- ENTREE de SECOURS -



mardi 30 novembre 2021

« La faim pourrait toucher un milliard de personnes dans le monde cette année » dans l'Opinion

 

30 Novembre 2021

Glané sur la toile 897

 

« La faim pourrait toucher un milliard de personnes dans le monde cette année », publié dans l'Opinion du 7 juillet 2021 – oui, ça ne date pas d'hier –, est un article signé Emmanuelle Ducros mais écrit en fait à six mains, avec M. Sébastien Abis et Mme Sylvie Brunel.

Il est remonté à la surface à la suite d'une polémique de très bas étage dont il est question sur ce site dans un autre article, « Quand Ducros se décarcasse... l'intolérance, le sectarisme et la haine se déchaînent... »

Le début :

« Madagascar fait face à une famine qui touche déjà 400 000 personnes de façon sévère alors qu’1,4 million d’habitants ont un accès insuffisant à la nourriture sur l’île, indique le Programme alimentaire mondial. Mais selon l’ONU, des ONG et les spécialistes de l’alimentation mondiale, d’autres épisodes de famine qui vont toucher la planète cette année. Les conséquences de la pandémie pourraient en effet faire basculer entre 900 millions et un milliard de personnes dans cette situation. Un niveau inconnu depuis le milieu des années 1990. »

Les disettes et les famines ne sont pas des sujets pour les informations de 20 heures – sauf lorsqu'elles sont devenues vraiment graves au point de produire des images susceptibles de susciter une compassion bien artificielle. Ainsi, ce n'est que le 23 novembre 2021 que France 2 a trouvé un créneau pour nous en entretenir entre deux radios-trottoirs. C'est bien sûr la faute au réchauffement climatique...

Mme Sylvie Brunel y voit surtout les conséquences de l’incurie du gouvernement local, comme dans d'autres régions d'ailleurs :

« Cela aurait probablement pu être évité en demandant de l’aide à la communauté internationale. Mais pour un gouvernement, c’est toujours reconnaître un échec [...]. Pourtant, pour spécifique qu’elle soit, cette famine doit sonner comme une alerte urgente. »

Après avoir évoqué quelques zones « à problèmes », essentiellement socio-politiques, elle nous rappelle :

« […] Ce sont le plus souvent des endroits où la disponibilité de la nourriture ne tient qu’à un fil, où une mauvaise récolte, un incident climatique ou une invasion de criquets déséquilibrent tout. Les trois quarts des personnes souffrant de la faim dans le monde sont habituellement des paysans. »

Mais :


« La faim est de moins en moins rurale et de plus en plus urbaine. »

Il n'est pas sûr, à notre sens, que la première proposition soit vraie, en chiffres absolus. Un gros problème est la désorganisation du tissu social et de l'économie du fait de la pandémie :

« La flambée des prix de l’alimentation sur la planète n’arrange rien. "En quelques mois, les cours ont doublé ou triplé sur la planète, selon les catégories de produits explique Sébastien Abis, géographe, qui dirige le club Demeter, un think tank dédié aux questions d’agriculture et d’alimentation. Le coût du fret maritime a explosé. C’est aussi le cas du pétrole, qui est à 70 dollars le baril et pourrait grimper jusqu’à 100. Cela renchérit considérablement les intrants, les engrais, qui sont pourtant indispensables pour avoir des récoltes suffisantes." »

Et d'ajouter :

« Avec la faim, ce qui vient, ce sont aussi les risques d’agitation sociale, les grandes migrations, les déstabilisations. »

Conclusion de Mme Sylvie Brunel :

« "C’est aussi pour cela que c’est une folie, dans la réflexion européenne sur l’alimentation, de vouloir renoncer à exporter, appuie Sylvie Brunel. Les enjeux environnementaux ont totalement éclipsé, dans nos esprits occidentaux, le premier des besoins humains, c’est-à-dire se nourrir. Avant de faire une révolution agricole, il faut produire ! Produire, partager, préserver. Ce sont les fondements du développement durable, on en a oublié une partie." »

Ce texte n'a pas pris une ride. Au contraire, d'aucuns s'alarment sur les difficultés qui risquent de se présenter pour la prochaine campagne agricole (déjà en cours chez nous pour les cultures dites d'hiver).

Et, imperturbable, l'Union Européenne reste sur sa stratégie « de la ferme à la table » dont plusieurs observateurs différents pronostiquent une baisse des productions de quelque 10 à 20 %.

https://seppi.over-blog.com/2021/11/la-faim-pourrait-toucher-un-milliard-de-personnes-dans-le-monde-cette-annee-dans-l-opinion.html

50 commentaires:

  1. (...) « Madagascar fait face à une famine qui touche déjà 400 000 personnes de façon sévère alors qu’1,4 million d’habitants ont un accès insuffisant à la nourriture sur l’île, (...)

    Population de Madagascar : 27,69 millions (2020) Banque mondiale

    Notre planète est aujourd'hui à l'aube des 8 milliards d'habitants sur 95 % des terres non cultivées !
    8 milliards de personnes c'est 8 milliards de personnes 'en âge' de travailler !

    Madagascar est un pays en Afrique à la latitude 19°00′00,00″ Sud et la longitude 47°06′00,00″ Est.

    Lille 50.38N 03.03E
    Marseille 43.18N 05.23E

    Soit pour Madagacar:
    Mayennne 47.30N 0.32W
    et
    https://en.wikipedia.org/wiki/19th_parallel_north

    Donc, un climat chaud (entouré d'eau) où TOUT pousse (sauf l'intelligence).

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  2. Quand Ducros se décarcasse... l'intolérance, le sectarisme et la haine se déchaînent...


    30 Novembre 2021


    Une conférence à Sciences Po

    L'Institut Sapiens, un laboratoire d’idées indépendant, autrement dit un think tank, a organisé à Sciences Po Paris, en partenariat avec Sciences Po Alumni, une conférence réunissant scientifiques, universitaires, représentants d’entreprises du secteur de l’énergie et journalistes, afin de discuter des façons de « Rapprocher la science et la société : l’opportunité de la transition énergétique ».

    On peut voir un enregistrement – malheureusement coupé avant la fin – ici.

    Le panel final se composait de Mme Géraldine Woessner, en Madame Loyal, de M. Olivier Babeau, de Mme Emmanuelle Ducros et de M. Olivier Lesgourgues, alias Mac Lesggy.

    Compte tenu des domaines d'activité de trois intervenants, la question du rapprochement de la science et de la société a évidemment porté sur les domaines « controversés » de l'activité agricole et alimentaire, notamment les OGM et les pesticides.

    Mme Emmanuelle Ducros a rapidement planté le décor :

    (Source)

    Petit aparté qui n'en est pas vraiment un

    Avant d'entrer dans le vif du sujet, Mac Lesggy a repris sur Twitter un extrait de « Histoire de l’INRA. Entre science et politique » (Cornu, Maeght et Valceschini, 2018, p. 355 – cité dans «A l’origine du blé tendre Renan : une obtention sans mystère » qui tente d'expliquer, laborieusement, que Renan n'est pas un OGM ) :

    « Ainsi, pour l’Inra, dès 1999, l’essentiel est joué : il n’y aura plus d’engagement massif de la puissance publique dans la recherche sur la transgenèse à des fins agricoles et alimentaires. Il faut donc en tirer toutes les conséquences pour l’institut. La plus immédiate, c’est la conscience de ce que, désormais, la crise et la controverse sont devenues le mode "normal" des relations entre science et société, et qu’il n’est plus possible de demander la caution de l’État pour des recherches qui ne trouveraient pas l’assentiment, éclairé ou non, de l’opinion publique. Pour les chercheurs, eux-mêmes confrontés à une crise de la scientificité, caractérisée par la montée des problématiques de la complexité, des signaux faibles et des évolutions chaotiques, dans un contexte social et culturel de contestation sans cesse plus radicale du rationalisme, c’est à une profonde remise en cause de leur manière de vivre la science qu’ils doivent s’atteler. »

    Une déclaration met le feu aux poudres

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  3. L'Institut Sapiens a relayé sur Twitter une citation de, sans conteste Mme Emmanuelle Ducros :

    « Il y a 1 milliard de personnes qui meurent encore de faim dans le monde. Si on décide, par pure idéologie, de se priver des pesticides et des OGM, alors il faudra choisir qui n'aura plus le droit de manger. »

    (Source)

    Les experts diplômés Twitter 1.0 ou Facebook pour les Nuls en agriculture et alimentation s'en sont donné à cœur joie sur ce fil ainsi que sur ceux des retweets.

    Certains ont pris la déclaration à la lettre, au tout premier degré, pour s'en prendre à l'auteure.

    Une figure de rhétorique et un constat pas vraiment contestable

    Mais il convient de relever, d'une part, que le « meurent encore de faim » est une figure de rhétorique, du reste largement employée et ne choquant personne dans des circonstances ordinaires : l'hyperbole.

    D'autre part, le nombre de personnes souffrant de la faim et de la malnutrition dans le monde n'est pas un objet de statistiques nominatives. Dans leur rapport sur « L'État de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde » de 2021, les organisations du système des Nations Unies coordonnées par l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) ont estimé qu'entre 720 et 811 millions de personnes ont fait face à la faim en 2020 et que 928 millions de personnes – 148 millions de plus qu'en 2019 – étaient dans une situation d'insécurité alimentaire grave. Le milliard de personnes évoqué par Mme Emmanuelle Ducros n'a donc rien d'extravagant.

    Ne soumettez pas les étudiants de Science Po à des faits et opinions inconvenants !

    C'est sur un autre plan que la polémique est intéressante – et inquiétante :

    « Que font ces gens à Sciences Po ?

    Comment voulez-vous qu'on enseigne des chose sérieuses aux étudiants si des clowns pareils y sont invités ? »

    (Source)

    L'auteur est chercheur au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) et... professeur à Science Po (et auteur, entre autres, de : « Mon principal espoir est que le zadiste, le jacobin écolo et le technocrate radicalisé pactisent).

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  4. Ce qu'il nous est offert en lecture – de surcroît sur le mode de l'insulte – est que Sciences Po devrait faire passer les intervenants extérieurs sous les fourches caudines d'un Politburo et « protéger » les étudiants de la confrontation avec des opinions non conformes à la bien-pensance.

    Notons ceci dans les réactions :

    (Source)

    Nous n'avons pas le souvenir de protestations contre la venue de cette personne que d'aucuns qualifient en angalis de « fraud » – d'escroc. Ni contre la déclaration que le communicant de Sciences Po a cru bon de répercuter Pourtant, elle est au mieux grotesque, au pire ignoble (mangez bio et les maladies chroniques disparaîtront...).

    (Source)

    Le débat d'idées selon EÉLV...

    Il s'est trouvé un eurodéputé EÉLV pour acquiescer bruyamment :

    « Symptomatique du moment de confusion que nous traversons. Tout vaut tout. La vérité étant une opinion comme une autre, ces gens peuvent se revendiquer de la "science" ou des "faits" pour leurs actions de lobbying et de fabrique du doute…

    C’est l’âge du nouvel obscurantisme. »

    Une leçon de rigueur scientifique venant d'un parti qui héberge par exemple une adepte des sorcières plutôt que des ingénieurs et une antivax complotiste...

    (Source)

    Un problème, et un autre problème

    Cette intolérance, ce sectarisme et cette haine ont de quoi inquiéter. Ce n'est pas tant qu'ils ont été exprimés sur un réseau social, réceptacle de grand format pour ce genre de propos. Ce sont les sources des propos, qui ont des parcelles de pouvoir pour décider de notre avenir.

    Cela s'ajoute à un problème tout aussi fondamental.

    (Source)

    On peut ajouter à titre d'illustration cette autre « réponse » :

    (Source)

    Un directeur adjoint de France Stratégie pense-t-il vraiment qu'on peut se passer de pesticides (dans le monde, et même dans la France des enfants gâtés et bien nourris – enfin pas tous, en témoigne la collecte de ces jours pour les restos du cœur) ? Quels conseils et préconisations sont donnés au gouvernement ?

    Et, pour en revenir à l'angle général de ce billet, ce « Sans surprise » fleure bon l'animosité et la condescendance, voire le mépris et, tout compte fait l'intolérance et le sectarisme. Dans l'appareil d'État.

    https://seppi.over-blog.com/2021/11/quand-ducros-se-decarcasse.l-intolerance-le-sectarisme-et-la-haine-se-dechainent.html

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  5. Pour arrêter le variant Omicron, fermer les frontières n’est pas la solution

    Les restrictions de voyages imposées aux pays qui détectent de nouveaux variants pourraient à l’avenir dissuader certains pays de révéler la présence de variants préoccupants sur leur territoire.


    Par Anthony Zwi.
    Un article de The Conversation
    30 NOVEMBRE 2021


    La découverte du variant B.1.1.529 du SARS-CoV-2, baptisé Omicron par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), suscite l’inquiétude au niveau mondial, et a mis la planète en état d’alerte général. Et pour cause : l’OMS l’a déclaré « variant préoccupant » car sa protéine Spike présente un large éventail de mutations, ce qui fait craindre que les vaccins et les traitements actuels soient moins efficaces pour le combattre.

    Bien qu’il soit encore trop tôt pour en être certain, Omicron semble par ailleurs être capable de réinfecter les gens plus facilement que les autres souches.
    Suivant l’exemple des États-Unis, du Canada, du Royaume-Uni et de l’Union européenne notamment, l’Australie a elle aussi fermé ses frontières aux voyageurs en provenance de plusieurs pays d’Afrique australe.

    Les citoyens australiens qui cherchent à rentrer chez eux depuis l’Afrique australe pourront le faire, mais à leur arrivée ils devront rester en quarantaine à l’hôtel et passer des tests. Ceux qui, au cours des deux semaines passées, sont revenus des neuf pays concernés – Afrique du Sud, Namibie, Zimbabwe, Botswana, Lesotho, Eswatini, Seychelles, Malawi et Mozambique – devront quant à eux s’isoler.

    Le problème est qu’Omicron a déjà été détecté dans d’autres régions du monde que l’Afrique, notamment au Royaume-Uni, en Allemagne, en Israël, à Hong Kong et en Belgique. Ainsi, si une interdiction de voyager dans les pays d’Afrique australe peut ralentir sa propagation et faire gagner un peu de temps, il est peu probable qu’elle suffise à l’arrêter complètement.

    Les gouvernements d’Australie et d’autres pays mettent en place ces restrictions pour tenter de protéger leurs propres citoyens. Cependant, ces mesures devraient s’accompagner d’un déblocage de ressources supplémentaires destinées à soutenir les réponses mises en place par les pays d’Afrique australe et d’ailleurs.

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  6. QUAND OMICRON A-T-IL ÉTÉ DÉTECTÉ ?

    Ce variant a été identifié le 22 novembre en Afrique du Sud, à partir d’un échantillon prélevé sur un patient le 9 novembre.

    Les virologues sud-africains ont agi rapidement : ils se sont entretenus avec leurs collègues par l’intermédiaire du Réseau de surveillance génomique en Afrique du Sud, et ont assuré la liaison avec leur gouvernement tout en informant l’Organisation mondiale de la santé le 24 novembre.

    Cette démarche est conforme au Règlement sanitaire international, qui fixe les directives selon lesquelles les pays sont supposés réagir dans un tel contexte.

    La façon dont se comporte ce nouveau variant n’est toujours pas claire. Certains spécialistes ont affirmé que le taux de croissance des infections par Omicron, qui reflète sa transmissibilité, pourrait être encore plus élevé que celui du variant Delta. Cela reste à prouver, mais si c’est le cas, il s’agit d’une information préoccupante.

    UNE RÉACTION RÉFLEXE QUI DIFFÈRE DES RECOMMANDATIONS DE L’OMS

    Les scientifiques et les hommes politiques africains ont été déçus par la mise en place des mesures dʼinterdiction, qu’ils considèrent comme une réaction réflexe de la part des pays qui les imposent. Ils affirment qu’elles auront des effets négatifs importants sur l’économie sud-africaine, qui accueille traditionnellement des touristes du monde entier pendant la période estivale de fin d’année.

    Ils soulignent également que l’on ne sait toujours pas si ce nouveau variant provient effectivement d’Afrique du Sud, même s’il y a été identifié pour la première fois. Étant donné qu’Omicron a déjà été détecté dans plusieurs autres pays, il se peut qu’il circule déjà dans des régions non incluses parmi les interdictions de voyages.

    Par ailleurs, l’OMS ne recommande généralement pas la mise en place d’interdictions de vol ou d’autres formes d’embargo sur les voyages. Elle préconise plutôt de donner la priorité aux interventions dont l’efficacité est avérée : vaccination, hygiène des mains, distanciation physique, masques bien ajustés et bonne ventilation.

    Pour faire face à l’émergence de variants préoccupants, l’organisation appelle tous les pays à renforcer la surveillance et le séquençage, à signaler les premiers cas ou groupes de cas et à entreprendre des enquêtes afin de mieux comprendre la façon dont ils se comportent. Or, les restrictions de voyages imposées aux pays qui détectent de nouveaux variants, et les pertes économiques qui en découlent, pourraient à l’avenir dissuader certains pays de révéler la présence de variants préoccupants sur leur territoire.

    Le variant Omicron doit être pris au sérieux car ses caractéristiques sont inquiétantes. Mais nos connaissances actuelles à son sujet sont encore largement lacunaires. Tandis que sont entreprises des analyses plus approfondies, il convient de le surveiller en permanence, et de contrôler sa dissémination en appliquant le triptyque de mesures de santé publiques désormais bien connu : tester, tracer, isoler.

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  7. QUE PEUVENT FAIRE LES PAYS À HAUT REVENU POUR AIDER ?

    Les pays comme l’Australie doivent aider les nations africaines et les autres pays à partager les alertes précoces concernant les menaces de maladies transmissibles potentiellement graves, et contribuer à atténuer ces menaces.

    Comme l’a noté le Groupe indépendant sur la préparation et la réponse aux pandémies en mai :

    … les acteurs de la santé publique ne voient que des inconvénients à attirer l’attention sur une épidémie qui a le potentiel de se propager.

    Ce groupe d’experts recommande de créer des incitations afin de récompenser les actions de réaction rapide. Celles-ci pourraient inclure divers soutiens afin :

    dʼétablir des partenariats dans les secteurs de la recherche et de l’éducation ;
    de renforcer les systèmes de santé et la surveillance des maladies transmissibles ;
    dʼaméliorer considérablement la disponibilité des vaccins, améliorer leur mise à disposition et veiller à l’équité de leur distribution ;
    dʼenvisager une compensation financière, qui pourrait prendre la forme d’un de fonds de solidarité contre le risque de pandémie.

    IL EST ESSENTIEL DE RENFORCER LA COUVERTURE VACCINALE

    Les vaccins demeurent le principal pilier dans la protection contre les effets les plus graves du Covid-19. Bien que leur degré d’efficacité contre le variant Omicron ne soit pas encore clair, il est probable qu’ils confèrent au moins un certain niveau de protection. Si nécessaire, le laboratoire Pfizer a également indiqué qu’il était en mesure de développer un vaccin efficace contre un nouveau variant tel que celui-ci en une centaine de jours.

    La persistance de la pandémie de Covid-19 est en partie attribuable à une couverture vaccinale inégale dans de nombreuses régions du monde, notamment dans les pays les moins développés. L’Afrique du Sud elle-même est mieux lotie que la plupart des pays du continent, mais 24 % seulement de sa population adulte est pour l’instant complètement vaccinée. À l’échelle de l’Afrique, ce chiffre tombe à 7,2 %. Une aide internationale plus importante est nécessaire de toute urgence pour améliorer ces taux de vaccination.

    Les institutions et les dirigeants africains, soutenus par des experts en santé globale et en vaccinologie, ont plaidé en faveur de l’installation d’usines de production de vaccins à ARNm sur le continent africain. Celles-ci permettraient de donner la priorité aux populations régionales, de surmonter les problèmes des chaînes d’approvisionnement et de répondre en temps réel aux menaces de maladies émergentes.

    Pourtant, les pays en développement se heurtent à d’importants obstacles lorsqu’il s’agit d’obtenir les accords de propriété intellectuelle relatifs au développement et à la production de vaccins contre le Covid-19.

    Alors qu’il reste encore beaucoup à apprendre à propos du comportement et de l’impact d’Omicron sur la pandémie, la communauté internationale doit faire montre de son engagement à soutenir réellement les pays qui adoptent des comportements appropriés dans la lutte contre la Covid-19, en partageant rapidement et de manière transparente les informations qu’ils détiennent.

    Anthony Zwi, Professor of Global Health and Development, UNSW

    Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

    https://theconversation.com/pour-arreter-le-variant-omicron-fermer-les-frontieres-nest-pas-la-solution-172746

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    Réponses
    1. Dès lors qu'un microbe porteur de maladie qui peut se répliquer sous diverses formes et que chaque injection de cette mort rapide ou en sursis et accompagnée d'une autre dose avec un autre microbe, il ne s'agit donc pas de fermer les frontières ou les magasins mais d'arrêter toutes les inoculations de mort !
      Car le microbe mortel n'est pas dans l'air mais bien comme programmé dans la seringue acceptée par les déficients mentaux qui s'abstiennent donc de question et de réflexion.

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  8. Injection létale : un médecin urgentiste de premier plan fait le récit glaçant d’une maladie inhabituelle provoquée par le vaccin


    29 novembre 2021
    par Mike Whitney.


    « Les Américains ont peur de mourir… Les gens quittent leur travail, non pas parce qu’ils veulent perdre leur emploi, mais parce qu’ils ne veulent pas mourir à cause du vaccin ! … Ils disent : “Écoutez, je ne veux pas mourir. C’est la raison pour laquelle je ne prends pas le vaccin”. C’est aussi clair que cela » ~ Dr Peter McCullough*

    Un rapport du Telegraph britannique explique comment le vaccin contre le Covid-19 a entraîné une forte augmentation de la surmortalité. Voici un extrait de l’article :

    « Près de 10 000 personnes de plus que d’habitude sont mortes au cours des quatre derniers mois pour des raisons autres que le vaccin anti-Covid, alors que les experts ont demandé une enquête gouvernementale urgente pour savoir si ces décès étaient évitables…

    Les derniers chiffres du Bureau des Statistiques nationales du Royaume‑Uni montrent que l’Angleterre et le Pays de Galles ont enregistré 20 823 décès de plus que la moyenne des cinq dernières années au cours des 18 dernières semaines. Seuls 11 531 décès concernaient le Covid »1.

    La mortalité augmente parce que plus de gens meurent. Et plus de gens meurent parce que plus de gens ont été vaccinés. Il y a un lien entre l’augmentation de la mortalité et le vaccin contre le Covid-19. Naturellement, les médias veulent rejeter la responsabilité des décès sur les « retards de traitement » et « l’absence de soins préventifs ». Mais il ne s’agit que d’une diversion. La première cause de décès est l’injection d’un agent pathogène toxique dans le sang sur environ 70% de la population. C’est ce qui provoque la coagulation, les saignements, les embolies pulmonaires, les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et les décès prématurés. C’est le vaccin.

    « Les chiffres hebdomadaires pour la semaine se terminant le 5 novembre montrent qu’il y a eu 1659 décès de plus que ce que l’on attendrait normalement à cette période de l’année. Parmi ceux-ci, 700 n’ont pas été causés par le Covid.

    L’excédent devrait s’accroître au fur et à mesure que d’autres décès seront enregistrés dans les semaines à venir.

    Les données de l’Agence britannique de Sécurité sanitaire montrent que, depuis l’été, il y a eu des milliers de décès de plus que la moyenne quinquennale en matière d’insuffisance cardiaque, de maladies cardiaques, de troubles circulatoires et de diabète.

    Le nombre de décès chez des particuliers est également supérieur de 40,9% à la moyenne sur cinq ans, avec 964 décès excédentaires enregistrés au cours de la semaine la plus récente, qui s’achève le 5 novembre »[1].

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  9. L’augmentation soudaine de la mortalité n’est pas un simple spot sur le radar. C’est un drapeau rouge indiquant une rupture significative dans la tendance des cinq dernières années. Quelque chose a terriblement mal tourné. La vaccination de masse était censée réduire le nombre de cas, d’hospitalisations et de décès. Au lieu de cela, les décès continuent d’augmenter.

    Pourquoi ?

    La réponse à cette question se trouve dans les données elles-mêmes. Comme l’admet l’auteur, il y a eu une forte augmentation des cas d’insuffisance cardiaque, de maladies cardiaques, de troubles circulatoires et d’accidents vasculaires cérébraux. (Ce sont précisément les affections auxquelles on pourrait s’attendre si l’on venait d’injecter à des millions de personnes un produit biologique générateur de caillots qui déclenche une violente réponse immunitaire attaquant la paroi interne des vaisseaux sanguins et infligeant de graves dommages à l’infrastructure critique du corps. Donc, oui, la mortalité toutes causes confondues est en hausse, et il est certain qu’elle va encore augmenter à mesure que de plus en plus de personnes sont vaccinées et succombent progressivement aux effets (souvent) différés d’une concoction hybride qui est la pierre angulaire d’un plan maléfique visant à réduire considérablement la population mondiale. Consultez ce tableau suivi d’un bref commentaire du Dr Claire Craig, pathologiste :

    - voir cadre sur site -

    « Depuis l’été, il y a eu deux fois plus de décès que ceux dus au Covid, mais sept fois plus de décès en excès que l’année dernière ».

    Et voici un autre article de Craig :

    « Si vous commencez à la semaine 22 et que vous additionnez tous les décès depuis pour chaque année, alors quelque chose de très anormal se produit cette année chez les hommes de 15 à 19 ans ».

    - voir cadre sur site -

    Ainsi, non seulement plus de personnes meurent, mais la démographie s’est déplacée vers le bas, car des personnes de plus en plus jeunes sont attirées dans le vortex des vaccins. En d’autres termes, le nombre de jeunes gens qui meurent d’un arrêt cardiaque ou d’une myocardite provoqués par un vaccin continue d’augmenter sans qu’on puisse en voir la fin.

    Il n’est pas surprenant que la mortalité, toutes causes confondues, soit plus élevée chez les vaccinés que chez les non-vaccinés, ce qui, une fois de plus, permet de remonter à la source du problème, à savoir un « vaccin mortel » cytotoxique qui supprime le système immunitaire inné, endommage les organes vitaux et réduit de plusieurs années la vie de personnes normales et en bonne santé.

    Vous avez peut-être vu l’une des nombreuses vidéos de jeunes athlètes en pleine forme qui sont soudainement morts sur le terrain de jeu ou ont été hospitalisés d’urgence peu après avoir reçu une injection.

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  10. Selon Israeli Real-Time News, il y a eu une « augmentation de 500 % des décès de joueurs en 2021… Depuis décembre, 183 athlètes et entraîneurs professionnels se sont soudainement effondrés ! 108 d’entre eux sont morts ! »

    « Augmentation de 500% des décès » d’athlètes ? !? Que devons-nous penser de tout cela ?

    Pour commencer, le vaccin contre le Covid-19 n’est pas un médicament. Il est le composant essentiel du plan élitiste d’extermination à l’échelle industrielle. Il est conçu pour infliger des blessures physiques graves aux personnes qui le prennent. Il est choquant que les gens soient si profondément dans le déni qu’ils ne peuvent pas voir ce qui se passe sous leurs yeux. (Pour l’exemple des athlètes, ce sont les personnes les plus en forme de la planète et, pourtant, elles sont terrassées par la mystérieuse substance contenue dans le vaccin). Voici comment le médecin sud-africain Shankara Chetty résume la situation dans une vidéo récente publiée sur Bitchute :

    « L’agent pathogène qui cause tous les décès dus à la maladie est la protéine spike. Et la protéine spike est ce que le vaccin est censé produire dans votre corps. … La protéine spike est l’un des poisons les plus artificiels que l’homme ait jamais fabriqués. Et, le but de cette toxine, est de tuer des milliards de personnes sans que personne ne s’en aperçoive. C’est donc un poison qui a un but précis »2.

    Voilà en quelques mots. Et Chetty n’est pas le seul à lier le vaccin au programme des élites mondialistes qui prévoient d’utiliser la couverture d’une pandémie pour mettre en œuvre leur plan de « gestion de la population ». L’ancien vice-président de Pfizer, Mike Yeadon, a exprimé un point de vue similaire il y a quelques jours sur son site Internet. Il a déclaré :

    « Nous sommes au milieu du plus grand programme de dépeuplement que le monde ait jamais vu, où la majeure partie de l’humanité agit comme des idiots utiles à ce programme et à sa propre disparition ».

    En effet, et nous avons essayé de fournir autant d’informations que possible sur l’agent biologique qui est utilisé pour poursuivre ce programme maléfique, la protéine spike. Dans nos premiers rapports, nous avons transmis les recherches du Dr Patrick Whelan, qui a compris le danger de la protéine spike avant tout le monde. Voici un bref résumé de son analyse tirée d’une lettre qu’il a soumise à la FDA le 8 décembre 2020 :

    « Je suis préoccupé par la possibilité que les nouveaux vaccins visant à créer une immunité contre la protéine spike du SRAS-CoV-2 aient le potentiel de causer des lésions microvasculaires au cerveau, au cœur, au foie et aux reins d’une manière qui ne semble pas actuellement être évaluée dans les essais de sécurité de ces médicaments potentiels.

    … Meinhardt et al… montrent que la protéine spike dans les cellules endothéliales du cerveau est associée à la formation de microthrombi (caillots)… En d’autres termes, les protéines virales semblent causer des dommages aux tissus sans que le virus ne se réplique activement… Le vaccin Pfizer/BioNTech (BNT162b2) est composé d’un ARNm qui produit une protéine spike complète ancrée dans la membrane. Les études sur la souris suggèrent qu’une forme non tronquée de la protéine S1 comme celle-ci peut provoquer une microvasculopathie dans les tissus qui expriment beaucoup le récepteur ACE2.

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  11. … il semble que la protéine virale spike… soit également l’un des principaux agents responsables des dommages causés aux organes distants qui peuvent inclure le cerveau, le cœur, les poumons et les reins. Avant que l’un de ces vaccins ne soit approuvé pour une utilisation généralisée chez l’homme, il est important d’évaluer chez les sujets vaccinés les effets de la vaccination sur le cœur… Aussi important qu’il soit d’arrêter rapidement la propagation du virus en immunisant la population, il serait bien pire que des centaines de millions de personnes subissent des dommages durables, voire permanents, à la microvasculature de leur cerveau ou de leur cœur, parce qu’on n’a pas su apprécier à court terme un effet involontaire des vaccins à base de protéine spike sur ces autres organes »3.

    Dès le début, les régulateurs gouvernementaux et leurs alliés de l’establishment de la santé publique ont ignoré (ou censuré) les avertissements de médecins et de chercheurs compétents. Ils ont également ignoré le Dr Byram Bridle, immunologiste et vaccinologue de carrière, qui a été le premier de sa profession à identifier la protéine spike comme « un agent causal spécifique de la maladie », autrement dit « un agent pathogène ». Voici ce que dit Bridle :

    « Nous savons depuis longtemps que la protéine spike est pathogène… C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps si elle est en circulation. Maintenant, nous avons des preuves claires et nettes que… le vaccin lui-même, plus la protéine, passe dans la circulation sanguine.

    Une fois que cela se produit, la protéine spike peut se combiner avec les récepteurs des plaquettes sanguines et avec les cellules qui tapissent nos vaisseaux sanguins. C’est pourquoi, paradoxalement, elle peut provoquer à la fois la coagulation du sang et des saignements. Et bien sûr, le cœur est impliqué, en tant que partie du système cardiovasculaire… C’est pourquoi nous voyons des problèmes cardiaques. La protéine peut également traverser la barrière hémato-encéphalique et causer des dommages neurologiques…

    En bref, … nous avons fait une grosse erreur. Nous ne l’avions pas réalisé jusqu’à présent. Nous ne nous sommes pas rendu compte qu’en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine »4…

    Ici encore, nous avons un immunologiste très respecté, avec plus de trois décennies d’expérience à son actif, qui a offert ses recherches éclairées et fondées sur des preuves sur une question qui aurait dû être d’un grand intérêt pour les régulateurs qui prenaient des décisions sur la sécurité à long terme du médicament expérimental qu’ils imposaient à des millions de personnes à travers le pays. Mais il n’y a pas eu d’intérêt du tout. Malgré le fait que la science soutenait ses conclusions, Bridle a été vicieusement attaqué, censuré, traîné dans la boue et forcé de quitter son lieu de travail.

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  12. Pourquoi ?

    Parce qu’il a tiré les mêmes conclusions que le Dr Patrick Whelan. Il n’y a pas vraiment de différence de fond entre les deux, si ce n’est que les commentaires de Bridle ont attiré davantage l’attention des médias, ce qui a fait de lui une plus grande menace pour la stratégie de « vaccination universelle ». C’est là son véritable crime : il a découvert la vérité et mis ses conclusions à la disposition du public, l’avertissant ainsi des dangers de la « piqûre mortelle ». Pour cela, il a été écrasé.

    Depuis, Bridle a fait d’autres déclarations qui devraient inquiéter toute personne dont le cancer est en rémission. Voici ce qu’il a dit lors d’une récente interview :

    « Ce que j’ai vu beaucoup trop souvent, ce sont des personnes dont le cancer était en rémission ou bien contrôlé, et dont le cancer est devenu complètement incontrôlable après avoir reçu ce vaccin. Et nous savons que le vaccin provoque une baisse du nombre de lymphocytes T, et ces lymphocytes T font partie de notre système immunitaire et font partie des armes essentielles dont dispose notre système immunitaire pour combattre les cellules cancéreuses ; il y a donc là un mécanisme potentiel. Tout ce que je peux dire, c’est que trop de personnes m’ont contacté avec ces rapports pour que je me sente à l’aise. Je dirais qu’il s’agit là de ma plus récente préoccupation en matière de sécurité, et c’est aussi celle qui sera la moins signalée dans la base de données des effets indésirables, parce que si quelqu’un a eu un cancer avant le vaccin, les responsables de la santé publique ne feront jamais le lien avec le vaccin »5.

    Donc, le vaccin détruit le système immunitaire ?

    Oui, c’est le cas, et l’auteur Alex Berenson en a apporté la preuve tout récemment dans un article qu’il a publié sur Substack. En voici un extrait :

    « … le gouvernement britannique… a admis aujourd’hui, dans son dernier rapport de surveillance des vaccins, que :

    “Les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination”. (Page 23)

    Qu’est-ce que cela signifie ?…

    Ce que disent les Britanniques, c’est qu’ils découvrent maintenant que le vaccin interfère avec la capacité innée de votre corps, après l’infection, à produire des anticorps contre non seulement la protéine spike mais aussi d’autres parties du virus…

    Cela signifie que les personnes vaccinées seront beaucoup plus vulnérables aux mutations de la protéine spike MÊME APRÈS AVOIR ÉTÉ INFECTÉES ET AVOIR RECOUVRÉ UNE FOIS…

    … c’est probablement une preuve supplémentaire que les vaccins peuvent interférer avec le développement d’une immunité robuste à long terme après l’infection »6.

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  13. Les observations de Berenson concordent avec les recherches compilées plus tôt dans l’année par des scientifiques des Pays-Bas et d’Allemagne qui :

    « … avertissent que le … vaccin induit une reprogrammation complexe des réponses immunitaires innées qui devrait être prise en compte dans le développement et l’utilisation de vaccins à base d’ARNm… l’équipe de recherche du Radboud University Medical Center et de l’Erasmus MC aux Pays-Bas… a montré que le vaccin modifiait la production de cytokines inflammatoires par les cellules immunitaires innées après stimulation par des stimuli spécifiques (SRAS-CoV-2) et non spécifiques.

    Après la vaccination, les cellules de l’immunité innée présentaient une réponse réduite aux récepteurs TLR4 (toll-like receptor 4), TLR7 et TLR8 – tous des ligands qui jouent un rôle important dans la réponse immunitaire aux infections virales… un domaine encore inexploré est de savoir si la vaccination par BNT162b2 a des effets à long terme sur les réponses immunitaires innées …

    “Cela pourrait être très pertinent dans le cas du COVID-19, dans lequel une inflammation déréglée joue un rôle important dans la pathogenèse et la gravité de la maladie”, écrit l’équipe. “De multiples études ont montré que les réponses immunitaires innées à long terme peuvent être soit augmentées (immunité entraînée), soit régulées à la baisse (tolérance immunitaire innée) après certains vaccins ou infections »7.

    Les conclusions de Berenson s’alignent également sur des recherches de pointe montrant que la protéine spike « entrave considérablement l’immunité adaptative » en empêchant l’ADN de réparer les cellules endommagées. L’article suggère que la protéine spike a en fait « un impact sur le noyau de la cellule, où nous stockons notre ADN, notre matériel génétique de base ». Voici un extrait de l’analyse de l’article par Berenson :

    « …. nos cellules ont des mécanismes pour réparer leur propre ADN.

    Mais – du moins dans les expériences menées par ces deux scientifiques – la protéine spike semble interférer avec nos propres protéines de réparation de l’ADN : “D’un point de vue mécanique, nous avons découvert que la protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des lésions de l’ADN en empêchant le recrutement des protéines clés de réparation de l’ADN, BRCA1 et 53BP1, sur le site des lésions”.

    Pour être clair, les scientifiques n’ont PAS prouvé que la protéine spike causait ces problèmes chez l’homme, ni même chez l’animal… Néanmoins, à l’heure où les pays avancés qui ont des taux élevés de vaccination par ARNm (et ADN/AAV) voient des hôpitaux exceptionnellement pleins et des taux de mortalité supérieurs à la normale, ils constituent une cause supplémentaire d’inquiétude. Comme l’expliquent les auteurs :

    “Nos résultats révèlent un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et soulignent les effets secondaires potentiels des vaccins à base de spike” »8.

    Conclusion : Si le vaccin inhibe effectivement la réponse immunitaire innée de l’organisme, les gens seront beaucoup plus malades à cause des infections saisonnières qui se propagent régulièrement dans la population. Leur chemin vers la guérison sera également beaucoup plus difficile.

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  14. Mais plutôt que d’insister sur l’aspect immunitaire, passons aux recherches du Dr Charles Hoffe, qui a été le premier médecin à fournir des preuves tangibles que les vaccins provoquent la formation de caillots sanguins en déclenchant une réponse immunitaire dans laquelle l’organisme attaque la fine couche de cellules qui tapisse les parois des vaisseaux sanguins. Hoffe a constaté que 62% de ses patients vaccinés présentaient des caillots sanguins lors du test de D-dimères. Naturellement, il a été alarmé par ce qu’il a découvert, d’autant plus que le vaccin « provoquait de graves troubles neurologiques, voire la mort ». Lorsqu’il a fait part de ses inquiétudes au BC College of Physicians, celui-ci a immédiatement imposé un bâillon et l’a réprimandé dans le but de l’intimider et de le réduire au silence.

    Hoffe a été interviewé à plusieurs reprises et fournit toujours un compte rendu détaillé et passionnant de ses découvertes. Lors d’une récente interview, il a prédit que certains vaccinés souffrant de problèmes de coagulation mourraient probablement en trois ans seulement. Voici ce qu’il a dit :

    « … une fois que vous bloquez un nombre important de vaisseaux sanguins vers vos poumons, votre cœur doit pomper à une résistance beaucoup plus grande pour faire passer le sang dans vos poumons. Cela provoque une condition appelée hypertension artérielle pulmonaire, qui est une pression sanguine élevée dans vos poumons parce que de nombreux vaisseaux sanguins dans vos poumons sont bloqués. Ce qui est terrifiant, c’est que les personnes souffrant d’hypertension artérielle pulmonaire meurent généralement d’une insuffisance cardiaque droite au bout de trois ans… Et non seulement les perspectives à long terme sont très sombres, mais à chaque injection successive, les dommages s’ajoutent, s’ajoutent et s’ajoutent. Ce sera cumulatif parce que les capillaires seront de plus en plus endommagés »9.

    Une fois de plus, il n’y a aucune divergence entre les analyses de Whelan, Bridle et Hoffe. Et si l’objet de leur attention peut varier légèrement, leurs conclusions sont les mêmes. Ces injections expérimentales présentent des risques sérieux pour quiconque se laisse inoculer.

    Maintenant, regardez à quel point l’analyse d’Hoffe est similaire à celle du Dr Rochagne Kilian, qui était médecin aux urgences de l’hôpital GBHS jusqu’à ce qu’elle démissionne en signe de protestation. Cette vidéo est particulièrement importante, car elle décrit les symptômes « bizarres » et les affections extrêmement rares qui se présentent maintenant dans les salles d’urgence du monde entier à la suite de la vaccination massive de millions de personnes avec le « vaccin mortel ». (J’ai transcrit la vidéo moi-même, il peut donc y avoir des erreurs).

    Dr Rochagné Kilian – Alerte sur les vaccins contre le Covid-19 et les niveaux de D-Dimères

    Ce que j’ai vu dans mon service d’urgence, surtout au cours des 8 à 9 derniers mois, est lié aux taux de D-Dimères. Nous utilisons les D-Dimères spécifiquement liés aux embolies pulmonaires ainsi qu’aux thromboses veineuses profondes. Les D-Dimères détectent toute thrombose (caillots) dans le corps, mais ils ne donnent pas de diagnostic. Ils vous donnent une base pour aller plus loin et faire une échographie et un scanner pour confirmer ou infirmer la présence d’une embolie pulmonaire ou d’une thrombose veineuse profonde.

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  15. La première partie de l’année 2020 a probablement été la plus lente jamais enregistrée dans le service des urgences, mais lorsque nous sommes entrés dans l’année 2021 et que le déploiement de la vaccination a commencé, nous avons constaté une augmentation du nombre d’accidents vasculaires cérébraux, d’accidents ischémiques transitoires et de cas similaires. (Il y avait) certainement un nombre beaucoup plus important de ces personnes qui arrivaient. J’ai fini par faire des tests de D-dimères sur ces personnes et jamais auparavant, dans mon expérience clinique, je n’avais vu des D-dimères et un nombre de personnes avec des D-dimères positifs supérieur à 2000, supérieur à 3000 et supérieur à 5000. Mon expérience clinique me disait qu’il fallait rechercher un gros caillot dans les jambes ou les poumons. Et j’ai fini par faire un scanner sur ces personnes. La plupart d’entre eux, et je dirais même presque tous, ont eu des scans négatifs, ce qui m’a fait penser que s’il n’y avait pas de caillot important dans leurs poumons, le taux de D-dimères était tellement plus élevé que ce que je voyais habituellement qu’il se pouvait que le caillot ne soit pas concentré en un seul mais qu’il s’agisse de multiples micro-caillots répartis dans tout le corps, et il est si facile de passer à côté parce que le scanner ne va pas le détecter.

    Les personnes qui sont venues aux urgences étaient toutes des personnes qui avaient reçu leur deuxième injection entre une semaine et quatre mois plus tard. Certains facteurs peuvent influencer le test des D-dimères et vous donner l’impression que le taux est plus élevé que ce qui est attendu dans l’organisme. Cela dit, les patients sur lesquels j’ai effectué des tests de D-Dimères n’avaient pas un niveau positif de 500 ou 400. C’était plus de 3500, plus de 5000 ng/ml. Ce sont donc des résultats significativement positifs sans aucune preuve de la présence d’une embolie pulmonaire. Si je voyais des taux élevés de D-dimères sans diagnostic précis, je devais poser plus de questions.

    Une étude a dit de ne jamais ignorer des taux de D-dimères extrêmement élevés. Ils sont spécifiques d’une maladie grave, notamment une thrombose veineuse, une septicémie et/ou un cancer. Même si un taux de D-dimères très élevé est un résultat apparemment solitaire, il faut maintenir la suspicion clinique d’une maladie sous-jacente grave.

    Deux conditions se sont distinguées, la première étant la coagulation intravasculaire disséminée, également connue sous le nom de CIVD. La seconde est le syndrome des antiphospholipides. Ces deux pathologies sont liées à une anomalie dans l’initiation ou la rétroaction de la voie de la coagulation, ainsi qu’à la thrombose ou au cycle de la thrombose où les caillots sont décomposés. La CIVD est une situation grave, parfois mortelle, dans laquelle les protéines du sang impliquées dans la coagulation deviennent hyperactives. Il s’agit d’une cascade qu’il est difficile d’arrêter une fois qu’elle a atteint un certain niveau. Certaines conditions déclenchent la CIVD : une septicémie importante, des virus sous-jacents, un traumatisme, une chirurgie majeure, une grossesse et un accouchement. Et des causes moins courantes : réaction à un médicament toxique, réaction à une transfusion sanguine et transplantation d’organes. Il y avait donc un lien entre les produits intravasculaires et une possible CIVD.

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  16. La plupart des cas de CIVD sont diagnostiqués rapidement et soudainement, ce qui correspond à la présentation aiguë. Mais il y a des cas où elle se développe progressivement, sur une plus longue période de temps. C’est ce qu’on appelle une forme chronique de CIVD et je dirais même une forme subaiguë de CIVD qui est très facile à manquer. La CIVD chronique peut entraîner une coagulation et une hémorragie simultanées. Les saignements se manifestent par la présence de sang dans les urines, des maux de tête et d’autres symptômes associés aux hémorragies cérébrales, des ecchymoses, une inflammation des rougeurs, des petits points sur les membres, des saignements au niveau des plaies et des saignements des muqueuses, c’est-à-dire des saignements des gencives et du nez. J’ai certainement constaté une augmentation des saignements de nez et des saignements aux sites de blessures antérieures, ulcères, ainsi que des éruptions cutanées inexplicables. Les symptômes et les signes de coagulation du sang étaient des symptômes comme des douleurs thoraciques, des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des AIT et des maux de tête liés ou non à des saignements. Ainsi que des symptômes liés à l’insuffisance rénale, en raison de la coagulation des petits vaisseaux sanguins qui vont aux reins. Le syndrome des antiphosphlipides est un type d’affection très similaire. Mais la base du syndrome des antiphosphlipides est un trouble auto-immun, ce qui signifie que le système immunitaire de l’organisme fabrique des protéines – appelées anticorps – qui attaquent par erreur son propre corps ou ses propres tissus. Cela donne à la peau l’effet en cascade du trouble de la coagulation, mais il est lié à un déclencheur auto-immun. En fait, il se présentait exactement de la même manière : hypertension artérielle, dont je voyais beaucoup de cas ; premier diagnostic d’hypertension artérielle, crises cardiaques, accidents vasculaires cérébraux, accidents cérébrovasculaires transitoires, problèmes de valves cardiaques, maux de tête ou migraines répétés, perte de vision, problèmes d’équilibre et de mobilité, difficultés à se concentrer ou à penser clairement.

    L’auditeur avisé commencerait à se faire une idée de ce qu’on nous a dit sur le Covid-19, et il existe des articles de recherche reliant le Covid-19 à une maladie vasculaire sous-jacente. L’un d’entre eux est une étude intitulée « Covid 19 ; dévoiler la progression clinique de l’arme biologique quasi parfaite de la nature ».

    Le SRAS-Cov-2, se présentant comme le syndrome du Covid-19, n’était pas une base respiratoire, mais une base vasculaire sous-jacente. qui avait certaines phases d’incubation, la phase pulmonaire, la phase pro inflammatoire, (qui encore une fois entre dans un processus d’inflammation cytotoxique) puis se déplace dans une phase protothrombotique. La Covid-19 est une maladie thrombotique avec des implications pour la prévention, la thérapie antithrombotique et le suivi…

    Cette image nous montre certains facteurs de risque, des anomalies homéostatiques, ainsi que des résultats cliniques. Elle indique une augmentation du taux de D-dimères. Elle mentionne également la thromboembolie veineuse, l’infarctus du myocarde et la coagulation intravasculaire disséminée qui est liée à des mécanismes postulés de coagulopathie ainsi qu’à la parthénogenèse de la thrombose dans le Covid-19…

    J’ai commencé à poser la question suivante : si nous sommes capables de détecter certaines connexions entre les anomalies vasculaires et le Covid-19, et que nous avons basé le traitement proposé sur la protéine spike, les injections de Pfizer et Moderna, ne devrions-nous pas rechercher des effets secondaires ou des complications similaires à partir de cette même injection ?

    Si nous imposons certains traitements, nous devons faire preuve de diligence raisonnable pour nous assurer des effets secondaires et des complications, surtout à une époque où il n’y a pas eu d’études à long terme. Et c’est ce qui m’a amené à me concentrer sur les D-dimères »10.

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  17. La déclaration de Kilian doit être lue et relue. C’est la description la plus détaillée que nous ayons des machinations mystérieuses et profondément sinistres d’une arme biologique fabriquée en laboratoire qui, en fait, retourne les systèmes vasculaire et immunitaire contre la personne qui a été vaccinée. La coagulation intravasculaire disséminée et le syndrome des antiphosphlipides sont des noms qui sont totalement inconnus des Américains, et pourtant, ces conditions étranges sont maintenant responsables d’un nombre croissant de patients qui souffrent de saignements, de coagulation, de maux de tête, d’éruptions cutanées, d’hématomes, d’hypertension et d’inflammation. Et, dans les cas les plus extrêmes, des douleurs thoraciques, des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des problèmes de valvules cardiaques et des hémorragies cérébrales. On ne peut que deviner comment les médias vont tenter de dissimuler ces affections extraordinairement rares et potentiellement mortelles ?

    Quand Kilian demande :

    « Si nous sommes capables de détecter certains liens entre les anomalies vasculaires et le Covid-19… ne devrions-nous pas rechercher des effets secondaires ou des complications similaires de cette même injection ? »

    Bingo ! Si la protéine spike produite par les vaccins inflige les mêmes dommages internes que le Covid-19, les médecins ne devraient-ils pas s’attendre à voir les mêmes symptômes ?

    Oui, ils devraient. Et si les symptômes sont les mêmes, alors il y a de fortes chances que les blessures dues au vaccin soient diagnostiquées à tort comme étant le Covid-19.

    Pensez-y une minute. Ce serait le scénario parfait pour les gestionnaires de la pandémie et leurs bailleurs de fonds milliardaires qui aimeraient voir la montagne de carnage imminente imputée au virus en déclin plutôt qu’à leur vaccin mortel.

    Et c’est là tout le génie maléfique de la stratégie mondialiste : effacer les empreintes digitales de l’arme du crime avant même que les enquêteurs n’arrivent sur la scène du crime.

    La planification de cette escroquerie est tout simplement époustouflante.

    source : https://www.unz.com
    traduit par Réseau International

    « L’alarme grandit alors que les morgues se remplissent de milliers de décès supplémentaires non liés au Covid », UK Telegraph
    « Le médecin sud-africain Dr. Shankara Chetty parle de “The Bigger Plan” », Bitchute
    « La FDA fait fi d’un terrible avertissement concernant la protéine spike mortelle », La vérité à l’ère du covid
    « Expert des vaccins : “Nous avons fait une grosse erreur” », Conservative Woman
    « Le Dr Byram Bridle parle », Bitchute, 0:55
    « URGENT : Les vaccins anti-covid vous empêcheront d’acquérir une immunité complète MÊME SI VOUS ÊTES INFECTÉ ET RÉTABLI », Alex Berenson, Substack
    « La recherche suggère que le vaccin Pfizer-BioNTech contre le Covid-19 reprogramme les réponses immunitaires innées », new-medical-net
    « URGENT : Article inquiétant sur l’impact de la protéine spike sur l’ADN et sa réparation », Alex Berenson, Substack
    « Choc : Un médecin prévient que la majorité des patients vaccinés pourraient avoir des dommages permanents au cœur, certains pourraient mourir dans les trois ans », Infowars ; minute 6:10
    « Dr Rochagné Kilian – Alerte sur les vaccins contre Covid-19 et les niveaux de D-Dimères », Bitchute

    https://reseauinternational.net/injection-letale-un-medecin-urgentiste-de-premier-plan-fait-le-recit-glacant-dune-maladie-inhabituelle-provoquee-par-le-vaccin/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=injection-letale-un-medecin-urgentiste-de-premier-plan-fait-le-recit-glacant-dune-maladie-inhabituelle-provoquee-par-le-vaccin

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  18. Comprendre qu’il n’y a jamais eu de « crise covid » autre qu’artificiellement créée


    par Nicole Delépine
    28/11/2021


    Pierre de Décoder l’Eco a publié un document fondamental pour comprendre qu’il n’y a jamais eu de « crise covid », comme indiqué par Marc Girard dans plusieurs articles. Le délire se reprend avec intensité (variant OMICRON), avec la dévaccination des vaccinés 2 doses dans les prochaines semaines (désactivation du pass sanitaire selon 2 échéances), avec la menace de vaccination des 5 – 11 ans, avec les émeutes dans certains Dom-Tom, l’obligation de tests (avec autotests) pour les enfants de sixième (qui va évidemment se transformer en pass vaccinal pour aller à l’école dès que la vaccination des moins de 12 ans sera autorisée par l’UE)… etc..

    La vidéo dure 8 minutes, elle fût publiée le 23 novembre et détaille les informations chiffrées les plus significatives du récent rapport de l’Agence Technique de l’Information sur l’Hospitalisation (ATIH) consacré à la Covid-19. Ce rapport officiel indique que le Covid n’a représenté que 2% de l’activité hospitalière sur l’année 2020 et que l’hôpital a fonctionné en sous-régime. Pierre utilise également les données fournies par un autre rapport de l’ATIH détaillant l’activité hospitalière totale pour montrer que l’hôpital n’a jamais été débordé à cause d’un petit coronavirus.

    À la différence de Géodes de Santé Publique France sur lequel s’est basé le décompte des morts du covid du croque-mort Jérôme Salomon, l’ATIH ne reprend que les patients dont le motif d’hospitalisation est spécifique à la Covid-19. L’analyse de Pierre permet de chiffrer les conséquences des mesures prises par le gouvernement conseillé par le Conseil Scientifique (déprogrammation de soins, confinements, non-prise en charge des patients en urgence, etc.) :

    une activité hospitalière en baisse de 10% sur l’année 2020 incluant une baisse de 50% pour le mois d’avril 2020 (celui du 1er confinement, montrant un pic de mortalité) avec un taux de prise en charge Covid sur ce mois qui présente un maximum de 7,6% des admissions, taux inclus dans un taux de prise en charge total qui chute de moitié par rapport aux années précédentes. Que sont devenue les personnes qui auraient statistiquement dues être prises en charge pour les pathologies habituelles sur cette période ?

    La vidéo a été publiée à la fois sur YouTube et Odysee (Odysee échappe à la censure).

    L’activité hospitalière en 2020 : la vraie version (Pierre Chaillot de Décoder l’Eco – 23/11/21 – 8 minutes 25) :

    - voir clips sur site -

    Version texte (via France Soir) :

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/lactivite-hospitaliere-en-2020-la-vraie-version

    L’agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH) a sorti un rapport d’analyse sur l’impact de la Covid-19 sur les hospitalisations durant l’année 2020. Ce rapport a notamment révélé que durant l’année 2020, les hospitalisations pour cause de Covid-19 n’ont finalement représenté que 2 % de l’activité hospitalière sur l’année. La lumière a été faite sur ce rapport lorsque Martin Blachier l’a évoqué sur LCP, émission Ça vous regarde du 09 novembre 2021. La presse s’est bien évidemment empressée d’enterrer les résultats de ce rapport pour éteindre cet incendie qui menaçait de brûler l’histoire officielle.

    Ce rapport a été enterré un peu vite et, surtout, l’autre rapport concernant l’activité totale des hospitalisations en 2020 a été passé sous silence. Nous allons voir que, non seulement l’activité Covid-19 à l’hôpital est très loin d’avoir ressemblé à l’image que les médias ont voulu véhiculer, mais qu’en plus, l’hôpital français n’a jamais été autant sous-utilisé qu’en 2020.

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  19. L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible sur l’année
    La première révélation de l’étude de l’ATIH est le nombre d’hospitalisations pour cause Covid-19 en 2020. Sur l’ensemble de l’année, 217 974 patients ont été hospitalisés pour cette cause (Figure 1).

    - voir graphique sur site -

    Ce nombre est étonnamment assez éloigné de ce que l’on peut trouver sur Géodes, le portail des statistiques du ministère de la Santé, sur lequel on trouve 277 821 en 2020 (Figure 2). Il semble manquer 60 000 hospitalisations dans le rapport de l’ATIH, soit 20 % du total. Cependant, à la page 20 du rapport, dans la partie Sources et Méthodes, on peut lire « La population d’étude est constituée des patients hospitalisés en 2020 pour une prise en charge de la COVID-19. […] Les hospitalisations de patients testés positifs à la COVID-19 mais asymptomatiques 16 ou dont le motif de recours à l’hospitalisation de court séjour n’était pas la COVID-19 ne sont pas intégrées au champ d’analyse. » Ainsi, l’ATIH, contrairement au ministère de la Santé, ne compte pas comme « Covid-19 » les patients hospitalisés pour une jambe cassée, mais déclarés malades a posteriori de la Covid-19. Il est intéressant de savoir que ces patients représentent 20 % des statistiques officielles, soit un patient sur cinq.

    - voir graphique sur site -

    Au bilan, ces hospitalisations Covid-19 représentent 2 % de l’activité hospitalière sur l’année (Figure 3). Une activité assez insignifiante au regard de ce que gère l’hôpital avec ses 11 millions d’hospitalisations annuelles.

    - voir graphique sur site -

    Les seules statistiques qui augmentent sont les durées d’hospitalisations et les nombres de décès des patients Covid par rapport aux autres patients.

    - voir graphique sur site -

    Cependant, comme nous l’avons vu, les personnes hospitalisées pour Covid-19 sont les personnes âgées (Figure 4). Il paraît donc normal (voire rassurant) d’avoir plus de décès pour les hospitalisations Covid-19 de patients de plus de 80 ans, que pour les ruptures des ligaments croisés après un match de football de patients de moins de 40 ans.

    - voir graphique sur site -

    À ce stade, il convient de rappeler que chaque année, plus de la moitié des décès français (donc plus de 300 000) ont lieu à l’hôpital (Figure 5). L’hôpital est le principal lieu de décès des Français, et c’est le signe qu’ils sont pris en charge, pas que l’hôpital est un lieu dangereux.

    - voir graphique sur site -

    Concernant la durée des hospitalisations et la part des décès (Figure 6), nous avons montré à de nombreuses reprises que les patients Covid-19 n’ont pas eu de soins précoces de la part de leur médecin (puisque c’était déconseillé, voire interdit). Ils sont arrivés à l’hôpital dans un état fortement dégradé et il est normal qu’ils y soient restés plus longtemps et soient plus souvent décédés que pour une grippe prise en charge précocement. Cela ne prouve pas la dangerosité de la maladie, mais celle de l’interdiction de soin.

    - voir graphique sur site -

    En plus de montrer que la Covid-19 a finalement peu pesé sur l’activité hospitalière sur l’année, il convient de rappeler que l’activité hospitalière n’a jamais été aussi faible que pendant cette année 2020. Toutes les déprogrammations ou les évictions de patients du fait de la politique de non prise en charge ont eu un effet déplorable sur l’organisation du soin. Cette non prise en charge est mesurée dans l’autre rapport de l’ATIH sur les hospitalisations totales.

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  20. Sur l’année, l’hôpital a accueilli 1,3 million de patients en moins, représentant 2,2 millions de séjours en moins. Cela représente un recul de plus de 10 % à chaque fois, et autant de personnes qui n’ont pas été prises en charge et soignées.

    - voir graphique sur site -

    La presse s’est évidemment fait l’avocat du gouvernement en nous expliquant que ces chiffres annuels de faible activité totale ou Covid ne représentent pas les pics énormes qui ont eu lieu pendant les vagues. Heureusement, l’ATIH nous permet de vérifier tout cela.

    L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible pendant les vagues
    Les fiches synthétiques de l’ATIH nous permettent de mesurer l’activité hospitalière mois par mois et de la comparer à l’activité liée à la Covid-19. Le nombre de séjours liés à la Covid-19 représente donc 1,3 % des séjours sur l’année, mais selon les mois cette part a pu varier entre 0 et 7,5 % (Figure 8).

    - voir graphique sur site -

    Ainsi, au plus fort de l’activité Covid, cette dernière n’a représenté que 7,5 % de l’activité hospitalière en avril 2020. C’est déjà peu, mais encore à nuancer. En effet, les mesures de confinement et d’annulation de tout le reste de l’activité ont drastiquement diminué l’activité hospitalière à cette période.

    L’activité hospitalière d’avril 2020 est 50 % inférieure à l’activité normale de cette période, comme en témoignent les courbes de 2018 et 2019 (Figure 9). Ainsi, 7,5 % de Covid dans un contexte où l’hôpital ne fonctionne qu’à mi-régime, signifie que l’activité Covid n’a représenté au maximum que 3,7 % d’une activité normale.

    - voir graphique sur site -

    Il n’y a donc jamais eu d’impact de la Covid pour faire déborder l’hôpital. Non seulement à aucun moment l’hôpital n’a débordé, mais il a fonctionné en sous-régime toute l’année, et l’impact de la Covid est insignifiant quel que soit le moment.

    L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible partout
    Les fiches synthétiques de l’ATIH nous permettent de mesurer l’activité région par région pour savoir si finalement la crise hospitalière a eu lieu quelque part, puisque au niveau de la France, elle n’a eu lieu à aucun moment.

    On observe alors que la région ayant la part d’hospitalisations Covid la plus forte est l’Île-de-France, avec 2,2 % d’hospitalisations Covid (Figure 10). Ainsi, même au niveau régional, on est incapable de trouver un hôpital qui déborde à cause de la Covid-19.

    - voir graphique sur site -

    En revanche, on note une correspondance quasi-parfaite entre la part de Covid-19 déclarée et la sous-activité de l’hôpital. Plus l’hôpital a déclaré une part importante de Covid-19 et plus son activité a en fait baissé en 2020.

    On note également que cet ordre correspond parfaitement à l’affiliation au pouvoir des grands dirigeants des services de santé de ces territoires, avec en premier lieu les Parisiens bien évidemment.

    En conclusion, nous pouvons dire que nous avons montré dans de nombreux articles et vidéos que la mortalité sur l’année 2020 ne peut en aucun cas être attribuable à la seule Covid et est bien trop faible pour justifier la moindre mesure coercitive. Grâce à l’ATIH, nous savons dorénavant qu’il en est de même pour les hospitalisations. Le catastrophisme médiatique est toujours une mise en scène justifiant la répression.

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  21. Toutes ces statistiques proposées par l’ATIH ne font que nous confirmer que nous faisons face depuis deux ans à des choix idéologiques, politiques ou financiers de la part des décideurs, qui n’ont rien à voir avec la santé des Français.

    Auteur(s): Pierre Lecot, pour FranceSoir

    Gabriel Attal, à propos de ce rapport
    https://francais.rt.com/france/92634-attal-reconnait-que-chiffre-2-patients-admis-hopital-cause-covid-juste

    Interrogé sur le plateau du talk-show On est en direct le 13 novembre, le porte-parole du gouvernement a reconnu que le chiffre portant à 2% le nombre de patients Covid admis à l’hôpital en 2020 était «juste» mais a voulu tempérer son interprétation.

    Invité de l’émission On est en direct (France 2) le 13 novembre, Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, s’est exprimé au sujet d’un rapport de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH) établissant à 2% le nombre de patients admis à l’hôpital pour cause de Covid-19.

    «Tout ça pour ça ? Pour si peu de gens !», s’est alors étonné l’animateur de l’émission Laurent Ruquier en référence aux restrictions sanitaires inédites prises durant l’année 2020. Si Gabriel Attal a en conséquence reconnu que «ce chiffre est juste», il a cependant tenu à tempérer les interprétations à en tirer. Selon lui, le rapport expliquerait également «qu’il y a eu une tension très forte à l’hôpital du fait du Covid».

    Gabriel Attal a estimé que les 2% des patients hospitalisés en 2020 pour prise en charge du Covid-19 représenteraient en réalité une moyenne de personnes «ayant franchi la porte de l’hôpital sur l’année». Il a souligné notamment l’apparition «de moments de saturation des hôpitaux sur trois mois, peut-être quatre mois sur les douze mois de l’année». «Ce chiffre ne donne pas le nombre de jours d’hospitalisation», a-t-il assuré, précisant que ces patients étaient selon lui «restés beaucoup plus longtemps».

    Fondée en 2000, l’ATIH est un établissement public à caractère administratif placé sous la tutelle des ministres chargés de la santé, des affaires sociales et de la sécurité sociale. Publié le 28 octobre 2021, son rapport sur l’activité hospitalière 2020 liée au Covid-19 a été beaucoup commenté, notamment par les opposants aux mesures restrictives, jugées disproportionnées.

    Mais du côté du gouvernement, la ligne directrice reste inchangée : répondant à la journaliste Léa Salamé, toujours sur le plateau d’On est en direct, sur la question d’un éventuel reconfinement, Gabriel Attal a ainsi fait savoir qu’il ne fallait «jamais rien exclure par principe». «Cette épidémie continue de surprendre le monde entier», a-t-il argumenté, assurant toutefois que pour le moment il n’était «absolument pas question d’un reconfinement dans notre pays, parce qu’on a ce taux de vaccination très élevé».

    Articles de Marc Girard les plus importants consacrés à la crise covid
    Été 2020 : https://www.rolandsimion.org/coronavirus-mortalite-epidemiologie-fake-intimidation/

    Novembre 2020 : https://www.rolandsimion.org/un-commentaire-sur-le-re-confinement/

    L’accélération du délire de ces derniers jours est une preuve supplémentaire que le but du gouvernement n’a AUCUN RAPPORT avec la santé publique.

    https://nouveau-monde.ca/comprendre-quil-ny-a-jamais-eu-de-crise-covid-autre-quartificiellement-creee/

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    1. Depuis 19 mois le terroriste appelé 'XYZ' n'a JAMAIS été isolé, reconnu et arrêté !!
      Donc: comme personne n'a pu le voir au microscope: IL N'EXISTE PAS
      Oui mais... oui mais les flacons d'administration létale eux on peut les voir ! Les voir (au microscope) et les analyser ! Et c'est LA qu'on été découvertes les nano-particules d'oxyde de graphène (poison mortel violent) et les spiques et l'aluminium et le mercure. Si après çà vous n'êtes pas mort(e) c'est que c'était un placebo.

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  22. Jamais l’expression «  Pure Evil  » ne m’a semblé le mieux représenter notre époque…


    par Isabelle D
    lundi 29 novembre 2021


    D’ici une vingtaine d’années, j’espère sincèrement que nous regarderons cette période comme nous le faisons actuellement avec la période nazie : avec une forme de regard naïf et innocent bordé de condescendance, avec dans l’esprit : «  Comment ont-ils pu  ?  », forme d’incompréhension banale.

    Étant Hp, surdouée ordinaire, je regarde le monde avec un sentiment étrange d'en être complètement alien. Je m’indigne fortement lorsque je ne comprends pas. Les injustices me donnent envie de vomir. Je surréagis parfois, parce que tout cela me semble si «  extraordinaire  ». J’ai parfois l’impression d’être dans un sitcom absurde, où l’on aurait enlevé les sous-titres, les rires et les claquements de mains.

    Je suis surdouée, donc je sais compter. Aujourd’hui, je vois des instituts de recherche qui font niaisement des copier-coller des abstracts des études Pfizer «  il n’y a pas de risque, le vaccin est totalement sécuritaire sur tel groupe, tel groupe …  ». Moi, si j’ouvre l’étude, et que je compte tous les morts et les effets secondaires graves, comme un gamin de maternel qui ferait une addition 2+2=4, je me retrouve, avec quelques variations en fonction des groupes, avec environ 2,5 fois plus d’effets secondaires graves sur les groupes vaccinés deux doses face au groupe placébo, et environ 40 % de plus de taux de mortalité  ! En fait, les chiffres alarmants sont là, dès le départ. Tout comme ce sujet de la Dépakine, oui alors on commence par dire (d’un air très dramatique) : «  Vous savez l’épilepsie est une maladie très grave !  », «  Et puis, on considère les risques comme étant très faibles, ce qui nous a conduits à ne pas alarmer la population.  ». Alors, oui, nous n’avons pas la même définition de faible. 0,7 % des cas en effets secondaires graves c’est faible. Mais face à 0,2 % dans le groupe placébo, c’est tout de même trois fois et demie plus élevé ! (en fait). 2+2=4, donc si tu vaccines toute la population, ça fait quand même près de 5 millions de personnes impactées gravement, pour qui la vie sera gravement détruite.

    En quoi la moralité voudrait-elle qu’on les sacrifie, pour sauver la même proportion de vieux, ou peut être moins, qui seraient morts d’un rhume l’année d’après (soyons aussi très abruptes dans nos propos)  ? Si l’on fait le calcul théorique simple de la perte d’espérance de vie, le vaccin infectant plutôt des personnes jeunes et en bonne santé, et le covid des personnes fragiles ou très âgées (l’âge médian de décès est à peu près équivalent à l’espère de vie d’un français moyen), eh bien nous perdons des années de nos vies.

    Comment se fait-il, que, malgré l’instruction généralisée, alors que tout le monde sait lire, écrire, et qu’on ait introduit la philosophie obligatoire au lycée, que nous assistions à une forme de rage débile généralisée  ? Pardonnez-moi le terme, mais je n’aurais jamais pensé dans ma vie de jeune occidentale, entendre de telles horreurs de la bouche de personnes soi-disant «  civilisées  » :

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  23. « Les non-vaccinés, ils devraient payer leurs soins !  »

    «  On devrait les laisser crever à l’hôpital  !  »

    « Il est mort du Covid en l’attrapant à l’hôpital, bien fait pour sa gueule !!!  ».

    Donc maintenant, la moralité de nos temps, c’est de dire qu’il faut laisser crever les non-vaccinés. Que les non-vaccinés sont la cause de tous nos problèmes.

    Ce ne serait pas d’autant abject, si en parallèle, des vies entières n’étaient pas détruites de manière brutale, et ce, dans l’irrespect général, parce que ces horreurs ne seraient point liées aux vaccins, mais à la vie elle-même... Qu’en parallèle à ces propos abjects, des milliers d’innocents scandent leurs difficultés pour obtenir réparations pour donner suite à des effets secondaires graves et des séquelles non réparables («  ils m’ont dit qu’ils couvriraient les frais si j’avais des problèmes, maintenant je suis obligé de refinancer ma maison  », «  Je n’attends maintenant qu’une chose, la mort de ma femme  », et j’en passe) pour des maladies neurologiques graves, avcs, thromboses, troubles veineux, que l’on peut déjà sciemment attribuer au vaccin. Ça donne forcément envie de riposter de la manière la plus basse qui soit.

    «  A bah tiens, cette jeune de 16 qui a fait un avc et une thrombose, bien fait pour sa gueule ! Elle avait qu’à pas se faire vacciner  !  ».

    «  On devrait laisser crever les doubles doses à l’hôpital  !  ».

    «  Les vaccinés qui croient qu’ils ne transmettent pas le virus et qui ne portent jamais le masque en soirée alors que le taux d’efficacité de transmission tombe à 16 % après 5/6 mois, ils devraient être internés pour pas tuer ma mamie  !  »

    Ah oui ! Une telle horreur en premier lieu invite à penser et à dire l’horreur.

    Heureusement je suis surdouée et je vois bien que ceci n’est que stratégie de merde politique. Quand je vois Naftali Bennet, premier ministre israélien, qui dit « Je veux que les parents se battent entre eux »(!) … «  pour faire pression sur les parents qui n’ont pas vacciné leurs enfants  », que les express et les figaro traitent de complotistes antivax tous les arguments mettant en avant le risque pour nos bambins, notre avenir, alors que les mamans qui disent «  ma mère a fait une thrombose après le vaccin, je ne veux pas que ma fille de 12 ans vive ça  », mettent cette phrase masquée dans le contenu réservé aux abonnées, je me dis vraiment : «  PURE EVIL  ».

    Alors, lasse de cette sitcom étrange et brutale -certainement interdite aux moins de 16 ans-, je continue à voir les politiques, inlassables, soutenant abruptement leur politique de la dose à vie, en toute connaissance de cause, me renvoyant ainsi à l’image de ce bulldozer israélien passé sur cette activiste américaine, Rachel Corrie. Passant, et repassant sur son corps fragile, agrandissant la mare de sang sous les gravats, tout cela sans pour autant arrêter le moteur, entendant les cris et les hurlements de douleurs sous le craquement des os, puis dire « je ne l’avais pas vu  », petit sourire en coin… Le pire dans tout cela c’est de se demander si la société entière est complètement stupide ou que tout ceci n’est que «  pure evil  ».

    Je dirais qu'il n'y a point de tyrannie pire que la tyrannie au nom du bien. Mais quand celle-ci, ou du moins sa stratégie actuelle, ne sert même pas un bien commun, comment pourrait-on appeler cette tyrannie  ?

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  24. Nous ne sommes même plus dans cette tyrannie qui nous borde, tel ce roman d’Aldous Huxley, d’un meilleur des mondes où les gens font le choix de cette tyrannie pour une vie bordée de sécurité, puisque la finalité réelle et objective ne nous promet même pas de nous protéger de la mort (ou alors que de manière très partielle). Serions-nous donc dans cette tyrannie plus orwellienne où le pouvoir pour le pouvoir n’a plus depuis longtemps la finalité de notre bien commun, mais celle d’avoir toujours raison  ? Celle de ne plus pouvoir être contredite, car ce pouvoir construirait la seule et unique vérité, passée, présente et future : celle qui lui fait garder le pouvoir, aujourd’hui et à jamais…

    Il est ainsi compliqué, spécialement quand on est surdoué, de se dire que c’est juste la population entière et mondiale qui n’a pas atteint la maturité psychologique, ou qui n’est pas capable de lire une étude au-delà de l’abstract et de titrer des conclusions simples (que 3 fois plus d’effets secondaires que dans le groupe placébo n’est pas faible objectivement, par exemple, ou que la formule de l’immunité collective développée par pasteur n’a jamais fonctionné dans les faits), il est donc plus simple peut-être de se dire que tout ceci ne peut être que l’œuvre du diable. Et que tout ceci n’est que «  pure evil  ».

    Cela peut permettre de laisser encore planer le doute, d’essayer de conserver une forme de tolérance envers cette espèce qu’est l’humanité, en lui enlevant la responsabilité qu’elle élit peut-être l’incarnation de ses propres maux…

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/jamais-l-expression-pure-evil-ne-m-237514

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    1. Vous avez vu Biden qui n'obtient même pas 10 % des voix et est président ?! Vous avez vu un virus (poussière inoffensive) qui tuerait !!! et des expérimentations géniques d'essais (criminellement appelées 'vaccins') qui sont des injections létales et, le 28 Novembre, l'escroquerie sur le référendum en Suisse où 99,99 % ont voté 'NON' et se retrouvent quantifiés à 30 % !!!
      La corruption tue la Suisse. Bruxelles dirige la Suisse. AUCUN ou AUCUNE ex chef d’État en Suisse n'a osé dire la vérité sur les preuves indiscutables apportées par les scientifiques du monde entier !
      Tous pourris !
      C'est la merde au pouvoir.

      Rappelez vous la Guerre en Irak. Des ondes ont été envoyé sur une maison où habitait un irakien. Le message silencieux était "Lève-toi et va acheter du Coca-cola !". L'homme est sorti de nuit de chez lui et est allé chercher du Coca-cola.
      Ce n'était pas la première fois que les américains faisaient usage de cette arme et bien d'autres nouvelles et/ou plus perfectionnées ont été essayés durant des manifestations où les opposants qui défilaient avaient la sensation de recevoir de violentes brûlures sur tout leur corps ! D'autres entendaient des bruits assourdissants tandis que d'autres se rangeaient aux côté des criminels casqués et armés.

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  25. Des données concrètes montrent que les vaccins Covid ne fonctionnent pas


    Par Vasko Kohlmayer
    30 novembre 2021


    Les derniers mois ont vu un débat houleux sur l'efficacité des vaccins actuellement administrés contre Covid-19.

    La question qui préoccupe beaucoup de gens est la suivante : ces produits pharmaceutiques fonctionnent-ils ?

    Les deux parties ont tendance à être assez convaincues de leur position, ce qui suscite beaucoup d'émotion au fur et à mesure que le débat se poursuit.

    La bonne nouvelle est qu'après presque un an de la vaste entreprise de vaccination, nous possédons maintenant suffisamment de données pour déterminer si les injections sont efficaces ou non.

    Comme on le sait, l'objectif de la vaccination est d'éliminer ou de réduire significativement l'incidence de la maladie ciblée. Si un vaccin fonctionne, alors dans une population hautement vaccinée, nous verrons soit l'élimination complète de la maladie, soit une diminution significative de son incidence.

    Puisqu'il n'est généralement pas possible d'atteindre un taux d'inoculation de 100 pour cent, la question est de savoir quel est le niveau de vaccination qui permettra soit de maîtriser la maladie, soit de l'éliminer complètement.

    Ce niveau est parfois appelé « immunité collective ». Des experts, notamment le Dr Anthony Fauci, nous ont dit à plusieurs reprises que le taux de vaccination de 60 à 70 % conférerait une immunité collective vis-à-vis de Covid 19.

    La position de Fauci était à peu près conforme à notre expérience avec de nombreuses autres maladies où de tels niveaux d'inoculation les ont soit éliminées, soit rendues endémiques, c'est-à-dire suffisamment limitées pour qu'elles ne constituent pas une menace épidémique à grande échelle pour la communauté.

    Quelque douze mois après le début de la campagne mondiale de vaccination, un certain nombre de pays ont maintenant des taux de vaccination compris entre 60 et 70 %. Certains pays et zones géographiques présentent également des taux de 80 % ou plus.

    Si l'on ne connaît pas le chiffre précis qui conférerait une immunité collective contre cette maladie, on peut être sûr d'une chose : si les vaccins sont efficaces, des taux de vaccination de plus de soixante pour cent devraient entraîner une réduction significative de son incidence.

    [REMARQUE : L'effet des vaccins est encore renforcé par l'immunité naturelle qui, selon certains experts, peut atteindre 50 % dans certaines populations. Près de deux ans après le début de la pandémie, les populations de nombreux endroits ont été largement exposées au virus et possèdent par conséquent des anticorps naturels. Par conséquent, inoculer, disons, 65% de la population avec un bon vaccin devrait entraîner une immunité globale supérieure à 80%. Avec ce type de niveaux d'immunité, nous devrions nous attendre, sinon à l'élimination de la maladie, alors certainement à une baisse considérable de son apparition.]

    Cependant, ce n'est pas du tout ce qui s'est passé dans la plupart des pays et régions fortement vaccinés. Ce qui s'est passé dans beaucoup d'entre eux, c'est tout le contraire. Suite au « succès » de leurs campagnes de vaccination, il y a eu des poussées dramatiques de Covid 19. Plus étonnant encore, plusieurs de ces pays ont enregistré un nombre record de cas juste après avoir atteint leurs chiffres de vaccination très élevés.

    Cette nouvelle peut choquer de nombreuses personnes, car le lien entre le nombre élevé de cas et l'explosion subséquente des cas a été pratiquement ignoré par les médias grand public.

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  26. Nous vous montrerons la réalité de la situation en présentant les données pertinentes de manière simple et lisible. Pour ce faire, nous juxtaposons des graphiques qui décrivent les taux de vaccination avec des graphiques qui montrent les taux de cas dans les pays où le taux de vaccination est élevé.

    Aucune des deux parties au débat ne contesterait la validité des données présentées ci-dessous. Les données sont extraites de l'outil Google Coronavirus Statistics qui tire son matériel de sources officielles et de bases de données gouvernementales. Les données sont accessibles au public et largement accessibles. Si vous souhaitez vérifier ou reproduire les données utilisées dans cet article, vous pouvez le faire facilement en vous rendant sur google.com et en tapant « coronavirus » suivi du nom du pays dont vous souhaitez examiner les statistiques. Une fois les données du pays affichées, vous pouvez choisir dans le menu horizontal qui se trouve juste sous le terme « Statistiques » le graphique que vous souhaitez voir : « Nouveaux cas » ou « Vaccinations ».

    Gibraltar

    Le 17 novembre, Gibraltar a enregistré son plus grand nombre de nouveaux cas en plus de 10 mois. La montée subite est devenue une cause de grande inquiétude et a incité le gouvernement à annuler les festivités de Noël. La dernière fois que Gibraltar a eu autant de cas, c'était au plus fort de la vague hivernale à la mi-janvier 2021.

    - voir graphique sur site -

    (Données Gibraltar via le lien Google.com)

    L'aspect le plus surprenant de la vague actuelle est que Gibraltar est la région la plus vaccinée au monde avec plus de 99 % de sa population entièrement vaccinée. Plus étonnant encore, plus de 40 % des Gibraltariens ont déjà reçu leur rappel.

    Compte tenu de ce que les médias d'entreprise et les représentants du gouvernement nous ont dit sur les vaccins, vous auriez raison de penser qu'il s'agit d'une sorte de désinformation ou d'erreur. C'est, cependant, un fait indéniable qu'ici, en plein milieu de la vague actuelle de Gibraltar, 99 % de ses résidents sont entièrement vaxxés. C'est quelque chose que vous pouvez voir par vous-même dans le tableau ci-dessous.

    - voir graphique sur site -

    L'exemple de Gibraltar devrait être une leçon claire et un avertissement terrible pour les responsables de la santé et les politiciens du monde entier qui tentent de forcer leurs populations à se vacciner. Gibraltar montre clairement que même un taux de vaccination de 99 % suivi d'un rappel intense n'apprivoisera ni n'éliminera Covid 19 de la population. Bien au contraire, cela peut coïncider avec des pics presque records qui dépasseront probablement les sommets précédents, d'autant plus que dans les semaines à venir, le pays entrera dans la période hivernale.

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  27. Singapour

    Au 26 octobre, près de 83 % de la population de Singapour avait reçu ses injections de Covid. Cela signifie que plus de 8 Singapouriens sur 10 ont obtenu le statut complètement vacciné.

    - voir graphique sur site -

    (données de Singapour via le lien Google.com)

    Le taux de vaccination très élevé de Singapour, cependant, n'a rien fait pour diminuer la présence de la maladie dans le pays. L'exact opposé, en fait, s'est produit. Le 27 octobre 2021, Singapour a publié son nombre record de 5 324 nouveaux cas.

    - voir graphique sur site -

    Ce chiffre était près de 300 % supérieur au précédent record de 1 426 enregistré le 20 avril 2021. À cette époque, le taux de vaccination de Singapour n’était que de 15 %.

    - voir graphique sur site -

    Si le vaccin était même à distance efficace, une telle situation n'aurait jamais pu se produire. Il est tout simplement impossible qu'un pays où 83 pour cent de la population a reçu un vaccin efficace puisse connaître une telle augmentation record. Plutôt qu'une explosion de Covid, le taux de vaccination très élevé de Singapour aurait dû provoquer une immunité collective.

    Danemark

    Au 12 novembre, le taux de vaccination au Danemark s'élevait à plus de 75 pour cent.

    - voir graphique sur site -

    (Données du Danemark via le lien Google.com)

    Le même jour, le Danemark a enregistré 4 585 nouveaux cas de Covid 19, ce qui était le nouveau record de cas du pays. Le précédent record du Danemark était de 4 508 cas signalés en décembre 2020 au plus fort de la vague hivernale de l'année dernière.

    - voir graphique sur site -

    Au moment de l'ancien dossier de cas, le taux de vaccination au Danemark était de 0 pour cent.

    - voir graphique sur site -

    Le taux de vaccination très élevé du pays n'a non seulement pas éliminé la maladie, mais il a coïncidé avec un nombre record de cas. Si les vaccins injectés dans le corps des deux tiers des Danois étaient efficaces, une telle situation n'aurait jamais pu se produire.

    Irlande

    Le 16 novembre de cette année, l'Irlande affichait un taux de vaccination de plus de 75 %.

    - voir graphique sur site -

    (Données irlandaises via le lien Google.com)

    Ce jour-là, l'Irlande a enregistré 8 965 nouveaux cas de Covid-19. C'était un nouveau sommet pour la nation.

    - voir graphique sur site -

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  28. Le précédent record avait été enregistré le 8 janvier 2021. Le chiffre s'élevait alors à 8 227. À l'époque, le taux de vaccination en Irlande était de 0 %.

    - voir graphique sur site -

    La vaccination de 4,5 millions de personnes en Irlande – plus des deux tiers de la population – s'est accompagnée d'une explosion de cas et d'un nouveau cas record pour le pays.

    Islande

    Le 16 novembre 2021, le taux de vaccination du pays s'élevait à 76,4 %.

    - voir graphique sur site -

    (Données d'Islande via le lien Google.com)

    Le 15 novembre 2021, l'Islande affichait 420 nouveaux cas de Covid-19. Il s'agit d'un record qui a dépassé de 500 % le précédent record du pays lorsque le taux de vaccination du pays était de zéro.

    - voir graphique sur site -

    Îles Caïmans

    Au 12 novembre 2021, le taux de vaccination complète du pays s'élevait à 83,9% de la population totale.

    - voir graphique sur site -

    (Données des îles Caïmans via le lien Google.com)

    Le même jour, les îles Caïmans ont enregistré 953 nouveaux cas de Covid-19, un nouveau record pour le pays.

    - voir graphique sur site -

    Il a dépassé de plus de 300 % le record du pays de 258 cas par rapport au même jour de l'année précédente. A cette époque, le taux de vaccination était de zéro pour cent.

    Allemagne

    Le 17 novembre 2021, le taux de vaccination du pays était de 67,7 % de la population totale.

    - voir graphique sur site -

    (données allemandes via le lien Google.com)

    Ce jour-là, l'Allemagne a enregistré 68 366 nouveaux cas de Covid-19. Cela a établi un nouveau record. Il a dépassé de près de 50 % le précédent record de 45 333 cas de janvier 2021. Au moment du précédent record, le taux de vaccination en Allemagne était de 0%.

    - voir graphique sur site -

    L'Autriche

    Le 19 novembre 2021, le taux de vaccination complet du pays s'élevait à 65%.

    - voir graphique sur site -

    (données autrichiennes via le lien Google.com)

    Le même jour, l'Autriche a enregistré 15 809 nouveaux cas de Covid-19. C'était un nouveau sommet. Il a dépassé de plus de 50% le précédent record du pays de 9 586 cas du 13 novembre 2020. À cette époque, le taux de vaccination en Autriche était de zéro pour cent.

    - voir graphique sur site -

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  29. Vermont

    Le 10 novembre 2021, le taux de vaccination de l'État s'élevait à 71%.

    - voir graphique sur site -

    (Données du Vermont via le lien Google.com)

    Dans le même temps, l'État du Vermont a enregistré 611 nouveaux cas de Covid-19, un nouveau record. Il a dépassé de plus de 100% le précédent record du Vermont de 277 cas signalés le 2 janvier 2021. À cette époque, le taux de vaccination dans le Vermont était inférieur à 1%.

    - voir graphique sur site -

    Israël

    Le 13 septembre 2021, le taux de vaccination complet du pays s'élevait à plus de 60 %.

    - voir graphique sur site -

    (données d'Israël via le lien Google.com)

    Le même jour, Israël a enregistré 11 800 nouveaux cas de Covid-19. Il s'agissait d'un nouveau cas record pour le pays dans cette pandémie. À l'époque, Israël était un leader mondial dans l'administration des vaccins et se présentait comme un exemple pour le reste du monde. Pourtant, en même temps, le taux d'infection d'Israël était le plus élevé de la planète. La situation est devenue si grave que le taux d'infection d'Israël était de plus de 50 % supérieur à celui du deuxième pays classé dans cette mesure, la Mongolie. Quant à la question de l'efficacité du vaccin, il est assez révélateur qu'Israël soit le leader mondial de la vaccination ainsi que de l'infection.

    Le record d'Israël en septembre a dépassé de près de 50 % le précédent record du pays de 7 305 cas enregistré le 28 janvier 2021. Au moment du précédent record, le taux de vaccination en Israël était de 18,3 %.

    - voir graphique sur site -

    CONCLUSION

    Nous avons vu à maintes reprises un nombre record de cas dans des pays et des régions où les taux de vaccination sont élevés. Cela montre qu'un taux élevé de vaccination ne réduit pas l'incidence du Covid 19.

    Non seulement les vaccins ne réduisent pas l'incidence de cette maladie, mais ils ont tendance à être en corrélation avec son augmentation. Comme nous l'avons vu ci-dessus, un certain nombre de pays ont connu des poussées record juste après avoir atteint des taux de vaccination élevés.

    Les pays avec des taux de vaccination de 65 % ou plus ne devraient certainement pas être en pandémie ou subir des poussées. Pourtant, ils le font, car les infections « percées » chez les vaccinés sont désormais très courantes et fréquentes. Nous savons pertinemment que les vaccins n'empêchent pas les gens d'être infectés. Cela a été confirmé en août par la directrice du CDC, Rochelle Walensky, qui a ouvertement admis dans une interview à CNN que les vaccins pouvaient plus longtemps « empêcher la transmission ».

    Avec l'arrivée de l'hiver, il y a tout lieu d'être profondément préoccupé, car les taux de vaccination élevés et l'explosion des cas qui l'accompagne ont été pour la plupart atteints en été et au début de l'automne, lorsque le virus est faible. Alors que les pays de l'hémisphère nord entrent dans la saison hivernale et que le nombre de décès continue d'augmenter rapidement, nous semblons être au bord d'une période extrêmement difficile dans les mois à venir.

    Cette situation existe malgré le fait que de nombreux pays ont atteint des taux de vaccination proches de 70 %. Le taux moyen de vaccination complète en Europe, par exemple, s'élève actuellement à 65,5 % tandis que 69,9 % des Européens ont reçu au moins une injection.

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  30. L'absorption élevée de vaccins en Europe se situe bien dans la plage d'immunité collective spécifiée plus tôt cette année par le Dr Fauci et d'autres experts. Avec un tel taux de vaccination, la pandémie devrait être – sinon terminée – alors définitivement sous contrôle. Au lieu de cela, il est hors de contrôle.

    De nombreux pays européens, ainsi que des pays d'autres parties du globe, tirent la sonnette d'alarme et imposent une nouvelle vague de blocages.

    Si les vaccins étaient même à distance efficaces, cela n'aurait jamais pu se produire dans des territoires très vaxxés.

    Non seulement les vaccins n'ont pas tenu leurs promesses, mais les données indiquent que dans un certain nombre d'endroits, ils ont aggravé la situation en provoquant des poussées.

    Les données démontrent clairement que les vaccins n'ont pas l'effet qu'ils étaient censés avoir. Les chiffres et les graphiques ci-dessus fournissent des preuves tangibles de l'échec du vaccin.

    Pour les gouvernements, poursuivre des taux de vaccination élevés avec des vaccins manifestement inefficaces est malavisé et contre-productif. Il est également hautement irresponsable et dangereux en raison des effets secondaires importants et graves des vaccins.

    https://www.lewrockwell.com/2021/11/vasko-kohlmayer/hard-data-shows-the-covid-vaccines-dont-work/

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  31. Big Pharma traque les médecins dissidents


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    30 novembre 2021


    Le 4 novembre 2021, l'administration Biden a annoncé deux grandes politiques COVID jab visant les deux tiers des travailleurs américains.1 À l'époque, 70 % des adultes américains avaient soi-disant acquiescé à la nouvelle thérapie génique, mais cela ne suffisait pas.

    - voir clip sur site -

    En violation de la Constitution des États-Unis, Biden a chargé l'Administration de la sécurité et de la santé au travail (OSHA) de créer une règle selon laquelle tous les employeurs comptant 100 employés ou plus doivent avoir un personnel entièrement «vacciné» sous peine de lourdes amendes.

    Dans le même temps, les Centers for Medicare & Medicaid Services (CMS) du Department of Health and Human Services (DHHS) ont mis en place une exigence obligeant les agents de santé des établissements participant à Medicare et Medicaid à être entièrement « vaccinés » ou à perdre leur emplois.2

    La date limite pour ces deux politiques était le 4 janvier 2022. Comme prévu, l'OSHA n'a pas perdu de temps avant de suggérer que la politique pourrait également être étendue aux entreprises de moins de 100 employés.

    Un tribunal bloque définitivement la règle de « vaccination » de l'OSHA

    Heureusement, 10 jours plus tard, le 14 novembre 2021, une cour d'appel du cinquième circuit a définitivement empêché l'OSHA de mettre en œuvre et d'appliquer sa règle COVID jab, au motif que la norme temporaire d'urgence (ETS) dépassait la portée de l'autorité de l'OSHA et/ou était inconstitutionnel.

    Cependant, des contestations ont été déposées devant plusieurs tribunaux fédéraux, de sorte que la bataille juridique est loin d'être terminée.3 De plus, alors que l'OSHA s'est conformé à la décision du tribunal, suspendant son ETS et toutes les activités qui s'y rapportent, l'administration Biden encourage effrontément les employeurs de mettre en œuvre la règle suspendue néanmoins.4 C'est illégal au-delà de toute croyance, donc les employeurs seraient sages de réfléchir longuement et sérieusement avant de suivre de tels diktats.

    L'AMA soutient et encourage l'anarchie

    L'American Medical Association montre également ses vraies couleurs, se rangeant en fait du côté de la Maison Blanche sur cette question. Oui, l'AMA dit en fait aux employeurs d'aller de l'avant et de mettre en œuvre le mandat malgré l'injonction permanente du tribunal.5,6

    Essentiellement, l'administration Biden et l'AMA tablent sur l'annulation de la décision de la cinquième cour de circuit - et l'AMA est activement impliquée dans ce combat juridique7 - mais c'est un jeu risqué. Si la décision est confirmée, les entreprises qui ont licencié des employés qui ne voulaient pas se faire tirer dessus, alors même que l'ETS avait été suspendu, s'exposent à toutes sortes de poursuites judiciaires.

    Comment l'AMA est-elle passée d'une association vouée à la promotion de l'excellence, de l'intégrité et de l'éthique dans le domaine médical8 à la persécution et à « l'excommunication » des médecins qui respectent leur conscience, une saine pratique médicale et la loi en vigueur ?

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  32. L'AMA est allée jusqu'à enseigner aux médecins comment mentir à leurs patients et au public ! Dans son hiver 2021 « Guide AMA COVID-19 : Contexte/messages sur les vaccins, les essais cliniques sur les vaccins et la lutte contre la désinformation sur les vaccins »,9 l'AMA enseigne explicitement aux médecins comment tromper les patients et les médias lorsqu'on leur pose des questions difficiles sur COVID-19, les options de traitement et des clichés COVID.

    L'ensemble du guide vise à enseigner aux médecins comment favoriser la confiance dans la profession médicale en général, en ce qui concerne le traitement du COVID-19, mais en particulier en ce qui concerne les injections expérimentales de COVID. La question des dangers potentiels est complètement ignorée. On dit aux médecins de dire que les injections sont sûres et efficaces. Fin de la conversation.

    Depuis quand les experts médicaux ne doivent-ils pas réfléchir aux dangers potentiels d'un nouveau traitement expérimental jamais utilisé auparavant ? Exiger une foi aveugle à cet égard est sans précédent et inadmissible, mais c'est là où nous en sommes.

    L'AMA traque les médecins dissidents

    L'AMA traque maintenant les médecins qui pensent par eux-mêmes et agissent selon leur conscience et la loi, et travaille avec les commissions médicales locales pour les retirer de leur licence. (N'oubliez pas que les règles et les directives émises par des organisations telles que la Food and Drug Administration des États-Unis, les Centers for Disease Control and Prevention et l'OSHA ne sont pas des lois. Aucune de ces organisations n'a le pouvoir de créer une loi.)

    La vidéo ci-dessus présente une conférence de presse donnée par le Dr Mary Bowden, médecin spécialiste de l'oreille, du nez et de la gorge avec privilèges hospitaliers à Houston Methodist, qui a été suspendue après une série de publications sur Twitter dans lesquelles elle a déclaré que « les mandats de vaccination sont erronés », » L'ivermectine fonctionne » et « Compte tenu du climat actuel et de l'écriture sur le mur, je réoriente ma pratique vers le traitement des non vaccinés. »10

    Si quelqu'un a une maladie, il a une maladie. Quelle différence cela fait-il s'ils ont été vaccinés ? Vous allez les soigner. C'est comme si vous disiez que vous fumez, nous vous mettrons en dernière position pour traiter votre cancer du poumon. Ce n'est pas comme ça que ça se passe en médecine. ~ Dr Mary Bowden
    Selon Houston Methodist, elle a été suspendue dans l'attente d'une enquête sur son "comportement inapproprié" et son "langage inapproprié et irrespectueux". Dans une série de tweets, Houston Methodist a déclaré :11

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  33. "Dr. Mary Bowden, qui a récemment rejoint le personnel médical du Houston Methodist Hospital, utilise ses comptes de médias sociaux pour exprimer ses opinions personnelles et politiques sur le vaccin et les traitements COVID-19.

    Ces opinions, qui sont préjudiciables à la communauté, ne reflètent pas des preuves médicales fiables ni les valeurs de Houston Methodist, où nous avons traité plus de 25 000 patients hospitalisés COVID-19, et où tous nos employés et médecins sont vaccinés pour protéger nos patients…

    Le Dr Bowden, qui n'a jamais admis de patient à l'hôpital méthodiste de Houston, répand une dangereuse désinformation qui n'est pas fondée sur la science.

    « Ils essaient de faire de moi un exemple »

    Le 17 novembre 2021, Bowden a annoncé sa démission. Dans son communiqué de presse (voir vidéo), Bowden a expliqué que la raison pour laquelle elle n'a jamais admis de patients à Houston Methodist, où elle a eu des privilèges hospitaliers au cours des deux dernières années, était à cause de son traitement précoce agressif du COVID-19. Aucun de ses patients n'a eu besoin de soins à l'hôpital ou d'urgence.

    Bowden a déclaré qu'elle était surprise par la suspension de ses privilèges hospitaliers. "C'est étonnant pour moi, en tant que médecin, que je n'aie pas droit à mon avis médical", a-t-elle déclaré. Elle a également déclaré qu'elle "n'appréciait pas" la façon dont Houston Methodist avait choisi de gérer la situation, la diffamant publiquement au lieu d'avoir une conversation en face à face.

    "Ils auraient pu suspendre mes privilèges très discrètement", a-t-elle déclaré. "Au lieu de cela, ils l'ont présenté aux médias … je pense qu'ils essaient de faire de moi un exemple … de montrer aux gens … si vous osez contester le programme de vaccination, c'est ce qui vous arrive … Ils vous battent."

    À la suite des commentaires publics de Houston Methodist à son sujet, des trolls ont laissé de fausses critiques sur son site Web et l'ont harcelée de diverses manières. "Je n'ai pas l'impression d'avoir une couverture équitable de ma version de l'histoire", a-t-elle déclaré. Bowden a également défendu sa position auprès de KHOU11 News :12

    « Je n'ai jamais fermé mes portes. J'étais ouvert sept jours sur sept pendant la pandémie. J'ai testé plus de 80 000 personnes pour COVID. J'ai traité plus de 2 000 personnes pour COVID. J'ai essayé de garder une longueur d'avance sur COVID. J'ai essayé d'être proactif dans le traitement de mes patients.

    Je ne suis pas dangereux. Je ne fais rien de dangereux. Qu'ils me peignent de cette façon est ridicule. Je continuerai à voir tous les patients COVID. Je ne refuserais jamais quelqu'un qui souffre d'une maladie mortelle. Mais pour les trucs de routine ORL [oreille, nez et gorge], j'allais donner la priorité aux non vaccinés…

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  34. Si quelqu'un a une maladie, il a une maladie. Quelle différence cela fait-il s'ils ont été vaccinés? Vous allez les soigner. C'est comme si vous disiez que vous fumez, nous vous mettrons en dernière position pour traiter votre cancer du poumon. Ce n'est pas comme ça que ça se passe en médecine.

    Les infirmières dissidentes se retrouvent également persécutées par le National Council of State Boards of Nursing et d'autres organisations infirmières de premier plan, qui, le 16 novembre 2021, ont publié une déclaration de politique commune13 indiquant que les infirmières qui diffusent des « informations non scientifiques et trompeuses sur le COVID-19 » être tenus responsables et pourraient faire l'objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil d'infirmières.

    Pas de licence pour la désinformation - Un autre groupe de façade

    Comme je l'ai expliqué dans plusieurs articles précédents, Arabella Advisors – le centre à but lucratif d'un réseau libéral de « d'argent noir » – met régulièrement en place et gère des groupes de façade temporaires pour promouvoir un programme spécifique.14 The No License for Disinformation15 (NLFD) groupe correspond parfaitement à cette description.

    Comme la plupart le savent maintenant, le sénateur américain Rand Paul, R-Ky., un médecin à part entière, a été le principal challenger des mensonges du Dr Anthony Fauci, et le NLFD demande maintenant aux personnes disposées de le signaler au Kentucky. Commission médicale, dans le but de faire révoquer sa licence médicale.16

    Le NLFD promeut également les fausses informations diffusées par le groupe d'argent noir connu sous le nom de Center for Countering Digital Hate (CCDH). Mais qui sont les NLFD ?17 Tout en bas de leur site Web, il est écrit : « Créé et développé par EverydayAmericanJoe ». révélateur.

    - voir clip sur site -

    EverydayAmericanJoe était un site Web dédié au soutien de la campagne présidentielle de Joe Biden. (Au moment d'écrire ces lignes, ce site a été désactivé.19) Le site Web a été créé par un stratège en marketing nommé Chris Gilroy.

    Selon son profil LinkedIn20, Gilroy a créé EverydayAmericanJoe.com, « le plus grand site Web local Biden-Harris en ligne », en tant que consultant marketing senior indépendant et concepteur pour la campagne Biden. Depuis 2007, il est président de The Microtechs LLC, une entreprise de marketing en ligne, de développement Web et de publicité numérique qui produit des sites Web et des applications personnalisés « que nos clients peuvent gérer eux-mêmes ».

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  35. Mis à part l'indice EverydayAmericanJoe, rien n'indique qui dirige réellement le NLFD. Il prétend simplement être une « coalition populaire non partisane d'Américains » dont le but est d'amener les commissions médicales des États à « protéger le public » des professionnels de la santé « qui propagent la désinformation médicale ». Selon toute vraisemblance, le NLFD est dirigé par une coalition qui est loin d'être non partisane.

    Sans surprise, le NLFD s'appuie sur le rapport « Disinformation Dozen » du CCDH, qui a été dénoncé comme biaisé et vicié à l'extrême par Facebook.21 Alors que le CCDH prétend que 12 personnes sont responsables de 73% du contenu anti-vaccin sur les réseaux sociaux plate-forme, une enquête de Facebook a révélé que, collectivement, nous ne représentons que 0,05 % de toutes les vues de contenu lié aux vaccins.

    Il est assez clair que le CCDH existe pour fabriquer des « preuves » qui sont ensuite utilisées pour détruire l'opposition afin de contrôler l'information, et le NLFD s'appuie sur ce rapport pour supprimer les droits du premier amendement.22 En effet, Biden lui-même a publiquement promu et invoqué sur ce rapport du CCDH sur l'argent noir23.

    Le directeur du NIH fait écho à l'IGCD

    En élargissant un peu plus cette toile d'araignée, le directeur des National Institutes of Health, le Dr Francis Collins, a récemment appelé à ce que toute personne diffusant de la « désinformation » COVID soit « traduite en justice ».24

    Sa menace nébuleuse fait écho à celle du président-directeur général de Pfizer, Albert Bourla, qui, dans une interview de novembre 2021 avec le PDG de l'Atlantic Council, Frederick Kempe, a déclaré que les professionnels de la santé qui mettent en garde contre le tir COVID sont « des criminels, car ils ont littéralement coûté des millions de vies ». 25 Comme indiqué par Zero Hedge :26

    « C’est une référence intéressante étant donné qu’il était autrefois considéré comme faux d’affirmer que les vaccins COVID n’ont pas empêché la propagation du COVID vacciné, ce qui est maintenant un fait trop évident.

    Tout ce qui constitue une « désinformation » sur COVID-19 est une supposition étant donné que plusieurs choses qui se sont avérées plausibles ou vraies, telles que l'origine du virus derrière le laboratoire de Wuhan, étaient autrefois considérées comme de la « désinformation ». que quoi que les National Institutes of Health, Anthony Fauci ou Pfizer considèrent comme de la « désinformation » deviendra la norme. »

    Le même genre de rhétorique militante vient également du Grand Comité international sur la désinformation (IGCD), qui fonctionne comme un « forum pour le partage d'informations, la collaboration et l'harmonisation des politiques pour… atteindre des objectifs communs entre les États démocratiques ». Un objectif en particulier est la normalisation et la légalisation de la censure, y compris la censure médicale et scientifique.

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  36. L'un des cofondateurs de l'IGCD était le député britannique Damian Collins, qui est également membre du conseil d'administration du CCDH et fait partie du comité britannique du projet de loi sur la sécurité en ligne27, chargé d'examiner le projet de « projet de loi sur la sécurité en ligne », que certains ont prévenu serait catastrophique pour la liberté d'expression.

    Compte tenu des liens entre tous ces acteurs, nous ne pouvons pas être surpris de constater que le UK Online Safety Bill comprend une disposition qui entraînerait une peine de deux ans de prison pour les « anti-vaccins » qui diffusent « de fausses informations qu'ils savent être faux. »28

    Après tout, c'est vraiment l'objet du projet de loi. Cela n'a rien à voir avec la prévention de l'intimidation en ligne ou de la propagation de la haine en ligne. Bien sûr, à l'avenir, ces lois leur permettront de faire taire la discussion sur tout sujet qui sape le régime totalitaire.

    Une guerre ouverte contre le public

    Nous sommes maintenant dans une situation où poser des questions valables sur les mesures de santé publique est assimilé à des actes de terrorisme domestique. C'est incroyable, et pourtant nous y sommes. Au cours des deux dernières années, la rhétorique utilisée contre ceux qui remettent en question le bien-fondé de l'utilisation de contre-mesures pandémiques non scientifiques, telles que les masques faciaux et les verrouillages, ou partagent des données montrant que les thérapies géniques COVID-19 sont vraiment une mauvaise politique de santé publique, est devenue de plus en plus violente.

    Le Dr Peter Hotez, un virologue qui a été pendant des années à l'avant-garde de la promotion de vaccins de toutes sortes, par exemple, a publiquement appelé à des attaques de cyberguerre contre les citoyens américains qui ne sont pas d'accord avec les récits officiels de COVID, et cette vile rhétorique a été publiée dans le prestigieux revue scientifique Nature, de tous les lieux.29

    Les médecins et les infirmières sont désormais confrontés à la position intenable d'avoir à choisir entre faire ce qu'il faut pour leurs patients et suivre la ligne du totalitarisme. Cela ne peut tout simplement pas continuer. C’est profondément malsain et dangereux à bien des égards.

    Bien que frustrant et intimidant, nous devons tous être implacables dans notre quête et notre partage de la vérité, et nous devons exiger sans relâche que nos représentants élus défendent la liberté d'expression et d'autres droits constitutionnels, y compris, et surtout, le droit des médecins d'exprimer leurs avis médicaux.

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  37. Sources and References

    1, 2 Whitehouse.gov November 4, 2021
    3 National Law Review November 14, 2021
    4, 6 EHS Today November 22, 2021
    5 ama-assn.org November 19, 2021
    7 ama-assn-org November 13, 2021
    8 AMA Mission Statement
    9 AMA COVID-19 Guide
    10, 11, 12 KHOU.com November 16, 2021, Updated November 17, 2021
    13 Twitter Taylor Nichols MD November 18, 2021
    14 The American Conservative May 12, 2021
    15 Twitter No License for Disinformation
    16 Twitter Chass October 11, 2021
    17, 18 nolicensefordisinformation.org
    19 everydayamericanjoe.com
    20 LinkedIn Chris Gilroy (Archived)
    21 Facebook August 18, 2021
    22 Twitter NLFD October 20, 2021
    23 Daily Wire July 20, 2021
    24, 26, 28 Zero Hedge November 21, 2021
    25 Facebook Atlantic Council November 9, 2021
    27 Damiancollins.com August 11, 2021
    29 Nature April 27, 2021

    https://www.lewrockwell.com/2021/11/joseph-mercola/big-pharma-hunts-down-dissenting-doctors/

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    1. Rappel qu'il est INTERDIT de vacciner quelqu'un durant une épidémie ou une pandémie.
      Rappel qu'il est OBLIGATOIRE de faire une sérologie avant et après la piqûre.

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  38. Variante Omicron COVID trouvée UNIQUEMENT chez les vaccinés entièrement


    Lundi 29 novembre 2021
    par : Rédacteurs en chef


    (Natural News) La variante « Nu » « Omicron » de COVID est arrivée juste à temps pour gâcher Noël. (Qui n'a pas vu cela venir?) La variante avec "plus de mutations que vous ne secouez une protéine de pointe" a été identifiée pour la première fois au Botswana et est rapidement devenue la variante la plus répandue en Afrique du Sud. Mais avant de succomber à la « pandémie des non-vaccinés », considérez ceci :

    (Article de Bill Hennessy republié à partir de HennessysView.com)

    Du président du Botswana, où la variante a été découverte pour la première fois :

    Le rapport préliminaire a révélé que les quatre [patients] avaient déjà été vaccinés contre le COVID-19.

    Voici la lettre :

    - voir sur site -

    Veuillez mettre en signet cette histoire importante. Vous devrez partager avec vos amis covidiens qui blâment cette variante Nu Omicron sur les non vaccinés.

    Mise à jour : le Gateway Pundit a plus d'informations sur Nu Omicron. Vérifiez-le.

    Mise à jour 2 : Zerohedge a un excellent résumé de tout ce que nous savons sur la variante Nu Omicron. Voici quelques faits saillants :

    Considéré comme la variante la plus fortement mutée du coronavirus, à ce jour, car il possède 32 mutations dans la protéine de pointe et 50 dans l'ensemble. Plus précisément, les scientifiques ont mis en évidence qu'il existe 10 mutations contre 2 dans la variante Delta concernant le domaine de liaison au récepteur, qui est la partie du virus qui entre en contact initial avec les cellules.

    La variante Nu a été identifiée il y a 5 jours initialement au Botswana avec une confirmation et un séquençage ultérieurs en Afrique du Sud avec environ 100 cas confirmés. Des cas ont été détectés en Israël et à Hong Kong et depuis ce matin, en Belgique.

    Les données de séquençage suggèrent que 8.1.1.529 a une voie évolutive différente, mais partage quelques mutations communes avec les variantes C.1.2, Beta et Delta.

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  39. Cela dit, comme nous l'avons mis en garde hier soir, un nombre important de mutations n'est peut-être pas nécessairement «négatif», car cela dépend de la façon dont ces mutations fonctionnent, ce que les scientifiques n'ont pas encore établi. Là encore, étant donné que c'est le travail de la science de faire peur pour que Pfizer puisse acheter un yacht encore plus grand, supposez que ce sera "très très horrible" jusqu'à ce qu'il soit prouvé inoffensif.
    #Omicron

    En savoir plus sur : HennessysView.com

    https://www.naturalnews.com/2021-11-29-omicron-covid-variant-found-in-fully-vaccinated.html

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    Réponses
    1. Il n'y a pas '50 noms' (coronacovide19SarsCov2DeltaOmicron) mais un seul criminel : VAXAIN ! C'est lui qui tue !
      Lui seul qui tue.

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  40. GUERRE PSYCHO-BIO : l'hystérie OMICRON est un virus de l'esprit sans aucun fondement dans la réalité physique...


    Lundi 29 novembre 2021
    par : Mike Adams


    (Natural News) La variante "Omicron" au son épouvantable est le dernier chapitre de l'attaque de guerre psycho-biologique mondialiste contre l'humanité. La partie « psycho » fait référence au terrorisme psychologique infligé par les médias complices et à ses tentatives de plonger tout le monde dans une peur généralisée. L'arme « bio » est le vaccin lui-même, qui a été conçu dès le départ comme une arme biologique de dépopulation conçue pour provoquer des décès de masse au cours de la prochaine décennie (cancer, troubles auto-immuns, troubles cardiovasculaires, etc.).

    Notamment, cette nouvelle forme de guerre ne nécessite aucune arme cinétique réelle du monde réel. Toute la campagne de terrorisme psychologique se déroule uniquement dans l'esprit des victimes ciblées. Ils imaginent la variante omicron les traquant et les menaçant. Ils imaginent la douleur et la souffrance s'ils ne font pas ce qu'on leur dit (prendre le vaccin vax).

    Mais s'ils ouvrent les yeux et regardent le monde réel qui les entoure, il n'y a pas de guerre. Il n'y a pas d'omicron. Il n'y a pas de pandémie de covid. Seuls ceux qui lient leur conscience aux faux médias malhonnêtes sont même conscients de l'existence d'une « pandémie ». Sans la campagne médiatique de la peur, la pandémie n'existe pas du tout. C'est juste une autre grippe saisonnière.

    C'est pourquoi le gouverneur de New York Hochul a déclaré l'état d'urgence à partir de rien, sans même un seul « cas » d'omicron détecté dans tout l'État de New York. Aucune infection physique n'est nécessaire pour répandre la peur puisqu'il s'agit d'une guerre psycho-bio, ce qui signifie qu'elle ne nécessite rien d'enraciné dans la réalité.

    Le but des mondialistes est de vous dissocier de la réalité, puis de contrôler toutes vos perceptions et croyances
    Afin de mener à bien cette guerre contre votre psyché, les mondialistes ont lentement détourné votre conscience de la réalité, introduisant couche après couche de fictions abstraites dans votre paysage mental. Le transgenre est l'une de ces fictions. Aucun homme biologique ne peut tomber enceinte et avoir un bébé, mais le complexe médiatique dirigé par des mondialistes a convaincu au moins la moitié de la population que la biologie n'est pas réelle. Ils ont dissocié le psychisme de la réalité physique.

    Surtout, ils ont également convaincu les gens de ne pas croire leurs propres sens. C'est pourquoi j'ai posté ce podcast important ce week-end qui vous invite à faire confiance à vos sens et à arrêter de croire au sort qui tisse les menteurs :

    Brighteon.com/70fa8a23-14ea-47b0-8d97-b5e0e62daf83

    Le seul vrai virus dans cette pandémie est le virus de l'esprit

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  41. Le Dr Thomas Cowan a en fait raison lorsqu'il dit qu'il n'existe pas de virus covid-19 qui a été isolé, purifié et dont il a été démontré qu'il cause la maladie. Le «virus» covid-19 en tant qu'agent pathogène autonome est une œuvre de fiction. Mais le virus de l'esprit - c'est-à-dire la pandémie de la peur - produit des effets très réels dans le monde réel, tels que des personnes faisant la queue pour recevoir des injections d'armes biologiques à protéines de pointe mortelles sous la forme d'un soi-disant « vaccin ».

    Oui, les décès dus au vaccin sont réels. Les caillots sanguins, les mortinaissances (jusqu'à 2 900 % au Canada jusqu'à présent), les décès par cancer, les accidents v... tout est réel. Pourtant, cette véritable tragédie est née d'une construction fictive… la « pandémie de la peur » qui a été installée dans votre conscience par les propagandistes, les menteurs et les tueurs génocidaires mondiaux.

    La bonne nouvelle est que vous pouvez résister au sort en revenant à vos sens, en gardant le contact avec le monde réel et en restant conscient de la fraude plandémique.

    Obtenez plus de détails dans le podcast Situation Update de 30 minutes d'aujourd'hui :

    Brighteon.com/e42e9d48-a9fe-4584-b972-f27ffca76cb4

    Retrouvez chaque jour un nouveau podcast sur :

    https://www.brighteon.com/channels/hrreport

    https://www.naturalnews.com/2021-11-29-psycho-bio-warfare-omicron-hysteria-is-a-virus-of-the-mind.html

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  42. Brève. Indéniable collusion entre « BigPharma » et les gouvernements


    le 30 novembre 2021


    Au Canada la bataille est engagée pour que les gros laboratoires pharmaceutiques élargissent leur clientèle aux enfants âgés de 5 à 11 ans. Le Ministère de la santé canadien a donc commandé une étude à un dénommé James D. Kellner, conseiller du ministre de la santé, pour évaluer le bien-fondé d’une vaccination des enfants. Dans un article vide de sens paru dans le Canadian Medical Association Journal Kellner s’appuie sur des arguments sans aucun caractère factuel pour vivement conseiller, voire promouvoir, la vaccination des enfants pour « les protéger contre le variant delta » : www.cmaj.ca/lookup/doi/10.1503/cmaj.210053 . Dans les notes en fin d’article il apparaît que les auteurs n’ont pas de conflits d’intérêts, c’est clair puisqu’ils travaillent dans un environnement universitaire et sont rétribués par l’État fédéral ou les États du Saskatchewan ou de l’Alberta.

    Pourtant à la fin de ces notes de fin d’article il est précisé que Kellner et son assistant S.B. Freedman ont été financés pour cette étude (qui n’en est pas une stricto sensu) par Pfizer, GlaxoSmithKline, Merck et Moderna alors qu’il déclaraient n’avoir aucun conflit d’intérêts quelques lignes plus haut.

    Donc la vaccination des enfants de 5 à 11 ans est une affaire de gros sous et ces deux tristes sires, comme le Ministre de la santé lui-même, sont corrompus. Cette situation canadienne n’est pas unique et les mêmes tractations frauduleuses ont lieu au sein de tous les gouvernements occidentaux. Il est en effet difficile de résister au gigantesque pouvoir financier de ces entreprises pharmaceutiques pour qui la corruption fait partie du quotidien et représente un argument de vente incontournable.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/11/30/breve-indeniable-collusion-entre-bigpharma-et-les-gouvernements/

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    1. Bientôt la 'vaccination' (expérimentation génique d'essais !) pour les spermatozoïdes ?

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  43. Le Conseil fédéral veut imposer le certificat pour les réunions en famille

    Devant la flambée des contaminations, le Conseil fédéral n'a pas attendu sa séance de vendredi pour évoquer les mesures à prendre et s'est réuni ce mardi. Alain Berset et Guy Parmelin ont informé la presse en fin d'après-midi.

    - voir clip sur site -

    https://www.lematin.ch/story/le-conseil-federal-va-t-il-serrer-la-vis-suivez-sa-conference-de-presse-a-16h30-788799792659

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    Réponses
    1. Alors QU'ILS SAVENT que le 'coronacovide19SarsCov2DeltaOmicronPetitcon' n'a JAMAIS EXISTÉ et qu'il n'est offert aux malheureux UNIQUEMENT sous forme de seringues ! toutes les personnes qui ont un simple rhume ou qui - comme tous les autres - ont respiré 200 000 microbes ou virus PAR MINUTE et 'testées' au FAUX tests 'RT-PCR' sont affichées 'dangers publics' qui doivent être arrêtées, piquées et brûlées !!!

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