Titulaire d'un doctorat en médecine (équivalent américain) de l'université de médecine pédiatrique de Saint-Pétersbourg, le Dr Valentina Kiseleva est un expert indépendant en matière de bioéthique et de biosécurité. Elle a notamment été le conseiller personnel du chef de la mission de Médecins sans frontières en Russie. Elle a participé à de nombreux processus législatifs touchant à la santé et possède une vaste expérience aux États-Unis, en Russie et en Europe dans le domaine du diagnostic différentiel, à savoir la détection des erreurs médicales et la recommandation de traitements appropriés. C'est ce qu'elle fait actuellement dans le cadre du covid-19.
Du mythe du virus à celui de la protéine spike, des causes réelles de la maladie attribuée à Sars-Cov-2 à une invention technologique visant à influencer notre système nerveux par des champs électromagnétiques externes de très faible intensité, des résultats les plus récents concernant des objets mystérieux observés dans les injections (nanorobots ?) au projet de les remplacer par des médicaments, cette émission jettera un nouvel éclairage sur le plus incroyable mensonge de notre histoire : une pandémie qui n'a jamais eu lieu.
Le 'virus' n'a PAS été isolé !! (depuis 19 mois !) c-à-d. inconnu !
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/Valentina-Kiseleva:9
Dialogue entre France et Russie:
1:22:40 L'ivermectine ou hydroxychloroquine poison !
1/3 des injections sont des placebos
1/3 des injections sont des expérimenation génique d'essais
1/3 des injections sont de l'ivermectine
1:30:00 Biden/Trump/Poutine tous pareils !
Les autopsies entraînent-elles des approbations d'urgence controversées ?
RépondreSupprimer6 Juillet 2021
Wochenblick
Un nouvel institut avec Sucharit Bhakdi enquête sur les décès après la vaccination.
Il y aurait maintenant des centaines de milliers d'effets secondaires et plusieurs milliers de décès parmi les décès corona. Mais le grand public aime balayer ces histoires sous le tapis. Grâce à la méthode de comptage originale, de nombreux cas risquent de ne pas être détectés. Il serait particulièrement important pour les personnes endeuillées d'avoir enfin la certitude. Cela ne les ramènera pas à l'être cher - mais au moins la petite consolotion que la recherche causale peut aider afin que d'autres familles n'aient pas à subir un coup aussi sévère. Un groupe de médecins courageux est en train de créer le premier remède avec un bureau d'évaluation.
" De nombreux médecins allemands se regroupent et créent un bureau d'enregistrement et de signalement des effets indésirables des vaccins Covid. Le bureau d'enregistrement peut être joint à meldestelle@mwgfd.de ainsi qu'au 0851-2009 1430 (depuis l'Allemagne) ou 0049-851-2009 (de l'étranger). Des personnes de contact compétentes sont disponibles du lundi au jeudi de 9 h 00 à 11 h 00 lors d'un signalement par téléphone ."
https://odysee.com/@Re-information2.0:2/SucharitBhakdi:bd
Avec 7,4 milliards d'inoculations de COVID dans les armes, Bill Gates admet la partie calme à haute voix
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 11 NOV 2021 - 21:00
Rédigé par Jordan Schachtel via The Dossier substack,
Le défenseur de la «santé publique» le plus influent au monde en est venu à douter de la technologie derrière les injections d'ARNm, après leur déploiement dans plus de 7,34 milliards d'armes dans le monde.
Une interview peu remarquée de la semaine dernière avec un groupe de réflexion britannique a vu le fondateur de Microsoft, Bill Gates, faire des déclarations incroyables sur sa «solution» la plus prisée à la pandémie.
"Nous n'avions pas de vaccins qui bloquent la transmission", a déclaré Gates, contredisant les interviews précédentes dans lesquelles il affirmait que les injections bloquaient considérablement la transmission.
"Nous avons des vaccins qui vous aident avec votre santé, mais ils ne réduisent que légèrement la transmission", a-t-il ajouté.
[La grande majorité de l'interview implique Gates exigeant des solutions totalitaires au mauvais temps, qu'il appelle le changement climatique. La partie sur les tirs COVID arrive à la minute 27.]
Gates a raison sur le fait que les tirs ne bloquent pas la transmission. Avec un nombre record de COVID en provenance d'Europe, il est devenu évident que les injections d'ARNm font peu, voire rien du tout, pour arrêter la transmission. De plus, l'impact de ces injections sur la prévention d'un test COVID positif semble expirer après 6 à 9 mois.
Gates n'avait pas fini.
Il a ajouté une déclaration assez choquante pour couronner le tout :
"Nous avons besoin d'une nouvelle façon de faire les vaccins."
Juste comme ça, Gates semble s'essuyer les mains de son implication dans l'expérience mondiale de l'ARNm.
C'est un ton surprenant de la part d'un homme dont la fondation a accumulé des centaines de millions de dollars (grâce à l'accès pré-IPO à BioNtech, le fabricant du « coup Pfizer ») à partir des coups de feu, en plus de son plaidoyer féroce pour eux. De plus, Gates a ajouté des milliards de dollars de revenus à son arsenal personnel pendant la pandémie.
Pour aggraver les choses, Gates a ensuite approuvé les modèles de l'État policier pour « l'atténuation » du COVID qui sont actuellement mis en œuvre par la Nouvelle-Zélande et l'Australie.
"Au moins, l'Australie et la Nouvelle-Zélande ont montré qu'une gestion compétente pouvait réduire le taux de mortalité de manière assez spectaculaire", a-t-il déclaré dans l'interview.
Il n'a pas mentionné que les deux pays ont été bloqués pendant une partie importante de COVID Mania, les citoyens étant confrontés à des restrictions massives de leurs droits pendant près de deux ans. Et en plus de cela, les deux pays, malgré leurs blocages odieux et leurs déploiements d'ARNm, sont actuellement confrontés à des épidémies massives à une échelle sans précédent.
RépondreSupprimerDe toute évidence, l'homme décrit par Politico comme le « médecin le plus puissant du monde » double la folie totalitaire qu'il tente d'imposer au monde.
Dans The Dossier, nous avons fait de nombreux reportages sur l'influence que le réseau Gates exerce sur le monde de la « santé publique ». Le réseau Gates est principalement responsable de l’ensemencement des catastrophes politiques américaines liées au COVID. Vous pouvez lire à ce sujet ci-dessous et écouter mon podcast avec plus de détails :
Comment la Fondation Gates a semé les catastrophes politiques américaines liées au COVID-19
Le monopole : comment Bill Gates exerce une énorme influence sur la politique COVID
https://www.zerohedge.com/covid-19/74-billion-covid-shots-arms-bill-gates-admits-quiet-part-out-loud
Il y a Des milliards de milliards de milliards de plantes d'herbes et de poissons qui naissent et qui vivent sur Terre ! C'EST UNE HONTE !!
SupprimerLes unes absorbent notre gaz carbonique !! et les autres notre oxygène !! ON VA MANQUER D'AAAAAIIIIRRRR !
Aussie Health Chief dit que les personnes qui ne seront pas vaccinées seront « misérables » et « seules » à vie
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 11 NOV 2021 - 23:00
Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Le président du Queensland de l'Australian Medical Association a déclaré lors d'une apparition télévisée que les personnes refusant toujours de se faire vacciner seraient «misérables» et «solitaires» pour le reste de leur vie.
Oui vraiment.
"Oh, ils sont fous de ne pas se faire vacciner, la vie sera misérable sans se faire vacciner", a déclaré le Dr Chris Perry.
« Vous ne pourrez pas vous cacher, vous ne pourrez pas demander à un médecin de signer que vous avez une exclusion car il y a des règles bien définies à ce sujet et les médecins seront audités, chacune de leurs exclusions sera examinée très soigneusement », a-t-il ajouté, avant de menacer les médecins d'amendes et de licenciement.
Perry a également menacé les personnes qui obtiennent faussement une exemption de vaccin qu'elles seront également accusées de fraude si elles "tentent de contourner le système".
« Il sera très difficile de conserver votre emploi si vous n'êtes pas vacciné et vous ne pourrez aller nulle part pour vous divertir », a-t-il déclaré.
Perry a conclu en disant que ceux qui ne reçoivent pas de double piqûre auront « une vie très, très solitaire » et ne seraient pas en mesure de conserver un emploi.
Maintenant, dites-moi encore comment le vaccin n'est pas obligatoire?
Lors de commentaires ultérieurs, Perry a reproché aux «théoriciens du complot» d'avoir fait hésiter les gens à se faire vacciner.
« À l'ère des médias sociaux, tout léger mal de tête potentiel ou tout petit problème grave avec les vaccins est amplifié », a-t-il déclaré.
https://www.zerohedge.com/political/aussie-health-chief-says-people-who-dont-get-vaccinated-will-be-miserable-and-lonely-life
Le tas de merde a parlé.
SupprimerLa commande de vaccins de Biden concerne le pouvoir, pas la santé
RépondreSupprimerC'est le Patriot Act de COVID, mettant en péril notre liberté
8 novembre 2021 | 22h02
Écrit par:
Peter Van Buren
Parfois, une chose peut être deux choses à la fois, une bonne et une mauvaise. Cela demande un choix. Et dans une société libre, ce choix est généralement mieux fait par l'individu directement concerné. Sinon, par un processus ouvert et démocratique. Pourtant, ce n'est pas ce qui se passe avec le mandat vaccinal de Joe Biden et c'est pourquoi le remède est pire que la maladie.
Je suis, par choix, trois fois vacciné. Je comprends que le vaccin COVID m'empêche de tomber malade, et ce n'est qu'une population plus petite de jour en jour de personnes non vaccinées qui sont en fait toujours à risque de mourir. Nous faisons chacun un choix. Maintenant, le gouvernement veut faire ce choix pour nous.
Les mandats Vax sont une chose malsaine pour notre démocratie et représentent un effort délibéré du gouvernement pour exercer un contrôle supplémentaire sur une population déjà intimidée. Il existe une ligne directe entre le Patriot Act, la surveillance de masse et les mandats vax qui prétendent que « tout est pour notre propre bien » alors que c'est plus largement pour notre propre mal. Il s'agit de politique, pas de médecine.
Peu importe ce que vous appelez un pays où une autorité centrale prend des décisions unilatérales pour contrôler la vie de son peuple, c'est ce que l'Amérique est devenue. Dans l'escalade vers cette sombre réalité, l'administration Biden a annoncé un mandat exigeant que les employeurs comptant 100 travailleurs ou plus s'assurent que les employés sont vaccinés contre le COVID ou testés chaque semaine. Un mandat distinct exige que les employeurs participant à Medicare ou Medicaid aient une main-d'œuvre entièrement vaccinée, sans alternative de test.
La première règle à elle seule couvre 84 millions de travailleurs américains, soit les deux tiers de la main-d'œuvre (pour l'instant, le gouvernement travaille déjà à étendre le programme, bien qu'un tribunal fédéral ait temporairement bloqué sa mise en œuvre). Les personnes qui ne s'y conforment pas perdront leur emploi. Les travailleurs testés positifs seront renvoyés.
Il est essentiel de comprendre que ces mandats ont été imposés ; il n'y avait pas de législation, pas de vote, pas de débat solide, pas de dossier public de qui les soutient et qui s'y oppose. Tout cela soulève la question : si la menace est si évidente, pourquoi le remède devait-il être si coercitif et sournois ? L'administration Biden a malhonnêtement appliqué le mandat en tant que fausse règle d'urgence par le biais de l'Administration de la sécurité et de la santé au travail (OSHA), un sous-bureau du ministère du Travail créé pour assurer la sécurité au travail et non pour priver les gens de leur vie.
Le mandat place un travailleur non vacciné (pas un travailleur malade, bien sûr, mais un travailleur en bonne santé sans vaccination) dans la même catégorie que les cordons électriques effilochés et les planchers mouillés, un danger au travail. L'OSHA, sous la menace de sanctions, sous-traite l'exécution (c'est-à-dire le licenciement du travailleur) à l'employeur enrôlé. Les amendes peuvent aller jusqu'à 136 532 $. Il sera intéressant de voir ce qui se passe si un employeur, pour ses propres raisons, accepte des exemptions religieuses pour 100 pour cent de sa main-d'œuvre.
RépondreSupprimerOn ne discute pas de ce qui sera accompli en licenciant des camionneurs (« détruira l'industrie, aggravera les problèmes de la chaîne d'approvisionnement »), ou comment les charges de travail dans les écoles et les hôpitaux seront réduites en licenciant les enseignants et les infirmières, ainsi que l'effet de la mise en conserve des flics, des pilotes, et les pompiers. Il n'y a aucune preuve d'un calcul par Biden du risque par rapport au gain, juste un de la puissance.
L'administration Biden exige également que les Américains à l'étranger cherchant à retourner aux États-Unis soient vaccinés ou testés négatifs, la première fois dans l'histoire, quelque chose d'autre que la citoyenneté est devenu un critère de retour d'un citoyen. La décision d'autoriser un citoyen américain à retourner dans son propre pays, un droit considéré comme garanti par la Constitution, a été sous-traitée à un employé d'une compagnie aérienne dans un aéroport étranger en contravention de toute procédure régulière.
Ce dernier morceau est nouveau. Même pendant l'épidémie d'Ebola, le dépistage a été effectué par des représentants du gouvernement américain dans les aéroports américains. Plus maintenant. En sous-traitant l'exécution à un greffier à Paris, comme avec la sous-traitance de la censure à Twitter, Biden dispose de protections constitutionnelles.
Tout cela a été justifié comme une réponse légitime à une urgence, bien qu'une « urgence » entre maintenant dans sa deuxième année et qui a été essentiellement mise de côté dans de nombreuses autres démocraties à des coûts sociaux bien inférieurs. Le problème est que ce qui peut sembler être une mesure raisonnable dans l'urgence d'aujourd'hui aura un effet de gueule de bois désagréable lorsqu'il est invoqué comme précédent dans des circonstances moins graves.
Le pouvoir saisi par les gouvernements est rarement abandonné. C'est pourquoi vous enlevez toujours vos chaussures à l'aéroport. C'est pourquoi après « deux semaines pour aplatir la courbe », on parle maintenant du contrôle du gouvernement qui peut travailler et voyager.
L'histoire du gouvernement des libertés prises avec la liberté est pauvre. Pensez aux pouvoirs acquis par les présidents post-11 septembre. Le résultat est la surveillance de masse continue des Américains en Amérique (violant le 4A), un programme mondial d'enlèvement et de torture (violant toutes les lois de la décence et de la dignité humaine ainsi que le 5A avec Guantanamo hébergeant toujours des résidents permanents américains), des guerres presque sans fin a commencé sans l'approbation du Congrès (violation de l'article I) et les meurtres par drones de citoyens américains (violation du 5A).
S'il ne s'agissait que de médecine, nous devrions tester les travailleurs et les voyageurs pour la diphtérie et la tuberculose, les maladies respiratoires mortelles et infectieuses, et rendre obligatoire le vaccin annuel contre la grippe (38 millions de personnes en Amérique ont contracté la grippe l'année dernière). Si nous sommes si inquiets pour nos concitoyens que nous les forçons à vaxer, pourquoi ne montrons-nous pas la même considération pour leur manque général d'accès aux soins médicaux pour d'autres choses qui mettent leur vie en danger ? Pourquoi seul le COVID est-il soumis à autant de gouvernement ?
L'affirmation de Biden de contrôler qui peut et ne peut pas travailler est clairement exagérée. Plus de la moitié de tous les Américains sont déjà vaccinés (dans certains États, c'est déjà plus de 70 pour cent). Le mandat n'est pas la « solution la moins restrictive ». C'est aussi inconstitutionnel. Les contestations déjà déposées atteindront inévitablement la Cour suprême. Ils dépendront probablement des droits des États ou de la clause de protection égale du 14A empêchant la discrimination fondée sur l'état de santé, par exemple, les travailleurs atteints du SIDA.
RépondreSupprimerIl y a de l'espoir. Dans une dissidence à trois juges sur une affaire dans laquelle la Cour suprême a confirmé un mandat de vax aux travailleurs de la santé au niveau de l'État, le juge Neil Gorsuch a exprimé sa préoccupation face à la suspension prolongée des libertés par le gouvernement en raison de la pandémie. "J'accepte que ce que nous avons dit il y a 11 mois reste vrai aujourd'hui – que l'endiguement de la propagation de Covid est qualifié d'" intérêt impérieux "", a-t-il écrit. « En même temps, je reconnais que cet intérêt ne peut pas être qualifié comme tel pour toujours. »
Les défis déposés ne porteront pas sur le COVID, ni sur la médecine du tout, mais sur notre démocratie. Toute idée selon laquelle la santé publique exige que le gouvernement prenne pour lui-même le pouvoir de dicter qui peut travailler ou quels Américains ont le droit de revenir, passe à côté de l'essentiel. COVID ne devrait pas être la force motrice de la vie en Amérique. Une société vraiment saine est une société où la liberté est la valeur fondamentale, pas la peur.
https://spectatorworld.com/topic/bidens-vaccine-mandate-about-power-not-health/
A votre gosse vous ne lui ferez jamais manger de la merde. Les dictateurs ont essayé, ils ont frappé, ils ont tué. Maintenant, ils passent aux gosses.
Supprimer* * * * *
LA COVID-19 EST PROVOQUÉE PAR L'OXYDE DE GRAPHÈNE
8:47 "Des dizaines de milliers de personnes (piquées) décéderont par jour lorsqu'ils démarreront la technologie 5G"
Une équipe de scientifiques de l'émission espagnole "La Quinta Columna" ont récupéré un flacon de vaccin Pfizer et l'ont envoyé à analyser à l'Université d'Almeria: le résultat des analyses microscopiques démontre que le produit contenu dans le flacon est composé à 99 % d'oxyde de graphène.
Cette vidéo explique quels sont les symptômes d'une intoxication à l'oxyde de graphène et quel est le lien avec la 5G.
https://odysee.com/@EspritDuPuma:e/LA-COVID-EST-PROVOQUEE-PAR-L%27OXYDE-DE-GRAPH%C3%88NE:a
COMMENT DÉGRADER L'OXYDE DE GRAPHÈNE
https://odysee.com/@laquintacolumna:8/COMMENTDEGRADERL'OXYDEDEGRAPHENEVERSIONFRANÇAISE:8
ASTRID STUCKELBERGER : L'OXYDE DE GRAPHÈNE
https://odysee.com/@cielvoile:4/Astrid:a
Comment les gouvernements utilisent les crises mondiales pour prendre plus de contrôle
RépondreSupprimerPar Doug Casey
Homme international
12 novembre 2021
Homme international : Tout au long de l'histoire, les gouvernements ont utilisé des crises - réelles ou imaginaires - pour éliminer les libertés, étendre le pouvoir de l'État et justifier toutes sortes de choses que la population n'accepterait jamais en temps normal.
Après la Seconde Guerre mondiale, Winston Churchill a dit : « Ne laissez jamais une bonne crise se perdre. »
C'est à ce moment-là que lui et d'autres dirigeants se sont réunis pour former les Nations Unies, qu'ils n'auraient probablement pas pu créer sans la crise de la Seconde Guerre mondiale.
Depuis, il semble que chaque nouvelle crise supposée provoque une nouvelle centralisation du pouvoir mondial.
La guerre contre (certaines) drogues, la guerre contre le terrorisme, l'hystérie COVID et la soi-disant crise climatique ont tous accéléré la centralisation du pouvoir à l'échelle mondiale.
Que pensez-vous de cette tendance ?
Doug Casey : Il est logique que Rahm Emanuel, un apparatchik louche d'Obama, ait volé la phrase à Churchill. Mais la déclaration est tout à fait correcte, quelle que soit la source. Le gouvernement vit de la crise. Comme l'a dit Randolph Bourne, « la guerre est la santé de l'État », et il n'y a pas de crise comme une guerre. Mais tout type de crise peut fonctionner.
Chaque fois que vous avez une crise - qu'il s'agisse d'une crise militaire, politique, économique, financière ou sociale - la foule appelle des dirigeants forts à l'embrasser et à l'améliorer.
Cela fait parfaitement le jeu du genre de personnes qui travaillent pour l'État. En ce qui me concerne, c'est un défaut psychologique chez l'homme, qui vient du fait que nous sommes des bêtes de somme.
Les bêtes de somme veulent des chefs.
Je ne sais pas comment résoudre ce problème si ce n'est de délégitimer l'idée d'État et de la dénigrer autant que possible. Et arrêtez de vanter, voire d'apothéser, ses employés. Mais tant que l'État existe, sa motivation fondamentale est de rechercher les crises. Les crises profitent à l'État en tant qu'institution mais aussi aux personnes qui y travaillent.
International Man : L'hystérie COVID a poussé le concept cynique de « ne jamais laisser une crise se perdre » à un tout autre niveau. Jamais auparavant les décrets d'une institution mondiale irresponsable comme l'Organisation mondiale de la santé (OMS) n'avaient affecté autant de personnes de manière aussi drastique.
RépondreSupprimerIl semble que la personne moyenne doive non seulement s'inquiéter des bureaucrates locaux et fédéraux qui affectent leur bien-être, mais aussi des bureaucrates mondiaux.
Quel est votre avis là-dessus?
Doug Casey : Au cours du siècle dernier, la portée de l'État est passée d'un niveau local à un niveau national et maintenant à un niveau international. C'est en cela que consiste le concept de globalisme.
La bonne nouvelle est que plus tout devient gros et complexe, y compris le mouvement vers le mondialisme, plus il devient inefficace, corrompu et lourd. Alors peut-être que l'idée du mondialisme devient assez grande pour s'autodétruire.
En attendant, certains des sbires les plus efficaces du mondialisme et de l'État sont les ONG (organisations non gouvernementales). Ils sont généralement soutenus par des dons privés, souvent dans le cadre de la planification successorale. Lorsque les gens meurent, ils veulent souvent faire quelque chose pour le bien de l'humanité. C'est une émotion compréhensible, bien que la charité cause généralement au moins autant de problèmes qu'elle en guérit. Je l'explique dans une conversation précédente. Les gens riches veulent particulièrement faire signe de vertu car la société d'aujourd'hui les culpabilise pour leur argent. Cela, en plus, ils veulent naturellement un abri contre les impôts. Alors ils donnent de l'argent à toutes sortes d'ONG. Il y en a plusieurs milliers.
Les ONG sont presque universellement collectivistes et étatistes dans leur philosophie et ont des agendas politiques forts, bien qu'elles déguisent ouvertement des objectifs politiques avec une rhétorique « de bien-être ». Qui pourrait être contre l'agitation pour la paix mondiale ou la lutte contre la pauvreté ? Cependant, beaucoup constituent des escroqueries, peu accomplissent quoi que ce soit de significatif, et ils travaillent presque tous en étroite collaboration avec le gouvernement. Peu d'entre eux produisent autre chose que des publicités, des campagnes de lobbying et de gros revenus pour leurs initiés.
Les penseurs critiques peuvent aider à couper l'herbe sous le pied des ONG en ne leur donnant jamais un sou et en remettant en cause leurs actions.
En parlant de mondialisme, d'ONG et de tendance vers un gouvernement mondial, je dois mentionner que les passeports vaccinaux sont un pas décisif dans cette direction. Il y aura sans aucun doute une organisation des Nations Unies formée pour normaliser les passeports vax car, à l'heure actuelle, il existe une myriade de passeports vaccinaux délivrés par divers gouvernements sur différents critères et sous différents formats.
Un certificat vax internationalement accepté équivaudra à un passeport du gouvernement mondial. Il sera probablement lié à une cote de crédit social telle que celle utilisée par la Chine. Naturellement, cela sera lié au compte en monnaie numérique de chacun auprès de la banque centrale. Il deviendra un document d'identité international de la même manière que les permis de conduire sont en fait des passeports internes aux États-Unis. Vous ne serez personne et ne ferez rien sans cela.
RépondreSupprimerInternational Man : Il semble que le soi-disant changement climatique soit la prochaine crise du jour.
Compte tenu des tendances dont nous avons discuté, comment voyez-vous les gouvernements profiter de cette prétendue crise ?
Doug Casey : Le réchauffement climatique, alias le changement climatique, est une excellente forme de contrôle, peut-être même mieux qu'un virus. Les gens sont terrifiés à croire qu'ils sont sur le point de détruire la planète elle-même. La peur est un moyen infaillible de contrôler les masses. C'est drôle, en fait. « Les masses » est un terme que les marxistes-léninistes affectionnent beaucoup.
Le gouvernement est toujours présenté comme l'ami du « peuple », de « notre démocratie » ou des « masses ». Il est présenté comme le sauveur noble, sage et avant-gardiste qui «intervient» pour arrêter les producteurs maléfiques.
C'est l'un des nombreux mèmes faux et horriblement destructeurs qui traquent la terre aujourd'hui comme des spectres. La croyance croissante dans le gouvernement comme solution magique aux problèmes agit pour diminuer le niveau de vie de la personne moyenne et crée toutes sortes de distorsions dans la société. Il a transformé l'étude de l'économie en une pseudoscience, et ses incursions dans la science discréditent l'idée de science elle-même.
En fait, les deux grandes hystéries qui sévit actuellement dans le monde sont toutes deux centrées sur l'implication de l'État dans la science – ou du moins le scientisme. L'un est COVID, une grippe relativement banale soufflée hors de proportion. L'autre est le réchauffement climatique anthropique (AGW), qui a récemment été rebaptisé changement climatique.
À mon avis, les deux finiront par être démystifiés et discrédités. Malheureusement, si vous allez à l'encontre de l'un ou l'autre des récits en ce moment, vous serez annulé, licencié et/ou ostracisé.
Cela ressemble beaucoup à ce qui est arrivé à Galilée lorsqu'il s'est opposé à la sagesse dominante du Moyen Âge. Bien sûr, la classe dirigeante ne brûle plus de livres, mais seulement parce que les livres d'aujourd'hui sont principalement électroniques. Ces attitudes apparaissent constamment sur des sites comme Google et Twitter.
Il y a de fortes chances que ces gens discréditent l'idée même de science parce qu'ils se sont enveloppés dans le voile de la science ou, plus précisément, de ce qu'on appelle « La Science ». Ils créent quelque chose de bien plus grave qu'une simple catastrophe économique.
RépondreSupprimerHomme international : Beaucoup de gens voient le gouvernement comme une sorte d'organisation bienveillante et magique.
C'est cette attitude qui aide les politiciens à profiter des crises pour faire avancer leur contrôle car beaucoup de gens supposent que le gouvernement agit de bonne foi.
Que faudra-t-il pour sortir la personne moyenne de cette hypnose illusoire ?
Doug Casey : Il est vrai que beaucoup de gens voient le gouvernement comme une sorte d'organisation magique bienveillante. Cette attitude aide les politiques à avancer ; ils sont supposés agir de bonne foi.
Alors, que faudra-t-il pour que la personne moyenne sorte de cette hypnose ? Où est la pilule rouge quand le monde en a besoin ?
Lorsqu'un hypnotiseur s'approche d'une foule, il sait que certaines personnes sont beaucoup plus susceptibles d'être hypnotisées que d'autres. C’est un échec de la psychologie humaine qui est particulièrement vrai dans le monde politique. Certaines personnes sont beaucoup plus susceptibles d'être hypnotisées par la politique et l'idée de gouvernement que d'autres. Les exceptions sont les penseurs critiques et indépendants qui sont toujours une minorité - et il est toujours dangereux d'être en minorité.
Que pouvons-nous y faire ? Oubliez la violence. Cela ne fait que jouer entre leurs mains. Présenter des arguments contre l'idée d'État. Promouvoir l'idée de la pensée critique. Exposez la politique comme une hypnose de masse. Faites remarquer qu'il n'y a absolument rien que le gouvernement puisse faire que le marché ne puisse faire, du moins quelque chose de bon.
Il y a certaines choses que fait le gouvernement qui lui sont propres, comme les impôts, les confiscations, les guerres, les pogroms, les systèmes pénitentiaires, les règlements et la police secrète. Ces choses sont l'essence du gouvernement et l'antithèse du marché libre.
Je pense qu'il est important, par exemple, de souligner qu'à travers l'histoire, les responsables gouvernementaux les plus célèbres sont en fait des tueurs de masse et des criminels. Ils ne sont pas bienveillants.
Regardez les dirigeants célèbres - les pharaons, Alexandre, César, Gengis Khan, Louis XIV, Staline, Hitler, Mao, Pol Pot. Certains sont considérés comme bons, et certains sont considérés comme mauvais, mais ils étaient tous des meurtriers de masse. L'un de nos récents présidents est-il vraiment meilleur ? Ce qui s'est passé en Afghanistan, en Irak, en Syrie, au Liban et dans bien d'autres endroits – sans même compter la Corée et le Vietnam – devrait rendre les responsables jugés, probablement suivis d'une pendaison. Nuremberg a donné le bon exemple.
RépondreSupprimerIl est important d'attirer constamment l'attention des gens sur les crimes de l'État et de ses sous-fifres. L'anti-propagande est un vaccin d'hypnose de masse. Que cette déclaration soit la preuve que je ne suis pas anti-vaccin en soi.
International Man : Y a-t-il une bonne nouvelle ou une cause d'optimisme malgré toutes les mauvaises nouvelles ?
Doug Casey : La mauvaise nouvelle est que l'État est plus grand et plus puissant que jamais. L'institution a évolué et est devenue plus intelligente. Il est plus capable que jamais d'atteindre ses tentacules dans tout, y compris les récents épisodes avec les nazis et les communistes.
La bonne nouvelle, c'est qu'il arrive à un stade où il est dysfonctionnel. Peut-être que les crises majeures actuelles se retourneront contre eux et s'autodétruiront. Espérons que l'État-nation sera remplacé par un phénomène volontaire, comme les phyles, ou peut-être la montée d'une structure parallèle dans le cadre actuel.
Les crises peuvent être réelles, comme l'effondrement économique imminent, ou fabriquées, comme COVID et AGW. Les crises seront toujours utilisées comme excuses pour l'expansion du gouvernement, mais peut-être ont-elles surjoué cette fois.
J'aimerais voir disparaître l'État, bien sûr, mais compte tenu de la façon dont le monde fonctionne, la prochaine étape pourrait être le chaos, qui suit souvent la crise.
Reprinted with permission from International Man.
https://www.lewrockwell.com/2021/11/doug-casey/how-governments-use-global-crises-to-take-more-control/
Des robots volent des emplois pendant la pandémie alors que les travailleurs pauvres sont déplacés
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 11 NOV 2021 - 22:00
Les entreprises confrontées à des pénuries de main-d'œuvre et à la flambée des coûts de main-d'œuvre se tournent de plus en plus vers l'automatisation pour faire face au climat économique difficile.
Les problèmes d'embauche sont répandus dans l'ensemble de l'économie et les salaires grimpent en flèche. Ces deux forces compriment les marges des entreprises, ce qui les oblige à investir dans des robots pour atténuer les problèmes de main-d'œuvre.
Pendant la pandémie, nous avons signalé que des robots désinfectants antimicrobiens ont été introduits dans les aéroports et les hôpitaux, que les chaînes de restauration rapide ont adopté des robots de retournement de hamburgers et que les restaurants ont commencé à utiliser des robots-serveurs.
Avec les pires jours de la pandémie de virus, espérons-le, la tendance à l'automatisation continue de prendre de l'ampleur. Bloomberg, citant un nouveau rapport de l'International Federal of Robotics, a déclaré que les dépenses consacrées aux robots de service professionnels avaient bondi de 12% l'année dernière.
Avec un nombre d'emplois ouverts d'environ 10 MM, les Américains démissionnent facilement. Pour la première fois depuis des décennies, les travailleurs ont du pouvoir sur le marché du travail. Et ils utilisent ce nouvel effet de levier pour lancer une vague de grèves, exigeant des salaires plus élevés et plus d'avantages de la part des entreprises. Cela a créé toutes sortes de maux de tête pour leurs patrons préoccupés, confrontés à des chaînes d'approvisionnement harcelées.
Les syndicats ont longtemps considéré les robots comme une menace. Les entreprises « n'ont qu'un objectif en tête : éliminer votre emploi et mettre plus d'argent dans leurs poches », a déclaré Harold Daggett, président de l'International Longshoremen's Association, lors d'une conférence en juin. "Nous allons nous battre pendant 100 ans."
Mais le combat pourrait être inutile car la vague d'automatisation déferle déjà sur l'économie, suralimentée par la pandémie. Même avant le virus, l'inégalité des richesses était extrême, et ce qui l'aggravera, c'est l'automatisation :
"Si cela continue, la demande de main-d'œuvre augmentera lentement, les inégalités augmenteront et les perspectives pour de nombreux travailleurs peu instruits ne seront pas très bonnes", a déclaré Daron Acemoglu, professeur au Massachusetts Institute of Technology. Il a témoigné mercredi lors d'une audience au Sénat sur l'automatisation.
RépondreSupprimerAcemoglu a déclaré que les entreprises pourraient "développer des technologies plus complémentaires aux travailleurs". Mais il a dit que ce n'est pas "la direction que prend la technologie actuellement".
La technologie des robots permet aux machines de déplacer les humains et pourrait augmenter la productivité mais supprimer des emplois pour les travailleurs pauvres. Il y aura des difficultés croissantes dans l'économie cette décennie alors que les travailleurs déplacés restent inactifs, et ce qui est susceptible de se produire, c'est que le gouvernement continuera d'émettre des chèques de relance.
https://www.zerohedge.com/technology/robots-steal-jobs-during-pandemic-working-poor-displaced
Depuis l'invention de la roue, le brancard (qui permettait à 2 hommes de porter 100 kg) se transforma et pris le nom de brouette (qui permet à 1 seul homme de porter 100 kg).
SupprimerDe tous temps l'intelligence humaine a permis de progresser et de travailler dans se fatiguer ou même aujourd'hui de ne plus travailler du tout puisque les machines-outils travaillent à votre place 24/24 h et ne demandent aucun salaire ! Difficile donc de concurrencer des machines !
Or, alors que l'énergie est abondante et quasi gratuite, et que le nucléaire satisfait tous les pays en éclairage, chauffage et pour le travail des machines, voilà que le prix de l'électricité augmente !!
C'est-à-dire que le travail des machines (voitures, chaudières, appareils d'usines, ordinateurs, etc) va devenir coûteux. Si cher que le travail humain deviendra concurrentiel et surpassera la production industrielle !
Bien-sûr de cette façon, comme avec les éoliennes à trois pales qui consomment plus d'énergie qu'elles ne peuvent fabriquer ! nous nous retournons vers les siècles précédents où la famine faisait lois et la misère faisait vie !
Allez vous bêcher la terre ? Faucher les blé et battre au sol les épis ? Allez vous désherber des centaines d'hectares à la main ? Chasser les insectes à la raquette et combattre les maladies en priant à genoux ?
Pensez-vous qu'il peut y avoir 7 milliards de paysans qui retournent la terre et l'ensemencent ? Les trois quart sont déjà morts la première année. Les 9/10ème la seconde année et... et CA Y EST !! ON Y EST ARRIVÉ ! Moins de 500 millions d'humains sur Terre ! HOURRA ! On a gagné !
Immigration : ces préjugés tenaces qui pourrissent le débat
RépondreSupprimerSi la xénophobie est alimentée par l’histoire, la vision des impacts de l’immigration change complètement quand on parle économie et surtout démographie.
Par Yves Montenay.
12 NOVEMBRE 2021
Parler aujourd’hui de l’utilité de l’immigration suscite souvent une réaction violente : ce serait, au mieux, de l’inconscience, une « trahison de l’identité nationale » ou, au pire, une complicité avec l’islamisme ! Pourtant l’histoire a prouvé l’utilité économique et démographique de l’immigration et une récente étude de l’OCDE vient d’en confirmer l’impact positif pour les finances publiques des pays concernés.
Les sentiments anti-immigration sont largement utilisés dans l’actuelle début de campagne présidentielle, avec succès semble-t-il. Ce n’est pas nouveau, ni en France ni ailleurs, et j’expliquais dans un précédent article pourquoi il ne faut ni diaboliser ni idéaliser l’immigration.
Si la xénophobie est alimentée par l’histoire, la vision des impacts de l’immigration change complètement quand on parle économie et surtout démographie.
LES SENTIMENTS XÉNOPHOBES SONT DE TOUS LES TEMPS ET DE TOUS LES PAYS
Les juifs ont été critiqués et persécutés, de tout temps et partout. De même les chrétiens chez les musulmans et les musulmans chez les chrétiens.
Les Zimbabwéens de la même tribu que celle de l’autre côté de la frontière avec l’Union sud-africaine (l’Afrique du Sud) se font tabasser par leurs « frères ».
Le Japon se hérisse contre toute idée d’immigration, alors que les employeurs n’arrivent à pas recruter, mettant en péril le niveau de vie de tous.
Le Brexit a été décidé parce qu’une partie des Anglais voulait renvoyer les Polonais chez eux. On pourrait multiplier ces exemples.
UNE XÉNOPHOBIE AGGRAVÉE PAR LES DIFFÉRENCES RELIGIEUSES
La xénophobie est à son comble lorsqu’il s’agit de religion.
Nous avons connu en Europe occidentale les massacres réciproques entre catholiques et protestants, illustrés notamment par le massacre de la Saint Barthélémy.
S’agissant des musulmans, on entend tout et son contraire, les deux étant souvent vrais, comme l’illustrent les quelques exemples suivants :
En Andalousie (l’Espagne arabe), dans l’empire ottoman et dans une grande partie de l’Asie du Sud-Est, il est d’usage chez les historiens de saluer la coexistence pacifique des musulmans, des juifs, des chrétiens et des bouddhistes, ce qui est en général exact.
RépondreSupprimerChez les islamophobes, on rappelle que cette coexistence pacifique s’est faite avec un statut inférieur pour les chrétiens (les dhimmis) et a été régulièrement entrecoupée de massacres.
En Irak l’État islamique s’est illustré par ses épurations ethniques meurtrières.
On pourrait y ajouter les razzias séculaires des Arabes contre les chrétiens méditerranéens et les subsahariens.
En sens inverse, les musulmans pointent :
Les massacres opérés par les Croisés, notamment lors de la prise de Jérusalem en 1099.
L’expulsion des musulmans d’Espagne au XVe siècle, où ils étaient pourtant installés depuis sept siècles.
Les « enfumades » de la conquête de l’Algérie (asphyxie de civils musulmans dans des grottes).
Et des deux côtés les tueries réciproques pendant la guerre d’indépendance algérienne.
Bref, l’histoire a largement de quoi alimenter la xénophobie, surtout quand elle se teinte de religion.
Mais si on change de registre et qu’on passe à l’économie, la vision change complètement.
L’INTÉRÊT ÉCONOMIQUE DE L’IMMIGRATION
Dans une étude publiée ce jeudi 29 octobre, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) explique que le bilan financier de l’immigration est positif :
Dans tous les pays, la contribution des immigrés sous la forme d’impôts et de cotisations est supérieure aux dépenses que les pays consacrent à leur protection sociale, leur santé et leur éducation.
Ce rapport de l’OCDE porte sur ses 25 États-membres pour la période qui s’étend de 2006 à 2018.
En France la contribution nette des personnes nées à l’étranger est de 1,02 % du PIB. De précédentes études ont abouti aux mêmes conclusions.
Et l’OCDE va plus loin : si les immigrés étaient mieux intégrés, par exemple en ayant le même taux d’activité que les Français, cela générerait 0,2 % du PIB supplémentaires pour les comptes publics :
La politique d’intégration, ce n’est pas une dépense, il faut voir ça comme un investissement. Avec un retour sur investissement.
POURQUOI LE BÉNÉFICE DE L’INTÉGRATION SERAIT ENCORE PLUS IMPORTANT
RépondreSupprimerJe pense que ces 0,2 % sont très sous-estimés. Et là je fais appel à mon expérience d’ancien chef d’entreprise ainsi qu’à la constatation actuelle de la paralysie de nombreuses entreprises faute de main-d’œuvre.
L’embauche de non immigrés est compliquée par la faible mobilité géographique et professionnelle des résidents.
Je prendrai deux exemples : une offre d’emploi à Paris alors que le conjoint travaille en province, une offre indispensable pour une entreprise, mais à moindre qualification et salaire que ce que peut espérer le résident, et voilà des employeurs bloqués qui auraient pu créer plusieurs emplois si ceux-là se réalisaient. Or a priori, un immigré échappera à ces blocages et générera donc (et probablement génère déjà) plusieurs emplois. Donc, contrairement à ce qui est répété, il n’enlève pas d’emploi à des Français, mais au contraire en ajoute.
Cela suppose bien sûr que les immigrés soient informés de ces possibilités d’emploi, qui sont très loin de passer par Pôle emploi et qu’ils puissent matériellement y répondre.
On retombe sur la nécessité d’une meilleure intégration, notamment par la formation professionnelle, et celle d’une mobilité améliorée.
En effet une grande partie des nouveaux venus vivent dans ce qu’on appelle abusivement des ghettos, qui ont l’inconvénient d’avoir été construits à la hâte sur des terrains mal situés rendant difficile l’accès au marché du travail.
Terminons ces considérations sur l’intégration en rappelant que nous avons la chance d’avoir une immigration largement francophone, alors que l’Allemagne par exemple doit faire beaucoup plus d’efforts pour intégrer des populations qui, dans le cas des Syriens, ne connaissent même pas l’alphabet latin… et encore moins l’allemand.
Rappelons aussi que les premières constructions massives, qualifiées aujourd’hui de ghettos, datent des années 1970 pour les Français touchés par l’exode rural, qui ont déménagé lorsqu’ils ont pu se rapprocher de leur lieu de travail ou acheter le pavillon de leurs rêves.
Leur démolition progressive et leur remplacement par une architecture et parfois un peuplement plus varié ne change pas leur mauvaise localisation. À moyen terme, les travaux du Grand Paris pourraient rapprocher les immigrés des bassins d’emploi.
LE LAXISME DE LA FRANCE EN MATIÈRE D’IMMIGRATION EST UNE LÉGENDE
RépondreSupprimerCommençons par ce rappel historique d’Emmanuelle Auriol, qui a publié dans Le Monde des 7 et 8 novembre :
La France a longtemps attiré l’élite internationale des arts, des lettres et sciences. Mais elle a maintenant dégradé son image internationale du fait de la mise en œuvre par des gouvernements de droite comme de gauche de politiques migratoires de plus en plus restrictives pour contrer l’extrême droite. Les personnes qualifiées n’ont aucune envie de venir chez nous et partent chez nos concurrents ou outre-Atlantique. Finalement ce sont nos entreprises qui émigreront pour les suivre.
En effet le grand public ignore en général que l’immigration est INTERDITE en France si l’on ne coche pas la case réfugié extrêmement difficile à obtenir ou celle du regroupement familial ou de l’entrée comme étudiant. Quelques mesurettes en faveur des candidats à hauts salaires ne suffisent pas à rééquilibrer cette politique.
J’ai été particulièrement choqué récemment par la dénonciation du coût des étudiants étrangers en France alors que ceux qui reviennent dans leur pays sont des ambassadeurs des produits français et de notre langue. Et leur résidence permanente en France n’est permise qu’à condition d’obtenir un poste qualifié à la fin de leurs études, ce qui constitue une des rares soupapes de secours de recrutement.
Il est temps de donner leur mot à dire aux employeurs dans ce domaine, car ils sont les mieux placés pour l’intégration par le travail. Rappelons que depuis bientôt deux siècles, le patronat est partisan de l’immigration. En 2015, Pierre Gattaz alors président du MEDEF publiait dans Le Monde du 12 septembre 2015 une tribune proclamant que « Les migrants sont un atout pour la France ». Et le patronat allemand va encore au-delà, en rappelant sans cesse aux gouvernants que la situation démographique en fait une nécessité.
De tous temps, les pays ont eu besoin de l’apport d’étrangers pour pallier des manques de compétences locales ou tout simplement assurer leur développement.
L’APPORT DES ÉTRANGERS AU DÉVELOPPEMENT
L’empire ottoman recrutait des Français pour leurs compétences en artillerie, les Romains recrutaient des Germains comme mercenaires, les Français et d’autres recrutaient des mercenaires suisses…
L’exemple historique le plus frappant est celui des colonies britanniques qui ont fondé tout leur développement sur l’immigration, en acceptant des immigrants européens d’abord – alors qu’ils étaient pourtant mal vus car de moins en moins souvent protestants – et aujourd’hui des immigrants du monde entier.
Le choc a souvent été rude, souvenez-vous des guerres de gangs ethniques (Irlandais, Italiens…) dans les rues de New York.
Mais sans ces immigrants, que seraient aujourd’hui la Nouvelle-Zélande, l’Australie, le Canada et surtout les États-Unis ?
De même le développement, moins réussi mais non nul, de l’Amérique latine s’est fait aussi avec les Italiens, les Allemands, les Japonais et les Libanais, et pas seulement avec les Espagnols et les Portugais. Que ces derniers excusent ce raccourci que je pourrais développer.
Enfin, Israël s’est construit à partir d’immigrants recrutés systématiquement partout où c’était possible, brassant les Juifs du Maghreb, ceux des autres pays arabes, ceux d’Europe centrale et orientale et une poignée de Français. Et sans trop se poser de questions sur l’origine de cette judéité qu’un examen historique révèle largement berbère ou est-européenne, y compris un grand nombre de Russes très fraîchement et très superficiellement convertis, tout cela pour en tirer un pays ultramoderne aujourd’hui.
Revenons en France pour nous souvenir que la sidérurgie lorraine doit beaucoup aux Polonais et aux Italiens, les mines de charbon du Nord de la France aux Marocains etc.
STOPPER L’IMMIGRATION C’EST DISPARAÎTRE
RépondreSupprimerEn général, les États ou les nations ont comme premier souci de durer et pas seulement de prospérer, et si possible en préservant leur identité, ce qui amène au raccourci mortifère : pour garder cette identité, stoppons l’immigration.
Or aujourd’hui, beaucoup de pays vont disparaître dans quelques dizaines d’années du fait de leur évolution démographique. Cette évolution est avancée en Corée et au Japon, pays qui refuse l’immigration.
Elle est largement amorcée en Chine et en Russie, même si ça ne se sent pas encore politiquement et économiquement, mais leurs gouvernements en sont très conscients.
L’Allemagne et bien d’autres pays sont également très menacés, ainsi que, dans une moindre mesure, les États-Unis et le Canada, et dans une mesure encore moindre, mais réelle, la France. Mais, à la différence du Japon, de la Corée et de la Chine, ce sont des pays qui font largement appel à l’immigration, malgré l’opposition d’une partie de leur électorat, ils vont donc pouvoir continuer à exister.
Ceux qui sont dans l’état le plus catastrophique sont les pays où la baisse des naissances se combine avec une forte émigration. C’est le cas notamment de l’Italie et des pays d’Europe orientale, membres ou non de l’Union européenne. Dans ces pays, l’immigration est une urgence absolue pendant qu’il y a encore un nombre d’adultes suffisants pour encadrer et si possible intégrer les nouveaux venus.
ENSUITE IL SERA TROP TARD
On cherchera dans l’urgence une importante population active, disons des boulangers et des infirmières pour illustrer le besoin en services de base nécessaires pour les personnes âgées, qui formeront alors une part importante de la population. Vous verrez qu’il ne sera plus question alors de sauver une identité nationale ! J’expliquais ce phénomène paradoxal lors de mon intervention « Le repli identitaire européen génère ce qu’il veut éviter« au Festival de géopolitique de Grenoble que vous pouvez revoir ici :
RAPPELONS NOUS DU DÉCLIN DE L’EMPIRE ROMAIN
Cela rappelle la fin de l’empire romain : si dans un premier temps les mercenaires germaniques ont été très utiles à l’empire, dans un deuxième temps le déclin démographique a été tel que sont entrés des peuples entiers, tels que par exemple les Francs en France.
L’encadrement romain s’est alors révélé insuffisant et ce fut la partie la plus rude du Moyen Âge.
On estime que la crise démographique puis la fin de la paix romaine et la paralysie corrélative des échanges ont entraîné une division de la population par cinq, au moins dans les villes, donc des disettes et des famines dramatiques.
Cette disparition de l’empire romain et le recul profond qu’il a entraîné pour plusieurs siècles est en général exploité par des opposants à l’immigration, alors que cet exemple me semble être de sens inverse et d’une actualité brûlante.
EN CONCLUSION
RépondreSupprimerLa crainte de l’immigration nous rend sourds et aveugles. Pourquoi ?
Nous avons vu que la xénophobie est un sentiment naturel mondial et de tout temps. Aujourd’hui on y ajoute la crainte de l’islamisme, que l’on étend à tous les musulmans, à tort puisqu’ils en sont les premières victimes. Et on a tendance à attribuer aux immigrants les brimades et les crimes commis par leurs États à d’autres époques.
De plus cela révèle les malentendus sur le mot immigration lui-même. Cibler les musulmans fait oublier tous les autres immigrés, des Vietnamiens aux chrétiens subsahariens, tous généralement bien acceptés.
Pour vendre, les médias mettent tout naturellement en valeur ce qui est dramatique et violent, qu’il s’agisse de la télévision ou de deux films récents, Les Misérables et BAC Nord. Ils sont certes inspirés de faits réels, mais donnent inévitablement l’impression qu’il s’agit de la vie quotidienne d’une grande partie la France, alors qu’il s’agit d’événements très discontinus dans l’espace et dans le temps, ne concernant que quelques dizaines de milliers de personnes.
Il est certain aussi que notre démocratie n’est, par nature, pas répressive, même quand elle le devrait. Mais voulons-nous vraiment que notre police copie celle de la Chine, voire de la Corée du Nord ?
https://www.contrepoints.org/2021/11/12/413078-immigration-ces-prejuges-tenaces-qui-pourrissent-le-debat
Il ne faut pas confondre le tourisme et l'immigration ! Un touriste aime le pays de son choix, il partage ses us et coutumes. Un immigré est amené (parfois de force en tant que 'réfugié climatique' !!) dans un pays qu'il n'aime pas et ne partage pas ses croyances dépassées. De plus, l'arabe est un excisé à la naissance !! C'est impossible ! Impossible de se masturber: y a rien ! Impossible de faire l'amour: il n'y a rien ! La jouissance est interdite !!
SupprimerPourquoi l'Europe est en retard ? Parce qu'elle partage ses valeurs avec des étrangers !!
Pourquoi l'Amérique est en retard ? Parce qu'elle partage ses valeurs avec des étrangers !!
Pourquoi le Chine est en avance ? Parce qu'elle est patriote, elle aime son pays, elle a ses surdoués (des milliers de fois plus qu'en tout autre pays).
Une maîtresse n'apprend rien de ses élèves. Les élèves apprennent tout de la maîtresse.
Regardez l'Amérique au temps de Ch. Colomb: le massacre !
Regardez l'arrivée des colons européens sur le sol Américain: un massacre !
Les étrangers qui s'imposent. Les terroristes arrivent, ils tuent, ils s'installent.
Il ne faut pas confondre le tourisme et l'immigration ! Un touriste aime le pays de son choix, il partage ses us et coutumes.
Un juge ordonne au FBI d'arrêter "d'extraire" des données des appareils Veritas au milieu de fuites mystérieuses vers le NYT
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 11 NOV 2021 - 21:10
Un juge fédéral a ordonné au FBI d'arrêter "d'extraire" des informations du téléphone de James O'Keefe à la suite des perquisitions dans plusieurs propriétés la semaine dernière, dans le cadre d'une enquête sur le vol présumé du journal de la fille du président Biden.
Le FBI prétend que le journal a été volé. O'Keefe a nié avec véhémence :
"À la fin de l'année dernière, nous avons été approchés par des informateurs affirmant qu'ils avaient une copie du journal d'Ashley Biden", a déclaré O'Keefe", ajoutant que "les informateurs ont indiqué qu'ils négociaient avec un autre média pour le paiement de l'argent pour le journal. "
"En fin de compte, nous avons pris la décision éthique que parce que, en partie, nous ne pouvions pas déterminer si le journal était réel, si le journal appartenait en fait à Ashley Biden, ou si le contenu du journal avait eu lieu, nous pouvions ne pas publier le journal et aucune partie de celui-ci."
O'Keefe a déclaré qu'ils avaient remis le journal aux forces de l'ordre après que l'avocat d'Ashley Biden eut refusé de l'accepter ou de l'authentifier.
Mais cela ne suffisait pas à « l'establishment », surtout à la lumière du facteur de nuisance persistant d'O'Keefe consistant à exposer des vérités laides.
La juge Analisa Torres a ordonné au FBI de cesser d'extraire les informations contenues dans le téléphone d'O'Keefe et a ordonné une vérification supplémentaire d'ici vendredi.
C'est une « victoire » pour O'Keefe et l'équipe du projet Veritas, mais pas avant que le contenu des documents/téléphones saisis ait été divulgué au New York Times.
Comme Mike Cernovich l'a tweeté :
"Quelque chose me dit que le juge fédéral qui a ordonné au FBI d'arrêter de supprimer les fichiers des appareils du projet Veritas va avoir des questions sur la façon dont les communications privilégiées avocat-client ont été supprimées de ces appareils et envoyées au NYT."
C'est l'État Profond contre lequel Trump a mis en garde pendant des années.
https://www.zerohedge.com/political/federal-judge-orders-fbi-immediately-stop-extracting-info-project-veritas-founder-james
Les grenouilles seront bouillies à mesure que le changement de régime arrive
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 12 NOV 2021 - 06:30
Par Mark Cudmore, stratège macro et rédacteur en chef mondial de l'équipe Markets Live de Bloomberg
L'angoisse de l'inflation : nous n'avons encore rien vu.
En moins de 24 heures, les trois plus grandes économies du monde - les États-Unis, la Chine et le Japon - ont chacune publié des données sur l'inflation qui ont brisé les prévisions du consensus et montré que les prix augmentaient au rythme le plus rapide depuis au moins le début des années 1990. En fait, l'impression la plus élevée depuis plus de 40 ans au Japon.
La quatrième économie, l'Allemagne, a également confirmé l'inflation au rythme le plus rapide depuis le début des années 90, mais cette publication n'a pas surpris les économistes car il s'agissait de l'impression finale et le rythme était venu avec l'estimation préliminaire. L'Allemagne ne laisse pas tomber cependant - elle a récemment confirmé l'inflation des prix à la production la plus élevée sur les records qui remontent à 1977. Cela vient du pays où les décideurs politiques craignent l'inflation plus que la plupart !
Et pourtant, les marchés ne semblent pas vraiment s'en soucier. Bien sûr, les rendements américains et le dollar ont tous deux bondi, tandis que les actions ont chuté. Mais il n'y a pas de panique face à l'énormité de ce que nous voyons. Presque personne n'a même pris la peine de commenter l'IPP japonais à 8 % en glissement annuel ce matin, contre 7 % estimé. Et les révisions ont également augmenté.
La métaphore des grenouilles dans une casserole d'eau n'a jamais été une analogie plus appropriée. Pour ceux qui ne sont pas familiers, l'idée est qu'une grenouille soudainement plongée dans de l'eau bouillante en sautera instantanément, mais une grenouille plongée dans de l'eau tiède portée progressivement à ébullition ne percevra pas le danger et sera donc cuite à mort.
Il y a un an, si vous aviez dit à un investisseur les chiffres de l'inflation qu'il verrait aujourd'hui, il y aurait eu incrédulité et tumulte. L'estimation médiane de l'inflation aux États-Unis pour l'année 2021 s'élevait à 1,9 %. Même avant les données de mercredi, ce consensus avait grimpé à 4,4 % – un changement presque incroyable.
Au lieu de cela, avec le cadran de l'inflation qui a progressivement augmenté tout au long de l'année, le changement marginal ne parvient plus à choquer et nous n'enregistrons pas toutes les ramifications d'un retour à un régime d'inflation jamais vu depuis des décennies. Nous nous concentrons toujours sur le taux de changement lorsque nous avons enfin atteint un point où les niveaux comptent.
Ce qui est bizarre, c'est qu'on écoute les économistes sur cette question. Aujourd'hui marque le 11e mois consécutif où l'IPP japonais dépasse les prévisions du consensus ! C'était le neuvième d'affilée pour le China PPI. Ils ont sous-estimé sept des huit dernières impressions de l'IPC américain, bien qu'AUCUN des 70 économistes interrogés par Bloomberg n'ait anticipé l'augmentation de 0,9 % m/m de l'IPC mercredi – la prévision la plus élevée était de 0,7 %. Et pourtant, leur « expertise » guide encore trop de monde sur les marchés. Vous ne pouviez presque pas vous rattraper. C'est comme si les grenouilles faisaient confiance au chef qui les mettait dans la marmite pour savoir si elles iraient bien.
Qu'est-ce que cela signifie pour les marchés ? Volatilité, pour commencer. Nous avons une dislocation entre la réalité économique et le cadre économique qui est évalué à travers les actifs. Le problème est que vous ne pouvez pas vous contenter de jouer sur l'inflation parce qu'il existe un déni collectif de la part des économistes, des décideurs politiques et de trop nombreux sur les marchés.
RépondreSupprimerLes obligations en souffriront, mais nous passerons d'un aplatissement de courbe à une pentification. Le rapport risque-rendement des actions momentum surévaluées a désormais un attrait négatif, mais certains autres secteurs boursiers peuvent encore performer. Les marchés des changes connaîtront des bouleversements extraordinaires, car les devises seront un débouché clé pour les déséquilibres économiques.
Et je ne suis pas convaincu que la crypto soit la merveilleuse haie polyvalente que beaucoup voudraient vous faire croire. Comment cela se passe-t-il si les rendements réels augmentent, les limites de risque sont réduites dans un contexte de volatilité plus élevée, le revenu disponible des consommateurs est comprimé et les actions meme/momentum souffrent ?
Le génie de l'inflation est sorti de la bouteille. La voie immédiate pour les marchés est difficile car la fonction de réaction changeante des grandes banques centrales est toujours en jeu. Cela ne va pas devenir plus facile d'un coup : l'année à venir verra d'immenses bouleversements des prix des actifs.
https://www.zerohedge.com/markets/frogs-will-get-boiled-regime-change-coming
L'inflation c'est quoi ? C'est qu'une maison il y a 1000 ans s'achetait pour 1 dollar mais que les prix des articles pour la construction ont un peu augmenté. Mais que le prix de l'heure des esclaves n'a fait qu'augmenter ! Çà alors !!
SupprimerPourtant les éléments comme les plantes et les fruits n'ont pas augmentés ! Çà alors !!
Il doit y avoir un problème dans les télécom !
(Par contre le prix de la disquette de 3,5 pi n'a pas augmenté ! Çà alors !!)
COP-Out ? Les plans climatiques mondiaux échouent
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 12 NOV 2021 - 04:15
Greta va être vraiment folle...
Bien que de nombreux gouvernements nationaux reconnaissent apparemment l'urgence de la situation climatique lors du sommet de la COP26, Martin Armstrong de Statista souligne que de nouvelles estimations de Climate Action Tracker suggèrent que les engagements pris en 2030 entraîneront toujours une augmentation de la température moyenne mondiale de 2,4 ° C d'ici 2100. - qui serait « dangereusement supérieur » à l'objectif de 1,5°C formalisé par l'Accord de Paris.
- voir graphique sur site -
Infographie : Les plans climatiques mondiaux échouent encore | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Même dans le meilleur des cas, une température de 1,8°C est prévue (avec des estimations inférieures et supérieures de 1,5 et 2,4, respectivement). Comme détaillé dans le rapport :
« La mise en œuvre des politiques sur le terrain avance à pas de tortue. Dans le cadre des politiques actuelles, nous estimons le réchauffement de fin de siècle à 2,7 °C. Bien que cette estimation de température ait baissé depuis notre évaluation de septembre 2020, les nouveaux développements politiques majeurs ne sont pas les facteur moteur. Nous devons voir un effort profond dans tous les secteurs, au cours de cette décennie, pour décarboner le monde pour être en ligne avec 1,5°C".
Alors que le sommet sur le climat touche à sa fin en Écosse, Climate Action Tracker avertit que :
« Les actions et les objectifs de 2030 sont le plus souvent incompatibles avec les objectifs de zéro net, de sorte que l'écart entre les politiques actuelles et les objectifs de zéro net est désormais de 0,9 °C. C'est, selon nous, l'écart de crédibilité que Glasgow doit combler. »
Eh bien, il semble que non ! Mais bon, il y a toujours le prochain Sommet sur le Climat (si l'humanité existe encore alors).
https://www.zerohedge.com/geopolitical/cop-out-global-climate-plans-fall-short
A la question de combien va être la température du magma dans 10 ans, dans 100 ans ou dans 1000 ans nous n'en savons rien. Car c'est LUI qui gère la température atmosphérique de notre planète.
Supprimer"Nous l'avons fait": Merkel suggère que l'afflux de migrants en Allemagne en 2015 a été un succès
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 12 NOV 2021 - 03:30
Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Malgré des preuves évidentes de pics de crimes violents, d'agressions sexuelles de masse et de nombreuses attaques terroristes, la chancelière allemande sortante Angela Merkel a suggéré que sa décision de 2015 d'autoriser un million de migrants à entrer dans le pays était un succès.
Parlez de la réécriture de l'histoire.
Lors d'une interview avec Deutsche Welle, on a demandé à Merkel si sa citation tristement célèbre d'une conférence de presse d'août 2015 sur la capacité de l'Allemagne à absorber un grand nombre de réfugiés, "wir schaffen das", qui se traduit par "nous pouvons le faire", s'applique toujours.
"Oui, nous l'avons fait", a-t-elle répondu, ajoutant que malgré quelques revers, des "histoires positives" ont émergé de la politique.
Pour illustrer l'absurdité de l'affirmation, elle a été faite peu de temps après qu'un migrant syrien a poignardé quatre personnes dans un train à grande vitesse ICE.
Cependant, Merkel a été forcée d'accepter qu'il y avait eu des "incidents terribles, comme ce qui s'est passé le soir du Nouvel An à Cologne", une référence au moment où des migrants nord-africains ont agressé sexuellement et violé environ un millier de femmes allemandes en une nuit.
« Depuis la crise migratoire, l'Allemagne a subi des menaces terroristes, des attaques terroristes, une augmentation des cas d'agressions sexuelles et diverses autres tragédies liées aux décisions qu'elle a prises en 2015 », rapporte Remix News.
« Rien que cette année, un demandeur d'asile débouté de la Somalie a assassiné trois femmes à Würzburg avec un couteau, dont une mère qui a protégé sa fille de l'attaque au couteau. Merkel n'a même jamais commenté la tragédie.
Au prix de dizaines de milliards d'euros pour les Allemands, on ne voit que peu d'impact « positif » global de l'afflux.
Comme nous l'avons souligné précédemment, les données officielles sur la criminalité publiées par le ministère de l'Intérieur de Düsseldorf ont révélé que dans la région de Rhénanie du Nord-Westphalie, les étrangers et les migrants, qui représentent environ 14,8 % de la population, sont responsables de près de la moitié des viols collectifs enregistrés.
Comme l'a rapporté Reuters, dans tout le pays, « les crimes violents ont augmenté d'environ 10 % en 2015 et 2016, selon une étude. Il a attribué plus de 90 pour cent de cela à de jeunes réfugiés de sexe masculin.
Un cas particulièrement douloureux concernait Maria Ladenburger, la fille d'un fonctionnaire de l'UE qui a été violée, assassinée et jetée dans une rivière à Fribourg.
Son meurtrier était le migrant afghan Hussein Khavari, entré en Allemagne en tant que réfugié en novembre 2015.
En décembre 2017, un autre réfugié afghan, Abdul D, a poignardé à mort sa petite amie allemande de 15 ans parce qu'elle avait rompu avec lui.
RépondreSupprimerUne enquête sur l'identité des pilleurs criminels qui ont exploité le chaos qui a suivi les inondations dévastatrices en Allemagne a également révélé que plus de 80 % des coupables étaient des migrants d'origine non allemande.
L'allemand a également subi de nombreuses attaques terroristes menées par des migrants, dont une attaque au camion en 2016 sur un marché de Noël à Berlin, qui a fait 12 morts et 56 blessés,
Le coupable était un demandeur d'asile tunisien débouté.
Après qu'un réfugié somalien s'est livré à un saccage au couteau qui a fait trois morts en juin, le maire de Würzburg a réagi en écrivant une lettre ouverte exprimant sa préoccupation face à la stigmatisation des réfugiés et des migrants.
L'ancien directeur du service de renseignement extérieur allemand a accusé Angela Merkel d'avoir créé une "crise de sécurité" en Allemagne en raison de sa politique d'ouverture des frontières en matière de réfugiés, les autorités n'ayant aucune idée de l'identité de jusqu'à 300 000 personnes dans le pays.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/we-did-it-merkel-suggests-2015-influx-migrants-germany-was-success
l'Allemagne a toujours perdu la guerre contre les migrants français ('réfugiés climatiques' ?).
SupprimerLa révolution microbienne promet de bouleverser l'agriculture et l'avenir de l'alimentation
RépondreSupprimer12 Novembre 2021
Mark Lynas*
Depuis des décennies, les nouvelles technologies dans l'agriculture ont aidé les agriculteurs en rendant la production alimentaire plus efficace. Les engrais artificiels ont augmenté la productivité, tandis que les outils de génétique ont permis de produire de meilleures variétés de plantes cultivées.
Mais que faire si des technologies encore plus récentes menacent de rendre les agriculteurs eux-mêmes superflus ? Telle est la perspective soulevée par la révolution microbienne à venir, qui verra potentiellement des micro-organismes utilisés dans des cuves industrielles pour produire la plupart des aliments dont l'homme a besoin avec une efficacité bien supérieure à celle de l'agriculture conventionnelle.
Certains experts estiment qu'il pourrait s'agir du plus grand changement dans l'économie humaine depuis l'invention de l'agriculture, il y a 10.000 ans, en libérant les gens de leur lien avec la terre et en réduisant, voire en éliminant, notre dépendance à l'égard de la production de nourriture à partir du sol, du soleil et d'autres ressources environnementales.
Parmi les partisans de cette idée figure George Monbiot, militant écologiste et chroniqueur au Guardian, basé au Royaume-Uni, qui a inventé le terme « farmfree foods » (aliments sans exploitation agricole) pour décrire les nouveaux produits annoncés. George Monbiot insiste sur le fait que les aliments sans exploitation agricole « créent des possibilités étonnantes pour sauver à la fois les gens et la planète ».
En particulier, l'alimentation sans exploitation agricole « nous permettra de rendre de vastes zones de terre et de mer à la nature, ce qui permettra le réensauvagement et la réduction des émissions de carbone à grande échelle », a-t-il déclaré. Cela signifiera également « la fin de l'exploitation des animaux, la fin de la plupart des déforestations » et une « réduction massive de l'utilisation des pesticides et des engrais ».
Monbiot n'est pas le seul enthousiaste. Un rapport du groupe de réflexion RethinkX, qui s'intéresse aux technologies de rupture, affirme que « le système actuel d'agriculture animale industrialisée sera remplacé par un modèle "Food-as-Software", où les aliments sont conçus par des scientifiques au niveau moléculaire et téléchargés dans des bases de données auxquelles les concepteurs d'aliments peuvent accéder partout dans le monde. »
Il ne s'agit pas d'une révolution menée par les gouvernements, mais par des scientifiques et des innovateurs travaillant dans le domaine de la « biologie de précision ». Celle-ci englobe toute une série de technologies nécessaires à la conception et à la reprogrammation des cellules et des organismes, comme le génie génétique, la biologie synthétique, le génie métabolique et la biologie computationnelle.
RépondreSupprimerSelon RethinkX, « la biologie synthétique a subi un changement conceptuel en devenant une discipline d'ingénierie. Tout comme les développeurs de logiciels, les biologistes synthétiques peuvent concevoir la biologie et améliorer la qualité, l'évolutivité, la nutrition, le goût, la structure et le coût ».
Le potentiel de cette technologie est presque illimité. Les génomes des microbes peuvent être programmés pour produire pratiquement n'importe quelle molécule souhaitable, des acides gras oméga 3 aux protéines, glucides ou sucres spécifiques. Les intrants peuvent être produits en utilisant à peine plus que de l'air et de l'eau.
L'entreprise finlandaise Solar Foods, qui produit des protéines et des glucides microbiens en utilisant uniquement de l'hydrogène, de l'oxygène et du dioxyde de carbone comme principales matières premières, est un exemple très cité de cette nouvelle vague. L'hydrogène est dérivé de l'eau par électrolyse à l'aide d'électricité renouvelable, ce qui en fait également un produit alimentaire à faible impact en carbone.
Solar Foods affirme que son produit expérimental en poudre, Solein, est 10 fois plus économe en terres que les plantes photosynthétiques, si l'électricité consommée provient de panneaux solaires. Bien que l'entreprise ne le précise pas, il est clair que ce ratio pourrait être considérablement amélioré si l'électricité provenait d'une source plus économe en terres, comme le nucléaire (qui peut également produire directement de l'hydrogène).
Les microbes peuvent également être utilisés pour remplacer les protéines produites par les vaches dans le lait et dans leur viande, tandis que les viandes à base de cellules deviendront probablement compétitives en termes de coût – initialement pour le marché du bœuf haché – d'ici quelques années seulement. Une société, Finless Foods, vise maintenant à utiliser la technologie cellulaire pour remplacer les fruits de mer, espérant ainsi réduire la pression sur les océans du monde.
L'impact sur l'élevage pourrait être spectaculaire. RethinkX prévoit que d'ici 2030, la demande de produits bovins aura chuté de 70 % et que, même avant cette date, « l'industrie bovine américaine sera effectivement en faillite ». La demande de cultures destinées à nourrir le bétail chutera de 50 %, affectant en particulier les pays exportateurs de céréales comme le Brésil, et la valeur des terres agricoles « s'effondrera de 40 à 80 % ».
Comme le souligne Monbiot, c'est potentiellement une excellente nouvelle pour la nature. Les terres épargnées par l'agriculture pourraient être reboisées pour contribuer à enrayer le déclin spectaculaire de la biodiversité et de l'abondance de la faune et de la flore sauvages, qui résulte en grande partie de la conversion des terres à l'agriculture et au pâturage.
RépondreSupprimerLes terres épargnées pourraient également permettre le piégeage de milliards de tonnes de carbone dans les forêts qui repoussent, réduisant ainsi les concentrations atmosphériques de gaz carbonique et aidant la planète à éviter les conséquences les plus catastrophiques du réchauffement climatique.
Des denrées alimentaires moins chères produites sur une infime partie des terres actuelles pourraient également améliorer la sécurité alimentaire dans le monde entier, notamment en déconnectant la production alimentaire des caprices d'un climat de plus en plus erratique à mesure que les impacts climatiques s'accélèrent.
Les agriculteurs ne seront pas les seuls à voir leur rentabilité économique et leur mode de vie bouleversés dans un tel scénario. Les fabricants d'engrais et de pesticides, ainsi que les semenciers et les constructeurs de machines agricoles, verraient tous leurs modèles économiques mis à mal et leurs marges érodées.
De nombreux écologistes ne sont pas enthousiastes. M. Monbiot admet avoir été « hué jusqu'au plafond » lorsqu'il a présenté sa vision à la Oxford Real Farming Conference récemment. Cette rencontre tend à attirer les partisans de l'agriculture « régénérative » et biologique, dont l'approche de retour à la nature entraîne malheureusement une occupation des sols et des émissions de gaz à effet de serre bien plus importantes que l'agriculture conventionnelle.
Comme pour le génie génétique antérieur, il est clair que la biologie de précision de la prochaine génération va perturber les idéologies aussi bien que les économies. Les Verts, qui ont tendance à imaginer un retour à une idylle rurale bucolique, auront besoin d'être persuadés que les aliments microbiens en cuve produits à l'échelle méga-industrielle sont un pas dans la bonne direction.
Mais rien ne prouve que les approches environnementalistes actuelles fonctionnent, alors que la déforestation augmente, que la population humaine se dirige vers les 9,5 à 10 milliards d'individus et que la croissance économique se poursuit au niveau mondial. Si l'on ne parvient pas à nourrir toutes ces nouvelles personnes sans avoir à cultiver encore plus de terres, les forêts tropicales restantes tomberont sûrement aussi.
L'espoir de la biologie de précision est que cette révolution soit portée par l'innovation et l'économie. Comme le souligne RethinkX, lorsque les nouvelles technologies commenceront à ronger les marchés des produits animaux existants, les industries de l'élevage entreront dans une « spirale de la mort » en essayant de rester à flot en augmentant les prix de leurs produits restants.
La nouvelle ère de la biologie de précision et de l'alimentation hors-sol va bouleverser nos approches et nos systèmes de croyance actuels en matière d'alimentation et d'agriculture. Nous ne pouvons tout simplement pas savoir comment les nouvelles technologies vont changer la vie des gens à travers le monde.
Mais, au moins au niveau conceptuel, il est désormais possible d'envisager comment une population humaine plus nombreuse peut potentiellement survivre à l'urgence climatique à venir sans détruire une grande partie de la biodiversité restante de la planète. Et cela ne peut être qu'une bonne chose.
______________
* Source :Microbial revolution promises to upend agriculture and future of food - Alliance for Science (cornell.edu)
https://seppi.over-blog.com/2021/11/la-revolution-microbienne-promet-de-bouleverser-l-agriculture-et-l-avenir-de-l-alimentation.html
(...) Il ne s'agit pas d'une révolution menée par les gouvernements, mais par des scientifiques et des innovateurs travaillant dans le domaine de la « biologie de précision (...)
SupprimerHAHAHAHA !
Comme l'a expliqué longuement la scientifique Valentina Kiseleva* (voir clip de ce jour), les psychopathes au pouvoir veulent en finir avec les 7 milliards d'humains qui encombreraient la planète ! Voila qui est proposé maintenant les repas sous forme de pilules avec 'tous les éléments nutritifs' que demande notre organisme !
A savoir: des nano-particules d'oxyde de graphène afin de contrôler le bétail bipède et quadrupède !
Il ne s'agit pas de demander l'avis de 7 milliards d'habitants (dans le couloir de la mort) mais d'appliquer les ordres des ordures qui dirigent !
*homologue russe des suissesses Ingrid Stuckelberger et Alexandra Henrion-Caude
Couillonavirus : seulement 2 % des hospitalisations étaient liées au covid en 2020
RépondreSupprimerJeudi 11 novembre 2021
Les données officielles elles-mêmes révèlent la supercherie. Le covid, qui était censé inonder des services hospitaliers incapables de faire face, n’a été responsable en réalité que de 2 % des hospitalisations en France en 2020. Et Martin Blachier de révéler que les études comparatives menées sur le covid et la grippe montrent que celle-ci sélectionne beaucoup moins les patients qu’elle emporte, quand celui-là moissonne, pourrait-on dire, beaucoup plus à maturité…
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Couillonavirus-seulement-2-des-hospitalisations-etaient-liees-au-covid-en-2020-66158.html
Fermeture des services d’urgences : "La situation est catastrophique"
RépondreSupprimervendredi 5 novembre 2021
On glisse vers une situation à la britannique, où le culte du profit, la destruction du public au profit du privé sont rois. En France, le basculement dans le totalitarisme néolibéral va tuer, c’est évident, des gens qui ne devraient pas mourir. C’est sous nos yeux, sous Macron 1er.
Quand on pense aux 10 000 soignants que véran a foutus dehors, histoire de redresser les comptes de l’hôpital public, sous couvert de pandémie, et aux 180 000 qui ne veulent pas du satané vaccin, on se dit que le cynisme est un crime.
Il ne fait pas bon être fragile dans la France de Macron et ses sbires. Notre système de santé a été détruit sciemment par les politiques corrompus qui ont ouvert la porte à tous les diables du privé. Quand on vote pour ces gens-là, on le paye très cher, dans sa chair.
Il n’est plus l’heure de tirer la sonnette d’alarme, la situation est déjà critique : les services d’urgences des hôpitaux publics ferment en cascade dans toute la France. Que ce soit pour quelques heures chaque jour ou pendant plusieurs semaines, ces services doivent fermer leurs portes faute de personnels soignants.
Depuis plusieurs semaines, la presse régionale ne cesse de relayer des annonces de fermetures de services d’urgences dans toute la France :
- « Le service des urgences de l’hôpital de Givors ferme temporairement la nuit jusqu’au 30 novembre prochain »
- « Les urgences de l’hôpital de Laval ferment quatre nuits cette première semaine de novembre »
- « Le service de soins non programmés de la polyclinique Maymard de Bastia sera fermé du lundi 1er au mardi 9 novembre 2021 »
- « Jusqu’au 31 décembre, les urgences de l’Hôpital du Gier seront ouvertes uniquement de 9h à 19h »
- ou encore : « Le Pôle Santé Sarthe et Loir (PSSL) ferme ses urgences le 8 novembre, de 20h30 à 8h30 ».
À ce jour, 20 % des lits sont fermés dans le public et la situation est tout aussi préoccupante pour les urgences pédiatriques. Une situation qui oblige certains patients à être transférés vers d’autres hôpitaux, quitte à mettre leur vie en danger.
« La situation est au-delà de catastrophique », déplore auprès du HuffPost Fabien Paris, infirmier et membre du Collectif Inter Urgences - qui se décrit comme « la première association professionnelle d’ampleur pour l’exercice paramédical aux urgences ». « Et ça ne va pas aller en s’arrangeant, ce phénomène de fermeture des urgences va continuer et s’amplifier », prévient-il.
RépondreSupprimerL’inquiétude règne, pour aujourd’hui et surtout pour demain, quand accueillir des patients en urgence ne sera plus possible.
Fermetures en cascades et « services dégradés »
Car cette épidémie de fermetures est un symptôme carabiné de la crise que subit l’hôpital public « depuis bien avant le Covid », souligne Fabien Paris. Il dénonce une « situation extrêmement dégradée », conséquence directe de « trente ans de politique et réformes destructrices de l’hôpital public ». « Il y a 15 ans, la France était le pays avec le meilleur système de santé. Aujourd’hui nous ne sommes même pas dans les dix premières places de ce classement », annonce-t-il.
« Olivier Véran n’arrête pas de nous dire ’tenez bon’, mais pourquoi on tiendrait bon ? »
L’infirmier évoque plusieurs raisons à cet effondrement : l’épuisement des soignants et les économies que doit faire l’hôpital public qui « vit à crédit ». Sur ce dernier point, Fabien Paris dénonce une tarification inadaptée des soins. « Les actes et les soins ont un coût, mais plus on fait d’actes, plus le prix baisse. Ça ne valorise pas le coût de certaines techniques. Il faudrait un réel financement pour aider l’hôpital public à éponger ses dettes », appelle-t-il. Ce qui permettrait de mettre plus de moyens dans le recrutement de personnels soignants.
Mais ce membre du Collectif Inter Urgences ne se fait plus d’illusion, il semble même avoir perdu espoir. « Olivier Véran n’arrête pas de nous dire “tenez bon”, mais pourquoi on tiendrait bon ? À quoi ça sert puisque rien ne va s’arranger ? », s’interroge-t-il, de guerre lasse. Même s’il assure croire profondément en sa mission, l’infirmier n’arrive plus à voir le bout du tunnel face à cette « situation inextricable », soulignant que même si un effort a été fait sur le revenu de certaines professions, « un salaire ne fait pas les conditions de travail ».
[...]
« Les patients sont en danger »
Pour Fred, « la baisse de l’espérance de vie on l’a déjà ! On a une mauvaise prise en charge dans les hôpitaux car ce n’est pas possible de gérer tous les patients avec les moyens qu’on a », dénonce-t-il.
Lire l’article entier sur huffingtonpost.fr
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Fermeture-des-services-d-urgences-La-situation-est-catastrophique-66102.html
La promesse et les dangers de la vitamine D
RépondreSupprimerPar Bill Sardi
13 novembre 2021
Avec plus d'une décennie d'avance, on aurait pu penser que la vitamine D aurait déjà guéri le cancer, sinon Covid-19. Il y a plus de 10 000 rapports sur la supplémentation en vitamine D publiés au cours des 10 dernières années, publiés à la National Library of Medicine.
Mais tout n'est pas rose au pays de la vitamine D. Parlant des deux côtés de leur bouche, les chercheurs disent que la vitamine D fonctionne / ne fonctionne pas; disent que plus d'un milliard de personnes sur terre sont carencées en vitamine D, mais disent aussi que le public gaspille de l'argent en pilules solaires.
Lequel est-ce ? Un remède miracle, ou la plus grande déception en médecine nutritionnelle ?
La réponse est que ce sera ce que la médecine moderne choisira d'être, car la fourniture de médicaments aujourd'hui est conforme aux conditions de l'industrie médicale, et non déterminée par les besoins ou les demandes du public.
Comme la mafia, l'industrie médicale doit obtenir une part du gâteau, ou elle va calomnier et disqualifier tout ce qui menace ses revenus. En tant que complément alimentaire, l'accès direct du public à la vitamine D sans médecin est un problème pour la médecine moderne en raison de la large capacité de la vitamine D à apaiser de nombreuses maladies. Le plus grand facteur de confusion dans la science de la vitamine D est la profession médicale elle-même.
Quand a commencé la révolution de la vitamine D ?
La révolution de la vitamine D a été signalée par des chercheurs de premier plan il y a plus de dix ans. Drs. Cedric et Frank Garland qui ont établi un lien entre la carence en vitamine D et le cancer avec leur rapport révolutionnaire publié en 1980 et le Dr Michael F. Holick qui a écrit sur la « pandémie de vitamine D » ; et Bruce W. Hollis PhD qui ont contribué à la science des tests sanguins, ont été les chercheurs qui ont ouvert la voie.
Appelée « nutriment de la décennie » en 2010 par Ronald Hoffman MD, ancien président de l'American College for Advancement in Medicine, cette vitamine/hormone est sortie du placard de la recherche pour offrir bien plus de bienfaits pour la santé que sa capacité largement annoncée à utiliser le calcium. pour la croissance osseuse et prévenir le rachitisme chez les enfants en pleine croissance. La plus grande promesse de la vitamine D est son rôle central dans le système immunitaire et devrait être au premier plan dans la prévention des maladies infectieuses et du cancer.
Vivre dans le noir
RépondreSupprimerComment une carence aussi répandue pourrait-elle infester l'homme moderne alors qu'elle est gratuite, qu'elle ne se limite pas à des sources alimentaires ou complémentaires, et que tout ce qui est nécessaire pour avoir suffisamment de vitamine D est de marcher dehors sous le soleil de midi, au moins sous les latitudes méridionales.
Essentiel à la vie humaine, le réservoir de vitamine D ne doit jamais être vide. Des mois sont littéralement stockés dans le foie pendant les mois d'été pour passer l'hiver. Une méga-dose de vitamine D injectable maintient des taux sanguins élevés pendant 84 jours. Les femmes plus âgées reçoivent souvent 300 000 unités de vitamine D injectées pour la protection des os en hiver sans effet secondaire. Même de grandes doses orales uniques allant jusqu'à 300 000 unités sont sûres et efficaces.
Limite supérieure de sécurité
Il est inconcevable qu'une pilule de vitamine D de 4000 unités (la soi-disant limite d'apport supérieure sûre) puisse être problématique au-delà de ce point. 4000 unités internationales (UI) ne représentent qu'un dixième de milligramme (100 microgrammes). Ce point limite de sécurité absurde expose la phobie du soleil/de la vitamine D qui prévaut maintenant dans la médecine moderne. (Plus d'informations à ce sujet ci-dessous.)
Les coûts
L'insuffisance en vitamine D coûte environ 40 à 50 milliards de dollars par an (données de 2004), tandis que les maladies liées au soleil (cancer de la peau) coûtent environ 6 à 7 milliards de dollars par an aux États-Unis. La médecine moderne sait que si l'adéquation en vitamine D pouvait être atteinte par l'ensemble de la population, 40 à 50 milliards de dollars de remboursements d'assurance aux médecins et aux hôpitaux lui seraient retirés. L'industrie médicale reconnaît que la révolution de la vitamine D ne peut pas être arrêtée, mais elle peut ralentir pour le temps.
Combien de suppléments de vitamine D les Américains prennent-ils ?
WebMD fournit des données d'utilisation : en 1999-2000, 0,3 % des adultes américains ont pris 1 000 UI ou plus de vitamine D par jour. En 2013-2014, un peu plus de 18% des adultes prenaient autant de vitamine D par jour.
En 2007-2008, 0,2 pour cent des Américains ont pris 4 000 UI ou plus par jour. En 2013-2014, ce nombre était de 3,2 %.
La demande de suppléments D monte en flèche
RépondreSupprimerLa véritable promesse de la vitamine D n'a pas encore été réalisée pour une grande partie des populations humaines, même si la demande pour cette vitamine en tant que complément alimentaire est passée de 30 millions de dollars en 2008 à plus de 770 dollars aux États-Unis par an (2021), et devrait atteindre 1,6 milliard de dollars dans le monde d'ici 2025.
770 milliards de dollars divisés par une population de 328 millions d'Américains ne représentent que 2,34 dollars par an et par habitant. La note pour 200 millions d'Américains prenant une pilule de vitamine D à 10 $/mois s'élèverait à 2,4 milliards de dollars, ce qui montre le potentiel de marché pour ce supplément.
Pourquoi attendre l'apparition des symptômes du déficit en D pour ensuite traiter les symptômes de manière inappropriée avec des médicaments anti-inflammatoires, anti-germicides et antidépresseurs ? C'est la pratique courante aujourd'hui. Étant donné qu'il existe plus de 100 types de maladies auto-immunes et que la vitamine D normalise l'auto-immunité du corps contre lui-même, cela suggère qu'un grand nombre d'avantages pour la santé peuvent résulter de la transformation de la vitamine D en un nouveau paradigme de la médecine moderne.
Concentrations sanguines typiques par dose
Quelles sont les concentrations sanguines typiques obtenues par la supplémentation ?
Pour référence, il existe deux façons de mesurer les niveaux sanguins de vitamine D : les nanogrammes par millilitre et les nanomoles par litre.
1000 UI : 12,4 nanogrammes/millilitre/ nanomole par litre
La carence en vitamine D est définie comme ci-dessous
20 nanogrammes/millilitre ou 50 nanomoles/litre d'échantillon de sang
5000 UI : 27,8 nanogrammes/millilitre/ 69 nanomoles par litre
10 000 UI : 48,1 nanogrammes/millilitre/ 24 960 nanomoles par litre
Cela rend les pilules de vitamine D de 1 000 à 4 000 mg presque sans valeur, à l'exception du soleil qui empêche une carence abjecte.
Le chercheur canadien Reinhold Vieth a montré qu'une dose de 400 UI/jour pendant plusieurs mois n'avait que peu ou pas d'effet détectable sur la concentration circulante de vitamine D. Chose embarrassante, c'est la quantité de vitamine D dans le lait enrichi pendant de nombreuses années - une dose inutile.
Quel pourcentage de la population américaine est déficient en D ?
RépondreSupprimerUn rapport de 2011 publié dans Nutrition Research a estimé que la carence en vitamine D (concentrations sériques définies inférieures à ≤ 20 nanogrammes/millilitre/50 nanomoles/litre) était de 41,6 %, le taux le plus élevé étant observé chez les Noirs (82,1 %), suivis des Hispaniques (69,2 % ).
En hiver, tous les Américains vivant au-dessus du 37e parallèle, à l'exception des utilisateurs de suppléments de vitamine D, sont probablement carencés en vitamine D.
Pourquoi pas l'enrichissement des aliments ?
Qu'en est-il des aliments fortifiants ? L'Organisation mondiale de la santé (OMS) affirme que l'enrichissement des aliments est censé intervenir "pour fournir à la plupart (97,5%) des individus du ou des groupes de population les plus à risque de carence un apport adéquat en micronutriments spécifiques, sans causer de risque". d'apports excessifs dans ce groupe ou dans d'autres.
Par conséquent, lorsque 2,5 % de la population a des taux sanguins inférieurs à 10 à 12 nanogrammes par millilitre/25 à 30 nanomoles/litre d'échantillon de sang, l'enrichissement des aliments doit être mis en œuvre. Le lait est enrichi de 400 unités de vitamine D pour les enfants en pleine croissance qui ont besoin de vitamine D. De toute évidence, l'enrichissement des aliments ne fonctionne pas.
L'apport de vitamine D par l'alimentation est insignifiant
En utilisant les données d'une étude de 2009-2012, l'apport alimentaire en vitamine D inférieur aux besoins moyens estimés (BME) était de 100 % ! Environ 80% de la vitamine D provient du rayonnement solaire UV-B et environ 20% provient de l'alimentation. Remerciez Dieu pour la lumière du soleil.
Les autorités de santé publique recommandent un minuscule 400 à 800 UI (10 à 20 microgrammes) de vitamine D pour atteindre des taux sanguins de l'ordre de 25 à 50 nanomoles/litre ou de 10 à 20 nanogrammes/millilitre d'échantillon de sang. Si tous les Américains atteignaient ce niveau sanguin, ils seraient tous à la limite de la carence, surtout s'ils vivaient dans des climats nordiques où les effets de l'inclinaison de la terre loin du soleil pendant les mois d'hiver réduisent le rayonnement solaire et la production naturelle de vitamine D.
Ces chiffres semblent ridiculement bas par rapport à l'exposition au soleil. Seulement 10 minutes au soleil de midi sans crème solaire avec la peau exposée généreront environ 10 000 unités de vitamine D (1000 unités par minute) ! Ainsi, la recommandation de 400 à 800 UI pour l'enrichissement des aliments équivaut à moins d'une minute de soleil. C'est absurde !
Le Food & Nutrition Board a établi la limite supérieure sûre pour la vitamine D à 4000 UI (100 microgrammes) par jour, ce qui équivaut à 4 minutes de soleil. C'est aussi absurde. Avez-vous déjà entendu parler de quelqu'un développant une toxicité à la vitamine D en s'exposant au soleil pendant plus de 4 minutes ?
RépondreSupprimerJ'espère que les lecteurs suivent ici à quel point la médecine moderne craint autant la lumière du soleil que le comte Dracula.
Comprendre le métabolisme de la vitamine D
Selon le Dr Bruce Hollis, affilié à la Medical University of South Carolina :
La demi-vie circulante de la forme intermédiaire de la vitamine D (calcidiol) est de plusieurs semaines; pour la vitamine D3 c'est 1 jour; et pour la vitamine D activée (calcitriol) c'est quelques heures. La vitamine D est finalement excrétée dans la bile, les fèces et l'urine. Par conséquent, le seul moyen connu de maintenir des taux sanguins constants de vitamine D est la supplémentation quotidienne ou l'exposition de la peau/du soleil aux rayons UV solaires.
Même une dose de 100 000 unités de vitamine D est éliminée de la circulation sanguine en une semaine, ce qui rend la vitamine D pratiquement indétectable (bien qu'une partie soit stockée dans le foie). Ainsi, le seul moyen connu de maintenir des concentrations circulantes constantes de vitamine D est la supplémentation quotidienne et/ou l'exposition chronique aux UV.
Une dose de 400 UI/jour pendant plusieurs mois n'aura que peu ou pas d'effet détectable sur la concentration circulante de vitamine. D Cependant, si l'on prend pendant de longues périodes des suppléments de 2 000 à 6 000 UI/j de vitamine D3, des concentrations circulantes stables de vitamine D sont maintenues dans la plage de 10 à 40 nanogrammes/millilitre. Dosage de 400, 1 000, 2 000 ou 4 000 UI/jour ; 28 000 UI/semaine ; 120 000 UI/mois ; 360 000 UI tous les 3 à 4 mois maintiendront les niveaux de vitamine E sans calcification excessive.
Des doses quotidiennes de vitamine D entraînent des concentrations circulantes stables de D3 et de calcidiol intermédiaire, tandis qu'une administration hebdomadaire ou à intervalles plus longs entraînera de grandes fluctuations de la vitamine D circulante mais des concentrations stables de calcidiol dans le foie, la forme intermédiaire de la vitamine D. Mères qui allaitent besoin de 6000 UI/jour de vitamine D3.
Pléthore d'études sur la vitamine D avec déclaration de pandémie
La pandémie de Covid-19 a produit une pléthore d’études sur les vitamines en peu de temps. En l'absence de vaccins, la pandémie de Covid-19 a pris des traitements de deuxième niveau comme les vitamines et les a propulsés au premier plan de la bataille pour sauver des vies humaines d'un virus muté contre lequel aucun humain n'était immunisé. Les études sur la vitamine D/Covid-19 étaient initialement positives :
· Un bolus oral de 80 000 UI de vitamine D3 avant un diagnostic de Covid-19 a réduit le taux de mortalité.
RépondreSupprimer· Lorsque les adultes d'âge moyen qui ont été testés positifs pour Covid-19 ont reçu 60 000 UI de vitamine D3 par jour pendant 7 jours ou une pilule placebo inactive, plus de 60 % ont été testés négatifs dans les 21 jours contre 20,8 % se sont révélés négatifs dans le groupe placebo.
· Selon une étude, les patients atteints de Covid-19 ont tendance à présenter une carence en vitamine D avant l'infection, définie comme un échantillon de sang inférieur à 20 nanogrammes/millilitre. Les patients de Covid-19 étaient (14,3 fois plus à risque d'être carencés en vitamine D et 2,031 fois plus susceptibles de souffrir de diabète, et ces patients avaient des taux de mortalité et de comorbidités plus élevés.
· Une autre observation intéressante est que le rayonnement UV solaire est en corrélation avec une gravité réduite de l'infection à Covid-19 et une faible incidence totale d'infection à Covid-19. Si le moment de la vaccination est en corrélation avec l'augmentation estivale du rayonnement UV, cela fera faussement paraître les vaccins Covid-19 plus efficaces.
· La vitamine D et ses dérivés (calcidiol, calcitriol) se lient à la porte ACE2 qui permet au Covid-19 d'entrer dans les cellules et de se répliquer et bloque donc l'infection Covid-19.
· Une étude révélatrice de patients Covid-19 a été entreprise. Patients Covid-19 sans symptômes (asymptomatiques) vs patients gravement malades hospitalisés. Voici les résultats de cette étude :
- voir cadre sur site -
Les études sur la vitamine D ont fait long feu
Mais ensuite, la supplémentation en vitamine D est tombée en discrédit. La présomption erronée est que ceux qui sont déficients en vitamine D bénéficieront d'une supplémentation. Mais ce n'est pas toujours le cas.
En dehors de Covid-19, des études rigoureuses sur la vitamine D n'ont trouvé aucun avantage pour la santé. Une étude historique publiée en 2018 a révélé que la supplémentation en vitamine D n'augmentait PAS la densité minérale osseuse et ne prévenait pas les chutes et les fractures de la hanche. Mais bien sûr, chez les femmes ménopausées sujettes aux fractures, une autre hormone, l'œstrogène, est responsable du maintien de la densité osseuse. Idem pour la testostérone pour les hommes. Conclusion : les chercheurs testaient la mauvaise hormone.
Dans un autre exemple, une étude publiée en 2019 dans le New England Journal of Medicine n'a pas entraîné une incidence plus faible de cancer invasif ou d'événements cardiovasculaires par rapport à un placebo inactif. Cependant, une réduction significative du risque de cancer du côlon a été démontrée pour la vitamine D libre non liée, qui est abordée plus loin dans ce rapport.
RépondreSupprimerD'autres études ont révélé une corrélation inattendue entre les niveaux de vitamine D et une augmentation des chutes et des fractures chez les femmes plus âgées. Un examen de 137 maladies a conclu que toute allégation que la vitamine D est associée à une incidence réduite de la maladie est fausse. La carence en vitamine D était appelée une « pseudo-maladie » et les pilules de vitamine D étaient un substitut « imposteur » du soleil.
Puis vint la pandémie de Covid19 et des études contraires :
· La supplémentation en vitamine D chez les patients de Covid-19 s'est avérée non concluante et peut être faussée par des facteurs de confusion inconnus.
· Même lorsqu'une seule dose élevée de vitamine D3 a été administrée (200 000 UI), il n'y a eu aucun effet sur les jours d'hospitalisation. Cependant, d'autres études sont parvenues à une conclusion différente et ont recommandé une supplémentation en vitamine D pour Covid-19. Pourquoi?
· D'intérêt est une étude où 42% des patients Covid-19 avaient des niveaux sanguins déficients en vitamine D (inférieurs à 20 nanogrammes/millilitre d'échantillon de sang) et les risques d'infection étaient 3,3 fois plus élevés chez ceux présentant une carence en D. Cependant, il n'y avait pas d'association significative entre le statut en vitamine D et la mortalité. Une autre étude a révélé la même chose, qu'une carence en vitamine D réduisait le risque de maladie grave de Covid-19 mais pas une issue fatale.
· Les chercheurs sont allés plus loin dans leur enquête et ont utilisé le dépistage génétique pour déterminer si des facteurs héréditaires prédisposaient les individus à des taux sanguins de vitamine D plus élevés ou plus bas et à un risque accru ou réduit d'infection et de mortalité par Covid-19. Il n’y avait aucune association entre les niveaux de vitamine D génétiquement prédits et la sensibilité au Covid-19. Cependant, l'étude en question n'incluait pas les individus carencés en vitamine D.
Malgré les études négatives, 80% des patients Covid-19 sont carencés en vitamine D.
Une enquête sur la vitamine D en tant que nutriment pour prévenir, traiter et même guérir Covid-19 révèle des preuves volumineuses qu'une carence de la forme active de cette hormone / vitamine du soleil (calcitriol) est responsable d'environ 87% des décès de Covid-19.
Ne blâmez pas les études ayant échoué sur la vitamine D
Il existe des raisons connues pour lesquelles la vitamine D ne fonctionne pas.
· L'obésité est un autre facteur qui réduit les taux sanguins de vitamine D. Les adultes obèses ont besoin de 2 à 3 fois plus de vitamine D que les adultes maigres pour traiter une carence en vitamine D. Le poids corporel par jour pourrait expliquer 34,5% de la variation de la vitamine D circulante.
RépondreSupprimerIl y a une réduction beaucoup plus importante du cancer chez les adultes de poids normal que chez les adultes obèses lors de la prise de vitamine D. Aux États-Unis, les patients obèses de Covid-19 ont 1,8 à 3,6 fois plus de chances d'être admis aux soins intensifs. En Chine, 88 % des patients décédés du Covid-19 étaient en surpoids.
· Une étude montre que près de 80 % des patients atteints d'insuffisance rénale chronique ont de faibles niveaux de vitamine D. Comme les lecteurs l'apprennent ici, les reins sont l'endroit où se produit la dernière étape du métabolisme de la vitamine D, où le calcidiol est converti en la forme active de la vitamine D, le calcitriol. Je sur 3 diabétiques ont une maladie rénale.
· La consommation chronique d'alcool réduit la vitamine D circulante et altère l'immunité.
· Les taux sériques de vitamine D sont plus faibles chez les femmes atteintes d'hypothyroïdie auto-immune. Il est à noter qu'une carence en oligo-éléments zinc altère les niveaux d'hormones thyroïdiennes.
Plus que rencontre les yeux
La vitamine D contient bien plus qu'il n'y paraît. Un excès de vitamine D peut entraîner une calcification excessive, de sorte que le corps fabrique de la vitamine D dans la peau lors de l'exposition au rayonnement ultraviolet solaire, la stocke dans le foie qui conserve quelques mois d'approvisionnement pour passer l'hiver, puis la convertit en sa forme active ( calcitriol). La vitamine D dans le sang est principalement la forme liée, avec seulement ~1% étant non liée et biodisponible.
Le cœur du métabolisme de la vitamine D est qu'elle doit être métabolisée dans les reins en sa forme active, le calcitriol.
Quelle est la livraison de base de vitamine D à notre corps ?
Le corps humain limite la quantité de vitamine D disponible pour la nutrition afin d'éviter la surcalcification, la vitamine D étant le régulateur de la disponibilité du calcium. Ainsi, la vitamine D3 est synthétisée dans la peau, transportée vers le foie pour le stockage (sous forme de calcidiol) et libérée selon les besoins, étant transportée via la protéine de liaison de la vitamine D aux reins, où elle est métabolisée par voie enzymatique en la forme active. de vitamine D (calcitriol).
Environ 85 à 90 % de la vitamine D (calcidiol) libérée par le foie est liée à la protéine de liaison à la vitamine D et 10 à 15 % est liée à l'albumine, donc moins de 1 % est la vitamine D active non liée (libre) (calcitriol) .
Le problème est que les laboratoires de sang mesurent habituellement uniquement la quantité de vitamine D3 non métabolisée en circulation dans le sang, et non la quantité de vitamine D active (calcitriol) disponible. Les progrès des tests permettent désormais de mesurer la vitamine D activée (libre, non liée).
RépondreSupprimerAlors que certaines études montrent que les niveaux de vitamine D libre non liée ne sont pas inférieurs chez les patients gravement malades par rapport aux patients en bonne santé, la présomption erronée est que les besoins en vitamine D des patients gravement malades sont les mêmes que chez les patients malades. Bien qu'il ait été constaté que les hommes carencés en vitamine D ont un risque de mortalité multiplié par deux, la fraction D libre n'était pas liée à la mortalité. Cependant, il n'y a aucune raison de rejeter purement et simplement la vitamine D comme l'a fait la médecine moderne. La vitamine D libre et non liée est mieux corrélée à la densité osseuse que les mesures standard de la vitamine D3.
400 unités par jour n'augmentent pas les taux sanguins
Vieth et ses collègues ont démontré que la limite supérieure de sécurité de 2000 UI/jour pour la vitamine D attribuée par l'Institute of Medicine en 1997 était incorrecte et que des apports quotidiens en vitamine D jusqu'à 4000 UI/j étaient effectivement sans danger.
Pour aggraver les choses, une erreur statistique a mal estimé la dose journalière supérieure tolérable et sûre. Dans un rapport intitulé "The Big Vitamin D Mistake", l'apport quotidien corrigé pour les adultes est de 8000 UI par jour.
Le traînage des pieds par la médecine moderne est très apparent ici.
Zéro mortalité !
Une découverte importante est que la vitamine D3 est un prédicteur plutôt qu'un simple effet secondaire de l'infection. Augmenter les niveaux de vitamine D sérique au-dessus de 50 nanogrammes/millilitre pour prévenir de nouvelles épidémies de Covid-19 produit un point théorique de mortalité zéro à ce niveau sanguin !
Il existe des preuves solides qu'un faible D3 est un prédicteur plutôt qu'un simple effet secondaire de l'infection. MALGRÉ LES VACCINATIONS EN COURS (souligné par l'auteur), des chercheurs en Allemagne recommandent d'augmenter les niveaux sériques d'intermédiaire D (calcidiol) à plus de 50 nanogrammes/millilitre d'échantillon de sang pour prévenir ou atténuer de nouvelles épidémies de Covid-19 dues à des mutations échappées ou à une diminution de l'activité des anticorps. En d'autres termes, ne comptez pas uniquement sur la vaccination pour obtenir l'immunité.
Le cas du calcitriol, métabolisé dans les reins
RépondreSupprimerSur 121 composés identifiés avec une activité anti-Covid-19, le calcitriol, la forme active de la vitamine D, s'est démarqué.
Dans une tentative de résoudre les preuves équivoques pour justifier l'utilisation de suppléments de vitamine D, les chercheurs ont postulé que la vitamine D n'était pas convertie en calcitriol, ce qui expliquerait les études nulles.
Le calcitriol a été mis à l'épreuve. Deux groupes de 25 patients hospitalisés ont reçu du calcitriol ou aucun traitement. La durée de séjour à l'hôpital était de 9,2 jours vs 5,5 jours pour le groupe calcitriol. Une réduction significative des besoins en oxygène chez les patients hospitalisés avec le Covid-19 a été démontrée. Il y a eu 3 décès dans le groupe sans traitement et zéro décès dans le groupe calcitriol.
Cela suggérerait un manque de conversion du calcidiol en calcitriol dans les reins chez les patients Covid-19.
Dans la région de Catalogne en Espagne, le calcitriol a été utilisé chez 8 076 patients atteints d'insuffisance rénale. Le calcitriol a réduit le risque d'infection au Covid-19 de 22 % et la mortalité de 43 %.
Traînement du pied
Le calcitriol est un médicament largement sous-utilisé et sous-prescrit. L'oncologue Donald L. Trump (non lié à l'ancien président américain), affilié à Inova Healthcare en Virginie, écrit un article fondateur sur l'opportunité manquée de la thérapie au calcitriol dans un rapport de 2018. Le contexte de son rapport est le cancer.
Le Dr Trump note que des centaines d'analogues de médicaments de la vitamine D (molécules similaires) ont été développés dans une tentative futile de surmonter l'hypercalcémie associée à l'utilisation du calcitriol, son seul effet secondaire connu. L'inconvénient du calcitriol, une hypercalcification modérée, légère et transitoire, peut être surmonté par une utilisation intermittente, explique le Dr Trump.
En d'autres termes, la communauté des chercheurs a choisi de développer des formes brevetables de calcitriol étant donné la peur artificielle de la surcalcification et le désir de s'enrichir.
Zinc : comment convertir la vitamine D en sa forme active
Les masses n'ont pas besoin d'obtenir une ordonnance de calcitriol de leur médecin. L'oligo-minéral zinc facilite les niveaux maximaux de calcitriol via la libération des globules blancs appelés macrophages. Le zinc est particulièrement important lorsque le calcium ou le phosphore sont épuisés. Le zinc est généralement déficient chez les patients atteints de maladie rénale. Le manque d'acide gastrique chez les personnes âgées altère l'absorption du zinc. Le sélénium est nécessaire pour libérer le zinc libre et non lié de sa protéine porteuse, la métallothionéine.
Il est inconcevable que les oncologues et les spécialistes des maladies infectieuses ne prescrivent pas de zinc à tous les niveaux pour leurs patients étant donné son rôle important dans la libération du calcitriol de ses liants.
Le zinc est également documenté pour augmenter le récepteur de la vitamine D à la surface des cellules et ainsi augmenter la protéine de liaison au calcium.
RépondreSupprimerDe plus, l'oligo-élément zinc inhibe la nagalase, l'enzyme qui dégrade une protéine du foie appelée Gc Protein Macrophage Activating Factor (GcMAF). C'est le GcMAF qui stimule les globules blancs appelés macrophages qui engloutissent et dévorent littéralement les agents pathogènes et les cellules cancéreuses.
En bout de ligne
Bien, tu l'as maintenant. Théoriquement, une supplémentation en vitamine D aurait pu ramener le taux de mortalité du Covid-19 à zéro. Et qui sait combien de cas de cancer auraient été totalement évités ou traités pour guérir (il n'y a pas eu de remèdes sûrs contre le cancer au cours des 50 dernières années de recherche sur le cancer).
En 2008, il a été rapporté que seulement 1 100 UI par jour de vitamine D3 combinées à 1 400 à 1 500 milligrammes de calcium réduisaient le risque d'incidence de tous les cancers de 77 % ! Cette étude a été rejetée de manière prévisible par une seule critique erronée.
Dosage quotidien
La dose et la fréquence prédisent également l'efficacité.
L'administration orale quotidienne entraîne une réduction plus importante de la mortalité par cancer que les injections en bolus peu fréquentes. De 4 000 à 6 000 UI de vitamine D3 par jour pour atteindre une concentration sanguine de 60 nanogrammes/millilitre de la forme intermédiaire de la vitamine D (calcidiol) réduit le risque de cancer du sein de 80 %. Pourtant, la médecine moderne reste sceptique. Même une supplémentation de seulement 2000 UI en vitamine D3 réduit le risque de cancer.
Les adultes qui maintiennent les taux sanguins de vitamine D les plus élevés sont deux fois moins susceptibles de mourir, quelle qu'en soit la cause, par rapport aux personnes qui ont les taux de vitamine D les plus faibles sur une période de 7 ans. L'augmentation des niveaux de vitamine D active (25(OH)D3 ou calcitriol) à 40-60 nanogrammes/millilitre d'échantillon de sang réduit le risque de nombreux cancers.
La médecine moderne a inauguré des pratiques d'évitement du soleil depuis 1980 qui ont en fait augmenté le risque de cancer. La vitamine D ou son absence explique les facteurs de cancer géographiques, raciaux (pigmentation de la peau), socio-économiques et liés à l'âge.
RépondreSupprimerEt dans ce qui équivalait à une pandémie secondaire, nous apprenons que la dépression mentale pendant le verrouillage de Covid-19 est passée de 11% à 42%, et que la prise de pilules de vitamine D pendant le verrouillage planétaire sans soleil de Covid-19 des populations humaines aurait pu empêcher ou résoudre inutilement cas de dépression mentale (trouble affectif non saisonnier).
Conseils à emporter :
· Bénéficiez-vous d'un ensoleillement quotidien à midi ? Vous ne pouvez pas faire une overdose de vitamine D au soleil.
· Complétez-vous avec 8000 UI de vitamine D par jour ?
· Complétez-vous votre alimentation avec du zinc et du sélénium pour activer la vitamine D ?
Il y a plus dans cette histoire de vitamine D que ce qui a été écrit ici. De nouveaux développements dans le métabolisme de la vitamine D sont en cours. Etre prêt.
- voir cadre sur site -
Copyright © Bill Sardi, writing from La Verne, California. This article has been written exclusively for www.LewRockwell.com and other parties who wish to refer to it should link rather than post at other URLs.
https://www.lewrockwell.com/2021/11/no_author/the-promise-perils-of-vitamin-d/
Eh bien, cela explique tout : les banquiers ont intimidé l'Australie dans Net Zero
RépondreSupprimerNovember 13th, 2021
Levez la main : c'est Net Zero maintenant ou une hausse des taux d'intérêt de 1,5 % ?
L'Australie adopte donc Net Zero parce que les Global Financiers, qui ne veulent que sauver le monde, auraient refusé de nous prêter de l'argent sans augmenter nos taux d'intérêt de 1,5%. La sanction des banquiers aurait signifié un « exode des investisseurs de 17% ». Envie d'un effondrement boursier ?
Cet aveu remarquable figure dans la modélisation publiée aujourd'hui par le gouvernement Morrison. Personne n'essaye même de le cacher.
Au moins, nous pouvons arrêter de prétendre que cela a quelque chose à voir avec la science ou les électeurs. Supprimez simplement le GIEC et optez directement pour la taxe sur la température BlackRock, hein? crédits de carbone, billet de dollar brûlant, monnaie fiduciaire, marché du carbone.
Notez que les « sanctions » sont imposées par les financiers mondiaux :
La modélisation montre le coût réel de l'absence d'émissions nettes de carbone
Greg Brown et Geoff Chambers, l'Australien
Les entreprises et les ménages auraient dû faire face à des hausses de taux d'intérêt allant jusqu'à 1,5% sous les pénalités attendues imposées par les financiers mondiaux si le gouvernement n'avait pas adopté d'émissions nettes zéro d'ici 2050, selon la modélisation du paquet climatique de Glasgow.
Le régime de sanctions aurait provoqué un effondrement de 17% des investissements au milieu de la prochaine décennie, réduisant de 0,9% le produit intérieur brut et appauvri chaque Australien de plus de 650 dollars.
Les ménages auraient payé 25 milliards de dollars supplémentaires par an pour rembourser leurs prêts immobiliers et leurs dettes professionnelles et de cartes de crédit.
Si seulement l'Australie avait sa propre monnaie souveraine ? Si seulement il existait des institutions de prêt d'argent compétitives, quelque part dans le monde entier, qui seraient heureuses de nous prêter de l'argent uniquement à des fins lucratives ? Mais pas de chance.
RépondreSupprimerQui savait que les banquiers refuseraient des profits pour protéger les tortues ?
L'éléphant dans la pièce. La règle des intérêts acquis.
Il y a des années, j'ai dit que la corruption commence avec la monnaie, et ici elle est démasquée. Les Australiens ont voté pour aucun système d'échange de carbone, aucune taxe sur le carbone et plus de dépenses climatiques. Mais bien avant cela, nous avons voté pour Easy Money et ce salaire est là.
En théorie, la modélisation était censée montrer comment nous serons plus riches de 2 000 $ si nous essayons de changer le climat plutôt que si nous laissons cela au soleil et fabriquons simplement des choses que les clients veulent à la place.
Voilà pour le capitalisme, la concurrence et le vote pour les politiques.
Modélisation Net Zero Australie
Les compensations sont le code pour « l'échange mondial de droits d'émission ».
Le gouvernement a révélé qu'il avait reçu des conseils du Trésor qu'il y aurait une «prime de risque en capital» comprise entre 100 et 150 points de base si l'Australie n'adoptait pas un objectif net de zéro d'ici 2050. Cela augmenterait les coûts d'emprunt sur les niveaux actuels de 25 à 38 milliards de dollars, selon l'économiste Saul Eslake.
"Il est presque certain que l'Australie serait confrontée à une forme de réponse mondiale si elle n'adoptait pas un objectif d'émissions crédible pour 2050", indique l'analyse du gouvernement de la modélisation.
- voir cadre sur site -
« Cela pourrait prendre diverses formes : augmentation des coûts d'investissement pour les gouvernements, les entreprises et les ménages australiens reflétant l'augmentation des risques financiers perçus ; action commerciale contre les exportations australiennes visant à compenser tout avantage concurrentiel dérivé de politiques de réduction perçues comme plus faibles ; ou une demande plus faible pour des produits australiens spécifiques reflétant les préoccupations potentielles des consommateurs concernant un manque d'action perçu sur le climat. »
Apparemment tous les banquiers veulent vraiment aider la planète
RépondreSupprimerUne banque espagnole géante a déjà dépensé 100 milliards d'euros pour la météo de la Terre, car ce sont des gens sympas. Bank of America a dépensé 50 milliards de dollars pour sauver le monde. Citigroup a engagé 100 milliards de dollars, Goldman Sachs a promis 750 milliards de dollars. Les banques tombent sur elles-mêmes pour aider. La Deutsche Bank a construit des tours d'horloge de 70 pieds de haut et a produit ses propres rapports sur la science du climat. Blackrock voulait que l'Australie ferme les centrales au charbon plus rapidement.
Ils s'inquiètent juste pour les pauvres et les ours polaires, n'est-ce pas ?
Et peut-être parce que le changement climatique est potentiellement une entreprise lucrative de 7 000 milliards de dollars (pour les banquiers).
Qui a voté pour les banquiers ?
Les vrais dirigeants sont ceux qui décident des règles et des sanctions.
Le Ground Zero de la corruption mondiale - cela commence par la devise
Fonds vert des Nations Unies pour le climat : bon pour les banquiers, les bureaucrates, mais pas tant pour les pauvres
Retour en arrière en 2013 : le marché du carbone MDP de l'ONU s'élevait à 315 milliards de dollars après Varsovie. ça peut durer des années
Le club des milliardaires finance Green Blob « Climate Works »
https://joannenova.com.au/2021/11/well-that-explains-everything-bankers-bullied-australia-into-net-zero/#more-80381
Drs. Stella Immanuel et Lee Merritt : la campagne de vaccination de masse contre le COVID-19 prouve que nous sommes dans un ÉVÉNEMENT DE NIVEAU D'EXTINCTION – Brighteon.TV
RépondreSupprimerVendredi 12 novembre 2021
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Le docteur Stella Immanuel, pédiatre et pasteur chrétien, et le docteur Lee Merritt, chirurgien orthopédiste et défenseur de la liberté de la santé, pensent que la campagne de vaccination contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) visant les enfants est une campagne de génocide qui entraînera une "extinction- événement de niveau.
Immanuel et Merritt ont fait ces déclarations le 10 novembre dans l'émission Brighteon.TV de l'ancien, "The Dr. Stella Immanuel Show".
Merritt a clairement indiqué que le vaccin COVID-19 n'avait pas été créé en réponse au coronavirus. Elle a appelé cela l'un des mensonges les plus courants perpétués concernant le coronavirus.
« Soyons clairs, ce n'est pas un vaccin en réponse à un virus. C'était un virus, ou un prétendu virus, [fait] comme excuse pour introduire un vaccin universel dans chaque être humain sur cette planète », a-t-elle déclaré. « Ils essaient de tuer des milliards d'entre nous. C'est vraiment au niveau de la crise humaine. Je veux dire, nous sommes dans un événement de niveau d'extinction. Et nous ne pouvons pas laisser ces gars réussir.
Immanuel et Merritt s'inquiètent de la façon dont les enfants aussi jeunes que cinq ans sont maintenant vaccinés.
« Zéro sur 17 conseillers de la FDA [Food and Drug Administration], ce sont des conseillers civils, ils retournent travailler pour tout le monde en Amérique – ils refusent de se lever et d'empêcher vos enfants d'être expérimentés. Je pense que c'est ce que le peuple américain doit réaliser à ce stade. »
Au mercredi 10 novembre, environ 900 000 enfants américains âgés de cinq à 11 ans avaient déjà été vaccinés avec le vaccin expérimental et mortel COVID-19. Un responsable de la Maison Blanche qui a fait cette annonce a souligné que les parents de 700 000 autres enfants ont déjà pris rendez-vous pour que leurs enfants se fassent vacciner dans les prochains jours.
RépondreSupprimerCela signifie que d'ici la semaine prochaine, près de 6% de tous les enfants aux États-Unis âgés de cinq à 11 ans pourraient finir par recevoir le vaccin dangereux.
Les enfants de moins de cinq ans pourraient être obligés de se faire vacciner au début de l'année prochaine
Fin septembre, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a déclaré que les essais de vaccins COVID-19 de son entreprise pour les enfants âgés de deux à quatre ans pourraient avoir des résultats disponibles "avant la fin de l'année".
D'autres médecins ont également souligné que Pfizer a également des essais en cours pour les enfants de six mois à deux ans. (Connexe : lanceur d'alerte : les données de l'essai vaccinal Pfizer ont été falsifiées, les participants ayant subi des effets indésirables ont été ignorés.)
Bien qu'il n'y ait pas de calendrier clair pour savoir quand les médecins commenceront à forcer les parents à faire vacciner leurs tout-petits contre COVID-19, les médecins pensent que cela se produira au plus tard au début de l'année prochaine.
"Je m'attendrais à ce que – ne m'y tenez pas, mais – peut-être au début de l'année prochaine, peut-être au cours de ce premier trimestre, nous aurons peut-être des vaccins disponibles pour ces enfants de deux à quatre ans", a déclaré le Dr Chicago Department of Public Health Commissaire. Allison Arwady. «Mais nous ne le savons pas avec certitude. L'accent est actuellement mis sur les enfants de cinq à 11 ans, mais je prévois … que nous le verrons disponible pour les jeunes enfants, mais probablement pas avant 2022, très probablement.
Malgré la campagne de vaccination de masse et la prolifération des vaccins COVID-19 en Amérique, Immanuel et Merritt gardent espoir. Ils croient que de plus en plus de gens commencent à prendre conscience de la réalité.
"Il est temps que les gens se réveillent", a déclaré Merritt. « Nous allons devoir nous réveiller maintenant. On doit réveiller assez de monde. Honnêtement, j'ai l'impression que quelque chose a changé.
"Oui, je crois que beaucoup de gens se réveillent", a déclaré Emmanuel. « Les gens se réveillent parce qu'ils ont déplacé les poteaux de but tellement de fois que, je veux dire, les gens doivent se réveiller, vous savez ? … Je dis tout le temps aux gens. Je dis : ‘Le coronavirus n’est qu’un cheval de Troie pour la thérapie génique et le contrôle mental.’
Drs. Stella Immanuel et Lee Merritt ont beaucoup plus à dire sur les vaccins COVID-19. Regardez l'épisode du 10 novembre de « The Dr. Stella Immanuel Show » ici :
- voir clip sur site -
"The Dr. Stella Immanuel Show" est diffusé tous les mercredis de 17h à 18h. sur Brighteon.TV.
Apprenez-en plus sur la façon dont le vaccin COVID-19 est utilisé comme outil pour exterminer l'humanité sur Depopulation.news.
Les sources comprennent :
Brighteon.com
NPR.org
L'Atlantique.com
Parade.com
NBCChicago.com
https://www.naturalnews.com/2021-11-12-mass-covid19-vaccination-extinction-level-event.html
10 États intentent une action en justice pour un mandat de vaccin COVID-19 «inconstitutionnel et illégal» pour les travailleurs de la santé
RépondreSupprimerVendredi 12 novembre 2021
par : Cassie B.
(Natural News) Dix États ont intenté une action en justice contre le mandat nocif de vaccin COVID-19 de l'administration Biden pour les travailleurs de la santé qui, selon eux, pourrait exacerber les pénuries de personnel.
Un tribunal fédéral a déjà temporairement bloqué le mandat de vaccin pour les employeurs privés, mais un mandat plus strict visant les travailleurs de la santé qui ne permet pas aux gens de se retirer du vaccin via des tests est toujours en place. Il touche plus de 17 millions d'infirmières dans 76 000 établissements de santé et prestataires de soins de santé qui reçoivent des fonds des programmes de santé gouvernementaux, entre autres travailleurs de la santé.
Les procureurs généraux du Missouri, du Nebraska et de l'Alaska ont déposé une plainte, les États du Kansas, de l'Iowa, du Dakota du Sud, de l'Arkansas, du New Hampshire, du Dakota du Nord et du Wyoming se joignant à la coalition pour lutter contre le mandat.
Dans une déclaration officielle, le procureur général du Missouri, Eric Schmitt, a déclaré: "Malheureusement, avec ce dernier mandat de l'administration Biden, les héros de la santé de l'année dernière se transforment en chômeurs cette année."
Il l'a qualifié d'"inconstitutionnel et illégal" et a déclaré que cela pourrait entraîner un effondrement des soins de santé.
L'une des raisons pour lesquelles la coalition maintient que le mandat est illégal est que le gouvernement fédéral l'utilise pour retirer un pouvoir qui appartient aux États. Le dossier de 58 pages indique : « Les exigences en matière de vaccination sont des questions qui dépendent des facteurs et des conditions locaux. Tout ce qui pourrait avoir du sens à New York, St Louis ou Omaha pourrait être décidément contre-productif et nocif dans les communautés rurales comme Memphis, Missouri ou McCook, Nebraska.
Il ajoute : « Le fédéralisme permet aux États d'adapter ces questions dans le meilleur intérêt de leurs communautés. La main lourde du mandat national de la CMS ne le fait pas. Ce tribunal devrait donc écarter cette règle en tant qu'action d'agence illégale en vertu de la loi sur la procédure administrative. »