- ENTREE de SECOURS -



mardi 20 octobre 2020

Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)

 par Tyler Durden

Dim, 18/10/2020 - 08:45


Dernièrement, les plus grandes menaces du monde ont été de taille microscopique.

De la pandémie mondiale de COVID-19 aux incendies de forêt qui ravagent la côte ouest des États-Unis, il semble que nos poumons ne puissent pas prendre une pause, ou plus exactement, un souffle.

Mais, comme le demande Carmen Ang de Visual Capitalist, quelle est la taille des particules que nous combattons actuellement? Et comment leur taille se compare-t-elle à d'autres petites molécules?

Les taches sont trop petites pour être vues

Bien que le coronavirus à l'origine du COVID-19 soit de taille relativement petite, ce n'est pas la plus petite particule virale du marché.

Le virus Zika et le bactériophage T4 - responsables d'E. Coli - ne représentent qu'une fraction de la taille, bien qu'ils n'aient pas presque fait autant de morts que le COVID-19 à ce jour.

Les particules de coronavirus sont plus petites que les globules rouges ou blancs, cependant, une seule cellule sanguine est toujours pratiquement invisible à l'œil nu. Pour l'échelle, nous avons également ajouté un seul cheveu humain en tant que référence dans la partie supérieure de la gamme de tailles.

AVEC ou SANS masque vous respirez:

Zika virus:::::::::::::::::::::::::::: 0,045 µ
T4 Bactériophage::::::::::::::::: 0,225 µ
Coronavirus:::::::::::::::::::::::: 0,1 µ à 0,5 micron
Fumée de feu de forêt::::::::::: 0,4 à 0,7 µ
Bactérie (microbe)::::::::::::::: 1 à 3 microns
Particule de poussière (PM 2.5): 2,5 microns

Les masques (FFP2 et N95 3 µ) empêchent ces nano-particules de pénétrer:

Gouttelette respiratoire:::::::::: 5 à 10 µ
Globule rouge::::::::::::::::::::::7 à 8 µ
Particule de poussière (PM 10):: 10 µ
Grain de pollen::::::::::::::::::: 15 µ
Globule blanc::::::::::::::::::::: 25 µ
VISIBLES A L'ŒIL NU:
Grain de sel:::::::::::::::::::::::: 60 µ
Sable fin de plage:::::::::::::::::90 µ
Cheveu humain::::::::::::::::::: 50 à 180 µ

À l'autre extrémité du spectre, le pollen, le sel et le sable sont nettement plus gros que les virus ou les bactéries. En raison de leur taille relative plus élevée, notre corps est généralement capable de les bloquer - une particule doit être inférieure à 10 microns avant de pouvoir être inhalée dans vos voies respiratoires.

Pour cette raison, le pollen ou le sable sont généralement piégés dans le nez et la gorge avant d'entrer dans nos poumons. Les particules plus petites, cependant, peuvent se glisser plus facilement.

Smoky Skies: Pollution atmosphérique et incendies de forêt

Bien que le virus responsable du COVID-19 soit certainement la particule la plus d'actualité à l'heure actuelle, ce n'est pas la seule tache qui pose un risque pour la santé. La pollution atmosphérique est l’une des principales causes de décès dans le monde - elle est en fait plus mortelle que le tabagisme, le paludisme ou le sida.

Les particules, qui peuvent contenir des particules de poussière, de saleté, de suie et de fumée, constituent une source majeure de pollution atmosphérique. D'une moyenne d'environ 2,5 microns, ces particules peuvent souvent pénétrer dans les poumons humains.

À juste une fraction de la taille entre 0,4-0,7 microns, la fumée des feux de forêt pose encore plus de risques pour la santé. La recherche a également lié les expositions aux feux de forêt non seulement à des problèmes respiratoires, mais aussi à des problèmes cardiovasculaires et neurologiques.

Voici une carte animée de Flowing Data, montrant comment les choses se sont réchauffées pendant la haute saison des feux de forêt entre août et septembre 2020:

- voir clip sur site -

Quelle est la principale chose à retenir de tout cela?

Il existe de nombreux types de taches plus petites que l'œil ne peut voir, et il vaut la peine de savoir comment elles peuvent avoir un impact sur la santé humaine.

https://www.zerohedge.com/medical/visualizing-relative-size-particles-covid-19

50 commentaires:

  1. Une mise à jour de Windows 10 fait tomber l'ordinateur en panne


    21:54 19.10.2020
    Par Julia Belyakova


    Différents utilisateurs ont découvert qu’à l’installation de nouvelles mises à jour de Windows 10, ou parfois à une étape de son téléchargement, l’ordinateur tombe en panne, présentant l'écran bleu qui apparaît sous Windows après une erreur système, avertit le portail TechRadar.

    Des mises à jour d'octobre pour les ordinateurs utilisant le système d’exploitation Windows 10 ont déclenché diverses erreurs menant notamment au fameux écran bleu, relate le portail TechRadar.

    Il s'agit des mises à jour KB4579311 et KB4577671, que Microsoft a commencé à mettre en œuvre depuis le 13 octobre. Elles ont été élaborées par l’entreprise pour corriger des failles précédentes.

    Les utilisateurs lançant une mise à jour ont obtenu des messages d'erreur. Les tentatives de la télécharger de nouveau n'ont pas fonctionné.

    Des erreurs

    Certains utilisateurs n’ont eu que des messages d'erreur au moment de la mise à jour, alors que d’autres, qui ont réussi à installer le téléchargement, ont rencontré divers soucis, allantde problèmes de son à l’échec complet du système qui s’est alors manifesté par l'écran bleu qui apparaît sous Windows dans ce genre de cas.

    Microsoft ne recommande pas d'installer maintenant ces mises à jour et promet d’enquêter sur les raisons de cette défaillance.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202010191044602618-une-mise-a-jour-de-windows-10-fait-tomber-lordinateur-en-panne/

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    Réponses

    1. Y a t-il encore quelqu'un qui utilise du W10 ??!
      Aujourd'hui, on passe à Linux. Zéro virus (Meilleur que le N95 ? Hahaha !).

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  2. Un spécialiste explique comment les pirates peuvent accéder à la caméra d’un smartphone


    09:42 20.10.2020
    Par Nikita Martynov


    La caméra du smartphone peut être piratée par des hackers qui prennent ensuite des photos pour faire chanter le propriétaire de l’appareil, a indiqué à l'agence Prime un spécialiste. Selon lui, ils y accèdent via des programmes malveillants contenus dans des applications semblant inoffensives comme un agenda ou une lanterne.

    Quasiment le seul cas dans lequel quelqu'un d'autre que le propriétaire d'un téléphone pourra accéder à la caméra, c’est celui d'un logiciel malveillant, a déclaré à l'agence Prime Anton Koukanov, responsable du centre d'expertise numérique de l'agence publique russe chargée du contrôle de la qualité des produits.

    «La probabilité que la caméra de votre smartphone intéresse les entreprises de matériel informatique ou des applications comme Instagram est proche de zéro. Une application ayant l’air inoffensif (par exemple, un agenda ou une lanterne), qui s’avère en fait être un malware déguisé, est plus susceptible d'être espionne», explique le spécialiste.

    En ayant accès à la caméra des smartphones, les hackers peuvent prendre des photos et faire chanter le propriétaire de l’appareil.

    Des conseils à respecter

    Il note que ces programmes malveillants sont disponibles même sur les stores officiels, c’est pourquoi il recommande à l’avance d’examiner attentivement la note de l'application, les demandes d’autorisation et les commentaires des utilisateurs.

    En outre, il conseille de consulter les paramètres pour voir les applications qui ont accès aux fonctions intéressées et de garder constamment un antivirus actif et mis à jour sur le téléphone pour ne pas être victime des hackers.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202010201044603412-un-specialiste-explique-comment-les-pirates-peuvent-acceder-a-la-camera-dun-smartphone-/

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  3. Récupérer Internet: mettre fin à la suppression de la «fenêtre d'Overton» sur les réseaux sociaux


    par Tyler Durden
    Lun, 19/10/2020 - 14:40
    Rédigé par Craig Murray,


    Peu importe à quel point vous n'aimez pas Trump, seul un imbécile peut ne pas voir les implications pour l'accès public aux informations de la suppression massive sur Internet des fuites de Hunter Biden.

    Ce blog souffre depuis des années d'une répression des réseaux sociaux qui a atteint son apogée dans ma couverture du procès de Julian Assange. Comme je l'ai signalé le 24 septembre:

    Même mon blog n'a jamais été aussi systématiquement soumis au shadowbanning de Twitter et Facebook que maintenant. Normalement, environ 50% de mes lecteurs de blog arrivent de Twitter et 40% de Facebook. Au cours de l'essai, 3% de Twitter et 9% de Facebook. C'est une baisse de 90% à 12%. Lors des audiences de février, Facebook et Twitter m'ont envoyé plus de 200 000 lecteurs par jour. Maintenant, ils m'envoient entre eux 3 000 lecteurs par jour. Pour être clair, c'est beaucoup moins que mon trafic quotidien normal de leur part juste en temps ordinaire. C’est la nature insidieuse de cette censure qui est particulièrement sinistre - les gens croient qu’ils ont partagé avec succès mes articles sur Twitter et Facebook, tandis que ces entreprises leur cachent qu’en fait cela n’est entré dans la chronologie de personne. Ma propre famille n'a reçu ses notifications de mes publications sur aucune des plateformes.

    Ce n'était pas que moi: tous ceux qui ont rapporté le procès Assange sur les réseaux sociaux ont subi le même effet. Wikileaks, qui compte 5,6 millions de followers sur Twitter, obtenait à peu près le même nombre «d'impressions» Twitter de leurs tweets (c'est-à-dire le nombre de ceux qui les ont vus) que moi. J'ai parlé avec plusieurs des principaux sites d'information indépendants américains et ils ont tous rapporté la même chose.

    J'ai déjà écrit sur le grand danger pour la liberté d'Internet du fait que quelques sociétés de médias sociaux massivement dominantes - Facebook, Twitter, Instagram - sont devenues en fait les «gardiens» du trafic Internet. Dans les affaires Assange et Hunter Biden, nous voyons peut-être la première utilisation manifeste de ce pouvoir coordonné pour contrôler l'information publique dans le monde entier.

    La manière dont le pouvoir des «gardiens» est normalement utilisé est insidieuse. Il est volontairement déguisé. «Shadow banning» est un terme pour une technique qui a de nombreuses variantes. Le résultat net est toujours que la publication n'est pas ostensiblement interdite. Certaines personnes le voient, de sorte que si le sujet de la répression prétend être interdit, il a l'air stupide. Mais il est en fait montré à beaucoup moins de gens qu'il ne le serait normalement. Ainsi, même les membres de ma propre famille immédiate trouvent que mes messages n'apparaissent plus dans leur chronologie sur Facebook ou Twitter. Mais quelques adeptes, vraisemblablement au hasard, les voient. En général, mais pas toujours, ces abonnés sont apparemment capables de retweeter ou de partager, mais ce qu’on ne leur dit pas, c’est que leur retweet ou leur partage est en fait placé dans très, très peu de temps. L'audience globale du Tweet ou de la publication Facebook est réduite à aussi peu que 1% de ce qu'elle pourrait être sans suppression. Comme 90% du trafic vers ce blog provient de clics provenant de ces publications sur les réseaux sociaux, l'effet est énorme.

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  4. C'était la technique utilisée lors de l'audience d'Assange. En temps normal, le cliquet sur le trafic peut être vissé ou relâché un peu, de semaine en semaine ou de poste en poste.

    Dans l'affaire Hunter Biden, les médias sociaux sont allés encore plus loin et sans déguisement ont simplement interdit toute mention des fuites de Hunter Biden.

    Comme je l'ai signalé le 27 septembre de l'année dernière:

    Ce que je trouve profondément répréhensible dans toute la couverture de la BBC, c'est leur incapacité à rapporter les faits de l'affaire et leur manque total de curiosité quant aux raisons pour lesquelles le fils de Joe Biden, Hunter, a été payé 60000 dollars par mois par Burisma, le plus grand producteur de gaz naturel d'Ukraine, en tant que société entièrement directeur non exécutif absent, alors qu'il n'avait aucune expérience pertinente en Ukraine ou dans le gaz, et très peu d'expérience en affaires, après avoir été renvoyé de manière déshonorante de la Réserve navale pour usage de crack? Cette question n'est-elle pas seulement un peu intéressante? C'est peut-être la fin - en 2014-2015, Hunter Biden a reçu 850000 USD de la société intermédiaire qui achemine les paiements. En signalant que Trump est potentiellement destitué pour avoir posé des questions à ce sujet, ne vous attendez-vous pas à une analyse - ou du moins à une mention - de ce qu'il demandait?

    Que Hunter Biden ait reçu autant d'argent d'une entreprise qu'il n'a jamais visitée ou pour laquelle il n'a jamais fait de travail légitime, située dans un pays qui s'est remarquablement lancé dans une guerre civile parrainée par les États-Unis alors que son père était vice-président, est une question qui pourrait intéresser raisonnablement les gens. Ce ne sont pas des «fausses nouvelles». Il n'y a aucun doute sur les faits. Là

    Il ne fait aucun doute non plus qu'en tant que vice-président des États-Unis, Joe Biden a obtenu le limogeage du procureur ukrainien qui enquêtait sur Burisma pour corruption.

    L'histoire est maintenant que Hunter Biden a abandonné un ordinateur portable dans un atelier de réparation et que le disque dur contenait des courriels entre Hunter et Burisma dans lesquels il lui avait été demandé et promis une aide variée à la société de la part du vice-président. Ce disque dur a été transmis au New York Post. Ce que les e-mails n'incluent pas, c'est toute correspondance incriminante entre Hunter et son père dans laquelle Joe Biden accepte tout cela - ce qui témoigne de leur authenticité, car ce serait la chose clé à forger. Étant donné que le disque dur contient également des photos et des vidéos intimes, il ne semble pas y avoir de réel doute sur son authenticité.

    Cependant, Facebook et Twitter ont giflé une interdiction immédiate et totale de toute mention des e-mails de Hunter Biden, affirmant des doutes quant à son authenticité et une affirmation étonnante selon laquelle ils ne renvoient jamais à du matériel ou à des informations divulgués.

    Les lecteurs avertis noteront que cette politique n’a pas été appliquée aux déclarations de revenus de Donald Trump. Celles-ci ont été extrêmement largement diffusées dans les médias sociaux et grand public - et tout à fait raison aussi - bien qu'elles aient été illégalement divulguées. Twitter tente peut-être de faire la distinction entre un «piratage» et une «fuite». C'est difficile à faire - les courriels de Clinton et de Podesta, par exemple, ont été divulgués, mais sont souvent prétendus avoir été piratés.

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  5. Je suis étonné par le commentaire en ligne de personnes qui se considèrent comme des «libéraux» qui soutiennent la suppression des médias sociaux de l'histoire de Hunter Biden, parce qu'ils veulent que Trump soit vaincu. La vérité est que ceux qui contrôlent la censure des réseaux sociaux sont majoritairement des personnalités atlantistes de l'échiquier politique Clinton / Blair. Cela englobe les rôles de Nick Clegg et Ben Nimmo sur Facebook. Cela explique l'attitude protectrice du patron blairite de Wikipedia, Jimmy Wales (également directeur du Guardian Media Group) à l'égard de l'opération Philip Cross.

    La censure du centre auto-satisfait de l'establishment politique est encore plus dangereuse, car plus stable, que la censure de la gauche ou de la droite. Il cherche rigoureusement à appliquer la «fenêtre Overton» sur les réseaux sociaux. Il a une attitude «tout ce qu'il faut» pour faire entrer Joe Biden à la Maison Blanche et retirer un élément non-conformiste de la stabilité politique qu'il attache tant. Sa haine de la connaissance publique est à l'origine de la persécution d'Assange.

    Le problème de l'establishment est que les inégalités de richesse sont maintenant si extrêmes dans la société occidentale, que la tentative de suppression de l'accès du public à la pensée radicale ne protège pas une société stable, mais protège une société penchant vers l'instabilité structurelle, dans laquelle le manque de la sécurité de l'emploi et des conditions de travail décentes et un salaire pour de larges pans de la population contrastent vivement avec les fortunes spectaculairement florissantes des ultra milliardaires. Notre société a désespérément besoin de sortir des sentiers battus dans lesquels les gardiens des médias sociaux tentent de nous enfermer.

    Une première partie de cette réflexion hors des sentiers battus doit se rapporter à l'architecture d'Internet et trouver un moyen de contourner les gardiens des médias sociaux - non pas par quelques activistes, mais par le gros de la population. Nous avions l'habitude de dire qu'Internet trouvera toujours une solution de contournement, et il y a des optimistes qui croient que le type de censure que nous avons vu sur Hunter Biden conduira à un vol vers des plates-formes alternatives, mais je ne vois pas cela se produire à l'échelle. obligatoire. La réglementation pour empêcher la censure est improbable - les gouvernements sont beaucoup plus intéressés par une réglementation pour imposer plus de censure.

    Le développement du contrôle du trafic Internet par les médias sociaux est l'un des principaux problèmes socio-politiques de notre temps. Nous avons besoin que les fondateurs originaux d'Internet se réunissent avec des personnalités comme Richard Stallman et - de manière vitale - Julian Assange - pour trouver un moyen de nous en sortir. Il y a dix ans, je n'aurais pas pensé que l'internet risquait de devenir une méthode de contrôle politique, pas de liberté politique. Je crains maintenant qu'il ne soit trop tard pour éviter le danger.

    https://www.zerohedge.com/technology/reclaim-internet-end-social-medias-overton-window-suppression

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  6. La monnaie numérique de la banque centrale, un outil de croissance ou de répression financière ?


    par Tyler Durden
    Mar, 10/20/2020 - 05:00
    Rédigé par Daniel Lacalle via DLacalle.com,


    Les principales banques centrales ont discuté de l'idée de mettre en place une monnaie numérique. Le raisonnement derrière cela échappe à de nombreux citoyens. La plupart des transactions dans les principales devises mondiales sont effectuées numériquement et on pourrait dire que les devises les plus importantes et les plus échangées, le dollar américain, l'euro, le yen, la livre sterling, le franc suisse et le yuan fonctionnent déjà comme de la monnaie principalement numérique. Alors, que disent les banques centrales lorsqu'elles parlent d'une nouvelle et différente monnaie numérique? Il s'agit essentiellement d'une autre étape dans l'effort de se débarrasser progressivement des monnaies physiques, avec une idée de renforcer le contrôle des paiements et de simplifier le suivi de l'utilisation d'un moyen de paiement particulier. Il vise également à concurrencer les crypto-monnaies mondiales. La plupart diront que les raisons derrière l'idée d'une monnaie numérique de banque centrale sont l'efficacité et l'amélioration du mécanisme de transmission de la politique monétaire.

    Allons-y point par point. Lorsque les banques centrales disent vouloir améliorer le mécanisme de transmission de la politique monétaire, nombre de leurs messages reposent sur un diagnostic erroné: qu'il y a un excès d'épargne qui doit être maîtrisé. Les banques centrales mettent en œuvre des taux négatifs pour essayer d'inciter les épargnants à prendre plus de risques, à dépenser et à investir davantage comme si la raison pour laquelle ils ne dépensent pas ou n'investissent pas autant que les banques centrales le souhaiteraient était le taux d'intérêt et non le défi auquel les ménages et les entreprises sont confrontés dans un environnement économique incertain. Les citoyens n'épargnent pas parce qu'ils sont stupides ou ignorants, mais au contraire, parce qu'ils comprennent que l'environnement économique est difficile et que les opportunités d'investissement intéressantes sont rares. Cela ne veut pas dire que les entreprises et les citoyens ne dépensent pas et n'investissent pas, ils le font beaucoup. Mais les banques centrales et les gouvernements attribuent une responsabilité totalement erronée et erronée à l'épargne.

    Une économie solide repose sur l'épargne et des investissements prudents, et non sur la dette et le malinvestissement. Par conséquent, il est faux de baisser continuellement les tarifs et d'attaquer les économies. L'économie ne s'améliore pas en la rendant plus fragile et endettée, bien au contraire.

    L'autre point est la soi-disant efficacité. Les banques centrales semblent vouloir à tout prix dépenser et contrôler les transactions monétaires. L'émission d'une monnaie numérique de banque centrale n'est pas plus efficace. C'est un autre moyen de répression financière. Si les taux négatifs ne fonctionnent pas comme un moyen de forcer les agents économiques à dépenser encore plus, semblent-ils penser, alors les taux négatifs et la dissolution de la monnaie via une augmentation encore plus élevée de l'offre de monnaie avec une monnaie numérique devraient faire l'affaire.

    Le problème est que cela ne fonctionne pas non plus. Une monnaie numérique de banque centrale augmentera la perception du risque et ne poussera pas les agents économiques à dépenser ou investir davantage car les problèmes d'endettement, de surcapacité et de malinvestissement ne seront pas limités avec une monnaie numérique, ils seront exacerbés.

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  7. Les banques centrales ne peuvent pas forcer les agents économiques à dépenser et à investir, et encore moins si leurs politiques visent systématiquement à encourager l'endettement et à perpétuer les déséquilibres.

    Le soutien d'une monnaie n'est pas renforcé par une augmentation artificielle constante de la masse monétaire et par la répression juridique ou financière. Les banques centrales ne feront pas de leurs monnaies numériques un succès si les citoyens craignent - comme ils le font - que les décideurs s’efforcent constamment de diluer le pouvoir d’achat de la monnaie, ce qui signifie moins de pouvoir d’achat des salaires et de l’épargne des agents économiques.

    Le processus par lequel tout actif devient une monnaie largement utilisée est le plus démocratique qui soit. Elle ne peut être décidée par les gouvernements et ne peut pas être imposée. Si les gouvernements et les banques centrales poussent à la répression financière et à la dévaluation de leur monnaie, les citoyens passeront à d'autres moyens de paiement qui deviendront de l'argent réel. Les crypto-monnaies ne se sont pas développées à cause de l'idiotie ou des mauvais moyens des gens, mais à cause du manque de confiance dans les monnaies fiduciaires et du désir constant des banques centrales et des gouvernements de détruire la monnaie pour masquer les problèmes structurels.

    C'est pourquoi une monnaie numérique de banque centrale est un oxymore, une contradiction dans les termes. La raison pour laquelle les citoyens ont demandé des crypto-monnaies est précisément parce qu'elles n'étaient pas contrôlées par les banques centrales qui visent constamment à augmenter la masse monétaire et à générer une dépréciation de la monnaie, de l'inflation.

    Les banques centrales devraient défendre le pouvoir d'achat de l'épargne et des salaires, et non pas viser à les éroder. S'ils décident d'utiliser de nouveaux outils pour diluer la richesse, la confiance dans la monnaie nationale s'évaporera. Le fait que cela ne se soit pas encore produit ne signifie pas que cela ne se produira pas tôt ou tard. Lorsque les banques centrales se rendront enfin compte qu'elles sont allées trop loin dans leur politique, il sera trop tard.

    https://www.zerohedge.com/crypto/central-bank-digital-currency-growth-or-financial-repression-tool

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  8. "La peur change de camp" - La France lance une répression sans précédent contre la terreur islamique


    par Tyler Durden
    Mar, 10/20/2020 - 04:15


    Vendredi, un instituteur français du nom de Samuel Paty a été brutalement décapité par un agresseur de 18 ans devant son lieu de travail, un meurtre brutal qui a été confirmé comme une attaque terroriste, peut-être inspiré par une fatwa émise par un religieux français.

    Les autorités françaises ont déterminé tout cela, et plus encore, alors que le président français Emmanuel Macron lance une répression sans précédent contre les réseaux terroristes dans le pays en mettant l'accent sur les organisations «politiques» que les responsables craignent de servir de fronts, ou de passerelles, pour les recrues terroristes complotant des actes de violence . Au cours du week-end, la police a arrêté 11 personnes, dont 4 proches de l'agresseur, Abdoullakh Abouyezidovitch Anzorov, 18 ans, migrant de Tchétchénie vivant en France.

    Anzorov a utilisé le grand couteau pour décapiter l'enseignant, qui a été pris pour cible après que des étudiants se sont plaints de lui avoir montré des dessins de Charlie Hebdo dépeignant prétendument le prophète Mahomet, un acte considéré comme un blasphème dans la religion de l'islam.

    Comme nous l'avons expliqué au cours du week-end, la police examine également quel rôle, le cas échéant, les médias sociaux ont joué dans l'attaque, un parent de l'un des élèves de Paty étant soupçonné d'avoir "doxxing" l'enseignant dans un message Facebook exhortant les parents musulmans à exiger que Paty soit renvoyé de l'école de la banlieue parisienne de Conflans-Sainte-Honorine. Après s'être plaint au directeur, le parent a posté trois vidéos appelant les parents à agir.

    L'attaque a galvanisé les politiciens français de tous les horizons politiques pour exiger que le gouvernement fasse plus, tandis que les centristes et ceux de droite ont attaqué les sensibilités progressistes dont ils craignent d'entraver la capacité de tenir les terroristes responsables. À un moment donné, Macro ressemblait à l'ancien président américain George W. Bush, promettant que la «peur» allait bientôt «changer de camp» alors que la police française chercherait à perturber les cellules terroristes du pays.

    "Les islamistes ne devraient pas pouvoir dormir tranquillement dans notre pays", a déclaré M. Macron après une réunion d'urgence du cabinet à l'Elysée dimanche avec Jean Castex, le Premier ministre, et Jean-François Ricard, le procureur antiterroriste. "La peur va changer de camp."

    Le ministre français de l'Intérieur a déclaré qu'il ferait pression pour l'interdiction de toute "organisation" islamique qui soutiendrait l'établissement de la "charia" en France.

    Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur, a déclaré lundi qu'il proposerait l'interdiction de plusieurs organisations jugées "séparatistes" pour avoir cherché à contourner les institutions laïques de la République française, dont le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), et un groupe d'aide humanitaire appelé BarakaCity.

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  9. "Vous pouvez voir comment l'islam politique se combine avec l'islam radical et conduit ainsi finalement au terrorisme", a déclaré M. Darmanin à la radio Europe 1.

    «Nous devons lutter contre l’islam politique avec la même détermination que nous combattons le terrorisme.» Il a déclaré que 51 organisations seraient inspectées par l'État cette semaine. M. Macron, qui avait déjà annoncé des contrôles plus stricts sur les radicaux islamistes dans un discours de début de mois, est maintenant sous la pression des politiciens de gauche à droite pour adopter une ligne encore plus dure contre les militants.

    Même le cryptocommuniste Jean-Luc Mélenchon ne s'est pas retenu.

    Même Jean-Luc Mélenchon, le chef du parti d'extrême gauche La France Insoumise, lui-même critiqué par la droite comme «islamo-gauche», a condamné le «terrorisme islamiste» et suggéré de cibler la communauté immigrée tchétchène.

    La police semble être sur le point de déterminer le mobile de l'attaque: elle soupçonne qu'un religieux extrémiste français nommé Abdelhakim Sefrioui a émis une «fatwa» contre Paty après avoir visité l'école avec le père d'un élève mentionné ci-dessus. Ces deux hommes font partie des onze qui ont été arrêtés jusqu'à présent dans cette affaire.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/fear-changing-sides-france-launches-unprecedented-crackdown-islamic-terror

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  10. France: Mort à la liberté d'expression


    par Tyler Durden
    Mar, 10/20/2020 - 02:00
    Rédigé par Guy Millière via The Gatestone Institute,


    Paris, 16 octobre. Un professeur d'histoire qui avait montré à ses élèves des caricatures du prophète islamique Mahomet et leur avait parlé de la liberté d'expression a été décapité à Conflans-Sainte-Honorine, une petite ville de la banlieue parisienne. Le meurtrier, qui a tenté d'attaquer la police qui tentait de l'arrêter, a été tué par balle en criant "Allahu Akbar". Selon le procureur de la République, il était un membre de la famille de l'un des étudiants. Les faits se déroulent toujours ...

    Quelques semaines auparavant, le 25 septembre, Zaheer Hassan Mehmood, un Pakistanais de 25 ans, a attaqué et grièvement blessé deux personnes avec un couperet. Lorsqu'il a tenté de s'échapper, il a été arrêté par la police. Il était entré illégalement en France en 2018, avait comparu devant un juge pour demander l'asile et bénéficier du statut de «mineur isolé». L'information qu'il a donnée au juge était fausse: il avait dit qu'il avait 18 ans. Le juge a accepté sa demande et a refusé toute méthode de détermination de son âge réel. Depuis, Mehmood est soutenu financièrement par le gouvernement français. Il lui a donné un logement, une formation et une allocation mensuelle.

    Juste avant l'attaque, Mehmood a posté une vidéo sur un réseau social dans laquelle il tentait de justifier son acte. Il voulait, a-t-il dit, tuer des personnes travaillant pour le magazine satirique Charlie Hebdo parce qu'il avait republié les caricatures qui avaient déclenché l'attaque meurtrière du magazine en janvier 2015. Il voulait, a-t-il dit, venger l'offense faite au prophète Mahomet. . Il a déclaré son allégeance à Ilyas Qadri, fondateur de Dawat-e-Islami, un mouvement soufi qui prétend condamner la violence, même si ses membres ont néanmoins assassiné des personnes qu'ils accusaient de blasphème.

    En septembre, Mehmood s'était rendu à l'ancienne adresse du magazine. Les personnes qu'il a blessées ne travaillaient pas pour Charlie Hebdo, qui avait déménagé depuis longtemps, mais pour une société de production de documentaires. Ils sont maintenant défigurés pour le reste de leur vie.

    L'attaque montre malheureusement que critiquer l'islam reste une activité extrêmement dangereuse. Toute personne même soupçonnée de le faire peut être blessée ou tuée, à tout moment, n'importe où. Cela montre également que l'on peut décider d'attaquer ou de devenir un meurtrier même si l'on n'appartient pas à une organisation définie comme jihadiste, ou ne montre aucun signe de radicalisation. L'attaque confirme une fois de plus l'existence de ce que Daniel Pipes a appelé le «syndrome du jihad soudain».

    L'attaque montre par ailleurs que la France, comme d'autres pays occidentaux, est extrêmement laxiste pour guider ceux qui arrivent sur son sol et demander son aide. Un homme peut mentir sur son âge et son identité sans qu'ils soient détectés et sans contrôles plus stricts. L'attaque montre que se déclarer «mineur isolé» en France peut être suffisant pour ne pas être observé du tout et bénéficier tout de même de toute l'aide du gouvernement. L'attaque suggère également une note décevante pour la gratitude.

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  11. La logique exigerait qu'une défense de la liberté d'expression soit immédiatement et unanimement affirmée; que le gouvernement appelle à la vigilance face au danger extrémiste, qui semble persistant, et que des contrôles plus stricts sur les demandeurs d'asile soient mis en place. Aucune de ces améliorations n'a eu lieu.

    Le 23 septembre, deux jours avant l'attaque de Mehmood, un article prétendant défendre la liberté d'expression a été publié en France par 90 journaux. L'article disait que "des femmes et des hommes de notre pays ont été assassinés par des fanatiques, à cause de leurs opinions ... nous devons unir nos forces", a-t-il ajouté, "pour chasser la peur et faire triompher notre amour indestructible de la liberté". L'article paraissait volontairement vague. Il ne mentionnait pas qui étaient les meurtriers ni ce qui aurait pu les motiver.

    Le lendemain de l'attentat, plusieurs commentateurs ont déclaré qu'en France, l'amour de la liberté n'était pas indestructible. Ils ont prescrit l'autocensure et ont osé - malheureusement "blâmer la victime" - que ceux qui avaient décidé de republier les caricatures étaient les responsables de l'attaque. «Quand vous republiez des dessins animés», a déclaré à la télévision Anne Giudicelli, journaliste, «vous faites le jeu de ces organisations. En ne disant pas certaines choses, vous réduisez les risques».

    La persistance du danger islamique n'a pas été évoquée, sauf par le journaliste Éric Zemmour. Ironiquement, le jour de l'attaque, Zemmour a été condamné à une lourde amende (10 000 euros, près de 12 000 dollars) pour des propos sur l'islam en septembre 2019. Il avait déclaré à l'époque que des «enclaves étrangères musulmanes» existaient en France. Ils font au moins pour 750 d'entre eux. Il a également noté que les attaques au nom de l'islam n'ont pas disparu et semblent susceptibles d'augmenter. La justice française a décidé de considérer ces mots comme une "incitation à la haine".

    Après l'attaque du couperet, personne n'a demandé de renforcer les contrôles sur les demandeurs d'asile, à l'exception, encore une fois, de Zemmour. Il a déclaré que "la présence incontrôlée de mineurs non accompagnés sur le territoire français est un problème très grave" et que "nous ne devons plus accueillir les mineurs non accompagnés en France tant que des contrôles drastiques ne sont pas mis en place". Il a rappelé que de nombreux mineurs non accompagnés autoproclamés mentaient sur leur âge, commettaient des crimes et se révélaient être "des voleurs et des assassins".

    Ses paroles ont immédiatement provoqué un énorme scandale. Même s'il n'a pas dit un mot sur la race ou la religion, des dizaines de plaintes ont été déposées contre lui par des "associations antiracistes", et le ministère français de la Justice a ouvert robotiquement une autre enquête contre lui pour "incitation à la haine raciale" et " Préjugé islamophobe". Il sera très probablement à nouveau condamné par les tribunaux.

    Les faits prouvent cependant que Zemmour a raison. L'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), une organisation qui analyse la criminalité en France, a récemment publié des rapports notant que 60 % des agressions, meurtres et vols avec violence commis en France en 2019 étaient en effet commis par des «mineurs non accompagnés». L'ONDPR a publié une autre étude, révélant qu'en moyenne 120 attaques au couteau par jour se produisent en France et que ces attaques sont commises par des «mineurs non accompagnés» ou des «réfugiés» venant du monde musulman.

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  12. Par ailleurs, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) de la France a rapporté il y a quelques semaines que, depuis janvier 2015, 59 attaques islamistes ont été déjouées en France. Ceux, bien sûr, non contrecarrés incluent l'attaque contre Charlie Hebdo; les meurtres le même jour dans un supermarché casher; un meurtre de masse au théâtre Bataclan; le meurtre d'Arnaud Beltrame, qui a pris une balle pour en protéger d'autres; les meurtres du P. Jacques Hamel; d'écoliers et autres à Toulouse, de Juifs âgés à Paris et d'au moins 84 personnes regardant des feux d'artifice à Nice. Ces attentats ont tous été commis par des musulmans français ou des musulmans légalement présents en France.

    Les lois françaises permettent actuellement de poursuivre quasiment tout ce qui est considéré comme «incitation à la discrimination, à la haine ou à la violence contre une personne ou un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion. " Une organisation ouvertement marxiste de juges, l'Union judiciaire (Syndicat de la magistrature), n'a cessé de gagner en influence et utilise les lois applicables pour réprimer toute critique de l'islam ou de l'immigration. Ils collaborent avec des organisations telles que SOS Racism, fondée en 1984 par des membres à gauche du Parti socialiste; le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP), créé en 1949 par des membres du Parti communiste français (le MRAP s'appelait initialement Mouvement contre le racisme, l'antisémitisme et pour la paix, et supprimait "l'antisémitisme et pour la paix" de son nom en 1989, alors qu'il se consacrait presque entièrement à la lutte contre le «racisme islamophobe»); le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), créé en 2003 par des membres de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), de la branche française des Frères musulmans et de la Coordination contre le racisme et l'islamophobie (CRI), créé en 2009.

    Toute critique de l'islam en France peut entraîner des poursuites judiciaires. Les médias grand public français, menacés de poursuites par leur propre gouvernement, ont manifestement décidé de ne plus inviter en ondes toute personne susceptible de faire des commentaires pouvant conduire à des condamnations ou à des plaintes. Zemmour pourrait encore apparaître à la télévision, mais les amendes de plus en plus lourdes qui lui sont infligées visent à le faire taire et potentiellement à punir les stations qui l'invitent.

    Aucun dirigeant politique français n'ose dire ce qu'il dit, pas même Marine Le Pen (ext. droite). Elle a été condamnée à plusieurs reprises par la justice française et, comme dans l'ex-Union soviétique, condamnée à subir une évaluation psychiatrique pour avoir montré au public ce que l'EI faisait aux «mécréants». Elle a manifestement décidé à présent d'être "prudente".

    Les autorités françaises continuent d'ignorer la plupart des attaques violentes commises au nom de l'islam. Lorsqu'elles se sont produites - contre une école juive de Toulouse en 2012, ou contre Charlie Hebdo et un supermarché casher 2015, ou au théâtre Bataclan en 2015, ou par le camion-bélier à Nice le 14 Juillet 2016 - les dirigeants du pays ont promis "fermeté "mais n'a rien livré.

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  13. Une semaine après l'attentat du 25 septembre, le président français Emmanuel Macron a de nouveau prononcé un discours qui prônait la "fermeté". Il a dénoncé le «séparatisme islamique» et «l'endoctrinement islamique» pratiqués par les prédicateurs radicaux. Il a déclaré qu'il lutterait contre le terrorisme et "libérerait l'islam français des influences étrangères" et que dans les écoles et universités françaises, il "renforcerait l'enseignement de la civilisation islamique" et "l'enseignement de la langue arabe". Il n'a rien dit qu'il n'ait dit auparavant. Il y a sept mois, le 18 février, il prononçait presque le même discours en Alsace.

    Ibrahim Mounir, porte-parole des Frères musulmans en Europe, a néanmoins accusé Macron de «blesser les sentiments de plus de deux milliards de musulmans» et «d'agir délibérément pour inciter les musulmans à renoncer à leur religion». Il a ajouté: "Les croyances des Frères musulmans ont toujours été capables de surmonter les erreurs des régimes utilisant des abus illégaux et inhumains pour déformer notre religion". Manon Aubry, eurodéputée du parti de gauche Rebellious France, a déclaré que "Macron veut de façon obsessionnelle stigmatiser les musulmans".

    Marine Le Pen, responsable du National Rally Party, a déclaré que "Macron a omis certains sujets, probablement délibérément: il n'a rien dit sur le terrorisme, et rien sur l'immigration". Elle a ajouté que "l'immigration massive est le terreau fertile du communautarisme [autonomisation des groupes plutôt que des individus], qui lui-même est le terreau du fondamentalisme islamiste".

    La journaliste Céline Pina a noté que Macron n'a pas parlé du statut des demandeurs d'asile. "Encore une fois", écrit-elle, "Macron refuse vraiment de s'attaquer aux causes des problèmes que subissent les Français. Le gouvernement lutte contre le terrorisme en faisant semblant de ne pas voir le lien entre la propagande de l'islam politique et la prolifération des actes de violence".

    Le chroniqueur Ivan Rioufol a écrit que "les mesures préconisées par Macron ne répondent pas du tout à l'urgence de la menace".

    Jean Messiha, haut fonctionnaire d'origine chrétienne copte et membre du parti Rassemblement national, a noté que "l'Islam ne cherche pas à séparer mais à conquérir". Il a ajouté que "parler d'un Islam de France dissocié de l'Islam lui-même n'a aucun sens". Comme l'a correctement noté le président turc Recep Tayyip Erdogan, "Il n'y a pas d'islam extrémiste ou d'islam modéré; l'islam est l'islam et c'est tout".

    Messiha a également suggéré que "le renforcement de l'enseignement de la civilisation islamique n'est pas une priorité à un moment où tant de jeunes Français ne savent plus ce qu'est la civilisation française", et que "le renforcement de l'enseignement de l'arabe contribuera simplement à nourrir le" remplacement culturel " ".

    La France est aujourd'hui le pays européen avec la plus grande population musulmane (environ six millions, soit près de 10% de la population totale); chaque année, d'ailleurs, mille autres personnes du monde musulman arrivent en France. La plupart des musulmans vivant en France aujourd'hui résident dans des quartiers musulmans dont la plupart des non-musulmans ont fui.

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  14. Une étude de 2016 a montré que 29 % des musulmans vivant en France estiment que la loi islamique est supérieure à la loi française, et qu'ils doivent avant tout obéir aux lois de l'islam. Une étude récente montre que quatre ans plus tard, la situation n'a fait qu'empirer. Aujourd'hui, 40% des musulmans vivant en France estiment que la loi islamique est supérieure à la loi française. 18 % des musulmans français pensent également que l'attaque meurtrière contre Charlie Hebdo en 2015 était justifiée. Parmi les musulmans âgés de 18 à 25 ans, ce nombre s'élève à 26%.

    Des études montrent que si les flux migratoires se poursuivent au rythme actuel, la France pourrait devenir un pays à majorité musulmane d'ici 30 à 40 ans. D'autres pays européens vont dans le même sens; leurs dirigeants ne se comportent pas plus courageusement que les dirigeants français. La censure contre les déclarations anti-islamiques augmente rapidement à travers le continent.

    Abdelaziz Chaambi, directeur du groupe Coordination contre le racisme et l'islamophobie, a déclaré récemment que "les données montrent que la France sera musulmane dans quelques décennies ... L'islam est la deuxième religion, la deuxième communauté en France, et ceux qui n'aiment pas Les musulmans doivent quitter la France ».

    À la fin du discours qui a valu à Zemmour sa condamnation le 25 septembre, il a déclaré aux Français: "Vous avez raison d'avoir peur".

    Un procès est actuellement en cours à Paris pour ceux qui ont attaqué Charlie Hebdo et le supermarché casher en 2015. Le procès, cependant, est largement dénué de sens. Tous les terroristes sont morts. Les accusés sont simplement des personnes qui ont fourni des armes ou un abri aux terroristes. Il leur est facile de dire qu’ils ne savaient pas qui ils hébergeaient ou à quoi étaient destinées les armes. Ils ont même dit qu'ils ne savaient rien du djihad.

    Commentant un reportage qui déclarait: "Le procès a déclenché des manifestations dans toute la France, avec des milliers de manifestants se ralliant contre Charlie Hebdo et le gouvernement français", l'avocat et commentateur américain John Hinderaker a écrit: "Quand des milliers de manifestants manifestent contre les poursuites contre meurtriers présumés, vous savez que vous avez un problème. "

    Le 9 octobre, Macron a annoncé qu'il avait obtenu la libération d'une femme prise en otage par un groupe djihadiste au Mali. La libération a été obtenue en échange d'une rançon de 12 millions de dollars et de la libération de 200 jihadistes prêts à retourner au combat contre l'armée française. L'otage, Sophie Petronin, une travailleuse humanitaire de 75 ans, a déclaré qu'elle s'était convertie à l'islam, qu'elle s'appelait désormais Myriam et qu'elle souhaitait retourner rapidement au Mali pour vivre parmi les djihadistes. Elle a dit qu'elle comprenait pourquoi les jihadistes combattent l'armée française. La France est officiellement en guerre avec les jihadistes au Mali. Macron, semble-t-il, a une façon étrange et idiosyncratique de faire la guerre.

    Ce n'est pas la première fois que la France paie une rançon - une pratique que de nombreux pays rejettent catégoriquement car elle ne fait qu'inviter davantage de prises d'otages. Entre 2008-2014, pour libérer des otages, la France a payé 58 millions de dollars, plus que tout autre pays. Où s'inscrit-on ?

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/france-death-free-speech

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  15. Votre FBI vous piégera-t-il ?


    par Tyler Durden
    Rédigé par Angelo Codevilla via AmGreatness.com,


    La mise en accusation de six hommes par le FBI pour terrorisme pour avoir projeté de kidnapper le gouverneur du Michigan, Gretchen Whitmer, a toutes les caractéristiques de ce qui est devenu le mode opératoire standard de cette agence corrompue.

    Leurs avocats affirmeront certainement qu'ils ont été victimes de provocation policière. Si l’affaire est jugée, je doute qu’un jury les condamne.

    Au cours des huit années que j'ai passées à superviser les agences de renseignement pour le comité sénatorial du renseignement, j'ai vu ce qui avait été une clérisie de gardiens stricts de la vérité et de la justice devenir un groupe de bureaucrates paresseux désireux de servir les préjugés de la classe dirigeante.

    Ne faisant plus le travail difficile et dangereux d'enquêter sur les criminels et les subversifs profondément connectés tels que la mafia et les subversifs bien financés et soutenus politiquement, le FBI a limité sa vision à des «profils» politiquement corrects et a commencé à chasser les petits alevins. Des cibles faciles, défendues par personne. Qu'est-ce qu'il ne faut pas aimer?

    Après le 11 septembre, le FBI a passé quelques années à s'en prendre à de très petits islamistes tout en couvrant ses yeux collectifs sur le travail des principales sources de troubles, telles que les Frères musulmans, l'Autorité palestinienne et l'Arabie saoudite - tous aimés par certaines parties de la décision. classe. Mais avant et après cette période, ces profils pointaient le plus souvent vers l’ennemi préféré de la classe dirigeante: ses compatriotes américains «excessivement préoccupés par leurs libertés».

    La méthode du FBI ? Placez les agents parmi le groupe cible, attisez leurs sentiments et amenez-les à dire ou à faire quelque chose qui pourrait être qualifié de crime, puis arrêtez-les et revendiquez le mérite d'avoir déjoué un complot. Dans le jargon du renseignement, c'est la provocation. En termes juridiques, c’est de la piégeage. Quel que soit le nom, c'est le travail de flics sales et bon marché.

    Dans les années 1950, la blague était que toute réunion d'une cellule du Parti communiste dans la région de New York était susceptible de se composer des deux tiers d'infiltrés, la moitié du FBI et l'autre moitié du département de police de New York. Mais ces infiltrés du FBI, comme ceux de l’époque du Vietnam dans les années 60 et au début des années 70, et comme ceux qui ont pénétré le crime organisé, ne faisaient que regarder. Faire un travail honnête. Ils ne provoquaient ni ne piégeaient, ne créaient pas quelque chose qui n'aurait jamais existé, sauf leur présence.

    Avance rapide vers notre époque. Le contraste entre le comportement du FBI à l'égard des personnes liées à la classe dirigeante et de celles qui ne le sont pas parle de lui-même. Les 918 Américains qui se sont suicidés en masse à Jonestown Guyana en novembre 1978 ont été victimes d'une secte étroitement associée au Parti démocrate de Californie. Les proches des personnes attirées s'étaient plaints auprès du FBI. Mais le FBI avait refusé de garder un œil sur le mouvement, et plus tard a officiellement soutenu que cela aurait porté atteinte à ses libertés politiques et religieuses.

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  16. Et pourtant, lorsque le mouvement Tea Party est né pour protester contre la collusion entre les partis républicain et démocrate contre le sentiment populaire sur une foule de questions politiques, le FBI s'est précipité pour l'infiltrer.

    Ayant pris la parole à d'innombrables réunions de Tea Parties dans le nord de la Californie de 2010 à 2012, j'ai vécu directement cette infiltration. Le public était respectueux et a posé des questions informatives. Quand, de temps en temps, je recevais une question qui semblait me pousser à dire quelque chose d'incendiaire, je me suis fait un devoir de trouver et de parler à la personne qui l'avait posée. Invariablement, la personne correspondait à un profil avec lequel je m'étais familiarisé depuis mes années de supervision du FBI: un homme dans la trentaine, qui avait récemment emménagé dans la communauté et a travaillé pour une grande entreprise, souvent à distance, et dont l'écho des sentiments l'entourant semblait étudié. Je lui conseillerais ensuite de rédiger son rapport au siège. Généralement, l'homme s'éloignait.

    Dans le cas du Michigan, il semble que le FBI avait commencé par surveiller le trafic des hommes sur les réseaux sociaux et, sur la base d'un «souci excessif pour la liberté» (prithee, qu'est-ce que c'est?) Avait obtenu des mandats pour écoutes téléphoniques et avait inséré un ou plusieurs infiltrés . Mais jusqu'à présent, aucun crime ne pouvait être allégué - seulement ce que le FBI et sa filiale locale considéraient comme une mauvaise attitude.

    Quel a été exactement le rôle de l’infiltré pour faire passer les hommes d’une simple conversation à une action criminelle prétendument lancée ? Ce sera l'essence même du procès. Le FBI produira des enregistrements réalisés par l'infiltrateur. Quand l'appareil a-t-il été allumé et éteint-il? Dans quelle mesure ces intermittences et / ou ajouts apportés à l'enregistrement contribuent-ils à donner l'impression qu'il s'agissait d'une véritable intrigue éclos de manière autonome ?

    L’accusé verra les poids complets du gouvernement et des médias utilisés contre eux, comme vous ou moi.

    Le jury devra décider si le FBI protégeait la société des sociopathes ou s'il est lui-même sociopathe.

    https://www.zerohedge.com/political/will-your-fbi-entrap-you

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  17. La vraie pandémie: syndrome de masse de Munchausen par procuration


    par Tyler Durden
    Lun, 19/10/2020 - 17:49
    Rédigé par Craig Pirrong via l'American Institute for Economic Research,


    Il est plus que juste de dire que nous vivons une pandémie, mais pas celle dont vous entendez parler ad nauseum. Non, la pandémie n’est pas un virus, c’est une épidémie pandémique du syndrome de Munchausen par procuration qui concentre ses obsessions sur le virus.

    Le syndrome de Munchausen par procuration est une maladie mentale dans laquelle la victime fantasme que d’autres personnes - généralement des personnes à sa charge, comme des enfants - souffrent d’une maladie grave et nécessitent une intervention médicale drastique.

    Observez ce qui s'est passé au cours des 7 derniers mois et que se passe-t-il si quelque chose augmente en intensité aujourd'hui. L'obsession de Covid-19. Les monomaniaques se concentrent sur les «cas» (généralement le résultat de tests d'hypersensibilité sujets aux faux positifs), avec la conviction que les personnes dont le test est positif sont malades et qu'un grand nombre de ceux qui tombent malades mourront.

    Compte tenu de l'expérience réelle au cours des derniers mois, ces croyances sont extrêmement exagérées - des maladies imaginaires, fantasmées, d'une gravité fantasmée, exactement le genre de chose qu'une personne atteinte de MSbP fait.

    Et il y a plus à diagnostiquer. Les personnes atteintes de MSbP soumettent les personnes qu'ils imaginent malades à une attention suffocante et à des interventions sanitaires inutiles et souvent néfastes. Vous savez, comme les verrouillages; des restrictions draconiennes sur les déplacements, les contacts sociaux et d'autres caractéristiques de la vie quotidienne; la fermeture des écoles et des collèges; et les demandes stridentes de porter des masques - même entre les bouchées de votre repas si vous êtes en Californie.

    Regardez tant de gouverneurs et de maires, par exemple, Gretchen Whitmer du Michigan, Gavin Gruesome - excusez-moi, Newsom - en Californie, J. B. Pritzker dans l'Illinois ou Tim Walz dans le Minnesota. (Je pourrais continuer. Et continuer. Et continuer. Croyez-moi.) Ils invoquent constamment leur pouvoir sur vous. Mais c’est pour votre bien! Fais leur confiance! Maman te protège! Et si vous vous opposez, vous serez puni! Comment osez-vous défier les tendres miséricordes de maman, gamins ingrats? Si vous le faites, vous serez puni! Pour bien réfléchir et réaliser à quel point vous êtes en danger, et pourquoi vous devez écouter maman et faire exactement ce qu'elle dit!

    Et si cela se limitait aux «autorités» qui rendent Cartman agréable. Vous avez probablement des voisins ou des collègues qui ont le syndrome. Ou vous les rencontrez à l'épicerie. Ou peut-être que c’est le fatso dans la caisse de la pharmacie. (Oui, c'est une allusion à une expérience personnelle, mais pas de souci: je doute que cette personne sache lire.)

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  18. C'était déjà déjà assez grave avant que Trump ne soit diagnostiqué avec Covid. Puis une souche super-virulente du syndrome est apparue, à travers un mécanisme darwinien apparemment. Dès que j'ai vu ses premières remarques de l'hôpital - qu'il avait beaucoup appris sur Covid, et qu'il allait partager cette information et cette expérience avec nous - je savais qu'il dirait exactement ce qu'il disait: ça peut être grave la maladie, mais la grande majorité des gens peuvent la vaincre et nous ne devons pas la laisser dominer nos vies.

    Et je savais que cela mettrait la foule du MSbP en apoplexie. Ils veulent un récit de malheur et de tristesse. Ils veulent que les gens aient peur. Ils veulent que les gens s'en remettent à eux, dépendent d'eux et surtout obéissent à leurs ordres. Vous pourriez tomber vraiment malade - VOUS TOUS! Vous pourriez mourir - N'IMPORTE QUEL DE VOUS! N'écoutez personne qui vous dit le contraire! Ils n’ont pas à cœur vos meilleurs intérêts, comme le fait maman. Et mettez vos bouchons d'oreille (pour ne pas entendre le Bad Orange Man), mettez vos ombres à paupières (pour ne pas lire la déclaration de Great Barrington), vous savez où mettre le bouchon (aka le masque qui le fait) impossible pour vous de parler intelligemment).

    Donc, tout ce qui contredit le récit déclenche une attaque massive des Munchausens.

    Covid est-il comme la grippe saisonnière, comme l'a dit Trump? Eh bien, plus il y a de données, plus il apparaît que oui, c'est un danger de l'ordre de grandeur d'une mauvaise souche de grippe saisonnière - le genre que nous avons enduré plusieurs fois dans le passé sans mesures draconiennes qui ont fait cratère les économies. Et ironiquement, les données suggèrent fortement qu'il est moins dangereux pour les enfants que la grippe saisonnière de variété de jardin.

    Mais il est indéniable que cela ne ressemble en rien à la dernière grande maladie pandémique, la grippe espagnole de 1918-1919. Mais cela n’empêche pas les cas graves de MSbP comme le gouverneur Gretchen Ratched de justifier leurs actions par référence à cet épisode et d’invoquer les lois adoptées pendant cette véritable pandémie pour contrôler votre vie aujourd’hui.

    En temps normal, la plupart des objets des personnes souffrant de MSbP sont des enfants, qui ont un pouvoir de résistance limité. Souvent, les professionnels de la santé sont ceux qui identifient une situation MSbP et interviennent pour protéger l'objet.

    Mais aujourd'hui, les adultes sont majoritairement les objets. Et trop de professionnels de la santé activent le MSbP (et peuvent en effet être eux-mêmes des victimes - il suffit de regarder les chronologies folles de Twitter de nombreux médecins qui se foutent des remarques et du comportement de Trump, c'est-à-dire agissant comme une personne souffrant de la grippe ou d'un rhume).

    Compte tenu des pouvoirs coercitifs des plus importants victimes du MSbP - lesdits gouverneurs, maires, bureaucrates, etc. - cette pandémie (la pandémie de MSbP) fait des ravages incalculables. Nous avons besoin de plus de gens pour dire que nous n’allons pas le prendre. Nous avons besoin de plus de personnes pour repousser. Nous ne devons pas être sous l'emprise des malades mentaux.

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  19. Mais hélas, nous le sommes. Parce qu'il y en a tellement, et qu'ils infestent les branches exécutives du gouvernement à tous les niveaux.

    https://www.zerohedge.com/political/real-pandemic-mass-munchausens-syndrome-proxy

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    1. Regardons de plus près le Programme NWO:
      'Épidémie/Pandémie' due au microbe (appelé 'virus' !!), enfermement et port du masque (inutile) et obligatoire !

      Qu'en est-il du 'port du masque' ?
      Il s'agit d'un masque NON-ANTIVIRUS qui empêche 30 % de l'oxygène d'être respiré et inhalation obligatoire du gaz carbonique expiré !

      Résultat: Ce manque d'oxygène se traduit par des maux de tête et pertes de mémoire irréparable.
      Qu'adviendra t-il des personnes masquées qui conservent cette obligation plus de 20 minutes ?
      Ces pertes de mémoire vont se traduire par un monde (presque 7 milliards d'êtres humains !) de tarés ! De personnes qui ne savent plus qui est qui et qui ne se rappellent plus de leur nom et domicile !
      Partie gagnée !
      Seuls les enfants (ne portant pas de masques) seront sauvés et retirés de leurs parents déficients mentaux !
      Les enfants placés en nouvelle école seront le Peuple de demain !

      -----------------------

      Voir les posts du 11 Mai et 16 Mai 2020:

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/05/le-syndrome-de-munchhausen-par.html

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/05/enquete-pourquoi-jai-tue-ma-mere.html

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  20. Le Dr Tom Cowan explore le virus COVID inventé par pure absurdité

    Cowan analyse encore un autre document clé publié par le CDC, dans leur journal, Emerging Infectious Diseases: «Syndrome respiratoire aigu sévère Coronavirus 2 d'un patient atteint d'une maladie à coronavirus, États-Unis»


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    20 octobre 2020


    Les coups continuent à venir. Le CDC a utilisé un processus informatique arbitraire «bricoler-jouet» pour inventer une description du virus. Le virus que personne n'a prouvé existe. Telle est la conclusion fondamentale du Dr Tom Cowan.

    L'article du CDC a été découvert par Sally Fallon Morrell. Son co-auteur, le Dr Cowan, étoffe la fraude. L’article de Cowan s’intitule «Seules les cellules de singe empoisonnées ont développé le virus.»

    Dr Cowan: «[L'article de la revue CDC] a été publié en juin 2020 [publication originale, mars 2020]. Le but de l'article était pour un groupe d'environ 20 virologues de décrire l'état de la science de l'isolement, de la purification et des caractéristiques biologiques du nouveau virus SRAS-CoV-2, et de partager ces informations avec d'autres scientifiques pour leurs propres recherches. . Une lecture approfondie et attentive de cet article important révèle des résultats choquants. »

    «Premièrement, dans la section intitulée« Séquençage du génome entier », nous constatons qu’au lieu d’avoir isolé le virus et de séquencer le génome de bout en bout, ils ont trouvé 37 paires de bases à partir d’échantillons non purifiés à l’aide de sondes PCR. Cela signifie qu'ils ont en fait examiné 37 des quelque 30 000 paires de bases que l'on prétend être le génome du virus intact. Ils ont ensuite pris ces 37 segments et les ont mis dans un programme informatique, qui a rempli le reste des paires de bases.

    En d'autres termes, le séquençage du virus SARS-CoV-2 a été fait par hypothèse et inférence arbitraire. Si c'est de la science, un pingouin est un vaisseau spatial.

    Cowan: «Pour moi, cette étape de génération informatique constitue une fraude scientifique. Voici une équivalence: un groupe de chercheurs prétend avoir trouvé une licorne parce qu'ils ont trouvé un morceau de sabot, un cheveu d'une queue et un bout de corne. Ils ajoutent ensuite ces informations dans un ordinateur et les programment pour recréer la licorne, et ils prétendent ensuite que cette recréation d'ordinateur est la vraie licorne. Bien sûr, ils n’avaient jamais vu une licorne et n’auraient donc pas pu examiner sa constitution génétique pour comparer leurs échantillons avec les cheveux, les sabots et la corne de la licorne. »

    «Les chercheurs affirment qu’ils ont décidé quel est le véritable génome du SRAS-CoV-2 par« consensus », un peu comme un vote. Encore une fois, différents programmes informatiques proposeront différentes versions de la «licorne» imaginaire, afin qu'ils se réunissent en groupe et décident quelle est la vraie licorne imaginaire. "

    Comme je l’ai dit, la «découverte» du «nouveau virus» était en fait le fruit d’une HISTOIRE PRÉ-DÉTERMINÉE SUR UN VIRUS. Rien de réel ou de crédible à ce sujet.

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  21. Mais une fois que le modèle officiel est établi, d'autres le suivent consciencieusement.

    Le Dr Cowan découvre plus de folie dans l'article du journal CDC. En utilisant le nouveau virus ASSUMED, dans un ÉTAT NON ISOLÉ, les chercheurs tentent de prouver qu'il est nocif en l'injectant sur plusieurs types de cellules différents en laboratoire:

    Cowan: «La véritable découverte à succès dans cette étude vient plus tard, une découverte si choquante que j'ai dû la lire plusieurs fois avant de pouvoir croire ce que je lisais. Permettez-moi de citer le passage intact: "

    «Par conséquent, nous avons examiné la capacité du SRAS-CoV-2 à infecter et à se répliquer dans plusieurs lignées cellulaires communes de primates et humaines, y compris des cellules d'adénocarcinome humain (A549), des cellules hépatiques humaines (HUH 7.0) et des cellules rénales embryonnaires humaines (HEK -293T). En plus des cellules Vero E6 et Vero CCL81 [cellules de singe]. … Chaque lignée cellulaire a été inoculée à une multiplicité d'infection élevée et examinée 24h après l'infection. Aucun CPE n'a été observé dans aucune des lignées cellulaires, sauf dans les cellules Vero [de singe], qui ont augmenté de plus de 10 à la 7ème puissance 24 h après l'infection. En revanche, HUH 7.0 et 293T n'ont montré qu'une réplication virale modeste, et les cellules A549 [cellules humaines] étaient incompatibles avec l'infection par le SRAS CoV-2 ».»

    «Que signifie réellement ce langage et pourquoi est-ce la déclaration la plus choquante de la communauté virologique ? Lorsque les virologues tentent de prouver l’infection, ils disposent de trois «hôtes» ou modèles possibles sur lesquels ils peuvent effectuer des tests… »

    «La troisième méthode utilisée par les virologues pour prouver l'infection et la pathogénicité - la méthode sur laquelle ils s'appuient le plus - est l'inoculation de solutions, selon eux, contenant le virus sur une variété de cultures de tissus. Comme je l'ai souligné à maintes reprises, il n'a jamais été démontré qu'une telle inoculation tue (lyse) le tissu, à moins que le tissu ne soit d'abord affamé et empoisonné.

    «La chose choquante à propos de la citation ci-dessus [journal CDC] est que, en utilisant leurs propres méthodes, les virologues ont découvert que les solutions contenant le SRAS-CoV-2 - même en grande quantité - n'étaient PAS, je le répète, NON infectieuses pour l'un des trois humains. cultures de tissus qu'ils ont testées. En clair, cela signifie qu’ils ont prouvé, selon leurs conditions, que ce «nouveau coronavirus» n’est pas infectieux pour les êtres humains. Il est UNIQUEMENT infectieux pour les cellules rénales de singe, et seulement alors lorsque vous ajoutez deux médicaments puissants (gentamicine et amphotéricine), connus pour être toxiques pour les reins, au mélange. »

    «Mes amis, lisez ceci encore et encore. Ces virologues, publiés par le CDC, ont fait une preuve claire, selon leurs termes, montrant que le virus SARS-CoV-2 est inoffensif pour l'homme. C'est la seule conclusion possible, mais malheureusement, ce résultat n'est même pas mentionné dans leur conclusion. Ils disent simplement qu'ils peuvent fournir des stocks de virus cultivés uniquement sur des cellules Vero de singe, merci d'être venus. "

    Alors d'abord… utilisez un processus de séquençage génétique qui consiste à concocter, à partir d'un programme informatique arbitraire…

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  22. L'existence et la structure du «nouveau virus»…

    Et puis, en prenant une soupe qui, selon les chercheurs, contient le virus, à l'état non isolé, injectez la soupe dans plusieurs types de cellules du laboratoire ...

    Et découvrez que la cible principale - les cellules humaines - ne sont pas infectées par le virus imaginaire.

    Et après cette bonne journée de travail, éloignez-vous et prétendez que rien d’étrange ou d’auto-incriminant ne s’est produit.

    Et oh oui, verrouillez la planète sur la base de cette «science».

    Naturellement, nous devons prendre un vaccin toxique qui empêche la non-infection par le non-virus.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/jon-rappoport/dr-tom-cowan-explores-the-covid-virus-invented-out-of-sheer-nonsense/

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  23. Revisiter l'hydroxychloroquine

    Il existe des preuves substantielles suggérant que le médicament est efficace dans le traitement de Covid-19. Pourquoi n'essayons-nous pas ?

    Par C. Boyden Gray
    Le conservateur américain
    20 octobre 2020


    Plus de six mois se sont écoulés depuis que le président a tweeté pour la première fois sur l'hydroxychloroquine comme traitement potentiel du Covid-19. Depuis lors, certaines études ont affirmé que cela fonctionne, et d'autres non. Mais une chose que nous avons apprise sans équivoque sur l'hydroxychloroquine pour Covid-19 est que CNN, TheNew York Times, TheWashington Post, le Dr Anthony Fauci et le rédacteur en chef de TheLancet ne veulent pas que vous le preniez.

    En fait, ils préféreraient que vous n'en parliez même pas. Moins vous en savez, mieux c'est. Et ils ont constamment ressenti cela depuis le début de la pandémie, alors qu'il n'y avait pratiquement aucune étude à analyser. Qualifier même cette situation de «débat» est exagéré, car les forces opposées à l’utilisation de la drogue pour Covid-19 n’ont pas débattu, mais ont plutôt tenté de fermer tout journaliste, médecin ou chercheur armé de données différentes.

    L'hydroxychloroquine, un médicament antipaludique de 70 ans qui est également régulièrement utilisé pour traiter le lupus et la polyarthrite rhumatoïde, est peu coûteuse et présente un excellent profil d'innocuité. Il a été utilisé pour traiter plus de deux milliards de personnes. Avant la pandémie, les Centers for Disease Control (CDC) recommandaient que les adultes et les enfants de tout âge puissent le prendre en toute sécurité, y compris les femmes enceintes et les mères allaitantes.

    En mars, les preuves les plus solides en faveur de son utilisation et de son efficacité pour Covid-19 provenaient de Marseille, à partir d'une petite étude observationnelle menée par l'épidémiologiste français Dr Didier Raoult. Dans cet essai et dans ses propres essais de suivi plus vastes, le Dr Raoult a affirmé avoir réussi à traiter les patients atteints de Covid-19 par l'hydroxychloroquine, lorsqu'elle est utilisée en association avec des antibiotiques.

    Sur la base de ces informations, les sociétés pharmaceutiques ont fait don de millions de doses au gouvernement et la Food and Drug Administration (FDA) a émis une autorisation d'utilisation d'urgence, mettant les médicaments donnés à la disposition des patients hospitalisés de Covid-19.

    Fin juin et début juillet, des études plus importantes ont été publiées par le Mount Sinai Health System à New York et le Henry Ford Health System à Detroit, qui ont toutes deux démontré que l'antipaludique réduisait le taux de mortalité du Covid-19. souffrants de moitié. En particulier, l'article de Henry Ford a fait valoir que le médicament devrait être administré tôt dans la progression de la maladie pour être efficace.

    - Suite à:

    https://www.theamericanconservative.com/articles/revisiting-hydroxychloroquine/

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/no_author/revisiting-hydroxychloroquine/

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  24. VIDÉO - Tests PCR et maintien de la « transe hypnotique »


    Dr Pascal Sacré et Jérémie Mercier
    Mondialisation.ca
    lun., 19 oct. 2020 21:03 UTC


    En se soumettant aux tests PCR avec docilité, la population maintient sans le savoir la propagande de terreur (non basée sur les faits) des gouvernements ainsi que l'état de » transe hypnotique » induit par les mesures autoritaires liées à la crise » sanitaire « .

    Pascal Sacré, médecin anesthésiste, réanimateur, qui travaille dans une unité de soins intensifs en Belgique et qui est également expert en hypnose, a écrit l'article : COVID-19: RT-PCR ou comment enfumer toute l'humanité.

    cftvIl nous expose lors de cette interview l'utilisation mensongère de ces tests pour faire passer des mesures liberticides dans de nombreux pays.

    Conclusion : Ne vous faites pas tester ! Osez remettre en question l'intérêt du test ainsi que des mesures « sanitaires » actuelles. La santé ne doit plus servir de prétexte fallacieux pour installer des mesures liberticides irrationnelles.

    - voir clip sur site :

    https://fr.sott.net/article/36190-VIDEO-Tests-PCR-et-maintien-de-la-transe-hypnotique

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  25. Covid-19 : Christian Perronne démis de ses fonctions à la FFMT après avoir critiqué les tests PCR


    20 oct. 2020, 10:56


    Le Professeur Christian Perronne a été démis de ses fonctions de Vice-Président et de Président du Conseil scientifique de la FFMT suite à des propos tenus sur Sud Radio concernant notamment les tests PCR et l'utilité du port du masque dans la rue.

    Le 19 octobre 2020, la Fédération française contre les maladies vectorielles à tiques (FFMVT) a annoncé dans un communiqué démettre de ses fonctions de Vice-Président de la Fédération et de Président du Conseil scientifique le Professeur Christian Perronne. La FFMVT justifie sa décision avançant le fait que les «nombreuses occupations récentes du Pr Christian Perronne sur des sujets extérieurs à la FFMVT l’ont rendu largement indisponible au travail effectué par notre Fédération», mais surtout par son «profond désaccord» avec les propos tenus par Christian Perronne sur Sud Radio le 15 octobre 2020.

    Le médecin et professeur des universités avait alors mis en cause les tests PCR, affirmant qu'ils produisent une majorité de faux positifs créant ainsi des «millions de faux cas» de Covid-19, en raison selon lui d'un trop grand nombre de cycles d'amplification. Christian Perronne a ainsi déclaré qu'on «ruine la sécu pour des tests qui ne servent à rien», et qui seraient un «jackpot» pour les hôpitaux et les médecins généralistes, qui toucheraient plus d'argent lorsqu'un cas de Covid-19 est détecté.

    L'auteur de Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? et soutien du Professeur Didier Raoult s'était également interrogé sur l’utilité du port des masques dans la rue et dans le métro. Le nombre de patients en réanimation dans l'Hexagone dépasse les 2 000, un record depuis mai selon les chiffres officiels publiés le 19 octobre et 146 personnes sont mortes de suites du Covid-19 ces dernières 24h, portant le nombre total de décès du coronavirus en France à 33 623 depuis le début de l'épidémie.

    https://francais.rt.com/france/79860-covid-19-christian-perronne-demis-fonction-ffmt-critique-tests-pcr

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  26. De plus en plus d'installations permettant de produire de la nourriture partent en fumé


    Sott.net
    lun., 19 oct. 2020 19:02 UTC


    Christian du site Ice Age Farmer a créé une carte pour répertorier les unités de production de nourriture victime d'incendies ou autres tellement ce genre d'évènement est devenu fréquent.

    food supply attacks Les incendies et des explosions ont lieu dans le monde entier dans les élevages de volailles et de porcs, les silos à grains, les raffineries de sucre, les entrepôts alimentaires et les centres de distribution de viande.

    En ce moment la vitesse à laquelle le nombre d'infrastructures qui permettent l'approvisionnement alimentaire et qui sont littéralement en flammes est complètement anormal.

    6000 poulets brulés, Irlande

    6.000 poulets meurt par le feu dans un élevage à Dungannon
    En Irlande c'est le troisième incendie ces dernières semaines qui a touché le secteur de la production animale. Un autre incendie a tué six mille poulets et un autre deux mille porcs.

    La fréquence et l'ampleur des attaques que nous subissons en ce moment sont stupéfiantes.

    Irlande, porcherie, feu

    Kilkeel : Fermier "dévasté" après la mort de 2000 porcs dans un incendie.
    Ces problèmes sur la chaine alimentaire viennent se rajouter à ceux créés par coronavirus et les confinements qui se remettent en place.

    Un mail peut être envoyé à iceagefarmer @ protonmail.com pour compléter la carte.

    https://fr.sott.net/article/36189-De-plus-en-plus-d-installations-permettant-de-produire-de-la-nourriture-partent-en-fume

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  27. Twitter censure un message d'un conseiller de la Maison Blanche contestant l'efficacité du masque


    19 oct. 2020, 18:38


    Twitter a supprimé un message du docteur Scott Atlas, conseiller à la Maison Blanche sur les questions liées à la crise sanitaire, qui remettait en cause l’efficacité du masque. Ce dernier avait pourtant cité les recommandations de l'OMS.

    Twitter a supprimé, le 17 octobre, un tweet d'un membre du groupe de travail sur le coronavirus de la Maison-Blanche, le docteur Scott Atlas, mettant en doute l'efficacité du port systématique du masque. «Les masques fonctionnent-ils ? NON», s'était interrogé dans son message original le docteur Atlas, avant de citer des propos de responsables de la santé qui ont remis en question l'efficacité des masques de protection.

    Le tweet prenait pour exemple des pays comme la France ou le Royaume-Uni où des villes et Etats américains comme Los Angeles, l'Alabama où Miami, arguant que toutes ces zones voyaient le nombre de cas de Covid-19 augmenter malgré des politiques de généralisation du port du masque. © Capture d'écran du tweet supprimé Egalement citée, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui déclarait dans une publication en juin qu'elle ne soutenait pas «une utilisation généralisée» des masques.

    Enfin, le conseiller américain citait un de ses confrères, le docteur Carl Heneghan, directeur du centre de recherche Evidence-Bases Medicine et chef d'édition de The British Medical Journal (The BMJ), qui avait déclaré qu'«il semblerait que malgré deux décennies de préparation à une pandémie, il existe une incertitude considérable quant à la valeur du port de masques». En censurant le tweet original du docteur Atlas, l'entreprise de la Silicon Valley a laissé un message indiquant que les propos sus-mentionnés avaient «enfreint les règles de Twitter.»

    Un porte-parole de l'entreprise a confirmé à Newsweek que le tweet du conseiller à la Maison Blanche violait la politique «anti-fake news» de la plateforme. La société Twitter précise en effet que le partage de contenus liés au Covid-19 jugées faux ou trompeurs par ses soins, et qui pourraient entraîner de graves conséquences selon elle, est interdit. Pour porter un tel jugement, le géant de réseaux sociaux s'appuie sur «les déclarations ou les affirmations qui ont été confirmées comme étant fausses ou trompeuses par des experts en la matière, tels que les autorités de santé publique».

    «Twitter semble censurer la science si elle va à l'encontre de leurs propres objectifs d'endoctrinement public» Une défense loin de convaincre le docteur Scott Atlas, qui rappelle dans un e-mail adressé à Newsweek, que son tweet citait plusieurs sources officielles sur l'efficacité du port généralisé du masque. «Twitter semble censurer la science si elle va à l'encontre de leurs propres objectifs d'endoctrinement public», a-t-il réagi.

    Dans un message ultérieur, le docteur Scott Atlas avait par ailleurs précisé qu'il n'argumentait pas contre le port de masque, mais qu'il remettait en cause son efficacité dans des situations où la distanciation sociale est impossible et en présence personnes à haut risque. Longtemps larvé, le conflit entre le réseau social Twitter et le président américain Donald Trump est désormais totalement ouvert, et les escarmouches fréquentes.

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  28. Le président étasunien dénonce de longue date ce qu'il estime être un biais idéologique et politique de la part des géants de la Silicon Valley. Il a notamment signé le 28 mai un décret visant à redéfinir la protection dont bénéficient les réseaux sociaux, et la latitude dont ils disposent dans la modération de leurs contenus.

    https://francais.rt.com/international/79844-twitter-censure-message-d-conseiller-maison-blanche-contestant-efficacite-masque

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  29. Les 45 respirateurs livrés par la Russie ont été détruits sans être utilisés aux USA


    17:06 20.10.2020
    Par Irina Tarassova


    Selon BuzzFeed, se référant à l'agence fédérale de gestion des secours (FEMA), les 45 respirateurs russes destinés à aider les États-Unis dans la lutte contre le coronavirus ont été détruits sans être utilisés. En cause: une différence de tension électrique.

    Les respirateurs sont cruciaux pour sauver des vies car ils permettent d'assurer la ventilation artificielle des poumons des patients souffrant d'une pneumonie causée par le Covid-19. Cependant, les appareils livrés par la Russie n'ont pas été utilisés aux États-Unis car ils n’étaient pas compatibles avec la tension électrique locale.

    Selon BuzzFeed qui se réfère à l'agence fédérale de gestion des secours (FEMA), les services d'urgence américains ont détruit ces 45 unités d’équipement médical.

    «Les respirateurs offerts en question ont été détruits dans le strict respect de la réglementation sur l’élimination des déchets dangereux», a déclaré un porte-parole de la FEMA.
    L'envoi de matériel russe à New York

    Conformément à l’accord obtenu entre Vladimir Poutine et Donald Trump sur la livraison d’aide médicale russe aux États-Unis, un Antonov An-124-100 Rouslan des Forces aérospatiales russes chargé d’équipements médicaux a atterri le 1er avril à l’aéroport John F. Kennedy de New York.
    Après avoir reçu l'aide humanitaire russe, le personnel de la FEMA l'a distribuée parmi des hôpitaux de New York, alors foyer majeur de l'épidémie américaine.

    Outre des respirateurs, parmi les équipements médicaux russes envoyés aux États-Unis se trouvaient également des masques, des gants, des blouses et des écrans faciaux.

    Le geste avait été qualifié de «très gentil» par Donald Trump.

    https://fr.sputniknews.com/international/202010201044607351-les-45-respirateurs-livres-par-la-russie-ont-ete-detruits-sans-etre-utilises-aux-usa/

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    1. Comme en tous pays existent des tensions différentes c'est aux pays de s'adapter au matériel livrés via transformateur ou de commander des appareils en précisant la tension.

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  30. Et si le Covid-19 déclenchait cette maladie incurable ? Les médecins enquêtent


    18:08 20.10.2020
    Par Julia Belyakova


    Lorsque des patients ayant vaincu le Covid-19 ont découvert qu’ils avaient désormais du diabète, des médecins ont entamé des études visant à découvrir le lien entre ces deux maladies et le processus de déclenchement de la seconde, rapporte Reuters.

    Le cas de Mario Buelna, un Américain en bonne santé de 28 ans, qui a été testé positif au Covid-19 et à qui, des semaines après avoir vaincu la maladie, les médecins ont diagnostiqué un diabète de type 1 qu’il n’avait pas avant, n’est pas isolé, relatent les médecins cités par l’agence de presse Reuters. Mario Buelna a expliqué qu’il lui avait été expliqué que c’était le Covid-19 qui était derrière son diabète.

    En juillet les autorités sanitaires des États-Unis ont découvert que presque 40 % des gens morts des suites du Covid-19 souffraient de diabète. Désormais, les cas semblables à celui de Mario Buelna laissent supposer un lien entre les deux affections.

    «Le Covid peut provoquer le diabète à partir de rien», selon le médecin Francesco Rubino, chercheur spécialisé sur le diabète au collège Royal de Londres.

    Il dirige l'équipe internationale qui recueille les cas de patients du monde entier pour résoudre l’une des plus grandes énigmes de la pandémie. D'après lui, plus de 300 médecins ont en premier lieu présenté des demandes pour la révision des cas de maladie, et il attend que leur nombre grandisse dans la mesure d’une nouvelle explosion des infections par le coronavirus.

    «Ces cas viennent de tous les coins du monde et de tous les continents», détaille Francesco Rubino.
    «Plus de questions que de réponses»

    L’Institut national de la Santé des États-Unis finance une étude qui vise à comprendre comment le coronavirus peut provoquer une glycémie élevée et le diabète, indique le média.

    «Nous avons plus de questions que de réponses. Nous pourrions faire face à une nouvelle forme de diabète», a déclaré le Dr Robert Eckel, membre actif de l’Association américaine du diabète.

    Dans cette situation, les symptômes peuvent s'aggraver rapidement et devenir dangereux. Ils peuvent se manifester quelques mois après la contamination par le Covid-19, de sorte que l'ensemble du problème et les conséquences à long terme pourraient être inconnues avant l'année prochaine.

    Des études plus importantes pour définitivement prouver que le Covid-19 provoque le diabète sont néanmoins nécessaires, estiment les médecins.

    https://fr.sputniknews.com/sante/202010201044607673-et-si-le-covid-19-declenchait-cette-maladie-incurable-les-medecins-enquetent/

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    Réponses
    1. (...) En juillet les autorités sanitaires des États-Unis ont découvert que presque 40 % des gens morts des suites du Covid-19 souffraient de diabète. (...)

      Mais rien n'est dit qu'ils ne l'avaient pas avant !
      Perso, je n'ai jamais entendu parler que les personnes décédées du corona étaient des diabétiques !

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  31. L'Amérique a-t-elle un problème de COVID ou un problème d'obésité ?


    par Tyler Durden
    Mar, 10/20/2020 - 17:05


    Bien que nous ayons déjà signalé - et c'est maintenant de notoriété publique - que Covid-19 ne tue généralement que les très vieux avec pratiquement aucun décès dans la catégorie des 45 ans et moins et la plupart des décès dans la catégorie des 75 ans et plus.

    En effet, comme l'a noté Jim Reid de Deutsche Bank en discutant de l'âge moyen des décès dus à Covid, "il est remarquablement cohérent autour de la barre des 80-82 ans".

    Puis du jour au lendemain, John Authers de Bloomberg a souligné à quel point ce taux de mortalité varie d'un pays à l'autre, en faisant référence à un autre graphique de Jim Reid:

    - voir graphique sur site -

    Comme l'écrit Authers, "Les États-Unis sont une valeur aberrante remarquable. Comment cela peut-il être ?"

    Selon Reid, une petite partie de cela pourrait être due au fait que de nombreux autres pays ont une population plus âgée. Par exemple, l’âge médian de l’Italie est de 45 ans (43 ans en Europe), alors qu’il est de 38 ans aux États-Unis.

    Cependant, une autre explication proposée par le commentateur de Bloomberg, qui alimente le débat politique du moment, "est que tous les autres pays développés de ce graphique ont une forme de santé publique universelle". Mais plutôt que de se laisser entraîner dans ce débat, Authers se penche plutôt sur l'âge moyen normal des personnes au moment de leur décès. Voici un graphique de l'espérance de vie (en années) à la naissance pour tous les membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques:

    - voir graphique sur site -

    Comme le montre le graphique ci-dessus, les États-Unis - qui, comme nous en avons discuté la semaine dernière, se transforment en une république bananière avec seulement 50% de la population dans les ménages à revenu moyen, à peu près la même catégorie que la Turquie, la Chine et la Russie. - a une espérance de vie inférieure à celle de la République tchèque ou du Chili, et n'est en retard que par les pays nettement plus pauvres. Il traîne les autres grandes économies de plusieurs années, dans de nombreux cas à peu près égal à l'écart d'âge auquel les victimes de Covid-19 meurent.

    Selon Authers, au lieu de se concentrer sur Covid, "il pourrait être logique que le débat américain sur la santé tourne autour de traiter cela comme une honte nationale et d'essayer de faire une cause commune pour le réparer, plutôt que d'avoir un argument politique aride, mais je m'éloigne du sujet . "

    Ce qui nous amène au sujet à l'étude, à savoir est-ce que l'Amérique a un problème de covid, ou est-ce juste une extension du problème beaucoup plus grave de l'obésité en Amérique. À savoir, le diabète est l'un de ses plus grands effets qui raccourcissent la vie. Voici les chiffres les plus récents de l'OCDE sur la prévalence du diabète:

    - voir graphique sur site -

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  32. Comme le fait remarquer Authers, "les États-Unis ne sont derrière que les pays beaucoup plus pauvres de Turquie et du Mexique dans cette catégorie lamentable, et ont plus du double de la prévalence du diabète des principales économies développées d'Europe", et résume:

    - voir graphique sur site -

    Une fois que le pays aura fini de se déchirer face à la pandémie, qui ne se produira probablement qu'une fois que le virus aura finalement disparu, un nouveau débat sur le diabète et l'obésité sera nécessaire. Espérons qu’il pourra être plus constructif que l’actuel.

    Les chiffres montrent également pourquoi les États-Unis ont eu une période relativement difficile à contenir la pandémie selon l'auteur Bloomberg, et suggèrent également qu'un modèle «suédois» de «protection ciblée» pour les plus vulnérables pourrait être plus difficile à appliquer aux États-Unis. , car une proportion beaucoup plus élevée d'Américains obèses sont à risque. En d'autres termes, "permettre à la plupart de la population de reprendre une vie normale exigera de confiner beaucoup de gens chez eux pendant la durée - à en juger par les chiffres du diabète, peut-être deux fois plus qu'en Suède, en proportion de Comme le dit Authers, «ce n'est pas faisable».

    Bien sûr, les préoccupations concernant l'épidémie d'obésité - et pas seulement aux États-Unis - ne sont pas nouvelles, et nous les avons couvertes pendant une grande partie de la dernière décennie. De plus, la tentative des investisseurs de tirer profit de l'obésité n'est pas non plus nouvelle. En 2012, Bank of America a publié un rapport sur «Globesity» qu'elle a décrit comme l'une des trois méga-tendances mondiales. Comme nous le rappelle Authers, «il proposait une liste de 50 actions qui, selon lui, bénéficieraient d'une lutte mondiale contre l'obésité, y compris des noms contre-intuitifs tels que Pepsico Inc. et Nestle SA, qui, selon lui, étaient mieux positionnés pour aller vers moins des produits d'engraissement - mais qui produisent beaucoup de produits, comme les boissons sucrées, qui contribuent à l'obésité. "

    Un an plus tôt, Solactive a lancé un indice d'obésité des petites entreprises travaillant dans les médicaments et les diagnostics liés à la question - principalement le diabète. Peu de temps après, Janus Henderson a lancé un fonds négocié en bourse pour le suivre, avec le symbole boursier approprié «SLIM». Puis, en janvier de cette année, l'annonce de la liquidation de l'ETF a été faite, un événement qui a finalement eu lieu le 12 mars. Comme l'écrit Authers, «cela représentait une occasion manquée» car c'est ainsi que l'indice d'obésité s'est comporté de manière relative. au S&P 500 depuis sa création

    Et voici une statistique remarquable: les SLIMmers ont fait encore mieux que les FANG depuis le fond du marché, ce qui signifie que les paris sur l'Amérique qui grossissent sont encore plus rentables que les paris sur les giga-caps.

    Cela dit, comme le note Authers à en juger par les évaluations actuelles de l'indice d'obésité, l'opportunité à court terme est peut-être passée. Il se négocie à un ratio P / E insensé de 94,66x, (qui «tombe» à 30,4 si l'on exclut les entreprises non rentables). À plus long terme, cependant, la leçon selon Authers selon laquelle tous les pays devraient tirer les leçons de la terrible expérience des États-Unis au cours des huit derniers mois est que toute urgence sanitaire donnée s'aggrave encore si vous êtes en surpoids.

    En résumé, "il est trop tard pour participer à la bataille contre Covid-19, et il est trop tard pour profiter des plus petites entreprises travaillant dans la lutte contre le diabète, mais le monde devra lutter contre l'obésité. En temps voulu, les capitaux circuleront vers le financement de ce combat. "

    https://www.zerohedge.com/markets/does-america-have-covid-problem-or-obesity-problem

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  33. Covid-19 : premières applications de traçage interconnectées dans l'UE


    Le Figaro
    mar., 20 oct. 2020 21:50 UTC


    Les applications de traçage des cas de coronavirus d'Allemagne, d'Irlande et d'Italie sont désormais interconnectées dans le cadre d'un système qui pourrait concerner au total 20 pays européens, a annoncé ce lundi la Commission européenne, au moment où l'UE est confrontée à la deuxième vague de la pandémie.

    Le système permettant cette interconnexion ne fonctionne toutefois pas avec les applications basées sur un protocole « centralisé » choisies par la France et la Hongrie. La « passerelle » mise au point par la Commission, opérationnelle après une phase de test en septembre, ne concerne que les applications dites « décentralisées », déjà mises en place dans 17 pays de l'UE et en projet dans trois autres.

    Les premières à être connectées, «Corona-Warn-App» en Allemagne, « COVID tracker » en Irlande et « Immuni » en Italie, ont été téléchargées par environ 30 millions de personnes, soit les deux tiers des téléchargements d'applications de traçage dans l'UE, selon l'exécutif européen.

    Un deuxième groupe d'applications doit être connecté la semaine prochaine: celles de République tchèque, Danemark, Lettonie et Espagne, tandis que d'autres le seront en novembre, selon le communiqué de la Commission. Le système permet aux applications de fonctionner par-delà les frontières, et aux utilisateurs de n'installer qu'une seule application.

    « La libre circulation fait partie intégrante du marché unique. La passerelle permet de la rendre plus aisée tout en contribuant à sauver des vies », a souligné le commissaire européen au Marché intérieur, Thierry Breton. « Alors que le nombre de cas repart à la hausse, ces applications peuvent jouer un rôle important pour nous aider à briser les chaînes de transmission », a estimé la commissaire à la Santé, Stella Kyriakides, « invitant » la population à les utiliser.

    L'interconnexion des applications permet aux utilisateurs de continuer à bénéficier du traçage des contacts et à recevoir des alertes, que ce soit dans leur pays d'origine ou à l'étranger. L'échange de données avec le serveur passerelle est réduit au minimum et les informations sont « pseudonymisées, cryptées, limitées », selon la Commission.

    L'exécutif européen avait émis des recommandations à l'attention des États membres pour la mise en place de ces applications, en préconisant notamment qu'elles soient installées sur une base volontaire. Le gouvernement portugais a décidé de passer outre en annonçant la semaine dernière son intention de demander au Parlement de légiférer en urgence pour rendre obligatoire l'application de traçage lancée début septembre dans le pays.

    Commentaire : C'est gentil de prendre soin de nous comme ça. Même... c'est trop gentil. Ils devraient essayer plutôt tout au moins de faire semblant de travailler et de lutter vraiment pour "anéantir" définitivement ce virus monstrueux. Ça serait la moindre des choses...

    https://fr.sott.net/article/36193-Covid-19-premieres-applications-de-tracage-interconnectees-dans-l-UE

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  34. Les mains en l'air ! Votre poisson ou votre électricité. Macron menace de couper l'interconnexion avec le Royaume-Uni


    October 20th, 2020


    Le Royaume-Uni veut récupérer son territoire de pêche dans le cadre d'un accord sur le Brexit. Les Français ne sont pas très heureux de cela, mais comme le Royaume-Uni est fortement dépendant des interconnexions françaises, Macron peut et tient le réseau électrique britannique en otage.

    L'énergie verte place le Royaume-Uni dans une position de négociation beaucoup plus faible.

    Les interconnexions françaises sous la Manche sont nécessaires à la fois pour importer de l'énergie nucléaire fiable et pour vendre l'excès d'électricité verte et non fiable produite par l'énergie éolienne britannique à des moments aléatoires. La «valeur» des ventes d'énergie est supérieure à la valeur des pêcheries (au moins en monnaie forte). Mais les importations britanniques sont plus importantes que les exportations, et le réseau électrique britannique est si fragile qu'il a chuté l'an dernier, laissant les gens coincés dans des trains souterrains pendant des heures et coupant un million de clients en un instant. La plus grande faiblesse de toutes est probablement le recours à une puissance étrangère pour simplement garder les lumières allumées. Le coût des pannes de courant imprévues l'emporterait sur tout le reste. Et le Français pourrait-il «casser» le réseau britannique avec un déni plausible et une panne peu pratique ? Désolé mais l'interconnecteur a eu un défaut ?

    Je sais qu’ils ne joueront peut-être pas ce moyen maintenant, mais qui sait qui sera en charge en France dans dix ans.

    Macron dans une punition ultime pour le Brexit avec la menace de dévaster le Royaume-Uni avec un blocus énergétique
    Oli Smith, Express.co

    Emmanuel Macron a réagi avec fureur aux affirmations de Boris Johnson selon lesquelles les négociations commerciales sont «terminées» entre le Royaume-Uni et l'UE. M. Macron a joué dur dans les pourparlers sur la pêche, insistant jeudi sur le fait que les pêcheurs français ne «seraient pas sacrifiés» au nom d'un accord. Cependant, si le Royaume-Uni quitte l'UE sans accord, les pêcheurs français pourraient être bannis des eaux britanniques.

    En réponse, le président français a signalé que l'UE lancerait un embargo énergétique dévastateur contre le Royaume-Uni à moins que Boris Johnson ne cède sur la pêche.

    À la suite du sommet de l'UE à Bruxelles vendredi, M. Macron a déclaré à la radio française que si le Royaume-Uni n'autorisait pas les pêcheurs français dans ses eaux, l'UE devrait bloquer l'approvisionnement en énergie du Royaume-Uni sur le marché européen.

    Comme le souligne Rafe Champion, les ventes d'énergie valent plus que le poisson:

    Il a suggéré que le droit de pêcher dans les eaux britanniques valait 650 millions d'euros pour les pêcheurs de l'UE, mais que l'accès aux marchés européens de l'énergie valait jusqu'à 2,3 milliards de livres (2,5 milliards d'euros) pour le Royaume-Uni.

    Le Royaume-Uni importe plus d'électricité qu'il n'en exporte. Environ 11 % de sa puissance totale provient du continent. La moitié vient de France. 3 % des Pays-Bas, 2,5 % de la Belgique.

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  35. Mai 2019: La liaison Nemo, qui relie Richborough dans le Kent à Zeebrugge et qui a commencé à fonctionner à la fin du mois de janvier, a augmenté d’un tiers la capacité des connexions électriques de la Grande-Bretagne avec l’Europe continentale.

    Qu'est ce qui pourrait aller mal ?

    Les Belges et les Néerlandais pourraient aussi aimer la pêche.

    De toute évidence, il est dans l’intérêt de presque tous les pays de tromper leurs concurrents pour qu’ils réduisent les émissions de carbone avec des générateurs peu fiables. Des joueurs intelligents et impudiques parlent d'énergie verte et signent des promesses sans signification tout en s'assurant que leur propre réseau est fiable et bon marché. Des patsies crédules stupides s'inscrivent pour de vraies promesses et les tiennent.

    Quelle nation est la plus grande pute de cette chaîne internationale ?

    La plus grande nation verte dupé sur Terre se rend sûrement en Australie avec l'augmentation par habitant la plus rapide de générateurs aléatoires tout en reposant simultanément sur 300 ans de charbon et les plus grandes réserves d'uranium au monde. Mais les candidatures de Grande-Bretagne et d'autres seront prises en compte. Faites votre cas. Les Dupes verts sont applaudis bruyamment aux junkets de l'ONU, mais foutus à la table des négociations ou écrasés sur les marchés concurrentiels.

    Conseil pratique à nos amis britanniques, la Chine étant si méchante envers l'Australie et réduisant ses exportations de charbon la semaine dernière, nous avons du charbon d'excellente valeur à revendre pour les centrales électriques britanniques. Il suffit de demander…

    h / t À BennyBeatts et Rafe Champion à Catallaxy.

    http://joannenova.com.au/2020/10/hands-up-your-fish-or-your-electricity-macron-threatens-to-cut-interconnector-to-uk/

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  36. LES ANGLAIS DISJONCTENT ! Godes Save The Queen'

    Des volontaires seront infectés par le coronavirus au Royaume-Uni


    22:34 20.10.2020
    Par Julia Belyakova


    Dans sa quête d’un vaccin efficace contre le Covid-19, la compagnie pharmaceutique Open Orphan Plc prévoit de mettre en œuvre une expérience unique dans le cadre de laquelle un groupe de volontaires sera infecté par le nouveau coronavirus, relate Bloomberg.

    L’entreprise pharmaceutique Open Orphan Plc au Royaume-Uni envisage de faire des expériences dans lesquelles un groupe de volontaires sera infecté par le coronavirus, rapporte le groupe médiatique Bloomberg.

    L’agence de presse indique que le gouvernement du pays a signé un contrat avec la compagnie pharmaceutique Open Orphan Plc concernant la mise en place du programme Human Challenge, qui aidera à accélérer l'élaboration d’un vaccin contre le Covid-19.

    Dans le cadre des essais afin d’établir la dose minimale nécessaire pour que la personne soit infectée par le SARS-CoV-2, un groupe de volontaires recevra ce nouveau virus. Il a été précisé que l'état de santé des candidats sera observé de très près et que les individus courant le risque de développer une forme grave de la maladie ne seront pas autorisés à participer à l'expérience.

    Une expérience unique

    Selon Open Orphan Plc, l'étude est unique, puisque les essais semblables sont effectués habituellement sur des volontaires en présence de remèdes connus à l'efficacité prouvée. La compagnie reconnaît que le programme actuel soulève des questions d'éthique et souligne que l'initiative doit obtenir l'autorisation des autorités britanniques et du comité spécialement convoqué.

    Les compagnies conceptrices de vaccins Pfizer Inc. et AstraZeneca ont déclaré à Bloomberg qu’elles n'envisageaient pas de lancer des essais semblables.

    Il est envisagé d’allouer 43 millions de dollars pour cette expérience qui est prévue dans la subdivision spécialisée du Royal Free Hospital de Londres.

    Quels en sont les avantages ?

    Les partisans de l'étude voient en elle un avantage car ils estiment qu’elle contribuera à l'élargissement des connaissances sur l'immunité, l'efficacité des vaccins, ainsi qu'à une estimation des risques de contamination répétée d’une personne par le coronavirus.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202010201044609247-des-volontaires-seront-infectes-par-le-coronavirus-au-royaume-uni/

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  37. Les pénuries alimentaires frappent la Chine: il n'y a "pas ... assez d'aliments frais qui circulent"


    par Tyler Durden
    Mar, 10/20/2020 - 17:25
    Rédigé par Robert Wheeler via le blog The Organic Prepper,


    Au cours des dernières semaines, j'ai écrit des articles sur une pénurie alimentaire à venir. J’ai souligné que la pénurie alimentaire allait frapper durement les États-Unis, mais qu’elle affecterait également le reste du monde.

    Une crise mondiale d'hystérie autour du COVID, entraînant la fermeture de l'économie mondiale, l'interruption de la chaîne d'approvisionnement et la destruction des produits alimentaires, ainsi que les guerres commerciales internationales et les catastrophes naturelles, vont se heurter et en faire l'hiver l'un des plus difficiles jamais enregistrés.

    La Chine reconnaît publiquement une pénurie alimentaire à venir.

    Mais si beaucoup ont rejeté mes affirmations, je voudrais attirer votre attention sur le fait que la Chine reconnaît maintenant publiquement une pénurie alimentaire à venir. (Et comme indiqué dans cet article, quand ils admettent qu'il y a un problème, c'est un GROS problème.) En fait, la Chine a même une campagne anti-gaspillage alimentaire en cours dans tout le pays cette minute pour encourager les gens à manger des demi-portions ou à assurez-vous au moins de finir leurs assiettes.

    Dans un article du New York Times du 5 octobre intitulé «L'appel de la Chine à l'heure du repas face aux inquiétudes liées à l'approvisionnement alimentaire: ne prenez pas plus que ce que vous pouvez manger», écrit Eva Dou,

    À première vue, la campagne de la Chine pour encourager l’économie des repas a été une bonne affaire, avec des soldats, des ouvriers et des écoliers en train de polir leurs assiettes sans nourriture.

    Mais derrière le lecteur est une dure réalité. La Chine n'a pas assez de nourriture fraîche pour tout le monde - et une grande partie du monde non plus.

    La pandémie et les conditions météorologiques extrêmes ont perturbé les chaînes d'approvisionnement agricoles, laissant les prix des denrées alimentaires nettement plus élevés dans des pays aussi divers que le Yémen, le Soudan, le Mexique et la Corée du Sud. Les Nations Unies ont averti en juin que le monde était au bord de sa pire crise alimentaire en 50 ans.

    «C’est effrayant et écrasant», a déclaré Arif Husain, économiste en chef du Programme alimentaire mondial des Nations Unies, dans une interview. "Je ne pense pas que nous ayons jamais rien vu de tel."

    Ce sont des mots forts, c'est le moins qu'on puisse dire.

    À l'heure actuelle, les produits alimentaires en Chine qui font face à la situation la plus difficile sont le maïs et le porc. L’industrie porcine chinoise a été durement touchée par la peste porcine africaine (du moins nous dit-on) et les inondations ont ruiné une grande partie des cultures de maïs chinoises. Mais ce ne sont pas seulement ces deux produits qui sont à risque. Les aliments frais de toutes sortes sont rares pour les mêmes raisons que les États-Unis, à savoir des politiques de fermeture insensées.

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  38. La Chine prétend qu'elle n'est pas actuellement en crise alimentaire et tente de rassurer la population qu'elle a suffisamment de blé en réserve pour nourrir tout le monde pendant un an. Mais la réalité est différente des affirmations, car les prix du porc en Chine ont augmenté de 135 % en février et les inondations ont tué tant de cultures maraîchères.

    Vous vous demandez peut-être comment cette pénurie en Chine nous affecte.

    Ironiquement, la Chine dépend des États-Unis pour combler son déficit en maïs. Malgré le fait que nous sommes prétendument dans une guerre commerciale avec la Chine et le fait que les Américains seront bientôt confrontés à une pénurie de nourriture, il est probable que le bon vieux USA dira à ses citoyens d'en prendre une pour l'équipe une fois de plus. et aider à stabiliser la dictature communiste brutale que les Américains ont bâtie en expédiant leurs emplois à l'étranger avec le libre-échange.

    Les troubles politiques vont de pair avec l'insécurité alimentaire.
    Et il est vrai que le gouvernement chinois ne considère peut-être pas la crise alimentaire comme la plus grande préoccupation. Au lieu de cela, il considère les troubles politiques comme la plus grande menace. Les troubles politiques, malheureusement pour le Parti communiste chinois, sont le résultat direct, notamment en Chine, de l'insécurité alimentaire.

    Ses deux bouleversements politiques majeurs - les années 1950 et 1980 - sont survenus à un moment où la nourriture était rare.

    Mais, pour l’instant, la Chine tente de convaincre sa population d’embrasser volontairement l’austérité et par la honte sociale (comme les masques américains) afin de conjurer un peu plus la crise. Dou décrit la campagne «Clean Plate» dans son article en écrivant:

    La solution de Pékin a été une «Campagne pour assiettes propres» ensoleillée lancée en août, dans le but de réduire la consommation de nourriture sans déclencher l’alarme du public. À l'instar des jardins de la victoire américains de la Seconde Guerre mondiale, la campagne consiste autant à tenter d'unir le pays autour d'une mission patriotique en période de détresse qu'à sécuriser l'approvisionnement alimentaire.

    Les restaurants à travers le pays distribuent des «demi-portions» en ligne avec le lecteur. Certains, comme la chaîne haut de gamme de canards pékinois Quanjude, ont demandé aux serveurs de harceler les convives de ne pas gaspiller. D'autres restaurants infligent une amende aux gens qui en ont trop laissé dans leur assiette.

    Dans une école élémentaire du sud de la Chine, les élèves doivent envoyer chaque soir aux enseignants de courtes vidéos de leur dîner pour vérifier qu'ils nettoient leurs assiettes, selon le People’s Daily. Un certain nombre de cantines universitaires offrent des fruits et autres petits cadeaux aux étudiants qui terminent leur déjeuner.

    Même le milliardaire Jack Ma, fondateur du géant de la vente en ligne Alibaba, a été filmé en train de sauver de la nourriture. Une vidéo virale récente le montre en train de demander que son crabe et son homard inachevés soient mis en boîte pour partir.

    «Emballez-le, emballez-le, emballez-le ! dit-il dans la vidéo. «Je vais le manger dans l'avion.»

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  39. Il est bien entendu interdit aux fonctionnaires du gouvernement d'organiser de somptueux banquets pendant cette période.

    C'est un problème mondial.

    Les économistes du Programme alimentaire mondial ont déjà estimé que 270 millions de personnes dans le monde souffrent de la faim cette année. C’est plus du double du montant de l’année dernière. Ce nombre n'inclut pas la Chine, les États-Unis et l'Europe, car ils sont tous considérés comme des pays à sécurité alimentaire.

    Compte tenu de ce que chacun peut voir de ses propres yeux sur les étagères américaines et de la récente campagne «assiette propre» en Chine, le terme «sécurité alimentaire» est utilisé généreusement ces jours-ci.

    Bien que nous puissions avoir de la chance et éviter la balle, nous vous encourageons fortement à vous préparer tant que vous le pouvez. Même si aucune pénurie majeure ne se produit, vous couvrirez votre pari contre les prix alimentaires qui augmenteront presque certainement considérablement au cours des prochaines années.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/food-shortages-hit-china-there-notenough-fresh-food-go-around

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  40. La nouvelle normalité de San Fran: le troisième Walgreens en un an est fermé en raison d'un "vol à l'étalage effréné"


    par Tyler Durden
    Mar, 10/20/2020 - 21:05


    Les effets de permettre au chaos de prévaloir dans les villes libérales à travers l'Amérique ne sont peut-être pas évidents pour les libéraux maintenant, mais lorsque leurs villes se videront complètement, cela deviendra parfaitement clair.

    C'est le cas à San Francisco, où la nouvelle norme de vol à l'étalage et de chaos de la ville a chassé une autre pharmacie Walgreens de la ville.

    La décision de fermer les Walgreens à Van Ness et Eddy est intervenue après "des mois à voir ses étagères nettoyées à plusieurs reprises par des voleurs effrontés", selon le SF Chronicle. L'emplacement desservait "de nombreuses personnes âgées" qui vivaient dans la région.

    Un client a déclaré au journal: "Nous savions tous que cela allait arriver. Chaque fois que nous y allons, ils ont toujours des problèmes avec les voleurs à l'étalage."

    Le même client a photographié quelqu'un dans le magasin, quelques jours auparavant, «en train de nettoyer quelques étagères et de placer les marchandises dans un sac à dos». Parce que quand il n'y a pas de police et que les politiciens ont peur d'appliquer la loi - pourquoi pas?

    La peine pour vol à l'étalage est un «délit non violent» passible d'une peine maximale de 6 mois. Mais dans la plupart des cas, pour un simple vol à l'étalage, le criminel est simplement libéré sous conditions.

    Le client, qui habite à un pâté de maisons, a déclaré: «Je suis désolé pour les employés, ils sont régulièrement agressés verbalement. Les greffiers disent qu'ils ne peuvent rien faire. Ils disent que la politique de Walgreens est de ne pas s’impliquer. Ils ne veulent pas que quiconque se blesse ou soit poursuivi en justice, alors les gars continuent simplement à entrer et à prendre ce qu'ils veulent. "

    Lorsque la Chronique est allée visiter le magasin, ils ont remarqué «allée après allée d'étagères presque vides» et ont déclaré que les produits de beauté semblaient être une cible privilégiée. Pendant que la Chronique était dans le magasin, un homme avec un masque est entré, a vidé deux étagères dans un sac et est sorti par la porte.

    Lorsqu'ils ont demandé à un commis où se trouvaient tous les produits, le greffier a répondu: «Allez demander aux gens dans les allées, ils ont tout.»

    L'entreprise Walgreen a commenté: «Le crime organisé dans le commerce de détail à San Francisco a accru le défi pour tous les détaillants, et Walgreens n'est pas à l'abri de cela.»

    Cet emplacement est le troisième Walgreens à fermer dans la ville au cours de la dernière année.

    https://www.zerohedge.com/political/san-frans-new-normal-third-walgreens-year-closing-due-rampant-shoplifting

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    1. C'est pareil en France avec les 'réfugiés climatiques' !

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  41. Ne votez pas pour un psychopathe: la tyrannie aux mains d'un gouvernement psychopathe


    Par John W. Whitehead
    L'Institut Rutherford
    21 octobre 2020


    «Les politiciens sont plus susceptibles que les personnes de la population générale d'être des sociopathes. Je pense que vous ne trouverez aucun expert dans le domaine de la sociopathie / psychopathie / trouble de la personnalité antisociale qui contesterait cela ... Qu'une petite minorité d'êtres humains n'a littéralement pas de conscience était et est une pilule amère à avaler pour notre société - mais cela explique beaucoup de choses, un comportement politique sans vergogne en étant un. »- Dr. Martha Stout, psychologue clinicienne et ancienne instructrice à la Harvard Medical School

    Il y a vingt ans, un titre de journal posait la question: "Quelle est la différence entre un politicien et un psychopathe ?"

    La réponse, hier et aujourd'hui, reste la même: aucune.

    Il n'y a aucune différence entre les psychopathes et les politiciens.

    Il n'y a pas non plus de grande différence entre les ravages causés à des vies innocentes par des criminels indifférents, insensibles, égoïstes, irresponsables, parasites et des élus qui mentent à leurs électeurs, échangent des faveurs politiques contre des contributions électorales, ferment les yeux sur les souhaits de la l'électorat, tromper les contribuables avec des dollars durement gagnés, favoriser l'élite corporative, enraciner le complexe militaro-industriel et épargner peu de réflexion sur l'impact que leurs actions irréfléchies et leurs lois adoptées à la hâte pourraient avoir sur les citoyens sans défense.

    Les psychopathes et les politiciens ont tous deux tendance à être égoïstes, insensibles, utilisateurs impitoyables des autres, irresponsables, menteurs pathologiques, désinvoltes, escrocs, manquant de remords et superficiels.

    Les politiciens charismatiques, comme les psychopathes criminels, manifestent un échec à accepter la responsabilité de leurs actes, ont un sens élevé de l'estime de soi, sont chroniquement instables, ont des modes de vie socialement déviants, ont besoin d'une stimulation constante, ont des modes de vie parasites et possèdent des objectifs irréalistes.

    Peu importe que vous parliez de démocrates ou de républicains.

    Les psychopathes politiques sont tous en grande partie coupés du même tissu pathologique, débordant d'un charme apparemment facile et se vantant d'esprit calculateur. De tels dirigeants finissent par créer des pathocraties: des sociétés totalitaires déterminées par le pouvoir, le contrôle et la destruction à la fois de la liberté en général et de ceux qui exercent leurs libertés.

    Une fois que les psychopathes ont acquis le pouvoir, le résultat est généralement une forme de gouvernement totalitaire ou une pathocratie. «À ce stade, le gouvernement opère contre les intérêts de son propre peuple, sauf pour favoriser certains groupes», note l'auteur James G. Long. «Nous assistons actuellement à des polarisations délibérées des citoyens américains, à des actions illégales et à une acquisition massive et inutile de dettes. C'est typique des systèmes psychopathiques, et des choses très similaires se sont produites en Union soviétique alors qu'elle se prolongeait et s'effondrait.

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  42. En d'autres termes, élire un psychopathe à une fonction publique équivaut à un hara-kiri national, l'acte ritualisé d'auto-annihilation, d'autodestruction et de suicide. Il signale la disparition d'un gouvernement démocratique et jette les bases d'un régime totalitaire légaliste, militariste, inflexible, intolérant et inhumain.

    Incroyablement, malgré des preuves claires des dommages qui ont déjà été infligés à notre nation et à ses citoyens par un gouvernement psychopathe, les électeurs continuent d'élire des psychopathes à des postes de pouvoir et d'influence.

    En effet, une étude de la Southern Methodist University a révélé que Washington, DC - la capitale de notre nation et le siège du pouvoir de nos soi-disant représentants - occupe la première place sur la liste des régions peuplées de psychopathes.

    Selon le journaliste d'investigation Zack Beauchamp, «En 2012, un groupe de psychologues a évalué chaque président de Washington à Bush II en utilisant« des estimations de traits de psychopathie dérivées de données de personnalité complétées par des experts historiques sur chaque président. »Ils ont constaté que les présidents avaient tendance à avoir le psychopathe. une intrépidité caractéristique et un faible niveau d'anxiété - des traits qui semblent aider les présidents, mais peuvent également les amener à prendre des décisions imprudentes qui blessent la vie d'autres personnes.

    La volonté de donner la priorité au pouvoir par-dessus tout, y compris le bien-être de leurs semblables, la cruauté, la dureté et un manque total de conscience font partie des traits caractéristiques du sociopathe.

    Quand notre propre gouvernement ne nous voit plus comme des êtres humains avec dignité et valeur, mais comme des choses à manipuler, manœuvrer, exploiter pour des données, malmenés par la police, trompés en croyant qu'il a nos meilleurs intérêts à cœur, maltraités, emprisonnés si nous osons marcher hors ligne, puis punis injustement sans remords - tout en refusant de reconnaître ses défauts - nous ne fonctionnons plus sous une république constitutionnelle.

    Au lieu de cela, ce que nous vivons est une pathocratie: la tyrannie aux mains d'un gouvernement psychopathe, qui «opère contre les intérêts de son propre peuple sauf pour favoriser certains groupes».

    Pire encore, la psychopathologie ne se limite pas aux personnes occupant des postes élevés au sein du gouvernement. Il peut se propager comme un virus parmi la population. Comme l'a conclu une étude universitaire sur la pathocratie, «[T] yranny ne s'épanouit pas parce que les auteurs sont impuissants et ignorants de leurs actions. Il s'épanouit parce qu'ils s'identifient activement à ceux qui promeuvent des actes vicieux comme étant vertueux.

    Les gens ne font pas simplement la queue pour saluer. C’est en s’identifiant personnellement à un dirigeant, un parti ou un ordre social donné qu’ils deviennent des agents du bien ou du mal.

    Tout dépend de la manière dont les dirigeants «cultivent un sentiment d'identification avec leurs disciples», explique le professeur Alex Haslam. «Je veux dire une chose assez évidente, c'est que les dirigeants parlent de« nous »plutôt que de« moi », et en fait, le leadership consiste à cultiver ce sentiment d'identité partagée à propos du« nous »et à amener les gens à vouloir agir en termes de ce «nous», pour promouvoir nos intérêts collectifs. . . . [Nous] est le seul mot qui a augmenté dans les discours inauguraux au cours du siècle dernier. . . et l’autre est «l’Amérique». »

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  43. L'objectif de l'État corporatif moderne est évident: promouvoir, cultiver et ancrer un sentiment d'identification partagée parmi ses citoyens. À cette fin, «nous le peuple» sommes devenus «nous l'État policier».

    Nous devenons rapidement esclaves d'une machine gouvernementale totalitaire bureaucratique sans visage, sans nom et sans nom qui érode sans cesse nos libertés par d'innombrables lois, statuts et interdictions.

    Toute résistance à de tels régimes dépend de la force des opinions dans l'esprit de ceux qui choisissent de riposter. Cela signifie que nous, citoyens, devons faire très attention à ne pas être manipulés pour marcher de concert avec un régime oppressif.

    Écrivant pour ThinkProgress, Beauchamp suggère que «l'un des meilleurs remèdes contre les mauvais dirigeants pourrait très bien être la démocratie politique».

    Mais qu'est-ce que cela signifie vraiment en termes pratiques ?

    Cela signifie tenir les politiciens responsables de leurs actes et des actions de leur personnel en utilisant tous les moyens disponibles à notre disposition: par le biais d'un journalisme d'investigation (ce que l'on appelait autrefois le quatrième pouvoir) qui éclaire et informe, par le biais de plaintes de dénonciateurs qui dénoncent la corruption, à travers des poursuites qui remettent en question les fautes, et par des manifestations et des actions politiques de masse qui rappellent aux pouvoirs en place que «nous, le peuple», sommes ceux qui appellent les coups.

    N'oubliez pas que l'éducation précède l'action. Les citoyens doivent faire le dur travail de se renseigner sur ce que fait le gouvernement et comment le tenir responsable. Ne vous permettez pas d’exister exclusivement dans une chambre d’écho restreinte aux vues avec lesquelles vous êtes d’accord. Exposez-vous à de multiples sources médiatiques, indépendantes et grand public, et pensez par vous-même.

    D'ailleurs, quelles que soient vos tendances politiques, ne laissez pas vos préjugés partisans l'emporter sur les principes qui servent de base à notre république constitutionnelle. Comme le note Beauchamp, «Un système qui tient réellement les gens responsables devant la conscience plus large de la société peut être l'un des meilleurs moyens de garder les gens sans conscience sous contrôle.

    Cela dit, si nous permettons aux urnes de devenir notre seul moyen de repousser l'État policier, la bataille est déjà perdue.

    La résistance exigera des citoyens disposés à être actifs au niveau local.

    Pourtant, comme je le souligne dans mon livre Battlefield America: The War on the American People, si vous attendez pour agir jusqu'à ce que l'équipe SWAT s'écrase à votre porte, jusqu'à ce que votre nom soit placé sur une liste de surveillance du terrorisme, jusqu'à ce que vous soyez signalé pour un tel Des activités interdites comme recueillir l'eau de pluie ou laisser vos enfants jouer dehors sans surveillance, il sera alors trop tard.

    Cela, je le sais: nous ne sommes pas des chiffres sans visage.

    Nous ne sommes pas des rouages de la machine.

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  44. Nous ne sommes pas des esclaves.

    Nous sommes des êtres humains, et pour le moment, nous avons la possibilité de rester libres, c'est-à-dire si nous défendons sans relâche nos droits et résistons à chaque instant aux tentatives du gouvernement de nous enchaîner.

    Les Fondateurs ont compris que nos libertés ne découlent pas du gouvernement. Ils ne nous ont pas été donnés uniquement pour être emportés par la volonté de l'État. Ils sont intrinsèquement les nôtres. De la même manière, l’objectif fixé par le gouvernement n’est pas de menacer ou de saper nos libertés, mais de les sauvegarder.

    Jusqu'à ce que nous puissions revenir à cette façon de penser, jusqu'à ce que nous puissions rappeler à nos compatriotes américains ce que signifie réellement être libre, et jusqu'à ce que nous puissions tenir ferme face aux menaces qui pèsent sur nos libertés, nous continuerons d'être traités comme des esclaves. esclave d'un État policier bureaucratique dirigé par des psychopathes politiques.

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/john-w-whitehead/dont-vote-for-a-psychopath-tyranny-at-the-hands-of-a-psychopathic-government/

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    1. Dès lors qu'une personne entre dans un parti, il doit fermer sa gueule. De ses idées le parti s'en fout ! Il doit simplement se cantonner à cotiser.
      C'est pourquoi, la formation de psychopathes ne dépend pas de nouveaux entrant avec des idées géniales mais de la stricte application des règles du parti.

      Le mieux est de prendre et de former des jeunes. Des jeunes cons, trisomiques de préférence. La jeunesse nazie est un très bon exemple. Ils doivent être durs et sans pitié pour former et commander des troupes d'assassins.

      Ils doivent se tenir groupé. Ne jamais demander l'avis du Peuple. Le Peuple doit être considéré comme du bétail. Un troupeau vers les laboratoires d'expérimentations puis vers l'abattoir.

      Un parti politique c'est un groupe de psychopathes qui doit apparaître comme étant divisé en plusieurs partis adverses ! Droite, gauche, centre et extrêmes ou républicain et démocrate ou travailliste et conservateur.

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