Notez que dans le clip ci-dessus, le premier dictateur ministre canadien ne demande JAMAIS l'opinion du Peuple et n'applique que la merde de l'hégémonie monarchique sous couvert de religion, de virus, de dette et d'incapacité de gouverner un monde trop nombreux.
Les images présentées par les 'hommes de l'ombre' montrant un autre monde, un portail, une sorte d'apocalypse de contes pour enfants trisomiques, bref, ils veulent exterminer 7 milliards d'habitants et non laisser 'une chance à 500 000 personnes' comme le proposait Bill Gates.
Par Jon Rappoport Le blog de Jon Rappoport 3 octobre 2020
Plus d'une fois, après avoir écrit et publié un article dans ce sens, quelqu'un me demande, EST-CE QUE CELA EST VRAIMENT ARRIVÉ ? La réponse est NON, MAIS CELA LE SERAIT. SI LES CHIFFRES PUBLICS CONFÉDENT LEURS CRIMES.
—Notre journal, le New York Times, est la source d'information la plus fiable au monde. Dernièrement, nous avons consacré des pages aux récits à la première personne des expériences de verrouillage, pendant la pandémie.
Hier, en raison de l'épuisement de nos rédacteurs en chef, nous avons publié un article d'un habitant de Riverhead, à Long Island, sans vérifier correctement le texte. Nous nous excusons pour l'erreur.
Apparemment, cette personne essayait de décrire un rêve qu'il avait fait. Il a rédigé son histoire en termes de briefing, mais évidemment aucun briefing n'a eu lieu.
L'éditeur du Times qui a autorisé la publication de l'article errant vit également à Riverhead. Nous enquêtons pour déterminer s’il était effectivement l’auteur.
LE MORCEAU DE NEW YORK TIMES (fragments récupérés):
«Mesdames et messieurs du Congrès, ceci est un briefing informel.»
«… Certains humains peuvent voler. Le vol n'a aucune base technologique. C'est une réaction de rebond à des mois de verrouillages et de réglementation gouvernementale excessive. "
«J’ai découvert, jusqu’à présent, 63 agences fédérales dont personne n’a jamais entendu parler. Ils font tous la promotion du vaccin COVID, qui est une injection très dangereuse. Ces agences sont connectées à Zuckerberger Enterprises, dont le siège est dans deux bâtiments bien fortifiés dans le centre de Baltimore. J'ai ces bâtiments sous surveillance.
«Je viens du futur. Je suis ici pour dire qu’un programme visant à injecter à chaque personne sur Terre des composés toxiques, sous prétexte de prévenir les maladies, est une terrible erreur. Ne prenez pas le vaccin COVID. »
«Joseph Biden, de mon bureau de Boston, est également du futur. Il veut injecter à chaque humain un poison COVID, appelé vaccin. Il souffre de démence… »
L'article du NY Times a donné naissance à des millions de tweets, la plupart d'entre eux des blagues écrites par des défenseurs des vaccins. Le journal a en fait découvert que l'un de ses rédacteurs, Hill Regis, avait rédigé le «briefing» de verrouillage.
Après un examen médical et psychiatrique, Regis a été déclaré «infecté par le COVID, avec des symptômes de démence» et isolé pendant 14 jours dans un hôtel de Broadway. Il a refusé de prendre des médicaments psychiatriques.
Le 14 août 2020, il s'est échappé de la détention.
Les jours suivants, il a publié de nombreux mémos en ligne sous le nom de «Mars». Par exemple:
«Ma tête s'est éclaircie. Je viens d’un avenir lointain. Je suis ici en 2020 pour vous dire que le vaccin COVID que le gouvernement est en train de développer contient une série de soi-disant composés Q qui, sur une période de plusieurs années, produiront de profondes incapacités du corps et du cerveau… »
Mars a publié des dizaines de ces mémos attaquant le vaccin COVID.
Un journaliste du NY Times a affirmé que Mars était en train d'acquérir des centaines de milliers de fidèles fidèles - anti-vaxxers.
Ce fut donc une surprise lorsqu'un petit service de presse en ligne appelé Kimosabe Courier a dénoncé Mars, Hill Regis, en tant qu'ancien officier de la CIA qui avait été embauché comme rédacteur au NY Times en 2014.
Sa mission la plus récente, le Kimosabe Courier a affirmé: publier des attaques contre le vaccin, tout en étant «mentalement déséquilibré», dénigrant et diffamant ainsi les véritables opposants au vaccin. Culpabilité par association.
Le Kimosabe Courier a interviewé la sœur de Mars, Evelyn, qui vit à Columbus, Ohio. Elle est un défenseur public. Elle a déclaré au Courrier: «Mon frère, Hill Regis, qui se fait appeler Mars, a travaillé pour l'Agence pendant près de vingt ans. Il a analysé des rapports et des documents et dressé le profil des politiciens étrangers. J'ai été choqué d'apprendre qu'il était employé par le Times comme rédacteur en chef. Je soupçonnais qu'il faisait partie de ceux-là, comment les appelaient-ils… Agents moqueurs. Les plantes. Il ne souffre d'aucun trouble mental. Il est plutôt sain d’esprit. Enfant, il adorait les romans d'espionnage. Il a toujours voulu travailler pour la CIA.
L'histoire du Courier a été reprise par d'autres organes de presse, et finalement l'Associated Press a confirmé que Mars, Hill Regis, avait un long historique de service à la CIA.
Le NY Times a déclaré qu'il menait une «enquête interne». La CIA a refusé de commenter l'exposition d'un de ses agents.
Le Miami Herald s'est plongé dans l'histoire et a proposé une découverte suggestive. La CIA et les Centers for Disease Control ont organisé un petit «exercice de table» conjoint en 2018, au cours duquel le sujet du «message pandémique» a été discuté. En cas d'épidémie mondiale, comment un vaccin pourrait-il être vendu au public ? Comment la désinformation pourrait-elle être utilisée pour dépeindre les anti-vaxxers comme des théoriciens du complot dérangés ?
Soudain, le LA Times et le San Francisco Chronicle ont renvoyé deux journalistes médicaux. Les journaux ont déclaré que ces deux employés avaient «déformé les numéros de cas de COVID-19».
Sally Westfield, journaliste chevronnée chez Harper’s, a écrit un long article sur l’histoire des efforts des CDC pour «commercialiser des vaccins en suscitant la peur».
Son premier paragraphe: «Les anti-vaxxeurs peuvent avoir tort, mais cela ne les rend pas nécessairement fous. Cependant, certains joueurs aimeraient que vous croyiez les deux accusations. Ces acteurs retirent les chèques de paie réguliers du gouvernement fédéral, que les Américains subventionnent avec leurs impôts.
La première vague d'exposition a atteint un nouveau sommet avec la démission du rédacteur médical du NY Times, le Dr Phillip DeMarco. Il a publié un mea culpa en ligne sur son nouveau blog, My Long Sentences:
«Je ne peux peut-être pas voler au-dessus de grands immeubles, comme mon ancien collègue, Hill Regis, mais je peux m'allonger à l'intérieur des bâtiments - ce que je fais dans mon journal depuis treize ans. En particulier, j’ai déformé et supprimé le lien entre les vaccins infantiles et l’autisme. Il est maintenant temps d’admettre les faits. Je connais les faits. Je suis diplômé du programme élite du CDC, l’Epidemic Intelligence Service. L'EIS forme des professionnels de la santé. Certains d’entre eux ont occupé des postes clés dans le domaine du journalisme. J'en suis un. Ou je l'étais, jusqu'à récemment.
La confession du Dr DeMarco a créé un tollé.
Trois chercheurs du CDC sont sortis de l'ombre et ont admis leur rôle dans une dissimulation de vaccin contre l'autisme. Ils ont cité des études dont ils étaient les auteurs, qui avaient enterré des données cruciales et accablantes liant le vaccin DTC à l'autisme.
Le CDC a publié une déclaration qui n'a pas répondu aux aveux de ses propres chercheurs, mais qui contenait quelques pépites intéressantes:
«En réponse aux récentes questions de la presse, le CDC envoie certains employés à la CIA pour une formation, et ils reviennent avec des autorisations de sécurité renforcées, mais ce programme implique un échange éducatif important sur le sujet des menaces biologiques, qui sont une préoccupation constante.
Deux jours plus tard, Marci Crist, une ancienne porte-parole du CDC, a témoigné lors d'une audience du Comité sénatorial convoquée à la hâte: «… alors qu'est-ce que je faisais, moi, une personne des relations publiques à Langley ? dit-elle. «Je ne suis pas un scientifique. Je ne parlais pas de «menaces biologiques».
Je rencontrais des responsables de la communication de la CIA et ils me renseignaient sur des contacts de presse dont je n’étais pas au courant. Je peux dire ceci. Entre le CDC et la CIA, nous avons les médias américains couverts, en ce qui concerne les problèmes médicaux. Nous contrôlons une grande partie de ce que le public apprend et n’apprend pas. Et si vous voulez du matériel pour quelques titres, essayez ceci: les sociétés pharmaceutiques sont également dans le mélange. Le mélange de désinformation. Ils paient toutes ces publicités télévisées sur les médicaments pour une raison et une seule raison. Ils paient pour les nouvelles. Les nouvelles ont besoin de leur argent. Les réseaux ont besoin de leur argent. Donc, ces sociétés pharmaceutiques et leur agenda sont propriétaires de l'actualité. »
Un sénateur a lancé: «Alors, comment expliquez-vous les récentes révélations médiatiques choquantes ? Ces révélations proviennent des "actualités". "
Marci Crist a répondu: «Eh bien, sénateur, les gens comme moi sont des professionnels obéissants, et nous disons généralement des mensonges sur commande, mais nous sommes aussi des êtres humains. Nous ne pouvons accepter que tant de conneries.
Cette nuit-là, Crist, une star instantanée, s'est assis avec Anderson Cooper de CNN. L'entrevue a immédiatement tourné de côté. Cooper a interrompu Crist à plusieurs reprises. Il vacilla au bord de l'indignation. Finalement, Crist a dit: «Calmez-vous, Sonny. L'Amérique veut m'entendre maintenant, pas vous. J'ai mes quinze minutes de gloire. Le CDC achète pour environ quatre milliards de dollars de vaccins par an. Ils font également des études pour savoir si ces vaccins sont sûrs et efficaces. Le CDC va-t-il dire: "Devinez quoi, ce vaccin que nous avons acheté en quantité cause des lésions cérébrales chez les enfants" ? Quelles sont les chances ? Ce serait comme si votre réseau disait: «Devinez quoi ? Cette guerre que nous promouvons sans relâche nuit après nuit ? Cela ne détruit pas seulement des millions de vies, c’est complètement inutile. »
Cooper essaya de sourire, mais sa bouche se figea dans un rictus grotesque.
Crist a poursuivi: «Les sociétés pharmaceutiques, Anderson, possèdent vos organes génitaux, votre cœur, votre esprit et votre âme. Vous ne le savez tout simplement pas. Ou peut-être que vous faites. Lequel est-ce ? Faisons un sondage. Faisons l’un de ces fameux sondages CNN. »
Tucker Carlson de FOX a amené un invité surprise, l'homme dont personne ne pensait avoir entendu parler de nouveau: Hill Regis, alias Mars, le rédacteur en disgrâce du NY Times, qui avait lancé tout le scandale.
Carlson: Alors qu'est-ce que c'est, monsieur? Êtes-vous sain d'esprit ou êtes-vous fou?
Regis: J'ai toujours été sain d'esprit, Tucker. J'étais un Mockingbird pour la CIA. J'ai été planté dans mon ancien journal… ma tâche la plus récente était de faire croire que toute personne qui s'oppose au vaccin COVID est folle. La technique est simple.
Carlson: Vous attaquez le vaccin, vous semblez être un whacko, et par conséquent, quiconque attaque le vaccin est supposé être un whacko.
Regis: C'est vrai.
Carlson: Alors, vous opposez-vous réellement au vaccin ?
Regis: Je pense que nous avons besoin d'une enquête majeure. Je ne prendrais pas la photo dans mon bras sans en savoir beaucoup plus.
Le comité sénatorial, voyant chacun de ses mouvements faire la une des journaux, a décidé d'élargir son émission. Ils ont amené le Dr Tony Fauci et l'ont grillé.
À un moment donné, le sénateur Rand Paul a déclaré à Fauci: «Est-il vrai que les principaux essais cliniques du vaccin COVID sont uniquement conçus pour prouver que le vaccin peut prévenir les cas MILD de COVID-19? Je pose la question parce que les cas bénins se guérissent d'eux-mêmes. Aucun vaccin n'est nécessaire. »
Fauci a dit: «Un cas est un cas.»
RAND PAUL: Vraiment. Une personne qui renifle et tousse est la même chose qu'une personne allongée sur un lit d'hôpital recevant des drogues lourdes ?
FAUCI: Bien sûr que non. Mais ils sont tous les deux infectés par le virus.
RAND PAUL: Vous êtes évasif. Vous savez et je sais que les tests actuels du vaccin ne s'appliquent qu'aux personnes qui ont des cas bénins - et personne ne s'en soucie. Comme je viens de le dire, les cas bénins se guérissent d'eux-mêmes. Aucun vaccin n'est nécessaire. Ces essais cliniques sont une farce.
RAND PAUL: Supposons que je vous dise que le prochain témoin du Comité est un homme qui a en fait CONÇU un test pour le vaccin ?
Fauci parut choqué. L'image de son visage figé serait envoyée en ligne dans le monde entier, des millions de fois, dans les prochaines heures.
FAUCI: Conçu pour qui ?
RAND PAUL: Pour une entreprise dont vous soutenez le vaccin COVID.
FAUCI: Je dirais que l'homme fait une grave erreur.
RAND PAUL: Vraiment ? Pourquoi ? Parce qu'il est prêt à détruire sa propre carrière en disant la vérité ? En disant au monde entier que son test du vaccin n'a rien à voir avec la protection des personnes contre un préjudice réel? C’est ce qu’il va admettre dans les prochaines heures. À la télévision en direct.
Et il l'a fait.
Pendant les semaines suivantes, la couverture médiatique était entièrement consacrée au vaccin COVID, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
Deux essais cliniques majeurs du vaccin ont été interrompus.
Hill Regis, sous haute sécurité militaire, a été amené dans la salle du comité du Sénat pour expliquer les relations entre la CIA et les médias. Infiltration; l'implantation d'agents et d'actifs dans les salles de rédaction et les rédactions partout aux États-Unis, ainsi qu'à l'étranger. Leur mission: façonner l'information; inventer la désinformation; enterrez la vérité vitale.
À un moment de son témoignage, Régis a déclaré: «Je peux vous assurer qu’à la suite de l’assassinat de John F. Kennedy, la CIA a joué un rôle majeur dans la suppression par les médias des noms des principaux acteurs impliqués dans le complot. Vous devez vous demander, POURQUOI ?
Un sénateur a dit: «Est-ce une autre de vos astuces folles, monsieur Regis ? Parce que vos anciens employeurs de la CIA vont certainement le dire.
«Je n'ai plus de trucs, sénateur», dit Régis. "Le faites vous ?"
Une semaine plus tard, le Dr Robert Redfield, directeur du CDC, a démissionné. Un éditorial du Washington Post a suggéré que plusieurs anciens officiers de l'armée étaient prêts à témoigner, devant le Congrès, qu'il y a des décennies, alors qu'il travaillait comme chercheur médical pour l'armée, Redfield avait inventé de fausses données pour promouvoir son projet de vaccin contre le VIH.
Le jour où il a quitté son poste au CDC, Redfield a fait une brève déclaration à la presse: «… Je sais, pour un fait, que les trois essais cliniques majeurs du vaccin COVID expérimental sont inutiles. Ils sont conçus pour protéger les gens contre rien de plus grave qu’un simple rhume. Le vaccin doit protéger contre les cas graves de COVID-19. Ce n’est pas le cas. »
Le Drudge Report a publié un gros titre: REDFIELD DIT VOUS VIS DE COVIDER LE VACCIN TANT QU'IL MARCHE À LA PORTE. En quelques heures, 50 millions de personnes ont vu ce titre.
Le dimanche suivant, sur CBS '60 Minutes, Lesley Stahl a interviewé Tony Fauci.
Stahl: Alors, le vaccin COVID est-il conçu pour protéger les gens contre les maladies graves, n'est-ce pas ?
Fauci: Toutes ces études, ces essais cliniques, doivent être repensés. Dans le format actuel, ils essaient seulement de montrer qu'un vaccin peut protéger les gens contre les cas bénins de COVID-19.
Stahl: Combien de temps faudra-t-il pour faire de nouveaux essais cliniques ?
Fauci: Au moins un an.
Stahl: Dr Fauci, quand avez-vous pris conscience de ce problème ?
Fauci: Il y a quelques semaines, Lesley. J'étais choqué.
Stahl: Pourquoi as-tu mis autant de temps à comprendre ce qui se passait ?
Fauci: Des informations clés m'ont été cachées.
Stahl: Par qui ?
Fauci: Dr Redfield et autres.
Stahl: Quels autres ?
Fauci: les gens de Pfizer et AstraZeneca. Deux entreprises effectuant des essais cliniques majeurs sur le vaccin COVID.
Stahl: Il y a aussi une troisième société. Vous avez fait des déclarations très positives sur leur travail sur le vaccin.
Fauci: Oui. Moderna.
Stahl: Vous ont-ils également caché des données vitales sur leur essai clinique ?
Fauci: C’est possible, oui. Il faudrait que je vérifie mes dossiers.
Stahl: Dr Fauci, vous avez été le visage de la réponse du gouvernement à la pandémie. Beaucoup vous ont traité de héros. Comment tout cela est-il arrivé ?
Fauci: Des erreurs ont été commises.
Stahl: Rien de plus que des erreurs ?
Fauci: Je mène une enquête. Nous verrons.
Stahl: Si nécessaire, pouvez-vous vous enquêter ?
Avant qu'il ne puisse s'arrêter, Fauci sourit et rit.
Trois jours plus tard, il a démissionné du groupe de travail sur le coronavirus de la Maison Blanche.
Les vents des médias avaient radicalement changé de direction. C'était maintenant tous les journalistes sur le pont pour dénoncer la fraude au vaccin COVID. L'histoire était une tempête qui faisait rage. Cela ne pouvait pas être retenu. Les cotes d'écoute des nouvelles télévisées étaient énormes.
La révélation suivante est sortie du CDC lui-même. Son nouveau directeur par intérim, un Dr Carol Fole, dont personne n'avait jamais entendu parler, a tenu une conférence de presse à Atlanta. Elle a fait la déclaration brutale suivante:
«Nous avons commencé une enquête sur les trois principaux essais cliniques en cours du vaccin COVID. Pour le moment, je tiens à souligner un point qui n’a pas été abordé. Deux de ces essais utilisent une nouvelle technologie, appelée ARNm, dont l'utilisation n'a jamais été approuvée. Pas pour aucun vaccin ou médicament. La raison en est que, dans le passé, les chercheurs ont constaté des effets indésirables chez l'homme. Cela signifie DOMMAGE. Je vais essayer d’expliquer. Le système immunitaire devient confus. Il commence à regarder le corps, certaines zones du corps, certains organes, comme s'ils étaient des intrus, des ennemis. On pourrait dire que le corps commence à s'attaquer. Ces fabricants de vaccins pensent pouvoir surmonter ce problème. Ils veulent le surmonter. Le pourront-ils ? Nous ne savons pas. Voici ce que nous savons. D'un point de vue commercial, d'un point de vue commercial, la nouvelle technologie ARN permet de concevoir et de fabriquer des vaccins beaucoup plus rapidement, facilement et à moindre coût. Suis-je en train de suggérer que CECI est la raison pour laquelle ces entreprises introduisent un nouveau type de vaccin dans le monde ? Pas encore. Mais je veux savoir exactement ce qui se passe ici… »
Moderna a interrompu son essai clinique du vaccin COVID.
Dans un moment hallucinant sur NBC Evening News, le présentateur cadavérique Lester Holt a déclaré à son auditoire: «Dans notre profession, le secteur des nouvelles, nous patinons toujours sur de la glace mince, sur la base des informations qui nous sont fournies, principalement par le gouvernement. sources. Nous faisons confiance au gouvernement. Mais il y a des moments où la glace se brise. Puis nous ... »Il s'interrompit et fixa silencieusement la caméra. «Ensuite, nous devons être sauvés des diseurs de vérité. Où les trouverons-nous ? Le Dr Fauci est-il un diseur de vérité ? J'ai froid ici… »
Cette nuit-là, Holt a obtenu les meilleures notes de sa carrière chez NBC.
Le lendemain, le commissaire de la FDA, Stephen Hahn, a publié une déclaration étonnante. C'était de la viande rouge pure pour la presse. Ils étaient partout comme des loups ravageurs:
Hahn: «En tant que commissaire de la FDA, je veux envoyer un message, haut et fort, aux sociétés de vaccins. Si vous venez chez nous avec une demande d'approbation d'un vaccin contre le COVID-19, vous feriez mieux d'avoir votre maison en ordre. Si vous testez un vaccin qui utilise la technologie ARN ou ADN, ou des modifications génétiques, nous exigerons des preuves solides que votre produit ne cause aucun dommage. Je ne fais pas ici de remarque politique. Cela n'a rien à voir avec ce que veulent le président ou les démocrates. Aujourd'hui, j'ai envoyé une lettre au procureur général américain Barr, demandant une enquête criminelle sur les essais cliniques du vaccin COVID de toutes les grandes entreprises. Je crois que les Américains sont trompés. Les entreprises mentent. Les entreprises prétendent savoir ce qu’elles font. Ils veulent libérer des technologies non éprouvées sur nos citoyens. Je ne permettrai pas que cela se produise. Nous disons toujours que nous voulons la transparence. Eh bien maintenant, nous allons l’obtenir. J’avertis mes propres critiques de l’Agence de ne pas tenter d’incliner la vérité ou de parcourir la surface. Si je découvre une collusion avec les fabricants de vaccins, je veillerai à ce que vous soyez poursuivi dans toute la mesure de la loi. Franchement, je fonctionne par peur. J'ai peur pour la sécurité de notre pays. En raison des révélations troublantes qui ont émergé au cours du mois dernier, je crains également de pouvoir être personnellement impliqué dans un scandale qui n’est pas de ma propre initiative. Oui, c'est comme ça. Je l'admets ouvertement. J'ai un travail très important. Je dois être le navigateur. Je ne descends pas avec ce vaisseau. Je vais faire tout mon possible pour sauver le vaisseau. Qui que vous soyez dans le monde pharmaceutique, où que vous soyez, n’essayez pas de m'envelopper dans vos machinations. Je tiens une vraie boussole dans ma main. Croyez-moi, vous ne voulez pas me voir dans un état de colère et d'indignation… »
Le titre hurlant de Drudge: LE COMMISSAIRE DE LA FDA COUVRE SON DERRIÈRE DE CHAQUE MANIÈRE.
Politico: HAHN DE LA FDA PELLE TOUTES SES CHIPS SUR LA TABLE.
The New York Times: FDA ON RED ALERT; LES FABRICANTS DE VACCINS DANS LES CROSS-HAIRS.
NY Post: FDA CHIEF UN NOUVEAU HERO ON THE RISE.
Prochain titre de Drudge: FDA COMMISH GRANDIT SOUDAINEMENT UNE ÉNORME PAIRE.
LA Times: UN VACCIN CONTRE LE CHAOS; TOUS LES ESSAIS CLINIQUES MAJEURS ARRÊTÉS.
Miami Herald: LE PDG DE PFIZER DÉMONTE POUR UN SCANDAL DE VACCIN COVID.
CBS News: LE PROCUREUR GÉNÉRAL DEMANDE À MODERNA DE RETOURNER LA MOITIÉ DE MILLIARD DE DOLLARS EN FINANCEMENT FÉDÉRAL; LA SOCIÉTÉ PEUT DÉPOSER EN FAILLITE.
ABC News: LE FABRICANT DE VACCINS MODERNA N'A JAMAIS MIS UN PRODUIT SUR LE MARCHÉ; ÉTAIT LE FAVORI DE FAUCI.
Et tout avait commencé avec un homme qui avait un travail à faire: convaincre le public que quiconque s'opposait au vaccin COVID était un whacko.
Cet homme était un Mockingbird de la CIA.
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
Trump VS élites pédophiles: Facebook et Twitter luttent contre une théorie du complot des plus bizarres
22:52 02.10.2020 Par Dmitri Bassenko
Les réseaux sociaux s’engagent à lutter contre le mouvement conspirationniste QAnon, mais leurs succès sont plutôt mitigés, selon une analyse d’AP.
Facebook et Twitter ont promis d’endiguer la propagation du mouvement conspirationniste QAnon, qui prétend que Donald Trump livre une guerre secrète contre des élites impliquées dans des réseaux pédophiles internationaux.
Ainsi, Facebook a interdit, à partir du 1er octobre, «toutes les publicités qui font l’apologie, soutiennent ou évoquent des mouvements armés ou le mouvement QAnon». Facebook affirme également avoir mis en place un système de recommandation de pages fiables pour les sujets liés à la pédophilie.
«Personne n’est mort du coronavirus»
Pour sa part, Twitter avait annoncé fin juillet avoir supprimé près de 7.000 comptes faisant promotion de la théorie complotiste. Cependant, l’agence AP vient de dénombrer une dizaine de «comptes QAnon» sur le réseau social, dont le nombre total d’abonnés dépassait 1,5 million.
Dans le même temps, Facebook continue à recommander à ses usagers certains groupes et pages liés à la mouvance, constate AP tout en soulignant qu’en juillet, les posts Instagram contenant le hashtag #QAnon recevaient en moyenne 1,27 million de mentions «j’aime» et commentaires par semaine. L’un d’eux, qui a été liké près de 20.000 fois, affirmait notamment: «personne n’est mort du coronavirus».
Une nouvelle vague de COVID-fascisme envahit-elle l'Europe ?
Peter Koenig Mondialisation.ca ven., 02 oct. 2020 22:03 UTC
Un médecin allemand, co-fondateur de l'ACU - Commission extra-parlementaire allemande d'enquête (sur la COVID), est arrêté -
le Parlement suisse prolonge la loi suisse sur l'état d'urgence en matière de COVID-19 jusqu'à la fin 2021.
Royaume-Uni
La scène ressemble à un véritable fait du fascisme tiré du livre de tactique d'Hitler des années 1930.
Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté le samedi 26 septembre à Trafalgar Square et à Hyde Park, à Londres, contre les mesures restrictives et oppressives de la Grande-Bretagne en matière de covidage. Dans le Speaker's Corner de Hyde Park, mondialement connu, où des personnalités historiques telles que Karl Marx, Vladimir Lénine et George Orwell avaient l'habitude de manifester pour la liberté d'expression, se trouvait hier, le 26 septembre, le Dr Heiko Schöning d'Allemagne. Il est le fondateur de Médecins pour la Vérité en Allemagne et co-fondateur de la Commission extra-parlementaire allemande pour l'enquête (COVID-19).
Dans un bref discours de 3 minutes, il a parlé de la Vérité au pouvoir, du mensonge lié à la COVID-19 et de ce que la pandémie a fait à l'humanité et à l'économie mondiale. Il était interviewé par un journaliste, lorsqu'il a été soudainement arrêté par la police, menotté, poussé dans une voiture de police et conduit au Centre de détention de Wandsworth, où il a été détenu pendant 22 heures, simplement pour avoir dit la vérité sur la COVID-19.
Aujourd'hui, le 27 septembre, le Dr Schöning a été libéré et acclamé par le public devant le poste de police. Il a brièvement parlé aux personnes qui l'ont reçu, disant que la police avait confisqué son téléphone portable, son ordinateur et un livre, appelé Corona False Alarm, du Dr Karina Reiss et du Dr Sucharit Bhakdi, deux scientifiques allemands de renom. Le Dr Bhakdi est microbiologiste et épidémiologiste pour les maladies infectieuses, et le Dr Reiss est professeur et chercheur à l'université Christian-Albrechts de Kiel. Le livre est déjà un best-seller en Allemagne et sa traduction anglaise pourrait connaître un succès similaire dans le monde entier.
Lorsqu'il s'est exprimé devant le poste de police, le Dr Schöning a appelé les gens à défendre leurs droits. De continuer à se battre. À résister. Il a rappelé aux gens une énorme manifestation pacifique contre la corruption et l'oppression qui aura lieu le 10 octobre 2020 (10-10-20) à Berlin, où ils attendent des centaines de milliers de personnes, comme ce fut le cas lors des manifestations pacifiques du 1er août et du 29 août 2020. Il a invité tout le monde à venir à Berlin et à participer, mentionnant également que Robert Kennedy Jr. était avec lui sur scène le 29 août à Berlin. Voir la courte vidéo.
Suisse
Presque simultanément, lors de sa dernière session de septembre, le Parlement suisse a prolongé l'état d'urgence COVID-19 jusqu'au 31 décembre 2021, accordant au Conseil fédéral suisse (exécutif) des pouvoirs extra-constitutionnels. La date peut bien sûr être prolongée, si le Parlement en décide ainsi.
Ce qui est le plus frappant, dans le cadre de cette loi, composée de 21 articles et d'innombrables sous-paragraphes, c'est que le gouvernement fédéral est autorisé à imposer aux citoyens suisses le vaccin qui modifie le génome humain, c'est-à-dire le vaccin Moderna (Bill Gates), dont près de 5 millions de doses ont déjà été commandées, selon des informations suisses antérieures. Il pourrait être appliqué dans le cadre d'une procédure d'approbation accélérée - quoi que cela puisse signifier. On sait que le vaccin n'a été testé jusqu'à présent que sur 45 volontaires sains, qui ont tous eu des effets secondaires dévastateurs nécessitant une hospitalisation. Une autre série de tests sur 600 volontaires sains devrait commencer sous peu.
Vous devez savoir que ce vaccin modifie votre ADN pour toujours.
Si quelque chose tourne mal, il ne peut pas être « corrigé » ou guéri. Il peut créer un dommage permanent qui peut également être transmis à vos enfants et aux enfants de vos enfants. Même si rien ne « tourne mal », vous n'êtes plus vous-même, car votre ADN a été modifié de façon permanente.
Un référendum populaire contre cette loi est lancé, il aura lieu le 6 octobre 2020.
Citoyens suisses, et citoyens du monde : Méfiez-vous du vaccin Moderna - et de tout autre vaccin - il y en aura d'autres - qui modifient votre ADN !
Ceci afin de vous sensibiliser aux grands dangers potentiels des vaccins covidés. Si vous voulez aller de l'avant et vous faire vacciner, c'est votre choix. Mais vous devez être conscient du risque.
Crise de la liberté d'expression à l'université: "Je suis d'accord avec vous, mais je ne pourrais jamais le dire publiquement"
par Tyler Durden Ven, 10/02/2020 - 19:00 Par John Hirschauer de RealClearEducation
Georgetown encourage la liberté d'expression, mais les étudiants ne la ressentent pas
De nombreux Américains pensent que les collèges et les universités ne parviennent pas à défendre la liberté d'expression et l'enquête ouverte sur le campus, car des vidéos de foules d'étudiants criant des orateurs et d'étudiants de premier cycle criant à leurs professeurs ont contribué à saper la foi populaire dans les établissements d'enseignement supérieur.
Ces moments viraux, cependant, ne parviennent pas à capturer l'état de la libre expression sur le campus dans toute sa nuance et sa complexité. Pour fournir un aperçu plus détaillé de l'état de la parole dans les collèges et universités américains, RealClearEducation a collaboré avec la Foundation for Individual Rights in Education et le groupe d'enquête-recherche College Pulse sur l'enquête 2020 College Free Speech Survey.
Près de 20 000 étudiants de premier cycle de 55 grands collèges et universités américains ont participé à l'enquête. Les élèves devaient répondre à une série de questions destinées à évaluer leur propre engagement en faveur de la liberté d’expression et leur perception de la tolérance de leurs pairs à l’égard des divers points de vue. Les établissements ont été classés en fonction du sentiment des étudiants sur la liberté d'expression.
Les résultats étaient décourageants. Comme Nathan Harden de RealClearEducation l'a souligné mardi, près de «20 % des étudiants disent que le recours à la violence pour arrêter un discours ou un événement indésirable est dans certains cas acceptable», et environ 60 % des étudiants de premier cycle interrogés «disent qu'ils ont gardé le silence par peur de comment les autres réagiraient. »
Une université en particulier se distingue par le décalage entre sa position officielle sur la liberté d'expression et le point de vue de ses étudiants sur l'état de la parole sur le campus. L'Université de Georgetown (de Washington D.C.), qui héberge le projet sur la liberté d'expression à l'Université de Georgetown et est apparemment engagée à promouvoir la liberté d'expression, a énormément lutté dans le classement 2020 de la liberté d'expression des collèges, se classant 48e sur les 55 collèges et universités inclus.
Un regard granulaire sur les données de Georgetown est surprenant. 40 % des étudiants de premier cycle de Georgetown interrogés n'étaient pas convaincus que l'administration soutiendrait un orateur assiégé dans une controverse sur la liberté d'expression. Soixante-huit pour cent des étudiants ont estimé qu'il pourrait être acceptable de crier un orateur sur le campus, tandis que 17% ont estimé qu'il pourrait être acceptable dans certains cas d'utiliser la violence pour arrêter un discours sur le campus. Cette atmosphère d'intolérance s'étend à la salle de classe, ont déclaré de nombreux étudiants. Lorsqu'on lui a demandé de partager un moment où l'étudiant se sentait incapable d'exprimer une opinion sur le campus, un étudiant de Georgetown a écrit: «Dans presque toutes les classes, j'ai l'impression que je [ne peux] pas exprimer mes opinions.»
Le code de conduite de Georgetown contient des règlements qui ont pour effet d'étouffer la parole et d'affecter négativement le score global de l'école. Par exemple, «l'incivilité» - définie comme tout langage qui «ne respecte pas une autre personne» - est interdite à Georgetown, et les élèves «incivils» pourraient faire face à des sanctions disciplinaires pour leurs remarques. Cela crée un effet dissuasif potentiel sur la parole, et le «manque de respect» peut, bien entendu, avoir une définition large dans le monde déclencheur de la formation de premier cycle.
Le Dr Joshua Mitchell, qui enseigne la théorie politique au département gouvernemental de Georgetown, n’est pas surpris que de nombreux étudiants ne soient pas à l’aise de s’exprimer franchement en classe. «J'enseignerai quelque chose en classe qui remet en question une position politiquement correcte sur un problème particulier, et quand je le ferai, j'aurai des grillons. Personne ne prendra la parole et ne dira rien. Ensuite, les étudiants viendront aux heures de bureau et diront: «Je suis d’accord avec vous, mais je ne pourrais jamais le dire publiquement.» »
«C'est une image compliquée», a déclaré Mitchell. «Ce n’est pas comme si la faculté et l’administration de Georgetown supprimaient activement le discours conservateur - c’est plus subtil que cela, pour la plupart. Lorsqu'il y a une opportunité de remplacer un membre du corps professoral conservateur, par exemple, le corps professoral décidera de ne pas le remplacer. Il y a un accord discret pour ne pas toucher les gens de l'autre côté. » Lorsque la faculté est presque exclusivement composée de professeurs ayant une vision du monde, a déclaré Mitchell, les étudiants qui ne sont pas d'accord avec les opinions dominantes de la faculté sont moins susceptibles de s'exprimer.
Un porte-parole de l'Université de Georgetown a répondu à une demande de commentaire en notant que l'université «s'est engagée à échanger des idées librement et ouvertement, même si ces idées peuvent être jugées difficiles ou répréhensibles par certains». Le porte-parole a déclaré que «la politique de discours et d’expression de longue date de Georgetown a guidé notre approche du discours tout en maintenant le droit fondamental des membres de notre communauté à la liberté d’expression, au dialogue et à la recherche universitaire. Nous respectons le droit des membres de notre communauté d'exprimer des opinions personnelles et nous nous engageons à maintenir les valeurs de la liberté académique et à servir de forum pour le libre échange d'idées, même lorsque ces idées peuvent être controversées et répréhensibles pour certains."
Alors que l'université a réaffirmé son engagement en faveur de la liberté d'expression, le Dr Mitchell déplore que de nombreux étudiants «ne voient pas beaucoup d'alternatives» à «l'hégémonie de la politique identitaire». Il pense que la focalisation identitaire de nombreux administrateurs favorise une conversation aride et «chorégraphiée» sur des questions politiques difficiles sur le campus. Mitchell espère cependant que les choses s'amélioreront. «Il y a eu un virage subtil dans le corps étudiant. Il y a un changement de génération », dit-il. «De nombreux étudiants plus jeunes de Georgetown savent que la politique d'identité des comptes n'est pas adéquate et que vous ne pouvez pas construire une société autour d'elle.»
RENDRE LES URGENCES PAYANTES, LA DERNIÈRE IDÉE RÉVOLTANTE DE NOS MAMAMOUCHIS
par CHARLES SANNAT 02/10/2020
La France compte environ 650 services d'urgence.
Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
Ils sont, je le crois aussi indécrottables qu’irrécupérables ! De qui je parle ? De nos mamamouchis en général comme en particulier… Leur dernière idée qui tend vers les sommets insoupçonnés de la crétinerie est la suivante : « les urgences sont pleines, il n’y a qu’à les rendre payantes… pour tous ceux qui ne nécessiteront pas d’hospitalisation » !
C’est une vision qui repose sur la croyance de mamamouchis qui pensent que les gueux que nous sommes vont aux urgences par plaisir, parce que l’on s’ennuierait un peu, et que ne sachant pas quoi faire, nous irions nous divertir à faire la queue parfois 5 ou 6 heures rien que parce que l’on n’aurait rien à y faire.
Le critère d’énarque qui consiste à dire que si on n’est pas hospitalisé après un passage aux urgences c’est que l’on est fautif de les avoir encombrés parce que ce n’était pas bien grave n’est pas pertinent. Heureusement d’ailleurs que 90 % de nos passages aux urgences ne nécessitent pas une hospitalisation pour autant, il ne s’agit pas de passage à tort.
Il faut leur dire, aux vedettes des ministères et des Palais, que quand on va aux urgences, c’est parce qu’il n’y a nulle part où aller !
Je suis un « habitué » des urgences. Et oui, je le confesse, je bats ma coulpe, moi fautif et coupable. Je suis un mâle ayant des enfants, et les enfants, surtout mon petit dernier, s’ouvrent la tête régulièrement, histoire de faire trembler les grands… À chaque fois qu’il s’ouvre quelque part, je termine aux urgences appelé par l’école, pour faire un peu de couture. L’école ne me laisse pas vraiment le choix… Un bobo et hop, c’est le plan Orsec déclenché à chaque fois. Il faut dire que c’est principe de précaution de rigueur, et l’Etat demande aux écoles la plus grande prudence. Donc pour l’école, un bobo on va à l’hosto.
Ne dites pas aux gestionnaires de l’ARS qu’en plus, les horribles infirmières dépensières de part chez moi, s’amusent à prendre en radio Mickey… ça ne les ferait pas rire, mais sur les gosses que l’on recoud, le succès est garanti ! Alors effectivement, nous pourrions aller demander au boucher du rayon viande de mon Carrefour Market préféré (là où j’achète mes boites de raviolis) de me passer un peu de ficelle histoire de recoudre le petit à la façon gigot, mais non, je suis un sale con, je préfère aller encombrer les urgences avec mon fils pissant le sang…
Il faut un cadre cohérent. Généralement, on ne nous hospitalise pas, mais où voulez-vous aller pour des points de sutures (et ce n’est qu’un exemple) ? Il n’y a plus de médecins. Il n’y a plus de dentistes. Il y a des déserts médicaux partout dans ce pays, y compris maintenant dans les banlieues parisiennes. Nous marchons sur la tête autant que sur la dette !
Le problème n’est pas de faire payer les urgences alors que l’on a généralisé le tiers payant chez les généralistes, qui ne sont plus assez nombreux !!
Je fais partie de ceux qui pensent qu’il faut payer et je suis opposé au tiers payant sauf pour les plus pauvres d’entres nous qui ne peuvent effectivement pas avancer d’argent, pour le reste, il est important d’avancer pour avoir une idée du prix. Cette mesure pourrait donc se discuter si elle n’était pas évoquée dans un contexte qui la rend absurde et stupide.
Elle pourrait s’entendre si nous avions le choix. Si nous avions des médecins. Si nous payons par ailleurs les médicaments, ce qui n’est plus le cas… Elle pourrait s’entendre cette idée, si nous ne venions pas de dépenser 300 milliards d’euros pour sauver des entreprises – et il fallait le faire – pour sauver des emplois même si cela veut dire qu’il faut sauver des patrons (forcément vilains et méchants). Elle pourrait s’entendre si nous ne fermions pas de lits, si nous n’avions pas une crise sanitaire sans précédent.
Je pense donc que c’est une très mauvaise idée, sortie au très mauvais moment, alors que beaucoup de nos concitoyens sont poussés vers le chômage et la précarité. Que va-t-on leur dire ? Des milliards pour les entreprises et les banques, mais toi, petit chômeur, qui n’a plus de médecin parce que tu habites dans un désert médical tu vas payer encore plus pour te faire soigner… Je vous passe également, ceux qui s’engouffreront dans l’aide médicale aux étrangers qui « eux ne payent rien » !
C’est donc une mauvaise idée à tous les niveaux. Parce que ce n’est pas une mesure qui apaise, c’est une idée qui divise. Et le gouvernement serait bien inspiré de rétropédaler rapidement, parce que ce genre de mesure est de nature à allumer des mèches sociales inutiles.
Sinon, avant de vous quitter je vous partage un scoop. Lors de la fermeture de la maternité dans notre petit coin de Normandie sans médecin, les infirmières avaient réussi à radiographier des cerveaux de mamamouchis et de contrôleurs de gestion de l’ARS… Ne dites pas qu’elles affichent publiquement leur trophées en salle radio, il y aurait des mises à pieds immédiates !
Maintenant vous avez compris pourquoi notre pays en est là !
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Le Royaume-Uni se dirige-t-il vers la loi martiale médicale ?
par Tyler Durden Sam, 10/03/2020 - 09:20 Via Off-Guardian.org,
Le 28 septembre, Tobias Ellwood, député conservateur de Bournemouth-Est, s'est levé au Parlement et a suggéré que l'armée britannique et le ministère de la Défense soient chargés de la distribution et de l'administration de «millions de doses» des vaccins Sars-Cov-2, comme ainsi que la délivrance de «certificats de vaccination» qui «permettront de voyager».
Et ce ne sont que les faits saillants, il y a un langage beaucoup plus vaguement sinistre, camouflé dans sa voix monotone plutôt terne. (Vous pouvez regarder l'intégralité du discours ici, rendez-vous à 20:24).
Il s’agit d’une évolution préoccupante, qui mérite vraiment d’être surveillée.
La BBC ne le pense pas, bien sûr, car l’appel à ce qui équivaudrait facilement à une loi martiale médicale n’a même pas été intégré à leur programme «Aujourd'hui au Parlement».
Ce n'est pas un nouveau comportement pour Ellwood. Il a toujours été une voix cohérente pour l'utilisation de l'armée en réponse à la «pandémie». Le 18 septembre, il a demandé au Premier ministre de «faire un plus grand usage de nos excellentes forces armées».
Il mentionne spécifiquement «la gestion du récit», ce qui n'est pas surprenant compte tenu de son rôle d'ancien officier de l'armée, d'un officier de réserve actuel, et de son affiliation connue avec la 77e brigade.
Pour ceux qui ne le savent pas: le 77e est l’équipe de «guerriers facebook» de l’armée britannique. Une unité de guerre de l'information dont le travail est de «contrer la désinformation», de «gérer le récit» et généralement d'enregistrer et de contrôler la conversation sur Internet.
Ce n’est pas une «théorie du complot», leur existence est facilement reconnue par le gouvernement et les médias traditionnels. Étant donné qu'ils sont actuellement employés pour «contrer la désinformation covid», ils figureront probablement dans les commentaires de ce post (Salut les gars!).
D'autres pays à travers le monde sont déjà passés à ce «pied de guerre», et le Royaume-Uni n'est probablement pas loin derrière.
Des médecins construisent le premier œil bionique au monde qui permet aux aveugles de voir à 100 %
le système pourrait être étendu à d’autres maladies
L’oeil bionique du colonel Steve Austin alias “The Six million Dollar Man”, une série de science-fiction des années 1970, pourrait bientôt devenir une réalité. En effet, une équipe de chercheurs en médecine de l’université de Monash à Melbourne, en Australie, vient de mettre en place le premier œil bionique qui promet de redonner la vue à l'aide d'un implant cérébral. L'œil bionique, baptisé “système de vision bionique Gennaris”, serait le résultat d’environ dix années de recherche et de développement. Selon l’équipe de chercheurs, l’oeil fonctionne en contournant les nerfs endommagés.
La cécité est l’état d’une personne aveugle et d’après les médecins, c’est une situation qui peut être des plus difficiles à vivre. Les chercheurs du monde entier travaillent à la guérison de cette maladie grâce à diverses solutions bioniques. Cependant, aucune d'entre elles n'a encore abouti ou mieux n’a encore pu être commercialisée, pour améliorer la vie des gens. Mais à présent, il semble qu'un concurrent en soit très proche. Selon un nouveau rapport d’India Times, des chercheurs de l’université de Monash ont mis en place un oeil bionique capable de rendre la vue à 100 % aux aveugles.
Les scientifiques ont appelé l’oeil “système de vision bionique Gennaris”. Il serait en cours de développement depuis près de dix ans maintenant. Pour ce qui est de son fonctionnement, l’équipe a déclaré que celui-ci utilise un implant cérébral. Ensuite, grâce à la technologie qu’il embarque, l’oeil est capable de contourner les nerfs optiques endommagés pour permettre aux signaux d'être transmis de la rétine au centre de vision du cerveau. En effet, l'utilisateur doit porter un casque conçu sur mesure dans lequel sont installés une caméra et un émetteur sans fil.
Un processeur numérique effectue la lourde manipulation des données en conjonction avec des tuiles spéciales de 9 millimètres implantées dans le cerveau pour produire les impulsions électroniques et stimuler le cerveau via des microélectrodes fines comme des cheveux. « Les prothèses de vision corticale visent à restaurer la perception visuelle de ceux qui ont perdu la vue en délivrant une stimulation électrique au cortex visuel, la région du cerveau qui reçoit, intègre et traite les informations visuelles », a déclaré Arthur Lowery, professeur au département d'ingénierie des systèmes électriques et informatiques de l'université Monash.
« Notre conception crée un motif visuel à partir de combinaisons de jusqu'à 172 points de lumière (ou phosphènes) qui fournit des informations permettant à l'individu de se déplacer dans des environnements intérieurs et extérieurs. Ce procédé lui permet aussi de reconnaître la présence de personnes et d'objets autour de lui », a-t-il ajouté. L’équipe de chercheurs se prépare actuellement aux premiers essais de cet oeil bionique sur des humains. Elle vise une intégration sur le marché mondial et a déclaré être à la recherche de financements pour atteindre une clientèle plus large.
L'équipe de scientifiques à l’origine de la découverte a déclaré qu’il s’agit du premier œil bionique au monde. Sa création pourrait représenter un grand espoir pour les aveugles qui multiplient les thérapies depuis des années en vue de recouvrer ne serait-ce qu'un usage minimal de leurs yeux. Toutefois, une telle création pourrait bénéficier d’un coût élevé et se retrouverait ainsi réservée à un marché de niche. Mais sur ce point, les chercheurs sont confiants et ont également expliqué qu’ils comptaient étendre leur système à la guérison d’autres maux.
L’équipe veut faire progresser le système afin d’aider les personnes atteintes de maladies neurologiques incurables, notamment la paralysie des membres et la quadriplégie, afin d’améliorer leur vie. « En cas de succès, l'équipe de MVG [Monash Vision Group] créera une nouvelle entreprise commerciale qui se concentrera sur la fourniture de la vision aux personnes atteintes de cécité incurable et sur les gestes des bras des personnes paralysées par la quadriplégie, transformant ainsi leurs soins de santé », ont expliqué les chercheurs, parlant de leur vison.
La frontière des dispositifs d'interface cérébrale a sans doute été franchie avec le dispositif Neuralink d'Elon Musk, toujours en phase de test et de développement, ou avec le dispositif de “prothèse visuelle” récemment conçu par les scientifiques du Baylor College of Medicine de Houston au Texas, qui permet aux aveugles de “voir” la forme des lettres. Le système Gennaris de Monash a donné des résultats probants pendant des essais en juillet, où l'ensemble de l'équipement a été transplanté en toute sécurité dans le cerveau de trois moutons, avec un total de 2 700 heures de stimulation ne révélant aucun effet nocif sur la santé.
Coronavirus : au Québec, la police pourra entrer chez les habitants pour vérifie qu'ils ne reçoivent pas d'invités
CNews sam., 03 oct. 2020 20:02 UTC
Face à la recrudescence du coronavirus, le Québec choisit la manière forte. A partir de ce jeudi et pour au moins 28 jours, les habitants des zones classées rouges - dont font partie les régions de Montréal et Québec - ne peuvent plus recevoir d'invités à leur domicile.
Contrairement à ce qu'avait évoqué la semaine dernière le docteur Horacio Arruda, directeur national de santé publique du Québec, les forces de l'ordre ne pourront toutefois pas pénétrer dans des résidences privées sans mandat.
« Les policiers ne vont pas commencer à cogner au hasard à toutes les portes du Québec. Il n'y aura pas de chasse aux sorcières », a tenu à rassurer le Premier ministre québécois, François Legault, lors d'une conférence de presse mercredi. Si les policiers soupçonnent un rassemblement illégal, ils pourront obtenir rapidement un mandat électronique auprès d'un juge, qui leur permettra d'entrer dans le domicile visé sans le consentement des occupants. Si ces derniers coopèrent, le mandat ne sera pas nécessaire.
Une amende de 1.000 dollars canadiens
En cas de violation des règles sanitaires, les policiers pourront remettre sur-le-champ aux contrevenants des constats d'infraction portatifs, similaires à ceux utilisés pour une infraction routières. Les participants d'un rassemblement privé illégal - mais aussi d'un rassemblement extérieur, désormais interdit dans les zones rouges - s'exposent à une amende de 1.000 dollars canadiens, soit 640 euros (1.500 dollars avec les frais, soit 960 euros).
Si le gouvernement québécois cible les rassemblements privés, c'est parce qu'il estime que ce sont eux qui sont à l'origine de la hausse des contaminations au Covid-19 observée depuis plusieurs jours. Mercredi, la province canadienne de 8,5 millions d'habitants a fait état de 838 nouveaux cas. Le seuil des 800 cas a ainsi été franchi pour la deuxième fois en quatre jours, alors qu'il n'avait plus été atteint depuis la mi-mai.
Commentaire : Les victimes sont toujours coupables : coupables d'exister, de vivre, de vouloir être entre amis, entre parents, de vouloir se consoler, de vouloir partager, s'entraider. Dans la "nouvelle normalité" rien de tout ça, ça serait trop facile. Il ne faut pas communiquer, échanger, se toucher, s'embrasser, se sentir protégé. Rien de humain et chaleureux dans ce présent du Coronavirus qui deviendra notre futur sans âme, gris et métallique comme un morceau de fer, un morceau de carrosserie.
par Tyler Durden Sam, 10/03/2020 - 15:30 Rédigé par Jeff Deist via The Mises Institute,
Les manchettes d'aujourd'hui ont annoncé que Donald et Melania Trump "avaient été testés positifs" pour le covid-19. Un autre affirme que dix-neuf mille travailleurs d'Amazon ont «obtenu» le covid-19 au travail. Ces deux pseudo-histoires vont certainement déclencher une autre frénésie médiatique absurde.
Comme toujours, l'histoire ne cesse de changer: souvenez-vous des ventilateurs, aplatissez la courbe, les deux prochaines semaines sont cruciales, etc.? Vous vous souvenez de Nancy Pelosi dans le quartier chinois en février, qui exhortait tout le monde à visiter ? Vous vous souvenez que Fauci a rejeté les masques comme étant inutiles ? Pourquoi devrions-nous croire tout ce que le complexe politique / médiatique nous dit maintenant ?
Alors, que signifient vraiment ces titres ? Qu'est-ce qu'un "cas" covid exactement ?
Depuis le début de l'épidémie de coronavirus, la plupart des médias américains ont été extrêmement crédules et complices de leurs reportages. Les journalistes promeuvent presque uniformément ce que nous pouvons appeler le récit du «prolockdown», qui consiste à exagérer de manière extravagante les risques du covid-19 pour servir un agenda politique. Ils peuvent être motivés à nuire politiquement à Trump, à promouvoir une «nouvelle normalité» plus socialiste ou simplement à générer plus de clics et de vues. Les mauvaises nouvelles se vendent. Mais le parti pris est clair et indéniable.
Cela explique pourquoi les médias utilisent les termes «cas» et «infection» de manière si vague, au point de désinformer activement le public. Toutes les discussions sans fin sur les tests, les tests, les tests ont servi à obscurcir deux faits importants. Premièrement, les tests eux-mêmes ne sont presque pas fiables pour produire à la fois des faux positifs et des négatifs. Et quel est le point ? Allons-nous tester les gens encore et encore, chaque fois qu'ils sortent à l'épicerie ou rencontrent un voisin ? Deuxièmement, la détection de particules virales ou de gouttelettes dans les voies respiratoires d'un être humain nous en dit très peu. Cela ne nous dit certainement pas qu'ils sont malades ou qu'ils transmettent la maladie à qui que ce soit.
Prenez une personne en parfaite santé sans symptômes particuliers et tamponnez l'intérieur de son nez. Si la culture montre la présence de staphylococcus aureus, insistons-nous sur le fait qu'ils ont une infection à staphylocoque ? Quand quelqu'un se rend au travail sans incident ni accident, créons-nous des statistiques sur son exposition au trafic ?
Un virus n'est pas une maladie. Seul un très petit pourcentage de ceux exposés au virus lui-même - SRAS-CoV-2 - présentent des symptômes respiratoires aigus, ou ce que nous pouvons appeler une «maladie à coronavirus».
Les seules statistiques significatives montrent l'incidence des maladies graves, des hospitalisations et des décès. La statistique la plus importante parmi celles-ci est le taux de mortalité par infection (IFR). Les données recueillies jusqu'en juillet montrent que l'IFR pour les moins de 45 ans est en fait inférieur à celui de la grippe commune. L'IFR covid-19 augmente pour les plus de cinquante ans, mais ce n'est guère une condamnation à mort. Et les données ne séparent pas ceux qui ont des problèmes de santé préexistants causés par l'obésité, le diabète et les maladies cardiaques. Si nous ne pouvions voir des données que pour des personnes raisonnablement en bonne santé de moins de 50 ans, les chiffres seraient encore plus rassurants.
Les cas de covid légère ou asymptomatique n'ont en fait aucun sens. Le monde est plein de bactéries et de virus, et parfois ils nous rendent un peu malades pendant quelques jours. Il y en a des millions dans le monde tout autour de nous, sur notre peau, dans notre nez et nos voies respiratoires, dans nos organes. Nous sommes censés vivre avec eux, c'est pourquoi nous avons tous un système immunitaire conçu pour nous aider à coexister et à nous adapter à des organismes en constante évolution. Nous développons des anticorps naturellement, ou nous essayons de les stimuler par des vaccins, mais en fin de compte, notre propre système immunitaire doit faire face à la covid-19. Le virus sera toujours là-bas en attente, de l'autre côté de tout verrouillage ou masque - alors nous pourrions aussi bien continuer.
Dès le premier jour, l'accent aurait dû être mis sur le renforcement de l'immunité grâce à l'exercice, à l'air frais, à la lumière du soleil, à des compléments alimentaires appropriés et à la promotion du bien-être général. Au lieu de cela, nos politiciens, bureaucrates et médias ont insisté sur les fermetures d'entreprises, les fermetures d'écoles, la distance, l'isolement, les masques et le mirage d'un vaccin rapide et efficace. Comme pour presque tout dans la vie, l'intervention de l'État a aggravé la situation. Nous ne pouvons qu'espérer que de nombreux gouverneurs seront démis de leurs fonctions, soit par destitution, soit lors des prochaines élections. Plusieurs, dont Andrew Cuomo à New York et Gretchen Whitmer au Michigan, devraient faire face à des accusations criminelles pour leurs décrets anarchiques. Il n'y a pas d'exception de procédure régulière pour la «santé publique».
Les verrouillages n'ont jamais été justifiés, que ce soit en termes de risque de covid-19 ou de compromis économiques stupéfiants, qui se feront sentir pendant des décennies. Ils ne sont certainement pas justifiés maintenant, étant donné sept mois de données supplémentaires montrant que la transmission et la létalité du covid-19 ne sont pas particulièrement pires que celles du SRAS, de la grippe porcine ou d'Ebola.
Les verrouillages n'ont jamais été justifiés, que ce soit en termes de risque de covid-19 ou de compromis économiques stupéfiants, qui se feront sentir pendant des décennies. Ils ne sont certainement pas justifiés maintenant, étant donné sept mois de données supplémentaires montrant que la transmission et la létalité du covid-19 ne sont pas particulièrement pires que les précédentes pandémies de SRAS, de grippe porcine ou d'Ebola. Nous ne savons toujours pas combien des deux cent mille décès signalés par covid-19 aux États-Unis ont été réellement causés par la maladie respiratoire du SRAS-CoV-2, ou reflètent simplement des personnes décédées d'autres causes après une exposition au covid-19. Nous savons que les dommages causés par les verrouillages l'emportent de loin sur les dommages causés par le virus covid-19.
Près de huit mois de vie et de liberté nous ont été volés par des politiciens et leurs complices médiatiques qui promeuvent l’hystérie. Combien plus accepterons-nous ?
Voici ce qui se passe chaque minute sur Internet en 2020
par Tyler Durden Sam, 10/03/2020 - 23:00
En 2020, une quantité insondable d'activité numérique se produit à un moment donné. Comme le détaille Aran Ali de Visual Capitalist ci-dessous, cette explosion continue de l'activité correspond à la production totale de 4,5 milliards d'internautes aujourd'hui, un nombre qui devrait encore augmenter dans les années à venir.
Ce puissant visuel de Domo permet de capturer ce qui se passe chaque minute à l'ère de l'Internet hyper-connecté d'aujourd'hui, et il s'agit en fait de la huitième édition produite depuis 2012.
- voit graphique sur site -
Que pouvons-nous apprendre de l'évolution de ce qui se passe en une minute Internet ?
Comment les temps ont changé
Au cours de son histoire relativement courte, Internet a été un catalyseur à la fois de la montée et de la disparition de nouvelles entreprises et plateformes.
En regardant quelles marques sont apparues dans le graphique les années précédentes, nous pouvons à peu près tracer la proéminence de certains segments technologiques, ainsi qu'observer les marques les plus résistantes.
- voir graphique sur site -
Comme vous pouvez le voir ci-dessus, des plates-formes comme Tumblr, Flickr et Foursquare ont montré des promesses, mais ont finalement été omises du graphique car elles perdaient de leur pertinence.
Pendant ce temps, les entreprises de technologie comme Facebook, Amazon et Google ont eu une durabilité impressionnante, évoluant pour devenir l'une des plus grandes entreprises du monde. Dans le processus, ils ont rattrapé des titans de longue date comme Apple et Microsoft au sommet de la chaîne alimentaire.
La nouvelle «nouvelle chose»
Sans surprise, une grande partie du paysage Internet semble différente en 2020. Voici quelques-uns des points chauds numériques d'aujourd'hui.
Transferts d'espèces
Près de 240 000 $ de transactions se produisent sur Venmo par minute. Cela a servi de catalyseur pour la société mère PayPal, qui a évolué avec succès avec les tendances de la fintech. Les actions de PayPal se négocient désormais à des niveaux presque sans précédent.
Commerce électronique
Même avant que le COVID-19 n'entraîne des vitrines fermées et une augmentation des commandes en ligne, le commerce électronique était une industrie en plein essor. On estime désormais qu’un million de dollars sont désormais dépensés par minute en ligne. Amazon expédie un nombre impressionnant de 6659 colis chaque minute pour répondre à cette demande.
Dans un environnement de travail principalement à distance, des outils tels que Zoom et Microsoft Teams hébergent respectivement 208 333 et 52 083 utilisateurs chaque minute. En particulier à l'ère de la pandémie, il semble que cette tendance est là pour durer.
- voir graphique sur site -
Chiffre d'affaires accéléré
Le monde accéléré dans lequel nous nous trouvons aujourd'hui signifie que de nombreuses entreprises ne conservent pas un avantage concurrentiel aussi longtemps. Les entreprises de médias sociaux ont diminué comme indiqué ci-dessus, et cela se reflète de la même manière dans la durée de vie moyenne d'une entreprise du S&P 500.
Le mandat d'une entreprise typique sur le S&P 500 devrait diminuer rapidement au cours des prochaines années:
1964: 33 ans
2016: 24 ans
2027E: 12 ans
Les entreprises réduisent entre 15 et 20 ans ces sommets, avec des estimations de nouvelles baisses. Cette métrique symbolise l'évolution rapide du paysage commercial.
Ce qui nous attend
Il est apparemment facile d’oublier que l’humanité est encore très tôt dans le développement d’Internet. Mais au cours de cette courte période, sa montée en puissance et la vaste numérisation du monde nous ont laissé un calendrier très mouvementé.
Si la dernière décennie sert de point de référence, on peut s'attendre à une concurrence accrue et intensifiée entre les entreprises technologiques. Après tout, la récompense - gagner dans l’économie numérique d’aujourd’hui - rapporte beaucoup plus.
Tous les signes indiquent que l'activité Internet progresse vers de nouveaux sommets, sinon à cause de la 5G et de ses avancées associées, peut-être en raison de l'augmentation constante du nombre de personnes ayant accès à Internet.
Microchip'd ? La biopuce DARPA pour nous «sauver» de COVID peut contrôler l'ADN humain
par Tyler Durden Sam, 10/03/2020 - 20:30 Rédigé par Robert Wheeler via le blog The Organic Prepper,
Alors que la moitié des électeurs américains attendent sans aucun doute l'annonce de la sortie du vaccin COVID et que les États et gouvernements totalitaires du monde entier tentent d'exiger une preuve de tests négatifs avant le voyage, un nouvel outil dans le hangar du gouvernement. la surveillance et le contrôle se révèlent.
La puce est arrivée. Alors que beaucoup attaquent encore quiconque avertit de la «puce à venir» en tant que théoricien du complot, luddite ou fanatique religieux, cette puce est arrivée.
Mais les gouvernements n’ont pas à commercialiser la puce comme une méthode pour suivre, tracer et contrôler leurs populations. Au lieu de cela, ils commercialisent la puce comme un moyen de suivre et de détecter le COVID et d'autres coronavirus. De toute évidence, il s'agit d'une vente beaucoup plus facile à un public littéralement terrorisé par leurs gouvernements et les grands médias au cours des six derniers mois.
Raul Diego détaille la création et le déploiement à venir de la nouvelle biopuce dans son article, «Une micropuce implantable financée par la DARPA pour détecter le COVID-19 pourrait frapper les marchés d'ici 2021», où il écrit:
La découverte scientifique la plus importante depuis que la gravité se cache à la vue depuis près d'une décennie et son potentiel destructeur pour l'humanité est si énorme que la plus grande machine de guerre de la planète a immédiatement déployé ses vastes ressources pour la posséder et la contrôler, finançant sa recherche et son développement. par des agences comme les National Institutes of Health (NIH), la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) et le HHS 'BARDA.
La percée révolutionnaire est arrivée à un scientifique canadien nommé Derek Rossi en 2010, purement par accident. Le professeur d'Harvard, maintenant à la retraite, a affirmé dans une interview au National Post qu'il avait trouvé un moyen de «reprogrammer» les molécules qui portent les instructions génétiques pour le développement cellulaire dans le corps humain, sans parler de toutes les formes de vie biologiques.
Ces molécules sont appelées «acide ribonucléique messager» ou ARNm et la nouvelle capacité de réécrire ces instructions pour produire tout type de cellule dans un organisme biologique a radicalement changé le cours de la médecine et de la science occidentales, même si personne ne l’a encore vraiment remarqué. Comme Rossi, lui-même, le dit: «La vraie découverte importante ici était que vous pouviez maintenant utiliser l'ARNm, et si vous l'introduisiez dans les cellules, alors vous pourriez obtenir l'ARNm pour exprimer n'importe quelle protéine dans les cellules, et c'était la grande chose. » (La source)
Voici ce que la technologie peut faire
Cette nouvelle technologie revient au contrôle à distance des processus biologiques.
Dès 2006, la DARPA recherchait déjà comment identifier les agents pathogènes viraux des voies respiratoires supérieures grâce à son programme Predicting Health and Disease (PHD), qui a conduit à la création du Bureau des technologies biologiques (BTO) de l'agence, comme le rapporte Whitney Webb dans un Article de mai pour The Last American Vagabond. En 2014, le BTO de la DARPA a lancé son programme «In Vivo Nanoplatforms» (IVN), qui étudie les nanotechnologies implantables, conduisant au développement de «l'hydrogel».
L'hydrogel est une nanotechnologie dont l'inventeur s'est vanté très tôt que «si [cela] se concrétisait, avec l'approbation de la FDA, alors les consommateurs pourraient faire implanter les capteurs dans leur cœur pour mesurer leurs niveaux de glucose, d'oxygène et de lactate.» Ce matériau ressemblant à des lentilles de contact nécessite l'introduction d'un injecteur spécial sous la peau où il peut transmettre des signaux numériques basés sur la lumière via un réseau sans fil comme la 5G.
Une fois fermement implantées à l'intérieur du corps, les cellules humaines sont à la merci de tout programme d'ARNm délivré via ce substrat, déclenchant un cauchemar de possibilités. C'est peut-être le premier véritable pas vers un transhumanisme à part entière. (La source)
Patrick Tucker de Defense One entre dans quelques détails supplémentaires sur le fonctionnement de la biopuce. Il le décrit comme suit:
Le capteur comporte deux parties. L'un est une chaîne d'hydrogel de 3 mm, un matériau dont le réseau de chaînes polymères est utilisé dans certaines lentilles de contact et autres implants. Insérée sous la peau avec une seringue, la ficelle comprend une molécule spécialement conçue qui envoie un signal fluorescent à l'extérieur du corps lorsque le corps commence à combattre une infection. L'autre partie est un composant électronique attaché à la peau. Il envoie de la lumière à travers la peau, détecte le signal fluorescent et génère un autre signal que le porteur peut envoyer à un médecin, à un site Web, etc. C'est comme un laboratoire de sang sur la peau qui peut détecter la réponse du corps à la maladie avant la présence d'autres symptômes, comme la toux.
Vous ne serez pas surpris de savoir qui soutient cela.
Il est clair que ce projet bénéficie d'un soutien dans les couloirs du monde de l'entreprise et du gouvernement américain.
La société privée créée pour commercialiser cette technologie, qui permet de contrôler à distance les processus biologiques et ouvre la porte à la manipulation potentielle de nos réponses biologiques
La société privée créée pour commercialiser cette technologie, qui permet de contrôler les processus biologiques à distance et ouvre la porte à la manipulation potentielle de nos réponses biologiques et, finalement, de toute notre existence, s'appelle Profusa Inc et ses opérations sont financées par des millions de NIH et DARPA. En mars, la société a été discrètement insérée dans le bazar bondé du COVID-19 en mars 2020, lorsqu'elle a annoncé une biopuce injectable pour la détection des maladies respiratoires virales, y compris le COVID-19. (La source)
Le seul obstacle est un système de distribution, qui, bien que Moderna prétende se développer séparément, est peu susceptible d'obtenir l'approbation de la FDA avant la propre technologie d'hydrogel développée par le gouvernement fédéral DARPA, en tandem avec la technologie de capteur de lumière financée par DARPA de Profusa, qui devrait recevoir autorisation accélérée de la Food and Drug Administration au début de 2021 et, plus que probablement, utilisée pour déployer un vaccin contre le coronavirus avec la capacité de changer littéralement notre ADN.
En outre, le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) enquête actuellement sur les dépôts de brevets de Moderna, affirmant qu'il n'a pas divulgué «le soutien du gouvernement fédéral» dans ses demandes de brevet de candidat vaccin COVID, comme l'exige la loi. La technicité pourrait amener le gouvernement fédéral à détenir une participation de 100% dans l'ARNm-1273. (La source)
Prenez une puce ou faites face aux conséquences.
Les militants et les citoyens inquiets doivent cesser de parler de la «puce à venir» et de la façon dont ils refuseront d'être déchiquetés le moment venu. Ce temps est maintenant. Bientôt, les gens du monde entier vont avoir une décision très difficile à prendre: prendre une puce électronique ou en subir les conséquences. À en juger par le nombre de personnes qui se promènent masquées lors de mes déplacements au supermarché, je dirais que les chances ne sont pas en faveur d’une humanité libre. La plupart des gens s'aligneront volontiers.
Remarque: écoutez le chercheur Alan Watt de CuttingThroughTheMatrix.com discuter de la biopuce et bien plus encore dans un contexte historique et analytique ici:
Puces qui seront (sans que vous le sachiez) implantées dès la naissance d'un enfant ou dans votre corps lors d'une intervention chirurgicale ou simplement médicale. "Si on vous dit de tuer: Vous tuez ! Si on vous dit de sauter par la fenêtre: Vous sautez par la fenêtre !"
Comme beaucoup de « vieux » de ma génération, au collège on apprenait le latin puis le grec deux ans plus tard et accessoirement l’anglais également dès l’entrée au collège. Cet anglais était enseigné par un professeur qui visiblement n’avait jamais mis les pieds sur le territoire de Sa Majesté la Reine Elizabeth deuxième du nom. Par contre le professeur de latin connaissait sa matière et, Gaffiot aidant, on arrivait sans peine à traduire Cicéron, Séneque ou encore Ovide. Bref, passons à l’enseignement du français, tout de même la langue natale, qui se devait d’être correctement enseignée. Comment apprenait-on le français de mon temps ? Essentiellement en lisant toutes sortes de textes comme les incontournables Racine, Molière et Lafontaine mais aussi, pêle-mêle, Rimbaud, Rabelais, Gérard de Nerval, Madame de Sévigné et parfois Marguerite Yourcenar pour les privilégiés. De plus on devait apprendre et réciter de mémoire des textes variés en prose ou en vers.
L’orthographe s’apprenait donc par la lecture, la mémoire visuelle dans mon cas, mais également en faisant des efforts lors des dissertations ou des explications de texte. Le professeur était exigeant et on le devenait soi-même. Quant à la syntaxe, même cas de figure, le meilleur moyen de comprendre et appliquer un bonne syntaxe résidait encore dans la lecture comme Hugo ou Stendhal et qui sais-je encore. J’ai donné quelques cours bien des années après le collège, années dont je viens de parler, à l’Université à des étudiants « bac+5 » qui devaient rédiger un rapport de 10 pages. La note que je devais attribuer à leur copie était éliminatoire (je crois que ça n’existe plus) et ces étudiants le savaient. Puisque j’étais plutôt conciliant et que je n’avais pas l’intention de les mettre dans une situation difficile je leur ai proposé un essai, une sorte de rapport « blanc ». Sur mon groupe de 30 élèves – ils briguaient tout de même le diplôme de maîtrise en fin d’année – je mis 15 zéro, 12 huit sur vingt et 3 douze sur vingt. Dans l’ensemble tous ces rapports étaient de très bonne qualité mais les notes étaient relatives à l’orthographe. Je leur ai donné une bonne leçon et rendu un très grand service. Pour trouver un emploi qualifié, après cinq années d’études universitaires dans une discipline scientifique, la science ne suffit pas, il faut aussi parler correctement sa propre langue avec le minimum de fautes d’orthographe et de syntaxe et également être capable de s’exprimer clairement. Je ne suis pas certain que ce soit encore le cas.
Bref, j’ai capté cette illustration lors d’une émission de Frédéric Taddeï, l’un des rares journalistes qui laisse ses invités s’exprimer sans les interrompre sans arrêt et elle m’a donné l’occasion de disserter au sujet de la langue française. Ici il s’agit d’écriture dite « inclusive ». Je n’ai toujours pas compris ce que « écriture inclusive » signifiait. J’ai lu ou plutôt tenté de décrypter le slogan que brandissait probablement une femme, je pense que peu d’hommes se vernissent les ongles, et je n’ai rien compris. Je passe sur « quand tout sera privé » qui ne veut strictement rien dire, il aurait été plus correct d’écrire « privatisé » puisque c’était le motif de cette manifestation, me semble-t-il. Suit alors « on sera privé-e-s de tout ». À quoi sert ce « -e-s » puisque « on » n’a pas de genre au sens grammatical du terme : par définition il s’agit d’un pronom indéfini. On ne peut pas écrire « On est » : c’est également doublement faux si on écrit privé au pluriel sauf si on ajoute « tous » ce qui donne « On est tous privés » et si on veut donner un genre à l’article « on » on peut lui enjoindre le mot « toutes », ce qui donnera alors « on est toutes privées ». Les adjectifs « privés » et « privées » s’accordent alors avec respectivement les mots « tous » et « toutes » qui introduisent un genre au pronom indéfini « on ». Qu’est-ce que c’est que ce charabia dit inclusif, qui a inventé ce truc stupide et pourquoi ? Je suppose que c’est sorti du cerveau dérangé de viragos écolo-gauchistes mal baisées qui n’ont probablement jamais lu ni Hugo, ni Zola, ni Verlaine et encore moins Montherlant ou Voltaire. La langue française est maintenant parfaitement parlée et écrite par des Sénégalais ou des Ivoiriens, c’est un comble !
Effectivement 'on' veut dire plusieurs, tandis qu'à la 3è personne de l'indicatif présent du verbe être figurent le 'il' ou 'elle', qui sont au singulier. Mais le 'on sommes' ou le 'on sont' ou le 'nous est' ou le 'ont est' n'étant pas valables...
Un motocycliste fait face à de multiples accusations criminelles après avoir été surpris en train de faire 181 mi / h (291 km/h) sur l'autoroute de San Diego
par Tyler Durden Sam, 10/03/2020 - 20:00
Un motocycliste à San Diego a été surpris en train de faire 181 miles par heure sur une autoroute de San Diego et fait maintenant face à des accusations de fraude, de conduite imprudente, de course de rue et de conduite sans permis, selon NBC.
Le conducteur, Scott Meiner, 32 ans, roulait sur la voie réservée aux VMO le 29 mars lorsque les agents ont choisi de ne pas le poursuivre en raison de la vitesse à laquelle il roulait. Il a été vu près de la sortie du boulevard Mira Mesa à l'époque, avant de faire passer un feu rouge sur le boulevard Mira Mesa.
Le porte-parole du CHP, Salvador Castro, a déclaré: "Nos unités étaient en train de mener un incident lidar et, fondamentalement, elles ont fait démarrer cette moto 181 et n'ont pas été en mesure de la rattraper."
Il a poursuivi: "Nous avons donc transmis toutes les informations à nos enquêteurs, et quelques mois plus tard, ils ont pu identifier le [coureur] et les relier à plusieurs incidents de courses de rue et de conduite imprudente, et également fuyant plusieurs policiers. des agents de divers organismes d'application de la loi à de nombreuses reprises."
La page Facebook de Meiner énumère «motos, golf, voitures et travail» comme ses intérêts. Cela le montre également en train de vendre une moto Kawasaki Ninja ZX-10, qui se vend 15 399 $. Ce vélo a une vitesse maximale de 180 mph. Meiner a écrit sur sa page Facebook qu'il était "S'entraîner à la course sur circuit sur l'île de Man TT et MGP d'ici 22".
Même lors de la célèbre course du Tourist Trophy de l'île de Man, la vitesse maximale au tour est de 135,4 miles par heure, fixée en 2018.
Meiner a été placé en garde à vue mardi après que les enquêteurs ont exécuté des mandats de perquisition. Il a été inscrit à la prison du comté de San Diego et libéré mercredi de la semaine dernière.
Aucun mot si le vélo était sur "Pilote automatique" et s'il prévoit d'utiliser "l'accélération involontaire" comme défense ...
Au Québec, les policiers peuvent entrer chez les habitants pour contrôler les mesures sanitaires
2 Oct 2020
Pour enrayer la pandémie au Québec, les habitants de la province canadienne ne peuvent plus accueillir d'invités. Les policiers peuvent obtenir d'un juge l'autorisation d'entrer dans les domiciles pour vérifier le respect des règles sanitaires.
Lors d'une conférence de presse le 30 septembre, le Premier ministre québécois, François Legault, a informé ses citoyens qu'il était interdit à partir du 1er octobre d’accueillir chez soi des invités, c'est-à-dire des personnes vivant à une autre adresse.
Covid-19 : le Canada se prépare pour «une deuxième vague, qui pourrait frapper très fort»
Le responsable de la province canadienne a étayé cette décision avec fermeté : «Soyons bien clairs : quelqu’un qui fait un party [une fête] dans sa maison, il est en contravention de la loi et met la vie des autres personnes en danger. Donc quand ça arrive, les policiers vont pouvoir leur donner un constat d’infraction.» La contravention pourra être de 1 000 dollars canadiens (soit environ 640 euros). Ne sont pas concernées les personnes isolées, les proches aidants, ou les professionnels qui fournissent un service à domicile.
Si la police soupçonne un non-respect de cette nouvelle mesure chez des habitants qui refusent d'ouvrir leur porte, elle peut «obtenir un télémandat rapidement d'un juge pour être capable de donner un constat d'infraction». Dans ce cas, les forces de l'ordre ont l'autorisation d’entrer dans le domicile.
Pour autant, «les policiers ne vont pas commencer à cogner aux portes au hasard, il n’y aura pas de chasses aux sorcières. Les policiers vont le faire seulement s’ils ont des motifs de croire que la loi n’est pas respectée», a-t-il voulu rassurer.
Depuis le 1er octobre, les régions de Montréal et Québec sont passées au plus haut niveau d'alerte pour 28 jours, alors que les cas de coronavirus ont fortement grimpé dans la province québécoise, région la plus durement touchée par l'épidémie au pays. Les bars, restaurants, cinémas, musées et bibliothèques notamment seront fermés du 1er au 28 octobre dans trois régions passées au seuil d'alerte rouge.
François Legault a annoncé que «comparativement à mi-août, on est passés de 50 nouveaux cas par jour à 900 par jour [...], d'une centaine d'hospitalisations à 275».
Covid-19 : Montréal favorise la dénonciation en ligne pour faire respecter le confinement
LES CYBERCRIMINELS FONT AUSSI LEUR RENTRÉE DES CLASSES
par LOÏC GUÉZO 03/10/2020
En 2019, le secteur de l'enseignement a subi 192% de cas de fraude par email de plus qu'en 2018.
98 % des 40 premières universités françaises ne sont pas protégées contre la fraude par email. Alors que l’enseignement en ligne va se poursuivre dans le contexte de pandémie, il est primordial de tirer dès à présent les bonnes leçons en matière de cybersécurité pour protéger étudiants, professeurs et universités.
En 2019, le secteur de l’enseignement a subi une vague de cyberattaques sans précédent, enregistrant la plus forte augmentation de fraude par email (+ 192 %), avec une moyenne de 40 attaques par établissement. En 2017, le secteur s’est même retrouvé dernier dans un classement international évaluant le niveau de préparation en termes de cybersécurité de 17 secteurs d’activité…
Le secteur public a toujours été une cible de choix pour les cybercriminels, et l'enseignement tout particulièrement. Désormais, ce secteur a priori déjà mal préparé se retrouve confronté à un défi encore plus grand : l’obligation de passer au moins partiellement à un apprentissage en ligne, sous le coup de la pandémie de coronavirus. Le secteur, déjà en difficulté pour sécuriser ses nombreux points d'accès, voit ainsi sa surface d'attaque potentielle augmenter rapidement.
Et les cybercriminels n'ont pas perdu de temps pour s’engouffrer dans la brêche. Ils cherchent activement à exploiter cette nouvelle dépendance à l'égard des solutions de cours en distanciel. En l'absence de changements significatifs dans les environnements de sécurité, le secteur de l’enseignement restera une cible facile. Or les établissements scolaires et de l’enseignement supérieur détiennent de nombreuses données sensibles sur les individus, peut-être plus que tout autre secteur, en dehors de la santé : nom, adresse, date de naissance, numéro de sécurité sociale, voire coordonnées bancaires et dossiers médicaux, etc.
Une catastrophe en prévision ?
Chaque école, collège ou université est une cible potentielle. Comme les établissements de santé, les établissements scolaires doivent également assurer une certaine continuité de service. L'annulation des examens ou l’invalidation des notes ne sont pas envisageables. Les cybercriminels le savent, ce qui fait également de ce secteur l'un des plus visés par les attaques de ransomware, comme ce fut récemment le cas dans des universités en Corse ou à Maastricht.
Vient ensuite la question des utilisateurs. Contrairement à la croyance populaire, la jeune génération est souvent plus détendue à l'égard de la cybersécurité que ses homologues plus âgés. La faiblesse des mots de passe, leur partage et la réutilisation des identifiants de connexion sont monnaie courante, notamment chez les étudiants.
Facteur aggravant : les institutions du secteur public ne sont pas connues pour leurs budgets informatiques importants. Elles n'ont pas non plus la chance de disposer d'une abondance de professionnels qualifiés en matière de cybersécurité. Il en résulte naturellement un manque de contrôle.
Les universités françaises, mauvaises élèves en cybersécurité
L’email étant le principal vecteur utilisé pour propager une cyberattaque, vérifier le niveau de sécurité de ce canal est un bon indicateur du risque encouru pour une organisation. Et le moyen le plus efficace pour contrôler ce niveau de sécurité consiste à vérifier l’adoption du protocole DMARC (Domain-based Message Authentication, Reporting & Conformance). Véritable standard en matière de protection contre la fraude par email, ce protocole permet d’authentifier les expéditeurs et de protéger les usagers contre les cybercriminels qui cherchent à usurper l’identité d’une institution ou marque de confiance.
Or selon une récente étude, 57 % des 40 premières universités françaises n'ont pas du tout publié d’enregistrement DMARC (Domain-based Message Authentication, Reporting & Conformance) et 40 % ont un enregistrement incomplet. Au final, seule une seule université parmi les plus prestigieuses en France a mis en œuvre le niveau de protection le plus strict et recommandé de DMARC (Reject), qui empêche les emails frauduleux d’atteindre leur cible. Ne pas s’aligner pleinement à ce standard expose malheureusement de nombreux étudiants à des attaques de phishing, prétendant venir de LEUR établissement…
Protéger ses données pendant la pandémie
L'impact du coronavirus a donc aggravé une situation déjà précaire. Des données, des réseaux et des infrastructures qui étaient déjà mal sécurisés se retrouvent dans un environnement étendu et ouvert, beaucoup plus difficile à défendre.
De nombreux établissements, débordés par la nécessité de sécuriser un environnement largement circonscrit, ont dû rapidement déployer des plateformes virtuelles d'apprentissage en ligne, des réseaux privés virtuels etc. Et pour atteindre cet objectif, certains ont pris des raccourcis et renoncé aux meilleures pratiques en matière de sécurité.
Le Global Threat Activity Tracker de Microsoft indique que plus de cinq millions de logiciels malveillants ont été détectés dans le secteur de l'enseignement au cours des 30 derniers jours. Cela représente près des deux tiers de tous les incidents liés aux logiciels malveillants dans les huit secteurs les plus touchés. Le deuxième secteur le plus touché, celui des services aux entreprises et des services professionnels, n'a connu que 842.000 événements au cours de la même période.
Les essentiels pour une rentrée réussie
Il est clair que ce secteur est attaqué. 99% des cyberattaques nécessitant une action humaine pour aboutir (cliquer sur un lien, télécharger une pièce jointe, etc.), la meilleure défense est de se concentrer sur les personnes qui sont attaquées.
Les établissements doivent donc veiller à ce que l'ensemble du personnel et des étudiants soient sensibilisés aux bonnes pratiques en matière de sécurité et aux mécanismes de fraude le plus fréquemment utilisés par les cybercriminels. Une attention particulière doit notamment être portée à la messagerie électronique. Savoir identifier une tentative de fraude est primordial pour pouvoir l’éviter. Certains signes sont assez révélateurs du phishing, comme les fautes d'orthographe et de grammaire, les demandes urgentes, les demandes d'informations non sollicitées et les liens usurpés.
Outre une formation approfondie et continue, il faut fournir un ensemble clair de consignes de sécurité à suivre, que ce soit à la maison ou en classe. Ces directives devraient couvrir le partage et la réutilisation des identifiants, l'utilisation des dispositifs personnels et du stockage externe, la protection des données et d'autres bonnes pratiques courantes. Des outils et mesures de contrôle doivent également être déployés pour protéger les données et réseaux, ainsi qu'une authentification multifactorielle sur tous les systèmes, appareils et applications.
Une fois de plus, le renforcement de la sécurité du courrier électronique devrait être une priorité absolue. Il existe des solutions qui permettent d’identifier et filtrer les messages suspects, ou encore signaler les comportements tels que la suppression des alertes de connexion, l'utilisation anormale des appareils et tout indicateur de compromission de compte.
Nul ne sait combien de temps encore l'apprentissage en ligne sera nécessaire pour les étudiants. Ce qui sûr, en revanche, c'est que la cyber menace qui pèse sur le secteur de l’enseignement se poursuivra bien après la rentrée. Les équipes de sécurité doivent agir au plus vite pour protéger les établissements et les étudiants.
L'excuse du 'corona' pour faire croire en une pandémie (35 fois moindre que le nombre de suicides en France !!) montre bien l'objectif réel de rabâcher ces chiffres toutes les heures dans les merdias ! IL NE FAUT PAS QUE LES ENFANTS S'INSTRUISENT ! Oui mais, s'ils évitent l'école comme une merde sur la route ils étudieront sur Internet et, sur internet il n'y a pas que les merdias ! il y a aussi la vérité ! Preuve encore hier et aujourd'hui avec de nouvelles attaques de mon blog à changer les dates ou heures de publication !
"Notre Monde Bascule" a bien été posté le Samedi 3 Octobre 2020 (et non le Vendredi 2).
[Note de l’éditeur: Il s’agit d’un article important à lire. Il ajoute une preuve supplémentaire qu’il ya un agenda secret à longue portée par nos amis illuminés pour asservir électroniquement toute la race humaine en utilisant micro-ondes et la technologie scalaire. Al Bielek, Preston Nichols et Phil Schneider ont souligné dans les années 1990 qu’un programme mondial de contrôle de l’esprit électronique (développé dans le cadre du projet Montauk) était en cours et la croissance explosive des tours de téléphonie cellulaire (dans le monde entier) commencée en 2000 n’était que la première phase de la structure de contrôle électronique micro-ondes. Le récent non-débat, sans discussion, ram-through, « fast-tracking » de « 5G » par l’acheté-et-payé-pour le présidentde la FCC Tom Wheeler, fait évidemment partie du réseau électronique secret de contrôle de l’esprit, déguisé en la « prochaine génération » de commodité. Les énormes mégatowers à micro-ondes de télécommunication en cours de construction dans toutes les grandes villes du monde font également partie du prochain système électronique de contrôle de l’esprit micro-ondes, de la coersion et du réseau de terminaison. Ce n’est pas de la science-fiction. Il est réel et sa mise en œuvre complète se rapproche, année après année... Ken Adachi]
Par Anthony Sconosciuto http://educate-yourself.org/cn/The-Weaponization-of-WiFi-09Oct26.shtml#top Le 9 octobre 2016
The Weaponization of WiFi (9 octobre 2016)
Censure de Facebook Pour poster cet article sur Facebook, lien vers le TinyUrl vu ci-dessous. Facebook supprimera tout article identifié comme provenant de educate-yourself.org http://tinyurl.com/hde3x39
The Weaponization of WiFi (9 octobre 2016) Preuve croissante de l’utilisation secrète du Wifi pour le contrôle de l’esprit et la terminaison https://t.co/Vufxg3vMG4
— Ken Adachi (@KenAdachi1) 18:58 - 18 octobre 2016
Introduction Cela peut ressembler à une œuvre de science-fiction, mais, je vous assure que ce n’est pas le cas. Avant de commencer, je tiens à dire que je ne suis pas un « théoricien du complot ». Les conclusions que je fais sont le résultat de près de 4 ans d’enquête sur une expérience personnelle dans laquelle, je crois, j’ai fait l’objet d’une expérience par un DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) entrepreneur nommé SARA Inc., impliqué dans les armes EM R & D. Je crois aussi qu’il y a eu beaucoup plus de victimes de cette expérience que nous ne saurons jamais. En raison de ma vaste expérience (40 ans et plus) dans l’informatique et la technologie connexe, j’ai été en mesure de reconnaître la menace et de se défendre contre elle. Je vais essayer dans cette écriture de mettre les choses en perspective. Je dois déclarer en ce moment que je souhaite rester anonyme et que ces informations sont uniquement à des fins informatives.
À propos de moi Tout d’abord, je suis à la retraite (depuis 2010), en bonne santé, mentalement alerte et informé sur les technologies que j’ai passé 40 ans à travailler avec. Je suis une personne de profil bas et ont toujours été. Je n’ai pas d’ego à nourrir et je n’ai besoin d’aucune reconnaissance pour mes réalisations passées ou des échecs. Je n’utilise pas les médias sociaux et j’utilise mon téléphone intelligent pour appeler et envoyer des sms seulement. Depuis ma retraite, je reste à la maison à la suite de voyages intensifs pendant ma vie professionnelle. Je rénove les ordinateurs portables comme un passe-temps et faire un travail spécialisé sur eux sur demande. Je n’ai aucune raison de craindre une quelconque surveillance ou représailles de la part du gouvernement. Il y a de nombreuses années, j’ai eu des associations obscures avec la DARPA grâce à certains des travaux de projet auxquels j’ai participé et qui ont depuis longtemps glissé vers l’obsolescence.
À propos de DARPA L’ARPA a été créée en 1958 (« ARPA » jusqu’à ce qu’un « D » soit ajouté en 1972), par une directive du ministère de la Défense, dans le but d’utiliser des technologies émergentes pour rester en avance sur l’URSS pendant la guerre froide. Ils sont impliqués dans toutes les choses qui, même à distance, pourraient contribuer à la recherche sur la défense et à la sécurité nationale. Beaucoup de leurs projets contribuent à l’amélioration de l’humanité, mais soyez assurés que ces contributions ne sont que les effets secondaires des objectifs réels de la recherche. Ces effets secondaires aident à obtenir leur financement public. Bien que les projets financés par l’État contribuent à l’image publique de l’agence, leur recherche principale se déroule dans des projets « noirs » menant au développement de technologies et d’applications super-secrètes qui sont toujours en avance sur toute forme de divulgation publique. Ces opérations sont financées par les Black Budgets du Pentagone, de la CIA, de la NSA et très probablement d’autres entités gouvernementales qui sont pratiquement inconnues du public.
À propos de SARA Inc. SARA (Scientific Applications and Research Associates) est une société appartenant à des employés qui fournit des applications spéciales et le développement de produits aux industries de la défense et de la sécurité intérieure ainsi que des entreprises privées. Ils se spécialisent dans toutes les choses électromagnétiques. Ils sont un entrepreneur de haut niveau applications de défense. Leur site Web : http://sara.com
L’incident
Première semaine de mars 2012 (avant l’incident) : J’ai commencé la procédure de mise à jour Windows sur 4 ordinateurs portables avec de nouvelles installations de système d’exploitation. J’ai un internet très haute vitesse et l’espace de travail qui me limite à 4 machines à la fois. Cela n’avait jamais été un problème avant, mais cette fois toutes les machines ont été raccrochées. Il ya beaucoup de choses qui peuvent affecter le processus de mise à jour, mais, j’ai eu toutes les bases couvertes. J’arrête 3 des machines, maintenant en cours d’exécution 1, en vain. J’ai ensuite redémarré la machine unique pour commencer le processus encore et encore c’était la même situation. Je suis ensuite allé au salon où mon modem câble et routeur sont situés. La lumière indicateur ethernet sur le modem câble était allumée presque continuellement. Je pensais que peut-être le modem câble a été accroché ou la compagnie de câblodistribution faisait un peu de travail sur le système. J’ai mis le modem câble en panne et arrêtant la machine 1 que j’avais en marche. J’ai activé mon « Tech Computer » et connecté à mon routeur pour vérifier plus loin. Le fichier journal semblait indiquer que j’étais sous une attaque massive DDOS (Distributed Denial Of Service). J’ai mis mon modem câble en service. Maintenant, avec seulement mon « Tech Computer » en ligne, l’attaque a continué même si elle était moins intense.
Les attaques DDOS sont généralement dirigées vers les entreprises, l’organisation, les médias et le gouvernement, et non sur les réseaux domestiques. J’ai décidé de regarder le journal de plus près. J’ai alors remarqué un modèle de répétition défini qui n’était pas la marque d’une attaque DDOS. J’ai ensuite cherché les numéros IP de toutes les adresses concernées. À mon grand étonnement, ils étaient tous des adresses du gouvernement. Le regard vers le haut a montré; DoD, NSA, SSA et IRS. Ne pas entrer dans les détails techniques de la façon dont une attaque DDOS est lancé, j’ai trouvé difficile d’imaginer que 4 systèmes gouvernementaux auraient été compromis pour installer les logiciels malveillants nécessaires pour être utilisé dans une telle attaque. Au cours des deux jours suivants, cela s’est poursuivi à une intensité moindre. J’ai été en mesure de capturer la communication avec l’un de mes utilitaires de surveillance du réseau et j’ai découvert qu’il y avait une communication à deux voies avec ma machine répondant à des requêtes uniques. Il s’agissait d’une opération d’exploration de données. Comme je l’ai dit plus tôt dans cette écriture, je n’ai pas peur de la surveillance, cependant, je n’aime pas l’interruption de la performance de mon réseau. J’ai ensuite envoyé un courriel au contact d’abus de chaque site. Les attaques se sont arrêtées le 4ème jour et j’ai terminé le travail que je faisais sur les 4 ordinateurs portables reconditionnés.
Dernière semaine de mars 2012 (prélude et incident) : Ma femme est un utilisateur avide de Facebook qui a tendance à obstruer un ordinateur avec des fichiers indésirables junk après une période de temps sans maintenance. Elle était sur son ordinateur assez tôt ce mardi matin [27 mars 2012] et m’a fait remarquer que sa machine était extrêmement lente. J’ai demandé si elle avait utilisé l’un des services d’entretien ces derniers temps. La réponse était bien sûr, « non ». J’ai couru les services publics et nettoyé beaucoup de ferraille et tout semblait aller bien jusqu’à ce qu’elle est entrée sur YouTube et les vidéos étaient difficiles à jouer sans interruption. Plus tard dans la journée, j’ai remarqué que l’Internet était très lent, ce qui ne s’était jamais produit avant le début du mois. J’ai tout gâché, je ne voulais pas m’en occuper.
Le lendemain, ma femme est partie tôt pour aller travailler. J’ai pris une tasse de café et je me suis assis sur ma chaise dans le salon, j’ai allumé mon ordinateur portable et la télévision. Environ 30 minutes après que je m’étais assis, j’ai commencé à me sentir très étrange. Je suis devenu trempé par une sueur froide, mon cœur battait et j’étais un peu étourdi avec un mal de tête atroce. Je me suis assis là quelques minutes de plus en prenant mon pouls(plus de 150 bpm quand j’ai perdu le compte) et se sentir pire à la minute. J’ai décidé que j’avais une crise cardiaque. J’étais probablement stupide en décidant de me conduire à l’hôpital, même si c’est à moins d’un demi-mile de notre condo. Je me suis levé, j’ai saisi ma clé de voiture, mon manteau et je suis parti vers la sortie du bâtiment. Au moment où je suis sorti du bâtiment, je me sentais mieux. J’ai continué à marcher jusqu’à ma voiture, pensant que j’irais quand même à l’hôpital. J’ai atteint la voiture, je suis entré, je me suis assis là et j’ai repris mon pouls. Mon pouls était dans la gamme normale à 65 bpm,je me sentais bien, pas de sueur froide et plus de maux de tête. J’ai ensuite conduit au parking des urgences et assis là avec la voiture en cours d’exécution et de penser qu’il pourrait revenir. Je me suis assis là pendant environ 40 minutes et je me sentais encore bien. J’ai décidé que je n’irais pas aux urgences, car ils penseraient que je suis fou vieux homme, puisque rien n’est mal et ce serait aussi une grosse dépense. Je suis ensuite rentré chez moi, se sentant toujours bien.
Quand je suis rentré à la maison, je suis allé dans le salon et je me suis assis pour contempler ce qui m’est arrivé et voir si je pouvais avoir une idée du site Web de la clinique Mayo. J’ai ramassé l’ordinateur portable et a couru le navigateur web qui a pris plus de 10 secondes pour venir sur ma page d’accueil. Je suis allé sur le site de Mayo et j’ai cherché tous les symptômes possibles d’une crise cardiaque. J’ai continué à lire les informations connexes sur les crises cardiaques. Se déplacer sur le site était très lent. J’avais été assis là pendant environ une demi-heure et commençait à se sentir étrange à nouveau, avec les mêmes choses qui se passe à l’intérieur de mon corps. J’ai décidé que je devrais peut-être aller aux urgences après tout. J’ai mis mon manteau, sortit par la porte, je suis sorti de la sortie du bâtiment et je me sentais mieux. Je suis allé à ma voiture et je suis resté à côté pendant quelques minutes en pensant à ce qui m’arrive. Je me sentais bien à nouveau. J’ai pensé un instant que peut-être quelque chose dans la maison est de faire cela se produire.
Je savais qu’il ne pouvait pas être une fuite de gaz que tout dans le bâtiment est électrique. Je n’ai remarqué aucune odeur qui indiquerait une sorte de produit chimique toxique dans le bâtiment alors que j’étais là, mon voisin, qui partage le même mur du salon avec mon condo, marchait par moi sur le chemin de sa voiture. Nous nous sommes salués, et je lui ai demandé s’il avait remarqué quelque chose à l’intérieur qui le rendait malade. Il m’a dit qu’il n’avait eu aucun problème. J’ai décidé que je resterais hors de la maison pendant un certain temps et voir si les symptômes que je vivais reviendrait. Je suis allé dans un restaurant local, j’ai mangé quelque chose et je tue un peu de temps. J’étais parti environ 3 heures avant de rentrer à la maison. Je me sentais encore bien.
En rentrant à la maison, je suis allé au salon et ramassé mon ordinateur portable pour voir si je pouvais diagnostiquer pourquoi ma connexion Internet était si lent les deux derniers jours. J’ai commencé à exécuter 3 de mes utilitaires de surveillance de réseau ainsi que regarder les nouvelles à la télévision. Après environ 20 minutes, j’ai décidé de regarder mes journaux de routeur. J’ai découvert que j’étais attaqué à partir d’une seule IP (DOS pas DDOS). J’ai cherché l’enregistrement IP et j’ai découvert qu’il s’agissait d’une société nommée SARA Inc.. J’ai ensuite cherché le site web de l’entreprise. J’étais à la maison maintenant pour près d’une demi-heure et j’ai senti la sueur froide à partir. J’ai trouvé le site Web de SARA Inc.
Maintenant, je commençais à me sentir vraiment mal. J’ai lu la page d’accueil de la LEP qui indiquait les types de recherche qu’ils poursuivaient pour le Ministère de la D.A. et qu’ils étaient impliqués dans la DARPA. Après avoir lu brièvement les types de recherche auxquel ils ont participé, mon instinct m’a dit qu’ils effectuaient une sorte de test à l’aide de la RF sans fil [fréquences radio[. Je ne pensais pas assez clairement pour analyser toutes les implications de ce que ce test peut être pour. J’étais maintenant presque prêt à courir à nouveau par la porte quand j’ai éteint le courant de mon modem câble. En quelques minutes, je remarque mon rythme cardiaque en baisse et le mal de tête battant dissipation.
Je me suis connecté à mon routeur et j’ai bloqué la gamme complète d’adresses IP de SARA. En moins de 5 minutes, je me sentais bien à nouveau. J’ai alimenté sur mon modem câble et a décidé que je voudrais obtenir un nouveau routeur au cas où ils avaient installé une sorte de crochet qui leur permettrait de contourner le bloc IP à l’avenir. Cette attaque n’a jamais eu lieu à nouveau. Par ma nature analytique, j’ai dû trouver les moyens possibles qu’ils avaient accompli cela et quelles pourraient être les utilisations possibles. J’ai imprimé le journal du routeur et les données enregistrées à partir de mes utilitaires de surveillance réseau.
J’ai commencé à regarder par-dessus les offs d’impression pour voir si toutes les lignes étaient lisibles, quand quelque chose semblait sauter des pages du journal du routeur. J’ai remarqué que l’attaque a commencé 2 minutes avant mon ordinateur connecté au routeur. Les journaux ont également montré qu’après 35 minutes l’attaque s’est arrêtée pendant une période de 48 minutes, a recommencé à se poursuivre pendant encore 28 minutes,s’est arrêtée pendant 2h52min, puis a repris pendant une période de 25 minutes quand j’ai tué la puissance sur le modem câble. Ces temps de début et d’arrêt correspondent à ma présence et mon absence à proximité de mon routeur sans fil.
Comment ma présence a-t-elle été détectée lorsque l’attaque a commencé 2 minutes avant que j’allume mon ordinateur ?
La détection pourrait-elle faire de la discrimination entre les individus ou n’importe qui à proximité ? J’avais beaucoup plus de questions.
Brève analyse de l’incident et des conclusions
Évaluation initiale: (Subjectivement basée sur la connaissance de projets similaires.)
1. La LEP est une société de R&D qui a pour commission de mettre au point une arme secrète utilisant la technologie sans fil existante dans le but de détecter, d’identifieret de tuer une personne ciblée de telle manière qu’elle semble être une mort naturelle (c.-à-d. assassinat).
Le mécanisme de détection aurait donc la capacité de fournir une identification positive de la personne visée ou il serait inutile dans une frappe ciblée. Il doit être suffisamment compact pour être chargé sur le ROM dans le routeur cible et n’avoir qu’une interaction minimale avec un programme de contrôle externe. Ce mécanisme utiliserait les E/S radio sans fil du routeur de la même manière qu’une combinaison de radars et de technologies d’IRM. Le programme de contrôle externe utiliserait l’information du profil de la cible en fonction des dossiers médicaux actuels (exemple; Taille, poids, indice de masse corporelle, etc.) pour identifier l’individu. Ce mécanisme semblait être entièrement développé
2. La LEP avait mis au point un mécanisme de frappe viable qui a la capacité de détecter, de synchroniser et de modifier le rythme cardiaque unique d’une personne ciblée. Bien que ce mécanisme fonctionne, il est très primitif parce qu’il nécessite un programme de contrôle externe pour accéder à l’analogique I / O de la radio sans fil du routeur cible. Ce mécanisme n’était pas entièrement développé et nécessitait un flux de données constant qui ressemblait à une attaque DOS sur le journal du routeur. Bien qu’il ne s’agissait pas d’une attaque DOS, au routeur, il a accompli le même effet (lier la communication). S’il s’agissait d’un mécanisme entièrement développé, la plupart des fonctions seraient chargées sur le ROM du routeur, ce qui ne nécessiterait qu’uneinteraction minimale avec un programme de contrôle externe et donc pas perçu par le routeur comme une attaque DOS.
3. Selon toute vraisemblance, la LEP était en retard et souffrait de dépassements de coûts dans le développement de cette arme, ce qui a incité la DARPA à exiger une étape statistique pour justifier un financement supplémentaire. Ceci suggère un échantillon d’essai d’au moins 100 sujets. Quel que soit le taux d’échec établi par la DARPA, il faudrait le montrer et ne pas pouvoir le faire avec un seul sujet d’essai. (c’est-à-dire moi. Taux d’échec = 100%)
4. La DARPA a défini les critères pour les sujets d’essai. La NSA a ensuite accédé aux informations de divers systèmes gouvernementaux et privés pour fournir une liste de sujets de test viables. Cette mesure serait donnée à la LEP pour établir le profil d’une cible qui sera utilisé dans le test. Selon toute vraisemblance, les critères pour les sujets d’essai auraient été semblables aux critères suivants :
-Faible visibilité; -Différentes localités; -62 à 67 ans; -Excellente santé; -Internet sans fil; -Expendable; -Pas de grande politique ins; -Pas de grands comptes bancaires; -Pas d’investissements importants; -Pas actif politiquement; -Pas actif sur les médias sociaux;
Ces critères limiteraient le risque d’enquête sur la mort au-delà d’une cause naturelle.
5. L’information sur le succès de la destruction de la cible serait facilement accessible par l’intermédiaire de plusieurs sources (c.-à-d. : Nécrologie, rapport du coroner).
Mémoire de recherche scientifique
Dans mes efforts pour vérifier, à mon avis, que mon évaluation initiale était assez précise, j’ai commencé à chercher des documents de recherche qui auraient pu contribuer au développement d’une telle arme. J’ai trouvé beaucoup de divers établissements universitaires et entreprises de technologie. En regardant de petits morceaux de nombreuses études, j’ai vu comment ils pourraient être assemblés pour atteindre de nombreux aspects techniques de mon évaluation initiale. Il y avait également la possibilité de développer beaucoup d’autres applications avec les bits et les morceaux d’information de ces études. Ce fut un long processus sur lequel j’ai travaillé depuis le moment de l’incident en mars 2012 jusqu’en novembre 2013.
Depuis le début de l’année 2014, plusieurs études sur les technologies directement liées ont frappé les revues scientifiques et technologiques utilisant le routeur WiFi pour identifier un individu, lire sur les lèvres, détecter les gens à travers les murs et surveiller les signes de vie d’une personne identifiée. Le but de ces études était bien sûr, de fournir des applications à des fins bienveillantes Oui, ces technologies pourraient être utilisées pour la sécurité à domicile, la surveillance des malades ou des personnes âgées, ou intégrées dans un ménage automatisé. Ils ont également de nombreuses applications potentielles d’armes et de surveillance en plus de tuer un individu ciblé.
Conclusion
L’utilisation des technologies sans fil comme un système d’armes secrètes est très réel. Si cette application peut surveiller, synchroniser et modifier un rythme cardiaque, avec modification, il pourrait être utilisé pour modifier les ondes cérébrales ou d’autres fonctions anatomiques.
Nous sommes maintenant en 2016 et je conclus que la DARPA disposait d’une arme entièrement fonctionnelle, ainsi que de certains dérivés, d’ici 2013. Rappelez-vous, DARPA est toujours en avance sur les indices publiés publiquement à la technologie connexe, qui dans ce cas était à la fin de 2013.
Anthony Sconosciuto [pseudonyme]
Liens de référence envoyés par l’auteur:
Darpa http://www.darpa.mil/
Sara, Inc http://www.sara.com/
Détection et prévention des intrusions Liens : https://www.paloaltonetworks.com/documentation/glossary/what-is-an-intrusion-prevention-system-ips https://www.snort.org/
Remote Neural Monitoring~A Living Nightmare Imposed On Innocent People (23 septembre 2016) Germany Spain Netherlands France ... etc. http://educate-yourself.org/cn/Remote-Neural-Monitoring23sep16.shtml#top
The Silent Massacre, Partie 1~Complicité d’application de la loi dans la torture électronique et le contrôle de l’esprit en Amérique http://educate-yourself.org/mc/kirklandsilventmasaccre1part14mar09.shtml
Electronic and Mind Control Harassment par Nicholas Kirkland (8 janvier 2008) http://educate-yourself.org/mc/kirklandelectronicmindcontrolharassment07jan08.shtml
Electronic Mind Control in America, The Silent Plague (15 novembre 2005) http://educate-yourself.org/lte/mcvictimizationinamerica05nov05.shtml
Symptômes de contrôle de l’esprit micro-ondes et preuves publiées (5 juin 2003) http://educate-yourself.org/mc/listofmcsymptoms05jun03.shtml
Notez que dans le clip ci-dessus, le premier dictateur ministre canadien ne demande JAMAIS l'opinion du Peuple et n'applique que la merde de l'hégémonie monarchique sous couvert de religion, de virus, de dette et d'incapacité de gouverner un monde trop nombreux.
RépondreSupprimerLes images présentées par les 'hommes de l'ombre' montrant un autre monde, un portail, une sorte d'apocalypse de contes pour enfants trisomiques, bref, ils veulent exterminer 7 milliards d'habitants et non laisser 'une chance à 500 000 personnes' comme le proposait Bill Gates.
Les moqueurs de la CIA secouent le monde
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
3 octobre 2020
Plus d'une fois, après avoir écrit et publié un article dans ce sens, quelqu'un me demande, EST-CE QUE CELA EST VRAIMENT ARRIVÉ ? La réponse est NON, MAIS CELA LE SERAIT. SI LES CHIFFRES PUBLICS CONFÉDENT LEURS CRIMES.
—Notre journal, le New York Times, est la source d'information la plus fiable au monde. Dernièrement, nous avons consacré des pages aux récits à la première personne des expériences de verrouillage, pendant la pandémie.
Hier, en raison de l'épuisement de nos rédacteurs en chef, nous avons publié un article d'un habitant de Riverhead, à Long Island, sans vérifier correctement le texte. Nous nous excusons pour l'erreur.
Apparemment, cette personne essayait de décrire un rêve qu'il avait fait. Il a rédigé son histoire en termes de briefing, mais évidemment aucun briefing n'a eu lieu.
L'éditeur du Times qui a autorisé la publication de l'article errant vit également à Riverhead. Nous enquêtons pour déterminer s’il était effectivement l’auteur.
LE MORCEAU DE NEW YORK TIMES (fragments récupérés):
«Mesdames et messieurs du Congrès, ceci est un briefing informel.»
«… Certains humains peuvent voler. Le vol n'a aucune base technologique. C'est une réaction de rebond à des mois de verrouillages et de réglementation gouvernementale excessive. "
«J’ai découvert, jusqu’à présent, 63 agences fédérales dont personne n’a jamais entendu parler. Ils font tous la promotion du vaccin COVID, qui est une injection très dangereuse. Ces agences sont connectées à Zuckerberger Enterprises, dont le siège est dans deux bâtiments bien fortifiés dans le centre de Baltimore. J'ai ces bâtiments sous surveillance.
«Je viens du futur. Je suis ici pour dire qu’un programme visant à injecter à chaque personne sur Terre des composés toxiques, sous prétexte de prévenir les maladies, est une terrible erreur. Ne prenez pas le vaccin COVID. »
«Joseph Biden, de mon bureau de Boston, est également du futur. Il veut injecter à chaque humain un poison COVID, appelé vaccin. Il souffre de démence… »
L'article du NY Times a donné naissance à des millions de tweets, la plupart d'entre eux des blagues écrites par des défenseurs des vaccins. Le journal a en fait découvert que l'un de ses rédacteurs, Hill Regis, avait rédigé le «briefing» de verrouillage.
Après un examen médical et psychiatrique, Regis a été déclaré «infecté par le COVID, avec des symptômes de démence» et isolé pendant 14 jours dans un hôtel de Broadway. Il a refusé de prendre des médicaments psychiatriques.
Le 14 août 2020, il s'est échappé de la détention.
Les jours suivants, il a publié de nombreux mémos en ligne sous le nom de «Mars». Par exemple:
«Ma tête s'est éclaircie. Je viens d’un avenir lointain. Je suis ici en 2020 pour vous dire que le vaccin COVID que le gouvernement est en train de développer contient une série de soi-disant composés Q qui, sur une période de plusieurs années, produiront de profondes incapacités du corps et du cerveau… »
RépondreSupprimerMars a publié des dizaines de ces mémos attaquant le vaccin COVID.
Un journaliste du NY Times a affirmé que Mars était en train d'acquérir des centaines de milliers de fidèles fidèles - anti-vaxxers.
Ce fut donc une surprise lorsqu'un petit service de presse en ligne appelé Kimosabe Courier a dénoncé Mars, Hill Regis, en tant qu'ancien officier de la CIA qui avait été embauché comme rédacteur au NY Times en 2014.
Sa mission la plus récente, le Kimosabe Courier a affirmé: publier des attaques contre le vaccin, tout en étant «mentalement déséquilibré», dénigrant et diffamant ainsi les véritables opposants au vaccin. Culpabilité par association.
Le Kimosabe Courier a interviewé la sœur de Mars, Evelyn, qui vit à Columbus, Ohio. Elle est un défenseur public. Elle a déclaré au Courrier: «Mon frère, Hill Regis, qui se fait appeler Mars, a travaillé pour l'Agence pendant près de vingt ans. Il a analysé des rapports et des documents et dressé le profil des politiciens étrangers. J'ai été choqué d'apprendre qu'il était employé par le Times comme rédacteur en chef. Je soupçonnais qu'il faisait partie de ceux-là, comment les appelaient-ils… Agents moqueurs. Les plantes. Il ne souffre d'aucun trouble mental. Il est plutôt sain d’esprit. Enfant, il adorait les romans d'espionnage. Il a toujours voulu travailler pour la CIA.
L'histoire du Courier a été reprise par d'autres organes de presse, et finalement l'Associated Press a confirmé que Mars, Hill Regis, avait un long historique de service à la CIA.
Le NY Times a déclaré qu'il menait une «enquête interne». La CIA a refusé de commenter l'exposition d'un de ses agents.
Le Miami Herald s'est plongé dans l'histoire et a proposé une découverte suggestive. La CIA et les Centers for Disease Control ont organisé un petit «exercice de table» conjoint en 2018, au cours duquel le sujet du «message pandémique» a été discuté. En cas d'épidémie mondiale, comment un vaccin pourrait-il être vendu au public ? Comment la désinformation pourrait-elle être utilisée pour dépeindre les anti-vaxxers comme des théoriciens du complot dérangés ?
Soudain, le LA Times et le San Francisco Chronicle ont renvoyé deux journalistes médicaux. Les journaux ont déclaré que ces deux employés avaient «déformé les numéros de cas de COVID-19».
Sally Westfield, journaliste chevronnée chez Harper’s, a écrit un long article sur l’histoire des efforts des CDC pour «commercialiser des vaccins en suscitant la peur».
Son premier paragraphe: «Les anti-vaxxeurs peuvent avoir tort, mais cela ne les rend pas nécessairement fous. Cependant, certains joueurs aimeraient que vous croyiez les deux accusations. Ces acteurs retirent les chèques de paie réguliers du gouvernement fédéral, que les Américains subventionnent avec leurs impôts.
La première vague d'exposition a atteint un nouveau sommet avec la démission du rédacteur médical du NY Times, le Dr Phillip DeMarco. Il a publié un mea culpa en ligne sur son nouveau blog, My Long Sentences:
RépondreSupprimer«Je ne peux peut-être pas voler au-dessus de grands immeubles, comme mon ancien collègue, Hill Regis, mais je peux m'allonger à l'intérieur des bâtiments - ce que je fais dans mon journal depuis treize ans. En particulier, j’ai déformé et supprimé le lien entre les vaccins infantiles et l’autisme. Il est maintenant temps d’admettre les faits. Je connais les faits. Je suis diplômé du programme élite du CDC, l’Epidemic Intelligence Service. L'EIS forme des professionnels de la santé. Certains d’entre eux ont occupé des postes clés dans le domaine du journalisme. J'en suis un. Ou je l'étais, jusqu'à récemment.
La confession du Dr DeMarco a créé un tollé.
Trois chercheurs du CDC sont sortis de l'ombre et ont admis leur rôle dans une dissimulation de vaccin contre l'autisme. Ils ont cité des études dont ils étaient les auteurs, qui avaient enterré des données cruciales et accablantes liant le vaccin DTC à l'autisme.
Le CDC a publié une déclaration qui n'a pas répondu aux aveux de ses propres chercheurs, mais qui contenait quelques pépites intéressantes:
«En réponse aux récentes questions de la presse, le CDC envoie certains employés à la CIA pour une formation, et ils reviennent avec des autorisations de sécurité renforcées, mais ce programme implique un échange éducatif important sur le sujet des menaces biologiques, qui sont une préoccupation constante.
Deux jours plus tard, Marci Crist, une ancienne porte-parole du CDC, a témoigné lors d'une audience du Comité sénatorial convoquée à la hâte: «… alors qu'est-ce que je faisais, moi, une personne des relations publiques à Langley ? dit-elle. «Je ne suis pas un scientifique. Je ne parlais pas de «menaces biologiques».
Je rencontrais des responsables de la communication de la CIA et ils me renseignaient sur des contacts de presse dont je n’étais pas au courant. Je peux dire ceci. Entre le CDC et la CIA, nous avons les médias américains couverts, en ce qui concerne les problèmes médicaux. Nous contrôlons une grande partie de ce que le public apprend et n’apprend pas. Et si vous voulez du matériel pour quelques titres, essayez ceci: les sociétés pharmaceutiques sont également dans le mélange. Le mélange de désinformation. Ils paient toutes ces publicités télévisées sur les médicaments pour une raison et une seule raison. Ils paient pour les nouvelles. Les nouvelles ont besoin de leur argent. Les réseaux ont besoin de leur argent. Donc, ces sociétés pharmaceutiques et leur agenda sont propriétaires de l'actualité. »
Un sénateur a lancé: «Alors, comment expliquez-vous les récentes révélations médiatiques choquantes ? Ces révélations proviennent des "actualités". "
Marci Crist a répondu: «Eh bien, sénateur, les gens comme moi sont des professionnels obéissants, et nous disons généralement des mensonges sur commande, mais nous sommes aussi des êtres humains. Nous ne pouvons accepter que tant de conneries.
Cette nuit-là, Crist, une star instantanée, s'est assis avec Anderson Cooper de CNN. L'entrevue a immédiatement tourné de côté. Cooper a interrompu Crist à plusieurs reprises. Il vacilla au bord de l'indignation. Finalement, Crist a dit: «Calmez-vous, Sonny. L'Amérique veut m'entendre maintenant, pas vous. J'ai mes quinze minutes de gloire. Le CDC achète pour environ quatre milliards de dollars de vaccins par an. Ils font également des études pour savoir si ces vaccins sont sûrs et efficaces. Le CDC va-t-il dire: "Devinez quoi, ce vaccin que nous avons acheté en quantité cause des lésions cérébrales chez les enfants" ? Quelles sont les chances ? Ce serait comme si votre réseau disait: «Devinez quoi ? Cette guerre que nous promouvons sans relâche nuit après nuit ? Cela ne détruit pas seulement des millions de vies, c’est complètement inutile. »
RépondreSupprimerCooper essaya de sourire, mais sa bouche se figea dans un rictus grotesque.
Crist a poursuivi: «Les sociétés pharmaceutiques, Anderson, possèdent vos organes génitaux, votre cœur, votre esprit et votre âme. Vous ne le savez tout simplement pas. Ou peut-être que vous faites. Lequel est-ce ? Faisons un sondage. Faisons l’un de ces fameux sondages CNN. »
Tucker Carlson de FOX a amené un invité surprise, l'homme dont personne ne pensait avoir entendu parler de nouveau: Hill Regis, alias Mars, le rédacteur en disgrâce du NY Times, qui avait lancé tout le scandale.
Carlson: Alors qu'est-ce que c'est, monsieur? Êtes-vous sain d'esprit ou êtes-vous fou?
Regis: J'ai toujours été sain d'esprit, Tucker. J'étais un Mockingbird pour la CIA. J'ai été planté dans mon ancien journal… ma tâche la plus récente était de faire croire que toute personne qui s'oppose au vaccin COVID est folle. La technique est simple.
Carlson: Vous attaquez le vaccin, vous semblez être un whacko, et par conséquent, quiconque attaque le vaccin est supposé être un whacko.
Regis: C'est vrai.
Carlson: Alors, vous opposez-vous réellement au vaccin ?
Regis: Je pense que nous avons besoin d'une enquête majeure. Je ne prendrais pas la photo dans mon bras sans en savoir beaucoup plus.
Le comité sénatorial, voyant chacun de ses mouvements faire la une des journaux, a décidé d'élargir son émission. Ils ont amené le Dr Tony Fauci et l'ont grillé.
À un moment donné, le sénateur Rand Paul a déclaré à Fauci: «Est-il vrai que les principaux essais cliniques du vaccin COVID sont uniquement conçus pour prouver que le vaccin peut prévenir les cas MILD de COVID-19? Je pose la question parce que les cas bénins se guérissent d'eux-mêmes. Aucun vaccin n'est nécessaire. »
Fauci a dit: «Un cas est un cas.»
RAND PAUL: Vraiment. Une personne qui renifle et tousse est la même chose qu'une personne allongée sur un lit d'hôpital recevant des drogues lourdes ?
FAUCI: Bien sûr que non. Mais ils sont tous les deux infectés par le virus.
RAND PAUL: Vous êtes évasif. Vous savez et je sais que les tests actuels du vaccin ne s'appliquent qu'aux personnes qui ont des cas bénins - et personne ne s'en soucie. Comme je viens de le dire, les cas bénins se guérissent d'eux-mêmes. Aucun vaccin n'est nécessaire. Ces essais cliniques sont une farce.
FAUCI: Je ne suis pas du tout d'accord.
RépondreSupprimerRAND PAUL: Supposons que je vous dise que le prochain témoin du Comité est un homme qui a en fait CONÇU un test pour le vaccin ?
Fauci parut choqué. L'image de son visage figé serait envoyée en ligne dans le monde entier, des millions de fois, dans les prochaines heures.
FAUCI: Conçu pour qui ?
RAND PAUL: Pour une entreprise dont vous soutenez le vaccin COVID.
FAUCI: Je dirais que l'homme fait une grave erreur.
RAND PAUL: Vraiment ? Pourquoi ? Parce qu'il est prêt à détruire sa propre carrière en disant la vérité ? En disant au monde entier que son test du vaccin n'a rien à voir avec la protection des personnes contre un préjudice réel? C’est ce qu’il va admettre dans les prochaines heures. À la télévision en direct.
Et il l'a fait.
Pendant les semaines suivantes, la couverture médiatique était entièrement consacrée au vaccin COVID, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
Deux essais cliniques majeurs du vaccin ont été interrompus.
Hill Regis, sous haute sécurité militaire, a été amené dans la salle du comité du Sénat pour expliquer les relations entre la CIA et les médias. Infiltration; l'implantation d'agents et d'actifs dans les salles de rédaction et les rédactions partout aux États-Unis, ainsi qu'à l'étranger. Leur mission: façonner l'information; inventer la désinformation; enterrez la vérité vitale.
À un moment de son témoignage, Régis a déclaré: «Je peux vous assurer qu’à la suite de l’assassinat de John F. Kennedy, la CIA a joué un rôle majeur dans la suppression par les médias des noms des principaux acteurs impliqués dans le complot. Vous devez vous demander, POURQUOI ?
Un sénateur a dit: «Est-ce une autre de vos astuces folles, monsieur Regis ? Parce que vos anciens employeurs de la CIA vont certainement le dire.
«Je n'ai plus de trucs, sénateur», dit Régis. "Le faites vous ?"
Une semaine plus tard, le Dr Robert Redfield, directeur du CDC, a démissionné. Un éditorial du Washington Post a suggéré que plusieurs anciens officiers de l'armée étaient prêts à témoigner, devant le Congrès, qu'il y a des décennies, alors qu'il travaillait comme chercheur médical pour l'armée, Redfield avait inventé de fausses données pour promouvoir son projet de vaccin contre le VIH.
Le jour où il a quitté son poste au CDC, Redfield a fait une brève déclaration à la presse: «… Je sais, pour un fait, que les trois essais cliniques majeurs du vaccin COVID expérimental sont inutiles. Ils sont conçus pour protéger les gens contre rien de plus grave qu’un simple rhume. Le vaccin doit protéger contre les cas graves de COVID-19. Ce n’est pas le cas. »
Le Drudge Report a publié un gros titre: REDFIELD DIT VOUS VIS DE COVIDER LE VACCIN TANT QU'IL MARCHE À LA PORTE. En quelques heures, 50 millions de personnes ont vu ce titre.
Le dimanche suivant, sur CBS '60 Minutes, Lesley Stahl a interviewé Tony Fauci.
Stahl: Alors, le vaccin COVID est-il conçu pour protéger les gens contre les maladies graves, n'est-ce pas ?
Fauci: Toutes ces études, ces essais cliniques, doivent être repensés. Dans le format actuel, ils essaient seulement de montrer qu'un vaccin peut protéger les gens contre les cas bénins de COVID-19.
Stahl: Et ce n’est pas suffisant.
RépondreSupprimerFauci: Non.
Stahl: Combien de temps faudra-t-il pour faire de nouveaux essais cliniques ?
Fauci: Au moins un an.
Stahl: Dr Fauci, quand avez-vous pris conscience de ce problème ?
Fauci: Il y a quelques semaines, Lesley. J'étais choqué.
Stahl: Pourquoi as-tu mis autant de temps à comprendre ce qui se passait ?
Fauci: Des informations clés m'ont été cachées.
Stahl: Par qui ?
Fauci: Dr Redfield et autres.
Stahl: Quels autres ?
Fauci: les gens de Pfizer et AstraZeneca. Deux entreprises effectuant des essais cliniques majeurs sur le vaccin COVID.
Stahl: Il y a aussi une troisième société. Vous avez fait des déclarations très positives sur leur travail sur le vaccin.
Fauci: Oui. Moderna.
Stahl: Vous ont-ils également caché des données vitales sur leur essai clinique ?
Fauci: C’est possible, oui. Il faudrait que je vérifie mes dossiers.
Stahl: Dr Fauci, vous avez été le visage de la réponse du gouvernement à la pandémie. Beaucoup vous ont traité de héros. Comment tout cela est-il arrivé ?
Fauci: Des erreurs ont été commises.
Stahl: Rien de plus que des erreurs ?
Fauci: Je mène une enquête. Nous verrons.
Stahl: Si nécessaire, pouvez-vous vous enquêter ?
Avant qu'il ne puisse s'arrêter, Fauci sourit et rit.
Trois jours plus tard, il a démissionné du groupe de travail sur le coronavirus de la Maison Blanche.
Les vents des médias avaient radicalement changé de direction. C'était maintenant tous les journalistes sur le pont pour dénoncer la fraude au vaccin COVID. L'histoire était une tempête qui faisait rage. Cela ne pouvait pas être retenu. Les cotes d'écoute des nouvelles télévisées étaient énormes.
La révélation suivante est sortie du CDC lui-même. Son nouveau directeur par intérim, un Dr Carol Fole, dont personne n'avait jamais entendu parler, a tenu une conférence de presse à Atlanta. Elle a fait la déclaration brutale suivante:
«Nous avons commencé une enquête sur les trois principaux essais cliniques en cours du vaccin COVID. Pour le moment, je tiens à souligner un point qui n’a pas été abordé. Deux de ces essais utilisent une nouvelle technologie, appelée ARNm, dont l'utilisation n'a jamais été approuvée. Pas pour aucun vaccin ou médicament. La raison en est que, dans le passé, les chercheurs ont constaté des effets indésirables chez l'homme. Cela signifie DOMMAGE. Je vais essayer d’expliquer. Le système immunitaire devient confus. Il commence à regarder le corps, certaines zones du corps, certains organes, comme s'ils étaient des intrus, des ennemis. On pourrait dire que le corps commence à s'attaquer. Ces fabricants de vaccins pensent pouvoir surmonter ce problème. Ils veulent le surmonter. Le pourront-ils ? Nous ne savons pas. Voici ce que nous savons. D'un point de vue commercial, d'un point de vue commercial, la nouvelle technologie ARN permet de concevoir et de fabriquer des vaccins beaucoup plus rapidement, facilement et à moindre coût. Suis-je en train de suggérer que CECI est la raison pour laquelle ces entreprises introduisent un nouveau type de vaccin dans le monde ? Pas encore. Mais je veux savoir exactement ce qui se passe ici… »
Moderna a interrompu son essai clinique du vaccin COVID.
RépondreSupprimerDans un moment hallucinant sur NBC Evening News, le présentateur cadavérique Lester Holt a déclaré à son auditoire: «Dans notre profession, le secteur des nouvelles, nous patinons toujours sur de la glace mince, sur la base des informations qui nous sont fournies, principalement par le gouvernement. sources. Nous faisons confiance au gouvernement. Mais il y a des moments où la glace se brise. Puis nous ... »Il s'interrompit et fixa silencieusement la caméra. «Ensuite, nous devons être sauvés des diseurs de vérité. Où les trouverons-nous ? Le Dr Fauci est-il un diseur de vérité ? J'ai froid ici… »
Cette nuit-là, Holt a obtenu les meilleures notes de sa carrière chez NBC.
Le lendemain, le commissaire de la FDA, Stephen Hahn, a publié une déclaration étonnante. C'était de la viande rouge pure pour la presse. Ils étaient partout comme des loups ravageurs:
Hahn: «En tant que commissaire de la FDA, je veux envoyer un message, haut et fort, aux sociétés de vaccins. Si vous venez chez nous avec une demande d'approbation d'un vaccin contre le COVID-19, vous feriez mieux d'avoir votre maison en ordre. Si vous testez un vaccin qui utilise la technologie ARN ou ADN, ou des modifications génétiques, nous exigerons des preuves solides que votre produit ne cause aucun dommage. Je ne fais pas ici de remarque politique. Cela n'a rien à voir avec ce que veulent le président ou les démocrates. Aujourd'hui, j'ai envoyé une lettre au procureur général américain Barr, demandant une enquête criminelle sur les essais cliniques du vaccin COVID de toutes les grandes entreprises. Je crois que les Américains sont trompés. Les entreprises mentent. Les entreprises prétendent savoir ce qu’elles font. Ils veulent libérer des technologies non éprouvées sur nos citoyens. Je ne permettrai pas que cela se produise. Nous disons toujours que nous voulons la transparence. Eh bien maintenant, nous allons l’obtenir. J’avertis mes propres critiques de l’Agence de ne pas tenter d’incliner la vérité ou de parcourir la surface. Si je découvre une collusion avec les fabricants de vaccins, je veillerai à ce que vous soyez poursuivi dans toute la mesure de la loi. Franchement, je fonctionne par peur. J'ai peur pour la sécurité de notre pays. En raison des révélations troublantes qui ont émergé au cours du mois dernier, je crains également de pouvoir être personnellement impliqué dans un scandale qui n’est pas de ma propre initiative. Oui, c'est comme ça. Je l'admets ouvertement. J'ai un travail très important. Je dois être le navigateur. Je ne descends pas avec ce vaisseau. Je vais faire tout mon possible pour sauver le vaisseau. Qui que vous soyez dans le monde pharmaceutique, où que vous soyez, n’essayez pas de m'envelopper dans vos machinations. Je tiens une vraie boussole dans ma main. Croyez-moi, vous ne voulez pas me voir dans un état de colère et d'indignation… »
Le titre hurlant de Drudge: LE COMMISSAIRE DE LA FDA COUVRE SON DERRIÈRE DE CHAQUE MANIÈRE.
Politico: HAHN DE LA FDA PELLE TOUTES SES CHIPS SUR LA TABLE.
The New York Times: FDA ON RED ALERT; LES FABRICANTS DE VACCINS DANS LES CROSS-HAIRS.
NY Post: FDA CHIEF UN NOUVEAU HERO ON THE RISE.
Prochain titre de Drudge: FDA COMMISH GRANDIT SOUDAINEMENT UNE ÉNORME PAIRE.
LA Times: UN VACCIN CONTRE LE CHAOS; TOUS LES ESSAIS CLINIQUES MAJEURS ARRÊTÉS.
Miami Herald: LE PDG DE PFIZER DÉMONTE POUR UN SCANDAL DE VACCIN COVID.
RépondreSupprimerCBS News: LE PROCUREUR GÉNÉRAL DEMANDE À MODERNA DE RETOURNER LA MOITIÉ DE MILLIARD DE DOLLARS EN FINANCEMENT FÉDÉRAL; LA SOCIÉTÉ PEUT DÉPOSER EN FAILLITE.
ABC News: LE FABRICANT DE VACCINS MODERNA N'A JAMAIS MIS UN PRODUIT SUR LE MARCHÉ; ÉTAIT LE FAVORI DE FAUCI.
Et tout avait commencé avec un homme qui avait un travail à faire: convaincre le public que quiconque s'opposait au vaccin COVID était un whacko.
Cet homme était un Mockingbird de la CIA.
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2020/10/jon-rappoport/cia-mockingbirds-shake-the-world/
Trump VS élites pédophiles: Facebook et Twitter luttent contre une théorie du complot des plus bizarres
RépondreSupprimer22:52 02.10.2020
Par Dmitri Bassenko
Les réseaux sociaux s’engagent à lutter contre le mouvement conspirationniste QAnon, mais leurs succès sont plutôt mitigés, selon une analyse d’AP.
Facebook et Twitter ont promis d’endiguer la propagation du mouvement conspirationniste QAnon, qui prétend que Donald Trump livre une guerre secrète contre des élites impliquées dans des réseaux pédophiles internationaux.
Ainsi, Facebook a interdit, à partir du 1er octobre, «toutes les publicités qui font l’apologie, soutiennent ou évoquent des mouvements armés ou le mouvement QAnon». Facebook affirme également avoir mis en place un système de recommandation de pages fiables pour les sujets liés à la pédophilie.
«Personne n’est mort du coronavirus»
Pour sa part, Twitter avait annoncé fin juillet avoir supprimé près de 7.000 comptes faisant promotion de la théorie complotiste. Cependant, l’agence AP vient de dénombrer une dizaine de «comptes QAnon» sur le réseau social, dont le nombre total d’abonnés dépassait 1,5 million.
Dans le même temps, Facebook continue à recommander à ses usagers certains groupes et pages liés à la mouvance, constate AP tout en soulignant qu’en juillet, les posts Instagram contenant le hashtag #QAnon recevaient en moyenne 1,27 million de mentions «j’aime» et commentaires par semaine. L’un d’eux, qui a été liké près de 20.000 fois, affirmait notamment: «personne n’est mort du coronavirus».
https://fr.sputniknews.com/societe/202010021044518893-trump-vs-elites-pedophiles-facebook-et-twitter-luttent-contre-une-theorie-du-complot-des-plus/
Une nouvelle vague de COVID-fascisme envahit-elle l'Europe ?
RépondreSupprimerPeter Koenig
Mondialisation.ca
ven., 02 oct. 2020 22:03 UTC
Un médecin allemand, co-fondateur de l'ACU - Commission extra-parlementaire allemande d'enquête (sur la COVID), est arrêté -
le Parlement suisse prolonge la loi suisse sur l'état d'urgence en matière de COVID-19 jusqu'à la fin 2021.
Royaume-Uni
La scène ressemble à un véritable fait du fascisme tiré du livre de tactique d'Hitler des années 1930.
Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté le samedi 26 septembre à Trafalgar Square et à Hyde Park, à Londres, contre les mesures restrictives et oppressives de la Grande-Bretagne en matière de covidage. Dans le Speaker's Corner de Hyde Park, mondialement connu, où des personnalités historiques telles que Karl Marx, Vladimir Lénine et George Orwell avaient l'habitude de manifester pour la liberté d'expression, se trouvait hier, le 26 septembre, le Dr Heiko Schöning d'Allemagne. Il est le fondateur de Médecins pour la Vérité en Allemagne et co-fondateur de la Commission extra-parlementaire allemande pour l'enquête (COVID-19).
Dans un bref discours de 3 minutes, il a parlé de la Vérité au pouvoir, du mensonge lié à la COVID-19 et de ce que la pandémie a fait à l'humanité et à l'économie mondiale. Il était interviewé par un journaliste, lorsqu'il a été soudainement arrêté par la police, menotté, poussé dans une voiture de police et conduit au Centre de détention de Wandsworth, où il a été détenu pendant 22 heures, simplement pour avoir dit la vérité sur la COVID-19.
Aujourd'hui, le 27 septembre, le Dr Schöning a été libéré et acclamé par le public devant le poste de police. Il a brièvement parlé aux personnes qui l'ont reçu, disant que la police avait confisqué son téléphone portable, son ordinateur et un livre, appelé Corona False Alarm, du Dr Karina Reiss et du Dr Sucharit Bhakdi, deux scientifiques allemands de renom. Le Dr Bhakdi est microbiologiste et épidémiologiste pour les maladies infectieuses, et le Dr Reiss est professeur et chercheur à l'université Christian-Albrechts de Kiel. Le livre est déjà un best-seller en Allemagne et sa traduction anglaise pourrait connaître un succès similaire dans le monde entier.
Lorsqu'il s'est exprimé devant le poste de police, le Dr Schöning a appelé les gens à défendre leurs droits. De continuer à se battre. À résister. Il a rappelé aux gens une énorme manifestation pacifique contre la corruption et l'oppression qui aura lieu le 10 octobre 2020 (10-10-20) à Berlin, où ils attendent des centaines de milliers de personnes, comme ce fut le cas lors des manifestations pacifiques du 1er août et du 29 août 2020. Il a invité tout le monde à venir à Berlin et à participer, mentionnant également que Robert Kennedy Jr. était avec lui sur scène le 29 août à Berlin. Voir la courte vidéo.
Suisse
Presque simultanément, lors de sa dernière session de septembre, le Parlement suisse a prolongé l'état d'urgence COVID-19 jusqu'au 31 décembre 2021, accordant au Conseil fédéral suisse (exécutif) des pouvoirs extra-constitutionnels. La date peut bien sûr être prolongée, si le Parlement en décide ainsi.
Ce qui est le plus frappant, dans le cadre de cette loi, composée de 21 articles et d'innombrables sous-paragraphes, c'est que le gouvernement fédéral est autorisé à imposer aux citoyens suisses le vaccin qui modifie le génome humain, c'est-à-dire le vaccin Moderna (Bill Gates), dont près de 5 millions de doses ont déjà été commandées, selon des informations suisses antérieures. Il pourrait être appliqué dans le cadre d'une procédure d'approbation accélérée - quoi que cela puisse signifier. On sait que le vaccin n'a été testé jusqu'à présent que sur 45 volontaires sains, qui ont tous eu des effets secondaires dévastateurs nécessitant une hospitalisation. Une autre série de tests sur 600 volontaires sains devrait commencer sous peu.
RépondreSupprimerVous devez savoir que ce vaccin modifie votre ADN pour toujours.
Si quelque chose tourne mal, il ne peut pas être « corrigé » ou guéri. Il peut créer un dommage permanent qui peut également être transmis à vos enfants et aux enfants de vos enfants. Même si rien ne « tourne mal », vous n'êtes plus vous-même, car votre ADN a été modifié de façon permanente.
Un référendum populaire contre cette loi est lancé, il aura lieu le 6 octobre 2020.
Citoyens suisses, et citoyens du monde : Méfiez-vous du vaccin Moderna - et de tout autre vaccin - il y en aura d'autres - qui modifient votre ADN !
Ceci afin de vous sensibiliser aux grands dangers potentiels des vaccins covidés. Si vous voulez aller de l'avant et vous faire vacciner, c'est votre choix. Mais vous devez être conscient du risque.
https://fr.sott.net/article/36133-Une-nouvelle-vague-de-COVID-fascisme-envahit-elle-l-Europe
Crise de la liberté d'expression à l'université: "Je suis d'accord avec vous, mais je ne pourrais jamais le dire publiquement"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 10/02/2020 - 19:00
Par John Hirschauer de RealClearEducation
Georgetown encourage la liberté d'expression, mais les étudiants ne la ressentent pas
De nombreux Américains pensent que les collèges et les universités ne parviennent pas à défendre la liberté d'expression et l'enquête ouverte sur le campus, car des vidéos de foules d'étudiants criant des orateurs et d'étudiants de premier cycle criant à leurs professeurs ont contribué à saper la foi populaire dans les établissements d'enseignement supérieur.
Ces moments viraux, cependant, ne parviennent pas à capturer l'état de la libre expression sur le campus dans toute sa nuance et sa complexité. Pour fournir un aperçu plus détaillé de l'état de la parole dans les collèges et universités américains, RealClearEducation a collaboré avec la Foundation for Individual Rights in Education et le groupe d'enquête-recherche College Pulse sur l'enquête 2020 College Free Speech Survey.
Près de 20 000 étudiants de premier cycle de 55 grands collèges et universités américains ont participé à l'enquête. Les élèves devaient répondre à une série de questions destinées à évaluer leur propre engagement en faveur de la liberté d’expression et leur perception de la tolérance de leurs pairs à l’égard des divers points de vue. Les établissements ont été classés en fonction du sentiment des étudiants sur la liberté d'expression.
Les résultats étaient décourageants. Comme Nathan Harden de RealClearEducation l'a souligné mardi, près de «20 % des étudiants disent que le recours à la violence pour arrêter un discours ou un événement indésirable est dans certains cas acceptable», et environ 60 % des étudiants de premier cycle interrogés «disent qu'ils ont gardé le silence par peur de comment les autres réagiraient. »
Une université en particulier se distingue par le décalage entre sa position officielle sur la liberté d'expression et le point de vue de ses étudiants sur l'état de la parole sur le campus. L'Université de Georgetown (de Washington D.C.), qui héberge le projet sur la liberté d'expression à l'Université de Georgetown et est apparemment engagée à promouvoir la liberté d'expression, a énormément lutté dans le classement 2020 de la liberté d'expression des collèges, se classant 48e sur les 55 collèges et universités inclus.
Un regard granulaire sur les données de Georgetown est surprenant. 40 % des étudiants de premier cycle de Georgetown interrogés n'étaient pas convaincus que l'administration soutiendrait un orateur assiégé dans une controverse sur la liberté d'expression. Soixante-huit pour cent des étudiants ont estimé qu'il pourrait être acceptable de crier un orateur sur le campus, tandis que 17% ont estimé qu'il pourrait être acceptable dans certains cas d'utiliser la violence pour arrêter un discours sur le campus. Cette atmosphère d'intolérance s'étend à la salle de classe, ont déclaré de nombreux étudiants. Lorsqu'on lui a demandé de partager un moment où l'étudiant se sentait incapable d'exprimer une opinion sur le campus, un étudiant de Georgetown a écrit: «Dans presque toutes les classes, j'ai l'impression que je [ne peux] pas exprimer mes opinions.»
RépondreSupprimerLe code de conduite de Georgetown contient des règlements qui ont pour effet d'étouffer la parole et d'affecter négativement le score global de l'école. Par exemple, «l'incivilité» - définie comme tout langage qui «ne respecte pas une autre personne» - est interdite à Georgetown, et les élèves «incivils» pourraient faire face à des sanctions disciplinaires pour leurs remarques. Cela crée un effet dissuasif potentiel sur la parole, et le «manque de respect» peut, bien entendu, avoir une définition large dans le monde déclencheur de la formation de premier cycle.
Le Dr Joshua Mitchell, qui enseigne la théorie politique au département gouvernemental de Georgetown, n’est pas surpris que de nombreux étudiants ne soient pas à l’aise de s’exprimer franchement en classe. «J'enseignerai quelque chose en classe qui remet en question une position politiquement correcte sur un problème particulier, et quand je le ferai, j'aurai des grillons. Personne ne prendra la parole et ne dira rien. Ensuite, les étudiants viendront aux heures de bureau et diront: «Je suis d’accord avec vous, mais je ne pourrais jamais le dire publiquement.» »
«C'est une image compliquée», a déclaré Mitchell. «Ce n’est pas comme si la faculté et l’administration de Georgetown supprimaient activement le discours conservateur - c’est plus subtil que cela, pour la plupart. Lorsqu'il y a une opportunité de remplacer un membre du corps professoral conservateur, par exemple, le corps professoral décidera de ne pas le remplacer. Il y a un accord discret pour ne pas toucher les gens de l'autre côté. » Lorsque la faculté est presque exclusivement composée de professeurs ayant une vision du monde, a déclaré Mitchell, les étudiants qui ne sont pas d'accord avec les opinions dominantes de la faculté sont moins susceptibles de s'exprimer.
Un porte-parole de l'Université de Georgetown a répondu à une demande de commentaire en notant que l'université «s'est engagée à échanger des idées librement et ouvertement, même si ces idées peuvent être jugées difficiles ou répréhensibles par certains». Le porte-parole a déclaré que «la politique de discours et d’expression de longue date de Georgetown a guidé notre approche du discours tout en maintenant le droit fondamental des membres de notre communauté à la liberté d’expression, au dialogue et à la recherche universitaire. Nous respectons le droit des membres de notre communauté d'exprimer des opinions personnelles et nous nous engageons à maintenir les valeurs de la liberté académique et à servir de forum pour le libre échange d'idées, même lorsque ces idées peuvent être controversées et répréhensibles pour certains."
Alors que l'université a réaffirmé son engagement en faveur de la liberté d'expression, le Dr Mitchell déplore que de nombreux étudiants «ne voient pas beaucoup d'alternatives» à «l'hégémonie de la politique identitaire». Il pense que la focalisation identitaire de nombreux administrateurs favorise une conversation aride et «chorégraphiée» sur des questions politiques difficiles sur le campus. Mitchell espère cependant que les choses s'amélioreront. «Il y a eu un virage subtil dans le corps étudiant. Il y a un changement de génération », dit-il. «De nombreux étudiants plus jeunes de Georgetown savent que la politique d'identité des comptes n'est pas adéquate et que vous ne pouvez pas construire une société autour d'elle.»
https://www.zerohedge.com/markets/college-free-speech-crisis-i-agree-you-i-could-never-say-it-publicly
RENDRE LES URGENCES PAYANTES, LA DERNIÈRE IDÉE RÉVOLTANTE DE NOS MAMAMOUCHIS
RépondreSupprimerpar CHARLES SANNAT
02/10/2020
La France compte environ 650 services d'urgence.
Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
Ils sont, je le crois aussi indécrottables qu’irrécupérables ! De qui je parle ? De nos mamamouchis en général comme en particulier… Leur dernière idée qui tend vers les sommets insoupçonnés de la crétinerie est la suivante : « les urgences sont pleines, il n’y a qu’à les rendre payantes… pour tous ceux qui ne nécessiteront pas d’hospitalisation » !
C’est une vision qui repose sur la croyance de mamamouchis qui pensent que les gueux que nous sommes vont aux urgences par plaisir, parce que l’on s’ennuierait un peu, et que ne sachant pas quoi faire, nous irions nous divertir à faire la queue parfois 5 ou 6 heures rien que parce que l’on n’aurait rien à y faire.
Le critère d’énarque qui consiste à dire que si on n’est pas hospitalisé après un passage aux urgences c’est que l’on est fautif de les avoir encombrés parce que ce n’était pas bien grave n’est pas pertinent. Heureusement d’ailleurs que 90 % de nos passages aux urgences ne nécessitent pas une hospitalisation pour autant, il ne s’agit pas de passage à tort.
Il faut leur dire, aux vedettes des ministères et des Palais, que quand on va aux urgences, c’est parce qu’il n’y a nulle part où aller !
Je suis un « habitué » des urgences. Et oui, je le confesse, je bats ma coulpe, moi fautif et coupable. Je suis un mâle ayant des enfants, et les enfants, surtout mon petit dernier, s’ouvrent la tête régulièrement, histoire de faire trembler les grands… À chaque fois qu’il s’ouvre quelque part, je termine aux urgences appelé par l’école, pour faire un peu de couture. L’école ne me laisse pas vraiment le choix… Un bobo et hop, c’est le plan Orsec déclenché à chaque fois. Il faut dire que c’est principe de précaution de rigueur, et l’Etat demande aux écoles la plus grande prudence. Donc pour l’école, un bobo on va à l’hosto.
Ne dites pas aux gestionnaires de l’ARS qu’en plus, les horribles infirmières dépensières de part chez moi, s’amusent à prendre en radio Mickey… ça ne les ferait pas rire, mais sur les gosses que l’on recoud, le succès est garanti ! Alors effectivement, nous pourrions aller demander au boucher du rayon viande de mon Carrefour Market préféré (là où j’achète mes boites de raviolis) de me passer un peu de ficelle histoire de recoudre le petit à la façon gigot, mais non, je suis un sale con, je préfère aller encombrer les urgences avec mon fils pissant le sang…
Il faut un cadre cohérent. Généralement, on ne nous hospitalise pas, mais où voulez-vous aller pour des points de sutures (et ce n’est qu’un exemple) ? Il n’y a plus de médecins. Il n’y a plus de dentistes. Il y a des déserts médicaux partout dans ce pays, y compris maintenant dans les banlieues parisiennes. Nous marchons sur la tête autant que sur la dette !
Le problème n’est pas de faire payer les urgences alors que l’on a généralisé le tiers payant chez les généralistes, qui ne sont plus assez nombreux !!
Je fais partie de ceux qui pensent qu’il faut payer et je suis opposé au tiers payant sauf pour les plus pauvres d’entres nous qui ne peuvent effectivement pas avancer d’argent, pour le reste, il est important d’avancer pour avoir une idée du prix. Cette mesure pourrait donc se discuter si elle n’était pas évoquée dans un contexte qui la rend absurde et stupide.
RépondreSupprimerElle pourrait s’entendre si nous avions le choix. Si nous avions des médecins. Si nous payons par ailleurs les médicaments, ce qui n’est plus le cas… Elle pourrait s’entendre cette idée, si nous ne venions pas de dépenser 300 milliards d’euros pour sauver des entreprises – et il fallait le faire – pour sauver des emplois même si cela veut dire qu’il faut sauver des patrons (forcément vilains et méchants). Elle pourrait s’entendre si nous ne fermions pas de lits, si nous n’avions pas une crise sanitaire sans précédent.
Je pense donc que c’est une très mauvaise idée, sortie au très mauvais moment, alors que beaucoup de nos concitoyens sont poussés vers le chômage et la précarité. Que va-t-on leur dire ? Des milliards pour les entreprises et les banques, mais toi, petit chômeur, qui n’a plus de médecin parce que tu habites dans un désert médical tu vas payer encore plus pour te faire soigner… Je vous passe également, ceux qui s’engouffreront dans l’aide médicale aux étrangers qui « eux ne payent rien » !
C’est donc une mauvaise idée à tous les niveaux. Parce que ce n’est pas une mesure qui apaise, c’est une idée qui divise. Et le gouvernement serait bien inspiré de rétropédaler rapidement, parce que ce genre de mesure est de nature à allumer des mèches sociales inutiles.
Sinon, avant de vous quitter je vous partage un scoop. Lors de la fermeture de la maternité dans notre petit coin de Normandie sans médecin, les infirmières avaient réussi à radiographier des cerveaux de mamamouchis et de contrôleurs de gestion de l’ARS… Ne dites pas qu’elles affichent publiquement leur trophées en salle radio, il y aurait des mises à pieds immédiates !
Maintenant vous avez compris pourquoi notre pays en est là !
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
http://www.politiquematin.fr/urgences-payantes-deserts-medicaux-47693
Le Royaume-Uni se dirige-t-il vers la loi martiale médicale ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 10/03/2020 - 09:20
Via Off-Guardian.org,
Le 28 septembre, Tobias Ellwood, député conservateur de Bournemouth-Est, s'est levé au Parlement et a suggéré que l'armée britannique et le ministère de la Défense soient chargés de la distribution et de l'administration de «millions de doses» des vaccins Sars-Cov-2, comme ainsi que la délivrance de «certificats de vaccination» qui «permettront de voyager».
Et ce ne sont que les faits saillants, il y a un langage beaucoup plus vaguement sinistre, camouflé dans sa voix monotone plutôt terne. (Vous pouvez regarder l'intégralité du discours ici, rendez-vous à 20:24).
Il s’agit d’une évolution préoccupante, qui mérite vraiment d’être surveillée.
La BBC ne le pense pas, bien sûr, car l’appel à ce qui équivaudrait facilement à une loi martiale médicale n’a même pas été intégré à leur programme «Aujourd'hui au Parlement».
Ce n'est pas un nouveau comportement pour Ellwood. Il a toujours été une voix cohérente pour l'utilisation de l'armée en réponse à la «pandémie». Le 18 septembre, il a demandé au Premier ministre de «faire un plus grand usage de nos excellentes forces armées».
Il mentionne spécifiquement «la gestion du récit», ce qui n'est pas surprenant compte tenu de son rôle d'ancien officier de l'armée, d'un officier de réserve actuel, et de son affiliation connue avec la 77e brigade.
Pour ceux qui ne le savent pas: le 77e est l’équipe de «guerriers facebook» de l’armée britannique. Une unité de guerre de l'information dont le travail est de «contrer la désinformation», de «gérer le récit» et généralement d'enregistrer et de contrôler la conversation sur Internet.
Ce n’est pas une «théorie du complot», leur existence est facilement reconnue par le gouvernement et les médias traditionnels. Étant donné qu'ils sont actuellement employés pour «contrer la désinformation covid», ils figureront probablement dans les commentaires de ce post (Salut les gars!).
D'autres pays à travers le monde sont déjà passés à ce «pied de guerre», et le Royaume-Uni n'est probablement pas loin derrière.
https://www.zerohedge.com/political/uk-heading-toward-medical-martial-law
Des médecins construisent le premier œil bionique au monde qui permet aux aveugles de voir à 100 %
RépondreSupprimerle système pourrait être étendu à d’autres maladies
L’oeil bionique du colonel Steve Austin alias “The Six million Dollar Man”, une série de science-fiction des années 1970, pourrait bientôt devenir une réalité. En effet, une équipe de chercheurs en médecine de l’université de Monash à Melbourne, en Australie, vient de mettre en place le premier œil bionique qui promet de redonner la vue à l'aide d'un implant cérébral. L'œil bionique, baptisé “système de vision bionique Gennaris”, serait le résultat d’environ dix années de recherche et de développement. Selon l’équipe de chercheurs, l’oeil fonctionne en contournant les nerfs endommagés.
La cécité est l’état d’une personne aveugle et d’après les médecins, c’est une situation qui peut être des plus difficiles à vivre. Les chercheurs du monde entier travaillent à la guérison de cette maladie grâce à diverses solutions bioniques. Cependant, aucune d'entre elles n'a encore abouti ou mieux n’a encore pu être commercialisée, pour améliorer la vie des gens. Mais à présent, il semble qu'un concurrent en soit très proche. Selon un nouveau rapport d’India Times, des chercheurs de l’université de Monash ont mis en place un oeil bionique capable de rendre la vue à 100 % aux aveugles.
Les scientifiques ont appelé l’oeil “système de vision bionique Gennaris”. Il serait en cours de développement depuis près de dix ans maintenant. Pour ce qui est de son fonctionnement, l’équipe a déclaré que celui-ci utilise un implant cérébral. Ensuite, grâce à la technologie qu’il embarque, l’oeil est capable de contourner les nerfs optiques endommagés pour permettre aux signaux d'être transmis de la rétine au centre de vision du cerveau. En effet, l'utilisateur doit porter un casque conçu sur mesure dans lequel sont installés une caméra et un émetteur sans fil.
Un processeur numérique effectue la lourde manipulation des données en conjonction avec des tuiles spéciales de 9 millimètres implantées dans le cerveau pour produire les impulsions électroniques et stimuler le cerveau via des microélectrodes fines comme des cheveux. « Les prothèses de vision corticale visent à restaurer la perception visuelle de ceux qui ont perdu la vue en délivrant une stimulation électrique au cortex visuel, la région du cerveau qui reçoit, intègre et traite les informations visuelles », a déclaré Arthur Lowery, professeur au département d'ingénierie des systèmes électriques et informatiques de l'université Monash.
« Notre conception crée un motif visuel à partir de combinaisons de jusqu'à 172 points de lumière (ou phosphènes) qui fournit des informations permettant à l'individu de se déplacer dans des environnements intérieurs et extérieurs. Ce procédé lui permet aussi de reconnaître la présence de personnes et d'objets autour de lui », a-t-il ajouté. L’équipe de chercheurs se prépare actuellement aux premiers essais de cet oeil bionique sur des humains. Elle vise une intégration sur le marché mondial et a déclaré être à la recherche de financements pour atteindre une clientèle plus large.
L'équipe de scientifiques à l’origine de la découverte a déclaré qu’il s’agit du premier œil bionique au monde. Sa création pourrait représenter un grand espoir pour les aveugles qui multiplient les thérapies depuis des années en vue de recouvrer ne serait-ce qu'un usage minimal de leurs yeux. Toutefois, une telle création pourrait bénéficier d’un coût élevé et se retrouverait ainsi réservée à un marché de niche. Mais sur ce point, les chercheurs sont confiants et ont également expliqué qu’ils comptaient étendre leur système à la guérison d’autres maux.
L’équipe veut faire progresser le système afin d’aider les personnes atteintes de maladies neurologiques incurables, notamment la paralysie des membres et la quadriplégie, afin d’améliorer leur vie. « En cas de succès, l'équipe de MVG [Monash Vision Group] créera une nouvelle entreprise commerciale qui se concentrera sur la fourniture de la vision aux personnes atteintes de cécité incurable et sur les gestes des bras des personnes paralysées par la quadriplégie, transformant ainsi leurs soins de santé », ont expliqué les chercheurs, parlant de leur vison.
RépondreSupprimerLa frontière des dispositifs d'interface cérébrale a sans doute été franchie avec le dispositif Neuralink d'Elon Musk, toujours en phase de test et de développement, ou avec le dispositif de “prothèse visuelle” récemment conçu par les scientifiques du Baylor College of Medicine de Houston au Texas, qui permet aux aveugles de “voir” la forme des lettres. Le système Gennaris de Monash a donné des résultats probants pendant des essais en juillet, où l'ensemble de l'équipement a été transplanté en toute sécurité dans le cerveau de trois moutons, avec un total de 2 700 heures de stimulation ne révélant aucun effet nocif sur la santé.
Source : India Times
https://www.developpez.net/forums/d2092444/club-professionnels-informatique/actualites/medecins-construisent-premier-oeil-bionique-monde-permet-aux-aveugles-voir-100-a/
Coronavirus : au Québec, la police pourra entrer chez les habitants pour vérifie qu'ils ne reçoivent pas d'invités
RépondreSupprimerCNews
sam., 03 oct. 2020 20:02 UTC
Face à la recrudescence du coronavirus, le Québec choisit la manière forte. A partir de ce jeudi et pour au moins 28 jours, les habitants des zones classées rouges - dont font partie les régions de Montréal et Québec - ne peuvent plus recevoir d'invités à leur domicile.
Contrairement à ce qu'avait évoqué la semaine dernière le docteur Horacio Arruda, directeur national de santé publique du Québec, les forces de l'ordre ne pourront toutefois pas pénétrer dans des résidences privées sans mandat.
« Les policiers ne vont pas commencer à cogner au hasard à toutes les portes du Québec. Il n'y aura pas de chasse aux sorcières », a tenu à rassurer le Premier ministre québécois, François Legault, lors d'une conférence de presse mercredi.
Si les policiers soupçonnent un rassemblement illégal, ils pourront obtenir rapidement un mandat électronique auprès d'un juge, qui leur permettra d'entrer dans le domicile visé sans le consentement des occupants. Si ces derniers coopèrent, le mandat ne sera pas nécessaire.
Une amende de 1.000 dollars canadiens
En cas de violation des règles sanitaires, les policiers pourront remettre sur-le-champ aux contrevenants des constats d'infraction portatifs, similaires à ceux utilisés pour une infraction routières. Les participants d'un rassemblement privé illégal - mais aussi d'un rassemblement extérieur, désormais interdit dans les zones rouges - s'exposent à une amende de 1.000 dollars canadiens, soit 640 euros (1.500 dollars avec les frais, soit 960 euros).
Si le gouvernement québécois cible les rassemblements privés, c'est parce qu'il estime que ce sont eux qui sont à l'origine de la hausse des contaminations au Covid-19 observée depuis plusieurs jours. Mercredi, la province canadienne de 8,5 millions d'habitants a fait état de 838 nouveaux cas. Le seuil des 800 cas a ainsi été franchi pour la deuxième fois en quatre jours, alors qu'il n'avait plus été atteint depuis la mi-mai.
Commentaire : Les victimes sont toujours coupables : coupables d'exister, de vivre, de vouloir être entre amis, entre parents, de vouloir se consoler, de vouloir partager, s'entraider. Dans la "nouvelle normalité" rien de tout ça, ça serait trop facile. Il ne faut pas communiquer, échanger, se toucher, s'embrasser, se sentir protégé. Rien de humain et chaleureux dans ce présent du Coronavirus qui deviendra notre futur sans âme, gris et métallique comme un morceau de fer, un morceau de carrosserie.
https://fr.sott.net/article/36137-Coronavirus-au-Quebec-la-police-pourra-entrer-chez-les-habitants-pour-verifie-qu-ils-ne-recoivent-pas-d-invites
La dictature monarchique est 100 % hitlérienne
SupprimerL'absurdité des «cas» COVID
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 10/03/2020 - 15:30
Rédigé par Jeff Deist via The Mises Institute,
Les manchettes d'aujourd'hui ont annoncé que Donald et Melania Trump "avaient été testés positifs" pour le covid-19. Un autre affirme que dix-neuf mille travailleurs d'Amazon ont «obtenu» le covid-19 au travail. Ces deux pseudo-histoires vont certainement déclencher une autre frénésie médiatique absurde.
Comme toujours, l'histoire ne cesse de changer: souvenez-vous des ventilateurs, aplatissez la courbe, les deux prochaines semaines sont cruciales, etc.? Vous vous souvenez de Nancy Pelosi dans le quartier chinois en février, qui exhortait tout le monde à visiter ? Vous vous souvenez que Fauci a rejeté les masques comme étant inutiles ? Pourquoi devrions-nous croire tout ce que le complexe politique / médiatique nous dit maintenant ?
Alors, que signifient vraiment ces titres ? Qu'est-ce qu'un "cas" covid exactement ?
Depuis le début de l'épidémie de coronavirus, la plupart des médias américains ont été extrêmement crédules et complices de leurs reportages. Les journalistes promeuvent presque uniformément ce que nous pouvons appeler le récit du «prolockdown», qui consiste à exagérer de manière extravagante les risques du covid-19 pour servir un agenda politique. Ils peuvent être motivés à nuire politiquement à Trump, à promouvoir une «nouvelle normalité» plus socialiste ou simplement à générer plus de clics et de vues. Les mauvaises nouvelles se vendent. Mais le parti pris est clair et indéniable.
Cela explique pourquoi les médias utilisent les termes «cas» et «infection» de manière si vague, au point de désinformer activement le public. Toutes les discussions sans fin sur les tests, les tests, les tests ont servi à obscurcir deux faits importants. Premièrement, les tests eux-mêmes ne sont presque pas fiables pour produire à la fois des faux positifs et des négatifs. Et quel est le point ? Allons-nous tester les gens encore et encore, chaque fois qu'ils sortent à l'épicerie ou rencontrent un voisin ? Deuxièmement, la détection de particules virales ou de gouttelettes dans les voies respiratoires d'un être humain nous en dit très peu. Cela ne nous dit certainement pas qu'ils sont malades ou qu'ils transmettent la maladie à qui que ce soit.
Prenez une personne en parfaite santé sans symptômes particuliers et tamponnez l'intérieur de son nez. Si la culture montre la présence de staphylococcus aureus, insistons-nous sur le fait qu'ils ont une infection à staphylocoque ? Quand quelqu'un se rend au travail sans incident ni accident, créons-nous des statistiques sur son exposition au trafic ?
Un virus n'est pas une maladie. Seul un très petit pourcentage de ceux exposés au virus lui-même - SRAS-CoV-2 - présentent des symptômes respiratoires aigus, ou ce que nous pouvons appeler une «maladie à coronavirus».
Les seules statistiques significatives montrent l'incidence des maladies graves, des hospitalisations et des décès. La statistique la plus importante parmi celles-ci est le taux de mortalité par infection (IFR). Les données recueillies jusqu'en juillet montrent que l'IFR pour les moins de 45 ans est en fait inférieur à celui de la grippe commune. L'IFR covid-19 augmente pour les plus de cinquante ans, mais ce n'est guère une condamnation à mort. Et les données ne séparent pas ceux qui ont des problèmes de santé préexistants causés par l'obésité, le diabète et les maladies cardiaques. Si nous ne pouvions voir des données que pour des personnes raisonnablement en bonne santé de moins de 50 ans, les chiffres seraient encore plus rassurants.
Les cas de covid légère ou asymptomatique n'ont en fait aucun sens. Le monde est plein de bactéries et de virus, et parfois ils nous rendent un peu malades pendant quelques jours. Il y en a des millions dans le monde tout autour de nous, sur notre peau, dans notre nez et nos voies respiratoires, dans nos organes. Nous sommes censés vivre avec eux, c'est pourquoi nous avons tous un système immunitaire conçu pour nous aider à coexister et à nous adapter à des organismes en constante évolution. Nous développons des anticorps naturellement, ou nous essayons de les stimuler par des vaccins, mais en fin de compte, notre propre système immunitaire doit faire face à la covid-19. Le virus sera toujours là-bas en attente, de l'autre côté de tout verrouillage ou masque - alors nous pourrions aussi bien continuer.
RépondreSupprimerDès le premier jour, l'accent aurait dû être mis sur le renforcement de l'immunité grâce à l'exercice, à l'air frais, à la lumière du soleil, à des compléments alimentaires appropriés et à la promotion du bien-être général. Au lieu de cela, nos politiciens, bureaucrates et médias ont insisté sur les fermetures d'entreprises, les fermetures d'écoles, la distance, l'isolement, les masques et le mirage d'un vaccin rapide et efficace. Comme pour presque tout dans la vie, l'intervention de l'État a aggravé la situation. Nous ne pouvons qu'espérer que de nombreux gouverneurs seront démis de leurs fonctions, soit par destitution, soit lors des prochaines élections. Plusieurs, dont Andrew Cuomo à New York et Gretchen Whitmer au Michigan, devraient faire face à des accusations criminelles pour leurs décrets anarchiques. Il n'y a pas d'exception de procédure régulière pour la «santé publique».
Les verrouillages n'ont jamais été justifiés, que ce soit en termes de risque de covid-19 ou de compromis économiques stupéfiants, qui se feront sentir pendant des décennies. Ils ne sont certainement pas justifiés maintenant, étant donné sept mois de données supplémentaires montrant que la transmission et la létalité du covid-19 ne sont pas particulièrement pires que celles du SRAS, de la grippe porcine ou d'Ebola.
Les verrouillages n'ont jamais été justifiés, que ce soit en termes de risque de covid-19 ou de compromis économiques stupéfiants, qui se feront sentir pendant des décennies. Ils ne sont certainement pas justifiés maintenant, étant donné sept mois de données supplémentaires montrant que la transmission et la létalité du covid-19 ne sont pas particulièrement pires que les précédentes pandémies de SRAS, de grippe porcine ou d'Ebola. Nous ne savons toujours pas combien des deux cent mille décès signalés par covid-19 aux États-Unis ont été réellement causés par la maladie respiratoire du SRAS-CoV-2, ou reflètent simplement des personnes décédées d'autres causes après une exposition au covid-19. Nous savons que les dommages causés par les verrouillages l'emportent de loin sur les dommages causés par le virus covid-19.
Près de huit mois de vie et de liberté nous ont été volés par des politiciens et leurs complices médiatiques qui promeuvent l’hystérie. Combien plus accepterons-nous ?
https://www.zerohedge.com/political/absurdity-covid-cases
SupprimerC'est ce qu'explique:
Manipulation de masse et torture psychologique avec Jean-Jacques Crèvecoeur
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/manipulation-de-masse-et-torture.html
Voici ce qui se passe chaque minute sur Internet en 2020
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 10/03/2020 - 23:00
En 2020, une quantité insondable d'activité numérique se produit à un moment donné. Comme le détaille Aran Ali de Visual Capitalist ci-dessous, cette explosion continue de l'activité correspond à la production totale de 4,5 milliards d'internautes aujourd'hui, un nombre qui devrait encore augmenter dans les années à venir.
Ce puissant visuel de Domo permet de capturer ce qui se passe chaque minute à l'ère de l'Internet hyper-connecté d'aujourd'hui, et il s'agit en fait de la huitième édition produite depuis 2012.
- voit graphique sur site -
Que pouvons-nous apprendre de l'évolution de ce qui se passe en une minute Internet ?
Comment les temps ont changé
Au cours de son histoire relativement courte, Internet a été un catalyseur à la fois de la montée et de la disparition de nouvelles entreprises et plateformes.
En regardant quelles marques sont apparues dans le graphique les années précédentes, nous pouvons à peu près tracer la proéminence de certains segments technologiques, ainsi qu'observer les marques les plus résistantes.
- voir graphique sur site -
Comme vous pouvez le voir ci-dessus, des plates-formes comme Tumblr, Flickr et Foursquare ont montré des promesses, mais ont finalement été omises du graphique car elles perdaient de leur pertinence.
Pendant ce temps, les entreprises de technologie comme Facebook, Amazon et Google ont eu une durabilité impressionnante, évoluant pour devenir l'une des plus grandes entreprises du monde. Dans le processus, ils ont rattrapé des titans de longue date comme Apple et Microsoft au sommet de la chaîne alimentaire.
La nouvelle «nouvelle chose»
Sans surprise, une grande partie du paysage Internet semble différente en 2020. Voici quelques-uns des points chauds numériques d'aujourd'hui.
Transferts d'espèces
Près de 240 000 $ de transactions se produisent sur Venmo par minute. Cela a servi de catalyseur pour la société mère PayPal, qui a évolué avec succès avec les tendances de la fintech. Les actions de PayPal se négocient désormais à des niveaux presque sans précédent.
Commerce électronique
Même avant que le COVID-19 n'entraîne des vitrines fermées et une augmentation des commandes en ligne, le commerce électronique était une industrie en plein essor. On estime désormais qu’un million de dollars sont désormais dépensés par minute en ligne. Amazon expédie un nombre impressionnant de 6659 colis chaque minute pour répondre à cette demande.
Outils de collaboration
RépondreSupprimerDans un environnement de travail principalement à distance, des outils tels que Zoom et Microsoft Teams hébergent respectivement 208 333 et 52 083 utilisateurs chaque minute. En particulier à l'ère de la pandémie, il semble que cette tendance est là pour durer.
- voir graphique sur site -
Chiffre d'affaires accéléré
Le monde accéléré dans lequel nous nous trouvons aujourd'hui signifie que de nombreuses entreprises ne conservent pas un avantage concurrentiel aussi longtemps. Les entreprises de médias sociaux ont diminué comme indiqué ci-dessus, et cela se reflète de la même manière dans la durée de vie moyenne d'une entreprise du S&P 500.
Le mandat d'une entreprise typique sur le S&P 500 devrait diminuer rapidement au cours des prochaines années:
1964: 33 ans
2016: 24 ans
2027E: 12 ans
Les entreprises réduisent entre 15 et 20 ans ces sommets, avec des estimations de nouvelles baisses. Cette métrique symbolise l'évolution rapide du paysage commercial.
Ce qui nous attend
Il est apparemment facile d’oublier que l’humanité est encore très tôt dans le développement d’Internet. Mais au cours de cette courte période, sa montée en puissance et la vaste numérisation du monde nous ont laissé un calendrier très mouvementé.
Si la dernière décennie sert de point de référence, on peut s'attendre à une concurrence accrue et intensifiée entre les entreprises technologiques. Après tout, la récompense - gagner dans l’économie numérique d’aujourd’hui - rapporte beaucoup plus.
Tous les signes indiquent que l'activité Internet progresse vers de nouveaux sommets, sinon à cause de la 5G et de ses avancées associées, peut-être en raison de l'augmentation constante du nombre de personnes ayant accès à Internet.
https://www.zerohedge.com/technology/heres-what-happens-every-minute-internet-2020
Microchip'd ? La biopuce DARPA pour nous «sauver» de COVID peut contrôler l'ADN humain
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 10/03/2020 - 20:30
Rédigé par Robert Wheeler via le blog The Organic Prepper,
Alors que la moitié des électeurs américains attendent sans aucun doute l'annonce de la sortie du vaccin COVID et que les États et gouvernements totalitaires du monde entier tentent d'exiger une preuve de tests négatifs avant le voyage, un nouvel outil dans le hangar du gouvernement. la surveillance et le contrôle se révèlent.
La puce est arrivée.
Alors que beaucoup attaquent encore quiconque avertit de la «puce à venir» en tant que théoricien du complot, luddite ou fanatique religieux, cette puce est arrivée.
Mais les gouvernements n’ont pas à commercialiser la puce comme une méthode pour suivre, tracer et contrôler leurs populations. Au lieu de cela, ils commercialisent la puce comme un moyen de suivre et de détecter le COVID et d'autres coronavirus. De toute évidence, il s'agit d'une vente beaucoup plus facile à un public littéralement terrorisé par leurs gouvernements et les grands médias au cours des six derniers mois.
Raul Diego détaille la création et le déploiement à venir de la nouvelle biopuce dans son article, «Une micropuce implantable financée par la DARPA pour détecter le COVID-19 pourrait frapper les marchés d'ici 2021», où il écrit:
La découverte scientifique la plus importante depuis que la gravité se cache à la vue depuis près d'une décennie et son potentiel destructeur pour l'humanité est si énorme que la plus grande machine de guerre de la planète a immédiatement déployé ses vastes ressources pour la posséder et la contrôler, finançant sa recherche et son développement. par des agences comme les National Institutes of Health (NIH), la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) et le HHS 'BARDA.
La percée révolutionnaire est arrivée à un scientifique canadien nommé Derek Rossi en 2010, purement par accident. Le professeur d'Harvard, maintenant à la retraite, a affirmé dans une interview au National Post qu'il avait trouvé un moyen de «reprogrammer» les molécules qui portent les instructions génétiques pour le développement cellulaire dans le corps humain, sans parler de toutes les formes de vie biologiques.
Ces molécules sont appelées «acide ribonucléique messager» ou ARNm et la nouvelle capacité de réécrire ces instructions pour produire tout type de cellule dans un organisme biologique a radicalement changé le cours de la médecine et de la science occidentales, même si personne ne l’a encore vraiment remarqué. Comme Rossi, lui-même, le dit: «La vraie découverte importante ici était que vous pouviez maintenant utiliser l'ARNm, et si vous l'introduisiez dans les cellules, alors vous pourriez obtenir l'ARNm pour exprimer n'importe quelle protéine dans les cellules, et c'était la grande chose. » (La source)
Voici ce que la technologie peut faire
Cette nouvelle technologie revient au contrôle à distance des processus biologiques.
Diego continue:
Dès 2006, la DARPA recherchait déjà comment identifier les agents pathogènes viraux des voies respiratoires supérieures grâce à son programme Predicting Health and Disease (PHD), qui a conduit à la création du Bureau des technologies biologiques (BTO) de l'agence, comme le rapporte Whitney Webb dans un Article de mai pour The Last American Vagabond. En 2014, le BTO de la DARPA a lancé son programme «In Vivo Nanoplatforms» (IVN), qui étudie les nanotechnologies implantables, conduisant au développement de «l'hydrogel».
RépondreSupprimerL'hydrogel est une nanotechnologie dont l'inventeur s'est vanté très tôt que «si [cela] se concrétisait, avec l'approbation de la FDA, alors les consommateurs pourraient faire implanter les capteurs dans leur cœur pour mesurer leurs niveaux de glucose, d'oxygène et de lactate.» Ce matériau ressemblant à des lentilles de contact nécessite l'introduction d'un injecteur spécial sous la peau où il peut transmettre des signaux numériques basés sur la lumière via un réseau sans fil comme la 5G.
Une fois fermement implantées à l'intérieur du corps, les cellules humaines sont à la merci de tout programme d'ARNm délivré via ce substrat, déclenchant un cauchemar de possibilités. C'est peut-être le premier véritable pas vers un transhumanisme à part entière. (La source)
Patrick Tucker de Defense One entre dans quelques détails supplémentaires sur le fonctionnement de la biopuce. Il le décrit comme suit:
Le capteur comporte deux parties. L'un est une chaîne d'hydrogel de 3 mm, un matériau dont le réseau de chaînes polymères est utilisé dans certaines lentilles de contact et autres implants. Insérée sous la peau avec une seringue, la ficelle comprend une molécule spécialement conçue qui envoie un signal fluorescent à l'extérieur du corps lorsque le corps commence à combattre une infection. L'autre partie est un composant électronique attaché à la peau. Il envoie de la lumière à travers la peau, détecte le signal fluorescent et génère un autre signal que le porteur peut envoyer à un médecin, à un site Web, etc. C'est comme un laboratoire de sang sur la peau qui peut détecter la réponse du corps à la maladie avant la présence d'autres symptômes, comme la toux.
Vous ne serez pas surpris de savoir qui soutient cela.
Il est clair que ce projet bénéficie d'un soutien dans les couloirs du monde de l'entreprise et du gouvernement américain.
La société privée créée pour commercialiser cette technologie, qui permet de contrôler à distance les processus biologiques et ouvre la porte à la manipulation potentielle de nos réponses biologiques
La société privée créée pour commercialiser cette technologie, qui permet de contrôler les processus biologiques à distance et ouvre la porte à la manipulation potentielle de nos réponses biologiques et, finalement, de toute notre existence, s'appelle Profusa Inc et ses opérations sont financées par des millions de NIH et DARPA. En mars, la société a été discrètement insérée dans le bazar bondé du COVID-19 en mars 2020, lorsqu'elle a annoncé une biopuce injectable pour la détection des maladies respiratoires virales, y compris le COVID-19. (La source)
Diego écrit,
RépondreSupprimerLe seul obstacle est un système de distribution, qui, bien que Moderna prétende se développer séparément, est peu susceptible d'obtenir l'approbation de la FDA avant la propre technologie d'hydrogel développée par le gouvernement fédéral DARPA, en tandem avec la technologie de capteur de lumière financée par DARPA de Profusa, qui devrait recevoir autorisation accélérée de la Food and Drug Administration au début de 2021 et, plus que probablement, utilisée pour déployer un vaccin contre le coronavirus avec la capacité de changer littéralement notre ADN.
En outre, le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) enquête actuellement sur les dépôts de brevets de Moderna, affirmant qu'il n'a pas divulgué «le soutien du gouvernement fédéral» dans ses demandes de brevet de candidat vaccin COVID, comme l'exige la loi. La technicité pourrait amener le gouvernement fédéral à détenir une participation de 100% dans l'ARNm-1273. (La source)
Prenez une puce ou faites face aux conséquences.
Les militants et les citoyens inquiets doivent cesser de parler de la «puce à venir» et de la façon dont ils refuseront d'être déchiquetés le moment venu. Ce temps est maintenant. Bientôt, les gens du monde entier vont avoir une décision très difficile à prendre: prendre une puce électronique ou en subir les conséquences. À en juger par le nombre de personnes qui se promènent masquées lors de mes déplacements au supermarché, je dirais que les chances ne sont pas en faveur d’une humanité libre. La plupart des gens s'aligneront volontiers.
Remarque: écoutez le chercheur Alan Watt de CuttingThroughTheMatrix.com discuter de la biopuce et bien plus encore dans un contexte historique et analytique ici:
https://www.zerohedge.com/technology/microchipd-darpa-biochip-save-us-covid-can-control-human-dna
SupprimerPuces qui seront (sans que vous le sachiez) implantées dès la naissance d'un enfant ou dans votre corps lors d'une intervention chirurgicale ou simplement médicale.
"Si on vous dit de tuer: Vous tuez ! Si on vous dit de sauter par la fenêtre: Vous sautez par la fenêtre !"
Petite leçon de grammaire
RépondreSupprimerle 3 octobre 2020
Comme beaucoup de « vieux » de ma génération, au collège on apprenait le latin puis le grec deux ans plus tard et accessoirement l’anglais également dès l’entrée au collège. Cet anglais était enseigné par un professeur qui visiblement n’avait jamais mis les pieds sur le territoire de Sa Majesté la Reine Elizabeth deuxième du nom. Par contre le professeur de latin connaissait sa matière et, Gaffiot aidant, on arrivait sans peine à traduire Cicéron, Séneque ou encore Ovide. Bref, passons à l’enseignement du français, tout de même la langue natale, qui se devait d’être correctement enseignée. Comment apprenait-on le français de mon temps ? Essentiellement en lisant toutes sortes de textes comme les incontournables Racine, Molière et Lafontaine mais aussi, pêle-mêle, Rimbaud, Rabelais, Gérard de Nerval, Madame de Sévigné et parfois Marguerite Yourcenar pour les privilégiés. De plus on devait apprendre et réciter de mémoire des textes variés en prose ou en vers.
L’orthographe s’apprenait donc par la lecture, la mémoire visuelle dans mon cas, mais également en faisant des efforts lors des dissertations ou des explications de texte. Le professeur était exigeant et on le devenait soi-même. Quant à la syntaxe, même cas de figure, le meilleur moyen de comprendre et appliquer un bonne syntaxe résidait encore dans la lecture comme Hugo ou Stendhal et qui sais-je encore. J’ai donné quelques cours bien des années après le collège, années dont je viens de parler, à l’Université à des étudiants « bac+5 » qui devaient rédiger un rapport de 10 pages. La note que je devais attribuer à leur copie était éliminatoire (je crois que ça n’existe plus) et ces étudiants le savaient. Puisque j’étais plutôt conciliant et que je n’avais pas l’intention de les mettre dans une situation difficile je leur ai proposé un essai, une sorte de rapport « blanc ». Sur mon groupe de 30 élèves – ils briguaient tout de même le diplôme de maîtrise en fin d’année – je mis 15 zéro, 12 huit sur vingt et 3 douze sur vingt. Dans l’ensemble tous ces rapports étaient de très bonne qualité mais les notes étaient relatives à l’orthographe. Je leur ai donné une bonne leçon et rendu un très grand service. Pour trouver un emploi qualifié, après cinq années d’études universitaires dans une discipline scientifique, la science ne suffit pas, il faut aussi parler correctement sa propre langue avec le minimum de fautes d’orthographe et de syntaxe et également être capable de s’exprimer clairement. Je ne suis pas certain que ce soit encore le cas.
Bref, j’ai capté cette illustration lors d’une émission de Frédéric Taddeï, l’un des rares journalistes qui laisse ses invités s’exprimer sans les interrompre sans arrêt et elle m’a donné l’occasion de disserter au sujet de la langue française. Ici il s’agit d’écriture dite « inclusive ». Je n’ai toujours pas compris ce que « écriture inclusive » signifiait. J’ai lu ou plutôt tenté de décrypter le slogan que brandissait probablement une femme, je pense que peu d’hommes se vernissent les ongles, et je n’ai rien compris. Je passe sur « quand tout sera privé » qui ne veut strictement rien dire, il aurait été plus correct d’écrire « privatisé » puisque c’était le motif de cette manifestation, me semble-t-il. Suit alors « on sera privé-e-s de tout ». À quoi sert ce « -e-s » puisque « on » n’a pas de genre au sens grammatical du terme : par définition il s’agit d’un pronom indéfini. On ne peut pas écrire « On est » : c’est également doublement faux si on écrit privé au pluriel sauf si on ajoute « tous » ce qui donne « On est tous privés » et si on veut donner un genre à l’article « on » on peut lui enjoindre le mot « toutes », ce qui donnera alors « on est toutes privées ». Les adjectifs « privés » et « privées » s’accordent alors avec respectivement les mots « tous » et « toutes » qui introduisent un genre au pronom indéfini « on ». Qu’est-ce que c’est que ce charabia dit inclusif, qui a inventé ce truc stupide et pourquoi ? Je suppose que c’est sorti du cerveau dérangé de viragos écolo-gauchistes mal baisées qui n’ont probablement jamais lu ni Hugo, ni Zola, ni Verlaine et encore moins Montherlant ou Voltaire. La langue française est maintenant parfaitement parlée et écrite par des Sénégalais ou des Ivoiriens, c’est un comble !
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2020/10/03/petite-lecon-de-grammaire/
(...) On ne peut pas écrire « On est » (...)
SupprimerEffectivement 'on' veut dire plusieurs, tandis qu'à la 3è personne de l'indicatif présent du verbe être figurent le 'il' ou 'elle', qui sont au singulier. Mais le 'on sommes' ou le 'on sont' ou le 'nous est' ou le 'ont est' n'étant pas valables...
Un motocycliste fait face à de multiples accusations criminelles après avoir été surpris en train de faire 181 mi / h (291 km/h) sur l'autoroute de San Diego
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 10/03/2020 - 20:00
Un motocycliste à San Diego a été surpris en train de faire 181 miles par heure sur une autoroute de San Diego et fait maintenant face à des accusations de fraude, de conduite imprudente, de course de rue et de conduite sans permis, selon NBC.
Le conducteur, Scott Meiner, 32 ans, roulait sur la voie réservée aux VMO le 29 mars lorsque les agents ont choisi de ne pas le poursuivre en raison de la vitesse à laquelle il roulait. Il a été vu près de la sortie du boulevard Mira Mesa à l'époque, avant de faire passer un feu rouge sur le boulevard Mira Mesa.
Le porte-parole du CHP, Salvador Castro, a déclaré: "Nos unités étaient en train de mener un incident lidar et, fondamentalement, elles ont fait démarrer cette moto 181 et n'ont pas été en mesure de la rattraper."
Il a poursuivi: "Nous avons donc transmis toutes les informations à nos enquêteurs, et quelques mois plus tard, ils ont pu identifier le [coureur] et les relier à plusieurs incidents de courses de rue et de conduite imprudente, et également fuyant plusieurs policiers. des agents de divers organismes d'application de la loi à de nombreuses reprises."
La page Facebook de Meiner énumère «motos, golf, voitures et travail» comme ses intérêts. Cela le montre également en train de vendre une moto Kawasaki Ninja ZX-10, qui se vend 15 399 $. Ce vélo a une vitesse maximale de 180 mph. Meiner a écrit sur sa page Facebook qu'il était "S'entraîner à la course sur circuit sur l'île de Man TT et MGP d'ici 22".
Même lors de la célèbre course du Tourist Trophy de l'île de Man, la vitesse maximale au tour est de 135,4 miles par heure, fixée en 2018.
Meiner a été placé en garde à vue mardi après que les enquêteurs ont exécuté des mandats de perquisition. Il a été inscrit à la prison du comté de San Diego et libéré mercredi de la semaine dernière.
Aucun mot si le vélo était sur "Pilote automatique" et s'il prévoit d'utiliser "l'accélération involontaire" comme défense ...
https://www.zerohedge.com/technology/motorcyclist-facing-multiple-felony-charges-after-being-caught-doing-181-mph-san-diego
Au Québec, les policiers peuvent entrer chez les habitants pour contrôler les mesures sanitaires
RépondreSupprimer2 Oct 2020
Pour enrayer la pandémie au Québec, les habitants de la province canadienne ne peuvent plus accueillir d'invités. Les policiers peuvent obtenir d'un juge l'autorisation d'entrer dans les domiciles pour vérifier le respect des règles sanitaires.
Lors d'une conférence de presse le 30 septembre, le Premier ministre québécois, François Legault, a informé ses citoyens qu'il était interdit à partir du 1er octobre d’accueillir chez soi des invités, c'est-à-dire des personnes vivant à une autre adresse.
Covid-19 : le Canada se prépare pour «une deuxième vague, qui pourrait frapper très fort»
Le responsable de la province canadienne a étayé cette décision avec fermeté : «Soyons bien clairs : quelqu’un qui fait un party [une fête] dans sa maison, il est en contravention de la loi et met la vie des autres personnes en danger. Donc quand ça arrive, les policiers vont pouvoir leur donner un constat d’infraction.» La contravention pourra être de 1 000 dollars canadiens (soit environ 640 euros). Ne sont pas concernées les personnes isolées, les proches aidants, ou les professionnels qui fournissent un service à domicile.
Si la police soupçonne un non-respect de cette nouvelle mesure chez des habitants qui refusent d'ouvrir leur porte, elle peut «obtenir un télémandat rapidement d'un juge pour être capable de donner un constat d'infraction». Dans ce cas, les forces de l'ordre ont l'autorisation d’entrer dans le domicile.
Pour autant, «les policiers ne vont pas commencer à cogner aux portes au hasard, il n’y aura pas de chasses aux sorcières. Les policiers vont le faire seulement s’ils ont des motifs de croire que la loi n’est pas respectée», a-t-il voulu rassurer.
Depuis le 1er octobre, les régions de Montréal et Québec sont passées au plus haut niveau d'alerte pour 28 jours, alors que les cas de coronavirus ont fortement grimpé dans la province québécoise, région la plus durement touchée par l'épidémie au pays. Les bars, restaurants, cinémas, musées et bibliothèques notamment seront fermés du 1er au 28 octobre dans trois régions passées au seuil d'alerte rouge.
François Legault a annoncé que «comparativement à mi-août, on est passés de 50 nouveaux cas par jour à 900 par jour [...], d'une centaine d'hospitalisations à 275».
Covid-19 : Montréal favorise la dénonciation en ligne pour faire respecter le confinement
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/10/un-media-russe-parle-du-quebec-de-la.html
https://francais.rt.com/international/79315-quebec-policiers-peuvent-entrer-chez-habitants-pour-controler-mesures-sanitaires/amp?__twitter_impression=true
C'est un peu plus qu'ordurier mais c'est l'anti-Démocratie canadienno-anglaise qui est appliquée.
SupprimerConfusion et propos contradictoires concernant l'état de santé de Donald Trump... ??
RépondreSupprimersamedi 3 octobre 2020
https://www.journaldemontreal.com/2020/10/03/trump-a-lhopital-nombreux-cas-de-covid-19-chez-les-republicains
Message aux parents
RépondreSupprimerDeux sources d'information "proches" des autorités gouvernementales affirment que les écoles seront toutes fermées d'ici l'Halloween.
samedi 3 octobre 2020
Si j'affiche ceci c'est que je n'ai pas de doutes sur la crédibilité des personnes qui m'ont fait parvenir ce message.
Stockez du papier, des crayons et des boîtes de cartons!
Isabelle
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/10/message-aux-parents.html
LES CYBERCRIMINELS FONT AUSSI LEUR RENTRÉE DES CLASSES
RépondreSupprimerpar LOÏC GUÉZO
03/10/2020
En 2019, le secteur de l'enseignement a subi 192% de cas de fraude par email de plus qu'en 2018.
98 % des 40 premières universités françaises ne sont pas protégées contre la fraude par email. Alors que l’enseignement en ligne va se poursuivre dans le contexte de pandémie, il est primordial de tirer dès à présent les bonnes leçons en matière de cybersécurité pour protéger étudiants, professeurs et universités.
En 2019, le secteur de l’enseignement a subi une vague de cyberattaques sans précédent, enregistrant la plus forte augmentation de fraude par email (+ 192 %), avec une moyenne de 40 attaques par établissement. En 2017, le secteur s’est même retrouvé dernier dans un classement international évaluant le niveau de préparation en termes de cybersécurité de 17 secteurs d’activité…
Le secteur public a toujours été une cible de choix pour les cybercriminels, et l'enseignement tout particulièrement. Désormais, ce secteur a priori déjà mal préparé se retrouve confronté à un défi encore plus grand : l’obligation de passer au moins partiellement à un apprentissage en ligne, sous le coup de la pandémie de coronavirus. Le secteur, déjà en difficulté pour sécuriser ses nombreux points d'accès, voit ainsi sa surface d'attaque potentielle augmenter rapidement.
Et les cybercriminels n'ont pas perdu de temps pour s’engouffrer dans la brêche. Ils cherchent activement à exploiter cette nouvelle dépendance à l'égard des solutions de cours en distanciel. En l'absence de changements significatifs dans les environnements de sécurité, le secteur de l’enseignement restera une cible facile. Or les établissements scolaires et de l’enseignement supérieur détiennent de nombreuses données sensibles sur les individus, peut-être plus que tout autre secteur, en dehors de la santé : nom, adresse, date de naissance, numéro de sécurité sociale, voire coordonnées bancaires et dossiers médicaux, etc.
Une catastrophe en prévision ?
Chaque école, collège ou université est une cible potentielle. Comme les établissements de santé, les établissements scolaires doivent également assurer une certaine continuité de service. L'annulation des examens ou l’invalidation des notes ne sont pas envisageables. Les cybercriminels le savent, ce qui fait également de ce secteur l'un des plus visés par les attaques de ransomware, comme ce fut récemment le cas dans des universités en Corse ou à Maastricht.
Vient ensuite la question des utilisateurs. Contrairement à la croyance populaire, la jeune génération est souvent plus détendue à l'égard de la cybersécurité que ses homologues plus âgés. La faiblesse des mots de passe, leur partage et la réutilisation des identifiants de connexion sont monnaie courante, notamment chez les étudiants.
Facteur aggravant : les institutions du secteur public ne sont pas connues pour leurs budgets informatiques importants. Elles n'ont pas non plus la chance de disposer d'une abondance de professionnels qualifiés en matière de cybersécurité. Il en résulte naturellement un manque de contrôle.
Les universités françaises, mauvaises élèves en cybersécurité
RépondreSupprimerL’email étant le principal vecteur utilisé pour propager une cyberattaque, vérifier le niveau de sécurité de ce canal est un bon indicateur du risque encouru pour une organisation. Et le moyen le plus efficace pour contrôler ce niveau de sécurité consiste à vérifier l’adoption du protocole DMARC (Domain-based Message Authentication, Reporting & Conformance). Véritable standard en matière de protection contre la fraude par email, ce protocole permet d’authentifier les expéditeurs et de protéger les usagers contre les cybercriminels qui cherchent à usurper l’identité d’une institution ou marque de confiance.
Or selon une récente étude, 57 % des 40 premières universités françaises n'ont pas du tout publié d’enregistrement DMARC (Domain-based Message Authentication, Reporting & Conformance) et 40 % ont un enregistrement incomplet. Au final, seule une seule université parmi les plus prestigieuses en France a mis en œuvre le niveau de protection le plus strict et recommandé de DMARC (Reject), qui empêche les emails frauduleux d’atteindre leur cible. Ne pas s’aligner pleinement à ce standard expose malheureusement de nombreux étudiants à des attaques de phishing, prétendant venir de LEUR établissement…
Protéger ses données pendant la pandémie
L'impact du coronavirus a donc aggravé une situation déjà précaire. Des données, des réseaux et des infrastructures qui étaient déjà mal sécurisés se retrouvent dans un environnement étendu et ouvert, beaucoup plus difficile à défendre.
De nombreux établissements, débordés par la nécessité de sécuriser un environnement largement circonscrit, ont dû rapidement déployer des plateformes virtuelles d'apprentissage en ligne, des réseaux privés virtuels etc. Et pour atteindre cet objectif, certains ont pris des raccourcis et renoncé aux meilleures pratiques en matière de sécurité.
Le Global Threat Activity Tracker de Microsoft indique que plus de cinq millions de logiciels malveillants ont été détectés dans le secteur de l'enseignement au cours des 30 derniers jours. Cela représente près des deux tiers de tous les incidents liés aux logiciels malveillants dans les huit secteurs les plus touchés. Le deuxième secteur le plus touché, celui des services aux entreprises et des services professionnels, n'a connu que 842.000 événements au cours de la même période.
Les essentiels pour une rentrée réussie
Il est clair que ce secteur est attaqué. 99% des cyberattaques nécessitant une action humaine pour aboutir (cliquer sur un lien, télécharger une pièce jointe, etc.), la meilleure défense est de se concentrer sur les personnes qui sont attaquées.
Les établissements doivent donc veiller à ce que l'ensemble du personnel et des étudiants soient sensibilisés aux bonnes pratiques en matière de sécurité et aux mécanismes de fraude le plus fréquemment utilisés par les cybercriminels. Une attention particulière doit notamment être portée à la messagerie électronique. Savoir identifier une tentative de fraude est primordial pour pouvoir l’éviter. Certains signes sont assez révélateurs du phishing, comme les fautes d'orthographe et de grammaire, les demandes urgentes, les demandes d'informations non sollicitées et les liens usurpés.
Outre une formation approfondie et continue, il faut fournir un ensemble clair de consignes de sécurité à suivre, que ce soit à la maison ou en classe. Ces directives devraient couvrir le partage et la réutilisation des identifiants, l'utilisation des dispositifs personnels et du stockage externe, la protection des données et d'autres bonnes pratiques courantes. Des outils et mesures de contrôle doivent également être déployés pour protéger les données et réseaux, ainsi qu'une authentification multifactorielle sur tous les systèmes, appareils et applications.
RépondreSupprimerUne fois de plus, le renforcement de la sécurité du courrier électronique devrait être une priorité absolue. Il existe des solutions qui permettent d’identifier et filtrer les messages suspects, ou encore signaler les comportements tels que la suppression des alertes de connexion, l'utilisation anormale des appareils et tout indicateur de compromission de compte.
Nul ne sait combien de temps encore l'apprentissage en ligne sera nécessaire pour les étudiants. Ce qui sûr, en revanche, c'est que la cyber menace qui pèse sur le secteur de l’enseignement se poursuivra bien après la rentrée. Les équipes de sécurité doivent agir au plus vite pour protéger les établissements et les étudiants.
http://www.economiematin.fr/news-cybercrimininalite-universites-enseignement-distance-rirsques
SupprimerL'excuse du 'corona' pour faire croire en une pandémie (35 fois moindre que le nombre de suicides en France !!) montre bien l'objectif réel de rabâcher ces chiffres toutes les heures dans les merdias ! IL NE FAUT PAS QUE LES ENFANTS S'INSTRUISENT !
Oui mais, s'ils évitent l'école comme une merde sur la route ils étudieront sur Internet et, sur internet il n'y a pas que les merdias ! il y a aussi la vérité !
Preuve encore hier et aujourd'hui avec de nouvelles attaques de mon blog à changer les dates ou heures de publication !
"Notre Monde Bascule" a bien été posté le Samedi 3 Octobre 2020 (et non le Vendredi 2).
L’armement du WiFi
RépondreSupprimer[Note de l’éditeur: Il s’agit d’un article important à lire. Il ajoute une preuve supplémentaire qu’il ya un agenda secret à longue portée par nos amis illuminés pour asservir électroniquement toute la race humaine en utilisant micro-ondes et la technologie scalaire. Al Bielek, Preston Nichols et Phil Schneider ont souligné dans les années 1990 qu’un programme mondial de contrôle de l’esprit électronique (développé dans le cadre du projet Montauk) était en cours et la croissance explosive des tours de téléphonie cellulaire (dans le monde entier) commencée en 2000 n’était que la première phase de la structure de contrôle électronique micro-ondes. Le récent non-débat, sans discussion, ram-through, « fast-tracking » de « 5G » par l’acheté-et-payé-pour le présidentde la FCC Tom Wheeler, fait évidemment partie du réseau électronique secret de contrôle de l’esprit, déguisé en la « prochaine génération » de commodité. Les énormes mégatowers à micro-ondes de télécommunication en cours de construction dans toutes les grandes villes du monde font également partie du prochain système électronique de contrôle de l’esprit micro-ondes, de la coersion et du réseau de terminaison. Ce n’est pas de la science-fiction. Il est réel et sa mise en œuvre complète se rapproche, année après année... Ken Adachi]
Par Anthony Sconosciuto
http://educate-yourself.org/cn/The-Weaponization-of-WiFi-09Oct26.shtml#top
Le 9 octobre 2016
The Weaponization of WiFi (9 octobre 2016)
Censure de Facebook
Pour poster cet article sur Facebook, lien vers le TinyUrl vu ci-dessous. Facebook supprimera tout article identifié comme provenant de educate-yourself.org
http://tinyurl.com/hde3x39
The Weaponization of WiFi (9 octobre 2016)
Preuve croissante de l’utilisation secrète du Wifi pour le contrôle de l’esprit et la terminaison https://t.co/Vufxg3vMG4
— Ken Adachi (@KenAdachi1) 18:58 - 18 octobre 2016
Introduction
Cela peut ressembler à une œuvre de science-fiction, mais, je vous assure que ce n’est pas le cas. Avant de commencer, je tiens à dire que je ne suis pas un « théoricien du complot ». Les conclusions que je fais sont le résultat de près de 4 ans d’enquête sur une expérience personnelle dans laquelle, je crois, j’ai fait l’objet d’une expérience par un DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) entrepreneur nommé SARA Inc., impliqué dans les armes EM R & D. Je crois aussi qu’il y a eu beaucoup plus de victimes de cette expérience que nous ne saurons jamais. En raison de ma vaste expérience (40 ans et plus) dans l’informatique et la technologie connexe, j’ai été en mesure de reconnaître la menace et de se défendre contre elle. Je vais essayer dans cette écriture de mettre les choses en perspective. Je dois déclarer en ce moment que je souhaite rester anonyme et que ces informations sont uniquement à des fins informatives.
À propos de moi
Tout d’abord, je suis à la retraite (depuis 2010), en bonne santé, mentalement alerte et informé sur les technologies que j’ai passé 40 ans à travailler avec. Je suis une personne de profil bas et ont toujours été. Je n’ai pas d’ego à nourrir et je n’ai besoin d’aucune reconnaissance pour mes réalisations passées ou des échecs. Je n’utilise pas les médias sociaux et j’utilise mon téléphone intelligent pour appeler et envoyer des sms seulement. Depuis ma retraite, je reste à la maison à la suite de voyages intensifs pendant ma vie professionnelle. Je rénove les ordinateurs portables comme un passe-temps et faire un travail spécialisé sur eux sur demande. Je n’ai aucune raison de craindre une quelconque surveillance ou représailles de la part du gouvernement. Il y a de nombreuses années, j’ai eu des associations obscures avec la DARPA grâce à certains des travaux de projet auxquels j’ai participé et qui ont depuis longtemps glissé vers l’obsolescence.
À propos de DARPA
RépondreSupprimerL’ARPA a été créée en 1958 (« ARPA » jusqu’à ce qu’un « D » soit ajouté en 1972), par une directive du ministère de la Défense, dans le but d’utiliser des technologies émergentes pour rester en avance sur l’URSS pendant la guerre froide. Ils sont impliqués dans toutes les choses qui, même à distance, pourraient contribuer à la recherche sur la défense et à la sécurité nationale. Beaucoup de leurs projets contribuent à l’amélioration de l’humanité, mais soyez assurés que ces contributions ne sont que les effets secondaires des objectifs réels de la recherche. Ces effets secondaires aident à obtenir leur financement public. Bien que les projets financés par l’État contribuent à l’image publique de l’agence, leur recherche principale se déroule dans des projets « noirs » menant au développement de technologies et d’applications super-secrètes qui sont toujours en avance sur toute forme de divulgation publique. Ces opérations sont financées par les Black Budgets du Pentagone, de la CIA, de la NSA et très probablement d’autres entités gouvernementales qui sont pratiquement inconnues du public.
À propos de SARA Inc.
SARA (Scientific Applications and Research Associates) est une société appartenant à des employés qui fournit des applications spéciales et le développement de produits aux industries de la défense et de la sécurité intérieure ainsi que des entreprises privées. Ils se spécialisent dans toutes les choses électromagnétiques. Ils sont un entrepreneur de haut niveau applications de défense. Leur site Web : http://sara.com
L’incident
Première semaine de mars 2012 (avant l’incident) :
J’ai commencé la procédure de mise à jour Windows sur 4 ordinateurs portables avec de nouvelles installations de système d’exploitation. J’ai un internet très haute vitesse et l’espace de travail qui me limite à 4 machines à la fois. Cela n’avait jamais été un problème avant, mais cette fois toutes les machines ont été raccrochées. Il ya beaucoup de choses qui peuvent affecter le processus de mise à jour, mais, j’ai eu toutes les bases couvertes. J’arrête 3 des machines, maintenant en cours d’exécution 1, en vain. J’ai ensuite redémarré la machine unique pour commencer le processus encore et encore c’était la même situation. Je suis ensuite allé au salon où mon modem câble et routeur sont situés. La lumière indicateur ethernet sur le modem câble était allumée presque continuellement. Je pensais que peut-être le modem câble a été accroché ou la compagnie de câblodistribution faisait un peu de travail sur le système. J’ai mis le modem câble en panne et arrêtant la machine 1 que j’avais en marche. J’ai activé mon « Tech Computer » et connecté à mon routeur pour vérifier plus loin. Le fichier journal semblait indiquer que j’étais sous une attaque massive DDOS (Distributed Denial Of Service). J’ai mis mon modem câble en service. Maintenant, avec seulement mon « Tech Computer » en ligne, l’attaque a continué même si elle était moins intense.
Les attaques DDOS sont généralement dirigées vers les entreprises, l’organisation, les médias et le gouvernement, et non sur les réseaux domestiques. J’ai décidé de regarder le journal de plus près. J’ai alors remarqué un modèle de répétition défini qui n’était pas la marque d’une attaque DDOS. J’ai ensuite cherché les numéros IP de toutes les adresses concernées. À mon grand étonnement, ils étaient tous des adresses du gouvernement. Le regard vers le haut a montré; DoD, NSA, SSA et IRS. Ne pas entrer dans les détails techniques de la façon dont une attaque DDOS est lancé, j’ai trouvé difficile d’imaginer que 4 systèmes gouvernementaux auraient été compromis pour installer les logiciels malveillants nécessaires pour être utilisé dans une telle attaque. Au cours des deux jours suivants, cela s’est poursuivi à une intensité moindre. J’ai été en mesure de capturer la communication avec l’un de mes utilitaires de surveillance du réseau et j’ai découvert qu’il y avait une communication à deux voies avec ma machine répondant à des requêtes uniques. Il s’agissait d’une opération d’exploration de données. Comme je l’ai dit plus tôt dans cette écriture, je n’ai pas peur de la surveillance, cependant, je n’aime pas l’interruption de la performance de mon réseau. J’ai ensuite envoyé un courriel au contact d’abus de chaque site. Les attaques se sont arrêtées le 4ème jour et j’ai terminé le travail que je faisais sur les 4 ordinateurs portables reconditionnés.
RépondreSupprimerDernière semaine de mars 2012 (prélude et incident) :
Ma femme est un utilisateur avide de Facebook qui a tendance à obstruer un ordinateur avec des fichiers indésirables junk après une période de temps sans maintenance. Elle était sur son ordinateur assez tôt ce mardi matin [27 mars 2012] et m’a fait remarquer que sa machine était extrêmement lente. J’ai demandé si elle avait utilisé l’un des services d’entretien ces derniers temps. La réponse était bien sûr, « non ». J’ai couru les services publics et nettoyé beaucoup de ferraille et tout semblait aller bien jusqu’à ce qu’elle est entrée sur YouTube et les vidéos étaient difficiles à jouer sans interruption. Plus tard dans la journée, j’ai remarqué que l’Internet était très lent, ce qui ne s’était jamais produit avant le début du mois. J’ai tout gâché, je ne voulais pas m’en occuper.
Le lendemain, ma femme est partie tôt pour aller travailler. J’ai pris une tasse de café et je me suis assis sur ma chaise dans le salon, j’ai allumé mon ordinateur portable et la télévision. Environ 30 minutes après que je m’étais assis, j’ai commencé à me sentir très étrange. Je suis devenu trempé par une sueur froide, mon cœur battait et j’étais un peu étourdi avec un mal de tête atroce. Je me suis assis là quelques minutes de plus en prenant mon pouls(plus de 150 bpm quand j’ai perdu le compte) et se sentir pire à la minute. J’ai décidé que j’avais une crise cardiaque. J’étais probablement stupide en décidant de me conduire à l’hôpital, même si c’est à moins d’un demi-mile de notre condo. Je me suis levé, j’ai saisi ma clé de voiture, mon manteau et je suis parti vers la sortie du bâtiment. Au moment où je suis sorti du bâtiment, je me sentais mieux. J’ai continué à marcher jusqu’à ma voiture, pensant que j’irais quand même à l’hôpital. J’ai atteint la voiture, je suis entré, je me suis assis là et j’ai repris mon pouls. Mon pouls était dans la gamme normale à 65 bpm,je me sentais bien, pas de sueur froide et plus de maux de tête. J’ai ensuite conduit au parking des urgences et assis là avec la voiture en cours d’exécution et de penser qu’il pourrait revenir. Je me suis assis là pendant environ 40 minutes et je me sentais encore bien. J’ai décidé que je n’irais pas aux urgences, car ils penseraient que je suis fou vieux homme, puisque rien n’est mal et ce serait aussi une grosse dépense. Je suis ensuite rentré chez moi, se sentant toujours bien.
Quand je suis rentré à la maison, je suis allé dans le salon et je me suis assis pour contempler ce qui m’est arrivé et voir si je pouvais avoir une idée du site Web de la clinique Mayo. J’ai ramassé l’ordinateur portable et a couru le navigateur web qui a pris plus de 10 secondes pour venir sur ma page d’accueil. Je suis allé sur le site de Mayo et j’ai cherché tous les symptômes possibles d’une crise cardiaque. J’ai continué à lire les informations connexes sur les crises cardiaques. Se déplacer sur le site était très lent. J’avais été assis là pendant environ une demi-heure et commençait à se sentir étrange à nouveau, avec les mêmes choses qui se passe à l’intérieur de mon corps. J’ai décidé que je devrais peut-être aller aux urgences après tout. J’ai mis mon manteau, sortit par la porte, je suis sorti de la sortie du bâtiment et je me sentais mieux. Je suis allé à ma voiture et je suis resté à côté pendant quelques minutes en pensant à ce qui m’arrive. Je me sentais bien à nouveau. J’ai pensé un instant que peut-être quelque chose dans la maison est de faire cela se produire.
RépondreSupprimerJe savais qu’il ne pouvait pas être une fuite de gaz que tout dans le bâtiment est électrique. Je n’ai remarqué aucune odeur qui indiquerait une sorte de produit chimique toxique dans le bâtiment alors que j’étais là, mon voisin, qui partage le même mur du salon avec mon condo, marchait par moi sur le chemin de sa voiture. Nous nous sommes salués, et je lui ai demandé s’il avait remarqué quelque chose à l’intérieur qui le rendait malade. Il m’a dit qu’il n’avait eu aucun problème. J’ai décidé que je resterais hors de la maison pendant un certain temps et voir si les symptômes que je vivais reviendrait. Je suis allé dans un restaurant local, j’ai mangé quelque chose et je tue un peu de temps. J’étais parti environ 3 heures avant de rentrer à la maison. Je me sentais encore bien.
En rentrant à la maison, je suis allé au salon et ramassé mon ordinateur portable pour voir si je pouvais diagnostiquer pourquoi ma connexion Internet était si lent les deux derniers jours. J’ai commencé à exécuter 3 de mes utilitaires de surveillance de réseau ainsi que regarder les nouvelles à la télévision. Après environ 20 minutes, j’ai décidé de regarder mes journaux de routeur. J’ai découvert que j’étais attaqué à partir d’une seule IP (DOS pas DDOS). J’ai cherché l’enregistrement IP et j’ai découvert qu’il s’agissait d’une société nommée SARA Inc.. J’ai ensuite cherché le site web de l’entreprise. J’étais à la maison maintenant pour près d’une demi-heure et j’ai senti la sueur froide à partir. J’ai trouvé le site Web de SARA Inc.
Maintenant, je commençais à me sentir vraiment mal. J’ai lu la page d’accueil de la LEP qui indiquait les types de recherche qu’ils poursuivaient pour le Ministère de la D.A. et qu’ils étaient impliqués dans la DARPA. Après avoir lu brièvement les types de recherche auxquel ils ont participé, mon instinct m’a dit qu’ils effectuaient une sorte de test à l’aide de la RF sans fil [fréquences radio[. Je ne pensais pas assez clairement pour analyser toutes les implications de ce que ce test peut être pour. J’étais maintenant presque prêt à courir à nouveau par la porte quand j’ai éteint le courant de mon modem câble. En quelques minutes, je remarque mon rythme cardiaque en baisse et le mal de tête battant dissipation.
Je me suis connecté à mon routeur et j’ai bloqué la gamme complète d’adresses IP de SARA. En moins de 5 minutes, je me sentais bien à nouveau. J’ai alimenté sur mon modem câble et a décidé que je voudrais obtenir un nouveau routeur au cas où ils avaient installé une sorte de crochet qui leur permettrait de contourner le bloc IP à l’avenir. Cette attaque n’a jamais eu lieu à nouveau. Par ma nature analytique, j’ai dû trouver les moyens possibles qu’ils avaient accompli cela et quelles pourraient être les utilisations possibles. J’ai imprimé le journal du routeur et les données enregistrées à partir de mes utilitaires de surveillance réseau.
J’ai commencé à regarder par-dessus les offs d’impression pour voir si toutes les lignes étaient lisibles, quand quelque chose semblait sauter des pages du journal du routeur. J’ai remarqué que l’attaque a commencé 2 minutes avant mon ordinateur connecté au routeur. Les journaux ont également montré qu’après 35 minutes l’attaque s’est arrêtée pendant une période de 48 minutes, a recommencé à se poursuivre pendant encore 28 minutes,s’est arrêtée pendant 2h52min, puis a repris pendant une période de 25 minutes quand j’ai tué la puissance sur le modem câble. Ces temps de début et d’arrêt correspondent à ma présence et mon absence à proximité de mon routeur sans fil.
RépondreSupprimerComment ma présence a-t-elle été détectée lorsque l’attaque a commencé 2 minutes avant que j’allume mon ordinateur ?
La détection pourrait-elle faire de la discrimination entre les individus ou n’importe qui à proximité ? J’avais beaucoup plus de questions.
Brève analyse de l’incident et des conclusions
Évaluation initiale: (Subjectivement basée sur la connaissance de projets similaires.)
1. La LEP est une société de R&D qui a pour commission de mettre au point une arme secrète utilisant la technologie sans fil existante dans le but de détecter, d’identifieret de tuer une personne ciblée de telle manière qu’elle semble être une mort naturelle (c.-à-d. assassinat).
Le mécanisme de détection aurait donc la capacité de fournir une identification positive de la personne visée ou il serait inutile dans une frappe ciblée. Il doit être suffisamment compact pour être chargé sur le ROM dans le routeur cible et n’avoir qu’une interaction minimale avec un programme de contrôle externe. Ce mécanisme utiliserait les E/S radio sans fil du routeur de la même manière qu’une combinaison de radars et de technologies d’IRM. Le programme de contrôle externe utiliserait l’information du profil de la cible en fonction des dossiers médicaux actuels (exemple; Taille, poids, indice de masse corporelle, etc.) pour identifier l’individu. Ce mécanisme semblait être entièrement développé
2. La LEP avait mis au point un mécanisme de frappe viable qui a la capacité de détecter, de synchroniser et de modifier le rythme cardiaque unique d’une personne ciblée. Bien que ce mécanisme fonctionne, il est très primitif parce qu’il nécessite un programme de contrôle externe pour accéder à l’analogique I / O de la radio sans fil du routeur cible. Ce mécanisme n’était pas entièrement développé et nécessitait un flux de données constant qui ressemblait à une attaque DOS sur le journal du routeur. Bien qu’il ne s’agissait pas d’une attaque DOS, au routeur, il a accompli le même effet (lier la communication). S’il s’agissait d’un mécanisme entièrement développé, la plupart des fonctions seraient chargées sur le ROM du routeur, ce qui ne nécessiterait qu’uneinteraction minimale avec un programme de contrôle externe et donc pas perçu par le routeur comme une attaque DOS.
3. Selon toute vraisemblance, la LEP était en retard et souffrait de dépassements de coûts dans le développement de cette arme, ce qui a incité la DARPA à exiger une étape statistique pour justifier un financement supplémentaire. Ceci suggère un échantillon d’essai d’au moins 100 sujets. Quel que soit le taux d’échec établi par la DARPA, il faudrait le montrer et ne pas pouvoir le faire avec un seul sujet d’essai. (c’est-à-dire moi. Taux d’échec = 100%)
4. La DARPA a défini les critères pour les sujets d’essai. La NSA a ensuite accédé aux informations de divers systèmes gouvernementaux et privés pour fournir une liste de sujets de test viables. Cette mesure serait donnée à la LEP pour établir le profil d’une cible qui sera utilisé dans le test. Selon toute vraisemblance, les critères pour les sujets d’essai auraient été semblables aux critères suivants :
RépondreSupprimer-Faible visibilité;
-Différentes localités;
-62 à 67 ans;
-Excellente santé;
-Internet sans fil;
-Expendable;
-Pas de grande politique ins;
-Pas de grands comptes bancaires;
-Pas d’investissements importants;
-Pas actif politiquement;
-Pas actif sur les médias sociaux;
Ces critères limiteraient le risque d’enquête sur la mort au-delà d’une cause naturelle.
5. L’information sur le succès de la destruction de la cible serait facilement accessible par l’intermédiaire de plusieurs sources (c.-à-d. : Nécrologie, rapport du coroner).
Mémoire de recherche scientifique
Dans mes efforts pour vérifier, à mon avis, que mon évaluation initiale était assez précise, j’ai commencé à chercher des documents de recherche qui auraient pu contribuer au développement d’une telle arme. J’ai trouvé beaucoup de divers établissements universitaires et entreprises de technologie. En regardant de petits morceaux de nombreuses études, j’ai vu comment ils pourraient être assemblés pour atteindre de nombreux aspects techniques de mon évaluation initiale. Il y avait également la possibilité de développer beaucoup d’autres applications avec les bits et les morceaux d’information de ces études. Ce fut un long processus sur lequel j’ai travaillé depuis le moment de l’incident en mars 2012 jusqu’en novembre 2013.
Depuis le début de l’année 2014, plusieurs études sur les technologies directement liées ont frappé les revues scientifiques et technologiques utilisant le routeur WiFi pour identifier un individu, lire sur les lèvres, détecter les gens à travers les murs et surveiller les signes de vie d’une personne identifiée. Le but de ces études était bien sûr, de fournir des applications à des fins bienveillantes Oui, ces technologies pourraient être utilisées pour la sécurité à domicile, la surveillance des malades ou des personnes âgées, ou intégrées dans un ménage automatisé. Ils ont également de nombreuses applications potentielles d’armes et de surveillance en plus de tuer un individu ciblé.
Conclusion
L’utilisation des technologies sans fil comme un système d’armes secrètes est très réel. Si cette application peut surveiller, synchroniser et modifier un rythme cardiaque, avec modification, il pourrait être utilisé pour modifier les ondes cérébrales ou d’autres fonctions anatomiques.
Nous sommes maintenant en 2016 et je conclus que la DARPA disposait d’une arme entièrement fonctionnelle, ainsi que de certains dérivés, d’ici 2013. Rappelez-vous, DARPA est toujours en avance sur les indices publiés publiquement à la technologie connexe, qui dans ce cas était à la fin de 2013.
Anthony Sconosciuto
[pseudonyme]
Liens de référence envoyés par l’auteur:
Darpa
http://www.darpa.mil/
Sara, Inc
http://www.sara.com/
Détection et prévention des intrusions Liens :
https://www.paloaltonetworks.com/documentation/glossary/what-is-an-intrusion-prevention-system-ips
https://www.snort.org/
Liés
RépondreSupprimerRemote Neural Monitoring~A Living Nightmare Imposed On Innocent People (23 septembre 2016) Germany Spain Netherlands France ... etc.
http://educate-yourself.org/cn/Remote-Neural-Monitoring23sep16.shtml#top
The Silent Massacre, Partie 1~Complicité d’application de la loi dans la torture électronique et le contrôle de l’esprit en Amérique
http://educate-yourself.org/mc/kirklandsilventmasaccre1part14mar09.shtml
Electronic and Mind Control Harassment par Nicholas Kirkland (8 janvier 2008)
http://educate-yourself.org/mc/kirklandelectronicmindcontrolharassment07jan08.shtml
Electronic Mind Control in America, The Silent Plague (15 novembre 2005)
http://educate-yourself.org/lte/mcvictimizationinamerica05nov05.shtml
Symptômes de contrôle de l’esprit micro-ondes et preuves publiées (5 juin 2003)
http://educate-yourself.org/mc/listofmcsymptoms05jun03.shtml
http://educate-yourself.org/cn/The-Weaponization-of-WiFi-09Oct26.shtml#top
Voir les pages du site:
Supprimerhttps://rudy2.wordpress.com
https://rudy2.wordpress.com/a-tortures-en-france-par-dispositifs-a-energie-dirigee-et-psychotroniques-tentatives-de-meurtre/
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ARMES DE DOULEUR MAXIMALE/MAXIMUM PAIN WEAPONS
https://rudy2.wordpress.com/new-scientist/
et aussi:
https://educate-yourself.org/mc/