- ENTREE de SECOURS -



lundi 29 novembre 2021

Pr Christian Perronne - Réunion publique n°33 du CSI du jeudi 25 11 2021 (EXTRAIT)

https://odysee.com/@Michael_Mcs:2/EXTRAIT-R%C3%A9union-publique-n%C2%B033-du-CSI-avec-Christian-Perronne-du-jeudi-25-11-2021:8 

50 commentaires:

  1. Un médecin américain démonte la politique du "tout-vaccinal" en sept minutes


    le 26/11/2021 à 17:55


    Sept minutes. C’est le temps qu’il aura fallu au docteur Scot Youngblood pour démontrer l’irrationalité du « tout vaccinal » actuel, lors d’une intervention qui s’est tenue au début du mois, devant les conseillers du comté de San Diego, aux États-Unis. Pour ce faire, le médecin ne s’est pas appuyé sur d’obscures études complotistes, mais sur l’évaluation que... le groupe Pfizer a lui-même réalisé de son vaccin.

    « La meilleure façon d’examiner tout problème médical est avec un essai contrôlé randomisé. […] C’est ce que Pfizer a fait pour évaluer son vaccin, pour obtenir une EUA (autorisation d’utilisation d’urgence, ndlr). Il y avait 44 000 patients, deux grands groupes essentiellement égaux à tous égards, sauf qu’un groupe reçoit le vaccin et l’autre groupe reçoit le placebo », détaille Scot Youngblood.

    Première constatation : les patients du groupe placebo ont effectivement été sujets à des formes grave de Covid-19, auxquelles la cohorte de vaccinés n'a que très peu fait face. « Mais ce qui n’a pas été évoqué, c’est l’augmentation des événements indésirables pour le vaccin. […] Les événements indésirables graves [sont] deux fois plus élevés. » On parle ici de crises cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, de myopéricardites, de syndromes de Guillain-Barré, etc.

    De plus, l’étude révèle qu’au bout de six mois, on a observé pratiquement le même nombre de décès dans les deux groupes : 15 chez les vaccinés et 14 dans le groupe placebo. « Et cela soulève une grande question : si le vaccin est si efficace pour prévenir les cas de Covid-19 sévères, alors pourquoi n’a-t-il pas sauvé des vies au plus fort de la pandémie contre le variant Alpha ? La réponse la plus probable est que les effets secondaires de ce vaccin ont annulé tous les avantages qu’il procurait contre le Covid-19. »

    « Presque 40 % de ces morts se sont produites 48 heures après l’injection »

    Pour le docteur, le problème vient de la protéine Spike. « C’est une toxine en soi. Elle se lie aux récepteurs ACE2 de votre corps qui sont essentiels pour réguler la tension artérielle, la coagulation et le système immunitaire. »

    Les statistiques sont éloquentes : on relevait en moyenne, aux États-Unis, 158 décès associés à l’ensemble des vaccins chaque année. Depuis l’introduction des vaccins Covid-19, on en est désormais à plus de 17 000 morts signalés d’après le VAERS (Système de signalement d'effets indésirables des vaccins). « Presque 40 % de ces morts se sont produites 48 heures après l’injection, ce n’est qu’au jour 40, environ, que les taux de mortalité reviennent à la ligne de base. »

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  2. Face à ces chiffres alarmants, Scot Youngblood estime que les autorités sont entrées dans une espèce « d’aveuglement intentionnel ». « À l’ère du Delta, les vaccins ne réduisent pas de manière significative la transmission ou n’arrêtent pas l’infection. […] Et, comme ils utilisent la protéine Spike Alpha, vous obtiendrez 100 % des risques, mais seulement 40 à 60 % des avantages. »

    Pour autant, Scot Youngblood n’est pas un opposant dogmatique aux vaccins contre le Covid-19, comme en témoigne la conclusion de son intervention : « [Ils] peuvent présenter un avantage dans certains cas. Mais, cette analyse doit être individualisée. La décision de se faire vacciner devrait être laissée aux patients, en consultation avec leur médecin. Il n’y a aucune justification médicale ou scientifique pour l’obligation vaccinale par le gouvernement ou un employeur. »

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/un-medecin-americain-demonte-la-politique-vaccinale-en-sept-minutes

    voir:

    Sept minutes. C’est le temps qu’il aura fallu au docteur Scot Youngblood pour démontrer l’irrationalité du « tout vaccinal »

    https://odysee.com/@Michael_Mcs:2/Sept-minutes.-C%E2%80%99est-le-temps-qu%E2%80%99il-aura-fallu-au-docteur-Scot-Youngblood-pour-d%C3%A9montrer-l%E2%80%99irrationalit%C3%A9-du-%C2%AB-tout-vaccinal-%C2%BB:b

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  3. Pass sanitaire : la durée de validité des tests PCR et antigéniques sera abaissée de 72 à 24 heures dès lundi 29 novembre et désactivation du Pass sans 3ème dose


    26/11/2021
    Publié par Aphadolie


    Synopsis vidéo :

    Les conditions d’obtention du Pass sanitaire évoluent. Ce jeudi 25 novembre, le ministre de la Santé Olivier Véran a annoncé que la troisième dose de vaccin contre le Coronavirus deviendra indispensable pour conserver son Pass à partir du 15 janvier 2022 pour les personnes de 18 ans et plus, au maximum sept mois après l’injection de la précédente.

    « À compter du 15 décembre, le Pass sanitaire pour les plus de 65 ans ne sera plus actif si le rappel n’a pas été fait dans un délai de sept mois après l’infection ou après la dernière injection. Et à compter du 15 janvier ce Pass sanitaire de tous les autres publics, c’est-à-dire les Français âgés de 18 à 64 ans, ne sera plus actif si le rappel n’a pas été fait dans ce délai qui reste inchangé de sept mois après la dernière injection », a déclaré Olivier Véran devant la presse.

    Les personnes non vaccinées devront elles se faire tester beaucoup plus régulièrement : les tests ne seront plus valables que 24h, contre 72h auparavant. Ces tests se feront à leur frais, sauf symptômes ou cas contact, a insisté le ministre, défendant une mesure dont l’objectif clair est de pousser à la vaccination.

    L’exécutif complique un peu plus la vie des non vaccinés

    Le ministre de la Santé Olivier Véran a annoncé, jeudi 25 novembre, que les tests PCR et antigéniques ne seront valables plus que 24 heures, et non plus 72 heures, à partir du lundi 29 novembre.

    Elle est ramenée de 72 à 24 heures. Pour enrayer la cinquième vague épidémique et la flambée de cas qui l’accompagne, la période de validité d’un test PCR ou antigénique va être rabotée. L’annonce a été faite par le ministre de la Santé Olivier Véran, jeudi 25 novembre, au lendemain d’un nouveau Conseil de défense sanitaire et de concertations menées auprès des présidents des groupes parlementaires de l’Assemblée nationale et du Sénat et des associations d’élus locaux. Cette décision s’inscrit dans un resserrement des mesures annoncées par le gouvernement face au regain de l’épidémie.

    Depuis août, avec l’embellie sanitaire, la validité d’un test de dépistage négatif permettant aux personnes non-vaccinées de bénéficier d’un Pass sanitaire temporaire était de 72 heures. Elle va passer à 24 heures, à partir de ce lundi 29 novembre. Les Françaises et les Français, qui ne seraient pas vaccinés double dose, devront désormais réaliser quotidiennement un test PCR ou antigénique, à leurs propres frais, pour pouvoir continuer d’accéder, passé cette date, au précieux sésame.

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  4. « À compter de lundi 29 novembre, lundi prochain, les tests PCR et antigéniques qui donnent accès au Pass sanitaire pour ceux qui, parmi vous, n’êtes pas encore vaccinés aujourd’hui, seront valables 72 heures. Compte tenu du fait que le circule beaucoup plus aujourd’hui, nous nous réduisons à 24 heures la durée de validité de ces tests pour en bénéficier », a expliqué le ministre de la Santé. « Ce qui veut dire que, très concrètement, si vous n’êtes pas encore vacciné et si vous souhaitez bénéficier du Pass sanitaire, vous devrez donc vous faire tester tous les jours à vos frais, sauf si vous êtes symptomatiques avec une ordonnance de votre médecin ou si vous vous êtes reconnu cas contact par l’Agence régionale de santé ou par l’assurance maladie. »

    Pour continuer d’accéder à certains lieux recevant du public, comme les cinémas, théâtres, restaurants ou cafés, les non-vaccinés majeurs devront donc effectuer des tests PCR et antigéniques, dits « de confort », facturés 44 et 22 euros.

    L’abaissement de la durée de validité des tests anti-Covid de 72 à 24 heures risquent de coûter cher aux non vaccinés, en particulier ceux qui n’ont d’autre choix que d’avoir un Pass sanitaire actif pour exercer leur profession.

    Source :

    https://www.huffingtonpost.fr/entry/pass-sanitaire-les-tests-valides-seulement-24h-desactivation-sans-3e-dose_fr_619f7308e4b0f398af0f7fc9

    https://www.lci.fr/politique/covid-19-coronavirus-pandemie-epidemie-pass-sanitaire-la-validite-des-tests-pcr-reduite-a-24-heures-2202914.html

    https://aphadolie.com/2021/11/26/pass-sanitaire-la-duree-de-validite-des-tests-pcr-et-antigeniques-sera-abaissee-de-72-a-24-heures-des-lundi-29-novembre-et-desactivation-du-pass-sans-3eme-dose/

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  5. La FDA demande 55 années pour examiner et publier les informations sur le vaccin Pfizer-BioNTech et ainsi les rendre accessibles au public


    par Aphadolie
    26/11/2021


    Alors qu’un groupe de médecins a demandé des informations sur l’approbation du vaccin Pfizer Covid en vertu de la loi sur la liberté d’information, la FDA a proposé de publier les documents… à 500 pages par mois. Compte tenu de la quantité totale, cela prendrait environ 55 ans au total. Pendant ce temps, le chien de garde américain du médicament (FDA) a eu besoin d’un peu plus de 100 jours avant de donner le feu vert pour l’homologation du vaccin anti-Covid de Pfizer-BioNTech.

    Les demandes de la FOIA (Freedom of Information Act) sont rarement rapides, mais lorsqu’un groupe de scientifiques a demandé au gouvernement fédéral de partager les données sur lesquelles il s’est appuyé pour autoriser le vaccin anti-Covid-19 de Pfizer, la réponse est allée au-delà de la simple traînée des pieds bureaucratique. La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis demande plus d’un demi-siècle pour examiner et publier les informations sur le vaccin Pfizer-BioNTech.

    C’est la durée que propose la FDA (Food & Drug Administration) dans le cadre des documents judiciaires, pour examiner et publier des documents liés aux vaccins répondant à la demande. Selon le juge fédéral du Texas, les plaignants, « Public Health and Medical Professionals for Transparency » (un groupe composé de plus de 30 professeurs et scientifiques d’universités telles que Yale, Harvard, UCLA et Brown), peuvent s’attendre à avoir le dossier complet en 2076.

    La demande auprès de la Freedom of Information Act (FOIA) a été déposée par « Public Health and Medical Professionals for Transparency » en septembre et ils espéraient que les tribunaux pourraient accélérer le processus pour leur obtenir les informations demandées et ainsi avoir un accès accéléré aux dossiers et diffuser les données à la population.

    La loi FOIA de 1967 exige que les agences fédérales répondent aux demandes d’informations dans les 20 jours ouvrables. Cependant, le temps qu’il faut pour obtenir les documents « variera en fonction de la complexité de la demande et de tout arriéré de demandes déjà en attente », selon le site Web central du gouvernement FOIA.

    La FDA ne peut pas remettre tous les documents en une seule fois. « Les dossiers doivent d’abord être examinés par des responsables pour être caviarder, et toute information susceptible de révéler des informations personnelles sur les participants aux essais cliniques, ou des informations sensibles sur Pfizer ou BioNTech qui pourraient nuire à leurs relations commerciales, devra être expurgée », ont écrit les avocats du MJ dans un rapport conjoint déposé lundi.

    La FDA propose donc de publier 500 pages par mois sur une base continue de 55 années pour fournir plus de 300 000 pages d’informations demandées dans le cadre de la demande de la FOIA. L’agence veut publier les pages par morceaux, ce qui prendrait jusqu’en 2076.

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  6. Les avocats du ministère de la Justice représentant l’agence affirment que la demande nécessite environ 329 000 pages d’informations.

    Les avocats signalent également que l’agence n’a que dix employés affectés au traitement de ce type de demandes.

    L’avocate de première instance de la division civile, Courtney Enlow, a renvoyé une demande de commentaires supplémentaires au bureau des affaires publiques du ministère de la Justice, qui n’a pas répondu.

    Les avocats des plaignants soutiennent que leur demande devrait être la priorité absolue et que la FDA devrait publier tous les documents au plus tard le 3 mars 2022, soit dans un peu plus de quatre mois.

    Pour atteindre l’objectif du 3 mars, l’agence devrait traiter environ 80 000 pages chaque mois.

    « Cette période de 108 jours est le même temps qu’il a fallu à la FDA pour examiner les documents liés au vaccin, tâche beaucoup plus complexe, pour l’homologation du vaccin anti-Covid-19 ARNm de Pfizer », ont écrit Aaron Siri de Siri & Glimstad à New York et John Howie de Howie Law à Dallas dans les documents transmis au tribunal.

    « L’objectif de la FOIA est d’assurer la transparence du gouvernement », ont-ils poursuivi. « Il est difficile d’imaginer un plus grand besoin de transparence que la divulgation immédiate des documents invoqués par la FDA pour autoriser un produit qui est administré à des millions d’Américains sous peine de perdre leur carrière, leurs revenus, leur statut de service militaire, voir bien pire. »

    Ils soutiennent également que : « le titre 21, sous-chapitre F des propres réglementations de la FDA stipule que l’agence « doit rendre » immédiatement disponibles « tous les documents sous-jacents à l’autorisation d’un vaccin ».

    Le vaccin Pfizer-BioNTech est le plus couramment utilisé et a été administré à près de 260 millions de fois aux États-Unis.

    Pour appuyer leurs requêtes, « Public Health and Medical Professionals for Transparency », a déclaré espérer accéder à des informations qui, selon eux, pourraient aider à « guérir » le scepticisme vis-à-vis de la vaccination chez certaines personnes.

    Compte tenu de l’intense intérêt du public pour le vaccin, les avocats des plaignants affirment que la FDA « aurait dû se préparer à publier (les données) en même temps que l’autorisation du vaccin anti-Covid-19 ARNm de Pfizer. Au lieu de cela, ils ont fait le contraire ».

    Ils soutiennent qu’avec autant de pages à parcourir et l’agence traitant déjà environ 400 demandes de la FOIA, il leur faut beaucoup de temps pour préparer les fichiers demandés.

    Les plaignants (Public Health and Medical Professionals for Transparency) soutiennent que leur demande devrait avoir la priorité sur les autres, car il est dans l’intérêt du public que l’information soit divulguée.

    Ils soutiennent également que l’agence, avec son budget de 6 milliards de dollars et ses 18 000 employés, dispose des ressources nécessaires pour publier l’information en temps opportun.

    Le juge de district américain Mark Pittman a fixé une conférence le 14 décembre à Fort Worth pour examiner le calendrier de traitement des documents.

    Source :

    https://www.foia.gov/faq.html

    https://news.fr-24.com/entreprise/398845.html

    https://www.accessdata.fda.gov/scripts/cdrh/cfdocs/cfcfr/CFRSearch.cfm?fr=601.51

    https://fingfx.thomsonreuters.com/gfx/legaldocs/klvykdlryvg/vaccine%20foia%20complaint.pdf

    https://fingfx.thomsonreuters.com/gfx/legaldocs/egvbkaeggpq/vaccine%20foia%20status%20report.pdf

    https://www.reuters.com/legal/government/wait-what-fda-wants-55-years-process-foia-request-over-vaccine-data-2021-11-18/

    https://aphadolie.com/2021/11/26/la-fda-demande-55-annees-pour-examiner-et-publier-les-informations-sur-le-vaccin-pfizer-biontech-et-ainsi-les-rendre-accessibles-au-public/

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  7. Covid-19 : « En France, avec 1,5%, on n’a jamais atteint le véritable seuil de pandémie qui est de 3 %. Il y a un décalage entre l’impression et la réalité », Philippe Béchade


    par Aphadolie
    24/11/2021


    L’Agence technique d’information sur l’hospitalisation (ATIH) a publié un rapport détaillant l’activité hospitalière de 2020 face au Covid-19. Il dévoile des chiffres inférieurs à ce qu’imaginait le public face au narratif gouvernemental sur la surcharge des hôpitaux, le tri des patients ou le taux de contamination. « Il y a un décalage entre l’impression et la réalité », estime Philippe Béchade, président du think tank « Les Éconoclastes », au micro de Rachel Marsden.

    Comment expliquer le décalage entre les chiffres et la rhétorique gouvernementale sur le Covid-19 ? Philippe Béchade, président du think tank « Les Éconoclastes », considère pour Le Désordre mondial qu’il s’agit d’un « problème d’impression ».

    Pouvons-nous prendre les chiffres officiels sur le Covid-19 pour argent comptant ? Quel crédit accorder au discours gouvernemental sur la pandémie ? La question s’est récemment posée à l’occasion de la publication d’un rapport de la très officielle Agence technique d’information sur l’hospitalisation (ATIH) détaillant l’activité hospitalière de 2020 face au Covid-19.

    « Au cours de l’année 2020, 218.000 patients ont été hospitalisés pour prise en charge de la Covid-19. Les patients Covid représentent 2 % de l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020, tous champs hospitaliers confondus », indique le rapport. L’ATIH précise également qu’« au cours de l’année 2020, les patients Covid représentent 5 % de l’ensemble des patients pris en charge en service de soins critiques ».

    Des chiffres bien inférieurs à ceux que le grand public imaginait après avoir été bombardé pendant des mois d’annonces gouvernementales sur la surcharge des hôpitaux. Pour Philippe Béchade, président du think tank « Les Éconoclastes », rédacteur en chef de « La Bourse au quotidien », ces données sont des « moyennes » :

    « C’est comme en météo, lorsque l’on a un épisode cévenol, quand la vallée se remplit d’un torrent furieux qui emporte les ponts sur son passage. On se souvient des pics. »

    Il évoque des solutions qui auraient pu éviter le phénomène de saturation des hôpitaux :

    « Si on reprend la métaphore de la rivière en crue, ici, contrairement à une vallée où la rivière n’a qu’un endroit pour passer, il existe des tunnels de dérivation dans lesquels on aurait pu canaliser des patients qui submergeaient les hôpitaux de l’assistance publique, il s’agit du privé. Il a été décidé de ne pas y faire appel ni en mars-avril 2020, ni au mois de novembre-décembre 2020. C’est ce qui a permis d’entretenir le narratif d’hôpitaux submergés. »

    Experts et officiels sont montés au créneau pour expliquer que les statistiques annuelles de l’ATIH masquaient le fait que le Covid était concentré sur quelques mois de l’année, expliquant ainsi la saturation des hôpitaux. D’autres ont souligné que les patients Covid restaient plus longtemps en réanimation que les autres, un facteur qui ne serait pas pris en compte par l’ATIH dans sa présentation. Philippe Béchade relativise cet aspect de la crise :

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  8. « Les hôpitaux sont systématiquement sous une tension de plus en plus sévère et alarmante depuis une dizaine d’années. J’ai trouvé d’un article du Figaro de 2012 dans lequel un urgentiste expliquait que les malades sont dans les couloirs, les lits sont les uns derrière les autres, et que le temps de prise en charge dépassait les 6-8 heures. Si vous ne regardez pas la date de cet article de l’automne 2012, vous avez l’impression qu’on vient de l’écrire là. C’est d’ailleurs une situation qui a justifié les confinements. »

    Comment expliquer le décalage entre les données scientifiques et la perception des Français de l’impact du coronavirus sur leurs établissements de santé ? L’économiste cite une peur qui prend le dessus sur la réalité :

    « C’est un problème d’impression, comme le froid ressenti. On est dans du narratif repris par tous les médias. Quand ils lisent ‘x’ cas, les gens voient malades, hospitalisations, réa, pompes funèbres. Quand je demande aux gens combien de personnes en France sont contaminées d’après eux, spontanément, ils me répondent 20%. Alors que l’on est à 99,4% de non-contaminés. »

    Que nous disent alors réellement les statistiques sur la réalité de cette crise dans laquelle nous devons « suivre la science », répètent à l’envi les responsables politiques ? Philippe Béchade évoque un décalage entre les données et la propagande gouvernementale :

    « Quand vous regardez aujourd’hui le taux de contamination qu’on a pu atteindre, c’est un taux d’incidence de 1,5%. Je rappelle que la définition d’une pandémie, c’est au-delà de 3% en France depuis 50 ans. En France, on n’a jamais atteint le véritable seuil de pandémie. Cela n’a pas empêché tous les médias de reprendre ce terme en boucle alors que techniquement, on n’a pas atteint le niveau. »

    Bonus…

    La cocotte-minute va-t-elle exploser ?

    À travers l’Europe, les contestations musclées se multiplient, comme à Rotterdam et Vienne. Pour les manifestants, le retour des confinements et la vaccination obligatoire marquent un point de non-retour. La phrase du ministre allemand de la Santé en a choqué plus d’un. Les Allemands seront « vaccinés, guéris ou morts » d’ici la fin de l’hiver, a-t-il affirmé.

    Nous avons interrogé des acteurs locaux et des expatriés français. Selon eux, la colère mêlée à la résignation prédomine face au durcissement des mesures sanitaires.

    Source :

    https://fr.sputniknews.com/20211124/vaccination-obligatoire-en-autriche-cest-une-derive-autoritaire-voire-totalitaire-1053645971.html

    https://fr.sputniknews.com/20211124/covid-19-en-france-avec-15-on-na-jamais-atteint-le-veritable-seuil-de-pandemie-qui-est-de-3-1053557683.html

    https://aphadolie.com/2021/11/24/covid-19-en-france-avec-15-on-na-jamais-atteint-le-veritable-seuil-de-pandemie-qui-est-de-3-il-y-a-un-decalage-entre-limpression-et-la-realite-philippe-bechade/

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  9. Les statisticiens allemands trouvent le même résultat en Allemagne que les rapports de l'Agence britannique de sécurité sanitaire : il s'agit d'une pandémie de vaccinés


    Par Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    29 novembre 2021


    Regardez ça.

    Le « vaccin » Covid vous rend plus susceptible de tomber malade avec Covid et tous les autres virus et maladies, car le « vaccin » détruit le système immunitaire inné.

    En Allemagne, les États ayant le taux de vaccination le plus élevé ont le plus de décès en excès.

    Le Dr Ute Bergner, physicienne membre du parlement du Land de Thuringe en Allemagne, a chargé des statisticiens d'étudier la relation entre la vaccination et la surmortalité dans les 16 Länder allemands.

    Les statisticiens ont constaté que les États avec le plus faible pourcentage de la population vaccinée avaient la surmortalité la plus faible. En revanche, l'État avec le taux de vaccination le plus élevé (66 %) avait le taux le plus élevé de décès excessifs.

    « Le coefficient de corrélation est de +0,31. Aux yeux des deux data scientists, c'est « étonnamment élevé ». D'autant plus que les tenants du vaccin prétendent le contraire mais ne fournissent aucune preuve de leur notion de « protection ». Il faut au moins s'attendre à une relation différente : plus il y a de vaccinations, plus la mortalité est faible. Après tout, l'intention était de protéger les gens.

    « La surmortalité augmente avec l'augmentation du taux de vaccination. Cela nécessite une clarification urgente », ont demandé les deux statisticiens. De plus, compte tenu des « mesures politiques en cours visant à contenir le virus, ce chiffre est préoccupant et nécessite des explications si de nouvelles mesures politiques doivent être prises dans le but d'augmenter le taux de vaccination ». Regarde ça.

    L'Associated Press a rapporté à la mi-novembre 2021 que malgré les faibles taux de vaccination, l'Afrique compte peu de cas de Covid

    Il se passe quelque chose de « mystérieux » en Afrique qui intrigue les scientifiques, a déclaré Wafaa El-Sadr, présidente de la santé mondiale à l'Université de Columbia. "L'Afrique n'a pas les vaccins et les ressources pour lutter contre le COVID-19 qu'ils ont en Europe et aux États-Unis, mais d'une manière ou d'une autre, ils semblent faire mieux", a-t-elle déclaré.

    Moins de 6 % des Africains sont vaccinés. Pendant des mois, l'Organisation mondiale de la santé dans ses rapports hebdomadaires sur la pandémie a décrit l'Afrique comme « l'une des régions les moins touchées au monde ».

    https://www.lewrockwell.com/2021/11/paul-craig-roberts/german-statisticians-find-the-same-result-in-germany-as-the-uk-health-security-agency-reports-it-is-a-pandemic-of-the-vaccinated/

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  10. Omicron — Probablement circule et se développe en Afrique depuis des mois

    Les gros titres des médias ont été partout, mais la vérité est que nous en savons très peu.


    November 29th, 2021


    Nous savons qu'Omicron a de nombreuses mutations. Nous ne savons pas quel est leur effet combiné. Vraisemblablement, les mutations particulières et les tests de laboratoire de liaison aux anticorps suggèrent qu'il peut échapper au vaccin ou même à l'immunité naturelle. Cependant, bon nombre de ces mutations sont nouvelles et inconnues, de sorte que l'effet réel in vivo n'est que quelque chose que les patients et les médecins peuvent connaître. Et les médecins donnent des rapports mitigés en Afrique du Sud. Cela peut s'avérer être une variante plus contagieuse mais plus agréable. On le saura dans quelques semaines.

    Il se propage certainement rapidement. Le nombre de cas a été multiplié par six, passant de 300 à 1 800 en seulement deux semaines. Le nombre de tests est en hausse, mais la positivité des tests est également passée de 1% à 3,7%.

    Les symptômes ont changé. Les médecins disent avoir remarqué un changement dans la présentation des cas il y a une dizaine de jours. Les symptômes étaient soudainement différents, et tandis que le Dr Angelique Coetzee a déclaré que cela semblait être léger, elle faisait référence à de jeunes patients et est toujours préoccupée par les patients plus âgés. La nouvelle liste de symptômes comprend des maux de tête, une fatigue extrême, des courbatures et des douleurs, mais pas une perte d'odorat ou une toux. C'est un bon signe qu'il ne semble pas attaquer autant les nerfs olfactifs.

    Mais Rudo Mathivha, chef de l'hôpital Baragwanath de Soweto, a déclaré que les jeunes dans la vingtaine à la trentaine arrivent avec une maladie modérée à grave, certains ayant besoin de soins intensifs. Ce n'est pas bon.

    Environ 65 % ne sont pas vaccinés. John Campbell interprète cela pour suggérer que les non vaccinés courent un risque plus élevé, mais si seulement un quart des Sud-Africains sont doublement vaccinés et que les vaccins fonctionnent, ne devrions-nous pas voir encore plus de patients non vaccinés que cela ? La plupart des jeunes ne seraient-ils pas non vaccinés ?

    Omicron circule déjà quelque part depuis plus d'un an

    En regardant l'histoire évolutive de ces mutations - la dernière branche la plus proche était vers mai 2020. Cela signifie qu'il est probable que la variante Omicron se soit propagée silencieusement dans une population qui est rarement, voire jamais, testée ou séquencée. Cela expliquerait pourquoi tant de mutations semblent être « soudainement » apparues. Vraisemblablement, s'il s'agissait d'une variante très mortelle, elle aurait attiré notre attention il y a des mois, même dans un village africain reculé, sûrement ? Bien que s'il ait circulé en Afrique (et nous ne le savons pas), il a probablement affecté une population plus jeune, peut-être une population plus en forme ou plus maigre et qui reçoit plus de soleil (et de vitamine D). Nous ne connaissons pas l'effet que cela a sur les personnes âgées, à l'intérieur et les plus diabétiques de l'Ouest, et nous ne savons pas grand-chose sur l'effet sur les personnes vaccinées non plus.

    Il peut être béni que cette variante ait évolué dans une région à faible taux de vaccination. C'est peut-être moins mortel. Mais nous ne le savons pas encore. Il est possible que même un virus plus doux, mais qui se propage beaucoup plus rapidement, entraîne finalement une mortalité plus élevée. (Pensez au SRAS-2, comparé au SRAS-1).

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  11. La solution reste les antiviraux et les frontières

    La clé de tout cela reste les antiviraux. Parce que l'ivermectine a tellement de mécanismes d'action, dont beaucoup s'appliquent à nos propres molécules (ACE2, TMPRSS2, Ribosomes, Importin) même si l'ivermectine ne se liait pas au nouveau pic Omicron, elle serait toujours très utile contre le virus. Alors commencez dès maintenant. Il doit être proposé aux personnes à risque.

    Compte tenu du risque d'augmentation dépendante des anticorps chez les personnes vaccinées et du risque que cela pourrait poser aux personnes âgées non vaccinées et aux comorbidités, il est logique de fermer les frontières pendant quelques semaines, juste pour obtenir plus d'informations. Bien qu'il soit peut-être déjà trop tard, car le virus a été trouvé dans tant d'endroits. Et si les informations selon lesquelles les autorités néerlandaises détectent des cas chez 61 passagers sur 600 en provenance d'Afrique du Sud sont vraies et que ces passagers sont également vaccinés, wow ? L'ont-ils attrapé en vol ? Est-ce un taux d'infection de 10 % en quelques heures ?

    La valeur d'une interdiction de voyager, c'est le temps qu'elle donne pour tester les antiviraux en laboratoire, tester le virus contre les anticorps, tester le virus contre les tests !

    Bien sûr, cela n'a aucun sens de dire à tout le monde que les vaccins sont la solution à cette variante. Ce n'est pas par hasard que Big Pharma dit soudain qu'ils peuvent développer un nouveau vaccin pronto, c'est pourquoi ils étaient si désireux d'utiliser les vaccins expérimentaux à ARNm en premier lieu. Mais nous n'avons toujours pas de données à long terme et de bien meilleures alternatives.

    Omicron circule probablement depuis longtemps en Afrique

    Afin de collecter autant de mutations et d'avoir été non détectée pendant si longtemps, il est probable que cette branche du virus errait dans une population qui est rarement testée. Vraisemblablement, ils sont aussi rarement vaccinés. Cela peut s'avérer être une bonne chose.

    La nouvelle branche Omicron est marquée en rouge ci-dessous.

    - voir graphique sur site -

    Omicron, branche, évolution, graphique.

    Omicron est probablement en itinérance depuis un an sans être détecté. La dernière branche, marquée d'une flèche noire remonte à mai 2020.

    - voir graphique sur site -

    ça se répand vite
    OWID, Graph, Cases, Afrique du Sud. Omicron.

    Les cas ont été multipliés par six au cours des deux dernières semaines, passant d'environ 300 à 1 800. Source : OWID

    La vague actuelle est minuscule par rapport aux trois vagues précédentes.
    OWID, l'Afrique du Sud a connu trois vagues. Graphique. OWID.
    L'Afrique du Sud a connu trois vagues. Source : OWID,

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  12. Omicron a rapidement dépassé Delta en Afrique du Sud, mais c'était à une époque où les cas étaient très faibles, de sorte que la taille de l'échantillon pour Global Headlines est étonnamment petite (ce qui signifie que la ligne de tendance dépend fortement de quelques cas). À titre de perspective, lorsque Delta a bondi et dépassé en mai 2021, il y avait 400 à 800 échantillons sur le graphique en Afrique du Sud, mais le décompte total actuel sur Nextstrain utilisé pour générer ce graphique de « prévalence » n'était que de 6 cas. (Passez la souris sur le graphique sur la page source pour voir les numéros de cas.) Peut-être y a-t-il beaucoup plus d'échantillons qui n'ont pas été signalés à la base de données Nextstrain ?

    Omicron Afrique du Sud, Cas, prédominance. Prochaine souche.
    Évidemment, la tendance à la croissance « rapide » est là, mais le nombre d'échantillons est faible. Source : Nextstrain

    - voir graphique sur site -

    Omicron a beaucoup de mutations

    Beaucoup d'entre eux se produisent également dans d'autres souches et ont été étudiés (moitié supérieure). Mais beaucoup sont nouveaux (moitié inférieure). Nous n'avons vraiment aucune idée de l'effet de ces derniers. Ce n'est peut-être rien, ou tout.

    - voir graphique sur site -

    Omicron, Delta, mutations. Nextstrain

    Omicron contient des mutations partagées par l'homme (en haut), mais aussi de nombreuses nouvelles (moitié inférieure). Source : Nextstrain.

    https://joannenova.com.au/2021/11/omicron-probably-has-been-circulating-and-developing-in-africa-for-months/

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    Réponses
    1. (...) Le nombre de tests est en hausse, mais la positivité des tests est également passée de 1% à 3,7%. (...)

      Rappelons que les soi-disant 'tests' portent à être validés correctement en fonction du nombre de cycles admis. Car, nous respirons toutes & tous 200 000 poussières ou microbes par minute (et des milliards depuis ce matin et des milliards de trains de milliards depuis notre naissance et, NOUS NE SOMMES PAS MORT(E)S !!).
      Cela n'exclue pas bien-sûr l'arrivée de nouveaux microbes (trafiqués in-vivo en laboratoires) qui peuvent attaquer l'organisme. Mais, les FAUX vaccins proposés pour les combattre laisse plutôt à désirer ! compte tenu du fait que les personnes inoculées décèdent en plus grand nombre que les personnes non-injectées !

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  13. La POLIO est une maladie d'origine humaine causée par l'exposition aux métaux lourds, pas un virus… toute l'histoire de la polio et des vaccins a été fabriquée


    dimanche 28 novembre 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Une réplique courante des défenseurs des vaccins chaque fois qu'un scepticisme sain est exprimé contre la vaccination est que sans les vaccins, nous serions toujours confrontés à des épidémies de maladies comme la polio. Mais est-ce réellement vrai ?

    Forrest Marready, auteur du livre The Moth in the Iron Lung: A Biography of Polio, raconte une histoire très différente sur la polio qui suggère qu'il ne s'agit pas en fait d'un virus contagieux contre lequel on peut vacciner, mais plutôt d'un ensemble de symptômes causés par contaminants environnementaux.

    Alors qu'il n'y avait pas d'industrie pharmaceutique à proprement parler en 1789, un médecin de l'époque du nom de Michael Underwood a d'abord observé ce qu'il a décrit comme une «débilité des membres inférieurs» chez les enfants - ou ce que beaucoup appelleraient aujourd'hui la polio. Ne sachant pas ce que c'était, Underwood l'a attribué à la dentition et aux intestins fétides.

    Plusieurs décennies plus tard, la situation s'est aggravée avec de plus en plus d'enfants développant cette étrange paralysie, généralement au niveau des jambes. Bien qu'ils ne sachent toujours pas ce que c'était, les médecins lui ont donné un nom : poliomyélite, le mot polio signifiant «gris», comme dans le tissu gris, et myélite signifiant inflammation de la moelle épinière.

    « Une poliomyélite était une lésion de la moelle épinière », explique Marready. « Vous pourriez en avoir plusieurs. Mais ils ne savaient pas pourquoi les enfants avaient commencé à les développer, apparemment de nulle part. »

    Des tests scientifiques ont ensuite établi un lien entre l'arsenic, un ingrédient médical populaire à l'époque, et la paralysie des jambes. Le mercure, un autre métal couramment utilisé dans les produits de dentition pour nourrissons, était également lié à la maladie.

    Pendant la majeure partie des années 1800, la poliomyélite est apparue ici et là chez les enfants, mais il n'y a pas eu d'épidémie majeure. Puis, dans les années 1890, les premières épidémies de polio sont soudainement apparues à peu près au moment où un nouveau pesticide à base d'arséniate a été introduit.

    Cette concoction chimique, conçue pour combattre la spongieuse, contenait à la fois du plomb et de l'arsenic. Il a été pulvérisé dans tout le nord-est juste avant que les premières véritables épidémies de poliomyélite ne commencent à apparaître aux États-Unis – également, sans surprise, dans le nord-est.

    Non seulement les enfants mais aussi les chevaux, les chiens, les poulets, les porcs et d'autres animaux ont soudainement commencé à développer des symptômes similaires et beaucoup d'entre eux sont morts. La cause ? Des lésions de la moelle épinière causées par, vous l'aurez deviné : la poliomyélite induite par les métaux lourds.

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  14. Les « vaccins » contiennent des métaux lourds qui causent la polio et d'autres maladies

    Il est important de noter que la polio, telle que la définit la médecine moderne, n'infecte pas les animaux. Alors, comment les animaux ont-ils « attrapé » et en sont morts à la fin des années 1800 ? La réponse est que la poliomyélite est une maladie liée à la toxicité des métaux, et non une maladie virale contagieuse.

    Tout comme il n'existe pas de virus « covid » puisque le SRAS-CoV-2 n'a jamais été isolé, la polio n'a pas et ne peut pas être considérée comme une maladie infectieuse spécifique. Aucune de ces deux maladies ne correspond non plus aux postulats de Koch, ce qui signifie qu'elles n'ont jamais été isolées et qu'elles n'ont jamais été prouvées comme des contagions.

    "Les postulats de Koch étaient des directives de recherche qui stipulaient essentiellement qu'il y avait un seul microbe responsable pour chaque maladie", explique Marready.

    Le fait que la polio n'est pas un virus a été confirmé des années plus tard lorsqu'il a été découvert que de nombreuses choses différentes en plus de l'arsenic provoquaient également la poliomyélite. L'un d'eux est celui des « vaccins », dont nous savons qu'ils contiennent toutes sortes de virus, bactéries et autres substances toxiques qui sont injectés directement dans le corps, contournant ses défenses.

    Cela suggère que les maladies apparemment virales sont soit injectées par le biais de vaccins, soit causées par la pollution de l'environnement. Il n'y a aucune preuve suggérant que la polio ou le covid est un virus contagieux qui peut se propager par la bouche ou le nez via des particules en suspension dans l'air.

    Même ainsi, le consensus médical est celui qui cherche à catégoriser ces choses comme des maladies contagieuses plutôt que comme des symptômes causés par d'autres facteurs. Cette fausse théorie a commencé à gagner du terrain dans les années 1800 et est depuis devenue la norme par laquelle la médecine moderne évalue les maladies infectieuses.

    Il est regrettable que la pratique de la médecine ait emprunté cette mauvaise voie car des millions de personnes ont souffert inutilement et beaucoup sont mortes en conséquence. Avec la polio, il y avait toujours un dénominateur commun qui était systématiquement négligé comme cause, et c'était les pesticides environnementaux.

    "Je crois que les pesticides ingérés, connus pour provoquer un dysfonctionnement de la membrane cellulaire, ont créé un chemin directement des intestins jusqu'au bas de la moelle épinière, situé directement derrière, pour que les virus et les bactéries s'installent", dit Marready, notant que la polio est presque toujours affectait le plus les jeunes enfants, et presque toujours dans la même partie inférieure de leur moelle épinière, juste derrière leurs intestins.

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  15. «C'est pourquoi plusieurs virus (poliovirus, coxsackievirus, échovirus, etc.) ont tous commencé à paralyser les enfants à cette époque. Ce n'était pas une mutation génétique. Il ne s'agissait pas d'améliorations de l'assainissement. C'était une altération physique de l'intégrité intestinale par les pesticides.

    La thèse de Marready explique également pourquoi les personnes âgées ne sont pas aussi exposées au risque de polio que les jeunes enfants. À mesure qu'une personne vieillit, le positionnement de la moelle épinière par rapport aux intestins s'écarte, ce qui diminue le risque d'infection et d'inflammation de la matière grise de la moelle épinière.

    "C'est pourquoi le vaccin antipoliomyélitique Salk injecté a si mal fonctionné", explique Marready.

    "Il a créé des anticorps pour un seul des nombreux virus qui pouvaient paralyser, et il a créé des anticorps dans le sang - une défense inutile contre une infection intestinale" (vous pouvez lire le reste de l'histoire sur le fil Twitter de Marready).

    More related news can be found at Vaccines.news.

    Sources for this article include:

    TheReaderApp.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-11-28-polio-man-made-heavy-metals-not-virus.html

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  16. MERCOLA : « entièrement vacciné » n'arrivera jamais : le système mondial de contrôle nécessitera des injections constantes de COVID


    dimanche 28 novembre 2021
    par : Rédacteurs de l'actualité


    (Nouvelles naturelles) HISTOIRE EN UN COUP D'IL

    Le Grand Comité international sur la désinformation (IGCD) se compose d'un « ensemble international de législateurs, de conseillers politiques et d'autres experts » qui travaillent ensemble « pour forger des alliances internationales qui apportent des stratégies communes et efficaces dans la lutte contre la désinformation en ligne »

    Les fondateurs de l'IGCD sont quatre membres des parlements britannique et canadien, dont le député britannique Damian Collins, qui siège également au conseil d'administration des Centers for Countering Digital Hate (CCDH). Le CCDH fabrique des rapports qui sont ensuite utilisés pour priver les gens de leur droit à la liberté d'expression

    La logistique de l'IGCD est fournie par la Reset Initiative (un rappel pas si subtil que la censure est une exigence pour The Great Reset), qui fait partie du groupe de philanthropies Omidyar.
    Omidyar finance Whistleblower Aid, le conseiller juridique de la fausse « dénonciatrice » Facebook Frances Haugen, qui a témoigné devant les législateurs américains, français, britanniques et européens, appelant à plus de censure
    Le président du CCDH, Simon Clark, a également des liens avec Arabella Advisors, le groupe de lobbying de l'argent noir le plus puissant des États-Unis.
    (Article du Dr Joseph Mercola republié à partir de Articles.Mercola.com)

    Si vous soupçonniez que la censure était coordonnée à l'échelle mondiale, vous auriez raison. Le Grand Comité international sur la désinformation1 (IGCD) se compose d'un « ensemble international de législateurs, de conseillers politiques et d'autres experts » qui travaillent ensemble « pour forger des alliances internationales qui apportent des stratégies communes et efficaces dans la lutte contre la désinformation en ligne ». Qu'est ce qui pourrait aller mal?

    L'idée derrière l'IGCD est venue de quatre membres des parlements britannique et canadien : Damian Collins et Ian Lucas du Royaume-Uni, et Bob Zimmer et Nathaniel Erskine-Smith du Canada. La première session de l'IGCD a eu lieu fin novembre 2018, ils travaillent donc tranquillement en arrière-plan depuis un certain temps déjà.

    Depuis lors, ils ont tenu des réunions au Canada et au Royaume-Uni et organisé des séminaires aux États-Unis, auxquels ont participé des chefs spirituels, des journalistes, des cadres technologiques, des « experts en la matière » et des dirigeants parlementaires de 21 pays (Argentine, Australie, Belgique, Brésil, Canada, Costa Rica, Équateur, Estonie, Finlande, France, Géorgie, Allemagne, Irlande, Lettonie, Mexique, Maroc, Singapour, Sainte-Lucie, Suède, Royaume-Uni et États-Unis)

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  17. Selon l'IGCD, l'organisation fonctionne comme un « forum pour le partage d'informations, la collaboration et l'harmonisation des politiques pour… atteindre des objectifs communs entre les États démocratiques. Peu importe le fait que la démocratie ne peut exister sans la liberté d'expression.

    La logistique du groupe est fournie par une initiative appelée « Reset »,2 qui ressemble à un rappel pas si subtil que la censure est une exigence pour The Great Reset. Ils savent que les gens n'accepteraient jamais le plan Great Reset s'ils étaient autorisés à discuter librement des ramifications.

    Le « projet de loi sur la sécurité en ligne » cherche à arrêter les contre-récits

    L'IGCD aide à faire la lumière sur le groupe de façade de la technocratie connu sous le nom de Centers for Countering Digital Hate (CCDH)3, en voyant comment l'un des membres du conseil d'administration du CCDH, Damian Collins MP, est également l'un des fondateurs de l'IGCD. Les deux groupes ont été formés en 2018 et ont clairement les mêmes objectifs et le même programme.

    L'un de ces objectifs est d'éliminer la liberté d'expression en ligne, ce que permettrait le projet de loi sur la sécurité en ligne proposé par le Royaume-Uni. Sans surprise, Collins fait partie du comité du projet de loi sur la sécurité en ligne, chargé d'examiner le projet de loi « ligne par ligne pour s'assurer qu'il est adapté à l'objectif ».4

    Dans un article de blog du 11 août 2021, Collins a demandé l'aide du public pour traquer les contre-récits, en prenant des captures d'écran du matériel incriminé et en le lui envoyant par courrier électronique. "À moins qu'un contenu préjudiciable ne soit signalé, qu'il s'agisse d'images terribles d'automutilation, de contenu violent ou extrémiste ou de théories du complot anti-vaccin, il peut autrement être inconnu des régulateurs et des gouvernements", a-t-il déclaré.

    Il est impossible de manquer le fait que Collins mélange le contenu « anti-vaccin » avec le contenu violent et extrémiste qui doit être censuré et, en réalité, c'est probablement l'une des principales catégories d'informations que ce projet de loi cherche à contrôler.

    Comme le rapporte iNews5, « Le Premier ministre [Boris Johnson] a insisté à plusieurs reprises sur le fait que les pouvoirs contenus dans la législation aideraient à réprimer … la désinformation anti-vaccin. »

    Le projet de loi sur la sécurité en ligne est « catastrophique pour la liberté d'expression »
    Alors que certains pourraient penser que c'est une bonne idée de donner aux gens des informations « correctes » sur les vaccins, il est important de réaliser que si les vaccins sont le problème d'aujourd'hui, demain un autre sujet qui vous tient à cœur pourrait être considéré comme interdit pour débat public. Ainsi, soutenir la censure de toute nature est une pente glissante qui ne manquera pas de revenir vous mordre quand vous vous y attendez le moins.

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  18. Comme le rapporte BBC News6, le « Legal to Say. La campagne Legal to Type » avertit que si le projet de loi sur la sécurité en ligne devient loi, les grandes entreprises technologiques seront dans une position de pouvoir extraordinaire :

    « Bien que le groupe soutienne l'objectif du projet de loi de garantir que les plateformes en ligne suppriment les images d'abus sexuels sur des enfants, le matériel terroriste et le contenu incitant à la haine raciale et à la violence, il craint que d'autres dispositions n'affectent négativement la liberté d'expression…

    En vertu du projet de loi, l'Ofcom [l'Office britannique des communications] aura le pouvoir de bloquer l'accès aux sites et aux entreprises qui ne protègent pas les utilisateurs contre les contenus préjudiciables jusqu'à 18 millions de livres sterling, ou 10 % du chiffre d'affaires mondial annuel, selon le plus élevé des deux. .

    Les militants affirment que cela incite les entreprises technologiques à « sur-censurer » et « sous-traite efficacement la police d'Internet de la police, des tribunaux et du Parlement à la Silicon Valley »…

    M. [MP David] Davis a décrit le projet de loi comme une « charte de la censure ». Il a ajouté : « Les groupes de pression pourront pousser les réseaux sociaux à retirer le contenu qu'ils considèrent comme non politiquement correct, même si le contenu est légal » …

    Les militants craignent également que les entreprises technologiques utilisent l'intelligence artificielle pour identifier les contenus préjudiciables. Cela, disent-ils, peut introduire des préjugés raciaux et censurer à tort le langage, "surtout en ce qui concerne les Britanniques qui aiment l'ironie".

    Les démocrates américains attaquent la liberté d'expression

    Pendant ce temps, aux États-Unis, la Health Misinformation Act, introduite par la sénatrice Amy Klobuchar, D-Minn., et la sénatrice Ben Ray Luján, DN.M., suspendrait les protections de l'article 230 de la Communications Decency Act dans les cas où les réseaux de médias sociaux sont trouvé pour stimuler les «complots anti-vaccins» et les tenir responsables d'un tel contenu. Dans un article du 22 juillet 2021, Tech Crunch a rapporté :7

    «Le projet de loi modifierait spécifiquement le libellé de l'article 230 pour révoquer les protections en matière de responsabilité en cas de« désinformation sur la santé créée ou développée via le service informatique interactif »si cette désinformation est amplifiée par un algorithme.

    L'exception proposée ne se déclencherait que lors d'une crise nationale déclarée de santé publique, comme l'avènement de COVID-19, et ne s'appliquerait pas en temps normal. Le projet de loi chargerait le secrétaire du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) de définir la désinformation sur la santé. »

    Comme pour le British Online Safety Bill, le Health Misinformation Act est un portail ouvert aux abus. Ironiquement, la Loi s'appuie en fait sur la désinformation pour faire valoir ses arguments. Il mentionne spécifiquement le rapport « Disinformation Dozen » du CCDH8, qui prétend faussement qu'une douzaine d'individus, dont moi-même, sont responsables de la majorité de la « désinformation anti-vax » partagée sur les plateformes de médias sociaux.

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  19. La « douzaine de désinformation » a une portée négligeable

    Pendant ce temps, dans une déclaration du 18 août 20219,10, la vice-présidente de la politique de contenu de Facebook, Monika Bickert, a déclaré qu'il n'y avait aucune preuve pour étayer les affirmations du CCDH et que les personnes désignées par le CCDH comme étant responsables de la grande majorité des La désinformation sur les vaccins sur les réseaux sociaux n'était en fait responsable que d'une infime fraction - 0,05 % - de tout le contenu des vaccins sur Facebook. Voici un extrait de la déclaration de Bickert11 :

    « Ces dernières semaines, il y a eu un débat pour savoir si le problème mondial de la désinformation sur le vaccin COVID-19 peut être résolu simplement en retirant 12 personnes des plateformes de médias sociaux. Les personnes qui ont avancé ce récit soutiennent que ces 12 personnes sont responsables de 73% de la désinformation sur les vaccins en ligne sur Facebook. Il n'y a aucune preuve pour étayer cette affirmation...

    En fait, ces 12 personnes ne sont responsables que d'environ 0,05 % de toutes les vues de contenu lié aux vaccins sur Facebook. Cela inclut tous les messages liés aux vaccins qu'ils ont partagés, qu'ils soient vrais ou faux, ainsi que les URL associées à ces personnes.

    Le rapport12 sur lequel est basé le récit erroné n'a analysé qu'un ensemble restreint de 483 éléments de contenu sur six semaines provenant de seulement 30 groupes, dont certains ne comptent que 2 500 utilisateurs. Ils ne sont en aucun cas représentatifs des centaines de millions de messages que les gens ont partagés sur les vaccins COVID-19 au cours des derniers mois sur Facebook.

    De plus, il n'y a aucune explication sur la façon dont l'organisation à l'origine du rapport a identifié le contenu qu'elle décrit comme « anti-vax » ou comment elle a choisi les 30 groupes qu'elle a inclus dans son analyse. Rien ne justifie leur affirmation selon laquelle leurs données constituent un « échantillon représentatif » du contenu partagé entre nos applications. »

    Il est assez clair que le CCDH existe pour fabriquer des « preuves » qui sont ensuite utilisées pour détruire l'opposition afin de contrôler l'information. En tant que tel, ce n'est vraiment rien de plus qu'un groupe de façade pour l'IGCD beaucoup plus vaste et mondial, qui vise à mettre fin à la liberté d'expression à travers le monde.

    Le « dénonciateur » qui n'est pas

    L'un des sales tours utilisés pour empêcher la liberté d'expression est d'employer de faux lanceurs d'alerte. Frances Haugen, l'ancienne employée de Facebook devenue « dénonciatrice » qui a témoigné devant le Congrès le 5 octobre 2021, accusant son ancien employeur d'aider les malfaiteurs, n'est pas une véritable dénonciatrice.

    Elle est légalement représentée par un cabinet appelé Whistleblower Aid, fondé par un avocat spécialisé dans la sécurité nationale, Mark Zaid, connu pour avoir trahi ses clients et se ranger du côté des procureurs.13

    Whistleblower Aid est financé par le milliardaire technologique et fondateur d'eBay Pierre Omidyar, et la Reset Initiative, qui fournit la logistique pour l'IGCD, fait partie du Omidyar Group of philanthropies.14 Cela vous dit tout ce que vous devez savoir sur le but recherché derrière le témoignage de Haugen . Tel que rapporté par The Grey Zone :15

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  20. « Haugen a souligné dans son témoignage qu'elle « ne veut pas briser » Facebook ; elle recherchait simplement une « modération du contenu » accrue pour éliminer « l'extrémisme » et la « (més/dés)information » … Haugen semble être un peu plus qu'un outil dans un plan de grande envergure visant à accroître le contrôle de l'État de sécurité nationale américain sur l'une des plateformes de médias sociaux les plus populaires au monde.

    En peu de temps, Haugen a réussi ce qui était impossible pour les autres lanceurs d'alerte. Elle a obtenu des audiences avec des législateurs en France, au Royaume-Uni et dans l'Union européenne pour discuter de la nécessité d'une plus grande censure.

    argent noir

    Au cours de l'année écoulée, le rapport fabriqué par le CCDH « Disinformation Dozen » a été utilisé à plusieurs reprises comme fondement d'appels visant à priver les citoyens américains de leurs droits à la liberté d'expression au titre du premier amendement. Il a été utilisé par les procureurs généraux et les politiciens élus, et il a été cité dans toutes les audiences Big Tech.16

    En plus d'être directement lié à l'IGCD mondial (rappelez-vous, Collins siège à la fois au conseil d'administration de l'IGCD et du CCDH), le CCDH est également lié à Arabella Advisors – le groupe de lobbying de l'argent noir le plus puissant des États-Unis17 – par le biais de Le président du CCDH, Simon Clark.18 (« L'argent noir » est un terme qui signifie que l'identité de ceux qui financent l'organisation est gardée secrète.)

    Clark est senior fellow au Center for American Progress19, où il se spécialise dans le « terrorisme intérieur de droite » (doit-on croire que le terrorisme de gauche n'existe pas ?), qui est financé par un milliardaire suisse libéral nommé Hansjörg Wyss.20,21

    Wyss finance également Arabella Advisors, qui gère un grand nombre de groupes de façade temporaires qui apparaissent et disparaissent selon les besoins d'une campagne donnée.22 Le journaliste Hayden Ludwig a décrit le fonctionnement interne d'Arabella Advisors et l'influence de "l'argent noir" qui coule à travers :23

    « Les organisations à but non lucratif d'Arabella sont les principaux bailleurs de fonds de la gauche pour les militants professionnels. De grandes fondations – y compris les fondations Gates, Buffett et Ford – ont blanchi des milliards de dollars via ce réseau, lavant leur identité des dollars qui servent à pousser des politiques radicales contre l'Amérique.

    Mais le vrai jus de ces organisations à but non lucratif vient de la vaste gamme de "groupes pop-up" qu'ils gèrent - appelés ainsi parce qu'ils consistent presque uniquement en des sites Web élégants qui peuvent apparaître un jour et apparaître le lendemain, généralement une fois la campagne terminée par.

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  21. Nous avons compté plus de 350 de ces groupes de façade poussant tout, du financement fédéral de l'avortement à la refonte de l'Obamacare en passant par la Cour suprême. Arabella est aussi sombre que l'« argent noir ». C'est aussi le meilleur exemple d'hypocrisie libérale sur des dépenses politiques anonymes, opérant dans l'obscurité presque totale…

    Alors que de plus en plus de cet énorme réseau de groupes - responsables de la production de près de 2,5 milliards de dollars depuis sa création - est devenu plus visible, une chose est devenue claire : lorsqu'un donateur d'intérêt spécial se rend à Arabella, il s'attend à un gain politique.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur Arabella Advisors et son influence cachée sur la politique américaine à travers des groupes de façade pop-up dans la série Capital Research Center, « Arabella’s Long War Against Trump’s Department of the Interior »24.

    Une guerre ouverte contre le public

    Nous sommes maintenant dans une situation où poser des questions valables sur les mesures de santé publique est assimilé à des actes de terrorisme domestique. C'est incroyable, et pourtant nous y sommes.

    Au cours des deux dernières années, la rhétorique utilisée contre ceux qui remettent en question le bien-fondé de l'utilisation de contre-mesures pandémiques non scientifiques, telles que les masques faciaux et les verrouillages, ou partagent des données montrant que les thérapies géniques COVID-19 sont vraiment une mauvaise politique de santé publique, est devenue de plus en plus violente.

    Le Dr Peter Hotez a publiquement appelé à des attaques de cyberguerre contre les citoyens américains qui ne sont pas d'accord avec les récits officiels de COVID, et cette rhétorique vile a été publiée dans la prestigieuse revue scientifique Nature, de tous les lieux.25 Son article aurait dû déclencher la sonnette d'alarme au CCDH, le CCDH visait-il en fait à nous protéger de la haine en ligne.

    Mais le CCDH ne vise pas à protéger le public de la haine. Dans le double langage orwellien classique, il existe en fait pour le favoriser et le créer. Incidemment, la revue Nature a également publié un article du fondateur du CCDH, Imran Ahmed, dans lequel il discute de la nécessité de détruire « l'industrie anti-vaxx ». Comment lui, qui n'a pas de diplômes médicaux, a réussi à répondre aux exigences de publication est un mystère, et montre simplement que nous ne pouvons même pas faire confiance à certaines de nos revues médicales les plus estimées.

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  22. En fin de compte, les mensonges ne peuvent pas résister à la vérité, c'est précisément pourquoi le CCDH et l'IGCD font des heures supplémentaires pour « harmoniser » les lois à travers le monde démocratique afin de censurer tous les contre-discours.

    Dans son article, Ahmed a carrément menti, affirmant qu'il "avait assisté et enregistré une réunion privée de trois jours des anti-vaccins les plus éminents du monde". Loin d'être « privée », la réunion en question était en fait une conférence publique en ligne, ouverte à tous et à tous dans le monde, avec un accès aux conférences enregistrées faisant partie des frais d'inscription.

    Le fait qu'Ahmed ait menti sur un point aussi facilement vérifiable vous dit tout ce que vous devez savoir sur le CCDH – et par extension l'IGCD, avec qui il travaille clairement. En fin de compte, les mensonges ne peuvent pas résister à la vérité, c'est précisément pourquoi le CCDH et l'IGCD font des heures supplémentaires pour « harmoniser » les lois à travers le monde démocratique afin de censurer tous les contre-discours.

    Comme je l'ai déjà dit, pour le moment, il s'agit principalement de faire taire les questions et les vérités gênantes sur les tirs de COVID, mais à l'avenir, ces lois leur permettront de faire taire la discussion sur tout sujet qui menace le régime antidémocratique des mondialistes.

    Pour éviter un tel sort, nous devons être implacables dans notre quête et notre partage de la vérité, et nous devons exiger sans relâche que nos représentants élus défendent la liberté d'expression et d'autres droits constitutionnels.

    Read more at: Articles.Mercola.com

    https://www.naturalnews.com/2021-11-28-mercola-fully-vaccinated-will-never-happen.html

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  23. Feuille de route pour la poursuite des crimes liés au COVID


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    29 novembre 2021



    Francis Boyle est un invité régulier ; Je l'ai interviewé deux fois en 2020 sur la probabilité que le SARS-CoV-2 ait été conçu dans un laboratoire. Les antécédents de Boyle comprennent un diplôme de premier cycle de l'Université de Chicago, un doctorat en droit (avocat) de Harvard et un doctorat. en science politique. Il est professeur de droit international à la faculté de droit de l'Université de l'Illinois et a écrit le livre "Biowarfare and Terrorism".1

    En 2020, lorsque nous avons initialement dialogué, toute mention du SRAS-CoV-2 comme étant une arme biologique artificielle était fortement censurée et si nous avions téléchargé cette vidéo sur YouTube, nous aurions été interdits au début de l'année dernière plutôt qu'il y a quelques mois. Aujourd'hui, la théorie des fuites de laboratoire a été reconnue comme probable même par les médias grand public achetés et payés.

    Nous avons également de nombreux documents montrant que le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), a financé des recherches illégales sur le gain de fonction sur les coronavirus alors qu'il y avait un moratoire fédéral sur ce type de recherche. Les National Institutes of Health et EcoHealth Alliance semblent également s'être entendus pour éviter de déclencher un examen secondaire de ces expériences de gain de fonction.2,3,4,5

    Des actes illégaux se sont produits

    Dans cette interview, nous explorons certaines des stratégies mises au point par Boyle pour poursuivre ces personnes pour ce qu'elles ont fait, car elles violent directement la législation et les traités qu'il a écrits il y a plus de 30 ans.

    Pendant des décennies, Boyle a plaidé contre le développement et l'utilisation d'armes biologiques, ce qu'il soupçonne d'être le COVID-19. Il a appelé à une législation sur la guerre biologique dès 1985, pour la Convention sur les armes biologiques, et a rédigé le Biological Weapons Anti-Terrorism Act6 qui a finalement été adopté à l'unanimité par les deux chambres du Congrès et promulgué par George Bush Sr. en 1989. Selon la loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989 : 7

    « Quiconque développe, produit, stocke, transfère, acquiert, conserve ou possède un agent biologique, une toxine ou un système de livraison pour utilisation comme arme, ou aide sciemment un État étranger ou toute organisation à le faire, se verra infliger une amende en vertu de la présente titre ou emprisonné à vie ou pour toute période d'années, ou les deux. Il existe une juridiction fédérale extraterritoriale sur une infraction en vertu du présent article commise par ou contre un ressortissant des États-Unis.

    Responsabilité lorsque les autorités fédérales ont été capturées

    Le problème auquel nous sommes confrontés aujourd'hui est que nous avons réalisé que même notre gouvernement fédéral a été capturé par des forces qui cherchent à détruire les États-Unis de l'intérieur. En tant que tel, nos autorités fédérales, y compris les juges fédéraux, ne chercheront jamais à faire appliquer la loi antiterroriste sur les armes biologiques.

    Comment pouvons-nous naviguer dans ce grave dilemme? Boyle pense qu'il existe un moyen, et cela implique de se concentrer sur les procureurs élus localement. Selon l'état, ils peuvent porter des titres tels que procureur de district, procureur d'État, procureur ou procureur de comté.8

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  24. Si nous parvenons même à faire en sorte qu'un des 400 procureurs locaux convoque un grand jury et renvoie des actes d'accusation pour meurtre et complot en vue de commettre un meurtre, tout ce château de cartes s'effondrera. ~ Francis Boyle
    Boyle explique le plan :

    « Je comparais devant des juges fédéraux depuis 1982 sur des questions de courage, d'intégrité et de principes. Je ne peux penser qu'à un seul juge fédéral qui nous a donné un procès équitable. Donc, nous ne pouvons pas compter sur les juges fédéraux pour tirer nos marrons du feu. Cela m'amène alors au 10e amendement à la Constitution des États-Unis.

    Les pouvoirs non délégués aux États-Unis par la Constitution, ni interdits par celle-ci aux États, sont réservés respectivement aux États, ou au peuple… Ma proposition est la suivante : le peuple américain, au niveau d'un État, d'une communauté locale, a d'aller voir nos procureurs locaux, c'est-à-dire les procureurs des États, les procureurs de district, les procureurs de comté, tout procureur local. Et la dernière fois que j'ai lu, il y en avait bien plus de 400 dans le pays.

    Ces procureurs locaux ne font pas partie du système fédéral. Ils ont été habilités par le 10e amendement à la Constitution des États-Unis. Ils sont élus démocratiquement par les citoyens de leur communauté.

    Les juges fédéraux ne sont élus par personne. Ils sont nommés par le président et une fois sur leur banc à vie, ils ne peuvent être révoqués que par mise en accusation, ce qui est presque impossible, et leurs salaires ne peuvent être réduits. Ils sont comme Dieu Tout-Puissant là-haut assis sur ces bancs fédéraux.

    Ce n'est pas le cas avec les procureurs d'État et locaux. Ils sont responsables devant les gens de la communauté… Je pense que si nous parvenons même à faire en sorte qu'un des 400 procureurs locaux convoque un grand jury et renvoie des actes d'accusation pour meurtre et complot en vue de commettre un meurtre, tout ce château de cartes s'effondrera… Donc, ce que je recommande, c'est deux étapes : une sur les frankenshots et une autre sur la pandémie de COVID. »

    Tenir les criminels responsables de la pandémie de COVID

    En commençant par la pandémie de COVID, Boyle recommande de s'organiser au niveau local et de faire le tour de tous vos procureurs locaux, en exigeant qu'ils convoquent un grand jury pour rechercher l'inculpation des responsables de COVID-19 pour meurtre et complot en vue de commettre un meurtre. Mais comment commençons-nous à identifier les coupables ? Boyle dit :

    « L'article [2015], « Un groupe semblable au SRAS de coronavirus de chauve-souris circulant constitue une menace pour l'émergence humaine »,9 est le pistolet fumant sur qui est derrière COVID-19. Qui est sur ce contrat ?

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  25. [Vineet] Menachery [Ph.D.] de l'Université de Caroline du Nord et d'autres personnes là-bas, dont [Ralph] Baric [Ph.D.]. Douze personnes sont nommées sur ce contrat à l'UNC BSL 3. Nous savons également que [le zoologiste Peter] Daszak travaillait avec Baric sur l'ensemble de ce projet. Une personne de la Food and Drug Administration a également été impliquée dans la recherche, le développement et les tests de COVID-19.

    Ce sont exactement les mêmes personnes, la FDA, qui autorisent tous ces frankenshots, y compris la semaine dernière pour les enfants de 5 à 11 ans. Ils ont donc développé cette arme de guerre biologique et maintenant ils approuvent tous les frankenshots. C'est un coup de poing contre le peuple américain…

    La Harvard Medical School est impliquée dans la recherche, le développement et les tests de COVID-19 et d'armes de guerre biologique offensives. Nous savons également que Harvard parrainait le BSL 4 [laboratoire de niveau 4 de biosécurité] à Wuhan, en Chine. Ce Wuhan BSL 4 est le Fort Detrick chinois. Il n'y a aucun doute là-dessus dans mon esprit.

    Et qui est le directeur actuel du CDC ? [Dr. Rochelle] Walensky. Elle est de la faculté de médecine de Harvard. Vous ne pouvez pas croire tout ce que le CDC ou Walensky vous dit. Ce sont des menteurs au visage chauve et ils l'ont toujours été.

    En effet, le CDC a été impliqué dans la recherche, le développement et les tests d'armes de guerre biologique offensives, j'ai pu le déterminer à partir de documents officiels du gouvernement, depuis le début des années 1980. Et ils ont ensuite – le CDC et Walensky – ratifié l'approbation par la FDA des frankenshots… Ils travaillent tous de mèche les uns avec les autres.

    De plus, si vous lisez les notes de bas de page de cet article, ils travaillent avec Fort Detrick. Donc, ils sont tous de mèche. Vous avez le Fort Detrick chinois, vous avez notre Fort Detrick, vous avez le UNC BSL 3, le Wuhan BSL 4, la Harvard Medical School – tous travaillant ensemble pour rechercher, développer et tester [cette arme biologique].

    Qui a financé tout ça ? Le contrat le dit assez clairement. Il a été financé par les National Institutes of Health, puis dirigé par le Dr Francis Collins. Il savait très bien ce qui se passait ici. Il était là-bas pour coopérer avec la Chine et le Wuhan BSL 4. Aussi, Anthony Fauci du NIAID. Il est là aussi.

    La plupart des recherches sur la guerre biologique ont eu lieu sous Fauci

    Selon Boyle, c'est l'abus du génie génétique par l'administration Reagan à des fins d'armes de guerre biologique qui a initialement contraint le Council for Responsible Genetics et Boyle à rédiger la loi de 1989 sur la lutte contre le terrorisme sur les armes biologiques.

    À peu près à la même époque, Reagan, sous l'influence des néoconservateurs qui croient à la guerre biologique et à la guerre biologique spécifique à l'ethnie, a nommé Fauci en charge du programme américain d'armes biologiques. "Environ 95% de toutes ces recherches sur la guerre biologique de type nazi ont été menées sous les auspices de Tony Fauci", a déclaré Boyle.

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  26. Définitions juridiques du « meurtre » et du « complot en vue du meurtre »

    Boyle a enseigné à la fois le droit pénal et le droit international des droits de l'homme. Il pratique également toujours le droit pénal, tant pour les poursuites que pour la défense. Selon Boyle, la common law anglo-américaine a une définition du « meurtre » qui s'applique dans tous les États des États-Unis à l'exception de la Louisiane, et c'est « le meurtre illégal d'un être humain avec méchanceté préméditée ».

    « Analysons cela », dit-il. « Le mot ‘illégal’ – toutes ces personnes que je viens de mentionner dans cette étude sous contrat…

    [Le terme] « meurtre d'êtres humains » – je pense que le nombre d'Américains qui ont été tués, assassinés par COVID-19, dépasse largement le million… terme de l'art.

    Il me faudrait trois, quatre, cinq sessions de cours différentes pour tout parcourir, mais un élément de la méchanceté de la prévoyance est la mise en danger imprudente des êtres humains et, clairement, ils le savaient. Si vous lisez les contrats et les études, ils savaient… que ce travail de gain de fonction était existentiellement dangereux et ils l'ont fait quand même.

    Il est clair que cela constitue une « mise en danger imprudente des êtres humains », une « malveillance préméditée. » Donc, vous avez tous les éléments là pour le meurtre, puis « un complot en vue de commettre un meurtre ». se réunir pour accepter de commettre un acte illégal - comme la violation de mon statut - ou un acte licite par des moyens illégaux.

    Donc, je pense que nous avons tous ces gens au moins pour meurtre et complot en vue de commettre un meurtre, et mon conseil est que si vous avez perdu un être cher ou un ami vivant dans la juridiction territoriale de l'un de ces procureurs locaux, ils auraient compétence de convoquer un grand jury et de rechercher des inculpations pour meurtre et complot en vue de commettre un meurtre contre toutes ces personnes. »

    Ainsi, en résumé, Boyle suggère de commencer la liste des actes d'accusation avec les 15 co-auteurs de l'article de 2015, « SARS-Like Cluster of Circulating Bat Coronavirus Pose Threat for Human Emergence »,10 et ceux qui l'ont financé, dont Collins, Fauci et Daszak (président d'EcoHealth Alliance).

    Et, encore une fois, la raison pour laquelle nous devons nous tourner vers des procureurs élus localement est que les procureurs généraux des États engagent des poursuites auprès des tribunaux fédéraux, dont nous savons qu'ils ont été capturés et ne poursuivront pas les crimes contre l'humanité. Les procureurs locaux, d'autre part, peuvent convoquer des grands jurys dans leur juridiction locale, même dans leur propre comté. Ainsi, cette stratégie contourne le pouvoir judiciaire fédéral capturé.

    "Nous ne pouvons pas nous fier aux tribunaux fédéraux, y compris la Cour suprême des États-Unis", a déclaré Boyle. « Il suffit de regarder ces exposés dans le Wall Street Journal, où nous avons découvert que plus de 130 juges fédéraux se prononçaient de manière contraire à l'éthique sur des cas où ils avaient des investissements impliqués. Je ne fais pas du tout confiance au pouvoir judiciaire fédéral pour faire la bonne chose ici. »

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  27. Comment poursuivre les tirs COVID

    Ensuite, nous devons trouver comment poursuivre les responsables des injections de COVID basées sur les gènes. Les mêmes définitions juridiques s'appliquent à eux. Eux aussi commettent « le meurtre illégal d’êtres humains avec méchanceté préméditée ».

    "Ici, nous avons une violation flagrante et évidente du Code de Nuremberg sur l'expérimentation médicale, qui est un crime de Nuremberg pour lequel le gouvernement des États-Unis a poursuivi des médecins nazis et en a exécuté certains", a déclaré Boyle.

    « En effet, vous pouvez lire tout cela dans le jugement du médecin de Nuremberg… La liste des médecins exécutés est juste là à la fin. Ce que nous voyons maintenant avec ces frankenshots pour enfants, c'est à nouveau le Dr Mengele à Auschwitz. C'est de là que vient ce Code de Nuremberg sur l'expérimentation médicale.

    Deuxièmement, le « meurtre illégal d'êtres humains » figure dans le jugement et les principes de la Charte de Nuremberg - la Charte, 1945, le jugement, 1946 et les principes de 1950 - définissant un crime contre l'humanité.

    Dans le jugement et les principes de la Charte de Nuremberg, « un crime contre l'humanité » est défini en partie comme « un meurtre, une extermination ou d'autres actes inhumains commis contre une population civile ». C'est ce qui se passe actuellement contre la population américaine.

    Et je dois souligner que la disposition « crime contre l'humanité » y a été ajoutée pour traiter précisément et exactement de la persécution nazie des citoyens juifs allemands. C'est exactement ce que l'administration Biden fait aujourd'hui à tous les citoyens américains – un crime contre l'humanité tel que défini par la Charte, le jugement et les principes de Nuremberg…

    Vous pouvez également lire ceci dans le Statut de Rome de la Cour pénale internationale. Le gouvernement des États-Unis n'est pas partie au Statut de Rome, mais il reflète le droit pénal international coutumier aujourd'hui…

    Un autre élément de « malveillance préméditée » est « une intention d'infliger la mort ou des lésions corporelles graves ». , mais vous aviez l'intention d'infliger des lésions corporelles graves à des êtres humains et cela a tué des êtres humains, un grand nombre d'entre eux.

    Ils avaient clairement l'intention et savaient que cela infligerait des lésions corporelles graves aux êtres humains. Il suffit de regarder ce qu'ils ont déjà concédé et signalé quels seraient les effets indésirables. La liste est étonnante. Donc, ils le savaient et ils l'ont fait quand même.

    Donc, ma position ici serait que, si vous pensez que vous avez perdu un être cher ou un ami à la suite des tirs francs, adressez-vous à votre procureur local et demandez-lui de poursuivre, devant un grand jury, des actes d'accusation pour meurtre et complot en vue de commettre un meurtre contre les directeurs généraux, les directeurs d'exploitation et les directeurs scientifiques de Pfizer, BioNTech, Moderna et Johnson & Johnson. »

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  28. Ressources

    Pour vous aider dans ces efforts, Boyle a créé un document qui résume la stratégie. Il recommande également de lire le livre de la journaliste australienne Sharri Markson, « What Really Happened in Wuhan ? "Je pense qu'elle a tout là", dit Boyle. "Elle n'a pas traité les frankenshots, mais elle a, je pense, un résumé valable de toutes les preuves qui ont été compilées jusqu'à présent, impliquant toutes ces personnes."

    Un autre excellent livre est le livre de Robert Kennedy Jr., "The Real Anthony Fauci". C'est au-delà de l'exceptionnel et un véritable acte d'accusation de Fauci. Il est difficile d'imaginer qu'il survivra à cette exposition. "Il devrait être inculpé de meurtre et de complot en vue de commettre un meurtre", a déclaré Boyle.

    Il existe également un rapport du House Minority Intelligence Committee de septembre 2020 qui examine les preuves disponibles à l'époque sur les origines de COVID-19 (« Les origines de la pandémie mondiale de COVID-19, y compris les rôles du Parti communiste chinois et de l'Organisation mondiale de la santé ”11).

    Toutes ces références peuvent être transmises à votre procureur local pour demander des inculpations pour meurtre et complot en vue de commettre un meurtre. Boyle peut également se rendre disponible en tant que consultant ou témoin expert dans les cas où un grand jury est convoqué avec succès.

    Résumé des étapes d'action

    Pour réitérer la thèse centrale, Boyle suggère de s'organiser localement pour trouver des personnes disposées, en tant que groupe, à faire appel à votre procureur local élu pour convoquer un grand jury et inculper les personnes soupçonnées d'être impliquées dans la création du SARS-CoV-2. , et les responsables des tirs COVID.

    Pour identifier votre procureur de district local, vous pouvez effectuer une recherche en ligne ou simplement rechercher le nom sur votre bulletin de vote le plus récent.

    « C'est la beauté de cela. Vous avez élu ces personnes et elles sont responsables devant vous », dit Boyle. « Vous payez leurs salaires et vous pouvez les désélire s'ils ne font pas ce que vous voulez qu'ils fassent.

    Donc, vous avez besoin d'un noyau de personnes dans votre communauté pour entrer, personnellement, pour une conversation face à face. Vous organisez une réunion, vous entrez, vous parlez à cette personne, vous pouvez apporter les livres, vous pouvez apporter ma conférence, vous pouvez apporter cette vidéo et dire : "Nous voulons que vous convoquiez un grand jury et que vous présentiez cette preuve.

    Bien entendu, il appartiendra au grand jury de décider s'il faut ou non remettre un acte d'accusation pour meurtre et complot en vue de commettre un meurtre contre qui que ce soit. Si le grand jury ne renvoie pas un acte d'accusation, eh bien, ils ne le font pas.

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  29. Mais un vieil adage dit qu'un procureur peut demander à un grand jury d'inculper un sandwich au jambon s'il le souhaite. Je pense que le procureur à ce moment-là dira : « OK, je vais examiner cela. » Ils ont du personnel ; ils peuvent rassembler les preuves et convoquer le grand jury.

    N'oubliez pas que vous devez communiquer personnellement avec les procureurs. Une campagne par e-mail ne vous mènera nulle part dans ce scénario. J'espère que vous pourrez également identifier des personnes dans votre communauté locale qui sont éloquentes, articulées et bien informées sur les faits.

    27 États poursuivant l'administration Biden au 12 novembre 2021

    Comme je l'ai mentionné dans l'interview, cette méthode est susceptible d'être beaucoup plus efficace si vous vivez dans une juridiction dans laquelle le procureur général de l'État a déjà déposé des poursuites devant le système judiciaire fédéral.

    Alors, regardez la liste ci-dessous. S'il vous arrive de vivre dans l'une de ces régions, les chances de réussite de vos efforts sont très élevées, car ils ont déjà porté plainte devant un tribunal fédéral. Tout ce que vous avez à faire est de les convaincre de convoquer un grand jury localement et d'inculper ces criminels pour meurtre.

    Ce sont les noms et adresses des 27 procureurs généraux des États qui poursuivent l'administration Biden au sujet des mandats de vaccin COVID-19 au 12 novembre 2021. Chaque État est hyperlien, car certains ont des informations supplémentaires sur COVID et leurs poursuites sur leurs sites .

    Par exemple, le procureur général de l'Arizona a rédigé un avis juridique détaillé sur les raisons pour lesquelles le gouvernement fédéral n'a pas compétence pour un mandat de vaccination en Arizona. Les poursuites ont été déposées devant les 5e, 6e, 7e, 8e et 11e cours d'appel de circuit.

    Action urgente requise

    En conclusion, Boyle dit :

    «Nous devons agir immédiatement – ​​dès que possible – pour arrêter cette folie nazie qui est imposée au peuple américain par l'administration Biden. Ils savent ce qu'ils font. Le chef de cabinet de Biden, Ron Klain, était derrière moi à la faculté de droit de Harvard et il était le tsar Ebola du président Obama. Obama aussi était derrière moi à la faculté de droit de Harvard.

    Klain a personnellement géré la dissimulation du fait que la pandémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest noire a commencé par le test de vaccins expérimentaux contre Ebola - en violation du Code d'expérimentation médicale de Nuremberg - qui est sorti du propre BSL 4 du gouvernement des États-Unis.

    Klain a couvert tout cela pour Obama et il est maintenant le chef de cabinet de Biden, c'est donc une situation très dangereuse. Ce type sait exactement ce qu'il fait. Il l'a déjà fait.

    À la suite de cette interview, Boyle en a donné plusieurs autres, dans lesquels il a souligné que les mandats « Frankenshot » sont un crime contre l'humanité de Nuremberg. Il m'a dit:

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  30. « Maintenant, avec la campagne de rappel, je ne peux que conclure que nous assistons à un génocide de Frankenshot contre le peuple américain. » L'avocat polonais Raphael Lemkin est connu pour avoir inventé le terme « génocide », qui désigne non seulement le meurtre physique d'un peuple, mais inclut également la destruction lente et intentionnelle d'une nation ou d'un groupe ethnique. Comme expliqué par Lemkin :

    « De manière générale, le génocide ne signifie pas nécessairement la destruction immédiate d'une nation, sauf lorsqu'il est accompli par des massacres de masse de tous les membres d'une nation.

    Il entend plutôt signifier un plan coordonné de différentes actions visant à détruire les fondements essentiels de la vie des groupes nationaux, dans le but d'anéantir les groupes eux-mêmes.

    Les objectifs d'un tel plan seraient la désintégration des institutions politiques et sociales, de la culture, de la langue, des sentiments nationaux, de la religion et de l'existence économique des groupes nationaux, et la destruction de la sécurité personnelle, de la liberté, de la santé, de la dignité et de la même la vie des individus appartenant à de tels groupes.

    Le génocide est dirigé contre le groupe national en tant qu'entité, et les actions impliquées sont dirigées contre des individus, non pas à titre individuel, mais en tant que membres du groupe national.

    Sources and References

    1 Bookshop.org, Biowarfare and Terrorism by Francis Boyle
    2 The Intercept November 3, 2021
    3 Daily Caller November 3, 2021 (Archived)
    4 Congressional Letter to Francis Collins October 27, 2021
    5 E&C Republicans November 3, 2021
    6, 7 S.993 Biological Weapons Anti-Terrorism Act of 1989
    8 OJP.gov The Prosecution Function: Local Prosecutors and the Attorney General
    9, 10 Nature Medicine 2015; 21(12): 1508–1513
    11 The Origins of the COVID-19 Global Pandemic, Including the Roles of the Chinese Communist Party and the World Health Organization, September 21, 2021

    https://www.lewrockwell.com/2021/11/joseph-mercola/roadmap-for-prosecuting-covid-crimes/

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  31. Une tempête de peur est sur nous


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 28 NOV 2021 - 14:10
    Via Freemanperspective.com,


    Je me suis juste assis devant mon ordinateur et j'ai vu qu'une nouvelle tempête de peur était sur nous.

    J'en ai vu des signes plus tôt dans la semaine, et maintenant il est arrivé. Et donc, brièvement, j'aimerais que tout le monde comprenne comment ces choses fonctionnent.

    Tout d'abord, veuillez noter que les tempêtes de peur sont coordonnées ; ils arrivent en grappes terrifiantes, avec plus ou moins tous les mégaphones dirigés par l'élite disant la même chose, jouant les mêmes « possibilités » terrifiantes.

    Et remarquez que vos réactions émotionnelles écartent totalement les « possibilités ».

    Vous ressentez presque le même choc que si les terreurs étaient certaines.

    Les humains ont un faible pour ça, et les gens derrière ces tempêtes de peur le savent.

    Le but d'une tempête de peur est que vous arrêtiez de penser rationnellement et que vous agissiez de manière réflexive. La peur nous fait ça, et les gens qui conduisent des tempêtes de peur peuvent évoquer plus de peur à tout moment. Les peurs imaginées sont infinies, après tout. Sortez un bloc de papier un certain temps et voyez combien de choses terrifiantes vous pouvez trouver en une demi-heure.

    Donc, si vous vous laissez ballotter par les possibilités, vous serez ballotté pour toujours.

    Les gens qui produisent ces choses le savent, et c'est leur stratégie gagnante.

    Au lieu d'écouter « les nouvelles » et de réagir aux médias sociaux (tenues qui monétisent votre peur), utilisez vos yeux et vos oreilles pour voir ce qui se passe dans le monde réel et physique. Le monde que vous voyez et entendez a-t-il changé au cours de la dernière journée ?

    Maintenant, avant d'envoyer ceci, j'aimerais que tout le monde reçoive ceci viscéralement :

    Une tempête de peur est un coup de poing.

    Alors, pourquoi ça frappe aujourd'hui ? Peut-être parce que des manifestations éclatent en Europe ? Peut-être parce que plus de personnes vaxxées meurent que de personnes non vaxxées ? Parce que les footballeurs tombent comme des mouches ?

    Je ne sais pas, mais je sais que le monde que je vois n'a pas changé depuis hier… du tout.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/fearstorm-upon-us

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    1. C'est aussi ce qui se passe depuis toujours. La guerre là-bas, la famine, un violent accident, un tremblement de terre, une épidémie, un attentat, les crimes sont au plus haut, l'arrivée prochaine d'une météorite, hausse des impôts, l'inflation bat tous le records, la planète va brûler (Global Warming), les sauterelles envahissent, etc, etc.
      Vous reconnaissez ?
      Il s'agit à la dictature de tout faire pour empêcher la migration vers les bonnes nouvelles.
      Aucun journal papier, radio ou télé ne va s'ouvrir sur: "Bonne nouvelle ! Voici le pays au monde où l'on ne paye pas d'impôt ! Zéro accident ou maladie ! Une île sous les cocotiers ! Et... en plus... c'est une Démocratie !"

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  32. "L’obéissance a toujours été plus dangereuse que la désobéissance civile" Sonia Delahaigue, psychologue


    le 28/11/2021 à 16:15


    Sonia Delahaigue : "la manipulation crée la rébellion".

    Sonia Delahaigue est psychologue spécialisée dans les questions de l’éducation et de l’enfance. Elle accompagne les enfants dans leur épanouissement et aide tous ceux qui font partie de l’environnement de l’enfant à mieux le connaître dans ses stades de développement.

    Dans la gestion de la crise sanitaire, une phrase maintes fois répétée dans le débat public l’a particulièrement interpellé : « les Français se sentent infantilisés ». Pour la psychologue, qui combat l'infantilisation, la soumission et l'obéissance et qui prône depuis des années une nouvelle forme d’éducation, cette phrase est révélatrice de la façon dont nous éduquons les enfants dans notre société.

    - voir clip sur site -

    Pourquoi les Français se sentent-ils infantilisés lorsque le gouvernement utilise des outils de domination, d’intimidation et de chantage ? Cela signifie-t-il que l’éducation la plus communément admise dans notre société s'appuie sur ce type d’outils éducatifs ? Si certains acceptent que le gouvernement utilise de telles méthodes, c’est peut-être parce qu’ils ont subi cette forme d’éducation…

    Pour la psychologue, l’obéissance a toujours été plus dangereuse que la désobéissance civile. L’expérience de Milgram illustre son propos : sous prétexte qu’ils participaient à une expérience, 62 % des individus étaient capables de soumettre leurs collèges à toujours plus de chocs électriques, malgré leurs cris de douleur (jusqu’à 80 % dans des expériences similaires). Tout individu peut donc commettre les pires atrocités quand l’autorité qui lui ordonne de le faire est, à ses yeux, légitime.

    Ce qui est dangereux selon Sonia Delahaigue, est que l’éducation se fonde en grande partie sur l’obéissance, à l’école comme à la maison. Or, demander à un enfant d’obéir à un adulte est dangereux, puisqu’une fois devenu adulte, il répètera ce schéma d’obéissance, sans questionnement, même inconsciemment. Pour éviter cela, elle nous explique pourquoi il est préférable d’adopter des règles dites de protection, pour instaurer une éducation saine, plutôt que des règles de domination, caractérisées par le chantage ainsi que par leur aspect arbitraire et changeant. À l’inverse, une règle de protection est bienveillante, cohérente et juste.

    Sonia Delahaigue exerce à Asnières-sur-Seine, dans son cabinet de psychologie, d’ateliers et de formations qu'elle a nommé « Le centre Chrysalide », en référence au stade de développement intermédiaire entre la chenille et le papillon. Elle y reçoit les enfants et leurs entourages pour les accompagner dans leur éducation et aider les enfants à devenir des adultes épanouis.

    https://www.francesoir.fr/videos-lentretien-essentiel/sonia-delahaigue

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    1. Comment dire à des dizaines de millions de personnes qu'ils ou elles sont des cons ? des bons à rien, qu'ils ou elles ne comprennent pas, ne savent pas ce qu'est le danger, la finance, la politique. Contentez-vous de faire du sport, du foot, du vélo, des marches à pieds et d'être à l'heure au travail !

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  33. Révélé : des documents montrent que Bill Gates a donné 319 millions de dollars aux médias

    En passant au crible plus de 30 000 subventions dans la base de données de l'entreprise, MintPress peut révéler que la Fondation Gates a financé des centaines de médias et d'entreprises, à hauteur d'au moins 319 millions de dollars.


    15 novembre 2021
    Par Alan Macleod


    SEATTLE – Jusqu'à son récent divorce désordonné, Bill Gates bénéficiait d'une sorte de laissez-passer gratuit dans les médias d'entreprise. Généralement présenté comme un gentil nerd qui veut sauver le monde, le cofondateur de Microsoft a même été surnommé sans ironie « Saint Bill » par The Guardian.

    Alors que les empires médiatiques d'autres milliardaires sont relativement bien connus, la mesure dans laquelle l'argent de Gates garantit le paysage médiatique moderne ne l'est pas. Après avoir trié plus de 30 000 subventions individuelles, MintPress peut révéler que la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) a fait plus de 300 millions de dollars de dons pour financer des projets médiatiques.

    Les destinataires de cet argent comprennent bon nombre des médias les plus importants des États-Unis, notamment CNN, NBC, NPR, PBS et The Atlantic. Gates parraine également une myriade d'organisations étrangères influentes, dont la BBC, The Guardian, The Financial Times et The Daily Telegraph au Royaume-Uni ; des journaux européens de premier plan tels que Le Monde (France), Der Spiegel (Allemagne) et El País (Espagne) ; ainsi que de grands diffuseurs mondiaux comme Al-Jazeera.

    L'argent de la Fondation Gates destiné aux programmes médiatiques a été divisé en plusieurs sections, présentées par ordre numérique décroissant, et comprend un lien vers la subvention correspondante sur le site Web de l'organisation.

    Récompenses directement aux médias :

    NPR - 24 663 066 $
    The Guardian (y compris TheGuardian.org) – 12 951 391 $
    Médias publics en cascade – 10 895 016 $
    Public Radio International (PRI.org/TheWorld.org) - 7 719 113 $
    La conversation - 6 664 271 $
    Univision - 5 924 043 $
    Der Spiegel (Allemagne) - 5 437 294 $
    Syndicat de projet - 5 280 186 $
    Semaine de l'éducation – 4 898 240 $
    WETA - 4 529 400 $
    NBCUniversal Media - 4 373 500 $
    Nation Media Group (Kenya) – 4 073 194 $
    Le Monde (France) - 4 014 512 $
    Bhekisisa (Afrique du Sud) – 3 990 182 $
    El País – 3 968 184 $
    BBC - 3 668 657 $
    CNN - 3 600 000 $
    KCET - 3 520 703 $
    Population Communications International (population.org) – 3 500 000 $
    Le Daily Telegraph – 3 446 801 $
    Chalkbeat – 2 672 491 $
    The Education Post - 2 639 193 $
    Rockhopper Productions (Royaume-Uni) – 2 480 392 $
    Société de radiodiffusion publique - 2 430 949 $
    Upworthy - 2 339 023 $
    Financial Times – 2 309 845 $
    Les 74 médias - 2 275 344 $
    Texas Tribune - 2 317 163 $
    Punch (Nigéria) – 2 175 675 $
    Nouvelles en profondeur - 1 612 122 $
    L'Atlantique - 1 403 453 $
    Radio publique du Minnesota - 1 290 898 $
    YR Media - 1 125 000 $
    Le nouvel humanitaire - 1 046 457 $
    Sheger FM (Éthiopie) – 1 004 600 $
    Al-Jazeera - 1 000 000 $
    ProPublica - 1 000 000 $
    Médias publics croisés – 810 000 $
    Magazine Grist - 750 000 $
    Kurzgesagt – 570 000 $
    Société de radiodiffusion éducative – 506 504 $
    Classique 98,1 – 500 000 $
    PBS – 499 997 $
    Fou de Bassan – 499 651 $
    Mail and Guardian (Afrique du Sud) - 492 974 $
    À l'intérieur de l'enseignement supérieur - 439 910 $
    Jour ouvrable (Nigéria) – 416 900 $
    Medium.com – 412 000 $
    Nutopia - 350 000 $
    Independent Television Broadcasting Inc. – 300 000 $
    Service de télévision indépendant, Inc. – 300 000 $
    Caixin Media (Chine) – 250 000 $
    Service d'information du Pacifique – 225 000 $
    Journal national – 220 638 $
    Chronique de l'enseignement supérieur - 149 994 $
    Belle et Wissell, comté de 100 000 $
    Fiducie médiatique – 100 000 $
    Radio publique de New York – 77 290 $
    KUOW - Radio publique Puget Sound - 5 310 $

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  34. Ensemble, ces dons totalisent 166 216 526 $. L'argent est généralement dirigé vers des problèmes proches du cœur de Gatese. Par exemple, la subvention de 3,6 millions de dollars de CNN a été consacrée à « un reportage sur l'égalité des sexes avec un accent particulier sur les pays les moins avancés, en produisant du journalisme sur les inégalités quotidiennes subies par les femmes et les filles à travers le monde », tandis que le Texas Tribune a reçu des millions pour « accroître la sensibilisation et l'engagement du public sur les questions de réforme de l'éducation au Texas. » Étant donné que Bill est l'un des plus fervents partisans des écoles à charte, un cynique pourrait interpréter cela comme une propagande pro-entreprise des écoles à charte dans les médias, déguisée en reportage objectif.

    La Fondation Gates a également donné près de 63 millions de dollars à des organisations caritatives étroitement liées aux grands médias, dont près de 53 millions de dollars à BBC Media Action, plus de 9 millions de dollars à la Staying Alive Foundation de MTV et 1 million de dollars au New York Times Neediest Causes Fund. Bien qu'ils ne financent pas spécifiquement le journalisme, les dons à la branche philanthropique d'un acteur multimédia doivent tout de même être notés.

    Gates continue également de souscrire à un vaste réseau de centres de journalisme d'investigation, totalisant un peu plus de 38 millions de dollars, dont plus de la moitié sont allés au Centre international des journalistes basé à Washington pour étendre et développer les médias africains.

    Ces centres comprennent :

    Centre international des journalistes - 20 436 938 $
    Premium Times Center for Investigative Journalism (Nigéria) – 3 800 357 $
    Le Pulitzer Center for Crisis Reporting – 2 432 552 $
    Fondation EurActiv Politech – 2 368 300 $
    Fondation internationale des médias des femmes - 1 500 000 $
    Centre de reportage d'enquête - 1 446 639 $
    Institut InterMedia Survey – 1 297 545 $
    Le Bureau du journalisme d'investigation - 1 068 169 $
    Réseau Internews – 985 126 $
    Centre des médias du Consortium des communications – 858 000 $
    Institute for Nonprofit News - 650 021 $
    Le Poynter Institute for Media Studies - 382 997 $
    Centre Wole Soyinka pour le journalisme d'investigation (Nigéria) - 360 211 $
    Institut d'études avancées en journalisme - 254 500 $
    Forum mondial pour le développement des médias (Belgique) – 124 823 $
    Mississippi Center for Investigative Reporting – 100 000 $
    En plus de cela, la Fondation Gates offre également de l'argent aux associations de presse et de journalisme, à hauteur d'au moins 12 millions de dollars. Par exemple, la National Newspaper Publishers Association — un groupe représentant plus de 200 points de vente — a reçu 3,2 millions de dollars.

    La liste de ces organisations comprend :

    Association des écrivains en éducation – 5 938 475 $
    Association nationale des éditeurs de journaux – 3 249 176 $
    Fondation nationale de la presse - 1 916 172 $
    Conseil de presse de Washington - 698 200 $
    Fondation de l'American Society of News Editors - 250 000 $
    Comité des journalistes pour la liberté de la presse - 25 000 $
    Cela porte notre total cumulé à 216,4 millions de dollars.

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  35. La fondation finance également la formation directe de journalistes du monde entier, sous forme de bourses, de cours et d'ateliers. Aujourd'hui, il est possible pour un individu de suivre une formation de journaliste grâce à une subvention de la Fondation Gates, de trouver du travail dans un point de vente financé par Gates et d'appartenir à une association de presse financée par Gates. Cela est particulièrement vrai des journalistes travaillant dans les domaines de la santé, de l'éducation et du développement mondial, ceux dans lesquels Gates lui-même est le plus actif et où l'examen minutieux des actions et des motivations du milliardaire est le plus nécessaire.

    Les subventions de la Fondation Gates relatives à l'instruction des journalistes comprennent :

    Université Johns Hopkins - 1 866 408 $
    Teachers College, Columbia University - 1 462 500 $
    Université de Californie à Berkeley - 767 800 $
    Université Tsinghua (Chine) – 450 000 $
    Université de Seattle – 414 524 $
    Institut d'études avancées en journalisme - 254 500 $
    Université de Rhodes (Afrique du Sud) – 189 000 $
    Université d'État de Montclair - 160 538 $
    Fondation universitaire panatlantique – 130 718 $
    Organisation mondiale de la santé – 38 403 $
    Le projet Aftermath - 15 435 $

    La BMGF finance également un large éventail de campagnes médiatiques spécifiques à travers le monde. Par exemple, depuis 2014, elle a fait un don de 5,7 millions de dollars à la Population Foundation of India afin de créer des pièces de théâtre qui promeuvent la santé sexuelle et reproductive, dans le but d'augmenter les méthodes de planification familiale en Asie du Sud. Pendant ce temps, il a alloué plus de 3,5 millions de dollars à une organisation sénégalaise pour développer des émissions de radio et du contenu en ligne contenant des informations sur la santé. Les partisans considèrent que cela aide des médias gravement sous-financés, tandis que les opposants pourraient considérer qu'il s'agit d'un milliardaire utilisant son argent pour diffuser ses idées et ses opinions dans la presse.

    Profil bas, longs tentacules

    Par rapport à d'autres milliardaires de la technologie, Gates a gardé son profil de contrôleur des médias relativement bas. L'achat du Washington Post par le fondateur d'Amazon Jeff Bezos pour 250 millions de dollars en 2013 était une forme d'influence médiatique très claire et évidente, tout comme la création par le fondateur d'eBay Pierre Omidyar de First Look Media, la société propriétaire de The Intercept.

    Bien qu'ils passent plus inaperçus, Gates et ses entreprises ont accumulé une influence considérable dans les médias. Nous comptons déjà sur des produits appartenant à Microsoft pour la communication (par exemple, Skype, Hotmail), les médias sociaux (LinkedIn) et le divertissement (Microsoft XBox). De plus, le matériel et les logiciels que nous utilisons pour communiquer sont souvent fournis par le Seattleite de 66 ans. Combien de personnes lisant ceci le font sur un téléphone Microsoft Surface ou Windows et le font via le système d'exploitation Windows ? Non seulement cela, Microsoft détient des participations dans des géants des médias tels que Comcast et AT&T. Et le « MS » dans MSNBC signifie Microsoft.

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  36. Les gardiens des portes des médias

    Le fait que la Fondation Gates finance une partie importante de notre écosystème médiatique entraîne de graves problèmes d'objectivité. « Les subventions de la fondation aux organisations de médias… soulèvent des questions de conflit d'intérêts évidentes : comment les reportages peuvent-ils être impartiaux lorsqu'un acteur majeur tient les cordons de la bourse ? » a écrit le Seattle Times local de Gates en 2011. C'était avant que le journal n'accepte l'argent de la BMGF pour financer sa section « laboratoire d'éducation ».

    Les recherches de Schwab ont révélé que ce conflit d'intérêts va jusqu'au sommet : deux chroniqueurs du New York Times avaient écrit avec enthousiasme sur la Fondation Gates pendant des années sans révéler qu'ils travaillaient également pour un groupe - le Solutions Journalism Network - qui, comme le montre ci-dessus, a reçu plus de 7 millions de dollars de l'association caritative du milliardaire technologique.

    Plus tôt cette année, Schwab a également refusé de co-reporter une histoire sur COVAX pour le Bureau of Investigative Journalism, soupçonnant que l'argent que Gates avait injecté dans le magasin rendrait impossible un reportage précis sur un sujet si proche du cœur de Gates. Effectivement, lorsque l'article a été publié le mois dernier, il a répété l'affirmation selon laquelle Gates avait peu à voir avec l'échec de COVAX, reflétant la position de la BMGF et les citant tout au long. Ce n'est qu'à la toute fin de l'histoire de plus de 5 000 mots qu'il a révélé que l'organisation qu'elle défendait payait les salaires de son personnel.

    « Je ne crois pas que Gates ait dit au Bureau of Investigative Journalism quoi écrire. Je pense que le bureau savait implicitement, voire inconsciemment, qu'il devait trouver un moyen de raconter cette histoire qui ne visait pas son bailleur de fonds. Les effets biaisés des conflits financiers sont complexes mais très réels et fiables », a déclaré Schwab, le décrivant comme « une étude de cas sur les périls du journalisme financé par Gates ».

    MintPress a également contacté la Fondation Bill et Melinda Gates pour commentaires, mais n'a pas répondu.

    Gates, qui a amassé sa fortune en construisant un monopole et en protégeant avec zèle sa propriété intellectuelle, porte une responsabilité importante dans l'échec du déploiement du vaccin contre le coronavirus à travers le monde. Indépendamment du fiasco du COVAX, il a fait pression sur l'Université d'Oxford pour qu'elle ne rende pas son vaccin financé par l'État open source et accessible à tous gratuitement, mais plutôt pour s'associer à la société privée AstraZeneca, une décision qui signifiait que ceux qui ne pouvaient pas payer étaient bloqués de l'utiliser. Le fait que Gates ait fait plus de 100 dons à l'université, totalisant des centaines de millions de dollars, a probablement joué un rôle dans la décision. À ce jour, moins de 5 % des habitants des pays à faible revenu ont reçu ne serait-ce qu'une seule dose de vaccin COVID. Le nombre de morts qui en découle est immense.

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  37. Malheureusement, bon nombre de ces vraies critiques de Gates et de son réseau sont obscurcies par des théories du complot sauvages et fausses sur des choses telles que l'insertion de puces électroniques dans les vaccins pour contrôler la population. Cela signifie que les véritables critiques du cofondateur de Microsoft sont souvent démonétisées et supprimées de manière algorithmique, ce qui signifie que les médias sont fortement dissuadés de couvrir le sujet, sachant qu'ils perdront probablement de l'argent s'ils le font. Le manque d'examen minutieux du deuxième individu le plus riche du monde alimente à son tour des soupçons étranges.

    Gates le mérite certainement. Indépendamment de ses liens profonds et potentiellement de plusieurs décennies avec le tristement célèbre Jeffrey Epstein, ses tentatives pour changer radicalement la société africaine et son investissement dans le géant chimique controversé Monsanto, il est peut-être le principal moteur du mouvement américain des écoles à charte – une tentative de privatiser essentiellement le système éducatif américain. Les écoles à charte sont profondément impopulaires auprès des syndicats d'enseignants, qui voient le mouvement comme une tentative de réduire leur autonomie et de réduire le contrôle public sur la façon dont et ce que l'on enseigne aux enfants.

    Jusqu'à la banque

    Dans la plupart des reportages, les dons de Gates sont largement présentés comme des gestes altruistes. Pourtant, beaucoup ont souligné les défauts inhérents à ce modèle, notant que permettre aux milliardaires de décider ce qu'ils font avec leur argent leur permet de définir l'agenda public, leur donnant un pouvoir énorme sur la société. "La philanthropie peut et est utilisée délibérément pour détourner l'attention des différentes formes d'exploitation économique qui sous-tendent les inégalités mondiales aujourd'hui", a déclaré Linsey McGoey, professeur de sociologie à l'Université d'Essex, au Royaume-Uni, et auteur de No Such Thing as a Free Gift : La Fondation Gates et le Prix de la Philanthropie. Elle ajoute:

    Le nouveau « philanthrocapitalisme » menace la démocratie en augmentant le pouvoir du secteur des entreprises au détriment des organisations du secteur public, qui sont de plus en plus confrontées à des compressions budgétaires, en partie en rémunérant excessivement les organisations à but lucratif pour fournir des services publics qui pourraient être fournis à moindre coût sans participation du secteur privé.

    La charité, comme l'a noté l'ancien Premier ministre britannique Clement Attlee, « est une chose sans amour et gris froid. Si un homme riche veut aider les pauvres, il doit payer ses impôts avec plaisir, et non pas distribuer de l'argent sur un coup de tête.

    Rien de tout cela ne signifie que les organisations qui reçoivent l'argent de Gates - médias ou autres - sont irrémédiablement corrompues, ni que la Fondation Gates ne fait aucun bien dans le monde. Mais cela introduit un conflit d'intérêts flagrant par lequel les institutions mêmes sur lesquelles nous comptons pour tenir responsable l'un des hommes les plus riches et les plus puissants de l'histoire de la planète sont discrètement financées par lui. Ce conflit d'intérêts est un conflit que les médias d'entreprise ont largement essayé d'ignorer, tandis que le philanthrope prétendument altruiste Gates ne cesse de s'enrichir, riant jusqu'à la banque.

    https://www.mintpressnews.com/documents-show-bill-gates-has-given-319-million-to-media-outlets/278943/

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    1. Depuis plus de 19 mois le mot 'virus' est employé incorrectement par les politiques, journalistes et certains scientifiques qui suivent les directives. Or, ce mot (voir dictionnaire !) désigne une nano-poussière (inférieure au micron) éjectée (par milliards de milliards) du magma et qui remonte à la surface des eaux par les productions continuelles de gaz évacuées de la masse ferrique incandescente. Celles-ci sont consommées continuellement par des milliards de poissons (consommés par des milliards d'êtres humains).
      Le mot virus est aussi incorrectement employé pour les attaques sur ordinateurs (qui ne relèvent pas de poussières).
      Il n'est pas à confondre avec le mot microbe qui lui est vivant et transmet des maladies.
      C'est sur ce point important qu'il faut s'arrêter pour comprendre.

      Imaginer, créer et vendre des anti-poussières n'est en aucun cas répréhensible.
      Ainsi, sont proposés diverses solutions d'expérimentations géniques d'essais. Là: c'est répréhensible.
      Répréhensible car ces expérimentations géniques d'essais ne sont pas là pour protéger de la respiration des poussières microscopiques et parfaitement inoffensives mais pour convaincre qu'elles ne sont là que pour apporter la santé aux humains. Choses parfaitement interdites car elles n'ont pas été 1°) testées auparavant sur des animaux et, 2°) destinées à modifier l'organisme humains sans qu'il ne sache. 3°) Il ne s'agit pas là d'apporter un remède aux attaques de microbes qui serait insurmontables mais d'en proposer ! en des injections !!
      L'injection de maladies dans l'organisme est punie par la loi.

      (...) Le nouveau « philanthrocapitalisme » menace la démocratie (...)

      Il n'existe pas de Démocratie en pays en dictatures (républicaines, monarchiques ou impériales).

      Le conflit porte donc sur les poisons proposés (et rendus obligatoires en certains pays !) et sur les corruptions pour en établir les validités.

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  38. 62 % des citoyens suisses votent pour conserver les passeports pour les vaccins Covid


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 29 NOV 2021 - 04:15


    Dans un monde où des millions de personnes protestent quotidiennement contre la tyrannie rampante d'un grand gouvernement qui abuse de la tragi-comédie interminable de la covid pour devenir tellement plus grande qu'elle ferait même grincer des dents George Orwell, un pays a en fait eu l'occasion de mettre fin aux "passeports vaccinaux" et l'a totalement fait exploser : malgré des mois de protestations, les citoyens suisses ont massivement voté pour maintenir en place le système de certificats de vaccination Covid du pays (sans surprise, l'accord a été adouci par la promesse d'une aide financière aux électeurs).

    Selon RT, dimanche, un peu plus de 62 % des électeurs ont choisi de maintenir les mesures du pays contre les coronavirus qui incluent un système controversé de certificats de vaccination Covid, requis depuis septembre pour entrer dans les bars, restaurants, théâtres et autres espaces publics. Des majorités dans 24 des 26 cantons suisses ont soutenu la loi, seuls les petits cantons de Schwyz et d'Appenzell Rhodes-Intérieures rejetant les mesures.

    - voir cadre sur site -

    Et depuis que covid est devenu le meilleur ami de tous les politiciens, tous les partis politiques suisses, à l'exception du Parti populaire suisse de droite, ont soutenu la loi, qui a été soumise au vote après que des groupes anti-confinement ont rassemblé près de 200 000 signatures pour la contester plus tôt cette année. Dans le système suisse de démocratie directe, toute initiative peut être soumise au vote avec 100 000 signatures.

    Curieusement, alors que les électeurs en juin ont soutenu l'introduction des mesures à 60%, ces derniers mois ont vu des protestations éclater dans les villes suisses à propos de l'introduction des certificats de vaccination. En octobre, la police a utilisé des balles en caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des canons à eau pour disperser des foules de personnes qui ont franchi les barrières à l'extérieur du bâtiment du parlement à Berne. Et pourtant, près de six mois plus tard, le soutien aux mesures controversées semble être encore plus élevé qu'au moment de leur introduction - on se demande presque si tout le référendum s'est fait par courrier...

    Hélas, nous ne connaîtrons jamais la réponse.

    "Le processus démocratique a été respecté mais la loi est toujours inconstitutionnelle", a déclaré Michelle Cailler du groupe "Amis de la Constitution" après le vote de dimanche. Le groupe de Cailler était l'un des nombreux qui ont fait campagne contre la loi.

    Céline Amaudruz du Parti populaire suisse, qui est actuellement en tête des sondages d'opinion en Suisse, a appelé le gouvernement à prendre des mesures « cohérentes et mesurées », plutôt que de traiter le résultat comme un « chèque en blanc » pour imposer toutes les politiques liées au coronavirus qu'il souhaite .

    La loi votée prévoit plus que des passeports vaccinaux. Il étend également le soutien financier aux citoyens et aux entreprises touchés par la pandémie, une disposition qui a peut-être séduit certains électeurs réticents.

    https://www.zerohedge.com/markets/62-swiss-voters-chose-keep-covid-vaccine-passports

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    1. Comme l'a dit Astrid Stuckelberger, les enveloppes de vote par correspondance n'étaient pas collables (elles l'auraient été sut été la même chose car lorsqu'il s'agit d'enveloppes de vote qui transitent...).

      🇨🇭 ASTRID STUCKELBERGER - AH-SI ÉMISSION SPÉCIALE (Suisse, Belgique, Lille, Toulon)

      Démarre à 6 minutes. Émission au son massacré en publication.
      1:22:50 - Astrid Stuckelberger parle de la fraude (portée jusqu'en 2032) à la votation (La Suisse enregistrée... en Belgique !!) - durée de son intervention réduite à moins de ¼ d'heure sur 2:59:41 !!

      https://odysee.com/@Enki_AH2020:f/EMISSION-SP%C3%89CIALE-AH-SI-avec-Astrid-Stuckelberger---Francis-Lalanne:8

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    2. Le Maastricht suisse devenu le Barcelone.

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  39. La course à la fusion nucléaire devient privée


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 29 NOV 2021 - 05:00
    Rédigé par Haley Zaremba via OilPrice.com,


    La fusion nucléaire a été considérée comme le « Saint Graal de l'énergie propre », mais c'est une entreprise extrêmement coûteuse.

    Des pays du monde entier ont collaboré à des expériences de fusion nucléaire.

    Les entreprises privées se lancent maintenant dans la course et les investisseurs sont prêts à débourser d'énormes sommes d'argent pour les meilleurs et les plus brillants du domaine.

    Au cours des 100 dernières années, la fusion nucléaire commerciale a existé dans un domaine bien plus proche de la science-fiction que de la pratique scientifique. En fait, lorsque le mathématicien et astronome anglais Arthur Eddington a émis l'hypothèse que notre soleil et nos étoiles généraient leur propre énergie grâce à un processus de fusion d'atomes pour créer des quantités massives d'énergie, de chaleur et de lumière il y a tout juste un siècle, il a failli être considéré comme un charlatan. Mais depuis ce temps, la fusion nucléaire a progressé à pas de géant, des expériences de pensée aux expériences testées en laboratoire, et au cours des dernières années, aux percées majeures qui suggèrent que la fusion commerciale pourrait enfin être au coin de la rue.

    La fusion nucléaire est recherchée comme le « Saint Graal de l'énergie propre » car il s'agit d'une source d'énergie totalement propre avec le potentiel de créer une puissance essentiellement illimitée avec absolument aucune émission de gaz à effet de serre si la pleine puissance des réactions de fusion peut être exploitée par les humains.

    « En termes simples, la fusion nucléaire est le processus par lequel deux noyaux atomiques légers se combinent pour former un seul plus lourd tout en libérant des quantités massives d'énergie, explique l'Agence internationale de l'énergie atomique.

    "Les réactions de fusion ont lieu dans un état de la matière appelé plasma - un gaz chaud et chargé composé d'ions positifs et d'électrons en mouvement libre qui possède des propriétés uniques distinctes des solides, des liquides et des gaz."

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  40. L'astuce consiste à créer un environnement ici sur Terre qui facilite la fusion, mais recréer le type de conditions trouvées au cœur du soleil est une tâche difficile. Étonnamment, les scientifiques sont déjà capables de créer des réactions de fusion nucléaire artificielles dans des espaces contrôlés. Le problème est que provoquer ces réactions nécessite d'immenses quantités d'énergie, et jusqu'à présent, les expériences de fusion nucléaire contrôlées n'ont pas été en mesure de produire plus d'énergie qu'elles n'en consomment.

    Expérimenter la fusion nucléaire est une entreprise extrêmement coûteuse. Les réacteurs qui sont construits suffisamment gros pour réaliser une fusion potentiellement viable commercialement sont massifs et nécessitent d'énormes quantités de matériaux coûteux ainsi que des années de recherche et développement menées par certains des scientifiques les plus intelligents. En raison de ces barrières massives à l'entrée, d'énormes projets gouvernementaux ont mené la charge vers la fusion nucléaire.

    ITER, un projet intergouvernemental situé dans le sud de la France, a annoncé qu'il prévoyait d'atteindre une énergie nette positive dans son énorme réacteur tokamak d'ici 2036, avec un prix d'environ 22 milliards de dollars. La Chine possède également un « soleil artificiel » qui a établi un record pour une réaction de plasma nucléaire soutenue cet été. Mais maintenant, pour la première fois dans l'histoire de la fusion nucléaire, des entreprises privées se lancent dans la course pour arriver en premier à la fusion commerciale.

    Dans ce qui peut être considéré comme un signe clair que la fusion nucléaire se rapproche de la viabilité, les financiers privés s'impliquent dans le processus de recherche et développement et injectent de l'argent dans les startups de fusion nucléaire. Ce mois-ci, Helion Energy, basée dans l'État de Washington, a fait l'objet de ce qui serait la plus grande levée de fonds pour une entreprise de fusion privée de l'histoire. La société a levé 500 millions de dollars au cours de cette seule ronde et recevra 1,7 milliard de dollars supplémentaires, sous réserve de l'atteinte des jalons de performance désignés. Le réacteur d'Helion a déjà atteint le seuil de température nécessaire de 100 millions de degrés Celsius, et la société affirme qu'il atteindra une énergie nette positive d'ici 2024.

    "D'autres entreprises privées ont fixé des objectifs similaires : TAE Technologies en Californie affirme qu'il sera commercialement viable d'ici 2030, tandis que Commonwealth Fusion Systems du MIT s'attend à ce que son réacteur atteigne cet objectif d'ici 2025", a rapporté Quartz cette semaine.

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  41. « Le Royaume-Uni, qui dit vouloir devenir le premier pays à commercialiser l'énergie de fusion, s'est fixé un objectif plus modeste. Le gouvernement a investi dans un réacteur de 200 millions de livres sterling (248 millions de dollars) qu'il espère viable d'ici 2040. »

    Que ce soit par causalité ou corrélation, l'industrie de la fusion nucléaire se réchauffe en même temps que le reste du monde prend au sérieux la lutte contre le changement climatique. Sevrer le monde des énergies fossiles à temps pour atteindre les objectifs fixés par l'accord de Paris sur le climat est un impératif urgent qui va être extrêmement difficile à respecter sans de sérieuses avancées technologiques. Bien que la fusion nucléaire commerciale ne soit toujours pas une technologie éprouvée, l'afflux de nouveaux acteurs sur le marché avec des objectifs ambitieux d'atteindre une production nette d'énergie positive avant le milieu du siècle est certainement un développement prometteur.

    https://www.zerohedge.com/energy/race-nuclear-fusion-going-private

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  42. Le progressisme teinté de gauchisme nous réserve encore des surprises


    le 29 novembre 2021


    À l’approche des fêtes de fin d’année l’arrêté du gouvernement britannique relatif au bien-être des animaux (Amendment to Animal Welfare (Sentience) Bill, lien en fin de billet) a classé les céphalopodes comme les poulpes, les décapodes : crabes, langoustes, homards et autres écrevisses, comme des animaux capables de ressentir de la douleur. Ils doivent donc être protégés. Il n’y a qu’un tout petit pas à franchir pour qu’ils deviennent des souvenirs de repas de fin d’année d’antan. C’est le Docteur Jonathan Birch qui l’affirme : « ces invertébrés ont acquis une conscience phénoménologique du bien-être et de la douleur. Ils doivent donc être respectés ». Le contribuable britannique finance cette fondation ( https://www.lse.ac.uk/cpnss/research/ASENT ) et il ne va pas être déçu quand il comprendra que, bientôt, déguster un homard ou un crabe ne sera pour lui qu’un rêve.

    Cet organisme a émis toute une série de recommandations pour la pêche, le transport … et la cuisson de ces créatures. Il sera dorénavant interdit de jeter des crevettes dans l’eau bouillante et encore moins les homards ou les crabes. Birch s’appuie sur le fait que ces créatures, marines pour la plupart, possèdent un système nerveux complexe et sont par conséquent capables de ressentir douleur et plaisir, ben voyons !

    Le gouvernement britannique s’est bien gardé de remettre en question la pêche et la gastronomie, pour l’instant, mais la dérive progressiste de toutes sortes d’organismes et autres ONGs conduira à coup sûr à une prochaine interdiction de la consommation de ces décapodes et autres céphalopodes. Peut-être viendra le temps où la viande sera interdite car l’élevage contribue à la dégradation du climat mais les bovins, porcins et gallinacées n’ont-ils pas aussi un système nerveux complexe ? Par extension ils savent que se faire fouetter n’est pas agréable, ni qu’on leur arrache une plume. Décidément on vit dans un monde de plus en plus étrange … où l’être humain passe progressivement au second plan.

    https://www.lse.ac.uk/News/Latest-news-from-LSE/2021/k-November-21/Octopuses-crabs-and-lobsters-welfare-protection

    https://www.gov.uk/government/news/lobsters-octopus-and-crabs-recognised-as-sentient-beings?utm_medium=email&utm_campaign=govuk-notifications&utm_source=994c7ffd-9c00-4347-9563-bc9a0754ecad&utm_content=immediately

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/11/29/le-progressisme-teinte-de-gauchisme-nous-reserve-encore-des-surprises/

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    1. Faire appel au 'consentement éclairé' afin de l'avertir que la mort supprime la peur, le désespoir et la cruauté de vivre ?

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  43. Les stocks d'arabica connaissent la plus grande chute depuis '98 au milieu d'une grave pénurie


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 29 NOV 2021 - 18:40


    Le déficit d'approvisionnement en grains de café arabica (ce que nous avons d'abord averti en mars et expliqué plus tard en mai) s'aggrave alors que les entrepôts certifiés de grains de café de qualité supérieure surveillés par ICE Futures U.S. ont plongé.

    Les stocks de grains de café arabica dans les entrepôts ICE ont chuté de 10 % la semaine dernière, la baisse la plus importante depuis août 1998. Les sorties des entrepôts ont enregistré leur 10e baisse hebdomadaire consécutive, reflétant les approvisionnements mondiaux tendus. Les prix du café Arabica ont plus que doublé depuis que nous avons mentionné pour la première fois le début de la crise de l'offre.

    Le café arabica représente plus de la moitié de la production mondiale de café. Les prix ont flambé cette année en raison de conditions météorologiques défavorables au Brésil, premier producteur mondial. Les prix du café Robusta ont également augmenté, car les sociétés internationales de café n'ont eu d'autre choix que de s'approvisionner en grains moins chers, car l'arabica est rare.

    L'Organisation internationale du café, un groupe basé à Londres qui représente à la fois les producteurs et les consommateurs, a déclaré que "les chocs liés aux conditions météorologiques et les perturbations potentielles des flux commerciaux dues à des mesures plus strictes liées à la pandémie sont devenus une menace sérieuse pour la régularité des approvisionnements en café".

    Cela signifie pour les États-Unis, le pays leader en termes de consommation de café, avec plus de 150 millions d'Américains accros au délicieux stimulant liquide, qu'une tasse de café à la maison ou dans un magasin, comme Starbucks, deviendra encore plus chère. En outre, tenez compte des chaînes d'approvisionnement encombrées et de la flambée des coûts de transport, et certains Américains pourraient passer de l'arabica au robusta pour économiser de l'argent.

    https://www.zerohedge.com/commodities/arabica-stockpiles-experience-largest-plunge-98-amid-severe-shortage

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