- ENTREE de SECOURS -



dimanche 25 octobre 2020

FEAR, INC - Abigail Breslin,

 Trop chère pour le film Abigail Breslin (Ultimate Endgame) n'est visible que de 0:48 à 4:38 !

https://www.youtube.com/watch?v=Qww6vRyzQBQ

40 commentaires:

  1. Pourquoi la France a redémarré plusieurs centrales à charbon


    08:46 25.10.2020
    Par Alexandre Sutherland


    S’étant engagée à fermer toutes ses centrales à charbon d’ici 2022, la France en a pourtant rouvert plusieurs depuis septembre. Une enquête de LCI révèle que de nombreux réacteurs nucléaires sont en maintenance, tandis qu’un manque de vent en Europe nuit à l’efficacité des éoliennes. Le pays reste ainsi dépendant des énergies fossiles.

    La fermeture au mois de juin des deux réacteurs de la centrale nucléaire de Fessenheim répondait à l’impératif de baisser la part de nucléaire dans la production d’énergie en France. Pourtant, plusieurs centrales à charbon ont dû rouvrir depuis septembre pour compenser cette perte de production. LCI a mené l’enquête pour tenter de savoir pourquoi.

    Selon EDF, interrogée par la chaîne, quelque 22 réacteurs sur les 56 que compte le parc nucléaire français sont en maintenance. De plus, le manque de vent en Europe ces dernières semaines met les éoliennes à l’arrêt. La solution la plus rapide a été de réactiver certaines centrales à charbon, nuisibles tant sur le plan écologique que sanitaire.

    C’est le cas notamment à Saint-Avold, où la centrale a été remise en service à la demande de RTE (Réseau de transport d’électricité). Avec les trois autres restantes au Havre, à Cordemais et à Gardanne, elle est pourtant censée fermer définitivement pour 2022, selon l’échéance gouvernementale. La ministre de l’Écologie a d’ailleurs assuré que cet objectif était toujours poursuivi.

    Manque d’alternatives ?

    Toujours selon LCI, le pays reste pour l’instant dépendant de ces quelques centrales à charbon. Leur redémarrage en moins de huit heures permet par exemple de faire face à des situations urgentes de pénurie d’électricité. Certaines régions n’ont d’ailleurs pas d’autre choix que de les laisser en activité.

    C’est le cas de la Bretagne qui dépend toujours en grande partie de la centrale de Cordemais (Pays de la Loire) et «très peu d’alternatives» sont actuellement disponibles. Un champ éolien en mer et un réacteur nouvelle génération à Flamanville (Normandie) pourraient éventuellement prendre le relais, mais les chantiers «ont pris beaucoup de retard».

    https://fr.sputniknews.com/france/202010251044628966-pourquoi-la-france-a-redemarre-plusieurs-centrales-a-charbon/

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    1. Confrontées à la vérité que l'énergie ne vient pas du gouvernement, les 'autorités' ont dû se soumettre à la science de la chimie

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  2. Covid 19. 1/4 : un choc traumatique semblable à aucun autre


    par Serge TISSERON
    18 avril 2020



    La décision d’un confinement général annoncée au soir du lundi 16 mars 2020 par le président de la république a frappé de sidération un très grand nombre de Français. Certains ont aussitôt réfléchi au meilleur moyen de gérer cette situation inattendue et sont partis dans leur maison de campagne, tandis que d’autres se sentaient débordés par l’angoisse de ne pas pouvoir faire face aux menaces physiques et/ou psychiques qui allait en résulter pour eux. Cela a été notamment le cas de ceux qui ont immédiatement pensé à la faillite de leur entreprise, ou de ceux qui ont été pris d’angoisse à l’idée de vivre 24 heures sur 24 à plusieurs dans un appartement minuscule. Et ce choc a été d’autant plus grand que personne ne s’y attendait, tant notre gouvernement s’était employé à nous rassurer sur la parfaite préparation de l’ensemble de ses services à l’arrivée du coronavirus sur notre sol.

    Mais si nous voulons comprendre les blessures psychiques durables qui commencent à devenir visibles et que le prolongement du confinement décidé le 13 avril va aggraver, il nous faut prendre en compte le fait que cette pandémie impose un choc de nature très différente de celui d’une catastrophe naturelle ou d’un attentat, auquel s’ajoutent de nombreux facteurs de stress agissant sur le long terme.

    Une catastrophe différente des autres

    Tout d’abord, à la différence d’un attentat ou d’une catastrophe, il n’existe pas dans cette pandémie des victimes bien identifiées qu’il serait possible de distinguer du reste de la population nationale ou mondiale, de telle façon que ceux qui n’ont pas été touchés pourraient venir au secours de ceux qui l’ont été. Non seulement l’ensemble de la population est concerné, mais, exception faite des professions mobilisées pour lutter contre la maladie, celles et ceux qui voudraient manifester leur solidarité en sont empêchés par le risque de contaminer ou d’être contaminés.
    Le second élément qui différencie radicalement cette pandémie d’une catastrophe telle qu’une inondation ou un attentat, c’est qu’il n’existe pas un « avant » et un « après ». On nous annonce un déconfinement partiel, et peut-être l’obligation de revenir à des moments de confinement et de distanciation sociale (un mètre au moins) semblables à ceux que nous vivons actuellement, sans compter la possibilité de mutations imprévisibles du virus qui feraient courir le risque de nouveaux épisodes endémiques. Autrement dit, la « fin du confinement » ne sera pas forcément la fin du confinement. Sans compter qu’à cette épée de Damoclès au-dessus de nos têtes s’ajoutera pour beaucoup la nécessité de faire face à la fois aux effets du confinement sur eux, à une crise financière et à des activités sociales qui devront rester très réduites. Nous aurons l’obligation de travailler, mais pas la liberté de nous déplacer, d’aller au cinéma, ou au restaurant. Bref, les inconvénient d’aller au travail avec un masque et un flacon de gel hydro alcoolique, mais pas les avantages des loisirs !

    Ainsi s’explique que chacun, à l’annonce du confinement, ait vécu un moment de sidération. Mais si le modèle du choc traumatique ne peut pas être appliqué à la situation actuelle, quel est donc son modèle ? C’est celui, nous semble-t-il, d’une mort annoncée. Ou plus précisément de l’angoisse d’une quadruple mort.

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  3. Mourir de quatre morts

    L’angoisse de la mort physique

    Tout d’abord bien sûr, il y a l’idée que le virus peut être contactée par chacun à tout instant. Chacun peut l’héberger, l’avoir sans s’en rendre compte et le donner à ses proches. D’ailleurs, la justification du confinement est d’éviter un nombre trop élevé de morts survenant au même moment et débordant les capacités de soins, au risque de créer un état de panique généralisée. Avec l’angoisse, peut-être, si nous contactons la maladie, de ne jamais pouvoir serrer nos proches dans nos bras.

    L’angoisse de la mort sociale

    Si le risque d’affecter des proches et d’être ainsi responsable de leur mort est brandi par les pouvoirs publics, ce n’est pas la seule raison de vivre la situation actuelle comme une forme de mort. Il y a évidemment aussi l’angoisse de la mort sociale. Beaucoup ont été obligés d’interrompre brutalement des démarches en cours aussi importantes qu’un achat immobilier, un déménagement, un divorce, un mariage ou un baptême. Et aujourd’hui, et pour un temps encore indéterminé, il ne nous est plus possible de manifester notre désir de nous rapprocher de voisins ou d’amis que nous pouvons croiser dans la rue, dans notre montée d’escalier ou dans notre cour d’immeuble. Quand j’étais enfant, il y avait une expression pour désigner l’angoisse d’être tenu à l’écart : « être un pestiféré ». D’une certaine façon, nous sommes tous aujourd’hui des pestiférés.

    L’angoisse de la mort psychique

    En troisième lieu, cette angoisse de mort est suscitée par le confinement lui-même, c’est-à-dire par l’obligation de ne pas sortir de chez soi. Pour beaucoup, se retrouver chaque jour immobilisé « entre quatre murs » est vécu comme être déjà « entre quatre planches ».

    L’angoisse de la mort collective

    Enfin, à ces angoisses ressenties par chacun d’entre nous intimement, il faut ajouter les effets produits par certain discours médiatique qui présentent cette pandémie comme le signe, et le début, de la mort de notre civilisation. À force d’avoir voulu oublier la nature, la nature se vengerait, et à vouloir l’ignorer encore, notre espèce serait directement menacée. Or, que ce soit sur le plan national ou international, rien n’indique que la tendance des gouvernements soit à la prise de conscience écologique, et du coup, ce discours équivaut pour beaucoup à l’annonce d’une mort inévitable. Tout indique qu’à part quelques sanctuarisations possibles, comme dans le domaine de la santé, la priorité sera d’abord de relancer l’économie tout en protégeant le mieux possible les employés. Bref, il n’y a pas de grande révolution verte à l’horizon et ceux qui y voient la cause de nouvelles pandémies possibles creusent encore un peu plus l’angoisse actuelle de la fin d’un monde en faisant craindre celle de la fin du monde.

    Des injonctions qui aggravent le sentiment d’écrasement

    Si l’angoisse de la mort sous tous les aspects que nous avons évoqués a été peu nommée depuis les débuts de la pandémie, l’angoisse du vide a en revanche été bien perçue. De telle façon que depuis l’annonce du confinement, les injonctions se sont succédé pour tenter de d’éviter les populations de s’y confronter. D’abord, il y a eu l‘injonction du confinement productif. Il fallait profiter de ce temps pour faire ce que nous n’avions pas eu le temps de faire jusqu’ici, ranger la maison, lire les livres et visionner les films que nous avions toujours eu envie de lire ou de regarder sans en trouver le temps. Mais il s’est vite imposé que l’angoisse du vide n’était pas soluble dans l’hyperactivité consommatoire.

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  4. Dans un second temps, chacun a alors été invité à prendre soin de lui. Faire du yoga, de la danse, de la méditation de pleine conscience, ont été présenté comme les moyens les plus utiles de rester en bonne santé psychique.

    Mais très vite, il est apparu que le besoin de sociabilité de l’être humain pour ses semblables restait insatisfait. Ainsi est apparu une troisième forme d’injonctions, « prendre soin des autres ». Applaudir chaque soir à 20 heures les soignants, mais aussi faire preuve d’altruisme, nous soucier de nos voisins, leur proposer de leur ramener certains produits si nous allons faire des courses, ceci afin de leur éviter de sortir eux aussi…

    Enfin, parallèlement à ces trois moments qui ont touché chacun d’entre nous, certains, habitués à utiliser les outils intellectuels, se sont donnés pour injonction d’inventer le « monde d’après », a tel point que ce que nous pouvons redouter, ce n’est pas le manque d’un mode d’emploi pour « l’après », mais plutôt leur trop grand nombre, et la quasi-impossibilité de les lire tous…

    Ces injonctions ont-elles pour autant soulagée le poids du confinement ? Je n’en suis pas sûr. Dans une société où la prise en charge de soi est une obligation contraignante, cette façon de lutter contre l’angoisse du vide à aggraver chez beaucoup le sentiment de ne pas utiliser leur temps comme ils le devraient. À vouloir trop convaincre les gens qu’ils sont maîtres de leur destin, il y a le risque de les rendre responsables de leurs échecs et d’aggraver leur dépression.
    Mais s’il est vrai que le modèle de cette crise s’apparente à l’annonce d’une mort probable, nous devrions retrouver dans les réactions qui sont les nôtres depuis le début du confinement les mêmes réactions que celles qui sont identifiées chez une personne à laquelle sa mort est brutalement annoncée. Et c’est bien en effet, comme nous allons le voir dans le blog qui fait suite à celui-ci, ce qui est arrivé.

    https://sergetisseron.com/blog/covid-19-1-3-un-choc-traumatique-semblable-a-aucun-autre/

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  5. Covid 19. 2/4 : le deuil de l’avant


    par Serge TISSERON
    18 avril 2020


    Elisabeth Kübler-Ross, en 1969, a défini les cinq phases auxquelles est confrontée toute personne à laquelle est annoncé un diagnostic de mort imminente. Toutes les personnes auxquelles on annonce leur mort proche ne traversent pas forcément ces cinq stades et beaucoup restent bloquées à l’un d’entre eux. Mais pour Elisabeth Kübler-Ross, seul le fait d’accéder au dernier permet d’accepter la mort dans de bonnes conditions. Ces cinq moments successifs sont le déni, la colère, le marchandage, la dépression et enfin l’acceptation. Le déni consiste par exemple à se dire : « ce n’est pas possible, les médecins ont dû se tromper. Ils vont me dire que ce n’est pas si grave qu’ils le croyaient », ou bien : « je vais voir un autre médecin qui va me rassurer ». Le second stade est celui de la colère. « Pourquoi ça m’arrive à moi, et pourquoi justement maintenant, j’ai encore tant de choses à faire ». Le troisième stade est celui du marchandage, par exemple : « Promettez-moi de me faire vivre jusqu’au mariage de ma fille (ou l’anniversaire de mon petit-fils, etc.), je veux bien mourir après. » Vient ensuite le moment de la dépression, et le sentiment que rien ne vaut plus la peine, ni voir ses proches, ni mettre ses affaires en ordre, ni préserver le mieux possible le peu de santé qui reste. Enfin, avec l’acceptation, vient le moment de se dire : « Essayons de profiter au mieux du temps qu’il me reste à vivre. »

    Avec le COVID 19, bien entendu, il n’est pas question de nous préparer à la mort ! Mais beaucoup d’entre nous perçoivent que plus rien ne sera comme avant, et que demain risque d’être pire qu’hier, au moins dans les suites du déconfinement. Il n’est donc pas étonnant de retrouver, parmi nos réactions, les cinq attitudes émotionnelles possibles décrites par Elisabeth Kübler-Ross.

    Le déni

    Les rassemblements du dimanche 22 mars dans les lieux publics ont largement illustré cette attitude. Disons d’abord qu’elle est parfaitement normale à la suite de l’annonce d’un bouleversement que nous n’avions pas imaginé et qui nous oblige à changer radicalement d’habitudes et de comportements. Tout naturellement, nous ne voulons pas y croire ! Mais dans le cas de cette pandémie, le déni a été incontestablement alimenté par les annonces gouvernementales visant d’abord à nous faire croire que tout était contrôlé, puis les informations contradictoires et enfin l’annonce brutale de mesures de protection qui paraissaient irréalisables. En témoignaient les affichettes nous indiquant qu’avant de sortir, nous devions mettre un masque, et nous désinfecter les mains chaque fois que nous touchions chez quelque chose à l’extérieur, alors que nous n’avions ni masque, ni gel hydroalcoolique. Quant aux procédures de sécurité à appliquer en rentrant chez soi, elles indiquaient d’enlever ses vêtements et de les mettre à laver, de se doucher, et d’enlever ses gants alors que personne n’avait de gant…

    A ces erreurs de communication se sont ajoutées quatre biais cognitifs qui perturbent habituellement le jugement humain, mais dont les effets cumulés se sont révélés ici ravageurs. Le premier consiste dans la tendance que nous avons à affronter les éléments nouveaux en nous répétant ce qui a marché pour des événements précédents qui nous semblent semblables. Autrement dit, face à un événement nouveau, nous avons tendance à maximiser ses ressemblances avec les événements précédents et à ignorer les différences qui les opposent, ce qui nous permet de nous en remettre aux comportements adoptés précédemment. Ainsi, nous avons eu facilement tendance à croire que cette pandémie serait analogue à la grippe A (H1N1), en 2010. Au contraire, la Chine, Singapour et Hongkong ont pris des mesures rapides pour contenir l’épidémie car ils avaient la mémoire de l’épidémie de Srars.

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  6. Le second biais cognitif consiste dans la difficulté des humains à concevoir des croissances exponentielles. C’est la fameuse histoire racontée aux enfants de celui qui, après avoir rendu service à l’empereur lointain pays, demande pour récompense un plateau de jeu d’échecs, qu’ils soient déposés sur la première case un grain de riz, puis de sur la seconde case et que le nombre de grains de riz soit doublé à chaque cas. L’empereur croit avoir affaire à un nigaud et accepte tout de suite. La production de l’empire pendant plusieurs années n’y suffirait pas. Dans le cas de cette pandémie, l’annonce que « Le nombre de cas double tous les 3 jours » n’étaient pas perçus intuitivement comme problématiques, ce qui fait que l’annonce du nombre de morts est perçue comme une exagération considérable sur les prédictions.

    Le troisième biais cognitif consiste à penser que ce qui arrive à d’autres groupes que le nôtre ne peut pas nous arriver à nous. Conviction d’ailleurs moquée par le bon sens populaire sous la forme : « ça n’arrive pas qu’aux autres ». Quoi qu’il en soit, nous avons tendance à nous croire plus fort que les étrangers. L’exemple chinois nous ait paru trop lointain pour être inquiétant, et même l’exemple italien.

    Enfin, le quatrième biais cognitif consiste dans la confiance que nous attribuons au plus grand nombre. Pourquoi changer mon comportement quand je vois autour de moi des personnes qui ne changent rien ? Tous ces gens qui s’agglutinent aux terrasses ne peuvent pas être fous… C’est sans doute l’humoriste Coluche qui a le mieux démonté ce biais avec cette fameuse phrase : « ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison ».

    2. La colère

    La crise, nous le disions, à révélé une triple impréparation : technique (avec la désorganisation hospitalière suite aux restrictions massives de budget ces dernières années), matérielle (avec les masques et autres matériels de protection indisponibles) et enfin mentale. Pendant un mois, il n’a existé aucune prise en compte du facteur psychologique. C’est ce qui a été clairement montré lorsque le président du conseil scientifique auprès du gouvernement est intervenu à la télévision pour justifier que les marchés soient maintenus « parce que les gens ont besoin de manger » et la présence de la famille proche interdite aux enterrements « parce qu’il y a un risque de contagion » ! Pourtant, il a été montré depuis plus de trente ans que les vulnérabilités psychiques fragilisent le système immunitaire, et que les deuils difficiles ou empêchés favorisent le développement de troubles non seulement psychologiques, mais aussi physiques.

    Cette colère, aggravée par la routine quotidienne, la frustration et l’ennui liés à l’isolement, mais aussi les informations contradictoires et les fake news, a parfois conduit à la tentation de chercher des coupables. « Pourquoi ça nous arrive à nous ? Qui est coupable de cela ? » Ce ne sont plus les vagabonds, les juifs, les mendiants et les prostituées, comme au Moyen Âge, qui ont été pointés du doigt, mais dès le 15 mars, ceux qui font du jogging, puis ceux qui semblent passer trop de temps dehors (lettres de délation anonymes) et enfin les soignants eux-mêmes, accusés d’être des sources possibles de contagion pour leurs voisins du fait de leur proximité avec les malades (lettres anonymes, mots désagréables, voitures vandalisées et même cabinet cambriolé pour récupérer des masques), motivant une mise au point officielle de Edouard Philippe le 28 mars.

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  7. 3. Le marchandage

    Si certaines réactions individuelles de marchandage ont pu se faire jour, comme par exemple « Laissez-moi aller rejoindre mes enfants. Je suivrai toutes les mesures de confinement après », c’est incontestablement le grand marchandage social qui restera dans les mémoires. Pour la première fois, en dehors d’une période de guerre, s’est posé la question de savoir qui laisser vivre et qui laisser mourir. Bien sûr, les médecins des services de réanimation nous ont assuré que tous les malades avaient été pris en charge et qu’ils n’avaient heureusement pas été obligés de choisir. Tous les malades auxquels ils ont eu affaire dans leur service, incontestablement. Mais beaucoup sont morts dans les EHPAD loin des établissements hospitaliers, et le fait que l’utilisation de produits létaux aient été autorisés montre que tout ne s’est peut-être pas passé partout aussi bien. En tout cas, l’idée du marchandage, qui pouvait sembler il y a un an hors de propos en dehors des situations de guerre, s’est imposée comme possible.

    4. La dépression

    En suspendant toute activité, le confinement renforce le sentiment d’impuissance. « Que pouvons-nous à tout cela ? » Ce sentiment est notamment renforcé par le recours à l’information en continue, avec le risque d’informations très émotionnelles, peu ou pas contextualisées, et ne s’accompagnant pas de messages sur les moyens de se protéger des conséquences dramatiques possibles de ce qui est annoncé. Mais ce sentiment d’impuissance se nourrit aussi de l’information officielle, qui semble apporter chaque jour son lot de mauvaises nouvelles : le virus a déjà muté, l’immunité ne dure que quelques semaines, ceux qui ont attrapé la maladie peuvent l’attraper une nouvelle fois, etc. A la limite, le sentiment s’impose que cela ne vaut plus la peine de se battre parce que ça ne finira jamais. Des angoisses de mort montent, nourries par les interventions de certains collapsologues : « Nous allons tous mourir… Et alors ? » Cette inquiétude est également alimentée par les incertitudes sur le travail et la situation financière pour l’avenir immédiat, notamment dans le domaine des professions liées aux activités de loisirs. Notre destin nous échappe. Cette angoisse ne provoque pas seulement un syndrome dépressif, mais aussi des manifestations somatoformes (douleurs) ou psychosomatiques (psoriasis, blanchiment des cheveux, etc.).

    5. L’acceptation

    Elle a été favorisée dans cette crise de trois façons.

    Tout d’abord, l’utilisation des outils numériques pour maintenir les liens dans les familles, entre amis, et entre contacts professionnels a été massive. Avec toutefois un inconvénient. : ces réseaux ont essentiellement mis en contact des personnes qui partagent les mêmes centres d’intérêt et les mêmes préoccupations, avec le risque de resserrer les liens de proximité aux dépens des liens avec les personnes différentes de nous. Une initiative particulièrement intéressante parce tout indique que subsistera après la fin de cette crise consiste dans le développement des consultations en ligne, dans le domaine médical, mais aussi en psychologie[1].

    Le second moyen a été la création de solidarités spontanées. La plus médiatisée a été l’habitude prise assez vite d’applaudir les soignants à 20 heures, mais des formes de solidarité moins visible se sont développées localement entre des personnes qui n’auraient pas fait attention les unes aux autres en situation habituelle. Cela s’est notamment manifesté par la possibilité de faire des courses pour des personnes proches afin d’éviter qu’elles sortent de chez elles, ou de faire à manger aux soignants qui rentrent épuisés le soir de leur journée de travail.

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  8. Enfin, le troisième moyen a été l’humour. Les montages photographiques et les vidéos nous invitant à rire du port du masque ont connu une diffusion virale sur Internet. Une fois de plus, l’être humain montrait par ce moyen son extraordinaire capacité à prendre sa revanche sur les événements qu’il ne peut pas maîtriser en se moquant de la situation.

    L’humour est certainement ce qui illustre le mieux ce désir : « Rions de ce que nous subissons pour ne pas ajouter la dépression à la difficulté ».

    [1] Notamment la création de la plate-forme CyberpsyCO dès le 24 mars.

    https://sergetisseron.com/blog/actualites/covid-19-2-3-le-deuil-de-lavant/

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    1. A ses blogs suivants il entame le chapitre de ses vérités non-scientifiques, la conscience creuse, l'immersion dans l'au-delà, le déploiement de son retard.

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  9. La Suède refuse d'imposer de nouvelles mesures de verrouillage, affirmant que les gens ont assez souffert


    par Tyler Durden
    Dim, 25/10/2020 - 07:00
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Les autorités sanitaires suédoises ont refusé de suivre le reste de l'Europe en imposant de nouvelles mesures de verrouillage contre les coronavirus à leur population, arguant que ceux qui sont en proie à la solitude et à la misère d'être isolés ont suffisamment souffert.

    Bien que la Suède reflète d'autres pays du continent avec une augmentation des infections à coronavirus, le gouvernement a fermement refusé de verrouiller sa population, mettant en balance la misère et les effets sanitaires indicibles de l'isolement par rapport à la menace du COVID-19.

    «Les personnes âgées, ont-ils dit, ont suffisamment souffert», écrit Fraser Nelson.

    «Ils ont passé des mois à se faire conseiller d'éviter les transports en commun, les centres commerciaux et d'autres aspects de la vie quotidienne. Et le résultat ? Solitude. Misère. C'est plus que désagréable: cela se traduit rapidement par la dépression, les problèmes de santé mentale et la mortalité.

    «Nous ne pouvons pas seulement penser à la lutte contre les infections», a déclaré Lena Hallengren, ministre suédoise de la Santé, «nous devons également penser à la santé publique.»

    Une distinction importante: "concentrez-vous sur Covid à l'exclusion d'autres conditions et vous risquez des vies."

    Le rapport de 21 pages de Hallengren a également révélé un «déclin de la santé mentale» qui était «susceptible d’empirer plus les recommandations resteront en place», ce qui a conduit les responsables à lever les restrictions de verrouillage qui s'appliquaient auparavant aux plus de 70 ans.

    Après avoir décidé d'adopter une approche «d'immunité collective» contre le COVID-19 au début de la pandémie, la Suède a été fermement condamnée pour ne pas avoir suivi les dures verrouillages imposés par pratiquement tous les autres grands pays européens.

    Cependant, comme Newsweek l'a reconnu, le taux de mortalité par COVID-19 en Suède est inférieur à celui de l'Espagne, du Royaume-Uni et de l'Italie, pays qui ont tous imposé des verrouillages draconiens.

    Contrairement au reste du continent, l’économie suédoise est également bien mieux placée pour accélérer la reprise.

    L'épidémiologiste principal du pays, Anders Tengell, a également critiqué le port de masques faciaux comme étant «très dangereux» car cela donne un faux sentiment de sécurité mais ne freine pas efficacement la propagation du virus.

    https://www.zerohedge.com/markets/sweden-refuses-impose-new-lockdown-measures-saying-people-have-suffered-enough

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  10. Les Gallois (UK) bloqués dans l'achat d'articles "non essentiels" en raison d'un verrouillage


    par Tyler Durden
    Dim, 25/10/2020 - 09:20
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Les personnes vivant sous les nouvelles règles de verrouillage au Pays de Galles ont été empêchées d'acheter des articles dits «non essentiels», qui sont recouverts de bâches en plastique dans les supermarchés.

    «Des articles non essentiels sont couverts dans les supermarchés au Pays de Galles. Faut-il vraiment en arriver là ?" a demandé le journaliste Grant Tucker.

    Pourquoi les gens devraient-ils être empêchés d’acheter des produits de literie pendant un verrouillage du coronavirus est une hypothèse, mais c’est tout à fait normal étant donné à quel point la société a été déformée grâce à de si petites restrictions.

    Comme nous l’avons souligné précédemment, lors du premier verrouillage en avril, une force de police britannique a menacé de commencer à fouiller les paniers d’achat des gens afin d’attraper les contrevenants au verrouillage du coronavirus.

    Le gendarme en chef de la police du Northamptonshire, Nick Adderley, a provoqué l'indignation après être apparu dans une vidéo pour avertir les personnes qui achetaient des articles inutiles dans les épiceries que leurs achats pourraient être examinés par les autorités.

    «Nous ne commencerons pas à ce stade à rassembler les supermarchés et à vérifier les articles dans les paniers et les chariots pour voir s'il s'agit d'un article légitime et nécessaire, mais encore une fois, nous ne nous faisons aucune illusion, si les gens ne tiennent pas compte des avertissements et des supplications que je Aujourd'hui, nous allons commencer à le faire », a déclaré Adderley.

    Le même mois, un acheteur a été condamné à une amende par la police pour avoir acheté du vin et des croustilles, qui étaient considérés comme des articles «non essentiels».

    Les résidents du Pays de Galles sont actuellement soumis à un verrouillage de «niveau 3», ce qui signifie que les gens sont invités à rester chez eux, ne doivent pas visiter d'autres ménages, tandis que les pubs, restaurants, gymnases, églises et magasins jugés «non essentiels» sont tous fermés.

    https://www.zerohedge.com/political/welsh-people-blocked-buying-non-essential-items-due-lockdown

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  11. Visualiser tous les satellites de la Terre: à qui appartient notre orbite ?


    par Tyler Durden
    Dim, 25/10/2020 - 07:35


    Pendant des siècles, les humains se sont tournés vers l'espace et les étoiles pour trouver des réponses. La fascination est plus que philosophique - elle s’accompagne de la nécessité de résoudre les problèmes ici sur Terre.

    Aujourd'hui, comme le détaille Thérèse Wood de Visual Capitalist ci-dessous, il y a apparemment d'innombrables avantages et applications de la technologie spatiale. Les satellites, par exemple, deviennent essentiels pour tout, de la connectivité Internet et de l'agriculture de précision à la sécurité des frontières et aux études archéologiques.

    L'espace est ouvert aux affaires

    À l'heure actuelle, près de 6 000 satellites tournent autour de notre petite planète. Environ 60% d'entre eux sont des satellites obsolètes - des débris spatiaux - et environ 40% sont opérationnels.

    - voir carte sur site -

    Comme le montre le graphique ci-dessus, l'Union of Concerned Scientists (UCS) a déterminé que 2666 satellites opérationnels ont fait le tour du globe en avril 2020.

    Au cours de la prochaine décennie, Euroconsult estime que 990 satellites seront lancés chaque année. Cela signifie que d'ici 2028, il pourrait y avoir 15 000 satellites dans le ciel.

    - voir graphique sur site -

    Avec la constellation Starlink prévue de 12 000 satellites de SpaceX et la constellation proposée par Amazon en préparation, la nouvelle course spatiale poursuit son accélération.

    Voyons de plus près qui exploite ces satellites et comment ils appliquent leur technologie.

    Technologie avec un but

    Les humains utilisent depuis longtemps l'espace pour la navigation. Alors que les marins comptaient autrefois sur les étoiles, nous utilisons aujourd'hui des satellites pour le GPS, la navigation et diverses autres applications.

    Plus de la moitié des satellites opérationnels de la Terre sont lancés à des fins commerciales. Environ 61% d'entre eux fournissent des communications, y compris tout, de la télévision par satellite et de la connectivité Internet des objets (IoT) à Internet mondial.

    Après les communications, 27% des satellites commerciaux ont été lancés à des fins d'observation de la Terre (OT), y compris la surveillance de l'environnement et la sécurité des frontières.

    Les satellites commerciaux peuvent cependant servir à plusieurs fins. Une semaine, un satellite peut être «chargé» d’imaginer une frontière contestée. Il pourrait plus tard être chargé de surveiller la remise en état d'un site minier ou même les suites d'une catastrophe naturelle.

    - voir liste sur site -

    Les fins gouvernementales et civiles représentent 21% de tous les satellites opérationnels de la Terre, et les fins militaires représentent 13%.

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  12. À qui appartient l'orbite terrestre ? Opérateurs spatiaux

    SpaceX, fondé par Elon Musk, n'est pas seulement un fournisseur de lanceurs perturbateurs pour les missions vers la Station spatiale internationale (économisant des millions à la NASA). C’est également le plus grand opérateur commercial de satellites de la planète.

    Avec 358 satellites lancés en avril, une partie de la mission de SpaceX est de renforcer les capacités de navigation et de fournir au monde un Internet spatial.

    Alors que la société exploitait 22% des satellites opérationnels mondiaux en avril, elle a ensuite lancé 175 satellites supplémentaires en l'espace d'un mois, d'août à septembre 2020.

    Suite à sa série de lancements estivaux, SpaceX a annoncé avoir déployé suffisamment de satellites pour prendre en charge la version bêta de son service Internet par satellite, Starlink.

    Chaque satellite commercial dans une seule table

    Depuis décembre 2005, l’UCS a compilé des données sur chaque satellite opérationnel en orbite terrestre. Dans le tableau ci-dessous, vous trouverez tous les satellites commerciaux en orbite, à partir d'avril 2020.

    - voir liste sur site -

    Cubesats, microsats, nanosats, et plus encore - la nouvelle course spatiale est entièrement consacrée aux petits satellites.

    Avec son troupeau de petits satellites EO, ou «colombes», Planet Labs compte désormais plus de 150 satellites en fonctionnement (cependant, en avril 2020, le nombre dépassait 250, selon les données ci-dessus).

    Même Amazon se prépare pour l'espace. En juillet 2020, la FCC a autorisé l'empire technologique de Jeff Bezos à lancer et à exploiter une constellation Internet de 3236 satellites.

    Nations qui dominent l'orbite de la Terre

    Il n'est peut-être pas surprenant que les États-Unis, la Chine et la Russie arrivent en tête de liste des pays dotés de satellites opérationnels.

    Les États-Unis et la Russie (puis l'URSS) ont piloté la course à l'espace tout au long des années 1950 et 1960. Les deux pays font partie des trois premiers opérateurs de satellites actuels, les États-Unis exploitant près de la moitié de tous les satellites, soit 1 308 en avril 2020.

    La Chine suit les États-Unis avec environ 356 satellites. En troisième position, la Russie a 167 satellites en service, et le Royaume-Uni arrive en quatrième position avec 130 satellites.

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    Collectivement, les cinq pays ci-dessus exploitent environ 76% des satellites du monde.

    La nouvelle course spatiale

    Là où la course spatiale originale était une compétition nationaliste entre rivaux de la guerre froide, la nouvelle course spatiale est collaborative et commercialisée.

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  13. Aujourd'hui, la coopération internationale permet le déploiement de satellites, ainsi que la science spatiale. Avant SpaceX, la NASA et les autres agences spatiales qui exploitent la Station spatiale internationale dépendaient des fusées russes Soyouz pour des centaines de missions.

    Avec le succès de ses célèbres fusées réutilisables, SpaceX est sur la bonne voie pour réduire les coûts de lancement de 6 millions de dollars US par vol, ce qui est susceptible de soutenir la prolifération des satellites dans les années à venir.

    Avec une technologie améliorée et des partenariats commerciaux, tous les signes indiquent une orbite bondée.

    https://www.zerohedge.com/technology/visualizing-all-earths-satellites-who-owns-our-orbit

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  14. Ce que les architectes 'du The Great Reset' ne veulent pas que vous compreniez à propos de l'économie


    par Tyler Durden
    Sam, 24/10/2020 - 19:30
    Rédigé par Matthew Ehret via le blog The Saker,


    Il n’est pas surprenant que la vice-présidente de la Banque mondiale, Carmen Reinhardt, ait récemment averti le 15 octobre qu’un nouveau désastre financier se profile à l’horizon avec un vaste défaut souverain et un défaut de dette des entreprises. Au cours des 6 derniers mois de renflouements déclenchés par l'explosion du système induite par le verrouillage du coronavirus, Reinhardt a noté que la Réserve fédérale américaine a créé 3,4 billions de dollars à partir de rien alors qu'il a fallu 40 ans pour créer 14 billions de dollars. Pendant ce temps, des économistes paniqués crient en tandem que les banques transatlantiques doivent déclencher un assouplissement quantitatif toujours plus hyperinflationniste qui menace de transformer notre argent en papier toilette tout en acceptant des verrouillages infinis en réponse à une maladie qui a les niveaux de mortalité d'un commun grippe.

    Le fait de l'effondrement imminent lui-même ne devrait pas être une surprise - surtout quand on se souvient du 1,5 quadrillion de dollars de produits dérivés qui a pris le contrôle d'une économie mondiale qui génère à peine 80 billions de dollars / an de biens mesurables et de commerce. Ces paris nébuleux sur l'assurance sur les paris sur les dettes garanties connues sous le nom de dérivés n'existaient même pas il y a quelques décennies, et le fait est que peu importe ce que la Réserve fédérale et la Banque centrale européenne ont tenté de faire pour arrêter une nouvelle rupture de ce surextension, bulle de casino d'une économie ces derniers mois, rien n'a fonctionné. Les taux d'intérêt de zéro à négatif n'ont pas fonctionné, l'ouverture de prêts repo au jour le jour de 100 milliards de dollars / nuit à des banques en faillite n'a pas fonctionné - et 4,5 billions de dollars de sauvetage n'ont pas été libérés depuis mars 2020. Peu importe ce que ces assistants financiers essaient de faire, les choses ne cesse de s'aggraver. Plutôt que de reconnaître ce qui se passe réellement, des boucs émissaires ont été sélectionnés pour détourner le blâme de la réalité au point que la crise actuelle est en fait imputée au Coronavirus !

    Cela va bien au-delà du COVID-19

    Permettez-moi de dire tout simplement: que si le coronavirus peut en fait être le catalyseur de l'explosion financière imminente, c'est le comble de la stupidité de croire que c'est la cause, car les germes de la crise sont plus profonds et sont apparus beaucoup plus tôt les gens sont prêts à admettre.

    Pour commencer à établir un diagnostic plus véridique, il est utile de penser à une économie en termes réels (par opposition à purement financiers) - c'est-à-dire: Pensez simplement à l'économie comme un système global dans lequel le corps de l'humanité (toutes les cultures, nations et familles du monde) existent.

    Cette coexistence repose sur certains pouvoirs nécessaires de production de nourriture, de vêtements, de biens d'équipement (infrastructures matérielles et immatérielles), de transport et de production d'énergie. Une fois les matières premières transformées en produits finis, ces biens et services physiques se déplacent des points A vers B et sont consommés. Cela ressemble beaucoup au métabolisme qui maintient un corps vivant.

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  15. Maintenant que les populations ont tendance à croître géométriquement, tandis que les ressources s'épuisent arithmétiquement, des demandes constantes de nouvelles découvertes créatives et d'applications technologiques sont également nécessaires pour répondre et améliorer les besoins d'une humanité croissante. Ce dernier facteur est en fait le plus important car il touche à l'élément de principe qui distingue l'humanité de toutes les autres formes de vie de l'écosystème que Lincoln a merveilleusement identifié dans son discours de 1859 sur les découvertes et les inventions:

    «Toute création est une mine, et chaque homme, un mineur. La terre entière, et tout ce qu'elle contient, sur elle et autour d'elle, y compris lui-même, dans sa nature physique, morale et intellectuelle, et ses susceptibilités, sont les «fils» infiniment divers d'où l'homme, dès le premier, était de creuser son destin… L'homme n'est pas le seul animal qui travaille; mais il est le seul à améliorer son travail. Cette amélioration, il la réalise par des découvertes et des inventions.

    Dans un discours prononcé en 2016 par le président Xi Jinping, les principes de la compréhension de Lincoln ont été exposés par l'homme d'État chinois qui a déclaré:

    «Nous devons considérer l'innovation comme le moteur principal de la croissance et le cœur de toute cette entreprise, et les ressources humaines comme la principale source de soutien au développement. Nous devons promouvoir l'innovation dans la théorie, les systèmes, la science et la technologie et la culture, et faire de l'innovation le thème dominant du travail du Parti, du gouvernement et de l'activité quotidienne de la société… Au XVIe siècle, la société humaine est entrée dans une période sans précédent de innovation active. Les réalisations en innovation scientifique au cours des cinq derniers siècles ont dépassé la somme totale de plusieurs millénaires précédents. . . . Chaque révolution scientifique et industrielle a profondément changé les perspectives et le modèle du développement mondial… Depuis la deuxième révolution industrielle, les États-Unis ont maintenu l'hégémonie mondiale parce qu'ils ont toujours été le chef de file et le plus grand bénéficiaire du progrès scientifique et industriel.

    Ce que Lincoln et Xi ont mis à l'écart 150 ans ne sont pas de simples hypothèses, mais des faits élémentaires de la vie que même le plus ardent adorateur de l'argent ne peut pas contourner.

    Bien sûr, l'argent est un outil parfaitement utile pour faciliter le commerce et contourner le problème embarrassant de transporter des marchandises troquées sur le dos toute la journée, mais c'est vraiment cela: un élément de soutien à un processus physique de maintenance et d'amélioration de la transgénération. existence. Lorsque les imbéciles se permettent de perdre de vue ce fait et d'élever l'argent au statut de cause de toute valeur (simplement parce que tout le monde le veut), alors nous nous trouvons bien en dehors de la sphère de la réalité et dans le monde d'Alice au pays des merveilles d'Alan Greenspan. Le monde fantastique où le haut est le bas, le bien est le mal, et les humains ne sont guère plus que des singes vicieux.

    Gardant cela à l’esprit, prenons ce concept et revenons sur la crise d’aujourd’hui.

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  16. Le «Big Bang» de Londres

    La grande «libéralisation» du commerce mondial a commencé par une série de vagues tout au long des années 1970 et est passée à la vitesse supérieure avec les hausses des taux d'intérêt du président de la Réserve fédérale Paul Volcker en 1980-82, dont les effets ont annihilé une grande partie des petits et les entrepreneurs de taille moyenne, ont ouvert les portes spéculatives de la débâcle de «l'épargne et du prêt» et ont également aidé à transformer les institutions minières, alimentaires et financières en cartel de plus en plus géants. Volcker lui-même a décrit ce processus comme une «désintégration contrôlée de l'économie américaine» lorsqu'il est devenu président de la Fed en 1978. L'augmentation des taux d'intérêt à 20-21% a non seulement anéanti l'essentiel de la base économique américaine, mais a également jeté le tiers monde dans un plus grand esclavage de la dette, car les nations devaient maintenant payer des intérêts usuraires sur les prêts américains.

    En 1986, la ville de Londres a annoncé le début d'une nouvelle ère d'irrationalisme économique avec la déréglementation «Big Bang» de Margaret Thatcher. Cette vague de libéralisation a pris le monde d'assaut en balayant la séparation des banques de commerce, de dépôt et d'investissement qui avait été la pierre angulaire de l'après-guerre pour garantir que la volonté de la finance privée ne dominerait plus jamais plus que le pouvoir du souverain. état nation. Pour ceux qui ne sont pas convaincus par le rôle directeur de Londres dans ce processus, je vous encourage à lire l’essai impeccable de Cynthia Chung «Sugar and Spice, and Everything Vice: The Empire’s Sin City of London».

    Greenspan et la désintégration contrôlée de l'économie

    Lorsque Alan Greenspan a affronté la crise financière d'octobre 1987, les marchés s'étaient effondrés de 28,5 % et l'économie américaine souffrait déjà d'une dégradation commencée 16 ans plus tôt lorsque le dollar a été retiré du taux de change fixe et a été «flotté» dans un monde de spéculation . Ce départ du modèle de croissance industrielle de 1938-1971 a inauguré un nouveau paradigme de «post-industrialisme» (alias: dépouillement de la nation) sous la nouvelle logique de la «mondialisation». Cette décision insensée a été célébrée comme la «société des cols blancs» axée sur les consommateurs qui ne se soucierait plus des «choses immatérielles» comme «l'avenir», l'entretien des infrastructures ou la «croissance». Dans ce nouveau paradigme, si quelque chose ne pouvait pas générer de profit monétaire dans les 3 ans, cela ne valait pas la peine de le faire.

    Paul Volcker (prédécesseur de Greenspan à la Réserve fédérale) a illustré ce détachement de la réalité lorsqu'il a appelé à la «désintégration contrôlée de la société» en 1977, et a agi en conséquence en maintenant les taux d'intérêt au-dessus de 20% pendant deux ans, ce qui a détruit les petites et moyennes entreprises agro-industrielles. entreprises à travers l'Amérique (et le monde). Greenspan a affronté la crise de 1987 avec tout l'enthousiasme d'un magicien noir, et plutôt que de reconnecter l'économie à la réalité physique et de reconstruire la base industrielle en décomposition, il a plutôt choisi de normaliser les «instruments financiers créatifs» sous forme de dérivés (aka: «Instruments financiers créatifs»), qui est rapidement passé de plusieurs milliards en 1988 à 2 000 milliards de dollars en 1992 à 70 000 milliards de dollars en 1999.

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  17. «Instruments financiers créatifs» était le nom orwellien donné au nouvel actif financier popularisé par Greenspan, mais autrement connu sous le nom de «dérivés». Les nouvelles technologies de calcul intensif ont été de plus en plus utilisées dans cette nouvelle entreprise, non pas comme support pour des pratiques de construction de nation plus élevées, et des programmes d'exploration spatiale comme leurs origines de la NASA le voulaient, mais elles seraient plutôt perverties pour accueillir la création de nouvelles formules complexes qui pourraient associer des valeurs au prix. différentiels sur les titres et les dettes assurées qui pourraient ensuite être «couverts» sur ces marchés au comptant et à terme rendus possibles grâce à la destruction du système de Bretton Woods en 1971. Ainsi, alors qu'un monstre exponentiellement auto-générateur a été créé qui ne pouvait aboutir nulle part mais effondrement, la «confiance du marché» est revenue en force avec le nouveau flux d'argent facile. Le potentiel physique pour soutenir la vie humaine a continué de chuter.

    L'ALENA, l'euro et la fin de l'histoire

    Ce n'est pas par hasard qu'au cours de cette période, un autre traité meurtrier a été adopté, appelé l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA). Avec cet accord promulgué, les programmes de protection qui avaient maintenu les usines nord-américaines aux États-Unis et au Canada ont été annulés, permettant l'exportation de la force vitale d'une main-d'œuvre industrielle hautement qualifiée vers le Mexique, où les compétences étaient faibles, les technologies plus basses et les salaires encore plus bas. Avec un dépouillement de ses actifs productifs, l'Amérique du Nord est devenue de plus en plus dépendante de l'exportation de ressources et de services bon marché pour ses moyens d'existence. Encore une fois, les pouvoirs physiquement productifs de la société s'effondreraient, mais les profits monétaires dans le «maintenant» éphémère monteraient en flèche. Cela a été reproduit en Europe avec la création du traité de Maastricht en 1992 établissant l'euro en 1994, tandis que le processus de «libéralisation» de la perestroïka a reproduit cet agenda dans l'ex-Union soviétique. Alors que certaines personnalités ont donné à cet agenda le nom de «fin de l'histoire» et d'autres de «nouvel ordre mondial», l'effet était le même.

    La banque universelle, l'ALENA, l'intégration de l'euro et la création de l'économie dérivée en l'espace de quelques années à peine induiraient une cartellisation de la finance par le biais de fusions et acquisitions nouvellement légalisées à un rythme jamais vu auparavant. La multitude d'institutions financières qui existaient au début des années 80 ont été absorbées les unes dans les autres à grande vitesse tout au long des années 90 en véritable mode de «survie du plus apte». Quel que soit le niveau de réglementation tenté dans le cadre de cette nouvelle structure, le degré de conflit d'intérêts et le pouvoir politique privé étaient incontrôlables, comme en témoigne aux États-Unis, l'arrêt de toute tentative de lutte du chef de la Securities and Exchange Commission Brooksley Born. le cancer dérivé à ses débuts.

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  18. Lorsque Bill Clinton a abrogé la séparation entre les banques Glass-Steagall et les banques commerciales et d’investissement, comme son dernier acte au pouvoir en 1999, les spéculateurs avaient un accès illimité à l’épargne et aux pensions qu’ils utilisaient avec goût et allaient jouer en ville avec l’argent d’autres personnes. Cette nouvelle bulle a continué pendant encore quelques années jusqu'à ce que la bombe à retardement de 700 billions de dollars sur les dérivés trouve un nouveau déclencheur et que le marché des prêts hypothécaires à risque a failli brûler le système. Tout comme en 1987, et l'effondrement de la bulle de l'an 2000 en 2001, les sorciers adorateurs de Mammon de la BCE et de la Fed ont résolu cette crise en créant un nouveau système de «sauvetage» qui s'est poursuivi pendant une autre décennie.

    La frénésie 2000-2008

    Avec la suppression de Glass-Steagall, des capitaux légitimes tels que les fonds de pension pourraient être utilisés pour créer une couverture afin de mettre fin à toutes les couvertures. Des milliards étaient désormais investis dans les titres adossés à des créances hypothécaires (MBS), un marché qui avait été artificiellement plongé à des taux d'intérêt record de 1 à 2% depuis plus d'un an par la Réserve fédérale américaine, facilitant les emprunts, et les rendements des investissements dans les MBS obscènes. L'obscénité a gonflé alors que les valeurs des maisons montaient en flèche bien au-delà des valeurs réelles à hauteur de cent mille maisons en dollars se vendant 5 à 6 fois ce prix en l'espace de plusieurs années. Tant que personne ne supposait que cette croissance était anormale et que la nature impayable du capital sous-jacent aux actifs à effet de levier enfermés dans les désormais tristement célèbres «subprimes» et autres créances illégitimes était ignorée, les bénéfices étaient censés continuez simplement indéfiniment. Quiconque remettait en question cette logique était considéré comme hérétique par le sacerdoce des derniers jours.

    Le «succès» stupéfiant de la titrisation des dettes immobilières a immédiatement incité une vague de fonds souverains à prendre de l'importance en appliquant aux dettes le même modèle que celui utilisé dans le cas des titres adossés à des hypothèques (MBS) et des titres de créance garantis (CDO). de nations entières. La titrisation de paquets groupés de dettes souveraines qui pourraient ensuite être exploitées à l'infini sur les marchés mondiaux déréglementés ne serait plus considérée comme un acte de trahison nationale, mais comme la clé de l'argent facile.

    La vilaine vérité de la crise d’aujourd’hui

    De nouvelles bulles «subprime» ont été créées dans le secteur de la dette des entreprises qui est passé à plus de 13,8 billions de dollars (en hausse de 16% par rapport à l'année précédente). Dont un quart est considéré comme indésirable, et une autre moitié notée BB par Moodies (un cran au-dessus de la jonque).

    La dette des ménages, la dette des étudiants et celle de l'automobile ont grimpé en flèche et depuis que les salaires n'ont pas suivi l'inflation, ce qui entraîne encore plus de dettes impayables ont été contractées en désespoir de cause. Les emplois industriels se sont effondrés de façon constante depuis 1971, et les emplois de services mal rémunérés ont pris le dessus comme une peste.

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  19. Le dernier rapport de l'American Society of Civil Engineers a conclu que l'Amérique avait désespérément besoin de dépenser 4,5 billions de dollars juste pour amener son infrastructure délabrée à des niveaux de sécurité. Les routes, les ponts, les voies ferrées, les barrages, les aéroports, les écoles ont tous reçu des notes presque défaillantes avec l'âge moyen des barrages à 56 ans, et de nombreuses conduites d'eau de plus de 100 ans et les lignes de transport / distribution ont bien plus de 60 ans. Les usines qui fournissaient autrefois ces besoins en infrastructure sont depuis longtemps externalisées, et une grande partie de la main-d'œuvre productive qui possédait ces connaissances vivantes pour bâtir une nation est à la retraite ou est morte, laissant à sa place un déficit de connaissances mortel rempli de milléniaux qui n'ont jamais su ce qu'est une économie productive ressemblait à.

    Les agriculteurs américains ont probablement été les plus dévastés dans tout cela avec des pertes de population dramatiques dans toute la ceinture agricole américaine et l'âge moyen des agriculteurs maintenant 60 ans. Il a été récemment rapporté que 82% du revenu familial agricole américain provient de l'extérieur des fermes, car les méga cartels ont repris tous les aspects de l'agriculture (de l'équipement / des fournitures, de l'emballage et même de l'agriculture réelle entre les deux).

    Combiné à la destruction contrôlée des approvisionnements alimentaires mondiaux au niveau international, COVID a veillé à ce que les approvisionnements stratégiques de la chaîne alimentaire soient réduits en miettes, l'ONU signalant la pire crise alimentaire en plus de 50 ans (et cela ne rend pas compte de l'explosion imminente de la bulle économique. ).

    Pourquoi cela a-t-il été autorisé ? Outre l'intention évidente d'induire «une désintégration contrôlée de l'économie» comme l'a si froidement déclaré Volcker, l'idée a toujours été de créer les conditions décrites par le regretté Maurice Strong (sociopathe et extraordinaire coupure Rothschild) en 1992 quand il a demandé rhétoriquement :

    «Et si un petit groupe de dirigeants du monde concluait que le principal risque pour la Terre vient des actions des pays riches ? Et si le monde veut survivre, ces pays riches devraient signer un accord réduisant leur impact sur l'environnement. Vont-ils le faire ? La conclusion du groupe est «non». Les pays riches ne le feront pas. Ils ne changeront pas. Alors, pour sauver la planète, le groupe décide: Le seul espoir pour la planète que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N'est-il pas de notre responsabilité d'y parvenir ? »

    Comment retrouver la santé ?

    Comme tout toxicomane qui se réveille un matin au plus bas avec la terreur soudaine que sa mort est proche, la première étape consiste à admettre que nous avons un problème. Cela signifie simplement: reconnaître la vraie nature de la calamité économique actuelle au lieu d'essayer de blâmer le «coronavirus» ou la Chine, ou un autre bouc émissaire.

    La prochaine étape est de commencer à agir sur la réalité au lieu de continuer à prendre l'héroïne (une belle métaphore de la dépendance à la spéculation sur les dérivés).

    Une première étape évidente vers cette reprise consiste à restaurer Glass-Steagall afin de 1) briser les banques Too Big to Fail et 2) imposer une norme de jugement de la «fausse» valeur de la valeur «légitime» qui est actuellement absente de la psycho moderne qui a perdu tout sens des besoins par rapport aux désirs. Cela permettrait aux nations de recréer une purge de la dette fictive non remboursable et des autres créances du système tout en préservant tout ce qui est lié à l'économie réelle (tout ce qui est directement lié à la vie). Ce processus s'apparente à couper un cancer.

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  20. Cet acte ressemblerait beaucoup à ce que Franklin Roosevelt a fait en 1933, que j'ai décrit dans mon récent article Hyperinflation, fascisme et guerre: comment le nouvel ordre mondial peut être vaincu une fois de plus.

    À ce stade, les États-nations auront réaffirmé leur véritable autorité sur les pirates de la finance privée contrôlant le système financier transatlantique comme les dieux potentiels de l'Olympe (vices pervers illimités et tout).

    Il devrait être évident pour tous que les États-Unis doivent sortir la tête de leur proverbial cul avant qu'il ne soit trop tard en imposant ces réformes aux sociopathes meurtriers de Wall Street et de Londres qui préféreraient promouvoir un «Great Reset» sur l'économie mondiale. sous le brouillard du COVD afin de contrôler les conditions de l'éruption mais aussi les règles du nouveau système d'exploitation post-État qu'ils souhaitent voir mis en ligne comme une «solution» (finale).

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/what-great-reset-architects-dont-want-you-understand-about-economics

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  21. Référendum pour une nouvelle Constitution

    Les citoyens chiliens décideront ce dimanche s’ils veulent une nouvelle Constitution et remplacer ainsi celle héritée de la dictature d’Augusto Pinochet.

    Pour ou contre un changement de Constitution ? Les Chiliens votent dimanche par référendum, un an après l’éclatement d’un soulèvement social d’une ampleur inédite qui a remis en cause le modèle économique accusé de bénéficier seulement aux plus riches.

    Les bureaux de vote ont ouvert à 8 heures (12 heures en Suisse), ont constaté des journalistes de l’AFP. Ils fermeront à 20 heures (minuit chez nous), soit deux heures de plus que d’ordinaire pour éviter les attroupements en raison de la pandémie de coronavirus.

    «J’ai beaucoup d’espérance pour que les choses changent et que nous fassions prendre un virage radical à ce pays», a expliqué à l’AFP Romina Nuñez, 42 ans, qui tient un bureau de vote au Stade national de Santiago, le plus grand centre de vote du pays.

    «Chaque voix compte»

    Après avoir voté tôt dans un quartier aisé de la capitale, le président conservateur Sebastian Piñera a appelé les Chiliens à se rendre aux urnes «parce que chaque voix compte». «Il faut rejeter la violence et prendre le chemin de l’unité», a-t-il ajouté.

    Remplacer la Constitution héritée de la dictature d’Augusto Pinochet (1973-1990) était une des revendications des manifestants descendus dans la rue à partir du 18 octobre 2019 pour réclamer une société plus juste.

    Les 14,7 millions d’électeurs appelés à voter doivent répondre à deux questions: «Souhaitez-vous une nouvelle Constitution ?» et «Quel organe devra rédiger la nouvelle Constitution ?»

    Ils pourront choisir entre une «Convention mixte constitutionnelle» composée de citoyens élus et de parlementaires, et une «Convention constituante» formée uniquement de citoyens.

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  22. Réduire les inégalités

    Pour les partisans du «Apruebo» (J’approuve), essentiellement dans l’opposition du centre et de gauche, une nouvelle Constitution lèverait un obstacle essentiel à de profondes réformes sociales, dans un des pays parmi les plus inégalitaires d’Amérique latine.

    «La Constitution actuelle favorise le système néolibéral à un niveau extrême, elle a perpétué un système totalement inégalitaire», estime Ernesto Quintana, un psychologue de 38 ans.

    Les défenseurs du «Rechazo» (Je rejette), qui rassemblent les partis les plus conservateurs, estiment qu’il est possible d’introduire des changements dans le texte fondamental, garant selon eux ces dernières décennies de la stabilité du Chili, sans avoir besoin de le remplacer.

    «Je veux la paix et pour cela je vote contre», peut-on lire sur des murs de la capitale Santiago, en référence aux violences et dégradations qui ont régulièrement émaillé les manifestations depuis le début de la crise.

    Selon les derniers sondages, le «Apruebo» l’emporterait avec entre 60 et 75% des suffrages, mais la pandémie laisse planer l’incertitude sur la participation.

    Le Chili a franchi samedi la barre des 500.000 contaminations (13.000 décès), mais la courbe des contagions est stabilisée.

    Péché originel

    Jusqu’à cette date, aucune tentative de remplacement du texte fondamental n’avait abouti: la Constitution avait été rédigée en 1980 de sorte que les franges conservatrices de la société puissent se maintenir au pouvoir, y compris après la fin de la dictature.

    «Le premier objectif de ce processus constitutionnel est de sortir de l’ombre de la dictature de Pinochet (…) d’avoir une nouvelle Constitution sans le péché originel d’avoir été élaborée sous la contrainte», explique à l’AFP Marcelo Mella, politologue de l’Université de Santiago.

    Le deuxième objectif, ajoute-t-il, est de «pouvoir résoudre par des moyens politiques et pacifiques les problèmes devenus structurels et qui paralysent le fonctionnement de la démocratie chilienne», tels que l’inégalité et l’exclusion.

    Conséquence de la pandémie et hasard du calendrier: initialement prévu le 26 avril, le scrutin avait été reporté au 25 octobre.

    Il se déroulera donc un an jour pour jour après le rassemblement historique de la Plaza Italia, au centre de Santiago, lorsque 1,2 million de personnes s’étaient retrouvées à l’épicentre des manifestations, marquant un tournant dans la contestation.

    Jusqu’à l’éclatement de la crise, le Chili était loué comme un des pays les plus stables d’Amérique latine, encensé pour ses bons résultats macro-économiques.

    Déclenchée par une hausse du ticket de métro à Santiago, la crise a été nourrie par la colère de la population provoquée par la déconnexion des élites face au quotidien difficile du plus grand nombre, et a pris de court l’ensemble de la classe politique.

    https://www.lematin.ch/story/referendum-pour-une-nouvelle-constitution-73259396530

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  23. La Californie commence à couper l'alimentation de 361000 clients alors que le risque d'incendie augmente


    par Tyler Durden
    Dim, 25/10/2020 - 18:20


    Face à la sécheresse écrasante des os et aux vents les plus forts de la saison des incendies de forêt, la plus grande société de services publics de Californie, Pacific Gas and Electric (PG&E), qui a déposé son bilan historique en raison de son rôle dans les enfers précédents qui balayaient l'État, a "mis hors tension certaines lignes électriques "dans le nord de la Californie, ce qui pourrait entraîner ce qui pourrait être la plus grande panne d'électricité de masse de l'année.

    PG&E a publié une déclaration dimanche matin, informant ses clients que 361 000 foyers et / ou entreprises faisaient partie de la panne, affectant 36 comtés, principalement dans le nord de la Californie, à partir de 10h00 PST. Vous trouverez ci-dessous les comtés touchés par les coupures de courant prévues:

    - voir carte sur site -

    La projection initiale de PG&E des foyers et des entreprises qui perdraient de l'électricité dimanche est en baisse de 105 000 par rapport à l'estimation de 466 000 de vendredi. La principale raison de la mise hors tension de certaines de ses lignes électriques par la compagnie d'électricité est que des vents violents sont attendus dimanche, augmentant le risque pour les arbres et / ou les membres de voler dans les lignes électriques et de déclencher des incendies dans les régions à faible humidité et à végétation sèche.

    "Cet événement semble particulièrement dangereux en raison d'une combinaison de facteurs que nous continuons de suivre", a déclaré Scott Strenfel, responsable de la météorologie et de la science du feu chez PG&E, cité par Bloomberg. Des vents forts et une faible humidité étaient attendus tout au long de la journée de dimanche, a-t-il déclaré.

    La prochaine série de pannes de courant, attendue sous peu, sera un coup dévastateur pour l'État, déjà frappé par des conditions météorologiques extrêmes cette saison des incendies, brûlant jusqu'à présent plus de 4 millions d'acres. PG&E a coupé le courant de manière préventive quatre fois cette saison.

    De fortes rafales de vent sont attendues dans certaines régions du nord de la Californie jusqu'à lundi, a tweeté le National Weather Service (NWS) Sacramento.

    - voir carte sur site -

    NWS Sacramento décrit un risque d'incendie «dangereux» pour le nord de la Californie jusqu'à dimanche.

    «Des conditions météorologiques d'incendie dangereuses critiques à extrêmement critiques sont attendues dans certaines parties du nord de la Californie aujourd'hui, car de forts vents au large se produisent sur des carburants extrêmement secs. Les vents les plus forts sont attendus de cette nuit jusqu'à lundi matin.

    - voir carte sur site -

    Un avertissement de drapeau rouge a été affiché pour une grande partie de la Californie du Nord aujourd'hui. Cela signifie que les conditions météorologiques des incendies sont mûres pour les incendies de forêt.

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  24. Plus d'informations sur l'avertissement du drapeau rouge.

    - voir carte sur site -

    De nouveaux incendies de forêt commencent déjà à apparaître.

    Voici les incendies de forêt actuels en Californie:

    - voir carte sur site -

    Alors que les pannes de courant commencent, les Californiens cherchent frénétiquement sur Internet pour voir si leurs maisons se trouveront dans les zones touchées.

    - voir carte sur site -

    La saison des incendies en Californie dure généralement jusqu'en octobre, mais étant donné les conditions de La Nina, elle pourrait se prolonger jusqu'en novembre.

    https://www.zerohedge.com/commodities/california-begins-cutting-power-361k-customers-fire-risk-surges

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    1. Le monde est dirigé par des INCAPABLES ! Des putes aux services des 'hommes de l'ombre' !

      Ils vous disent que le gaz carbonique est un... POISON !!
      Ils coupent l'électricité de partout !
      Puis, ils vous obligent à respirer votre gaz carbonique expiré dans les masques !
      Puis vous enferment chez vous en sachant que l'emprisonnement à domicile cause plus de morts que d'être dehors !
      Ils refusent d'écouter les scientifiques qui, dès le premier jour, ont disqualifié les éoliennes avec 3 pâles qui tueront des milliards d'oiseaux et d'abeilles et consommeront plus d'électricité qu'elles ne peuvent en produire ! (les éoliennes doivent tourner quand il n'y a pas de vent pour éviter le 'grippage'. Or, pour faire tourner 3 pales de 60 tonnes chacune... Faut un très gros moteur électrique !).
      Ils ont obligé tous les pays du monde à mettre des éoliennes de partout ! Des panneaux solaires inutiles de partout ! Et, à fermer les centrales nucléaires !

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  25. Le culte du brave New Normal


    par Tyler Durden
    Lun, 26/10/2020 - 02:00
    Rédigé par le Dr Bruce Scott via Off-Guardian.org,


    En mars, ce n'était qu'un blocage de trois semaines, pour aplatir la courbe afin de ne pas submerger le NHS. Le récit a rapidement évolué. Il est parti de ce qui semblait être une idée raisonnable de garder l'espace de lit du NHS libre sur la base de la prédiction complètement fausse de Neil Fergusson selon laquelle les hôpitaux seraient submergés par des patients souffrant de COVID19.

    Cela n'est jamais arrivé. De nombreuses semaines se sont écoulées où les masques faciaux n'étaient pas nécessaires, puis soudainement en juillet, longtemps après que la majorité des décès supposés par COVID19 se soient produits, les masques faciaux ont été rendus obligatoires.

    En effet, le conseil du gouvernement britannique de Chris Whitty et de l'Organisation mondiale de la santé était que les masques faciaux n'étaient pas efficaces pour arrêter la propagation du COVID19 ou pour le contracter; la science ne change pas si vite - quiconque vous dit le contraire est un menteur.

    Le résultat est que nous sommes maintenant plongés dans un culte Covidian, un récit psychotique totalitaire qui a peu de lien avec la réalité ou avec les faits.

    L'opposition aux discours officiels du gouvernement concernant Covid19 est bien connue. Je ne prendrai pas la peine de vous dire à nouveau ce qui est déjà connu ou peut être facilement vérifié.

    Qu'il suffise de dire, il suffit de taper dans Google «La déclaration de Great Barrington» ou ACU2020, où l'on peut lire sur les médecins, les scientifiques et les avocats qui s'opposent aux restrictions multi-gouvernementales COVID19 et aux lois de distanciation sociale, de verrouillage, obligatoire / contraint consentez aux vaccins et aux masques faciaux obligatoires, entre autres.

    Leur argument essentiel, contrairement à la politique multi-gouvernementale sur le COVID19, est que le virus n'est pas le danger qu'on nous dit qu'il est; les données sur le COVID19 sont claires: nous n'avons pas besoin de verrouiller la société, de détruire l'économie ou d'effrayer les gens dans la mort car ils ont peur de quitter leur domicile de peur d'attraper le COVID19 ou de rechercher un traitement médical pour une maladie non COVID19, ce qui s'est produit.

    Plus précisément, de nombreux médecins et scientifiques affirment que les masques faciaux ne sont pas protecteurs et pourraient être très nocifs. Le Dr Jay Bhattacharya, signataire de la déclaration de Great Barrington, que 40 000 médecins, scientifiques de la santé publique et médecins ont signée, a déclaré que l'utilisation de masques faciaux n'est pas soutenue dans la littérature scientifique. Il n'y a pas de données randomisées pour indiquer s'ils sont efficaces pour réduire la propagation du COVID19.

    En effet, les masques faciaux n'ont aucune efficacité dans la propagation de la grippe. Cela est étayé par le fait que la distance sociale et les masques faciaux n'ont pas fait de différence sur le taux annuel de décès par grippe au Royaume-Uni.

    Le 15 octobre 2020, la dure réalité que nous sommes dirigés par un récit de culte psychotique de Covidian est devenue encore plus évidente; Nicola Sturgeon, le premier ministre d'Écosse, a annoncé avec une grande joie que les couples qui se marieraient n'auraient plus à porter de masques pour se marier. Bien sûr, le prêtre, le vicaire ou le greffier, etc., qui dirigeait les cérémonies, n'a jamais eu à porter de masque pour diriger la cérémonie de mariage. Quel genre de leader politique imposerait aux couples qui, à toutes fins utiles, vivront ensemble et passeront la nuit ensemble après le mariage, devront porter un masque lors de leur cérémonie de mariage ? Un masque serait-il nécessaire pour que l'heureux couple puisse consommer son mariage le soir de ses noces ?

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  26. Cette règle ridicule du masque facial imposée par Nicola Sturgeon montre assez clairement le côté sombre de la politique écossaise. C'est ridicule parce que Nicola Sturgeon (ainsi que tous les autres membres du personnel du MSP et de Holyrood) a rencontré de nombreuses personnes d'autres ménages à l'intérieur du parlement (avant et après l'imposition des masques), tout en disant continuellement aux masses qu'elles ne peuvent pas rencontrer des gens d'autres ménages à l'intérieur. Une règle pour moi, une pour toi.

    La paranoïaque alimentée par les règles COVID19 délivrées par Sturgeon quotidiennement au cours de la semaine et même répétées fréquemment sur son compte Twitter, et la nature flagrante et illogique de ces règles ne sont pas destinées à consoler ou réconforter les masses. Non, il s'agit d'une tentative délibérée de désorienter et de contrôler l'esprit des masses.

    Les chefs de secte font cela à leurs adeptes pour court-circuiter leur pensée critique. Les chefs de secte changeront également les règles ou le récit à un coup de tête sans raison apparente. D'où le changement de pouvoir maintenant se marier sans masque facial, même si les restrictions COVID19 sont à nouveau resserrées dans tout le Royaume-Uni; cela n'a aucun sens, ce n'est pas destiné à, et les masses sont censées suivre, pas remettre en question et obéir.

    Les dirigeants de sectes veulent faire suivre aux masses le chaos.

    Ce comportement aimable est également applicable au domaine du BDSM (bondage, domination, sado-masochisme) ou à la dialectique maître-esclave. Dans le monde du BDSM, un maître ou une maîtresse imposera des règles illogiques, mais exigera d'être obéi. Comme un esclave dans le scénario BDSM pourrait dire, «Maîtresse a raison même si Maîtresse a tort».

    Cela forme la base pour qu'un sujet humain devienne un objet, s'éloigne de lui-même. Cette structure logique sous-tend les diktats des politiciens concernant les restrictions COVID19. L'affichage flagrant des diktats tels que Catherine Calderwood, Neil Fergusson, Dominic Cummings, Margaret Ferrier (et bien d'autres dont nous n'avons pas encore entendu parler) témoigne du fait qu'ils ne prennent pas vraiment ces restrictions COVID19. sérieusement.

    Cette objectivation abusive et cette aliénation sont ce que les totalitaires et les chefs de sectes veulent atteindre et imposer à leurs adeptes. Les rituels d'initiation comme le port de masque (surtout lors du mariage) et la distanciation sociale, attaquent une personne avec terreur, douleur, humiliation et soumission. Bien sûr, toute personne qui a été dans une relation abusive vous dira que des rituels ou des comportements inutiles sont exigés par le partenaire violent et sadique abusif pour porter l'autre personne.

    Comme on le trouve si souvent dans les cultes et les individus dans des relations abusives, les membres de la secte ou le partenaire abusé feront même de grands efforts pour défendre les demandes du chef de la secte ou la personne qui les abuse. Dans notre situation difficile actuelle, cela est très ironique car le gouvernement écossais a récemment introduit la violence psychologique comme un crime.

    Cette dialectique abusive qui se joue entre le gouvernement britannique / le gouvernement écossais / les assemblées décentralisées et les masses pourrait expliquer pourquoi tant de gens ne peuvent pas percevoir le totalitarisme qui leur est infligé juste en face d'eux, ou directement sur leur visage sous le couvert de masques et jusqu'à récemment masqués devant l'autel qui se marie.

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  27. Le problème que nous avons est le suivant: les gens ont généralement du mal à reconnaître la nature délirante d'un récit totalitaire de maître. L'Allemagne nazie en est un bon exemple; la dissonance cognitive était une caractéristique courante des gens à cette époque. Les gens qui ne peuvent pas voir les mouvements totalitaires faits sur eux ne sont ni ignorants ni inintelligents; ils ont été initiés à un culte par les méthodes de l'initiation, du chaos, de la confusion et du court-circuit de la pensée critique.

    Nous sommes initiés et conditionnés pour un futur mode de vie où il n'y aura pas de retour à la normalité, et cela n'a rien à voir avec un virus. C'est pourquoi les enfants sont socialement distancés dans les écoles, sont obligés de porter des masques dans certains contextes, sont traités comme des bio-risques par leurs enseignants et ont peur à moitié en étant obligés de se laver les mains de manière obsessionnelle plusieurs fois par jour avec un abrasif. désinfectant pour les mains.

    S'inspirant de la pensée psychanalytique, de telles directives imposées aux enfants garantiront que de nombreux enfants grandiront dans l'anxiété sociale et la peur des interactions sociales. Cela laisse croire que le «mouvement» des expériences défavorables de l'enfance (ACE) en Écosse est totalement silencieux sur les préjudices commis sur les enfants en raison de ces restrictions et règles du COVID19 scientifiquement contestables.

    Comme le déclare le Center for Disease Control, le taux de survie estimé pour les personnes âgées de 0 à 19 ans pour le COVID19 est de 99,997 %, de 20 à 49 ans de 99,98 %, de 50 à 69 ans de 99,5 % et de 70 ans + 94,6 % respectivement. Et maintenant, nous avons une casédémie où les taux de faux positifs (89 % -94 % de positifs potentiellement faux) et le test PCR ne testent même pas le COVID19 (voir ACU, 2020). Bien sûr, les politiciens ignorent le fait que le test PCR n'a jamais été conçu pour être un instrument de diagnostic à utiliser pour informer la politique de santé publique, sans parler de le mandat.

    La culture de la désindividualisation selon laquelle les rituels totalitaires abusifs de type sectaire de distanciation sociale, de port de masque et de ne pas pouvoir rencontrer librement les gens est également prête à être intensifiée encore plus; Nicola Sturgeon a déclaré qu'elle considérait les masques faciaux comme obligatoires même dans les espaces extérieurs - sept mois après le début de ce cauchemar COVID19 - une autre idée illogique et ridicule sans fondement scientifique.

    Nous entrons maintenant dans un point de basculement précaire; pas du virus, mais des membres désindividués de la secte qui suivent servilement ces nouvelles règles et ne contestent pas le port de masques à l'extérieur. Nul doute que le «coup de coude» du gouvernement fonctionnera un régal pour les masses

    C’est parce que les gouvernements britannique et écossais nous manipulent, nous contraignent et nous effrayent à suivre les règles et à nous humilier quand nous ne le faisons pas. Les gouvernements britannique et écossais utilisent la psychologie comportementale appliquée, enfreignant les directives éthiques des psychologues, pour faire délibérément monter la peur dans la population. Un groupe de psychologues appelé Scientific Pandemic Influenza Group on Behaviors (SPI-B) du SAGE a été chargé de conseiller les gouvernements britannique et écossais sur la manière d'amener les gens à respecter les restrictions du COVID 19.

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  28. À partir de leur document, disponible gratuitement sur le site Web du gouvernement britannique, il est écrit:

    Un nombre important de personnes ne se sentent toujours pas suffisamment menacées personnellement. »

    Et:

    Le niveau perçu de menace personnelle doit être augmenté parmi ceux qui sont complaisants, en utilisant des messages émotionnels percutants.

    Les psychologues du SPI-B et du gouvernement britannique savaient que la peur seule ne suffirait pas. Par conséquent, SPI-B a suggéré au gouvernement d'utiliser et de promouvoir l'approbation sociale pour les comportements souhaités, d'envisager de promulguer une législation pour contraindre les comportements requis et d'envisager l'utilisation de la désapprobation sociale en cas de non-respect.

    Ils ont utilisé les médias grand public et les médias sociaux, ainsi que de fausses vérifications des faits et de la censure pour faire passer leur message et cela fonctionne.

    La tactique des psychologues du SPI-B informant les politiques des gouvernements britannique et écossais sur la réponse au COVID19 est à mon avis contraire aux directives éthiques et pratiques de la British Psychological Society (BPS); l'équivalent psychologique du serment d'Hippocrate pour la médecine.

    Les médias grand public gardent le silence sur ces pratiques contraires à l’éthique qui consistent à accroître délibérément le sentiment de menace personnelle des gens, à créer une culture de honte à suivre les règlements COVID19 et à encourager les gens à faire honte aux autres pour ne pas suivre les règlements. D'après les rapports de plusieurs organismes de bienfaisance dans le domaine de la santé mentale, les rapports des gouvernements britannique et écossais, la maladie mentale est en crise en raison de la réponse / des mesures COVID19.

    Les facteurs de risque de suicide se sont sans aucun doute énormément multipliés (reprise de logement, chômage, pauvreté et stress, etc.); lorsque les chiffres officiels seront complétés, je ne doute pas qu'il y aura eu, et il y aura à venir, de nombreux suicides à cause du verrouillage COVID19 et des mesures associées.

    Nos dirigeants politiques, malgré leurs propos du bout des lèvres à la santé mentale, sont conscients de la crise de la santé mentale et du suicide qui nous engloutit maintenant, mais ils poursuivent le programme COVID19 indépendamment de la complicité de plus d'abus psychologiques imposés aux gens, sachant très bien que cela causera une misère incalculable.

    Vladimir Bukovsky, un dissident soviétique emprisonné dans un hôpital psychiatrique (incarcération forcée pour dissidents politiques) a bien décrit notre situation actuelle:

    Les particularités du système politique soviétique, l'idéologie communiste, les incertitudes et les difficultés de la science psychiatrique, les labyrinthes de la conscience humaine - tout cela s'est étrangement tissé pour créer un phénomène monstrueux, l'utilisation de la médecine contre l'homme. "
    En avant des hôpitaux politiques de Russie, 1977 (S. Bloch et P. Reddaway) par Vladimir Bukovsky.

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  29. Comme l'Union soviétique aujourd'hui, le phénomène monstrueux est à nouveau l'utilisation de la science et de la médecine contre les masses par de nombreux gouvernements dans la bataille contre le COVID19. Non seulement nos dirigeants politiques veulent «nous garder en sécurité jusqu'à ce qu'un vaccin», mais ils semblent vouloir détruire l'économie, créer un chômage énorme et détruire des entreprises. Ils veulent également surveiller chacun de nos mouvements et imposer des restrictions sur le travail, les voyages et la vie sociale et familiale.

    Il n'y aura pas de fin à ce cauchemar; il n'y a jamais de fin quand on est dans une relation abusive. Les poteaux de but continuent à bouger. La victime est brisée jusqu'à ce qu'elle ne puisse offrir aucune résistance.

    En effet, Bill Gates a récemment indiqué que même si nous obtenons un vaccin contre le COVID19, il n'y aura pas de retour à la normale car il faudra probablement un vaccin de deuxième ou troisième génération pour nous ramener à la normale. Bien sûr, nous le savons très bien, lorsque nous recevrons ce vaccin de deuxième ou de troisième génération, il n'annoncera pas un retour à l'ancienne normale.

    Malheureusement, pour le moment, il n'y a pas assez de personnes (en particulier les politiciens et les journalistes des médias traditionnels) avec le courage nécessaire pour dénoncer la tyrannie et dénoncer l'agresseur. Historiquement, cela a également été un problème; politiquement et dans un contexte abusif (p. ex., la victime a beaucoup de mal à dénoncer son agresseur). Dans une remarque critique et un avertissement à l'Occident, Alexander Soljenitsyne a déclaré dans son discours de Harvard en 1973:

    Une baisse de courage est peut-être la caractéristique la plus frappante qu'un observateur extérieur remarque en Occident de nos jours. Le monde occidental a perdu son courage civil, à la fois dans son ensemble et séparément, dans chaque pays, chaque gouvernement, chaque parti politique, et, bien sûr, aux Nations Unies… .. Faut-il (doit) faire remarquer que depuis le déclin du courage a été considéré comme le début de la fin ?

    Est-ce le début de la fin en Écosse? Les masses commenceront-elles à se réveiller face aux mesures dictatoriales et totalitaires ? Seul le temps nous le dira. Il est peut-être trop tard. Si c'est la fin, ne dites pas que vous ne l'avez pas vu venir ou que personne ne vous l'a dit.

    Il y a de l'espoir. Nous pouvons tirer des leçons de l'histoire et adopter ce fameux dicton après la Seconde Guerre mondiale; cela ne devrait plus jamais se reproduire. Peut-être que nos politiciens devraient méditer sur le Code de directives de Nuremberg pour déterminer ce qui constitue un crime de guerre et l'article 6 de la Déclaration universelle de l'UNESCO sur la bioéthique et les droits de l'homme.

    Code de Nuremberg:
    Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.

    L'expérience doit être de nature à produire des résultats fructueux pour le bien de la société, irréparables par d'autres méthodes ou moyens d'étude, et non aléatoires et inutiles par nature.

    L'expérience doit être conçue et basée sur les résultats de l'expérimentation animale et une connaissance de l'histoire naturelle de la maladie ou de tout autre problème à l'étude que les résultats escomptés justifieront la réalisation de l'expérience.

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  30. L'expérience doit être menée de manière à éviter toutes souffrances et blessures physiques et mentales inutiles.

    Aucune expérience ne doit être menée lorsqu'il existe une raison a priori de croire que la mort ou une blessure invalidante surviendra; sauf peut-être dans les expériences où les médecins expérimentaux servent également de sujets.

    Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l'importance humanitaire du problème à résoudre par l'expérience.

    Des préparatifs appropriés devraient être faits et des installations adéquates devraient être fournies pour protéger le sujet expérimental contre des possibilités même éloignées de blessure, d'invalidité ou de mort.

    L'expérience ne doit être menée que par des personnes scientifiquement qualifiées. Le plus haut degré de compétence et de soin devrait être exigé à toutes les étapes de l'expérience de ceux qui conduisent ou s'engagent dans l'expérience.

    Au cours de l'expérience, le sujet humain doit être libre de mettre fin à l'expérience s'il a atteint l'état physique ou mental où la poursuite de l'expérience lui paraît impossible.

    Au cours de l'expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l'expérience à n'importe quel stade, s'il a des raisons probables de croire, dans l'exercice de la bonne foi, une compétence supérieure et un jugement attentif exigés de lui qu'une continuation de la l'expérience est susceptible d'entraîner des blessures, une invalidité ou la mort du sujet expérimental.

    Déclaration universelle de l'UNESCO sur la bioéthique et les droits de l'homme: Article 6 - Consentement
    Toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne doit être effectuée qu'avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, sur la base d'informations adéquates. Le consentement doit, le cas échéant, être exprès et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour quelque raison que ce soit, sans désavantage ni préjudice.

    La recherche scientifique ne devrait être effectuée qu'avec le consentement préalable, libre, exprès et éclairé de la personne concernée. Les informations doivent être adéquates, fournies sous une forme compréhensible et inclure des modalités de retrait du consentement. Le consentement peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour quelque raison que ce soit, sans aucun désavantage ni préjudice. Des exceptions à ce principe ne devraient être faites que conformément aux normes éthiques et juridiques adoptées par les États, conformément aux principes et dispositions énoncés dans la présente Déclaration, en particulier à l'article 27, et au droit international des droits de l'homme.

    Dans les cas appropriés de recherches menées sur un groupe de personnes ou une communauté, un accord complémentaire des représentants légaux du groupe ou de la communauté concerné peut être sollicité. En aucun cas, une convention collective communautaire ou le consentement d’un dirigeant communautaire ou d’une autre autorité ne doit se substituer au consentement éclairé d’une personne.

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  31. Le Code de Nuremberg et l'article 6 de la Déclaration universelle de l'UNESCO sur la bioéthique et les droits de l'homme donnent à réfléchir lorsqu'il s'agit de mandats gouvernementaux ou d'idées en cours d'élaboration concernant le COVID19.

    Pensez simplement aux masques faciaux (en particulier pour les enfants), à la distance sociale, aux restrictions de voyage, aux restrictions de travail, aux passeports d'immunité et aux idées sur la façon de donner aux gens un vaccin sans licence contre COVID19 (qui sera indemnisé) qui n'a pas été évalué à long terme Effets secondaires.

    La nature culte de la Brave New Normal qu'est COVID19 imprègne insidieusement de plus en plus d'aspects de nos vies, avec apparemment de moins en moins de science pour la soutenir, et étant curieusement considérée par ceux au pouvoir comme une opportunité de remodeler notre société , non pas pour notre bien, mais pour le bien de ceux qui sont au pouvoir.

    Peut-être devrions-nous tous réfléchir à ce que tout cela signifie pour nous, nos enfants, nos petits-enfants et la démocratie au Royaume-Uni et dans le monde.

    https://www.zerohedge.com/medical/cult-brave-new-normal

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    1. Bientôt les chefs d'États vous diront comment organiser vos obsèques !
      Allez attendre votre tour au cimetière
      ou
      achetez une pelle, allez à la campagne, montagne et creusez votre trou. Attendez.

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  32. Visualiser l'espace de bureau vacant à San Francisco


    par Tyler Durden
    Dim, 25/10/2020 - 16:40
    Par SocketSite,


    Il y a près de 12 millions de pieds carrés d'espace de bureau vacant maintenant répartis à travers San Francisco, y compris 5,6 millions de pieds carrés d'espace non loué et 6,2 millions de pieds carrés d'espace qui a été loué mais est maintenant assis vacant et recherche activement une sous-lettre (qui est en hausse par rapport à 770 000 pieds carrés d’espace sublorable à la même période l’an dernier).

    - voir graphique sur site -

    Pour le contexte, la tour Salesforce / Transbay de 1 070 pieds de haut de First and Mission, qui est le plus haut bâtiment de San Francisco, contient 1,35 million de pieds carrés d'espace de bureau répartis sur 59 étages.

    En d'autres termes, il y a environ 8,7 tours Salesforce, ou 516 étages de tour Salesforce, soit l'équivalent d'espaces de bureaux vides à San Francisco pour le moment, ce qui est à peu près assez d'espace pour accueillir entre 67000 (sur la base d'une densité moyenne, pré-Covid,) et 91 000 abeilles ouvrières (à la twitter).

    Et pour ajouter du contexte, le bail principal de Google de 42 000 pieds carrés de bureaux supplémentaires dans la ville, qui a été présenté comme «l'une des plus grosses transactions de San Francisco en un an» et un signe haussier d'un acteur majeur «à contre-courant de la tendance». représentaient un peu moins de deux (2) des 516 étages susmentionnés d'espaces vacants.

    https://www.zerohedge.com/economics/visualizing-vacant-office-space-san-francisco

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  33. Les Américains s'arment avec du matériel militaire à un rythme record à l'approche des élections


    par Tyler Durden
    Dim, 25/10/2020 - 16:00


    Apparemment, nombreux sont ceux aux États-Unis qui pensent que les troubles civils et la volatilité ne vont pas simplement disparaître d'eux-mêmes après les élections. C'est probablement la raison pour laquelle les achats en ligne d'articles d'équipement militaire, y compris des articles comme le masque à gaz CM-6M de 220 $ qui résiste aux balles de pouf, volent des étagères en ligne.

    Selon Bloomberg, les ventes de ces produits et équipements militaires ont augmenté de plus de 20 fois cette année.

    Roman Zrazhevskiy de Mira Safety à Austin, au Texas, a déclaré: «Peu importe qui est élu. Ils pensent que peu importe qui gagne, Biden ou Trump, il y aura des gens qui seront contrariés par le résultat.

    L'équipement de style militaire a été enfilé par les deux côtés du spectre politique, les partisans de l'ANTIFA le portant pendant les émeutes et les partisans conservateurs le portant tout en essayant de protéger leurs rues et leurs entreprises contre des agressions inutiles et des dommages matériels.

    - voir graphique sur site -

    La chaîne de vente au détail 5.11 Tactical réalise des ventes annuelles de près de 400 millions de dollars dans des endroits comme Tulsa et El Paso. Dans certains endroits, les tenues de style militaire deviennent des vêtements de tous les jours. Les ventes des magasins comparables ont augmenté de 10,5 % au T2 et de 7,5% au T1.

    Les ventes d'armes à feu et de munitions ont également augmenté. Nous avons noté que Smith & Wesson avait enregistré des ventes record en septembre, par exemple.

    La US Concealed Carry Association, qui compte 500 000 membres, affirme avoir vu ses membres «exploser». Ils inscrivent des membres quatre fois plus rapidement qu'il y a un an.

    Le forum en ligne MyMilitia.com a déclaré: "Nous avons constaté une forte augmentation [des inscriptions] depuis avril - elle ne fait que s'agrandir."

    Les stocks d'armes à feu ont grimpé cet été alors que les Américains paniquaient en stockant des armes et des munitions. Les vérifications des antécédents d'armes ont atteint des niveaux records, ont augmenté de 79 % en juillet d'une année sur l'autre au milieu des craintes de pandémie et des troubles sociaux violents qui ont secoué les grands métros.

    Elizabeth Neumann, ancienne secrétaire adjointe à la prévention des menaces au Département de la sécurité intérieure, a déclaré: «C'est la preuve de ce que de nombreuses personnes expriment depuis six mois - le stress associé à la pandémie, une frustration ou une colère à propos de divers efforts d'atténuation du gouvernement et la conviction que ces efforts portent atteinte à leurs libertés individuelles.

    Dans un autre magasin d'équipement tactique, Gladiator Solutions, la moitié des commandes proviennent de civils - une augmentation majeure par rapport au moment où les forces de l'ordre seraient le premier client de l'entreprise.

    Matt Materazo, le fondateur de la société, a déclaré: «Nous avons vu une forte hausse provenir de New York, New Jersey, Illinois - pas seulement ces États, mais aussi Chicago, Manhattan, Queens et San Francisco. Nous n'avons jamais fait affaire avec des gens de San Francisco. »

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/americans-are-arming-themselves-military-gear-record-rates-heading-election

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  34. "Holy Sh * t !": Des vidéos de la version bêta de Tesla entièrement autonome font surface et elles sont effrayantes


    par Tyler Durden
    Lun, 26/10/2020 - 08:35


    Il y a quelques jours à peine, nous avons remarqué qu'après la sortie de la très attendue version bêta de Tesla «Full Self Driving», il avait également averti les conducteurs que le logiciel «pouvait faire la mauvaise chose au pire moment».

    Maintenant, des vidéos ont commencé à faire surface des utilisateurs de "test bêta" FSD dans les rues de la ville - et les résultats sont alarmants. Plusieurs vidéos montrent des logiciels qui semblent clairement inadéquats, confus et carrément dangereux. Plus important encore, le logiciel est utilisé sur des routes où d'autres conducteurs environnants n'ont pas consenti à faire partie d'un test bêta.

    Encore une fois, où est la NHTSA ?

    Une vidéo montre un conducteur disant «c'est un peu difficile» qui s'approche d'une intersection avec la construction. Son écran Tesla semble indiquer au véhicule qu'il ne sait pas s'il tourne à gauche ou à droite, avant que la voiture ne fasse un virage à gauche gênant, ce que le conducteur semble devoir aider.

    Une deuxième vidéo montre une Tesla "frappant vraiment l'accélérateur" puis freinant rapidement quelques secondes plus tard, comme le raconte le conducteur.

    «Cela vous donne un peu mal au cœur», dit le chauffeur.

    Ensuite, la voiture semble dépasser de loin un virage à gauche tandis qu'un conducteur surpris et effrayé crie: "Putain de merde !". Une fois que le conducteur a réglé le tour du véhicule, il s'exclame: "Bon seigneur tout-puissant."

    Dans une troisième vidéo, une Tesla est clairement confuse quant à la voie dans laquelle elle devrait se trouver après avoir traversé une intersection. La voiture fait des va-et-vient entre la voie dans laquelle elle se trouve actuellement et la voie à sa gauche.

    Rappelez-vous, il y a quelques semaines, nous avons noté que FSD est censé permettre aux véhicules Tesla de réagir aux panneaux d'arrêt, aux feux d'arrêt et aux sorties d'autoroute.

    À l'époque, nous avons qualifié le logiciel de «promesse pratique»; Un geste suffisant pour Musk pour dire qu'il a tenu sa promesse précédente d'avoir la conduite autonome complète d'ici la fin de 2020, mais une taille de test suffisamment petite pour que Musk n'ait pas vraiment à faire ses débuts de substance à grande échelle.

    En regardant le déploiement du logiciel, nous ne pouvons pas nous empêcher de penser qu'il pourrait s'écouler longtemps avant qu'un produit final ne soit distribué et utilisé de manière omniprésente. Jusque-là - et tant que la NHTSA choisit de rester les bras croisés pendant que la vie des gens est mise en danger - ne soyez pas surpris que les histoires d'Autopilot et de FSD montrant des «fonctionnalités» intéressantes comme la conduite à travers les vitrines, continuent.

    - voir clip sur site:

    https://www.zerohedge.com/technology/holy-sht-videos-teslas-full-self-driving-beta-are-surfacing-and-theyre-frightening

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  35. Regardez: Un Gallois furieux démolit les marchandises "non essentielles" lors d'une manifestation contre le verrouillage COVID


    par Tyler Durden
    Lun, 26/10/2020 - 03:30
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Une vidéo en provenance du Pays de Galles montre un acheteur furieux dans une succursale de Tesco arrachant des bâches en plastique utilisées pour couvrir des produits «non essentiels» tout en décriant un verrouillage COVID qui prive les gens de «besoins humains fondamentaux».

    Comme nous l'avons souligné hier, des photos ont commencé à émerger de la literie et d'autres articles de supermarché jugés «non essentiels» recouverts de bâches en plastique pour empêcher les habitants du Pays de Galles de les acheter.

    Maintenant, une nouvelle vidéo a émergé d'un Gallois en colère démolissant des bâches similaires dans une succursale de Tesco à Bangor la nuit dernière.

    «Depuis quand les vêtements sont-ils exemptés ?, déchirez les f *** ers… les putains de vêtements pour enfants, c'est une honte», a déclaré Gwilym Owen, 28 ans, en déchirant les draps.

    "Tout ce que vous avez à faire est de ne pas vous conformer et de les retirer", a-t-il ajouté en continuant à retirer le revêtement de protection.

    Après qu'un membre de la sécurité s'est approché d'Owen, il a répondu: «Depuis quand les vêtements ne sont-ils pas essentiels?»

    À la fin du clip, d’autres membres du personnel semblent essayer de lui enlever le téléphone du caméraman pendant qu’il enregistre.

    Owen a ensuite expliqué ses actions sur Facebook, notant qu'il ne se souciait pas de la réaction parce qu'il en avait «assez» des restrictions.

    «J'ai entendu dire que les supermarchés avaient couvert des choses« non essentielles »comme les vêtements. Nous entrons maintenant dans l’hiver et qui aurait pensé que les vêtements pour enfants n’étaient pas essentiels ? »

    «Je suis sûr qu’il y a des gens qui ont à peine les moyens de se chauffer chez eux et qui veulent maintenant empêcher les gens d’acheter des vêtements dans les supermarchés.

    «Je ne m'attends pas à ce que tout le monde fasse ce que j'ai fait ici, mais je m'attends à ce que tout le monde sache que refuser les vêtements publics n'est rien d'autre qu'immoral et inhumain.

    «Alors non, je n’ai pas honte de ce que j’ai fait.

    «Je ne suis pas prêt à vivre dans une société où ils peuvent éliminer les besoins humains fondamentaux, comme pouvoir acheter de nouveaux vêtements, en particulier pour les enfants. Je ferai donc ce que je peux pour l’arrêter.

    «J’ai compris ce qui se passe et nous avons besoin de plus de gens pour prendre position.

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  36. Tesco a répondu en disant que le gouvernement leur avait ordonné de couvrir les articles.

    Les résidents du Pays de Galles sont actuellement soumis à un verrouillage de «niveau 3», ce qui signifie que les gens sont invités à rester chez eux, ne doivent pas visiter d'autres ménages, tandis que les pubs, restaurants, gymnases, églises et magasins jugés «non essentiels» sont tous fermés.

    Le nouveau verrouillage, surnommé ridiculement un «disjoncteur», sera imposé pendant 17 jours et devrait encore détruire l'économie galloise.

    https://www.zerohedge.com/political/watch-furious-welshman-tears-down-sheeting-non-essential-goods-covid-lockdown-protest

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