500 000 morts d’ici la fin de l’hiver si nous ne faisons rien ? Alors que l’exécutif français semble être passé dans une phase d’alarmisme après avoir fait voter la prolongation du pass sanitaire jusqu’à l’été, l’Organisation mondiale de la santé s’est montrée ce jeudi très préoccupée par la situation épidémique européenne.
Le flamand Hans Kluge, directeur régional de l’organisation pour l’Europe depuis février 2020, a notamment pointé du doigt l’insuffisance de vaccination et l’assouplissement des mesures dans la plupart des pays européens.
Principal signe d’alerte : le doublement des hospitalisations en moins d’une semaine dans les hôpitaux du vieux continent.
LE RETOUR DE TARTUFFE
Cet alarmisme a une certaine dose d’ironie, les champions mondiaux de la hausse du nombre de décès liés à la covid ne sont autres que les pays d’Europe de l’Est dont les États ne sont guère connus pour leur laxisme à l’égard de leur population.
Ensuite, l’OMS n’a guère brillé dans cette pandémie.
Depuis bientôt deux ans, l’organisation a montré, plus que dans toute son histoire, son inutilité.
Outre les soupçons de collusion avec le régime chinois, l’OMS est régulièrement attaquée pour son absence de vision et sa structure bureaucratique favorisant largement la corruption, comme le rappelait dans nos colonnes Christophe de Brouwer en avril 2020.
Tout cela évidemment financé grassement par les contribuables du monde entier, sans doute heureux de savoir que l’OMS aurait par exemple, en mars 2017, dépensé davantage pour les voyages de son personnel que pour la lutte contre les grandes épidémies qui secouent encore aujourd’hui la planète.
Autant d’éléments qui sont loin d’apporter du crédit aux alertes de l’organisation. Pour cause, au micro de nos confrères de CNews vendredi, le professeur Bruno Megarbane a mis en doute le réalisme de telles prévisions, évoquant plutôt 350 000 morts d’ici le mois de mars.
Voilà qui devrait mettre la puce à l’oreille sur l’étrange alarmisme de l’OMS.
Difficile de ne pas voir dans ces appels une réplique de ce que nous connaissons depuis bientôt deux ans. La peur du virus a été un des plus puissants justificatifs de mesures liberticides de ces dernières décennies.
Une peur masquant en réalité une autre, bien plus terrifiante pour la structure bureaucratique : celle d’une saturation hospitalière provoquée par des années de politique publique en matière de santé incapable de sauver un système maintenu en vie par des personnels de terrain parmi les plus qualifiés au monde.
Incapable de reconnaître ses erreurs en matière de politique de santé, l’État s’est trouvé dans une situation de panique à l’arrivée d’une de ces crises auxquelles nos autorités se targuaient pourtant régulièrement de se préparer.
PANIQUARDS CONTRE RASSURISTES
Cette question s’est affichée au grand jour en mars 2020, alors que la France se divisait entre les paniquards et les rassuristes. Les mesures devenaient de plus en plus pérennes à mesure que leur illisibilité devenait de plus en plus croissante.
Au cœur de ces problèmes se trouve un certain paternalisme étatique né d’une aversion de ce dernier au risque. Peur et crise s’entretiennent et se succèdent dans un mouvement cyclique au détriment des libertés qui régressent année après année.
La peur cadenasse et muselle les opinions divergentes jugées dangereuses au bien-être et surtout à la sécurité de la communauté.
Si la pandémie en est un exemple, ce schéma se répète évidemment s’agissant de la question climatique.
LE RETOUR DU CATASTROPHISME CLIMATIQUE
L’alarmisme de l’OMS n’est pas sans rappeler celui de l’ONU vis-à-vis de la question climatique. Au moment même où l’OMS alertait sur les conséquences du rebond de la pandémie, le programme onusien pour l’environnement a alerté sur celles, jugées imminentes, du dérèglement climatique et a appelé à accroître significativement les financements publics, estimant que sur les 16 700 milliards de dollars de mesures de relance verte, seule une toute petite partie aurait été utilisée.
Plus récemment, l’Organisation des Nations Unies a publié une petite vidéo humoristique, évoquée samedi dans nos colonnes par Philippe Mösching, où un dinosaure évoque l’extinction prochaine de l’espèce humaine en raison du réchauffement climatique.
Qu’il s’agisse des restrictions des libertés ou de l’accroissement de dépenses publiques à l’intérêt rarement prouvé, du niveau local, national ou mondial, la peur constitue toujours un moteur puissant d’accroissement de la sphère publique au détriment du bon sens et de nos libertés.
Jeudi, l’ONU et l’OMS l’ont une nouvelle fois démontré.
Faut dire qu'un microbe (appelé 'virus' pour faire plus méchant !) ne se voit pas. C'est du 0,1 à 0,5 micron (soit moins d'un millième de millimètre), et, comme il ne se voit pas... on peut faire croire à n'importe qui qu'il y est, qu'il y en a, et que du mot 'épidémie' on passe vite à 'pandémie' voire 'ravageatomie', 'terminatomie' ! (Tant qu'il y a des cons qui écoutent ces merdes au pouvoir...).
Mais, il y a les scientifiques ! (Si-si çà existe !). Les scientifiques ont (en l'absence de posologie) analysé la 'potion magique' appelée criminellement 'vaccin' et, ils ou elles y ont découvert dedans tous les poisons de la Terre ! De l'oxyde de graphène ! De l'aluminium et du mercure !! Ces trois sont mortels. Seul l'aluminium est là depuis 1927 et permet aux inoculés de contracter l'Alzheimer ou Parkinson !
Remarquez que ce que je vous dis je ne l'invente pas et vient des sommités de la science à des millions de kilomètres au-dessus des merdias et politichiens !
Et, comme il s'agit de vendre le célèbre 'bouillon d'11 h.', la réclame pour la mort est diffusée 24/24 h par Égémonix 1er (à ne pas confondre les manuels avec les intellectuels !).
Belgique : l’écocolonialisme au pays du surréalisme
L’écocolonialisme est-il le nouveau colonialisme à la belge ?
Par Samuele Furfari. 9 NOVEMBRE 2021
Après avoir adopté une stratégie hydrogène pour faire comme tout le monde, l’écologiste Tinne Van der Straeten, ministre fédérale belge a signé ce 3 novembre 2021 un protocole d’accord avec la Namibie pour produire de l’hydrogène baptisé vert parce que produit par électrolyse de l’eau grâce à de l’électricité photovoltaïque solaire, hydrogène qui sera transporté en Belgique. L’écocolonialisme est la forme moderne du colonialisme.
On comprend que madame la ministre, au demeurant historienne, ne soit pas en mesure de se renseigner et d’apprendre les nombreuses questions techniques qui sous-tendent ce projet et qu’elle se contente donc d’idéologie sympathique, mais son entourage aurait dû les connaître un minimum pour ne pas ridiculiser sa ministre et au-delà l’ensemble du gouvernement belge.
LA BELGIQUE COURT DERRIÈRE L’ALLEMAGNE
Pour commencer, tout – TOUT – ce qu’on dit actuellement sur l’hydrogène a été pensé, réfléchi, recherché par les experts du Centre commun de recherche de la Commission européenne basé à Ispra depuis 1959. Dans mon livre L’utopie hydrogène, je retrace toutes ces recherches menées par les meilleurs experts européens avec des crédits en suffisance afin de trouver, s’il était possible, des solutions. La filière hydrogène maintes fois pensée est mort-née. Mais peut-être que l’entourage jeune de la ministre ne le sait pas.
Cette démarche n’est rien d’autre que la course aveugle derrière l’EnergieWende allemande. Les collègues allemands de madame Tinne Van der Straeten ont ressuscité cette vieille recette de l’hydrogène, car ils savent que les énergies variables et intermittentes (éolien et solaire) ne leur permettront jamais de se passer à la fois du charbon et du nucléaire. En conséquence il faut pousser le gaz naturel qui permettrait de produire de l’hydrogène « bleu ». Cela l’entourage de la ministre le sait très bien.
Parler de l’hydrogène est la dernière trouvaille des politiques pour faire croire qu’ils maîtrisent la technique en promouvant un produit propre « dont la combustion ne produit que de l’eau » suivant le slogan d’un constructeur automobile ; cette référence est particulièrement déplacée dans la mesure où le rendement énergétique d’une voiture électrique à batterie est trois fois supérieur à celui d’une voiture à hydrogène.
On aimerait connaître le prix de l’hydrogène produit en Namibie ; dans plusieurs publications récentes, avec mon collègue italien Alessandro Clerici, nous montrons dans un article publié par Science-climat-énergie que la production d’hydrogène dit vert est une aberration économique, car le coût de production est exorbitant. Même à partir de solaire dans les Émirats arabes unis le coût de production en 2030 serait de 2 euros/kg avec un très haut rendement d’électrolyse de 69%, un discounted rate de 8 % et un CAPEX de 450 euros/kW. Tout cela est documenté dans la littérature scientifique. Mais quand on fait de la politique, cela n’a guère d’importance, encore moins dans le pays du surréalisme. Il suffit d’observer la politique suivie en matière de centrales nucléaires pour s’en convaincre.
On aimerait savoir quel est le coût de l’hydrogène rendu au port d’Anvers, le pôle pétrochimique qui a bien besoin de cette molécule noble. D’ailleurs, pourquoi faudrait-il commencer par décarboner l’industrie lourde alors que le principal usage de l’hydrogène est la production d’ammoniac et la dépollution des produits pétroliers produits à Anvers ? Mais sans doute n’y a-t-il pas d’ingénieurs chimistes dans l’entourage de la ministre.
Transporter de l’hydrogène ce n’est pas comme transporter du gaz naturel. C’est bien plus compliqué à cause de la nature chimique de la molécule. Cette question du transport de l’hydrogène en mer a déjà été étudiée sur toutes ses facettes par les fonctionnaires européens dans les recherches mentionnées ci-dessus. Par exemple, afin d’importer dans l’UE de l’hydrogène qui aurait dû être produit par l’abondante hydro-électricité du Québec, un protocole d’accord entre le ministère des Ressources naturelles de la province canadienne et la Commission européenne a été signé en 1988. Les calculs ont montré que les solutions envisagées étaient impraticables : 54 % de perte d’énergie à cause de la transformation chimique du toluène en méthylcyclohexane dans le sens Canada-Union européenne, et inversement. De plus, transporter à vide 92 kg de toluène pour transporter 2 kg d’hydrogène est bien évidemment une aberration. Quant à l’alternative de l’hydrogène, je n’ose pas imaginer que cela ait été envisagé. Mais peut-être que l’entourage de la ministre n’a pas lu le livre susmentionné qui explique tout cela.
La ministre explique que la moitié de l’hydrogène restera sur place en Namibie. Si c’est pour l’utiliser à la production d’engrais pour nourrir la population on peut s’en réjouir, puisque c’est là un usage incontournable de l’hydrogène. Mais ils pourraient très bien aussi le produire à moindre coût au départ de gaz naturel, l’énergie de l’avenir, car cela leur coûterait nettement moins cher. Mais peut-être que l’entourage du ministre namibien a suivi les conseils surréalistes belges.
Le gouvernement belge explique que cet hydrogène est nécessaire pour l’industrie lourde belge productrice « d’acier, de ciment, d’aluminium et de verre ». D’aluminium ? Alors que la Belgique n’en produit pas. Science-climat-énergie a publié un article expliquant que le prix trop élevé de l’électricité dans l’UE a externalisé la production d’aluminium pour le plus grand bénéfice de la Chine (57 % de la production mondiale d’aluminium) et de la Russie qui eux ne veulent pas verdir leur production d’énergie (ce qui explique l’absence de leurs dirigeants à la COP 26), quant à l’utilisation de l’hydrogène pour produire dans l’hydrogène c’est un raccourci, car ce n’est que pour l’étape de calcination et non pas pour l’électrolyse que des recherches sont à peine évoquées par l’industrie de l’aluminium. Verdir la sidérurgie ? Les conseillers de la ministre n’ont sans doute pas lu l’article publié par Bernard Mairy dans une newsletter de la Société Européenne des Ingénieurs et Industriels à ce sujet… Ont-ils seulement fait le calcul pour vérifier s’il n’était pas plus économique de produire ces produits sur place puisqu’il faut transporter des matières premières lourdes et de l’hydrogène dangereux ? Cela aussi c’est du développement durable.
Lorsque les chercheurs du Centre commun de recherche de la Commission européenne ont travaillé sur l’hydrogène, c’était pour le faire à partir de l’électricité nucléaire, la bête noire de la ministre belge. Mes calculs avec Alessandro Clerici publiés par Science-climat-énergie ont montré que la seule façon de limiter les coûts de la production d’hydrogène – mais toujours plus cher qu’à partir du gaz naturel – est avec l’électricité produite par les centrales nucléaires existantes. La production d’hydrogène par électrolyse à partir d’électricité nucléaire belge ― sans les risques de transport et de la géopolitique ― coûterait un tiers ! Mais c’est tabou ! La détestée énergie nucléaire par la ministre ne peut être la solution pour elle au point que contre toute logique elle tient à fermer les centrales nucléaires.
Dernier point, gardé pour la fin, car il est le plus honteux. En 2019 d’après la Banque mondiale 55 % de la population de la Namibie est connectée au réseau électrique. Et comme partout en Afrique, le système électrique est très instable ce qui occasionne des coupures d’alimentation récurrentes (la principale source pour la production d’électricité pour les personnes nanties en Afrique est le diesel qui alimente les groupes électrogènes domestiques). Comment peut-on seulement penser à aller produire de l’hydrogène pour un souci de pays surréaliste, en l’occurrence la Belgique, dans un pays pauvre ? Cela est aussi indigne que l’idée saugrenue allemande du projet Desertec pour produire de l’électricité dans le Sahara à transporter en Allemagne. L’échec éthique et économique de ce projet n’a pas suffi à l’Allemagne qui envisage à présent de produire de l’hydrogène au Maroc. Est-ce parce que la Namibie est son ancienne colonie que l’Allemagne laisse la place à la Belgique ?
La Commission européenne ― toujours prête à copier l’Allemagne ― dans sa stratégie hydrogène du 7 juillet 2020 a osé proposer l’écocolonialisme par l’hydrogène en Afrique, mais heureusement le Conseil européen du 11 décembre 2020 a refusé d’entériner cette faute éthique.
Si l’on veut que l’Afrique se développe, une chose est à faire en premier : doter le continent d’une production d’énergie abondante et bon marché.
Un article du 5 novembre 2021 qui me cite lors du colloque « Le paradoxe africain », tenu le 10 juin dernier à l’École militaire de Paris, rappelle fort opportunément :
Nous autres Européens consommons 6100 kWh/an par personne, et les Africains 530 kWh/an par personne, soit 12 fois moins. De plus, nous savons que si la population africaine va augmenter de façon importante dans les prochaines années, elle aura besoin d’encore plus d’énergie.
La Belgique surréaliste préfèrerait ainsi capturer l’électricité des pauvres Africains. L’écocolonialisme est-il le nouveau colonialisme à la belge ?
Le dernier ouvrage de Samuele Furfari est Écologisme. Assaut contre la société occidentale (Éditions VA).
Cellnex prévoit 9 milliards d'euros de dépenses en 2022.
Cellnex, Towerco espagnole est une « machine de guerre » ! En 7 ans, comme indiqué sur son site web son parc de pylônes est passé en Europe de 7000 à 128 000 soit 18 fois plus au travers de 40 acquisitions de Parcs d’opérateurs de téléphonie mobile, tandis que son Chiffre d’affaires a été multiplié par 6 et son résultat d’exploitation par 7….
Mais comment peut-on réussir une telle croissance et être valorisé plusieurs dizaines de milliards en si peu de temps ? Il est intéressant d’étudier à cet égard ses combats face aux Autorités de la concurrence chargés d’étudier et de réguler les concentrations ou les positions dominantes dans tous les pays d’Europe : déjà en délicatesse avec l’Autorité Italienne son combat est devenu extrêmement violent au Roayume-Uni sur le dossier de rachat des pylônes de Hutchinson. En effet, contraint de revendre des sites en raison de sa position dominante Cellnex aurait tenter d’enfumer l’administration anglaise en se séparant de sites « à construire » et non de sites existants… retour de flamme l’Autorité anglaise est passé à un stade pré contentieux pouvant déboucher sur un refus anglais de cette nouvelle application Cellnex.
Et sur la France ? Comme indiqué la semaine dernière l’aquisition de Hivory (les 10 000 pylones de SFR) par Cellnex ne sera effective que lorsque ces derniers auront revendu 3200 pylones à une autre Towerco. Alors comment Cellnex va-t-il se livrer à son sport favori en France consistant à se jouer des décisions des Autorités de la concurrence ? Certains comme lefigaro.fr ont dévoilé que les tractations avaient démarré depuis fort longtemps… et si l’Autorité de la concurrence française se faisait cette fois piéger par les limites des ses prérogatives qui consistent à encadrer les concentrations et donc fusions entre sociétés mais sans pouvoir examiner les achats d’actifs… En d’autres termes il serait possible de vendre une fois 3200 sites tout en rachetant en parallèle 3200 fois un site - référence à une célèbre citation du film La cité de la peur - … et ce film ne serait pas forcément drôle pour le gendarme des concentrations. Tout ceci peut se préparer bien à l’avance et expliquerait l’information du Figaro sur des tractations bien avancées.
Affaire à suivre le combat juridique ne fait que commencer !
ENGIE CHOISIT BOUYGUES POUR ACHETER LA FILIALE EQUANS POUR 7,1 MILLIARDS D'EUROS
par OLIVIER SANCERRE 06/11/2021
Engie réalise un chiffre d'affaires annuel de 12 milliards d'euros.
Le groupe Bouygues va devenir le géant des services multitechniques qu'il cherche à devenir : il a en effet été choisi par Engie pour reprendre Equans, la filiale regroupant ses activités de services techniques. C'est finalement Bouygues qui a tiré le gros lot. Le groupe de BTP a été choisi par le conseil d'administration d'Engie pour racheter Equans, filiale du géant de l'énergie qui est chargée des services techniques : climatisation, chauffage, ventilation, mécanique, numérique, services généraux, etc. Une filiale qui compte 74.000 employés dans le monde, dont 27.000 en France, et qui réalise un chiffre d'affaires annuel de plus de 12 milliards d'euros. Un gros morceau donc, pour lequel l'État s'est montré très vigilant durant le processus de transaction : après tout, il possède 23,64% du capital d'Engie, et l'aspect social est déterminant à quelques mois de l'élection présidentielle.
Gros dossier financier et social
Engie a lancé la vente en septembre, et trois prétendants ont terminé la course en tête : Bouygues donc, le concurrent Eiffage, ainsi que le fonds américain Bain Capital, associé pour l'occasion au fondateur de la holding Fimalac, Marc Ladreit de Lacharrière. « L'offre de Bouygues était la mieux-disante au regard de l'ensemble des critères retenus par Engie, y compris sur le plan financier », explique le communiqué d'Engie. La proposition valorise en effet 100 % d'Equans à 7,1 milliards d'euros. Elle a aussi pour mérite de réduire de 7 milliards d'euros la dette nette de l'entreprise.
Création de 10.000 emplois sur cinq ans
Le volet social a pesé lourd dans la décision. Bouygues s'est ainsi engagé à ne mettre en oeuvre aucun plan de départs contraints en France et en Europe pendant une durée de 5 ans, et même de procéder à la création nette de 10.000 emplois durant le même laps de temps. L'opération doit être finalisée durant le deuxième semestre 2022, après le processus d'information et de consultation des instances représentatives du personnel d'Engie, et sous réserve du feu vert des autorités réglementaires.
Bonne nouvelle : le mandat de vaccination de Biden est en train de s'effondrer !
Par Ron Paul, MD Institut Ron-Paul 9 novembre 2021
Le mandat du vaccin Biden semble s'effondrer avant même d'être en place. Des premiers intervenants aux chauffeurs de camion en passant par tous les intermédiaires, le message est clair : des milliers de personnes sont prêtes à être licenciées de leur travail plutôt que d'être obligées de subir une intervention médicale dont elles ne veulent pas.
Ils ont un effet de levier et ils l'utilisent. Nous devons les soutenir.
Les rayons des épiceries sont vides, les conteneurs maritimes continuent de flotter au large, les casernes de pompiers de New York sont fermées, le shérif du comté de Los Angeles prévient qu'au milieu d'une vague de crimes, la moitié de ses adjoints pourraient démissionner ou être licenciés. Les compagnies aériennes citent des "problèmes météorologiques" inexistants pour excuser le fait que leurs employés se rebellent contre les tirs forcés de covid.
Le pays est au bord d'un gouffre économique et l'administration Biden double la mise. La seule question est de savoir jusqu'où le président est prêt à faire glisser son parti et ses propres chiffres d'approbation pour continuer à pousser un vaccin forcé inconstitutionnel, profondément impopulaire et complètement tyrannique sur la population.
Si le vaccin offrait un niveau élevé d'immunité contre le virus qui ne diminuait pas avec le temps, encourager les gens à se faire vacciner – qui utilise une technologie expérimentale – pourrait avoir du sens, bien que l'imposer serait toujours immoral et illégal.
Mais les propres hauts responsables de la santé de Biden, tels que le directeur du CDC, Wallensky, nous disent depuis août que le tir n'empêche pas l'infection par le virus et n'empêche pas la transmission du virus. Il ne s'agit donc pas d'un « vaccin », quelle que soit la définition du terme. C'est pourquoi le CDC a lui-même modifié en septembre sa définition officielle du terme "vaccin" pour exclure le terme "immunité". La tromperie est si transparente.
Ils disent que vous devez vous faire vacciner car cela peut prévenir une maladie grave due au virus. Mais nous savons qu'il y a beaucoup d'autres choses qui peuvent prévenir les maladies graves dues au virus. La personnalité des médias Joe Rogan a été largement ridiculisée pour avoir utilisé de l'ivermectine et d'autres médicaments et procédures pour traiter son accès de Covid-19. Mais cela semble avoir fonctionné. De même, le légendaire quart-arrière Aaron Rodgers des Green Bay Packers a traité avec succès son Covid avec de l'ivermectine et d'autres procédures. Même s'il a maintenant une immunité naturelle contre le virus, il a été attaqué par les médias grand public pour ne pas avoir suivi les demandes de Fauci. Le succès ne veut rien dire. Seule l'obéissance compte.
Une nouvelle étude sur l'efficacité des tirs Covid n'est pas une bonne nouvelle pour l'administration Biden. Publié le 4 novembre dans la revue scientifique Nature, les chercheurs ont suivi 800 000 vétérans américains pendant six mois après avoir reçu le vaccin. Entre mars et novembre, l'efficacité de Moderna est tombée de 85 % à 58 %, un peu mieux qu'un tirage au sort. L'efficacité du Pfizer/BioNTech à deux doses est tombée de 87 % à 45 %, et celle de Johnson & Johnson est tombée de 86 % à 13 % !
Comme le Washington Times l'a écrit à propos de la nouvelle étude importante de Nature, "Facteur d'immunité naturelle et un cas pourrait être fait, ces vaccins sont presque sans valeur."
Alors pourquoi l'Administration poursuit-elle cette politique de la terre brûlée sur les mandats de vaccination ? Peut-être que nous devrions regarder combien de lobbyistes Big Pharma a sur Capitol Hill. Regardez peut-être la porte tournante entre la FDA, le CDC et Big Pharma. Le mot est « corruption », et si la propre base de données des réactions indésirables du CDC est exacte, elle tue des milliers d'Américains. Tenez la ligne et résistez au mandat !
Peter Breggin MD et son épouse, Ginger Breggin, auteurs de Talking Back to Prozac, ont écrit un ouvrage clé sur la pandémie de COVID-19, intitulé et publié le 30 septembre 2021. Ils exposent la nature totalitaire de la pandémie de Covid.
Dans 547 pages de texte accompagnées de 1107 notes de fin, pour la plupart des citations scientifiques, les auteurs montrent comment les « prédateurs mondiaux » ont orchestré la synthèse du CoronaVirus-2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2) et l'ont distribué dans le monde entier, provoquant la maladie à coronavirus -19 (COVID-19) pandémie. Ces prédateurs mondiaux comprennent des milliardaires tels que Michael Bloomberg, Klaus Schwab et surtout Bill Gates ; Des responsables et scientifiques des gouvernements américain et chinois, notamment Anthony Fauci, MD, directeur (depuis 37 ans) de l'Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) ; plus Big Tech et Big Pharma.
Ces prédateurs mondiaux ont grandement profité de la pandémie de COVID-19, augmentant considérablement leur richesse, leur gloire et leur pouvoir.
Les États-Unis et d'autres pays, en particulier l'Australie et la Nouvelle-Zélande, ont adopté la politique selon laquelle «Plus la société peut être effrayée, isolée, contrôlée et supprimée, plus elle sera à l'abri du virus.» Les Breggins maintiennent : « La pandémie continue d'être utilisée pour justifier l'imposition d'une vaste peur et d'une oppression au peuple américain. Tout cela est fait au nom de la santé publique, mais cela représente une politique autoritaire avec des ramifications mondiales. » De plus, ils ont vite découvert :
« Alors que nous commencions nos recherches sur les politiques et les pratiques de COVID-19, nous avons été consternés par l'absence de toute science rationnelle pour justifier les fermetures et empêcher l'utilisation du médicament très sûr et utile disponible, l'hydroxychloroquine peu coûteuse - et comprenant maintenant ivermectine.
Anthony Fauci a ouvert la voie. Il a promu les fermetures, les mandats de masque, la distanciation sociale et les vaccins expérimentaux. Il s'est moqué des traitements peu coûteux et efficaces pour COVID-19 comme la vitamine D et l'hydroxychloroquine, rejetant leurs prétendus avantages comme « anecdotiques ». Plusieurs milliers de personnes infectées par le COVID sont décédées et auraient survécu si elles avaient reçu ces traitements. Fauci a également forcé les gens « à accepter des restrictions destructrices et contre-productives sur notre vie personnelle, éducative, professionnelle et religieuse ».
Comment un médecin respecté pourrait-il faire cela ? Les auteurs de ce livre s'expriment ainsi :
« Aucun comportement de Fauci n'a de sens à moins que nous ne le considérions pour ce qu'il est : un archétype du prédateur mondial qui ne ressent aucune identification véritable ou aucun lien émotionnel avec une nation ou un point de vue religieux ou idéologique spécifique et reste à la place consacré à l'augmentation de son propre moi. -l'agrandissement et son pouvoir, tout en ajoutant un vernis d'idéalisme progressiste à ses activités infâmes. Sans cette lentille de globalisme prédateur, beaucoup plus devient douloureusement clair. »
Les auteurs de COVID-19 et des Global Predators établissent que, que la libération soit intentionnelle ou non, «le SARS-CoV-2 a été fabriqué en Chine à l'Institut de virologie de Wuhan avec une technologie développée dans le cadre d'efforts de collaboration financés par Fauci avec les États-Unis… fait partie de la gamme de SARS-Co-V2 développés dans les laboratoires de l'Université de Caroline du Nord et à l'Institut de Wuhan avec une certaine implication d'autres installations aux États-Unis et en Chine. » Ils déclarent : « Il semble hautement probable que la libération du virus n'était pas seulement intentionnelle, mais qu'elle était en fait préméditée et planifiée sur plusieurs années. La planification remonte au moins à 2017, lorsque [Bill] Gates a annoncé l'équivalent de ce qui serait appelé en 2020 l'opération Warp Speed et la grande réinitialisation impliquant la fusion entreprise-gouvernement.
Ils notent qu'« il y a aussi longtemps que fin 2016 et début janvier 2017 » des milliardaires comme Bill Gates et des sociétés comme Moderna et Pfizer ont commencé à investir des milliards de dollars dans un vaccin contre le SRAS-Co-V2 avec la quasi-certitude d'une prochaine pandémie de coronavirus. Au début du COVID-19 :
"Pourquoi Anthony Fauci se serait-il donné tant de mal pour promouvoir et précipiter l'approbation spécifiquement du médicament de Gilead Remdesivir et du vaccin à ARNm de Moderna - à la fois dangereux, expérimental et totalement non prouvé à l'époque - si lui et Bill Gates n'étaient pas sûrs de la nécessité de eux?"
Les auteurs compilent un Bill of Particulars contre le Dr Anthony Fauci sur la base de leurs recherches pour ce livre. Au chapitre 29, ils résument ses offenses contre l'Amérique et l'humanité dans ce projet de loi et ajoutent cette mise en garde :
«Aussi puissant que Fauci semble parfois, il fait les ordres de maîtres bien plus puissants qu'il ne pourrait jamais l'être. Il exécute les ordres de Bill Gates et finalement des communistes chinois, ou il n'aurait jamais le courage ou la force de continuer à financer des recherches qui ont gonflé les milliardaires des États-Unis et de la Chine, tout en donnant à la Chine la capacité de faire et propager le SRAS-CoV-2. Le projet de loi contre les milliardaires prédateurs mondiaux, les PDG et les chefs de gouvernement n'a pas encore été rédigé. »
Leur Bill of Particulars a 12 catégories contenant 42 détails. Ce sont 4 des 12 catégories :
Moi : « Dr. Anthony Fauci, directeur du NIAID, a abusé et continue d'abuser de son pouvoir, devenant et restant le principal sponsor et bailleur de fonds dans le monde de la recherche sur le gain de fonction qui a permis à la Chine communiste de concevoir une gamme de coronavirus mortels du SRAS (SARS-CoV ). Il a exécuté ces plans au mépris de deux présidents américains, Barack Obama et Donald Trump… Ces activités ont provoqué et contribué au développement du SARS-CoV-2 dans les laboratoires communistes américains et chinois et à sa sortie de l'Institut de virologie de Wuhan. Parce que Fauci est le directeur du NIAID, il finance et assume la responsabilité principale de toutes les recherches de gain de fonction créant des virus mortels et de tous les risques pour l'Amérique et le monde associés à ces activités et aux activités connexes.
Le Dr Fauci a dirigé la création de ce nouveau coronavirus en finançant la recherche sur le « gain de fonction », conçue pour rendre un virus plus infectieux et mortel.
III : « Fauci a abusé de son pouvoir en se précipitant dans les EUA [Emergency Use Authorizations], des vaccins extrêmement coûteux, hautement expérimentaux, très dangereux et insuffisamment étudiés ou testés. Ce faisant, il soutient les investissements de Bill Gates, dont il siège au Conseil de direction des vaccins d'élite. Parallèlement, il soutient l'industrie pharmaceutique avec laquelle il est intime et son vaste réseau d'investisseurs… , et finalement la politique en Amérique et dans le monde.
Un particulier répertorié dans cette catégorie est le suivant : « Il a autorisé et soutenu la poursuite des vaccinations même après que le nombre de décès liés au vaccin signalés est passé de centaines à plusieurs milliers ».
VII : « Tout en supprimant les traitements disponibles, Fauci a promu l'accélération avec le soutien financier du gouvernement pour les médicaments et les vaccins qui étaient et sont expérimentaux, non prouvés et très dangereux, mais extrêmement rentables. »
Surtout le remdesivir, qui ne fonctionne pas, est toxique et coûte 3 000 $ la pop. Les auteurs sont d'accord. Ils citent une étude de la Corée du Sud où "les auteurs ont découvert que" HCQ [hydroxychloroquine] avec un antibiotique était associé à de meilleurs résultats cliniques en termes de clairance virale, de séjour à l'hôpital et de résolution des symptômes de la toux "… par rapport au" traitement conservateur ". Rien de tel. cela peut être dit pour le remdesivir, un médicament coûteux, dangereux et sans valeur, Fauci s'est assuré de recevoir l'approbation de la FDA pour le traitement du COVID-19. »
IX : « Anthony Fauci savait 3 ans à l'avance qu'une pandémie de coronavirus était prévue et a annoncé en janvier 2017 qu'elle se produirait certainement sous l'administration du président Trump. » [tout en italique dans l'original]
Tel qu'il est actuellement géré, COVID-19 promeut le totalitarisme, où l'État contrôle tous les aspects de la vie et toute opposition est supprimée - les milliardaires étant exemptés. Les Breggin écrivent :
« Presque tous les milliardaires américains restent plongés dans le bourbier prédateur : Jeff Bezos, Bill Gates, Warren Buffet (un partenaire de Gates jusqu'à sa démission récente), Mark Zuckerberg, les Waltons, Steve Balmer, Larry Page. Tous sont profondément investis en Chine… Chaque prédateur mondial que nous avons pu identifier est financièrement marié et rempli d'admiration, non pas pour les États-Unis ou d'autres démocraties occidentales, mais pour la Chine communiste et le totalitarisme.
Et puis il y a le milliardaire Klaus Schwab avec son livre COVID-19 and the Great Reset. (2020). Dans la grande réinitialisation "vous ne posséderez rien et serez heureux". Ces prédateurs mondiaux sont "désireux de collaborer avec quiconque partage l'objectif principal de contrôler, de dominer et d'exploiter l'humanité".
Le taux de mortalité du COVID-19 chez les personnes de moins de 70 ans est faible, comme celui de la grippe saisonnière. Le risque de mortalité chez les enfants du COVID-19 est encore plus faible que celui de la grippe saisonnière. Le risque global est si faible qu'il n'y a « aucune raison ni justification d'imposer le totalitarisme à l'Amérique, d'écraser notre société et de ravager notre économie, de retarder l'éducation de nos enfants et d'imposer des vaccins mortels drainant les richesses à toute notre nation… La motivation car les blocages proviennent de mondialistes prédateurs et non de véritables scientifiques ou de la science légitime. »
Peter et Ginger Breggin soulignent ce point important : « Si des traitements efficaces sont déjà disponibles, la FDA ne peut pas délivrer d'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA), ce qui permet à la FDA de sauter ses études habituelles d'innocuité et d'efficacité pour pousser des médicaments et des vaccins coûteux et très rémunérateurs. pipeline comme des expériences à infliger à la population. Les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna ne sont toujours administrés que sous autorisation d'utilisation d'urgence.
Pire encore, « les vaccins COVID-19 provoquent une catastrophe mondiale aux proportions inimaginables et imprévisibles. » Ils citent trois manières :
Premièrement, « un nombre important de décès surviennent quelques jours après les injections de vaccins Moderna et Pfizer. "Personne au pouvoir n'y prête attention, même si une infime fraction de tant de décès aurait conduit le CDC et la FDA à retirer tout autre vaccin du marché."
Deuxièmement, « il est clair que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 que les vaccins obligent l'homme à fabriquer est hautement toxique pour l'homme, provoquant souvent des saignements et des caillots dans l'endothélium ou la paroi des vaisseaux sanguins. Contrairement aux affirmations des défenseurs, le matériel antigénique induit par le vaccin ne reste pas localisé sur le site du vaccin mais est plutôt produit dans tout le corps. »
Troisièmement, cette conclusion choquante : « C'est peut-être la conclusion la plus troublante que nous ayons tirée dans ce livre : la létalité du COVID-19 était planifiée. Le danger que des patients humains vaccinés meurent après une exposition au SRAS-CoV-2 a été mis en garde à plusieurs reprises depuis 2006 sur la base d'études animales. Ces rapports inquiétants ont continué à être publiés après le début de l'opération Warp Speed [soutien du gouvernement à la production de vaccins]. »
Le « vaccin » à ARNm (acide ribonucléique messager) que Pfizer et Moderna commercialisent pour le COVID-19 n’est pas vraiment un vaccin. C'est une forme de génie génétique, qui amène les gens à produire des protéines de pointe, dont les effets à long terme restent à déterminer. Au lieu d'un "vaccin", il vaut mieux l'appeler simplement un coup ou un coup COVID, comme le fait le président Biden lorsqu'il dit: "Pas de coup, pas de travail".
Les chercheurs sur les animaux ont découvert que «les animaux vaccinés contre les infections par le SRAS-CoV avec des vaccins à ARNm ou à ADN souffrent de maladies graves et de décès lorsqu'ils sont confrontés à des agents pathogènes du SARA-CoV. La maladie ressemblait souvent à ce que nous appelons maintenant COVID-19. » Des recherches financées par le NIAID de Fauci montrent que les souris vaccinées exposées à ce virus « ne sont pas protégées et sont plutôt vulnérables à des réactions immunitaires sévères de type humain. De plus, le coupable est la protéine de pointe que le corps animal ou humain fabrique en réponse au vaccin. » [italiques dans l'original] Les injections d'ADN et d'ARNm demandent à notre corps de synthétiser des protéines de pointe identiques à celles du virus.
Dans un acte d'accusation accablant, les auteurs déclarent : « Tous ceux qui participaient à la planification de COVID-19 prévoyaient également que le vaccin poursuive l'objectif de débarrasser l'humanité de ses personnes infirmes ou âgées. » Ils demandent:
"Qu'est-ce qui se passe ici? Ceux qui comprennent parfaitement ce qu'ils font sont probablement certains qu'ils font la bonne chose : éliminer l'humanité. C'est un principe avec une longue et honorée histoire parmi les eugénistes et les défenseurs de l'euthanasie, y compris de nombreux scientifiques, organisations philanthropiques et dirigeants politiques. C'est l'eugénisme du XXIe siècle. Dans le cas du COVID-19 et des vaccins, il n'y a rien de volontaire à ce sujet, et cela en fait un meurtre de masse. » [italique dans l'original]
(Debout sur une colline isolée en Géorgie, les Georgia Guidestones sont pertinentes à de telles préoccupations concernant «l'élimination de l'humanité». Chacune des pierres, érigées en 1980 et de provenance incertaine, porte l'inscription d'un ensemble de dix lignes directrices, en 8 langues. La ligne directrice la plus élevée est « Maintenir l'humanité sous 500 millions en perpétuel équilibre avec la nature. » Une autre ligne directrice est « Ne soyez pas un cancer sur la terre – Laissez de la place à la nature. » Leur programme mondial émergent pourrait-il être une autre façon dont les prédateurs mondiaux cherchent à abattre l'humanité ?)
Peter McCullough, MD, MPH; Elizabeth Lee Vliet, MD; et Vladimir "Zev" Zelenko, MD, écrivent des introductions au livre. Le Dr McCullough a montré une diapositive du livre COVID-19 et les prédateurs mondiaux lors d'une conférence qu'il a donnée sur ce sujet le 27 octobre 2021, lors d'une réunion de l'American Association of Physicians and Surgeons, dirigée par la redoutable Jane Orient, MD . Le Dr McCullough considère COVID-19 et les prédateurs mondiaux : nous sommes la proie comme le meilleur livre sur ce qui se passe avec COVID-19.
Les expérimentations géniques d'essais sont tout sauf des vaccins. Ce ne sont rien de moins que des poisons mortels qui prennent effet soit à court terme pour les plus fragiles soit à long terme (fin 2021).
Par James Howard Kunstler Kunstler.com 9 novembre 2021
Les historiens du futur, savourant le goulash d'opossum autour de leurs feux de camp, s'émerveilleront que la médecine moderne ait dilapidé son autorité, sa crédibilité et son honneur sacré dans la panique Covid des années 2020, lorsque les responsables de la santé publique et les médecins en pratique clinique se sont entendus pour forcer la masse vaccinations tout en supprimant les informations sur les dommages et les blessures causés par les vaccins – sacrifiant potentiellement des millions de citoyens comme tant de mouches des fruits expérimentales.
L'affiche de cette débâcle épique était le Dr Eric J Rubin, rédacteur en chef du New England Journal of Medicine qui, siégeant au comité consultatif sur les vaccins du CDC, a en fait déclaré: «Nous n'apprendrons jamais à quel point le vaccin est sûr jusqu'à ce que nous commencions le donner. Le donner aux enfants, c'est-à-dire ce que le gouvernement a autorisé la semaine dernière, alors même que ce même CDC a émis un avertissement de sécurité sur la myocardite induite par le vaccin (inflammation du cœur), en particulier chez les garçons et les jeunes hommes.
Nota bene : la myocardite n'est pas une maladie que l'on guérit nécessairement car le muscle cardiaque affecté ne peut pas se remplacer ; plutôt l'inflammation conduit à la cicatrisation du muscle cardiaque et une durée de vie raccourcie.
Pendant ce temps, de jeunes athlètes vaxxés meurent d'insuffisance cardiaque en nombre choquant sur les grils des lycées, les terrains de football, les terrains de cricket, les pistes cyclables et les pistes de course à travers le monde, et les civils ordinaires développent une gamme déconcertante de problèmes cardiovasculaires, neurologiques et neurologiques post-vax. troubles thrombotiques dont seule une petite fraction finit par être enregistrée dans le Vaccine Adverse Event Recording System (VAERS) du CDC. Ces chiffres sont maintenant d'au moins environ 10 000 décès et 20 000 handicapés permanents. Le site Web du VAERS est si lourd et inadéquat que les médecins sont découragés de l'utiliser, au point que seuls 10 % des événements indésirables sont réellement signalés. Les médecins sont également menacés de sanctions disciplinaires pour avoir fait connaître les problèmes avec les vaxxes.
En fait, la nouvelle ne peut pas être complètement supprimée. Il est évident maintenant – en raison de la poussée effrénée pour des injections « de rappel » – que les différents vaccins cessent de fonctionner pour prévenir l'infection par Covid-19 après plusieurs mois. Ce qui n'est que partiellement compris, c'est l'action des protéines de pointe qui persistent dans le corps après la vax, mais les preuves ne sont pas bonnes, car elles ont une affinité particulière pour se fixer aux revêtements endothéliaux des vaisseaux sanguins en général, et dans les capillaires de les principaux organes en particulier, en particulier les ovaires et les testicules, faisant planer le spectre d'une infertilité généralisée à venir.
En plus de cela, les vaccins sont soupçonnés de détruire le système immunitaire, laissant le vaxxed vulnérable aux infections opportunistes, désactivant le mécanisme génétique qui permet au corps de vaincre régulièrement les cellules cancéreuses et transformant le système immunitaire des personnes contre elles en troubles auto-immuns.
Comment les médecins et les responsables de la santé publique se comportent-ils face à tout cela ? Pousser de plus en plus fort pour la vaccination forcée de tout le monde, quel que soit l'âge, quoi qu'il arrive, et vilipender quiconque milite pour le respect du consentement éclairé à se faire vacciner. Le résultat net est que les médecins semblent avoir violé en masse leur serment d'éthique d'Hippocrate qui les appelle d'abord à ne pas nuire.
Tout sur le virus et ses contre-mesures – depuis ses origines troubles dans le financement officiel de la recherche sur les armes biologiques par le Dr Anthony Fauci, à la piste des brevets de propriétés et d'intérêts conflictuels dans les développements ultérieurs de vaccins, à la suppression féroce des nouvelles et des débats – suggère des motifs infâmes, ou bien une panique psychotique de masse parmi les gens très bien formés dont la société doit dépendre en cas de crise.
Il est également de plus en plus difficile de dire à quel point cette crise est ou a vraiment été une crise. Il n'y a aucun moyen fiable de savoir combien de personnes sont vraiment décédées des suites directes de Covid, ou simplement testées positives pour le virus (avec un test PCR janky) lorsqu'elles étaient aux prises avec une ou plusieurs maladies graves (comorbidités), en particulier lorsque il y avait des subventions en dollars substantielles en jeu du gouvernement fédéral liées aux cas de Covid. Il n’est pas non plus possible de déterminer pour le moment combien de décès attribués à Covid sont en réalité le résultat de réactions aux vaccins. Le plus troublant de tous, il semble que le taux de décès dus à des troubles cardiaques, à des thromboses et à des lésions neurologiques dans la population générale dépasse sensiblement la fourchette normale, comme indiqué officiellement au Royaume-Uni, en Irlande et dans d'autres pays.
Il convient de répéter que quel que soit le Covid-19 ou d'où il vient, c'est une maladie pas beaucoup plus mortelle dans la population générale que la grippe en mauvaise saison ; que dans le cours naturel des choses, il n'aurait probablement tué que la plupart des personnes très âgées et déjà malades, et que le reste de la population l'aurait combattu et aurait acquis une solide immunité naturelle supérieure à tout ce que les vaxx pourraient conférer (même dans théorie).
Mon propre médecin a essayé de me persuader de me faire vaxer lors d'un examen physique de routine en octobre. Je lui ai demandé s'il était au courant des milliers de décès et d'événements indésirables invalidants signalés sur le système VAERS du CDC. Il a déclaré que les chiffres n'étaient pas vrais et a poursuivi en disant qu'il avait "une confiance à cent pour cent dans les vaccins". Il a toujours semblé être une personne intelligente et capable. Il y a environ un an, il a été enrôlé pour agir en tant qu'administrateur exécutif dans l'organisation de soins de santé dans laquelle il exerce, et ne voit plus les patients que deux jours par semaine. Peut-être que cela ne lui laisse pas le temps de suivre l'actualité. Ou peut-être n'a-t-il aucune envie de suivre les nouvelles, sauf celles qui proviennent de sources telles que les chaînes de télévision par câble, qui sont presque entièrement sponsorisées par l'industrie pharmaceutique.
L'essentiel pour moi, c'est qu'il a compromis ma foi en son jugement. Je me demande combien d'autres personnes ressentent cela à propos de leurs médecins. Le corps médical était déjà en difficulté avant que Covid n’entre en scène. Il était entré dans une relation symbiotique démoniaque avec l'industrie de l'assurance qui équivalait à un racket omniprésent. (Imaginez simplement les factures d'hôpital de toutes ces personnes ayant des réactions indésirables au vax que les médecins ont eu l'impression d'être mystifiées et ont effectué d'innombrables tests infructueux.)
La bonne nouvelle pour l'instant est qu'un tribunal fédéral a suspendu les mandats de vax « Joe Biden ». Le gouvernement devrait contester cette décision aujourd'hui (lundi 8 novembre). Pendant ce temps, la rumeur d'une grève générale contre la tyrannie des vaccins, prévue d'aujourd'hui à jeudi, est dans l'air et nous devrons nous tenir prêts à voir si quelque chose se passe. Nous devrions également nous tenir prêts dans les semaines à venir pour voir combien de personnes supplémentaires commencent à présenter des symptômes de troubles corporels graves à la suite des multiples injections qu'elles ont subies.
« Stupidité de troupeau » : la crise du Covid manufacturé, le « vaccin » à ARNm basé sur les gènes et « les sommets de la richesse et du pouvoir »
Peu importe à quel point le projet d'inoculation de masse est mortel, préjudiciable ou lourd d'autres conséquences catastrophiques, avance à grande vitesse.
Par le professeur Anthony J. Hall Rechercheglobale.ca 9 novembre 2021
La pandémie est conçue pour des motifs sinistres. Tout ce qui est lié à Covid est de la Junk Science imposée à un monde craintif et crédule. Le virus, les confinements, les masques, l'abus de la PCR pour le diagnostic, les contrôles de température aux entrées commerciales, les petites bouteilles d'alcool omniprésentes, la propagande acharnée et surtout les injections mortelles bientôt obligatoires sont tous de la science camelote.
Les personnes derrière tout cela sont des maîtres - ou des maîtres à gages - de la psychologie des foules et ont les intentions les plus sinistres et les plus mauvaises pour nous tous. – Anonyme, Commentaire 651, « Le débat sur le Covid : à Vaxx ou pas à Vaxx », Unz Review, 15 août 2021
Faire plus de mal que de bien
Le développement, la distribution et l'injection de jabs COVID donnent un nouveau sens au terme « déréglementation ». Du début à la fin, l'ensemble du processus semble être dépourvu de règles strictes. Des méthodes éprouvées ont été annulées sans raison apparente. Les anciennes méthodes ont été mises de côté. Ces méthodes abandonnées ont cherché à donner la priorité à la sûreté, au bien-être et à la sécurité des patients plutôt qu'aux intérêts commerciaux des fabricants de médicaments, des propriétaires d'hôpitaux et des médecins.
On donne l’impression que le seul impératif qui est constamment poursuivi est de pousser les jabs COVID dans autant de bras que possible aussi vite et aussi largement que possible. En dehors de cela, la philosophie sous-jacente pourrait être décrite comme… endiguer les rapports d'impacts extrêmement nocifs sur la santé… à toute vapeur.
Rien n'est autorisé à faire obstacle à l'approche de la carotte et du bâton pour augmenter le nombre de personnes injectées. Peu importe à quel point le projet d'inoculation de masse est mortel, préjudiciable ou lourd d'autres conséquences catastrophiques, le projet d'inoculation de masse avance à une vitesse folle sans aucun respect décent pour le principe de précaution.
Une grande précaution doit accompagner l'introduction dans la biosphère de toutes les nouvelles technologies, mais surtout celles affectant les organismes vivants et les délicates relations biologiques entre eux. Le principe de précaution a une incidence particulière sur les expériences qui modifient le fonctionnement biologique des êtres humains, à la fois individuellement et collectivement, comme lorsqu'il s'agit de maladies contagieuses.
Une profession médicale en grande partie conforme s'accommode largement de la violation de nombreuses promesses professionnelles, de confiances sacrées et d'obligations en faisant avancer le projet de se piquer tous les bras avec des produits médicaux non testés. En contribuant à faire avancer le projet d'inoculation quasi universelle, des dizaines de médecins ainsi que les dirigeants de la plupart de leurs associations professionnelles et collèges vont manifestement à l'encontre d'une disposition fondamentale du serment d'Hippocrate.
À une échelle sans précédent, les médecins ont violé leur vœu professionnel de ne pas faire de mal. En Israël, par exemple, 59 % des nouvelles hospitalisations pour COVID-19 sont entièrement vaccinées. Cette statistique n'est qu'un des nombreux indicateurs que la poussée vers la vaccination universelle des populations nationales fait plus de mal que de bien.
De nombreuses personnes vaccinées propagent elles-mêmes une contagion virale et tombent elles-mêmes malades à cause de la «variante delta». Le Delta Varian est l'une des nombreuses mutations du soi-disant nouveau coronavirus.
Regarde ça.
La presse propagandiste visant à maximiser le nombre de bénéficiaires d'injections révèle un mépris généralisé des termes du Code de Nuremberg. Le Code de Nuremberg a été créé dans le cadre du procès en justice des vainqueurs du brain trust hitlérien. Le Code de Nuremberg stipule que les sujets humains dans les expériences médicales ne doivent pas être contraints à y participer. Il ne faut pas non plus refuser à ceux qui souhaitent devenir sujets humains à des tests médicaux les conditions leur permettant de donner un consentement véritablement éclairé à leur décision de participer.
Vaccins et armes biologiques
Comment les exigences du consentement éclairé peuvent-elles être remplies par des campagnes publicitaires fastueuses qui surestiment constamment les avantages et ignorent de manière flagrante les risques de prendre les jabs ? Qu'est-ce que le témoignage médiatisé de stars de cinéma, de chanteurs pop, de héros sportifs et de magnats des affaires a à voir avec le fait de permettre à des sujets humains participant à des expériences médicales d'évaluer de manière réaliste la nature des dangers potentiels auxquels ils sont confrontés ?
Dans ce cas, les protocoles expérimentaux de base ont été abandonnés lorsque les concepteurs des procédures expérimentales ont fait remplacer les rats de laboratoire et les cobayes par des humains au cours des tests initiaux.
Il a été décidé de contourner la procédure médicale habituelle consistant à essayer de nouveaux produits médicaux en les administrant d'abord aux animaux.
- voir dessin sur site -
Nos remerciements à Large et JIPÉM Cette caricature de Large + JIPÉM explique notre situation :
Souris n°1 : « Allez-vous vous faire vacciner », Souris n°2 : Êtes-vous fou, ils n'ont pas fini les tests sur les humains »
Il y a de bonnes raisons de croire que cette stratégie a été déployée car, jusqu'à présent, toutes les tentatives de fabriquer des vaccins qui arrêteraient la propagation des coronavirus ont pris fin avec la mort de sujets d'expérimentation animale. Le rhume et la grippe sont tous deux causés par des coronavirus qui constituent la base exclusive d'au moins 4000 brevets selon le conseil en brevets David E. Martin. Regarde ça.
Les recherches de Martin et son implication professionnelle dans ce que l'on pourrait appeler l'industrie des coronavirus remettent en question le fait que COVID-19 soit un véritable nouveau coronavirus. Dans ses publications et commentaires filmés, Martin développe des caractérisations convaincantes du chevauchement entre le développement d'armes biologiques et de vaccins qui créent le contexte à partir duquel le virus COVID-19 et les jabs COVID ont émergé.
L'image de droite provient de Children's Health Defence
La phase expérimentale de la production des jabs COVID est toujours en cours.
En fait, les jabs COVID continuent d'être l'objet de la plus grande expérience sur des sujets humains jamais réalisée. Martin indique clairement que, à son avis, le point culminant de cette saga de malversations devrait se terminer par les multiples poursuites pénales d'Anthony Fauci, Ralph Baric, Peter Daszak, Zheng-Li Shi, Bill Gates, Dr. Neil Ferguson et bien d'autres. Regarde ça.
David Martin s'attaque également à un aspect canadien élaboré du scandale en cours. Ce scandale continue de tourbillonner dans et autour des activités commerciales néfastes de nombreux coupables, dont celles du premier ministre canadien Justin Trudeau. Regarde ça.
Martin souligne le rôle du Life Sciences Institute de l'Université de la Colombie-Britannique dans le développement de systèmes pour le mouvement des nanoparticules lipidiques dans l'architecture des produits de « thérapie génique », y compris les jabs COVID développés par Pfizer et Moderna. Regarde ça.
L'initiative de l'UBC a produit deux entreprises dérivées, Arbutus Biopharma et Acuitus Therapeutics. Avec Alnylan Pharmaceuticals, ces entités semblent avoir leur place dans la combinaison de la recherche militaire et médicale qui se déroule au Level 4 Pathogen Biolab à Winnipeg, au Manitoba. De nombreuses questions ont été posées sur le mouvement des virus mortels du Laboratoire national de microbiologie du Canada à Winnipeg vers l'Institut de virologie de Wuhan en Chine. Regarde ça.
Ce questionnement a conduit à une conclusion importante de la journaliste d'investigation Elaine Dewar. Elle a découvert que Xiangguo Qui, qui occupait des postes de recherche de haut rang au laboratoire de Winnipeg et à l'Institut de virologie de Wuhan, collaborait étroitement avec Wei Chen, un éminent virologue chinois qui détient le grade de major-général de l'Armée populaire de libération. Qui, par exemple, a aidé le général Chen à mener des recherches sur Ebola au laboratoire de Winnipeg.
Le Wuhan Lab est l'institution d'origine de Zheng-Li Shi, une autorité en matière de chauves-souris et de coronavirus. Zheng-Li Shi a travaillé en étroite collaboration avec Ralph Baric et d'autres chercheurs financés par les États-Unis à l'Université de Caroline du Nord sur des projets de gain de fonction. La recherche sur le gain de fonction cherche à rendre les virus plus dangereux pour la santé humaine. Une partie de cette activité de recherche a eu lieu après 2014 au Wuhan Lab, l'institution possédant la plus grande collection de coronavirus au monde. Regarde ça.
La facette canadienne de ce récit forme un aspect des questions encore posées sur l'origine du virus COVID-19. Ce n'est que récemment qu'il a été jugé hérétique de s'écarter de l'interprétation selon laquelle le virus est passé d'un animal à la victime numéro un de COVID sur un marché libre à Wuhan.
Puis soudain, il est devenu acceptable de supposer que le virus a certaines de ses origines dans un ou plusieurs laboratoires, y compris peut-être le Fort Detrick Lab dans le Maryland. Ceux qui pensent que l'organisme a fui d'un laboratoire chinois désignent parfois l'opération de Xiangguo Qui à l'Institut de virologie de Wuhan. Ron Unz contredit cette interprétation en affirmant que COVID-19 est une arme biologique fabriquée aux États-Unis et lancée par des soldats américains aux Jeux olympiques militaires de Wuhan en octobre 2019. Voir ceci.
Citoyens et quartiers
L'inoculation de masse est poussée de l'avant sans même une adhésion rudimentaire à la nécessité d'un dépistage médical et d'une consultation au cas par cas. Au lieu de cela, l'approche unique est déployée avec un degré étonnant de mépris pour l'ensemble unique de problèmes médicaux adhérant à chaque patient. Cette approche standardisée des vaccinations de masse traite tous les receveurs comme s'il s'agissait d'organismes identiques traités sur une chaîne de montage médicale.
Un tel étalage de zèle en matière de déréglementation dans cet étalage aléatoire de soins de santé à la volée ne ressemble à rien de ce qui l'a précédé. Je ne suis au courant d'aucun épisode de l'histoire qui se rapproche même de l'échec systémique de nombreuses personnalités professionnelles à adhérer aux règles, normes, procédures et protocoles les plus élémentaires dans la création, la distribution et la livraison des jabs COVID. Le jabbing a commencé dans les derniers jours de 2020.
Pour réitérer, il semble que le livre de règles de santé publique existant ait été saccagé dans la précipitation pour se rapprocher le plus possible de l'universalisation des jabs. Ces jabs COVID n'empêchent pas la transmission de la maladie même s'ils font des receveurs de vaccins des sites majeurs de mutations virales censées perpétuer la crise COVID fabriquée. Le poids des preuves permet de conclure que la décision de tirer et d'exploiter la crise, plutôt que d'y mettre fin, a été entièrement intentionnelle de la part de ceux qui cherchent à étendre l'ampleur de leur richesse et de leur pouvoir temporel.
Le programme de vaccinations de masse vise à faire progresser l'imposition mondiale de mandats de vaccination comme base de systèmes plus élaborés de soi-disant passeports vaccinaux. L'ancien vice-président de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, nous a mis en garde contre une motivation majeure à l'origine de cette imposition de mandats de vaccination. Ces mandats visent à aider à jeter les bases du développement futur d'un moyen normalisé et universel d'amasser des données sur chaque personne sur terre. Regarde ça.
L'imposition de passeports vaccinaux par diverses autorités est déjà assez avancée, par exemple en France, en Italie et en Israël. Là, l'imposition de l'apartheid médical, séparant les Vaxxed des non-vaxx, est poussée de l'avant contre une résistance populaire considérable. Regarde ça.
Si elle est rendue omniprésente et complète, l'extension des passeports vaccinaux pourrait être exploitée pour provoquer de nombreux nouveaux départs dans l'histoire. La collecte de données pourrait s'étendre au-delà du domaine de la santé pour couvrir, par exemple, les finances, l'éducation, l'emploi, les réseaux d'amis et de familles, les dossiers de police, les orientations et les penchants sexuels, ainsi que les attributs ADN de chaque personne sur terre. Cette liste est loin d'être complète. Le processus de vaccination est un moyen d'introduire chez l'homme la nanotechnologie des interfaces bio-numériques.
Jusqu'à présent, la Chine est le leader mondial dans la collecte d'informations génétiques à partir de génomes humains qui peuvent être facilement calculées et transmises sur Internet. Regarde ça.
On pense que la collecte de données ADN par le gouvernement chinois s'étend au-delà de son propre peuple à d'autres parties du monde, y compris aux États-Unis. En fait, des questions ont été soulevées quant à savoir si les informations ADN sont ou non recueillies à partir des tests COVID-19, puis acheminées vers la Chine. Regarde ça.
Les informations génétiques sur les individus et les groupes sont de plus en plus précieuses dans de nombreuses applications, y compris dans le développement de l'intelligence artificielle. La combinaison des progrès de la recherche biologique et de l'IA étend le potentiel du soi-disant transhumanisme dans les recoins les plus profonds de la conscience, des capacités et des modifications comportementales. La maîtrise des systèmes de données facilitant l'extension de la surveillance et du contrôle fournit à leurs propriétaires et opérateurs des leviers pour réprimer, asservir et gouverner une civilisation tyrannisée à une échelle bien plus menaçante que tout ce que nous avons vu jusqu'à présent.
Un moyen de répression serait de combiner le contrôle de la circulation de l'argent dans une société sans numéraire avec un système de crédits et d'inaptitudes sociaux. Les systèmes de crédit social pourraient être amenés à se confondre avec les moyens d'activer ou de désactiver les conditions de vie ou de mort, les conditions d'incarcération ou la liberté de mouvement.
Une façon de conceptualiser les changements recherchés à travers les mandats vaccinaux, les passeports vaccinaux ou les « laissez-passer verts » tels qu'ils existent déjà en Israël, consiste à imaginer ces initiatives comme des procédures visant à redéfinir les attributs fondamentaux des droits et des responsabilités de la citoyenneté. La promesse d'un retour à quelque chose comme la citoyenneté est apparemment à réserver à ceux qui acceptent de risquer leur vie et leur santé future en recevant les injections.
Cette promesse de citoyenneté pour les vaccinés intervient après que les personnes ont commencé à être traitées en 2020 sans leur consentement en tant que pupilles de leurs gouvernements respectifs. La rétrogradation des populations de citoyens aux quartiers s'est produite parallèlement à la soumission massive de personnes aux assignations à résidence, également connues sous le nom de confinements. La relation entre les pupilles et les gouvernements est similaire à la relation juridique qui place les enfants sous la garde parentale.
Des dizaines de milliers, ou des centaines de milliers, ou des millions de décès par injection ?
2021 est l'année où les jabs COVID sont entrés en service. Les producteurs de ces jabs ont reçu une autorisation d'utilisation d'urgence conditionnelle d'agences de réglementation corrompues qui ont enfreint bon nombre de leurs propres règles. Cet échec de la réglementation constitue un aspect de la déréglementation. Un marqueur révélateur de ce contrôle autocratique des soins de santé est que nous ne pouvons actuellement pas être sûrs si le nombre de décès déjà causés par les jabs doit se compter par dizaines de milliers, centaines de milliers ou millions.
Ce niveau d'incertitude étonnant est non seulement autorisé, mais il est apparemment étroitement surveillé par les autorités gouvernementales et médiatiques qui se sont permis de devenir des outils de ceux qui ont conçu cette crise COVID fabriquée. Comment une expérience médicale de cette ampleur pourrait-elle aller de l'avant sans un organisme de surveillance crédible pour saisir, évaluer et rendre compte des principaux indicateurs du succès ou de l'échec de cette entreprise dans la terra incognito médicale ?
L'incertitude sur le nombre de blessures et de décès liés au vaccin est une manifestation récente du réseau de tromperie qui accompagne la plupart des évaluations statistiques de la pandémie. Les soi-disant « numéros de cas » ont été considérablement gonflés par la mauvaise application de tests PCR inexacts. Ces tests ont été produits dans le but d'obscurcir les statistiques pour créer l'acceptation publique des verrouillages.
De même, les chiffres utilisés pour signaler les décès dus au COVID ont été radicalement gonflés d'une manière qui a permis des changements importants dans la formulation des règles de délivrance des certificats de décès. De nombreux occupants de maisons de soins infirmiers décédés de comorbidités ont été automatiquement comptés comme s'ils étaient décédés exclusivement de COVID-19.
Maintenant, le centre de la controverse s'est déplacé vers le nombre de personnes souffrant de décès et de blessures liés au vaccin. Au lieu de gonfler les statistiques comme cela s'est produit dans la notification des cas et des décès de COVID, l'accent est désormais mis sur la dégonflement du nombre de décès et d'invalidités causés par les injections.
L'une des difficultés de ce processus est que chaque pays a son propre système pour compter les décès et les blessures liés au vaccin. De plus, là où des organisations liées à GAVI comme les Organisations mondiales de la santé et l'establishment médical de Johns Hopkins ont rapidement présenté le tableau global des cas et des décès supposés de COVID, il n'en va pas de même en ce qui concerne la déclaration du taux international de décès. et les blessures causées par les vaccins COVID.
Les États-Unis ont le système VAERS. Regarde ça.
L'Autorité européenne des médicaments rapporte des chiffres similaires pour la zone UE. Le système Yellow Card fait de même pour le Royaume-Uni. D'autres rapports proviennent, par exemple, du Canada, de l'Australie, d'Israël, de l'Inde, de la Malaisie et du Japon. De manière générale, l'effort semble être de laisser le public dans l'ignorance des conséquences négatives découlant des principaux moyens proposés pour réduire les symptômes du COVID.
Alors que le système VAERS signale environ 13 000 décès par vaccin à la mi-août, un dénonciateur a déclaré plus tôt dans un affidavit que le chiffre réel était plutôt de 45 000. Une étude de l'efficacité du système VAERS a estimé que seulement 1% des décès et des blessures liés au vaccin sont signalés. Si cette évaluation est exacte, le nombre réel de décès aux États-Unis pourrait être de 1,3 million.
Les sources officielles, à savoir EudraVigilance (UE, EEE, Suisse), MHRA (Royaume-Uni) et VAERS (États-Unis), ont désormais enregistré beaucoup plus de décès et de blessures dus au déploiement du « vaccin » COVID-!9 que tous les vaccins précédents combinés depuis les enregistrements ont commencé.
Voici les dernières données au 30 août 2021 :
UE/EEE/Suisse jusqu'au 28 août 2021 - 23 252 décès liés à l'injection de Covid-19 et 2 166 285 blessures, selon la base de données EudraVigilance.
Royaume-Uni jusqu'au 18 août 2021 - 1 609 décès liés à l'injection de Covid-19 et 1 165 636 blessures, par programme de carte jaune MHRA.
États-Unis jusqu'au 20 août 2021 - 13 627 décès liés à l'injection de Covid-19 et 2 932 001 blessures, selon la base de données VAERS.
TOTAL pour l'UE/Royaume-Uni/USA – 38 488 décès liés à l'injection de Covid-19 et 6 263 922 blessures signalés au 30 août 2021.
Source : D4CE
De nombreuses preuves anecdotiques soulignent l'insistance de nombreuses autorités médicales sur le fait qu'elles ne veulent pas enquêter, laisser un seul signaler et traiter les décès et les blessures liés au vaccin. Le reporting prend un temps considérable et n'est pas rémunéré. Certains professionnels de la santé craignent clairement qu'en reconnaissant même sans parler du traitement des décès et des blessures liés au vaccin, ils s'attirent les reproches professionnels de leurs collègues.
L'incapacité à mettre en place des systèmes fiables et crédibles pour signaler les décès et les blessures liés au vaccin avant de se lancer dans cette énorme expérience médicale est révélatrice d'incompétence ou de mauvaise intention ou des deux. Joseph Mercola a discuté de ce phénomène au début de juillet 2021 juste avant d'être ciblé par la Maison Blanche de Biden comme l'un des « Dozen de la désinformation ». Dans un article intitulé « Les décès et les blessures liés aux vaccins COVID sont secrètement enterrés », écrit Mercola
Ne pas obliger les fabricants de vaccins à mettre en place un système complet pour saisir les données sur les événements indésirables est au mieux un signe d'incompétence. Mais ce n'est pas tout. La FDA commence vraiment à paraître trompeuse lorsqu'elle refuse de reconnaître que les rapports du VAERS indiquent qu'il y a des problèmes. Appeler « coïncidence » plus de 35 000 fois n'est tout simplement pas crédible, et écarter les risques d'invalidité permanente et de décès comme étant « la peine » est au-delà du cœur, de voir comment nous avons des traitements sûrs et efficaces et que personne n'a réellement besoin de jouer leur santé sur une thérapie génique expérimentale. Regarde ça.
L'incapacité des gens à savoir si des dizaines de milliers ou des centaines de milliers ou des millions d'humains sont déjà morts des vaccins est révélatrice d'un processus fortement déréglementé. Ce phénomène édifie le grand poids des preuves que la tromperie et l'obscurcissement sont en train de prévaloir, et non la précision et la transparence associées à l'adhésion consciencieuse à la méthode scientifique.
Un autre indicateur de mauvaise foi de la part des régulateurs contraires à l'éthique est la rareté des autopsies pratiquées sur les cadavres des personnes décédées peu de temps après les vaccinations. Dans la crise du COVID fabriqué, les autopsies ne sont pas encouragées ou carrément déconseillées. Qu'est-ce qui expliquerait un tel manque de curiosité pour aller au fond de ce qui se passe réellement dans la cause des décès dus aux vaccins ? Les responsables de la santé ne sont pas non plus encouragés à collecter et à analyser les flacons de vaccins, une pratique fréquente à l'époque avant que le soi-disant nouveau coronavirus ne dominait l'ensemble de l'infrastructure des soins de santé. Regarde ça.
Coups de caillot
Parmi les ingrédients mortels des breuvages des sorcières dans les injections de caillots qui nous sont poussés si agressivement, se trouvent des ingrédients dont l'effet est la réplication en masse des protéines de pointe contenant le VIH. Les injections de caillots qui détruisent la fertilité contiennent les moyens de répliquer des protéines de pointe qui endommagent le sang sur l'immense étendue des surfaces intérieures des veines et des artères et sur de nombreux kilomètres de minuscules canaux capillaires qui constituent nos systèmes cardio-vasculaires. La perturbation des cellules sanguines et des flux sanguins est particulièrement intense dans les utérus féminins et les testicules masculins, de sorte que les injections de COVID pourraient bien être à la base de beaucoup d'infertilité.
Les attentes selon lesquelles les vaccins COVID contenaient la capacité de générer des caillots sanguins, des hémorragies sanguines, des thromboses et des affections cardiaques étaient déjà bien avancées chez de nombreux médecins bien avant que ces problèmes ne commencent à attirer une publicité importante. Dans une lettre datée du 28 février 2021 à Emer Cooke, directeur exécutif de l'Agence européenne des médicaments, douze autorités médicales, toutes distinguées dans leurs domaines médicaux respectifs, ont demandé des réponses à des questions clés. Ils ont affirmé que ces questions méritaient des réponses fondées sur des preuves avant l'octroi d'une autorisation d'utilisation d'urgence aux trois fabricants de vaccins.
Les termes de la demande de Doctors for Covid Ethics (D4CE) ont été décrits comme suit :
Si toutes ces preuves ne sont pas disponibles, nous exigeons que l'approbation pour l'utilisation des vaccins à base de gènes soit retirée jusqu'à ce que toutes les questions ci-dessus aient été correctement traitées par l'exercice de la diligence raisonnable de l'EMA. [Leurs italiques gras]
Il existe de sérieuses inquiétudes, y compris, mais sans s'y limiter, celles décrites ci-dessus, selon lesquelles l'approbation des vaccins COVID-19 par l'EMA était prématurée et imprudente, et que l'administration des vaccins constituait et constitue toujours une « expérimentation humaine », ce qui était et est toujours en violation du Code de Nuremberg.
Compte tenu de l'urgence de la situation, nous vous demandons de répondre à cet e-mail dans les sept jours et de répondre à toutes nos préoccupations de manière substantielle. Si vous choisissez de ne pas vous conformer à cette demande raisonnable, nous rendrons cette lettre publique. Voir ceci.
Sur les 7 points décrits, 3 d'entre eux soutiennent que les vaccins de thérapie génique causeraient des dommages importants aux systèmes vasculaires et au sang qui les traverse. Sans surprise, le langage est assez technique et commence par une référence aux « dommages endothéliaux ». De tels dommages impliqueraient des blessures aux parois internes des vaisseaux sanguins et des vaisseaux lymphatiques. Les médecins expliquent,
4. Si de telles preuves ne sont pas disponibles, il faut s'attendre à ce que des dommages endothéliaux avec déclenchement ultérieur de la coagulation du sang via l'activation plaquettaire se produiront à d'innombrables sites dans tout le corps. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l'homme par l'EMA.
5. Si de telles preuves ne sont pas disponibles, il faut s'attendre à ce que cela entraîne une baisse du nombre de plaquettes, l'apparition de D-dimères dans le sang et une myriade de lésions ischémiques dans tout le corps, y compris dans le cerveau, la moelle épinière et le cœur. . Des troubles de la coagulation peuvent survenir à la suite de ce nouveau type de syndrome CIVD, notamment, entre autres possibilités, des saignements abondants et des accidents vasculaires cérébraux hémorragiques. Nous demandons des preuves que toutes ces possibilités ont été exclues dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l'homme par l'EMA.
6. La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2 sur les plaquettes, ce qui entraîne leur activation. Une thrombocytopénie a été signalée dans des cas graves d'infection par le SRAS-CoV-2. Une thrombocytopénie a également été rapportée chez des sujets vaccinés. Nous demandons des preuves que le danger potentiel d'activation plaquettaire qui conduirait également à une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) a été exclu avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l'homme par l'EMA.
Voici encore une preuve supplémentaire que les régulateurs européens des médicaments ont été négligents en tenant compte de l'intervention d'autorités bien connues dans leurs domaines. En ignorant l'intervention scientifique bien fondée du 28 février, les régulateurs n'ont écouté que les intérêts des sociétés pharmaceutiques, pas les intérêts du public. La négligence dans la réglementation a tendance à se traduire par une déréglementation efficace.
Déréglementation et intérêt public
D'une manière générale, la déréglementation soumet la plupart des gens ainsi que nos gouvernements à des niveaux accrus de gouvernement d'entreprise. Par conséquent, la déréglementation favorise le pouvoir de la richesse sur le pouvoir des gens moyens. La prolifération de la déréglementation elle-même est le reflet de la réalité selon laquelle il a été démontré que les gens ordinaires « n'ont que peu ou pas d'influence indépendante » sur les politiques gouvernementales. Regarde ça.
La déréglementation est un mot popularisé dans les années 1980 lorsque le président américain Ronald Reagan a promis qu'il libérerait les entreprises de l'ingérence intrusive du gouvernement dans leurs activités commerciales. La déréglementation de l'industrie des services financiers basée à Wall Street en 1999 a directement conduit à d'énormes excès dans la manipulation d'un large éventail d'instruments financiers étranges connus sous le nom de produits dérivés. Les dérivés tirent de la valeur des actifs sous-jacents, notamment les matières premières, l'argent et les actions. En 2008, les excès exubérants des paris sur les produits dérivés ont fait s'effondrer les marchés boursiers et les économies locales à travers le monde.
Les institutions financières mêmes dont la spéculation excessive avait causé la débâcle financière en premier lieu ont ensuite été autorisées à piller les trésors nationaux. Au nom de la déréglementation, les grandes banques de Wall Street et leurs partenaires internationaux se sont servis de 29 000 milliards de dollars de fonds de sauvetage. Ce cadeau de la Réserve fédérale aux grandes institutions financières a été financé sur la base de l'imposition secrète de dettes massives sur les épaules des contribuables. Regarde ça.
Avec BlackRock Inc de Wall Street servant en quelque sorte de proxy pour les grandes banques qui détiennent une participation majoritaire dans la Federal Reserve Bank de New York, les robinets monétaires déréglementés s'ouvrent à nouveau en 2021. La création d'argent frais trouve son chemin dans toutes sortes d'activités néfastes, y compris la création de caisses noires politiques pour récompenser les copains des kleptocrates au pouvoir. L’expansion secrète de la masse monétaire découle en grande partie de la tentative de lisser le désastre économique provoqué par la prolifération des assignations à résidence, du chômage et des faillites de petites entreprises au nom des blocages COVID mandatés par le gouvernement.
Le cycle actuel de création monétaire hautement inflationniste reproduit et étend bon nombre des schémas les plus kleptocratiques établis en réponse à la crise économique générée par les banques en 2008. Voir ceci.
Une fois de plus, une part disproportionnée de l'argent neuf généré va enrichir les personnes déjà riches en endettant davantage la classe de citoyens la plus endettée. Ce schéma se reproduit dans de nombreuses formes de déréglementation. En règle générale, la plupart des avantages de la déréglementation vont aux intérêts des privilèges tandis que la sécurité financière, la santé et le bien-être général de ceux qui habitent les parties médiane et inférieure des hiérarchies socio-économiques sont gravement compromis.
La conduite d'un assaut de classe dirigé vers le bas sur les masses depuis les sommets mêmes de la richesse et du pouvoir est bien illustrée par les dimensions financières de la crise du COVID fabriquée. Cette crise couvre les manipulations secrètes d'initiés financiers en train de provoquer le plus grand transfert vers le haut de richesse monétaire de l'histoire. Les milliardaires font un massacre tandis que la classe moyenne est décimée pour créer une société polarisée entre riches et pauvres avec très peu de choses entre les deux.
Cette propension est bien démontrée pendant les fermetures lorsque les chaînes de magasins à grande surface comme Costco et Wal-Mart peuvent rester ouvertes tandis que les gouvernements locaux ferment régulièrement les entreprises ma-and-pa par score. Wall Street obtient la sauce tandis que les petits entrepreneurs de Main Street sont régulièrement fermés et forcés de fermer leurs portes. Regarde ça.
La capture industrielle des agences de régulation
La déréglementation n'est pas toujours mauvaise. Parfois, les régimes réglementaires deviennent si onéreux et complexes qu'ils doivent être réduits. Cependant, la déréglementation a généralement un impact destructeur grave lorsque les industries réussissent à prendre le contrôle des organismes de réglementation d'une manière qui a un impact sur la qualité de nos aliments, de l'air et de l'eau.
Il en va de même pour les médicaments pharmaceutiques, un domaine commercial où les sociétés pharmaceutiques sèment leurs propres agents dans des agences gouvernementales comme Santé Canada, la Food and Drug Administration des États-Unis, l'Autorité européenne des médicaments, le Center for Disease Control and Prevention des États-Unis ainsi que le National Institut de la Santé. Tout au long de la crise du COVID fabriqué, Anthony Fauci, un important propriétaire de brevets dans des domaines où il exerce une autorité de régulation, est devenu l'incarnation du type de conflit d'intérêts où la capture industrielle de l'autorité de régulation des gouvernements est devenue la règle plutôt que l'aberration.
La crise du COVID fabriquée nous présente un exemple particulièrement frappant de la facilité avec laquelle la déréglementation de la prestation des soins de santé peut être exploitée par les intérêts de la richesse et du pouvoir. Cette exploitation désavantage gravement l'intérêt public. L'intérêt public s'exprime le mieux dans l'application du bon sens aux politiques publiques.
Avec la déréglementation, les industries ont pris le contrôle de la réglementation de leurs propres activités commerciales.
L'un des principaux objectifs de la plupart des déréglementations est de privatiser l'accumulation de plus de richesses par les personnes déjà riches et de laisser les dépenses du nettoyage industriel ou de la réadaptation des travailleurs blessés ou traumatisés à la charge des contribuables. Une illustration classique de ce schéma est l'accord gouvernemental qui remonte à 1986 pour indemniser les fabricants de vaccins contre les poursuites.
Les sociétés pharmaceutiques privatisent ainsi les bénéfices du secteur des vaccins alors même qu'elles répercutent sur les citoyens moyens le coût des dommages que leur industrie laisse derrière eux. Le poids le plus lourd de cette dépense vient sous la forme des souffrances horribles qui accompagnent les décès et les blessures dus aux vaccins imposés aux victimes et à leurs familles.
La décision du gouvernement de mettre les sociétés pharmaceutiques à l'abri des dommages qu'elles causent se poursuit pleinement à ce stade de la crise du COVID manufacturé.
La corruption du processus réglementaire a été pleinement mise en évidence dans l'accord conclu par la FDA avec la société Pfizer fin août. Pfizer a pu conserver l'autorisation d'utilisation d'urgence étendue à son vaccin COVID existant. Cette autorisation d'utilisation d'urgence est basée sur la fausse affirmation selon laquelle les vaccins sont le seul remède disponible pour lutter contre la maladie virale. Parallèlement à la réclamation infondée, l'immunité de Pfizer contre les poursuites est maintenue.
Dans le même temps, la FDA a donné son approbation complète à un vaccin actuellement inexistant qui sera nommé Comirnaty. Le processus à huis clos menant à l'octroi de cette approbation n'a même pas entraîné de réunion du comité de surveillance déjà truqué de la FDA. Il semble que l'approbation de Pfizer vise à affaiblir la résistance à l'imposition de vaccins obligatoires à de nombreuses catégories de travailleurs, soldats, étudiants, voyageurs et autres.
Le nouveau produit Comirnaty a « l'approbation » mais il manque d'indemnisation pour Pfizer contre les poursuites. Il semble peu probable que Pfizer distribue au public le mélange de thérapie génique Comirnaty jusqu'à ce qu'il soit indemnisé. On ne sait pas encore si Comirnaty remplacera le produit Pfizer BioNTech actuel ainsi qu'un rappel contre la variante Delta qui ciblerait les personnes vaccinées de la manière la plus agressive. Regarde ça.
Tout le cafouillage de l'autorisation d'utilisation d'urgence dépend de la fiction selon laquelle les vaccins offrent les seuls remèdes pour COVID-19. Cette thèse s'est révélée fausse par les Drs. Vladimir Zelenko et Didier Raoult. Il existe un certain nombre de remèdes très efficaces contre l’infection virale nommée COVID-19. Ceux-ci incluent l'hydroxychloroquine avec du zinc ainsi que l'ivermectine. Ces remèdes plus naturels ne sont pas brevetés. L'hydroxychloroquine a été injustement écartée par une fraude très ambitieuse impliquant le magazine Lancet et une société concoctée de menteurs connue sous le nom de Surgisphere. Regarde ça.
Nous immuniser contre la stupidité du troupeau
La violation de tant de règles fondamentales de la méthodologie scientifique, des procédures médicales standard et des pratiques normales de santé publique n'est généralement pas involontaire. Les violations ont plutôt été calculées pour établir une multitude de précédents très importants. Pris ensemble, ces précédents sont censés déclencher des transformations importantes dans l'économie politique des interactions humaines les unes avec les autres et avec le reste de la nature.
Ces précédents sont établis à un moment de l'histoire où l'humanité est au bord d'un changement presque insondable. Nous sommes confrontés à un effondrement écologique, financier et gouvernemental à grande échelle. Nous sommes confrontés à l'effondrement des valeurs familiales et de toutes sortes de cohésion sociale dans un milieu où nous sommes soumis à des assauts destructeurs venant de plusieurs directions. Ces agressions émanent en particulier des premiers sionistes israéliens de diverses origines religieuses.
Contrairement aux fictions attachées aux idiots musulmans érigés le 11 septembre en ennemis à rejeter et à envahir, les diviseurs malveillants semblent véritablement mépriser nos libertés. Ces ennemis veulent clairement saboter le meilleur de nos héritages civilisationnels occidentaux qui sont actuellement à la fois protégés et menacés par les courants concurrents du christianisme.
Bien que nous soyons en période de panne et d'épave tragiques, nous sommes également confrontés à une gamme de nouvelles opportunités qui pourraient être les nôtres si nous pouvions maîtriser de manière saine et constructive de nombreuses nouvelles technologies puissantes déjà présentes ou à venir rapidement. Nous ne pouvons pas abandonner à la juridiction exclusive des très riches la conception de la configuration de ces nouvelles technologies.
Actuellement, Bill Gates incarne l'antithèse même de cette approche saine dont nous avons besoin pour l'innovation technologique. La trajectoire de carrière de Gates, du monopole de Microsoft aux OGM de Monsanto et maintenant à la dépopulation grâce à l'eugénisme vaccinal, représente un effort concerté et profondément destructeur pour limiter l'éventail de nos destins possibles.
La crise du COVID fabriquée est calculée pour nous enchaîner à un avenir de captivité avant que nous n'ayons eu la chance d'examiner, d'évaluer et de débattre correctement de l'ensemble de nos options à une époque de grande transformation technologique.
Nous avons beaucoup de choses à régler et à discuter avant de nous précipiter sur un plan pour nous modifier génétiquement ou pour mélanger notre biologie avec la puissance de calcul de l'intelligence artificielle. Afin de regagner notre mot à dire dans la détermination de notre propre destin, nous devons insister sur un retour au consentement éclairé comme fondement de chaque aspect de notre autonomie gouvernementale.
La crise du COVID fabriquée a créé une plate-forme pour ceux qui ont pris l'initiative d'afficher la pauvreté totale et le blasphème de leur conception xénophobe de l'endroit où nous devrions nous diriger.
L'absence de toute focalisation sur le caractère phénoménal de notre immunité naturelle révèle le style impie et stérile de leur pensée appauvrie. Commençons à prendre position en cultivant et en exerçant activement les énormes capacités de notre propre système immunitaire. Immunisons-nous contre de nouvelles chutes dans la bêtise collective.
The original source of this article is Global Research.
Vous imaginez-vous avec des effets secondaires à chaque vaccin ?! Combien en avez vous eu dans votre vie ? Combien de morts d'effet secondaire depuis 100 ans ?
RépondreSupprimerEn l'ABSENCE de posologie accompagnant les flacons d'expérimentation génique d'essais ON NE DOIT PAS DONNER CE 'MÉDICAMENT' !
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU UNE PANDÉMIE
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT SANS FAIRE UNE SÉROLOGIE PRÉCÉDEMMENT
Regardez : la dernière « solution » d'Al Gore contre le changement climatique est la surveillance de masse
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 08 NOV 2021 - 10h45
Rédigé par Steve Watson via Summit News,
S'exprimant lors du rassemblement des propriétaires de jets privés et de super yachts, également connu sous le nom de sommet COP 26, Al Gore a présenté sa dernière solution pour réduire les émissions de carbone, la surveillance de masse via des satellites, des capteurs et l'intelligence artificielle.
Dans l'interview d'Andrea Mitchell de MSNBC, Gore a déclaré que la technologie créée par la coalition Climate TRACE surveillera les émissions de gaz à effet de serre et éliminera les coupables.
"Nous obtenons des données de manière cohérente à partir de 300 satellites existants, de plus de 11 000 capteurs terrestres, aériens et marins, de multiples flux de données Internet et en utilisant l'intelligence artificielle", a expliqué Gore, ajoutant
"Toutes ces informations sont combinées, lumière visible, infrarouge, toutes les autres informations qui sont apportées, et nous pouvons maintenant déterminer avec précision d'où viennent les émissions de gaz à effet de serre."
Gore, qui a déclaré en 2008 qu'il n'y aurait plus de calottes glaciaires polaires d'ici cinq ans, a poursuivi : « Et l'année prochaine, nous l'aurons jusqu'au niveau de chaque centrale électrique, raffinerie, chaque grand navire, chaque avion, chaque déchet, dépotoir, et nous aurons l'identité des personnes qui sont responsables de chacun de ces flux d'émissions de gaz à effet de serre.
Et qu'arrivera-t-il, je vous prie, à ces criminels climatiques Al ?
« Si les investisseurs ou les gouvernements, ou les militants de la société civile veulent les tenir pour responsables, ils auront les informations sur lesquelles fonder leur action et les tenir pour responsables », a proclamé Gore.
Regarder:
RépondreSupprimer- voir clip sur site -
Ce que Gore et ses 300 satellites découvriront, c'est que c'est l'élite de la classe du luxe super riche qui est le plus gros pollueur au monde.
De nouvelles recherches menées par l'Institute for European Environmental Policy (IEEP) et le Stockholm Environment Institute (SEI) ont révélé que d'ici 2030, l'empreinte carbone des 1% les plus riches de l'humanité est en passe d'être 30 fois supérieure à la taille compatible avec la limitation réchauffement climatique à 1,5°C d'ici la fin du siècle, l'objectif de température le plus ambitieux de l'Accord de Paris.
Le rapport note que si les tendances actuelles se poursuivent, les 1 % les plus riches représenteront 16 % des émissions mondiales de gaz carbonique en 2030.
Le document note qu'« ils entraînent de plus en plus l'étendue des inégalités mondiales et ont probablement un impact plus important sur l'acceptabilité politique et sociale des efforts nationaux de réduction des émissions », ajoutant « Il est donc notable que dans tous les principaux pays émetteurs, les plus riches 10 % et 1 % au niveau national devraient avoir des empreintes de consommation par habitant nettement supérieures au niveau mondial de 1,5 °C par habitant. »
"Les émissions d'un seul vol spatial d'un milliardaire dépasseraient les émissions à vie de quelqu'un du milliard de personnes les plus pauvres sur Terre", a déclaré Nafkote Dabi, responsable de la politique climatique d'Oxfam, dans un autre communiqué.
Dabi a ajouté : « Une petite élite semble avoir un laissez-passer gratuit pour polluer. Leurs émissions surdimensionnées alimentent des conditions météorologiques extrêmes dans le monde entier et mettent en péril l'objectif international de limiter le chauffage mondial. »
« Les émissions des 10 % les plus riches à elles seules pourraient nous envoyer au-delà de la limite convenue au cours des neuf prochaines années », poursuit Dabi, affirmant que « cela aurait des résultats catastrophiques pour certaines des personnes les plus vulnérables de la Terre qui sont déjà confrontées à des tempêtes meurtrières, la faim et le dénuement.
Comme nous l'avons noté la semaine dernière, le Sommet sur le climat de la COP a attiré des dignitaires d'élite sur plus de 400 jets privés, avec des estimations prudentes suggérant que cela équivaudrait à 13 000 tonnes de gaz carbonique.
Jeff Bezos, Bill Gates et le prince Charles, qui vivent leur vie sur des jets privés, des super yachts et des vols spatiaux, se sont immédiatement mis à faire la leçon au reste du monde sur leur empreinte carbone.
Ils font le tour de la planète pour se rencontrer, se gaver de bifteck de chevreuil et de bœuf de première qualité, tout en disant à tout le monde de se taire, de rester à la maison et de manger des insectes :
https://www.zerohedge.com/geopolitical/watch-al-gores-latest-solution-climate-change-mass-surveillance
Ce que l'escroc al gore ne dit pas c'est que le gaz carbonique n'a AUCUN pouvoir calorifique, que TOUS les gaz de l'atmosphère se recyclent immédiatement (sans quoi il n'y aurait jamais eu de vie sur Terre !) et que TOUS les gaz présents dans l'atmosphère sont créé par le magma.
SupprimerPareillement que TOUT se que nous remontons de sous-terre et que nous déposons sur ou sous terre revient d'où s'est venu !
Notre planète peut avoir 150 milliards de camions et d'habitants elle ne pèsera pas 1 gramme de plus ou de moins qu'il y a depuis toujours !
Seul le magma et ses gaz rejetés dans l'atmosphère gère le climat mondial quoi que nous fassions ou que des volcans entrent en éruption !
OMS, ONU : la peur, fondement de l’intervention publique
RépondreSupprimerC’est l’étrange alarmisme de l’OMS qui devrait nous alarmer.
Par Jonathan Frickert.
9 NOVEMBRE 2021
Dénombrerons-nous 500 000 morts d’ici la fin de l’hiver si nous ne faisons rien ? Alors que l’exécutif français semble être passé dans une phase d’alarmisme après avoir fait voter la prolongation du pass sanitaire jusqu’à l’été, l’Organisation mondiale de la santé s’est montrée ce jeudi très préoccupée par la situation épidémique européenne.
Le flamand Hans Kluge, directeur régional de l’organisation pour l’Europe depuis février 2020, a notamment pointé du doigt l’insuffisance de vaccination et l’assouplissement des mesures dans la plupart des pays européens.
Principal signe d’alerte : le doublement des hospitalisations en moins d’une semaine dans les hôpitaux du vieux continent.
LE RETOUR DE TARTUFFE
Cet alarmisme a une certaine dose d’ironie, les champions mondiaux de la hausse du nombre de décès liés à la covid ne sont autres que les pays d’Europe de l’Est dont les États ne sont guère connus pour leur laxisme à l’égard de leur population.
Ensuite, l’OMS n’a guère brillé dans cette pandémie.
Depuis bientôt deux ans, l’organisation a montré, plus que dans toute son histoire, son inutilité.
Outre les soupçons de collusion avec le régime chinois, l’OMS est régulièrement attaquée pour son absence de vision et sa structure bureaucratique favorisant largement la corruption, comme le rappelait dans nos colonnes Christophe de Brouwer en avril 2020.
Tout cela évidemment financé grassement par les contribuables du monde entier, sans doute heureux de savoir que l’OMS aurait par exemple, en mars 2017, dépensé davantage pour les voyages de son personnel que pour la lutte contre les grandes épidémies qui secouent encore aujourd’hui la planète.
Autant d’éléments qui sont loin d’apporter du crédit aux alertes de l’organisation. Pour cause, au micro de nos confrères de CNews vendredi, le professeur Bruno Megarbane a mis en doute le réalisme de telles prévisions, évoquant plutôt 350 000 morts d’ici le mois de mars.
Voilà qui devrait mettre la puce à l’oreille sur l’étrange alarmisme de l’OMS.
PEUR DU VIRUS OU PEUR DE LA SATURATION
RépondreSupprimerDifficile de ne pas voir dans ces appels une réplique de ce que nous connaissons depuis bientôt deux ans. La peur du virus a été un des plus puissants justificatifs de mesures liberticides de ces dernières décennies.
Une peur masquant en réalité une autre, bien plus terrifiante pour la structure bureaucratique : celle d’une saturation hospitalière provoquée par des années de politique publique en matière de santé incapable de sauver un système maintenu en vie par des personnels de terrain parmi les plus qualifiés au monde.
Incapable de reconnaître ses erreurs en matière de politique de santé, l’État s’est trouvé dans une situation de panique à l’arrivée d’une de ces crises auxquelles nos autorités se targuaient pourtant régulièrement de se préparer.
PANIQUARDS CONTRE RASSURISTES
Cette question s’est affichée au grand jour en mars 2020, alors que la France se divisait entre les paniquards et les rassuristes. Les mesures devenaient de plus en plus pérennes à mesure que leur illisibilité devenait de plus en plus croissante.
Au cœur de ces problèmes se trouve un certain paternalisme étatique né d’une aversion de ce dernier au risque. Peur et crise s’entretiennent et se succèdent dans un mouvement cyclique au détriment des libertés qui régressent année après année.
La peur cadenasse et muselle les opinions divergentes jugées dangereuses au bien-être et surtout à la sécurité de la communauté.
Si la pandémie en est un exemple, ce schéma se répète évidemment s’agissant de la question climatique.
LE RETOUR DU CATASTROPHISME CLIMATIQUE
L’alarmisme de l’OMS n’est pas sans rappeler celui de l’ONU vis-à-vis de la question climatique. Au moment même où l’OMS alertait sur les conséquences du rebond de la pandémie, le programme onusien pour l’environnement a alerté sur celles, jugées imminentes, du dérèglement climatique et a appelé à accroître significativement les financements publics, estimant que sur les 16 700 milliards de dollars de mesures de relance verte, seule une toute petite partie aurait été utilisée.
Plus récemment, l’Organisation des Nations Unies a publié une petite vidéo humoristique, évoquée samedi dans nos colonnes par Philippe Mösching, où un dinosaure évoque l’extinction prochaine de l’espèce humaine en raison du réchauffement climatique.
LA PEUR, MOTEUR DE L’ACCROISSEMENT PUBLIC
RépondreSupprimerQu’il s’agisse des restrictions des libertés ou de l’accroissement de dépenses publiques à l’intérêt rarement prouvé, du niveau local, national ou mondial, la peur constitue toujours un moteur puissant d’accroissement de la sphère publique au détriment du bon sens et de nos libertés.
Jeudi, l’ONU et l’OMS l’ont une nouvelle fois démontré.
https://www.contrepoints.org/2021/11/09/411172-oms-onu-la-peur-fondement-de-lintervention-publique
Faut dire qu'un microbe (appelé 'virus' pour faire plus méchant !) ne se voit pas. C'est du 0,1 à 0,5 micron (soit moins d'un millième de millimètre), et, comme il ne se voit pas... on peut faire croire à n'importe qui qu'il y est, qu'il y en a, et que du mot 'épidémie' on passe vite à 'pandémie' voire 'ravageatomie', 'terminatomie' ! (Tant qu'il y a des cons qui écoutent ces merdes au pouvoir...).
SupprimerMais, il y a les scientifiques ! (Si-si çà existe !). Les scientifiques ont (en l'absence de posologie) analysé la 'potion magique' appelée criminellement 'vaccin' et, ils ou elles y ont découvert dedans tous les poisons de la Terre ! De l'oxyde de graphène ! De l'aluminium et du mercure !! Ces trois sont mortels. Seul l'aluminium est là depuis 1927 et permet aux inoculés de contracter l'Alzheimer ou Parkinson !
Remarquez que ce que je vous dis je ne l'invente pas et vient des sommités de la science à des millions de kilomètres au-dessus des merdias et politichiens !
Et, comme il s'agit de vendre le célèbre 'bouillon d'11 h.', la réclame pour la mort est diffusée 24/24 h par Égémonix 1er (à ne pas confondre les manuels avec les intellectuels !).
Belgique : l’écocolonialisme au pays du surréalisme
RépondreSupprimerL’écocolonialisme est-il le nouveau colonialisme à la belge ?
Par Samuele Furfari.
9 NOVEMBRE 2021
Après avoir adopté une stratégie hydrogène pour faire comme tout le monde, l’écologiste Tinne Van der Straeten, ministre fédérale belge a signé ce 3 novembre 2021 un protocole d’accord avec la Namibie pour produire de l’hydrogène baptisé vert parce que produit par électrolyse de l’eau grâce à de l’électricité photovoltaïque solaire, hydrogène qui sera transporté en Belgique. L’écocolonialisme est la forme moderne du colonialisme.
On comprend que madame la ministre, au demeurant historienne, ne soit pas en mesure de se renseigner et d’apprendre les nombreuses questions techniques qui sous-tendent ce projet et qu’elle se contente donc d’idéologie sympathique, mais son entourage aurait dû les connaître un minimum pour ne pas ridiculiser sa ministre et au-delà l’ensemble du gouvernement belge.
LA BELGIQUE COURT DERRIÈRE L’ALLEMAGNE
Pour commencer, tout – TOUT – ce qu’on dit actuellement sur l’hydrogène a été pensé, réfléchi, recherché par les experts du Centre commun de recherche de la Commission européenne basé à Ispra depuis 1959. Dans mon livre L’utopie hydrogène, je retrace toutes ces recherches menées par les meilleurs experts européens avec des crédits en suffisance afin de trouver, s’il était possible, des solutions. La filière hydrogène maintes fois pensée est mort-née. Mais peut-être que l’entourage jeune de la ministre ne le sait pas.
Cette démarche n’est rien d’autre que la course aveugle derrière l’EnergieWende allemande. Les collègues allemands de madame Tinne Van der Straeten ont ressuscité cette vieille recette de l’hydrogène, car ils savent que les énergies variables et intermittentes (éolien et solaire) ne leur permettront jamais de se passer à la fois du charbon et du nucléaire. En conséquence il faut pousser le gaz naturel qui permettrait de produire de l’hydrogène « bleu ». Cela l’entourage de la ministre le sait très bien.
Parler de l’hydrogène est la dernière trouvaille des politiques pour faire croire qu’ils maîtrisent la technique en promouvant un produit propre « dont la combustion ne produit que de l’eau » suivant le slogan d’un constructeur automobile ; cette référence est particulièrement déplacée dans la mesure où le rendement énergétique d’une voiture électrique à batterie est trois fois supérieur à celui d’une voiture à hydrogène.
On aimerait connaître le prix de l’hydrogène produit en Namibie ; dans plusieurs publications récentes, avec mon collègue italien Alessandro Clerici, nous montrons dans un article publié par Science-climat-énergie que la production d’hydrogène dit vert est une aberration économique, car le coût de production est exorbitant. Même à partir de solaire dans les Émirats arabes unis le coût de production en 2030 serait de 2 euros/kg avec un très haut rendement d’électrolyse de 69%, un discounted rate de 8 % et un CAPEX de 450 euros/kW. Tout cela est documenté dans la littérature scientifique. Mais quand on fait de la politique, cela n’a guère d’importance, encore moins dans le pays du surréalisme. Il suffit d’observer la politique suivie en matière de centrales nucléaires pour s’en convaincre.
On aimerait savoir quel est le coût de l’hydrogène rendu au port d’Anvers, le pôle pétrochimique qui a bien besoin de cette molécule noble. D’ailleurs, pourquoi faudrait-il commencer par décarboner l’industrie lourde alors que le principal usage de l’hydrogène est la production d’ammoniac et la dépollution des produits pétroliers produits à Anvers ? Mais sans doute n’y a-t-il pas d’ingénieurs chimistes dans l’entourage de la ministre.
RépondreSupprimerTransporter de l’hydrogène ce n’est pas comme transporter du gaz naturel. C’est bien plus compliqué à cause de la nature chimique de la molécule. Cette question du transport de l’hydrogène en mer a déjà été étudiée sur toutes ses facettes par les fonctionnaires européens dans les recherches mentionnées ci-dessus. Par exemple, afin d’importer dans l’UE de l’hydrogène qui aurait dû être produit par l’abondante hydro-électricité du Québec, un protocole d’accord entre le ministère des Ressources naturelles de la province canadienne et la Commission européenne a été signé en 1988. Les calculs ont montré que les solutions envisagées étaient impraticables : 54 % de perte d’énergie à cause de la transformation chimique du toluène en méthylcyclohexane dans le sens Canada-Union européenne, et inversement. De plus, transporter à vide 92 kg de toluène pour transporter 2 kg d’hydrogène est bien évidemment une aberration. Quant à l’alternative de l’hydrogène, je n’ose pas imaginer que cela ait été envisagé. Mais peut-être que l’entourage de la ministre n’a pas lu le livre susmentionné qui explique tout cela.
La ministre explique que la moitié de l’hydrogène restera sur place en Namibie. Si c’est pour l’utiliser à la production d’engrais pour nourrir la population on peut s’en réjouir, puisque c’est là un usage incontournable de l’hydrogène. Mais ils pourraient très bien aussi le produire à moindre coût au départ de gaz naturel, l’énergie de l’avenir, car cela leur coûterait nettement moins cher. Mais peut-être que l’entourage du ministre namibien a suivi les conseils surréalistes belges.
Le gouvernement belge explique que cet hydrogène est nécessaire pour l’industrie lourde belge productrice « d’acier, de ciment, d’aluminium et de verre ». D’aluminium ? Alors que la Belgique n’en produit pas. Science-climat-énergie a publié un article expliquant que le prix trop élevé de l’électricité dans l’UE a externalisé la production d’aluminium pour le plus grand bénéfice de la Chine (57 % de la production mondiale d’aluminium) et de la Russie qui eux ne veulent pas verdir leur production d’énergie (ce qui explique l’absence de leurs dirigeants à la COP 26), quant à l’utilisation de l’hydrogène pour produire dans l’hydrogène c’est un raccourci, car ce n’est que pour l’étape de calcination et non pas pour l’électrolyse que des recherches sont à peine évoquées par l’industrie de l’aluminium. Verdir la sidérurgie ? Les conseillers de la ministre n’ont sans doute pas lu l’article publié par Bernard Mairy dans une newsletter de la Société Européenne des Ingénieurs et Industriels à ce sujet… Ont-ils seulement fait le calcul pour vérifier s’il n’était pas plus économique de produire ces produits sur place puisqu’il faut transporter des matières premières lourdes et de l’hydrogène dangereux ? Cela aussi c’est du développement durable.
Lorsque les chercheurs du Centre commun de recherche de la Commission européenne ont travaillé sur l’hydrogène, c’était pour le faire à partir de l’électricité nucléaire, la bête noire de la ministre belge. Mes calculs avec Alessandro Clerici publiés par Science-climat-énergie ont montré que la seule façon de limiter les coûts de la production d’hydrogène – mais toujours plus cher qu’à partir du gaz naturel – est avec l’électricité produite par les centrales nucléaires existantes. La production d’hydrogène par électrolyse à partir d’électricité nucléaire belge ― sans les risques de transport et de la géopolitique ― coûterait un tiers ! Mais c’est tabou ! La détestée énergie nucléaire par la ministre ne peut être la solution pour elle au point que contre toute logique elle tient à fermer les centrales nucléaires.
RépondreSupprimerDernier point, gardé pour la fin, car il est le plus honteux. En 2019 d’après la Banque mondiale 55 % de la population de la Namibie est connectée au réseau électrique. Et comme partout en Afrique, le système électrique est très instable ce qui occasionne des coupures d’alimentation récurrentes (la principale source pour la production d’électricité pour les personnes nanties en Afrique est le diesel qui alimente les groupes électrogènes domestiques). Comment peut-on seulement penser à aller produire de l’hydrogène pour un souci de pays surréaliste, en l’occurrence la Belgique, dans un pays pauvre ? Cela est aussi indigne que l’idée saugrenue allemande du projet Desertec pour produire de l’électricité dans le Sahara à transporter en Allemagne. L’échec éthique et économique de ce projet n’a pas suffi à l’Allemagne qui envisage à présent de produire de l’hydrogène au Maroc. Est-ce parce que la Namibie est son ancienne colonie que l’Allemagne laisse la place à la Belgique ?
La Commission européenne ― toujours prête à copier l’Allemagne ― dans sa stratégie hydrogène du 7 juillet 2020 a osé proposer l’écocolonialisme par l’hydrogène en Afrique, mais heureusement le Conseil européen du 11 décembre 2020 a refusé d’entériner cette faute éthique.
Si l’on veut que l’Afrique se développe, une chose est à faire en premier : doter le continent d’une production d’énergie abondante et bon marché.
Un article du 5 novembre 2021 qui me cite lors du colloque « Le paradoxe africain », tenu le 10 juin dernier à l’École militaire de Paris, rappelle fort opportunément :
Nous autres Européens consommons 6100 kWh/an par personne, et les Africains 530 kWh/an par personne, soit 12 fois moins. De plus, nous savons que si la population africaine va augmenter de façon importante dans les prochaines années, elle aura besoin d’encore plus d’énergie.
La Belgique surréaliste préfèrerait ainsi capturer l’électricité des pauvres Africains. L’écocolonialisme est-il le nouveau colonialisme à la belge ?
Le dernier ouvrage de Samuele Furfari est Écologisme. Assaut contre la société occidentale (Éditions VA).
https://www.contrepoints.org/2021/11/09/411184-belgique-lecocolonialisme-au-pays-du-surrealisme
CELLNEX : LA CROISSANCE "QUOIQU'IL EN COÛTE"
RépondreSupprimerpar EMMA SIMON
08/11/2021
Cellnex prévoit 9 milliards d'euros de dépenses en 2022.
Cellnex, Towerco espagnole est une « machine de guerre » ! En 7 ans, comme indiqué sur son site web son parc de pylônes est passé en Europe de 7000 à 128 000 soit 18 fois plus au travers de 40 acquisitions de Parcs d’opérateurs de téléphonie mobile, tandis que son Chiffre d’affaires a été multiplié par 6 et son résultat d’exploitation par 7….
Mais comment peut-on réussir une telle croissance et être valorisé plusieurs dizaines de milliards en si peu de temps ? Il est intéressant d’étudier à cet égard ses combats face aux Autorités de la concurrence chargés d’étudier et de réguler les concentrations ou les positions dominantes dans tous les pays d’Europe : déjà en délicatesse avec l’Autorité Italienne son combat est devenu extrêmement violent au Roayume-Uni sur le dossier de rachat des pylônes de Hutchinson. En effet, contraint de revendre des sites en raison de sa position dominante Cellnex aurait tenter d’enfumer l’administration anglaise en se séparant de sites « à construire » et non de sites existants… retour de flamme l’Autorité anglaise est passé à un stade pré contentieux pouvant déboucher sur un refus anglais de cette nouvelle application Cellnex.
Et sur la France ? Comme indiqué la semaine dernière l’aquisition de Hivory (les 10 000 pylones de SFR) par Cellnex ne sera effective que lorsque ces derniers auront revendu 3200 pylones à une autre Towerco. Alors comment Cellnex va-t-il se livrer à son sport favori en France consistant à se jouer des décisions des Autorités de la concurrence ? Certains comme lefigaro.fr ont dévoilé que les tractations avaient démarré depuis fort longtemps… et si l’Autorité de la concurrence française se faisait cette fois piéger par les limites des ses prérogatives qui consistent à encadrer les concentrations et donc fusions entre sociétés mais sans pouvoir examiner les achats d’actifs… En d’autres termes il serait possible de vendre une fois 3200 sites tout en rachetant en parallèle 3200 fois un site - référence à une célèbre citation du film La cité de la peur - … et ce film ne serait pas forcément drôle pour le gendarme des concentrations. Tout ceci peut se préparer bien à l’avance et expliquerait l’information du Figaro sur des tractations bien avancées.
Affaire à suivre le combat juridique ne fait que commencer !
http://www.economiematin.fr/news-cellnex-croissance-telephonie-parc-antennes
ENGIE CHOISIT BOUYGUES POUR ACHETER LA FILIALE EQUANS POUR 7,1 MILLIARDS D'EUROS
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
06/11/2021
Engie réalise un chiffre d'affaires annuel de 12 milliards d'euros.
Le groupe Bouygues va devenir le géant des services multitechniques qu'il cherche à devenir : il a en effet été choisi par Engie pour reprendre Equans, la filiale regroupant ses activités de services techniques.
C'est finalement Bouygues qui a tiré le gros lot. Le groupe de BTP a été choisi par le conseil d'administration d'Engie pour racheter Equans, filiale du géant de l'énergie qui est chargée des services techniques : climatisation, chauffage, ventilation, mécanique, numérique, services généraux, etc. Une filiale qui compte 74.000 employés dans le monde, dont 27.000 en France, et qui réalise un chiffre d'affaires annuel de plus de 12 milliards d'euros. Un gros morceau donc, pour lequel l'État s'est montré très vigilant durant le processus de transaction : après tout, il possède 23,64% du capital d'Engie, et l'aspect social est déterminant à quelques mois de l'élection présidentielle.
Gros dossier financier et social
Engie a lancé la vente en septembre, et trois prétendants ont terminé la course en tête : Bouygues donc, le concurrent Eiffage, ainsi que le fonds américain Bain Capital, associé pour l'occasion au fondateur de la holding Fimalac, Marc Ladreit de Lacharrière. « L'offre de Bouygues était la mieux-disante au regard de l'ensemble des critères retenus par Engie, y compris sur le plan financier », explique le communiqué d'Engie. La proposition valorise en effet 100 % d'Equans à 7,1 milliards d'euros. Elle a aussi pour mérite de réduire de 7 milliards d'euros la dette nette de l'entreprise.
Création de 10.000 emplois sur cinq ans
Le volet social a pesé lourd dans la décision. Bouygues s'est ainsi engagé à ne mettre en oeuvre aucun plan de départs contraints en France et en Europe pendant une durée de 5 ans, et même de procéder à la création nette de 10.000 emplois durant le même laps de temps. L'opération doit être finalisée durant le deuxième semestre 2022, après le processus d'information et de consultation des instances représentatives du personnel d'Engie, et sous réserve du feu vert des autorités réglementaires.
http://www.economiematin.fr/news-engie-choisit-bouygues-pour-acheter-la-filiale-equans-pour-7-1-milliards-d-euros
Bonne nouvelle : le mandat de vaccination de Biden est en train de s'effondrer !
RépondreSupprimerPar Ron Paul, MD
Institut Ron-Paul
9 novembre 2021
Le mandat du vaccin Biden semble s'effondrer avant même d'être en place. Des premiers intervenants aux chauffeurs de camion en passant par tous les intermédiaires, le message est clair : des milliers de personnes sont prêtes à être licenciées de leur travail plutôt que d'être obligées de subir une intervention médicale dont elles ne veulent pas.
Ils ont un effet de levier et ils l'utilisent. Nous devons les soutenir.
Les rayons des épiceries sont vides, les conteneurs maritimes continuent de flotter au large, les casernes de pompiers de New York sont fermées, le shérif du comté de Los Angeles prévient qu'au milieu d'une vague de crimes, la moitié de ses adjoints pourraient démissionner ou être licenciés. Les compagnies aériennes citent des "problèmes météorologiques" inexistants pour excuser le fait que leurs employés se rebellent contre les tirs forcés de covid.
Le pays est au bord d'un gouffre économique et l'administration Biden double la mise. La seule question est de savoir jusqu'où le président est prêt à faire glisser son parti et ses propres chiffres d'approbation pour continuer à pousser un vaccin forcé inconstitutionnel, profondément impopulaire et complètement tyrannique sur la population.
Si le vaccin offrait un niveau élevé d'immunité contre le virus qui ne diminuait pas avec le temps, encourager les gens à se faire vacciner – qui utilise une technologie expérimentale – pourrait avoir du sens, bien que l'imposer serait toujours immoral et illégal.
Mais les propres hauts responsables de la santé de Biden, tels que le directeur du CDC, Wallensky, nous disent depuis août que le tir n'empêche pas l'infection par le virus et n'empêche pas la transmission du virus. Il ne s'agit donc pas d'un « vaccin », quelle que soit la définition du terme. C'est pourquoi le CDC a lui-même modifié en septembre sa définition officielle du terme "vaccin" pour exclure le terme "immunité". La tromperie est si transparente.
Ils disent que vous devez vous faire vacciner car cela peut prévenir une maladie grave due au virus. Mais nous savons qu'il y a beaucoup d'autres choses qui peuvent prévenir les maladies graves dues au virus. La personnalité des médias Joe Rogan a été largement ridiculisée pour avoir utilisé de l'ivermectine et d'autres médicaments et procédures pour traiter son accès de Covid-19. Mais cela semble avoir fonctionné. De même, le légendaire quart-arrière Aaron Rodgers des Green Bay Packers a traité avec succès son Covid avec de l'ivermectine et d'autres procédures. Même s'il a maintenant une immunité naturelle contre le virus, il a été attaqué par les médias grand public pour ne pas avoir suivi les demandes de Fauci. Le succès ne veut rien dire. Seule l'obéissance compte.
RépondreSupprimerUne nouvelle étude sur l'efficacité des tirs Covid n'est pas une bonne nouvelle pour l'administration Biden. Publié le 4 novembre dans la revue scientifique Nature, les chercheurs ont suivi 800 000 vétérans américains pendant six mois après avoir reçu le vaccin. Entre mars et novembre, l'efficacité de Moderna est tombée de 85 % à 58 %, un peu mieux qu'un tirage au sort. L'efficacité du Pfizer/BioNTech à deux doses est tombée de 87 % à 45 %, et celle de Johnson & Johnson est tombée de 86 % à 13 % !
Comme le Washington Times l'a écrit à propos de la nouvelle étude importante de Nature, "Facteur d'immunité naturelle et un cas pourrait être fait, ces vaccins sont presque sans valeur."
Alors pourquoi l'Administration poursuit-elle cette politique de la terre brûlée sur les mandats de vaccination ? Peut-être que nous devrions regarder combien de lobbyistes Big Pharma a sur Capitol Hill. Regardez peut-être la porte tournante entre la FDA, le CDC et Big Pharma. Le mot est « corruption », et si la propre base de données des réactions indésirables du CDC est exacte, elle tue des milliers d'Américains. Tenez la ligne et résistez au mandat !
https://www.lewrockwell.com/2021/11/ron-paul/great-news-bidens-vaccine-mandate-is-falling-apart/
Le totalitarisme du Covid mis à nu
RépondreSupprimerPar Donald W. Miller, Jr., MD
9 novembre 2021
Peter Breggin MD et son épouse, Ginger Breggin, auteurs de Talking Back to Prozac, ont écrit un ouvrage clé sur la pandémie de COVID-19, intitulé et publié le 30 septembre 2021. Ils exposent la nature totalitaire de la pandémie de Covid.
Dans 547 pages de texte accompagnées de 1107 notes de fin, pour la plupart des citations scientifiques, les auteurs montrent comment les « prédateurs mondiaux » ont orchestré la synthèse du CoronaVirus-2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2) et l'ont distribué dans le monde entier, provoquant la maladie à coronavirus -19 (COVID-19) pandémie. Ces prédateurs mondiaux comprennent des milliardaires tels que Michael Bloomberg, Klaus Schwab et surtout Bill Gates ; Des responsables et scientifiques des gouvernements américain et chinois, notamment Anthony Fauci, MD, directeur (depuis 37 ans) de l'Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) ; plus Big Tech et Big Pharma.
Ces prédateurs mondiaux ont grandement profité de la pandémie de COVID-19, augmentant considérablement leur richesse, leur gloire et leur pouvoir.
Les États-Unis et d'autres pays, en particulier l'Australie et la Nouvelle-Zélande, ont adopté la politique selon laquelle «Plus la société peut être effrayée, isolée, contrôlée et supprimée, plus elle sera à l'abri du virus.» Les Breggins maintiennent : « La pandémie continue d'être utilisée pour justifier l'imposition d'une vaste peur et d'une oppression au peuple américain. Tout cela est fait au nom de la santé publique, mais cela représente une politique autoritaire avec des ramifications mondiales. » De plus, ils ont vite découvert :
« Alors que nous commencions nos recherches sur les politiques et les pratiques de COVID-19, nous avons été consternés par l'absence de toute science rationnelle pour justifier les fermetures et empêcher l'utilisation du médicament très sûr et utile disponible, l'hydroxychloroquine peu coûteuse - et comprenant maintenant ivermectine.
Anthony Fauci a ouvert la voie. Il a promu les fermetures, les mandats de masque, la distanciation sociale et les vaccins expérimentaux. Il s'est moqué des traitements peu coûteux et efficaces pour COVID-19 comme la vitamine D et l'hydroxychloroquine, rejetant leurs prétendus avantages comme « anecdotiques ». Plusieurs milliers de personnes infectées par le COVID sont décédées et auraient survécu si elles avaient reçu ces traitements. Fauci a également forcé les gens « à accepter des restrictions destructrices et contre-productives sur notre vie personnelle, éducative, professionnelle et religieuse ».
Comment un médecin respecté pourrait-il faire cela ? Les auteurs de ce livre s'expriment ainsi :
RépondreSupprimer« Aucun comportement de Fauci n'a de sens à moins que nous ne le considérions pour ce qu'il est : un archétype du prédateur mondial qui ne ressent aucune identification véritable ou aucun lien émotionnel avec une nation ou un point de vue religieux ou idéologique spécifique et reste à la place consacré à l'augmentation de son propre moi. -l'agrandissement et son pouvoir, tout en ajoutant un vernis d'idéalisme progressiste à ses activités infâmes. Sans cette lentille de globalisme prédateur, beaucoup plus devient douloureusement clair. »
Les auteurs de COVID-19 et des Global Predators établissent que, que la libération soit intentionnelle ou non, «le SARS-CoV-2 a été fabriqué en Chine à l'Institut de virologie de Wuhan avec une technologie développée dans le cadre d'efforts de collaboration financés par Fauci avec les États-Unis… fait partie de la gamme de SARS-Co-V2 développés dans les laboratoires de l'Université de Caroline du Nord et à l'Institut de Wuhan avec une certaine implication d'autres installations aux États-Unis et en Chine. » Ils déclarent : « Il semble hautement probable que la libération du virus n'était pas seulement intentionnelle, mais qu'elle était en fait préméditée et planifiée sur plusieurs années. La planification remonte au moins à 2017, lorsque [Bill] Gates a annoncé l'équivalent de ce qui serait appelé en 2020 l'opération Warp Speed et la grande réinitialisation impliquant la fusion entreprise-gouvernement.
Ils notent qu'« il y a aussi longtemps que fin 2016 et début janvier 2017 » des milliardaires comme Bill Gates et des sociétés comme Moderna et Pfizer ont commencé à investir des milliards de dollars dans un vaccin contre le SRAS-Co-V2 avec la quasi-certitude d'une prochaine pandémie de coronavirus. Au début du COVID-19 :
"Pourquoi Anthony Fauci se serait-il donné tant de mal pour promouvoir et précipiter l'approbation spécifiquement du médicament de Gilead Remdesivir et du vaccin à ARNm de Moderna - à la fois dangereux, expérimental et totalement non prouvé à l'époque - si lui et Bill Gates n'étaient pas sûrs de la nécessité de eux?"
Les auteurs compilent un Bill of Particulars contre le Dr Anthony Fauci sur la base de leurs recherches pour ce livre. Au chapitre 29, ils résument ses offenses contre l'Amérique et l'humanité dans ce projet de loi et ajoutent cette mise en garde :
«Aussi puissant que Fauci semble parfois, il fait les ordres de maîtres bien plus puissants qu'il ne pourrait jamais l'être. Il exécute les ordres de Bill Gates et finalement des communistes chinois, ou il n'aurait jamais le courage ou la force de continuer à financer des recherches qui ont gonflé les milliardaires des États-Unis et de la Chine, tout en donnant à la Chine la capacité de faire et propager le SRAS-CoV-2. Le projet de loi contre les milliardaires prédateurs mondiaux, les PDG et les chefs de gouvernement n'a pas encore été rédigé. »
RépondreSupprimerLeur Bill of Particulars a 12 catégories contenant 42 détails. Ce sont 4 des 12 catégories :
Moi : « Dr. Anthony Fauci, directeur du NIAID, a abusé et continue d'abuser de son pouvoir, devenant et restant le principal sponsor et bailleur de fonds dans le monde de la recherche sur le gain de fonction qui a permis à la Chine communiste de concevoir une gamme de coronavirus mortels du SRAS (SARS-CoV ). Il a exécuté ces plans au mépris de deux présidents américains, Barack Obama et Donald Trump… Ces activités ont provoqué et contribué au développement du SARS-CoV-2 dans les laboratoires communistes américains et chinois et à sa sortie de l'Institut de virologie de Wuhan. Parce que Fauci est le directeur du NIAID, il finance et assume la responsabilité principale de toutes les recherches de gain de fonction créant des virus mortels et de tous les risques pour l'Amérique et le monde associés à ces activités et aux activités connexes.
Le Dr Fauci a dirigé la création de ce nouveau coronavirus en finançant la recherche sur le « gain de fonction », conçue pour rendre un virus plus infectieux et mortel.
III : « Fauci a abusé de son pouvoir en se précipitant dans les EUA [Emergency Use Authorizations], des vaccins extrêmement coûteux, hautement expérimentaux, très dangereux et insuffisamment étudiés ou testés. Ce faisant, il soutient les investissements de Bill Gates, dont il siège au Conseil de direction des vaccins d'élite. Parallèlement, il soutient l'industrie pharmaceutique avec laquelle il est intime et son vaste réseau d'investisseurs… , et finalement la politique en Amérique et dans le monde.
Un particulier répertorié dans cette catégorie est le suivant : « Il a autorisé et soutenu la poursuite des vaccinations même après que le nombre de décès liés au vaccin signalés est passé de centaines à plusieurs milliers ».
VII : « Tout en supprimant les traitements disponibles, Fauci a promu l'accélération avec le soutien financier du gouvernement pour les médicaments et les vaccins qui étaient et sont expérimentaux, non prouvés et très dangereux, mais extrêmement rentables. »
Surtout le remdesivir, qui ne fonctionne pas, est toxique et coûte 3 000 $ la pop. Les auteurs sont d'accord. Ils citent une étude de la Corée du Sud où "les auteurs ont découvert que" HCQ [hydroxychloroquine] avec un antibiotique était associé à de meilleurs résultats cliniques en termes de clairance virale, de séjour à l'hôpital et de résolution des symptômes de la toux "… par rapport au" traitement conservateur ". Rien de tel. cela peut être dit pour le remdesivir, un médicament coûteux, dangereux et sans valeur, Fauci s'est assuré de recevoir l'approbation de la FDA pour le traitement du COVID-19. »
IX : « Anthony Fauci savait 3 ans à l'avance qu'une pandémie de coronavirus était prévue et a annoncé en janvier 2017 qu'elle se produirait certainement sous l'administration du président Trump. » [tout en italique dans l'original]
Tel qu'il est actuellement géré, COVID-19 promeut le totalitarisme, où l'État contrôle tous les aspects de la vie et toute opposition est supprimée - les milliardaires étant exemptés. Les Breggin écrivent :
« Presque tous les milliardaires américains restent plongés dans le bourbier prédateur : Jeff Bezos, Bill Gates, Warren Buffet (un partenaire de Gates jusqu'à sa démission récente), Mark Zuckerberg, les Waltons, Steve Balmer, Larry Page. Tous sont profondément investis en Chine… Chaque prédateur mondial que nous avons pu identifier est financièrement marié et rempli d'admiration, non pas pour les États-Unis ou d'autres démocraties occidentales, mais pour la Chine communiste et le totalitarisme.
RépondreSupprimerEt puis il y a le milliardaire Klaus Schwab avec son livre COVID-19 and the Great Reset. (2020). Dans la grande réinitialisation "vous ne posséderez rien et serez heureux". Ces prédateurs mondiaux sont "désireux de collaborer avec quiconque partage l'objectif principal de contrôler, de dominer et d'exploiter l'humanité".
Le taux de mortalité du COVID-19 chez les personnes de moins de 70 ans est faible, comme celui de la grippe saisonnière. Le risque de mortalité chez les enfants du COVID-19 est encore plus faible que celui de la grippe saisonnière. Le risque global est si faible qu'il n'y a « aucune raison ni justification d'imposer le totalitarisme à l'Amérique, d'écraser notre société et de ravager notre économie, de retarder l'éducation de nos enfants et d'imposer des vaccins mortels drainant les richesses à toute notre nation… La motivation car les blocages proviennent de mondialistes prédateurs et non de véritables scientifiques ou de la science légitime. »
Peter et Ginger Breggin soulignent ce point important : « Si des traitements efficaces sont déjà disponibles, la FDA ne peut pas délivrer d'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA), ce qui permet à la FDA de sauter ses études habituelles d'innocuité et d'efficacité pour pousser des médicaments et des vaccins coûteux et très rémunérateurs. pipeline comme des expériences à infliger à la population. Les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna ne sont toujours administrés que sous autorisation d'utilisation d'urgence.
Pire encore, « les vaccins COVID-19 provoquent une catastrophe mondiale aux proportions inimaginables et imprévisibles. » Ils citent trois manières :
Premièrement, « un nombre important de décès surviennent quelques jours après les injections de vaccins Moderna et Pfizer. "Personne au pouvoir n'y prête attention, même si une infime fraction de tant de décès aurait conduit le CDC et la FDA à retirer tout autre vaccin du marché."
Deuxièmement, « il est clair que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 que les vaccins obligent l'homme à fabriquer est hautement toxique pour l'homme, provoquant souvent des saignements et des caillots dans l'endothélium ou la paroi des vaisseaux sanguins. Contrairement aux affirmations des défenseurs, le matériel antigénique induit par le vaccin ne reste pas localisé sur le site du vaccin mais est plutôt produit dans tout le corps. »
Troisièmement, cette conclusion choquante : « C'est peut-être la conclusion la plus troublante que nous ayons tirée dans ce livre : la létalité du COVID-19 était planifiée. Le danger que des patients humains vaccinés meurent après une exposition au SRAS-CoV-2 a été mis en garde à plusieurs reprises depuis 2006 sur la base d'études animales. Ces rapports inquiétants ont continué à être publiés après le début de l'opération Warp Speed [soutien du gouvernement à la production de vaccins]. »
Le « vaccin » à ARNm (acide ribonucléique messager) que Pfizer et Moderna commercialisent pour le COVID-19 n’est pas vraiment un vaccin. C'est une forme de génie génétique, qui amène les gens à produire des protéines de pointe, dont les effets à long terme restent à déterminer. Au lieu d'un "vaccin", il vaut mieux l'appeler simplement un coup ou un coup COVID, comme le fait le président Biden lorsqu'il dit: "Pas de coup, pas de travail".
RépondreSupprimerLes chercheurs sur les animaux ont découvert que «les animaux vaccinés contre les infections par le SRAS-CoV avec des vaccins à ARNm ou à ADN souffrent de maladies graves et de décès lorsqu'ils sont confrontés à des agents pathogènes du SARA-CoV. La maladie ressemblait souvent à ce que nous appelons maintenant COVID-19. » Des recherches financées par le NIAID de Fauci montrent que les souris vaccinées exposées à ce virus « ne sont pas protégées et sont plutôt vulnérables à des réactions immunitaires sévères de type humain. De plus, le coupable est la protéine de pointe que le corps animal ou humain fabrique en réponse au vaccin. » [italiques dans l'original] Les injections d'ADN et d'ARNm demandent à notre corps de synthétiser des protéines de pointe identiques à celles du virus.
Dans un acte d'accusation accablant, les auteurs déclarent : « Tous ceux qui participaient à la planification de COVID-19 prévoyaient également que le vaccin poursuive l'objectif de débarrasser l'humanité de ses personnes infirmes ou âgées. » Ils demandent:
"Qu'est-ce qui se passe ici? Ceux qui comprennent parfaitement ce qu'ils font sont probablement certains qu'ils font la bonne chose : éliminer l'humanité. C'est un principe avec une longue et honorée histoire parmi les eugénistes et les défenseurs de l'euthanasie, y compris de nombreux scientifiques, organisations philanthropiques et dirigeants politiques. C'est l'eugénisme du XXIe siècle. Dans le cas du COVID-19 et des vaccins, il n'y a rien de volontaire à ce sujet, et cela en fait un meurtre de masse. » [italique dans l'original]
(Debout sur une colline isolée en Géorgie, les Georgia Guidestones sont pertinentes à de telles préoccupations concernant «l'élimination de l'humanité». Chacune des pierres, érigées en 1980 et de provenance incertaine, porte l'inscription d'un ensemble de dix lignes directrices, en 8 langues. La ligne directrice la plus élevée est « Maintenir l'humanité sous 500 millions en perpétuel équilibre avec la nature. » Une autre ligne directrice est « Ne soyez pas un cancer sur la terre – Laissez de la place à la nature. » Leur programme mondial émergent pourrait-il être une autre façon dont les prédateurs mondiaux cherchent à abattre l'humanité ?)
Peter McCullough, MD, MPH; Elizabeth Lee Vliet, MD; et Vladimir "Zev" Zelenko, MD, écrivent des introductions au livre. Le Dr McCullough a montré une diapositive du livre COVID-19 et les prédateurs mondiaux lors d'une conférence qu'il a donnée sur ce sujet le 27 octobre 2021, lors d'une réunion de l'American Association of Physicians and Surgeons, dirigée par la redoutable Jane Orient, MD . Le Dr McCullough considère COVID-19 et les prédateurs mondiaux : nous sommes la proie comme le meilleur livre sur ce qui se passe avec COVID-19.
https://www.lewrockwell.com/2021/11/donald-w-miller-jr-md/covid-totalitarianism-exposed/
Les expérimentations géniques d'essais sont tout sauf des vaccins. Ce ne sont rien de moins que des poisons mortels qui prennent effet soit à court terme pour les plus fragiles soit à long terme (fin 2021).
SupprimerLa médecine veut vous tuer
RépondreSupprimerPar James Howard Kunstler
Kunstler.com
9 novembre 2021
Les historiens du futur, savourant le goulash d'opossum autour de leurs feux de camp, s'émerveilleront que la médecine moderne ait dilapidé son autorité, sa crédibilité et son honneur sacré dans la panique Covid des années 2020, lorsque les responsables de la santé publique et les médecins en pratique clinique se sont entendus pour forcer la masse vaccinations tout en supprimant les informations sur les dommages et les blessures causés par les vaccins – sacrifiant potentiellement des millions de citoyens comme tant de mouches des fruits expérimentales.
L'affiche de cette débâcle épique était le Dr Eric J Rubin, rédacteur en chef du New England Journal of Medicine qui, siégeant au comité consultatif sur les vaccins du CDC, a en fait déclaré: «Nous n'apprendrons jamais à quel point le vaccin est sûr jusqu'à ce que nous commencions le donner. Le donner aux enfants, c'est-à-dire ce que le gouvernement a autorisé la semaine dernière, alors même que ce même CDC a émis un avertissement de sécurité sur la myocardite induite par le vaccin (inflammation du cœur), en particulier chez les garçons et les jeunes hommes.
Nota bene : la myocardite n'est pas une maladie que l'on guérit nécessairement car le muscle cardiaque affecté ne peut pas se remplacer ; plutôt l'inflammation conduit à la cicatrisation du muscle cardiaque et une durée de vie raccourcie.
Pendant ce temps, de jeunes athlètes vaxxés meurent d'insuffisance cardiaque en nombre choquant sur les grils des lycées, les terrains de football, les terrains de cricket, les pistes cyclables et les pistes de course à travers le monde, et les civils ordinaires développent une gamme déconcertante de problèmes cardiovasculaires, neurologiques et neurologiques post-vax. troubles thrombotiques dont seule une petite fraction finit par être enregistrée dans le Vaccine Adverse Event Recording System (VAERS) du CDC. Ces chiffres sont maintenant d'au moins environ 10 000 décès et 20 000 handicapés permanents. Le site Web du VAERS est si lourd et inadéquat que les médecins sont découragés de l'utiliser, au point que seuls 10 % des événements indésirables sont réellement signalés. Les médecins sont également menacés de sanctions disciplinaires pour avoir fait connaître les problèmes avec les vaxxes.
En fait, la nouvelle ne peut pas être complètement supprimée. Il est évident maintenant – en raison de la poussée effrénée pour des injections « de rappel » – que les différents vaccins cessent de fonctionner pour prévenir l'infection par Covid-19 après plusieurs mois. Ce qui n'est que partiellement compris, c'est l'action des protéines de pointe qui persistent dans le corps après la vax, mais les preuves ne sont pas bonnes, car elles ont une affinité particulière pour se fixer aux revêtements endothéliaux des vaisseaux sanguins en général, et dans les capillaires de les principaux organes en particulier, en particulier les ovaires et les testicules, faisant planer le spectre d'une infertilité généralisée à venir.
RépondreSupprimerEn plus de cela, les vaccins sont soupçonnés de détruire le système immunitaire, laissant le vaxxed vulnérable aux infections opportunistes, désactivant le mécanisme génétique qui permet au corps de vaincre régulièrement les cellules cancéreuses et transformant le système immunitaire des personnes contre elles en troubles auto-immuns.
Comment les médecins et les responsables de la santé publique se comportent-ils face à tout cela ? Pousser de plus en plus fort pour la vaccination forcée de tout le monde, quel que soit l'âge, quoi qu'il arrive, et vilipender quiconque milite pour le respect du consentement éclairé à se faire vacciner. Le résultat net est que les médecins semblent avoir violé en masse leur serment d'éthique d'Hippocrate qui les appelle d'abord à ne pas nuire.
Tout sur le virus et ses contre-mesures – depuis ses origines troubles dans le financement officiel de la recherche sur les armes biologiques par le Dr Anthony Fauci, à la piste des brevets de propriétés et d'intérêts conflictuels dans les développements ultérieurs de vaccins, à la suppression féroce des nouvelles et des débats – suggère des motifs infâmes, ou bien une panique psychotique de masse parmi les gens très bien formés dont la société doit dépendre en cas de crise.
Il est également de plus en plus difficile de dire à quel point cette crise est ou a vraiment été une crise. Il n'y a aucun moyen fiable de savoir combien de personnes sont vraiment décédées des suites directes de Covid, ou simplement testées positives pour le virus (avec un test PCR janky) lorsqu'elles étaient aux prises avec une ou plusieurs maladies graves (comorbidités), en particulier lorsque il y avait des subventions en dollars substantielles en jeu du gouvernement fédéral liées aux cas de Covid. Il n’est pas non plus possible de déterminer pour le moment combien de décès attribués à Covid sont en réalité le résultat de réactions aux vaccins. Le plus troublant de tous, il semble que le taux de décès dus à des troubles cardiaques, à des thromboses et à des lésions neurologiques dans la population générale dépasse sensiblement la fourchette normale, comme indiqué officiellement au Royaume-Uni, en Irlande et dans d'autres pays.
Il convient de répéter que quel que soit le Covid-19 ou d'où il vient, c'est une maladie pas beaucoup plus mortelle dans la population générale que la grippe en mauvaise saison ; que dans le cours naturel des choses, il n'aurait probablement tué que la plupart des personnes très âgées et déjà malades, et que le reste de la population l'aurait combattu et aurait acquis une solide immunité naturelle supérieure à tout ce que les vaxx pourraient conférer (même dans théorie).
Mon propre médecin a essayé de me persuader de me faire vaxer lors d'un examen physique de routine en octobre. Je lui ai demandé s'il était au courant des milliers de décès et d'événements indésirables invalidants signalés sur le système VAERS du CDC. Il a déclaré que les chiffres n'étaient pas vrais et a poursuivi en disant qu'il avait "une confiance à cent pour cent dans les vaccins". Il a toujours semblé être une personne intelligente et capable. Il y a environ un an, il a été enrôlé pour agir en tant qu'administrateur exécutif dans l'organisation de soins de santé dans laquelle il exerce, et ne voit plus les patients que deux jours par semaine. Peut-être que cela ne lui laisse pas le temps de suivre l'actualité. Ou peut-être n'a-t-il aucune envie de suivre les nouvelles, sauf celles qui proviennent de sources telles que les chaînes de télévision par câble, qui sont presque entièrement sponsorisées par l'industrie pharmaceutique.
RépondreSupprimerL'essentiel pour moi, c'est qu'il a compromis ma foi en son jugement. Je me demande combien d'autres personnes ressentent cela à propos de leurs médecins. Le corps médical était déjà en difficulté avant que Covid n’entre en scène. Il était entré dans une relation symbiotique démoniaque avec l'industrie de l'assurance qui équivalait à un racket omniprésent. (Imaginez simplement les factures d'hôpital de toutes ces personnes ayant des réactions indésirables au vax que les médecins ont eu l'impression d'être mystifiées et ont effectué d'innombrables tests infructueux.)
La bonne nouvelle pour l'instant est qu'un tribunal fédéral a suspendu les mandats de vax « Joe Biden ». Le gouvernement devrait contester cette décision aujourd'hui (lundi 8 novembre). Pendant ce temps, la rumeur d'une grève générale contre la tyrannie des vaccins, prévue d'aujourd'hui à jeudi, est dans l'air et nous devrons nous tenir prêts à voir si quelque chose se passe. Nous devrions également nous tenir prêts dans les semaines à venir pour voir combien de personnes supplémentaires commencent à présenter des symptômes de troubles corporels graves à la suite des multiples injections qu'elles ont subies.
Reprinted with permission from Kunstler.com.
https://www.lewrockwell.com/2021/11/james-howard-kunstler/medicine-wants-to-kill-you/
Mort aux vaxxes !
Supprimer« Stupidité de troupeau » : la crise du Covid manufacturé, le « vaccin » à ARNm basé sur les gènes et « les sommets de la richesse et du pouvoir »
RépondreSupprimerPeu importe à quel point le projet d'inoculation de masse est mortel, préjudiciable ou lourd d'autres conséquences catastrophiques, avance à grande vitesse.
Par le professeur Anthony J. Hall
Rechercheglobale.ca
9 novembre 2021
La pandémie est conçue pour des motifs sinistres. Tout ce qui est lié à Covid est de la Junk Science imposée à un monde craintif et crédule. Le virus, les confinements, les masques, l'abus de la PCR pour le diagnostic, les contrôles de température aux entrées commerciales, les petites bouteilles d'alcool omniprésentes, la propagande acharnée et surtout les injections mortelles bientôt obligatoires sont tous de la science camelote.
Les personnes derrière tout cela sont des maîtres - ou des maîtres à gages - de la psychologie des foules et ont les intentions les plus sinistres et les plus mauvaises pour nous tous. – Anonyme, Commentaire 651, « Le débat sur le Covid : à Vaxx ou pas à Vaxx », Unz Review, 15 août 2021
Faire plus de mal que de bien
Le développement, la distribution et l'injection de jabs COVID donnent un nouveau sens au terme « déréglementation ». Du début à la fin, l'ensemble du processus semble être dépourvu de règles strictes. Des méthodes éprouvées ont été annulées sans raison apparente. Les anciennes méthodes ont été mises de côté. Ces méthodes abandonnées ont cherché à donner la priorité à la sûreté, au bien-être et à la sécurité des patients plutôt qu'aux intérêts commerciaux des fabricants de médicaments, des propriétaires d'hôpitaux et des médecins.
On donne l’impression que le seul impératif qui est constamment poursuivi est de pousser les jabs COVID dans autant de bras que possible aussi vite et aussi largement que possible. En dehors de cela, la philosophie sous-jacente pourrait être décrite comme… endiguer les rapports d'impacts extrêmement nocifs sur la santé… à toute vapeur.
Rien n'est autorisé à faire obstacle à l'approche de la carotte et du bâton pour augmenter le nombre de personnes injectées. Peu importe à quel point le projet d'inoculation de masse est mortel, préjudiciable ou lourd d'autres conséquences catastrophiques, le projet d'inoculation de masse avance à une vitesse folle sans aucun respect décent pour le principe de précaution.
Une grande précaution doit accompagner l'introduction dans la biosphère de toutes les nouvelles technologies, mais surtout celles affectant les organismes vivants et les délicates relations biologiques entre eux. Le principe de précaution a une incidence particulière sur les expériences qui modifient le fonctionnement biologique des êtres humains, à la fois individuellement et collectivement, comme lorsqu'il s'agit de maladies contagieuses.
RépondreSupprimerUne profession médicale en grande partie conforme s'accommode largement de la violation de nombreuses promesses professionnelles, de confiances sacrées et d'obligations en faisant avancer le projet de se piquer tous les bras avec des produits médicaux non testés. En contribuant à faire avancer le projet d'inoculation quasi universelle, des dizaines de médecins ainsi que les dirigeants de la plupart de leurs associations professionnelles et collèges vont manifestement à l'encontre d'une disposition fondamentale du serment d'Hippocrate.
À une échelle sans précédent, les médecins ont violé leur vœu professionnel de ne pas faire de mal. En Israël, par exemple, 59 % des nouvelles hospitalisations pour COVID-19 sont entièrement vaccinées. Cette statistique n'est qu'un des nombreux indicateurs que la poussée vers la vaccination universelle des populations nationales fait plus de mal que de bien.
De nombreuses personnes vaccinées propagent elles-mêmes une contagion virale et tombent elles-mêmes malades à cause de la «variante delta». Le Delta Varian est l'une des nombreuses mutations du soi-disant nouveau coronavirus.
Regarde ça.
La presse propagandiste visant à maximiser le nombre de bénéficiaires d'injections révèle un mépris généralisé des termes du Code de Nuremberg. Le Code de Nuremberg a été créé dans le cadre du procès en justice des vainqueurs du brain trust hitlérien. Le Code de Nuremberg stipule que les sujets humains dans les expériences médicales ne doivent pas être contraints à y participer. Il ne faut pas non plus refuser à ceux qui souhaitent devenir sujets humains à des tests médicaux les conditions leur permettant de donner un consentement véritablement éclairé à leur décision de participer.
Vaccins et armes biologiques
Comment les exigences du consentement éclairé peuvent-elles être remplies par des campagnes publicitaires fastueuses qui surestiment constamment les avantages et ignorent de manière flagrante les risques de prendre les jabs ? Qu'est-ce que le témoignage médiatisé de stars de cinéma, de chanteurs pop, de héros sportifs et de magnats des affaires a à voir avec le fait de permettre à des sujets humains participant à des expériences médicales d'évaluer de manière réaliste la nature des dangers potentiels auxquels ils sont confrontés ?
Dans ce cas, les protocoles expérimentaux de base ont été abandonnés lorsque les concepteurs des procédures expérimentales ont fait remplacer les rats de laboratoire et les cobayes par des humains au cours des tests initiaux.
RépondreSupprimerIl a été décidé de contourner la procédure médicale habituelle consistant à essayer de nouveaux produits médicaux en les administrant d'abord aux animaux.
- voir dessin sur site -
Nos remerciements à Large et JIPÉM
Cette caricature de Large + JIPÉM explique notre situation :
Souris n°1 : « Allez-vous vous faire vacciner »,
Souris n°2 : Êtes-vous fou, ils n'ont pas fini les tests sur les humains »
Il y a de bonnes raisons de croire que cette stratégie a été déployée car, jusqu'à présent, toutes les tentatives de fabriquer des vaccins qui arrêteraient la propagation des coronavirus ont pris fin avec la mort de sujets d'expérimentation animale. Le rhume et la grippe sont tous deux causés par des coronavirus qui constituent la base exclusive d'au moins 4000 brevets selon le conseil en brevets David E. Martin. Regarde ça.
Les recherches de Martin et son implication professionnelle dans ce que l'on pourrait appeler l'industrie des coronavirus remettent en question le fait que COVID-19 soit un véritable nouveau coronavirus. Dans ses publications et commentaires filmés, Martin développe des caractérisations convaincantes du chevauchement entre le développement d'armes biologiques et de vaccins qui créent le contexte à partir duquel le virus COVID-19 et les jabs COVID ont émergé.
L'image de droite provient de Children's Health Defence
La phase expérimentale de la production des jabs COVID est toujours en cours.
En fait, les jabs COVID continuent d'être l'objet de la plus grande expérience sur des sujets humains jamais réalisée. Martin indique clairement que, à son avis, le point culminant de cette saga de malversations devrait se terminer par les multiples poursuites pénales d'Anthony Fauci, Ralph Baric, Peter Daszak, Zheng-Li Shi, Bill Gates, Dr. Neil Ferguson et bien d'autres. Regarde ça.
David Martin s'attaque également à un aspect canadien élaboré du scandale en cours. Ce scandale continue de tourbillonner dans et autour des activités commerciales néfastes de nombreux coupables, dont celles du premier ministre canadien Justin Trudeau. Regarde ça.
Martin souligne le rôle du Life Sciences Institute de l'Université de la Colombie-Britannique dans le développement de systèmes pour le mouvement des nanoparticules lipidiques dans l'architecture des produits de « thérapie génique », y compris les jabs COVID développés par Pfizer et Moderna. Regarde ça.
L'initiative de l'UBC a produit deux entreprises dérivées, Arbutus Biopharma et Acuitus Therapeutics. Avec Alnylan Pharmaceuticals, ces entités semblent avoir leur place dans la combinaison de la recherche militaire et médicale qui se déroule au Level 4 Pathogen Biolab à Winnipeg, au Manitoba. De nombreuses questions ont été posées sur le mouvement des virus mortels du Laboratoire national de microbiologie du Canada à Winnipeg vers l'Institut de virologie de Wuhan en Chine. Regarde ça.
Ce questionnement a conduit à une conclusion importante de la journaliste d'investigation Elaine Dewar. Elle a découvert que Xiangguo Qui, qui occupait des postes de recherche de haut rang au laboratoire de Winnipeg et à l'Institut de virologie de Wuhan, collaborait étroitement avec Wei Chen, un éminent virologue chinois qui détient le grade de major-général de l'Armée populaire de libération. Qui, par exemple, a aidé le général Chen à mener des recherches sur Ebola au laboratoire de Winnipeg.
RépondreSupprimerLe Wuhan Lab est l'institution d'origine de Zheng-Li Shi, une autorité en matière de chauves-souris et de coronavirus. Zheng-Li Shi a travaillé en étroite collaboration avec Ralph Baric et d'autres chercheurs financés par les États-Unis à l'Université de Caroline du Nord sur des projets de gain de fonction. La recherche sur le gain de fonction cherche à rendre les virus plus dangereux pour la santé humaine. Une partie de cette activité de recherche a eu lieu après 2014 au Wuhan Lab, l'institution possédant la plus grande collection de coronavirus au monde. Regarde ça.
La facette canadienne de ce récit forme un aspect des questions encore posées sur l'origine du virus COVID-19. Ce n'est que récemment qu'il a été jugé hérétique de s'écarter de l'interprétation selon laquelle le virus est passé d'un animal à la victime numéro un de COVID sur un marché libre à Wuhan.
Puis soudain, il est devenu acceptable de supposer que le virus a certaines de ses origines dans un ou plusieurs laboratoires, y compris peut-être le Fort Detrick Lab dans le Maryland. Ceux qui pensent que l'organisme a fui d'un laboratoire chinois désignent parfois l'opération de Xiangguo Qui à l'Institut de virologie de Wuhan. Ron Unz contredit cette interprétation en affirmant que COVID-19 est une arme biologique fabriquée aux États-Unis et lancée par des soldats américains aux Jeux olympiques militaires de Wuhan en octobre 2019. Voir ceci.
Citoyens et quartiers
L'inoculation de masse est poussée de l'avant sans même une adhésion rudimentaire à la nécessité d'un dépistage médical et d'une consultation au cas par cas. Au lieu de cela, l'approche unique est déployée avec un degré étonnant de mépris pour l'ensemble unique de problèmes médicaux adhérant à chaque patient. Cette approche standardisée des vaccinations de masse traite tous les receveurs comme s'il s'agissait d'organismes identiques traités sur une chaîne de montage médicale.
Un tel étalage de zèle en matière de déréglementation dans cet étalage aléatoire de soins de santé à la volée ne ressemble à rien de ce qui l'a précédé. Je ne suis au courant d'aucun épisode de l'histoire qui se rapproche même de l'échec systémique de nombreuses personnalités professionnelles à adhérer aux règles, normes, procédures et protocoles les plus élémentaires dans la création, la distribution et la livraison des jabs COVID. Le jabbing a commencé dans les derniers jours de 2020.
Pour réitérer, il semble que le livre de règles de santé publique existant ait été saccagé dans la précipitation pour se rapprocher le plus possible de l'universalisation des jabs. Ces jabs COVID n'empêchent pas la transmission de la maladie même s'ils font des receveurs de vaccins des sites majeurs de mutations virales censées perpétuer la crise COVID fabriquée. Le poids des preuves permet de conclure que la décision de tirer et d'exploiter la crise, plutôt que d'y mettre fin, a été entièrement intentionnelle de la part de ceux qui cherchent à étendre l'ampleur de leur richesse et de leur pouvoir temporel.
RépondreSupprimerLe programme de vaccinations de masse vise à faire progresser l'imposition mondiale de mandats de vaccination comme base de systèmes plus élaborés de soi-disant passeports vaccinaux. L'ancien vice-président de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, nous a mis en garde contre une motivation majeure à l'origine de cette imposition de mandats de vaccination. Ces mandats visent à aider à jeter les bases du développement futur d'un moyen normalisé et universel d'amasser des données sur chaque personne sur terre. Regarde ça.
L'imposition de passeports vaccinaux par diverses autorités est déjà assez avancée, par exemple en France, en Italie et en Israël. Là, l'imposition de l'apartheid médical, séparant les Vaxxed des non-vaxx, est poussée de l'avant contre une résistance populaire considérable. Regarde ça.
Si elle est rendue omniprésente et complète, l'extension des passeports vaccinaux pourrait être exploitée pour provoquer de nombreux nouveaux départs dans l'histoire. La collecte de données pourrait s'étendre au-delà du domaine de la santé pour couvrir, par exemple, les finances, l'éducation, l'emploi, les réseaux d'amis et de familles, les dossiers de police, les orientations et les penchants sexuels, ainsi que les attributs ADN de chaque personne sur terre. Cette liste est loin d'être complète. Le processus de vaccination est un moyen d'introduire chez l'homme la nanotechnologie des interfaces bio-numériques.
Jusqu'à présent, la Chine est le leader mondial dans la collecte d'informations génétiques à partir de génomes humains qui peuvent être facilement calculées et transmises sur Internet. Regarde ça.
On pense que la collecte de données ADN par le gouvernement chinois s'étend au-delà de son propre peuple à d'autres parties du monde, y compris aux États-Unis. En fait, des questions ont été soulevées quant à savoir si les informations ADN sont ou non recueillies à partir des tests COVID-19, puis acheminées vers la Chine. Regarde ça.
Les informations génétiques sur les individus et les groupes sont de plus en plus précieuses dans de nombreuses applications, y compris dans le développement de l'intelligence artificielle. La combinaison des progrès de la recherche biologique et de l'IA étend le potentiel du soi-disant transhumanisme dans les recoins les plus profonds de la conscience, des capacités et des modifications comportementales. La maîtrise des systèmes de données facilitant l'extension de la surveillance et du contrôle fournit à leurs propriétaires et opérateurs des leviers pour réprimer, asservir et gouverner une civilisation tyrannisée à une échelle bien plus menaçante que tout ce que nous avons vu jusqu'à présent.
Un moyen de répression serait de combiner le contrôle de la circulation de l'argent dans une société sans numéraire avec un système de crédits et d'inaptitudes sociaux. Les systèmes de crédit social pourraient être amenés à se confondre avec les moyens d'activer ou de désactiver les conditions de vie ou de mort, les conditions d'incarcération ou la liberté de mouvement.
RépondreSupprimerUne façon de conceptualiser les changements recherchés à travers les mandats vaccinaux, les passeports vaccinaux ou les « laissez-passer verts » tels qu'ils existent déjà en Israël, consiste à imaginer ces initiatives comme des procédures visant à redéfinir les attributs fondamentaux des droits et des responsabilités de la citoyenneté. La promesse d'un retour à quelque chose comme la citoyenneté est apparemment à réserver à ceux qui acceptent de risquer leur vie et leur santé future en recevant les injections.
Cette promesse de citoyenneté pour les vaccinés intervient après que les personnes ont commencé à être traitées en 2020 sans leur consentement en tant que pupilles de leurs gouvernements respectifs. La rétrogradation des populations de citoyens aux quartiers s'est produite parallèlement à la soumission massive de personnes aux assignations à résidence, également connues sous le nom de confinements. La relation entre les pupilles et les gouvernements est similaire à la relation juridique qui place les enfants sous la garde parentale.
Des dizaines de milliers, ou des centaines de milliers, ou des millions de décès par injection ?
2021 est l'année où les jabs COVID sont entrés en service. Les producteurs de ces jabs ont reçu une autorisation d'utilisation d'urgence conditionnelle d'agences de réglementation corrompues qui ont enfreint bon nombre de leurs propres règles. Cet échec de la réglementation constitue un aspect de la déréglementation. Un marqueur révélateur de ce contrôle autocratique des soins de santé est que nous ne pouvons actuellement pas être sûrs si le nombre de décès déjà causés par les jabs doit se compter par dizaines de milliers, centaines de milliers ou millions.
Ce niveau d'incertitude étonnant est non seulement autorisé, mais il est apparemment étroitement surveillé par les autorités gouvernementales et médiatiques qui se sont permis de devenir des outils de ceux qui ont conçu cette crise COVID fabriquée. Comment une expérience médicale de cette ampleur pourrait-elle aller de l'avant sans un organisme de surveillance crédible pour saisir, évaluer et rendre compte des principaux indicateurs du succès ou de l'échec de cette entreprise dans la terra incognito médicale ?
L'incertitude sur le nombre de blessures et de décès liés au vaccin est une manifestation récente du réseau de tromperie qui accompagne la plupart des évaluations statistiques de la pandémie. Les soi-disant « numéros de cas » ont été considérablement gonflés par la mauvaise application de tests PCR inexacts. Ces tests ont été produits dans le but d'obscurcir les statistiques pour créer l'acceptation publique des verrouillages.
RépondreSupprimerDe même, les chiffres utilisés pour signaler les décès dus au COVID ont été radicalement gonflés d'une manière qui a permis des changements importants dans la formulation des règles de délivrance des certificats de décès. De nombreux occupants de maisons de soins infirmiers décédés de comorbidités ont été automatiquement comptés comme s'ils étaient décédés exclusivement de COVID-19.
Maintenant, le centre de la controverse s'est déplacé vers le nombre de personnes souffrant de décès et de blessures liés au vaccin. Au lieu de gonfler les statistiques comme cela s'est produit dans la notification des cas et des décès de COVID, l'accent est désormais mis sur la dégonflement du nombre de décès et d'invalidités causés par les injections.
L'une des difficultés de ce processus est que chaque pays a son propre système pour compter les décès et les blessures liés au vaccin. De plus, là où des organisations liées à GAVI comme les Organisations mondiales de la santé et l'establishment médical de Johns Hopkins ont rapidement présenté le tableau global des cas et des décès supposés de COVID, il n'en va pas de même en ce qui concerne la déclaration du taux international de décès. et les blessures causées par les vaccins COVID.
Les États-Unis ont le système VAERS. Regarde ça.
L'Autorité européenne des médicaments rapporte des chiffres similaires pour la zone UE. Le système Yellow Card fait de même pour le Royaume-Uni. D'autres rapports proviennent, par exemple, du Canada, de l'Australie, d'Israël, de l'Inde, de la Malaisie et du Japon. De manière générale, l'effort semble être de laisser le public dans l'ignorance des conséquences négatives découlant des principaux moyens proposés pour réduire les symptômes du COVID.
Alors que le système VAERS signale environ 13 000 décès par vaccin à la mi-août, un dénonciateur a déclaré plus tôt dans un affidavit que le chiffre réel était plutôt de 45 000. Une étude de l'efficacité du système VAERS a estimé que seulement 1% des décès et des blessures liés au vaccin sont signalés. Si cette évaluation est exacte, le nombre réel de décès aux États-Unis pourrait être de 1,3 million.
Les sources officielles, à savoir EudraVigilance (UE, EEE, Suisse), MHRA (Royaume-Uni) et VAERS (États-Unis), ont désormais enregistré beaucoup plus de décès et de blessures dus au déploiement du « vaccin » COVID-!9 que tous les vaccins précédents combinés depuis les enregistrements ont commencé.
RépondreSupprimerVoici les dernières données au 30 août 2021 :
UE/EEE/Suisse jusqu'au 28 août 2021 - 23 252 décès liés à l'injection de Covid-19 et 2 166 285 blessures, selon la base de données EudraVigilance.
Royaume-Uni jusqu'au 18 août 2021 - 1 609 décès liés à l'injection de Covid-19 et 1 165 636 blessures, par programme de carte jaune MHRA.
États-Unis jusqu'au 20 août 2021 - 13 627 décès liés à l'injection de Covid-19 et 2 932 001 blessures, selon la base de données VAERS.
TOTAL pour l'UE/Royaume-Uni/USA – 38 488 décès liés à l'injection de Covid-19 et 6 263 922 blessures signalés au 30 août 2021.
Source : D4CE
De nombreuses preuves anecdotiques soulignent l'insistance de nombreuses autorités médicales sur le fait qu'elles ne veulent pas enquêter, laisser un seul signaler et traiter les décès et les blessures liés au vaccin. Le reporting prend un temps considérable et n'est pas rémunéré. Certains professionnels de la santé craignent clairement qu'en reconnaissant même sans parler du traitement des décès et des blessures liés au vaccin, ils s'attirent les reproches professionnels de leurs collègues.
L'incapacité à mettre en place des systèmes fiables et crédibles pour signaler les décès et les blessures liés au vaccin avant de se lancer dans cette énorme expérience médicale est révélatrice d'incompétence ou de mauvaise intention ou des deux. Joseph Mercola a discuté de ce phénomène au début de juillet 2021 juste avant d'être ciblé par la Maison Blanche de Biden comme l'un des « Dozen de la désinformation ». Dans un article intitulé « Les décès et les blessures liés aux vaccins COVID sont secrètement enterrés », écrit Mercola
Ne pas obliger les fabricants de vaccins à mettre en place un système complet pour saisir les données sur les événements indésirables est au mieux un signe d'incompétence. Mais ce n'est pas tout. La FDA commence vraiment à paraître trompeuse lorsqu'elle refuse de reconnaître que les rapports du VAERS indiquent qu'il y a des problèmes. Appeler « coïncidence » plus de 35 000 fois n'est tout simplement pas crédible, et écarter les risques d'invalidité permanente et de décès comme étant « la peine » est au-delà du cœur, de voir comment nous avons des traitements sûrs et efficaces et que personne n'a réellement besoin de jouer leur santé sur une thérapie génique expérimentale. Regarde ça.
L'incapacité des gens à savoir si des dizaines de milliers ou des centaines de milliers ou des millions d'humains sont déjà morts des vaccins est révélatrice d'un processus fortement déréglementé. Ce phénomène édifie le grand poids des preuves que la tromperie et l'obscurcissement sont en train de prévaloir, et non la précision et la transparence associées à l'adhésion consciencieuse à la méthode scientifique.
RépondreSupprimerUn autre indicateur de mauvaise foi de la part des régulateurs contraires à l'éthique est la rareté des autopsies pratiquées sur les cadavres des personnes décédées peu de temps après les vaccinations. Dans la crise du COVID fabriqué, les autopsies ne sont pas encouragées ou carrément déconseillées. Qu'est-ce qui expliquerait un tel manque de curiosité pour aller au fond de ce qui se passe réellement dans la cause des décès dus aux vaccins ? Les responsables de la santé ne sont pas non plus encouragés à collecter et à analyser les flacons de vaccins, une pratique fréquente à l'époque avant que le soi-disant nouveau coronavirus ne dominait l'ensemble de l'infrastructure des soins de santé. Regarde ça.
Coups de caillot
Parmi les ingrédients mortels des breuvages des sorcières dans les injections de caillots qui nous sont poussés si agressivement, se trouvent des ingrédients dont l'effet est la réplication en masse des protéines de pointe contenant le VIH. Les injections de caillots qui détruisent la fertilité contiennent les moyens de répliquer des protéines de pointe qui endommagent le sang sur l'immense étendue des surfaces intérieures des veines et des artères et sur de nombreux kilomètres de minuscules canaux capillaires qui constituent nos systèmes cardio-vasculaires. La perturbation des cellules sanguines et des flux sanguins est particulièrement intense dans les utérus féminins et les testicules masculins, de sorte que les injections de COVID pourraient bien être à la base de beaucoup d'infertilité.
Les attentes selon lesquelles les vaccins COVID contenaient la capacité de générer des caillots sanguins, des hémorragies sanguines, des thromboses et des affections cardiaques étaient déjà bien avancées chez de nombreux médecins bien avant que ces problèmes ne commencent à attirer une publicité importante. Dans une lettre datée du 28 février 2021 à Emer Cooke, directeur exécutif de l'Agence européenne des médicaments, douze autorités médicales, toutes distinguées dans leurs domaines médicaux respectifs, ont demandé des réponses à des questions clés. Ils ont affirmé que ces questions méritaient des réponses fondées sur des preuves avant l'octroi d'une autorisation d'utilisation d'urgence aux trois fabricants de vaccins.
Les termes de la demande de Doctors for Covid Ethics (D4CE) ont été décrits comme suit :
RépondreSupprimerSi toutes ces preuves ne sont pas disponibles, nous exigeons que l'approbation pour l'utilisation des vaccins à base de gènes soit retirée jusqu'à ce que toutes les questions ci-dessus aient été correctement traitées par l'exercice de la diligence raisonnable de l'EMA. [Leurs italiques gras]
Il existe de sérieuses inquiétudes, y compris, mais sans s'y limiter, celles décrites ci-dessus, selon lesquelles l'approbation des vaccins COVID-19 par l'EMA était prématurée et imprudente, et que l'administration des vaccins constituait et constitue toujours une « expérimentation humaine », ce qui était et est toujours en violation du Code de Nuremberg.
Compte tenu de l'urgence de la situation, nous vous demandons de répondre à cet e-mail dans les sept jours et de répondre à toutes nos préoccupations de manière substantielle. Si vous choisissez de ne pas vous conformer à cette demande raisonnable, nous rendrons cette lettre publique. Voir ceci.
Sur les 7 points décrits, 3 d'entre eux soutiennent que les vaccins de thérapie génique causeraient des dommages importants aux systèmes vasculaires et au sang qui les traverse. Sans surprise, le langage est assez technique et commence par une référence aux « dommages endothéliaux ». De tels dommages impliqueraient des blessures aux parois internes des vaisseaux sanguins et des vaisseaux lymphatiques. Les médecins expliquent,
4. Si de telles preuves ne sont pas disponibles, il faut s'attendre à ce que des dommages endothéliaux avec déclenchement ultérieur de la coagulation du sang via l'activation plaquettaire se produiront à d'innombrables sites dans tout le corps. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l'homme par l'EMA.
5. Si de telles preuves ne sont pas disponibles, il faut s'attendre à ce que cela entraîne une baisse du nombre de plaquettes, l'apparition de D-dimères dans le sang et une myriade de lésions ischémiques dans tout le corps, y compris dans le cerveau, la moelle épinière et le cœur. . Des troubles de la coagulation peuvent survenir à la suite de ce nouveau type de syndrome CIVD, notamment, entre autres possibilités, des saignements abondants et des accidents vasculaires cérébraux hémorragiques. Nous demandons des preuves que toutes ces possibilités ont été exclues dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l'homme par l'EMA.
6. La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2 sur les plaquettes, ce qui entraîne leur activation. Une thrombocytopénie a été signalée dans des cas graves d'infection par le SRAS-CoV-2. Une thrombocytopénie a également été rapportée chez des sujets vaccinés. Nous demandons des preuves que le danger potentiel d'activation plaquettaire qui conduirait également à une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) a été exclu avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l'homme par l'EMA.
RépondreSupprimerVoici encore une preuve supplémentaire que les régulateurs européens des médicaments ont été négligents en tenant compte de l'intervention d'autorités bien connues dans leurs domaines. En ignorant l'intervention scientifique bien fondée du 28 février, les régulateurs n'ont écouté que les intérêts des sociétés pharmaceutiques, pas les intérêts du public. La négligence dans la réglementation a tendance à se traduire par une déréglementation efficace.
Déréglementation et intérêt public
D'une manière générale, la déréglementation soumet la plupart des gens ainsi que nos gouvernements à des niveaux accrus de gouvernement d'entreprise. Par conséquent, la déréglementation favorise le pouvoir de la richesse sur le pouvoir des gens moyens. La prolifération de la déréglementation elle-même est le reflet de la réalité selon laquelle il a été démontré que les gens ordinaires « n'ont que peu ou pas d'influence indépendante » sur les politiques gouvernementales. Regarde ça.
La déréglementation est un mot popularisé dans les années 1980 lorsque le président américain Ronald Reagan a promis qu'il libérerait les entreprises de l'ingérence intrusive du gouvernement dans leurs activités commerciales. La déréglementation de l'industrie des services financiers basée à Wall Street en 1999 a directement conduit à d'énormes excès dans la manipulation d'un large éventail d'instruments financiers étranges connus sous le nom de produits dérivés. Les dérivés tirent de la valeur des actifs sous-jacents, notamment les matières premières, l'argent et les actions. En 2008, les excès exubérants des paris sur les produits dérivés ont fait s'effondrer les marchés boursiers et les économies locales à travers le monde.
Les institutions financières mêmes dont la spéculation excessive avait causé la débâcle financière en premier lieu ont ensuite été autorisées à piller les trésors nationaux. Au nom de la déréglementation, les grandes banques de Wall Street et leurs partenaires internationaux se sont servis de 29 000 milliards de dollars de fonds de sauvetage. Ce cadeau de la Réserve fédérale aux grandes institutions financières a été financé sur la base de l'imposition secrète de dettes massives sur les épaules des contribuables. Regarde ça.
Avec BlackRock Inc de Wall Street servant en quelque sorte de proxy pour les grandes banques qui détiennent une participation majoritaire dans la Federal Reserve Bank de New York, les robinets monétaires déréglementés s'ouvrent à nouveau en 2021. La création d'argent frais trouve son chemin dans toutes sortes d'activités néfastes, y compris la création de caisses noires politiques pour récompenser les copains des kleptocrates au pouvoir. L’expansion secrète de la masse monétaire découle en grande partie de la tentative de lisser le désastre économique provoqué par la prolifération des assignations à résidence, du chômage et des faillites de petites entreprises au nom des blocages COVID mandatés par le gouvernement.
Le cycle actuel de création monétaire hautement inflationniste reproduit et étend bon nombre des schémas les plus kleptocratiques établis en réponse à la crise économique générée par les banques en 2008. Voir ceci.
RépondreSupprimerUne fois de plus, une part disproportionnée de l'argent neuf généré va enrichir les personnes déjà riches en endettant davantage la classe de citoyens la plus endettée. Ce schéma se reproduit dans de nombreuses formes de déréglementation. En règle générale, la plupart des avantages de la déréglementation vont aux intérêts des privilèges tandis que la sécurité financière, la santé et le bien-être général de ceux qui habitent les parties médiane et inférieure des hiérarchies socio-économiques sont gravement compromis.
La conduite d'un assaut de classe dirigé vers le bas sur les masses depuis les sommets mêmes de la richesse et du pouvoir est bien illustrée par les dimensions financières de la crise du COVID fabriquée. Cette crise couvre les manipulations secrètes d'initiés financiers en train de provoquer le plus grand transfert vers le haut de richesse monétaire de l'histoire. Les milliardaires font un massacre tandis que la classe moyenne est décimée pour créer une société polarisée entre riches et pauvres avec très peu de choses entre les deux.
Cette propension est bien démontrée pendant les fermetures lorsque les chaînes de magasins à grande surface comme Costco et Wal-Mart peuvent rester ouvertes tandis que les gouvernements locaux ferment régulièrement les entreprises ma-and-pa par score. Wall Street obtient la sauce tandis que les petits entrepreneurs de Main Street sont régulièrement fermés et forcés de fermer leurs portes. Regarde ça.
La capture industrielle des agences de régulation
La déréglementation n'est pas toujours mauvaise. Parfois, les régimes réglementaires deviennent si onéreux et complexes qu'ils doivent être réduits. Cependant, la déréglementation a généralement un impact destructeur grave lorsque les industries réussissent à prendre le contrôle des organismes de réglementation d'une manière qui a un impact sur la qualité de nos aliments, de l'air et de l'eau.
Il en va de même pour les médicaments pharmaceutiques, un domaine commercial où les sociétés pharmaceutiques sèment leurs propres agents dans des agences gouvernementales comme Santé Canada, la Food and Drug Administration des États-Unis, l'Autorité européenne des médicaments, le Center for Disease Control and Prevention des États-Unis ainsi que le National Institut de la Santé. Tout au long de la crise du COVID fabriqué, Anthony Fauci, un important propriétaire de brevets dans des domaines où il exerce une autorité de régulation, est devenu l'incarnation du type de conflit d'intérêts où la capture industrielle de l'autorité de régulation des gouvernements est devenue la règle plutôt que l'aberration.
La crise du COVID fabriquée nous présente un exemple particulièrement frappant de la facilité avec laquelle la déréglementation de la prestation des soins de santé peut être exploitée par les intérêts de la richesse et du pouvoir. Cette exploitation désavantage gravement l'intérêt public. L'intérêt public s'exprime le mieux dans l'application du bon sens aux politiques publiques.
RépondreSupprimerAvec la déréglementation, les industries ont pris le contrôle de la réglementation de leurs propres activités commerciales.
L'un des principaux objectifs de la plupart des déréglementations est de privatiser l'accumulation de plus de richesses par les personnes déjà riches et de laisser les dépenses du nettoyage industriel ou de la réadaptation des travailleurs blessés ou traumatisés à la charge des contribuables. Une illustration classique de ce schéma est l'accord gouvernemental qui remonte à 1986 pour indemniser les fabricants de vaccins contre les poursuites.
Les sociétés pharmaceutiques privatisent ainsi les bénéfices du secteur des vaccins alors même qu'elles répercutent sur les citoyens moyens le coût des dommages que leur industrie laisse derrière eux. Le poids le plus lourd de cette dépense vient sous la forme des souffrances horribles qui accompagnent les décès et les blessures dus aux vaccins imposés aux victimes et à leurs familles.
La décision du gouvernement de mettre les sociétés pharmaceutiques à l'abri des dommages qu'elles causent se poursuit pleinement à ce stade de la crise du COVID manufacturé.
La corruption du processus réglementaire a été pleinement mise en évidence dans l'accord conclu par la FDA avec la société Pfizer fin août. Pfizer a pu conserver l'autorisation d'utilisation d'urgence étendue à son vaccin COVID existant. Cette autorisation d'utilisation d'urgence est basée sur la fausse affirmation selon laquelle les vaccins sont le seul remède disponible pour lutter contre la maladie virale. Parallèlement à la réclamation infondée, l'immunité de Pfizer contre les poursuites est maintenue.
Dans le même temps, la FDA a donné son approbation complète à un vaccin actuellement inexistant qui sera nommé Comirnaty. Le processus à huis clos menant à l'octroi de cette approbation n'a même pas entraîné de réunion du comité de surveillance déjà truqué de la FDA. Il semble que l'approbation de Pfizer vise à affaiblir la résistance à l'imposition de vaccins obligatoires à de nombreuses catégories de travailleurs, soldats, étudiants, voyageurs et autres.
Le nouveau produit Comirnaty a « l'approbation » mais il manque d'indemnisation pour Pfizer contre les poursuites. Il semble peu probable que Pfizer distribue au public le mélange de thérapie génique Comirnaty jusqu'à ce qu'il soit indemnisé. On ne sait pas encore si Comirnaty remplacera le produit Pfizer BioNTech actuel ainsi qu'un rappel contre la variante Delta qui ciblerait les personnes vaccinées de la manière la plus agressive. Regarde ça.
RépondreSupprimerTout le cafouillage de l'autorisation d'utilisation d'urgence dépend de la fiction selon laquelle les vaccins offrent les seuls remèdes pour COVID-19. Cette thèse s'est révélée fausse par les Drs. Vladimir Zelenko et Didier Raoult. Il existe un certain nombre de remèdes très efficaces contre l’infection virale nommée COVID-19. Ceux-ci incluent l'hydroxychloroquine avec du zinc ainsi que l'ivermectine. Ces remèdes plus naturels ne sont pas brevetés. L'hydroxychloroquine a été injustement écartée par une fraude très ambitieuse impliquant le magazine Lancet et une société concoctée de menteurs connue sous le nom de Surgisphere. Regarde ça.
Nous immuniser contre la stupidité du troupeau
La violation de tant de règles fondamentales de la méthodologie scientifique, des procédures médicales standard et des pratiques normales de santé publique n'est généralement pas involontaire. Les violations ont plutôt été calculées pour établir une multitude de précédents très importants. Pris ensemble, ces précédents sont censés déclencher des transformations importantes dans l'économie politique des interactions humaines les unes avec les autres et avec le reste de la nature.
Ces précédents sont établis à un moment de l'histoire où l'humanité est au bord d'un changement presque insondable. Nous sommes confrontés à un effondrement écologique, financier et gouvernemental à grande échelle. Nous sommes confrontés à l'effondrement des valeurs familiales et de toutes sortes de cohésion sociale dans un milieu où nous sommes soumis à des assauts destructeurs venant de plusieurs directions. Ces agressions émanent en particulier des premiers sionistes israéliens de diverses origines religieuses.
Contrairement aux fictions attachées aux idiots musulmans érigés le 11 septembre en ennemis à rejeter et à envahir, les diviseurs malveillants semblent véritablement mépriser nos libertés. Ces ennemis veulent clairement saboter le meilleur de nos héritages civilisationnels occidentaux qui sont actuellement à la fois protégés et menacés par les courants concurrents du christianisme.
Bien que nous soyons en période de panne et d'épave tragiques, nous sommes également confrontés à une gamme de nouvelles opportunités qui pourraient être les nôtres si nous pouvions maîtriser de manière saine et constructive de nombreuses nouvelles technologies puissantes déjà présentes ou à venir rapidement. Nous ne pouvons pas abandonner à la juridiction exclusive des très riches la conception de la configuration de ces nouvelles technologies.
Actuellement, Bill Gates incarne l'antithèse même de cette approche saine dont nous avons besoin pour l'innovation technologique. La trajectoire de carrière de Gates, du monopole de Microsoft aux OGM de Monsanto et maintenant à la dépopulation grâce à l'eugénisme vaccinal, représente un effort concerté et profondément destructeur pour limiter l'éventail de nos destins possibles.
RépondreSupprimerLa crise du COVID fabriquée est calculée pour nous enchaîner à un avenir de captivité avant que nous n'ayons eu la chance d'examiner, d'évaluer et de débattre correctement de l'ensemble de nos options à une époque de grande transformation technologique.
Nous avons beaucoup de choses à régler et à discuter avant de nous précipiter sur un plan pour nous modifier génétiquement ou pour mélanger notre biologie avec la puissance de calcul de l'intelligence artificielle. Afin de regagner notre mot à dire dans la détermination de notre propre destin, nous devons insister sur un retour au consentement éclairé comme fondement de chaque aspect de notre autonomie gouvernementale.
La crise du COVID fabriquée a créé une plate-forme pour ceux qui ont pris l'initiative d'afficher la pauvreté totale et le blasphème de leur conception xénophobe de l'endroit où nous devrions nous diriger.
L'absence de toute focalisation sur le caractère phénoménal de notre immunité naturelle révèle le style impie et stérile de leur pensée appauvrie. Commençons à prendre position en cultivant et en exerçant activement les énormes capacités de notre propre système immunitaire. Immunisons-nous contre de nouvelles chutes dans la bêtise collective.
The original source of this article is Global Research.
https://www.lewrockwell.com/2021/11/no_author/herd-stupidity-the-manufactured-covid-crisis-the-gene-based-mrna-vaccine-and-the-pinnacles-of-wealth-and-power/