- ENTREE de SECOURS -



dimanche 21 novembre 2021

LA CONFRÉRIE DES LARMES - Jérémie Renier, Audrey Fleurot, Mélusine Mayance

https://www.youtube.com/watch?v=y1acE4Apdxw 

50 commentaires:

  1. « Primum Nocere » : le complot dévoilé !


    Posted by Jean-Dominique Michel
    Anthropo logiques
    19 novembre 2021


    Tout le monde aura à l'esprit le tapage autour de la sortie du film « Hold-Up » il y a un peu plus d'une année.

    Un film généreux, audacieux, sans doute un peu trop en avance sur son temps. La presse est montée au front comme une armée de chiens de garde aboyant le mantra « complotistes ! complotistes ! » Deux ou trois idiots utiles furent sortis d'universités ou d'officines de propagande, la bienpensance s'étrangla et des millions de spectateurs restèrent impressionnés par l'envergure du documentaire avec un sale arrière-goût au fond de la gorge : était-il vraiment possible qu'une entreprise aussi inhumaine fût réellement en cours ?

    Une année après, les fronts n'ont (en apparence) pas beaucoup bougé : les hypnotisés de la dérive totalitaire le sont plus que jamais, les éveillés le sont d'autant plus qu'ils se sont renseignés et documentés tout au long de l'année et le « brave citoyen moyen », est balloté entre une adhésion à la dérive (par conformisme et difficulté de penser la noirceur d'icelle) et la résurgence un peu chaotique de souvenirs et principes d'humanité.

    Car let's face it : le fascisme est de retour.

    Porté par la même cohorte de salauds, d'abrutis et de lâches qu'au cours des épisodes précédents.

    Comment appeler en effet des médecins qui privent de soins des malades et préfèrent les laisser mourir que de désobéir à la main qui les nourrit ?!

    Qui, maintenant, camouflent l'hécatombe post-« vaccinale » en cours, faisant pression de manière hystérique sur leurs patients pour qu'ils acceptent l'injection potentiellement létale tout en fermant les yeux sur les violations crasses qu'ils perpètrent contre l'éthique et le droit ?

    Comment appeler des « autorités de santé » qui préfèrent conduire sciemment à la mort des centaines voire des milliers de jeunes qui n'auraient absolument rien risqué avec le coronavirus au motif d'une immunité collective qu'on sait de surcroît désormais impossible ?

    Comment appeler des journalopes qui manipulent, dissimulent, culpabilisent et mentent, appelant pour certains d'entre eux à la mise en œuvre de crimes contre l'humanité ?

    Comment appeler des « députés » et « parlementaires » qui sabordent l'état de droit et ouvrent la porte au fascisme, remplaçant l'intelligence collective et la légitimité démocratique par la corruption, les passe-droits crapuleux et autres « secret défense » ?!

    La Food & Drug Administration aux États-Unis vient de demander que les données présentées par Pfizer pour décrocher l'autorisation de mise sur le marché temporaire de leur injection génique soient protégées de tout regard pendant 55 ans... Le genre de manœuvre, bien sûr, que l'on veille à imposer quand on a l'esprit tranquille et rien à cacher.

    La prostitution en faveur de la peste brune sévit donc aujourd'hui à tous les étages. Macron avait raison : ils sont en guerre... mais contre nous. Avec la presse puante et les institutions dévoyées à leur service.

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  2. Pierre Barnérias aurait pu renoncer après la campagne ignoble qu'il a essuyée.

    Il paraît que les Bretons ont la tête aussi dure que les Valaisans.

    Un an plus tard, il revient donc avec des pièces à conviction supplémentaires. D'une urgente utilité publique : comme je l'ai déjà souligné, six des dix étapes des processus de génocide ont déjà été franchies. Les suivantes sont prêtes : la mort économique et sociale des récalcitrants, leur déportation et internement. L'étape ultime nous la connaissons tous.

    Voilà à quoi conspirent les conspirateurs et collaborent les collaborateurs. Et face à quoi résistent les résistants.

    On peut rester stupide. On peut rester lâche. Quand le temps presse, l'option devient d'autant plus périlleuse que si le complot (contre l'état de droit, la démocratie et in fine l'humanité) rate, chacun devra rendre des comptes du parti qu'il aura pris.

    Rendez-vous est pris. Et pour mieux comprendre l'étendue de la tragique saloperie en cours, « Primum Nocere » donne les principales clés.

    Communiqué de la société de production T-prod :
    Bonjour à vous toutes et à vous tous !

    Vous avez été des millions à voir et à acclamer le film « Hold-Up », sorti le 11 novembre 2020 et réalisé par Pierre Barnerias, grand reporter, journaliste d'investigation et chercheur de vérité face à la situation pandémique mondiale à laquelle nous sommes tous exposé(e)s depuis près de deux ans maintenant.

    Un second opus, intitulé « Primum nocere » est sur le point d'être rendu public dans les jours qui viennent.

    D'une durée de 2 heures, ce nouveau documentaire, réalisé par un collectif d'anciens grands reporters de TF1, de Canal +, de France télévision et de L'AFP sous l'égide de Pierre Barnerias, met la lumière sur les incohérences et les abus liés à la vaccination, rendue même obligatoire pour certains, à l'échelle mondiale.

    Toutefois, en raison du déchaînement médiatique survenu immédiatement après la publication dans les réseaux sociaux du film précédent, Hold-Up, la plateforme Vimeo a empêché la société de production de Pierre Barnerias de récolter les fonds provenant de l'achat individuel du film par chaque citoyen intéressé à l'obtenir, en dépit d'un coût extrêmement raisonnable (5 euros par personne !).

    De fait, Pierre Barnerias et sa société de production sont toujours en train de payer, près d'une année après sa sortie, le film précédent, notamment au niveau des droits d'auteur, etc, freinant et limitant ainsi sa capacité financière de pouvoir œuvrer sur les prochains documentaires qui sont d'ores et déjà réalisés pour une partie.

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  3. Cette situation est inacceptable dans un pays que l'on qualifie de démocratique, la France.

    => C'est pourquoi, désireux de ne pas commettre la même erreur en faisant confiance à des plateformes de visionnement de films qui bafouent clairement les principes démocratiques de liberté en remboursant de force tous les acheteurs déclarés d'un film, nous avons créé nos propres plateformes à partir desquelles le film pourra être téléchargé.

    Afin de garantir la sécurité des flux financiers, contrairement à ce qui s'est passé lors du lancement du film précédent (Hold-Up), nous offrons la possibilité à chaque citoyen désireux de connaître la vérité dans cette foison d'informations contradictoires auxquelles il est constamment soumis au-sujet de la vaccination anti Covid, de faire une pré-souscription à la location du film (48 heures), pour 4 euros HT.

    Il est également possible de pré-acheter pour 10 euros !

    Cette offre est valable jusqu'au dimanche 21 novembre 2021 à minuit !

    Le film « Primum nocere » sera ensuite rendu accessible dès qu'un nombre minimal de souscripteurs auront été enregistrés, pour un montant de 50'000 € qui suffiront à couvrir les frais résiduels de ce nouveau documentaire, qui ne représente que la partie visible de l'iceberg, sachant que d'autres documentaires complémentaires seront rendus publics à l'avenir, dans la lignée de celui qui vient d'être réalisé.

    Au-delà de cette date, la location du film sera de 5€ HT pour 48 heures, et l'achat sera de 12 € HT.

    En contre-partie de cette pré-location ou de ce pré-achat, les souscripteurs auront le privilège de bénéficier d'avantages spécifiques, tels que:

    - Interviews exclusives

    - Informations de suivi permettant à chaque souscripteur de rester à jour sur l'évolution de la situation dénoncée par le film

    - Suivi des recherches et découvertes effectuées par les scientifiques ayant contribué à la réalisation du film

    - Webinaire avec Pierre Barnerias lui-même, ainsi que les scientifiques dont les travaux ont été intégrés dans le film

    En participant au soutien financier que votre location réalisera, vous aidez activement à la recherche de la vérité et à sa propagation.

    Nous vous remercions collectivement de l'attention que vous aurez portée à ce message, et vous remercions du fond du cœur de votre potentiel soutien.

    4 € au minimum pour accéder à une information intègre et sans conflit d'intérêt, n'est-ce pas raisonnable ?

    LA LUMIÈRE N'EST PAS NÉE DE L'OMBRE, MAIS L'OMBRE MEURT DE LA LUMIÈRE !!!

    L'équipe de production
    PRIMUM NOCERE

    - Pré-location - Pré-achat
    - Location - Achat

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  4. Infos pratiques

    En commandant le film Primum Nocere, soit en (pré-)location soit en (pré-)achat, le souscripteur s'engage sur l'honneur à ne l'utiliser qu'à des fins personnelles, privées et familiales, et n'en diffusera en aucun cas une copie à des tiers, ni sur un quelconque support sur Internet, sous peine de poursuites pénales, ce afin de respecter les droits d'auteur d'une part, et de garantir le financement du film pour de futures œuvres du même collectif d'auteurs, d'autre part.

    Pour accéder à la plateforme de réservation du film :

    extrait du film:
    https://holdup-lefilm.fr

    https://anthropo-logiques.org/primum-nocere-le-complot-fasciste-devoile/

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  5. Émeutes à Rotterdam : les policiers tirent à balles réelles pendant la manifestation anti-pass sanitaire


    le 20/11/2021 à 15:07 , mis à jour à 15:19


    Des violences ont éclaté et fait sept blessés vendredi 19 novembre dans la soirée aux Pays-Bas lors d'une manifestation contre les restrictions sanitaires à Rotterdam aux Pays-Bas. Les policiers ont ouvert le feu face aux émeutiers.

    La manifestation anti-pass sanitaire a dégénéré en heurts violents vendredi 19 novembre dans la soirée. Des voitures ont été incendiées et des protestataires ont jeté des pierres contre les forces de l'ordre qui ont riposté à l'aide de canons à eau et en effectuant des tirs de sommation et "également des tirs directs parce que la situation mettait leur vie en danger", a déclaré à Reuters une porte-parole de la police, Patricia Wessels.

    "Nous savons qu'au moins sept personnes ont été blessées, probablement à cause des tirs de sommation, mais nous devons enquêter davantage sur les causes exactes", a-t-elle ajouté.

    Plusieurs centaines de personnes s'étaient rassemblées pour protester contre le projet du gouvernement de limiter l'accès à des lieux publics aux personnes munies d'un pass sanitaire.

    Les Pays-Bas ont réinstauré il y a une semaine des mesures de confinement pour une période initiale de trois semaines afin d'endiguer une nouvelle vague de contaminations par le coronavirus SARS-CoV-2.

    "Une orgie de violence"

    Le maire de Rotterdam, Ahmed Aboutaleb, a condamné "une orgie de violence". Les autorités ont indiqué avoir arrêté plus de 20 personnes et s'attendre à d'autres arrestations, de nombreuses caméras de surveillance quadrillant le centre-ville de Rotterdam où les émeutes ont eu lieu.

    Le ministre néerlandais de la Justice, Ferd Grapperhaus, a déclaré dans un communiqué que la "violence extrême" contre la police et les pompiers à Rotterdam était "répugnante". "Le droit de manifester est très important dans notre société mais ce que nous avons vu hier soir était tout simplement un comportement criminel", a ajouté le ministre.

    Plusieurs centaines de personnes s'étaient rassemblées pour protester contre le projet du gouvernement de limiter l'accès à des lieux publics aux personnes munies d'un pass sanitaire.

    Les Pays-Bas ont réimposé certaines mesures de confinement il y a une semaine pour une période initiale de trois semaines afin de ralentir la nouvelle vague épidémique.

    https://www.midilibre.fr/2021/11/20/les-policiers-tirent-a-balles-reelles-pendant-la-manifestation-anti-pass-sanitaire-a-rotterdam-9939767.php

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  6. Rotterdam « s'est transformée en une zone de guerre » au milieu des nouvelles manifestations de verrouillage du COVID


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 20 NOV 2021 - 09:55


    Vendredi, des troubles sociaux ont éclaté à travers l'Europe alors que les gouvernements ont rétabli des mesures COVID strictes telles que des restrictions pour les verrouillages non vaccinés, partiels et complets au milieu d'une vague de nouvelles infections.

    Les infections au COVID-19 augmentent en Allemagne, en République tchèque et en Grèce, et bon nombre de ces pays imposent des mesures de santé publique strictes pour contenir la propagation. L'Autriche est allée jusqu'à décréter un verrouillage à l'échelle nationale à partir de lundi.

    - voir graphique sur site -

    Des émeutes ont éclaté dans le centre-ville de Rotterdam lors d'une manifestation contre les fermetures partielles vendredi. Le maire Ahmed Aboutaleb a déclaré aux journalistes qu'il s'agissait "d'une orgie de violence". Il a déclaré : "à plusieurs reprises, la police a estimé nécessaire de dégainer ses armes pour se défendre" alors que des émeutiers ont mis le feu, incendié des voitures, jeté des pierres et d'autres objets contondants sur la police.

    - voir carte sur site -

    "Ils ont tiré sur des manifestants et des gens ont été blessés", a déclaré Aboutaleb. Il n'a pas pu fournir de rapport de blessure, mais a déclaré que la police avait tiré des coups de semonce.

    Les photos et vidéos d'hier soir montrent un chaos absolu.

    Des voitures de police ont été incendiées.

    Juste du chaos.

    Des manifestants auraient été abattus par la police.

    Plus de coups de feu.

    Les émeutes de Rotterdam ont été parmi les pires que les Pays-Bas aient connues depuis que les autorités ont appliqué des mesures de santé publique similaires l'année dernière.

    Le ministre de la Justice Ferd Grapperhaus a dénoncé les émeutes :

    « Les émeutes et la violence extrême contre les policiers, la police anti-émeute et les pompiers hier soir à Rotterdam sont dégoûtantes à voir.

    "Manifester est un grand droit dans notre société, mais ce que nous avons vu hier soir n'est qu'un comportement criminel. Cela n'a rien à voir avec manifester", a déclaré Grapperhaus.

    Le parti politique de droite Leefbaar Rotterdam a condamné les émeutes dans un tweet :

    "Le centre de notre belle ville s'est transformé ce soir en zone de guerre", a-t-il déclaré. "Rotterdam est une ville où vous pouvez être en désaccord avec les choses qui arrivent, mais la violence n'est jamais, jamais la solution."

    Pendant ce temps, l'Autriche a introduit les restrictions les plus extrêmes sur les 27 pays de l'UE, annonçant que le verrouillage complet commencera lundi.

    Des dizaines de manifestations sont attendues samedi dans les villes néerlandaises et dans d'autres pays. Au fur et à mesure que les démonstrations commencent, nous mettrons à jour tout au long de la journée.

    https://www.zerohedge.com/political/rotterdam-transformed-war-zone-amid-new-covid-lockdown-protests

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  7. Shellenberger : pourquoi nous devons arrêter les toxicomanes


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 20 NOV. 2021 - 22:30
    Rédigé par Michael Shellenberger via Substack,


    La normalisation et la libéralisation de la consommation de drogue ont entraîné 100 000 décès liés à la drogue...

    Les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis ont annoncé hier que 100 000 Américains sont morts de drogues illicites au cours de la période de 12 mois se terminant en avril, soit une augmentation de près de 30 % par rapport à la même période l'année précédente. Les progressistes blâment les lois qui traitent la toxicomanie comme un problème criminel plutôt que de santé publique, tandis que les conservateurs blâment les blocages au covid.

    Les deux côtés ont tort. La cause des 100 000 décès est la normalisation de la consommation de drogues dures et la libéralisation des lois sur les drogues. Beaucoup de ces décès étaient des enfants empoisonnés après avoir pris ce qu'ils pensaient être des médicaments d'ordonnance qu'ils avaient achetés auprès de revendeurs rencontrés via Snapchat. Beaucoup d'autres étaient des toxicomanes qui étaient d'abord devenus accros aux opioïdes sur ordonnance, puis sont passés à l'héroïne et, plus récemment, au fentanyl.

    Il est vrai que le covid est en partie responsable de l'augmentation, et que l'Amérique a lamentablement échoué à traiter la toxicomanie. Bon nombre de ces décès liés à la drogue sont dus à l'automédication par des personnes, y compris des sans-abri ayant reçu des chambres d'hôtel, qui ont souffert de problèmes de santé mentale plus graves dus à l'isolement créé par covid. Et l'Amérique manque d'un système de soins de santé mentale fonctionnel capable de fournir aux personnes atteintes de maladies mentales et de toxicomanies non traitées les soins psychiatriques et la réadaptation dont elles ont besoin.

    Mais le nombre de morts a augmenté progressivement de 2000, lorsque seulement 17 000 personnes sont décédées, à 2020, et la raison sous-jacente est la normalisation et la libéralisation des lois sur les drogues. Les États-Unis ont libéralisé la prescription de médicaments opioïdes à partir de la fin des années 90. Il est vrai que les États-Unis ont resserré les réglementations sur les ordonnances en 2010, date à laquelle de nombreux toxicomanes aux opioïdes se sont tournés vers l'héroïne. Mais les villes et les États ont également libéralisé les lois sur les drogues, y compris contre les scènes de drogue ouvertes dans les villes, appelées par euphémisme «camps de sans-abri», où se rencontrent les revendeurs et les acheteurs. Et la société américaine a progressivement normalisé et même glorifié l'usage de drogues pharmaceutiques et dures pendant 20 ans.

    Si nous voulons réduire considérablement les décès liés à la drogue, nous devons commencer à arrêter les toxicomanes. Je ne suggère pas que nous arrêtions des personnes qui n'enfreignent aucune loi autre que la consommation de drogues dures. Les personnes qui veulent se suicider dans l'intimité de leur foyer en fumant du fentanyl devraient être libres de le faire. Mais les personnes qui consomment de la drogue, campent publiquement et enfreignent d'autres lois découlant de leur dépendance, comme le vol à l'étalage, devraient être arrêtées, traduites devant un juge et avoir le choix entre la cure de désintoxication ou la prison.

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  8. De nombreux progressistes et certains conservateurs s'opposeront à cette approche en disant que le Portugal, les Pays-Bas et d'autres pays européens ont géré différemment leurs crises de toxicomanie à la fin des années 1980, mais ils ne l'ont pas fait. Face à des scènes de drogue ouvertes, le Portugal et les Pays-Bas ont également essayé l'approche « d'aide uniquement » consistant à donner aux toxicomanes des seringues propres et à proposer de la méthadone, un substitut aux opioïdes, et ont échoué. Les toxicomanes prenaient les seringues et la méthadone, continuaient à tirer de l'héroïne en public et mouraient. Ce n'est qu'après que ces pays ont commencé à arrêter les toxicomanes et à leur donner le choix entre la cure de désintoxication ou la prison que des vies ont été sauvées.

    Un propriétaire de restaurant nommé Adam Mesnick a publié plus tôt cette semaine une vidéo sur Twitter d'une interview avec Diane, 34 ans, une sans-abri toxicomane du fentanyl. Elle a déménagé à San Francisco depuis Chicago il y a huit mois. Diane pleurait. « Mon mari m'a fait commencer à prendre de l'héroïne en 2012 », a-t-elle déclaré. "J'ai entendu dire qu'ils commençaient à mettre du fentanyl dans tout parce qu'ils veulent que les gens soient accros à tout."

    Les défenseurs de la décriminalisation des drogues et du « logement d'abord » disent que tout ce que nous devrions faire pour aider Diane est de lui donner un appartement gratuit, des aiguilles pour tirer et du papier d'aluminium pour fumer du fentanyl, et un endroit où elle peut utiliser du fentanyl en toute sécurité. C'est la chose progressive à faire, selon le maire et les superviseurs de San Francisco, qui plaident pour un endroit où les toxicomanes peuvent fumer et s'injecter du fentanyl. Mais cela semble-t-il être la chose morale à faire ? Bien sûr que non. En fait, cela pourrait la tuer, de la même manière que les politiques de décriminalisation et de logement d'abord ont contribué à la mort de 712 personnes à San Francisco l'année dernière.

    La chose morale à faire est d'arrêter Diane. Ce son signifie-t-il pour vous ? Si c'est le cas, alors vous ne comprenez pas la dépendance, ou vous niez son emprise sur les gens. Dans les commentaires sur Twitter de la vidéo d'Adam, Jacqui Berlinn, la mère d'un toxicomane de la rue au fentanyl à San Francisco, a déclaré: "Elle mérite des soins et des conseils mentaux d'amour et de compassion - pas des aiguilles et du papier d'aluminium." Quelqu'un a répondu : « Elle doit choisir de le faire elle-même. Personne ne peut la forcer. Il est vrai que Diane doit décider d'arrêter ou non le fentanyl. Mais en appliquant nos lois contre la consommation publique de drogues, nous pouvons donner à Diane le choix de la cure de désintoxication ou de la prison.

    Pourquoi pas nous ? En un mot, la victimologie. C'est l'idée en trois parties que a) Diane est une victime ; b) la victimisation n'est pas une étape sur le chemin de l'héroïsme mais plutôt un état permanent ; et c) tout doit être donné et rien n'est exigé des victimes. Selon les victimologues progressistes qui dirigent San Francisco et d'autres villes progressistes, les lois contre la consommation publique de drogue, la défécation en public et le vol à l'étalage ne devraient pas être appliquées contre Diane parce qu'elle est toxicomane. En tant que victime, Diane est sacrée et le système est un péché. En tant que tel, il vaut mieux la laisser mourir du fentanyl que d'appliquer la loi. Cela fait partie de la religion Woke.

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  9. C'est la religion de Woke, alias victimologie, qui conduit les progressistes à déformer grossièrement la situation de Diane. Les progressistes insistent, contre ce qu'ils disent être nos yeux menteurs, que Diane est sans abri non pas parce qu'elle est accro au fentanyl mais plutôt parce que les loyers à San Francisco sont trop élevés. Les progressistes insistent sur le fait que les sans-abri dans les rues sont des habitants qui ne pouvaient pas payer le loyer, pas des personnes qui ont déménagé à San Francisco parce qu'ils savaient que la ville leur permettrait de maintenir leur dépendance à faible coût sans risque d'arrestation. Et les progressistes insistent sur le fait que la seule approche morale est d'aider Diane à maintenir sa dépendance et de ne pas appliquer les lois lorsqu'elle les enfreint.

    À San Fransicko, je démystifie les mythes selon lesquels le sans-abrisme est le résultat de loyers élevés, je montre que l'Europe a sauvé des vies perdues à cause de la toxicomanie en arrêtant des toxicomanes et en fermant les scènes de drogue ouvertes, et j'explique pourquoi la victimologie conduit les progressistes à maintenir ce qui est manifestement une situation immorale. Le titre du livre a deux sens. La maladie que je décris est la maladie de la maladie mentale non traitée et de la toxicomanie. Mais l'autre maladie, la maladie de San Franse, est la maladie de ceux qui sont sous l'emprise de la victimologie. C'est une maladie à mort, qui les amène à nier le fait que la normalisation et la libéralisation des drogues tuent 100 000 de nos frères et sœurs, mères et pères, chaque année.

    https://www.zerohedge.com/political/shellenberger-why-we-must-arrest-drug-addicts

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    Réponses
    1. (...) La normalisation et la libéralisation de la consommation de drogue ont entraîné 100 000 décès liés à la drogue... (...)

      Bon, premièrement, il y a l'arrivée du Biden qui a interrompu le mur frontalier USA/Mexique. (sans compter la frontière Canada !). Deuxièmement, y a l'arrivée du 'nouveau virus' !!! HAHAHA (Nouvelle Poussière Inoffensive !), d'où l'arrivée de 'Nouveaux masques anti-poussières' !! (de 150µ de large alors que les poussières font 0,1 à 0,5µ !!!) et puis, l'arrivée de FAUX vaccins dits 'anti-poussières' !!! qui contiennent - non-pas des poussières - mais des MICROBES qui infestent l'organisme !! D'où la mort des inoculés-de-la-dernière-heure.

      (...) Les deux côtés ont tort. La cause des 100 000 décès est la normalisation de la consommation de drogues dures et la libéralisation des lois sur les drogues. Beaucoup de ces décès étaient des enfants empoisonnés après avoir pris ce qu'ils pensaient être des médicaments d'ordonnance qu'ils avaient achetés auprès de revendeurs rencontrés via Snapchat. (...)

      Faut dire que les injections de drogues dures (nano-particules d'oxyde graphène n'est pas supportable par tout le monde) incorporées dans les FAUX vaccins, cause la mort à court terme, moyen terme ou (arrivée de la 5G) à long terme.

      2 choses comparaissent aux tribunaux de la raison du Peuple: L'adulte est libre de faire ce qu'il veut. Donc: sa mort ne relève que de cette personne. L'enfant n'est pas libre mais 'sous certaines conditions de la dictature scolaire et pédiatrique' il peut être tué par les pouvoirs publics !!

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  10. Message d'invité de Rafe Champion. Appeler Paul Kelly et Greg Sheridan


    Un article écrit et édité par Rafe Champion
    November 21st, 2021


    Note de Jo : il s'agit d'un changement par rapport aux 5 000 derniers messages. Rafe a écrit et édité ceci entièrement en tant qu'invité. Compte tenu de la pénurie de blogs indépendants en Australie depuis la fin de Catallaxy, cela semble une expérience qui vaut la peine d'être tentée.

    Je me présente. Jo m'a pris à bord en tant que contributeur occasionnel après la fermeture des anciens fichiers Catallaxy et j'étais sans abri. En raison de la pause, je n'ai pas repris la routine de poster quatre ou cinq fois par semaine sur un large éventail de sujets et je passe maintenant plus de temps à observer le vent avec les Energy Realists of Australia. Vous pouvez voir comment nous nous attaquons à la farce des énergies renouvelables ici. Mes réflexions sur d'autres questions peuvent être trouvées sur mon site personnel.

    Retour au sujet.

    Pourquoi les journalistes soi-disant de qualité sont-ils si malavisés sur le changement climatique ?

    Paul Kelly et Greg Sheridan ont clairement intégré le récit alarmiste du réchauffement climatique. Pour expliquer le contexte pour les lecteurs étrangers, Kelly et Sheridan sont des journalistes très expérimentés et respectés de The Australian, le seul quotidien national créé par Rupert Murdoch en 1964. Ce journal ainsi qu'une poignée d'autres quotidiens métropolitains représentaient le journalisme de qualité dans le pays. L'Australien a maintenu cette réputation plus longtemps que plusieurs autres, mais la situation a changé depuis que la progéniture réveillée de Rupert Murdoch a pris plus de contrôle.

    Peu importe la performance des hacks, qu'est-ce qui a mal tourné au sommet de la profession et dans les journaux autrefois réputés ?

    Le réchauffement climatique et la réduction des émissions de gaz carbonique seront probablement perçus comme l'enjeu phare des politiques publiques du début du troisième millénaire aux côtés du rôle émergent de la Chine.

    Dans cette situation, il appartient aux journalistes qui ont accès à un large lectorat parmi le public averti d'appréhender au mieux les enjeux qu'ils peuvent gérer, compte tenu de leur formation et de leurs capacités.

    Cela ne signifie pas qu'ils doivent devenir des experts dans le domaine ou en faire un axe majeur de leur production, étant donné que leurs mémoires sont larges.

    Compte tenu de leur portée et de leur impact potentiel sur l'opinion publique, ils feraient mieux de veiller à ce que les opinions qu'ils expriment sur les questions de signature soient soigneusement examinées et proposées avec un avertissement lorsqu'ils opèrent en dehors de leurs domaines de compétence.

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  11. Les domaines de compétence sont ceux pour lesquels ils ont collaboré avec des experts du domaine pendant une longue période pour se familiariser avec les complexités et les nuances du sujet. Dans ces domaines, ils seront clairs sur les divergences d'opinion qui sont détenues par les professionnels et les experts dans le domaine et s'ils ne sont pas eux-mêmes des experts, ils feraient mieux de ne pas s'engager d'un côté ou de l'autre.

    Le réchauffement est apparu comme un problème au cours des années 1990 et il est devenu un sujet de préoccupation important après le début du siècle. Cela signifie que les journalistes ont eu deux décennies pour faire leurs devoirs sur le sujet. Pendant ce temps, ils auraient dû découvrir le très large écart entre les opinions que les médias grand public ont transformées en récit dominant et les opinions offertes par une petite galaxie de stars de la science climatique qui sont catégoriquement opposées à l'alarmisme.

    Des commentateurs responsables auraient dû découvrir cette situation et en parler à leurs lecteurs. On pourrait également s'attendre à ce qu'ils lisent suffisamment de littérature plus accessible et parlent à suffisamment de personnes bien informées pour se rendre compte à quel point le domaine a été envahi par la politique. Ils devraient savoir comment l'alarmisme est motivé par divers groupes d'intérêt à l'intérieur et à l'extérieur de la communauté scientifique du climat.

    Kelly et Sheridan sont des commentateurs politiques par excellence et de tous, ils devraient être attentifs aux courants politiques qui animent les débats publics sur des questions controversées.

    Quant à la prise en main de la question, on parle de deux décennies ou plus. Le réchauffement n'est pas apparu au cours des deux dernières années comme la pandémie où le journaliste en activité peut avoir plus de temps pour se familiariser avec la science et les opinions contradictoires parmi les personnes qui sont censées être les experts.

    MISE À JOUR de Jo :
    Étant donné que les grands banquiers peuvent intimider une nation de 25 millions de personnes pour qu'elle accepte les objectifs « Net Zero » contre lesquels ils ont voté, la question devient : Qui ne peuvent-ils pas intimider ? Quelles sont les limites ? Presque toutes les entreprises (y compris les médias) ont besoin d'assurance et de financement. S'il convient aux grands banquiers d'obtenir des monnaies fiduciaires approuvées par le gouvernement sur la base de crédits de carbone - comme c'est apparemment le cas, compte tenu de l'admission remarquable de Scott Morrisons - alors pourquoi les grands banquiers ne le feraient-ils pas ?

    https://joannenova.com.au/2021/11/calling-paul-kelly-and-greg-sheridan/#more-80491

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  12. Arrivée d'air polaire : une vague de froid va s'abattre sur la France, ce à quoi il faut s'attendre


    le 19/11/2021 à 14:43


    A partir de ce dimanche 21 novembre, la chute des températures va être provoquée par la "descente d'air polaire" en direction de la France.

    L'hiver arrive... Il faut s'attendre à un froid polaire, la semaine prochaine et la chute des températures pouvant aller jusqu'à 6°C de différence, n'épargnera aucune région de France.

    Et pour cause, selon La chaîne météo, cette arrivée du froid va débuter au passage d'une perturbation britannique, avec le décalage de l'anticyclone sur l'Atlantique nord.

    Sur tout le pays

    L'air polaire va arriver d'abord par le nord de la France à partir de ce dimanche 21 novembre avant de s'étendre à tout le pays. Et c'est cet air glacial qui va refroidi.

    Les températures vont sérieusement baisser pour la semaine du 21 au 28 novembre. Même si c'est le nord de la France qui sera le premier touché, dès lundi le froid se fera ressentir partout.

    Entre 3 et 6°C de baisse en moyenne selon les régions

    D'après le site d’informations météorologiques : "Entre la fin de cette semaine et le début de semaine prochaine, on pourrait perdre entre 3 et 6°C en moyenne selon les régions".

    Il va donc falloir se couvrir. Cependant cette vague de froid pourrait être temporaire. même si entre l'approche de l'hiver et la prévision d'une autre descente polaire dans quelques jours, il vaut mieux rester couvert.

    Gelées, neige... à quoi s'attendre exactement
    Il y aura forcément le retour de gelées en plaine, ce qui est plutôt logique au vu de la chute des températures.

    Mais faut-il s'attendre à des chutes de neige ?

    La chaîne météo préfère rester prudente mais précise qu'avec la plongée de l'air froid vers le sud de l'Europe, le creusement de dépressions pourrait en effet "engendrer de fortes pluies dans les régions du sud et de la neige à basse altitude".

    Et complète égelament que des "chutes de neige à basse altitude pourraient se produire sur les reliefs de l'est et du Massif central", dans les jours à venir.

    Mais pour l'heure, les modélisations ne peuvent pas être assez précises.

    LAURE DUCOS

    https://www.midilibre.fr/2021/11/17/arrivee-dair-polaire-une-vague-de-froid-va-sabattre-sur-la-france-ce-a-quoi-il-faut-sattendre-9932740.php

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    1. Dès la mis en place de l'invention extraordinaire de Nikola Tesla (appelée 'HAARP' en Alaska) le monde s'attendait donc à la fin du froid, des grosses chaleurs, des sécheresses et des inondations, bref la fin des ouragans, cyclones, etc.

      Mais c'est le contraire qui est arrivé !!

      Des longueurs d'ondes envoyées sur des régions semées et où les graines n'ont pas germé et ne germerons jamais. Des vagues de sécheresses, des records de froids (-40°C sous les moyennes saisonnières !), des tremblements de terre, des coups de vents sortis de je-ne-sais-d'où, etc, etc !

      Bêh oui, y a pas que les virus (poussières inoffensives) dans la vie, il y a aussi les microbes qui eux apportent la maladie et la mort !

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  13. Dix innovations étonnantes pour les tracteurs à travers l'histoire


    20 Novembre 2021
    Brian Boyce, AGDAILY*


    Ma note : On oublie quasiment toujours le remplacement du siège en fer...

    Lorsque les agriculteurs du XXIe siècle cliquent des instructions sur des écrans tactiles à l'aide des systèmes pilotés par l'intelligence artificielle (IA) de leur tracteur, des images de la charrue en acier du modèle 1837 du vieux John Deere, guidée par un laboureur à pied, peuvent leur venir à l'esprit. Même les grands-parents des producteurs modernes, membres de la génération de la Seconde Guerre Mondiale, considéreraient que les équipements agricoles d'aujourd'hui relèvent des films de science-fiction. Des machines tirées par des chevaux aux machines à vapeur, en passant par l'essence, le gazole et même l'électricité, la technologie des tracteurs a parcouru un long chemin, ce qui a conduit à une foule d'innovations étonnantes en près de deux siècles d'histoire. Et tous les amateurs de ce domaine se réjouissent de l'avenir qui s'annonce.

    Vous trouverez ci-dessous dix des avancées les plus significatives de l'histoire du tracteur. Cela dit, aucune liste de ce type ne pourra jamais espérer être exhaustive, car les développements de la technologie des tracteurs remontent au début des années 1800. Dans les grandes lignes, il est clair que certaines contributions ont marqué des jalons dans les domaines de l'histoire, fournissant un point de départ pour une multitude d'inventions et d'améliorations dérivées.

    L'agriculture reste un pilier non seulement du commerce, mais aussi de la technologie, servant de base à la création de tant de sciences. C'est sur la base de ces dix avancées que tout ce qui est aujourd'hui considéré comme un tracteur a été construit – et les attentes sont grandes pour ce qui nous attend.

    1. Le rêve de la vapeur

    Les agriculteurs ont commencé à utiliser des machines à vapeur pour le battage des céréales dans les années 1800, avec l'une des premières machines à vapeur mobiles à usage agricole conçue par Richard Trevithick en 1812, appelée Barn Engine (moteur de la grange). Trevithick était un inventeur et ingénieur britannique à l'origine d'un certain nombre d'avancées dans le domaine des routes et des chemins de fer à vapeur. On lui attribue également l'invention de la première locomotive et du premier moteur à vapeur à haute pression.

    Les moteurs à vapeur ont continué à être utilisés tout au long du XIXe siècle, mais la plupart étaient simplement des moteurs et des chaudières à vapeur mobiles montés sur des roues. En 1873, Richard Merritt et Daniel Kellogg de Battle Creek, dans le Michigan, ont créé la société Merritt & Kellogg pour produire l'une des premières machines à vapeur autopropulsée, qui pouvait se déplacer de ferme en ferme sans être tirée par des chevaux.

    L'année 1876 est souvent considérée comme la date de naissance aux États-Unis des engins de traction à vapeur agricoles [Microsoft Word - TimelinesPart1.doc (windows.net)] remplaçant les charrues à vapeur avec l'une des premières unités à succès commercial construite par C & G Cooper Co.

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  14. 2. Donner un « coup de gaz(oline) »

    Si les équipements tirés par des chevaux remontent à des temps immémoriaux, le premier tracteur pratique fonctionnant à l'essence est né en 1892. Inventé par John Froelich dans le comté de Clayton, dans l'Iowa, cette machine fut la première dotée d'un moteur à essence permettant de manœuvrer en avant et en arrière.

    C'était la première des machines dotée d'un moteur de 20 chevaux, un monocylindre et un embrayage. Pendant des années, des moteurs à vapeur avaient été utilisés dans les machines agricoles, mais ils étaient trop grands et trop encombrants pour être fixés sur une unité mobile. Froelich, avec le forgeron Will Mann, a conçu un moteur vertical à un cylindre monté sur le train de roulement d'un engin à vapeur pour créer une machine qui, au cours de sa première année, battra 72.000 boisseaux de céréales [18.300 quintaux]. Froelich a ensuite lancé la Waterloo Gasoline Traction Engine Co.

    3. La prise de force

    En 1919, International Harvester a inventé la première prise de force (PDF) commerciale, qui a été intégrée au modèle 8-16. Avec un réservoir de kérosène de 11 gallons [42 litres] et un châssis à 4×2 roues, la machine avait un système d'engrenage non synchronisé à trois vitesses, quatre cylindres et un empattement de 85 pouces [2,16 mètres]. La puissance de la prise de force était de 19 chevaux à la courroie et de 11 chevaux à la barre d'attelage, avec un nombre de tours par minute (RPM) de 1.000.

    En termes anciens, la puissance de la prise de force à la courroie correspond à la puissance du moteur disponible par le biais des courroies et des poulies utilisées dans ces anciens modèles, tandis que la puissance à la barre d'attelage correspond à la capacité maximale de tirer un poids mort.

    4. La production de masse

    En 1917, Henry Ford a présenté le Modèle F de Fordson au moment où les troupes avaient faim pendant la Première Guerre Mondiale. Lancé au prix de 395 dollars, le Modèle F de Fordson a été le premier tracteur à être produit en série de la même manière que les automobiles, un processus révolutionné par Ford lui-même.

    Le modèle F a été produit de 1917 à 1920 à l'usine de Dearborn, Michigan. L'une des clés de la production de masse du Fordson était l'absence de châssis traditionnel, le moteur, la transmission et les boîtiers d'essieux étant boulonnés ensemble pour former le cœur du tracteur. Plus petits et faciles à produire sur une chaîne de montage, Ford a pu vendre ces unités beaucoup moins chères aux petits agriculteurs du pays.

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  15. 5. L'attelage trois points voit le jour

    Avant le système d'attelage trois points, les outils tels que les charrues et les herses étaient efficacement remorqués après avoir été soulevés et posés sur l'arrière du tracteur à l'aide de systèmes de leviers manuels.

    Conçu par Harry Ferguson au début des années 1920, le principe qu'il a breveté en 1925 concernait les deux points d'attelage, un troisième point d'attelage ayant été ajouté à un autre brevet en 1928. La conception initiale comportait en fait deux bras supérieurs et un bras inférieur, alors que la plupart des modèles ultérieurs ont utilisé deux bras inférieurs et un supérieur.

    C'est grâce à ce système à trois points d'attache que l'hydraulique moderne a pu être ajoutée aux tracteurs et qu'ils sont devenus plus que des machines utilisées pour le transport et la traction. Le Brown Type A de Ferguson a été le premier tracteur à être équipé de ce système.

    6. Les tracteurs sont dotés de pneus en caoutchouc à chambre à air

    Jusque dans les années 1930, les roues des tracteurs étaient en métal, généralement en acier. Les problèmes étaient considérables, car le bruit et les chocs sur les chemins de terre provoquaient des dommages coûteux.

    Les tentatives de produire d'autres formes de roues remontent aux années 1800, mais ce n'est qu'en 1918 qu'International Harvester est devenu le premier fabricant à équiper un tracteur de série de pneus en caoutchouc plein.

    Ce premier modèle était équipé de pneus pleins à l'avant et de blocs de caoutchouc moulés par la Firestone Company sur des crampons métalliques à l'arrière. En 1934, le Nebraska Tractor Test Site a effectué l'essai numéro 223, qui était le premier à utiliser un tracteur à pneus. L'année suivante, l'Allis Chalmers WC est le premier tracteur sorti d'usine avec des pneus en caoutchouc, atteignant 8,18 chevaux-heures de travail par gallon de carburant contre 5,62 pour les roues à ergots métalliques.

    En 1940, plus de 90 % des tracteurs étaient équipés de pneus en caoutchouc, en grande partie grâce à une campagne menée par la Firestone Company.

    7. Place au diesel

    Les premiers tracteurs fonctionnaient principalement au kérosène et à l'essence, mais les tentatives de créer un tracteur utilisant le diesel remontent aux années 1920. Le carburant diesel, comme le savent les producteurs et les opérateurs, contient plus d'énergie dans un gallon que l'essence, ce qui le rend plus efficace.

    En 1927, Caterpillar a mis au point un prototype artisanal de moteur diesel, le D9900, ou « Old Betsy ». En 1931, Caterpillar a commencé à produire son premier modèle de tracteur diesel, le Caterpillar Diesel Sixty Tractor, et en quelques années, l'entreprise est devenue le plus grand producteur de moteurs diesel au monde.

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  16. 8. Les tracteurs sont dotés d'une cabine

    Tout producteur sait que l'agriculture est une entreprise qui fonctionne toute l'année, et où en seraient les agriculteurs modernes sans les cabines ?

    En 1935, le fabricant de tracteurs Minneapolis-Moline Co., basé dans le Minnesota, a commencé à travailler sur un tracteur entièrement fermé connu sous le nom de Comfortractor UDLX, qui a été commercialisé vers 1938. La Minneapolis-Moline a commencé avec le modèle U et son empattement de 81 pouces [2,05 mètres] avec un châssis semi-périmétrique, l'essieu avant et le moteur étant fixés à un cadre constitué d'une plaque d'acier de 1 par 6 pouces [2,5 x 15 cm]. Le Comfortractor avait une vitesse de pointe de 25 miles/heure [40 km/h].

    Alors que le concept des cabines s'est rapidement imposé, le Comfortractor UDLX a été un échec financier. Lancé pendant la Grande Dépression, le prix de vente de 1.900 $ était tout simplement trop élevé par rapport aux modèles John Deere affichés à 1.000 $ et aux nouvelles berlines Ford Deluxe Tudor de 1938 qui atteignaient 725 $. Selon le Bureau Américain des Statistiques du Travail, 1.900 dollars de 1938 équivaudraient à environ 36.604,04 dollars en 2021, et 1.000 dollars à environ 19.265,28 dollars.

    Il est intéressant de noter que les acheteurs de tracteurs modernes reconnaîtraient ces chiffres en faisant leur choix entre de grands tracteurs sous-compacts avec ou sans cabine.

    9. Les systèmes de positionnement global (GPS) deviennent une réalité

    Les origines du système de positionnement global (GPS) remontent à l'époque de la guerre froide, lorsque l'armée américaine a construit des réseaux de satellites à des fins de défense. À la fin des années 1970, le ministère américain de la Défense avait lancé un satellite NAVSTAR (Navigation System with Timing and Ranging), et un système complet de 24 satellites est devenu opérationnel en 1993. Aujourd'hui, le GPS est en fait un système de radionavigation multispatial, basé dans l'espace, appartenant au gouvernement américain et exploité par l'armée de l'air américaine.

    Il est intéressant de noter que l'un des premiers groupes à avoir adopté cette nouvelle technologie a été le groupe John Deere Precision Farming, basé à Moline, dans l'Illinois. En 1994, les travaux de l'équipe John Deere dans le domaine naissant de l'agriculture de précision ont fusionné avec les développements lancés par le système Vision de l'entreprise de défense Rockwell International Corp. et les cartes détaillées des champs qu'il créait. Ce système a été associé à des ordinateurs installés dans les moissonneuses-batteuses pour enregistrer le volume de la récolte et associer ces données à des cartes de localisation.

    La collaboration entre John Deere et le Jet Propulsion Laboratory de la NASA a donné naissance au premier récepteur GPS en 1996. En 2018, les systèmes autoguidés exploitaient entre 60 et 70 % des superficies cultivées en Amérique du Nord, entre 30 et 50 % en Europe et plus de 90 % en Australie.

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  17. 10. Agriculture intelligente et intelligence artificielle (IA)

    En 1837, un homme du nom de John Deere a présenté au monde une charrue dernier cri derrière laquelle on pouvait marcher tout en conduisant un attelage de chevaux. Imaginez son choc s'il voyait son nom comme une marque au sommet de l'écran universel 4640 à l'intérieur d'un tracteur vert et or. Cet écran tactile intelligent de 10,4 pouces [26 cm] prend en charge une caméra vidéo quadri-directionnelle ainsi que l'interconnexion entre le tracteur et les outils, ce qui signifie que les producteurs peuvent tout surveiller, de la distance entre les graines pendant le semis à la température et à l'humidité.

    Aujourd'hui, les systèmes d'intelligence artificielle (IA) sont tellement intégrés dans l'agriculture qu'il est difficile d'établir une chronologie précise. Dès que le GPS est devenu une réalité, les tracteurs et moissonneuses-batteuses informatisés sont devenus instantanément plus « intelligents » grâce à de meilleures jauges, de meilleurs capteurs et un meilleur suivi des données. Alors que les producteurs d'hier saisissaient des poignées de terre pour en faire des boules afin de tester l'humidité, leurs arrière-petits-enfants lisent des écrans d'ordinateur sur leurs téléphones portables. Cela permet aux systèmes de tracteurs de semer à des profondeurs de sol spécifiques et d'espacer de manière appropriée en fonction des conditions.

    ° o 0 o °

    Comme le dit le vieil adage, rien n'arrête le progrès. Et comme la population de la Terre approche maintenant les 8 milliards d'êtres humains, les agriculteurs vont devoir devenir encore plus intelligents à l'avenir. Des moteurs électriques, des panneaux solaires et davantage d'intelligence artificielle semblent être au menu, tandis que les cultures génétiquement modifiées continuent de progresser.

    Il est étonnant de penser qu'il fut un temps où l'idée d'utiliser un moteur à vapeur pour battre le grain était aussi choquante qu'un capteur d'IA guidant le placement des graines. Et il est tout à fait passionnant d'imaginer où le monde de l'agriculture ira au cours des 100 prochaines années.

    https://seppi.over-blog.com/2021/11/dix-innovations-etonnantes-pour-les-tracteurs-a-travers-l-histoire.html

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  18. De nouveaux documents révèlent la trahison de Julian Assange par le gouvernement australien et détaillent ses souffrances en prison


    Par Kit Klarenberg
    Mondialisation.ca,
    18 novembre 2021


    Des documents fournis en exclusivité à The Grayzone détaillent l’abandon par Canberra de Julian Assange, citoyen australien, et donnent des détails choquants sur ses souffrances en prison.

    Le gouvernement australien était-il au courant du complot de la CIA des États-Unis visant à assassiner Julian Assange, citoyen australien et journaliste arrêté et à présent emprisonné dans des conditions d’une dureté et d’une pénibilité implacables au Royaume-Uni ?

    Pourquoi les dirigeants élus du pays ont-ils refusé de défendre publiquement l’un de ses citoyens, détenu sur la base d’accusations douteuses et soumis à la torture par une puissance étrangère, selon le rapporteur spécial des Nations unies sur la torture, Nils Melzer ? Que sait Canberra du sort de Julian et quand l’a-t-elle su ?

    The Grayzone a obtenu des documents qui révèlent que le gouvernement australien était, dès le premier jour, parfaitement au courant du traitement cruel infligé à Julian dans la prison londonienne de haute sécurité de Belmarsh, et qu’il n’a rien fait, ou presque, pour y remédier. En fait, il a fait la sourde oreille au journaliste emprisonné, bien qu’il ait entendu son témoignage sur les conditions « si mauvaises que son cerveau s’éteignait ».

    Non seulement Canberra ne s’est pas opposé aux gouvernements américain et britannique qui supervisent l’emprisonnement et les poursuites judiciaires d’Assange, mais, comme ces documents le montrent avec force détails, elle semble avoir été de connivence avec eux dans la violation flagrante des droits de l’homme d’un citoyen australien, tout en faisant de son mieux pour cacher au public la réalité de sa situation.

    Le ministère australien des Affaires étrangères, qui avait connaissance d’un complot de la CIA contre Assange, a publié un démenti sournois qui n’en était pas vraiment un

    À la suite des révélations surprenantes de Yahoo News, en septembre, sur les plans de la CIA pour surveiller, kidnapper et même tuer le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, qui ont confirmé et développé l’article de Max Blumenthal, de The Grayzone, en mai 2020, les responsables du réseau d’espionnage mondial « Five Eyes », proche de l’OTAN, ont eu du mal à accorder leurs violons.

    William Evanina, le plus haut responsable du contre-espionnage à Washington jusqu’à sa retraite début 2021, a déclaré à Yahoo que l’alliance des Cinq Yeux était « essentielle » au complot ignoble de Langley, et que « nous étions très confiants » dans le fait que l’évasion potentielle de Julian de l’ambassade d’Équateur à Londres pouvait être empêchée, par tous les moyens.

    Toutefois, lorsqu’on lui a demandé si les États-Unis avaient informé ou consulté le gouvernement de l’Australie, pays d’origine de Julian, au sujet de l’opération, le ministère australien des affaires étrangères et du commerce (DFAT) a esquivé la question. Pour sa part, Malcolm Turnbull, le Premier ministre australien au moment de ces délibérations meurtrières, a affirmé que « la première fois que j’en ai entendu parler, c’est aujourd’hui dans les médias. »

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  19. Il est certainement possible que les élus de Canberra aient été tenus dans l’ignorance des propositions de la CIA. Le Premier ministre australien Gough Whitlam n’était même pas au courant de l’existence de Five Eyes jusqu’en 1973, 17 ans après que son pays soit devenu signataire de l’accord UKUSA qui est à la base du réseau, à la suite de descentes de police dans les bureaux de l’agence d’espionnage nationale Australian Security Intelligence Organization, en raison des informations qu’elle cachait au gouvernement.

    Que Turnbull ait été ou non au courant de l’opération, la réponse du DFAT lorsqu’un membre de la famille de Julian a contacté le ministère pour demander à la ministre australienne des Affaires étrangères, Marise Payne, de demander à l’administration Biden d’abandonner les poursuites contre lui, et pour demander un commentaire sur l’article de Yahoo, a été d’une désinvolture déroutante.

    « Ce n’est pas parce que c’est écrit dans un journal que c’est vrai… la CIA a été accusée de beaucoup de choses, y compris d’avoir truqué l’alunissage », a plaisanté un fonctionnaire du DFAT dans un classique démenti, sans vraiment démentir.

    Ces remarques crues ont été consignées dans une lettre envoyée à Payne par John Shipton, le père de Julian. Cette missive n’est qu’un des nombreux documents fournis en exclusivité à Grayzone par Kellie Tranter, responsable juridique de Julian en Australie.

    Pendant des années, Tranter a déposé des demandes de liberté d’information auprès du gouvernement australien dans le cadre d’une campagne visant à découvrir sa véritable position à l’égard de Julian, et à déterminer dans quelle mesure son alliance intime avec Washington a limité sa capacité ou sa volonté de faire pression pour sa libération.

    Les documents obtenus par Tranter montrent que Canberra est tout sauf un défenseur d’Assange, le citoyen australien. Au contraire, tout au long du séjour de Julian à l’ambassade d’Équateur et de son emprisonnement à la prison de haute sécurité de Belmarsh (le « Guantanamo britannique »), le gouvernement australien s’est résolument engagé à ne rien voir, rien entendre et rien dire de mal à son sujet, malgré les preuves évidentes de la détérioration dramatique de sa santé physique et mentale et les conditions de son emprisonnement qui relèvent de la torture.

    Assange informe Canberra des violations de ses droits par les États-Unis : « Cette action était illégale ».

    Les comptes rendus d’une brève visite de fonctionnaires du consulat australien à Belmarsh le 17 mai 2019, un mois après l’expulsion spectaculaire d’Assange de l’ambassade, sont particulièrement illustratifs de l’attitude de Canberra. Au cours de cette rencontre, Assange a parlé en détail des conditions de détention et de son isolement cellulaire de 23 heures par jour.

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  20. « Il reste dans sa cellule la majeure partie de la journée, avec 40 minutes allouées chaque jour pour des ’associations’ », ont noté les fonctionnaires consulaires australiens. « Il est autorisé à sortir 30 minutes par jour, bien qu’il ait dit que parfois cela n’arrivait pas », pour des raisons non précisées. Incapable de manger du tout « pendant une longue période », il ingère désormais de « petites quantités », récupère des repas à la cuisine et retourne dans sa cellule.

    N’ayant droit qu’à deux visites personnelles par mois, en plus des consultations juridiques, Assange a mentionné sa rencontre peu avant avec Nils Melzer et deux experts médicaux spécialisés dans l’examen des victimes potentielles de torture et d’autres mauvais traitements, et le fait qu’il n’avait pas encore pu parler à sa famille.

    Le cofondateur de WikiLeaks a évité les programmes de travail « qui lui donneraient l’occasion de sortir plus souvent de sa cellule », selon les diplomates, au motif qu’il refuse de se livrer à un « travail d’esclave » et qu’il a besoin de temps pour préparer son dossier juridique. Les prisonniers des prisons britanniques gagnent en moyenne 13 dollars par semaine pour un travail dur et ingrat au service des grandes entreprises, qui tirent à leur tour d’immenses profits de leur exploitation.

    Bien que les médecins de la prison aient eu la bonté de lui prescrire des antibiotiques et de la codéine pour un canal dentaire infecté, ce qui peut mettre sa vie en danger en cas de propagation de l’infection, Assange attendait toujours ses lunettes de lecture et n’avait pas encore vu d’optométriste. Le journaliste emprisonné a poursuivi en décrivant comment un officier supérieur « a une dent contre moi », en montrant à ses visiteurs une fiche d’accusation indiquant qu’une fouille de sa cellule avait permis de découvrir une lame de rasoir, et qu’il n’avait pas rangé sa cellule après une inspection.

    Une troisième infraction de quelque nature que ce soit « entraînerait le retrait des privilèges d’exercice », indique le document. Craignant sans doute des représailles, Assange a demandé que les fonctionnaires ne soulèvent pas ces questions auprès des autorités pénitentiaires. De toute évidence, ce qui pourrait être considéré comme une indication sans équivoque d’intentions suicidaires a été enregistré comme une simple question disciplinaire.

    Pour aggraver son état psychologique, Assange a indiqué qu’il avait subi des analyses de sang et qu’on lui avait annoncé qu’il était séropositif, un diagnostic choquant. Toutefois, des examens ultérieurs ont confirmé que le résultat du test était un faux positif, ce qui a poussé Assange à se demander si le mauvais diagnostic était une simple erreur ou « autre chose ». Il pourrait bien s’agir d’un jeu mental grotesque, faisant peut-être allusion aux fausses allégations d’agression sexuelle auxquelles il avait été confronté en Suède, et destiné à le pousser vers la folie.

    M. Assange a également présenté aux agents consulaires australiens un avis d’expulsion du ministère britannique de l’Intérieur récemment publié, l’informant que le secrétaire d’État de l’époque, Sajid Javid, avait déterminé, en vertu de la loi britannique sur l’immigration de 1971, que sa présence au Royaume-Uni « n’était pas propice à l’intérêt public et qu’il serait expulsé du Royaume-Uni sans délai », sans possibilité de faire appel de la décision.

    « M. Assange s’est dit inquiet de ne pas survivre à la procédure actuelle et craint de mourir s’il est emmené aux États-Unis. Il a affirmé que les États-Unis fouillaient dans ses affaires restées à l’ambassade d’Équateur. Il a déclaré que cette action était illégale », ont écrit les agents. « Il a déclaré que ses biens comprenaient deux œuvres d’art de grande valeur qu’il prévoyait de vendre pour réunir des fonds pour sa défense juridique, les manuscrits de deux livres et des documents juridiques. Il a exprimé sa crainte que ses documents juridiques soient utilisés contre lui par les États-Unis. »

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  21. Assange avait raison de dire que des documents sensibles ont été volés par les autorités américaines. Immédiatement après son arrestation, son avocat Gareth Peirce a contacté l’ambassade d’Équateur au sujet de ce matériel privilégié, exigeant qu’il soit remis de toute urgence. Lorsque ses biens ont enfin été récupérés, tous les documents juridiques étaient manquants, à l’exception de deux volumes de dossiers de la Cour suprême « et d’un certain nombre de pages de correspondance en vrac », ce qui a rendu sa défense contre l’extradition encore plus difficile qu’elle ne l’était déjà.

    Au cours des premières audiences sur l’extradition de Julian, début 2020, Gordon Kromberg, procureur adjoint du district est de Virginie, a promis de manière peu crédible qu’une « équipe chargée de l’altération » retirerait les éléments de ces dossiers afin qu’ils ne puissent pas être utilisés dans un procès. Des « assurances » aussi dérisoires ont été données au cours de la récente procédure d’appel.

    À l’inverse, il n’y a eu jusqu’à présent aucune garantie publique, même dérisoire, sur l’utilisation abusive des informations obtenues illicitement par UC Global, un contractant de la CIA, à partir de sa surveillance étendue de l’ambassade. La société de sécurité privée espagnole est allée jusqu’à mettre sur écoute les toilettes des femmes du bâtiment, où le fondateur de WikiLeaks s’entretenait avec ses avocats, à l’abri des oreilles et des yeux indiscrets – du moins l’espérait-il.

    En dépit de sa situation, Julian a conservé une vague dose d’optimisme quant à l’avenir lors de ses discussions avec les fonctionnaires consulaires, suggérant que le résultat des élections fédérales australiennes, qui avaient lieu le lendemain, « pourrait permettre à un nouveau gouvernement de faire quelque chose pour soutenir son cas », et demandant que Marise Payne soit informée de l’évolution de la situation.

    En réalité, la Coalition nationale libérale de Scott Morrison a conservé le pouvoir et aucune alarme n’a été lancée publiquement sur ce qui a été appris au cours de la visite consulaire. En effet, rester silencieux sur les souffrances de Julian, aussi horribles soient-elles, devait être une question de politique officielle.

    Le ministère australien des Affaires étrangères et du Commerce international nie tout rôle dans les » sévices de plus en plus graves » infligés à Assange.

    Le 30 mai de la même année, WikiLeaks a annoncé que Julian avait été transféré dans le service médical de Belmarsh, exprimant de » graves préoccupations » quant à son état de santé. Presque immédiatement, le Global Watch Office du DFAT a envoyé un courriel interne pour attirer l’attention sur cette annonce.

    Le jour suivant, le rapporteur spécial des Nations unies sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, Nils Melzer, a proclamé que « la persécution collective de Julian Assange doit cesser ici et maintenant ». Ce vétéran du droit international a ajouté qu’ »en 20 ans de travail avec des victimes de la guerre, de la violence et de la persécution politique », il n’avait « jamais vu un groupe d’États démocratiques se liguer pour isoler, diaboliser et maltraiter délibérément un seul individu pendant si longtemps et avec si peu de respect pour la dignité humaine et l’État de droit ».

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  22. M. Melzer a ensuite fulminé contre une « campagne incessante et effrénée de harcèlement moral, d’intimidation et de diffamation » menée par les États-Unis, le Royaume-Uni, la Suède et l’Équateur, qui l’a soumis à « des abus persistants et de plus en plus graves, allant de la persécution judiciaire systématique et de la détention arbitraire à l’ambassade d’Équateur à l’isolement oppressif, au harcèlement et à la surveillance à l’intérieur de l’ambassade ».

    En réponse, le ministère australien des Affaires étrangères et du Commerce international a publié une déclaration rejetant toute suggestion selon laquelle Canberra serait « complice de torture psychologique ou aurait fait preuve d’un manque de soutien consulaire » à l’égard d’Assange, affirmant être « un ardent défenseur des droits de l’homme et un fervent partisan d’un traitement humain au cours des procédures judiciaires », et se déclarant convaincu qu’il « est traité de manière appropriée ».

    En raison de « considérations de confidentialité » qui s’appliqueraient à tous les clients consulaires, le ministère a refusé de divulguer tout autre détail relatif à son état physique ou mental.

    Il a ajouté que le Haut-Commissariat australien à Londres « avait déjà fait part aux autorités pénitentiaires de Belmarsh de tous les problèmes de santé identifiés et que ceux-ci avaient été traités », et que d’autres enquêtes avaient été menées après le transfert de Julian dans le service de santé.

    Les documents fournis à The Grayzone indiquent que Canberra a effectivement demandé à plusieurs reprises des renseignements à Belmarsh par téléphone et par courrier à la suite de l’annonce de Wikileaks, et que toutes ces demandes sont restées sans réponse pendant six jours consécutifs. Alors pourquoi le haut-commissaire australien n’est-il pas intervenu pour exiger des éclaircissements immédiats sur une question d’urgence vitale ?

    Quelle que soit la raison de l’inertie du gouvernement australien, un dossier consulaire daté du 8 août de la même année indique que Shipton a écrit pour informer que Julian avait été réadmis à l’infirmerie de Belmarsh et qu’un avocat rédigeait une lettre à Marise Payne, demandant au DFAT « d’utiliser ses sources diplomatiques pour obtenir une évaluation médicale indépendante (c’est-à-dire en dehors de la prison) ».

    Puis, 11 jours plus tard, Shipton a mentionné que le frère de Julian, Gabriel, avait récemment visité la prison et était bouleversé par la » détérioration de l’état de santé » d’Assange, ce qui l’a amené à écrire des lettres au gouverneur général de l’Australie, David Hurley, et à M. Morrison pour leur faire part de ses craintes.

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  23. Le 21 octobre, Assange a comparu devant le tribunal pour une audience préliminaire dans son affaire d’extradition. Comme l’ont largement rapporté les médias grand public, il est apparu frêle et décontenancé, peinant à se rappeler son propre nom et sa date de naissance lorsque le juge lui a posé la question. Lorsque le président du tribunal lui a demandé s’il savait ce qui se passait, Assange a répondu « pas exactement », indiquant que les conditions de détention à Belmarsh l’empêchaient de « penser correctement ».

    Portrait d’artiste d’Assange (en haut à gauche) visionnant son audience du 21 octobre depuis la prison.
    « Je ne comprends pas en quoi cela est équitable », a déclaré le journaliste emprisonné. « Je ne peux rien rechercher, je ne peux accéder à aucun de mes écrits. C’est très difficile là où je suis. »

    L’avocat d’Assange, Mark Summers, a fait valoir que l’audience initiale d’extradition, prévue pour février 2020, devrait être reportée de trois mois en raison de la complexité de l’affaire – « les preuves… mettraient à l’épreuve les limites de la plupart des avocats », a-t-il déclaré, et a évoqué l’immense difficulté de communiquer avec son client en prison, étant donné qu’il n’a pas accès à un ordinateur.

    Le juge a rejeté la demande. En conséquence, Julian sera privé de « l’accès le plus élémentaire au strict minimum nécessaire pour être correctement représenté » jusqu’à quelques semaines avant l’audience.

    L’avocat d’Assange avertit le DFAT d’Australie d’une « crise imminente ».

    Trois jours plus tard, l’avocat d’Assange, Gareth Peirce, a écrit à la Haute Commission, affirmant que si les représentants consulaires avaient assisté au procès, » ils auraient sans aucun doute noté ce qui était évident pour toutes les personnes présentes au tribunal « , à savoir que son client était » dans un état de santé déplorable… luttant non seulement pour suivre, mais aussi pour s’exprimer ».

    Incroyablement, un rapport du DFAT sur les procédés découverts par Tranter ne mentionne pas du tout l’aspect ébouriffé de Julian, ni son état mental clairement altéré.

    Mme. Peirce a poursuivi en affirmant que, dans ces circonstances, il n’était pas surprenant que Julian n’ait pas autorisé les responsables de la prison à fournir au gouvernement australien des informations concernant son traitement médical, qui avait été « grossièrement et illégalement compromis pendant un certain temps, y compris, ce qui est inquiétant, même pendant qu’il était à la prison de Belmarsh, de fausses informations ayant été fournies à la presse à au moins une occasion par des sources très manifestement internes ».

    « Nous espérons que ce que nous sommes en mesure de dire […] sera accepté par vous comme étant basé sur une observation minutieuse, y compris par des cliniciens professionnels indépendants […] Tous les avertissements professionnels fournis à la prison, y compris par au moins un médecin indépendant appelé par Belmarsh, ont été ignorés », a-t-elle écrit. « Nous serions heureux de vous rencontrer à tout moment si, en intervenant dans ce qui est désormais une crise imminente [c’est l’auteur qui souligne], vous pouviez contribuer à l’améliorer et à l’éviter. »

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  24. C’est ainsi que des représentants consulaires se sont rendus à Belmarsh le 1er novembre. Au cours de leur échange, Assange a critiqué les fausses déclarations faites aux médias par le DFAT, qui laissaient entendre qu’il avait rejeté leurs offres d’assistance.

    Il a ensuite révélé qu’un médecin de la prison était « préoccupé » par son état. En fait, Assange a déclaré que son état psychologique était « si mauvais que son esprit s’éteignait », l’isolement quasi permanent rendant impossible pour lui « de penser ou de préparer sa défense. »

    Il n’avait même pas de stylo pour écrire, était incapable de faire des recherches, ne pouvait pas recevoir de documents lors des visites juridiques, et tout son courrier était lu par des fonctionnaires de la prison avant de lui être remis.

    Le mois suivant, le professeur Michael Kopelman, professeur émérite de neuropsychiatrie au King’s College de Londres, a préparé un rapport sur l’état psychiatrique de Julian, basé sur des rencontres tout au long de ses six premiers mois à Belmarsh, des conversations avec ses parents, ses amis, ses collègues et Stella Morris, sa compagne et mère de ses deux enfants.

    Comme l’a révélé le jugement rendu en janvier par la juge Vanessa Baraitser sur la demande d’extradition des États-Unis, Kopelman a diagnostiqué chez Julian un grave trouble dépressif récurrent, qui s’accompagnait parfois de caractéristiques psychotiques telles que des hallucinations, et de fréquentes pensées suicidaires.

    Ses symptômes comprenaient en outre une perte de sommeil et de poids, des troubles de la concentration, une impression persistante d’être au bord des larmes et un état d’agitation aiguë dans lequel il arpentait sa cellule jusqu’à l’épuisement, se frappait la tête ou la cognait contre le mur.

    Assange a dit à Kopelman qu’il croyait que sa vie ne valait pas la peine d’être vécue, qu’il pensait au suicide « des centaines de fois par jour » et qu’il avait un « désir constant » de s’automutiler ou de se suicider, décrivant des plans de suicide que le professeur considérait comme « hautement plausibles ».

    Les appels aux Samaritains, une ligne d’assistance caritative britannique qui offre un soutien émotionnel aux personnes en détresse, qui ont du mal à s’en sortir ou qui risquent de se suicider, étaient « pratiquement » quotidiens, et lorsqu’il n’avait pas pu les joindre, Assange s’était tailladé la cuisse et l’abdomen pour échapper à son sentiment d’isolement.

    Kopelman a conclu que si Assange était maintenu en isolement aux États-Unis pendant une période prolongée, sa santé mentale « se détériorerait considérablement, entraînant une dépression clinique grave et persistante et l’exacerbation grave de son trouble anxieux, de son syndrome de stress post-traumatique et de ses pensées suicidaires », notamment parce que divers « facteurs de protection » dont il dispose au Royaume-Uni seraient absents aux États-Unis.

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  25. « Par exemple, il parle à sa compagne par téléphone presque tous les jours et, avant le confinement, elle lui rendait visite avec ses enfants, divers amis, son père et d’autres parents… [Kopelman] considérait qu’il y avait une abondance de facteurs de risque connus indiquant un risque très élevé de suicide », a constaté Baraitser. « Il a déclaré : ’Je suis aussi confiant qu’un psychiatre puisse l’être que, si l’extradition vers les États-Unis devenait imminente, M. Assange trouverait un moyen de se suicider’ ».

    Les rapports du professeur ont joué un rôle fondamental dans le rejet de l’ordre d’extradition – un résultat surprenant, étant donné que Mme Baraitser a précédemment approuvé l’extradition dans 96 % des cas sur lesquels elle a statué.

    Néanmoins, elle a accepté tous les autres arguments et accusations avancés par le ministère de la Justice, criminalisant de fait un grand nombre d’activités journalistiques tout à fait légitimes et établissant le précédent effrayant selon lequel les citoyens de n’importe quel pays peuvent être extradés vers les États-Unis pour des violations présumées de leurs lois nationales, ce qui implique que la juridiction légale de Washington est d’envergure mondiale.

    Les documents sur les discussions du DFAT australien avec le secrétaire d’État américain, étaient expurgés dans leur intégralité.

    En réponse au jugement, le procureur général australien fantôme [le poste non officiel tenu par un membre de l’opposition – NdT] Mark Dreyfus a publié une déclaration énergique, déclarant que le parti travailliste de l’opposition estimait que « cette affaire a assez duré », notamment en raison de la « mauvaise santé » de Julian, et demandant à l’administration Morrison de « faire ce qu’elle peut pour tirer un trait sur cette affaire et encourager le gouvernement américain à la clore ».

    À l’inverse, le DFAT a publié une note caractéristique, laconique et dénuée d’âme, indiquant simplement que l’Australie « n’est pas partie à l’affaire et continuera à respecter la procédure judiciaire en cours », et reprenant les fausses affirmations antérieures selon lesquelles Julian avait rejeté de multiples offres d’assistance consulaire.

    Canberra est restée silencieuse lorsqu’en juin, la publication islandaise Stundin a révélé en détail comment un « acte d’accusation complémentaire » dressé contre Assange en septembre 2020, qui l’accusait, lui et d’autres personnes de WikiLeaks, d’avoir « recruté et convenu avec des pirates informatiques de commettre des intrusions dans des ordinateurs », était fondé en grande partie sur l’acte d’accusation admis par les autorités australiennes, reposait en grande partie sur le faux témoignage d’un fraudeur, d’un sociopathe et d’un pédophile condamné, Siggi Thordarson, qui avait auparavant détourné de vastes sommes de WikiLeaks et avait été recruté par le FBI pour saper son fondateur de l’intérieur.

    Il y a de bonnes raisons de penser que le gouvernement australien savait que l’acte d’accusation était imminent. En juillet de la même année, le ministre des affaires étrangères Payne a rencontré le directeur de la CIA, Mike Pompeo, lors d’une convention de consultations ministérielles entre l’Australie et les États-Unis, « le principal forum de consultations bilatérales » entre le pays et les États-Unis.

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  26. Mme Tranter a soumis des demandes de liberté d’information pour obtenir des détails sur ce rendez-vous, mais les documents qu’elle a reçus en retour ont été entièrement expurgés. Il en va de même pour les dossiers qui lui ont été communiqués concernant le sommet du ministre des affaires étrangères avec le secrétaire d’État Antony Blinken en mai 2021.

    Il est presque certain qu’Assange était un sujet de ces réunions. Le DFAT affirme que Mme Payne a « soulevé la question » lorsqu’elle a de nouveau rencontré M. Blinken en septembre, et la ministre elle-même affirme avoir spécifiquement discuté des « attentes » de l’Australie concernant le traitement d’Assange avec le ministre britannique des Affaires étrangères Dominic Raab lors de sa visite à Canberra en février 2020. Tranter a également demandé des documents relatifs à cette réunion, mais on lui a répondu qu’il n’y en avait pas.

    Lors de l’arrestation de Julian, le Premier ministre Morrison a affirmé qu’il recevrait « le même traitement que n’importe quel autre Australien. »

    « Lorsque des Australiens voyagent à l’étranger et se retrouvent ensuite en difficulté avec la loi, ils font face aux systèmes judiciaires de ces pays », a déclaré Morrison. « Peu importe le crime particulier qu’ils sont censés avoir commis, c’est ainsi que le système fonctionne ».

    Cependant, un courriel interne daté du 5 avril 2019 obtenu par Tranter et provenant du bureau du procureur général australien était criblé de mépris pour le cofondateur de Wikileaks. La note affirmait : « FYI – Assange pourrait être expulsé. Je ne sais pas si ses avocats présenteront des arguments (pas très convaincants) [c’est l’auteur qui souligne] sur les responsabilités de l’Australie à son égard, mais j’ai pensé que cela valait la peine d’être signalé. »

    Comme d’habitude, les représentants australiens n’ont rien dit en public sur l’enlèvement imminent d’Assange.

    Le traitement d’Assange, et l’absence totale d’indignation concernant son incarcération, ses conditions de détention, les abus de procédure flagrants auxquels se livre Washington dans sa traque acharnée, et les plans de la CIA pour enlever et/ou assassiner le fondateur de WikiLeaks, divergent fortement de l’approche de l’Australie à l’égard de Kylie Moore-Gilbert, une universitaire australo-britannique emprisonnée en Irandepuis 10 ans sur des accusations discutables d’espionnage en septembre 2018.

    Dans les coulisses, les diplomates australiens ont lutté pendant près de deux ans pour obtenir sa libération, et ont finalement négocié un échange de prisonniers, dans le cadre duquel elle a été échangée contre trois détenus iraniens en Thaïlande – dont deux ont été condamnés dans le cadre d’un projet d’attentat à la bombe à Bangkok en 2012. Dans une déclaration, le ministre des Affaires étrangères Payne a exprimé son soulagement de voir Moore-Gilbert enfin libre, résultat d’un « travail professionnel et déterminé », notant que Canberra avait « constamment rejeté » les motifs pour lesquels elle était détenue.

    Entre-temps, le gouvernement australien n’a cessé de consolider la position de Washington sur Assange. En fait, les responsables sont parfois allés encore plus loin que leurs homologues américains en condamnant publiquement Assange et ses actions.

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  27. En décembre 2010, la première ministre de l’époque, Julia Gillard, a déclaré que la publication par WikiLeaks de câbles diplomatiques américains signifiait qu’Assange était « coupable de conduite illégale » et que la police fédérale menait une enquête afin d’offrir « des conseils sur la conduite criminelle potentielle de l’individu impliqué ». Pour être juste envers Canberra, les représentants élus n’ont peut-être pas le choix en la matière.

    Selon le journaliste d’investigation Duncan Campbell, chaque membre des Five Eyes a théoriquement le droit d’opposer son veto à une demande de renseignements d’origine électromagnétique recueillis sur un individu, un groupe ou une organisation par un autre. Cependant, explique Campbell, « quand on est un allié junior comme l’Australie ou la Nouvelle-Zélande, on ne refuse jamais », même dans les situations où l’on s’inquiète de ce que des alliés ostensibles peuvent faire de ces informations sensibles.

    Les documents obtenus par Tranter et fournis à The Grayzone offrent u aperçu sans fard de la trahison par l’allié junior australien de l’un de ses citoyens envers la puissance impériale qui le traque depuis des années. Alors que les droits de Julian Assange ont été violés à chaque instant, Canberra apparaît comme complice.

    Kit Klarenberg

    Traduction Viktor Dedaj pour Le Grand Soir

    https://www.mondialisation.ca/de-nouveaux-documents-revelent-la-trahison-de-julian-assange-par-le-gouvernement-australien-et-detaillent-ses-souffrances-en-prison/5662446

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  28. 494 millions de personnes ne célèbrent pas la « Journée mondiale des toilettes »


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 20 NOV 2021 - 23:00


    Aujourd'hui marque la Journée mondiale des toilettes, qui a été créée pour sensibiliser au manque d'installations d'assainissement, d'eau et d'hygiène dans de nombreuses régions du monde.

    En 2020, 494 millions de personnes, soit 6,3 % de la population mondiale, pratiquaient encore la défécation à l'air libre, le niveau le plus grave de manque de services d'assainissement. De plus, comme le souligne Katharina Buchholz de Statista, 22% dans le monde n'avaient pas accès au moins à des installations sanitaires de base, définies comme des toilettes privées reliées aux canalisations d'égout, une fosse septique ou de compostage ou une fosse. 46% - près de la moitié de la population mondiale - ne vivaient pas dans un assainissement géré en toute sécurité, ce qui signifie que leurs eaux usées n'étaient pas traitées correctement, ce qui leur posait de graves risques pour la santé car elles permettaient aux agents pathogènes de réintégrer les approvisionnements en eau.

    Pas plus tard qu'en l'an 2000, 1,3 milliard de personnes déféquaient encore à l'extérieur, avec de graves conséquences pour la santé. L'ONU s'est efforcée d'éradiquer cette pratique et a fait quelques progrès. En 2017, le nombre de personnes n'ayant accès à aucune salle de bain était tombé à 673 millions et enfin à 494 millions en 2020.

    - voir graphique sur site -

    Infographie : 494 millions de personnes défèquent encore à l'extérieur | Statistique
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Des gains restent à faire en Afrique sub-saharienne, où la croissance démographique constante continue de mettre la pression sur les services d'assainissement. Le Cambodge, l'Éthiopie, le Népal et l'Inde ont connu la plus forte baisse de la défécation à l'extérieur depuis l'an 2000, la réduisant d'environ 70 à 85 % de la population à 10 à 20 %.

    Ce dernier pays a été particulièrement ambitieux dans l'installation de toilettes adéquates. Avant l'arrivée au pouvoir du Premier ministre Narendra Modi en 2014, plus de 60 % de la population indienne n'avait pas accès à des toilettes domestiques. Depuis lors, des milliards de dollars ont été investis dans le cadre de la campagne Swachh Bharat Abhiyan ("Clean India"). Selon les chiffres de l'ONU, la défécation à l'air libre a été réduite à affecter 15 % de la population indienne en 2020, tandis que ceux qui n'ont pas accès à au moins un assainissement de base représentent maintenant environ 29 %.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/494-million-people-are-not-celebrating-world-toilet-day

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    1. (...) En 2020, 494 millions de personnes, soit 6,3 % de la population mondiale, pratiquaient encore la défécation à l'air libre, le niveau le plus grave de manque de services d'assainissement. (...)

      (...) Pas plus tard qu'en l'an 2000, 1,3 milliard de personnes déféquaient encore à l'extérieur, avec de graves conséquences pour la santé. (...)

      Quoi de plus naturel qu'aller 'chier à la vigne' ? L'urgence de 'déféquer' dans le jardin ou dans 'la nature' incombe à chacun et, il n'y a AUCUN mal de poser là ses repas plutôt qu'ailleurs car, cet 'ailleurs' est présent partout !!
      Il est donc naturel comme intelligent (voire 'doué de raison') de faire sortir là où on peut et, que toutes choses prises à la terre y reviendront 100 % tôt ou tard.

      Donc dans le 'avec de graves conséquences pour la santé' il s'agit là que de la santé des bénéfices des fabricants et non des chieurs de partout.

      voir:
      La chasse d'eau pour les nuls

      vendredi 4 janvier 2013

      La chasse d'eau pour les nuls

      https://huemaurice5.blogspot.com/2013/01/la-revolution-des-riches.html

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  29. Obligé par la loi de vacciner ses patients un médecin se suicide


    le 21 novembre 2021


    Le directeur de la prestigieuse clinique de Chemnitz, le Docteur Thomas Jendges n’est plus. Il s’est jeté du toit de l’hôpital et en est mort. Dans un message laissé avant son suicide il a écrit qu’il justifiait son geste par le fait qu’il ne pouvait plus supporter les mensonges permanents au sujet de l’innocuité des vaccins anti-covid.

    Dans la longue lettre d’adieu qu’a écrit le Docteur avant son suicide et dont il demanda la publication, il dit avoir été hautement critique au sujet de la politique d’information du gouvernement relative à la dangerosité des vaccins covid. Il dit dans cette lettre qu’il ne pouvait plus supporter les mensonges qu’il devait assumer devant ses patients en leur déclarant que les vaccins étaient sans danger. Il ne pouvait plus supporter cette situation, a-t-il écrit dans cette lettre.

    Il condamne la vaccination de la population avec des vaccins expérimentaux et létaux qui en fait sont plutôt des agent de guerre biologique utilisés à cette fin à l’exclusion de tout autre usage. Pour le Docteur Thomas Jendges un génocide et un crime contre l’humanité sont en cours, ce que le quotidien Bild avait déjà signalé.

    Puisque le bourgmestre de la ville l’a menacé de le licencier s’il ne se soumettait pas aux ordres du gouvernement et continuait à refuser de vacciner les patients de la clinique, il n’y avait probablement plus d’options pour Jendges. Il n’a pas voulu être confronté à ce crime du gouvernement fédéral, du gouvernement du lander de Saxe et de leurs dévoués serviteurs. Il considéra ainsi qu’il n’avait plus d’autre choix que le suicide pour s’opposer à cette situation.

    Quelques passages du message du Docteur Jendges sont en circulation mais, bien qu’il ait demandé expressément que la totalité de sa lettre soit publiée, le bourgmestre de Chemnitz, Sven Schulze du SPD, s’oppose toujours à cette publication. De nombreux groupes sociaux et forums demandent à Schulze de respecter les derniers vœux du défunt.

    Liens: https://youtu.be/WH9R6gr8EVs

    Note. Cette information n’a fait la une d’aucun média occidental excepté Las Republicas (lien ci-dessus).

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/11/21/oblige-par-la-loi-de-vacciner-ses-patients-un-medecin-se-suicide/

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  30. L'ascension des robots


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 20 NOV. 2021 - 20:00


    Alors que de plus en plus de consommateurs apprécient la commodité d'avoir un robot aspirateur dans leur maison ou de s'occuper de la pelouse, Felix Richter de Statista précise ci-dessous que c'est dans les applications industrielles que la robotique a eu le plus d'impact.

    Des procédés de fabrication à la pointe de la technologie sont impensables sans les robots industriels prenant en charge une partie de la charge de travail, qu'il s'agisse de manutention, de soudage ou d'assemblage, qui sont les trois applications les plus courantes des robots industriels nouvellement installés en 2020.

    Comme le montre le graphique suivant, basé sur les données de la Fédération internationale de robotique, le stock opérationnel de robots industriels a triplé au cours de la dernière décennie, avec plus de trois millions de robots utilisés dans diverses industries d'ici la fin de 2020.

    - voir graphique sur site -

    Infographie : L'essor des robots | Statistique
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Selon l'IFR, l'Asie ouvre la voie dans le passage aux processus automatisés, la Chine en particulier installant des robots industriels à une vitesse vertigineuse. En 2020, la Chine a installé 168 400 robots industriels, soit 44 % des installations mondiales.

    https://www.zerohedge.com/technology/rise-robots

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    1. Le prix est imbattable ! et en plus... ils travaillent aux USA ou en Europe au même prix qu'en Chine !!

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  31. Les Américains paniquent et achètent du bois de chauffage et des poêles au milieu de la crise énergétique


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 21 NOV 2021 - 09:55


    La crise énergétique mondiale a entraîné une flambée des prix du gaz naturel, du mazout de chauffage, du propane et de l'électricité, rendant le coût de chauffage d'une maison cet automne/hiver très élevé. En conséquence, les Américains paniquent en achetant des cordes de bois ('stères') et des poêles pour détourner la flambée des prix des combustibles fossiles.

    Bloomberg s'est entretenu avec des vendeurs de bois de chauffage américains qui ont déclaré que les ventes étaient en plein essor avant l'hiver. Ils ont signalé que le prix d'une corde de bois montait en flèche.

    Chez Firewood By Jerry à New River, en Arizona, une corde de bois de chauffage séché - environ 700 pièces environ - coûte 200 $ aujourd'hui. C'est 33 % de plus qu'il y a un an. Chez Zia Firewood à Albuquerque, le prix est en hausse de 11 % depuis l'été à 250 $. Et à Standing Rock Farms à Stone Ridge, une petite ville bucolique de la vallée de l'Hudson qui est devenue populaire avec l'ensemble de Manhattan, les meilleurs bois durs se vendent désormais 475 $ la corde, en hausse de 19 % par rapport à l'année dernière. -Bloomberg

    Randy Hornbeck, propriétaire de Standing Rock Farms à Stone Ridge, New York, a déclaré que ses ventes étaient déjà supérieures de 27 % à celles de la saison dernière. « Tout le monde veut du bois de chauffage », a-t-il déclaré, qualifiant le début de la saison froide de « fou ».

    - voir croquis sur site -

    Une partie de la demande accrue dont parle Hornbeck provient des cols blancs qui ont quitté les zones métropolitaines pour des banlieues ou des zones rurales au cours des 18 derniers mois environ et ont découvert que leurs maisons étaient équipées de poêles et/ou de cheminées. Le prix du chauffage d'une maison de banlieue est beaucoup plus élevé qu'un appartement en ville, et peut-être avec la flambée de l'inflation énergétique, le bois est le moyen le moins cher de chauffer une maison (pour le moment).

    Outre la flambée des prix du bois de chauffage, les revendeurs de poêles à bois signalent une demande écrasante. "Vous ne pouvez pas obtenir de poêle avant au moins avril", Lakin Frederick, un employé de Central Arkansas Fireplaces à Conway, une banlieue de Little Rock.

    Les clients ont dit à Frederick que la flambée des prix de l'énergie, comme le mazout, le gaz naturel et le propane, est la raison pour laquelle ils ont recours au chauffage au bois cette année. Il a ajouté que le bois est devenu rare dans sa région car "il n'y a pas assez de gens qui coupent et fournissent du bois en ce moment".

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  32. Bloomberg signale plusieurs booms du bois de chauffage dans l'histoire des États-Unis :

    Au cours de l'histoire américaine, il y a eu un certain nombre de booms dans le commerce du bois de chauffage. L'un des premiers épisodes est survenu lors du siège britannique de Boston au début de la guerre d'Indépendance. Cet hiver-là, le prix d'une corde - une référence centenaire mesurant 128 pieds cubes - a grimpé à 20 $, a documenté l'historien David McCullough dans son livre "1776". C'est l'équivalent d'environ 635 $ en dollars d'aujourd'hui, selon les calculs du site Web in2013dollars.com. Plus récemment, à peu près chaque flambée majeure des prix de l'énergie au cours du dernier demi-siècle a déclenché une ruée vers le chauffage au bois parmi certains segments de la population. Ces fièvres s'estompent invariablement dès la crise énergétique. -Bloomberg

    Aujourd'hui, on pense que la crise énergétique mondiale infligera plus de souffrances financières aux familles de travailleurs pauvres à mesure que le temps froid s'installe. L'administration Biden tente de calmer l'inflation brûlante en libérant des réserves stratégiques de pétrole pour arrêter les prix du brut, ce qui est susceptible de se retourner contre lui.

    "Tout le monde est extrêmement préoccupé par la façon dont ils vont payer le coût du chauffage domestique", a déclaré Brian Pieck, propriétaire de House of Warmth Stove and Fireplace Shop à New Milford, une ville de l'ouest rural du Connecticut. Il a déclaré que l'inquiétude avait conduit les gens à paniquer en achetant des poêles à bois, ajoutant que ses ventes de poêles à bois de plus de 2 800 $ étaient en hausse de 50 %. "Notre fabricant travaille fiévreusement 24 heures sur 24."

    Les clients les plus riches de Hornbeck dans la vallée de l'Hudson achètent du bois de chauffage quel qu'en soit le prix. Il a déjà vendu 3 300 cordes de bois dur et épuisera ses réserves d'ici février. Certains de ses clients bloquent déjà des commandes pour la saison prochaine.

    Selon les chiffres de l'EIA, seulement 1 % des ménages américains utilisent du bois de chauffage ou des granulés de bois comme source de chauffage principale, et environ 8 % les utilisent comme source de chauffage secondaire.

    Une crise énergétique mondiale s'est métastasée et a plongé le monde dans la panique en achetant des combustibles fossiles avant l'hiver de l'hémisphère nord grâce à des politiques vertes ambitieuses.

    https://www.zerohedge.com/commodities/americans-panic-buy-firewood-and-stoves-amid-rapid-energy-inflation

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    1. Le retour des lessiveuses est très proche !

      https://huemaurice5.blogspot.com/2015/12/la-grande-lessive.html

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  33. Où le fardeau du diabète augmente


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 21 NOV 2021 - 08:45


    Selon la Fédération internationale du diabète, 463 millions de personnes âgées de 20 à 79 ans souffraient de diabète dans le monde en 2019. Comme le note Katharina Buchholz de Statista, cela représente 9,3 % de la population mondiale de cette tranche d'âge.

    Le nombre total d'adultes atteints de la maladie devrait atteindre 700,1 millions (10,9 % de la population mondiale) d'ici 2045.

    - voir graphique sur site -

    Infographie : Là où le fardeau du diabète augmente | Statistique
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Les régions avec les proportions les plus élevées d'adultes atteints de la maladie sont l'Amérique du Nord et le Moyen-Orient. L'Asie du Sud – où les cas de diabète augmentent à l'un des taux les plus rapides – devrait presque rattraper l'Asie occidentale et l'Amérique latine d'ici 2045.

    La Fédération internationale du diabète soupçonne que le nombre de cas de diabète nouvellement diagnostiqués est en fait en baisse dans certains pays développés et que les augmentations passées et futures de la proportion de personnes atteintes de diabète peuvent être attribuées à des personnes atteintes de la maladie qui vivent plus longtemps.

    Dans les pays en développement, cependant, davantage de personnes pourraient encore contracter la maladie en raison des changements de mode de vie généralement associés au progrès économique, comme les régimes alimentaires riches en sucre et en graisses ainsi que le temps passé à des activités sédentaires.

    Comme le diabète de type 2 est beaucoup plus répandu dans le monde que le diabète de type 1, les changements dans la prévalence et l'incidence du diabète peuvent être presque entièrement attribuables au deuxième type. La fédération considère également le manque de diagnostic du diabète comme un problème permanent. En 2019, le nombre de personnes âgées de 20 à 79 ans atteintes de diabète non diagnostiqué était estimé à 231,9 millions dans le monde, soit près de la moitié de tous les cas.

    https://www.zerohedge.com/medical/where-diabetes-burdens-are-rising

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    1. L'explosion du nombre de diabétiques fait peur ! (comme il en est - depuis 1927 - de l'aluminium présent dans TOUS les vaccins qui donnent Alzheimer-Parkinson !)

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  34. Pourquoi peut-on voter sur la loi covid en Suisse mais pas en France

    Les votations et le système démocratique suisse permettent de voter sur le covid plus régulièrement qu’en France.


    Par Jean-Baptiste Vigouroux.
    22 NOVEMBRE 2021


    Il existe un principe fondamental dans nos démocraties occidentales : la loi et la Constitution doivent être votées par le peuple ou par ses représentants, et non par les gouvernements.

    À cause du covid, les gouvernements à travers le monde ont pris en urgence des séries de mesures pour contrer l’épidémie et venir en aide aux secteurs économiques les plus touchés. Ces mesures ont été ratifiées par les parlements. Jusqu’ici, rien que de très normal, même si ce processus bouscule l’ordre des choses et donne l’impression que les parlements ont été en fin de compte mis devant le fait accompli.

    LA SUISSE : UN PAYS DIFFÉRENT

    Il existe cependant un pays un peu différent, un pays où les habitants sont tellement attachés à leur souveraineté qu’ils s’approprient les sujets politiques les plus divers. Les citoyens contrôlent ainsi leurs élus et leur gouvernement par la possibilité qu’ils ont de se constituer en association pour proposer des référendums contre telle ou telle loi parlementaire ou initiative gouvernementale.

    Ce pays c’est la Suisse, qui s’apprête à voter sur LE sujet du moment, celui dont absolument tout le monde parle.

    Pour que la Suisse vote, il a fallu que quelques citoyens se réunissent en une association, qu’ils ont voulu baptiser d’un nom évocateur : les Amis de la Constitution, fondée en mai 2020 en réaction aux toutes premières mesures anti-covid. Observant que la loi covid votée par le Parlement, à la suite des mesures prises par le gouvernement au printemps 2020, leur semblait contrevenir à toute une série de dispositions de la Constitution et du Code pénal, ils ont rassemblé les 50 000 signatures requises.

    Ironie du calendrier, entre le début de la campagne de signature et la fin, une autre loi a due être passée par le Parlement, encore une fois pour avaliser les mesures prises par le Conseil Fédéral. Il s’en est suivi une certaine confusion au moment du vote : sur laquelle des deux lois se prononçait-on ? La première, passée avant le début de la campagne de signatures, ou la deuxième, passée entre-temps ? Sur la première évidemment, sauf qu’au moment d’écrire Oui ou Non, devant leur bulletin de vote, les citoyens n’en étaient plus vraiment sûrs.

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  35. Le référendum ayant été rejeté, les Amis de la Constitution en ont organisé un deuxième à propos de la deuxième loi, en quatrième vitesse, pour éviter leur mésaventure autour de la confusion initiale. Ils se sont pour l’occasion adjoint le soutien de deux autres associations, nées récemment elles aussi : le « Réseau de décision pour la vaccination », et l' »Alliance d’action des cantons d’origine ». Ils ont rassemblé le nombre record de 187 239 signatures, même si toutes n’étaient pas valides, en un temps record lui aussi : les 60 000 premières signatures (il en faut 50 000) ont été réunies en six semaines ! C’est sur ce référendum que l’on vote la semaine prochaine.

    Cela fera de la Suisse le seul pays au monde qui aura pu voter deux fois en 2021 sur le sujet le plus important du moment.

    On entend parfois, qu’il est trop facile de voter deux fois sur le même sujet. Sauf que ça arrive tout le temps. Le dernier exemple en date est le mariage pour tous, qui a fait l’objet de plusieurs votations successives à plusieurs années d’intervalle, avant d’être finalement approuvé par votation populaire. De même que le Conseil Fédéral peut prolonger les mesures anti-covid, les citoyens réunis en association peuvent renouveler leur contestation de ces mêmes lois. On verra après le vote si les citoyens auront apprécié ou pas. Les sondages semblent indiquer que le référendum sera rejeté avec une forte majorité.

    ET EN FRANCE ?

    À l’opposé, en France, le gouvernement peut prolonger l’état d’urgence en une « période transitoire de sortie d’urgence » (sic). L’Assemblée nationale suit docilement. Le Sénat est tout juste bon à tenter d’édulcorer la loi ; par exemple en limitant l’état d’urgence jusque mi-novembre au lieu de fin décembre – on voit bien combien cela a servi, il est maintenant prolongé jusqu’au 31 juillet 2022 !

    Le peuple français, lui, n’est pas consulté et n’a aucun moyen de faire pression, si ce n’est par le vote cérémoniel quinquennal pour la présidence de la République, ou à travers des manifestations qui ne servent à rien au final.

    Quel système est le meilleur ? Le français ou le suisse ? On pourra arguer que cela dépend de la culture et de la maturité politique de chacun des deux pays. Quoi qu’il en soit, la Suisse, qui est décidément très mûre en termes de pratique de la démocratie, aurait tort de s’en priver. La France pourrait bien essayer de s’inspirer, au moins en partie, de son sage voisin helvétique.

    https://www.contrepoints.org/2021/11/22/414362-pourquoi-peut-on-voter-sur-la-loi-covid-en-suisse-mais-pas-en-france

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    1. LE naufrage complet du journalisme ! Jean-Baptiste Vigouroux parle de la Suisse (qui votera dimanche 28) sans connaître ou feint de ne pas.
      La Démocratie c'est; Pas le Peuple, Pour le Peuple.
      C'est-à-dire que c'est LE PEUPLE qui dirige. LE Peuple qui propose SES lois et vote SES lois !

      Dans les dictatures c'est le contraire. C'est: Le Peuple doit fermer sa gueule ! Ce sont les députés/sénateurs (les tuteurs) qui imaginent/proposent leurs lois (sans demander l'avis du Peuple) et votent leurs lois !!!
      Les élections sont truquées depuis 10 000 ans et ce sont toujours les mêmes cons qui dirigent quoique en dise la dite 'opposition' qui - lorsqu'elle est au pouvoir - ... FAIT LA MÊME CHOSE !! Ça alors !! HAHAHAHA!
      Donc, ne vous attendez surtout pas à ce que les candidates ou candidats à la présidentielle de 2022 (qui se disent d''opposition') vous proposent de passer de la république à la Démocratie !! HAHAHAHA !

      A savoir aussi que sur notre planète il n'y a qu'UN SEUL pays en Démocratie !!! La Suisse.
      La cheffe d’État ou le chef d’État est élu chaque année et est au 'pouvoir' du 1er Janvier au 31 Décembre. C'est un fonctionnaire comme les autres qui marche dans la rue, roule à bicyclette ou avec sa voiture perso, habite chez lui (et non dans un 'palais'), on peut le rencontrer tous les jours, lui faire part de ses souhaits. Lui (ou elle) ne peut rien faire ! Faut demander chaque fois l'avis du Peuple suisse !

      (...) Quel système est le meilleur ? Le français ou le suisse ? On pourra arguer que cela dépend de la culture et de la maturité politique de chacun des deux pays. (...)

      Dans une dictature (monarchique, républicaine ou impériale) le Peuple, les 'sujets' ou moutons sont considérés comme la basse-classe, les inférieurs, les trisomiques, les cons, les français quoi !
      C'est pourquoi même si le Peuple manifeste... il ne demandera JAMAIS ! la Démocratie !!
      Même les syndicats (qui se disent de protéger les moutons) crient tous "VIVE LA DICTATURE !"
      HAHAHAHA !

      La Suisse c'est pas Bruxelles ! 'Traité Maastricht Barcelone' !! HAHAHA !

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  36. Électrosensibilité, la maladie imaginaire du XXIe siècle

    Les compteurs électriques Linky dans le collimateur de la justice française.
    Rappel : l’électrosensibilité n’est pas une maladie. C’est une manifestation psychique.


    Par Patrick Leforges
    22 NOVEMBRE 2021


    En France, l’hypersensibilité aux ondes magnétiques n’est pas une maladie. Pourtant, les recours en tout genre fleurissent pour voir sanctionner la présence d’antennes-relais ou de boîtiers électriques communicants, prétendument nocifs. En réalité, c’est bel et bien la réalisation du progrès technologique que l’on empêche.

    Il ne faut pas confondre précaution et inertie. Si la première peut être nécessaire dans certains cas, l’invoquer à outrance mène souvent à l’immobilisme et en termes technologiques, à l’absence de progrès. L’inertie ainsi provoquée et entretenue devient in fine préjudiciable à la croissance économique. En France, des associations ont fait du principe de précaution leur cheval de bataille pour descendre en flèche toute avancée technologique. Leur dernière arme : l’électrosensibilité.

    L’ÉLECTROSENSIBILITÉ N’EST PAS RECONNUE COMME MALADIE EN TANT QUE TELLE

    Wifi, antennes-relais, appareils électromagnétiques : aucun n’échappe aujourd’hui aux cris d’orfraie des prétendus défenseurs d’une humanité vidée de toute technologie, alléguant à tout-va l’hypersensibilité aux ondes des individus pour contrecarrer la moindre avancée « scientifique ». En août dernier, l’affaire avait fait grand bruit : la justice française a reconnu pour la première fois l’existence d’un handicap grave dû à l’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques. Étienne Cendrier, le porte-parole de l’association Robins des toits, chef de file de ces groupements anti-progrès qui existent en France, s’était félicité de cette reconnaissance, estimant même que le jugement allait « faire jurisprudence » et être suivi par d’autres juges.

    Deux précisions cependant.

    Premièrement, aujourd’hui l’état de la médecine n’est pas net : cette hypersensibilité aux ondes électromagnétiques n’est pas répertoriée en tant que maladie, et les experts ne sont pas tous d’accord pour lui attribuer ce statut. Même l’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime qu’il n’existe aucun critère diagnostique clair ni de base scientifique qui permettent de relier les symptômes à une exposition aux champs électromagnétiques. D’ailleurs, en guise de symptômes, l’institution onusienne est loin d’être limpide : l’électrosensibilité, selon elle, serait « caractérisée par divers symptômes non spécifiques qui diffèrent d’un individu à l’autre » mais qui « ont une réalité certaine et peuvent être de gravité très variable. » Pour la clarté, nous repasserons plus tard.

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  37. Deuxièmement, il convient de relativiser les propos d’Étienne Cendrier, lorsqu’il affirme que le jugement va faire jurisprudence. Le développement de ce second point est très juridico-juridique, mais il n’est pas sans intérêt. L’affaire, qui s’est soldée en août dernier par la reconnaissance d’un handicap dû à l’électrosensibilité, a été portée devant le tribunal du contentieux de l’incapacité, soit un tribunal composé de médecins certes, mais aussi de travailleurs salariés et de fonctionnaires de la Sécurité sociale. Un peu maigre pour espérer que le jugement fasse date : toute avancée juridique majeure est le fruit d’un arrêt de la Cour de cassation, juge suprême de l’ordre juridictionnel privé, seule habilitée à juger en droit – et non en fait. D’autant plus que dans l’affaire qui nous intéresse, l’assurance maladie a fait appel, ce qui n’exclut pas une révision du jugement.

    L’ÉLECTROSENSIBILITÉ : UNE MANIFESTATION DU PSYCHISME AVANT TOUT

    De plus en plus invoquée, à l’aveuglette pour l’instant, l’hypersensibilité aux ondes pourrait être qualifiée de « maladie du XXIe siècle » – ou, plus précisément, de « maladie imaginaire du XXIe siècle ». Certaines personnes n’hésitent pas à profiter de l’effet d’aubaine des affaires ultra-médiatisées, comme la précédente, pour se plaindre à leur tour de souffrances dues à la présence d’ondes électromagnétiques. Problème : ces mêmes personnes sont rarement capables de déterminer quand elles sont effectivement exposées à de telles ondes, et quand elles ne le sont pas. Le danger est dès lors bien réel : voir les cas d’hypersensibilité croître de manière surprenante et, partant, les financements publics afférents– pour soi-disant aider et accompagner les Argan dans leur comédie.

    En 2014, le Conseil général de l’Essonne avait par exemple accordé une aide financière à une personne déclarée électrosensible, qui n’avait pu obtenir le statut lié à la maladie professionnelle. Ladite personne avait ainsi pu acquérir des dispositifs anti-ondes qui étaient supposés l’aider à surmonter ce « mal ». Sauf que l’Académie nationale de médecine s’était élevée contre la mesure :

    Aucune étude ne montre que l’électrohypersensibilité est due aux ondes magnétiques […] Les études réalisées suggèrent un effet nocebo et des facteurs neuro-psychiques individuels.

    Autrement dit, dans le cas des antennes-relais, l’apparition de troubles chez certaines personnes ne serait pas causée par l’électromagnétisme des ondes, mais par l’effet psychologique résultant de la seule présence de ces antennes.

    Aujourd’hui, en France, une campagne médiatique bat son plein autour des smart grids : les nouveaux réseaux électriques intelligents font peur, comme les téléphones portables autrefois. L’exemple le plus criant d’une avancée technologique qui fait face au lobbying précautionneux des Robins des toits et consorts : le boitier électrique Linky. Installé par ERDF d’ici la fin de l’année dans les premiers foyers tricolores, le compteur communicant, qui permettra une gestion à distance de leur consommation électrique – et, in fine, une moindre déperdition d’énergie –, a pourtant obtenu ses lettres de noblesse.

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  38. Le ministère de l’Écologie annonçait dans une réponse écrite du 16 septembre 2014 :

    Une expertise menée par le CRIIREM a confirmé qu’il n’y avait pas de risque sanitaire aigu à craindre en lien avec l’exposition aux rayonnements extrêmement et très basses fréquences, radiofréquences et hyperfréquences du boîtier.[…] Il apparaît ainsi que le niveau d’ondes électromagnétiques générées par Linky est conforme à la réglementation en vigueur et qu’il n’y a donc pas de risque sanitaire attaché à l’utilisation de ce compteur.

    Avec une puissance électrique d’à peine 2 watts, Linky émettrait moins d’ondes électromagnétiques qu’un radio-réveil…

    Avec la multiplication des appareils domestiques, mais pas seulement, usant de l’électronique, nul doute que les chantres de l’anti-progrès ont de beaux jours devant eux. Vu les multiples possibilités offertes par ces avancées technologiques, celles qui ne contreviennent aucunement à la santé des particuliers donc, il convient pourtant de leur rappeler de ne pas confondre précaution et inertie.


    Article paru initialement en novembre 2015

    https://www.contrepoints.org/2021/11/22/227498-electrosensibilite-la-maladie-imaginaire-du-xxieme-siecle

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    1. L’électrohypersensibilité n'est pas une maladie au plein sens du terme mais peut et est susceptible de l'apporter. Çà c'est du Tesla. Çà c'est du HAARP, c'est de la Haute Technologie Scalaire qui permet - depuis satellites - de repérer les sous-marins 'planqués dans les profondeurs', les nappes de pétroles au fond des mers & océans (Longueur, largeur, épaisseur, profondeur, composition, pression, degré, etc, etc !).
      Les ondes permettent aussi de faire pleuvoir, de créer ou de renforcer des vents, de faire des tremblements de terre, des zones de sécheresse, et aussi de transporter des messages comme ils sont fait aussi par fibre optique. Par satellite ou par fibre optique peuvent donc voyager les ondes et demain, même sans téléphone, les personnes qui se sont faites inoculées profond (une, deux, trois fois et en redemandent !!) ont des milliards de milliards de nano-particules d'oxyde de graphène dans leur corps !!!! Et, l'oxyde de graphène est UN POISON MORTEL VIOLENT ! Et, quand toutes les antennes-relais pour la 5G seront implantées, elles émettront LE signal. Et tous les piqués seront morts.

      https://rudy2.wordpress.com

      https://educate-yourself.org/mc/

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  39. LE MOT DE PASSE LE PLUS UTILISÉ EN FRANCE EN 2021 EST... TOUJOURS LE MÊME


    par PAOLO GAROSCIO
    22/11/2021


    Le piratage en France coûterait plus de 1 milliard d'euros.

    Les Français et les mots de passe, ce n’est pas une histoire d’amour. Du moins, ce ne sont pas que les Français qui sont dans ce cas : chaque année, les spécialistes de la sécurité informatique alertent sur l’utilisation massive de mots de passe beaucoup trop simples qui ouvrent les portes à des piratages… mais d’année en année, le classement des mots de passe les plus utilisés n’évolue que très peu.
    « 123456 » est encore et toujours le mot de passe le plus utilisé du monde

    Chaque année, c’est la même histoire : lorsque les spécialistes de la cybersécurité dévoilent le classement des mots de passe les plus utilisés, la palme est toujours remportée par l’éternel « 123456 ». Comme le souligne NordPass, dans son classement repéré par Numerama, « 123456 » est le mot de passe le plus utilisé du monde : 103.170.552 occurrences.

    Il est le mot de passe le plus utilisé de France aussi, avec près de 2,2 millions d’utilisations. Et les suivants ne sont guère mieux : « 123456789 » arrive en deuxième position dans l’Hexagone, « azerty » en troisième. Or, selon NordPass, un pirate informatique va mettre moins d’une seconde à trouver ce mot de passe et donc à perpétrer le piratage.

    Mention spéciale pour « tiffany » et « marseille », relativement sécurisés

    Dans le Top 20 mondial des mots de passe les plus utilisé selon NordPass, on retrouve les classiques « password », « 1234567890 », « 000000 », « abc123 »… aucun mot de passe du top 20 mondial ne nécessite plus de 2 secondes pour être cracké, ce qui est un véritable problème.

    Mais la France fait un peu mieux. Si la grande majorité des mots de passe les plus utilisés sont trouvable en moins d’une seconde, on trouve en 6e position « tiffany » qui nécessite 17 minutes, selon NordPass, pour être cracké… et en 10e position des mots de passe les plus utilisés en France, « marseille » pour lequel un pirate devra travailler 1 jour.

    http://www.economiematin.fr/news-mot-passe-securise-classement-france-piratage

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  40. "Nous n'abandonnerons jamais" - Des manifestations éclatent à travers le monde contre la tyrannie du gouvernement COVID


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 21 NOV 2021 - 11:09


    AP News les appelle "d'extrême droite", mais des dizaines de milliers de personnes épris de liberté ont défilé contre de nouvelles mesures de santé publique tyranniques, telles que des verrouillages partiels et complets, des passeports de santé et des vaccinations obligatoires, à travers l'Europe.

    Des manifestations contre de nouvelles restrictions de virus ont été observées en Autriche, en Croatie, en Italie, en Irlande du Nord, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne et aux Pays-Bas. En dehors de l'Europe, des manifestants ont été aperçus dans plusieurs villes du Canada, d'Australie, du Japon et même des États-Unis. Certains ont marqué samedi dans le cadre d'un rassemblement pour la "liberté mondiale" pour protester contre les restrictions COVID-19 et les mandats de vaccination.

    Certains des rassemblements les plus intenses, qui se sont transformés en émeutes, ont eu lieu dans la ville portuaire de Rotterdam. Les affrontements entre manifestants et policiers ont commencé vendredi et se sont poursuivis jusqu'à samedi soir.

    À environ 30 minutes de là, les manifestations se sont transformées en émeutes à La Haye.

    Les manifestants de nombreuses villes européennes ont partagé des points communs alors qu'ils marchaient pour préserver leur vie et leur liberté. Les gouvernements tentent de piller cela via des restrictions COVID accrues, des passeports de santé obligatoires et des vaccinations forcées.

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  41. La pire des restrictions, ou plutôt le pillage des libertés par le gouvernement, a eu lieu en Autriche, où les fermetures complètes commencent lundi. Les blocages à l'échelle nationale sont attendus pendant au moins dix jours, mais peuvent être prolongés à plus de deux semaines. Puis, d'ici le 1er février, le gouvernement rendra les vaccinations obligatoires (seulement 66 % des 8,9 millions d'Autrichiens sont complètement vaccinés). Bonne chance avec celui-là.

    Lors de la marche de samedi sur l'immense place Heldenplatz de Vienne, de nombreuses personnes ont scandé « Mon corps, mon choix », « Nous défendons nos enfants ! » et « Résistance !

    L'une des plus grandes manifestations a peut-être eu lieu à Zagreb, la capitale du nord-ouest de la Croatie, où Citizen Free Press rapporte jusqu'à 100 000 rues inondées pour protester contre les passeports sanitaires du gouvernement et les nouvelles mesures COVID.

    À Rome, des milliers de manifestants se sont rassemblés dans le Circus Maximus de la capitale pour protester contre les certificats « Green Pass » requis sur les lieux de travail, les restaurants, les cinémas, les théâtres, les sites sportifs et les gymnases, ainsi que pour les transports en commun.

    "Les gens comme nous n'abandonnent jamais", pouvait-on lire sur la pancarte d'un manifestant.

    Le recul contre le totalitarisme s'étend à toute l'Europe. Habituellement, "les Européens sont généralement plus conformes que les Américains en ce qui concerne les ordres du gouvernement. Mais même là, les citoyens protestent contre les gouvernements qui prennent le pouvoir au nom de la santé publique", a déclaré Thomas Lifson d'American Thinker.

    Les gens du monde s'éveillent à la tyrannie du gouvernement qui pille leur vie et leurs libertés alors que l'Homme de Davos, les élites mondiales et leurs fantoches politiques deviennent plus défavorables que jamais. Le mécontentement croissant parmi les citoyens et leurs gouvernements respectifs est dangereux - c'est ainsi que les révolutions commencent.

    https://www.zerohedge.com/political/well-never-give-protests-erupt-across-europe-over-govt-covid-tyranny

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