- ENTREE de SECOURS -



vendredi 23 octobre 2020

Covid : l’ivermectine souligne les méfaits de la politique du médicament

Vendre un produit ou financer une activité à un prix en dessous de sa valeur ne peut être une politique durable, c’est une politique qui ignore volontairement et méprise l’avenir, donc une très mauvaise politique.

Par Gérard Maudrux.

23 OCTOBRE 2020


L’industrie pharmaceutique française, à la pointe au niveau mondial il y a quelques décennies existe-t-elle encore quand on voit l’Institut Pasteur faire appel au mécénat ou aux dons pour tester un vieux médicament courant. Pourquoi et comment ?

L’ivermectine est un autre exemple d’un système destructeur. Il s’agit d’un traitement avancé par certains en phase précoce de la maladie. Les publications sont nombreuses et certains pays l’ont même adopté comme traitement conseillé pour la Covid.

Pour ceux qui veulent creuser, voici la liste d’une soixantaine d’études consacrées à l’ivermectine, qui, à l’inverse de la chloroquine, ne subit pas une avalanche d’études à charge menées en général par des personnes ayant ou ayant eu des rapports financiers avec de gros laboratoires qui verraient d’un très mauvais œil l’émergence d’un traitement bon marché de la Covid.

Ce médicament est reconnu par la FDA comme « antiparasitaire dont l’activité antivirale à large spectre a été démontrée in vitro, capable d’effectuer une réduction d’environ 5000 fois l’ARN viral à 48 h après l’infection Vero- Cellules hSLAM 2 h par le SRAS-CoV-2 « .

MedinCell, biotech montpelliéraine, s’y intéresse de près et lance une étude, avec comme objectif l’obtention d’une AMM en 2021. Pour envisager une AMM, nous sommes dans du sérieux, pas dans l’élucubration d’internautes comme le pensent certains. Rappelons que c’est à l’origine un traitement antiparasitaire, commercialisé dans 90 pays, essentiellement pour la gale mais aussi efficace contre 183 espèces de nématodes, 129 espèces d’insectes et d’acariens et plusieurs virus. Très utilisé chez les vétérinaires.

Fin mars je proposais ici que face à l’urgence les autorités reprennent systématiquement les observations de médecins sur le terrain pour en vérifier leurs résultats de traitements atypiques, ce que fait MedinCell pour l’ivermectine. J’en parlais début juin, et plus en détails il y a un mois.

L’Institut Pasteur en collaboration avec Apteeus n’a rien fait d’autre en testant plus de 2000 molécules, mais sans se préoccuper des constatations de terrain qui auraient évité un travail long et fastidieux et quelques mois qui se chiffrent en milliers de vies. Au passage, s’ils ont vraiment tout testé in vitro comme ils l’affirment, je suis étonné qu’ils n’évoquent pas ivermectine ou hydroxychloroquine, dont l’efficacité in vitro n’est contestée par personne.

Je vois toutefois un hic majeur dans la démarche de MedinCell. Alors que l’ivermectine est utilisée depuis des décennies en dose unique, à titre thérapeutique dans plusieurs indications et dans la Covid dans certains pays ainsi que chez nous par nombre de médecins, le laboratoire cherche à élaborer une forme retard, pour la prescrire à titre préventif une fois par mois, ne s’intéressant pas au traitement des patients touchés par la Covid.

L’étude qui vient d’être lancée va dans un premier temps tester les effets de prises prolongées, effets inconnus car depuis sa sortie, il n’est prescrit qu’en dose unique (ou deux prises pour le VIH par la FDA).


Nous avons affaire à des laboratoires, entreprises privées. Pour survivre, ces laboratoires doivent en permanence innover. Pour financer la recherche, il faut des bénéfices, et sans bénéfices, pas de recherche, et sans recherche, plus de laboratoire. C’est ainsi que l’industrie pharmaceutique française a quasiment disparu.

Regardez le prix de médicaments phares : la boîte de clamoxyl est à 1,99 euro, la boîte de bactrim à 1,78 euro ! Ces prix comprennent la marge du pharmacien, le grossiste et sa marge, ainsi que le transport. Que reste-t-il au laboratoire pour la recherche après le prix du produit, de sa fabrication, de l’emballage avec toutes les contraintes sanitaires afférentes, et après impôts et taxes diverses, et non des moindres.

On vous dit que le médicament n’est pas soumis à TVA, mais on vous cache l’URSSAF, dont on se demande ce qu’elle vient faire ici.

Pour information, outre les cotisations URSSAF habituelles, l’industrie pharmaceutique est soumise à nombre de contributions URSSAF :

la contribution vente en gros (article L138-1 du CSS)

la contribution sur les dépenses de promotion des médicaments (article L245-1 du CSS)

la contribution sur les dépenses de promotion des dispositifs médicaux (article L245-5-1 du CSS)

la contribution sur les premières ventes de dispositifs médicaux (article L245-5-5-1 du CSS)

la contribution sur le chiffre d’affaires (article L245-6 du CSS)

la contribution au titre de médicaments destinés au traitement de l’hépatite C (article L138-19-1 du CSS)

les contributions taux « Lv/Lh » (article L138-10 duCCS)

Taxes logiques ou racket de la haute administration qui a pondu ces textes signés par des ministres ? Le résultat est l’asphyxie de la recherche française.

Pourquoi, au lieu d’une étude débouchant sur un traitement immédiat éprouvé et rapide, MedinCell part sur une étude sur un nouveau traitement incertain et destiné à ceux qui ne sont pas certains de contracter la Covid, pas à ceux qui en sont porteurs ? Aberrant ?

Non simplement et probablement une histoire de gros sous, liée à la politique du médicament. Lancer une étude à quelques millions d’euros pour prouver l’efficacité d’un médicament qui sera vendu par d’autres à un prix dérisoire est un bon moyen de couler l’entreprise. Par contre, en élaborer une nouvelle forme, avec possibilité de commercialisation à un prix correct avec exclusivité pendant quelques années, là c’est économiquement plus crédible, même si cela l’est moins sur le plan santé publique. Ils n’ont pas le choix.

Vous comprendrez ainsi l’état de l’industrie pharmaceutique française, son peu d’intérêt pour les anciens médicaments, et son grand intérêt pour caser les nouvelles molécules. Vous comprendrez pourquoi aucun labo dans le monde n’a fait d’étude pour promouvoir l’hydroxychloroquine, mais pourquoi certains dépensent des milliards pour d’hypothétiques remdésivir, lopinavir et autre ritonavir. Vous comprendrez pourquoi Pasteur fait appel à la charité publique et au mécénat pour tester un vieil antibiotique retiré du commerce depuis 15 ans.

Par contre, comme moi vous comprendrez moins pourquoi en situation d’urgence sanitaire les frais pour des études sur des médicaments tombés dans le domaine public ne sont pas pris en charge par les autorités sanitaires bien qu’étant d’intérêt général avec pour conséquence la dépense de milliards pour les effets secondaires plutôt que des millions pour essayer de les éviter.


Pour encore mieux comprendre, un traitement complet du Covid à l’ivermectine, c’est 8,51 euros, avec le plaquénil c’est 4,17 euros, et pour le remdesivir, c’est 2085 euros.

Actuellement c’est le largactil, la ranitidine, la cyclosporine, dernièrement le clofoctol (Pasteur), et d’autres qui sont essayés, avec des mois de retard. Ces études auraient dû être menées et financées par les autorités. Ne l’envisageant pas, veulent-elles vraiment traiter la Covid ?

Au lieu de voir un laboratoire financer une transformation de l’ivermectine, pourquoi ne pas leur financer une étude sur 2-300 patients, faciles à trouver actuellement sur 20 000 par jour, avec résultats en une semaine. C’est négatif, on arrête d’en parler pendant des mois ; c’est positif, on confirme et on affine avec des études randomisées (pourquoi pas ?), avec une autorisation temporaire avant AMM donnée si les études confirment.

Pourquoi randomiser si cela ne marche pas alors qu’on peut avoir la réponse en une ou deux semaines ? Aujourd’hui on randomise et on met 8 mois pour constater que cela ne marche pas ! Ces procédures ne fonctionnent pas dans une situation d’urgence. Regardez Discovery : on a tout bloqué, autres prescriptions comprises, pour constater 8 mois plus tard qu’il faut repartir de zéro, aucun produit testé n’étant efficace.

Échec total de la méthode se traduisant par des milliers de morts. Notre président par ailleurs chef des armées a dit que nous sommes en guerre. Je ne suis pas militaire mais je me pose une question : est-ce qu’un bon général n’envoie pas des éclaireurs avant la cavalerie lourde pour rien ?

Voici les résultats in vitro de l’ivermectine. Il faut une à deux semaines et quelques centaines d’euros pour savoir si cela se reproduit in vivo, pouvant déboucher sur une autorisation temporaire en attendant le résultat d’études randomisées plus poussées pour AMM. Ne serait-ce pas mieux que de mettre un an pour une éventuelle forme préventive sortant une fois l’épidémie terminée ? Testons, traitons aujourd’hui, et non peut-être demain.

Tout savoir sur l’Ivermectine ici:

https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/wp-content/uploads/2020/09/Ivermectine.pdf

Vendre un produit ou financer une activité à un prix en dessous de sa valeur ne peut être une politique durable, c’est une politique qui ignore volontairement et méprise l’avenir, donc une très mauvaise politique. Lorsqu’il s’agit du médicament, de petites économies pour un résultat à court terme coûtent bien plus cher à moyen et long terme, et sur le pan financier, et sur le plan humain.

https://www.contrepoints.org/2020/10/23/382732-covid-livermectine-souligne-les-mefaits-de-la-politique-du-medicament

40 commentaires:

  1. Actualité. Grippe saisonnière : vers un autre scandale ?


    le 23 octobre 2020


    À ne pas confondre avec la grippe à SARS-Cov-2 la grippe saisonnière, dont on n’a curieusement pas dit un mot ce dernier hiver, est le fait de virus dit Influenza qui varient année après année. Le vaccin plutôt réservé aux « vieux » alors que le principal véhicule de ce virus est l’enfant et l’adolescent pour lesquels le vaccin n’est pas préconisé est maintenant en accès libre et gratuit ici à Santa Cruz de Tenerife dans des petites tentes érigées dans la rue. Ce vaccin, sous le strict contrôle de l’OMS, est conçu pour l’hémisphère nord après isolement des souches du virus ayant sévi 6 mois auparavant dans les pays de l’hémisphère sud. Il arrive donc que le vaccin ainsi mis au point soit totalement inefficace car les souches utilisées pour sa production ont muté. Bref, il faut garder présent à l’esprit que le délai de mise au point est très court même si les techniques de production sont éprouvées.

    En cet automne 2020 la plupart des pays de l’hémisphère nord procèdent à la vaccination de leur population. Ainsi en est-il en Corée. Mais il y a un « petit » problème : dès le début de la campagne de vaccination qui a été mise en place ce lundi 19 octobre 30 personnes sont déjà mortes peu de temps après l’injection du vaccin y compris un enfant de 17 ans. Qu’à cela ne tienne les autorités sud-coréennes ont décidé de ne pas mettre un terme à cette campagne de vaccination afin d’éviter une crise sanitaire majeure au cas où l’autre grippe, celle du SARS-Cov-2, resurgisse. De même que les tests PCR pratiqués à tort et à travers, le vaccin contre la grippe HxNy enrichit les laboratoires pharmaceutiques avec les impôts que chaque citoyen paie. Conclusion : les gouvernements enrichissent les laboratoires pharmaceutiques dont ils reçoivent directement des ordres …

    Source relative à la Corée : KTV via RTnews

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/10/23/actualite-grippe-saisonniere-vers-un-autre-scandale/

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  2. Où sont les morts ? Dix raisons pour lesquelles les première et deuxième vagues de Covid sont si différentes


    October 23rd, 2020


    En Europe, la deuxième vague établit de nouveaux records pour les cas quotidiens, mais pas pour les décès jusqu'à présent (heureusement). La grande question est donc de savoir si cela restera le même ou suivra le décompte des affaires.

    Ce n’est probablement pas un accident si les infections se propagent rapidement à la mi-octobre. Non seulement c'était la fin de l'été en Europe, mais le virus s'est principalement propagé chez les jeunes en bonne santé âgés de 15 à 24 ans et lorsque les niveaux de vitamine D étaient élevés. Mais à mesure que l'hémisphère nord s'éloigne du Soleil, les niveaux de vitamine D chutent, les températures chutent et les rayons stérilisants des ultraviolets s'affaiblissent. Et, à mesure que les jours se refroidissent, les gens se rassemblent aussi à l'intérieur. Les doses virales augmentent.

    Le scandale persistant de l’épidémie est qu’il existe de nombreuses façons de traiter ce virus, mais qu’elles ne coûtent pas assez cher pour que la TGA les recommande. ; -)

    Beaucoup plus de cas mais peu de décès
    Pièce n ° 1: le Royaume-Uni

    - voir graphique sur site -

    Certaines personnes ont utilisé ce graphique pour affirmer que le virus ne présente aucune menace. Mais ce n’est pas si simple.

    UK Nouveaux cas et graphique Worldometer Deaths.
    UK Nouveaux cas et graphique Worldometer Deaths. (Cliquez pour agrandir)
    Dix raisons pour lesquelles les taux de mortalité étaient plus bas dans la deuxième vague européenne:
    Tant de choses ont changé. Il faudra des doctorants entiers pour décortiquer les facteurs.

    Données démographiques: dans la deuxième vague, les jeunes sont les plus susceptibles d'être infectés, et non les personnes âgées à haut risque (jusqu'à présent).
    Vitamine D: atteint un sommet chaque année en août et septembre.

    Masques: De nombreuses personnes portaient des masques - ce qui signifie une dose virale plus faible et ils sont plus susceptibles de contracter une infection asymptomatique.
    Les médecins ont de meilleurs plans de traitement.

    Les hôpitaux ne sont pas (encore) envahis.

    Les températures étaient plus chaudes: les virus sont des codes chimiques instables. En règle générale, des doses plus élevées de virus survivront presque toujours plus longtemps dans un air plus frais et sur des surfaces plus froides. À mesure que les températures se refroidissent, nous nous attendons à ce que des doses plus élevées soient transmises, ce qui signifie une maladie plus grave.

    Distanciation sociale: de plus grandes distances et des événements extérieurs signifient des doses virales plus faibles. Mais à mesure que les saisons se refroidissent, nous passons plus de temps à l'intérieur, ce qui signifie des doses plus élevées à mesure qu'ils se rapprochent.

    La lumière UV était plus forte - Un excellent stérilisateur extérieur. Les UV aident également à créer de la vitamine D. De toute évidence, c'est une chose de l'heure d'été.

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  3. Plus de tests dans la deuxième vague. L'Allemagne fait 3 fois plus de tests; La France, sept fois, et le Royaume-Uni effectuent 15 fois plus de tests aujourd'hui qu'ils ne l'étaient début avril. Une grande partie de la charge de travail de la première vague a tout simplement été manquée. Il y a environ trois semaines de retard entre les tests et la mortalité (et cela peut aller jusqu'à 8 semaines). Cela n’était pas apparent dans de nombreux pays lors de la première vague, car ils n’avaient pas effectué suffisamment de tests pour montrer la véritable étendue des infections - ils ont raté tout le premier pic, ne commençant à enregistrer correctement que le nombre de nouveaux cas quotidiens, car les décès ont également culminé.

    Des mutations ? Peut-être que le virus a changé pour être moins mortel. Ceci - notre option préférée - celle que nous voulons tous, est peut-être vraie, mais il n'y a pas encore d'analyse génétique qui la soutient alors qui sait ?. Si tel est le cas, nous devrions trouver un changement génétique fiable qui est en corrélation avec une charge virale plus faible et des patients en meilleure santé. Mais la sélection naturelle favorise une charge virale plus élevée et un virus plus facile à propager, et c’est ce que semblent suggérer les quelques études sur les mutations.

    De nouveaux articles suggèrent que le virus est en train de muter - et les variantes les plus efficaces entraînent des charges virales plus élevées (comme nous nous y attendions, car elles peuvent surpasser les souches à plus faible dose). Pendant ce temps, de nombreuses autres analyses de médecins dans les hôpitaux vont dans la direction opposée - suggérant que les patients ont une charge virale plus faible à mesure que la pandémie progresse. Les masques les plus probables et la distanciation sociale réduisent la charge virale, même si les mutations semblent l'augmenter.

    Une étude américaine de la ville de Detroit, présentée à la conférence ESCMID de cette semaine sur la maladie à coronavirus (ECCMID, en ligne du 23 au 25 septembre) montre que la charge virale initiale du SRAS-CoV-2 dans les échantillons nasopharyngés a diminué au fur et à mesure que la pandémie progressait. Les auteurs ont également observé que la baisse de la charge virale était associée à une diminution du taux de mortalité.

    Les auteurs concluent: «Au cours de la période avril-juin 2020 de la pandémie de COVID-19, la charge initiale de SRAS-CoV-2 a diminué régulièrement chez les patients hospitalisés avec une diminution correspondante du pourcentage de décès au fil du temps.

    Aussi à partir de ce papier:

    Alors que la charge virale des patients a diminué au cours de la pandémie, le pourcentage de patients admis aux soins intensifs a considérablement diminué de mars (6,7%) à avril (1,1%) et mai (0,0%).

    «Alors que le contexte épidémiologique passait d'un cadre de transmission élevé à faible, les gens étaient vraisemblablement exposés à une charge virale plus faible, qui était auparavant associée à des manifestations cliniques moins graves», ont écrit les auteurs.

    Regardez attentivement les deux derniers mois
    La flambée des cas dans l'hémisphère nord est en augmentation. Tout comme les morts.

    Ces graphiques sont uniquement du 2 août au 19 octobre.

    - voir graphique sur site -

    Royaume-Uni, cas confirmés, deuxième vague. Coronavirus 2020. Graphique.

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  4. Le décalage de trois semaines

    Il y a à peu près trois semaines entre le diagnostic des nouveaux cas et les décès. Les décès commencent clairement à augmenter.

    Au Royaume-Uni, il y a eu environ 6000 nouveaux cas par jour à partir du 27 septembre. La semaine dernière, il y a eu environ 140 morts par jour. En supposant que le décalage de trois semaines est exact, il s’agit d’un taux de mortalité approximatif de 2% parmi les cas connus. Le taux de mortalité réel est nettement inférieur à cela, mais combien? Le Royaume-Uni teste 50 personnes pour trouver chaque nouveau cas.

    - voir graphique sur site -

    Décès quotidiens confirmés, Royaume-Uni, graphique 2020. Deuxième vague covid-19.

    Les niveaux de vitamine D diminuent à l'approche de l'hiver.
    La vitamine D a réduit le taux d'admission aux soins intensifs dans une étude de 50% à 2%.

    Il ne doit pas en être ainsi.

    La vitamine D s'engage avec quelque 200 gènes. C’est si important que c’est probablement la raison pour laquelle les Européens ont la peau blanche (pour fabriquer du D sous les latitudes plus élevées tout en suivant un régime à base de céréales pauvre en vitamine D). Ses niveaux sont également en corrélation avec des taux plus faibles de cancer, de diabète, d'hypertension artérielle, d'asthme, de maladies cardiaques, de caries dentaires, de prééclampsie, de maladies auto-immunes, de dépression, d'anxiété et de troubles du sommeil. Une longue étude allemande récente a montré que la moitié des personnes décédées de maladies respiratoires ne seraient peut-être pas mortes si elles avaient suffisamment de vitamine D. Sans surprise, étant donné tous ces avantages, elle est même associée à une «mortalité toutes causes confondues» qui presque aucun autre supplément ou vitamine définitivement est.

    C’est bon marché, sûr, naturel et pratiquement aucun gouvernement sur Terre n’a de programme pour tester et restaurer des niveaux sains dans sa propre population. En savoir plus sur D3 ..


    - voir graphique sur site -

    Niveaux saisonniers de vitamine D mois par mois. Graphique.
    Les niveaux de vitamine D diminuent à l'approche de l'hiver | Guesseous et al (Suisse)

    Les pandémies surviennent souvent par vagues. En raison de la mauvaise surprise de la première vague, de nombreuses personnes changent de comportement, en particulier les plus vulnérables. C'est ce qui se passe dans toutes les pandémies. Ils portent des masques et se lavent les mains mais perdent leur enthousiasme après un certain temps. Ils s'auto-isolent, puis finissent par revenir, puis la vague suivante revient aussi.

    Consultez ces graphiques du Royaume-Uni:
    La majeure partie de la première vague a été masquée par des tests inadéquats. La positivité initiale du test était de 40% mais elle est maintenant d'environ 2% et augmente. La vague actuelle de tests détecte donc de nombreuses infections qui ont été manquées lors de la première vague.

    Le deuxième graphique ci-dessous montre les groupes d'âge dont le test est positif. Dans de nombreux pays d'Europe, la première vague concernait principalement les personnes âgées qui avaient des cas plus graves et se faisaient dépister. La deuxième vague a commencé avec le groupe d'âge des 15 à 29 ans et se propage progressivement aux groupes plus âgés.

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  5. Royaume-Uni, Covid-19, deuxième vague, données démographiques, tests, taux de test, décès

    En haut: Décès et cas (notez les deux différentes échelles LHS). Deuxièmement: les jeunes montrent la voie… Troisièmement: les tests sont à la hausse. Quatrièmement: la positivité des tests augmente, ce qui signifie que le virus aussi. | Données du CDC de l'UE

    - voir graphique sur site -

    La vague 1 avait un décalage invisible de trois semaines

    Lors de la première vague, le décalage entre le pic de cas et le pic de mortalité dans certains pays était parfois aussi long que 3 semaines. Mais dans les pays sans suffisamment de tests, il n'y avait pas de retard apparent. Ceci est probablement dû au fait que le pic de nouveaux cas a augmenté et diminué avant que les stations de test ne se mettent à niveau. Par exemple: dans la première vague au Royaume-Uni, les cas quotidiens ont culminé vers le 10 avril, ce qui était également à peu près au même moment où les décès ont culminé. Mais en Corée du Sud, les cas quotidiens ont culminé le 2 mars environ, mais les décès quotidiens n'ont pas culminé jusqu'au 24 mars environ. La Corée du Sud avait une politique de suivi et de test organisée prête à l'emploi.

    La bonne nouvelle

    Ce n’est pas si mal que la première vague soit plus précoce et plus élevée que les tests ont montré. Cela signifie effectivement plus de survivants dans la première vague et donc un taux de mortalité plus faible. La mauvaise nouvelle est que si quelqu'un devait être testé positif, le taux de moralité brut est toujours de 2 % et c’est à un moment où la plupart des personnes infectées sont assez jeunes. Donc, avec un nombre incalculable de cas asymptomatiques, 2 % pourraient ressembler davantage à un demi-pour cent. Bien qu'il puisse y avoir quelques pour cent supplémentaires en plus de cela, qui ne sont pas morts, mais qui ne se sont pas encore rétablis non plus - les longs courriers.

    Le taux de test par habitant est désormais très élevé au Royaume-Uni, bien que le taux de positivité soit d'environ 2 % et en augmentation. À titre de comparaison, la positivité actuelle du test en Australie est d'environ 0,2 % et pendant ses heures les plus sombres, Victoria Australie était d'environ 3 % de positivité.

    Faites connaître la vitamine D et le zinc. Ecrire aux politiciens pourquoi ils dépenseront des milliards, enfermeront les gens à l'intérieur, mais ne se donneront pas la peine de corriger les carences connues avec cinq cents de vitamines ?

    Les mauvaises nouvelles

    Les personnes à haut risque peuvent être isolées des jeunes fêtards pendant un certain temps. Il faut plus de temps à la deuxième ou à la troisième vague pour que les virus stupides rattrapent les personnes plus âgées, mais cela rattrape leur retard. Malheureusement, et c’est probablement ce qui se passe en Europe maintenant, à moins que les gens ne prennent très au sérieux la carence en vitamine D et les autres traitements bon marché comme l’ivermectine, la bromhexine, le HCQ et la mélatonine, et tous les autres antiviraux….

    Nous sommes bien mieux lotis que dans Wave One. Mais les choses pourraient encore devenir assez moche, surtout en hiver.

    Lorsque vous regardez les graphiques des cas par rapport aux décès. N'oubliez pas le décalage.

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  6. REFERENCE

    See posts on Lockdowns, Vitamin D, HCQ, Masks, Ivermectin, Bromhexine,

    Guesseous et al (2012) Vitamin D levels and associated factors: a population-based study in Switzerland, DOI: https://doi.org/10.4414/smw.2012.13719

    Mask Use, compliance and rules: https://en.wikipedia.org/wiki/Face_masks_during_the_COVID-19_pandemic

    Scott Wesley Long et al (2020) Molecular Architecture of Early Dissemination and Massive Second Wave of the SARS-CoV-2 Virus in a Major Metropolitan Area https://t.co/w6fzDDijPg read/write/request review https://t.co/RnurTL3DyM #COVID19

    http://joannenova.com.au/2020/10/where-are-the-deaths-ten-reasons-the-first-and-second-covid-waves-look-so-different/#more-73622

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    1. Dès le mois de Mars a été lancé (par voie de presse) le 'coronavirus' (à ne pas confondre avec Miley Syrus), donc, s'il s'agit d'un virus: chélation. Mais, les journalistes et politiciens ont appelé le vaccin ! (Un vaccin pour un virus ??!) et, les scientifiques de répliquer l'annotation (alors que certains parlaient déjà de microbe). Bref, la confusion perdura. Pourquoi ? Pourquoi, parce qu'ils n'en savaient trop guère du quoi falloir examiner parmi les milliards de nano-particules ! (200 000 nano-particules respirées chaque minute et 2 millions en activité physique).

      Puis, un blogueur (scientifiquologue) parlait déjà que le 'coronavirus' n'existait pas (!).

      Puis, surprise des surprises, les 'autorités internationales' !! parlaient d'appliquer le 'confinement' (prison à domicile) et le port du masque obligatoire.

      Là, le 'coronavirus' prenait de l'importance pour la première fois dans l'histoire mondiale.(Faut dire que le mot 'virus' fait plus méchant, terrible voire exterminateur que le mot 'microbe' !).

      Puis, le dit masque 'N95' d'IBM se justifiait du nom parce qu'il arrêtait 95 % des nano-particules. Oui mais... après examen, le dit masque 'N95' (équivalent du FFP2 européen) révélait que ses mailles étaient écartées de 3 microns. Puis, longtemps plus tard, Zéro Hedge publiait que le dit 'virus' ne mesurait que 0,1 à 0,5 micron ! D'où LA PARFAITE INUTILITÉ de porter un masque qui les laisse passer à 100 % !

      Puis, nouvelle interprétation qu'il s'agirait plutôt d'un microbe (donc VIVANT) et non d'un 'virus' (nano-particule de poussière, réputée par les scientifiques comme non-vivant). D'où la valorisation d'un vaccin ou antibiotique pour le combattre.

      Mais, sans avoir fait plus de morts que l'une des grippes saisonnières, l'on devrait être anxieux, effrayé, voire traumatisé par son arrivée ! (Houlala !).

      Puis, réflexion de la réflexion, le monde s'est demandé s'il ne s'agissait pas d'un 'coup de pub' (pour vendre des masques ?). Puis, réflexion de la réflexion réflexionnée que c'était l'emploi du masque qui était l'objectif de rendre le monde idiot. Car le masque supprime 30 % de l'apport d'oxygène (et refoule le gaz carbonique expiré re-inspiré) d'où la venue obligatoire de maux de tête pour les porteurs de masque et trous de mémoire irréparables !

      Donc: la question si le NWO (Nouvel Ordre Mondial) ne voulait pas par ce subterfuge réduire la population mondiale au chiffre (de Bill Gates) de 500 000 personnes sur Terre !
      (Ne resterait que les enfants non-porteurs de masque).

      Puis les 'tests' comme quoi sur les milliards de milliards de milliards de nano-particules respirées chaque heure (et encore plus durant toute votre vie !) déterminant si oui ou non vous avez croisé une nano-particule (sans nom pour l'instant) qui serait (soit un microbe soit un virus, mais qu'importe) vous indiquant que: Vous êtes bien porteur d'un million de nano-particules (virus et microbes) dont certaines seraient néfastes à votre organisme et donc de vous soumettre à des contrôles d'isolement comme étant un 'terroriste qui s'ignore' !!

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  7. «Le virus circule plus vite qu’au printemps»: un épidémiologiste de l’institut Pasteur contredit le Pr Raoult


    12:10 23.10.2020
    Par Ekaterina Bogdanova


    Le professeur Raoult a affirmé le 22 octobre sur Radio Classique que la situation actuelle «est moins sévère qu'au printemps». L’avis de l’épidémiologiste Arnaud Fontanet est bien différent. Ce dernier a estimé sur BFM TV/RMC que «le virus circule plus vite qu’au printemps» et que l’évolution de l’épidémie est «extrêmement rapide».

    Après avoir indiqué il y a deux semaines que les nouveaux cas de Covid-19 en France prouvaient la mutation du virus, Didier Raoult a tempéré ses propos jeudi 22 octobre sur Radio Classique, déclarant que la situation actuelle n'était pas aussi grave qu’en mars.

    «Actuellement, [la situation, ndlr] semble plus sévère qu'en juillet. Mais pour l'instant, [elle, ndlr] est moins sévère qu'au printemps», assure le Directeur de l'IHU Méditerranée Infection. «La mortalité était beaucoup plus basse lors de la première scène de l'acte 2» en juillet, ajoute-t-il, sans mentionner de «deuxième vague».
    L'isolement et la mise en place de tests

    Le Pr Raoult a par ailleurs qualifié de «complexe» la mise en place du couvre-feu dans plusieurs métropoles françaises.

    «Ce qui est très clair, c'est que l'isolement et la mise en place des tests joue un rôle incroyablement important. On a eu une surmortalité en mars en raison du retard de la mise en place des tests», précise-t-il.

    Le spécialiste des maladies infectieuses déplore aussi un «monde occidental terrifié […]. Cet épisode viral révèle l'état d'affolement et de peur de notre société. On est à la fin d'un système».

    Évolution extrêmement rapide» de l’épidémie

    Cependant, le membre du Conseil scientifique du coronavirus chargé d’éclairer l’exécutif, Arnaud Fontanet, a estimé ce 23 octobre sur BFM TV/RMC que l’évolution de l’épidémie était «extrêmement rapide». Selon l’épidémiologiste de l’institut Pasteur, la baisse récente des températures a contribué à sa circulation. «Le virus circule plus vite qu’au printemps», note-t-il.

    «Je pense que tout est sur la table», ajoute Arnaud Fontanet. «Général, on fait tout pour l’éviter. Local, ça fait partie des options.»
    Ce «variant n’est pas aussi banal et bénin»

    Invité le 6 octobre dans la matinale de CNews, Didier Raoult affirmait que la France était désormais touchée par un «variant» du virus un peu plus virulent que le précédent. «Les éléments qu’on a nous laissent penser qu’il n’est pas aussi banal et bénin que ce que nous avons eu en juillet et août», concluait-il.

    https://fr.sputniknews.com/france/202010231044620822-le-virus-circule-plus-vite-quau-printemps-un-epidemiologiste-de-linstitut-pasteur-contredit-le-pr/

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    1. (...) Le spécialiste des maladies infectieuses déplore aussi un «monde occidental terrifié […]. Cet épisode viral révèle l'état d'affolement et de peur de notre société. On est à la fin d'un système». (...)

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  8. Les Français risquent un blackout électrique en cas de froid inhabituel cet hiver


    14:08 23.10.2020
    Par Anna Dedkova


    L'approvisionnement en électricité des Français pourrait être impacté en cas de froid inhabituel, avertit le Réseau de transport d'électricité (RTE). En raison de la crise sanitaire, la France produit 15% d'électricité nucléaire de moins que d'habitude.

    RTE, gestionnaire du réseau électrique français, met en garde contre un hiver très froid qui pourrait mener à une situation de risque inédite, relate RTL.

    Un écart entre la production et la consommation de courant pourrait se produire en cas de froid inhabituel entre fin novembre et début décembre.

    Quelles sont les solutions ? Selon le média, il en a plusieurs, parmi lesquelles la diminution de la tension de 5% pour économiser un peu, sans conséquence pour les clients ou le débranchement momentané de clients industriels qui sont de gros consommateurs et ont accepté cette éventualité contre rémunération.

    Le pire des cas

    Le gestionnaire aura recours à des coupures ciblées, en alternant les régions dans la pire situation, afin d’éviter une coupure généralisée à cause de la surcharge du réseau.

    Un telle situation résulte en particulier de la crise épidémiologique. Cette année, les opérations de maintenance ont été considérablement ralenties sur les centrales nucléaires. Au total, la France produit 15% d'électricité nucléaire de moins que d'habitude.

    Des centrales à combustible fossile ont été fermées depuis 2012, mais les relais de production ne sont pas prêts. Le réacteur de nouvelle génération EPR a pris un nouveau retard et ne sera pas opérationnel avant 2023.

    Le gouvernement veut éviter le blackout

    Contre le blackout, les opérateurs qui vendent de l'électricité auront la possibilité de commercialiser le courant à prix réduit, en tant qu’abonnement. Si nécessaire, la consommation pourra être réduite d'autorité, soit pendant quelques minutes ou quelques heures.

    https://fr.sputniknews.com/france/202010231044621441-les-francais-risquent-un-blackout-electrique-en-cas-de-froid-inhabituel-cet-hiver/

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  9. Ce sont les 100 plus petits pays du monde


    par Tyler Durden
    Jeu, 22/10/2020 - 23:40


    Les frontières nationales ne sont peut-être que des constructions humaines, mais elles sont puissantes.

    La Russie, le Canada, les États-Unis, etc. - il est facile de se concentrer sur les pays avec les plus grandes masses continentales et des frontières apparemment infinies. Leur taille même les rend difficiles à ignorer et leurs ressources naturelles sont souvent vastes.

    Mais avec le graphique ci-dessous de TitleMax, nous pouvons nous concentrer sur la puissance des petits.

    - voir liste et carte sur site -

    Comme le note Therese Wood de Visual Capitalist, de la puissance économique à l'influence religieuse, bon nombre des plus petits pays du monde sont étonnamment puissants. Examinons de plus près les 100 plus petits pays du monde et leurs sphères d’influence.

    - voir liste sur site -

    Bien que plusieurs des frontières nationales présentées ci-dessus puissent être contestées, le graphique nous donne un aperçu clair des plus petites nations du globe.

    Le pouvoir des petits
    Petite taille ne signifie pas moins de puissance. Dans de nombreux cas, c’est le contraire.

    Le Vatican - le plus petit pays du monde à 0,19 mile carré - est réputé pour son chef et principal habitant, le Pape. En tant que chef de l’Église catholique, le pontife et son personnel papal constituent une part importante de la petite population du pays de 825 personnes. La plupart des 219 cardinaux de l’Église, ses principaux dignitaires, vivent dans leurs diocèses respectifs.

    Avec plus de 1,2 milliard de catholiques romains dans le monde, la sphère d’influence du Vatican est bien entendu bien plus grande que sa petite taille physique. Bien que les murs du Vatican soient situés à l'intérieur de la ville de Rome, en Italie, son influence séculaire s'étend sur les continents.

    - voir carte sur site -

    Près de 40% des catholiques romains vivent dans les Amériques, tandis que la population catholique qui connaît la croissance la plus rapide se trouve en Afrique, où vivent plus de 17% des catholiques du monde.

    Pouvoir d'achat
    Là où le pouvoir du Vatican réside dans la religion, le petit pays de Monaco, le deuxième plus petit pays du monde, détient un pouvoir d'achat important.

    Situé le long de la Côte d'Azur, Monaco est entièrement entouré par la France, mais il se trouve également à moins de 16 km de la frontière italienne.

    À 0,78 mile carré, Monaco pourrait être comparé à la taille d'une grande ferme dans le Midwest américain. Malgré sa petite taille, Monaco a un PIB de près de 7,2 milliards de dollars et compte plus de 12 000 millionnaires vivant à moins d'un mile carré.

    - voir carte de Monaco sur site -

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  10. Avec le Luxembourg et le Liechtenstein - qui figurent tous deux dans la liste des plus petits pays - Monaco est l'un des seuls pays au monde à avoir un PIB par habitant supérieur à 100 000 dollars.

    La Suisse et les Pays-Bas, tous deux trouvés dans ce graphique aux rangs 63 et 64, détiennent également une part importante de l'économie mondiale compte tenu de leur taille. Ces deux pays se classent respectivement 20e et 17e dans le monde en termes de production économique.

    De même, Singapour est le 20e plus petit pays de la planète, mais il se classe dans le top 10 en termes de PIB par habitant (65 233 dollars) et occupe la 34e place mondiale en termes de PIB nominal.

    La perspective est tout
    Pour nous donner une meilleure idée de la taille des plus petits pays, examinons quelques comparaisons de taille simples:

    Monaco pourrait s'intégrer dans Central Park de New York, avec de l'espace à revendre

    Le Brunei a à peu près la même taille que le Delaware

    Le Nicaragua, le plus grand pays d'Amérique centrale, est de taille similaire à l'état du Mississippi

    Nauru est la plus petite nation insulaire et plus petite que le Rhode Island

    La Corée du Nord a à peu près la taille de la Pennsylvanie

    «Petit», bien sûr, est un facteur qualitatif. Cela dépend de votre point de vue.

    En septembre 2020, il y avait 195 pays sur Terre. Bien que ce graphique montre les plus petits pays du monde, il convient de noter qu’une liste des 100 plus grands pays du monde comprendrait également certains des mêmes pays sur cette liste, notamment la Corée du Nord, le Nicaragua et la Grèce.

    Est-ce un petit monde après tout ?
    Vu de l'espace, il n'y a pas de frontières sur notre minuscule point bleu. Mais au niveau du sol, nous savons combien de pouvoir les frontières nationales détiennent.

    Bien que la mondialisation puisse rendre notre monde plus petit, nos nations ont un impact significatif sur nos vies, socialement et économiquement.

    Et, comme le montre ce graphique, la puissance est disponible dans toutes les tailles.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/these-are-worlds-100-smallest-countries

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  11. Les magasins de style aéroportuaire redessinés de Walmart suivront tout le monde


    par Tyler Durden
    Jeu 22/10/2020 - 19:00
    Via le blog MassPrivateI,


    Qu'ont appris les entreprises de l'ère post 9/11 ? Apparemment beaucoup.

    Depuis le 11 septembre, les aéroports des États-Unis et du monde entier ont été repensés pour que les gens se sentent plus en sécurité et pour permettre aux autorités d'identifier et de suivre plus facilement les passagers des compagnies aériennes.

    Une histoire de Fast Company révèle comment Walmart s'inspire des terminaux d'aéroport en apportant l'expérience aéroportuaire à chaque magasin.

    «Les aéroports étaient un endroit qui nous a inspirés parce que, par nature, vous ne passez pas beaucoup de temps dans les aéroports, donc vous ne connaissez pas votre chemin. Mais vous devez amener beaucoup de gens quelque part en temps opportun », a déclaré Janey Whiteside, EVP et directeur de la clientèle chez Walmart.

    L'article mentionne comment les nouveaux magasins de Walmart inciteront les clients à utiliser leur téléphone portable pour faire leurs achats.

    Les gens se promènent dans le magasin avec un téléphone à la main, regardant vers le bas et levant les yeux, et nous voulions intégrer ces éléments, alors quand ils regardent leur téléphone, ils peuvent regarder [la même chose] dans le magasin.

    La vidéo ci-dessus montre à quel point les entreprises sont prêtes à aller pour justifier l'utilisation de la pandémie pour identifier et suivre les clients. La vidéo commence par déclarer ...

    - voir clip sur site -

    «Veuillez vous protéger et protéger les autres» en utilisant nos applications «Walmart Pay» ou «Scan & Go».

    Prétendre qu'une application Walmart peut par magie protéger les clients contre le COVID est fallacieux et obscurcit la vraie raison pour laquelle les entreprises veulent que les clients les utilisent.

    Un article de CNN explique très bien pourquoi Walmart est en train de repenser ses magasins.

    Dans le but d'inciter davantage de personnes à télécharger son application et à l'utiliser lors de ses achats, Walmart encourage les acheteurs à la télécharger avant d'entrer pour les aider à naviguer dans le magasin, à rechercher plus d'options en ligne et à payer une fois terminé.

    Outre l'utilisation de «Walmart Pay» pour diriger les clients vers l'emplacement exact des articles à l'intérieur du magasin, il présente l'avantage supplémentaire de suivre les téléphones portables des clients.

    Un lien «Conditions d'utilisation» de Walmart explique à quel point Walmart se soucie peu de «se protéger et protéger les autres» pendant le COVID-19.

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  12. Vous autorisez votre opérateur sans fil (AT&T, Sprint, T-Mobile, US Cellular, Verizon ou tout autre opérateur sans fil de marque) à divulguer à Walmart et à ses fournisseurs de services tiers votre numéro de mobile, nom, adresse, e-mail, état du réseau, type de client, rôle du client, type de facturation, identifiants d'appareil mobile (IMSI et IMEI) et autres statuts d'abonné et détails de l'appareil, si disponibles, uniquement pour vérifier votre identité et prévenir la fraude pendant la durée de la relation commerciale.

    Une fois qu’un client donne à une entreprise comme Walmart l’accès aux identifiants des appareils mobiles de son téléphone ou se connecte via la balise Bluetooth de Walmart, il devient assez facile d’identifier chaque client.

    En combinant des images de surveillance CCTV et des images de surveillance des points de vente avec une description détaillée de ce que chaque client a acheté, il serait facile pour Walmart de créer une base de données en temps réel de chaque client.

    Un lien vers la section «Conditions d'utilisation de paiement» de Walmart concernant leurs applications explique en CAPS comment ils ne sont pas responsables de toute utilisation abusive (piratage) de leurs applications.

    EN AUCUNE CIRCONSTANCE ET AUCUNE THÉORIE JURIDIQUE OU ÉQUITABLE, QUE CE SOIT EN TORT, CONTRAT, RESPONSABILITÉ STRICTE OU AUTRE, WALMART OU TOUT DE SES AFFILIÉS, EMPLOYÉS, DIRECTEURS, DIRECTEURS, AGENTS, VENDEURS OU FOURNISSEURS SERONT RESPONSABLES ENVERS VOUS OU TOUT AUTRE FOURNISSEUR POUR TOUTES PERTES OU DOMMAGES INDIRECTS, SPÉCIAUX, ACCESSOIRES OU INDIRECTS DE QUELQUE NATURE QUE CE SOIT RÉSULTANT DE OU EN LIEN AVEC L'UTILISATION OU L'INCAPACITÉ À UTILISER LES APPLICATIONS WALMART.

    Walmart poursuit en disant qu'ils ne sont pas responsables des dysfonctionnements informatiques qui pourraient affecter leurs applications et leurs clients.

    MÊME SI UN REPRÉSENTANT AUTORISÉ DE WALMART A ÉTÉ AVISÉ OU DEVRAIT AVOIR CONNAÎTRE LA POSSIBILITÉ DE TELS DOMMAGES.

    Si Walmart savait que leurs applications étaient comprises, ils accepteraient sûrement de faire valoir leurs clients et de les rembourser en cas de violation de leurs comptes, n'est-ce pas ?

    Malheureusement, la réponse est non. En fait, il semble que Walmart fait tout son possible pour s'indemniser.

    Le défaut de Walmart d’agir en cas de violation du présent Contrat par vous ou par d’autres ne constitue pas une renonciation et ne limite pas les droits de Walmart en ce qui concerne une telle violation ou toute violation ultérieure.

    Alors, à quoi servent les applications de Walmart ?

    Il semble que leurs applications sont bonnes pour une chose: vous identifier et vous suivre lorsque vous vous déplacez dans le magasin et effectuez vos achats.

    L'utilisation d'applications pour smartphone pour payer des marchandises ne fait rien pour «vous protéger et protéger les autres» du COVID-19. Tout ce qu'il fait, c'est donner aux entreprises et aux pirates un accès à davantage de données privées sur les consommateurs.

    https://www.zerohedge.com/technology/walmarts-redesigned-airport-style-stores-will-track-everyone

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  13. COMMENT NE PAS REMBOURSER LES DETTES ? LES 3 MÉTHODES ENVISAGÉES PAR LES BELGES !


    par CHARLES SANNAT
    23/10/2020


    La dette de la France est estimée à 115% du PIB.

    Trois méthodes pour (ne pas) rembourser la dette belge c’est le titre de cet article de l‘Echo en Belgique ici.

    En effet, nos amis Belges se demandent comme nous mais en un peu plus fort, comment ne pas rembourser la dette que la Belgique est en train de voir considérablement augmenter en raison des plans d’aides nécessaires pour lutter contre les effets désastreux économiquement de la pandémie de Covid-19.

    « La crise du coronavirus a fait exploser la dette de l’État belge qui a atteint 524 milliards d’euros. L’endettement public se situe désormais à 115 % du PIB. Pas moins de 32 milliards d’euros sont venus alourdir l’ardoise au 2e trimestre. Cause principale de cette hausse : la crise sanitaire. « Et ce n’est que le début », prévient l’économiste Bruno Colmant, professeur à l’ULB et à l’UCLouvain ».

    « Mais où la Belgique va-t-elle trouver l’argent pour honorer ses dettes ? « Souvent, la Belgique ne rembourse pas vraiment sa dette puisqu’elle lance un nouvel emprunt pour rembourser. On s’en accoutume, se disant qu’un jour peut-être, quand ça ira bien… », place d’emblée Étienne de Callataÿ, chef économiste d’Orcadia Asset Management ».

    Les 3 méthodes pour « rembourser » une dette !
    Gagner plus.

    Dépenser moins.

    Imprimer de la monnaie ou emprunter toujours plus.

    Voilà en gros ce qui s’offre à la Belgique et aux autres dont nous faisons partie.

    Gagner plus c’est avoir plus de croissance économique. Plus de croissance économique c’est plus de recettes fiscales. Cette hypothèse est très peu crédible puisque la croissance moyenne de chaque décennie depuis 40 ans est inférieure à celle de la décennie précédente. Les années 2010 à 2020 furent croissance zéro. Nous attaquons la nouvelle décennie avec une sacrée « croissance négative » d’environ 10 % du PIB que nous mettrons des années à combler et encore, si nous y arrivons.

    Dépenser moins, c’est l’austérité, c’est déflationniste et cela ne fonctionne pas du tout en faisant baisser le PIB, en réduisant les rentrées fiscales, en réalité l’austérité menée en dehors des périodes de croissance économiques fortes, entraine, une détérioration du ratio dettes/PIB.

    Alors on peut imprimer ou emprunter à nouveau pour rembourser les dettes précédentes. C’est ce que font tous les pays actuellement en « roulant » leur dette. Super, mais il faut en bout de course des épargnants pour financer tous ces déficits ou une banque centrale pour imprimer la monnaie manquante et maîtriser ainsi les taux d’intérêt.

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  14. « Tant que la Banque centrale achète des obligations, la confiance est là. »
    « Tout ce système repose sur la capacité de la BCE à créer de l’argent ex nihilo. À partir de rien. » N’y a-t-il aucun grain qui risque de gripper la machine ? Si. Un jour, nous pourrions nous réveiller avec une grande peur. Pour le paiement de nos pensions, par exemple. Les prêts à l’État s’assécheraient, les taux d’intérêt monteraient, la BCE ne contrôlerait plus la situation, on verrait une résurgence brutale de l’inflation. Ou la BCE pourrait arrêter de battre monnaie, « pour une question de crédibilité, parce qu’elle ne voudrait pas devenir le comptoir d’escompte des États qui y verraient un effet d’aubaine », envisage Bruno Colmant« .

    Cela veut dire que pour le moment nous jouons tous, aussi bien en Belgique qu’en France, en Italie ou en Espagne, mais aussi aux Etats-Unis ou au Japon à « si nous étions tous solvables »!!

    Alors nous faisons semblant de croire que ce petit jeu peut durer éternellement.

    Nous avons raison.

    C’est beaucoup plus rassurant.

    Admettre qu’imprimer des billets, de la monnaie sans création de richesse n’a jamais réglé les problèmes économiques est très déstabilisant.

    En effet, accepter cette réalité, c’est entrevoir les abysses de la faillite.

    Inconfortable.

    La peur n’évite pas le danger et l’aveuglement non plus.
    Imprimer de la monnaie n’a jamais créé de richesses sinon nous terminerions chaque partie de Monopoly milliardaire.

    Alors que faut-il faire ?

    Accepter qu’un jour nous aurons un gros problème de solvabilité.

    Pour régler ce problème de solvabilité nous créerons un gros problème monétaire.

    Pour régler le gros problème monétaire, nous détruirons les monnaies pour en créer une autre.

    Puis nous recommencerons.

    Au passage nous annulerons plus ou moins les dettes en les réduisant grâce à la nouvelle monnaie, et nous ruinerons les épargnants, les fourmis, comme à chaque fois. Comme à chaque crise.

    Encore une fois. Il faut détenir des titres de propriétés, pas des titres de dettes.

    Quand on commence à se demander comment ne pas rembourser sa dette, il est peu probable de finir par le faire !

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

    http://www.economiematin.fr/news-remboursement-dette-belgique-decision-proposition-argent-etat-sannat

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    1. Primo, la responsabilité du 'manque d'argent' n'est pas du ressort du Peuple qui en est écarté mais celle des 'économistes' des gouvernements successifs.
      D'où l'absence de compétence de ces derniers.

      Secundo, comme l''argent' n'existe pas et est fabriqué au clavier d'ordinateur, quoi de plus simple que de nettoyer le disque dur ?
      Car, ce jeu de 'Monopoly' a un peu plus que duré et ne passionne pas vraiment la masse !
      Si au jeu de belote ou poker chez vous entre amis vous avez perdu x milliards en une soirée, cela ne vous empêchera pas de dormir pareil que le gagnant qui n'a pas un sou de plus en poche mais qui a bien rigolé de plumer ses adversaires ce soir-là !

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  15. Un couple donne à sa fille le nom d'un fournisseur Internet pour avoir le Wifi gratuit


    14:00 23.10.2020
    Par Ekaterina Bogdanova


    Pour surfer gratuitement sur Internet pendant 18 ans, un couple de Suisses a prénommé sa petite fille Twifia, du nom du fournisseur Twifi, rapporte le portail LADbible. «Pour moi, le nom Twifia signifie connexion. Un lien éternel! Il y a des noms bien pires», s’est justifiée la mère.

    Séduit par l’offre, un couple de Suisses a décidé de donner à sa fille le nom du fournisseur Twifi, au féminin. Une démarche qui leur permettra d’avoir le Wifi gratuit jusqu'en 2038, relate le portail LADbible.

    «Il y a des noms bien pires»

    Citée par le média, la jeune maman confie: «Pour moi, le nom Twifia signifie connexion. Un lien éternel! Il y a des noms bien pires. Et plus nous prononçons Twifia, plus il nous plait».

    Auparavant, le fournisseur d’accès à Internet (FAI) avait annoncé sur Facebook qu’elle fournira un accès Internet gratuit à ceux qui prénommeront leur bébé Twifus (pour un garçon) ou Twifia (pour une fille) contre la présentation d’un certificat de naissance.

    L’offre toujours ouverte

    Le directeur de Twifi, Philippe Fotsch, a confirmé que son entreprise offrira un accès à Internet à tous les Twifus et Twifia jusqu'en 2038.

    «C'est une question d’honneur», explique-t-il. L'offre est toujours disponible aux autres futurs parents.

    https://fr.sputniknews.com/societe/202010231044621383-un-couple-donne-a-sa-fille-le-nom-dun-fournisseur-internet-pour-avoir-le-wifi-gratuit/

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  16. Au Cameroun, les supermarchés à l’assaut de la classe moyenne


    13:35 23.10.2020
    Par Anicet Simo


    La fièvre de la grande distribution s’empare progressivement des principales villes du Cameroun. Des enseignes internationales multiplient les supermarchés dans le pays. Face à la concurrence étrangère, des acteurs locaux assurent la riposte. Objectif: capter une classe moyenne naissante.

    Le 16 septembre 2020, Carrefour, opérateur français de la grande distribution, ouvrait son troisième site au Cameroun, dans le quartier commercial d’Akwa à Douala, la capitale économique, où le tout premier magasin de l’enseigne avait été inauguré en 2017. Le nouvel espace est bâti sur une superficie de 1.100 m2, dont 700 m2 de surface de vente.

    Fin 2019, la marque avait également ouvert un autre supermarché à Yaoundé, la capitale administrative. Situé dans le quartier Ekié, celui-ci est construit sur un terrain de 7.200 m2 pour un investissement avoisinant les 7 milliards de francs CFA (12 millions de dollars).

    En moins de quatre ans, le géant français est déjà installé sur trois sites dans les deux principales villes et il ne compte pas s’arrêter là.

    Dans le cadre de son expansion en Afrique subsaharienne, Carrefour, qui est associé à un des leaders français de la grande distribution –CFAO Retail– dans une stratégie de conquête du marché africain, entend ouvrir au total six supermarchés au Cameroun d’ici à la fin de l’année 2021, pour un montant global de plus de 80 milliards de francs CFA (144 millions de dollars). Une offensive de la marque dans le pays qui, comme beaucoup d’autres, participe à l’éclosion d’un secteur tertiaire en pleine croissance.

    Un déploiement massif des investisseurs étrangers

    À l’instar du géant français de la grande distribution, de nombreuses enseignes internationales sont présentes dans le même segment sur le marché camerounais. Les européens Casino, Super U ou Spar ont déjà pris leurs quartiers en installant plusieurs surfaces sur les principales métropoles du pays. Et l’engouement ne fléchit pas...

    Dans la capitale économique, la société Douala Retail and Convention Centre (DRCC), joint-venture entre le groupe camerounais Craft Development et le fonds d’investissement britannique Actis, ouvrira cette fin d’année ce qui est déjà présenté comme le plus vaste «mall» d’Afrique centrale.

    Baptisé Douala Grand Mall, ce gigantesque espace alliant à la fois commerce et divertissement est un centre commercial de 18.000 m² de surface locative. Il comprendra un multiplex de cinq cinémas de 1.000 places, un supermarché Carrefour, 160 magasins et boutiques, 22 restaurants, un spa et 640 emplacements de parking sur la première phase. Un investissement colossal qui démontre, selon Dieudonné Essomba, économiste camerounais, le dynamisme d’un secteur en pleine accélération.

    «Avec la mondialisation et la multiplication des opportunités, des hypermarchés ont pensé qu’ils pouvaient créer des niches commerciales même dans les pays sous-développés. Ce n’est pas vraiment nouveau. C’est simplement qu’avec une plus grande ouverture des marchés, le phénomène s’accélère», analyse-t-il au micro de Sputnik.

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  17. Les marques étrangères sont davantage séduites par la diversité de l’économie camerounaise, estime Aristide Mabatto, expert en communication et directeur de clientèle d’une agence de conseil en communication à Douala. Pour lui, le Cameroun, souvent décrit comme le cœur battant de l’Afrique centrale, possède des atouts qui suscitent l’intérêt des multinationales.

    «Le Cameroun, c’est quand même le poumon économique de l’Afrique centrale. À ce titre, il offre des opportunités que les pays voisins ne proposent pas forcément parce qu’on a une économie diversifiée», considère-t-il.

    La riposte des acteurs locaux

    Face à l’invasion du marché local par des marques internationales, les entrepreneurs camerounais ont lancé la contre-offensive. Dovv, Soneco, Kado, Saker et Santa Lucia ne comptent pas laisser ce terrain ultra rentable aux investisseurs étrangers et multiplient les implantations dans le pays. Loin du gigantisme et des investissements colossaux des filiales internationales, ces hommes d’affaires camerounais misent sur les supermarchés de proximité, plus modestes en superficie, plus près des clients.

    «Il est vrai que les groupes étrangers mettent beaucoup de moyens financiers et certains bénéficient de privilèges en haut lieu comme dans l’octroi d’espaces mieux situés en plein centre-ville. Nous autres devrons jouer sur la proximité et surtout sur la promotion des produits nationaux pour faire vibrer la fibre patriotique», confie à Sputnik un responsable d’une enseigne locale sous anonymat.

    Dans le pays, des investisseurs locaux tels que Bel Achat –propriété du milliardaire Nana Bouba– tiennent le pari. Le groupe vient d’injecter 4,6 millions d’euros pour le lancement de sa nouvelle enseigne à Douala et compte se déployer à travers 50 filiales sur l’ensemble du pays.

    La naissance d’une classe moyenne

    En 2018, l’entreprise technologique Fraym estimait la classe moyenne africaine à 330 millions de personnes, listant le Cameroun dans le top 20 des pays africains ayant la classe moyenne la plus importante.

    Selon de nombreux analystes, l’émergence de cette catégorie d’acheteurs aux revenus décents est un levier précieux pour l’accélération du développement économique de l’Afrique.

    Les grandes surfaces ont pour ambition, souligne Dieudonné Essomba, de capter une bonne partie des achats de cette partie de la population. Qui sont ces nouveaux consommateurs, objet de toutes les convoitises? «Il est évident qu’il y a déjà des Camerounais qui ont un pouvoir d’achat suffisant pour aller dans les supermarchés, sinon ils ne seraient pas là. Il faut aussi constater que cette classe moyenne, au Cameroun comme ailleurs en Afrique, a connu une augmentation progressive de ses revenus», souligne l’économiste.

    Les études sur la consommation des biens et services sur le continent ces dernières années, précise l’expert, mettent en relief l’impact positif de la classe moyenne qui prend de l’ampleur du fait de l’augmentation des revenus et de l’affinement des modes de consommation.

    «Le pouvoir d’achat se démocratise, la classe moyenne s’affirme de plus en plus. Cela montre qu’elle a envie de se projeter, elle aspire à un nouveau mode de consommation. Il y a aussi l’influence extérieure, c’est-à-dire la façon de consommer à l’européenne et à l’américaine, qui nous impacte beaucoup», précise Aristide Mabatto.

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  18. La fièvre de la grande distribution fait que les investisseurs étrangers comme nationaux multiplient les points de vente pour conquérir une classe moyenne dont le pouvoir d’achat est désormais significatif. Ainsi, à Yaoundé comme à Douala, d’autres projets de centres commerciaux sont annoncés. Une révolution au Cameroun qui rattrape peu à peu son retard dans ce domaine par rapport aux autres pays africains ayant la même taille de marché.

    https://fr.sputniknews.com/afrique/202010231044620919-au-cameroun-les-supermarches-a-lassaut-de-la-classe-moyenne/

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  19. Didier Raoult se voit refuser l’usage exceptionnel de l’hydroxychloroquine


    16:37 23.10.2020
    Par Florent Zephir


    L’Agence nationale de sécurité du médicament a refusé une demande de Didier Raoult visant à utiliser de l'hydroxychloroquine, même sans autorisation de mise sur le marché. L’infectiologue a réagi à cette décision, dénonçant le «deux poids, deux mesures» de l’organisme vis-à-vis de l'hydroxychloroquine et du remdésivir.

    Didier Raoult s’est vu refuser l’utilisation de l'hydroxychloroquine comme traitement contre le Covid-19, même à titre exceptionnel, par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).

    Dans un communiqué, l’organisme indique en effet avoir rejeté la demande de recommandation temporaire d’utilisation (RTU) de l’infectiologue, qui aurait permis un usage du traitement même sans autorisation de mise sur le marché.

    L’agence justifie sa décision en soulignant que les données sur le traitement sont «très hétérogènes et inégales», et n’attestent pas de son efficacité.

    «À ce jour, les données disponibles, très hétérogènes et inégales, ne permettent pas de présager d’un bénéfice de l’hydroxychloroquine, seule ou en association, pour le traitement ou la prévention de la maladie Covid-19», explique l’organisme dans son communiqué.

    L’ANSM avance en outre des «risques majorés, notamment cardio-vasculaires» et se montre sceptique quant au «rapport bénéfice/risque» du traitement vanté par Didier Raoult.

    Deux poids, deux mesures, selon Raoult

    Le professeur Raoult a réagi à la décision de l’ANSM sur Twitter, dénonçant un «deux poids, deux mesures». L’infectiologue reproche en effet à l’organisme d’autoriser «l’envoi de mails promotionnels par Gilead pour le remdésivir», et même d’organiser «la distribution gratuite» de ce produit, tout en se montrant hostile à l’usage de l'hydroxychloroquine.

    Début juillet, l’ANSM avait déjà mené une enquête à l’encontre de Didier Raoult, le soupçonnant de prescrire de l'hydroxychloroquine sans le consentement formel de ses patients, comme le rapportait Le Canard enchaîné. L’Ordre des médecins avait été par la suite saisi.

    https://fr.sputniknews.com/france/202010231044622153-didier-raoult-se-voit-refuser-lusage-exceptionnel-de-lhydroxychloroquine/

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    1. Les politiciens (et les journalistes) qui n'ont fait AUCUNE ÉTUDE SCIENTIFIQUE DE LEUR VIE remplacent aujourd'hui les scientifiques !

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  20. Couvre-feu: la société bascule vers un «totalitarisme de la prévention»


    22:18 23.10.2020
    Par Catherine Morozov


    Le couvre-feu a été étendu. Désormais, deux tiers des Français sont concernés par la mesure. Une décision qui suscite l’incompréhension chez certains, dont le Cercle Droit et Liberté, une association regroupant des professionnels du droit. Elle a déposé un recours devant le Conseil d’État dans l’espoir de faire sauter ce «confinement nocturne».

    «Inefficace, disproportionnée et liberticide». C’est ainsi qu’est défini le couvre-feu par Me Thibault Mercier, avocat et président du Cercle Droit et Liberté, une association qui réunit des avocats et des juristes.

    Ce 20 octobre, le groupe, appuyé par 20 autres requérants, a déposé un recours devant le Conseil d'État contre le couvre-feu. Une mesure controversée qui, en plus de restreindre les libertés individuelles et collectives, a été imposée à la population sans que le gouvernement n’ait tenté pleinement d’autres politiques susceptibles d’éviter cette «assignation à résidence», comme l’a désigné l’avocat dans son entretien à Sputnik.

    «On est dans une société qui n’accepte plus le risque et qui crée des mesures, toujours plus de mesures pour arriver à un risque zéro mais ce n’est pas possible. Et finalement, cette société du risque zéro nous amène à ce qu’un auteur appelait le ‘’totalitarisme de la prévention’’», relate Me Mercier, citant l’œuvre d’Ulrich Beck La société du risque, datant de 1986.

    Le sociologue explique dans son ouvrage que se prévenir de tout a finalement des répercussions plus graves que la situation de départ.

    Selon l’association, le gouvernement prouve sa négligence avec cette nouvelle politique qui pourrait avoir, in fine, des conséquences désastreuses au niveau économique et social, alors que les effets du confinement se font encore ressentir pour de nombreux secteurs, au bord de la faillite.

    https://fr.sputniknews.com/france/202010231044622398-couvre-feu-la-societe-bascule-vers-un-totalitarisme-de-la-prevention/

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    1. Le gouvernement a retenu: Plus il y a de gens confinés, plus il y a de cas de personnes contaminées.
      Donc, si on les confinent à 21 heures dans un lieu restreint, voire exigu, elles vont forcément être plus contaminées qu'à l'extérieur ! Youpi !
      - adolf hitler.

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  21. Comment le culte des 'experts' ruine la science


    par Tyler Durden
    Ven, 23/10/2020 - 21:40
    Rédigé par Pasha Kamyshev via The American Mind,


    Qu'est ce que la science ? A t-il changé du passé au présent ? Ça marche toujours ? La pandémie de coronavirus a mis en lumière la question de la science dans son ensemble et de la biologie et de la recherche sur les médicaments en particulier.

    Maintenant, le récit populaire est que si seulement nous écoutions les scientifiques, nous aurions empêché cela, en opposant vraisemblablement les scientifiques aux «politiciens» et peut-être à certains «non-experts» non spécifiés. La pandémie se déroule dans un contexte de censure sans précédent de ce qui me semble être une discussion de gens normaux sur les effets de différents médicaments et thérapies.

    Le PDG de YouTube a spécifiquement déclaré que la plate-forme bloquerait les personnes suggérant que la vitamine C a des effets bénéfiques pour aider à se remettre du coronavirus. Cela se fait, bien sûr, «au nom de» la science, car tout doit être fait au nom de la science en Occident.

    Mon opinion actuelle est qu'un grand nombre de domaines qui sont considérés comme «scientifiques» en Occident sont un désordre complet et n'ont pas la caractéristique essentielle de ce que signifie être une science en premier lieu.

    Alors, revenons aux premiers principes ici. Qu'est-ce qu'une science ? Si nous considérons le domaine de la science comme un processus mécaniste qui prend des intrants et produit des extrants, quels sont ces intrants et extrants? Prenons l’un des exemples les plus classiques de cela: la théorie de la gravité de Newton.

    La théorie de la gravité, comme on l'apprend au collège, est à sa surface une formule simple:

    Lorsque la force de gravité est F, m1 et m2 sont des masses de deux objets, r est la distance entre eux (plus précisément leurs centres de gravité) et G est une constante gravitationnelle. Maintenant, cette formule a besoin de quelques variables clés pour être connue: vous devez connaître la masse des objets, le centre de gravité et la distance qui les sépare. À la base de ces mesures, vous voudrez peut-être connaître beaucoup plus de choses, telles que la masse exacte, la distance, le blocage de la gravité, etc.

    Certaines questions intéressantes se posent: pourquoi la constante gravitationnelle est-elle ce nombre particulier ? Pourrait-il être plus petit ou plus haut, par exemple, dans un autre univers ? Mais même si toutes ces choses sont quelque peu indéterminées, vous avez toujours un instrument mathématique fonctionnel. Prises ensemble, les notions de masse, de distance et de formule, même si elles sont quelque peu imprécises, constituent un modèle de réalité. Ce modèle n'est peut-être pas parfaitement précis, mais il fonctionne assez bien pour les problèmes de physique du collège.

    Pourquoi nous soucions-nous, ou pourquoi avons-nous besoin de modèles de réalité ? Il y a une réponse courante selon laquelle «la science aide l'ingénierie» et cela améliore notre niveau de vie. C'est vrai, mais comment, précisément, la science aide-t-elle l'ingénierie ? En nous permettant de compresser des parties du monde dans un modèle, cela permet de raisonner sur un modèle qui, nous l'espérons, se traduit par un raisonnement à travers le monde.

    Notamment, ce processus n'est pas automatique. Il repose sur certaines hypothèses, telles que:

    Il y a, en fait, un modèle en cours de production, qui est capable de créer des prédictions falsifiables sur l'avenir.

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  22. Le modèle ne varie pas énormément dans le temps (il incarne la compression réelle des lois universelles).

    Raisonner sur un modèle est plus simple que raisonner sur le monde réel et accessible à de nombreuses personnes ou algorithmes.

    Il existe des accords clairs sur ce que sont les intrants du modèle et sur la manière de les mesurer.

    Le modèle est sur quelque chose que nous concevons délibérément, qu'il soit social ou biologique.

    Bien que certaines inexactitudes dans les modèles soient quelque peu inévitables et constituent la base de nouveaux modèles, des données extrêmement contradictoires indiquent un problème dans le modèle ou dans les données.

    Il est clair que la théorie de la gravité, que ce soit celle de Newton ou d'Einstein, passe le test. En effet, beaucoup de choses que nous apprenons passent le test: la plupart de la physique, les équations chimiques, les modèles de la cellule, certaines théories économiques. Tous les modèles ne sont pas strictement mathématiques, bien que la frontière entre les équations chimiques et les mathématiques puisse être quelque peu artificielle. Indépendamment de cette distinction particulière, les modèles sont là pour faciliter le raisonnement des gens.

    Il vaut la peine de souligner ces exigences fondamentales pour que le progrès scientifique soit utile afin de mettre en évidence un contraste frappant entre la notion idéale de science et ce que nous avons aujourd'hui. Les modèles que les scientifiques produisent sont destinés à simplifier et démystifier la réalité pour d'autres personnes, y compris et en particulier les non-scientifiques. «Démystifier» ici ne signifie pas «supprimer le sentiment de crainte», comme c'est souvent le cas, mais plutôt supprimer le mystère du fonctionnement des choses. Un bon modèle est à la fois suffisamment précis et simple pour pouvoir être appliqué par presque tout le monde.

    Maintenant, étant donné la spécialisation de toutes les disciplines, toutes les personnes employées dans la science ne sont pas capables de produire des modèles. Il y a beaucoup de travail à rassembler des données brutes, à proposer des théories, à rédiger des subventions, à enseigner du matériel existant, etc., etc. La spécialisation signifie que beaucoup de gens travaillent dans la science, mais peu ont une vue d'ensemble: est la production que nous produisons, en particulier dans le domaine de la santé et des sciences humaines ?

    Énoncer l'évident

    Ce que nous produisons au lieu de modèles, ce sont des déclarations. Des déclarations telles que: un médicament particulier (par exemple, la vitamine C / la vitamine D / HCQ) aide ou n'aide pas contre la grippe / coronavirus / scorbut. Or, ces déclarations ne sont pas inutiles, bien qu'elles ne soient pas des modèles complets de réalité. Si elles sont vraies et que nous avons un bon consensus à leur sujet, même sans nécessairement comprendre le mécanisme ou les modèles d’action qui les sous-tendent, elles peuvent encore constituer des lignes directrices utiles pour agir sur une maladie mortelle.

    Cependant, la question est: le font-ils ? Que dit exactement la science et, tout aussi important, quand le dit-elle ? C'est une question délicate, souvent remplacée dans les médias populaires par «que disent les journalistes de la science ?» - qui est encore un autre lien plus éloigné de la vérité.

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  23. Permettez-moi de donner un exemple hypothétique. Disons que je crée une expérience avec un groupe témoin et un groupe de traitement, chacun contenant une personne. Je donne un médicament au groupe de traitement (une personne) et je regarde comment les deux groupes se développent. Disons qu'ils s'améliorent tous les deux à peu près au même moment. Que pouvons-nous conclure ?

    Si vous êtes un adepte de la méthode scientifique, vous pourriez dire que la taille de l'échantillon est trop petite pour conclure quoi que ce soit. Si vous connaissez la terminologie statistique, vous pourriez dire que l'expérience manque de «puissance statistique» pour une preuve négative de l'efficacité du médicament, ce qui est une manière plus précise de dire que la taille de l'échantillon est trop petite. Quoi qu'il en soit, vous pourriez dire que plus de données sont nécessaires.

    Cependant, selon les «normes» journalistiques modernes en Amérique, cette étude est la preuve définitive que le médicament ne fonctionne pas, surtout si, pour le dire, accomplit un objectif politique. Bien sûr, personne ne fait d'expériences de 2 personnes, mais parfois les journalistes rapportent des expériences de 30 personnes, qui manquent encore de puissance.

    Même dans l'espace du COVID et du HCQ, il y a beaucoup d'autres problèmes. Une étude célèbre sur les vétérans présente toute une gamme de problèmes, tels que la sélection étrange de sous-groupes, des études observationnelles passées comme des études basées sur le contrôle dans les médias, des rapports de risque bizarres qui indiquent que AZ + HCQ est bien meilleur que HCQ, mais sans autre discussion. de conclusions. Une autre étude de Lancet présente un grand nombre de ces mêmes problèmes, en plus d'être potentiellement complètement inventés.

    Nos médias et nos épistémies d'État - médicament = bon (guérison parfaite) ou mauvais (extrêmement nocif) - sont complètement incapables de gérer des problèmes aussi complexes que le «dosage» ou les «effets de réseau» ou le traitement dépendant de la personne.

    Cela nous amène à une question philosophique de ce qu'est une «preuve», de ce que «preuve» devrait être et comment le terme est utilisé dans la pratique. Si vous êtes un détective dans une affaire, tout est littéralement une preuve probable: comment la personne est morte, quelle était l'arme, où se trouvaient les gens qui le connaissaient la nuit du meurtre, quelles drogues elles prenaient normalement. Maintenant, une partie de cela, bien que cela puisse être interprété comme une preuve pendant l'enquête, finit par ne plus avoir d'importance à la fin. Cependant, jusqu'à ce que le jugement soit rendu, il est préférable de ne pas rejeter certaines choses comme n'étant pas des «preuves».

    Du point de vue d'un vrai scientifique, tout est une évidence - on ne sait tout simplement pas comment l'interpréter. La science consiste à essayer d'expliquer la réalité. Donc, si nous avons deux études contradictoires sur l'efficacité d'un médicament, il y a de nombreuses explications possibles ici.

    L'une que nous adoptons implicitement, en tant que société polarisée, est qu'une des études a été mal menée. Si la qualité générale des études menées sous la pression d'une pandémie peut être supposée faible, nous devons également prendre en compte d'autres hypothèses évidentes, telles que le médicament fonctionne mieux pour différentes personnes. Par exemple, il est très plausible que le médicament fonctionne mieux si nous le donnons à des personnes plus tôt dans la maladie. Cependant, combiner notre volonté d '«aider les plus démunis» avec des études qui suivent les personnes les plus infectées en raison de la facilité à se procurer les médicaments pour elles, nous fait étudier l'efficacité sur les personnes déjà vraiment malades et qui pourraient ne pas être aidées.

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  24. Maintenant, parfois, ces «preuves» peuvent être moins solides qu'un ECR bien fait (même cela n'est pas garanti en raison d'effets de réseau plausibles). Mais le problème ici est qu'au lieu de considérer des preuves «plus fortes» et «plus faibles», nous considérons l'une comme étant la vérité absolue et l'autre l'hérésie. Au lieu d'appeler ces choses des «preuves», nous avons revendiqué le terme «preuves» comme ce que les journalistes disent être des «études», qui peuvent ou non être des ECR, qui peuvent ou non être faites ou interprétées correctement.

    Les «preuves», aussi importantes soient-elles, ne sont pas l'histoire complète de la science, qui une fois de plus a besoin de produire des modèles. Comment fonctionne le médicament ? Où opère-t-il ? Si l'on mène une étude observationnelle, il vaut la peine de se demander quels sont les facteurs exacts qui influencent les médecins à en prescrire une ou non, au lieu de simplement jeter des contrôles sur les données jusqu'à ce que le résultat souhaité se produise.

    Des déclarations telles que «le médicament a 20% de chances d’aider la maladie» sont considérées comme un «point final» plutôt que comme une description de quelque chose que nous ne savons pas: ce qui distingue ces 20% des 80%. La probabilité n'est pas une chose «inhérente», mais plutôt un pointeur vers des énigmes manquantes dans le graphe causal. Ce dont nous avons réellement besoin, c'est de travailler sur ces graphes causaux.

    «Silence, profane !»

    La censure technologique de grandes quantités d'informations relatives au virus, y compris les premières vidéos de Wuhan, a été carrément criminelle. Big Tech a totalement adhéré au cadre «experts» contre «profanes» comme si les experts étaient toujours «corrects» et que les profanes avaient «tort» (à moins qu'ils ne répètent une déclaration des experts).

    Si les profanes ont «tort», il y a eu un échec massif de l'éducation à produire des modèles corrects que les gens peuvent utiliser pour le raisonnement à domicile. De toute évidence, la réponse par défaut pour de nombreuses personnes est simplement de verser plus d'argent dans l'éducation. Mais nous ne comprenons pas ce que sont même les sciences et l'enseignement des sciences. La science est censée produire des modèles mondiaux, et l'éducation est censée les transmettre à tout le monde. Cela ne l'est pas non plus, vraiment, et ce que nous avons à la place de ces instructions est une grande vallée étrange de production de déclarations en constante évolution (à quel point les rassemblements publics sont-ils dangereux, vraiment?).

    Désormais, des déclarations plus abstraites telles que «La vitamine D / C aide à lutter contre les maladies respiratoires» sont ce que nous aurions idéalement produit avant la pandémie. Ceux-ci peuvent être opérés par des profanes et former un ensemble raisonnable de priors à affiner davantage lorsque quelque chose de nouveau apparaît. Le but initial de la science est de produire des informations fonctionnelles qui peuvent être exploitées à la fois par les décideurs politiques et les profanes. Ces informations peuvent être partagées par des personnes qui ne sont elles-mêmes pas des scientifiques.

    Cependant, dans notre société arriérée, l'idée que les gens tirent des conclusions en utilisant des preuves précédemment disponibles devient taboue. Cela a à peu près autant de sens que les entreprises de technologie censurant le calcul correct de la gravité entre deux planètes parce que le calcul n'a pas été fait par un scientifique.

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  25. Cela ne veut pas dire que toute science doit être publique. Il y a de bonnes raisons au secret, comme la recherche scientifique sur les armes avancées. Cependant, toute la science publique est là pour habiliter les gens, pas pour les rabaisser. Tous les modèles scientifiques n'ont pas besoin d'être compréhensibles par tout le monde - parfois les modèles sont trop difficiles à comprendre et sont donc plus adaptés à une utilisation dans un algorithme open source public.

    Encore une fois, cela ne veut pas dire que toute censure est injustifiée. Il peut y avoir une désinformation nuisible, mais l'un des rôles clés de toute future académie doit être de définir une fenêtre Overton formelle pour l'ensemble des hypothèses qui sont «dans» le domaine du discours scientifique. S'il s'agit d'une hypothèse plausible pour une expérience, il est probablement plausible d'en discuter en public.

    Ce que nous avons à la place, c'est un «débat» sur HCQ, où les universitaires publient des articles en conflit les uns avec les autres et les médecins donnent aux gens les médicaments et rapportent les résultats, avant d'être rapidement bloqués par Big Tech au motif qu'ils sont «non scientifiques».

    Le débat sur HCQ a les deux côtés de penser que l'autre tue des gens. Il se trouve qu'un côté a raison. L'histoire ne jugera pas très bien ceux qui se sont trompés sur ce point. L'idéal américain d'un citoyen suffisamment informé pour prendre des décisions dans l'isoloir est en contraste direct avec un citoyen qui doit être discipliné pour tirer des conclusions logiques évidentes sur les relations entre les vitamines et les virus.

    Il y a même une double pensée ironique, semblable à celle de 1984, dans l'utilisation des statistiques. Vous voyez, lorsque la société a besoin de faire une analyse mathématique intelligente, cela se produira. Certaines équipes de Microsoft, mon ancien employeur, maîtrisent l'analyse statistique de la variété bayésienne et fréquentiste. Si notre société a besoin de la vérité sur des choses importantes, telles que la façon de faire cliquer les gens sur les publicités, de bonnes statistiques honnêtes seront parfois autorisées. Mais si nous voulons déterminer si un médicament a un rapport coût-bénéfice positif pour la santé, oubliez-le.

    D'autres sciences souffrent également de problèmes majeurs. Vous pouvez dire qu'un domaine particulier a des problèmes en demandant: «La société s'est-elle améliorée ou s'est-elle détériorée par rapport aux facteurs étudiés par la science ? Et l'avons-nous fait en regardant les conseils officiels ou en les ignorant ? » L'exemple évident est la nutrition. L'obésité, ainsi qu'une foule d'autres problèmes liés à la nutrition, ont augmenté en Amérique. Si la nation entière échoue, à quel point l'établissement scientifique de la nutrition peut-il être bon ?

    Bien sûr, on pourrait aller papier par papier et voir où les publications individuelles font des erreurs de jugement, mais elles sont susceptibles de tomber dans des catégories prévisibles: absence de modèles réels, manque de graphiques causaux, contrôle inapproprié des variables. Le problème ici est que la science échoue dans son ensemble, sinon nous n'aurions pas les problèmes de santé que nous avons. Comprendre la nutrition comme une science imparfaite est peut-être l'une des caractéristiques de quelqu'un qui est un intellectuel par rapport à quelqu'un qui fait juste semblant.

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  26. Rien de tout cela n'est vraiment révolutionnaire ou nouveau. J'ai entendu des histoires de professeurs de Yale dans un département en colère contre les professeurs d'un autre département enseignant le p-hacking aux étudiants. Les combats interdisciplinaires et intra-disciplinaires sont courants, ce qui n’est pas nécessairement une mauvaise chose tant que la production globale combinée du champ est corrélée à la réalité. Cependant, la tendance journalistique à donner un coup de fouet à tout article qui peut avoir un impact politique amplifie certains combats par rapport à d'autres, brisant davantage un système déjà fragile.

    Une nouvelle naissance de la raison

    Donc, actuellement, la science perd son statut parmi la population générale. Il perd également son statut parmi ceux qui peuvent réellement lire les statistiques. C'est à la fois horrible et encourageant. Sans un moyen structuré de passer au crible la réalité réelle en réalité sociale, la réalité sociale s'écartera de la réalité, avec une dégradation de plus en plus poussée de la santé et de la santé mentale pour la société.

    Cela est vrai aussi bien pour les universitaires que pour les non-universitaires. La polarisation anti-science n'aboutit pas nécessairement à la vérité, car elle est soumise à ses propres spirales de signalisation. Mais cela fournit au moins un contrepoint à l'hégémonie bizarre d'idées telles que «si la maladie n'a pas de remède, alors toutes les tentatives pour établir des médicaments utiles doivent être interdites» - la philosophie implicite des capteurs technologiques.

    Il y a des problèmes plus profonds que la simple signature de type de ce qui est produit ou de fausses hypothèses sur ce qu'est une «preuve», une «information» ou une «désinformation». Chaque discipline scientifique est généralement incitée à faire en sorte que sa discipline se développe et ne soit pas intégrée à d’autres disciplines. Si, par exemple, on constate que des aspects importants de la maladie mentale sont fondés sur des problèmes sociaux ou nutritionnels connus, alors l'industrie de la maladie mentale pourrait se dissoudre dans une science sociale ou une science biologique. Ceci est désavantageux pour l'industrie, et donc l'industrie n'est pas incitée à découvrir la causalité des concepts sous-jacents.

    La véritable recherche fondamentale dans une discipline scientifique ne cherche pas à étendre ladite discipline, mais plutôt à la réduire, tout comme un bon ingénieur s'automatise à partir d'une tâche particulière. Cependant, notre fondement épistémique général continue de proposer un grand nombre d'idées conceptuelles en tant que «choses en soi» avec une identité indépendante déconnectée de la causalité.

    Ces «choses en soi» trouvent ensuite leur chemin dans l'identité, le bios Twitter et la politique, fermant la boucle de rétroaction de l'établissement de la réalité sociale, complétée par l'interdiction sociale: «ne demandez pas ce qui cause cela, c'est non scientifique ! » C'est un problème clé de l'ordre social qui conduit finalement à la destruction de l'ordre social et de la civilisation dans son ensemble, le tout sous le nom de «science». Cela a été noté par de nombreux philosophes, mais aucune société n'a jamais trouvé de solution durable.

    Par exemple, même quelque chose comme «climat» est désormais une «chose en soi», ce qui signifie qu'il ne peut être que «bon» ou «mauvais» avec un ensemble établi d'actions possibles qui sont autorisées à l'affecter. Bien sûr, on pourrait poser une question plus précise, telle que «si nous abattions plus d'arbres sur la côte ouest, y aurait-il des incendies de forêt moins intenses ?» sans chercher à invoquer le «climat» dans son ensemble. Cependant, c'est tabou, car le «climat» est sacré et poser des questions sur des parties du sacré est tabou.

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  27. Y a-t-il encore un espoir de convaincre «l'establishment scientifique» actuel de revenir aux racines? Je n’ai pas grand-chose. La réforme sera plus probablement menée par un groupe de personnes qui ne se considèrent pas comme des «scientifiques», sauf en plaisantant, mais qui ont des cycles de rétroaction suffisamment rapides par rapport à la réalité pour commencer à y remarquer des modèles auparavant cachés.

    L'avenir de la science, comme le dit le proverbe russe, est son passé bien oublié: quelque chose qui est produit par des experts, mais soit compris par l'homme ordinaire, soit suffisamment précis pour être compris par un ordinateur, à condition que toutes les étapes soient vérifiées. . L'avenir de la science, ce sont les modèles, pas les déclarations, et les diagrammes causaux plutôt que le non-sens fréquentiste de la poursuite des valeurs p et des corrélations. Reste à savoir si cela passera ou non sous la bannière de la «science».

    https://www.zerohedge.com/political/how-expert-worship-ruining-science

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    1. La désinformation gouvernementalo-merdiatique fait des tests sur des milliards de microbes et de virus respirés par tout le monde en quelques minutes et parle de '2ème vague' alors qu'il n'y a PAS de '2ème vague' mais de nouveaux microbes ou virus choisis au hasard qu'ils appellent 'issus de mûtation' !! Or, ces nouveaux microbes ou virus mis en exergue sont respirés par tout le monde depuis leur naissance et depuis des millions d'années sans qu'ils ne causent de gravité !

      'Des clones du magma' à 9:32 (arrivés par bateaux ou bicyclettes ?).
      https://www.youtube.com/watch?v=XIbBmn-kBeA

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  28. Les mythes de la démocratie vont-ils détruire la liberté ?


    par Tyler Durden
    Ven, 23/10/2020 - 18:20
    Rédigé par James Bovard via The Mises Institute,


    La Cour suprême a déclaré en 1943: «Il n'y a pas de mysticisme dans la conception américaine de l'État ou de la nature ou de l'origine de son autorité.» En réalité, les doctrines cardinales de la démocratie contemporaine sont couche après couche de claptrap mystique. Les phrases qui La démocratie consacrée s'infiltre dans l'esprit de nombreux Américains comme des déchets dangereux enfouis.

    Si Joe Biden remporte l'élection présidentielle, on dira aux électeurs que notre système politique est racheté: la «volonté du peuple» est désormais claire, Biden gouvernera avec «le consentement des gouvernés», et les Américains sont obligés de faire à nouveau confiance et obéissez au gouvernement fédéral. Si Donald Trump est réélu, une grande partie des mêmes médias continueront à hurler à propos des intrigues russes imaginaires. Mais ces notions restent des illusions dangereuses, peu importe qui est déclaré vainqueur le jour du scrutin.

    L'idée que les résultats des élections représentent la «volonté du peuple» est l'un des triomphes les plus éhontés de la propagande démocratique. Plutôt que de révéler la «volonté du peuple», les résultats des élections sont souvent un instantané d'une journée d'illusions de masse passagères. Les votes qui ne révèlent qu'un mépris comparatif pour les politiciens professionnels concurrents sont transformés en approbations de plans pour refaire de force l'humanité.

    Les Américains sont encouragés à croire que leur vote le jour du scrutin garantit en quelque sorte miraculeusement que les dix mille actions ultérieures du président, du Congrès et des agences fédérales incarnent «la volonté du peuple». En réalité, plus un président émet de décrets, moins il est probable que ses décrets aient un lien avec les préférences populaires. Il est encore plus douteux que toutes les dispositions des lourds paquets législatifs reflètent le soutien de la majorité, compte tenu de la rotation, du commerce et de la complicité avant l'adoption finale. Ou peut-être que le Saint-Esprit de la démocratie plane au-dessus de Capitol Hill pour assurer que les Américains moyens veulent vraiment chaque disposition sur chaque page de projets de loi que la plupart des représentants et des sénateurs ne prennent même pas la peine de lire ?

    Un cousin bâtard de la «volonté du peuple» flimflam est l'idée que les citoyens et le gouvernement sont une seule et même personne. Le président Franklin Roosevelt, après cinq ans d'expansion du pouvoir fédéral aussi rapidement que possible, a déclaré en 1938: «N'oublions jamais que le gouvernement est nous-mêmes et non une puissance étrangère sur nous. Le président Johnson a déclaré en 1964: «Le gouvernement n'est pas un ennemi du peuple. Le gouvernement est le peuple lui-même », même si ce n’était pas« le peuple »dont les mensonges ont envoyé des dizaines de milliers de conscrits américains à des morts inutiles au Vietnam. Le président Bill Clinton a déclaré en 1996: «Le gouvernement n'est que le peuple, agissant ensemble - juste le peuple agissant ensemble.» Mais ce ne sont pas «les gens agissant ensemble» qui ont bombardé la Serbie, envahi Haïti, bloqué l'Irak ou envoyé les chars à Waco.

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  29. Le président Barack Obama a abordé le thème lors d'une collecte de fonds démocrate en 2015:

    «Notre système ne fonctionne que lorsque nous réalisons que le gouvernement n'est pas une chose étrangère; le gouvernement n'est pas un complot ou un complot; ce n’est pas quelque chose qui vous opprime. Le gouvernement, c'est nous dans une démocratie.

    Mais ce ne sont pas des citoyens privés qui, sous le règne d’Obama, ont publié plus d’un demi-million de pages de nouveaux règlements et avis proposés et définitifs dans le Federal Register; rendu plus de 10 millions de décisions administratives; a pris tacitement le contrôle de plus de 500 millions d'acres en les désignant «monuments nationaux»; et bombardé sept nations étrangères. La doctrine «le gouvernement est le peuple» n'a de sens que si nous supposons que les citoyens sont des masochistes qui souhaitent secrètement voir leur vie détruite.

    Les présidents font constamment écho à l'appel de la Déclaration d'indépendance au «consentement des gouvernés». Mais le consentement politique est évalué très différemment du consentement dans d'autres domaines de la vie. La principale preuve que les Américains ne sont pas opprimés est que les citoyens ont voté plus pour l'un des candidats qui ont inscrit son nom sur le bulletin de vote. Un politicien peut dire ou faire presque n'importe quoi pour piéger les votes; après le jour du scrutin, les citoyens ne peuvent presque rien faire pour retenir les politiciens gagnants.

    Une enquête réalisée en 2017 par Rasmussen Reports a révélé que seuls 23 % des Américains pensent que le gouvernement fédéral a «le consentement des gouvernés». Le consentement politique est défini de nos jours comme le viol a été défini il y a une ou deux générations: les gens consentent à tout ce à quoi ils ne résistent pas de force. Les électeurs ne peuvent pas se plaindre de se faire foutre après avoir été attirés dans un isoloir. Quiconque n'essaye pas de brûler l'hôtel de ville a vraisemblablement consenti à tout ce que le maire a fait. Quiconque ne saute pas la clôture de la Maison Blanche et n'essaye pas de pénétrer dans le bureau ovale consent à tous les ordres exécutifs. Quiconque n'incendie pas l'immeuble de bureaux fédéraux le plus proche consent aux derniers édits du Federal Register. Et si les gens attaquent les installations gouvernementales, t

    Une enquête réalisée en 2017 par Rasmussen Reports a révélé que seuls 23 % des Américains pensent que le gouvernement fédéral a «le consentement des gouvernés». Le consentement politique est défini de nos jours comme le viol a été défini il y a une ou deux générations: les gens consentent à tout ce à quoi ils ne résistent pas de force. Les électeurs ne peuvent pas se plaindre de se faire foutre après avoir été attirés dans un isoloir. Quiconque n'essaye pas de brûler l'hôtel de ville a vraisemblablement consenti à tout ce que le maire a fait. Quiconque ne saute pas la clôture de la Maison Blanche et n'essaye pas de pénétrer dans le bureau ovale consent à tous les ordres exécutifs. Quiconque n'incendie pas l'immeuble de bureaux fédéraux le plus proche consent aux derniers édits du Federal Register. Et si les gens attaquent les installations gouvernementales, alors ce sont des terroristes qui peuvent être tués ou emprisonnés à juste titre pour toujours.

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  30. À court terme, l'illusion démocratique la plus dangereuse est que la tenue d'une élection rend le gouvernement de nouveau digne de confiance. Seulement 20% des Américains font confiance au gouvernement pour «faire ce qu'il faut» la plupart du temps, selon une enquête menée le mois dernier par le Pew Research Center. Les Américains sont encouragés à croire que le simple fait de changer le nom de l'occupant de la Maison Blanche devrait restaurer la confiance dans le gouvernement.

    Si Biden est élu, nous entendrons le même scénario de «rédemption» qui a été lancé lorsque Obama a remplacé (temporairement) George W. Bush. Les mêmes médias qui ont ignoré la corruption de Biden pendant la campagne présidentielle insisteront pour que son investiture purifie l'Oncle Sam. Avec Biden en charge, les experts et les caca-bahs jureront qu'il est sûr d'étendre le contrôle fédéral sur les soins de santé, l'éducation, le logement, l'économie, l'environnement et tout ce qui bouge.

    Mais la bienveillance du gouvernement transcende rarement la perfidie de la politique. Washington restera aussi vénal que jamais, quel que soit le chœur d'alléluia des panélistes de PBS NewsHour. Lorsque des scandales éclateront, les citoyens seront invités à faire confiance aux solutions approuvées politiquement pour le système - même si la plupart des réformes de Washington sont comme lutter contre le crime en cachant les cadavres des victimes.

    Il est temps de démystifier la démocratie. L'effet le plus sûr de l'exaltation de la démocratie est de permettre aux politiciens d'entraîner plus facilement tout le monde vers le bas. Jusqu'à ce que les présidents et les membres du Congrès commencent à honorer leur serment de maintenir et de défendre la Constitution, ils méritent toute la méfiance et le dédain qu'ils reçoivent. Les Américains ont besoin de moins de foi en la démocratie et de plus de foi en leur propre liberté.

    https://www.zerohedge.com/political/will-democracys-myths-doom-liberty

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    1. N'oublions pas que ce sont 'Les hommes de l'ombre' qui dirigent !
      C'est pourquoi ce sont eux qui apportent de fausses informations à qui ils veulent afin que la personne qui les répète en public fasse rigoler les auditeurs.
      Remarquez jusque qu'AUCUN candidat à la Maison Blanche ne propose la Démocratie en Amérique !
      Ils veulent tous conserver la république (dictature où le Peuple ne peut pas proposer lui-même ses propres lois et voter lui-même ses propres lois !). Une dictature c'est quand ce sont des tuteurs qui sont désignés pour proposer et voter les lois !!

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  31. Il n'y a pas de Covid et il n'y a pas de pandémie: il n'y a que tromperie et tyrannie


    Par Gary D. Barnett
    24 octobre 2020


    «Toutes les tyrannies règnent par la fraude et la force, mais une fois que la fraude est révélée, elles doivent compter exclusivement sur la force.»
    ~ George Orwell

    Il est important de souligner que cette information n'est pas nouvelle, ce n'est pas surprenant, ce n'est pas une «théorie du complot» et elle ne sera pas rapportée dans les médias grand public. Cela illustre cependant la tromperie flagrante et la fraude criminelle poursuivie non seulement par la prétendue «élite» dirigeante, mais aussi par l’ensemble de la classe politique et le CDC. Cette fraude est perpétrée et avancée par ceux qui prétendent vous représenter tous; ces personnes immorales et perverses qui composent ce qu'on appelle le gouvernement. Ils promettent de respecter le devoir de protéger la société contre toute atteinte à sa liberté, mais le contraire est bien sûr le cas. Tout ce qui est certain à propos des politiciens, la forme humaine la plus basse sur terre, c'est qu'ils sont à tous les niveaux l'ennemi le plus dangereux de l'humanité.

    Les informations qui décrivent ce canular proviennent directement du CDC. Le rapport en question s'intitule: Syndrome respiratoire aigu sévère Coronavirus 2 d'un patient atteint d'une maladie à coronavirus, États-Unis. L'analyse a été réalisée par le Dr Tom Cowan et rapportée par Jon Rappoport. Bien que ce rapport soit quelque peu compliqué à lire par le profane, il est très clair en ce qu'il expose la fraude absolue impliquée dans la tentative de dissimuler qu'aucun isolement réel ou preuve de l'existence du SRAS-CoV-2 n'a jamais été accompli. Cela est évident en ce que le propre rapport du CDC expose ce fait, tout en essayant de montrer le contraire. C’est une pure tromperie basée sur la conviction du CDC que le public américain est trop stupide pour comprendre sa supercherie malhonnête.

    L’analyse de Rappoport est parfaite et entre dans les détails sur les méthodes non scientifiques et stupides utilisées pour tenter de cacher la vérité dans un mensonge. L'article du CDC en question a été découvert par Sally Fallon Morrell. Son co-auteur, le Dr Cowen, dénonce la fraude dans son article intitulé: «Seules les cellules rénales de singe empoisonnées ont« développé »le« virus ».» L'ensemble du processus était une arnaque, tout comme le virus est une arnaque. Bien sûr, rien de tout cela ne concerne un virus mortel; il ne s’agit que d’utiliser un virus imaginaire comme instrument de peur afin d’obtenir une conformité de masse afin de parvenir à la soumission totale de milliards de personnes. Dans cette optique, tout cet épisode aux États-Unis pourrait être classé comme une opération sous faux drapeau, mais au lieu de tenter d'utiliser une terreur mal placée pour entrer en guerre contre un autre pays, cette guerre recherchée sera contre les citoyens américains et du monde entier.

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  32. En termes simples, la base de toute cette analyse est qu'aucun isolement, séparation ou identification d'un nouveau coronavirus mortel ne s'est jamais produit. Le rapport du CDC indique clairement qu'au lieu d'isoler et de faire un séquençage de gène approprié, seulement 37 paires d'échantillons complètement non purifiés sur environ 30 000 ont été testées à l'aide de sondes PCR. Aucun test PCR ne peut isoler ou identifier ce «virus». Aucun test PCR ne peut diagnostiquer quoi que ce soit appelé Covid-19. De plus, ces informations ont été introduites dans un programme informatique, qui est une fraude scientifique et manipulée. Une méthode consensuelle a ensuite été utilisée pour décider des résultats de cette «tentative» d’isolement frauduleuse, niant toute vraie science. L'intégralité de cette soi-disant analyse n'était rien de plus qu'une tentative préméditée de tromper le public et de faire avancer une propagande si perfide qu'elle aurait la capacité de fermer le monde, de causer des morts et des destructions massives futures et de détruire pays et au-delà.

    Comme je l'ai signalé dans cet article, le nombre de décès dans le monde cette année est proche ou inférieur à celui de l'année dernière. En d'autres termes, il n'y a pas de décès supplémentaires dans le monde et une analyse similaire des décès aux États-Unis montre la même conclusion. Cette conclusion est qu'il n'y a pas de décès supplémentaires. Alors, où est la «pandémie» Il semble que ces décès dus au cancer, aux maladies cardiaques, au diabète et à de nombreuses autres maladies et causes naturelles soient tous en baisse cette année. Bien sûr, ce n'est pas vrai, c'est juste que chaque mort possible est codée comme une mort Covid afin de compléter les chiffres afin que l'État puisse continuer à répandre sa peur. Tout cela fait partie du plan pour maintenir cette arnaque en vie.

    Ce tracé de virus a été conçu au premier degré et planifié plusieurs années à l'avance. Le timing était extrêmement important, car la population devait être considérée comme suffisamment faible et suffisamment craintive pour accepter la tromperie selon laquelle un virus dangereux était non seulement présent, mais aussi suffisamment mortel pour infecter tout le monde et tuer un grand nombre de personnes. Cela s'est produit presque du jour au lendemain, et en quelques semaines, la nation tout entière a été mise à genoux. Un coup d'État de cette ampleur est difficile à imaginer, et presque impossible à croire, mais juste de mars à avril de cette année, le monde est passé d'un pays ouvert et fonctionnel à un autre qui était fermé et au bord de l'effondrement. Depuis ce temps, les choses ne se sont pas améliorées, le reste du printemps et de l'été ayant entraîné une dévastation continue. Pendant ce temps, certaines choses ont été rouvertes, bien que des restrictions soient restées en place, mais ce n'était qu'une carotte suspendue devant les gens afin de perpétuer la peur de la pandémie assez longtemps pour arriver à la prochaine saison de la grippe. Désormais, la terreur d’État va non seulement reprendre, mais elle sera bien pire. C'est déjà évident, car de plus en plus de verrouillages se produisent dans le monde, alors que le nombre de faux cas continue d'augmenter en raison de faux tests PCR. Nous entrons maintenant dans la phase la plus avancée de cette conspiration, et la dernière impulsion commence, et va probablement décoller sans interruption après l'élection présidentielle ridicule.

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  33. Il n'y a vraiment plus de temps. Sans résistance de masse, sans répression sérieuse de la part d'un grand nombre de personnes, et sans refus d'obéir aux mandats de l'État, nous sommes confrontés à des temps sans précédent. Tout ce qu’on a dit aux gens au sujet de cette fausse urgence «virale» est un mensonge. C'était le plan depuis le début, et il continuera à empirer et à devenir de plus en plus mortel chaque jour jusqu'à ce qu'un contrôle total soit atteint. Une fois que cela se produira, il n'y aura plus de retour. Il est temps de se tenir ensemble, au lieu de permettre à la haine d'être engendrée par vos maîtres.

    «De plus, nous ferons des promesses. Tant que le Sang durera, je saurai que votre bien est à moi: vous sentirez que ma force est à vous: Au jour d'Armageddon, au dernier grand combat de tous, Que notre maison se tient ensemble et que les piliers ne tombent pas . »

    ~ Rudyard Kipling (2015). “Complete Poetry of Rudyard Kipling: Complete 570+ Poems in One Volume: Songs from Novels and Stories, The Seven Seas Collection, Ballads and Barrack-Room Ballads, An Almanac of Twelve Sports, The Five Nations, The Years Between…”, p.191, e-artnow

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/gary-d-barnett/there-is-no-covid-and-there-is-no-pandemic-there-is-only-deception-and-tyranny/

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