- ENTREE de SECOURS -



jeudi 25 novembre 2021

Dr. Astrid Stuckelberger - 🇨🇭[Conférence] 19.11.2021

 Conférence du Dr. Astrid Stuckelberger dans la salle paroissiale à Chermignon en Valais.

Jusqu'à 37:00 Son mauvais (le son accroche à l’enceinte).

https://odysee.com/@Ognir:c/-Conférence--Dr.-Astrid-Stuckelberger---19.11.2021:a

10 commentaires:

  1. Plus il y a de personnes qui se font inoculer, plus il y a forcément de morts.
    C'est agenda qui est appliqué.
    Il n'y a pas de pandémie, il y a un génocide mondial où des milliards de personnes doivent disparaître par injection létale.
    Faire peur, piquer, brûler.

    Les masques ne protègent pas, ils pulvérisent la mort dans vos poumons par inspiration.
    Les hydrogels dits 'anti-bactériens' pénètrent la peau et infectent l'organisme.
    Les écouvillons des faux-tests 'RT-PCR' déposent la mort en cavité nasale.
    Les expérimentations géniques d'essais sont faites pour tuer.

    Pourquoi les non-injectés meurent-ils ? Ils meurent car le premier danger mortel est le masque. Tous les masques sont infestés de nano-particules d'oxyde de graphène. Pareil pour les faux tests PCR (par écouvillon) qui en dépose en cavité nasale. Pareil pour les hydrogels qui en contiennent et qui sont absorbés par la peau.

    La sérologie est obligatoire avant et après toute injection. Elle n'est jamais faite.
    Il est interdit de vacciner durant une pandémie ou épidémie. Ils et elles piquent pour tuer.
    Il est interdit de vacciner une femme enceinte.
    Ils interdisent de faire des autopsies sur les personnes décédées !

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  2. Vers une pénurie de pétrole provoquée

    Les différentes décisions des dirigeants politiques sont en train de pénaliser le secteur des énergies fossiles. Créant un risque de pénurie de pétrole.


    Par Henry Bonner.
    26 NOVEMBRE 2021


    Les entreprises pétrolières sous-investissent. Le gaz russe est frappé de sanctions. Les énergies renouvelables concentrent les faveurs du pouvoir. Tout est en place pour une hausse des énergies fossiles que les consommateurs subiront.

    À partir de l’année prochaine, les voitures auront toutes un système de limiteur de vitesse.

    Le but est de vous inciter à conduire plus lentement et de sauver des vies, prétendent les autorités. Cela concernera-t-il aussi les voitures des cortèges officiels ?

    Au Royaume-Uni, dès l’année prochaine, tout nouveau logement aura une borne de recharge pour les voitures électriques. Oui… car à partir de 2030, les Britanniques n’auront plus accès aux voitures à moteur à explosion.

    Que d’imagination !

    Nos propres dirigeants ne tarderont pas à surenchérir. Notre économie et notre mode de vie foncent droit dans le mur.

    LES INVESTISSEMENTS EN PRODUCTION PÉTROLIÈRE S’EFFONDRENT

    Les sociétés pétrolières l’ont bien compris. Nul ne sait quand les autorités produiront un effondrement brutal – à court terme – du prix, comme elles l’ont fait en appliquant les confinements. Le mieux pour elles est de laisser le pétrole sous terre…

    C’est ainsi qu’en dépit de la hausse du prix du pétrole, les producteurs ne réinvestissent même pas.

    Selon Oilprice.com :

    Le réinvestissement dans la production pétrolière des sociétés américaines baisse au niveau le plus bas de tous les temps au troisième trimestre 2021 d’où une trésorerie nette record. Les réinvestissements devraient baisser encore plus avant la fin de l’année, selon le groupe Rystad Energy.

    […]

    Parmi les sociétés analysées par Rystad, le taux de réinvestissement des bénéfices était de 46 % en 2021, soit encore plus faible qu’en 2020, quand il était de 53 %. La moyenne historique est au-dessus de 130 %.

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  3. Le graphique ci-dessous montre l’évolution des bénéfices opérationnels (CFO), des investissements dans la production (Capex), et le taux de réinvestissements.

    - voir graphique sur site -

    Évolution des bénéfices, des investissements et du taux de réinvestissement des entreprises américaines du secteur du pétrole de schiste

    - voir graphique sur site -

    Entre 2014 et 2019, les pétrolières investissaient plus que leur trésorerie, elles s’endettaient ou levaient des fonds.

    Suite au désastre de 2020, quand les sociétés de production pétrolière ont perdu des milliards (le groupe d’entreprises étudié par Rystad a perdu 8,1 milliards de dollars sur la deuxième moitié de l’année), les entreprises trouvent que l’environnement est trop risqué pour se relancer dans de nouveaux projets. Elles se contentent de faire tourner les puits déjà mis en production.

    Les multinationales ont emprunté cette voie de la décroissance depuis des années. Regardez ci-dessous les investissements des principaux groupes pétroliers (source : IEEFA). Ils baissent depuis près d’une décennie.

    Évolution des investissements des majors pétrolières

    - voir graphique sur site -

    En bref… ne vous étonnez pas de trouver des coûts plus élevés à la pompe et ils sont partis pour durer.

    En même temps, les gouvernements poussent vers les renouvelables… Ce qui va créer encore plus de changements imprévisibles dans le coût de l’énergie, en fonction de la météo.

    À quand un limiteur de consommation d’électricité chez vous ? Ou une limite à la distance de vos déplacements en voiture ?

    LA POLITIQUE ÉNERGÉTIQUE DE LA RARETÉ

    La disponibilité de l’énergie a pris un autre coup cette semaine avec l’annonce de restrictions d’approvisionnement par la Russie, qui représente la source de 40 % du gaz naturel vendu dans l’UE.

    La Russie et l’Allemagne ont déjà achevé l’installation du gazoduc Nord Stream 2, qui permet au producteur national russe, GazProm, d’envoyer davantage de carburant (source carte : Gazprom).

    Mais le gazoduc attend de devenir opérationnel. Les autorités allemandes, très favorables aux énergies renouvelables, n’ont toujours pas donné de date pour son entrée en service.

    Et maintenant, le projet souffre d’un nouveau revers, cette fois à cause des sanctions et embargos…

    Le Secrétaire d’État américain, Antony Blinken, a prévenu :

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  4. Même si nous continuons à nous opposer au gazoduc Nord Stream 2, y compris par des sanctions, nous travaillons avec l’Allemagne et nos autres alliés et partenaires afin de réduire les risques créés par ce gazoduc pour l’Ukraine, les autres pays de l’OTAN et l’UE, et nous opposer aux activités nocives de la Russie dans le domaine de l’énergie.

    Les sanctions génèrent des ennuis, avant tout pour le consommateur, à titre particulier ou professionnel, contraint de payer plus cher son gaz. Le professionnel répercutera la hausse dans ses prix et le particulier subira…

    À notre avis, le pétrole n’a pas fini son ascension.

    https://www.contrepoints.org/2021/11/26/415017-vers-une-penurie-de-petrole-provoquee

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    1. Ce que les complotistes au pouvoir refusent de dire est que le pétrole est abiotique (il y en aura encore dans 10 000 ans !) et que tout ce qui nous entoure est fabriqué avec du pétrole ! Les ordinateurs, téléphones, tablettes, claviers, souris, pc, sièges, sous-mains, et imprimantes, scanners, etc, etc sans parler de tous les vêtements jusqu'aux chaussures et semelles. Cela représente les 3/5 des magasins de ville !

      Et de plus (parce qu'il faut aussi en parler !) TOUS LES GAZ SE RECYYYYYYCLENT ! depuis toujours et pour toujours ! Sans quoi d'ailleurs il n'y aurait jamais eu de vie sue Terre !

      Et oui, il n'y a PAS une goutte d'eau en plus ou en moins sur Terre depuis des milliards d'années !
      La SEULE chose que notre planète perd est la chaleur magmatique qui remonte au travers des mers & océans et disparaît dans l'atmosphère.(-20°C à 5000 m, -60°C à 15 000 m).

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  5. Démantèlement d’une centrale nucléaire : facile et pas cher

    Techniquement maîtrisé, le démantèlement des centrales nucléaires françaises peut s’envisager sereinement sur une période courte et à faible coût.


    Par Dominique Grenèche et Michel Gay.
    26 NOVEMBRE 2021


    Techniquement maîtrisé, le démantèlement des réacteurs à eau pressurisée (REP) français peut s’envisager sereinement sur une période courte (moins de 15 ans) et à un coût faible lorsque sera venu le temps de les arrêter dans 10 ans ou dans… 60 ans (le dernier réacteur a été délivré en 2000).

    UN PARC FACILE À DÉMANTELER

    Les REP français sont techniquement faciles à démanteler car les compétences et le tissu industriel existent aussi en France, y compris pour la gestion des déchets.

    Le parc nucléaire mondial compte près de 450 réacteurs électrogènes nucléaires en fonctionnement répartis entre 32 pays.

    S’y ajoutent environ 200 réacteurs définitivement arrêtés, dont 140 sont en cours de démantèlement, 20 sont entièrement démantelés et leurs déchets parfaitement gérés.

    Le retour d’expérience international du démantèlement de ces réacteurs est donc important, contrairement aux affirmations mensongères de certains opposants au nucléaire.

    15 ANS POUR LE DÉMANTÈLEMENT D’UNE CENTRALE NUCLÉAIRE

    La durée du démantèlement d’un REP est d’environ 15 ans, réhabilitation des sols comprise, à compter de l’obtention du décret de démantèlement.

    Aux États-Unis, 6 REP similaires aux REP français ont été totalement démantelés et déclassés en moins de 15 ans.

    En France, la démonstration de la faisabilité du démantèlement d’un réacteur électrogène est faite sur l’opération pilote du réacteur de Chooz A (dans les Ardennes) mis à l’arrêt en 1991. Le démantèlement de la cuve du réacteur (dernière étape) devrait s’achever en 2022, 15 ans après l’obtention du décret de démantèlement et avec 5 ans d’avance sur le planning de référence de cette opération prototype.

    Par ailleurs, plusieurs réacteurs de recherche ont déjà été totalement démantelés (Siloé, Mélusine, Triton,..).

    Les réacteurs antérieurs de première génération, peu nombreux et arrêtés (appelés « UNGG, Eau lourde et RNR sodium ») sont plus difficiles à démanteler. Mais les technologies nécessaires sont accessibles, même si le traitement de certains de certains déchets spécifiques à ces filières requièrent encore des développements techniques.

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  6. GESTION DES DÉCHETS

    Pour la gestion des déchets provenant de la déconstruction de centrales nucléaires, tous les pays européens définissent un seuil dit « de libération » en dessous duquel les déchets ne présentent plus de danger… exceptée la France qui considère encore actuellement que tous les matériaux, sans distinction, sont susceptibles d’être radioactifs.

    Cette pratique française n’est pas cohérente avec le Code de l’environnement qui préconise la valorisation des déchets par le réemploi ou le recyclage. Elle contribue de plus à augmenter leur volume alors que le risque sanitaire est imperceptible, voire nul.

    Un consensus se dégage actuellement sur la nécessité d’assouplir rapidement cette réglementation française avant le démarrage du démantèlement des deux réacteurs Fessenheim.

    LA CHARGE FINANCIÈRE

    Les charges financières de démantèlement sont couvertes par des provisions (des « actifs dédiés ») constituées par un prélèvement sur les factures d’électricité. C’est donc bien la génération actuelle bénéficiant de l’électricité d’origine nucléaire qui en supporte les coûts.

    EDF a indiqué lors d’une audition au Sénat en mars 2020, que le taux de couverture de ces provisions était de 105,5 % à fin 2019. L’audit indépendant commandité en 2016 par la Direction générale de l’énergie et du climat (DGEC) a conclu qu’elles étaient d’un bon niveau.

    Ce système est donc aujourd’hui satisfaisant, même si le processus pâtit de lourdeurs administratives selon la Cour des comptes (février 2020) : « Une simplification des décrets de démantèlement serait souhaitable, au profit d’un pouvoir de décision accru de l’ASN pour leur mise en œuvre. »

    Cette dernière a confirmé en mars 2020 la qualité de la mise en œuvre du système français par les exploitants tout en émettant des recommandations pour améliorer la prise en compte des aléas, ainsi que l’évolution du taux d’actualisation utilisé pour le calcul de ces provisions.

    LE COÛT DE DÉMANTÈLEMENT D’UNE CENTRALE NUCLÉAIRE

    L’audit de la DGEC de 2016 a conforté l’estimation de 350 et 450 millions d’euros faite par EDF du coût de démantèlement d’un réacteur REP bénéficiant à la fois de l’effet de série (réacteurs de même type dans le parc) et de la mutualisation (plusieurs réacteurs sur un même site).

    Cette somme représente environ 10 % du coût de l’investissement initial et moins de 5 % du prix du kWh produit durant la vie de la centrale.

    Ni la DGEC, ni le Sénat, ni la Cour des comptes ne contestent que ce coût de démantèlement reste faible en regard de l’apport économique du nucléaire.

    EDF estime à environ 60 milliards d’euros le coût total du démantèlement de son parc actuel de 58 réacteurs REP en incluant le traitement et la gestion des déchets radioactifs associés à ces opérations.

    Ce chiffrage est cohérent avec l’évaluation américaine faite par le Callan Institute, soit 88,8 milliards de dollars en 2018 pour le démantèlement des 99 réacteurs en exploitation et des 9 déjà arrêtés.

    Pour un réacteur actuel d’une puissance électrique de 900 mégawatts (MW) fonctionnant au minimum pendant 40 ans, il en résulte que le coût du démantèlement est compris entre 1,5 et 2 euros/MWh, soit moins de 5 % du coût de production de l’électricité de 42 euros/MWh adopté pour l’ARENH.

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  7. Et ce pourcentage diminue encore si le temps de fonctionnement des réacteurs est augmenté jusqu’à 60 ans ou 80 ans.

    Ces faits incontestables montrent que le démantèlement des réacteurs nucléaires n’est ni irréalisable, ni ruineux, ni dangereux, contrairement aux mensonges assénés continuellement dans presque tous les médias par des militants antinucléaires.

    Il est donc inutile de démanteler Fessenheim « pour acquérir un savoir-faire » déjà acquis en France et dans le monde, et il est illusoire de vouloir « préempter ce marché mondial » du démantèlement qui n’attend pas les Français !

    https://www.contrepoints.org/2021/11/26/414822-demantelement-dune-centrale-nucleaire-facile-et-pas-cher

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    1. "Pour comprendre son ennemi il faut se mettre à sa place". Les complotistes au pouvoir espèrent une dépopulation quasi-totale de la gente humaine. Donc: moins de consommation d'énergie. Et, comme un transhumain peut remplacer un cheval pour tirer la charrue ou courir devant une carriole, à quoi bon se casser la tête ?

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  8. Le service public de la Californie du Sud coupe l'électricité à ses clients pour Thanksgiving alors que les risques d'incendie de forêt augmentent


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 25 NOV 2021 - 11h00


    La plus grande entreprise de services publics du sud de la Californie a coupé l'électricité à des milliers de clients dans les hautes altitudes de Los Angeles, laissant de nombreux ménages sans électricité pour Thanksgiving.

    Le service public d'Edison International en Californie du Sud a coupé l'électricité à 32 036 structures de bâtiments résidentiels et commerciaux dans les comtés de Los Angeles, Orange, Riverside, San Bernardino et Ventura pour empêcher les tempêtes de vent de renverser les lignes électriques qui pourraient attiser les incendies dans la région frappée par la sécheresse. Le service public projette jusqu'à un quart de million de clients pourrait perdre le service autour de Los Angeles et de San Diego.

    - voir cartes sur site -

    Les vents secs et les conditions de sécheresse dans le sud de la Californie sont le produit d'un régime climatique La Niña qui apporte généralement des conditions plus sèches dans la région pendant l'hiver.

    Le National Weather Service a averti que les probabilités d'incendies de forêt augmentent et que les conditions venteuses se maintiendront jusqu'à vendredi. Mercredi, un avertissement de drapeau rouge a été posté de Santa Barbara à la frontière américano-mexicaine.

    "Vous pouvez faire votre part en restant informé et en étant prêt à évacuer à tout moment, surtout si vous vivez dans des communautés de canyons, de montagnes ou de contreforts", a déclaré Kevin McGowan, directeur du bureau de gestion des urgences du comté de Los Angeles, aux résidents dans un déclaration.

    Edison a averti que davantage de clients seraient susceptibles de perdre de l'électricité et que San Diego Gas & Electric, un autre service public local, pourrait couper l'alimentation de 52 000 clients.

    La Californie a connu 8 367 incendies de forêt brûlant environ 3,1 millions d'acres cette saison des incendies. Les incendies ont été aggravés par une grave sécheresse qui a touché une grande partie de l'État. Il y a même eu des rapports d'un professeur d'université libéral fou qui a déclenché des incendies.

    https://www.zerohedge.com/weather/southern-california-utility-cuts-power-customers-thanksgiving-wildfire-risks-surge

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