ven., 23 oct. 2020 18:36 UTC
LES VICTIMES DU DIABÈTE ONT AUGMENTÉ DE 86% EN SIX MOIS SEULEMENT
LE CANCER DE LA PROSTATE A AUGMENTÉ DE 53%
LA MALADIE DE PARKINSON A AUGMENTÉ DE 79%
LE CANCER DU SEIN A AUGMENTÉ DE 47%
LE CANCER DES INTESTINS A AUGMENTÉ DE 46%
Le nombre de personnes qui meurent à domicile de maladies autres que le Covid-19 a explosé depuis le confinement.
Les chiffres de l'Office des statistiques nationales pour la période de mars à septembre révèlent que près de 1.000 décès sont enregistrés chaque semaine, soit 26.000 de plus qu'à la même période l'année dernière.
Parmi les principales causes de décès figurent le diabète (+ 86 %), la maladie de Parkinson (79 %), le cancer de la prostate (53 %), le cancer du sein (47 %) et le cancer de l'intestin (46 %). Le nombre de décès chez les femmes atteintes de démence a augmenté de 75 %. Le professeur Karol Sikora, directeur du centre de soins contre le cancer Rutherford Health, a déclaré qu'il était temps de poser « des questions difficiles pour éviter encore plus de décès inutiles ». L'éminent oncologue a ajouté : « Le Covid-19 tue... mais le confinement aussi ».
Fiona Carragher, de la Société Alzheimer et ancienne directrice scientifique adjointe du NHS en Angleterre, a blâmé les « terribles effets secondaires du confinement ». Elle a ajouté : « L'isolement, la peur et la suspension des services de santé et d'aide sociale ont contribué à l'augmentation catastrophique du nombre de décès de personnes atteintes de démence. Nous l'avons vu dans les maisons de soins et nous en voyons maintenant l'impact dans la communauté ».
80 autres décès dus à des coronavirus ont été enregistrés hier, ainsi que 18 804 nouveaux cas - contre 1 982 dimanche.
Les chiffres de l'ONS révèlent qu'il y a eu 27 millions de consultations médicales de moins entre mars et août qu'à la même période l'année dernière.
Le Covid-19 est désormais la septième cause de décès à domicile pour les hommes, et la onzième pour les femmes. Quatre-vingt pour cent des décès concernent des personnes de plus de 70 ans, et les maladies cardiaques sont la principale cause de mortalité, avec 12 029 décès au cours de cette période, soit 2 343 de plus que la normale.
La plupart de ces décès auraient normalement dû se produire à l'hôpital, et les gens ont été soit réticents à y aller, soit découragés de s'y rendre, soit les services ont été perturbés », a déclaré le professeur David Spiegelhalter, de l'université de Cambridge. On ne sait pas combien de ces vies auraient pu être prolongées si elles étaient allées à l'hôpital ».
Cancer Research UK a calculé que 350.000 orientations de patients vers des spécialistes ont été manquées depuis le mois de mars. Et les organisations caritatives ont averti que des milliers de personnes en phase terminale sont privées de soins.
L'accès à des soins de fin de vie de haute qualité est crucial », a déclaré Adrienne Betteley, du Macmillan Cancer Support.
Malheureusement, nous constatons une demande sans précédent de soins de fin de vie dans les maisons privées, alors que les équipes sont déjà débordées.
Mike Brookes, 78 ans, de Rochdale, a été diagnostiqué avec la maladie d'Alzheimer pendant le confinement et a besoin d'une chirurgie cardiaque. Il s'est énormément détérioré au cours de cette période », a déclaré sa femme Liz, qui est également sa soignante. Bien qu'ils disent qu'il n'y a pas de coronavirus à l'hôpital, comment pouvez-vous en être sûr ?
Pendant ce temps, les derniers chiffres du gouvernement montrent qu'il y avait 5.402 patients atteints de Covid-19 à l'hôpital en Angleterre lundi, tandis que 528 étaient dans des lits de ventilation, contre 42 sept jours plus tôt.
Source
https://www.pressreader.com/uk/metro-uk/20201020/281496458768622
https://fr.sott.net/article/36201-Le-nombre-de-mortss-eleve-mais-pas-a-cause-du-Covid
France : SARS-CoV-2 et corruption
RépondreSupprimerle 24 octobre 2020
Comme on pouvait s’y attendre l’Agence Française de Sécurité du Médicament (ANSM), un organisme étatique opaque constitué de 1000 salariés faisant appel à 2000 experts et qui coûte « un pognon de dingue » a rendu son verdict sans appel le 21 octobre : contrairement au Remdesivir l’hydroxychloroquine ne peut pas être utilisée pour traiter au stade précoce les malades atteints de SARS-CoV-2. Pourtant l’efficacité de ce traitement associé à l’azithromycine a été prouvé par plus d’une centaine de laboratoires et services hospitaliers dans le monde concernant près de 4 milliards de personnes. Les « sages » de l’ANSM ont assorti l’AMM accordée au Remdesivir de conditionnelle, on ne sait jamais, il faut protéger ses arrières.
Pour ce qui est de l’hydroxychloroquine, la demande avait été déposée par les Professeurs Raoult et Brouqui, respectivement infectiologues à l’IHU et au CHU de la Timone de Marseille. Ça sent la corruption à plein nez, du moins pour ceux qui ne sont pas frappés d’anosmie en raison du SARS-CoV-2 ! On ne peut pas dire que l’ANSM soit un organisme au dessus de tout soupçon, loin de là. Par le passé ces « sages » qui coûtent un pognon de dingue se sont distingués par des décisions sentant à des lieues à la ronde le conflit d’intérêt glauque. Les scandales du Mediator et du Levothyrox en constituent une preuve flagrante.
Les contribuables français apprécieront que ces compères aux portefeuilles bien garnis par les laboratoires pharmaceutiques préfèrent autoriser des médicaments qui coûtent un pognon de dingue plutôt que des génériques qui ont été utilisés dans plus de 60 pays dans le monde pour combattre avec succès la grippe à SARS-CoV-2. Dans ces conditions il y aura encore plus de morts dans les prochains mois si la deuxième vague hivernale se confirme et ces contribuables n’auront que leurs yeux pour pleurer en constatant que leurs impôts, déjà nombreux et variés, continueront à augmenter, car ce sont eux qui paieront pour les décisions stupides de l’ANSM, il ne faut pas se leurrer.
Le lobby ultra-puissant de la pharmacie l’a bien compris : les contribuables de tous les pays développés, en particulier européens, sont une mine d’or inépuisable. Alors préparez-vous à mourir dans la joie, le portefeuille vide …
Source partielle : France-Soir
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/10/24/france-sars-cov-2-et-corruption/
Les verrouillages COVID-19 sont en phase avec la «grande réinitialisation»
RépondreSupprimerPar le Dr Mathew Maavak
Message d'activiste
24 octobre 2020
En octobre 2019, un exercice de simulation de pandémie appelé Event 201 - un effort de collaboration entre le Johns Hopkins Center for Health Security, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates - a conclu qu'un nouveau coronavirus hypothétique pourrait finir par tuer au moins 65 millions de personnes dans le monde. dans les 18 mois suivant une épidémie.
Lorsque COVID-19 est apparu par hasard de Wuhan deux mois plus tard, les scientifiques se précipitaient pour générer des prévisions alarmistes similaires en utilisant une variété de modèles scientifiques discutables. Des chercheurs de l'Imperial College de Londres, par exemple, ont estimé le nombre de morts à 500 000 (Royaume-Uni) et 2 millions (États-Unis) en octobre de cette année. Pour ceux qui ont suivi la métastase de la manie mondiale des vaccins, le modèle impérial a été «mis au point» comme prévu avec l'aide de Microsoft.
Bien que les modèles scientifiques soient certes faillibles, il serait néanmoins difficile de justifier la série interminable de contradictions, de divergences et d'amnésie délibérée dans le récit de la pandémie mondiale. En fait, il faut se demander si le COVID-19 mérite même le tag d'une «pandémie». Selon le Center for Disease Control (CDC) des États-Unis, les taux de survie mis à jour par groupe d’âge pour le COVID-19 sont les suivants: 0 à 19 ans (99,997 %); 20-49 (99,98 %); 50 à 69 (99,5 %); et 70+ (94,6 %). Les taux de mortalité ne sont que légèrement plus élevés que le bilan humain de la grippe saisonnière et sont, en fait, inférieurs à ceux de nombreuses affections pour les mêmes cohortes d'âge.
Si les statistiques du CDC ne mentent pas, à quel genre de «science» avons-nous été soumis ? Était-ce la science de l'hystérie médiée par la masse ? Il y a d'autres questions troublantes encore sans réponse. Qu'est-il arrivé à la théorie des chauves-souris ou des pangolins étant la source du COVID-19 ? Qui était Patient Zero ? Pourquoi y a-t-il eu une agitation médiatique concertée contre l'utilisation prophylactique de l'hydroxychloroquine qui a été soutenue par le Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) pas moins ? Et pourquoi le professeur Neil Ferguson, qui avait dirigé la modélisation de la contagion de l'Impériale, a-t-il violé à plusieurs reprises les mesures de verrouillage pour rencontrer son amant - juste après que ses recommandations aient été utilisées pour justifier des verrouillages draconiens dans le monde entier qui se poursuivent jusqu'à aujourd'hui ?
Plus accablant encore, pourquoi les médias occidentaux et les établissements scientifiques dédaignent-ils le vaccin russe Spoutnik V ? Après tout, la crédibilité de Moscou, à la fois scientifique et autre, est en jeu ici. Dans une véritable pandémie, personne ne se soucierait de l'origine d'un remède efficace. Le virus ne se soucie pas des frontières et de la géopolitique; alors pourquoi devrions-nous politiser les origines d'un antidote ?
Il s’agit peut-être d’un cas de «coronapsychose» de masse, comme l’appelait à juste titre le président bélarussien Alexander Lukashenko. À qui profitent les verrouillages mondiaux qui déstabilisent toutes les facettes de notre société ? Les quatre «grands» courants sous-jacents suivants peuvent fournir un indice.
La grande déviation
RépondreSupprimerComme l'auteur l'avait mis en garde pendant plus d'une décennie, le monde est confronté à une confluence de surcharges de risques, de crises socio-économiques (1) et d'une deuxième grande dépression. Pour les classes dirigeantes, le COVID-19 détourne fortuitement l'attention du public des conséquences désastreuses de décennies de mauvaise gestion économique et de fractionnement de la richesse. La consolidation de Big Tech avec Big Media (2) a créé un monde orwellien où l'hystérie collective déplace les loci des épouvantails comme la Russie vers ceux qui sont en désaccord avec le récit de la pandémie.
Nous sommes entrés dans une «nouvelle normalité» où Pyongyang, en Corée du Nord, offre plus de liberté ambulatoire que Melbourne, en Australie. Alors que les émeutes et les manifestations de masse de divers radicaux reçoivent un laissez-passer gratuit - même encouragés par les dirigeants occidentaux - les publications sur Facebook remettant en question les verrouillages sont jugées subversives. C'est un monde où les Blueshirts australiens battent des femmes, maltraitent une femme enceinte dans sa propre maison et effectuent des opérations de police sur une meute de loups dans un parc. Pourtant, le premier ministre de l'État australien de Victoria reste imperturbable par le surnom peu flatteur de Kim Jong Dan.
Le corona-totalitarisme est sans surprise le plus prononcé dans l'Anglosphère et ses dépendances. Après tout, ces nations sont confrontées à des faillites socio-économiques d'une ampleur sans précédent vis-à-vis de leurs homologues. Même leurs propres gouvernements sont systématiquement minés de l'intérieur. Le département américain de la Sécurité intérieure, créé à la suite du 11 septembre pour lutter contre le terrorisme, accorde maintenant 10 millions de dollars en subventions à des organisations censées combattre «l'extrémisme d'extrême droite et la suprématie blanche». Cela radicalisera davantage les mécontents de gauche qui rasent les villes américaines et leurs économies au nom de la justice sociale. Il y a cependant une curieuse justification derrière cette politique insensée, comme l'illustre la section suivante.
Le grand transfert de richesse
Alors que le cirque continue, le pain s'éclaircit, sauf pour le Top 0,001 %. Au lieu de la faillite, comme l'indiquent les tendances récentes, la Silicon Valley et les monopoles affiliés enregistrent des bénéfices records avec une censure record sur les réseaux sociaux. Les milliardaires américains ont récolté 434 milliards de dollars au cours des deux premiers mois seulement du verrouillage. Plus il y a de verrouillages, plus la richesse revenait à l'élite techno. Alors que des dizaines de millions d'individus et de petites entreprises font faillite à Noël, la révolution du travail à distance offre des jackpots de plusieurs milliards de dollars à Jeff Bezos (Amazon) et Mark Zuckerberg (Facebook). Les écosystèmes cloud Azure (Microsoft) et AWS (Amazon), entre autres, se sont développés de 50 % depuis le début de la pandémie.
Face à ce fractionnement galopant de la richesse, les outils panoptiques de traçage des contacts de Big Tech sont de plus en plus utilisés pour pacifier les populations agitées. Et bien sûr, pour éviter une deuxième, troisième ou Nième vague de COVID-19 pour notre bien collectif
Dans l'intervalle, les grandes banques, les grandes sociétés pharmaceutiques, les grandes technologies et d'autres monopoles reçoivent de somptueux renflouements de la banque centrale ou des «plans de relance» pour engloutir les petites entreprises en difficulté. COVID-19 est un cadeau qui ne cesse de donner à quelques privilégiés. Mais comment la techno-oligarchie maintiendra-t-elle un certain degré de crédibilité sociale et de contrôle dans un monde appauvri et tumultueux
https://www.lewrockwell.com/2020/10/no_author/covid-19-lockdowns-are-in-lockstep-with-the-great-reset/
Comme il en est pour tous les gaz de l'atmosphère qui se recyclent continuellement depuis des millions d'années, il en est pour l'eau qui n'a pas une goutte de plus ni de moins et que notre planète ne pèsera pas plus lourd avec 300 milliards d'habitants !
SupprimerTout çà pour expliquer que le recyclage est permanent, le charbon qui brûle émet des cendres et de la fumée. Ce gaz carbonique est recyclé en nano-particules de carbone (charbon) par le phytoplancton présent sur toutes les surfaces d'eau. Les humains comme les animaux ou les arbres qui vivent meurent un jour. Leur corps est enterré et se fragilise, se fragmente et est absorbé par des racines d'arbres qui vont les porter en leurs fruits. Identiquement opèrent les microbes qui se rencontrent ici ou là, s'accouplent et se multiplient en des êtres tout à fait nouveaux qui changent de cuisines et de climats au gré de leurs rencontres.
C'est pourquoi s'il y a plus de 7 milliards de personnes différentes l'une de l'autre sur Terre il y en a des milliards de milliards de fois plus de microbes ou de virus qui peuvent être eux aussi différents. C'est aussi pourquoi il ne peut exister un vaccin propre à chaque individu malgré que cela soit nécessaire.
Mais aujourd'hui se dresse un autre problème qui est celui du remède qui tue. De la potion magique qui modifient l'organisme, du 'bouillon d'onze heure', des gros 'gris-gris', des religions, bref tout un organisme malfaisant qui est en place et passe à l'attaque !
Ils se sont aperçu qu'il y avait dans l'air des milliards de milliards de microbes et de virus et qui - pour la plupart - étaient différents l'un de l'autre ! Belle affaire ! Suffit de dire qu'un est dangereux puis qu'il a muté et vendre des injections létales jusqu'à achever l'humanité !
Or, il y a sur Terre des animaux, des insectes et des plantes qui respirent comme nous autant de microbes ou de virus tous les jours ! Et eux, eux n'en meurent pas ! Çà alors ! Mais comment font-ils ?
Tout est dans l'art de la communication, de la supercherie, de la désinformation contrée par les scientifiques et dans le système pour les réduire au silence. La manipulation de masse grâce aux merdias et politiques à la botte des 'hommes de l'ombre'. L'enterrement des scientifiques blogueurs par la censure de leurs propos jusqu'à les faire passer pour des terroristes.
L'histoire des masques inutiles et du confinement mortel ne suffit pas à les défaire de leur complotisme, ils vont passer aux injections obligatoires, à la police montée et armée, aux drones de repérage, aux écoutes téléphoniques. Bref, le Plan 'NWO' !
Après 7 mois de confinement, record de contaminés et de décès en Argentine
RépondreSupprimerFawkes News
mer., 21 oct. 2020 19:30 UTC
Saviez-vous que le confinement de l'Argentine dure... depuis plus de 7 mois ?
Le plus long du monde. Et voilà ce que ça donne dans les faits :
- Une augmentation constante des décès pendant 5 mois.- Une augmentation des cas tout au long du confinement.- 27 100 décès.
Autant dire qu'un si long confinement, en plus d'avoir été totalement inefficace, a plongé un nombre considérable de personnes dans la pauvreté et l'économie du pays est au plus mal.
Le pays est 12ème mondial en terme de décès par million d'habitants (sans compter Andorre et Saint-Marin qui sont des cas à part compte tenu de leur faible population) et 5ème au monde en ce qui concerne le nombre de contaminés.
Voilà un cas d'école intéressant à montrer à ceux qui prétendent que le port du masque (imposé depuis 6 mois en Argentine) et le confinement (7 mois) a sauvé de nombreuses vies en France.
Oui, beaucoup de gens croient encore en ce roman. Une façon sans doute de se rassurer en justifiant la privation de leurs libertés par une réelle utilité de ces mesures.
Rien n'est moins sûr...
- voir graphique sur site -
Argentine, confinement
Nouveaux décès quotidiens en Argentine - Nouveaux cas quotidiens
Daily New Deaths in Argentina
- voir graphique sur site -
Nouveaux décès quotidiens en Argentine - Les décès quotidiens.
- voir clip sur site :
https://fr.sott.net/article/36202-Apres-7-mois-de-confinement-record-de-contamines-et-de-deces-en-Argentine
SupprimerLe gouvernement a retenu: Plus il y a de gens confinés, plus il y a de cas de personnes contaminées.
Donc, si on les confinent à 21 heures dans un lieu restreint, voire exigu, elles vont forcément être plus contaminées qu'à l'extérieur ! Youpi !
- adolf hitler.
Une étude évaluant l'efficacité du port du masque a été rejetée par les journaux scientifiques car personne n'est assez « courageux » pour en publier les résultats selon des chercheurs danois
RépondreSupprimerRT
SLT
jeu., 22 oct. 2020 19:48 UTC
Une étude évaluant l'efficacité du port du masque dans la Covid-19 a été rejetée par les journaux car personne n'est assez « courageux » pour en publier les résultats selon des chercheurs danois.
Une étude à grande échelle au Danemark qui cherchait à déterminer si les masques aident à arrêter la propagation de la Covid-19 a été rejetée par plusieurs revues prestigieuses. Les auteurs ont laissé entendre que leurs conclusions ne convenaient pas au statu quo.
The Lancet, le New England Journal of Medicine et l'American Medical Association Journal ont tous refusé le document, ont rapporté les médias danois jeudi.
L'étude, qui a débuté fin avril, a impliqué 6 000 Danois, dont la moitié a été invitée à porter un masque à tout moment dans les lieux publics. L'autre moitié a été sélectionnée comme groupe de contrôle et a reçu l'instruction de ne pas se couvrir le visage. Au bout d'un mois, les participants ont été testés pour la Covid-19 ainsi que pour les anticorps contre le virus.
Les chercheurs de l'étude sont restés très discrets sur leurs conclusions, mais ils ont laissé tomber de nombreux indices qui suggèrent que c'est la conclusion de l'article, et non sa méthodologie, qui a conduit au rejet des revues.
« Nous ne pouvons pas commencer à discuter de ce qui les mécontente. Car si c'est le cas, nous devons aussi expliquer ce que l'étude a montré. Et nous ne voulons pas en discuter avant qu'elle ne soit publiée », a déclaré Christian Torp-Pedersen, professeur et médecin-chef du département de recherche de l'hôpital de Nouvelle-Zélande du Nord, au quotidien danois Berlingske.
Un autre membre de l'équipe de l'étude a écrit la semaine dernière, dans un e-mail partagé par l'ancien journaliste du New York Times Alex Berenson, que leurs conclusions seraient publiées « dès qu'un journal aura le courage d'accepter le papier ».
Traduction Sott : On a demandé à un chercheur principal de l'étude danoise sur les masques - le SEUL (pour autant que je sache) essai randomisé pour voir si les masques protègent de #COVID - quand il serait publié. Sa réponse a été la suivante : « dès qu'un journal sera assez courageux ». Si vous pensez que cela signifie que l'étude montre que les masques fonctionnent...
Le Danemark impose actuellement le port du masque dans les transports publics, ainsi que dans les bars et restaurants lorsque les clients quittent leur table.
Un débat fait rage dans le monde entier sur l'obligation de porter des masques qui prétendraient stopper la transmission du coronavirus.
Des chercheurs japonais ont récemment publié une étude qui a révélé que les masques peuvent offrir un certain degré de protection contre les particules de la Covid-19 en suspension dans l'air, mais ils ont noté que même les revêtements faciaux de qualité professionnelle ne peuvent pas éliminer complètement le risque de contagion.
Curieusement, au début de la pandémie, de nombreux responsables et organisations de la santé se sont prononcés contre l'utilisation généralisée des masques dans le grand public, qualifiant ces politiques d'inefficaces. Par exemple, dans une interview accordée en mars, le Dr Anthony Fauci, membre du groupe de travail Covid-19 de la Maison Blanche, a insisté sur le fait qu'il n'y avait aucune raison pour que des personnes apparemment en bonne santé « se promènent avec un masque ». À l'époque, son point de vue reflétait un large consensus parmi les institutions et les professionnels de la santé, notamment l'Organisation mondiale de la santé (OMS), les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et le US surgeon general. Fauci, l'OMS et les CDC sont ensuite revenus sur leurs recommandations et ont soutenu les mandats relatifs aux masques.
RépondreSupprimerToutefois, beaucoup ont fait valoir que les données disponibles sont encore insuffisantes pour justifier le port obligatoire de masques. Deborah Cohen, la correspondante britannique médicalement qualifiée de l'émission Newsnight de la BBC2, a indiqué en juillet que le comité de l'OMS chargé d'examiner la recommandation de l'organisation sur le port des masques était motivé par un lobbying politique et non par de nouvelles preuves scientifiques.
Il ne semble pas y avoir de corrélation entre les cas et l'obligation de port des masques prétendument mis en place pour arrêter la propagation du virus. Des pays tels que la République tchèque ont connu une recrudescence de nouveaux cas, nécessitant le port de masques dans les lieux publics. Dans le même temps, la Corée du Sud, qui a également un mandat de port de masque, n'a pas constaté d'augmentation significative des résultats positifs des tests Covid-19.
Source : RT - Traduction SLT
https://fr.sott.net/article/36203-Une-etude-evaluant-l-efficacite-du-port-du-masque-a-ete-rejetee-par-les-journaux-scientifiques-car-personne-n-est-assez-courageux-pour-en-publier-les-resultats-selon-des-chercheurs-danois
Pourquoi AUCUN masque au monde n'est capable d'arrêter ls microbes ou les virus ?
SupprimerLe 'N95' retient 95 % des nano-particules supérieures à 3 microns. Or, le corona ne mesure que 0,1 à 0,5 micron !!! C'est-à-dire qu'ils passent par milliers !
Donc: Que vous ayez un masque ou non vous respirez le corona.
Notons que les masques sont fait et son port rendu obligatoire car ils empêchent 30 % de l'oxygène d'atteindre vos poumons et fait refouler votre gar carbonique expiré dans le masque et re-inspiré !
Grâce au masque vous aurez des maux de tête et des pertes de mémoire irréparables !
En 2021 vous serez enfermé(e) en asile et séparé(e) de vos enfants car eux ne portent pas de masque ! Hahahaha !
'Les masques protègeraient des postillons', or il se trouve que les dites gouttelettes soufflées... s'évaporent ! Cà alors ! Le masque n'est même pas trempé en plusieurs heures !
C'est-à-dire que si microbes il y a, ils seront soit inspirés soit expirés dès que c'est sec !
Québec COVID19: banques d'ADN (biobanque du génome), recherches sur le génome humain en collaboration (collusion) avec l'industrie pharmaceutique, les applications de l'intelligence artificielle et des outils numériques pour gérer le futur de l'humanité
RépondreSupprimer*Toutes des organisations financées par nos impôts...
vendredi 23 octobre 2020
Depuis quelques mois, il y a un peu de tous les Québécois déclarés positifs à la COVID-19 à Saguenay. Les milliers de prélèvements se retrouvent tous à un seul et même endroit : dans une vaste biobanque où l'on répertorie l’histoire biologique du Québec.
La biobanque de Génome Québec, adjacente à l’hôpital de Chicoutimi, est comme une grande bibliothèque biologique. Au lieu des étagères de livres, on y trouve des congélateurs d’échantillons en éprouvettes. Des millions d’échantillons à travers lesquels sont entreposés les tests positifs de COVID-19 de tout le Québec.
Dans la foulée des initiatives mises de l’avant pour trouver une solution à la pandémie de COVID-19, les Fonds de recherche du Québec et Génome Québec ont mandaté un regroupement de chercheurs pour mettre sur pied la Biobanque québécoise de COVID.
Cette infrastructure à l’échelle québécoise a pour objectif de stimuler la recherche en santé et la médecine de précision à une échelle sans précédent au Québec, de manière à soutenir les soins de santé, l’innovation et la recherche.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1730968/depistage-coronavirus-biobanque-genome-quebec
BIOBANQUE GÉNOME QUÉBEC ET CIUSSS SAGUENAY-LAC-SAINT-JEAN
La seule biobanque robotisée en Amérique du Nord pour l'entreposage de l'ADN à température ambiante.
La Biobanque, qui est déployée au Centre hospitalier affilié universitaire régional de Chicoutimi, jouit d'une affiliation avec l'Université de Montréal et sert de plateforme technologique à Génome Québec.
http://www.genomequebec.com/biobanque/
BIOBANQUE GENIZON
Biobanque Genizon offre aux chercheurs une ressouce permettant de faciliter le processus de découverte de gènes.
Le Québec se caractérise par un partage génétique optimal en raison de sa fondation par seulement 2600 individus il y a 12 à 16 générations. De plus, sa population a été multipliée par 80 au cours des 250 dernières années comparativement à une augmentation d'un facteur de 6 de la population de l'Europe occidentale durant la même période.
Cette population fondatrice canadienne-française offre un échantillonnage plus homogène que la population générale et permet ainsi de réaliser des études puissantes avec un nombre réduit d'échantillons.
Services:
RépondreSupprimer-Échantillons d'ADN
-Données génotypiques
http://www.genomequebec.com/biobanque-genizon/
L’Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’IA et du numérique (OBVIA) annonce la création, avec le soutien des Fonds de recherche du Québec (FRQ), d’un comité spécial de chercheur(e)s qui sera chargé d’évaluer les effets que les systèmes d’intelligence artificielle (IA) et les outils numériques déployés pour lutter contre la propagation de la COVID-19 pourraient avoir sur nos sociétés.
La directrice de l’OBVIA, Lyse Langlois, croit que l’urgence de trouver des solutions pour enrayer la pandémie de COVID-19 aura pour effet d’accélérer le recours aux technologies et à l’IA. Or, tant les acteurs de la santé ou des sciences humaines et sociales que ceux de l’informatique ou de l’IA devraient être associés à la conception et au déploiement de ces nouveaux outils. Seul un travail fortement interdisciplinaire permettra en fin de compte d’assurer que l’IA et le numérique produisent les résultats attendus par les citoyens et les gouvernements.
https://observatoire-ia.ulaval.ca/annonce-covid-19/
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/10/quebec-covid19-banques-dadn-biobanque.html
SupprimerIls en ont RIEN A FOUTRE si vous avez respiré des milliards de milliards de milliards de microbes ou de virus depuis ce matin et encore plus depuis votre naissance ! Ce qu'ils veulent c'est obtenir votre ADN, votre nom et adresse et n° de téléphone.
Désormais vous êtes pisté(e).
Les 'test PCR' répertorient LES milliards de microbes ou de virus qui circulent dans votre organisme. Ils décident que ''Allez, disons... une dizaine !'' de nano-particules pouvant être des microbes ou des virus (inoffensives !) et vous cataloguent dans la très très longue liste (7 milliards !) de terroristes qui osent marcher sur Terre, bouffer de l'herbe et incendier des forêts ! Hahahaha !
Si nous peignons toutes nos villes en blanc, aurons-nous plus de neige ?
RépondreSupprimerOctober 24th, 2020
Certaines étincelles brillantes ont trouvé un moyen de rendre la peinture blanche plus réfléchissante, ce qui réduira les coûts de refroidissement (mais augmentera vraisemblablement les coûts de chauffage en hiver). En théorie, cela refroidira le monde, arrêtera les tempêtes et sauvera les tortues.
Une fois, quand nous étions riches, nous pouvions nous permettre d'avoir des couleurs sur nos bâtiments et de les chauffer ou de les refroidir aussi.
Vraisemblablement, cela sera également bon pour l'industrie des lunettes de soleil. Espérons que cela ne causera pas plus d’accidents de voiture.
Changement climatique: la «peinture de refroidissement» pourrait réduire les émissions des bâtiments
Matt McGrath, BBC
Un nouveau type de peinture blanche a le potentiel de refroidir les bâtiments et de réduire la dépendance à la climatisation, selon les chercheurs.
Dans une étude, le nouveau produit a pu refléter 95,5 % de la lumière du soleil et réduire les températures de 1,7 ° C par rapport aux conditions de l'air ambiant.
Les ingénieurs impliqués disent que l'impact est obtenu en ajoutant des particules de carbonate de calcium de différentes tailles.
Je me demande quand la prochaine étude montre qu’un groupe de gratte-ciel réfléchit la lumière blanche loin d’eux-mêmes et vers d’autres gratte-ciel, augmentant ainsi leurs coûts de refroidissement.
http://joannenova.com.au/2020/10/if-we-paint-all-our-cities-white-will-we-get-more-snow/
SupprimerAttention aux petites lignes écrites sur la boite de peinture !
Il y a 'PEINTURE BLANCHE pour réfrigérateurs' et 'PEINTURE BLANCHE pour appareils de chauffage électrique' !! Hahahaha !
Donc: achetez de la peinture à 'caméléon'.
Les militants pour le climat, horrifiés, le transport maritime mondial sera autorisé à se développer
RépondreSupprimer23 octobre 2020
Les militants pour le climat sont contrariés par le fait que les objectifs climatiques recommandés par l’Organisation maritime internationale des Nations Unies ne comprennent pas l’obligation de réduire les émissions globales de gaz carbonique.
Les militants critiquent l'accord mondial sur les émissions de carbone du transport maritime
Les groupes verts disent qu'un accord permettra aux émissions de continuer à augmenter au cours de la prochaine décennie
Fiona Harvey Correspondante Environnement
Sam 24 oct.2020 03.32 AEDT
Les gouvernements ont rejeté les appels à une réglementation plus stricte de la navigation internationale, se contentant de nouvelles règles sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre qui, selon les militants, mettront en péril les objectifs climatiques de Paris.
L'Organisation maritime internationale (OMI), l'organisme des Nations Unies qui réglemente le transport maritime international, a convenu vendredi après une réunion en ligne d'une semaine de rendre un objectif existant juridiquement contraignant: réduire l'intensité en carbone du transport maritime de 40 % par rapport aux niveaux de 2008 dans le les 10 prochaines années.
Les conclusions, auxquelles sont parvenus des ministres du monde entier malgré les appels du Royaume-Uni, d’Irlande, de Nouvelle-Zélande et d’autres à des restrictions plus strictes des émissions, seront transmises au comité de protection du milieu marin de l’OMI pour acceptation le mois prochain.
Les militants ont déclaré que l'accord permettrait aux émissions de gaz carbonique provenant du transport maritime de continuer à augmenter au cours de la prochaine décennie, malgré les avertissements des scientifiques selon lesquels les émissions mondiales doivent être fortement réduites au cours de cette période.
…
En savoir plus: https://www.theguardian.com/environment/2020/oct/23/green-groups-condemn-proposals-to-cut-shipping-emissions
Je ne peux m'empêcher de penser que les organisations internationales de transport maritime manquent une occasion de renverser la situation sur les militants du climat.
L'une des rares propositions de géo-ingénierie qui semble peu susceptible de tuer des gens consiste à ensemencer l'océan avec de l'oxyde de fer. Le fer est le principal nutriment limitant pour la vie végétale microscopique sur de vastes étendues d'océan. Même quelques tonnes de fer supplémentaires livrées à la surface de l'océan pourraient faire une différence significative dans la croissance des algues sur une vaste zone.
Si les navires pouvaient injecter de petites quantités de fer de basse qualité bon marché dans leur échappement, soit comme micro-additif de carburant, soit via un mécanisme pour injecter de l'oxyde en poudre dans leur flux d'échappement, ou même simplement jeter quelques sacs d'oxyde de fer sur le côté pendant qu'ils voyages, ils seraient bien placés pour affirmer que leurs activités constituaient un avantage climatique net.
https://wattsupwiththat.com/2020/10/23/climate-campaigners-horrified-global-shipping-will-be-allowed-to-grow/
Porte-containers à voile ou à rames ? HAHAHAHA !
SupprimerHeureusement tous les gaz se recyclent (depuis toujours, sans quoi la vie ne serait même pas apparue sur Terre.)
La récolte mondiale de blé se dirige vers un nouveau record
RépondreSupprimer23 octobre 2020
Republié à partir de Not A Lot Of People Know That.
Par Paul Homewood
Vous ne verrez pas cela rapporté par Roger Harrabin!
L'AMÉLIORATION des perspectives de rendement en fin de saison dans la grande Europe et en Australie a augmenté l'estimation de la production mondiale de blé de 5,9 millions de tonnes (Mt) par rapport à l'estimation précédente du système d'information sur les marchés agricoles (AMIS) publiée le mois dernier.
Cette hausse a été compensée par une baisse totale de 1 Mt des projections au Canada et en Argentine.
- voir cadre sur site -
Tableau 1. Projections mondiales de blé de la FAO AMIS en millions de tonnes. Les nombres sur chaque deuxième ligne sont du monde à l'exclusion de la Chine. Source: FAO AMIS
L'augmentation nette de 4,8 Mt porte les prévisions pour la récolte mondiale de blé 2020-2021 à un record de 764,9 Mt, dépassant de quelques millions de tonnes les records précédents établis en 2019-20 et 2017-18 (graphique 1).
Les révisions à la hausse de ce mois incluent l’Australie et l’UE, toutes deux en hausse de 2,2 millions de tonnes par rapport à l’estimation du mois dernier, une augmentation de 1 million de tonnes pour la Fédération de Russie et l’Ukraine en hausse de 500 000 tonnes.
L'utilisation en 2020-2021 devrait croître à un rythme légèrement plus rapide que prévu précédemment, soutenue par une utilisation plus forte des aliments pour animaux en Chine.
Conditions généralement favorables
En Argentine, les conditions sont mitigées, les pluies récentes dans le sud améliorant les conditions. Cependant, dans les régions du nord et de l'ouest, les conditions de récolte sont mauvaises et pour la plupart irréversibles en raison d'une sécheresse prolongée tout au long de la saison.
- voir cadre sur site -
Calendrier des cultures AMIS GEOGLAM. La légende ci-dessous indique les phases et activités critiques pendant la saison.
En Australie, les conditions sont généralement favorables à l'exception du Queensland qui a connu une sécheresse persistante et de l'Australie occidentale après un septembre sec.
En revanche, la Nouvelle-Galles du Sud présente des conditions exceptionnelles avec une expansion de la superficie ensemencée.
- voir cadre sur site -
Au Canada, la récolte de blé de printemps progresse dans des conditions favorables avec des rendements légèrement supérieurs à la moyenne attendus.
Dans l'UE, les semis de blé d'hiver ont commencé dans des conditions généralement favorables, sauf en France et en Roumanie où la sécheresse de l'été persiste.
En Fédération de Russie, la récolte du blé de printemps se termine dans des conditions favorables. Les semis de blé d'hiver progressent dans des conditions sèches, en particulier dans le sud, ce qui freine l'émergence et il faut davantage de précipitations avant la dormance hivernale.
En Ukraine, les semis de blé d'hiver commencent dans des conditions mitigées en raison de la sécheresse dans une grande partie du pays, qui retarde les semis pour une grande partie de la récolte.
Aux États-Unis, les semis de blé d'hiver se poursuivent dans des conditions favorables.
https://wattsupwiththat.com/2020/10/23/world-wheat-crop-heads-for-new-record/
Renaud Muselier envoie une lettre incendiaire sur l’hydroxychloroquine à Olivier Véran
RépondreSupprimer16:09 24.10.2020
Par Ekaterina Bogdanova
«Cette décision est révoltante à plus d'un titre». Le président LR de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, Renaud Muselier, a envoyé une lettre à Olivier Véran après que l'Agence nationale de sécurité du médicament a retiré l'autorisation d'utiliser l'hydroxychloroquine à l'institut du professeur Raoult, selon Le Figaro.
Réagissant à la décision de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) de refuser une demande de Didier Raoult visant à utiliser l’hydroxychloroquine même à titre exceptionnel, Renaud Muselier s’est adressé au ministre de la Santé dans un courrier «au vitriol» le 23 octobre, écrit Le Figaro qui révèle son contenu.
«Cette décision est révoltante à plus d'un titre. À partir de lundi, les équipes de cet institut exceptionnel ne pourront plus soigner les patients selon le protocole appliqué depuis mars 2020. Est-ce à dire que vous choisissez de priver des médecins de faire leur devoir, de soigner leurs patients ?», interroge le président LR de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Médecin de profession, il rappelle également au ministre que les médecins de l'IHU «ont prêté le serment d'Hippocrate comme les autres» et «ont fait plus de 10 ans d'études comme les autres».
«En totale contradiction avec les principes fondamentaux de la médecine»
Renaud Muselier y souligne aussi l'histoire de l'IHU et quelques éléments chiffrés des actions locales de l’institut contre le coronavirus.
«Depuis le début de la crise, 8.990 patients ont été suivis à l'IHU, dont 5.807 ont été traités avec le protocole Hydroxychloroquine/Azythromicine, pour 30 patients décédés. 155.000 personnes ont été testées depuis le début de la crise, ce qui fait de Marseille l'un des plus grands sites de dépistage d'Europe, pour la première vague», poursuit-il. Et de demander:
«Allez-vous laisser cette agence décider des soins prodigués dès lundi par des praticiens hospitaliers, des professeurs de médecine dépendant de la Faculté de médecine de Marseille, nommés par le Ministère, et ceci en totale contradiction avec les principes fondamentaux de la médecine ?».
Joint par Le Figaro, M.Muselier a confirmé son intention de mener ce combat «jusqu'au bout».
RépondreSupprimer«Elle est comme neuve»
Dans un entretien à Paris-Match, Renaud Muselier a remercié le 22 octobre Didier Raoult qui, selon lui, a sauvé sa mère de 93 ans soignée dans son service.
«Didier Raoult est mon ami et le restera, c’est un grand professeur. Il a toujours ma confiance», dit-il, ajoutant que «cette semaine, il vient de sauver ma mère qui a attrapé la Covid à 93 ans. Elle a été hospitalisée dans son service et elle est comme neuve».
Le professeur se voit refuser l’usage exceptionnel de l’hydroxychloroquine
L’ANSM a refusé une demande de Didier Raoult sur l’utilisation de l'hydroxychloroquine, même sans autorisation de mise sur le marché. L’infectiologue a réagi, dénonçant le «deux poids, deux mesures» de l’organisme vis-à-vis de l'hydroxychloroquine et du remdésivir.
https://fr.sputniknews.com/france/202010241044626588-renaud-muselier-envoie-une-lettre-incendiaire-sur-lhydroxychloroquine-a-olivier-veran/
SupprimerPriver des patients d'être soignés et guéris EST UN MEURTRE !
Surtout que les terroristes n'ont JAMAIS fait d'études scientifiques !
Biden déclare la fin du pétrole
RépondreSupprimerPar Peter Murphy
23 octobre 2020
Lors du deuxième et dernier débat présidentiel, l'ancien vice-président Joe Biden a tout mis sur l'extrémisme du changement climatique. Il a promis de mettre effectivement l’industrie pétrolière américaine à la faillite et a déclaré que la Terre était confrontée au point de non-retour dans «huit à dix ans».
Le président Donald Trump et même la modératrice libérale, Kristen Welker de NBC News, ont saisi l'importance.
M. Biden a dit: «Je ferais la transition loin de l'industrie pétrolière, oui», en réponse à la question de Trump «Fermeriez-vous l'industrie pétrolière?»
Le président Trump a noté la gravité de sa position, "C'est une grande déclaration." Biden a accepté, et l'a justifié en affirmant: «nous devons nous diriger vers des émissions nettes nulles».
Au début de la discussion sur le climat, M. Biden a déclaré que le changement climatique «est une menace existentielle» pour l'humanité, et que la Terre fait bientôt face au point de basculement proverbial, après quoi, vraisemblablement, nous ne pouvons rien faire pour éviter une catastrophe planétaire. Ne voudriez-vous pas mettre fin aux combustibles fossiles et jeter des millions de personnes au chômage et détruire l’économie américaine pour essayer de sauver les humains de la surchauffe et / ou de l’inondation en trois décennies d’une planète en surchauffe et de la fonte des icebergs ? Comme Biden le dirait dans d’autres contextes, "Allez mec !"
L'alarmisme planétaire n'est pas nouveau. C'est une hystérie familière avec une longue histoire frauduleuse racontée par de nombreux vendeurs (et femmes) d'huile de serpent.
Marc Morano de Climate Depot a documenté de telles prédictions de huckster remontant à l'époque de la guerre civile des années 1860. Les fausses déclarations de fin du monde qui ne se sont pas réalisées au cours des 150 dernières années n’ont malheureusement pas empêché les gens de faire plus. Al Gore, un exemple éminent des temps modernes, s'est enrichi en faisant des prédictions apocalyptiques planétaires au cours des trois dernières décennies. M. Biden a poursuivi cette tradition douteuse et les siennes sont aussi fausses aujourd'hui qu’elles l’ont été depuis le début.
Le président Trump au cours du débat a présenté un contraste clair avec l'extrémisme climatique de Biden. Trump a embrassé l'indépendance énergétique de l'Amérique et l'hydro-fracturation du gaz naturel, ce qui a réduit les émissions globales de carbone. Il a également soutenu l'énergie solaire tout en reconnaissant l'évidence qu'elle ne peut pas remplacer les combustibles fossiles. Le président a en outre rejeté l'énergie éolienne comme nocive pour les oiseaux et fortement dépendante d'autres sources d'énergie (combustibles fossiles) pour sa fabrication et son fonctionnement.
Ce dernier débat présidentiel a offert aux Américains un avant-goût des implications de l'extrémisme climatique. C’est une chose de reconnaître le réchauffement général au cours des 150 dernières années depuis la fin du petit âge glaciaire. Cela ne présage cependant pas la disparition de la planète. Pendant trop longtemps, les politiciens, les militants et les pseudo scientifiques ont affirmé cette «menace existentielle» abstraite du réchauffement planétaire / changement climatique sans présenter une base scientifique crédible pour de telles affirmations. La modélisation informatique ne suffit pas, car les variables climatiques sont bien plus compliquées et imprévisibles.
RépondreSupprimerAu cours de chacun des trois débats, ni Biden ni son V.P. Son colistier, le sénateur Kamala Harris, a été invité à fournir des détails scientifiques qui justifient l'extinction humaine à venir et la justification de milliards de dollars de nouvelles dépenses, mettant fin à l'industrie pétrolière et détruisant des millions de cols bleus et d'emplois de la classe moyenne. Il ne suffit pas non plus de revendiquer un «consensus scientifique» inexistant sur ces questions climatiques.
D'un point de vue politique, Biden tente d'enfiler une aiguille en maintenant son étreinte de l'alarmisme climatique pendant les primaires démocrates tout en basculant vers une position pro-fracking aux élections générales pour gagner des États du champ de bataille. Alors que Biden continue ses affirmations apocalyptiques sur la planète et réitère son plan pour mettre fin à l'industrie pétrolière, il insiste sur le fait qu'il n'interdira pas l'hydro-fracturation, bien qu'il ait fait de tels engagements à plusieurs reprises pendant la campagne pour l'investiture démocrate à la présidence. Son dernier pivot sur la fracturation est une tentative malhonnête de gagner la Pennsylvanie, un grand État du champ de bataille pro-fracturation, et est totalement incompatible avec son perroquet de l'alarmisme climatique de l'extinction humaine d'une planète en réchauffement.
M. Biden a déclaré au cours du débat qu’il n’était pas le sénateur Bernie Sanders; qu'il l'a vaincu aux primaires. Cependant, ses affirmations alarmistes sur le changement climatique sont les mots exacts de Bernie. L'imitation est la forme la plus sincère de flatterie, car Biden a embrassé l'extrémisme climatique dans les recommandations du «Groupe de travail de l'unité», qui sont le produit du travail du sénateur Sanders et de son collègue extrémiste climatique, la députée Alexandria Ocasio-Cortez.
Le sénateur Joe Biden, âgé de 36 ans, aux racines ouvrières du Delaware n'a jamais été associé à un tel extrémisme vert. Cela a radicalement changé, comme en témoignent ses promesses électorales et les débats.
Les politiques relatives au changement climatique font partie des nombreux problèmes que les électeurs américains doivent régler à l'approche du jour des élections. Le dernier débat présidentiel d’hier soir a de nouveau révélé le contraste entre les candidats.
https://www.cfact.org/2020/10/23/biden-declares-end-to-oil/
Les éoliennes pèsent terriblement sur les oiseaux
RépondreSupprimerPar Vijay Raj Jayaraj
23 octobre 2020
Il y a un récit sur les éoliennes que nous entendons si souvent: les éoliennes sont propres et vertes, et elles nous aident à lutter contre le changement climatique grâce à une production d'énergie sans émissions.
Tout ce qui est contraire à ce récit peut sembler faux, en particulier après la promotion implacable du récit par les médias grand public au cours de la dernière décennie.
En tant que jeune écologiste de terrain, j’ai vu et étudié les mortalités par collision d’oiseaux dans la zone de protection spéciale la plus sereine pour la conservation des oiseaux à Alentejo, au Portugal. Ma thèse de maîtrise consistait à évaluer la mortalité par collision des oiseaux avec des structures artificielles (en particulier les lignes électriques et les clôtures), ce qui m'obligeait à faire des études détaillées sur la sensibilité des oiseaux aux structures artificielles et l'impact ultérieur sur la reproduction, la migration et la survie globale.
Pour moi, et pour de nombreux autres défenseurs de la faune, ce n'est pas une surprise d'entendre parler des éoliennes tuant des oiseaux. Cependant, dans un monde où l'énergie éolienne est présentée comme le sauveur, beaucoup ne sont pas prêts à accepter ce sale fait concernant les éoliennes.
Mais il est temps de reconnaître que le vent (énergie) n'est pas vert et propre. Cela peut sembler absurde ou choquant pour certains lecteurs, mais c'est la réalité et les faits confirment cette indéniable vérité.
L'évident encore inconnu: les éoliennes tuent les oiseaux
Les défenseurs de la faune détestent les éoliennes pour leur rôle tristement célèbre de tueur d'oiseaux, un fait qui est très rarement mentionné dans les médias.
Les lobbies pro-renouvelables soutiennent qu'il existe de nombreuses causes de mortalité des oiseaux et que la contribution à la mortalité des éoliennes est assez insignifiante. Cependant, les personnes qui travaillent sur le terrain pour protéger ces oiseaux - biologistes, défenseurs de l'environnement, écologistes de la faune et organisations à but non lucratif - ne sont pas d'accord avec cet argument.
Selon les experts, les éoliennes posent un risque important pour les oiseaux, en particulier pour les grands rapaces, les oiseaux de proie et autres oiseaux migrateurs en plein essor. Même dans un habitat de très haute qualité, les éoliennes provoquent des augmentations disproportionnées de la mortalité par collision. Outre les blessures directes et les décès, les turbines des parcs éoliens entraînent également une perte d'habitat fonctionnel pour les oiseaux migrateurs en plein essor, entraînant des dommages importants aux troupeaux.
Aux États-Unis, le gouvernement est bien conscient du potentiel des éoliennes à tuer des oiseaux en grand nombre. À tel point que les exploitants éoliens se sont vu attribuer des quotas de mise à mort d'oiseaux qui indiquent le nombre d'oiseaux que l'exploitant éolien est autorisé à tuer en un an.
C'est un fait si bien établi que les chercheurs ne se demandent plus si les éoliennes tuent ou non. Ils se sont penchés sur la manière de minimiser ces décès et de trouver des solutions pour des moyens plus efficaces de calculer les taux de mortalité par collision. Des pays comme l'Inde prévoient même d'introduire des lignes directrices pour protéger les oiseaux des éoliennes.
RépondreSupprimerUne étude de 2019 a estimé que les éoliennes affectent la vie et l'habitat d'environ 150 000 oiseaux aux États-Unis chaque année. Mais les chiffres ne feront qu'augmenter, car davantage d'éoliennes seront installées aux États-Unis (la capacité d'énergie éolienne installée aux États-Unis a doublé de 2012 à 2020). L'American Bird Conservancy prédit que si 20 % de l'électricité du pays provient de l'énergie éolienne, elle tuera potentiellement au moins un million d'oiseaux par an d'ici 2030.
Il en a été de même dans d’autres parties du monde. Une étude sur 125 éoliennes en Éthiopie a révélé qu'elles étaient responsables de la mort d'au moins 35 espèces d'oiseaux différentes. Une étude similaire de 4 ans dans un parc éolien sud-africain a révélé que 130 espèces différentes avaient été tuées dans le parc éolien, avec un potentiel de tuer 50 autres espèces dans les années à venir. Parmi les personnes tuées se trouvaient deux espèces endémiques d'Afrique du Sud: les vautours du Cap et les Harriers noirs.
L'Allemagne, qui abrite la moitié de la population reproductrice mondiale de cerfs-volants rouges, est témoin d'une mortalité par collision très élevée des cerfs-volants rouges. En Espagne, les études de mortalité par collision entre 1993 et 2003 ont prouvé qu’il n’y avait «pas de changement temporel à long terme dans les réactions des oiseaux aux parcs éoliens, ce qui implique que les oiseaux ne se sont pas habitués à la présence d’éoliennes». Cela signifie que les parcs éoliens constitueront une menace existentielle pour les oiseaux jusqu'à ce qu'ils soient mis hors service et retirés.
Certains ont suggéré que les éoliennes pourraient être arrêtées chaque fois que des volées d'oiseaux les approchent, réduisant ainsi la mortalité par collision. Cependant, de nouvelles études révèlent que le risque de mortalité par collision avec les oiseaux par les éoliennes reste le même, que les pales bougent ou non.
Les parcs éoliens tuent aussi dans les mers
Une étude récente sur les parcs éoliens en mer (ceux en mer) a révélé que 1. Les parcs éoliens agissent comme un stimulus visuel, qui peut ou non entraîner une réponse d'évitement, 2. Pourrait entraîner une perte / modification ou un gain d'habitat physique, et 3. Provoque une mortalité par collision.
L'étude a conclu que «les parcs éoliens individuels peuvent avoir des effets mineurs sur l'environnement, mais collectivement, bon nombre de ces développements, en particulier répartis pour affronter les individus d'une population aviaire migratrice sur toute la longueur de son couloir de migration, peuvent avoir un effet significatif. Cet effet peut être bien plus important que la somme des différentes parties agissant seules, surtout si elles contribuent négativement à la forme physique de nombreuses personnes. »
La semaine dernière, la RSPB, la plus importante organisation de conservation d’Europe qui se consacre à la protection des oiseaux depuis 1889, a exprimé des inquiétudes quant à la proposition du gouvernement britannique d’agrandir les éoliennes offshore.
Gareth Cunningham, le principal responsable de la politique maritime du RSBP, a déclaré: «Les zones propices au développement de parcs éoliens sont également des zones d'alimentation pour ces oiseaux marins. Ils pourraient également servir de barrière en terme d'impacts visuels. Les oiseaux de mer voleront autour des parcs éoliens dans les zones d'alimentation afin qu'ils dépensent plus d'énergie et, pendant la saison de nidification, passeront plus de temps loin du nid. En fin de compte, cela augmente les chances qu'un poussin meure de faim, et nous constatons donc une réduction du nombre de poussins qu'ils ont chaque année.
RépondreSupprimerArrêtez de nier et commencez à agir: fermez les parcs éoliens
Les médias grand public peuvent nier le sang sur les lames, mais c'est un danger toujours présent pour les efforts de conservation, en particulier pour les espèces qui sont importantes pour la conservation.
Les vrais amoureux de la nature, et ceux qui soutiennent sans réserve les efforts de conservation pour sauver les oiseaux, tiendront compte des avertissements du scientifique. Ils défendront la protection des oiseaux et condamneront la promotion désordonnée de l'énergie éolienne en tant que source d'énergie propre malgré leurs antécédents avérés de tuer des oiseaux.
Il est temps que nous, en tant que société, affrontions les vérités incommodes et incontournables concernant les éoliennes. La solution est cependant plus simple que nous ne le pensons: comme le disent les scientifiques, gardez les habitats des oiseaux et les routes migratoires exempts de développements éoliens.
https://www.cfact.org/2020/10/23/wind-turbines-take-a-terrible-toll-on-birds/
Mythes et réalités liés à la «catastrophe» climatique
RépondreSupprimerPar le Dr Jay Lehr, Carl Langner
21 octobre 2020
Ceux d’entre nous qui rejettent l’idée que l’humanité contrôle le thermostat de la Terre le font pour de nombreuses raisons. À ce jour, il n'existe aucune preuve physique permettant d'établir un lien entre la croissance régulière du gaz carbonique à partir des années 1950 et le record erratique de la température atmosphérique qui remonte aux années 1850. Il n'y a pas eu non plus d'accélération dans l'historique des fréquences ou intensités des tempêtes, des sécheresses, des inondations, des incendies de forêt, des extinctions d'espèces et de tout le reste de la propagande non soutenue annoncée quotidiennement dans les médias. Les océans montent, mais à un rythme constant de 7 pouces par siècle.
Il est plus logique de supposer que les températures de la Terre sont le résultat de causes naturelles, comme cela a toujours été le cas avant même que l’homme ou les animaux ne marchent sur la Terre. Nous savons que nous rebondissons après une petite période glaciaire qui s'est terminée à peu près au moment où Washington combattait près de Valley Forge. Ce réchauffement a provoqué la libération de gaz carbonique des océans, responsable du verdissement de la Terre au cours des dernières décennies. Pour mémoire, le réchauffement total de l'atmosphère depuis 1880 a été d'environ un degré centigrade, contrairement aux prévisions d'une augmentation de 3 à 4 degrés par les modèles informatiques soutenus par les Nations Unies.
La raison évidente pour laquelle les idées déformées mentionnées ci-dessus sont si répandues est que plus d’un milliard de dollars par jour sont dépensés dans le monde pour promouvoir les efforts visant à arrêter le changement climatique, indépendamment de l’incapacité de l’homme à le faire. Une grande partie de cet argent est dépensée pour tenter d'arrêter l'utilisation des combustibles fossiles qui, si jamais atteints, détruiraient la civilisation telle qu'on la connaît aujourd'hui, sauf dans les pays les plus pauvres.
Les principales raisons pour lesquelles le climat de la Terre a continué à changer pendant des milliards d'années sont: les variations du rayonnement solaire, les variations de l'orbite et de l'inclinaison de la Terre, les variations de la couverture nuageuse, les oscillations des courants océaniques, le volcanisme, la dérive des continents et de nombreuses autres variables mal comprises. facteurs. Il est incrédule que notre gouvernement dépense des milliards de dollars de vos impôts pour essayer de fixer le thermostat de la Terre avec quelques variables mineures introduites dans des modèles informatiques mathématiques qui n’ont jamais donné ni ne donneront jamais de réponses sensées.
Avant la révolution industrielle qui a commencé au début des années 1800, la température était aussi irrégulière qu'aujourd'hui avec de nombreuses périodes au cours des 12000 dernières années plus chaudes qu'aujourd'hui. L'alternance de périodes froides rendait vraiment la vie plus difficile avec des espérances de vie inférieures à 30 ans jusqu'à ce que les combustibles fossiles viennent alléger le fardeau de l'homme. Maintenant, dans toutes les régions du monde, la durée de vie a dépassé 70 ans, quel que soit le climat. Au lieu de terribles catastrophes prédites par les militants écologistes, l'humanité prospère.
La flambée du réchauffement climatique qui avait été prédit ne s'est jamais produite, il a donc été rebaptisé changement climatique où les militants ne pourraient jamais se tromper car le climat et le temps changent constamment. Ils avaient terriblement tort sur le réchauffement. Selon l'Agence nationale océanographique et atmosphérique, la décennie la plus chaude jamais enregistrée a été les années 1930. Les registres de la NOAA montrent que 23 records d'état à haute température ont été établis dans les années 1930 alors que seuls deux records d'état à haute température ont été établis au cours des 20 dernières années.
RépondreSupprimerEt pourtant, la véritable apocalypse n'est pas le réchauffement climatique, c'est l'élimination des énergies fossiles et du nucléaire, qu'il faut éviter à tout prix ou nous devrons abandonner notre mode de vie même. Sans ces carburants, l’agriculture moderne et les services de livraison de nourriture ne pourront plus nourrir la population mondiale. Ni les éoliennes, ni les panneaux solaires, ni les énormes batteries nécessaires pour alimenter ces sources intermittentes, ni rien en béton ou en acier ou de nombreux autres matériaux, ne peuvent être fabriqués sans combustibles fossiles.
Mais n'ayez pas peur des matériaux ou des processus vitaux qui résultent de fanatiques de l'environnement ou d'une mauvaise attitude politique. En réalité, toute réduction significative des combustibles fossiles aura pour effet une augmentation des coûts énergétiques, suivie d'une flambée des prix de tous les produits que nous utilisons, y compris la nourriture, l'eau, les transports et le logement. Toute administration tentant de telles compressions sera confrontée aux protestations de l'ensemble de la population souhaitant retrouver leur confort. Ces effets inévitables se sont déjà produits dans plusieurs pays européens et en Australie alors qu'ils tentaient de réduire les combustibles fossiles et nucléaires. Peu d'entre nous désirent vivre sans nos I-Phones ou nos livraisons Amazon, il sera donc amusant de voir les écologistes se vanter de fonctionner sans carburants à base de carbone dans les décennies à venir alors que leur vie s'écroulera autour d'eux.
En réalité, dans le monde, une centrale éolienne ou solaire n'a jamais et ne pourra jamais remplacer une centrale électrique au charbon ou au gaz, mais doit toujours rester un appendice parasite au réseau électrique. En raison de l'intermittence, les centrales éoliennes ou solaires ne créent que des sursauts d'électricité irréguliers, ce qui exerce une pression sur le réseau, un réseau qui doit maintenir une tension et une fréquence stables, même les jours nuageux et sans vent. Cela ne peut être accompli qu'en complétant l'énergie éolienne ou solaire intermittente par de l'énergie électrique provenant de sources de combustibles fossiles capables de changer rapidement de puissance.
Une autre folie concernant le vent et le solaire sont les zones dont ils ont besoin pour produire les mêmes 1000 mégawatts dérivés d'une centrale électrique à combustibles fossiles typique occupant moins d'un mile carré de terrain. Un parc éolien comparable comprend plus de 3000 turbines et nécessite plus de 200 miles carrés (51800 ha) de superficie. Une ferme solaire équivalente nécessiterait des millions de panneaux couvrant environ la moitié de cette superficie.
Les fanatiques des énergies renouvelables affirment que les batteries à l'échelle industrielle résoudront les problèmes d'intermittence en stockant l'énergie des parcs éoliens et solaires, puis en restituant un flux constant d'électricité au besoin. Les batteries avec une capacité suffisante pour ce faire sont maintenant et seront toujours inabordables. Cela inclut même les batteries Tesla d'Elon Musk qui sont prévues pour une immense installation solaire près de Las Vegas. Certaines de ces batteries sont déjà installées par les services d'électricité à travers le pays à une plus petite échelle. Gardez les yeux ouverts pour les futures baisses de tension et les pannes d'électricité résultant de ces projets douteux.
RépondreSupprimerNous avons couru quelques chiffres sur le désir du Colorado d'être un État entièrement renouvelable, exigeant la fermeture de toutes les centrales électriques alimentées au charbon et au gaz. Avec une population de 6 millions d'habitants, le Colorado nécessiterait 5,6 mégawattheures de stockage sur batterie, ce qui coûterait plus d'un billion de dollars, soit environ 167 000 dollars par personne. En supposant le stockage de batteries pour une famille de quatre personnes, en utilisant des batteries Tesla devant être remplacées tous les dix ans, le coût des batteries à lui seul approcherait celui d'une hypothèque sur une maison de 2 millions de dollars. Les suppléments d'énergie solaire avec des subventions du gouvernement peuvent réduire le coût de l'énergie pour certains propriétaires dans certaines régions, mais être totalement hors réseau est soit coûteux, soit sans de nombreux équipements.
L'un des principaux facteurs affectant la hausse des prix de l'électricité et les factures de services publics plus élevées est l'utilisation accrue des énergies renouvelables subventionnées. Les coûts d'exploitation du charbon et de l'énergie nucléaire se situent traditionnellement entre 2 et 3 cents le kilowattheure (kWh) et le gaz naturel entre 3 et 10 cents le kWh, tandis que l'énergie éolienne subventionnée par le gouvernement se situe entre 15 et 25 cents le kilowattheure.
Depuis que l'Allemagne est devenue largement dépendante des sources éoliennes et solaires, les tarifs énergétiques moyens sont passés à plus de 35 cents le kWh, contre des tarifs américains de 10 à 13 cents. À moins que les marchés libres ne soient à nouveau autorisés à gouverner nos industries énergétiques, nous pouvons nous attendre à ce que nos prix de l'énergie doublent et triplent également dans les années à venir sous toute administration fédérale qui promeut les énergies renouvelables.
Aujourd'hui, 29 États américains et le district de Columbia ont des mandats d'énergie renouvelable conçus pour forcer les services publics à acheter certains pourcentages spécifiés de leur électricité à partir de sources d'énergie renouvelables. C'est tout sauf un marché libre de l'énergie. Selon l'US Energy Information Administration, les États ayant des mandats renouvelables ont des prix de l'électricité en moyenne 26 % plus élevés que ceux qui n'en ont pas. Combien paierions-nous de plus si les sources renouvelables devenaient la seule source de notre électricité ?
Le charbon, le pétrole et le gaz naturel ont été les principaux choix de combustibles, en particulier pour les pays en développement. La consommation mondiale de combustibles fossiles a doublé entre 1980 et 2015 et a été multipliée par plus de cinq en Chine et en Inde. Pendant ce temps, au lieu des terribles catastrophes climatiques prévues, l'espérance de vie a augmenté de 15 % (de 65 à 75 ans) en Chine et de 34 % (de 49 à 66 ans) en Inde; le revenu mensuel a augmenté de 1500 % en Chine et de 400 % en Inde. Les taux de mortalité infantile ont diminué de 70 % en Chine et de 58 % en Inde, et la malnutrition a chuté de 40 % dans les deux pays au cours de cette même période de 35 ans d'utilisation accrue de combustibles fossiles abondants et abordables.
RépondreSupprimerSurprise, toutes les principales mesures de la pollution de l'air et de l'eau aux États-Unis ont diminué au cours de cette période. Tous ces chiffres avantageux sont directement liés à la disponibilité d'une énergie bon marché à partir de combustibles à base de carbone. Le dioxyde de carbone a continué d'augmenter toute cette période, augmentant les taux de croissance de nos forêts et de nos cultures vivrières tout en n'ayant absolument aucune incidence négative sur notre planète. Il y a plus ! Au cours de la période dont nous discutons, les décès liés au climat ont diminué de 98% pour se rapprocher de zéro. Pourquoi ? Encore une fois, une énergie plus abordable disponible a permis à davantage de personnes d'être secourues et sauvées des incendies, des inondations et des tempêtes, etc., et les hôpitaux sont devenus de plus en plus efficaces. Malheureusement, si M. Biden revendique la présidence des États-Unis, la nation commencera probablement à reculer dans le temps, tout comme l'Europe semble l'avoir fait.
L'exemple de l'Europe est pertinent. En juin 2000, l'Union européenne (UE) a lancé le programme européen sur le changement climatique, qui encourageait la construction de capacités éoliennes et solaires. Les tarifs de rachat ont établi des prix artificiellement élevés pour l'électricité provenant de sources éoliennes et solaires, tandis que les mandats établissaient des priorités pour les énergies renouvelables par rapport aux sources conventionnelles.
Des éoliennes ont été construites et installées par milliers et des panneaux solaires sur le toit par millions, coûtant aux différents gouvernements plus d'un billion de dollars entre 2000 et 2016. Les prix de l'électricité résidentielle ont grimpé en flèche à travers l'Europe, approchant les 40 cents le kWh en Allemagne et au Danemark . Des subventions importantes sont désormais nécessaires pour les énergies renouvelables et conventionnelles afin de maintenir les lumières allumées. La Californie se dirige sur cette voie, peu importe qui revendique la Maison Blanche en novembre, et plusieurs autres États flirtent également avec ces politiques désastreuses anti-combustibles fossiles. Ce sont des moments fous où de brillants ingénieurs allemands se penchent pour se tirer une balle dans le pied. Pouvons-nous être loin derrière ?
https://www.cfact.org/2020/10/21/climate-catastrophe-summary-for-thoughtful-friends/
Demain (s'ils existent encore !) les hôpitaux seront alimentés par 'les énergies gratuites et renouvelables' !
SupprimerUtiliser les micro-ondes pour transformer les déchets plastiques en hydrogène
RépondreSupprimerPar CFACT
20 octobre 2020
Grâce à une attention accrue des médias, le problème de l'augmentation de la «pollution plastique» est devenu une préoccupation environnementale majeure ces dernières années.
La production et l'utilisation sans cesse croissantes de plastiques au cours du dernier demi-siècle ont certainement apporté de nombreux avantages, mais ont également causé des maux de tête. L'un d'eux est de savoir comment s'en débarrasser. Bien qu'une partie soit recyclée et réutilisée, la grande majorité des 4,9 milliards de tonnes de plastiques jamais produits finiront dans des décharges ou seront jetées au sol - et ce nombre devrait augmenter à environ 12 milliards de tonnes d'ici 2050.
Heureusement, certaines options créatives pour traiter les déchets plastiques sont en vue.
L’un d’eux est issu d’un groupe de chercheurs du Département de chimie d’Oxford. Présentant leurs découvertes dans Nature Catalysis, ils ont mis au point une méthode innovante de conversion des déchets plastiques en hydrogène gazeux qui peut être utilisé comme combustible propre, ainsi qu'en carbone solide de grande valeur. Ils ont réussi à utiliser un nouveau type de catalyse qui utilise des micro-ondes sur des particules de catalyseur pour «extraire» efficacement l’hydrogène des polymères.
Comme indiqué dans le University of Oxford News:
«[L] es chercheurs ont mélangé des particules de plastique pulvérisées mécaniquement avec un catalyseur sensible aux micro-ondes d'oxyde de fer et d'oxyde d'aluminium. Le mélange a été soumis à un traitement par micro-ondes et a donné un grand volume d'hydrogène gazeux et un résidu de matériaux carbonés, dont la majeure partie a été identifiée comme des nanotubes de carbone.
Ce processus rapide en une seule étape de conversion du plastique en hydrogène et en carbone solide simplifie considérablement les processus habituels de traitement des déchets plastiques et démontre que plus de 97 % de l'hydrogène contenu dans le plastique peut être extrait en très peu de temps, selon une méthode peu coûteuse avec pas de charge de gaz carbonique. »
La nouvelle technique de l'équipe est considérée comme une solution utile pour lutter contre la pollution par les déchets plastiques - car au lieu d'en accumuler de plus en plus sur nos terres ou dans nos océans, les plastiques pourraient être utilisés comme une matière première précieuse pour amener la société à utiliser davantage l'hydrogène. carburant.
Pour plus d'informations sur l'Université d'Oxford News, cliquez ici:
https://www.ox.ac.uk/news/2020-10-13-turning-plastic-waste-hydrogen-and-high-value-carbons
https://www.cfact.org/2020/10/20/using-microwaves-to-turn-plastic-waste-into-hydrogen/
Le côté sombre de l’interdiction des véhicules à essence du gouverneur Newsom
RépondreSupprimerPar Ronald Stein
19 octobre 2020
Le gouverneur de Californie Newsom s'est convaincu que les véhicules électriques verts fabriqués à partir de «poussière de fée» doivent remplacer ces véhicules à essence sales. Partager quelques réalités du côté le plus sombre de ses croyances de poussière de fée peut faire éclater sa bulle.
Commençons par éliminer certaines des mauvaises nouvelles. Ce qui suit est une liste partielle d'articles dans un véhicule électrique qui proviennent d'hydrocarbures (pétrole et gaz). Astuce - le plastique est fabriqué à partir d'hydrocarbures, mais ce n'est pas le seul produit pétrolier utilisé sur les véhicules électriques. Pneus, courroies, tuyaux, tous les fils électriques sont recouverts de plastique, y compris les fils de batterie, liquide de direction assistée, liquide de frein, antigel, liquide de refroidissement pour la climatisation, liquide de transmission, tous les plastiques dans le compartiment moteur qui sont trop nombreux pour commencer à être listés comme la plupart des moteurs de voitures plus récents sont enveloppés de plastique. Fibre de carbone, fibre de verre, la plupart des ailes, de nombreuses grilles, essuie-glaces, scellants autour des fenêtres et du train de roulement, certains panneaux latéraux et toute la peinture. Volant, panneaux de protection, airbag, tableau de bord, tapis, poignées de porte, interrupteurs, la plupart des parties du siège qui ne sont pas en cuir, console centrale. Je vais m'arrêter ici mais souligner qu'il existe de nombreux composants fabriqués à partir d'huile en plus des 1000 pièces en plastique en moyenne, soit près de 50% du volume d'un véhicule sur un véhicule électrique moyen.
Passons maintenant au côté sombre de la solution EV proposée aux problèmes d’émission dans le monde. Une batterie Tesla Model S est faite de lithium, de cobalt, de nickel et de manganèse et pèse environ 1000 livres par rapport à une batterie plomb-acide standard de 40 à 50 livres trouvée dans la plupart des véhicules à combustion interne.
Le lithium, dont plus de 50% provient du triangle du lithium en Amérique du Sud, qui couvre certaines parties de l'Argentine, de la Bolivie et du Chili. Aujourd'hui, 20% du cobalt est extrait à la main. Amnesty International a documenté des enfants et des adultes qui extraient du cobalt dans d'étroits tunnels artificiels, risquant d'accidents mortels et de maladies pulmonaires graves.
Le cobalt, dont environ 60% provient d'un pays, la République démocratique du Congo (RDC) en Afrique, suivie de la Russie, de Cuba, de l'Australie et des Philippines. Si vous souhaitez devenir déprimé, effectuez une recherche sur Internet pour «Esclavage au cobalt du Congo». Ce cobalt alimente également nos batteries de téléphones portables au lithium-ion, alors ne concentrez pas votre colère uniquement sur les batteries de véhicules électriques. Des enfants aussi jeunes que 6 ans «travaillent» pour environ 65 cents par jour dans des conditions horribles. La Chine y gère de nombreuses mines et usines industrielles.
Les principaux pays producteurs de nickel sont l'Indonésie, les Philippines, la Russie, la Nouvelle-Calédonie et l'Australie. Les États-Unis ont des gisements de nickel minimes. Le nickel est extrait en bandes puis raffiné à très haute température et lessivé et traité avec de l'acide sulfurique ou de l'ammoniac.
Le manganèse est l'un des principaux matériaux utilisés pour les murs électriques de Tesla et le principal composant des autres batteries de véhicules électriques. Les principaux pays producteurs de manganèse sont l'Afrique du Sud, l'Australie, la Chine, le Gabon et le Brésil. Tous ces métaux sont extraits et raffinés à très haute température à partir de fours principalement alimentés au charbon. À l'exception de l'Australie, je vous demande à nouveau de considérer dans quelle mesure ces pays sont respectueux de l'environnement.
RépondreSupprimerLes images des dégâts écologiques sont époustouflants, mais les dégâts humains sont bien pires.
Les humains utilisent des métaux depuis au moins 6000 ans avant JC, où des fours de poterie néolithiques ont été découverts qui fondaient l'étain et le cuivre. Les humains continueront à utiliser et à avoir besoin de métaux pendant de nombreux siècles.
Nous préférerions faire des affaires avec des pays qui respectent les droits de l'homme et opèrent sous des contrôles environnementaux stricts comme le font les États-Unis. Jusqu'à présent, la soi-disant énergie verte utilise des matériaux provenant de certains des pires délinquants écologiques et des droits humains qui existent sur terre.
Vous êtes invités à conduire un véhicule électrique. Nous souhaitons que nous ne soyons pas obligés de vous subventionner pour le faire au niveau des États et au niveau fédéral. Les dommages environnementaux mondiaux causés par l'extraction à ciel ouvert de suffisamment de métaux pour remplacer chaque voiture et toute la production d'énergie électrique en Californie sont exactement le contraire du vert.
https://www.cfact.org/2020/10/19/the-dark-side-of-governor-newsoms-gas-powered-vehicle-ban/
L'ONU arrêté pour rapport exagéré
RépondreSupprimerPar Craig Rucker
19 octobre 2020
Les rapports de l'ONU fonctionnent comme ceci:
Les chercheurs rassemblent page après page des données que peu de gens lisent.
Les militants agrafent ensuite un bref résumé, mais alarmant, au début du rapport, et les politiciens et la presse ne lisent et citent que cela.
L'ONU arrêté pour rapport exagéré
- voir graphique sur site -
L'ONU a juste été arrêtée pour avoir publié un rapport qui prétend que le «coût humain des catastrophes» augmente - mais a ensuite présenté un graphique qui révèle exactement le contraire.
Marc Morano a publié la déclaration de Pielke au Climate Depot, ainsi que le graphique de l'ONU qui montre que «le nombre de catastrophes liées au climat a en fait diminué de 15 % depuis 2000 !»
Nous l'avons vu maintes et maintes fois avec les rapports de l'Intergovernmental Panel on Climate Change de l'ONU. Lorsque vous fouillez dans le rapport, vous apprenez, par exemple, que contrairement à ce que rapportent les politiciens et les médias, l'ONU a en fait «peu confiance» que les événements météorologiques extrêmes tels que les incendies, les inondations, les sécheresses et les tempêtes se multiplient.
Lisez le compte rendu complet sur Climate Depot.
Lorsque les données contredisent la rhétorique extrême, utilisez les données à chaque fois.
https://www.cfact.org/2020/10/19/un-busted-for-exaggerated-report/
«Vous souhaitez faire mourir ces personnes en réanimation»: une députée s’attaque à Olivier Véran
RépondreSupprimer22:03 24.10.2020
Par Dmitri Bassenko
La députée alsacienne Martine Wonner a provoqué des huées de ses collègues en accusant le ministre de la Santé de vouloir «faire mourir les personnes en réanimation».
Lors des débats à l’Assemblée nationale sur la prolongation de l’état d'urgence sanitaire, la députée Martine Wonner (ex-LREM, Libertés et territoires) a accusé le ministre de la Santé Olivier Véran de vouloir «faire mourir les personnes en réanimation».
«Vous nous dites toute à l’heure en introduction: 300 personnes en réanimation hier, 300 personnes intubées ventilées. Vous souhaitez donc faire mourir ces personnes en réanimation», a lancé la députée, provoquant des huées d’une partie des parlementaires.
«On sait, monsieur le ministre, qu’en réanimation on n’intube pas plus que de 20 à 30% des personnes. On met les personnes sous oxygène à haut débit, donc on n’intube plus. Donc révisez ce que vous nous dites parce que c’est extrêmement grave», a appelé Mme Wonner.
«Une énorme grippe»
La députée alsacienne a également évoqué «une énorme grippe» en parlant de la pandémie actuelle. En réponse, le ministre de la Santé a reproché à la parlementaire d’injurier «l’ensemble de la communauté médicale» par ses propos d’«une gravité totale».
«Vous êtes médecin, vous n’avez pas le droit de vous tromper quand vous dites ça, c’est encore plus grave», a insisté M.Véran.
À l’issue de discussions dans l’hémicycle, les députés ont voté ce samedi 24 octobre la prorogation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 16 février face à la crise du Covid-19.
https://fr.sputniknews.com/france/202010241044628032-vous-souhaitez-faire-mourir-ces-personnes-en-reanimation-une-deputee-sattaque-a-olivier-veran/
Un virologue désigne une source «incontrôlée», la plus «dangereuse», du coronavirus
RépondreSupprimer16:53 24.10.2020
Par Ekaterina Bogdanova
Les porteurs asymptomatiques du Covid-19 sont les sources «cachées», «incontrôlées» et les plus «dangereuses» de l'infection, assure le chef du département de microbiologie des infections latentes au centre Gamaleïa, Victor Zouev.
Victor Zouev, chef du département de microbiologie des infections latentes au centre d’épidémiologie et de microbiologie russe Gamaleïa, a évoqué les sources les plus dangereuses de l’infection au coronavirus.
«Je crois que les [porteurs du Covid-19, ndlr] les plus dangereux sont les fameuses personnes asymptomatiques», indique-t-il au média russe Parlamentskaïa gazeta.
Le «Covid-19 a créé une forme latente d'infection virale»
Selon le spécialiste, autrefois, ces personnes étaient considérées «par erreur» comme celles qui s’étaient déjà rétablies de la maladie.
«C’est ridicule ! Il n'y a pas de maladies sans symptômes. Ce sont des personnes en bonne santé qui sont porteuses du virus. Dans leur corps, le Covid-19 a créé une forme latente d'infection virale», affirme l’expert.
Une forme d’infection «mutuellement bénéfique»
D’après lui, les experts qualifient cette forme d’infection de «mutuellement bénéfique». car certaines personnes ne sont pas infectées par le Covid-19 tout en étant porteur. Dans le même temps, le virus qui «s’installe» dans l’organisme survit en tant qu'espèce.
Comme le souligne M.Zouev, les porteurs asymptomatiques du coronavirus libèrent également du virus.
«Ceux qui ont eu la rougeole n'infectent personne, mais ils [les porteurs asymptomatiques, ndlr] infectent avec le coronavirus», poursuit-il.
Le professeur ajoute que l’infection nocive s'accumule dans la bouche d'une personne asymptomatique et est principalement transmise par voie aérienne. En conséquence, ces porteurs du virus sont aujourd’hui «des sources d'infection cachées et incontrôlées».
https://fr.sputniknews.com/sante/202010241044626800-un-virologue-designe-une-source-incontrolee-la-plus-dangereuse-du-coronavirus/
ARRÊTONS DE DRAMATISER, TRAUMATISER, ANGOISSER, BREF, FAIRE PEUR AUX GENS !
SupprimerNOUS respirons TOUTES & TOUS 200 000 nano-particules par minutes (microbes, virus, poussières neutres) et 2 millions en activité physique.
Donc OUI nous avons TOUTES & TOUS respiré/expiré du corona comme nous avons toutes & tous respiré/expiré des staphylocoques et x milliers ou millions de microbes de la grippe. Mais, notre organisme (qui en traite des milliards de milliards chaque heure) nous a défendu !
Ce que les 'test PCR' essaient de prouver c'est que nous avons toutes & tous au moins un microbe corona (ou cent ou mille) dans notre corps (qui s'en défend, les a maîtrisé, ils sont morts) et donc nous sommes désignées forcément comme porteuses ou porteurs du corona !
(7 milliards de personnes au monde sont porteuses de corona !).
Mais SEUL notre propre organisme peut lutter. Donc il ne peut exister de 'vaccin' ou remède contre cette forme individuelle d'attaque car chaque organisme diffère d'un autre.
Donc, méfions-nous comme la peste de ces faux docteurs merdiatiques qui se prennent pour des super-scientifiques sans même avoir fait 1 h d'étude scientifique !
Scénarios Covid pour 2021
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 24/10/2020 - 17:00
Les risques de résurgence de Covid clignotent, alors que les nouveaux cas d'infection ont augmenté de 4% P / W, pour atteindre un record d'environ 350 000 par jour (contre 228 000/254 000/283 000 en juillet / août / septembre) en grande partie en raison des nombres de tests records, mais c'est plus que compensée par un taux de mortalité diminué et obstinément faible (2,8% vs pic: 7,2%), qui peut être dû à un meilleur traitement ainsi qu'à une population plus jeune attrapant le virus, encore atténuée par les progrès des vaccins / traitements ...
- voir graphique sur site -
... alors que les hospitalisations dues au covid restent très sous contrôle ...
- voir graphique sur site -
... et les unités de soins intensifs aux États-Unis étaient moins pleines au cours de la deuxième vague, même si les patients hospitalisés étaient similaires. Alors que la courbe recommence à monter, elle n'a pas atteint des niveaux critiques.
- voir graphique sur site -
Dans une tentative de concilier la persistance de la courbe au-delà de la fin de l'année, MW Kim de JPMorgan présente plusieurs scénarios potentiels pour 2021. Notant de nouveaux progrès dans le domaine des vaccins / traitements, le stratège souligne:
le taux de mortalité pourrait baisser en dessous de 2% d'ici 1H21E;
les infections pourraient être moins groupées, sporadiques et peut-être à plus petite échelle dans les troisième / quatrième vagues;
les verrouillages pourraient diminuer en tant que réponse principale en 2021 en raison de leur fardeau économique, de la pression croissante du public sur la distanciation sociale et des limites budgétaires.
De plus, en raison de l'amélioration du traitement et de la préparation sociale croissante, JPM soutient que la stratégie de santé publique devrait passer du «contrôle des infections» au «traitement des patients».
Dans cet esprit, voici les principales façons dont la réponse au covid en 2021 différera sensiblement de celle de 2020, selon JPMorgan.
Stratégie de santé publique: 2020 ne sera pas 2021
La principale stratégie de santé publique en 2020 a été de supprimer la courbe d'infection, car le taux de mortalité initialement signalé était très élevé (pic de 7,2% fin avril). Ainsi, la réduction des contacts interhumains (ou la réduction du taux d'infection secondaire, «R0») via une distanciation sociale plus stricte et / ou un verrouillage a permis de réduire les infections et donc de contrôler le risque de mortalité YTD, selon JPM. Cependant, cette approche s'est avérée coûteuse, avec un fardeau plus lourd sur l'économie et une augmentation du stress social dû à la tolérance de la distanciation sociale. De plus, suite au renforcement des capacités hospitalières et à un meilleur traitement médical, le taux de mortalité est bien mieux contrôlé. Outre la réinitialisation de la cible R plus réaliste près de 1, l'objectif de santé publique est de passer au «traitement des patients», car la société a accumulé plus de connaissances / d'expérience avec le COVID-19 (c'est-à-dire moins d'incertitude ou de risque inconnu).
Pour l’avenir, JPMorgan suggère des choses difficiles dans la stratégie de santé publique de l’année prochaine:
1) Premièrement, les tests devraient être gratuits ou largement subventionnés par le gouvernement pour encourager les tests à grande échelle des groupes sensibles. Les porteurs asymptomatiques du COVID-19 peuvent encore transmettre la maladie à un degré similaire à celui des patients symptomatiques. Selon une étude publiée dans The Lancet, début avril, le ministère belge de la Santé a mis en œuvre une campagne de tests de masse dans les établissements de soins de longue durée. 8 343 personnes ont été testées positives parmi les 280 427 personnes testées (3%). 6 244 des cas positifs (75%) étaient asymptomatiques. Des charges virales similaires ont été signalées entre les cas symptomatiques et asymptomatiques, rendant la transmission et la propagation du virus possibles pour les deux groupes. Ainsi, des tests approfondis sont la méthode clé pour identifier les cas asymptomatiques à un stade précoce et contrôler la transmission du virus.
RépondreSupprimer2) Deuxièmement, les candidats médicaments potentiels devraient être pleinement inclus dans la couverture d'assurance publique / privée. Au fur et à mesure que de nouveaux traitements sont en cours de développement pour le COVID-19, il pourrait être possible pour le gouvernement d'étendre les services de traitement sous couverture d'assurance. Une complication potentielle est que comme de nombreux médicaments potentiels liés au COVID-19 sont toujours en attente d'approbation, les plans de couverture d'assurance existants ne semblent pas couvrir entièrement les médicaments détaillés à traiter. Cela pourrait être le protocole à modifier une fois que l'efficacité est partiellement confirmée dans certains groupes de populations infectées (c'est-à-dire les groupes de symptômes plus légers, les groupes asymptomatiques, etc.) pour raccourcir la période de récupération et, ainsi, réduire la courbe / l'échelle d'infection. Selon l'OMS, les paiements directs peuvent créer un obstacle financier à l'accès aux services de santé. Les copaiements ne découragent pas sélectivement l'utilisation «inutile», mais réduisent l'utilisation de tous les services de santé, en particulier parmi les personnes souffrant de maladies chroniques et les plus pauvres. Par conséquent, avec la quote-part en place, les personnes peuvent retarder la recherche d'un traitement ou être empêchées d'obtenir des services de santé, ce qui rendrait plus difficile le contrôle des flambées.
3) et mettre plus de gens en danger. À titre indicatif, à ce stade, la Chine a entièrement supprimé les frais de traitement pour COVID-19. L'Irlande a supprimé les frais d'utilisation pour les consultations de soins primaires à distance avec des personnes susceptibles d'être atteintes du COVID-19. La Belgique a lancé des téléconsultations dans le domaine des soins primaires et supprimé les frais d'utilisation pour cette nouvelle méthode. La France a simplifié les exigences administratives pour les personnes atteintes de maladies chroniques bénéficiant d'exemptions de quote-part. L'Estonie a fait appel à des installations privées pour améliorer l'accès à des tests sans quote-part.
4) Troisièmement, la stratégie actuelle de lutte contre les infections consistant à fermer temporairement les hôpitaux, les lieux de travail et les écoles après le signalement des infections devrait être modifiée de manière à ne pas impliquer la fermeture. Actuellement, les lieux publics sont fermés suite à la notification des cas d'infection pour tester toutes les personnes sensibles disponibles. Lorsque les infections ont de grandes grappes, cette approche peut être utile pour interrompre le taux de transmission. Cependant, comme observé dans les deuxième / troisième vagues en Corée et dans la RAS de Hong Kong, les infections deviennent sporadiques avec des grappes plus petites. Ainsi, le manuel actuel sur le contrôle des infections pourrait entraîner un lourd fardeau économique / social si la courbe d'infection se répète en 2021 avec plus d'épidémies aléatoires, car les tests actuels ont besoin de deux à trois jours pour générer des résultats. En outre, comme même JPMorgan l'admet, de loin, le risque de mortalité global de la population active et du jeune groupe d'âge semble raisonnablement faible, et il est difficile d'identifier tous les cas asymptomatiques. Étant donné qu'un certain niveau de distanciation sociale doit se poursuivre en 2021, garder les activités publiques ouvertes pourrait être une meilleure décision risque-récompense selon JPM. De plus, JPM s'attend à ce que de nouvelles méthodes de tests rapides et à faible coût soient développées et utilisées dans les lieux publics l'année prochaine. Les développements potentiels des tests rapides avec des résultats en moins de cinq minutes et largement utilisés dans les lieux de travail, les écoles, etc., sont un scénario bien attendu. Ces efforts pourraient réduire les niveaux de risque d'infection globaux dans les lieux publics et, par conséquent, les risques d'infection globaux dans la communauté.
RépondreSupprimer5) Quatrièmement, des tests d’anticorps à grande échelle (~ 1 à 5% de la population totale) permettraient de mieux comprendre le statut immunitaire d’une communauté. À ce stade, la période efficace des anticorps reste incertaine, nous nous attendons donc à ce que des recherches supplémentaires sur les anticorps, ainsi que des tests d'anticorps à plus grande échelle, soient menées l'année prochaine.
- voir graphique sur site -
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Représenter la courbe en 2021
JPMorgan résume ci-dessous les principales tendances attendues de la courbe des infections et prédit que "les niveaux de risque globaux de développement de l'infection et de mortalité devraient encore diminuer après cet hiver". ajoutant qu'il ne s'attend pas à ce que les verrouillages soient une stratégie majeure de santé publique pour interrompre le taux de transmission en 2021. Les tests et le traçage devraient être efficaces et pourraient être mieux acceptés par le public. Cela dit, la plus grande banque américaine reste prudente sur les voyages internationaux à grande échelle, même au-delà de 2020.
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Infections: 40mn YTD, récupération: 70%
JPMorgan s'attend à une série de vagues d'infection potentiellement dans le monde / en Asie jusqu'à ce qu'un vaccin soit disponible pour de grandes populations. Contrairement aux préoccupations précédentes, l'échelle d'infection de la deuxième vague et le risque de mortalité semblent plus contrôlés dans les pays asiatiques que dans les pays DM. Cela pourrait être motivé par une mobilité humaine limitée depuis le début de l'année, une politique publique flexible redéfinissant la cible R en dessous de 1 avec une distanciation sociale durable et des contrôles solides tirant parti de la technologie dans les pays d'Asie des ME. Cela dit, la forme de la courbe d'infection globale pourrait être plus douce et plus petite après cet hiver en raison de l'évolution du traitement (récupération plus rapide), d'une sensibilité plus faible en raison d'une sensibilisation croissante du public et de réponses plus rapides du public sur le contrôle du taux d'infection secondaire (R0).
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Mortalité: 2,8% (vs pic: 7,2%)
JPMorgan estime que le taux de mortalité (= décès / infections) pourrait baisser en dessous de 2% d'ici la fin du 1S21 (vs actuel: 2,8%), si les développements actuels se poursuivent. Plus important encore, la banque n'anticipe pas de «décès excessifs» en 2021, comme cela a été observé dans les pays développés cette année. Le COVID-19 a eu un faible impact sur les taux de mortalité annuels des pays asiatiques. Les décès signalés dus au COVID-19 ne représentent que 0,01-0,18% des décès annuels dans les pays asiatiques. Selon les données d'Euro MOMO, 17 des 24 pays d'Europe ont montré une amélioration des taux de mortalité après le pic de début avril.
- voir graphique sur site -
Incidemment, voici un graphique mettant le nombre de morts de covid dans le contexte des 20 plus grandes pandémies au monde:
- voir graphique sur site -
Contrôle de courbe
Au-delà de 2020, JPMorgan ne s'attend pas à ce que les verrouillages partiels / complets soient une stratégie clé de santé publique. La gestion de R0 autour de 1 (R0 = 1) sous des niveaux de distanciation sociale raisonnables et des traitements médicaux pour raccourcir la période de récupération pourrait être plus ciblée. Les traitements médicaux pourraient être un autre moyen efficace de contrôler la courbe, car le taux d'infection secondaire serait simplifié en fonction du taux de transmission et du taux de guérison chez les sujets sensibles. Si la période de reprise moyenne devait passer d'environ deux semaines actuellement à moins d'une semaine, cela ouvrirait une nouvelle fenêtre pour le contrôle de la courbe, l'économie et le niveau de stress du public sur la distanciation sociale.
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Essai
Les écoles et les bureaux devraient rester ouverts en 2021. Des tests réguliers doivent être largement mis en œuvre, car les résultats des tests pourraient être vérifiés dans un court laps de temps. Le test COVID-19 le plus courant est la RT-PCR en laboratoire, qui prend environ quatre à huit heures pour que les résultats soient livrés. Bien que la précision soit aussi élevée que 100%, cette technique nécessite des kits spécialisés, des professionnels formés et du temps. De plus, les tests sont limités aux laboratoires certifiés uniquement. Outre les méthodes de test de laboratoire traditionnelles telles que la RT-PCR, la PCR dd et l'amplification isothermique à médiation en boucle (LAMP), plusieurs autres technologies de test rapide au point de service (POC) ont été utilisées pour détecter le SRAS-CoV-2 (voir le tableau au dessous de). Ces technologies de test rapide détectent la présence de SARS-CoV-2 en 5 à 30 minutes. Cependant, l'OMS recommande des méthodes de test moléculaire traditionnelles (par exemple, RT-PCR) pour l'identification et la confirmation en laboratoire des cas de COVID-19. Afin de retourner au travail / à l'école, des tests quotidiens ou hebdomadaires pour tous les groupes avant d'entrer dans un lieu public peuvent être essentiels. À ce stade, ce processus idéal, similaire à un contrôle quotidien de la température, n'est pas possible, car les tests coûtent environ 20 à 40 USD chacun et prennent au mieux 15 à 30 minutes pour obtenir des résultats, et la précision des tests peut ne pas être de 100%.
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Contrôle des frontières
Les frontières devraient se rouvrir progressivement, selon JPM, alors même que les exigences de quarantaine (7 à 14 jours) et les contrôles quotidiens des quotas de vol pour les tests à l'arrivée se poursuivent en 2021. Certains pays ont lancé des «bulles de voyage», qui sont des partenariats entre les voisins. pays qui ont démontré un succès considérable pour contenir le COVID-19 à l'intérieur de leurs frontières respectives. Ces pays rétablissent les connexions en ouvrant les frontières les uns aux autres et en permettant aux personnes de circuler librement dans la zone sans être soumises à une quarantaine à l'arrivée. Le 15 octobre, Singapour et Hong Kong ont déclaré avoir conclu un accord préliminaire pour créer une bulle de voyage, permettant aux voyageurs de toutes sortes de contourner la quarantaine.
- voir graphique sur site -
Pour résumer, voici comment JPM décrit Covid en 2021:
Infections: attendez-vous à une série de vagues ondulant dans le monde / en Asie. La courbe d'infection pourrait être plus douce et plus petite après l'hiver,
en tenant compte d'une récupération plus rapide, d'une sensibilité moindre et d'une réponse publique plus rapide.
Mortalité: la banque s'attend à une baisse du taux de mortalité (= décès / infections) en dessous de 2% d'ici la fin du 1S21 (vs actuel: 2,8%).
Contrôle des courbes: JPM ne prévoit pas les verrouillages comme une stratégie clé de santé publique au-delà de 2020. La gestion de R0 = 1, plutôt que la suppression complète, pourrait devenir une priorité.
Tests: les écoles et les bureaux devraient rester ouverts en 2021. Des tests réguliers devraient être largement mis en œuvre à mesure que les résultats des tests seront disponibles plus rapidement (lien).
Contrôle aux frontières: alors que les frontières rouvriront progressivement, les quarantaines (7 à 14 jours) et les contrôles quotidiens des quotas de vol dans les aéroports se poursuivront en 2021.
https://www.zerohedge.com/markets/covid-scenarios-2021
Les microbes (comme toutes nano-particulesà) n'ont pas de frontière. Un microbe peut s'être posé, accroché à un de vos vêtement SANS que vous en soyez malade, idem pour tous les véhicules (voitures, camions, trains, avions, etc) et le vent qui les transporte aussi !
SupprimerC'est pourquoi les 'contrôle aux frontières' ne sont que des PLAISANTERIES à côté de la science !
Voici comment Biden va 'interdire' la fracturation
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 24/10/2020 - 13:30
Rédigé par C.Boyden Gray via RealClearPolitics.com,
La révolution du «fracking» a déclenché un incroyable boom énergétique américain au cours de la dernière décennie. L'Amérique est désormais le plus grand producteur de pétrole et de gaz au monde, devant l'Arabie saoudite et la Russie. La fracturation a contribué à une relance économique dans des régions du pays autrefois en chute libre. La Pennsylvanie est maintenant deuxième derrière le Texas pour la production de gaz naturel, et l'Ohio est maintenant cinquième. Cela a réduit la pollution de l'air en déplaçant le charbon.
Joe Biden veut une contre-révolution, mais il ne veut pas que vous le sachiez.
Le candidat Joe Biden a envoyé des messages contradictoires.
Au cours des débats primaires, Biden et son colistier, le sénateur Kamala Harris, ont déclaré qu'ils soutenaient une interdiction de fracturation. Cependant, leur campagne insiste sur le fait que le plan Biden interdirait la fracturation hydraulique uniquement sur les terres fédérales, et non sur les terres privées. Les vérificateurs de faits répètent régulièrement le sujet de discussion.
Pour une vue d'ensemble, les électeurs devraient jeter un coup d'œil au plan officiel d'énergie propre de Biden. Le plan Biden emprunte l’objectif ambitieux du Green New Deal d’un «secteur de l’électricité sans pollution par le carbone d’ici 2035».
La combustion de gaz naturel - le méthane - émet inévitablement du carbone, le plan Biden exige donc d'éliminer le gaz naturel pour la production d'électricité d'ici 2035.
La production d'électricité est la principale utilisation du gaz naturel. Il représente un tiers de tout le gaz naturel, utilisant 11 billions de pieds cubes de gaz par an et en croissance. C'est presque le double de la quantité de gaz naturel produit dans toute la Pennsylvanie l'an dernier. Pour éliminer toute cette demande de gaz naturel d'ici 2035, il faudrait mettre au ralenti d'innombrables puits de gaz naturel et centrales électriques, ravager les économies locales en Pennsylvanie et ailleurs et détruire de nombreux bons emplois. Sans électricité fiable au gaz naturel, les États subiraient des pannes de courant à la Californie.
Cet objectif du Green New Deal n'obtiendrait jamais l'approbation du Congrès, mais cela n'a peut-être pas d'importance. Biden promet d'atteindre ses objectifs d'énergie propre par décret, en publiant des ordres exécutifs d'une «portée sans précédent qui vont bien au-delà de la plate-forme d'administration Obama-Biden». Une administration Biden agirait pour atteindre son objectif de production d’électricité «sans carbone» grâce à une version encore plus agressive des règlements du «Clean Power Plan» du président Obama. Ce Clean Power Plan 2.0 obligerait les services publics à mettre au ralenti, puis à démanteler, leurs centrales au gaz naturel.
L'accusation du président Trump selon laquelle Joe Biden interdirait la fracturation hydraulique est donc plus proche de la vérité que ce que les vérificateurs veulent bien l'admettre. Il ne faut pas une maîtrise en communication ou en journalisme pour se rendre compte qu’une interdiction d’utiliser le gaz naturel est une interdiction de l’extraire, que ce soit par fracturation ou par forage ordinaire. C’est le plan Biden.
Le président Trump, pour sa part, a été limpide: s'il est réélu, il continuera de soutenir vigoureusement la révolution énergétique américaine, l'énergie bon marché et les emplois, comme il le fait depuis quatre ans.
https://www.zerohedge.com/political/heres-how-biden-will-ban-fracking
« Catastrophique » : Couvre-feu dans le Maine-et-Loire. Fermeture totale des bars. « Ce soir, je suis au chômage »
RépondreSupprimerChristina BRUN.
Ouest-France
sam., 24 oct. 2020 22:35 UTC
Dans un document publié, ce vendredi 23 octobre, sur le site internet de la préfecture du Maine-et-Loire, il est clairement indiqué que les bars doivent fermer leurs portes au public pour six semaines. À la rencontre de propriétaires de bars, la nouvelle fait l'effet d'une bombe. Reportage.
dddddd
Les enfants doivent rester à la maison car dehors c'est dangereux
14 h, ce vendredi 23 octobre dans les rues d'Angers (Maine-et-Loire). Les propriétaires des bars de la ville sont sous le choc. Sur décision préfectorale ils devront fermer leurs portes, purement et simplement pour six semaines. « Même la journée ? » s'alarme Aline Prud'homme, gérante du bar-tabac Le Diplomate depuis 15 ans. À la lecture des documents officiels disponibles sur le site internet de la préfecture, il apparaît que oui
« Catastrophique »
« C'est catastrophique, je trouve ça lamentable ». Alors que toute la terrasse se retourne, que chacun fait son commentaire, on commence à voir les yeux de la propriétaire de plus en plus brillants.
« Je suis en colère, on respecte la distanciation ! J'ai vu des collègues dépenser un fric monstre dans des vitres de plexiglas, tout ça pour fermer ! Ce n'est clairement pas la vente de tabac qui va sauver mon chiffre, j'ai des employés ! »
Pour Aline, cette solution n'en est pas une : « les jeunes vont se retrouver à 25 dans un 15 mètres carrés, ça ne changera rien au problème ! »
Des mots amers, brut, lancés sous le coup de la sidération. Pour Chris, du bar le Joker's Pub, rue Saint-Laud, c'est un rire jaune qui éclate : « On va être obligé de vider les fûts », ironise-t-il. « Je ne suis pas plus surpris que ça en fait. Au moins maintenant, on sait à quoi s'en tenir, on avance plus dans le flou » .
« Il faut bien s'adapter »
Mani Saedi, propriétaire du bar du Centre et du Velenjak, deux établissements bar-brasserie à Angers, on sent une forme d'habitude. « On attend les consignes, les précisions, de toute façon il faudra bien s'adapter ». Pour Mani, l'activité pourra continuer, au moins sur le service restaurant. « Et pour le café du matin, j'ai le droit de le servir ou pas ? » A quelques heures de l'instauration du couvre-feu, beaucoup d'interrogations. Beaucoup d'incertitudes sur les semaines qui vont venir.
Plusieurs établissements n'ont pas souhaité s'exprimer, partagés entre la fatigue de ces nouvelles restrictions qui tombent chaque semaine. Lassés d'être exposés pour de mauvaises raisons.
-- Commentaire : Par ces temps-ci il est vrai que dire ce que l'on pense sur certains sujets peut être très dangereux. --
« Je suis au chômage ce soir »
Dans l'hypercentre, un homme, qui a souhaité rester anonyme, débarrasse les verres vides sur une table et lance : « Génial. Je me retrouve au chômage dès ce soir. Je ne suis pas embauché, il est évident que dans ces conditions mon contrat ne sera pas prolongé, c'est la merde. »
-- Commentaire : Il y a-t-il vraiment une bonne raison de fermer les bars qui ont respecté la distanciation, qui ont déboursé de l'argent pour changer certaines infrastructures afin d'obéir les nouvelles lois que le gouvernement avait imposé mais qui en fait n'ont servi à rien ? Il y a-t-il une raison valable de croire que le couvre-feu permettra au virus de frapper moins fort ? Est-ce la nuit qui est la cause que le virus devient plus virulent ? Comment comprendre ces décisions drastiques et tyranniques et qui seront la cause de bien des tragédies : perte d'emploi, spécialement ? Qui, en fait, décide, de ces mesures qui ressemblent à celles prises durant la guerre ? --
RépondreSupprimerLire aussi :
Philippe Herlin : « La deuxième vague est une manipulation pour calmer la colère sociale ! »
La prochaine pandémie sera mentale
https://fr.sott.net/article/36208-Catastrophique-Couvre-feu-dans-le-Maine-et-Loire-Fermeture-totale-des-bars-Ce-soir-je-suis-au-chomage
La TARE est de croire que les virus ou microbes ne voyagent qu'en poumons !!
SupprimerILS SONT TRANSPORTES PAR LE VENT ! PAR LES CHEVEUX , PAR LES VÊTEMENTS ! PAR TOUS LES VÉHICULES ! ET IRONT SANS DOUTE PLUS VITE QUE VOUS POUR SE DÉPLACER !
Le nombre de Sud-Coréens décédés après avoir été vaccinés contre la grippe est passé à 48, a déclaré samedi l'Agence coréenne de contrôle et de prévention des maladies (KDCA)
RépondreSupprimersamedi 24 octobre 2020
Les autorités sanitaires ont déclaré n'avoir trouvé aucun lien direct entre les décès et les injections. Ils prévoient poursuivre le programme de vaccination géré par l'État pour éviter d'avoir à lutter à la fois contre la grippe et le coronavirus au cours de l'hiver à venir.
"Après avoir examiné les cas de décès jusqu'à présent, ce n'est pas le moment de suspendre un programme de vaccination contre la grippe car la vaccination est cruciale cette année, compte tenu ... des épidémies de COVID-19", a déclaré le directeur du KDCA Jeong Eun-kyung lors d'un briefing.
(...)
L'augmentation du nombre de décès a poussé certains médecins et politiciens à demander l'arrêt de la campagne du gouvernement pour vacciner environ 30 millions des 54 millions d'habitants du pays.
Tout en encourageant les gens à se faire vacciner contre la grippe, Jeong a émis des précautions à prendre avant de se faire vacciner, comme boire suffisamment d'eau et informer les travailleurs de la santé de toute condition médicale sous-jacente. Elle a également conseillé aux gens d'attendre 15 à 30 minutes avant de quitter la clinique où ils reçoivent leur vaccin.
«Si possible, essayez de vous faire vacciner contre la grippe quand il fait chaud, car on craint que les basses températures n'affectent les maladies cardiovasculaires ou cérébrovasculaires», a-t-elle déclaré. ??
Le KDCA a déclaré que 9,4 millions de personnes avaient été vaccinées vendredi dans le cadre du programme qui a débuté en septembre, avec 1 154 cas d'effets indésirables.
La Corée du Sud a signalé 77 nouveaux cas de coronavirus vendredi minuit, portant le nombre total d'infections à 25775, avec 457 décès.
https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-southkorea-flushot-idUSKBN2790G8
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/10/le-nombre-de-sud-coreens-decedes-apres.html