- ENTREE de SECOURS -



vendredi 9 octobre 2020

Une neurologue allemande met en garde contre le port du masque : « La privation d'oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles »

 Sott.net

jeu., 08 oct. 2020 06:06 UTC

C'est l'un des billets les plus importants que j'aie jamais rédigés, alors je vous invite à le lire. J'ai retranscrit les extraits les plus marquants du récent et très urgent message vidéo du Dr Margarite Griesz-Brisson, qui a été traduit de l'allemand en anglais par Claudia Stauber.

https://www.youtube.com/watch?v=pd22FGeuyog

Vidéo originelle du Dr Griesz-Brisson

Le Dr Margarite Griesz-Brisson, docteur en médecine, est neurologue consultante et neurophysiologiste, titulaire d'un doctorat en pharmacologie, avec un intérêt particulier pour la neurotoxicologie, la médecine environnementale, la neurorégénération et la neuroplasticité. Voici ce qu'elle a à dire sur les masques et leurs effets sur notre cerveau :

« La réinhalation de l'air que nous respirons va incontestablement générer un déficit en oxygène et une saturation en gaz carbonique. Nous savons que le cerveau humain est très sensible à la privation d'oxygène. Il y a des cellules nerveuses, par exemple dans l'hippocampe, qui ne peuvent pas rester plus de 3 minutes sans oxygène - elles ne peuvent pas survivre.

Les symptômes d'alerte aigus sont les maux de tête, la somnolence, les vertiges, les problèmes de concentration, le ralentissement du temps de réaction - qui sont des réactions du système cognitif.

Cependant, lorsque vous souffrez d'une privation chronique d'oxygène, tous ces symptômes disparaissent, car vous vous y habituez. Mais votre fonctionnement demeure altéré, et la sous-alimentation en oxygène de votre cerveau continue de progresser.

Nous savons que les maladies neurodégénératives mettent des années, voire des décennies, à se développer. Si aujourd'hui, vous oubliez votre numéro de téléphone, cela indique que le processus de dégradation de votre cerveau a démarré il y a 20 ou 30 ans.

Vous pensez peut-être que vous vous êtes habitué à porter un masque et à inspirer l'air que vous venez d'expirer, mais il n'en reste pas moins que les processus dégénératifs dans votre cerveau s'amplifient à mesure que votre privation d'oxygène se poursuit.

Le deuxième problème est que les cellules nerveuses de votre cerveau sont incapables de se diviser normalement. Ainsi, au cas où nos gouvernements seraient assez généreux pour nous autoriser à enlever nos masques et à respirer à nouveau librement de l'oxygène dans quelques mois, les cellules nerveuses perdues ne seront plus régénérées. Ce qui est perdu est perdu.

Je ne porte pas de masque, j'ai besoin de mon cerveau pour réfléchir. Je veux avoir les idées claires quand je m'occupe de mes patients, et ne pas être anesthésiée au gaz carbonique.

Il n'existe pas d'exemption médicale infondée pour les masques faciaux, car la privation d'oxygène est dangereuse pour chaque cerveau. Chaque être humain doit pouvoir décider librement s'il veut porter un masque absolument inefficace pour se protéger contre un virus.

Pour les enfants et les adolescents, les masques sont un interdit absolu. Les enfants et les adolescents ont un système immunitaire extrêmement actif et adaptatif, et ils ont besoin d'une interaction constante avec le microbiome de la Terre. Leur cerveau est également incroyablement actif, car il a beaucoup à apprendre. Le cerveau de l'enfant, ou de l'adolescent, a soif d'oxygène. Plus l'organe est métaboliquement actif, plus il a besoin d'oxygène. Chez les enfants et les adolescents, chaque organe est métaboliquement actif.

Priver le cerveau d'un enfant ou d'un adolescent d'oxygène, ou le restreindre de quelque manière que ce soit, est non seulement dangereux pour sa santé, mais aussi absolument criminel. Le manque d'oxygène inhibe le développement du cerveau, et les dommages qui en résultent ne PEUVENT PAS être réparés.

L'enfant a besoin du cerveau pour apprendre, et le cerveau a besoin d'oxygène pour fonctionner. Nous n'avons pas besoin d'étude clinique pour le savoir. C'est un fait physiologique simple et incontestable. Un manque d'oxygène provoqué consciemment et délibérément est un danger absolu pour la santé, et une contre-indication médicale absolue.

En médecine, une contre-indication médicale absolue signifie que ce médicament, cette thérapie, cette méthode ou mesure ne doit pas être utilisé, et n'est pas autorisé à être utilisé. Pour contraindre par la force toute une population à utiliser une contre-indication médicale absolue, il faut qu'il y ait des raisons précises et sérieuses à cela, et ces raisons doivent être présentées à des organismes interdisciplinaires et indépendants compétents, pour être vérifiées et autorisées.

Lorsque, dans dix ans, la démence augmentera de manière exponentielle et que les jeunes générations ne pourront pas atteindre leur potentiel inné, cela ne servira à rien de dire que « nous n'avions pas besoin des masques ».

Comment un vétérinaire, un distributeur de logiciels, un homme d'affaires, un constructeur de voitures électriques et un physicien peuvent-ils décider des questions concernant la santé d'une population entière ? S'il vous plaît, chers collègues, nous devons tous nous réveiller.

Je sais à quel point le manque d'oxygène est dommageable pour le cerveau, les cardiologues savent à quel point il est dommageable pour le cœur, les pneumologues savent à quel point il est dommageable pour les poumons. La privation d'oxygène endommage tous les organes.

Où sont nos services de santé, notre assurance maladie, nos associations médicales ? Il aurait été de leur devoir de s'opposer avec véhémence au confinement et d'y mettre fin - dès le début.

Pourquoi les autorités médicales infligent-elles des sanctions aux médecins qui accordent des exemptions aux gens ? La personne ou le médecin doivent-ils sérieusement prouver que la privation d'oxygène est nocif pour tous ? Quel genre de médecine nos médecins et nos associations médicales représentent-ils ?

Qui est responsable de ce crime ? Ceux qui veulent le faire appliquer ? Ceux qui le laissent se produire et jouent le jeu, ou ceux qui ne l'empêchent pas ?

Il ne s'agit pas de masques, ni de virus, et certainement pas de votre santé. Il s'agit de bien plus que cela. Je ne rentre pas dans ce jeu. Je n'ai pas peur.

Comme vous pouvez le remarquer, ils nous prennent déjà notre air. L'impératif à l'heure actuelle est la responsabilité personnelle. Nous sommes responsables de ce que nous pensons - pas les médias. Nous sommes responsables de ce que nous faisons - pas nos supérieurs. Nous sommes responsables de notre santé - pas l'Organisation mondiale de la santé. Et nous sommes responsables de ce qui se passe dans notre pays - pas le gouvernement. »

Comment: Il n'existe pas de preuves scientifiques de l'efficacité des masques contre la transmission des virus par voie aérienne, mais il existe des preuves scientifiques des dangers inhérents au port du masque.

https://fr.sott.net/article/36152-Une-neurologue-allemande-met-en-garde-contre-le-port-du-masque-La-privation-d-oxygene-provoque-des-dommages-neurologiques-irreversibles

60 commentaires:

  1. Vidéo - Le scandale COVID-19 : « Crimes contre l'humanité »? Programme de corruption, procès international de recours collectif


    Me Reiner Fuellmich
    Mondialisation.ca
    jeu., 08 oct. 2020 07:30 UTC


    Des millions de personnes dans le monde entier sont victimes de la campagne de peur. La panique règne. Jour après jour, l'impact persistant de la désinformation des médias concernant le virus mortel est accablant.

    La peur et la panique, associées à des mensonges flagrants, empêchent les gens de comprendre la logique de ces politiques économiques et sociales de grande envergure.

    Un réseau international d'avocats a l'intention de lancer une action collective. Le Dr. Reiner Fuellmich, un éminent avocat, présente les détails de ce projet. (vidéo ci-dessous)

    Après neuf mois de recherche et d'analyse, nous pouvons confirmer que les données et les concepts ont été manipulés en vue de soutenir la campagne de peur. Les estimations basées sur le test RT-PCR sont dénuées de sens : Le test RT-PCR n'identifie/ne détecte pas le virus Covid-19. Ce qu'il détecte, ce sont des fragments de plusieurs virus.

    Confirmé par d'éminents scientifiques ainsi que par des organismes officiels de santé publique, le Covid-19 n'est pas un virus dangereux.

    Amplement documentée, la pandémie de COVID-19 a été utilisée comme prétexte pour déclencher un processus mondial de restructuration économique, sociale et politique qui a abouti à une pauvreté de masse et à un chômage mondial. Elle détruit la vie des gens.

    Michel Chossudovsky, Global Research, le 5 octobre 2020

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    Un avocat allemand dénonce la crise du coronavirus, et parle de crime contre l'humanité

    Bonjour, je m'appelle Reiner Fuellmich et je suis admis au barreau en Allemagne et en Californie depuis 26 ans.

    J'ai pratiqué le droit principalement en tant qu'avocat plaidant contre des sociétés frauduleuses telles que la Deutsche Bank, autrefois l'une des plus grandes banques du monde et des plus respectées, aujourd'hui l'une des organisations criminelles les plus toxiques au monde

    - voir clip sur site :

    https://fr.sott.net/article/36154-Video-Le-scandale-COVID-19-Crimes-contre-l-humanite-Programme-de-corruption-proces-international-de-recours-collectif

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  2. Le gouvernement espagnol scelle Madrid alors que la crise du COVID-19 s'aggrave; Merkel dit que des «mesures plus strictes» arrivent: mises à jour en direct


    par Tyler Durden
    Ven, 10/09/2020 - 10:17

    Résumé:

    Le gouvernement espagnol verrouille Madrid
    Merkel dit qu'elle imposera des mesures plus dures si aucune amélioration n'est constatée dans dix jours
    Le maire de Londres dit que le verrouillage est "inévitable"
    Les Pays-Bas signalent le dernier saut record
    L'Espagne déclare "urgence de santé publique" à Madrid
    La France met plus de villes en lock-out
    Les cas confirmés de COVID-19 ont presque atteint le record quotidien hier
    La Russie annonce un nouveau record
    Takeda recrute les premiers patients pour un nouvel essai de médicament
    La Chine rejoint l'initiative de vaccination de l'OMS
    L'Iran interdit aux hôpitaux de prendre des cas non urgents alors que le COVID martèle le pays

    * * *

    Mise à jour (1000ET): le gouvernement espagnol utilise ses pouvoirs d'urgence pour réimposer une interdiction aux personnes d'entrer et de sortir de Madrid, selon le FT.

    La décision de déclencher "l'état d'alerte" de l'Espagne donnera aux autorités nationales et régionales des pouvoirs étendus pendant deux semaines (qui pourront être prolongées ultérieurement). La nouvelle survient un jour après qu'un tribunal de grande instance de Madrid a annulé des restrictions antérieures similaires en raison d'un manque de base juridique.

    La question a opposé le gouvernement national de gauche à l'administration régionale de centre-droit de Madrid.

    Pendant ce temps, en Allemagne, la chancelière Angela Merkel s'est adressée à la presse à la suite d'une conversation avec les maires de 11 villes allemandes. Elle a mis en garde contre une propagation "incontrôlée et incontrôlable" du virus à travers l'Allemagne. Elle a averti que si les infections ne se stabilisent pas en dix jours, elle réimposera des «mesures plus dures». Merkel et les maires ont déclaré que leur objectif ultime était d'empêcher un deuxième verrouillage.

    * * *

    La France a signalé plus de 18 000 nouveaux cas hier, et maintenant sa troisième plus grande ville, Lyon, rejoint Paris et Marseille pour fermer des bars et d'autres entreprises non essentielles dans les prochains jours alors que les taux d'infection au COVID-19 augmentent dans les points chauds du pays. Alors que le gouvernement français continue d'insister sur le fait que les verrouillages nationaux ne seront qu'une mesure de dernier recours, les responsables de la santé publique doublent l'approche ciblée alors que les patients COVID-19 remplissent les lits d'hôpitaux du pays.

    Hier, le ministre français de la Santé, Olivier Veran, a déclaré que Lyon, Lille, Grenoble et Saint-Étienne passeraient au niveau d'alerte maximal au coronavirus à partir de samedi. Cela signifie qu’ils devront fermer leurs bars pendant deux semaines dans les prochains jours, comme Paris l’a fait mardi et Marseille, la deuxième plus grande ville de France, l’ont fait plus tôt ce mois-ci.

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  3. Et des mesures plus localisées pourraient être mises en œuvre à Toulouse et Montpellier; ces villes pourraient voir leur niveau d'alerte porté au maximum de lundi. Dijon et Clermont-Ferrand verraient également leurs niveaux d'alerte augmenter samedi. "Malheureusement, la situation sanitaire en France continue de se détériorer", a déclaré Veran lors de son briefing hebdomadaire sur le COVID-19, par Reuters.

    Il y a quelques minutes, le maire de Londres, Sadiq Kahn, a déclaré à la LBC que de nouvelles restrictions de verrouillage de Londres étaient «inévitables», les autorités ayant resserré les restrictions à Manchester et dans ses environs, dans le nord de l'Angleterre. Pendant ce temps, l'Espagne a déclaré une urgence de santé publique à Madrid, comme prévu.

    De plus, les Pays-Bas viennent de signaler 5983 nouveaux cas supplémentaires, un nouveau record quotidien, tandis que 69 nouveaux patients ont été signalés dans les hôpitaux du pays, ce qui porte ce total à 1139, tandis que les décès ont augmenté de 14 et les cas de soins intensifs de 11 à 239.

    Plus tôt ce matin, les cas mondiaux avaient atteint 36 435 290, selon les données de Johns Hopkins, tandis que le nombre de morts dans le monde était passé à 1 060 869. Les nouveaux cas étaient juste en deçà du record établi le 24 septembre, avec 359 337 nouveaux cas confirmés hier, ainsi que 6 234 décès. La flambée de nouveaux cas est tirée par l'Europe, la Russie, les États-Unis, l'Inde, le Brésil et l'Asie du Sud-Est. La République tchèque, qui, avec la Pologne, a annoncé hier de nouvelles restrictions pour tenter de ralentir l'épidémie qui fait rage. La République tchèque a signalé vendredi 5 394 nouvelles infections, son total quotidien le plus élevé à ce jour. Le pays a maintenant enregistré 15% de son total d'épidémie de COVID-19 au cours des 3 derniers jours. La Pologne, quant à elle, vient de signaler 4 739 nouveaux cas vendredi, la troisième journée record consécutive.

    Le tir de la Russie a dépassé son apogée à partir de mai vendredi, en enregistrant 12 126 nouvelles infections et 201 décès liés au virus au cours des 24 heures précédant vendredi.

    Dans un long rapport publié dans le FT de vendredi, le journal examine comment une résurgence dans la ville brésilienne de Manaus, qui a été durement touchée au printemps, seulement pour que le virus disparaisse au cours de l'été, soulève de sérieuses questions sur les perspectives du troupeau. immunité. Cette tendance «pose de nouveaux défis ... et des questions difficiles pour les scientifiques et les décideurs du monde entier qui se sont tournés vers des politiques d'immunité des troupeaux comme alternative aux verrouillages écrasants de l'économie.

    Cela vient après qu'un groupe de scientifiques aux États-Unis et au Royaume-Uni a publié la déclaration de Great Barrington plus tôt cette semaine. Le document appelle les décideurs publics à examiner une stratégie de «protection ciblée» pour essayer de renforcer l'immunité des troupeaux de la manière la plus sûre possible. Le virus, ont-ils soutenu, devrait pouvoir circuler parmi les jeunes et en bonne santé, tandis que les personnes âgées et les malades devraient être protégés. En Europe occidentale, des enquêtes sur les anticorps ont révélé qu'environ 8% de la population était déjà infectée, et l'OMS a récemment déclaré qu'elle pensait que 11% de la population mondiale avait déjà contracté le virus.

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  4. Cependant, il semble que bon nombre des mêmes «points chauds» du printemps souffrent à nouveau à l'automne. Cependant, cela pourrait aussi être un facteur de densité de population.

    Alors qu'Eli Lilly et Regeneron demandent des EUA à la FDA pour leurs anticorps thérapeutiques, CNBC a invité le PDG de Gilead, Dan O'Day, vendredi matin, à parler des derniers résultats des essais sur le remdesivir.

    En tout cas, voici quelques nouvelles de COVID-19 du vendredi matin, ainsi que pendant la nuit.

    Le ministère iranien de la Santé a empêché tous les hôpitaux d'admettre des cas non urgents après que l'armée ait également désigné tous ses hôpitaux pour les patients atteints de coronavirus en réponse à une nouvelle augmentation des infections (Source: FT).

    Le japonais Takeda Pharmaceutical affirme qu'une alliance de fabricants de médicaments dont il est le fer de lance a inscrit son premier patient dans un essai clinique mondial d'un traitement par plasma sanguin pour COVID-19 après des mois de retards réglementaires. L'essai de phase 3 du groupe, connu sous le nom de CoVIg Plasma Alliance, vise à recruter 500 patients adultes des États-Unis, du Mexique et de 16 autres pays. Les patients seront traités avec le remdesivir de Gilead Sciences parallèlement au traitement au plasma, qui sera fourni par CSL Behring, Takeda et deux autres sociétés (Source: Nikkei).

    La Chine se joindra à une initiative de l’Organisation mondiale de la santé visant à assurer une distribution équitable des vaccins Covid-19 dès qu’ils seront disponibles, a annoncé vendredi le ministère des Affaires étrangères du pays (Source: FT).

    L'Inde signale 70 496 cas de COVID-19 au cours des dernières 24 heures, contre 78 524 la veille, portant le total du pays à plus de 6,9 ??millions. Le bilan des morts a grimpé de 964 à 106 490 (Source: Nikkei).

    Les États et territoires australiens ont signalé 16 cas au cours des dernières 24 heures, contre 28 un jour plus tôt. Ils ne signalent également aucun décès depuis deux jours - la première fois que l'Australie a passé 48 heures sans décès par COVID-19 depuis le 11 juillet (Source: Nikkei)

    https://www.zerohedge.com/markets/frances-expands-localized-lockdowns-global-covid-19-cases-see-near-record-jump-live-updates

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    1. Un 'Ouf de soulagement' vient de Li-Meng Yan, virologue chinoise (MD, PhD) qui - publiée par Tyler Durden le Jeudi 8 Octobre 2020 à 11:25 - a annoncé qu'il s'agit d'un microbe (donc VIVANT et non d'une nano-particule métallique appelée 'virus') qui - lui - peut être combattu.

      D'où, les conseils de consommer:

      Vitamine C: Oranges, zeste de citron, choux de Bruxelles, poivrons crus, etc

      Vitamine D: Yaourt nature, beurre, fromage, foie de veau, etc

      Zinc: Viandes rouges, pain complet, œufs, huîtres, etc

      Sélénium: Thon en conserve, abats de poulets, fromage, cacao en poudre, etc

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  5. Le décor est planté pour une crise nationale historique…


    8 octobre 2020
    par Michael Snyder


    Tout ce qui s'est passé en 2020 jusqu'à présent nous a préparé pour une grande finale qu'aucun de nous n'oubliera jamais. Cette année, nous avons déjà été témoins de la pire crise de santé publique depuis environ cent ans, de verrouillages généralisés dans tout le pays, d'un effondrement économique paralysant et de troubles civils dans les grandes villes d'Amérique. Dire que le peuple américain est de mauvaise humeur serait un euphémisme majeur. Maintenant, nous sommes à moins d'un mois d'une élection présidentielle âprement disputée, et comme vous le verrez ci-dessous, une enquête a récemment révélé qu'une majorité d'Américains s'attendent à des violences. C’est extrêmement malheureux, mais c’est à cette époque que nous vivons. Notre pays s'effondre littéralement tout autour de nous, et personne ne semble avoir le moyen de l'empêcher de se produire.

    Et plus les conditions économiques s'aggravent, plus l'humeur de la nation va se dégrader. Jeudi, nous avons appris que 840 000 Américains supplémentaires avaient déposé de nouvelles demandes de prestations de chômage la semaine dernière…

    Les derniers chiffres des demandes de chômage du ministère du Travail, qui couvrent la semaine se terminant le 2 octobre, montrent que 840 000 travailleurs ont demandé de l'aide la semaine dernière, soit environ quatre fois le niveau d'avant la crise. Plus de 63 millions d'Américains ont demandé une aide au chômage depuis le début des verrouillages contre les coronavirus à la mi-mars.
    Si quelqu'un m'avait dit à la fin de l'année dernière que 63 millions d'Américains déposeraient de nouvelles demandes de prestations de chômage cette année, j'aurais pensé que cette personne était folle.

    Avant 2020, le pire chiffre pour une seule semaine dans toute l'histoire des États-Unis était de 695000, et maintenant nous avons été bien au-dessus de ce chiffre chaque semaine de cette pandémie.

    Bien sûr, les licenciements ne cessent de rouler. À l'heure actuelle, il est rapporté que WarnerMedia prévoit de licencier des milliers de travailleurs dans les semaines à venir ...

    WarnerMedia d’AT & T prépare une restructuration visant à réduire les coûts de 20 %, car la panique du COVID-19 épuise les revenus des billets de cinéma, des abonnements au câble et des publicités télévisées, rapporte le Wall Street Journal.

    Les licenciements devraient commencer dans les semaines à venir et entraîneraient des milliers de licenciements dans les studios Warner Bros.et les chaînes de télévision comme HBO, TBS et TNT, selon le journal.
    Personnellement, je ne serais pas attristé si WarnerMedia fermait complètement de manière permanente. Ils produisent un barrage sans fin de programmes d'ordures qui corrompent l'esprit de millions d'Américains, et notre société serait certainement mieux sans eux.

    Mais en même temps que des millions et des millions d’américains perdent leur emploi, ceux qui se trouvent au sommet de la chaîne alimentaire économique sont devenus encore plus riches grâce à l’intervention imprudente de la Réserve fédérale sur les marchés financiers.

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  6. À ce stade, les 1 % les plus riches de tous les Américains ont plus de 15 fois plus d'argent que les 50 % les plus pauvres réunis…

    Selon les dernières données de la Fed, les 1 % des Américains les plus riches ont une valeur nette combinée de 34,2 billions de dollars (soit 30,4% de toute la richesse des ménages aux États-Unis), tandis que les 50 % les plus pauvres de la population ne détiennent que 2,1 billions de dollars combinés (soit 1,9 % de toute la richesse).
    Si vous pensez qu’il n’y a pas beaucoup de ressentiment, alors vous n’avez pas fait attention.

    Nous assistons à la montée d'une «mentalité de Robin des Bois» parmi beaucoup de ceux qui vivent dans des zones profondément pauvres, et quand les choses deviennent vraiment folles là-bas, ils vont frapper très fort les quartiers riches.

    Malheureusement, beaucoup de gens pensent que cette élection à venir pourrait potentiellement être l'étincelle qui déclenche beaucoup plus de troubles civils. Personnellement, j'ai un très mauvais pressentiment sur ce qui va se passer et je crois que le fait d'avoir autant de gens qui votent par correspondance pourrait causer toutes sortes de problèmes.

    En fait, même les médias grand public admettent que nous pourrions voir un million de bulletins de vote envoyés par la poste rejetés pour une raison ou une autre ...

    Les rejets des votes par correspondance en novembre devraient atteindre des niveaux historiques, risquant de priver généreusement les électeurs minoritaires et de crédibilité des résultats des élections, a révélé une enquête FRONTLINE de USA TODAY, Columbia Journalism Investigations et PBS.

    Au moins 1,03 million de bulletins de vote par correspondance pourraient être lancés si la moitié de la nation vote par courrier. Les votes rejetés grimpent à 1,55 million si 75% du pays vote absent. Dans ce dernier scénario, plus de 185 000 voix pourraient être perdues en Floride, en Caroline du Nord, en Pennsylvanie et au Wisconsin - États considérés comme essentiels pour capturer la Maison Blanche.
    Tout système de vote qui pourrait potentiellement priver un million d'électeurs est profondément brisé et ne devrait pas être utilisé.

    Mais à ce stade, il est trop tard pour faire quoi que ce soit. Plus de 6 millions de personnes ont déjà voté et de plus en plus de votes sont envoyés chaque jour.

    Bien sûr, des millions d'autres Américains sont également profondément préoccupés par l'intégrité de cette élection. Consultez les résultats d'une récente enquête YouGov…

    Le sondage YouGov auprès de 1 999 électeurs inscrits a révélé que près de la moitié - 47 % - n'étaient pas d'accord avec l'idée que l'élection «est susceptible d'être juste et honnête». Et qu’un peu plus de la moitié - 51 % - ne sera pas «généralement d’accord sur qui est le président légitimement élu des États-Unis». Le sondage en ligne a été mené du 1er au 2 octobre et a une marge d'erreur de +/- 2,56 points de pourcentage.
    En substance, environ la moitié du pays estime que cette élection n'est peut-être pas légitime.

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  7. C'est là une crise nationale majeure.

    En outre, YouGov a également constaté que 56 pour cent des Américains pensent qu'il y aura «une augmentation de la violence à la suite des élections»…

    En outre, un sondage YouGov auprès de 1 505 électeurs a révélé que 56 % ont déclaré qu'ils s'attendaient à «une augmentation de la violence à la suite de l'élection». Cette question avait une marge d'erreur de 4,2 points de pourcentage.
    Ce n'est certainement pas l'Amérique dans laquelle j'ai grandi.

    Dans l'ancien temps, personne n'aurait jamais imaginé une violence généralisée après une élection présidentielle.

    Une autre enquête récente a révélé que 61 % des Américains croient que «les États-Unis pourraient être au bord d'une autre guerre civile».

    Nous n'avons jamais rien vu de tel auparavant, et à ce stade, il est indéniable que notre société s'effondre tout autour de nous.

    Mais au lieu de nous rassembler, les résultats de cette prochaine élection ne feront qu'approfondir nos divisions, peu importe qui gagne.

    Tout ce que nos ancêtres ont travaillé si dur à construire est en danger, et nous nous rapprochons très, très près du point de non-retour.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-stage-has-been-set-for-a-historic-national-meltdown

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  8. Nouvelles du Japon … et des Japonais


    le 9 octobre 2020


    Alors que les liaisons aériennes avec les pays voisins sont progressivement rétablies avec prudence – avec l’Europe et l’Amérique de Nord il faudra attendre – le gouvernement japonais veut que son peuple consomme et soit heureux malgré le fait qu’il ne peut pas quitter l’archipel. Voici quelques exemples qui rendront perplexes bon nombre d’Européens et les gouvernements de ces pays d’une Europe vieillissante ayant perdu toute identité au niveau des nations au profit de l’autorité bruxelloise qui achemine cette région du monde vers un régime totalitaire qui n’aura, bientôt, rien à envier au régime nazi. Le Japon est une démocratie que l’on peut qualifier d’autoritaire au sens bureaucratique du terme. Cet autoritarisme est accepté par la population car il fait partie de la culture du Japon. Il est moins visible qu’en Chine, certes, mais il existe réellement. Alors puisque les Japonais ne peuvent pas quitter leur pays eh bien le gouvernement leur a dit « consommez japonais, voyagez dans votre pays, créez des petites entreprises individuelles (même s’il n’y pratiquement pas de chômage dans ce pays), amusez-vous ». Et pour être le plus convaincant possible le gouvernement japonais a pris des décisions qu’un Castex en France ou un Sanchez en Espagne n’oserait même pas envisager, bien au contraire.

    Au Japon si vous êtes un petit auto-entrepreneur le gouvernement vient de vous attribuer une aide non remboursable de 1 million de yens parce que vous avez peut-être souffert d’un baisse de clientèle avec l’épidémie coronavirale soit (1 euro = 124,5 yens) 8000 euros. Tous les foyers fiscaux viennent de recevoir 100000 yens (800 euros) par personne vivant sous le même toit quel que soit leur âge. Par exemple mon fils vivant à Tokyo et ayant 2 enfants a reçu 400000 yens. Si vous faites une réservation sur le Shinkansen ou une compagnie aérienne pour voyager à l’intérieur du Japon chaque personne reçoit 20 000 yens et si vous pouvez voyager tous les mois vous recevrez pour chaque réservation cette somme de 20 000 yens. Exemple : si mon fils décide d’aller faire du ski avec toute sa famille dans les montagnes de la préfecture de Fukushima comme il en a l’habitude il recevra pour le voyage 80 000 yens.

    Cerise sur le gâteau chaque fois que vous aurez envie d’aller déjeuner ou dîner au restaurant le gouvernement vous gratifiera d’une aide de 1000 yens autant de fois que vous voudrez. Certes 1000 yens c’est peu mais cette somme a le mérite d’être incitative. Je rappelle encore ici que le Japon n’a jamais procédé à un quelconque confinement autoritaire et n’a jamais rendu le port du masque obligatoire. Les politiciens européens vendus aux intérêts des multinationales de la pharmacie devraient réfléchir et regarder au-delà de leur grands bureaux aux lambris dorés plutôt que d’imposer des mesures stupides et d’accélérer la chute de l’économie de leurs pays avec toutes les conséquences sociales que cette descente aux enfers entrainera …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/10/09/nouvelles-du-japon-et-des-japonais/

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    1. (...) Le Japon est une démocratie que l’on peut qualifier d’autoritaire au sens bureaucratique du terme. (...)

      Il n'y a PAS de Démocratie dite 'autoritaire' car, la Démocratie c'est le Peuple. Le Peuple qui dirige (comme en Suisse).

      Le bon sens, pour un pays de 3300 km de long (3 fois la hauteur de la France), est de conserver sa population hors de l'épidémie microbienne appelée 'corona'.
      Demeurent les importations de marchandises...

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  9. Le coronavirus rend-il notre liberté constitutionnelle de réunion obsolète ?


    par Tyler Durden
    Ven, 10/09/2020 - 00:10
    Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,


    Au cours des deux dernières semaines, une tendance est devenue apparente dans l'État de l'Idaho, en particulier à Moscou, dans l'Idaho, dans le comté de Latah. Le conseil municipal de Moscou a émis une ordonnance de masque obligatoire et utilise la police pour la faire respecter. Bizarrement, la ville avait ZERO mort de Covid au moment où l'ordre de masque a été institué, ce qui signifie que leur action était en réponse à… rien.

    L'Idaho a eu un total de 500 décès dus à Covid depuis le début de l'épidémie. Pour mettre cela en perspective, l'État compte également environ 400 décès dus au diabète chaque année et 250 décès dus à la grippe / pneumonie selon le CDC. Peut-être devraient-ils interdire le sucre et rendre les masques obligatoires pour la grippe également, juste pour être sûrs ...

    Les habitants de Moscou ne sont pas très satisfaits de la tentative du conseil municipal de faire appliquer unilatéralement de tels mandats. Les congrégations religieuses en particulier ripostent en organisant des offices en plein air sans masques. La ville a répondu en ARRÊTANT les pasteurs de toute église qui osent défier les lois du masque.

    J'évoque ce cas spécifique de l'application des coronavirus parce que les circonstances qui l'entourent sont inquiétantes ...

    Premièrement, il n'est pas surprenant que le comté de Latah soit l'un des SEULS comtés de l'Idaho qui penche politiquement vers l'extrême gauche, et la majorité du conseil municipal de Moscou est composée de gauchistes. Moscou abrite également l'Université de l'Idaho. Il semble que partout où la gauche politique s'installe, les mandats violant la constitution sur le coronavirus sont répandus. Même si un gouvernement d'État est principalement plus conservateur et moins antagoniste sur les verrouillages, les responsables de la ville et du comté de gauche ont décidé qu'ils allaient appliquer leurs propres restrictions de toute façon.

    Deuxièmement, les règles du masque sont utilisées contre des personnes qui ont tenu des réunions en plein air, et c'est quelque chose que je vois partout dans le monde en ce moment. Pourquoi la science du comportement des virus dans les environnements extérieurs en plein air n'est-elle pas du tout discutée dans le grand public ? Pourquoi personne ne parle du fait que l'air libre et les rayons UV du soleil TUENT les micro-organismes ? La chance de contracter le coronavirus à l'extérieur est presque nulle, mais des règles de masque sont strictement instituées de Melbourne, en Australie à New York, de New York à Moscou, Idaho.

    Les responsables gouvernementaux doivent sûrement être conscients que la science contredit ces ordres. Et si tel est le cas, cela ne fait que confirmer que ces restrictions ne visent pas à sauver des vies; ils concernent le contrôle.

    Troisièmement, le recours à des arrestations ciblées contre des organisateurs d'événements de groupe est clairement une tentative de faire peur au public pour qu'il se conforme sans confronter directement ses préoccupations. Le but est d'encourager l'autocensure et de manipuler les citoyens pour éviter les rassemblements publics sans sortir ouvertement et dire «Nous interdisons les rassemblements publics». C’est un tournant autour de la constitution, et ces actions se multiplient aux États-Unis.

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  10. Comme je l'ai noté dans des articles précédents, j'ai suivi de très près les mesures draconiennes du coronavirus en Australie et en Nouvelle-Zélande. Mes inquiétudes se situent à l'autre bout du monde car ce que je vois se passer là-bas est peut-être un test bêta pour les restrictions de verrouillage de haute intensité dans d'autres pays occidentaux, y compris l'Amérique.

    Les restrictions dans ces pays sont enracinées dans ce qu'ils appellent des «verrouillages de niveau 4» et comprennent des commandes de masques obligatoires (même à l'extérieur), une distanciation sociale obligatoire, des interdictions de rassemblement public, des fermetures d'églises, les citoyens ne sont pas autorisés à voyager à plus de 3 miles de à domicile (essentiellement les gens sont assignés à résidence, avec seulement une heure par jour à l'extérieur pour faire de l'exercice), les personnes qui contractent le virus ou sont soupçonnées d'être infectées peuvent être enfermées dans les camps de Covid aussi longtemps que les autorités gouvernementales le jugent nécessaire, et en Nouvelle-Zélande ces camps sont gérés par l'armée.

    Des personnes qui dénoncent les verrouillages en ligne sont arrêtées pour «incitation». La liberté d'expression en Australie est presque morte.

    Je crois que l’instauration de la tyrannie médicale progresse si rapidement en Australie parce que la grande majorité de la population a été désarmée et qu’elle dispose de moyens limités pour riposter. C’est un endroit facile pour tester les mesures de contrôle. Des manifestations ont lieu, mais sans moyens de légitime défense, les citoyens sont à la merci du gouvernement et des forces de l'ordre. Si le gouvernement veut sévir violemment contre les groupes anti-lockdown, le public ne pourra pas faire grand-chose pour les arrêter.

    Ce que je vois se produire dans des endroits comme Moscou, Idaho, ce sont les étapes initiales de la tyrannie médicale semblable à ce qui se passe en Australie. Ce que je vois est une forme progressive de totalitarisme, et cela ne peut tout simplement pas être toléré.

    Nous avons souvent entendu au cours de cette pandémie que nous sommes «tous dans le même bateau» et que les verrouillages «servent le plus grand bien», mais cela n'a pas de sens. Les droits constitutionnels de réunion publique et la liberté de religion en particulier sont étouffés, et ces droits SONT le plus grand bien. Ils sont bien plus importants que la vie de quelques personnes sensibles au virus.

    Au-delà de cela, pourquoi ne parlons-nous pas du nombre de personnes qui perdent leur emploi à cause des verrouillages? Qu'en est-il du nombre de personnes qui mourront avec le temps de la pauvreté, de la dépression ou de l'effondrement économique à cause des verrouillages ? N'est-ce pas une question de «bien commun» que nous mettons fin aux restrictions plutôt que de les augmenter ?

    Aucun virus ne vaut cela. Cela n'aurait pas d'importance si nous parlions de la peste noire. En fin de compte, cependant, Covid affecte une très petite partie de la population américaine. La vraie solution à la pandémie est simple:

    Les personnes les plus vulnérables devraient volontairement rester à la maison et se mettre en quarantaine, et nous autres devrions vivre notre vie avec une économie ouverte et des droits constitutionnels normaux. Pourquoi cette option n'est-elle pas présentée ?

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  11. Les lois sur les masques en particulier sont vraiment bizarres. Il existe peu de preuves de l'efficacité des masques en tissu, mais l'idée que «tout le monde doit porter un masque» pour que les masques fonctionnent révèle la vraie nature des restrictions.

    Si votre masque est inutile à moins que je ne porte également un masque, alors les masques que nous portons n'offrent pas beaucoup de protection et leur application devrait être remise en question. Le fait que de nombreux États et comtés à travers les États-Unis aient eu des pics d'infection même avec des mandats de masque stricts me suggère que les masques sont inutiles. Même le CDC remet en question l'efficacité des masques en tissu et recommande les masques N95 aux travailleurs de la santé jusqu'à ce qu'il y ait des preuves que les masques en tissu fonctionnent.

    Si le CDC ne pense pas qu'ils fonctionnent très bien, alors pourquoi les gens les portent-ils et pourquoi des gens sont-ils arrêtés pour avoir refusé de les utiliser ? Encore une fois, la science n'appuie pas les mandats, ils doivent donc viser à contrôler plutôt qu'à sauver des vies. Si vous pouvez acclimater une population à ce que le gouvernement soit impliqué quotidiennement dans les moindres subtilités de sa vie, alors la liberté passe par la fenêtre et l'establishment jouit d'un pouvoir total pour faire ce qu'il veut.

    Ne vous méprenez pas, si une personne VEUT porter un masque ou prendre d’autres précautions, aussi douteuses soient-elles, alors je n’ai rien de mal à dire à leur sujet. C'est leur décision. Si une entreprise souhaite exiger des masques avant d'entrer, c'est également son droit en tant que propriétaire. Je peux choisir de ne pas y magasiner si cela ne me plaît pas. Mais personne n’a le droit d’essayer de forcer les autres à se conformer à leurs règles sans fondement pour qu’ils puissent se sentir personnellement plus en sécurité. Si je ne porte pas de masque et que vous ne l’aimez pas, ne vous approchez pas de moi; c'est très facile. Comme les gauchistes aiment à dire: Mon corps est mon choix.

    Prenez note du nombre d'exemples que nous avons vu jusqu'à présent de masques nazis attaquant physiquement des personnes ne portant pas de masques. N’est-ce pas exactement le contraire de ce qu’ils ont prêché ? Notez également que les Nazis Masques ont tendance à être de fervents partisans des foules BLM et Antifa qui ignorent les restrictions de pandémie. Encore une fois, ils ne se soucient pas des problèmes de santé, ils sont en colère parce que vous ne vous soumettez pas à leur contrôle.

    Un autre développement terrifiant pendant la pandémie est l'utilisation des décrets et du pouvoir exécutif pour initier des restrictions sans surveillance publique. Voici l'essentiel: aucun gouvernement, qu'il soit fédéral, étatique ou local, n'a le pouvoir de violer vos droits constitutionnels. Période. Si une loi ou un ordre exécutif piétine la Déclaration des droits, il est automatiquement nul et non avenu et doit être défié. Les urgences nationales ne supplantent pas la Constitution, indépendamment de ce que les étatistes pourraient prétendre.

    Les décrets exécutifs en particulier ne reposent sur rien d'autre que la couleur de la loi. Dans la plupart des cas, ils ne s'appliquent pas légalement aux citoyens, uniquement aux employés du gouvernement. Les vraies lois sont adoptées par la législature et sont souvent ajoutées à un bulletin de vote pour être votées par le public. Aucun gouverneur, maire, conseil municipal ou président n'a le pouvoir de faire valoir de nouvelles lois sans surveillance comme un dictateur.

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  12. La gauche politique n'a pas tardé à souligner ces faits chaque fois que Donald Trump émet des décrets, mais elle est également prompte à défendre les ordonnances émises par les États et les villes pour imposer des verrouillages inconstitutionnels et illégaux.

    En fin de compte, que vous respectiez la Déclaration des droits ou non, les lois n'ont aucun sens à moins qu'elles ne soient étayées par des principes. Une loi immorale et injuste ne doit pas être suivie. Les représentants du gouvernement qui abusent de leur position pour affirmer des pouvoirs qui ne leur sont pas accordés par la constitution devraient être démis de leurs fonctions. Le coronavirus ne change rien - rien du tout.

    Je suggérerais que quiconque vit dans un endroit qui tente d'appliquer des restrictions contraires à la Déclaration des droits agisse maintenant pour perturber ce qui est probablement une marche progressive vers la tyrannie médicale. Si vous ne vous opposez pas à ces actions maintenant, elles ne feront qu’augmenter avec le temps jusqu’à ce qu’une majorité de personnes soit conditionnée à les accepter.

    https://www.zerohedge.com/markets/does-coronavirus-make-our-constitutional-freedom-assembly-obsolete

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    1. (...) Les lois sur les masques en particulier sont vraiment bizarres. Il existe peu de preuves de l'efficacité des masques en tissu, mais l'idée que «tout le monde doit porter un masque» pour que les masques fonctionnent révèle la vraie nature des restrictions. (...)

      Il n'y a PAS ne ne peuvent exister des masques 'antivirus' vu que le ou les virus mesure 0,7 micron !
      Il n'y a AUCUNE possibilité (imprimante 3D) de faire fabriquer un masque au maillage inférieur de 0,7µ ! Car, il s'agirait là de porter sur soi un sac en plastique !!

      Donc, NOUS respirons tous 200 000 virus par minute et 2 millions en activité physique et, nous EXPIRONS 200 000 virus par minute et 2 millions en activité physique.

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  13. Le delta de l'ouragan de catégorie 3 s'approche de la côte de la Louisiane


    par Tyler Durden
    Ven, 10/09/2020 - 08:20


    Selon la dernière mise à jour des avis tropicaux du National Hurricane Center, l'ouragan Delta est une tempête de catégorie 3, qui devrait entraîner des ondes de tempête mettant la vie en danger, des vents destructeurs et des inondations de pluie de la Louisiane et de l'est du Texas au Mississippi vendredi soir.

    À 5 h HE, Delta se trouve à 200 milles au sud de Cameron, en Louisiane, avec des vents maximums soutenus d'environ 120 mi / h, ce qui en fait un ouragan majeur, et devrait frapper la même zone ravagée par l'ouragan Laura à la fin du mois d'août.

    Mise à jour du delta de l'ouragan

    - voir carte sur site -

    Mercredi, Delta a touché terre sur la péninsule du Yucatan. Jeudi, la tempête s'est rapidement intensifiée sur les eaux plus chaudes du golfe du Mexique alors que sa force de vendredi matin semble se stabiliser avec des vents de 120 mph.

    The Weather Channel a déclaré que des avertissements d'ouragan avaient été postés de High Island, Texas, à Morgan City, Louisiane, y compris Lake Charles et Lafayette, Louisiane; et Port Arthur, Texas.

    Montres et avertissements

    - voir carte sur site -

    Un avertissement d'onde de tempête a également été émis de High Island, au Texas, à la rivière des Perles, en Louisiane, y compris le lac Calcasieu, la baie Vermilion et le lac Borgne.

    Prévision des ondes de tempête au-dessus du niveau du sol

    - voir carte sur site -

    L'ouragan Delta, la 25e tempête nommée de la saison cyclonique super active de l'Atlantique 2020, devrait toucher terre ce soir autour du Cameron, en Louisiane.

    Jusqu'à 15 pouces de pluie pourraient être déversés à travers le sud-ouest dans le centre-sud de la Louisiane jusqu'à dimanche.

    Potentiel de pluie jusqu'à dimanche

    - voir carte sur site -

    Prévisions de rafales de vent tout au long de vendredi

    - voir carte sur site -

    Potentiel de panne de courant

    - voir carte sur site -

    Prévision d'orages violents

    - voir carte sur site -

    Jeudi soir, le gouverneur de Louisiane, John Bel Edwards, a déclaré que Delta était sur le point de toucher terre près des zones déjà touchées par Laura fin août.

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  14. "Et nous pensons qu'il y aura des vents de force ouragan et une onde de tempête dans le sud-ouest de la Louisiane, dans la région de notre état qui est la moins préparée à le supporter", a déclaré Edwards lors d'une conférence de presse.

    - voir carte sur site -

    En ce qui concerne les actifs pétroliers et gaziers qui se trouvent en mer, Reuters rapporte que Delta pourrait être l'un des "plus grands coups durs à la production américaine au large du golfe du Mexique en 15 ans, arrêtant la majeure partie du pétrole de la région et près des deux tiers de sa production de gaz naturel. "

    "Delta a fermé 1,67 million de barils par jour, soit 92% de la production pétrolière du Golfe, le plus depuis 2005, lorsque l'ouragan Katrina a détruit plus de 100 plates-formes offshore et entravé la production pendant des mois", a déclaré Reuters.

    Actifs de production extracôtiers du golfe du Mexique

    Les résidents fuient encore une fois le lac Charles à l'approche de Delta.

    - voir carte sur site -

    Une autre perturbation derrière Delta ?

    https://www.zerohedge.com/commodities/category-3-hurricane-delta-approaches-louisiana-coast

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  15. La «plus grande banque fantôme» du monde veut que l'Australie ferme plus rapidement ses centrales au charbon

    Parce que les grands banquiers veulent vraiment sauver la Terre, non ?


    October 9th, 2020


    Crédit carbone, changement climatique, marché du carbone, 2016.
    BlackRock, le «fonds d'investissement mondial» de 10 000 milliards de dollars, exhorte la société australienne AGL à fermer les usines de charbon Bayswater et Loy B Yang beaucoup plus tôt que prévu. BlackRock est une société basée à New York et, comme le dit wikipedia, «En raison de sa puissance, de la taille et de l'étendue de ses actifs et activités financiers, BlackRock a été qualifiée de plus grande banque parallèle au monde.»

    Le mouvement n'a obtenu que 20 % du soutien des investisseurs. Les investisseurs australiens ont largement dit «non merci». Où sont les Verts pour dénoncer les puissances multinationales qui veulent influencer l'Australie - ils font partie de l'équipe de promotion des grands banquiers.

    BlackRock augmente la pression sur les plans de sortie du charbon d'AGL
    Nick Toscano, Sydney Morning Herald

    AGL a fait face à une révolte des investisseurs mercredi, alors que plus de 20% des actionnaires de la société ont soutenu une résolution demandant au conseil d'administration d'aligner le retrait de la centrale électrique de Loy Yang A à Victoria et de sa station Bayswater en Nouvelle-Galles du Sud avec une stratégie de limitation. réchauffement climatique à 1,5 degrés.

    Cela signifierait la fermeture de Loy Yang A, la plus grande centrale électrique au charbon brun de Victoria, au moins 12 ans avant la fermeture prévue par AGL en 2048.

    Alors que d’éminents fonds de retraite locaux, dont Aware Super, ont refusé de soutenir la motion, BlackRock, qui compte 10 000 milliards de dollars, qui figure parmi les principaux actionnaires d’AGL, a voté en sa faveur.

    AGL est responsable de 8% des émissions australiennes (chose extraordinaire en soi - pourquoi une entreprise a-t-elle été autorisée à posséder tant d’actifs de production qu’elle pourrait devenir un capitaliste prédateur au détriment des consommateurs d’électricité australiens ?).

    Il s’agit d’embarrasser les gens pour qu’ils suivent l’accord de Paris 1.5C. La résolution a été déposée par un groupe appelé Australasian Center for Corporate Responsibility (ACCR). Cela rapporte à son tour environ un million de dollars par an à un groupe de fondations et de groupes communautaires (qui à leur tour reçoivent divers millions et promeuvent également «l'action climatique»). Il y a évidemment beaucoup d'argent pour que les gens travaillent dans des emplois rémunérés à plein temps pour «embarrasser» les conseils d'administration et rédiger des communiqués de presse promouvant les mêmes objectifs que «la plus grande banque fantôme» au monde. Coïncidence ?

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  16. Les banques aiment sauver le monde

    Les banques sont très désireuses d'obtenir une «action climatique»: Goldman Sachs a promis 750 milliards de dollars sur le changement climatique. Bank of America a dépensé 50 milliards de dollars pour sauver le monde. Citigroup a engagé 100 milliards de dollars dans le «changement climatique». Une banque espagnole a dépensé 100 milliards d'euros sur le climat de la Terre, car ce sont des gens sympas. La Deutsche Bank rédige des rapports scientifiques de 50 pages sur le changement climatique. Ils ne font pas cela pour sauver les baleines. Il y a quelque chose de différent dans «l’action climatique».

    Banques, institutions financières, commerce du carbone.

    Banques dotées de «comptoirs d'échange de carbone»
    Il y a quelques grandes raisons pour lesquelles les grandes banques veulent une «action carbone». Bon nombre de leurs autres investissements dans les sociétés d'énergies renouvelables dépendent entièrement des règles artificielles anti-marché du gouvernement. En fin de compte, les grands banquiers veulent également un système mondial de commerce du carbone - potentiellement le plus grand marché de «matières premières» au monde dont les banquiers-courtiers tireraient un profit instantané, si seulement quelqu'un voulait acheter le produit (certificats papier sans valeur), ce qu'ils ne font pas - à moins que le grand gouvernement ne les y oblige. Les crédits de carbone ne sont qu'une autre monnaie corrompue, mais qui, en théorie, ne serait «contrôlée» par aucun gouvernement démocratique. Une fois qu'il a commencé, comment pourrait-il être déroulé ?

    Mais il y a un autre avantage ici pour les grands banquiers, qui dépendent du grand gouvernement pour protéger leurs monopoles et leur existence. Les mines de charbon et les générateurs de charbon sont en théorie des machines à but lucratif hautement compétitives qui n'ont pas besoin de protection ou de subvention du gouvernement. En tant que tels, s'ils étaient des voix indépendantes en Australie, ils auraient un pouvoir énorme pour parler et critiquer le grand gouvernement (le charbon est notre principal produit d'exportation, et l'énergie au charbon est notre producteur d'électricité le moins cher). Les énergies renouvelables, en revanche, dépendent totalement du grand gouvernement pour les protéger et faire partie de l'équipe d'encouragement du grand gouvernement.

    Par conséquent, il est dans l’intérêt des Big Parasites d’acheter, de subsumer et de contrôler les voix indépendantes qui ne bénéficient pas du Big Government. Comme l'ont montré Malcolm Roberts et Alan Moran, à l'heure actuelle, les parasites gagnent environ 1 300 $ par ménage en Australie grâce aux règles du grand gouvernement qui obligent les consommateurs à acheter un produit qui ne sera jamais livré et qui ne peut être mesuré. Combien de consommateurs dépenseraient volontairement 1 300 $ par année pour obtenir un «beau temps» en 2100 ?

    BlackRock soutient l'offre de fermeture du charbon de l'AGL, contre les investisseurs d'Aus
    Sarah Simpkins, Quotidien des investisseurs

    Dan Gocher, directeur du climat et de l’environnement à l’ACCR, a déclaré que le soutien de BlackRock «embarrasse les super fonds et les gestionnaires d’actifs australiens qui ont voté contre la résolution».

    «Cela démontre une tendance croissante selon laquelle les investisseurs européens et américains sont plus préparés à prendre des mesures critiques pour faire face au risque climatique», a déclaré M. Gocher.

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  17. «Investisseur principal pour l'engagement avec AGL dans l'initiative Climate Action 100+, Aware Super [anciennement appelé First State Super] a précédemment déclaré que« le changement climatique pose clairement le risque le plus important pour les portefeuilles d'investissement à long terme ». Pourtant, Aware Super a justifié le vote contre la résolution, affirmant qu'il n'était pas commercial de fermer les centrales électriques au charbon d'ici le milieu des années 2030.

    Les bailleurs de fonds de l'ACCR incluent: Graeme Wood, le fondateur de Wotif, qui a donné 1,6 million de dollars aux Verts en 2010. LUCRF Super Fund, The Sunrise Project, qui reçoit 9 millions de dollars par an de donateurs anonymes, concerne en grande partie le «changement climatique» mais soutient également ouvertement tous les causes classiques de la justice sociale Warrier - BLM, LGBTIQ, etc. Et l'amorphe Australian Communities Foundation. Il n’est pas facile de dire d’où certains de ces grands groupes tirent leur financement. Seuls 45 % des revenus de l'ACCR sont répertoriés comme des dons. Le reste est «Autres revenus» quoi que ce soit. Leur rapport annuel 2019 est tellement flou sur le site des organismes de bienfaisance australiens qu'il est presque illisible.

    Il y a un conflit d'actionnaires AGL en cours. Lors de la même réunion, 46 % des actionnaires ont voté contre un plan visant à donner aux PDG des droits d'incitation à long terme. C'est ce qu'on appelle un «premier coup» contre le conseil, et s'il obtient un «deuxième coup» l'année prochaine, cela déclenchera une motion de déversement pour vider l'ensemble du conseil.

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    Les banques veulent * vraiment * sauver le monde. Citigroup s'engage à hauteur de 100 milliards de dollars dans le «changement climatique». Les médias adorent ça.
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    h / t Chris Dawson, David B et Andrew & Marion.

    http://joannenova.com.au/2020/10/worlds-largest-shadow-bank-wants-australia-to-shut-coal-plants-faster/#more-73455

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  18. L'OMS vient-elle de confirmer (accidentellement) que le COVID n'est pas plus dangereux que la grippe ?


    par Tyler Durden
    Jeu, 10/08/2020 - 18:10
    Rédigé par Kit Knightly via Off-Guardian.org,

    L'Organisation mondiale de la santé a enfin confirmé ce que nous (et de nombreux experts et études) disons depuis des mois - le coronavirus n'est ni plus mortel ni plus dangereux que la grippe saisonnière.

    Les hauts gradés de l’OMS ont fait cette annonce lors d’une session extraordinaire des 34 membres du Conseil exécutif de l’OMS le lundi 5 octobre. Personne ne semblait vraiment le comprendre.

    En fait, ils ne semblaient pas le comprendre complètement eux-mêmes.

    Lors de la session, le Dr Michael Ryan, chef des urgences de l’OMS, a révélé qu’à son avis, environ 10 % de la population mondiale avait été infectée par le Sars-Cov-2.

    Il s'agit de leur «meilleure estimation», et une énorme augmentation par rapport au nombre de cas officiellement reconnus (environ 35 millions).

    Le Dr Margaret Harris, porte-parole de l'OMS, a confirmé plus tard le chiffre, déclarant qu'il était basé sur les résultats moyens de toutes les grandes études de séroprévalence réalisées dans le monde.

    Autant l'OMS tentait de considérer cela comme une mauvaise chose - le Dr Ryan a même déclaré que cela signifie que «la grande majorité du monde reste à risque». - c’est en fait une bonne nouvelle. Et confirme, une fois de plus, que le virus n'a rien d'aussi mortel que tout le monde l'avait prédit.

    La population mondiale est d'environ 7,8 milliards de personnes, si 10 % ont été infectés, c'est 780 millions de cas. Le bilan mondial actuellement attribué aux infections à Sars-Cov-2 est de 1 061 539.

    C’est un taux de mortalité par infection d’environ 0,14 %.

    En accord avec la grippe saisonnière et les prévisions de nombreux experts du monde entier.

    0,14% est 24 fois plus faible que le «chiffre provisoire» de l’OMS de 3,4% en mars. Ce chiffre a été utilisé dans les modèles qui ont été utilisés pour justifier les verrouillages et autres politiques draconiennes.

    En fait, compte tenu de la surdéclaration des décès présumés de Covid, l'IFR est probablement même inférieur à 0,14% et pourrait montrer que Covid est beaucoup moins dangereux que la grippe.

    Aucun de la presse grand public n'a retenu cela. Bien que de nombreux médias aient rapporté les propos du Dr Ryan, ils ont tous tenté d'en faire un titre effrayant et de semer la panique.

    Apparemment, ni eux ni l’OMS n’étaient capables de faire les calculs simples qui nous montrent que c’est une bonne nouvelle. Et que les sceptiques de Covid ont toujours eu raison.

    https://www.zerohedge.com/medical/did-who-just-accidentally-confirm-covid-no-more-dangerous-flu

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    1. L'OMS a déclaré que "Le corona n'est pas plus dangereux que la grippe saisonnière".

      Notez que je me suis abstenu de marquer 'coronavirus' car il ne s'agit pas d'un 'virus' comme il l'a été soutenu depuis le début (virus: poussière intelligente, d'origine métallique qui est soit irradiante - voir poussières radioactives - soit aimantée, qui, pour cette dernière est aussi dangereuse que sa précédente car elles s'agglutinent et peuvent créer des caillot dans les artères - voir cerveau/Alzheimer - . Pour la première: origine de cancers).

      Il s'agit donc de nano-particules appelées communément 'microbes' (donc VIVANTES à l'inverse des précédentes appelées 'virus'.

      Pourtant, les 'autorités', ont parlé dès le début de 'virus' ! (et l'ont soutenu jusqu'alors !). Cette méconnaissance scientifique est d'ordre politique et journalistique. Bref, mais, sans savoir (?) dès le début (alors que les scientifiques ne s'étaient encore prononcé), elle a été annoncée comme étant mondiale et très dangereuse (accompagnée de mesures de distanciations, de confinement et de masque jusqu'alors inconnu dans l'histoire du monde !!), rebref, mais, plutôt bizarre que ces dites 'autorités' (qui ne sont pas des scientifiques) aient pu savoir exactement de quoi il s'agissait !

      D'où la révélation hier de Li-Meng Yan, virologue chinoise (MD, PhD), qui, après diverses études ait révélé qu'il s'agissait d'une "arme biologique" (donc: vivante).

      Il y a là comme 'des questions' à se poser quant à la fabrication (en laboratoires) et dans sa diffusion... mondiale !

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  19. Science surprenante - L'énergie propre n'existe pas


    7 octobre 2020


    Un examen méticuleux de la recherche remet en question les impacts environnementaux et la faisabilité de la transition «énergie verte»

    Une nouvelle revue méticuleuse publiée dans la revue scientifique Energies, menée par une équipe de chercheurs irlandais et américains comprenant des chercheurs du CERES, soulève des questions surprenantes et troublantes sur la faisabilité et les impacts environnementaux de la transition vers les sources d'énergie renouvelables. Les préoccupations liées au changement climatique ont entraîné des investissements massifs dans de nouvelles politiques «d'énergie verte» destinées à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) et d'autres impacts environnementaux de l'industrie des combustibles fossiles. Le monde a dépensé 3 660 milliards de dollars américains pour des projets sur le changement climatique sur la période de huit ans 2011-2018. Un total de 55% de cette somme a été consacré à l'énergie solaire et éolienne, tandis que seulement 5% ont été consacrés à l'adaptation aux impacts des événements météorologiques extrêmes.

    Des impacts environnementaux surprenants

    Les chercheurs ont découvert que les sources d'énergie renouvelables contribuent parfois aux problèmes qu'elles étaient censées résoudre. Par exemple, une série d'études internationales a révélé que les parcs éoliens et solaires provoquent eux-mêmes des changements climatiques locaux. Les parcs éoliens augmentent la température du sol en dessous d'eux, et ce réchauffement amène les microbes du sol à libérer plus de dioxyde de carbone. Donc, ironiquement, si l'énergie éolienne réduit partiellement les «émissions de carbone» humaines, elle augmente également les «émissions de carbone» provenant de sources naturelles.

    - voir sur site -

    Photographies montrant deux types différents d '«effet de sillage» dans des parcs éoliens offshore au large des côtes du Danemark. (a) Une photographie de Christian Steiness montre l'effet de sillage de l'air froid et humide passant sur une surface de mer plus chaude, adaptée de la figure 2 de Hasager et al. (2013), reproduit sous licence de copyright Creative Commons CC BY 3.0. (b) Photographie de Bel Air Aviation Denmark - Helicopter Services montre l'effet de sillage de l'air chaud et humide passant sur une surface de mer plus froide, adaptée de la figure 2 de Hasager et al. (2017). Reproduit sous licence de copyright Creative Commons CC BY 4.0.

    Les technologies d'énergie verte nécessitent une multiplication par 10 de l'extraction minérale par rapport à l'électricité à partir de combustibles fossiles. De même, remplacer seulement 50 millions des 1,3 milliard de voitures dans le monde par des véhicules électriques nécessiterait plus que doubler la production annuelle mondiale de cobalt, de néodyme et de lithium, et utiliserait plus de la moitié de la production mondiale actuelle de cuivre.

    Les parcs solaires et éoliens ont également besoin de 100 fois la superficie des terres en électricité produite par des combustibles fossiles, et ces changements d'utilisation des terres qui en résultent peuvent avoir un effet dévastateur sur la biodiversité. Les effets de la bioénergie sur la biodiversité sont pires et l'utilisation accrue de cultures telles que l'huile de palme pour les biocarburants contribue déjà à la destruction des forêts tropicales et d'autres habitats naturels.

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  20. Des implications financières déroutantes

    Étonnamment, plus de la moitié (55%) de toutes les dépenses mondiales pour le climat au cours des années 2011 à 2018 ont été consacrées à l'énergie solaire et éolienne, soit un total de 2 000 milliards de dollars américains. Malgré cela, l'énergie éolienne et solaire ne produisait toujours que 3% de la consommation mondiale d'énergie en 2018, tandis que les énergies fossiles (pétrole, charbon et gaz) en produisaient 85% à elles deux. Cela soulève des questions pressantes sur ce qu'il en coûterait pour faire la transition vers des énergies 100% renouvelables, comme le suggèrent certains chercheurs.

    Comme le dit l'auteur principal Coilín ÓhAiseadha: «Il a coûté 2 billions de dollars au monde pour augmenter la part de l'énergie produite par l'énergie solaire et éolienne d'un demi pour cent à trois pour cent, et cela a pris huit ans. Combien cela coûterait-il d'augmenter ce pourcentage à 100 p. Et combien de temps cela prendrait-il?

    - voir sur site -

    Consommation mondiale d'énergie par source, 2018. Données de BP (2019).

    Des défis d'ingénierie redoutables

    Les ingénieurs ont toujours su que les grands parcs solaires et éoliens sont en proie au soi-disant «problème d'intermittence». Contrairement aux sources de production d'électricité conventionnelles qui fournissent une énergie continue et fiable 24h / 24 et 7j / 7 à la demande, les parcs éoliens et solaires ne produisent de l'électricité que lorsqu'il y a du vent ou de la lumière du soleil.

    «Le ménage moyen s'attend à ce que ses réfrigérateurs et congélateurs fonctionnent en continu et puissent allumer et éteindre les lumières à la demande. Les promoteurs de l'énergie éolienne et solaire doivent commencer à admettre qu'ils ne sont pas capables de fournir à l'échelle nationale ce type d'approvisionnement en électricité continu et à la demande auquel les sociétés modernes sont habituées », déclare le Dr Ronan Connolly, co-auteur de la nouvelle revue.

    Le problème n'est pas facilement résolu par le stockage de batteries à grande échelle, car il exigerait d'énormes batteries couvrant plusieurs hectares de terrain. Tesla a construit une grande batterie pour stabiliser le réseau en Australie du Sud. Il a une capacité de 100 MW / 129 MWh et couvre un hectare de terrain. L'un des documents examinés dans cette nouvelle étude a estimé que, si l'État de l'Alberta, au Canada, passait du charbon à l'énergie renouvelable, en utilisant le gaz naturel et le stockage de batteries comme sauvegarde, il faudrait 100 de ces grandes batteries pour répondre demande de pointe.

    Certains chercheurs ont suggéré que les variations de la production d'énergie peuvent être compensées en construisant des réseaux de transport d'électricité continentaux, par exemple un réseau reliant des parcs éoliens du nord-ouest de l'Europe à des parcs solaires du sud-est, mais cela nécessite des investissements massifs. Il est susceptible de créer des goulots d'étranglement là où la capacité d'interconnexions est insuffisante et ne supprime pas la vulnérabilité sous-jacente aux accalmies au soleil et au vent qui peuvent durer des jours et des jours.

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  21. Blesser les plus pauvres

    Une série d'études menées en Europe, aux États-Unis et en Chine montre que les taxes sur le carbone ont tendance à faire peser le plus lourd fardeau sur les ménages les plus pauvres et les habitants des zones rurales.

    Bien que la motivation première des politiques d'énergie verte soit l'inquiétude face au changement climatique, seuls 5% des dépenses climatiques ont été consacrées à l'adaptation au changement climatique. L'adaptation au climat comprend l'aide

    les pays en développement à mieux répondre aux événements météorologiques extrêmes tels que les ouragans. La nécessité de construire des infrastructures d'adaptation au climat et des systèmes d'intervention d'urgence peut entrer en conflit avec la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre, car les combustibles fossiles sont généralement la source d'énergie bon marché la plus facilement disponible pour le développement.

    En ce qui concerne les peuples autochtones, l'examen met en évidence le fait que toutes les technologies énergétiques peuvent avoir des impacts graves sur les communautés locales, en particulier si elles ne sont pas correctement consultées. L'extraction du cobalt, nécessaire à la fabrication de batteries pour les véhicules électriques, a de graves répercussions sur la santé des femmes et des enfants dans les communautés minières, où l'extraction est souvent effectuée dans des mines «artisanales» à petite échelle non réglementées. L'extraction du lithium, également nécessaire à la fabrication de batteries pour véhicules électriques, nécessite de grandes quantités d'eau et peut entraîner une pollution et des pénuries d'eau douce pour les communautés locales.

    En tant qu'auteur principal, Coilín ÓhAiseadha, souligne: «Il y a eu une couverture mondiale du conflit entre la tribu Standing Rock Sioux et le Dakota Access Pipeline, mais qu'en est-il des impacts de l'extraction du cobalt sur les peuples autochtones de la République démocratique du Congo, et qu'en est-il des impacts de l'extraction du lithium sur les peuples du désert d'Atacama ? Vous vous souvenez du slogan qu'ils ont scandé à Standing Rock ? Mni Wiconi ! L'eau est la vie ! Eh bien, cela s'applique que vous soyez Sioux de Standing Rock craint qu'un déversement de pétrole pollue la rivière, ou que vous soyez dans le désert d'Atacama, inquiet que l'extraction du lithium pollue vos eaux souterraines. "

    Aperçu du papier

    La revue, publiée dans un numéro spécial de la revue Energies le 16 septembre, couvre 39 pages, avec 14 chiffres en couleur et deux tableaux, détaillant la répartition des dépenses liées au changement climatique et les avantages et les inconvénients de toutes les différentes options: éolien , solaire, hydroélectrique, nucléaire, combustibles fossiles, bioénergie, marémotrice et géothermique. Pour la revue, les chercheurs ont effectué des recherches méticuleuses dans des centaines d'articles de recherche publiés dans tout le monde anglophone, dans un large éventail de domaines, notamment l'ingénierie, l'environnement, l'énergie et la politique climatique. Le rapport final comprend des références à 255 documents de recherche couvrant tous ces domaines, et il se termine par un tableau résumant les avantages et les inconvénients de toutes les différentes technologies énergétiques. Les membres de l'équipe de recherche étaient basés en République d'Irlande, en Irlande du Nord et aux États-Unis.

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  22. La revue a été publiée sous la forme d'un article d'examen par les pairs en libre accès et peut être téléchargée gratuitement à partir de l'URL suivante: https://www.mdpi.com/1996-1073/13/18/4839.

    La citation complète est la suivante: ÓhAiseadha, C .; Quinn, G .; Connolly, R .; Connolly, M .; Prochainement, W. Politique énergétique et climatique - Une évaluation des dépenses mondiales en matière de changement climatique 2011-2018. Énergies 2020, 13, 4839.

    Financement: C.Ó., G.Q. et M.C. n'a reçu aucun financement externe pour les travaux sur ce papier. R.C. et W.S. a reçu le soutien financier du Centre de recherche environnementale et des sciences de la Terre (CERES), tout en effectuant les recherches pour cet article. L'objectif du CERES est de promouvoir une enquête scientifique ouverte et indépendante. Pour cette raison, les donateurs du CERES sont strictement tenus de ne pas tenter d'influencer ni les orientations de la recherche, ni les conclusions du CERES. Les lecteurs intéressés à soutenir CERES peuvent trouver des détails sur Link.

    Une nouvelle revue méticuleuse publiée dans la revue scientifique Energies, menée par une équipe de chercheurs irlandais et américains comprenant des chercheurs du CERES, soulève des questions surprenantes et troublantes sur la faisabilité et les impacts environnementaux de la transition vers les sources d'énergie renouvelables. Les préoccupations liées au changement climatique ont entraîné des investissements massifs dans de nouvelles politiques «d'énergie verte» destinées à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) et d'autres impacts environnementaux de l'industrie des combustibles fossiles. Le monde a dépensé 3 660 milliards de dollars américains pour des projets sur le changement climatique sur la période de huit ans 2011-2018. Un total de 55% de cette somme a été consacré à l'énergie solaire et éolienne, tandis que seulement 5 % ont été consacrés à l'adaptation aux impacts des événements météorologiques extrêmes.

    Des impacts environnementaux surprenants

    Les chercheurs ont découvert que les sources d'énergie renouvelables contribuent parfois aux problèmes qu'elles étaient censées résoudre. Par exemple, une série d'études internationales a révélé que les parcs éoliens et solaires provoquent eux-mêmes des changements climatiques locaux. Les parcs éoliens augmentent la température du sol en dessous d'eux, et ce réchauffement amène les microbes du sol à libérer plus de gaz carbonique. Donc, ironiquement, si l'énergie éolienne réduit partiellement les «émissions de carbone» humaines, elle augmente également les «émissions de carbone» provenant de sources naturelles.

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    Photographies montrant deux types différents d '«effet de sillage» dans des parcs éoliens offshore au large des côtes du Danemark. (a) Une photographie de Christian Steiness montre l'effet de sillage de l'air froid et humide passant sur une surface de mer plus chaude, adaptée de la figure 2 de Hasager et al. (2013), reproduit sous licence de copyright Creative Commons CC BY 3.0. (b) Photographie de Bel Air Aviation Denmark - Helicopter Services montre l'effet de sillage de l'air chaud et humide passant sur une surface de mer plus froide, adaptée de la figure 2 de Hasager et al. (2017). Reproduit sous licence de copyright Creative Commons CC BY 4.0.

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  23. Les technologies d'énergie verte nécessitent une multiplication par 10 de l'extraction minérale par rapport à l'électricité à partir de combustibles fossiles. De même, remplacer seulement 50 millions des 1,3 milliard de voitures dans le monde par des véhicules électriques nécessiterait plus que doubler la production annuelle mondiale de cobalt, de néodyme et de lithium, et utiliserait plus de la moitié de la production mondiale actuelle de cuivre.

    Les parcs solaires et éoliens ont également besoin de 100 fois la superficie des terres en électricité produite par des combustibles fossiles, et ces changements d'utilisation des terres qui en résultent peuvent avoir un effet dévastateur sur la biodiversité. Les effets de la bioénergie sur la biodiversité sont pires et l'utilisation accrue de cultures telles que l'huile de palme pour les biocarburants contribue déjà à la destruction des forêts tropicales et d'autres habitats naturels.

    Des implications financières déroutantes

    Étonnamment, plus de la moitié (55 %) de toutes les dépenses climatiques mondiales au cours des années 2011 ? 2018 ont été consacrées à l'énergie solaire et éolienne ? un total de 2 000 milliards de dollars EU. Malgré cela, l'énergie éolienne et solaire ne produisait toujours que 3% de la consommation mondiale d'énergie en 2018, tandis que les énergies fossiles (pétrole, charbon et gaz) en produisaient 85% à elles deux. Cela soulève des questions pressantes sur ce qu'il en coûterait pour faire la transition vers des énergies 100% renouvelables, comme le suggèrent certains chercheurs.

    Comme le dit l'auteur principal Coilín ÓhAiseadha: «Il a coûté 2 billions de dollars au monde pour augmenter la part de l'énergie produite par l'énergie solaire et éolienne d'un demi pour cent à trois pour cent, et cela a pris huit ans. Combien cela coûterait-il d'augmenter ce pourcentage à 100 p. Et combien de temps cela prendrait-il ?

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    Consommation mondiale d'énergie par source, 2018. Données de BP (2019).

    Des défis d'ingénierie redoutables

    Les ingénieurs ont toujours su que les grands parcs solaires et éoliens sont en proie au soi-disant «problème d'intermittence». Contrairement aux sources de production d'électricité conventionnelles qui fournissent une énergie continue et fiable 24h / 24 et 7j / 7 à la demande, les parcs éoliens et solaires ne produisent de l'électricité que lorsqu'il y a du vent ou de la lumière du soleil.

    «Le ménage moyen s'attend à ce que ses réfrigérateurs et congélateurs fonctionnent en continu et puissent allumer et éteindre les lumières à la demande. Les promoteurs de l'énergie éolienne et solaire doivent commencer à admettre qu'ils ne sont pas capables de fournir à l'échelle nationale ce type d'approvisionnement en électricité continu et à la demande auquel les sociétés modernes sont habituées », déclare le Dr Ronan Connolly, co-auteur de la nouvelle revue.

    Le problème n'est pas facilement résolu par le stockage de batteries à grande échelle, car il exigerait d'énormes batteries couvrant plusieurs hectares de terrain. Tesla a construit une grande batterie pour stabiliser le réseau en Australie du Sud. Il a une capacité de 100 MW / 129 MWh et couvre un hectare de terrain. L'un des documents examinés dans cette nouvelle étude a estimé que, si l'État de l'Alberta, au Canada, passait du charbon à l'énergie renouvelable, en utilisant le gaz naturel et le stockage de batteries comme sauvegarde, il faudrait 100 de ces grandes batteries pour répondre demande de pointe.

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  24. Certains chercheurs ont suggéré que les variations de la production d'énergie peuvent être compensées en construisant des réseaux de transport d'électricité continentaux, par exemple un réseau reliant des parcs éoliens du nord-ouest de l'Europe à des parcs solaires du sud-est, mais cela nécessite des investissements massifs. Il est susceptible de créer des goulots d'étranglement là où la capacité d'interconnexions est insuffisante et ne supprime pas la vulnérabilité sous-jacente aux accalmies au soleil et au vent qui peuvent durer des jours et des jours.

    Blesser les plus pauvres

    Une série d'études menées en Europe, aux États-Unis et en Chine montre que les taxes sur le carbone ont tendance à faire peser le plus lourd fardeau sur les ménages les plus pauvres et les habitants des zones rurales.

    Bien que la motivation première des politiques d'énergie verte soit l'inquiétude face au changement climatique, seuls 5% des dépenses climatiques ont été consacrées à l'adaptation au changement climatique. L'adaptation au climat comprend l'aide

    les pays en développement à mieux répondre aux événements météorologiques extrêmes tels que les ouragans. La nécessité de construire des infrastructures d'adaptation au climat et des systèmes d'intervention d'urgence peut entrer en conflit avec la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre, car les combustibles fossiles sont généralement la source d'énergie bon marché la plus facilement disponible pour le développement.

    En ce qui concerne les peuples autochtones, l'examen met en évidence le fait que toutes les technologies énergétiques peuvent avoir des impacts graves sur les communautés locales, en particulier si elles ne sont pas correctement consultées. L'extraction du cobalt, nécessaire à la fabrication de batteries pour les véhicules électriques, a de graves répercussions sur la santé des femmes et des enfants dans les communautés minières, où l'extraction est souvent effectuée dans des mines «artisanales» à petite échelle non réglementées. L'extraction du lithium, également nécessaire à la fabrication de batteries pour véhicules électriques, nécessite de grandes quantités d'eau et peut entraîner une pollution et des pénuries d'eau douce pour les communautés locales.

    En tant qu'auteur principal, Coilín ÓhAiseadha, souligne: «Il y a eu une couverture mondiale du conflit entre la tribu Standing Rock Sioux et le Dakota Access Pipeline, mais qu'en est-il des impacts de l'extraction du cobalt sur les peuples autochtones de la République démocratique du Congo, et qu'en est-il des impacts de l'extraction du lithium sur les peuples du désert d'Atacama ? Vous vous souvenez du slogan qu'ils ont scandé à Standing Rock ? Mni Wiconi ! L'eau est la vie ! Eh bien, cela s'applique que vous soyez Sioux de Standing Rock craint qu'un déversement de pétrole pollue la rivière, ou que vous soyez dans le désert d'Atacama, inquiet que l'extraction du lithium pollue vos eaux souterraines. "

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  25. Aperçu du papier

    La revue, publiée dans un numéro spécial de la revue Energies le 16 septembre, couvre 39 pages, avec 14 chiffres en couleur et deux tableaux, détaillant la répartition des dépenses liées au changement climatique et les avantages et les inconvénients de toutes les différentes options: éolien, solaire, hydroélectrique, nucléaire, combustibles fossiles, bioénergie, marémotrice et géothermique. Pour la revue, les chercheurs ont effectué des recherches méticuleuses dans des centaines d'articles de recherche publiés dans tout le monde anglophone, dans un large éventail de domaines, notamment l'ingénierie, l'environnement, l'énergie et la politique climatique. Le rapport final comprend des références à 255 documents de recherche couvrant tous ces domaines, et il se termine par un tableau résumant les avantages et les inconvénients de toutes les différentes technologies énergétiques. Les membres de l'équipe de recherche étaient basés en République d'Irlande, en Irlande du Nord et aux États-Unis.

    La revue a été publiée sous la forme d'un article d'examen par les pairs en libre accès et peut être téléchargée gratuitement à partir de l'URL suivante: https://www.mdpi.com/1996-1073/13/18/4839.

    La citation complète est la suivante: ÓhAiseadha, C .; Quinn, G .; Connolly, R .; Connolly, M .; Prochainement, W. Politique énergétique et climatique - Une évaluation des dépenses mondiales en matière de changement climatique 2011-2018. Énergies 2020, 13, 4839.

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    If you would like more information about this scientific review paper, please contact (available Monday Friday, 10h 18h GMT):

    Ronan Connolly at +353 89 250 1433 (phone or WhatsApp) or ronan@ceres-science.com

    Coilín ÓhAiseadha at +353 89 245 4313 (phone or WhatsApp) or coohais@gmail.com

    https://www.ceres-science.com/content/Renewables.html

    https://wattsupwiththat.com/2020/10/07/surprising-science-theres-no-such-thing-as-clean-energy/

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  26. «L’armement du temps dans la fausse guerre climatique»


    8 octobre 2020


    Joe Bastardi, que je considère comme un ami et un brillant prévisionniste avec une mémoire photographique des événements météorologiques à travers l'histoire, a écrit un livre sur la «guerre climatique», qui réfute l'utilisation par Michael Mann de la même phrase dans son livre de tristesse et de malheur.

    Le Washington Times avait ceci à dire à ce sujet:

    Dans «The Weaponization of Weather», M. Bastardi présente l'un des meilleurs défis aux affirmations hystériques selon lesquelles les humains sont à l'origine d'un changement climatique exagéré en démontrant que les «conditions météorologiques extrêmes» peuvent être prédites en fonction de leur occurrence naturelle dans l'histoire. M. Bastardi est un historien du temps avec une connaissance encyclopédique des événements météorologiques passés. Il est un praticien de longue date dans le domaine des sciences atmosphériques avec 45 ans d'expérience. Et, M. Bastardi est un invité fréquent du Sean Hannity Show, où il prédit et explique les conditions météorologiques extrêmes actuelles telles que les ouragans imminents et les tempêtes de neige.

    Dans chapitre après chapitre, M. Bastardi montre à quel point les conditions météorologiques extrêmes et leurs conséquences sur l'environnement ne sont en réalité que le temps qui fait ce qu'il fait. Comme dans son livre précédent, The Climate Chronicles: Inconvenient Revelations You Won’T Hear from Al Gore — And Others, Joe explique comment la compréhension des événements météorologiques extrêmes du passé lointain (c'est-à-dire des analogues historiques) conduit à des prévisions contemporaines précises.

    Et, si de tels événements extrêmes peuvent être prédits à partir de leur occurrence précédente, cela ne remet-il pas en question l’affirmation selon laquelle ces événements sont en quelque sorte inhabituels et maintenant basés sur l’activité humaine ? Reliez la compréhension des conditions passées à la nature cyclique du climat et vous disposez des ingrédients clés pour une prévision fiable.



    M. Bastardi note dans le livre:

    «En tant que personne qui compte sur le passé pour définir l'avenir, aucune période de temps aux États-Unis n'a été aussi extrême que les années 1930 à 1960. Honnêtement, tout, des ouragans aux sécheresses en passant par la chaleur extrême et le froid extrême pendant cette période, fait que les dernières décennies semblent plutôt ennuyeuses. Mais vous ne pourrez le reconnaître que si vous connaissez votre historique météorologique. Pour certaines personnes, prétendre que les événements d’aujourd’hui sont un signe que l’homme est responsable du temps «étrange» m’amène certainement à remettre en question leurs méthodes. »

    Le style accessible et familier de M. Bastardi - livré avec beaucoup de passion pour la science atmosphérique et sa bonne compréhension sans le battage médiatique - fait de The Weaponization of Weather un plaisir pour les lecteurs de mieux apprécier la complexité et la majesté du climat.

    Et c’est la vérité, il suffit de regarder ces données sur les vagues de chaleur dans les années 30. Où est la crise aujourd'hui ? Il n’y en a pas.

    - voir graphique sur site -

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  27. Indice des vagues de chaleur pour les États-Unis contigus, 1895-2015 (aucune donnée ultérieure n'est disponible). L'indice annuel des vagues de chaleur aux États-Unis suit l'occurrence des conditions de vague de chaleur aux États-Unis. Cet indice définit une vague de chaleur comme une période d'au moins quatre jours avec une température moyenne qui ne devrait se produire qu'une fois tous les 10 ans, selon les données historiques. La valeur de l'indice pour une année donnée dépend de la fréquence des vagues de chaleur et de leur étendue. Source: Notre monde en données, en utilisant les données de la NOAA.
    Presque tout ce que j'ai jamais vu produit par Joe Bastardi sonne juste, alors je n'hésite pas à l'approuver. -Anthony

    Voici la description d'Amazon:

    Et si le changement climatique était naturel et cyclique ? Et si des milliards de dollars étaient dépensés pour ne rien accomplir ? Et si le vrai programme ne concernait pas la science, le climat et la météo, mais l'utilisait simplement comme un outil pour perturber et détruire les concepts fondamentaux d'une nation, sous Dieu, qui ont conduit à la plus grande qualité de vie et de liberté que le monde ait jamais connue connu ?

    À 65 ans, Joe Bastardi est aujourd'hui l'un des météorologues les plus expérimentés au monde. Sa connaissance des événements majeurs passés met en perspective les événements météorologiques extrêmes observés aujourd'hui, qui n'ont rien de nouveau et, en fait, pas aussi graves qu'avant. Dans ce livre, Bastardi va en profondeur pour documenter les événements climatiques et météorologiques naturels pour interroger ceux dont le programme est de militariser chaque événement météorologique pour la poursuite d'un objectif politique et social. Bien sûr, le climat change et avec les nombreux influenceurs naturels constamment en jeu, il le sera toujours.

    Grâce à un niveau d'activité toujours fluctuant chez les grands moteurs naturels qui l'ont toujours contrôlé, comme notre Soleil, les océans, les événements stochastiques et la conception même du système lui-même, le changement climatique est naturel. «Une seule attribution à l'homme comme bouton de contrôle de la température face à cela est discutable, sinon exagérée. Le lecteur devrait au moins regarder les idées présentées ici », a déclaré Bastardi. Joe comprend la peur aujourd'hui, étant donné ce qui n'a été rien de moins qu'un endoctrinement public.

    Son nouveau livre offre une solution écologique et peu coûteuse pour atténuer ces craintes, qui ne détruira pas la bouée de sauvetage économique de cette nation comme le Green New Deal le fera sûrement. Cela commence par éliminer la peur qui a été poussée pour créer ce qui devient une panique irrationnelle, en particulier chez nos jeunes. Alors, ce livre est-il important à plusieurs niveaux ? Tu décides.

    https://wattsupwiththat.com/2020/10/08/the-weaponization-of-weather-in-the-phony-climate-war/

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  28. Les baisses de tension en Californie illustrent les résultats dystopiques des cibles utopiques


    Par Kenneth Green
    9 octobre 2020


    L'une des erreurs les plus dommageables de notre temps pourrait être l'erreur du «Field of Dreams», qui soutient que «Si vous le construisez, ils viendront». Cette erreur, ce que l'on pourrait également appeler le mythe habilitant de ceux qui favorisent les sociétés planifiées plutôt que les économies de marché, persiste année après année, malgré un bilan presque ininterrompu d'échecs s'étalant sur des décennies et dans certains cas des siècles.

    À juste titre, aucun État n'incarne mieux la pensée fantastique derrière «Si vous le construisez» que la Californie, où les planificateurs ont lancé un éventail infini de «cibles ambitieuses» pour tout, de la pureté de l'air au covoiturage des employés, en passant par le trafic des transports en commun et le cyclisme étendu , le déploiement de voitures électriques, des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre, et bien sûr, des objectifs d'énergies renouvelables: plus précisément le rêve d'une société alimentée par des bouffées d'air, des rayons de soleil, des roches chaudes et des vœux pieux.

    Mais au cours de l'année de notre Peste 2020, le fantasme renouvelable de Field of Dreams en Californie a peut-être finalement échoué de manière si visible et indéniable au point de donner l'espoir que les citoyens aveugles du Golden State commenceront à exiger de meilleures politiques basées sur l'expérience réelle de «voici ce que nous avons fait, voici notre prochain objectif progressif et réalisable », également connu sous le nom de pragmatisme. Je sais, ayant grandi en Californie, c'est probablement un vœu pieux, mais contrairement à la Californie, je l'admets en fait !

    Comme se souviendront ceux qui se soucient de garder la climatisation en marche, la Californie poursuit le rêve de l'énergie renouvelable depuis des décennies. En tant que source de connaissances irréprochable, Wikipédia observe:

    En 2006, la législature californienne a adopté le Global Warming Solutions Act de 2006 qui fixait l'objectif de 33 % de la consommation d'électricité en Californie à être générée par des sources renouvelables d'ici 2020. En 2015, SB350 a mandaté les services publics d'électricité pour acheter 50 % de leur électricité à Les sources renouvelables d'ici 2030. Puis, en 2018, le projet de loi 100 du Sénat a été adopté, qui a augmenté l'exigence d'énergies renouvelables pour les services publics d'électricité à 50 % d'ici 2026, 60% d'ici 2030 et 100 % d'ici 2045.

    Comment ça marche pour la Californie ? Pas si bien. Un article paru dans Politico observe que la Californie a connu ses premières coupures de courant non planifiées en 20 ans le 18 août, lorsque des centaines de milliers de Californiens ont été étouffés par l’une des vagues de chaleur estivales les plus prévisibles de la Californie. Et le courant est de nouveau coupé depuis lors, comme indiqué le 7 septembre: «Les températures étouffantes alimentent les incendies de forêt qui, ce week-end seulement, ont détruit des centrales électriques, forcé les évacuations et coupé l'électricité à environ 70 000 foyers et entreprises.

    Bien sûr, tout cela a «déconcerté» et «perplexe» les décideurs politiques californiens et les colporteurs de l'énergie verte, essayant de comprendre ce qui aurait pu arriver sur Terre. Les doigts de la blâme sont en vigueur, pointant à peu près toutes les causes possibles (ils blâment même la «déréglementation» énergétique gâchée de la Californie et la débâcle d'Enron), ou rejetant les pauvres opérateurs de système, qui n'ont à peu près rien à dire sur la façon dont le pouvoir réellement généré dans l'état.

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  29. Mais tout le monde n'achète pas le «déroutant» ! ou «mauvaise gestion !» exclamations des faucons renouvelables:

    Au total, les centrales électriques capables de produire près de 6 000 mégawatts, soit environ 15 % de l’électricité du réseau californien, ont été signalées comme étant hors ligne lorsque les températures ont augmenté vendredi dernier. Le manque à gagner, que les experts estiment que les responsables auraient dû être en mesure d'éviter, a forcé les gestionnaires du réseau à ordonner des pannes de courant au milieu d'une pandémie et alors que les incendies de forêt se propageaient dans tout l'État.

    Mais même si toute la capacité manquante avait été disponible, la Californie aurait probablement encore eu du mal à fournir suffisamment d'électricité aux foyers où les familles faisaient monter les climatiseurs. C’est parce que le gestionnaire du réseau et les régulateurs de l’État comptaient sur l’énergie de centrales qui avaient été définitivement fermées ou qui n’auraient pas pu atteindre de manière réaliste les objectifs fixés pour eux. (c'est moi qui souligne)

    Et de quel genre de centrales électriques s'agissait-il? Les centrales au gaz naturel, c’est le type, le type (ainsi que les centrales nucléaires) qui ne sont pas les bienvenus dans le champ de rêves renouvelable de Californie.

    Hastings, cité ci-dessus, remporte le prix de la brièveté sur celui-ci: «Le temps chaud et une journée nuageuse ne devraient pas être en mesure de fermer la cinquième économie du monde.» Mais il l'a fait, et continuera de le faire, jusqu'à ce que la Californie remplace les politiques fantastiques d'Hollywood et adopte des politiques de puissance pragmatiques qui permettront à la climatisation de fonctionner.

    https://www.cfact.org/2020/10/09/california-brown-outs-illustrate-the-dystopian-outcomes-of-utopian-targets/

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  30. Un nouvel anormal de pannes de courant sous le plan énergétique de Biden


    Par Larry Bell
    7 octobre 2020


    Les pannes d'électricité qui se sont déroulées dans les villes et villages de Californie lors d'une vague de chaleur du 13 au 14 août offrent un aperçu des conséquences beaucoup plus désastreuses sur lesquelles nous pouvons absolument compter avec la promulgation de la proposition «Build Back Better» de la campagne Biden pour éliminer immédiatement la fracturation hydraulique sur tous terres publiques, et éliminer pratiquement les centrales électriques à combustibles fossiles au cours des 15 prochaines années.

    De concert avec le Green New Deal ambitieux coparrainé par son colistier, le sénateur Kamala Harris, D-Californie, le plan de Biden prévoit des dépenses énormes dans les énergies renouvelables, notamment l'installation de 500 millions de panneaux solaires et la fabrication de 60000 éoliennes.

    Ajoutez à cela que Biden propose que les contribuables financent un demi-million de chargeurs de voitures électriques à travers l'Amérique - ainsi que des fonds pour aider les constructeurs automobiles à convertir leurs usines à la production de véhicules électriques (VE).

    Pendant ce temps, le gouverneur de Californie Gavin Newson a maintenant ordonné à son État d'interdire les nouveaux véhicules à essence d'ici 2035 afin de militariser son gigantesque marché automobile comme un marteau pour forcer les constructeurs automobiles à se concentrer sur les véhicules électriques.

    Tout cela, bien entendu, déplacera une demande d'énergie encore plus importante du pétrole vers le secteur de l'énergie électrique. La production et la recharge de ces VE nécessiteront une disponibilité en énergie suffisante. Ce n’était pas le cas lorsque cette vague de chaleur d’août a laissé des millions de Californiens en sueur dans l’obscurité alors que la demande d’électricité dépassait les approvisionnements.

    Imaginez maintenant l'ajout de plusieurs dizaines de milliers de véhicules électriques pour drainer davantage de réserves en baisse d'énergie fiable. Les idées brillantes sur la façon de recharger tous ces plug-ins gourmands en énergie les nuits sans vent ne sont pas expliquées.

    Pour vérifier la réalité, reconnaissons d’abord qu’environ 80 % de toute l’énergie américaine (toujours mesurée en BTU) provient de sources fossiles, et 8,6 % supplémentaires proviennent du nucléaire. De cette quantité totale d'énergie aux États-Unis, le solaire et l'éolien combinés contribuent actuellement à peine plus de 3 %, le solaire contribuant à moins de 0,1 %.

    Même les meilleurs systèmes d'énergie éolienne et de lumière du soleil produisent de l'énergie en moyenne sur l'année à 25 % -30 % du temps ou moins. En comparaison, les centrales au gaz naturel conventionnelles ont une disponibilité très élevée de l'ordre de 80 % à 95 %, et souvent supérieure.

    L'intermittence de l'énergie éolienne et solaire exige une quantité égale de puissance de «réserve tournante» généralement fournie par les turbines à gaz naturel qui doivent être régulées de manière inefficace de haut en bas comme une voiture circulant dans un trafic à arrêts multiples pour équilibrer le réseau énergétique.

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  31. Tout excès d'énergie produit doit être soit jeté, soit stocké pendant des moments où cela sera utile - comme, par exemple, la nuit, lorsque de grandes populations de propriétaires de VE voudront simultanément reconstituer leurs grandes batteries assoiffées d'énergie.

    Il y a aussi un autre gros problème avec la production de ces batteries.

    La Chine contrôle environ 70 % de l’approvisionnement mondial en lithium et 83 % des anodes nécessaires à leur fabrication. Et un projet de lithium qui cherchait à obtenir l'approbation pour extraire le matériau dans un désert du Nevada a été bloqué de le faire pendant plus d'une décennie par des groupes environnementaux tels que le Center for Biological Diversity.

    Néanmoins, mis à part les capacités limitées et les problèmes de manque de fiabilité (et ce sont de gros problèmes), cette «énergie verte» n’était-elle pas encore censée être écologique ?

    Certainement pas quand on considère ce qui entre dans l'élaboration de ces systèmes.

    Comme l'a rapporté mon ami Mark Mills au Manhattan Institute, la construction d'éoliennes et de panneaux solaires pour produire de l'électricité, ainsi que des batteries pour alimenter des véhicules électriques, nécessite, en moyenne, plus de 10 fois la quantité de matériaux, par rapport aux systèmes équivalents de construction. utiliser des hydrocarbures pour fournir la même quantité d'énergie.

    Considérez les besoins matériels massifs nécessaires pour remplacer une seule turbine à gaz de 100 MW de la taille d'une maison d'habitation typique avec au moins 20 éoliennes, chacune de la taille du Washington Monument et couvrant environ 10 miles carrés de terrain.

    L'énergie éolienne et solaire nécessite également d'énormes quantités de terres supplémentaires et de grandes lignes de transmission pour fournir de l'électricité à partir de sites éloignés vers les centres métropolitains à forte demande d'énergie. Ces transferts de puissance longue distance ajoutent également des pertes de transmission importantes.
    L'alternative éolienne consommerait environ 30 000 tonnes de minerai de fer et 50 000 tonnes de béton, ainsi que 900 tonnes de plastiques non recyclables pour les énormes pales. Une centrale solaire avec le même rendement - suffisamment d'électricité pour alimenter environ 75 000 foyers - nécessiterait à nouveau la moitié de plus de tonnage en ciment, en acier et en verre.

    En plus de cela, imaginez également le remplacement périodique d'un système de stockage de batteries à l'échelle utilitaire pour ce même parc éolien de 100 MW comprenant au moins 10 000 tonnes de batteries de classe Tesla. La production de chacun d'eux nécessite l'extraction, le déplacement et le traitement de plus de 500 000 livres de matériaux à l'aide d'équipements alimentés aux hydrocarbures. Cela représente environ 20 fois plus que les 25 000 livres de pétrole qu'un moteur à combustion interne utilise au cours de la vie d'une voiture.

    Appliqué pour le transport et d'une durée de vie moyenne de 1000 livres EV, imaginez que chaque kilomètre de conduite d'un véhicule électrique «consomme» environ cinq livres de terre déplacées par des appareils fonctionnant aux hydrocarbures, alors qu'un véhicule comparable alimenté au pétrole ne consomme qu'environ 0,2 livre de liquides par mile.

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  32. Encore une fois, à titre de comparaison avec les hydrocarbures, il faut l'équivalent énergétique d'environ 100 barils de pétrole pour fabriquer une quantité de batteries de stockage pouvant stocker un seul baril d'énergie équivalente à du pétrole. En d'autres termes, environ 60 livres de batteries sont nécessaires pour stocker l'énergie équivalente à celle d'une livre d'hydrocarbures.

    Mark Mills nous rappelle que d'ici 2050, avec les plans actuels, la quantité de panneaux solaires usés et non recyclables doublera le tonnage de tous les déchets plastiques mondiaux d'aujourd'hui, ainsi que plus de 3 millions de tonnes par an de plastiques non recyclables issus de l'usure. pales d'éoliennes.

    D'ici 2030, plus de 10 millions de tonnes par an de batteries, y compris des éléments des terres rares comme le dysprosium qu'elles contiennent, deviendront des déchets de décharge.

    Comme le conclut une étude de la Banque mondiale de 2017, «les technologies supposées alimenter le changement d'énergie propre… sont en fait beaucoup plus gourmandes en matériaux dans leur composition que les systèmes actuels d'approvisionnement en énergie à base de combustibles fossiles.»

    En outre, l'interdiction des véhicules à essence va coûter à la Californie beaucoup de financement nécessaire pour les routes et les travaux publics, y compris le train à grande vitesse de l'État vers nulle part. L'État perçoit actuellement environ 8 milliards de dollars de taxes sur les carburants et 3 milliards de dollars de recettes de plafonnement et d'échange par an.

    Pour arriver à 100 % électrique d'ici 2035, il faudra beaucoup plus d'argent pour les subventions pour payer ces voitures et un énorme réseau de recharge de véhicules pour se développer à partir de seulement 6,2 % du marché automobile représenté par les ventes de véhicules électriques l'année dernière.

    Enfin, pour ce qui est de l’énergie éolienne, solaire et électrique, qui élimine la «pollution par le carbone» ou le changement climatique, n’y croyez pas un seul instant. La seule chose «verte» à propos de l'un d'entre eux proviendra des portefeuilles des subventions des contribuables et de l'augmentation des coûts énergétiques des consommateurs.

    https://www.cfact.org/2020/10/07/a-new-abnormal-of-rolling-blackouts-under-biden-energy-plan/

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  33. Environnement : ces décisions politiques aux conséquences dramatiques

    Pour satisfaire une idéologie écologiste voulant faire de la campagne une espace commun de loisirs et de promenades pour citadins égoïstes, les gouvernements successifs sont en train de sacrifier l’agriculture.



    10 OCTOBRE 2020
    Par Armand Pâquereau.


    Un vieil adage populaire conseille de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler.

    Il devrait être appliqué aux décisions politiques. Pourquoi, avant de voter une loi n’y-a-t-il pas obligation d’étudier toutes les conséquences de son application avant sa promulgation ? Cela éviterait aux pouvoirs publics de se déjuger, se ridiculiser, et aux lobbies de se déchaîner et de s’entredéchirer.

    Le cas du récent rétropédalage sur les néonicotinoïdes est édifiant. Leur interdiction votée en 2018 s’est heurtée à un problème majeur : la remise en cause de toute une production agricole qui se retrouvait sans protection face à un prédateur minuscule, mais dévastateur.

    Si, au lieu de suivre une opinion écologiste activiste obstinée par sa vision idéologique de l’agriculture, les décideurs politiques avait un peu plus écouté la profession agricole, ils n’auraient pas eu à reconnaître leur erreur que l’opinion traduit par de l’incompétence.

    UNE ÉVALUATION DU RATIO BÉNÉFICE/RISQUE

    Tout produit phytosanitaire utilisé en agriculture est, comme chaque médicament à destination humaine, évalué selon un protocole rigoureux pour déterminer son ratio bénéfice/risque et la dangerosité de son utilisation avant d’obtenir son autorisation de mise en marché.

    Il semble que les problèmes constatés sur les abeilles ne soient pas uniquement inhérents aux insecticides, sans pour autant ignorer leurs effets délétères.
    Selon une étude : « Demographics of the European Apicultural Industry », le graphique ci-dessous fait ressortir que l’empoisonnement reste l’une des plus faibles causes de la mortalité des abeilles en Europe.

    - voir graphique sur site -

    Mais il existe d’autres facteurs de raréfaction des abeilles : leur mortalité hivernale est aussi un facteur très important de la raréfaction des butineuses.

    On ne peut pas attribuer cette mortalité aux néonicotinoïdes. Les abeilles mortes dans les ruches pendant l’hiver n’ont pas été se poser sur les fleurs pendant cette période et les insecticides ne sont pas connus pour avoir des effets retard aussi importants dans le temps.

    L’incidence de la politique agricole n’est pas non plus à négliger : les accords du GATT qui ont inféodé l’Europe à l’importation de protéagineux et oléagineux ont orienté les productions agricoles vers des monocultures de blé et de maïs ne profitant pas aux abeilles.

    Les cultures de légumineuses (luzerne, pois, féverolles, etc.) sont économiquement concurrencées par le soja OGM d’importation. Leurs floraisons décalées apportaient aux abeilles une alimentation diversifiée dans l’espace et dans le temps.

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  34. Les associations écologistes sont nettement moins agressives contre les accords de libre échange que contre l’emploi des phytosanitaires.

    Le problème phyto ne date pas d’aujourd’hui :

    - voir graphique sur site -

    Déjà en 1949, le syndicat apicole alertait : « Aujourd’hui, la situation de l’apiculture apparaît nettement tragique et inquiétante, plus que jamais inquiétante » relativement à l’utilisation d’insecticides sur le colza.

    CEPENDANT, TOUT N’EST PAS PERDU

    Depuis 1949, la production apicole n’a pas été anéantie par les insecticides ou les pesticides comme le prétendent les associations écologistes, il y a encore des abeilles et la production mondiale de miel ne cesse de progresser :

    - voir graphique sur site -

    Les facteurs climatiques influent directement sur l’activité des abeilles et les fluctuations peuvent être importantes d’une année à l’autre :

    décisions politiques

    RÉFLÉCHIR AVANT D’AGIR

    Au vu des éléments précédemment évoqués, il paraît évident que l’utilisation d’insecticides depuis plus de 70 ans n’a pas décimé les abeilles.

    Un minimum d’écoute auprès de professionnels concernés qui, s’ils ne sont pas des scientifiques sont des acteurs responsables et des observateurs affirmés, aurait permis d’éviter ces décisions politiques contradictoires qui discréditent autant ceux qui les ont votées que la ministre de l’Écologie obligée de contredire ses propos antérieurs.

    Les viticulteurs ont déjà connu pareil ultimatum en 2003 lors de l’interdiction de l’arsénite de soude pour traiter les ceps contre les maladies du bois.
    Ce produit considéré comme dangereux, mais dont l’incidence sur la santé n’était pas clairement démontrée, a été subitement interdit sans attendre une solution de traitement de remplacement. Même les stocks n’ont pu être utilisés, entraînant des problèmes environnementaux graves lors de leur destruction.

    Il en a résulté un doublement de ces maladies dans les cinq années qui ont suivi, progression exponentielle qui a perduré et qui pose des problèmes quantitatifs et qualitatif aux vignerons.

    - voir graphique sur site -

    Incidence de l’évolution des conséquences des maladies du bois (Esca, Eutypiose, Black Dead Arm) dans le vignoble cognaçais

    On voit sur ce graphique du BNIC l’importance du cumul des incidences des maladies du bois. « Malgré les efforts d’entre-plantation et de renouvellement des parcelles, le taux moyen de pieds improductifs approche 20 % (pieds morts et jeunes pieds entre-plantés pas encore productifs) ».

    Ces éléments sont confirmés dans un rapport parlementaire du 7 juillet 2015 :
    « Vos Rapporteurs entendent préciser l’importance économique, sociale et environnementale du vignoble en France, tout en insistant sur les incidences concrètes des maladies du bois et de la vigne. »

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  35. DES ATTAQUES D’ENVERGURE DE RAVAGEURS

    De nouvelles attaques de ravageurs se multiplient : Sharka, Xylléla Fastidiosa, Charencon rouge du palmier, etc.

    En ce qui concerne le charençon du palmier, un arrêté ministériel du 21 juillet 2010 prescrivait une lutte obligatoire préventive (dont l’utilisation d’imidaclopride) et des mesures curatives de destruction des arbres malades. L’arrêté du 25 juin 2019 abroge et remplace le précédent arrêté et prescrit dans son article 7 : « la destruction de la seule partie infestée du végétal suivie de l’utilisation de traitements insecticides et fongicides, soit en la destruction totale du végétal. »

    Pour Xylléla Fastidiosa, bactérie qui a détruit plus de 30 000 hectares d’oliviers en Italie et qui arrive en Corse, la transmission se fait majoritairement par les insectes piqueurs. Actuellement des traitements avec des insecticides systémiques sont appliqués pour limiter la propagation par les insectes vecteurs, et le brûlage des végétaux atteints tente de supprimer les sources de contamination.

    La lutte contre cette bactérie est similaire à celle contre la flavescence dorée de la vigne, ou les traitements insecticides contre la cicadelle vectrice rendus obligatoires par des arrêtés préfectoraux.

    La sharka, qui affecte les prunus, est elle aussi transmise par piqures d’insectes, mais aussi par le matériel de reproduction (greffage).

    On constate heureusement que lorsque le danger est d’envergure catastrophique, les pouvoirs publics tentent de trouver une solution, même si celle-ci semble compromise dans le cas de l’imidaclopride sur le charençon.

    Par contre, les producteurs de cerises sont dans une impasse totale, le diméthoate ayant été interdit d’utilisation en France en 2016 et les Limites Résiduelles des fruits importés étant réduites à zéro à compter du 16 décembre 2020.

    Les consommateurs devront être vigilants, car les cerises contenant des vers de la mouche sont impropres à la consommation.

    DES DÉCISIONS POLITIQUES INJUSTIFIÉES

    Il est fréquent que les pouvoirs publics entérinent des obligations européennes, avec souvent une surcouche ajoutée pour satisfaire les lobbies écologistes.

    Dans le cadre de la directive nitrates et des mesures pour limiter les risques de lessivage, les capacités de stockage des effluents des élevages sont passées de 4 à 6 mois. On peine à comprendre comment cette mesure limitera la production d’effluents, les animaux ayant les mêmes besoins naturels.

    Par contre en analysant objectivement, il s’agit plutôt d’une mesure obligeant les agriculteurs à investir. On fait tourner l’économie, on fait entrer de la TVA dans les caisses de l’État, peu importe si cela ruine inutilement les agriculteurs.

    Il faut rendre aux rivières leurs cours naturels pour permettre aux poissons migrateurs de remonter vers les zones de frai. Avec la bénédiction des associations écologistes, les pouvoirs publics démolissent les petits barrages qui ont permis aux moulins de fonctionner depuis des siècles, certains d’entre eux générant de l’électricité.

    Quid des barrages, des moulins ? Le lit est libre de laisser passer rapidement vers la mer l’eau de ruissellement, avec les dégâts que l’on sait. Ces petits barrages, qui occasionnaient en amont des poches d’eau où le poisson se réfugiait en période d’étiage ont disparu. À la place un lit de rivière à sec où les poissons migrateurs devront attendre d’avoir des jambes pour remonter à pied vers les frayères !

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  36. Alors que le simple bon sens nous invite à stocker l’eau de pluie, toujours sous la contrainte des associations écologiques, l’État freine la constuction de retenues collinaires (voire l’interdit : Sivens, Caussade) alors que ces retenues seraient si utiles pour limiter les crues hivernales et irriguer les cultures en été, voire réalimenter l’étiage, pour le bien commun.

    Les Zones de Non Traitement, (de nombreux maires ont pris des arrêtés pour une largeur de 150 mètres !), sont de fait des interdictions faites aux exploitants de cultiver leurs terres.

    « À l’échelle du pays, ce serait 20 % de la surface agricole qui tomberait en zone de non-traitement, évalue-t-on au cabinet du ministre de l’Agriculture ». Si l’on considère que ces mesures sont destinées à la protection des riverains, c’est donc pour une cause d’utilité publique.

    Pourquoi l’État n’applique-t-il pas l’article 545 du Code civil ? : « Nul ne peut être contraint de céder sa propriété, si ce n’est pour cause d’utilité publique, et moyennant une juste et préalable indemnité. »

    L’État refuse de faire évoluer la réglementation relative à la protection du loup malgré sa prolifération évidente. Le loup est désormais présent sur la majorité du territoire français et sa présence est passée de 250 en 2012 à plus de 530 individus ( officiellement reconnus malgré les réticences de l’ONCFS ) avec une progression de 19 % pour l’année 2019.

    décisions politiques

    Devant une telle progression de la prédation, l’État a autorisé avec parcimonie des tirs de défense, mais les conditions d’application sont si complexes qu’ils restent sans incidence. Ici aussi, la légitime défense n’est pas de mise !

    DES DÉCISIONS POLITIQUES ÉLECTORALISTES

    Le plus grand problème de l’agriculture est que les gouvernements successifs préfèrent agir en fonction des priorités électorales plutôt que pour l’intérêt commun.

    Les agriculteurs ne représentent que 2,8 % de de la population active (Insee 2016). Avec une moyenne de 13,5 % et des pointes autour de 20 % dans certaines grandes villes, les votes écologistes aux dernières élections européennes ont totalement fait oublier aux décideurs politiques que malgré leur nombre restreint, les agriculteurs figurent parmi les travailleurs les plus indispensables.

    Le confinement de la crise de la Covid-19 en a apporté la preuve, l’approvisionnement alimentaire n’a nullement failli.

    Ce déséquilibre s’accentue d’année en année, le nombre d’exploitations ayant diminué de 14 % en 10 ans passant de 417 052 en 2008 à 355 292 en 2018 (MSA).

    Ainsi, pour satisfaire une opinion exigeant des principes de précaution excessifs et souvent injustifiés, les gouvernements successifs imposent aux agriculteurs français des réglementations contraignantes, les plaçant de fait dans des conditions de concurrence insoutenables.

    En témoigne la décision d’interdire le glyphosate. Du fait de l’interdiction des cultures OGM en France, ce phyto ne peut se trouver dans les produits issus des cultures.

    Cependant, la France n’interdit pas l’importation de produits contenant des résidus de cet herbicide, à des doses largement au-dessus des Limites Maximum Résiduelles. Cette injustice permet aux associations comme Générations Futures ou Nous Voulons de Coquelicots de prétendre démontrer que nous avons tous du glyphosate dans nos urines.

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  37. Cette prétention a été contredite par de nombreux agriculteurs ayant fait des contre-analyses, dont l’un a même porté plainte auprès du procureur de la République de Poitiers.

    La résultante, préjudiciable pour l’ensemble de la population est que notre indépendance alimentaire est déjà gravement compromise. La balance commerciale des produits agricoles bruts est déficitaire depuis 2016.

    Le refus de la France de signer l’accord du MERCOSUR n’est pas forcément définitif : « La France ne veut pas « stopper toute démarche » pour un accord commercial entre l’UE et le Mercosur ». Elle ne base pas son refus sur la concurrence que pourraient avoir les importations issues de cet accord sur l’agriculture française, mais « il nous faut des garanties sur le respect de l’accord de Paris et la déforestation. »

    Comme quoi l’objectif principal de nos gouvernants est bien de satisfaire l’opinion écologiste, même si cela a pour conséquence d’affaiblir notre agriculture. Et cela satisfait totalement l’électeur écologiste. Peut lui chaut d’acheter du poulet brésilien plutôt que du Label Rouge français, du moment qu’il est moins cher et que ça ne sente pas la fiente de poule en France !

    Au final, pour satisfaire une idéologie écologiste qui veut faire de la campagne une espace commun de loisirs et de promenades pour citadins égoïstes, les gouvernements successifs sont en train de sacrifier l’agriculture, comme ont été sacrifiés les autres secteurs de notre économie (charbonnages, sidérurgie, textiles, etc.). Pour vendre toujours moins cher, nous sommes en train de sacrifier l’agriculture pour que les vaches ne polluent plus, que les coquelicots remplacent les champs de blé, et que la forêt, ce fameux puits de carbone, reprenne rapidement la place des cultures.

    75 ans plus tard, l’inconscient collectif a oublié la formidable pénurie alimentaire de la Seconde Guerre mondiale. Nos gouvernants sont prêts à nous inféoder à une alimentation importée dont nous ne serons plus en mesure de contrôler ni la qualité, ni le prix, ni la disponibilité pour satisfaire un diktat électoral écologique. Sombre perspective !

    https://www.contrepoints.org/2020/10/10/381874-environnement-ces-decisions-politiques-quon-aurait-pu-eviter

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    1. Les vers envahissent les cerises, les prunes, les pommes, les olives, etc. Sans insecticides il n'y a pas de récolte ! et il y a la famine mondiale !
      Le retour aux siècles anciens où le monde ne comptait que 500 000 personnes n'est pas loin !

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  38. Reconfinement au Québec: «alcoolisme», «troubles mentaux», «toxicomanie», un «sacrifice générationnel»


    20:29 09.10.2020
    Par Jérôme Blanchet-Gravel


    Au Québec, le reconfinement suscite grogne croissante dans les couches de la population les plus affectées par les mesures. On craint de plus en plus les dommages collatéraux économiques et psychologiques. Selon Benoît Girouard, entrepreneur et auteur d’une vidéo virale sur le sujet, le gouvernement Legault délaisse des millions de personnes.

    Au Québec, où des complications dues au Covid-19 ont fait jusqu’à présent 5 915 morts, le Premier ministre, François Legault, commence à devoir composer avec une certaine insatisfaction.

    Ces derniers jours, François Legault a laissé paraître quelques signes d’exaspération durant ses points de presse, estimant que son objectif n’était «pas d’être populaire, mais de sauver le réseau de la santé».

    «On a des commentateurs qui nous disent: “Vous auriez dû le faire avant”. Puis on a d’autres commentateurs qui disent: “Vous êtes en train de sacrifier une génération”. Donc, même si on voulait essayer de plaire à tout le monde, là, c’est impossible parce qu’il y a des gens qui disent qu’on va trop loin puis d’autres qui disent qu’on ne va pas assez loin. Donc, je ne sais pas comment on pourrait plaire à tout le monde», a laissé tomber le Premier ministre le 7 octobre.

    Benoît Girouard est l’un de ceux qui estiment que le gouvernement va trop loin –et même beaucoup trop loin– dans l’imposition de mesures pour contrer la propagation du Covid-19. Le 30 septembre dernier, il a publié une vidéo sur les réseaux sociaux qui est rapidement devenue virale.

    Insatisfaction grandissante

    Ex-président de l’Union paysanne, importante association agricole au Québec, il est dorénavant président du Conseil d’administration de Gym X-coopérative de solidarité, une entreprise gravement affectée par les mesures sanitaires. En l’espace de quelques semaines, son gymnase a perdu des plusieurs dizaines de milliers de dollars, une situation qui est appelée à perdurer en raison du reconfinement. En entrevue avec Sputnik, Benoît Girouard dénonce ce qu’il perçoit comme un «suicide économique et psychologique».

    «Premièrement, qu’est-ce que la santé publique ? L’OMS nous dit que la santé concerne la santé physique et mentale des individus et des collectivités. En voyant la politique du gouvernement Legault, je me demande où sont passées la santé mentale et les collectivités. C’est complètement éclipsé. L’angle mort du gouvernement Legault, ce sont 8,5 millions d’habitants», s’indigne l’entreteneur.

    Benoît Girouard est loin d’être le seul à s’inquiéter des impacts psychologiques du confinement. Selon une récente étude menée par une équipe de chercheurs de l’Université de Sherbrooke, au Québec, un adulte sur cinq affiche des symptômes de dépression majeure ou d’anxiété généralisée. Des résultats de deux à six fois plus élevés qu’en temps normal.

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  39. «Dans ma communauté, les troubles mentaux (suicides, psychoses, dépression. etc.) ont triplé par rapport à l’année passée. Cette donnée est complètement ignorée dans le discours du gouvernement. […] Le problème central, ce sont les fonctionnaires de la santé publique. Ces gens-là sont incapables de concevoir la santé dans sa totalité, au-delà d’un microbe ou d’un virus», tranche l’entrepreneur, qui a invité ses collègues affectés par la crise à livrer leur témoignage sur les réseaux sociaux.

    Benoît Girouard déplore aussi que les plus fragiles et démunis –parmi lesquels de nombreux adolescents– ne fassent pas l’objet d’une plus grande attention.

    Explosion des problèmes de santé mentale

    La Ville de Saint-Jérôme, où est situé son gymnase coopératif, est l’une des moins favorisées du Québec et son centre sportif aidait selon lui beaucoup de jeunes à «se prendre en main». Il observe également que le reconfinement partiel favorise l’alcoolisme et la toxicomanie chez des jeunes de sa communauté:

    «Les centres de désintoxication et de prévention de la toxicomanie sont pleins. C’est une autre réalité extrêmement grave qui échappe au radar de l’État. […] J’ai appris que la direction de la santé publique avait limité le nombre de places disponibles dans ces centres durant la crise, alors que leurs demandes explosent», poursuit-il.

    Le 5 octobre dernier, l’Association des pédiatres du Québec a accusé le gouvernement Legault de nuire gravement à la santé mentale des élèves en renforçant les règles sanitaires dans les écoles. Les pédiatres québécois évoquent même un «sacrifice générationnel».

    «En resserrant les mesures sans tenir compte de la nature profonde de l’adolescence, nous contribuerons assurément à une quatrième vague bien plus dévastatrice, déjà amorcée: décrochage, dépressions, toxicomanie, cyberdépendance, troubles alimentaires, peurs incontrôlables, distorsions de la pensée», a assuré l’Association dans une lettre adressée au Premier ministre Legault.

    https://fr.sputniknews.com/canada/202010091044552755-reconfinement-au-quebec-langle-mort-du-gouvernement-ce-sont-85-millions-dhabitants/

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    1. Avec le port du masque obligatoire ! les personnes qui travaillent toutes la journée et portent le masque ! seront des débiles en 2021. La privation de 30 % de l'oxygène et la rerespiration du gaz carbonique émis occasionne très vite des pertes de mémoire qui sont les prémices de la trisomie.

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  40. L'OMS confirme (accidentellement) que Covid n'est pas plus dangereux que la grippe


    Selon les «meilleures estimations» du responsable du programme des urgences sanitaires, l'IFR est de 0,14%
    Kit Knightly

    L'Organisation mondiale de la santé a enfin confirmé ce que nous (et de nombreux experts et études) disons depuis des mois - le coronavirus n'est ni plus mortel ni plus dangereux que la grippe saisonnière.

    Les hauts gradés de l’OMS ont fait cette annonce lors d’une session extraordinaire des 34 membres du Conseil exécutif de l’OMS le lundi 5 octobre. Personne ne semblait vraiment le comprendre.

    En fait, ils ne semblaient pas le comprendre complètement eux-mêmes.

    Lors de la session, le Dr Michael Ryan, chef des urgences de l’OMS, a révélé qu’à son avis, environ 10% de la population mondiale avait été infectée par le Sars-Cov-2. Il s'agit de leur «meilleure estimation», et une énorme augmentation par rapport au nombre de cas officiellement reconnus (environ 35 millions).

    Le Dr Margaret Harris, porte-parole de l'OMS, a confirmé plus tard le chiffre, déclarant qu'il était basé sur les résultats moyens de toutes les grandes études de séroprévalence effectuées dans le monde.

    Autant l'OMS tentait de considérer cela comme une mauvaise chose - le Dr Ryan a même déclaré que cela signifie que «la grande majorité du monde reste à risque». - c’est en fait une bonne nouvelle. Et confirme, une fois de plus, que le virus n'a rien d'aussi mortel que tout le monde l'avait prédit.

    La population mondiale est d'environ 7,8 milliards de personnes, si 10% ont été infectés, c'est 780 millions de cas. Le bilan mondial actuellement attribué aux infections à Sars-Cov-2 est de 1 061 539.

    C’est un taux de mortalité par infection d’environ 0,14%. En accord avec la grippe saisonnière et les prévisions de nombreux experts du monde entier.

    0,14% est 24 fois plus faible que le «chiffre provisoire» de l’OMS de 3,4% en mars. Ce chiffre a été utilisé dans les modèles qui ont été utilisés pour justifier les verrouillages et autres politiques draconiennes.

    En fait, compte tenu de la surdéclaration de décès présumés de Covid, l'IFR est probablement même inférieur à 0,14% et pourrait montrer que Covid est beaucoup moins dangereux que la grippe.

    Aucun de la presse grand public n'a retenu cela. Bien que de nombreux médias aient rapporté les propos du Dr Ryan, ils ont tous tenté d'en faire un titre effrayant et de semer la panique.

    Apparemment, ni eux ni l’OMS n’étaient capables de faire les calculs simples qui nous montrent que c’est une bonne nouvelle. Et que les sceptiques de Covid ont toujours eu raison.

    MISE À JOUR 9/10/20: Dans un souci de rigueur, un désir de s'appuyer sur des sources primaires, et de ne pas dépendre uniquement de sources grand public (qui peuvent supprimer ou modifier des articles), j'ai décidé de trouver la vidéo réelle des remarques du Dr Ryan.

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  41. Pour une raison quelconque, bien qu'il s'agisse d'une réunion importante de l'OMS lors d'une pandémie prétendument hyper-grave, la vidéo est difficile à trouver. Le seul endroit où vous pouvez le voir est le site Web de l’OMS, et même dans ce cas, vous devez parcourir près de 6 heures d’images. Eh bien, je l'ai fait, et vous êtes les bienvenus.

    Vous ne pouvez pas intégrer le flux de l'OMS, mais je peux vous dire d'aller sur cette page, de cliquer sur "Session 1" et de passer à 1:01:33 pour entendre la citation exacte:

    Nos meilleures estimations actuelles nous disent qu'environ dix pour cent de la population mondiale pourraient avoir été infectés par ce virus. Cela varie selon les pays, cela varie d'urbain à rural, cela varie entre les différents groupes. »

    Je vais travailler sur l'obtention d'un clip audio, pour faciliter le partage et pour m'assurer qu'il ne soit pas troué dans la mémoire.

    https://off-guardian.org/2020/10/08/who-accidentally-confirms-covid-is-no-more-dangerous-than-flu/

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  42. COVID: Le virus qui n’est pas là: la fraude racinaire exposée


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    10 octobre 2020


    Il s'agit d'un suivi de l'article d'hier, dans lequel j'ai exposé le fait que le CDC n'a pas le coronavirus COVID en sa possession, car il est «indisponible». Leur parole, pas la mienne.

    Le CDC admet que le virus n’a pas été isolé. En d'autres termes, son existence n'est pas prouvée.

    Vous devez réaliser que le CDC, au cours de sa propre confession publiée (voir ci-dessous), discute de cette situation explosive dans le contexte de l'instruction du monde entier comment effectuer le test PCR.

    Le test pour détecter un virus qui n’est pas là.

    Ce serait sur ordre de la NASA de publier un guide pour la navigation d'une flotte de navires vers une planète dont l'existence n'a pas été établie - et la population du monde entier va monter à bord de ces navires pour le voyage.

    Le CDC dit: voici comment vous détectez le virus chez un humain, voici le test sur lequel nous allons nous appuyer, voici le test sur la base duquel nous allons identifier tous les numéros de cas et exiger tous verrouillages - sauf que nous n'avons pas le virus.

    Pourquoi ne l’ont-ils pas ?

    Parce qu’ils ne peuvent pas l’isoler. Cela est évident.

    S'ils pouvaient l'isoler, ils le feraient.

    Ne claquons pas autour de ce fait central. Ne trouvons pas d’excuses pour le CDC. Ils ont un problème de la taille de Jupiter. C’est leur problème, pas le nôtre. Mais ils nous soumettent leur problème, sous la forme d'une HISTOIRE SUR UNE PANDÉMIE. ET TOUS LES VERROUILLAGES QUI SUIVENT DE L'HISTOIRE.

    Dire que c'est inacceptable est un énorme euphémisme. Le CDC commet un crime sans limites.

    Pendant des mois, j’écris sur le «virus manquant» et les études qui devraient être faites pour prouver qu’il existe - des études concrètes qui n’ont jamais été faites et qui ne le seront jamais. Maintenant, voici le pistolet fumant.

    Je suis conscient que de nombreux scientifiques et médecins, qui autrement dénoncent la pandémie comme une fraude pour des motifs légitimes, ne veulent pas toucher à ce que je révèle ici. Je leur rappellerai que, il y a des mois, alors que certains d'entre nous exposaient déjà le test PCR comme étant peu fiable, inutile et trompeur, CETTE PROBLÈME était trop chaude pour être touchée. Mais maintenant, ce n’est plus le cas.

    Le problème de l’existence du virus SARS-CoV-2 peut sembler trop chaud, mais ce n’est pas le cas. Il est temps de lancer une attaque complète. Immédiatement.

    La vérité n'est amère que pour ceux qui la cachent.

    Je sais également que certaines personnes ont créé des scénarios sur la manière dont le virus est «activé». Certaines fréquences le réveillent, et ainsi de suite. Eh bien, la question est: QUEL VIRUS ? CELUI QUI N'EST PAS LÀ ?

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  43. D'autres encore diraient: «Alors que sont tous ces scientifiques séquençant dans leurs laboratoires, si ce n'est pas le virus ?» Encore une fois, pas notre problème. Ils pourraient commencer avec un morceau d'ARN, puis prétendre, sans preuve, qu'il fait partie du SRAS-CoV-2; et ils vont travailler dessus. Ils réclament tout ce qu'ils veulent. Ce n’est pas de la science.

    Si un mécanicien dit qu'il a un morceau d'aile d'une voiture qui n'a jamais été vue auparavant; s'il prétend savoir que la voiture existe; mais il ne peut pas vous montrer la voiture; allez-vous acheter son histoire ? Allez-vous investir vos économies et les économies de vie de votre famille et de vos amis dans cette voiture qu'il admet être «indisponible»? Allez-vous investir et faire faillite et vous asseoir chez vous, porter un masque et rester à distance des autres, fermer votre entreprise et déclarer faillite ? Allez-vous y consentir ?

    Une autre question qui se pose: si le virus est manquant et n'a jamais été isolé, n'a jamais été prouvé qu'il existe, que mettent-ils dans le vaccin COVID? C’est une question à laquelle devraient répondre les forces de l’ordre qui effectuent des descentes dans de nombreuses installations, saisissent des matériaux et trouvent des scientifiques honnêtes qui découvriront ce qu’il y a vraiment dans les brasseries de vaccins COVID. En attendant que cela se produise… le soleil pourrait commencer à s'assombrir. En attendant, voulez-vous prendre une photo dans le bras?

    Certaines personnes ont affirmé qu'il existe des «modèles animaux» qui prouvent que le coronavirus existe et est nocif, car les animaux tombent malades lorsqu'ils sont «injectés du virus». Ceci est incorrect à deux égards.

    Premièrement, les modèles animaux sont censés progresser à travers diverses espèces, jusqu'à ce qu'ils arrivent à des animaux qui ressemblent le plus aux humains; les chimpanzés. Les modèles animaux cités sont des souris ou des hamsters, qui sont très, très bas sur le totem.

    Deuxièmement, de quoi ces souris sont-elles injectées? C’est censé être un virus pur. Mais au lieu de cela, c'est une soupe qui contient toutes sortes de matières, y compris des produits chimiques. Les produits chimiques pourraient causer la maladie des animaux.

    Voici mon histoire de rupture sur le virus qui n’est pas là, d’hier:

    The Smoking Gun: Où est le coronavirus? Le CDC dit qu’il n’est pas disponible.

    Le document CDC est intitulé «CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel». Il est daté du 13 juillet 2020.

    Enfouis profondément dans le document, à la page 39, dans une section intitulée «Caractéristiques de performance», nous avons ceci: «Puisqu'aucun isolat viral quantifié du 2019-nCoV n'est actuellement disponible, des tests [tests de diagnostic] conçus pour la détection du 2019 -nCoV ARN ont été testés avec des stocks caractérisés d'ARN complet transcrit in vitro… »

    La phrase clé est: «Puisqu'aucun isolat viral quantifié du 2019-nCoV n'est actuellement disponible…»

    Tout objet existant peut être quantifié, c'est-à-dire mesuré. L'utilisation du terme «quantifié» dans cette phrase signifie: le CDC n'a pas de quantité mesurable de virus, car il n'est pas disponible. LE CDC N'A PAS DE VIRUS.

    Un autre indice est l'utilisation du mot «isolats». Cela signifie qu'aucun VIRUS ISOLÉ N'EST DISPONIBLE.

    Une autre façon de le dire: PERSONNE N'A DE SPECIMEN ISOLÉ DU VIRUS COVID-19.

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  44. PERSONNE N'A ISOLÉ LE VIRUS COVID-19.

    PAR CONSÉQUENT, PERSONNE N'A PRÉVOYÉ QUE CELA EXISTE.

    Comme si ce n'était pas une révélation suffisante pour choquer le monde, le CDC poursuit en disant qu'ils présentent un test de diagnostic PCR pour détecter le virus-qui-n'a-pas-été-isolé ... et le test recherche l'ARN qui est présumé provenir d'un virus dont l'existence n'a pas été prouvée.

    Et en utilisant ce test, le CDC et toutes les autres agences de santé publique dans le monde comptent les cas et les décès de COVID… et les gouvernements ont institué des verrouillages et une dévastation économique en utilisant ces nombres de cas et de décès comme justification.

    Si les gens croient que «vous avez le virus mais il n’est pas disponible», et que vous avez le virus sauf qu’il est enterré dans d’autres matériaux et qu’il n’a pas été extrait, purifié et isolé, ces gens croient que la lune est faite de fromage vert.

    C'est comme dire. "Nous avons les 20 billions de dollars, ils sont contenus quelque part dans nos myriades de comptes, nous ne savons tout simplement pas où." Si vous ne savez pas où, vous ne savez pas que vous avez l’argent.

    «Les clés de la voiture sont quelque part dans la maison. On ne sait pas où. » Vraiment? Si vous ne savez pas où, vous ne savez pas que les clés se trouvent dans la maison.

    "Le missile de croisière manquant est quelque part dans l'arsenal, nous ne sommes tout simplement pas là." Non. Si vous ne savez pas où, vous ne savez pas que le missile est dans l’arsenal.

    «Le virus COVID-19 est quelque part dans le matériel que nous avons - nous ne l'avons tout simplement pas supprimé de ce matériel. Mais nous savons ce que c'est, nous l'avons identifié et nous connaissons sa structure. " NON VOUS NE FAITES PAS. VOUS ASSUMEZ QUE.

    La science n'est pas des hypothèses.

    «Mais… mais… il y a une étude qui dit que quelques chercheurs d'un laboratoire ont isolé le virus…»

    Ils disent qu'ils l'ont fait. Mais en juillet, le CDC dit qu'aucun virus n'est disponible. Je suppose que cela signifie que les camions n'étaient pas disponibles pour amener le virus de ce laboratoire au CDC. Les camions étaient à court d'essence. Il pleuvait. Le pont a été emporté. Les camions étaient dans le magasin. Joe, le chauffeur, n’a pas pu trouver son masque et il ne voulait pas quitter la maison sans lui…

    La science n'est pas des hypothèses.

    La pandémie est une fraude, jusqu'à la racine de l'arbre vénéneux.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
    https://www.lewrockwell.com/2020/10/jon-rappoport/covid-the-virus-that-isnt-there-the-root-fraud-exposed/

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  45. Pourquoi nous devrions remettre en question le récit sur les masques
    Malgré tous les signaux scientifiques de ses partisans, il est assez évident que la manie du masque est une affaire psychologique.


    Par Brian Jones
    Conservateur américain
    10 octobre 2020


    Notre récent voyage estival annuel dans ma ville natale de Cleveland, Ohio, nous a conduits à travers Nashville. Pendant que j'attendais l'enregistrement dans notre chambre à l'hôtel, j'ai remarqué une femme entrant dans le hall de l'hôtel. Si je devais deviner, je dirais que nous étions à environ 15-20 pieds l'un de l'autre. Alors que je me tournais vers elle, mon masque sous le menton, elle m'a regardé et a fait la déclaration suivante à tous ceux qui pouvaient l'entendre: «Je ne me tiendrai jamais près de quelqu'un qui ne porte pas de masque. Quand tu auras fini avec ce type, tu peux venir me chercher dehors. Et la semaine dernière, alors que j'étais à l'épicerie, je suis passée à côté d'un jeune homme dans l'une des allées. Quand il a vu que je ne portais pas de masque (et il l'était), une rencontre intéressante s'est ensuivie. En nous croisant, il a fait un type de virage latéral qui lui a permis de «s'écarter du chemin». Apparemment, le mouvement de style Matrix lui a permis d'éviter d'attraper le SRAS-COV-2.

    Il semble raisonnable de supposer que ces rencontres ne sont pas personnellement uniques. Ce que ces incidents révèlent, c'est le caractère psychologique profond de la nature des masques. Au moins en Amérique, il est certainement vrai qu'il existe un spectre assez large sur l'application des mandats de masque. Certaines entreprises et institutions peuvent être moins restrictives que d'autres sur cette application, en fonction de l'état dans lequel vous vivez. Et même dans un état donné, il a tendance à y avoir des variations importantes. À Houston, par exemple, vivre dans le comté de Montgomery par rapport au comté de Harris peut donner deux histoires plutôt différentes concernant l'inquiétude concernant le SRAS-COV-2.

    Même en gardant à l'esprit toutes ces différences nationales et locales, l'obligation de porter des masques en Amérique est toujours universellement respectée. Et l'une des principales raisons pour lesquelles c'est le cas découle du récit prédominant entourant l'efficacité des masques eux-mêmes. Ce récit particulier mérite d'être brièvement exploré.

    La trajectoire du récit dominant commence par miner la véracité de savoir si les masques sont aussi efficaces que nous pourrions le supposer. Au mieux, la plupart des données concernant l'efficacité des masques pour ralentir la transmission d'un virus respiratoire comme le SRAS-COV-2 sont plutôt limitées. En fait, selon Marilyn Singleton, M.D., J.D., la recommandation d'universaliser le port du masque «a été publiée sans un seul article scientifique ou autre information fournie pour soutenir que les masques en tissu fournissent réellement une protection respiratoire.» Étant donné que l'affirmation de vérité sur les masques joue peu de rôle substantiel à cet égard, la structure du récit tel que nous le vivons peut maintenant devenir un peu plus claire.

    Peut-être plus que toute autre chose, c'est le caractère psychologique du port d'un masque qui est significatif. En d'autres termes, l'effet le plus convaincant du port d'un masque est la satisfaction psychologique et le sentiment de sécurité qu'il procure à l'individu. Arthur Allen a précisément écrit sur ce point en comparant les récits entourant la grippe asiatique de 1968 et celui de 2009 sur la grippe porcine. Pour Allen:

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  46. La façon dont nous catégorisons ce qui se passe autour de nous peut profondément affecter notre perception du risque. En 1968, les Américains n'avaient pas été exposés à un flux constant de nouvelles inquiétantes sur un virus de la grippe aviaire en Asie. La pandémie n'était pas un mot courant associé à la terreur et au mondialisme, comme c'est le cas aujourd'hui. Bien que beaucoup aient remarqué que 1968 était une année de mauvaise grippe, la plupart d'entre nous manquaient d'une catégorie condamnée dans laquelle placer cette information. Nous nous sommes occupés de nos affaires, sans peur excessive des virus. Nous avons tous entendu, maintenant, à quel point les pandémies peuvent être redoutables, et grâce aux progrès remarquables de la biologie moléculaire et de l’informatique, nous avons plus de facilité à les identifier. Mais il s'avère que donner un nom à quelque chose n'est pas seulement une façon de l'apprivoiser. Cela peut aussi être un moyen de répandre une peur inutile.

    En gardant à l’esprit le raisonnement d’Allen, il semble de plus en plus évident que le récit qui sous-tend les mandats de masque est enraciné dans la peur. Et cela aide à mieux expliquer pourquoi le caractère psychologique du port d'un masque est si convaincant et efficace. Nous pouvons nous sentir réconfortés de savoir que nous sommes globalement unis pour aider à «aplatir la courbe» ou simplement à «masquer».

    https://www.theamericanconservative.com/articles/why-we-should-question-the-narrative-on-masks/

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  47. Que faudra-t-il pour que les masques et les écrans faciaux prennent fin ?


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    10 octobre 2020


    Selon le développeur du vaccin antirotavirus, le Dr Paul Offit 1, les personnes devront continuer à porter des masques et à se distancer socialement pendant «les deux prochaines années», même après qu'un vaccin COVID-19 sera disponible.

    «Les gens voient maintenant les vaccins comme une poussière magique qui est sur le point d’être saupoudrée sur ce pays et de faire disparaître tout cela. Cela ne fonctionne pas de cette façon », a déclaré Offit à MarketWatch, le 21 septembre 2020.2

    Offit, qui siège au comité consultatif des vaccins et des produits biologiques connexes de la Food and Drug Administration, a déclaré qu'il se méfiait d'un vaccin COVID-19 qui pourrait être précipité sur le marché sous la pression du gouvernement.

    L'opération Warp Speed des États-Unis pour la santé et les services sociaux s'est engagée à fournir 300 millions de doses d'un vaccin COVID-19 d'ici 2021, voire plus tôt.4 Cependant, le développement d'un vaccin sûr et efficace prend normalement des années et commence par des études sur les animaux.

    Les vaccins COVID-19 sont tous précipités directement dans des tests cliniques humains, renonçant complètement à de longs essais sur les animaux. Les fabricants de vaccins sont également protégés contre toute responsabilité si des personnes sont blessées par les vaccins expérimentaux.5

    Signes d'alerte précoce des dangers liés aux vaccins

    Des signes avant-coureurs indiquant que quelque chose ne va pas ont déjà commencé à apparaître. Comme détaillé dans «Gates tente de justifier les effets secondaires du vaccin accéléré», les résultats6 de l'essai humain de phase 1 de Moderna ont révélé que 100 % des volontaires du groupe à dose élevée souffraient d'effets secondaires systémiques. Les effets secondaires comprenaient la fatigue, les frissons, les maux de tête et la myalgie (douleur musculaire); 21 % ont subi «un ou plusieurs événements graves».

    Un article7 du 26 mai 2020 dans STAT news a raconté l'histoire déchirante d'Ian Haydon, un participant en bonne santé de 29 ans à l'essai de vaccin de Moderna qui a souffert d'effets secondaires graves nécessitant une hospitalisation.

    Alors que Haydon s'est rétabli des effets secondaires, qui comprenaient une fièvre déchaînée, des évanouissements, des nausées, des douleurs musculaires et une sensation générale «aussi malade qu'il l'avait jamais ressenti», imaginez simplement ce que ces effets secondaires pourraient faire à une personne âgée, un nourrisson, jeune enfant ou quelqu'un qui est métaboliquement compromis ou qui a une condition sous-jacente comme un problème cardiaque. Pour eux, les réactions pourraient être bien pires et peut-être mortelles.

    Fait troublant, en juillet 2020, il a été signalé8 que le vaccin à dose de 100 mcg de Moderna - malgré son ratio d'effets secondaires de 100 % après la deuxième dose - passerait à l'évaluation de l'essai de phase 3.

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  48. Comme le vaccin Moderna, le vaccin AstraZeneca / Université d'Oxford semble également présenter un taux d'effets secondaires extrêmement élevé. Les résultats9 de l'une de ses études de phase 1/2 publiée le 15 août 2020, ont révélé qu'une nette majorité de participants présentaient des effets secondaires, notamment de la fatigue, des maux de tête, des douleurs musculaires, des malaises, des frissons et une sensation de fièvre.

    Le 6 septembre 2020, AstraZeneca a suspendu son essai de vaccin de phase 3 en raison d'une «réaction indésirable grave et inattendue soupçonnée» chez un participant britannique.10,11 La société n'a pas divulgué la nature de l'effet indésirable.

    Cependant, le New York Times a rapporté12 qu'une «personne familière avec la situation et qui s'exprimait sous couvert d'anonymat» a déclaré que l'individu «avait une myélite transverse, un syndrome inflammatoire qui affecte la moelle épinière et est souvent déclenché par infections virales. »

    Le 12 septembre 2020, l'Autorité britannique de réglementation de la santé des médicaments a donné à AstraZeneca le feu vert pour reprendre son essai de phase 3 au Royaume-Uni, après qu'un examen indépendant a jugé qu'il était «sûr de le faire». 13,14

    Et voici encore une autre surprise majeure que presque personne ne sait. Offit prévient qu'il pourrait y avoir des problèmes avec les vaccins à ARN messager (ARNm) de Moderna et BioNTech, car ils ont des besoins d'expédition et de manutention extraordinaires qui incluent l'utilisation de glace sèche. "Nous n'avons jamais fait cela auparavant dans ce pays", a-t-il déclaré à MarketWatch.15 "Jamais."

    Pourquoi appliquer des règles de masque inefficaces ?

    - voir siur site -

    Une vidéo virale (ci-dessus) publiée le 23 septembre 2020 présente l'arrestation violente d'une mère de l'Ohio lors d'un match de football local, apparemment pour ne pas avoir porté son masque dans les gradins.16 La vidéo montre un policier assignant Alecia Kitts aux deux- marque minute.

    Il est également clair sur la vidéo des images montrant que l'officier qui a assigné Kitts avait son propre masque, sous le menton, depuis le moment où il l'a assignée jusqu'à ce qu'il l'emmène avec les menottes. Il n'a remis le masque que lorsque quelqu'un dans les gradins a crié, lui demandant où était son masque.

    Selon The Ohio Star17, Tiffany Kennedy, une amie de Kitts qui a tourné la vidéo, a déclaré que Kitts souffrait d'asthme et avait enlevé le masque. Le masque de Kitts est visible dans la poche arrière droite de son short dans la vidéo. Les règles du coronavirus de l'Ohio émises par le gouverneur Mike DeWine exigent que les gens portent des masques lors d'événements en plein air lorsque la distance sociale de 6 pieds n'est pas possible.

    Ne pas porter de masque en Ohio est considéré comme un délit. Les pénalités pour non-respect peuvent inclure jusqu'à 30 jours de prison et une amende de 750 $. Alors que DeWine a déclaré que son intention n'était pas d'arrêter des personnes pour non-respect, il n'a pas opposé son veto à un projet de loi qui aurait réduit les amendes et interdit la peine de prison pour non-respect.

    Le problème fondamental des agressions18 et des arrestations de personnes pour non-respect des règles relatives aux masques est qu’il n’existe aucune preuve pour soutenir l’idée que les masques empêchent la propagation du virus. En fait, la science nous dit que les masques ne peuvent pas bloquer les virus.

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  49. Le SARS-CoV-2 a un diamètre compris entre 0,06 et 0,14 microns.19 Les masques médicaux N95 - qui sont considérés comme les plus efficaces - peuvent filtrer des particules aussi petites que 3 microns.20 Les masques chirurgicaux, masques faits maison, T-shirts et bandanas sont encore plus poreux.

    Au mieux, un masque peut réduire la transmission de grosses gouttelettes respiratoires, mais il ne fait rien pour empêcher la transmission de particules en aérosol exhalées par des individus asymptomatiques ou présymptomatiques atteints de COVID-19.21 Les propres recherches des agences de santé montrent que c'est une mesure futile qui ne fournit qu'un faux sentiment de sécurité.

    Par exemple, la note d'orientation 22 de l'Organisation mondiale de la Santé du 5 juin 2020 sur l'utilisation du masque facial indique qu '«il n'y a aucune preuve directe (d'études sur le COVID-19 et chez les personnes en bonne santé dans la communauté) sur l'efficacité du masquage universel des personnes en bonne santé la communauté pour prévenir l'infection par les virus respiratoires, y compris le COVID-19. »

    De même, un article de revue des politiques de mai 202023 publié dans la revue des Centers for Disease Control and Prevention, Emerging Infectious Diseases, a conclu que «notre revue systématique n'a trouvé aucun effet significatif des masques faciaux sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire.»

    Ceci est très pertinent, car le virus de la grippe est environ deux fois plus grand que le SRAS-CoV-2. Si les masques ne peuvent pas empêcher la transmission de la grippe, ils ne peuvent certainement pas empêcher la transmission du SRAS-CoV-2.

    Les masques à valve et les écrans faciaux sont inutiles

    Certains masques sont plus inutiles que d'autres, les masques à valve étant parmi les pires, suivis des masques en tissu faits maison. Cela comprend à la fois les masques en tissu commerciaux et les masques classés N95 avec un ou deux orifices d'expiration. La raison en est que les masques avec soupapes respiratoires ne filtrent pas l'expiration.

    Pour être clair, bien qu'un masque classé N95 avec orifice d'expiration ne protégera pas les autres, il peut néanmoins offrir une certaine protection à l'utilisateur. Si vous portez un masque, les masques classés N95 sont le choix le plus efficace. La mise en garde est qu'il doit être correctement installé et mis en place et retiré selon les instructions. Le personnel médical doit passer des tests d'ajustement24 pour les masques médicaux N95, ce qui en fait un choix peu pratique pour le grand public.

    Les écrans faciaux, recommandés25 par le Dr Anthony Fauci fin juillet 2020, comme couche supplémentaire pour protéger les muqueuses de vos yeux, sont encore plus inutiles pour la prévention de la propagation virale, surtout s'ils sont utilisés seuls à la place d'un masque ( ce qui n'est généralement pas recommandé26).

    La vidéo ci-dessus sur le College of Engineering and Computer Science de la Florida Atlantic University fournit une visualisation qualitative de la performance des masques avec valves et écrans faciaux. Tel que rapporté par le bureau de presse de l'Université Florida Atlantic: 27

    «Une utilisation publique généralisée de ces alternatives aux masques ordinaires pourrait avoir un effet négatif sur les efforts d'atténuation. Pour l'étude, 28 qui vient d'être publiée dans la revue Physics of Fluids, les chercheurs ont utilisé la visualisation du flux dans un laboratoire en utilisant une nappe de lumière laser et un mélange d'eau distillée et de glycérine pour générer le brouillard synthétique qui constituait le contenu d'un jet anti-toux.

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  50. Ils ont visualisé des gouttelettes expulsées de la bouche d’un mannequin tout en simulant la toux et les éternuements. En plaçant un écran facial en plastique et un masque facial classé N95 avec une valve, ils ont pu tracer les trajectoires des gouttelettes et démontrer leurs performances.

    Les résultats de l'étude montrent que bien que les écrans faciaux bloquent le mouvement initial du jet vers l'avant, les gouttelettes expulsées se déplacent autour de la visière avec une relative facilité et s'étalent sur une grande surface en fonction des perturbations lumineuses ambiantes.

    Les visualisations pour le masque facial équipé d'un orifice d'expiration indiquent qu'un grand nombre de gouttelettes passent à travers la valve d'expiration sans filtre, ce qui réduit considérablement son efficacité en tant que moyen de contrôle de la source. "

    Dans le même ordre d'idées, une étude de simulation japonaise a révélé que «près de 100% des gouttelettes en suspension dans l'air de moins de 5 micromètres s'échappaient à travers les boucliers» et «environ la moitié des plus grosses gouttelettes mesurant 50 micromètres se retrouvaient dans l'air», rapporte The Guardian.29 , 30

    Pourquoi le CDC a-t-il supprimé l'avis de transmission d'aérosol ?

    Fait intéressant, vendredi 18 septembre 2020, le CDC a publié des conseils mis à jour sur le COVID-19 sur sa page «Comment le COVID-19 se propage» qui, pour la première fois, mentionnait la transmission par aérosol du SRAS-CoV-2, en disant: le principal moyen de propagation du virus. »31

    Il a également noté que les virus en aérosol peuvent parcourir plus de 6 pieds - ce qui est logique vu comment les virus en aérosol peuvent rester en suspension dans l'air pendant des heures - et que «les environnements intérieurs sans une bonne ventilation augmentent ce risque.» 32 Cependant, le CDC a ensuite supprimé le mention d'aérosols et de la possibilité de se propager au-delà de 6 pieds le lundi 21 septembre suivant, indiquant qu'un projet de version des modifications proposées avait été affiché «par erreur». 33,34,35,36

    Si le SRAS-CoV-2 se propage principalement via des aérosols, il est illogique d'exiger des gens qu'ils portent des masques, car ils ne peuvent pas filtrer les virus en suspension dans l'air.
    Tel que rapporté par Forbes: 37

    «Avant la mise à jour de vendredi, le CDC a déclaré que de grosses gouttelettes respiratoires (comme celles de la toux ou des éternuements) à courte distance transmettaient le virus, mais maintenant, les directives maintenant supprimées ajoutaient que de« petites particules, telles que celles contenues dans les aérosols », pouvaient infecter les gens.

    «Il y a de plus en plus de preuves que les gouttelettes et les particules en suspension dans l'air peuvent rester en suspension dans l'air et être respirées par d'autres, et parcourir des distances au-delà de 6 pieds», a déclaré le guide désormais supprimé ... Les scientifiques disent que le nouveau guide du CDC est important car les masques en tissu ne sont pas n'est pas conçu pour protéger l'utilisateur des aérosols. »

    La dernière phrase est essentielle. Comprendre que le SRAS-CoV-2 est aérosol et peut rester en suspension dans l’air «est important car les masques en tissu ne sont pas conçus pour protéger l’utilisateur des aérosols». Les masques également, bien sûr, ne peuvent pas protéger les autres contre les virus en aérosol exhalés par quelqu'un portant un masque (ou un écran facial).

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  51. Le SRAS-CoV-2 est aéroporté, ce qui rend les masques inefficaces

    Selon NBC News 38, le fait que le SRAS-CoV-2 soit aéroporté est «déjà bien connu, selon les experts en maladies infectieuses», il est donc difficile de savoir pourquoi le CDC ne voudrait pas que ces informations soient publiées sur son site Web. En fait, il a été remarquablement lent à le reconnaître.

    Il faut se demander si la reconnaissance tardive et la suppression rapide de ces informations ont quelque chose à voir avec le fait que, si le SRAS-CoV-2 se propage principalement par aérosols, il est illogique d'obliger les gens à porter des masques, vu comment ils ne peuvent pas filtrer l'air. virus. Tout ce qu'un masque peut faire est de limiter la propagation des gouttelettes respiratoires contaminées. Cela a toujours été l'argument contre le port de masque.

    Le Dr Jill Weatherhead, professeur adjoint de maladies infectieuses au Baylor College of Medicine à Houston, a déclaré à NBC News que l'admission que le SRAS-CoV-2 est aérosol n'était «pas surprenant ou discordant.» 39 L'Organisation mondiale de la Santé a mis à jour son COVID-19. des directives remontent à juillet pour inclure la transmission par aérosol (c.-à-d. aéroportée), à ??la demande pressante de plus de 200 scientifiques.40

    Joseph Allen, professeur agrégé au département de santé environnementale du Harvard T.H. Chan School of Public Health, a également déclaré à NBC News que «la communauté scientifique a sonné l'alarme à ce sujet depuis février, que la propagation aérienne peut se produire.» 41 Le Dr Ashish Jha, doyen de l'école de santé publique de l'Université Brown, a commenté sur la suppression du CDC: 42

    «C'est tellement destructeur pour cette agence incroyablement merveilleuse que nous avons adoré et admiré toute notre carrière. C'est l'heure des amateurs.

    Pourquoi sont-ils si persistants avec les recommandations de masque ?

    Compte tenu des preuves scientifiques solides contre cela, pourquoi les gouvernements sont-ils si persistants dans leur recommandation de porter un masque? De toute évidence, pour beaucoup, porter un bandana ou un masque en tissu constitue une forme de défense psychologique, un moyen de se sentir moins craintif car on a l'impression de faire quelque chose pour se protéger et protéger les autres. Mais c’est un faux sentiment de sécurité.

    Les masques ne vous empêcheront pas d'expirer ou d'inhaler le virus en aérosol. Les masques en tissu sont clairement également l'option la moins préférable si vous souhaitez réduire la propagation de l'infection, car leur capacité à bloquer les grosses gouttelettes respiratoires est également limitée.

    En particulier, les masques N95 avec soupapes de débit d'air à l'avant doivent être évités, car la soupape laisse échapper de l'air non filtré, annulant ainsi le petit avantage - la réduction des émissions de gouttelettes respiratoires - que vous pourriez obtenir d'un masque.43

    Mais avec des taux de mortalité liés au COVID-1944,45,46 aussi bas qu'ils soient, pourquoi les gouvernements pousseraient-ils pour un faux sentiment de sécurité? Selon une étude du 2 septembre 202047 dans les Annals of Internal Medicine, le taux de mortalité global non institutionnalisé de COVID-19 est de 0,26%. Pour les moins de 40 ans, le taux de mortalité par infection est de 0,01%, tandis que ceux âgés de 60 ans ou plus ont un taux de mortalité de 1,71%.

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  52. Le taux de mortalité par infection estimé pour la grippe saisonnière indiqué dans cet article est de 0,8%. Ainsi, les seules personnes pour lesquelles l'infection par le SRAS-CoV-2 est plus dangereuse que la grippe sont celles de plus de 60 ans.

    Le port obligatoire d'un masque, la distanciation sociale, les verrouillages et les fermetures d'entreprises sont clairement totalement inutiles à ce stade, à moins que votre objectif ne soit d'augmenter la peur, la tyrannie et le transfert de richesse vers les 0,001% supérieurs qui peuvent bénéficier de l'effondrement de l'économie. Le virus est dans l'air tout autour de nous, vous ne pouvez donc pas éviter l'exposition même avec un masque ou un écran facial.

    Rappelez-vous en mars 2020, lorsqu'ils ont dit que nous devions simplement ralentir le taux d'infection pour éviter la surpopulation des hôpitaux? Comment en sommes-nous passés à devoir porter des masques partout jusqu'à ce que toute trace de virus soit éliminée, même si une grande majorité reste asymptomatique et ne sait même pas qu'elle a le virus à moins d'être testée?

    Dans l'ensemble, il semble que les exigences en matière de masques soient utilisées comme outil de manipulation psychologique pour encourager l'observance de la vaccination une fois qu'un vaccin est disponible. Il peut également être considéré comme un insigne de soumission à la tyrannie. Je prédis qu'il est probable qu'à un moment donné dans le futur, un compromis sera proposé: les mandats de masque seront abandonnés à condition que tout le monde soit vacciné.

    D'ici là, beaucoup seront peut-être prêts à prendre à peu près n'importe quoi tant qu'ils n'auront plus à porter de masque - bien que certains, comme Offit, préviennent que les masques peuvent rester une exigence pour les années à venir, même avec un vaccin.

    Je vous encourage à lire les nombreuses questions ouvertes relatives aux vaccins COVID-19 accélérés avant de prendre votre décision. Dans l'ensemble, il semble que le meilleur moyen d'éviter d'avoir à faire un tel commerce détourné est de s'engager dans la désobéissance civile maintenant et de rester démasqué.

    Si la désobéissance civile est déconcertante, gardez à l'esprit que dans de nombreux domaines, les règles relatives aux masques incluent l'exception suivante: «Vous devez porter un masque à moins que vous ne puissiez maintenir une distance de 6 pieds.» En d'autres termes, si vous n'avez pas de masque et que vous maintenez une distance sociale de 1,80 mètre, vous respectez toujours les règles telles qu'elles sont rédigées.

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  53. Sources and References

    1, 2, 15 Market Watch September 21, 2020
    3 HHS June 16, 2020
    4 Contagion Live September 2, 2020
    5 Reuters July 30, 2020
    6 NEJM July 14, 2020 DOI: 10.1056/NEJMoa2022483
    7 STAT May 26, 2020
    8 Contagion Live July 23, 2020
    9 The Lancet August 15, 2020; 396(10249): 467-478
    10, 13 AstraZeneca September 12, 2020
    11 STAT News September 8, 2020
    12 New York Times September 8, 2020 (Archived)
    14 STAT News September 12, 2020
    16 Marietta Times September 23, 2020
    17 The Ohio Star September 23, 2020
    18 MSN July 27, 2020
    19 StatPearls July 4, 2020, Etiology
    20 SPhosp.org N95s — Sufficient Protection for COVID-19? (PDF)
    21 Rapid Expert Consultation on the Effectiveness of Fabric Masks for COVID-19 Pandemic, April 8, 2020
    22 WHO.int Advice on the Use of Masks in the Context of COVID-19
    23 Emerging Infectious Diseases May 2020; 26(5)
    24 OSHA Fit Test Procedures for N95 Masks
    25 The Hill July 30, 2020
    26 Ohio Department of Health August 15, 2020
    27 Florida Atlantic University September 1, 2020
    28 Physics of Fluids 2020; 32: 091701
    29 The Guardian September 22, 2020
    30 New York Post September 22, 2020
    31, 32, 36 The BMJ September 24, 2020;370:m3739
    33 NPR September 21, 2020
    34, 38, 39, 41, 42 NBC September 21, 2020
    35, 37 Forbes September 21, 2020
    40 NPR July 6, 2020
    43 NPR June 21, 2020
    44 American Institute of Economic Research April 24, 2020
    45 CDC.gov August 26, 2020
    46, 47 Annals of Internal Medicine September 2, 2020 DOI: 10.7326/M20-5352

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/joseph-mercola/what-will-it-take-for-masks-and-face-shields-to-end/

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    1. Bizarre qu'il n'existe pas d'insecticide ou, plutôt, des 'microbicides' portatif ou plaquettes à pendre chez soi, ruban de glue spécial corona diffusant des phéromones pour attirer les femelles, tapettes nano-scopique, etc

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