- ENTREE de SECOURS -



jeudi 1 octobre 2020

Manipulation de masse et torture psychologique avec Jean-Jacques Crèvecoeur

Studio ThéoVox
ven., 25 sept. 2020 23:14 UTC

Quelle est le lien entre la manipulation de masse, la torture psychologique et cette ''pseudo pandémie'' dans laquelle est plongé notre monde ? C'est ce que Jean-Jacques Crèvecoeur nous fera découvrir à travers cet entretien riche en échange et en contenu.


30 commentaires:

  1. Des forces s'activent qui renverront les Américains à un niveau de vie inconnu


    jeu., 01 oct. 2020 21:44 UTC


    Des forces s'activent qui finiront par submerger la plupart des Américains et renvoyer leur niveau de vie à des profondeurs inconnues. Les Américains qui n'ont connu que la prospérité d'après la Seconde Guerre mondiale, sont mal équipés et éduqués pour faire face à la dépression.
    fghjik

    Le Crash de 29 a touché toute la planète

    Le crédit facile et la gratification instantanée ont créé une nation de pleurnichards, égocentriques et soucieux de leurs droits, sans résistance morale ou mentale.

    Doug Casey pense que nous nous dirigeons vers ce qu'il appelle une super dépression, créée par la fin du super cycle de la dette. Plus le cycle de la dette est important, plus la dépression qui s'ensuit est grande. C'est ainsi que fonctionne la réalité et la plupart des gens ne sont pas préparés à ça.

    Lorsque cette dépression, qui a déjà commencé, prendra de l'ampleur, elle submergera la société, qui s'attend à toujours obtenir des choses comme la sécurité sociale, les pensions et les paiements des régimes de retraite auxquels elle a cotisé pendant de nombreuses années. Toutes ces choses vont disparaître, presque du jour au lendemain et laisser la société sidérée. Les réactions seront de hurler en cherchant qui blâmer, mais la seule personne à blâmer sera celle dans le miroir.

    De nombreuses personnes compétentes ont sonné l'alarme et ont fait de leur mieux pour avertir un public endormi, mais ces masses endormies ont ignoré ces avertissements et ont appuyé une fois de plus sur le bouton "répétition". Les masses ne comprennent pas l'économie, ne veulent pas comprendre l'économie et elles paieront cher cette ignorance dans les jours à venir.

    Lorsque le taux de chômage réel deviendra alarmant, les gens ne pourront survivre qu'avec les ressources qu'ils auront économisées hors du système bancaire et qui ne peuvent être appropriées par les politiciens et les banquiers. C'est un point clé ici. Les actifs dont vous disposez en dehors du système ne peuvent pas être volés en quelques secondes sur votre ordinateur.

    Ceux qui espèrent un événement miraculeux, qui ramènerait les États-Unis à l'époque de sa toute puissance économique et des emplois pour tous, ne le verront jamais arriver. Ces jours sont révolus. La théorie nous dit que notre économie ralentira et deviendra de plus en plus modeste à mesure que le centre économique du monde se déplace vers l'ouest, vers la prochaine région centrale qui est l'Asie. C'est ce que l'histoire nous apprend.

    Quand les gens se réveilleront un matin et qu'ils n'auront plus d'emploi, que leur retraite sera laminée et qu'ils devront encore prendre soin de leur famille, que feront-ils? Lorsque les services gouvernementaux se seront effondrés et qu'ils se rendront compte soudainement qu'ils vivent maintenant dans un pays du tiers monde, avec peu de services gouvernementaux, que feront-ils ? Lorsque les banques seront fermées et que seules quelques personnes encore connectées pourront encore disposer de leur argent ou d'un accès aux biens, que feront-elles ?

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  2. C'est la réalité à laquelle de nombreuses personnes seront confrontées à l'avenir et elles n'ont encore aucune idée de la gravité de la situation. Elles refusent de contempler la froide réalité dans laquelle elles vont vivre, et prendre des mesures pour en atténuer les effets. Le faire reviendrait à admettre que tout cela pourrait arriver et qu'elles en assumeraient personnellement la responsabilité. La responsabilité personnelle est une expression désuète dans la société de droit d'aujourd'hui. Pour voir certains des effets, il suffit de regarder l'effondrement de la société au Venezuela aujourd'hui, et observer ce qui nous attend.

    Lorsque cela se produira, il vous appartiendra d'être responsable de votre famille, de vous en occuper. Pour ce faire, vous devez planifier dès maintenant cette éventualité et accumuler les ressources dont vous aurez besoin, pour fournir de la nourriture, un abri, des vêtements, des médicaments et la sécurité lorsque le système ne parvient plus à y arriver. Vous devrez être Noé sur son arche et non les gens qui le regarderont s'éloigner.

    Avoir des ressources stockées est un must, mais cela peut ne pas vous aider si la situation dure des années. C'est pourquoi vous avez besoin d'un plan pour remplacer ces ressources dans la durée, et avoir un moyen de générer un revenu ou pratiquer le troc. Vos stocks sont pour le court terme, et l'or, l'argent et les équipements de production sont pour le long terme, afin de vous aider à traverser la crise avec le moins de douleur possible.

    Même avec une bonne planification, les jours à venir ne seront pas faciles, car le niveau de vie de la société tombera à des niveaux observés uniquement dans des pays du tiers-monde en faillite ou sur les vieilles photos. Les actifs réellement détenus par les gens aujourd'hui sont ridicules, par rapport à leur mode de vie. Ils seront en défaut de paiement sur leur prêt immobilier, leur prêt automobile et leurs dettes de carte de crédit, ce qui leur laissera très peu de biens réels et peu de moyens de déménager ce qu'ils leur reste, même s'ils ont un endroit où aller. En fin de compte, ces gens deviendront les nouveaux serfs des riches, qui prendront possession de tout ce qui a de la valeur. La féodalité régnera une fois de plus.

    Que ferez-vous lorsque tout ce pour quoi vous avez travaillé toute une vie vous sera soudainement enlevé ? Avez-vous un plan pour conserver ce que vous avez ? Avez-vous un plan pour gagner de l'argent lorsque vous ne trouvez plus d'emploi ? Avez-vous un moyen de prendre soin de votre famille jusqu'à ce que les choses se stabilisent ? Avez-vous une maison que vous ne perdrez pas si tout le système tombe en panne ? Que ferez-vous si l'électricité ou le carburant est trop cher à l'achat ou n'est plus disponible pour la population ? Ce sont les questions que vous devriez vous poser maintenant, et vous feriez mieux d'avoir une bonne réponse, parce que votre famille vous les posera lorsque la grande dépression s'installera.

    https://fr.sott.net/article/36131-Des-forcess-activent-qui-renverront-les-Americains-a-un-niveau-de-vie-inconnu

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  3. « Tenue républicaine » : la confusion entre le droit et la morale ?

    L’expression « tenue républicaine » telle que mobilisée par le ministre de l’Éducation nationale, remise dans son contexte, ne s’inscrit pas dans une perspective juridique.


    2 OCTOBRE 2020
    Par Lauren Bakir1.
    Un article de The Conversation


    Lundi dernier, le ministre de l’Éducation nationale a évoqué le port d’une tenue « correcte », avant de se référer à une façon « républicaine » de s’habiller pour aller à l’école. En une semaine, cette expression a été tournée en dérision sur les réseaux sociaux et a conduit à un débat, qui n’est pas exempt de tensions, sur le choix de ce terme.

    Au sens littéral, une tenue « républicaine » peut renvoyer à une tenue dont le port n’est pas interdit par les lois de la République, c’est-à-dire par le droit français en général. Deux exemples : il est interdit de se dissimuler le visage dans l’espace public, de même qu’il est interdit de s’exhiber.

    Les injonctions ou les interdictions vestimentaires se retrouvent également dans le cadre du travail ou dans les écoles, par le biais des règlements intérieurs. Bien sûr, toute personne doit respecter ces différentes règles.

    Néanmoins, l’expression « tenue républicaine » telle que mobilisée par le ministre de l’Éducation nationale, remise dans son contexte, ne s’inscrit pas dans une perspective juridique.

    En faisant référence à une façon « correcte » de s’habiller, à une « certaine sobriété en la matière », le ministre renvoie plutôt à ce qui est acceptable ou non à l’école, à une tenue qui ne va pas à l’encontre des codes sociaux, voire à l’encontre d’une certaine forme de morale.

    UNE CONFUSION ENTRE DROIT ET MORALE

    Les déclarations du ministre, ainsi que les nombreux débats et déclarations qui ont suivis, entretiennent une forme de superposition des règles de droit, que chacun doit évidemment respecter, avec ce qui est socialement ou moralement acceptable, ce qui n’est ni obligatoire ni précisément défini.

    En effet, ce qui relève du bon sens pour certains n’est pas du tout évident pour d’autres. Pour le cas d’espèce, le port d’un crop-top et d’un short n’est pas un sujet de discussion pour beaucoup de jeunes filles.

    De la même façon, le port d’une casquette et d’un sweat-shirt n’est pas socialement blâmable pour de nombreux jeunes. Les codes sociaux sont par définition différents d’une région à l’autre, d’un quartier à l’autre, d’une classe sociale à l’autre, d’une génération à l’autre.

    La seule obligation qui incombe à chaque citoyen est le respect des règles de droit, l’État de droit nous garantissant d’exprimer notre individualité tant que nos actes ne portent pas atteinte à autrui.

    Ces règles de droit sont claires, intelligibles, lisibles. Appeler les élèves ou tout autre citoyen à respecter une forme de morale républicaine ne contribue ni à la clarté ni à la cohérence pour les destinataires des règles.

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  4. « TENUE RÉPUBLICAINE » ? COMPRENDRE LE QUALIFICATIF « RÉPUBLICAIN »

    Cette confusion entre ce qui est prévu par le droit d’un côté, et ce qui est recommandé, conseillé, moralement ou socialement encouragé de l’autre, existe depuis plusieurs années. En effet, ce n’est pas la première fois que le qualificatif « républicain » est mobilisé dans les discours politiques pour désigner ce qui est acceptable ou non dans la vie en société.

    C’est essentiellement le cas concernant le port de signes religieux, et plus particulièrement le port du voile.

    N’est-ce pas dans cette démarche que s’inscrivent, par exemple, les députés qui ont quitté l’hémicycle le jeudi 17 septembre, en signe de protestation face au port du voile par la vice-présidente d’un syndicat étudiant, pourtant conviée pour une audition et respectant parfaitement le droit en vigueur ?

    LA RÉPUBLIQUE, BASTION DE LA MORALE ?

    Ces positions contribuent à faire de la République et de ses valeurs une forme de morale qui entre parfois en concurrence avec le cadre juridique lui-même.

    Il y a bien, et de plus en plus, une confusion entre ce que permet le droit – et la France est un État de droit –, et ce qui est recommandé, encouragé, réprimé moralement ou socialement – dont le contenu est par nature insaisissable.

    Du reste, outre le paradoxe de recourir au qualificatif « républicain » à la fois pour désigner celles qui se couvrent trop (le port du voile) et celles qui ne se couvrent pas assez (le port d’un crop-top et d’un short), il faut relever que ce vocabulaire concerne le plus souvent la libre-disposition du corps des femmes.

    Cette réprobation sociale, ou morale, est heureusement (souvent) délimitée aux discours. Néanmoins, la confusion qu’elle entraîne demeure blâmable dans la mesure où les vrais débats, autour par exemple de l’hypersexualisation des jeunes femmes ou du degré d’influence qu’exercent leurs proches sur elles, ne peuvent aboutir.



    Sur le web
    Post-doctorante, juriste, droit des religions, Université de Strasbourg.

    https://www.contrepoints.org/2020/10/02/381322-tenue-republicaine-la-confusion-entre-le-droit-et-la-morale

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    1. L'emploi du mot 'républicaine' souligne que la dictature doit être préservée, respectée et appliquée.

      (...) S'exprimant jeudi avec une poignée de journalistes, le président français écarte toute idée que la France s'inspire de la démocratie directe helvétique, «qui ne marche pas aussi bien qu'on le pense». (...)

      https://huemaurice5.blogspot.com/2019/02/coin-du-feu-pour-macron-la-suisse-nest.html

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  5. Plus d'un million de personnes du New Jersey deviendront «en situation d'insécurité alimentaire» d'ici la fin de l'année


    par Tyler Durden
    Jeu, 10/01/2020 - 18:21


    Le ralentissement économique induit par le virus a déclenché un autre type d'urgence qui déclenche l'insécurité alimentaire pour des millions d'Américains. Les banques alimentaires de tout le pays ont signalé une demande en flèche cette année, le chômage généralisé ayant écrasé les ménages à faible revenu.

    Selon un nouveau rapport publié par la Community FoodBank of New Jersey (CFBNJ), intitulé "COVID-19's Impact on Food Insecurity in New Jersey", les projections statistiques de Feeding America ont été utilisées pour anticiper que plus d'un million de New Jerseyens pourraient souffrir d'insécurité alimentaire cette année.

    Le CFBNJ a découvert que les résidents de l'État du centre de l'Atlantique qui ont un accès limité à la nourriture devraient augmenter de plus de 50% d'ici la fin de l'année en raison du ralentissement économique incessant. Dans tout l'État, les personnes qui ont souffert d'insécurité alimentaire pourraient totaliser 1,2 million, soit environ 13,5% de la population de l'État.

    La CFBNJ, la banque alimentaire la plus importante de l'État, met en garde contre la formation d'une crise de la faim dans l'État, qui a dépassé la moyenne nationale et les États voisins, notamment la Pennsylvanie, le Delaware et New York.

    On estime que le nombre de résidents en situation d'insécurité alimentaire dans le New Jersey augmentera de 56%, par rapport au niveau prépandémique de 774000 personnes en situation d'insécurité alimentaire, supérieur à la moyenne nationale de 46%, ainsi que la hausse de 45% pour les deux nouveaux York et Pennsylvanie.

    Le New Jersey devrait connaître une plus grande augmentation de l'insécurité alimentaire que la moyenne américaine ou les États voisins.

    - voir graphique sur site -

    Une augmentation disproportionnée de l'insécurité alimentaire chez les enfants pour l'Etat.

    - voir graphique sur site -

    Le comté d'Atlantic, qui abrite Atlantic City, une ville balnéaire sur la côte atlantique de l'État, est en tête de liste pour l'insécurité alimentaire.

    - voir graphique sur site -

    Vue avant et après de l'insécurité alimentaire comté par comté.

    - voir carte sur site -

    Le principal moteur de la crise de la faim dans l'État est l'effondrement des industries des loisirs et de l'hôtellerie, entraînant un chômage généralisé et une dévastation économique des ménages. Le CFBNJ a déclaré que la crise actuelle dépasse de loin ce qui a été vu au plus profond de la crise financière de 2008.

    "En moins d'un an, le COVID-19 efface près d'une décennie de progrès vers la sécurité alimentaire dans le New Jersey et dans tout le pays", a déclaré Carlos Rodriguez, président et chef de la direction de CFBNJ, dans un communiqué.

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  6. "Il ressort clairement des données présentées dans ce rapport qu'aucune partie de notre État ne sera épargnée par les effets de la pandémie sur la faim. Les secteurs public, privé et à but non lucratif doivent travailler ensemble pour répondre au besoin accru à long terme que nous va voir dans tout le New Jersey », a déclaré Rodriguez.

    Le CFBNJ a averti que les problèmes d'insécurité alimentaire pourraient persister pendant quelques années.

    Nous avons également montré que l'insécurité alimentaire est un problème à l'échelle nationale et ne fait qu'empirer. Et c'est peut-être pour cela que l'Armée du Salut a pour mission de sauver Noël.

    https://www.zerohedge.com/economics/more-one-million-new-jerseyans-become-food-insecure-year-end

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    1. Seules les campagnes équipées de serres pourront nourrir la population en hiver. N'oublions pas que les hivers aux États-Unis sont de plus en plus rigoureux.

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  7. Les jeunes, sacrifiés sur l’autel de la gestion politique

    Le traitement politique actuel de la Covid-19 condamne les jeunes d’aujourd’hui, non seulement à une jeunesse, mais aussi à une vie entière de précarité.


    2 OCTOBRE 2020
    Par Sébastien Leblet.


    Hier, en déplacement à Vilnius, Emmanuel Macron a déclaré que « jamais tant de sacrifices » n’avaient été demandés à la jeunesse en Europe que dans cette période de crise sanitaire. Sur le constat, il me semble qu’on ne peut que souscrire à ces propos.

    Regardons en effet rapidement quelles ont été les conséquences sur la jeunesse des différentes mesures privatives de liberté (confinement, port du masque obligatoire, fermeture des Universités, des bars, des discothèques, etc.) et de leur corollaire, la crise économique en cours et à venir.

    SITUATION DES JEUNES AVANT LA COVID-19

    En France, en 2019, un jeune actif sur cinq âgé de 20 à 24 ans était sans emploi, c’est à dire quatre fois plus qu’il y a quarante ans. Sept jeunes sur 10 avaient des difficultés à se loger, et pour cause, les loyers ont doublé par rapport aux revenus des locataires depuis 1970.

    Le fameux ascenseur social était en panne (certes, déjà, depuis les années 1980) et les jeunes étaient surtout susceptibles d’être déclassés par rapport à la génération de leurs parents.

    Depuis la fin des années 1970, la dette par habitant n’a cessé d’augmenter notablement dans le monde. En France, à titre d’exemple, elle a été multipliée par 20 entre 1980 et 2019 (35 472 euros en 2019 contre 1751 euros en 1980). C’est cette dette croissante qui explique pour partie l’augmentation des impôts.

    Pour conclure, déjà avant la Covid-19, les conditions de vie des jeunes étaient objectivement plus difficiles qu’il y a 40 ans.

    LE RISQUE COVID-19 ENTRE 20 ET 30 ANS

    Sans distinction d’âge, nous savons que la létalité moyenne de la Covid-19 est en fait proche de la létalité d’une grippe saisonnière soit 0,2 % environ.

    Qu’en est-il exactement de la létalité pour les jeunes âgés entre 20 et 30 ans ?

    En multipliant son taux de létalité à cet âge-là par le taux de contamination à cet âge-là, on peut estimer qu’un jeune de 20 à 30 ans court un risque sur 355 000 de mourir de la Covid-19, en incluant ceux ayant d’autres pathologies ; qui sont, en fait, la majorité des décédés d’une classe d’âge, quelle qu’elle soit.

    Compte tenu que 11 % de la population française a entre 20 et 30 ans, cela représente un nombre de morts de cette tranche d’âge d’environ 20 personnes (ordre de grandeur), quand dans le même temps ce sont chaque année plus de 700 jeunes qui décèdent par suicide ! C’est 35 fois plus !

    Pour conclure, au regard des autres causes de décès (suicides, accidents de la route, autres maladies, etc), statistiquement, contracter ce virus constitue un risque inexistant pour les jeunes. C’est bien seulement pour nos gouvernants, et la génération à laquelle ils appartiennent, que la Covid-19 peut être dangereuse ; entre 60 et 69 ans, c’est en effet un risque sur 3400 d’en mourir.

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  8. SITUATION DES JEUNES APRÈS LA COVID-19

    Le traitement politique de la Covid-19 laisse aux jeunes de 20 à 30 ans un monde dévasté : entrer sur le marché du travail en ce moment et chercher son premier emploi est devenu mission impossible, même sorti de l’École Polytechnique, l’école d’ingénieur la plus sélective de France !

    Faire ou terminer son cursus de formation par la voie de l’apprentissage, aussi, puisqu’il faut trouver un employeur au risque de devoir arrêter ses études. Si l’emploi se fait rare, les salaires proposés sont nécessairement peu élevés puisqu’il n’y a aucune pression à la hausse sur les salaires.

    Pendant ce temps, et jusqu’à ce jour, les prix de l’immobilier continuent d’augmenter, rendant de plus en plus difficile l’accès au logement pour les jeunes, les prix d’achat de l’immobilier ayant nécessairement des conséquences sur les loyers.

    En quelques mois, la dette de la France a explosé et c’est bien la génération actuelle des 20/30 ans qui devra la rembourser, sous la forme d’impôts et/ou d’inflation (impôt déguisé) et/ou de stagnation économique séculaire, l’endettement massif empêchant la croissance.

    Pour conclure, le traitement politique actuel de la Covid-19 condamne les jeunes d’aujourd’hui, non seulement à une jeunesse, mais aussi à une vie entière de précarité. En effet, l’augmentation du niveau de vie de chacun tout au long de la vie se fait par l’effet cumulatif des intérêts composés : celui des augmentations de salaire au cours de sa carrière, celui des investissements immobiliers faits pour se loger soi-même voire pour investir, celui, enfin, des pensions de retraite futures calculées en proportion des salaires obtenus dans sa vie active.

    POURQUOI CE DISCOURS D’EMMANEL MACRON ?

    Dans son discours de Vilnius, Emmanuel Macron indique :

    On ne peut pas demander à la jeunesse ce qu’on est en train de faire […] lui laisser un monde où on n’aura pas réglé les questions climatiques, où on n’aura pas stabilisé notre Europe et où on n’aura pas réglé la dette sur plan financier.

    Il fait ici référence au New Green Deal que promeut l’Union européenne dans le but de mettre fin au dérèglement climatique, de trouver une solution à l’endettement massif de ses États-membres, et enfin et surtout, de finaliser la construction européenne.

    Ainsi, si Emmanuel Macron décide de faire publiquement ce constat d’une jeunesse européenne « sacrifiée » sur l’autel de la Covid-19, ce n’est pas par compassion sincère, mais pour défendre son projet politique à venir et celui de l’Union européenne (c’est le même). Il cherche à nous préparer aux solutions qui seront proposées quand la terrible crise économique en cours et qui arrive, aura anéanti les pays les plus fragiles de l’Union européenne.

    Emmanuel Macron sait en effet que la situation actuelle de la jeunesse légitimerait pleinement qu’elle se révolte, tant elle est critique et qu’elle n’est en rien concernée par la Covid-19. Ce discours vise en réalité à canaliser cette énergie de la jeunesse européenne vers des idéaux écologiques, plutôt que vers une révolution.

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  9. UN AVENIR RADIEUX…

    Pour Emmanuel Macron et l’Union européenne, l’écologie est une idéologie à promouvoir dans le but de rendre acceptable l’appauvrissement généralisé de la France et de nombreux pays de l’Union européenne dans les années à venir.

    Loin de chercher véritablement à faire de l’Europe une terre de croissance et d’innovation, ils ont au contraire abdiqué. Leur unique objectif est désormais politique : conserver le contrôle de la situation malgré la baisse du niveau de vie devenue, selon eux, inéluctable.

    En réalité, nos politiques sont des défaitistes et ont déjà démissionné. Ils prennent acte que les jeunes seront à l’avenir sans emploi, car remplacés définitivement par l’Intelligence Artificielle et l’essor de robots plus performants fabriqués par d’autres, surtout moins coûteux et plus dociles.

    Mais heureusement, pour éviter la révolution, ils ont tout prévu : un revenu universel qui fait la quasi-unanimité parmi les partis politiques et la légalisation du cannabis, tendance de fond qui passe dans un premier temps par l’autorisation du cannabis médical.

    Je n’ai rien contre ces deux idées, mais n’est-ce pas un peu court ?

    Se voir promettre un revenu misérable à ne rien faire et de l’herbe en vente libre semblent des idées merveilleuses aux anciens hippies qui nous dirigent…

    En réalité, le traitement politique de la Covid 19 est un doigt d’honneur des politiciens baby boomers adressés à leurs petits-enfants.

    Quand ils étaient jeunes, ils descendaient dans la rue pour hurler qu’il était interdit d’interdire, souhaitant leur propre libération sexuelle et une vie consumériste, quitte à pousser très loin voire beaucoup trop le concept de liberté sexuelle. Une fois âgés et riches dans leur ensemble et au pouvoir, nos baby-boomers souhaitent des lois chaque jour plus liberticides les unes que les autres pour qu’une mauvaise grippe (la Covid 19 a un taux de létalité de 0,2 %) ne les empêche pas de profiter désormais d’une retraite le plus souvent généreuse, dont ils sont les premiers à expliquer aux jeunes – ces inconscients ! – qu’ils devront, eux, s’en passer car trop chère.

    Ils imposent des masques aux jeunes d’aujourd’hui, même à l’extérieur où ils ne servent à rien, les assignent à domicile de nombreuses semaines ou les menacent de le faire à nouveau s’ils se relâchent, ferment leurs lieux de rencontre et leur imposent des distances de sécurité, durant les études et la journée de travail. Bref, partout où, de tous temps, les jeunes se sont rencontrés.

    Au comble du cynisme et du sadisme, certains responsables gouvernementaux ou sanitaires vont jusqu’à leur suggérer de ne plus s’embrasser, de mettre un masque pour faire l’amour et de préférer finalement… la masturbation !

    Pour conclure, en 2020, en France et dans le monde entier, les jeunes se font voler leur jeunesse et tout leur avenir par des politiciens égoïstes. Or, la jeunesse ne revient pas et le confort des vieux se construit quand ils sont jeunes.

    Le projet de substitution qu’Emmanuel Macron et l’Union européenne veulent proposer aux jeunes est un projet mortifère de socialisme et de décroissance, un avenir fait de moins de libertés et de plus de pauvreté.

    Les jeunes, c’est maintenant qu’il faut vous réveiller, après il sera trop tard…

    https://www.contrepoints.org/2020/10/02/381297-les-jeunes-sacrifies-sur-lautel-de-la-gestion-politique

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    1. Comme l'a très bien expliqué J-J. Crevecoeur (sur le clip d'aujourd'hui), pourquoi n'y avait-il pas de manifestation, de rébellion dans les camps de prisonniers durant la 2è guerre mondiale ? Parce qu'ils changeaient les règles tous les jours !
      Les messages étaient différents d'un jour à l'autre et entretenaient la politique.

      Idem pour le corona où cette mini-gripette a été rabâchée tous les jours et toutes les heures en radios et télés ! Fallait entretenir la peur ! L'angoisse ! Le traumatisme indéfectible et perturbateur de l'entourage ! Imaginez qu'au lieu de dire qu'aujourd'hui il y a eut 10 morts du virus corona l'on vous taraude tous les jours avec la publication du nombre de morts sur la route ! 210 ! 191 ! 195 ! 108 ! 201 ! etc, vous serez donc effrayé(e) de prendre votre voiture, moto ou vélo tous les jours et n'oserez même plus sortir de chez vous !

      C'est ce que la dictature veut ! C'est ce que la dictature a fait et c'est ce que le Peuple a subi.

      Résultat épouvantable: TOUS les gens se sont séparé, écarté, tenu à distance et regard inquisiteur et malveillant comme si l'autre allait vous tuer ! Nous sommes entré dans l'ère de la folie !

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  10. Smith: La pussification de la jeunesse américaine est-elle scientifiquement conçue ?


    par Tyler Durden
    Ven, 10/02/2020 - 00:00
    Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,


    Il y a eu beaucoup de débats ces derniers temps sur la génération d'Américains qui est la plus à blâmer pour les échecs actuels des États-Unis en tant que société.

    Les baby-boomers reprochent aux milléniaux d'être faibles, paresseux et en droit;

    Les milléniaux accusent les baby-boomers d'avoir ruiné le système avant leur naissance tout en profitant des fruits d'une économie plus prospère.

    La vraie réponse est que c’est en partie la faute des DEUX générations, mais pas pour les raisons souvent invoquées.

    Le conflit boomer contre flocon de neige est un récit contrôlé qui évite délibérément les plus grands problèmes à portée de main. Oui, les nouvelles générations d'Américains ont été complètement pussées, mais je crois que cela fait partie d'un programme plus vaste, et les parents du baby-boom ont involontairement et stupidement joué un rôle de soutien.

    Dans la guerre de 4e génération, le concept est de détruire une nation ou une civilisation sans recourir à la confrontation militaire directe, du moins pas tout de suite. Au lieu de cela, le but est de déstabiliser la société cible de l'intérieur et de laisser les citoyens s'autodétruire. Ensuite, une fois que la population est dans un chaos suffisant, vous entrez avec vos forces militaires et prenez le relais, rencontrant une résistance minimale en cours de route.

    La stratégie peut également être utilisée pour saper et contrôler une population par son propre gouvernement ou par les élites au sein de ce gouvernement comme un moyen d’arrêter une rébellion potentielle contre la structure du pouvoir de l’establishment. En d'autres termes, utilisez le chaos contrôlé pour créer la panique et la faiblesse, puis attrapez plus de pouvoir pendant que les citoyens sont distraits et désorganisés.

    Afin de créer le chaos et la panique au sein d'une population, cette population doit être totalement non préparée à faire face aux événements de crise. Ils doivent être mentalement doux et manquer de détermination, sinon ils pourraient devenir autonomes et provocants plutôt que craintifs et faciles à contrôler.

    J'étudiais récemment les méthodes de conditionnement psychologique utilisées pour préparer les gens aux scénarios de combat et de crise. L'expression «inoculation du stress» revient souvent. Dans certaines branches et unités de l'armée américaine, il y a un accent accru sur l'inoculation du stress (au-delà de la formation de base) comme un moyen de renforcer les soldats et leur courage afin que lorsqu'ils se retrouvent finalement dans une situation de combat où ils pourraient mourir, ils ne ne paniquez pas et laissez l'adrénaline prendre le dessus sur leurs processus moteurs et de pensée.

    Des groupes de réflexion du ministère de la Défense comme la DARPA ont publié de nombreux livres blancs sur le sujet, et l'inoculation du stress est également utilisée dans une certaine mesure pour traiter les personnes atteintes de trouble de stress post-traumatique.

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  11. La capacité à effectuer calmement sous le stress est la clé pour combattre l'état de préparation. Les guerriers les plus efficaces et les personnes les plus prospères de la vie ont généralement la capacité de gérer le stress et de performer à un niveau élevé tandis que d'autres pataugent dans la terreur.

    Historiquement, de nombreuses civilisations ont été très prudentes dans la manière dont elles choisissent et entraînent les guerriers pour la défense. Les tribus amérindiennes, par exemple, examineraient soigneusement leurs guerriers et s'assureraient qu'ils choisissaient des hommes qui ne s'enfuiraient PAS au premier signe de trouble; ils ont plutôt choisi des hommes dont ils savaient qu'ils seraient directement confrontés aux problèmes. Une petite force d'hommes préparés psychologiquement était considérée comme bien supérieure à une vaste armée de mouillants potentiels et d'hystériques.

    Examiner mentalement les gens pour leurs compétences en gestion du stress est une pratique humaine courante depuis des milliers d'années.

    Certaines personnes naissent simplement avec une plus grande capacité, mais beaucoup d'autres peuvent être formées à l'inoculation du stress en utilisant des méthodes de base. La clé est que les gens commencent à apprendre la gestion du stress lorsqu'ils sont enfants. Cela les oblige à vivre des expériences qui causent un stress aigu à court terme plutôt qu'un stress chronique à long terme.

    Le stress aigu à court terme renforce le temps de réponse mentale et augmente la confiance et la stabilité psychologique en acclimatant une personne à la surprise et au choc. Le stress chronique à long terme fait le contraire, ne permettant jamais à la personne de s'acclimater et la faisant revenir à un état constant de peur.

    Les événements de stress aigu comprennent l'exercice physique, le jeu compétitif, le fait d'être placé dans un environnement inconnu et d'être forcé de s'adapter, de prendre régulièrement de nouvelles compétences utiles, de s'en tenir à un ensemble de compétences jusqu'à ce qu'il soit maîtrisé, et même des interactions avec de plus grands groupes de personnes inconnues comme prise de parole en public.

    On pourrait également appliquer l'ancien concept philosophique du Zen pour mettre l'accent sur l'inoculation, en particulier la pratique de maîtriser une compétence si complètement qu'une personne devient «une» avec ce talent, et donc «une» avec elle-même et sa place dans le monde. Si vous avez déjà rencontré une personne qui maîtrise vraiment une compétence utile, vous savez qu'elle a tendance à être une personne extrêmement calme et confiante qui ne panique pas facilement quelle que soit la situation.

    Lors de mes recherches sur les méthodes d'inoculation du stress, cela m'a frappé - Et si une société faisait exactement le contraire? Et si une génération entière d'enfants était délibérément à l'abri de toutes les formes de stress aigu à court terme ? Et s'ils étaient encouragés à ne jamais travailler dur sur quoi que ce soit ? Et s'ils n'étaient pas incités à atteindre des objectifs ? Et si la compétition était découragée et si les enfants apprenaient à la mépriser comme «barbare» et «débilitante» ? Et si l'accomplissement était rejeté et que l'idée de «gagner» était éliminée au nom de «l'équité et de l'égalité» ?

    Et si une génération d'enfants avait la peau si mince et non formés à la gestion du stress qu'ils paniquaient et couraient vers la figure d'autorité la plus proche pour obtenir de l'aide au premier signe de problème ? Et s'ils étaient tellement gâtés qu'ils n'avaient jamais appris à prendre soin d'eux-mêmes ? Et si toutes leurs expériences de vie se présentaient sous la forme d'un monde fantastique numérique isolé et sûr où il n'y a pas de risque réel ?

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  12. Imaginez maintenant que vous prenez cette génération hautement choyée et protégée et que vous les exposez soudainement à un événement de crise massive; comme un krach économique, ou même la menace d'une pandémie mondiale ? Comment ce groupe d'enfants, qui passe maintenant à l'âge adulte sans aucune compétence pratique ni résistance émotionnelle, réagirait-il à la situation ?

    Toutes leurs actions seraient réactionnaires et enracinées dans la panique et la terreur. Parce qu'ils ne se sont jamais entraînés pour faire face aux événements de stress aigus, ils sont maintenant une bombe à retardement de la peur. Ils peuvent répondre en courant et en se cachant, ou ils peuvent répondre en s'en prenant violemment, mais dans les deux cas, ils n'auront aucune maîtrise de soi et seront régis par l'émotion et l'adrénaline plutôt que par la logique et la raison.

    Ne serait-ce pas le moyen le plus efficace de détruire ou de dominer une nation en quelques décennies ?

    En Amérique, aujourd'hui, il y a la tendance la plus évidente des guerriers de la justice sociale parmi les jeunes générations et leur incapacité totale à fonctionner dans une société adulte normale sans protection constante.

    À quoi servent des concepts comme les «espaces sûrs», les avertissements déclencheurs, la diversité forcée, l'intersectionnalité, la théorie critique de la race, les micro-agressions, les préjugés implicites, etc.

    La seule raison de l’existence de soi-disant «groupes de victimes» est que les personnes qui n’ont aucune compétence en matière de gestion du stress continuent d’éviter tout événement de stress aigu pour le reste de leur vie en rendant socialement ou juridiquement inacceptable de les critiquer, les discriminer en tant qu'individus ou leur imposer des exigences pratiques. Ils deviennent une classe protégée avec des privilèges spéciaux.

    Ils nient la nécessité de concourir sur la base du mérite dans le monde du travail parce qu'ils prétendent que la concurrence est «raciste» et crée des inégalités. Tout ce qui leur cause du stress est immédiatement considéré comme une «agression» contre eux personnellement, et tous les facteurs de stress sont traités comme étant également offensants; sens, une insulte ou une critique devient la même chose qu'une attaque physique, et ils réagissent avec le même niveau de panique émotionnelle aux deux.

    Je crois que c'est un facteur majeur dans la précipitation de certains jeunes à rejoindre le «mouvement trans», car il représente un moyen facile d'acquérir le statut de groupe de victimes et ainsi de se protéger du stress.

    Ce mouvement d'enfance perpétuelle s'est-il développé à partir de cet air ? La preuve dit non. Le mouvement pour la justice sociale avec tous ses fondements marxistes a été financé et géré directement par des organisations élitistes comme la Fondation Rockefeller et la Fondation Ford, il devient clair que la pussification de la jeunesse américaine n'est pas une progression naturelle mais un programme d'ingénierie.

    Ceci est ouvertement admis dans le livre d’Alison R. Bernstein «Funding The Future: Philanthropy’s Influence On Americas Higher Education». Bernstein est le vice-président de l'éducation à la Fondation Ford et l'ancien doyen associé de la faculté de Princeton.

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  13. Ce n’est pas seulement les fous de SJW qui sont le problème. Un grand nombre de jeunes se retrouvent complètement mal préparés à la vie d'adulte et accusent indirectement les baby-boomers de leurs échecs. Contrairement à la croyance populaire, les baby-boomers n'ont rien à voir avec le déclin de l'économie américaine; si vous voulez trouver les coupables de votre souffrance financière, je suggère d’en apprendre davantage sur l’histoire de la Réserve fédérale et sur la manière dont cette institution a systématiquement détruit le pouvoir d’achat de notre monnaie et notre économie au fil du temps.

    Là où les baby-boomers sont coupables, c'est dans leur terrible modèle parental. Ils ont élevé une génération de faibles et ont rarement remis en question l'establishment et la propagande médiatique qui leur disaient que la parentalité par hélicoptère et le «modèle d'estime de soi» étaient la meilleure façon d'élever leurs enfants. Bien qu'ils aient peut-être été faits par amour, les baby-boomers ont tellement gâté leurs propres enfants et les ont protégés de tout stress aigu qu'ils n'ont plus la capacité de réussir dans un monde où des instincts de survie pourraient être nécessaires.

    Considérez la plainte la plus courante parmi les adultes de la prochaine génération - Que les baby-boomers apprécient tous la propriété d'une maison alors qu'ils ne pourront jamais se permettre ce privilège parce que les baby-boomers ont ruiné l'économie. C'est, selon eux, la raison pour laquelle les baby-boomers ne devraient pas être autorisés à critiquer l'inactivité et la paresse des milléniaux. Pourtant, la majorité des baby-boomers ont dû quitter la maison et devenir adultes à 18 ans (certains d'entre eux même plus tôt), tandis qu'un grand nombre de milléniaux vivent avec maman et papa jusqu'à la trentaine, se nourrissant d'eux comme des parasites plutôt que de travailler et économie. La génération Z semble prête à faire de même. Les baby-boomers ont commencé leur vie d'adulte plus tôt et ont ainsi accumulé des actifs et des richesses plus rapidement.

    Bien sûr, les baby-boomers partagent le blâme. Les parents d'hélicoptères ont contribué à ruiner la culture américaine, même si de nombreuses études psychologiques indiquent que mettre les enfants à l'abri du stress à court terme détruit leur capacité à faire face à l'âge adulte.

    Au fond, cependant, les baby-boomers ont été encouragés à tout moment à continuer ce style de parentalité par les médias et les fondations élitistes. La Fondation Ford, en particulier, a été l'un des principaux moteurs de la méthodologie moderne d'éducation du public et de la parentalité pour éviter le stress. La fondation a joué un rôle clé dans le développement de programmes tels que Head Start et a consacré des centaines de millions de dollars à la formation des enseignants des écoles publiques aux méthodologies de justice sociale.

    Ford a également été le principal moteur de la création du National Education Television Center, devenu plus tard PBS, et a financé des émissions pour enfants aussi importantes que Sesame Street et Mister Rogers. Cela ne veut pas dire que les personnes qui ont produit ces émissions avaient un agenda néfaste en tête, mais seulement que les deux émissions encourageaient souvent l'évitement du stress plutôt que la confrontation et la gestion du stress. À ce jour, la formation à la vaccination contre le stress est de plus en plus rare parmi les jeunes américains, et elle s’efface rapidement dans les écoles publiques.

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  14. Si l'histoire est un indicateur, les générations les plus faibles face à une crise écrasante exigeront une protection, comme elles l'ont toujours fait, que ce soit une protection physique ou une protection financière. Et inévitablement, ils se tourneront vers le collectivisme gouvernemental ou les élites de l'argent pour un sentiment de sécurité en échange de leurs libertés. Ils ne valorisent pas leurs libertés parce qu’ils n’ont jamais apprécié le sentiment d’indépendance de toute façon. Le commerce du confort devient facile pour eux.

    Les jeunes Américains ne souffrent pas tous de cette affliction. Beaucoup ont une forte volonté, mais ceux qui le sont généralement admettent librement qu'ils se sentent isolés parmi la majorité de leurs pairs. J’ai du mal à croire que c’est une simple coïncidence si la génération la plus faible d’Américains est peut-être confrontée à la pire série de crises de notre histoire. Le tout semble planifié ...

    L'inoculation contre le stress est un peu comme le renforcement de votre propre système immunitaire - Parfois, vous devez surmonter la maladie lorsque vous êtes jeune afin d'améliorer votre immunité contre la maladie plus tard dans la vie. De même, vous devez vivre des événements de stress lorsque vous êtes jeune afin de mieux gérer les événements de crise plus tard dans la vie. Sinon, vous grandissez aussi malléable que la gelée et tout aussi facile à dévorer.

    La bonne nouvelle est que, même si les adultes, l'inoculation du stress peut être apprise. Alors que notre monde devient de plus en plus instable et incertain, être capable de gérer nos propres peurs devient primordial pour notre liberté et nos moyens de subsistance continus.

    https://www.zerohedge.com/political/smith-pussification-americas-youth-scientifically-engineered

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  15. PRÊT BANCAIRE : DES MEULES DE PARMESAN SERVENT COMME GARANTIE EN ITALIE


    par JEAN-BAPTISTE GIRAUD
    01/10/2020


    5 tonnes de fromage de parmesan valent plus de 90 millions d'euros.

    Il s’est passé quelque chose d’incroyable cette semaine en Italie.

    Une garantie originale

    Une banque, en l'occurrence la Deutsche Bank, a accepté de prêter 30 millions d’euros à un entrepreneur en prenant pour garantie... des meules de parmesan.

    Pas quelques dizaines, mais pas moins de 125.000 meules, d’un poids de 40 kilos chacune. Le banquier n’est pas fou : ces 5 tonnes de fromage valent en réalité plus de 90 millions d’euros au prix du kilo. Et le parmesan se conserve longtemps, pourvu qu’il reste bien à l’abri et au frais dans une cave. Si je vous raconte cette histoire, c’est que peu de gens le savent, mais toutes les banques peuvent accorder un prêt en échange d’une garantie.

    Quelles autres garanties donner ?

    Bien évidemment, la garantie idéale c’est de l’argent, ou du quasi argent : par exemple, un contrat d’assurance-vie, ou encore, par exemple, des actions. On peut aussi donner en garantie un bien immobilier : dans ce cas précis, cela s’appelle une hypothèque, et il faut passer chez le notaire.

    Mais il est aussi possible de donner en garantie un bien meuble : par exemple, une voiture de collection ou du matériel agricole. Emprunter en donnant un bien en gage peut permettre de passer un cap difficile, de rebondir. Et au pire, si l’on ne peut pas rembourser, on peut vendre le bien, sachant qu’une banque ne prêtera jamais plus de 70% de sa valeur réelle, et plutôt, par prudence, 50%.

    http://www.economiematin.fr/news-pret-bancaire-meules-de-parmesan-garantie-italie

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  16. Cartographie du défi du campement des sans-abri à Los Angeles: près de 100 000 cas signalés depuis 2019


    par Tyler Durden
    Jeu, 10/01/2020 - 20:40
    Soumis par Adam Andrzejewski,


    Los Angeles représente le faste et le glamour du style de vie californien. C'est une Mecque touristique qui comptait 50 millions de visiteurs en 2019 - un record absolu.

    La grande région de Los Angeles peut également revendiquer Muscle Beach à Venise; les studios de cinéma hollywoodiens; les riches et célèbres de Beverly Hills; et une économie auparavant en plein essor qui traînait seulement à New York et à Tokyo.

    Mais la ville elle-même est en difficulté et les touristes devraient être avisés d'éviter complètement certains quartiers et rues.

    Aujourd'hui, Los Angeles accueille une population de sans-abri estimée à près de 40 000 personnes (les États entiers du Texas et de la Floride en comptent respectivement entre 25 000 et 28 000). Les quartiers aisés de la ville sont devenus dangereux avec la consommation de drogues en plein air, les excréments humains, les maladies médiévales et, malheureusement, les campements de sans-abri.

    Depuis 2019, au moins 94 430 plaintes concernant des campements de sans-abri dans des espaces publics ont été signalées, soit une moyenne de 4 500 par mois.

    Élu pour la première fois en 2013, le maire Eric Garcetti a promis de faire le ménage. Cependant, les conditions sont les mêmes ou pires. L'année dernière, le nombre de plaintes concernant les campements est passé à 55 569. Le même rythme s'est poursuivi en 2020 avec 35241 cas déjà signalés jusqu'en août.

    Nos auditeurs d'OpenTheBooks.com ont tracé tous les rapports de campements de sans-abri depuis 2019 (20 mois) en utilisant les coordonnées de latitude et de longitude de tous les cas ouverts par la ville. Les données disponibles sont le résultat des rapports des résidents aux 311 répartiteurs de la ville.

    À l'aide de notre carte interactive, cliquez simplement sur une épingle (code postal) et faites défiler vers le bas pour consulter les résultats affichés dans le graphique situé sous la carte.

    - voir carte sur site -

    Le défi du campement des sans-abri de Los Angeles 2019-2020: une carte interactive avec plus de 94000 rapports

    Nous avons contacté le maire pour obtenir des commentaires et son porte-parole, Alex Comisar, a répondu:

    «Le sans-abrisme est la crise humanitaire de notre temps et y faire face a toujours été l’une des principales priorités du maire Garcetti. Alors que nous nous efforçons de garder les rues et les trottoirs propres et sécuritaires pour tous, nous devons continuer de nous concentrer sur les efforts pour construire des logements et amener nos voisins sans-abri à l'intérieur pour de bon.

    Bien que 106 quartiers de la ville aient été touchés, un campement sur trois a été signalé dans seulement dix quartiers. Voici les cinq premiers: 1. Downtown Los Angeles (5 264 cas); 2. Venise (4 817 cas); 3. Woodland Hills-Warner Center (4 339 cas); 4. Wilshire Center-Koreatown (3 917 cas); et 5. Van Nuys (3 426 cas).

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  17. Dans toute la ville, 127 codes postaux ont signalé des plaintes de campement. Les cinq principaux emplacements avaient la concentration la plus élevée - entre 2 200 et 4 500 campements chacun. Ces ZIP étaient de 90 291 (4 497 cas); 90 004 (2 980 cas); 91 364 (2 549 cas); 90 028 (2 352 cas); et 90 020 (2 248 cas).

    Quartier n ° 1: Downtown Los Angeles (5264 cas)

    Depuis 2019, plus de 5 200 cas de campements de sans-abri ont été signalés au cœur de Los Angeles. Le centre-ville comprend des musées d'art, des restaurants branchés et un mélange d'immeubles de grande hauteur modernes et de monuments traditionnels.

    Il s'est également classé premier dans les campements de sans-abri depuis 2019.

    Les commissariats de police touchés comprennent Central (3 138 cas); Newton (2 022 cas); et Rempart (104 cas). Évitez toute la longueur de Hill Street, qui a reçu 446 plaintes de campement depuis 2019.

    # 2 Quartier: Venise (4817 cas)

    Des campements ont été signalés 4 817 fois dans le quartier de Venise. Une communauté balnéaire animée, Venise est connue pour son esprit libre avec la promenade, le skate park, le muscle beach, les boutiques funky et les artistes de rue.

    Aujourd'hui, les sans-abri affectent la qualité de vie.

    Le seul poste de police touché était Pacific. Le membre du conseil municipal du district est Mike Bonin. Évitez tout le tronçon du boulevard de Venise avec 650 cas depuis 2019.

    Tracé des rapports de cas de campements de sans-abri dans le ZIP 91364 depuis 2019.

    # 3 Quartier: Woodland Hills - Warner Center (4339 cas)

    Depuis 2019, 4339 cas de campement de sans-abri ont été signalés. Cela représente une moyenne de 217 rapports par mois au cours des 20 derniers mois dans ce domaine.

    Ce quartier est une communauté et un quartier d'affaires planifiés avec un mélange de petites entreprises, de gratte-ciel et de développement résidentiel dans la vallée de San Fernando.

    Les commissariats de police touchés comprennent Topanga (4 295 cas) et West Valley (44 cas). Évitez Ventura Boulevard et Freeway avec 1 242 caisses.

    # 4 Quartier: Wilshire Center-Koreatown (3917 cas)

    Il y a eu 3 917 plaintes de campements pour sans-abri dans ce quartier. Connu pour ses repas décontractés, son atmosphère détendue et amusante et ses nuits tardives, il y a des bars, des grillades, un karaoké, des speakeasies et des clubs.

    Les commissariats de police concernés comprennent Olympic (3 765 cas) et Rampart (162 cas). Les membres élus du conseil dans ce domaine comprennent Herb Wesson (3 247 cas), Mitch O’Farrell (626 cas) et David Rye (44 cas). Évitez les avenues Oxford et Serrano, qui avaient le plus d'activité (environ 150 caisses chacune).

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  18. Ces dernières années, le conseil municipal a affecté des centaines de millions de dollars pour atténuer la crise des sans-abri. Le budget 2020, par exemple, a alloué 430 millions de dollars aux services aux sans-abri.

    Les résidents de Los Angeles ont également cherché à atténuer le problème. En 2016, les électeurs ont approuvé la proposition du maire HHH - une hausse d'impôt pour couvrir 1,2 milliard de dollars d'obligations pour construire 10 000 logements pour les sans-abri.

    Cependant, il a fallu trois ans pour installer la première unité, et une vérification récente montre que chaque unité a coûté 700 000 $ à construire.

    Aujourd'hui, les données officielles de la ville comptent 6 780 plaintes de campements ouvertes et non résolues. L’administration du maire admet avoir utilisé une touche plus légère pendant la pandémie et avoir retenu les balayages et les nettoyages.

    Ainsi, Los Angeles est toujours confrontée à une catastrophe sanitaire, à un avenir incertain et à des quartiers de plus en plus dangereux pour les résidents et les touristes.

    https://www.zerohedge.com/markets/mapping-los-angeles-homeless-encampment-challenge-nearly-100000-cases-reported-2019

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  19. L'exode urbain et comment la grandeur fait faillite


    par Tyler Durden
    Jeu, 10/01/2020 - 22:40
    Rédigé par Charles Hugh Smith via le blog OfTwoMinds,


    Dans le meilleur des cas, ceux qui aiment leur «grande ville» accepteront la terrible réalité que même la grandeur peut faire faillite.

    Deux essais récents épinglent chaque extrémité du spectre de «l'exode urbain».

    NYC sensationnaliste de James Altucher est mort pour toujours, voici pourquoi se concentre sur les améliorations technologiques de la bande passante qui permettent aux types d'économie numérique de travailler de n'importe où, et sur la menace déstabilisatrice de la montée de la criminalité. Dans son récit, les deux conduiront à un exode urbain accéléré sur le long terme.

    La réfutation pointue de Jerry Seinfeld, So You Think New York Is 'Dead', se concentre sur la grandeur inhérente de New York et d'autres métropoles mondiales en fonction de leur concentration unique de richesse, d'arts, de créativité, de divertissement, d'affaires, de diversité, de culture, de quartiers emblématiques, etc. .

    La question centrale qu'aucun des auteurs n'aborde est la viabilité financière des centres urbains à coût élevé et à taxation élevée.

    Il est révélateur que la résidence de Seinfeld à Manhattan a commencé à l'été 1976, peu de temps après que le gouvernement fédéral ait accordé des prêts pour empêcher la ville de faire défaut sur ses dettes et de déclarer faillite.

    En d'autres termes, Seinfeld est arrivé au tout début de la reconstruction fiscale de New York, bien que son déclin social se poursuive encore quelques années (black-out et pillages de 1977, etc.). Le conservateur fiscal Ed Koch a été élu maire en 1977 et en 1978, la ville avait remboursé sa dette à court terme.

    Ce retour à la solvabilité a jeté les bases d'un éventuel renouveau qui a attiré des capitaux, des talents et des centaines de milliers de nouveaux résidents, remplaçant les plus d'un million de résidents qui s'étaient installés dans les banlieues dans les tumultueuses années 60 et 70.

    Cet exode urbain avait conduit à la décomposition urbaine qui avait généré un retour d'auto-renforcement: plus le déclin de l'habitabilité était important, plus il y avait de personnes qui déménageaient, ce qui réduisait le commerce et les taxes, exacerbait encore la décomposition urbaine, etc.

    Comme je l'ai expliqué dans Comment les extrêmes deviennent plus extrêmes, ces boucles de rétroaction sont un moyen pour les extrêmes de devenir plus extrêmes jusqu'à ce qu'un point de basculement / changement de phase soit atteint et que l'habitabilité et la solvabilité s'effondrent.

    L'autre dynamique dont je parle est la distribution de Pareto, la règle des 80/20 qui peut être distillée à 64/4 (80 % de 80 % est 64 %, 20 % de 20 % est 4 %). Une fois que les 4 % vitaux agissent, ils exercent une influence démesurée sur les 64 %, bien hors de proportion avec leur nombre.

    Ainsi, la criminalité croissante de la classe criminelle de 4% peut changer radicalement la perception de la sûreté et de la sécurité des 64 %.

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  20. Dire aux gens qui ne se sentent plus en sécurité dans la ville que la criminalité n'a augmenté que de 10 % ne changera pas d'avis.

    Si 20 % des commerces d'un quartier ferment définitivement, le quartier peut conserver une concentration de commerce suffisante pour attirer les clients.

    Mais une fois que le nombre d'entreprises a chuté en dessous d'un seuil critique, la survie des entreprises restantes devient douteuse car la base de clients tombe en dessous du niveau nécessaire pour soutenir les entreprises restantes.

    Comme je l'ai souligné à maintes reprises, les entreprises survivantes sont accablées par des coûts fixes élevés, dont aucun n'a diminué alors même que le commerce s'est effondré.

    Encore une fois, vous ne pouvez pas persuader les gens qui ne pensent plus que le shopping est sûr et amusant de sortir et de dépenser, dépenser, dépenser comme ils le faisaient il y a un an.

    Ni Altucher ni Seinfeld ne mentionnent les macro-problèmes de la démographie et de l'économie en général.

    Malgré la flambée de l'inflation et un marché boursier de montagnes russes, les emplois étaient abondants dans les années 1970, en partie parce que les baby-boomers entraient sur le marché des biens et services et en partie en raison des faibles coûts pour les employeurs.

    Jusqu'au milieu des années 1980, il ne me coûtait que 50 $ / mois (une journée de salaire pour un travailleur à salaire modéré) pour fournir une bonne assurance-maladie à un jeune travailleur célibataire. Essayez de souscrire aujourd'hui à une bonne assurance santé pendant un mois pour un salaire modéré d'une journée.

    Non seulement les loyers étaient beaucoup moins chers (mesurés par le nombre d'heures de travail nécessaires pour payer le loyer), mais il y avait des «squats» où le loyer était nul et une variété d'options de logement bon marché dans les «bidonvilles». Ces options ont pour la plupart disparu de l'inventaire des logements, il faut donc maintenant d'énormes sacrifices pour vivre dans une «grande ville».

    Comparez ces données démographiques positives et cette structure de coûts avec le présent. Non seulement les emplois ne sont plus abondants, mais beaucoup de la génération Y qui ont afflué vers une «grande ville» pour les emplois et les commodités ne peuvent plus se permettre d'y vivre.

    Beaucoup ont trouvé des emplois dans les secteurs de la restauration et de la vente au détail qui ont été dévastés, et ils n'ont survécu financièrement qu'en partageant des appartements avec plusieurs colocataires.

    Les coûts tels que l'assurance maladie et le logement sont «collants»: les assureurs, les propriétaires, etc. sont réticents à baisser les prix de peur que les réductions de coûts deviennent permanentes, nuisant à leur rentabilité.

    Ces coûts élevés mettent également en danger toutes les institutions culturelles et la vie commerciale qui ont attiré les gens vers les «grandes villes». Je doute que chaque symphonie, compagnie d'opéra, musée, salle de concert, etc. survivra au ralentissement, en raison de leurs coûts fixes de fonctionnement incroyablement élevés.

    Comme je l'ai déjà noté, les clients qui sont financièrement en mesure de soutenir ces institutions coûteuses sont plus âgés et plus riches, et ont le plus à perdre s'ils sentent que leur sécurité de base n'est plus assurée. Ils sont les premiers à rejoindre l'exode vers des maisons plus sûres et moins risquées ailleurs. Oui, toutes les commodités leur manqueront, mais pas assez pour les faire rester.

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  21. J'ai également souligné la nécessité absolue pour toute entité d'être financièrement viable. Si l'entité n'est pas viable en termes de revenus couvrant toutes les dépenses, elle se dissout quelle que soit sa grandeur.

    Seinfeld est sur des bases solides en affirmant que les grandes villes ne disparaîtront jamais, car leurs avantages sont tout simplement trop convaincants. D'un autre côté, les chèvres paissaient au Forum de Rome, quelques décennies après l'effondrement de l'Empire d'Occident.

    Ce qui s'est effondré n'était pas seulement l'autorité impériale; la ville ne pouvait plus se permettre tout le pain gratuit et les cirques qui nourrissaient et amusaient une grande partie de sa vaste population, elle ne pouvait plus défendre / maintenir les longues routes commerciales qui alimentaient le commerce ou la structure politique qui garantissait la richesse de sa noblesse.

    Les villes ne sont pas bon marché à exploiter et elles doivent continuellement attirer des travailleurs et des capitaux / richesses qui peuvent tous deux être imposés à un taux élevé. Ils ont également besoin d'un volume de commerce élevé qui peut être taxé.

    La plupart des employeurs sont confrontés à une réinitialisation profonde qui nécessitera très probablement une réduction permanente des coûts pour maintenir les bénéfices, et le travail à distance est très rentable, car les déplacements domicile-travail et les bureaux sont tous deux des dépenses inutiles qui peuvent être éliminées.

    En termes de viabilité financière, une grande partie de l'activité qui a généré des impôts pour les «grandes villes» a disparu pour de bon: des concentrations de dizaines de milliers de travailleurs au centre-ville qui soutenaient des centaines de petites entreprises, des propriétaires commerciaux payant des impôts fonciers élevés, etc.

    La question que personne ne semble se poser est la suivante: les villes ne sont-elles plus viables financièrement, compte tenu du coût de la vie énorme, des impôts élevés nécessaires pour gérer la ville et des forts vents contraires économiques et démographiques ?

    Quel genre de ville est possible si la moitié des petites entreprises ferment et que les recettes fiscales diminuent de 50 % ? Quel effet ces changements massifs auront-ils sur l'habitabilité de la ville et de ses attractions les plus fascinantes ? Comment la ville fournira-t-elle des services sur la moitié des revenus ?

    Le pire des cas est que seuls ceux qui n'ont pas les moyens de partir seront laissés. À moins que de grands sacrifices ne soient consentis par ceux qui restent, ce n'est pas une recette pour la viabilité financière, c'est une recette pour les chèvres qui paissent dans le Forum.

    Le meilleur des cas est que ceux qui aiment leur «grande ville» accepteront la réalité intimidante que même la grandeur peut faire faillite et que la ville devra s'adapter de manière nouvelle et déchirante pour rester financièrement viable alors que les recettes fiscales diminuent et d'un certain pourcentage des résidents contribuables les plus riches sont partis ou partiront.

    Ce n'est pas seulement l'exode urbain qui est le défi - c'est qui est dans chaque vague successive de l'exode. Si les riches, les entrepreneurs et les propriétaires de petites entreprises déplacés partent dans la première vague, l'adaptation devra être rapide et profonde, car les réformes modestes et progressives qui caractérisent les 75 dernières années ne suffiront pas à être conséquentes.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/urban-exodus-and-how-greatness-goes-bankrupt

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  22. Une politique anti-automobile chaotique

    L’automobile, c’est la liberté. Vouloir décider ce qui doit être acheté et effectuer manipulations, incitations, ou punitions ne peut conduire qu’à une dictature larvée.


    1 OCTOBRE 2020
    Par Loïk Le Floch Prigent.


    Dans un entretien au JDD, Carlos Tavarès PDG de PSA et futur dirigeant de Stellantis, résultat de la fusion avec Fiat Chrysler, pointe du doigt l’incohérence de la politique des responsables français à l’égard de son secteur et évoque sans fards le puissant lobby anti-automobile agissant dans notre pays.

    LA LIBERTÉ DE MOUVEMENT

    Les mesures imaginées par les uns et les autres, Union européenne, gouvernements et métropoles, ignorent superbement l’existence des consommateurs. « Le patron c’est le client » disait François Michelin. Pour lui, la liberté de mouvement était essentielle.

    On peut comprendre que celle-ci doive être modérée par les nécessités de la vie en société, mais que les dirigeants n’aient à l’esprit que de l’entraver et la punir, qu’ils veuillent non seulement guider leurs choix mais les ordonner est incontestablement liberticide et le symbole de régimes voulant pratiquer une autorité sur des sujets dont ils peuvent imaginer garder le contrôle alors qu’ils l’ont perdu pour de plus importants.

    Quel paradoxe ! S’occuper de façon prioritaire des automobilistes alors que le fameux vivre ensemble n’est plus qu’une illusion et qu’ils ne savent plus comment y revenir !

    La révolte des Gilets jaunes a démarré avec la proposition d’augmentation des taxes sur le carburant, le 80 km/heure et l’attaque frontale contre le diesel. La moitié de la population française était ainsi oubliée par des décisions liées exclusivement aux métropoles.

    Les parlementaires et élus divers qui continuent à taper sur les hydrocarbures devraient s’en souvenir : ce n’est pas l’effritement des manifestations provoqué essentiellement par leur accaparement par les black blocs urbains qui doit faire oublier les problèmes ainsi posés. Le peuple des petites villes et des campagnes reste attaché à son diesel et à sa voiture.

    Pendant que les maires des grandes villes souhaitent voir se répandre les voitures électriques, le client urbain a voté pour le SUV thermique au grand dam de l’écologie politique. Mais la politique du vélo et de la trottinette a plutôt découragé les habitants d’acquérir un véhicule quel qu’il soit, sauf ceux les résistants qui achètent le véhicule impie.

    TOUJOURS PLUS DE LIMITES

    Maintenant on voudrait limiter la publicité afin d’inciter au changement de propulsion. Mais si nos concitoyens avaient aussi le droit de choisir et s’ils avaient suffisamment de sens critique pour résister à la manipulation ?

    On apprend maintenant qu’on réfléchit à une taxe sur le poids du véhicule qui bénéficierait ainsi d’un malus élevé ; mais les véhicules électriques et hybrides, aidés par ailleurs par un bonus, échapperaient-ils à cette nouvelle taxe ? Est-ce que tout cela ne montre pas que les interventions de l’État, des municipalités, mal pensées, mal exécutées, mal anticipées, ne résistent pas à la volonté individuelle de faire des choix et à mesure qu’on veut les dicter, à poser des actes de résistance.

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  23. L’écologie punitive des sapins de Noël et du Tour de France sera combattue dans les actes quotidiens des citoyens qui votent pour la liberté.

    On voit donc qu’il y a un jeu à deux acteurs : le client et le constructeur automobile. Le responsable politique s’insère avec une possibilité quasi-infinie de réglementer. Il utilise d’ailleurs ce vecteur, le véhicule individuel, pour lever l’impôt, taxe sur les automobiles et sur les combustibles, avec la justification de l’installation et de la maintenance d’infrastructures liées à celui qui souhaite s’en servir.

    L’ÉCOLOGIE POLITIQUE ANTI-AUTOMOBILE

    Mais il faut aussi que cet intrus soit cohérent, et c’est là que l’écologie politique d’une relative décroissance le met dans l’embarras. Si l’on va trop loin dans l’anti-automobile, on continue à devoir malgré tout entretenir les voiries, ne serait-ce que pour les vélos et les trottinettes. Les recettes diminuent pour l’État et les collectivités territoriales, mais pas les dépenses. De plus il y a disparition progressive des emplois industriels et de services que l’importation de deux roues est loin de pouvoir compenser.

    Si l’on pénalise les véhicules thermiques on diminue aussi la perception des taxes sur les produits pétroliers. Allons-nous les retrouver sur l’électricité ? Mais comment faire pour distinguer l’électricité destinées aux mobilités par rapport à celle destinée aux utilisations statiques tel que le logement… ?

    Et si, comme c’est le cas aujourd’hui et demain, l’électricité est en majorité nucléaire allons-nous continuer à annoncer dans les publicités autorisées que c’est du vert que l’on vous sert alors qu’il n’y a qu’un seul tuyau ? En France, le véhicule électrique est nucléaire et va le rester quelle que soit la politique suivie pendant une bonne trentaine d’années.

    L’État, la Commission européenne, les maires, peuvent continuer longtemps à faire de la communication, à permettre ou interdire les publicités, à punir et lancer leurs anathèmes, il y a des clients et chacun fera au mieux de ses intérêts en pesant le pour et le contre jusqu’à ce que des régimes autoritaires les conduisent à obéir sans discuter et sans comprendre.

    L’automobile c’est la liberté, vouloir décider ce qui doit être acheté et effectuer manipulations, incitations, ou punitions ne peut conduire qu’à une dictature larvée en espérant qu’elle ne conduise pas à une autre qui effacerait nos démocraties.

    Nous avons compris que l’intrus dans le dialogue client-constructeur doit d’abord mettre de l’ordre dans sa tête avant de proposer et de jeter en pâture à la presse des mesures nouvelles auxquelles il pense.

    La sécurité sur les routes nécessite des véhicules sûrs et contrôlés régulièrement, c’est une priorité reconnue, mais elle doit conduire à des mesures acceptées et non à des coups de menton comme pour la limitation à 80 km/heure.

    La pollution des villes est un sujet, mais toutes les villes ne sont pas hyper polluées. L’universalité du véhicule électrique est donc contestable, en particulier dans les campagnes et les pays sans électricité abondante et bon marché.

    Le climat conçu comme une lutte contre les gaz à effet de serre doit tenir compte de la vie entière des véhicules, depuis l’extraction des produits jusqu’à leur obsolescence : cela ne conduit pas forcément à vouloir généraliser le véhicule électrique ou à hydrogène par rapport au véhicule thermique. La lutte pour la décarbonation n’est pas synonyme de lutte contre la pollution, cela peut même être contradictoire.

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  24. L’INDUSTRIE AUTOMOBILE EST GÉNÉRATRICE D’EMPLOIS

    Son abandon conduit aux licenciements et aux fermetures des sites de production. Il faut donc toujours mesurer l’impact des mesures sur la situation industrielle du pays. Nos industriels ne peuvent rivaliser avec l’Asie pour la fourniture de vélos et de trottinettes, à cause des coûts salariaux et du respect de la vie et de la santé des travailleurs…

    De même nous ne fabriquons pas encore de batteries (40 % du coût du véhicule électrique). Il faut anticiper une transformation possible de notre industrie avant de décider et donc prendre les mesures en conséquence : soit supprimer les normes et règlements entravant sa compétitivité, soit protéger l’industrie nationale. Dans tous les cas ne pas la pénaliser avec des inventions permanentes de taxes nouvelles. Autrement dit, l’automobile ne peut rester la vache à lait de notre vie collective que si des précautions sont prises quand sont modifiées les règles de son fonctionnement. Les apprentis sorciers actuels la tirent à hue et à dia oubliant, pour la plupart, que s’ils peuvent aller faire des propositions et des discours, c’est souvent grâce à la mobilité que leur permet la voiture.

    La dernière idée géniale de taxation en fonction du poids du véhicule tombe dans ce bêtisier qui veut faire parler et aurait l’effet inverse de celui escompté. Ce n’est, hélas, pas la dernière stupidité qui plane sur l’avenir de l’automobile.

    https://www.contrepoints.org/2020/10/01/381231-une-politique-anti-automobile-chaotique

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  25. NIVAQUINE 100 mg, comprimé sécable


    Date de l'autorisation : 30/01/1998
    Disponible sur ordonnance Médicament remboursable
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    Pour plus d'information sur les pictogrammes, consultez l'aide.

    Indications thérapeutiques

    Classe pharmacothérapeutique : ANTIPALUDIQUE- code ATC : P01BA01
    Nivaquine appartient à une famille de médicaments appelés antipaludiques.
    Ce médicament contient de la chloroquine.
    Il est utilisé :
    · pour le traitement curatif et la prévention du paludisme.

    · Le paludisme est une maladie tropicale causée par un parasite microscopique, le Plasmodium, transmis par les piqûres de moustiques. Le paludisme peut être grave et doit être traité rapidement.

    Attention : Dans certaines régions, ce parasite peut être résistant à l'action de la chloroquine (Asie du Sud-Est, Nord de l'Amérique du Sud, certains pays d'Afrique).

    Nivaquine peut ne pas suffire à la prévention ou au traitement d'un accès de paludisme. Renseignez-vous auprès de votre médecin ou dans un centre spécialisé avant votre départ pour connaître la prévention la plus adaptée à votre projet de voyage.

    · pour le traitement de la polyarthrite rhumatoïde (maladie des articulations),

    · pour le traitement de certaines formes de lupus (maladie inflammatoire susceptible d’entraîner l’atteinte de plusieurs organes) et le traitement préventif des lucites (allergies au soleil).

    Groupe(s) générique(s)

    Ce médicament n'appartient à aucun groupe générique

    Composition en substances actives

    Comprimé (Composition pour un comprimé)
    > chloroquine 100 mg
    sous forme de : sulfate de chloroquine 136 mg

    Présentations

    > 10 plaquette(s) PVC-Aluminium de 10 comprimé(s)

    Code CIP : 307 310-0 ou 34009 307 310 0 0
    Déclaration de commercialisation : 19/01/1949
    Cette présentation est agréée aux collectivités
    En pharmacie de ville : Prix hors honoraire de dispensation : 4,55 € Honoraire de dispensation : 1,02 € Prix honoraire compris : 5,57 €
    Taux de remboursement : 65%

    > 2 plaquette(s) PVC-Aluminium de 10 comprimé(s)

    Code CIP : 307 311-7 ou 34009 307 311 7 8
    Déclaration de commercialisation : 19/01/1949
    Cette présentation est agréée aux collectivités
    En pharmacie de ville : Prix hors honoraire de dispensation : 2,14 € Honoraire de dispensation : 1,02 € Prix honoraire compris : 3,16 €
    Taux de remboursement : 65%

    Service médical rendu (SMR) Glossaire sur le SMR

    Les libellés affichés ci-dessous ne sont que des résumés ou extraits issus des avis rendus par la Commission de la Transparence.
    Seul l'avis complet de la Commission de la Transparence fait référence.
    Cet avis est consultable à partir du lien "Avis du jj/mm/aaaa" ou encore sur demande auprès de la HAS (plus d'informations dans l'aide). Les avis et synthèses d'avis contiennent un paragraphe sur la place du médicament dans la stratégie thérapeutique.

    http://base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr/extrait.php?specid=65130778

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  26. Le Kardegic est-il un chélateur ?
    Où aide t-il seulement à la chélation ?

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  27. LES PEURS


    Capitellophobie: Peur des cadeaux
    Alopophobie: Peur des chauves
    Cacophobie: Peur de la laideur
    Hexakosioihexekontahexaphobie: Peur du nombre 666
    Tyrosémiophobie: Peur des étiquettes de fromage
    Cubiculacétophobie: Peur que de lézards tombant sur le lit
    Pruritanophobie: Peur de se gratter en public
    Nanopabulophobie: Peur des nains de jardin
    Gynéphobie: Peur des femmes
    Akousticophobie: Peur des sons
    Apopathodiaphulatophobie: Peur de la constipation
    Cumulophobie: Peur des nuages
    TriskaÏdécaphobie: Peur du nombre 13
    Paraskevidékatriaphobie: Peur du vendredi 13
    Hippopotomonstrosesquippedaliophobie: Peur des mots trop longs
    Basophobie: Peur de marcher
    Suiphobie: Peur de soi-même
    Phobophobie: Peur d'avoir peur
    Pantophobie: Peur de tout
    ______________________

    Chaque jour, la population mondiale augmente de 232 000 individus (84 680 000 par an), alors que 170 000 personnes meurent (62 050 000 par an). A ce rythme, la planète devrait compter 10 milliards d'être humains en 2050.

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