Fils de Pangolin
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dim., 11 oct. 2020 20:39 UTC
Voici l'événement Corporate Greed & Aids qui a eu lieu le 12 Juillet 1997 à Santa Monica, CA animé par Esai Morales. Les participants présents sont entre autres, Kary Mullis, Gagnant Prix Nobel et inventeur du test PCR, et d'autres conférenciers Sean Current, Paul Philpott, & Christine Maggiore.
Dans cette vidéo, une question est posée à Kary Mullis sur l'utilisation inappropriée du test PCR:
« Le {PCR} se distingue de cela. C'est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malades. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire... »
Les masques sont un agenda politique, pas une protection contre le Covid ou la grippe
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
12 octobre 2020
Cet entretien de 39 minutes avec deux experts est la meilleure information disponible sur l'efficacité et les dangers des masques. Comme je l'ai signalé depuis le début, à moins que le masque ne soit N95, il n'offre aucune protection contre l'inhalation et l'expiration de virus.
Tous les masques augmentent les niveaux de gaz carbonique, réduisent les niveaux d'oxygène et, si vous êtes infecté, augmentent la charge virale que vous respirez. Si un masque N95 a une valve d'expiration, les niveaux de gaz carbonique et de contaminant sont inférieurs, mais si vous êtes infecté, le masque ne protège pas les autres de votre expiration du virus.
Un N95 offre un ajustement serré contrairement aux masques que les gens portent. Sans une soupape d'expiration, un N95 accumulerait des niveaux de gaz carbonique et de contaminants plus rapidement et plus haut. Je trouve impossible de porter un masque N95 pendant plus d'une heure. Selon les normes OSHA, les personnes sont censées être testées individuellement avant de se voir attribuer un masque car certaines sont plus endommagées par les masques que d'autres.
Ces faits sont bien connus des experts, alors pourquoi les masques sont-ils imposés par les autorités politiques et pourquoi l'OSHA a-t-il tourné le dos à ses propres exigences scientifiquement fondées ?
La réponse est que les masques sont un agenda politique et ont été utilisés contre le peuple. La même chose pour les verrouillages.
De plus, il n'y a aucune base légale pour les mandats de masque et de verrouillage. Ce sont des actions illégales arbitraires. Au Michigan, la Cour suprême de l’État a annulé les mandats de verrouillage / masque du gouverneur tyrannique.
Le peuple américain a payé un prix élevé pour être mal informé ou mal informé par les presstituts et les agendas servis par le virus Covid.
https://www.lewrockwell.com/2020/10/paul-craig-roberts/masks-are-a-political-agenda-not-a-protection-against-covid-or-flu/
Il n'existe AUCUN masque anti virus ! A U C U N !
Supprimer(Mais, comme le corona n'est PAS un virus mais un microbe bien vivant...)
Ces masques INUTILES ET MORTELS n'ont été imposés que par rapport: "Un masque prive l'être humain de 30 % d'oxygène. Ce qui en résultera seront des pertes de mémoires, des cellules en moins qui ne se régénèreront JAMAIS"
Vous serez un poulet sans tête qui traverse la route !
Les mailles du masque 'N95' c'est çà:
[...............]
et le virus ou le microbe c'est çà:
.
Pour Michel Cymes, porter un masque dans la rue «ne sert à rien»
RépondreSupprimer12:24 12.10.2020
Par Nikita Martynov
Venu le 10 septembre faire la promotion de son nouveau livre dans l’émission «On est en direct» sur France 2, le célèbre médecin présentateur Michel Cymes a avoué ne pas porter de masque dans la rue, estimant que «cela ne sert à rien». Ces propos ont fait un tollé sur les réseaux sociaux.
Invité samedi 10 octobre dans l’émission «On est en direct» sur France 2 pour répondre aux questions de Laurent Ruquier sur son nouveau livre, Sur l’amour, coécrit avec Patricia Chalon, Michel Cymes a déclaré ne pas porter de masque dans la rue.
La discussion a rapidement porté sur des questions liées à la crise du coronavirus.
«Moi, par exemple, je ne porte pas de masque dans la rue parce que j’estime que cela ne sert à rien, sauf si on est dans une rue bondée, parce que commerçante, parce qu’on croise plein de gens».
Ces propos ont instantanément indigné bon nombre de gens alors que le port du masque est devenu obligatoire dans plusieurs villes françaises.
Un utilisateur a rappelé pour sa part que Michel Cymes avait déjà comparé le Covid-19 à une grippette, en début de pandémie.
Un autre a recommandé d’«aller voir un vrai médecin».
Un médecin est allé jusqu’à qualifier de «bel exemple de stupidité» le comportement de Michel Cymes.
Situation en France
Le 11 octobre, la France a recensé 16.101 nouveaux cas de Covid-19 en 24 heures.
Au total, 775.431 cas confirmés d'infection par le coronavirus ont été dénombrés dans le pays depuis le début de l'épidémie, selon l’université Johns-Hopkins. La veille, l'agence avait fait état de 26.896 personnes testées positives au Covid-19 en 24 heures.
La week-end des 3 et 4 octobre, la région parisienne a été placée en alerte maximale ce qui a débouché sur l'introduction de nouvelles mesures. Depuis mardi 6 octobre, tous les bars de Paris et de sa petite couronne sont fermés. Les restaurants, quant à eux, se doivent d'appliquer un «protocole sanitaire» renforcé.
Entre-temps, quatre nouvelles grandes villes - Grenoble, Lille, Saint-Étienne et Lyon - sont également passées en alerte maximale à partir du 10 octobre en raison de la propagation du Covid-19.
https://fr.sputniknews.com/france/202010121044563396-pour-michel-cymes-porter-un-masque-dans-la-rue-ne-sert-a-rien/
Porter un masque 'anti-microbes' (0,7 µ) NE SERT A RIEN ! Car IL N'Y A AUCUN MASQUE au maillage inférieur à cette dimension.
SupprimerC’est une histoire belge mais ce n’est pas une blague belge !
RépondreSupprimerle 11 octobre 2020
Chaque fois, au cours de ma revue de presse matinale, que je note un article relatif à la malaria (fièvres des marais, en français paludisme) ma curiosité est stimulée puisque cette saloperie m’a pourri la vie pendant des années. Alors voici un court récit presque surréaliste au sujet de cette malaria qui tue chaque année beaucoup plus de personnes que le SARS-CoV-2 …
Un couple de Belges du Brabant flamand vivant dans la petite ville de Kampenhout ont défié le corps médical, souffrant de fortes fièvres. Naturellement, en ces temps de psychose coronavirale, leur état a tout de suite fait penser au SARS-CoV-2. Comme les autorités belges n’ont pas vraiment assimilé le fait que ce virus pouvait être avantageusement éliminé de l’organisme avec de la chloroquine (ou son dérivé hydroxylé) ce médicament n’a pas été utilisé alors qu’il aurait éventuellement pu sauver ces deux citoyens belges. Et c’est là où l’histoire ressemble à une blague belge, ils sont mort de malaria et non pas du SARS-CoV-2 ! Si le Plasmodium, probablement falciparum qui a provoqué leur décès, avait été sensible à la chloroquine (ce qui est possible) ces deux braves Brabançons seraient toujours en vie … Le Plasmodium vivax dont je souffre depuis plus de 20 ans est sensible à la chloroquine mais dans de nombreux pays ce n’est plus le cas.
Ce qui est encore plus intriguant dans cette histoire belge est le fait que ces deux personnes n’étaient pas allé se promener dans un pays où la malaria est endémique depuis de nombreux mois sinon de nombreuses années. Selon les médecins ils auraient été piqué par un moustique anophèle porteur de larves de Plasmodium vers la mi-septembre pour que les premières fièvres apparaissent au début du moins d’octobre. Le moustique femelle est certainement mort car il ne peut pas survivre dans ces contrées malgré le réchauffement climatique. Comme l’a écrit le journaliste qui a rapporté ce fait divers dans le quotidien La Libre Belgique un double décès par malaria sur le sol belge est rarissime.
La question qui se pose donc est la suivante : comment un moustique anophèle, vecteur exclusif de la malaria, a-t-il pu se trouver dans cette maison du Brabant ? La seule hypothèse envisageable est que ce moustique soit arrivé d’un pays d’Afrique dans un avion et qu’il ait eu la mauvaise idée de voler sur une dizaine de kilomètres depuis l’aéroport de Bruxelles-National situé pas très loin de Kampenhout, porté par des vents d’ouest vers le milieu du mois de septembre alors que les températures étaient plutôt chaudes pour la saison, réchauffement climatique oblige …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/10/11/cest-une-histoire-belge-mais-ce-nest-pas-une-blague-belge/
Après la bascule de l'OMS, l'ancien chef de la FDA ne dit aucune raison pour un autre cycle de verrouillage aux États-Unis
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 10/12/2020 - 08:39
Le Dr Scott Gottlieb est apparu lundi matin sur "Squawk Box" de CNBC, comme il le fait souvent, pour commenter les nouvelles du jour liées au coronavirus. Et alors que beaucoup essaient encore d'analyser la signification du dernier renversement de l'OMS de ce week-end dans ses directives - bien que, pour être sûr, le Dr Gottlieb ait insisté sur le fait que ce n'était pas une «bascule» - l'ancien chef de la FDA, qui a dirigé la campagne de Trump contre l'adolescent vaping, a affirmé que les verrouillages n'étaient jamais bien adaptés à la lutte contre le virus.
«Nous étions dans une position difficile en avril et mai parce que nous ne savions pas où le virus se propageait ... nous avons fini par mettre en œuvre un ordre de rester à la maison à l'échelle nationale alors qu'en fait nous aurions pu titrer notre atténuation beaucoup plus efficacement, mais nous avait besoin de savoir où le virus se propageait et ne se propageait pas », a déclaré le Dr Gottlieb.
«Maintenant, nous avons déployé les diagnostics et je pense que nous pourrons affiner notre réponse alors que cette épidémie commence à affecter d'autres régions du pays.
"D'autres régions ne sont pas affectées de la même manière et des interventions ciblées, ou des interventions basées sur des cas comme le suivi et le traçage, pourraient toujours fonctionner."
Pour l'avenir, a déclaré le Dr Gottlieb, il y a peu de raisons pour que les lock-out soient employés aux États-Unis, ou ailleurs dans le monde en développement.
«Je pense que l’idée que nous allons passer des commandes nationales au maintien à la maison - ou même des commandes générales au maintien à domicile dans certaines villes - cela ne se produira tout simplement pas, la volonté populaire n’est pas là pour cela, le leadership politique sur une base bipartisane ne va pas le soutenir. Donc, ceux qui disent qu'il n'y a plus de verrouillage ici aux États-Unis, je pense que c'est une sorte d'argument d'homme de paille parce que cela n'arrivera tout simplement pas. "
Lorsque les historiens regardent en arrière sur 2020, l'échec critique est que "nous étions si aveugles à la propagation en avril et mai", a déclaré le Dr Gottlieb.
Mais à ce stade, les tests sont largement disponibles aux États-Unis. Alors pourquoi des centaines de milliers d'entreprises et d'écoles sont-elles toujours fermées ?
Et pourquoi les grandes entreprises technologiques comme Google censurent-elles toujours la déclaration de Great Barrington ?
En outre, le candidat démocrate à la présidence Joe Biden a peut-être besoin d'avoir une petite conversation avec le Dr Gottlieb.
Passant à autre chose, le Dr Gottlieb a ensuite été invité à commenter la deuxième question la plus urgente du jour liée au COVID-19: le président Trump est-il contagieux ?
"Il ne l'est probablement pas", a conclu le Dr Gottlieb.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/after-who-flip-flop-former-fda-chief-says-no-reason-another-round-lockdowns-us
Des centaines de bars à fermer alors que BoJo soutient de nouveaux verrouillages 'localisés' : mises à jour en direct
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 10/12/2020 - 07:24
Résumé:
Trump tweete sur le retour de "la peste chinoise" en Europe et en Asie
Le Royaume-Uni ajoute de nouveaux verrouillages localisés; Des centaines de bars à fermer dans le nord de l'Angleterre
Bruxelles impose des règles de restriction de voyage uniformes
La Chine découvre le plus grand cluster en plus de deux mois
les États-Unis et l'Inde voient le nombre de nouveaux cas diminuer
L'essai d'anticorps AstraZeneca entre dans sa phase finale
* * *
Mise à jour (0755ET): Quelques heures après que la Chine a signalé son plus grand cluster en deux mois, le président Trump s'est rendu sur Twitter pour commenter l'état de l'épidémie en Europe.
Il a ajouté que "les vaccins et les remèdes" arrivent rapidement, après avoir été censuré pour s'être déclaré "guéri" - et avoir qualifié le médicament anticorps de Regeneron de "remède".
Le médecin de Trump a déclaré au cours du week-end que Trump n'était plus un risque d'infection et que le président avait en grande partie éliminé le virus.
* * *
Malgré la volte-face sans précédent de l'OMS de ce week-end, qui, après des mois d'exhortation à la conformité, s'est retournée et a exhorté les dirigeants mondiaux à cesser d'utiliser les verrouillages, le Premier ministre britannique Boris Johnson prévoit de dévoiler de nouvelles mesures de verrouillage régionales strictes qui forceront des centaines de pubs. dans le nord-ouest de l'Angleterre pour fermer pendant au moins 4 semaines, à partir de 17 h 00, heure locale, mercredi.
BoJo prévoit d'étendre les restrictions en signalant que six arrondissements de Liverpool, avec une population de 1,6 million d'habitants, pourraient être les premiers à être soumis au plus haut niveau de nouvelles restrictions. En plus des pubs, des gymnases, des casinos, des bookmakers et des clubs sociaux seront fermés pendant au moins un mois, mais peut-être jusqu'à 6 mois, alors que BoJo a décrit la politique COVID-19 post-lockdown de HMG lors d'un point de presse où il a également menacé d'énormes amendes pour mépris de distanciation sociale.
Les dirigeants locaux ne sont pas vraiment ravis des plans du gouvernement. Manchester fait face à des restrictions similaires à Liverpool, mais a résisté dimanche soir alors que les dirigeants du conseil menaçaient de poursuites judiciaires à moins que le gouvernement n'augmente son aide financière. Les chefs du conseil de Liverpool exigeaient également plus d'argent. Joe Anderson, le maire de Liverpool, a accusé le gouvernement d'apporter son soutien "à bon marché", arguant que les mesures seraient plus généreuses si elles affectaient Londres, selon le Telegraph.
- voir graphique sur site -
Source: The Telegraph
BoJo devrait utiliser un briefing de la Chambre des communes pour définir les nouveaux «niveaux d'alerte COVID locaux» du Royaume-Uni à trois niveaux, divisant le pays en catégories à risque moyen, élevé et très élevé.
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerAlors que les responsables de la santé publique se concentrent sur l'intensification des tests et de la recherche des contacts, le corps logistique de l'armée a été appelé pour aider aux tests COVID-19 et à la recherche des contacts dans la région par le biais de centres mobiles dotés de soldats, et HMG a fourni des fonds supplémentaires pour payer fonctionnaires pour aider à appliquer les nouvelles règles.
Ceux dans le niveau «à haut risque» continueront avec les couvre-feux de pub jusqu'à 22 heures, mais devront introduire des restrictions interdisant aux ménages de se mélanger à l'intérieur, surnommé l'approche «GOBI» - Good Outside, Bad Indoors - par les fonctionnaires. Les restrictions au niveau moyen restent la «règle de six» et les couvre-feux de 22 heures.
Ailleurs en Europe, les pays adoptent davantage de restrictions de voyage, ce qui a incité Bruxelles à proposer un critère et un seuil communs pour décider des restrictions qui aideraient les citoyens de l'UE à mieux comprendre les règles et en quoi elles diffèrent entre les États membres, selon le WSJ.
Bruxelles souhaite que les membres de l'UE utilisent un critère commun pour décider d'ouvrir ou de fermer leurs frontières. Les critères comprennent le nombre cumulé de nouvelles infections pour 100 000 personnes sur une période de 14 jours et le pourcentage de tests positifs sur une période de sept jours.
La tentative de l'Europe de sauver sa saison touristique a été partiellement couronnée de succès, mais le coût a été une augmentation des infections en Italie, en France, au Royaume-Uni et en Espagne, qui enregistrent autant de nouveaux cas de COVID-19 et d'hospitalisations - parfois plus - comme ils l'ont fait pendant la première vague de retour au printemps. Depuis leur sommet à la mi-août, les voyages aériens autour du continent ont fortement chuté alors que les chiffres ont rebondi.
Voici quelques nouvelles de la nuit et du lundi matin.
Le récent pic des infections à Covid-19 en Allemagne ne doit pas être comparé au niveau du printemps car les tests sont désormais plus facilement disponibles, a déclaré lundi l'institut ifo basé à Munich (Source: Bloomberg).
La République tchèque prévoit de resserrer davantage les règles de distanciation sociale pour endiguer la pire poussée de coronavirus de l'Union européenne - sans répéter la paralysie économique de ce printemps. Le gouvernement décidera lundi de prendre davantage de mesures pour limiter les contacts humains après avoir déjà interdit les événements culturels et sportifs, fermé certaines écoles et ordonné la fermeture des bars et des restaurants à 20 heures (Source: Bloomberg).
AstraZeneca a déclaré que son médicament anticorps, similaire aux produits de Regeneron et Eli Lilly, avançait dans sa phase finale de tests cliniques et sera administré à plus de 6000 personnes à partir des prochaines semaines. Le médicament sera évalué pour sa capacité à prévenir les infections pendant jusqu'à un an chez certaines personnes et comme médicament préventif une fois que les patients auront été exposés au virus chez d'autres. D'autres essais testeront son potentiel en tant que traitement une fois que les patients développent des symptômes (Source: Bloomberg).
Le taux moyen de 14 jours en Belgique est passé à 387 cas pour 100 000 habitants contre 349 la veille. Cela en fait actuellement le deuxième pays le plus durement touché d'Europe, derrière la République tchèque. Dans la capitale, où les bars ont récemment été fermés, le taux d'incidence sur 14 jours est passé à 758 pour 100 000 habitants. Plus de 10% des tests effectués la semaine dernière sont revenus positifs, le taux de positivité le plus élevé depuis fin avril (Source: Bloomberg).
RépondreSupprimerL'Inde a signalé 66732 nouveaux cas lundi, portant le nombre total d'infections à 7,12 millions, alors que le taux quotidien de cas semble ralentir, l'Inde devrait dépasser les États-Unis en tant que pays le plus touché au monde dès le début du mois prochain. Le nombre de morts en Inde est passé à 109 150 (Source: Bloomberg).
Les États-Unis n'ont signalé que 44 614 nouveaux cas dimanche, cassant une série de quatre jours de plus de 50 000 nouveaux cas.
- voir graphique sur site -
La Chine a signalé un nouveau groupe de cas dans la ville portuaire de Qingdao, dans l'est du pays, interrompant une séquence de 2 mois sans transmission locale, soulignant le risque de résurgence dans les pays qui ont presque éradiqué le pathogène. La ville de la province du Shandong a déclaré dimanche qu'elle avait trouvé trois cas asymptomatiques liés à un hôpital qui traite des patients COVID-19 en provenance de l'étranger.
Des tests étendus sur les patients et le personnel de l'hôpital ont ensuite révélé neuf autres infections. La moitié des 12 cas de la grappe étaient «asymptomatiques». La ville adoptera probablement une posture «guerrière» alors que des tests de masse et des fermetures seront imposés jusqu'à ce que l'épidémie soit définitivement éradiquée (Source: Bloomberg).
https://www.zerohedge.com/geopolitical/hundreds-bars-close-bojo-backs-tough-new-localized-lockdowns-live-updates
Tongs de l'OMS: exhorte les dirigeants mondiaux à cesser d'utiliser les verrouillages pour lutter contre la contagion COVID
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 10/12/2020 - 04:55
Dans une réprimande stupéfiante de la «science» et des «médecins» et des politiciens de gauche et des bureaucrates de carrière aux États-Unis et dans une grande partie de l'Occident, Evan Pentchoukov de The Epoch Times rapporte que l'envoyé spécial de l'Organisation mondiale de la santé sur le COVID-19 a exhorté les dirigeants mondiaux doivent cesser d'utiliser les verrouillages comme principale méthode de contrôle contre la propagation du virus du Parti communiste chinois (PCC), communément appelé le nouveau coronavirus.
«Nous, au sein de l'Organisation mondiale de la santé, ne préconisons pas le verrouillage comme principal moyen de contrôle de ce virus», a déclaré David Nabarro au Spectator dans une interview diffusée le 8 octobre.
«La seule fois où nous pensons qu'un verrouillage est justifié, c'est pour vous donner du temps pour vous réorganiser, vous regrouper, rééquilibrer vos ressources, protéger vos agents de santé qui sont épuisés, mais dans l'ensemble, nous préférons ne pas le faire.»
[ZH: Combien de temps avant que cette vidéo soit supprimée par Twitter ?]
Nabarro a souligné les dommages collatéraux causés par les verrouillages dans le monde, en particulier parmi les populations les plus pauvres.
«Regardez ce qui est arrivé à l’industrie du tourisme, par exemple dans les Caraïbes ou dans le Pacifique, parce que les gens ne prennent pas leurs vacances. Regardez ce qui est arrivé aux petits exploitants agricoles du monde entier parce que leurs marchés se sont affaiblis. Regardez ce qui arrive aux niveaux de pauvreté. Il semble que nous pourrions bien avoir un doublement de la pauvreté dans le monde d'ici l'année prochaine. Il semble que nous pourrions avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile parce que les enfants ne reçoivent pas de repas à l'école et que leurs parents, dans des familles pauvres, ne sont pas en mesure de se le permettre », a déclaré Nabarro.
«Il s'agit en fait d'une terrible et horrible catastrophe mondiale», a-t-il ajouté. «Et donc nous faisons vraiment appel à tous les leaders mondiaux: arrêtez d'utiliser le verrouillage comme méthode de contrôle principale, développez de meilleurs systèmes pour le faire, travaillez ensemble et apprenez les uns des autres, mais rappelez-vous - les verrouillages ont juste une conséquence que vous ne devez jamais minimiser, et cela rend les pauvres beaucoup plus pauvres. "
Nabarro n’est pas le seul scientifique à s’opposer au verrouillage.
Un certain nombre de scientifiques et de praticiens médicaux ou de santé publique ont signé la Déclaration de Great Barrington, qui déclare que «les politiques de verrouillage actuelles produisent des effets dévastateurs sur la santé publique à court et à long terme».
Les signataires sont: «Dr. Martin Kulldorff, professeur de médecine à l'Université de Harvard et biostatisticien et épidémiologiste avec une expertise dans la détection et le suivi des épidémies de maladies infectieuses et les évaluations de la sécurité des vaccins, le Dr Sunetra Gupta, professeur à l'Université d'Oxford, un épidémiologiste avec une expertise en immunologie, développement de vaccins, et la modélisation mathématique des maladies infectieuses, et le Dr Jay Bhattacharya, professeur à la Stanford University Medical School, médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et spécialiste des politiques de santé publique se concentrant sur les maladies infectieuses et les populations vulnérables.
RépondreSupprimer«L'approche la plus compatissante qui équilibre les risques et les avantages de parvenir à l'immunité collective est de permettre à ceux qui courent un risque minime de mourir de vivre normalement leur vie pour renforcer l'immunité contre le virus par le biais d'une infection naturelle, tout en protégeant mieux ceux qui sont à risque le plus élevé », déclare la déclaration.
À quelques exceptions près, les dirigeants mondiaux ont suivi les traces du régime communiste chinois en répondant à l'épidémie du virus, imposant des verrouillages sans précédent. La Suède, qui n'a pas imposé de verrouillage, n'a pas connu de résultat défavorable par rapport à certains endroits et pays qui l'ont fait.
Aux États-Unis, le président Donald Trump a délégué les décisions sur les mesures de verrouillage aux gouverneurs des États individuels, mais a poussé à la réouverture de l'économie et à la levée des verrouillages.
Comme William Anderson l'a récemment écrit pour The Mises Institute, les lock-out ne servent que la classe politique progressiste ...
Nous devons comprendre que les classes politiques et leurs médias ont un intérêt direct dans le statu quo de verrouillage, et cela inclut la fourniture régulière de ce que l'on ne peut appeler que de la désinformation. L'été dernier, les médias grand public ont consciencieusement rapporté un rapport très discutable (j'utilise ce terme à titre caritatif) selon lequel le Sturgis Bike Rally dans le Dakota du Sud a entraîné plus d'un quart de million d'infections à covid et plus de 12 milliards de dollars de frais médicaux. Il aurait dû être évident à première vue que le rapport était profondément imparfait, mais dans leur désir d'alimenter le récit du covid-is-tue-nous, les journalistes ont pris cette histoire trop belle pour être vraie et l'ont suivie.
En ce qui concerne les politiciens, la crise des covid a été une aubaine pour les dirigeants gouvernementaux et les bureaucrates qui considèrent les restrictions constitutionnelles qui limitent leur autorité comme de simples obstacles à éliminer facilement. Des gouverneurs tels que Gretchen Whitmer du Michigan, Andrew Cuomo de New York, Gavin Newsom de Californie et Tom Wolfe de Pennsylvanie ont reçu une couverture médiatique pour s'être emparé et utiliser des pouvoirs dictatoriaux, Whitmer décidant même unilatéralement que la vente de semences de jardin dans les magasins était illégal. La décision de Cuomo de forcer le logement des patients atteints de covid-19 dans des maisons de retraite a entraîné la mort de milliers de personnes, mais sa couverture médiatique nationale est uniformément positive.
Comparez la couverture médiatique affirmative de Cuomo avec le barrage d'attaques médiatiques contre le gouverneur Kristi Noem du Dakota du Sud. Noem a mis l'accent sur la responsabilité personnelle et n'a pas tenté de fermetures massives d'écoles et d'entreprises dans l'État, et les médias traditionnels ont éclaté de fureur. Que le Dakota du Sud ait relativement bien traversé cette pandémie n'a pas d'importance pour les médias, car la seule action acceptable (pour les journalistes traditionnels et d'élite) en réponse au covid est que les gouverneurs prennent à eux seuls le pouvoir et enferment leurs citoyens.
RépondreSupprimerGardez à l'esprit que les vraies pertes subies par les Américains en raison de la réponse gouvernementale brutale à l'épidémie de covid sont permanentes. Comme Robert Higgs l'a si éloquemment souligné dans Crisis and Leviathan, les gouvernements créent souvent des crises ou, à tout le moins, manipulent des événements tels que les catastrophes naturelles et les utilisent comme des opportunités pour étendre les pouvoirs gouvernementaux. Même après la fin de la crise, les gouvernements conservent certains de leurs pouvoirs nouvellement auto-accordés - et la plupart des gens ne sont guère préoccupés, voire pas du tout, même lorsque le gouvernement a restreint davantage leurs libertés.
Vraisemblablement, cela signifie que Joe Biden va maintenant faire pression pour que les verrouillages soient levés dans tous les États bleus? ... parce qu'il "écoute les scientifiques"?
Nous nous demandons combien de temps il faudra avant que l'OMS ne demande également la fin du port du masque?
En fin de compte, comme l'a conclu Anderson, la seule façon pour les classes politiques de «nous mettre en sécurité» est de faire ce qui est nécessaire pour nous rendre en sécurité, ou aussi relativement sûrs que possible. Lorsqu'un virus est en cours de développement - comme c'est le cas la plupart du temps - nous faisons ce que nous pouvons pour l'éviter et faisons ce que nous pouvons pour le traiter. En d'autres termes, nous faisons appel à la vraie science médicale, pas à ce que les classes politiques et médiatiques ont concocté pour nous.
- voir clip sur site :
https://www.zerohedge.com/medical/who-flip-flops-urges-world-leaders-stop-using-lockdowns-fight-covid-contagion
Selon une étude, le coronavirus survit avec les billets de banque jusqu'à 4 semaines, alors que l'utilisation des espèces plonge
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 10/12/2020 - 04:15
Nous avons souligné samedi un développement intéressant qui semblait passer largement inaperçu du grand public, malgré ses implications potentiellement profondes pour l'économie mondiale. La BoJ s'est jointe à la Fed et à la BCE pour lancer un programme pilote visant à explorer l'utilisation d'une monnaie numérique inspirée du bitcoin et de ses nombreux rivaux.
Un jour plus tard, Bloomberg a ravivé les inquiétudes concernant le papier-monnaie contribuant à la propagation du COVID-19 en publiant les conclusions d'une nouvelle étude suggérant que le SRAS-CoV-2 peut persister sur les billets et les pièces pendant des semaines. La recherche semble crédible: elle a été menée par le plus grand laboratoire de biosécurité d'Australie, qui a publié un rapport mettant en évidence les risques liés au papier-monnaie, aux écrans tactiles et aux poignées comme les poignées de porte.
Alors que le CDC publie des directives révisées affirmant que le contact étroit avec les surfaces infectées l'emporte sur les surfaces et la transmission par aérosol - ou 'aéroportée' - comme principal moyen d'infection, l'étude du Centre australien de préparation aux maladies a suggéré que le virus est en fait "extrêmement robuste" , lui permettant de survivre jusqu'à 28 jours sur des surfaces lisses comme le verre ou le matériau utilisé pour imprimer les billets de banque.
Cependant, le taux de survie sur les surfaces a considérablement diminué lorsque la température a grimpé au-dessus de 40 degrés Celsius (104 degrés Farenheit).
- voir liste des suports sur site -
La survie du virus a diminué à moins d'un jour à 40 degrés Celsius sur certaines surfaces, selon l'étude publiée lundi dans Virology Journal. Les résultats ajoutent à la preuve que le coronavirus causant Covid-19 survit plus longtemps par temps plus frais, ce qui le rend potentiellement plus difficile à contrôler en hiver qu'en été. La recherche aide également à prédire et à atténuer plus précisément la propagation de la pandémie, ont déclaré les chercheurs.
«Nos résultats montrent que le SRAS-CoV-2 peut rester infectieux sur les surfaces pendant de longues périodes, renforçant le besoin de bonnes pratiques telles que le lavage régulier des mains et le nettoyage des surfaces», a déclaré Debbie Eagles, directrice adjointe du centre, dans un communiqué envoyé par courrier électronique.
Le coronavirus avait tendance à survivre plus longtemps sur des surfaces non poreuses ou lisses, par rapport aux surfaces complexes poreuses, telles que le coton.
La recherche a reçu un financement du département australien de la défense. Il s'agissait de sécher le coronavirus dans un mucus artificiel sur différentes surfaces, à des concentrations similaires à celles rapportées dans des échantillons de patients infectés, puis de ré-isoler le virus sur un mois. L'étude a également été menée dans l'obscurité, pour éliminer l'effet de la lumière ultraviolette, car la recherche a démontré que la lumière directe du soleil peut rapidement inactiver le virus.
Le temps nécessaire pour parvenir à une réduction de 50% de la quantité de virus présente sur les surfaces étudiées sous différentes températures est présenté ci-dessous:
RépondreSupprimer«La recherche peut également aider à expliquer la persistance et la propagation apparentes du SRAS-CoV-2 dans des environnements froids à forte contamination lipidique ou protéique, comme les installations de transformation de la viande et comment nous pourrions mieux faire face à ce risque», Trevor Drew, directeur de la Centre australien de préparation aux maladies, a déclaré dans le communiqué.
La durée de survie prolongée du virus sur les surfaces en acier inoxydable pourrait aider à expliquer toutes ces épidémies attribuables aux usines de transformation de la viande. La recherche, qui a été soutenue par le département australien de la défense, a également conclu que le SRAS-CoV-2 survit beaucoup plus longtemps sur les surfaces que la grippe saisonnière.
Ces découvertes ravivent les souvenirs de banques américaines décontaminant les billets de banque, une pratique apparemment lancée par Pékin et la PBOC, qui ont désinfecté agressivement le papier-monnaie, tout en utilisant la pandémie pour pousser davantage le peuple chinois à compter à 100% sur les paiements électroniques.
Malheureusement, ces avertissements serviront probablement un objectif similaire en Occident, y compris en Europe et aux États-Unis, car les décideurs politiques considèrent qu'une «société sans numéraire» présente de nombreux avantages: cela obligerait les criminels à moins dépendre des espèces et davantage des devises numériques comme le bitcoin, tout en gardant une plus grande partie de l'argent du monde dans le système bancaire.
Nous voyons déjà cette tendance se manifester dans la pratique: après l'arrivée du COVID-19 au Royaume-Uni, le taux de transactions en espèces a chuté de près de moitié par rapport à la même période en 2019.
Aux États-Unis, des villes comme New York et San Francisco ont dû forcer les entreprises locales à continuer d'accepter des espèces pendant la pandémie, car les pénuries de pièces et d'autres problèmes ont entraîné une baisse des transactions en espèces. Leur raisonnement ? Cela obliger les clients à utiliser du plastique discrimine les consommateurs les plus pauvres, comme l'explique le NYT
Mais en ce qui concerne les responsables de la politique monétaire, la plus grande utilité d'une monnaie purement numérique est qu'elle ouvre de vastes nouvelles opportunités pour les BC de fournir un stimulus monétaire directement aux consommateurs (avec le soutien de leurs bons du Trésor respectifs, bien sûr, comme réalité. sur le terrain ressemble de plus en plus à l'idéal théorique du MMT). Les parties intéressées devraient consulter les dernières recherches de Bill Campbell de DoubleLine, «la boîte de Pandore des monnaies numériques de la banque centrale».
https://www.zerohedge.com/geopolitical/coronavirus-survives-banknotes-4-weeks-study-finds
(...) La survie du virus a diminué à moins d'un jour à 40 degrés Celsius sur certaines surfaces, selon l'étude publiée lundi dans Virology Journal. (...)
SupprimerFaire la distinction entre un VIRUS et un MICROBE:
Le virus est une poussière nanométrique de 3 sortes
- Les poussières neutres (poussière de terre sans danger)
- Les poussière minérale (charbon, etc)
- Les poussière métalliques (appelées aussi 'poussières intelligentes).
En ce qui concerne les poussières métalliques elles sont de 2 ordres:
- Les poussières irradiantes (de type radioactives: cancer)
- Les poussières aimantées (qui s'attirent, se groupent et obstruent les artères)
Puis il y a les microbes (ou appelées aussi des bactéries). Ce sont des nano-particules VIVANTES.
- Ils ou elles sont porteurs de staphylocoques ou de grippes ('corona'), etc
Donc: Le 'corona' est vivant et n'est donc pas un 'virus' (voir virus d'ordinateurs qui ne se détruisent pas avec des antibiotiques !).
Nous respirons TOUTES & TOUS 200 000 nano-particules par minutes et 2 millions en activité physique.
--------------------
Et puis, il y a cette histoire de 'masques' (Hahaha !)
Des masques qui se disent 'antivirus' (mais CE N'EST JAMAIS ÉCRIT SUR L'ENVELOPPE DES MASQUES ! HAHAHA !) alors qu'il y a des nano-particules nanométriques (minérales ou métalliques) et, des masques 'N95' qui se disent de stopper 95 % des nano-particules. Oui mais lesquelles ?
Il est techniquement IMPOSSIBLE de fabriquer un masque inférieur au micron (l'air ne passe plus !). Or, le microbe 'corona' mesure 0,7 µ !
D'où l'inutilité de lutter contre lui avec un masque !
Les manifestants anti-lockdown dénoncent les restrictions gouvernementales à Berlin alors que les cas de virus augmentent
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 10/12/2020 - 02:45
L'Allemagne a enregistré un pic de cas de COVID-19 la semaine dernière, encourageant les autorités de Berlin et de Francfort à émettre de nouvelles restrictions pour contenir la propagation du virus. L'introduction des restrictions a provoqué la colère des résidents, car des milliers d'entre eux ont manifesté samedi dans le centre de Berlin.
La semaine dernière, le nombre de nouvelles infections à coronavirus avait considérablement augmenté, alors que de nouvelles mesures avaient été annoncées mardi par le gouvernement pour limiter les rassemblements et fermer les bars et restaurants tôt.
"Ce n'est pas le moment de faire la fête", a déclaré samedi le maire de Berlin Michael Muller. "Nous pouvons et nous voulons empêcher un autre confinement plus sévère."
Plusieurs milliers de manifestants anti-lockdown ont été vus marchant samedi. Beaucoup ont déclaré que l'émergence de nouvelles restrictions violait leurs «droits humains».
«Nous sommes un mélange coloré de… personnes de divers groupes ethniques et de différents niveaux de revenu, qui ont laissé derrière elles toutes leurs affiliations politiques et qui sont en désaccord avec la politisation du coronavirus [pandémie] entraînant une restriction de nos droits humains», les organisateurs de «Silent Mars ", a déclaré.
"Une colonne lâche de manifestants s'étendait le long de plusieurs rues principales de la capitale allemande alors qu'ils marchaient lentement de la place Konrad Adenauer dans la partie ouest de la ville à la colonne de la Victoire dans le parc central Tiergarten et près de l'emblématique porte de Brandebourg", a déclaré RT News .
Les manifestants ont déclaré que la pandémie justifiait une discussion publique plus large et mettait fin aux «campagnes de peur permanentes» qu'ils disent que le gouvernement a menées contre les citoyens.
Les organisateurs ont initialement estimé que 20 000 personnes assisteraient à la marche de samedi, bien que la police locale ait déclaré que «plusieurs milliers» se sont rendus.
RT note que la marche était pour la plupart «pacifique» et qu'il n'y avait «aucun rapport d'incidents pendant la manifestation.
Alors que l'Allemagne devient un point chaud du coronavirus, de nombreux manifestants ont été vus se distancer socialement en marchant dans la rue. Le taux de participation était beaucoup plus faible que les dizaines de milliers observés en août dans la capitale allemande.
Les cas de COVID-19 en Allemagne ont augmenté la semaine dernière et ont forcé le gouvernement à imposer de nouvelles restrictions. Le pays a enregistré 4 721 nouveaux cas samedi, le troisième jour de +4 000 cas consécutifs.
- voir graphique sur site -
Les cas augmentent également en France, en Espagne et au Royaume-Uni, ainsi que de nouveaux cas en augmentation dans au moins huit États américains.
https://www.zerohedge.com/political/anti-lockdown-protesters-decry-government-restrictions-berlin-virus-cases-surge
Les étudiants internationaux démissionnent: "Ce n'est pas la Suède"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 10/12/2020 - 02:00
Via FreeWestMedia.com,
Les étudiants internationaux de l'Université Dalarna à Borlänge ne veulent pas vivre dans la résidence étudiante qui leur est offerte dans la banlieue d'immigrants Tjärna Ängar, également connue sous le nom de «Little Mogadishu».
C’est ce qu’a écrit un représentant du syndicat étudiant de Dalarna dans une lettre adressée au conseil de l’université.
En 2005, la société de logement communautaire Tunabyggen à Borlänge a converti deux maisons multifamiliales dans le quartier dense de Tjärna Ängar en Somalie en un complexe étudiant avec une salle de sport, des espaces d'étude et 126 appartements étudiants, afin de remédier à la pénurie de résidences étudiantes dans la ville.
Une deuxième zone de logement étudiant avec 59 autres appartements étudiants se trouve dans un bâtiment adjacent. La résidence est commercialisée par la page d’accueil commune de Tunabyggen en tant que «quartier résidentiel multiculturel». Ensemble, ils représentent plus des deux tiers des logements étudiants de la ville.
Mais les étudiants ne veulent pas y vivre, a rapporté le quotidien suédois Fria Tider.
Le recteur de l’université a contacté la municipalité il y a quatre ans, à propos d’une femme violée, et lui a demandé d’organiser d’autres logements étudiants dans la municipalité non située à Tjärna Ängar, en particulier parce que les étudiantes ne se sentaient pas en sécurité dans la banlieue dense en immigrés.
"C'est inacceptable. Les étudiants doivent se voir offrir une résidence au moment de leur acceptation, ou du moins au début de l'enseignement. La norme générale du logement doit être revue, et surtout, les étudiants doivent pouvoir se sentir en sécurité et ne pas se soucier de leur sécurité personnelle. Ce n'est pas discutable », a déclaré la recteur, Marita Hilliges, à l'époque.
Les Somaliens n'ont pas été intégrés dans la société suédoise. Les associations communautaires somaliennes sont généralement basées sur l'appartenance à un clan. Selon une étude d'entrevue réalisée par l'Université de Malmö en 2013, les Somaliens expriment de vives inquiétudes quant à la perte de leur culture et de leur religion islamique. Les Somaliens adultes ont déclaré que leur plus grand souci était d'assurer une identité somalienne parmi leurs enfants, ce qui a conduit à des conflits sans fin avec les crèches et les écoles qui «ignorent leurs préférences culturelles et enseignent aux enfants des choses qui sont exactement le contraire de ce que leurs parents prêchent». Photo: Yasin Yusuf
Mais le logement étudiant est resté. Et maintenant, les étudiants internationaux qui sont placés dans les résidences protestent contre l'obligation d'y vivre. Après avoir été victimes de fusillades à l'extérieur des résidences étudiantes à plusieurs reprises, les étudiants écrivent qu'ils «ont un aperçu de pays déchirés par la guerre» à Tjärna Ängar avec des incendies criminels et des échanges de tirs entre criminels et policiers.
Il y a de nombreux exemples horribles dans la lettre. Plusieurs étudiantes ont été suivies et harcelées par des «inconnus» et se sentent en danger lorsqu'elles sont à l'extérieur de la maison. Deux personnes ont récemment été poignardées juste à l'extérieur du complexe.
RépondreSupprimerUn étudiant s'est réveillé le matin lorsque des voleurs ont grimpé sur le devant du bâtiment et dans la pièce. Ils ont volé son téléphone, son argent et d'autres objets de valeur. Une étudiante a également été réveillée de la même manière par un voleur dans la pièce, selon la lettre.
«La perception générale des étudiants est qu'ils n'ont pas l'impression de vivre en Suède, qu'ils n'entendent pas la langue et ne peuvent pas faire l'expérience de la culture ou des traditions, ce qui leur donne le sentiment de vivre dans un environnement isolé», lit la lettre dans laquelle les étudiants demandent à être autorisés à vivre ailleurs.
De nombreux étudiants internationaux, qui ont commencé l'université à l'automne, ont déjà abandonné l'enseignement et ont quitté la Suède.
«Little Mogadiscio» compte une forte proportion d'immigrants de Somalie, qui, au cours de la période 2017-2018, représentaient 36,8 pour cent des habitants de la région. Neuf sur dix dans la région sont nés à l'étranger.
Seulement entre 14 et 17 % de la population ont un diplôme d'études secondaires et seulement 36-37 % de la population âgée de 25 à 64 ans ont un emploi. Quelque 16,2 % sont au chômage et 39,8 % de la population perçoivent des prestations sociales.
La population officielle était de 3500 en 2018, mais officieusement, les analyses des volumes de déchets et de la consommation d'eau indiquent que le nombre réel pourrait être plus proche de 10 000.
Le quartier a été classé par le Département national des opérations (NOA) de la police suédoise comme une zone à risque où «la situation est considérée comme alarmante» avec 83 % des habitants de moins de 45 ans et 54 % de moins de 25 ans.
Le trafic de drogue est la principale activité économique de la région et il a un système juridique parallèle utilisé par au moins une partie de la population de Tjärna Ängar.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/international-students-quit-isnt-sweden
Qui survit ? ... c'est un nouveau matin en enfer
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim., 10/11/2020 - 22:00
Rédigé par John Steppling via Off-Guardian.org,
"C'est le bon matin pour voler en enfer."
- Arthur Miller (Le creuset)
«L’une des plus grandes illusions de l’homme ordinaire est d’oublier que la vie est le prisonnier de la mort.»
- Emil Cioran (Sur les hauteurs du désespoir)
De plus en plus, je pense, le public américain opère dans un état légèrement dissociatif. J'ai écrit sur ce sujet ici. C'est presque comme si les gens souffraient d'une sorte de TSPT - un seul où le traumatisme est généralisé, de grade relativement bas, mais continu.
Tous ceux d'entre nous qui ont remis en question le récit de Covid ont dû supporter une quantité démesurée de harcèlement, de injures, de ridicule et d'ostracisme. Je me souviens quand j'ai signé l'appel de l'artiste dans le cadre du Comité de défense de Milosevic, et les abus et la colère auxquels j'ai été confronté chaque fois que ce sujet a été soulevé. Des gens qui n'avaient pas d'histoire avec la région, connaissaient peu le paysage politique, n'en seraient pas moins irrités, furieux et au bord des larmes que j'occuperais des positions aussi scandaleuses.
Aujourd'hui, plus d'une décennie plus tard, deux membres de ce comité ont remporté des prix Nobel (Harold Pinter et Peter Handke). On pourrait penser que cela pourrait amener les gens à prendre un moment, à réfléchir, à recalibrer leur réflexion sur le sujet. Mais hélas, c'est rarement le cas.
Le récit de Covid a généré la même indignation quasi hystérique. Le récit, tel qu'il a été construit par l'OMS, le CDC et plus probablement une douzaine de milliardaires (y compris Bill Gates) est si plein de contradictions et d'illogisme qu'on pourrait penser que des fissures commenceraient à apparaître.
Que beaucoup de ceux qui acceptent la parole d'autorité en général, pourraient à ce stade commencer à se demander pourquoi rien de cette histoire n'a de sens. Mais non. Pas en Amérique de toute façon. (ou plutôt, pour être plus précis, il y a un refoulement, mais il reste discret de peur que les petits Cotton Mathers de la haute bourgeoisie n'en mettent un dans les stocks).
Laissez à l'Amérique le soin de faire de la grippe un jeu de moralité. Cependant, il y a des signes évidents de réveil des gens. En Europe certainement.
Et pas seulement l'Allemagne, les médecins et les professionnels de la santé en Belgique aussi. Mais les gouvernements s'en tiennent à l'histoire qui leur a été transmise.
Ici en Norvège, je ne peux toujours pas conduire en Suède. Pourquoi ? Qui sait, aucune raison n'est fournie. Le PM a prononcé quelque chose à propos de mieux prévenir que guérir et de garder le cap. Tout est discuté de cette façon, dans les bavardages infantiles, le charabia et les slogans. Des décrets antidémocratiques prononcés comme par un enseignant de maternelle.
Quelqu'un m'a écrit sur les réseaux sociaux l'autre jour et m'a dit: «Tout le monde ne vit pas en Norvège. Ici, nous sommes entourés de mort ». Maintenant, il vit à Los Angeles. Dans un joli quartier ouest. Il n'est pas entouré de mort. Ou plutôt seulement dans son théâtre intérieur hallucinatoire de l'esprit est la mort présente, qui l'entoure.
Mais cette langue a une qualité que j'associe à Hollywood. Son image kitsch. Qu'à cela ne tienne, ce n'est littéralement pas vrai à distance. Mais c'est une version de quelque chose qui, je pense, arrive tout le temps maintenant. Cet homme est dans son propre film privé.
RépondreSupprimerC'est un film composé de diverses parties; il y a quelque chose de tous les films de zombies post-apocalyptiques (et de la télévision, pensez à Walking Dead), il y a quelque chose de Norman Rockwell là-dedans, ou même de Thomas Kincaid, il y a Dr Phil et Oprah et la dépréciation de l'émotion. Les pensées sournoises des piétons d'un Bill Maher aussi.
C'est ce qui s'est passé pour les intellectuels publics et le discours intellectuel. Tous sont presque incroyablement banals. Il y a aussi des extraits d'une douzaine de films catastrophe. Je veux dire littéralement tout le chemin du retour à Towering Inferno. Et il y a, peut-être le plus significatif, une qualité qui est plus difficile à définir ou à décrire, mais que j'associe à JJ Abrams et Joss Whedon.
C'est une qualité de superficialité réconfortante, de menace contrôlée dans des mondes de gaieté générique. Fait intéressant, les deux sont nés à New York et n'ont qu'un an d'intervalle (milieu de la cinquantaine). Les deux ont une formation en animation et en effets générés par ordinateur. Tous deux sont issus d'une sensibilité de bande dessinée et ont, plus que quiconque dans les médias contemporains, contribué à façonner la nostalgie fabriquée pour un fantasme d'Amérique.
C'est la création d'un désir pour un passé qui n'a jamais existé. Mais les deux ont établi un univers de blancheur et d'équilibre d'où la menace vient de l'extérieur.
Car cela ne peut pas venir de l’intérieur parce qu’il n’y a pas de «dedans».
En ce sens, ce sont les pourvoyeurs anti-psychanalytiques d'une culture de la jeunesse pour les adultes. Une vision du monde comique ou caricaturale dans laquelle le sentimental joue un rôle énorme. C'est un monde sans tragédie ni souffrance réelle. Et juste sous la surface mais toujours sous-entendu, se trouve le respect de l'autorité. C'est aussi un monde où l'on est encouragé à NE PAS grandir.
L'histoire de Covid se déroule dans un univers de Whedon et Abrams, avec des parties de The Hunger Games, Breaking Bad et les films de John Hughes. (Hughes était vraiment le précurseur de Whedon et d'Abrams). Covid se déroule dans les rues où Breakfast Club a été filmé. Dans la tête des gens de toute façon.
Covid le virus est un symbole surdéterminé - et qui n'a même un tout petit sens que s'il se trouve sur ces sites de streaming personnels dans votre cerveau. (et je recommande Jonathan Beller, The Cinematic Mode of Production).
Il y a aussi une tendance à la fétichisation, d'où l'apparence et l'opinion omniprésentes des célébrités. C'est presque surréaliste la plupart du temps: les magnats du hip hop sont interrogés sur le changement climatique, les milliardaires de la Silicon Valley expriment leur opinion sur la surpopulation ou les vaccinations, les stars du feuilleton proposent des réflexions sur la recherche sur les cellules souches.
Rien n'est vraiment étudié. Tout est motivé par ce qui est le plus sinistre ou sensationnel. La classe dirigeante a clairement encouragé, sinon mandaté, une certaine ligne de pensée sur la pandémie. La classe dirigeante a énormément profité du verrouillage et se réjouit d'un état de crise semi-permanent.
En fait, il est probable que tout cela était au moins en partie prévu. Je veux dire de quoi pensent ces milliardaires à la réunion de Bilderberg? Ou chez DAVOS ou autre ? L'élite dirigeante a anticipé les crises du capitalisme, et le verrouillage fournit certainement une couverture pour le pillage massif ou les retraites, l'immobilier et vraiment, presque tout.
RépondreSupprimerMais le système, dans une certaine mesure, fait le travail pour la classe dirigeante sans instruction à ce stade. Car les revenus sont générés par le sang et la violence, et deuxièmement par le sexe. Le modèle a déjà été mis en place. (Lorsque ça saigne il y a un risque). Bien que quelque chose soit arrivé à la dimension «vente sexuelle» du Spectacle. Les gens semblent de moins en moins dans les jets de la passion ou de la luxure.
Les sociétés occidentales sont en train de décliner dans une certaine forme d'onanisme neurasthénique exsangue. La consommation de porno est en hausse, mais je suis presque sûr que les actes sexuels sont en réalité en baisse. Et la dimension allégorique du récit Covid sert à la fois de gratification de substitution et de rituel symbolique de purification.
Cette semaine, Trump a annoncé qu'il avait «été testé positif». Il faisait campagne depuis la semaine précédente et se sentait bien. Ensuite, il a été testé positif et est décrit comme ayant des symptômes pseudo-grippaux. Je n'ai aucun doute sur le fait que cela fait partie d'une stratégie, mais je ne pourrais pas non plus commencer à décrire cette stratégie. Mais l'apparence magique des symptômes à la minute où il a été testé positif fait écho à la pensée magique globale impliquée dans tout ce récit.
Il y a une véritable manie, maintenant, concernant les tests. Et pourtant, même le NYTimes admet que les tests n'ont pratiquement aucun sens. Mais peu importe. Il faut tester plus!
La pensée magique imprègne également le discours sur le climat. Jamais dans l'histoire, ou jamais depuis les Lumières, autant de gens n'ont prétendu en savoir autant. Pour les trente pour cent éduqués (blancs et raisonnablement aisés), c'est l'ère du discours TED. Rien n'ose durer plus longtemps ou être plus exigeant qu'une dizaine de minutes rapides (et divertissantes). Les incendies en Californie proviennent principalement de lignes électriques tombées en panne (très désuètes et rarement entretenues), mais exacerbés par des campements de sans-abri (rarement mentionnés) et des feux d'artifice - et bien sûr la sécheresse qui s'est prolongée en arrière d'une décennie.
La Californie a toujours brûlé. Cela faisait partie de l'écosystème de débarrasser les collines et les forêts des morts d'arbustes et d'arbres morts. Le climat en fait clairement partie - le manteau neigeux est en baisse et la chaleur estivale a asséché les arbustes. Mais une grande partie de ce qui est desséché est un arbuste qui n'est pas originaire de Californie (des trucs comme le cheatgrass, originaire d'Asie et de certaines parties de l'Afrique, et notoirement envahissant) dont les forêts sont de toute façon surpeuplées.
Les infrastructures en Amérique pourrissent, et en Californie, les zones sauvages sont négligées depuis près de cent ans. Mais cela ne fait pas partie du récit. Le récit doit porter sur la rébellion de la Terre elle-même et de la population. Et la population n'a d'importance que pour savoir qui peut se permettre de trop consommer. Le problème est que les problèmes de pollution les plus évidents (militarisme et industrie de l'emballage) ne sont jamais abordés.
L'impérialisme américain est la cause de la plupart des souffrances dans le monde. La plupart de l'instabilité. Mais l'anthropomorphisation infantile de beaucoup de discours verts n'est que plus de bavardages. J'entends souvent «nous faisons la guerre contre nous-mêmes». C'est une mystification dangereuse. [notez que ce riff remonte à la bande dessinée Pogo dans les années 1960].
RépondreSupprimerSes slogans plus simplistes et, comme la plupart de ces châtaignes, l'analyse de classe est absente. J'ai beaucoup écrit sur l'attrait psychologique de certains fantasmes high-tech, l'aspect séduisant de l'IA, et pourtant le monde est plus prolétarisé que jamais.
Oui, les gens, dans un sens très général, peuvent être considérés comme autodestructeurs. C’est l’un des sous-produits les plus troublants de l’habituation aux écrans, de la perte d’alphabétisation et de calcul et de la perte, en fait, d’une capacité à penser de manière critique. Mais cette hystérie sectaire est motivée par la précarité et le désespoir croissants de la vie contemporaine.
La perte des syndicats joue un rôle, l'absence d'un vrai parti de gauche, d'un parti marxiste radical. Pour tout le travail formidable que font les groupes d'activistes (groupes d'abolition des prisons, réforme de la justice pénale, et des trucs comme le projet Innocence), il reste un vide en termes de politique électorale. Peut-être que ce sera comme ça que ça se passe.
Peut-être que tout l'appareil électoral est mort. Et c'est peut-être une bonne chose.
Il y a une qualité de similitude suffocante et de vide qui imprègne la vie quotidienne. Les gens ne se regardent pas dans la rue, ils regardent leurs téléphones. L'un marche, tout le temps, parmi les gens de la cosse. La santé mentale des États-Unis est dans un état déplorable. Les États-Unis, et c'est vraiment de plus en plus vrai en Europe, aussi, mais pas presque dans la même mesure, sont un pays atrocement solitaire. Les gens ont perdu la capacité de nouer des amitiés et plus encore. Et comment le rôle des médias sociaux y joue-t-il une question ouverte. Ou les médias en général.
Donc, si oui, le marketing de la technologie sert à fabriquer un attrait, à un certain niveau, il y a un nombre troublant de personnes qui semblent, toutes seules, * vouloir *, désirer, ravir par nos seigneurs robots. Le sexe Android est une chose, et ça grandit.
Et ce ne sont pas seulement les hommes qui veulent des androïdes «modèles de plaisir» (ok, pour l'instant, ils doivent se contenter de poupées), mais beaucoup veulent non seulement baiser des androïdes - mais se faire baiser * par * des androïdes.
Le moteur est le capitalisme.
Un certain nombre de dirigeants mondiaux ont engagé Covid. Beaucoup d’entre eux attrapent la grippe. Il y a quelque chose de curieusement similaire dans presque tous ces cas. Boris Johnson, Bolsanaro, le président fasciste par intérim de la Bolivie post-coup d'État Jeanine Anez, Mikhail Mishustin de Russie, le ministre français des Finances Bruno Le Maire et l'Indien Amit Shah (l'homme fort n ° 2 derrière Modi), ainsi qu'en Inde, Pranab Mukherjee, ancien président, décédé par la suite (à 84 ans) du virus (non, en fait, il est mort d'un caillot de sang sur son cerveau).
Je le mentionne seulement parce que je ressens un vertige troublant en essayant d'analyser tout cela et d'en faire quelque chose de compréhensible. La façon dont les tests Covid fonctionnent, on pourrait bien penser que tout le monde sur la planète a le virus.
RépondreSupprimerDes dommages psychologiques importants ont déjà été causés aux enfants. La leçon claire est de craindre l'autre. Que les humains sont contagieux et potentiellement mortels. L'intimité est officiellement déconseillée.
Je ne peux pas imaginer ce message quand j'avais quatorze ou seize ans. En grandissant dans les années soixante, l'idée était de promouvoir l'intimité, les sentiments et de ne pas craindre exactement l'ouverture émotionnelle. L'Occident anglophone est passé de Paul Goodman à Theresa Tam.
Le puritanisme renaissant ne se limite pas aux étranges canards comme Tam. Même les experts bourgeois le remarquent. Voici Zoe Williams dans The Guardian:
Il reste, dans la vie publique, une riche veine de puritanisme que l'on ne remarque que lorsque les temps sont si sombres qu'on pourrait vraiment s'en passer. Un sentiment que la frivolité est immorale, même si elle représente 95 % de votre économie; un sentiment qu'ils l'avaient à venir, tous ces gens consacrant leur vie à la génération du plaisir. Les puritains ont tendance à ne pas annoncer leur désapprobation, sauf de la manière la plus détournée, vous pouvez donc rarement l'épingler sur eux. Mais debout sur le précipice d'une année qui se termine sans danse, ours, ours dansants, maisonnettes, bières, musique ou Noël, tout ce à quoi je peux penser, c'est à quel point Oliver Cromwell aurait été heureux. C'est comme si tous ses Noëls annulés venaient en même temps. Il danserait (pas danser) dans sa tombe.
C’est une complainte de la classe privilégiée, mais c’est peut-être un bon signe.
La classe dirigeante ne porte pas de masque et ne se voit pas imposer de restrictions de voyage.
Il n'y a même plus de prétention. Les riches ont droit à un traitement spécial. Les riches méritent un monde propre et dépeuplé où ils peuvent gambader sur le vert, s'ébattre dans les champs élyséens en murmurant des ruisseaux, et ne pas être troublés par les ténèbres et les riffs. Rappelez-vous qu'il y a à peine cent ans, la Belgique a ramené des Congolais de leur pays d'origine africaine pour les faire défiler dans des zoos humains. Ceux qu’ils n’avaient pas déjà assassinés.
Covid est le dernier acte du transfert de richesse vers les 1 % les plus riches. Et la culture est détruite avec tout le reste. Les cinémas ferment, de façon permanente, des théâtres aussi, de façon permanente, et des musées. Les galeries et autres espaces artistiques sont fermés, susceptibles de ne jamais rouvrir. Quelque 30 millions d'emplois ont été perdus. Il y a un désespoir aigu à travers l'Amérique.
Qui survit ? Amazon, Netflix, Google, Comcast, Facebook et al. Ceux qui contrôlent les écrans contrôlent le monde. C'est un nouveau matin en enfer.
https://www.zerohedge.com/markets/who-survives-its-new-morning-hell
Voilà comment on crée des « morts du COVID »
RépondreSupprimerFawkes News
dim., 11 oct. 2020 20:21 UTC
Au plus fort de la crise COVID-19, la Belgique a-t-elle délibérément laissé mourir les pensionnaires de ses homes ? Des instructions ont-elles été données de ne pas envoyer vers les hôpitaux certaines de ces personnes âgées, sachant que cela les condamnait à une mort certaine
Chez nous, selon des données encore provisoires, près de la moitié des décès liés à l'épidémie de Coronavirus ont été enregistrés dans les homes ! Christophe Deborsu a osé aborder de front ces terribles questions et s'en va mener l'enquête sur le terrain.
Le journaliste a rencontré des familles des victimes et des pensionnaires survivants. Des confessions permettent de réaliser l'horreur de ce qui s'est joué en ces lieux et de comprendre par quel cheminement nous en sommes arrivés là.
Il a aussi investigué auprès du personnel soignant, des responsables du secteur et... de nos innombrables Ministres fédéraux et régionaux.
Qui parmi-eux osera assumer une part de responsabilité ? Des têtes doivent-elles tomber et surtout que faut-il corriger de toute urgence si une deuxième vague venait à nous frapper durant l'hiver ?
Quant aux 160 000 personnes qui travaillent en maison de repos et les 110 000 qui sont à leur service, comment vivent-elles aujourd'hui ? Existe-t-il toujours des mouroirs et des « hôtels 5 étoiles » ? Des seniors sont-ils morts dans leurs homes parce que les hôpitaux refusaient de les hospitaliser ?
L'argent est-il le seul moteur de ce secteur ? Une jeune reporter « infiltrée » nous permettra-t-elle de faire la lumière au sein même des institutions ? Enfin pourquoi les résidents bruxellois et wallons furent-ils, proportionnellement, plus nombreux à mourir que les Flamands ?
- voir clip sur site:
https://fr.sott.net/article/36160-Voila-comment-on-cree-des-morts-du-COVID
Gaz carbonique: 60 % de réduction d’ici 2030, un objectif mortifère
RépondreSupprimerPeut-on créer de la croissance en décarbonnant notre économie ? Non, cela relève de la pensée magique.
12 OCTOBRE 2020
Par Vincent Benard.
Le 6 octobre 2020, le parlement européen a adopté un amendement relevant les objectifs de réduction des émissions de gaz carbonique de l’union de 40 % à 60 % par rapport à celles de 1990 d’ici 2030, au nom de la lutte contre le changement climatique.
Or, cet objectif est inaccessible, sauf à mettre en place dans chaque État membre des moyens de coercition de l’économie, voire des populations, tout à fait inimaginables1.
L’économie de l’Union européenne (27 pays depuis le Brexit, 447 millions d’habitants) peut-elle espérer réduire ses émissions de gaz carbonique de 60 % par rapport à celles de 1990 ? C’est ce que semble croire une courte majorité d’eurodéputés (gauche et écologistes), qui a décidé de surenchérir sur les objectifs antérieurement fixés en accord avec la commission, d’une réduction de 40 % « seulement ».
Or, une telle accélération de la réduction des émissions en 10 ans est rigoureusement impossible, même en instaurant la plus totalitaire des éco-dictatures, et si les États membres devaient sérieusement s’efforcer d’atteindre cet objectif, les conséquences sociales en seraient rien moins que désastreuses. En voici la démonstration.
RÉDUCTION DES ÉMISSIONS DE GAZ CARBONIQUE CHEMIN DÉJÀ PARCOURU ET RESTANT À PARCOURIR
De 1990 à 2018, les émissions de GES (tous gaz confondus, en équivalent gaz carbonique) se sont réduites de 20,7 % dans l’UE à 27 (source eurostat), de 4,911 Gt à 3,893 Gt.
Une réduction de 60 % suppose donc de parvenir à n’émettre que 1,964 Gt en 2030. Soit 50,4 % de ce qu’elles étaient en 2018.
Autrement dit, le vote du parlement suppose que la réduction des émissions de gaz carbonique, qui a été d’environ 21 % en 28 ans, accélère au point d’être divisée par 2 en seulement 10 ans !
Dit autrement, la réduction moyenne des émissions a été de 0,8 % par an en Union européenne ces 28 dernières années, il faudrait qu’elle atteigne 5,6 % annuels dans les 12 années suivantes, soit une multiplication par 7 (!) du rythme annuel de réduction.
C’est rigoureusement impossible.
RELATION ENTRE ÉMISSIONS DE CO2 ET DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE : L’ÉGALITÉ DE KAYA
Pour le démontrer, nous recourrons à l’égalité de Kaya, formule mathématique tautologique exprimant les émissions de gaz carbonique d’un territoire en fonction de ses caractéristiques économiques et de son efficacité énergétique.
Cette formule porte le nom de son initiateur, l’économiste japonais Yoichi Kaya, qui l’a publiée pour la première fois en 1993, et qui est depuis utilisée par le GIEC pour étudier divers scénarios de réductions d’émissions.
Cette égalité s’écrit ainsi :
RépondreSupprimerGaz carbonique = POP * PIB/POP * E/PIB* gaz carbonique/E
Où gaz carbonique représente les quantités de gaz carbonique émises, POP la population, PIB/POP le produit intérieur brut par habitant, E/PIB la quantité d’énergie nécessaire pour produire une unité de PIB (« intensité énergétique » de l’économie), et gaz carbonique/E la quantité de gaz carbonique dégagée par unité d’énergie consommée, toutes ces quantité étant prises la même année.
Le produit E/PIB *gaz carbonique/E, soit gaz carbonique/PIB, est « l’intensité carbonique » de l’économie.
La variation des émissions de gaz carbonique sur une période donnée (ici, 12 ans, de 2018 à 2030) est donc égale au produit des variations de chaque terme :
Variation(gaz carbonique) = Var(POP) * Var (PIB/h) * Var (E/PIB) * Var (gaz carbonique/E)
APPLICATION DE L’ÉGALITÉ DE KAYA AUX HYPOTHÈSES DU PARLEMENT EUROPÉEN
Réduire de 50 % les émissions de gaz carbonique entre 2018 et 2030 suppose donc que
Gaz carbonique (2030)= 0,5 *gaz carbonique (2018).
Les bases de données de l’UE nous fournissent les valeurs d’évolution de l’intensité énergétique de l’économie (source) et de l’évolution de l’intensité carbonique de la consommation énergétique (source).
Ces valeurs se sont améliorées ces 10 dernières années de respectivement 2 % et 0,9 % par an en moyenne, soit, sur 12 ans, une réduction de l’intensité carbonique de l’économie de l’UE de 30 % (facteur de réduction : 0,7).
Est-il réaliste d’imaginer que notre efficacité énergétique ou notre intensité carbonique puissent s’améliorer à un rythme beaucoup plus élevé ? La réponse est clairement Non.
En effet, malgré les milliards publics et privés investis dans ces deux domaines, les taux de réduction observés restent stables, et ont même eu tendance à s’amenuiser entre le début et la fin de ces dix dernières années.
Ces réductions demandent des investissements considérables, et le rythme de ces investissements ne peut pas évoluer brutalement d’une année sur l’autre, une économie d’un continent de 447 millions d’habitant possédant une très forte inertie.
Pire encore, la crise du Covid, qui est en train de frapper durement les entreprises du continent, va certainement aboutir à retarder certains de ces investissements.
Enfin, aucune rupture technologique majeure, pouvant être mise en œuvre dans les 10 années qui viennent, ne paraît être en mesure de transformer en profondeur les paradigmes énergétiques actuels. La technologie continuera de faire des progrès, mais elle ne fera pas de miracles.
Du reste, la forme de la courbe des réductions de l’Union confirme que les progrès en temps normal sont plutôt lents, et que les principales baisses se sont produites par gros paliers après une crise économique (source eurostat) : dépression post guerre d’Irak de 1990 à 1994, et crise financière mondiale puis de la zone Euro de 2008 à 2015.
Le reste du temps, ces émissions semblent posées sur un plateau. On peut donc supposer qu’elles vont à nouveau baisser pendant quelques années du fait de la crise du Covid, mais que la reprise post covid marquera une nouvelle pause de cette baisse.
RépondreSupprimerSachant par ailleurs de quels malheurs toute crise économique est porteuse, se féliciter des baisses de gaz carbonique réalisées dans ces conditions relèverait du cynisme le plus éhonté.
Aussi est-il peu probable que le rythme d’amélioration de l’efficacité carbonique de nos économies s’accélère entre 2020 et 2030, et considérer que ce rythme sera identique à celui de la décennie précédente constitue déjà un pari. Mais acceptons néanmoins cette hypothèse.
Donc notre égalité de Kaya devient :
0,5=0,70 * Variation (population) * Variation (PIB/h)
soit encore :
0,715 = Var (Population) * Var (PIB/hab) = Variation du PIB.
Les projections démographiques de l’UE indiquent une relative stabilité de la démographie d’ici 2030, la population passant de 447 à 449 millions environ (source), en arrondissant, on retiendra que Var (Pop) =1.
EN ROUTE POUR L’HYPER-DÉCROISSANCE ?
Par conséquent, pour atteindre les objectifs de réduction de gaz carbonique votés ce 6 octobre, il faudrait que le PIB… régresse de 28,5 % d’ici 2030, soit une décroissance de 2,8 % par an entre 2018 et 2030 !
Considérons que la crise du Covid a déjà coûté à la France 600 000 emplois, et que ce chiffre a été artificiellement limité par un recours massif à des aides publiques financées par de la dette, une méthode d’amortissement du choc social qui ne sera en aucun cas reconductible sur 10 années consécutives, et cela vaut pour tout le continent.
Une succession de récessions contractant notre économie de 28 % provoquerait une véritable dévastation économique continentale, et sans aucun doute, dans un pays aussi prompt à la violence que le nôtre, de grandes difficultés pour maintenir un ordre public déjà bien malmené, sauf émergence d’un pouvoir autoritaire.
De surcroît, une telle décroissance ne peut survenir dans un environnement économique libre : les entreprises sont toujours poussées à améliorer ce qu’elles font, c’est-à-dire à tirer toujours plus de valeur d’une quantité de ressources moindres. C’est la définition même de la croissance, au niveau micro-économique.
Un événement imprévu et dommageable tel que la Covid peut provoquer une récession sévère, mais dès que cette maladie sera jugulée, la croissance repartira à la hausse. Forcer un tel niveau de décroissance sur 10 ans suppose de littéralement interdire aux agents économiques de chercher à s’améliorer, à croître.
Ce qui irait totalement à l’encontre de l’objectif d’une moindre intensité carbonique ! En effet, améliorer ce facteur requiert des investissements énormes. Mais dans une société qui s’appauvrit, les investissements environnementaux cessent d’être une priorité.
Les sociétés communistes qui empêchaient l’initiative privée et condamnaient à la misère leur population étaient également réputées pour leurs catastrophiques niveaux de pollution et d’insécurité environnementale.
RépondreSupprimerPendant la crise grecque post 2010, les gouvernements successifs ont, avec l’accord des populations, renoncé à faire appliquer nombre de réglementations environnementales non finançables, et la population n’a pas hésité à recourir à d’importantes coupes forestières sauvages dans les pires conditions simplement pour pouvoir se chauffer.
Le prix Nobel d’économie Simon Kuznets a démontré que les sociétés n’améliorent leur performance environnementale que passé un certain seuil de richesse. Un autre économiste, l’américain Benjamin Friedman (aucun rapport avec Milton Friedman), a quant à lui montré, dans The Moral Consequences of Economic Growth, qu’il était impossible de maintenir la cohésion sociale d’une population sans croissance, sauf à recourir à une violence politique extrême.
Les gens perdent la foi en la société s’ils pensent qu’ils ne vivront pas mieux que leurs parents, et que leurs enfants ne vivront pas mieux qu’eux mêmes.
Une proposition aussi ouvertement décroissantiste que celle votée par le Parlement européen ne peut donc mener qu’à une dévastation environnementale, couplée soit au chaos social, soit à l’émergence d’un éco-totalitarisme pour maintenir cet ordre social par la force.
Mais cette seconde hypothèse suppose de trouver assez de magistrats, militaires, policiers et cadres politiques qui acceptent de transformer la vie de leurs concitoyens en enfer pour « sauver la planète », et dans une société où tout le monde vit de plus en plus mal, même les tortionnaires finissent par ne plus y trouver leur compte… Même l’URSS a fini par tomber, pour cette raison.
Bien sûr, les plus sots des zélotes de la décroissance pourraient imaginer des combinaisons où, au lieu de réduire le PIB/h de 28 %, cette réduction serait répartie sur le PIB et la population (cf. l’égalité de Kaya).
Mais là encore, on n’imagine pas quel degré de coercition serait nécessaire pour aboutir à une diminution de population suffisante en 10 ans pour parvenir à cette réduction combinée de 28 % !
AUCUN ESPOIR DU CÔTÉ DE LA TECHNOLOGIE
À ce stade, vous pourriez objecter que je suis passé un peu vite sur les espoirs liés au progrès technologique, que l’on pourrait sauver la croissance en trouvant les moyens d’accélérer la décarbonation de notre économie. Revenons donc sur ce point.
Imaginons que l’UE reste un continent relativement capitaliste et libre, et connaisse ces 10 prochaines années une stagnation de sa population et une croissance annuelle de 1 %, ce qui est peu. Le PIB progresserait donc de 12,7 %, et le PIB/habitant de la même façon (par rapport à sa valeur 2018).
Dans cette hypothèse,
0,5 = 1 *1,127 * variation (intensité carbonique)
Donc Variation (Intensité carbonique) = 0,44, ou encore une division par plus de 2 (2,25 exactement) en 12 ans.
RépondreSupprimerCela représente une réduction annuelle de notre intensité carbonique de 6,5 %, contre 3 % aujourd’hui. Si la croissance moyenne devait être un peu plus élevée, à 2 % annuels, ce qui serait souhaitable pour l’état général de notre économie, ce rythme devrait monter à 7,5 % par an, et ainsi de suite.
Donc si on veut atteindre les émissions cible en conservant une croissance correcte, il faut multiplier par plus de 2 la vitesse de décarbonation de notre économie.
Jamais aucune société n’est parvenue à réaliser un tel progrès en si peu de temps. Pour y parvenir, il faudrait non seulement que les procédés capables de se substituer en masse à toutes les technologies carbogènes soient disponibles dans tous les secteurs, ce qui est loin d’être le cas, et que les projets d’investissement industriels permettant de les mettre en œuvre soient déjà dans les cartons, acceptés par les populations et prêts à être financés.
Dans le domaine de la production d’électricité, une technologie non émissive de gaz carbonique (sauf pour la production des centrales) existe, il s’agit du nucléaire. Mais cette technologie, bien qu’existant depuis 60 ans, ne produit que 28 % de l’électricité consommée en UE, et l’électricité ne représentait en 2017 que 22,7 % de la consommation finale d’énergie (source). Le nucléaire européen ne représente donc que 6,4 % de notre consommation finale énergétique.
Or, investir massivement dans le nucléaire coûte cher, les projets sont longs à mettre en œuvre, et vous aurez sûrement remarqué que ceux-là mêmes qui prônent la décarbonation la plus extrême de l’économie… s’opposent également souvent au nucléaire !
Au point que la France, qui n’a plus mis en service de nouvelles tranches depuis 2002, n’a pas remplacé les réacteurs de Fessenheim, fermés par décision politique, et que l’Allemagne a décidé en 2011 de renoncer progressivement à toute production d’électricité nucléaire, ses 17 réacteurs devant être démantelés fin 2022.
Dans le même temps, seuls 4 réacteurs sont en construction, 8 en projet, et 14 en évaluation actuellement dans l’UE.
Dans ces conditions, une augmentation massive du nucléaire d’ici 2030 dans le mix énergétique européen est inenvisageable. Des décisions volontaristes pro-nucléaires prises aujourd’hui (et on n’en prend pas le chemin) ne produiraient au mieux des résultats qu’après 2030, vu le temps nécessaire au déploiement de nouveaux réacteurs.
Et l’espoir placé par les politiciens dans les énergies renouvelables intermittentes est un leurre : seules les centrales à énergie fossile sont pour l’heure suffisamment pilotables pour combler les besoins d’énergie pendant les périodes sans soleil et sans vent.
La part de l’électricité (théoriquement quasi intégralement décarbonable via le nucléaire, donc, mais à long terme) dans la consommation finale d’énergie européenne a augmenté de 0,22 % par an en moyenne depuis 1990 (progression très régulière), mais n’atteint toujours pas un quart de cette consommation.
En effet, de nombreux process utilisant aujourd’hui la combustion des fossiles pour produire de l’énergie (sous forme de chaleur, elle-même parfois convertie en mouvement) ne sont pas électrifiables, et a fortiori pas nucléarisables.
La raison peut être technique, lorsque le procédé se substituant à la combustion-flamme n’a pas été encore inventé (exemples : métallurgie, cimenterie, pétrochimie, aviation….). Elle peut être d’ordre économique, lorsque le procédé de substitution existe mais a trop d’inconvénients pratiques ou coûte trop cher pour être déployé massivement et rapidement (exemple : véhicules électriques).
RépondreSupprimerPar conséquent, tout discours politique affirmant qu’il est possible de décarboner notre économie deux à trois fois plus rapidement que lors des 10 dernières années sans renoncer à la croissance, alors même que nous avons déjà déversé des milliards dans cet objectif pour un résultat honorable mais pas miraculeux, relève de la pensée magique.
CONSÉQUENCES POLITIQUES DU VOTE DU PARLEMENT EUROPÉEN
Le précédent objectif de 40 % de réduction depuis 1990, soit 25 % depuis aujourd’hui compte tenu des 20 % déjà acquis, n’était déjà pas facile à atteindre, impliquant (cf. égalité de Kaya) soit une croissance annuelle inférieure à 0,5 %, économiquement peu porteuse d’amélioration du sort économique des populations, soit, sous une hypothèse de croissance faible de 1 % annuels, une augmentation de 25 à 30 % de notre rythme d’amélioration de notre intensité carbonique, ce qui n’a rien d’évident pour les raisons exposées plus haut.
L’application de l’égalité de Kaya à des hypothèses raisonnables (continuation du rythme de décarbonation actuel, stabilité de la population, croissance moyenne de 1 %) conduit à estimer à 17 % la réduction possible des émissions de gaz carbonique dans l’Union en 10 ans.
Bien sûr, on peut espérer, avec de la chance du côté des découvertes technologiques, augmenter légèrement ce pourcentage en direction des 25 % que l’ancien objectif rendait nécessaires, mais guère plus.
Bref, l’objectif de -40 % n’était sans doute pas accessible, mais nous pouvions être en mesure de le rater par une marge faible.
A contrario, la surenchère à 60 % de la gauche rose-rouge-verte européenne relève de l’incantation. Malheureusement, l’opposition du PPE n’est guère plus réaliste, son porte parole ayant regretté que « le parlement ne s’en soit pas tenu à un objectif de 55 % »... considéré comme plus réaliste (!!) (source).
C’est donc toute la classe politique européenne qui, en toute déconnexion des réalités technologiques et économiques de base, est lancée tête baissée dans la course improbable à la décarbonation à marche forcée de nos économies.
Il y a donc peu de chance pour que le Conseil de l’Europe, qui devra in fine approuver ou pas ce texte parlementaire, revienne à des ordres de grandeur simplement réalistes.
Un tel vote, de par le caractère plus ou moins contraignant de ses traductions dans la législation des 27 États membres, porte en germe la promulgation de lois extrêmement coercitives, voire liberticides, par les gouvernements, la loi européenne s’imposant aux textes nationaux.
Taxes environnementales punitives, interdictions diverses et variées assorties de condamnations de plus en plus lourdes, limitation de nos consommations, subventions à des éléphants blancs renouvelables, vont fleurir comme le muguet au mois de mai.
Déjà certains secteurs économiques, tels que le transport aérien (Airbus annonce 5000 suppressions d’emploi en France), plient sous le poids des attaques contre leur activité, renforcées par la pandémie.
RépondreSupprimerIl est à craindre que ce ne soit que le début d’une grande débâcle sociale si les politiciens privilégient leurs chimères climatiques à la prospérité de leurs peuples.
Nous sommes sur la route de la servitude écologique, route dont la destination nous promet misère, oppression, et dévastation.
Cet article n’entre pas dans le débat de savoir si ces réductions d’émissions de gaz carbonique sont justifiées ou non d’un point de vue climatique
https://www.contrepoints.org/2020/10/12/382000-co2-60-de-reduction-dici-2030-un-objectif-mortifere
SupprimerLe gaz carbonique dépend du temps qu'il fait ! Il est expulsé par le magma vers les mers et océans qui le transforment, le modifient, le recyclent continuellement mais en laissent s'échapper vers l'atmosphère. Là, lui comme les autres gaz se confondent, se métamorphosent et deviennent d'autre gaz suivant les degrés de températures !
Il en est ainsi depuis des milliards d'années, sans quoi la vie ne serait même pas apparue sur Terre.
RépondreSupprimerLe grand exode californien s'accélère
par Tyler Durden
Dim., 10/11/2020 - 14:30
Rédigé par Andrew Moran via LibertyNation.com,
L'auteur allemand Franz Kafka a écrit dans The Metamorphosis: «Il y a une quantité infinie d'espoir dans l'univers… mais pas pour nous.» L'écrivain légendaire aurait tout aussi bien pu écrire sur l'état de Californie, un désert progressiste qui personnifie tout ce qui ne va pas avec l'orthodoxie de gauche. Au milieu du XIXe siècle, lorsqu'il est devenu un État, des dizaines de milliers de personnes se sont dirigées vers l'ouest. Aujourd'hui, ceux qui ont un minimum de jugement et de respect pour leur portefeuille se dirigent n'importe où qui ne s'appelle pas la Californie, tentant de fuir la mauvaise gestion incompétente du gouverneur Gavin Newsom et de ses amis démocrates à Sacramento sur tous les sujets, de l'économie aux libertés civiles.
L'exode: une introduction
La Californie est peut-être l'État le plus peuplé de l'Union, mais il pourrait se transformer en capitale de l'exode de l'Amérique. Le Golden State a connu un décrochage de sa population, passant légèrement de 39,96 millions à 39,78 millions au deuxième semestre 2019, selon le ministère des Finances.
La croissance a ralenti près de zéro ou même diminué dans la plupart des comtés côtiers. La région de la baie de San Francisco a progressé et les comtés à l'est de Los Angeles ont connu une croissance modeste. Cependant, le comté de Los Angeles a expulsé des résidents pour la deuxième année consécutive en 2019. On ne sait pas à quel point la baisse de population est grave à la suite de la pandémie de coronavirus et des hausses fiscales proposées par le gouvernement de l'État.
Contrairement au mythe sur Internet, ce ne sont pas seulement les salariés à revenu élevé qui font leurs valises et disent au revoir à Newsom. Des études, dont une de l'Institut des politiques publiques de Californie et une autre de l'Empire Center for Public Policy, ont révélé que les ménages les plus pauvres sont plus susceptibles de fuir que leurs homologues aisés. Mais compte tenu du maintien de l'ordre proposé ou promulgué, il est sûr de dire que les riches n'ont aucune raison d'être parmi les laissés pour compte.
California Nightmarin »
En août, les démocrates de Californie ont proposé une augmentation significative des impôts sur les riches. La législation de l'Assemblée prévoit de relever le taux d'imposition le plus élevé à 16,8%, rétroactif à janvier de cette année. Cela ferait passer le taux le plus élevé à 14,3% pour les ménages gagnant plus de 1 million de dollars, 16,3% pour les revenus supérieurs à 2 millions de dollars et 16,8% pour les revenus supérieurs à 5 millions de dollars. Un projet de loi distinct imposerait une taxe de 0,4% sur les actifs dépassant 30 millions de dollars.
Bien que cela soit dommageable pour l'économie et que cela puisse être considéré comme isolé pour les riches, tout ce que fait la Californie fait mal et continuera de blesser tout le monde.
Newsom a récemment signé un décret mettant fin à la vente de toutes les voitures à essence d'ici 2035. L'OE permettra toujours à ces voitures d'être détenues et vendues sur le marché des voitures d'occasion, mais la mesure poussera certainement les consommateurs à passer à la marché des véhicules électriques fortement subventionné.
Dans un communiqué, Newsom a également approuvé une interdiction de la fracturation pétrolière. Cependant, au lieu de prendre des mesures exécutives, il a exhorté l'Assemblée législative de Californie à adopter des interdictions ou des restrictions sur la fracturation hydraulique. Cela pourrait avoir un impact sur les plus de 360 ??000 personnes qui travaillent dans le secteur pétrolier et gazier.
RépondreSupprimerBien qu'elle soit l'une des juridictions les plus riches du monde, la Californie reflète le Venezuela en subissant des pannes de courant continuelles. Pour la première fois en près de 20 ans, la Californie lance des pannes de courant planifiées, ce qui incite le gouverneur à admettre que l'État devait «se dégriser» sur les sources d'énergie renouvelables qui n'offrent pas suffisamment d'électricité pour des millions de résidents en période de pointe.
Bien que les politiciens locaux de gauche et la presse grand public fassent allusion aux incendies de forêt généralisés comme preuve du changement climatique, ce sont des années de négligence grave qui ont contribué à la catastrophe. Comme l'a écrit Liberty Nation en janvier 2019:
«La plupart des forêts sont englouties dans des arbres morts. Les jeunes arbres sont écrasés ensemble et consomment l'eau dont les vieux arbres ont besoin, ce qui les fait endurer une infestation de ravageurs et une glissade abrupte à mort. Ce qui est nécessaire, c'est l'éclaircie, qui peut être effectuée par des entreprises forestières privées. »
Non seulement la Californie connaît des pénuries d'électricité, mais elle souffre également d'une pénurie d'eau induite par le gouvernement. L'État a autorisé l'eau douce propre à voyager des rivières dans l'océan Pacifique, refusant de consommer la ressource naturelle dans le cadre des efforts visant à apaiser les fanatiques verts. L'autre problème est que les agriculteurs sont exemptés des restrictions d'eau et ne paient pas les prix du marché. Et pourtant, les résidents peuvent faire face à des amendes allant jusqu'à 500 $ par jour s'ils prennent une longue douche.
La Californie a même ciblé les pigistes dans le cadre des croisades des politiciens pour les sauver de la vile exploitation du marché libre. L'année dernière, le gouverneur a signé la loi AB5, un projet de loi qui obligerait les entreprises à reclasser les pigistes et les travailleurs occasionnels en tant qu'employés à temps plein. Le travail organisé a célébré, mais les ouvriers ont été indignés - et avec raison. Immédiatement après l'adoption de la loi, les entreprises ont abandonné leurs pigistes, tandis que les pigistes professionnels ont perdu des milliers de dollars de revenus. L'État a légèrement pivoté, mais au lieu de céder totalement l'erreur de ses manières, les législateurs insistent sur le fait qu'AB5 est génial.
Malgré un énorme déficit budgétaire et une crise des retraites, l'État élabore un plan de réparation de l'esclavage.
Et, pire, tout cela s'ajoute à la pléthore de restrictions sur les coronavirus que Newsom et ses amis au niveau local ont introduites au cours des six derniers mois.
La liste des gâchis, des erreurs et des ratés peut aller aussi longtemps que la file d'attente jusqu'à la porte de sortie.
#DontCalifornieMyArizona
La situation en Californie a eu un effet boule de neige. Chaque prescription progressive qui a fait plus de mal que de bien a transformé la boule de neige en avalanche, conduisant les gens à la sortie la plus proche. Ils veulent descendre du train ultra-gauchiste et trouver des pâturages plus verts. De nombreuses personnalités éminentes font leurs adieux ou se plaignent de la situation. Ben Shapiro et l'équipe du Daily Wire ont fait leurs valises et se dirigent vers Nashville. Joe Rogan a attrapé son chapeau de cow-boy et son approvisionnement en DMT et s'est réfugié au Texas. La superstar des Dodgers de Los Angeles, Mookie Betts, a déclaré que les taux d'imposition étaient fous. Serez-vous le prochain ?
Si vous avez des vues de gauche et que vous voyagez au Texas ou en Arkansas, n'oubliez pas de vous souvenir du hashtag: #DontCaliforniaMyArizona.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/political/great-california-exodus-accelerates
PAGES JAUNES : DERNIÈRE DISTRIBUTION AVANT DISPARITION !
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
10/10/2020
Le site web des Pages Jaunes compte 27 millions de visites mensuelles.
C'est un ancien incontournable des foyers qui va disparaître d'ici la fin de l'année : l'ultime édition papier des Pages Jaunes est en train d'être distribuée. Une page se tourne !
En 2018, SoLocal, le propriétaire des Pages Jaunes, avait annoncé la couleur : les Pages Jaunes disparaîtront en 2019 ou 2020. Le chiffre d'affaires du vénérable bottin, en baisse continue depuis des années, ne permettait plus d'assurer la survie à long terme du fameux annuaire. De moins en moins de clients et d'annonceurs ont en effet recours au bottin imprimé pour leur communication, avançait l'entreprise à l'époque. La distribution de cette dernière édition se poursuit dans les 75 départements qui reçoivent encore les Pages Jaunes ; 13 départements doivent encore recevoir leur annuaire, selon le Journal du Dimanche : le Cher, la Vienne ou encore la Haute-Savoie pour le mois d'octobre, la Côte-d'Or et les quatre départements d'outre-Mer sont prévus pour novembre.
Toujours des fidèles des Pages Jaunes
Les Pages Jaunes, créées en 1889, ont bien vécu et comptent toujours des fidèles, explique la directrice des imprimés chez SoLocal, Isabelle Lascombe. Ce sont surtout les séniors qui restent attachés à l'annuaire : « un certain nombre de personnes (…) nous ont écrit pour nous demander si on ne pouvait pas continuer. Mais oui, malheureusement, c'est bien terminé ». Elle relève toutefois qu'aucun des annonceurs ne s'est plaint de l'arrêt de la version imprimée. Signe qu'il était temps d'arrêter les frais, sachant que SoLocal est lesté d'une dette de 500 millions d'euros, tandis que son chiffre d'affaires Ebitda (avant intérêts, impôts, dépréciations et amortissements) n'est que de 120 millions.
Remplacées par le web
Les commerçants, premiers annonceurs des Pages Jaunes, ont petit à petit transféré leur communication sur Internet et les réseaux sociaux. Quant aux lecteurs, ils ont jeté leur dévolu sur les services en ligne. L'explosion des smartphones leur a permis de consulter en tout temps et très facilement la liste des commerçants près de chez eux, avec en plus les commentaires des consommateurs, une chose que les Pages Jaunes ne peuvent évidemment offrir. Si l'imprimé disparaît, le site web des Pages Jaunes est très populaire avec 27 millions de visites par mois.
http://www.economiematin.fr/news-pages-jaunes-derniere-distribution-avant-disparition-
Consultations payantes ?
SupprimerÂah le bon temps du '12' ! ("Allo tonton pourquoi tu tousses ?")
RépondreSupprimerMISSION IMPOSSIBLE : TROUVEZ-MOI UN EURO QUI NE SOIT PAS NUMÉRIQUE !
par JACQUES BICHOT
11/10/2020
La valeur totale des pièces et des billets en circulation a dépassé, fin juillet 2020, le niveau record de 1.400 milliards d'euros.
D’après Le Figaro, Christine Lagarde, présidente de la BCE, aurait déclaré : « nous devons être prêts à émettre un euro numérique si le besoin émerge ». Ce journal titre sur deux pages : « Bientôt un euro numérique dans nos poches ». Et pour faire bonne mesure, un membre du directoire de la BCE, publie dans le même numéro du Figaro une tribune intitulée : « Préparons-nous à créer un euro numérique ».
Ces déclarations péremptoires sont étonnantes, car il n’existe pas d’euro, pas plus que de dollar, de yen ni de livre sterling, qui ne soit pas numérique. Sur les billets que chacun de nous a dans son portefeuille est imprimé une valeur – un nombre d’euros. Les pièces sont de même reçues en paiement pour un nombre d’euros ou de centimes d’euros. Et si nous payons par carte ou par chèque, c’est encore un nombre d’euros que nous pianotons sur le terminal de paiement, sur le clavier de notre ordinateur, ou que nous inscrivons sur un chèque.
La monnaie est fondamentalement numérique
Il se trouve que j’ai commencé ma carrière universitaire comme mathématicien, et que je suis docteur en mathématiques, ce qui serait un peu étrange si je n’avais pas quelque idée de la numération. Ensuite, quand je me suis mis à l’économie, j’ai consacré ma thèse aux questions monétaires, en effectuant des recherches historiques concernant l’histoire du phénomène monétaire du moyen-âge à nos jours. J’en ai tiré un livre intitulé Huit siècles de monétarisation, ayant pour sous-titre : de la circulation des dettes au nombre organisateur. En effet, quand on examine de près le phénomène monétaire, quand on suit son évolution multiséculaire, on constate qu’il s’agit essentiellement de l’utilisation de l’arithmétique pour organiser de nombreux aspects de notre vie en société. Dire que l’on va créer un euro numérique a donc à peu près autant de sens que dire que l’on va créer de l’eau liquide ; c’est purement et simplement un pléonasme.
L’économie fonctionne grâce à des créations et annulations de dettes et créances
Plus précisément, le système monétaire et financier consiste à créer, transformer, annuler, des relations chiffrées, que l’on appelle créances ou dettes selon que l’on se place du point de vue de celui qui a des droits ou de celui qui a des devoirs. Si j’ai à la banque B un compte créditeur de 500 euros, B a des devoirs envers moi : exécuter mes ordres de paiement, dans la limite de ces 500 euros. Un tel paiement consiste à créditer le compte du bénéficiaire par le débit du mien. Et si je paie « en liquide », en donnant par exemple un billet de 50 euros au commerçant chez qui je viens faire des emplettes, il s’agit toujours d’une opération arithmétique : ma créance sur la Banque de France diminue de 50 euros tandis que ma dette envers mon fournisseur est éteinte.
RépondreSupprimerLes paiements sont des opérations créant, modifiant ou annulant des créances et des dettes. Certes, jadis, on pouvait payer avec des pièces de métal précieux ayant une valeur intrinsèque, mais les hommes d’affaires préféraient de beaucoup les écritures. Et que ces écritures se réalisent en maniant une plume d’oie ou en frappant des touches sur un clavier d’ordinateur, cela ne fait pas une grande différence. Il s’agit toujours de créer, modifier ou annuler des relations chiffrées entre des agents ayant accepté les règles du jeu monétaire. Le caractère numérique de la monnaie ne date pas de l’apparition de l’informatique ; celle-ci a modifié les méthodes de conservation et de modification des données qui constituent des créances et des dettes, mais le système monétaire et financier constitue toujours un ensemble de créances et dettes numériques modifiables selon certaines règles.
Dire « numérique » pour signifier « informatique » favorise le développement d’idées fausses et de pratiques répréhensibles
Beaucoup de personnes, y compris semble-t-il la présidente de la BCE, ont pris la mauvaise habitude de dire « numérique » quand il faudrait dire « informatique ». Pour ces personnes, un billet de banque n’est pas de la monnaie « numérique », parce que, matériellement, il s’agit de papier et non de puces de silicium. Heureusement pour elles, le ridicule ne tue pas, mais cette erreur est quand même fichtrement dommageable, car elle ne se limite pas aux créances dites « au porteur », manuellement transmissibles, que sont les billets de banque. Plus précisément, dès lors que le support (papier versus silicium) acquiert dans les esprits une importance démesurée, la voie est ouverte aux pires aberrations.
Quand le progrès technologique facilite le camouflage des pyramides de Ponzi
La règle d’or du domaine monétaire et financier est la « partie double » : toute créance de A sur B est une dette de B envers A. La conséquence de cette règle fondamentale est que, pour augmenter la quantité de monnaie en circulation, il existe un seul moyen : qu’un agent B se reconnaisse débiteur d’un agent A, qui lui-même se reconnait débiteur, pour le même montant, de B. Généralement B est une banque, et A un agent non bancaire, qui va utiliser la monnaie ainsi créée pour acquérir des biens et des services permettant de produire et de vendre.
Hélas, tous les emprunts ne sont pas économiquement raisonnables. Misant sur la crédulité de nombreux agents économiques, des escrocs parviennent régulièrement à convaincre des gogos de devenir leurs créanciers, en leur promettant des rendements mirifiques, dont ils s’acquittent en utilisant les fonds qu’ils collectent en théorie pour les investir, mais en réalité pour payer les fantastiques intérêts qu’ils ont promis aux souscripteurs. Bien entendu, ces « pyramides de Ponzi » finissent par s’effondrer : quantité de créances doivent être passées par pertes et profits, et Bernard Madoff écope de lourdes peines de prison. Il se monte toujours des pyramides de Ponzi, la naïveté associée au désir d’enrichissement pouvant encore être exploitée, mais la recette est usée, elle ne permet plus de très grandes arnaques. Il fallait trouver autre chose.
La trouvaille s’appelle cryptomonnaie. Beaucoup de nos contemporains ayant pour l’informatique la foi du charbonnier, il eut été étonnant qu’une procédure financière recourant à une technique sophistiquée, appelée blockchain, ne suscite pas un vif engouement. La complexité des procédures permet de susciter une foi sinon aveugle, du moins fort peu éclairée, en faveur du mining – l’acquisition de jetons virtuels transférables, que ce soit pour les vendre ou pour effectuer un paiement. Le filon étant limité, la rareté des jetons augmente avec le temps, ce qui permet aux « mineurs » initiaux de revendre leurs métaux virtuels, leurs bitcoins par exemple, avec bénéfice. Naturellement, comme pour les pyramides de Ponzi, les gains obtenus par les premiers mineurs encouragent d’autres joueurs à les imiter. Cet effet boule de neige peut enrichir fortement certains agents avant d’en ruiner de nombreux autres.
RépondreSupprimer« L’Europe prépare son euro numérique »
En soi, de tels divertissements ne tombent pas sous le coup de la loi, pas plus que les paris hippiques ou le loto, mais le problème est totalement différent lorsqu’une grande banque centrale descend dans cette arène. Ce qui est sur le point de se produire, si l’on en croit Le Figaro des 2 et 3 octobre. La page « Economie » annonce en effet, en gros caractères : « Face au Libra, l’Europe prépare son euro numérique ». Le sous-titre précise : « La BCE accélère son projet de devise électronique ». Et dans le corps du texte apparaît un motif concret : « La Banque centrale, qui anticipe la baisse de l’usage des espèces, veut sécuriser les transactions virtuelles ».
Il semblerait que l’anticipation de la baisse de l’usage des espèces relève du dicton « quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage ». En effet, dans le même quotidien, le 16 septembre, le PDG de la Monnaie de Paris, l’institution qui frappe nos pièces de monnaie, présentait une réalité bien différente : « La demande d’argent liquide est en constante augmentation. (…) Depuis l’introduction de l’euro en 2002, la valeur totale des pièces et des billets en circulation a été multipliée par six et a dépassé, fin juillet 2020, le niveau record de 1.400 milliards d'euros. Même constat pour le dollar américain, dont la circulation a triplé de valeur depuis 2000. Cette croissance s’est-elle ralentie depuis le début de la crise sanitaire ? Pas du tout, puisqu’on constate au contraire une forte accélération de la circulation d’argent liquide : + 9 % en un an pour l’euro et + 11% pour le dollar ».
Que veulent la BCE et, probablement, la Banque de France, à moins qu’elle ne soit contrainte volens, nolens, à s’aligner sur la position définie par la BCE ? Citée par le Figaro, la présidente de la BCE affirme : « Nous devons être prêts à émettre un euro numérique, si le besoin émerge ». Et surtout, un membre du directoire de la BCE, Fabio Panetta, publie une tribune « Préparons-nous à créer un euro numérique », tribune publiée simultanément dans plusieurs grands quotidiens européens. Mais qu’est-ce que cela peut bien vouloir dire ? La livre d’Ancien régime était déjà numérique. Comment se réglaient les transactions sur les foires de Champagne, au Moyen Age, puis de Lyon, à la Renaissance, si ce n’est par des opérations de compensation typiquement numériques ?
La confusion entre numérique et électronique
RépondreSupprimerEn fait, quand certaines personnes disent ou écrivent « numérique », il faut traduire « informatique » ou « électronique ». Un paiement est de nos jours toujours numérique. En revanche, s’il consiste à donner des billets et des pièces, il est manuel, tandis que s’il prend la forme d’un virement d’un compte sur un autre ordonné par pression sur quelques touches d’un clavier d’ordinateur, il est électronique. Si vous donnez en paiement un billet de banque, le bénéficiaire devient à votre place créancier de la Banque centrale : votre paiement est à la fois manuel et numérique. Pour employer un vocabulaire scholastique, ce paiement est par essence numérique, et par circonstance manuel.
Le drame est que tout cela ne soit pas clair dans les esprits, ce qui permet des manipulations : pour justifier telle ou telle décision, il suffit de la peinturlurer en numérique, sorte de passe-partout, ou de talisman, qui donne tous les droits, justifie toutes les décisions. Fut un temps, le cri « Dieu le veut » faisait taire toute opposition aux massacres que voulaient perpétrer des Croisés sanguinaires, en vérité suppôts de Satan. La question monétaire actuelle n’est évidemment pas sanglante, mais les procédés employés pour arriver à ses fins, pour travestir la réalité, se ressemblent beaucoup : faire appel à une instance suprême, Dieu dans un cas, le Numérique dans l’autre, pour faire passer de mauvaises décisions, clairement criminelles dans un cas, et dans l’autre astucieusement favorables à certains intérêts, fut-ce au détriment des libertés individuelles.
Notre salut, la comptabilité en partie double
L’invention de la comptabilité en partie double fait partie, comme la découverte de la roue puis de l’électricité, des grands acquis de la civilisation. Grâce à elle, grâce à l’organisation monétaire des échanges, et plus généralement de l’économie, qu’elle a rendu possible, l’humanité a pu faire coopérer des milliers, puis des millions, et aujourd’hui des milliards d’êtres humains. Or, c’est le sort de cette comptabilité qui est aujourd’hui en jeu. La comptabilité en partie double est l’instrument de coopération qui garantit le mieux la liberté et la justice. Le retour à la « fiat monnaie » dont certains préparent la mise en place au détriment de la monnaie de crédit, étroitement liée à l’usage de la comptabilité en partie double, serait une catastrophe tant pour nos libertés que pour l’équité, sans parler de l’efficacité.
La crise sanitaire et ses conséquences économiques créent des conditions favorables aux décisions irrationnelles. L’humanité a toujours été tiraillée entre les mythes et la rationalité. Actuellement, dans le domaine monétaire et financier, comme dans les questions d’environnement et de climat, comme dans l’organisation de notre protection sociale, notre tendance à penser et agir de façon irrationnelle, en suivant des modes pseudo-intellectuelles, est dangereusement importante. Le triomphe de l’illusion cryptomonétaire, rendu aujourd’hui possible par la faiblesse de la culture économique de nos dirigeants, serait catastrophique.
http://www.economiematin.fr/news-euro-monnaie-numerique-electronique-declaration-christine-lagarde-analyse
SupprimerIl y a une différence entre l''argent'-papier et l''argent'-électrique malgré que tous deux ne valent rien ! (adossés à RIEN !).
Mais, revient sur le devant de la scène comme quoi le papier-monnaie (ainsi que les pièces) peuvent être des supports de transport de microbes ! (corona). Mais, le papier-monnaie a toujours existé et n'a jamais été l'origine de grippes !
Mais, derrière cette politique d'obligation d''argent' électrique se cache bien sûr la 'faillite' des banques et, comme le banquier est le SEUL propriétaire de vos dépôts...
Plouf ! Remise à zéro ! Votre compte est vidé !
("oui mais çà c'est une action des hackers sur Internet !" ou "EMP" !).
Une rallonge pour sauver l'Australie du Sud renouvelable coûtera désormais 2,4 milliards de dollars
RépondreSupprimerOctober 10th, 2020
C’est une autre subvention cachée pour «l’énergie verte».
Big-Bandaid: Les générateurs peu fiables ont besoin de milliers de kilomètres de lignes de transmission supplémentaires.
Le nouvel interconnecteur totalement non essentiel entre NSW et SA coûtera désormais près d'un milliard de plus que prévu. Il n'ajoutera aucune nouvelle génération de charge de base, mais permettra aux surtensions aléatoires en provenance de l'Australie du Sud d'interférer avec l'approvisionnement de la Nouvelle-Galles du Sud. Les surtensions d'énergie subventionnée briseront les bilans des infrastructures de base bon marché en Nouvelle-Galles du Sud, les rendant moins rentables et les poussant à la faillite à moins qu'elles ne facturent plus pour les moins d'heures de fonctionnement. Les deux États dépenseront plus en électricité mais seront moins autonomes et dépendront davantage des autres États.
Pourquoi les générateurs NSW ne se plaignent-ils pas? Parce qu'ils savent que les prix vont augmenter, pas baisser. Demandez à AGL - plus elle peut fermer de centrales au charbon, plus elle peut tirer de profits du gaz et des générateurs peu fiables.
South Australia, SA, Map L'interconnexion supplémentaire ne résoudra pas les vrais problèmes - elle ne changera «probablement» pas les énormes systèmes météorologiques à haute pression qui empêchent les tours éoliennes de fonctionner simultanément dans les deux États. Les lignes de transmission magiques «probablement» n’arrêteront pas non plus le coucher du soleil à Adélaïde une heure après son coucher à Sydney. Mais cela rendra certains promoteurs immobiliers riches.
Les 2 400 millions de dollars ne résoudront pas le vrai problème qui est que les sources d’énergie à faible densité sont inefficaces et intermittentes et que les gains de productivité résultant de la production d’électrons verts sont nuls ou inférieurs. C'est juste de la physique.
Mais ce genre d'argent paierait beaucoup d'électricité HELE Coal. Un cadeau pour les générations à venir.
L'interconnecteur SA-NSW du projet EnergyConnect pour réduire de 100 $ les prix de l'électricité, déclare ElectraNet
Chris Russell, l'annonceur
Le porte-parole de l'Opposition Energy, Tom Koutsantonis, a déclaré que l'augmentation des coûts était «stupéfiante».
Il craignait que l’interconnexion ne force la fermeture des générateurs au gaz de SA, perdant ainsi la capacité de l’État à s’alimenter.
La mort de toute l'industrie australienne de la fonderie d'aluminium n'est qu'une simple touche à la modélisation:
La modélisation révisée a tenu compte de la baisse de la demande d'énergie projetée, y compris les fermetures présumées des fonderies de Tomago, Boyne Island et Portland.
La compréhension économique des marchés de l'électricité est enfantine:
Une production accrue à partir de projets d'énergie renouvelable augmenterait l'offre. Moins de demande et plus d'offre conduiraient à une baisse des prix de gros.
RépondreSupprimerSi seulement les électrons étaient des bananes, cela pourrait être vrai. Mais la dernière décennie en Australie montre que les électrons n'ont pas le même prix que les fruits tropicaux. Au cours des dix dernières années, la demande australienne d'électricité a diminué tandis que la production d'énergie renouvelable a été ajoutée comme la soie dentaire, mais les prix ont considérablement augmenté, pas baissé.
La modélisation suggère que les ménages sud-africains paieraient 10 $ / an pour financer l'interconnexion, mais recevraient 110 $ / an d'électricité moins chère - offrant un avantage net de 100 $ / an.
La modélisation fournira tout ce que le modélisateur veut.
Comme d'habitude, le Parti travailliste obtient exactement à l'envers.
Dans un discours de réponse au budget jeudi soir, le chef de l'opposition fédérale Anthony Albanese a déclaré que si l'ALP était élu, il investirait 20 milliards de dollars dans la création d'une société de recâblage de la nation qui construirait des lignes de transmission nationales.
«À mesure que de plus en plus d'énergie renouvelable est construite, nous avons besoin du réseau de transport pour la soutenir», a déclaré M. Butler.
À quoi, Jo Nova dit: Nous n'avons pas du tout besoin des lignes de transmission. L'industrie des énergies renouvelables en a besoin.
Quand le Parti travailliste commencera-t-il à agir comme s'il servait le peuple plutôt que l'industrie des énergies renouvelables ? Quand sera l'ABC ?
Quand le Parti libéral se développera-t-il et dira-t-il l'évidence ?
http://joannenova.com.au/2020/10/extension-cord-to-rescue-renewable-south-australia-will-now-cost-2-4-billion/
(...) Big-Bandaid: Les générateurs peu fiables ont besoin de milliers de kilomètres de lignes de transmission supplémentaires. (...)
SupprimerL'électricité a du mal à se transporter !
A savoir: 1/3 de l'énergie produite sert à pousser l'électricité sur les câbles (comme une pompe à eau peut pousser 50 l. dans un tuyau d'arrosage mais, si le tuyau fait 100 m de long, le moteur aura du mal à pousser. Il faudra donc un moteur plus gros).
Le 2/3 lui, il se perd en cours de route (Ne pas s'approcher de lignes a hautes tensions).
et,
le 3/3 arrive chez le consommateur.
D'où l'impossibilité à une énorme centrale nucléaire de fournir depuis un pays ou une île de l'électricité pour le monde entier !
Le nombre d'Américains qui ont demandé des allocations de chômage en 2020 dépasse le nombre qui ont voté pour Trump en 2016
RépondreSupprimer11 octobre 2020
par Michael Snyder
Je n'essaye pas de faire une déclaration politique avec cet article. Je fais simplement remarquer que le nombre d'Américains qui ont déposé une demande initiale de prestations de chômage en 2020 est presque inimaginable. En 2016, un total de 62 984 828 votes ont été exprimés pour Donald Trump. Ici en 2020, un total de 63 600 000 millions d'Américains ont déposé de nouvelles demandes d'allocations de chômage depuis la mi-mars. Ainsi, le nombre d'Américains qui ont déposé une demande de chômage pendant cette pandémie est désormais supérieur au nombre d'électeurs de Trump lors des dernières élections. Bien sûr, si Hillary Clinton avait gagné en 2016, nous dirions exactement la même chose à son sujet dans quelques semaines. En 2016, elle a reçu un total de 65 853 514 votes. Le but n'est pas d'attribuer le blâme politique à un côté ou à l'autre, car aucune des deux parties ne savait que COVID-19 allait arriver. J'essaie plutôt de faire comprendre à mes lecteurs que nous avons assisté à un effondrement de l'emploi au cours de cette pandémie qui est absolument sans précédent.
Et de plus en plus d'annonces de mises à pied continuent d'affluer chaque jour qui passe. Par exemple, nous venons d'apprendre qu'ESPN licenciera des centaines de travailleurs…
ESPN pourrait licencier des centaines d'employés dans les semaines à venir, ont déclaré des sources à Front Office Sports.
Une source a évalué le nombre potentiel de pertes d'emplois entre 300 et 700 employés. Un autre estimé à 400 emplois perdus possibles.
Les réductions devraient toucher le plus durement les employés d'ESPN qui travaillent derrière la caméra.
Pour beaucoup, travailler dans la télévision sportive est un travail de rêve et cela me fait mal de penser que bon nombre de ces employés perdront bientôt des emplois qu'ils aiment vraiment.
Ailleurs, Amtrak vient d'annoncer qu'ils pourraient bientôt supprimer 2 400 emplois supplémentaires…
Amtrak devra supprimer 2 400 emplois supplémentaires et pourrait voir des «impacts drastiques» sur son service ferroviaire si le Congrès n'intervient pas et ne fournit pas un financement d'urgence au fournisseur de services ferroviaires voyageurs, a annoncé la société jeudi.
Dans une lettre aux législateurs, le président et chef de la direction d'Amtrak, William Flynn, a demandé près de 4,9 milliards de dollars au cours de l'exercice 2021 pour l'aider à combler les énormes déficits budgétaires auxquels il est confronté au milieu de la pandémie.
Je sais que j'ennuie probablement mes lecteurs en discutant des annonces de mise à pied jour après jour, mais j'essaie de faire valoir un point très important.
Nous ne sommes en aucune sorte de «reprise». Au lieu de cela, nous sommes entrés dans une terrible récession économique qui ne se terminera pas de si tôt.
S'ils croyaient réellement que cela allait prendre fin bientôt, toutes ces grandes entreprises ne licencieraient pas un grand nombre de travailleurs.
Et sans emploi, beaucoup de gens souffrent profondément, profondément.
RépondreSupprimerÀ l'heure actuelle, des millions et des millions d'Américains n'ont pas payé de loyer, n'ont pas payé leur prêt hypothécaire, n'ont pas effectué les paiements de leur véhicule et n'ont pas effectué leurs paiements par carte de crédit.
Et j'ai été absolument stupéfait d'apprendre que les paiements ne sont effectués que sur seulement 11% des prêts étudiants fédéraux à l'heure actuelle ...
Moins de 11 % des personnes ayant des prêts étudiants fédéraux les remboursent pendant la pandémie, selon les données analysées par l'expert de l'enseignement supérieur Mark Kantrowitz. Cela signifie qu'environ 4,6 millions d'emprunteurs sur 42 millions continuent de rembourser leur dette.
À terme, le gouvernement fédéral exigera que tout le monde recommence à faire ses paiements, mais pour l'instant, cette pause aide beaucoup de gens à traverser cette période très difficile.
Mais quand cette période difficile sera-t-elle enfin terminée ?
Après l'élection ?
En 2021 ?
Tant d'Américains attendent avec impatience que les conditions économiques reviennent à la «normale», mais la vérité est que tout notre système est en train de fondre et que les choses ne seront jamais aussi bonnes qu'elles l'étaient autrefois.
Pendant des décennies, nous avons connu une bulle sans précédent de prospérité alimentée par la dette qui nous a permis d'avoir un niveau de vie massivement gonflé, mais maintenant cette bulle éclate.
Mais pour le moment, il y a encore une bulle qui a obstinément refusé de se terminer. Grâce à la Réserve fédérale, les cours des actions continuent de grimper même au milieu de cette dépression économique, ce qui a élargi plus que jamais l'écart entre les ultra-riches et le reste d'entre nous ...
Les 50 % les plus pauvres des Américains, soit environ 165 millions de personnes, détenaient collectivement environ 2,08 billions de dollars de richesse au deuxième trimestre de 2020, selon les données de la Réserve fédérale publiées la semaine dernière.
C'est moins que la valeur nette des 59 milliardaires les plus riches du pays, qui ont une fortune combinée d'environ 2,09 billions de dollars, indique l'indice des milliardaires de Bloomberg - un nombre qui a augmenté cette année malgré la crise du COVID-19 qui a frappé l'économie mondiale.
Pensez-y juste.
59 Américains ont autant de richesse que les 165 000 000 Américains les plus pauvres réunis.
Et dans l'ensemble, les milliardaires du monde entier valent désormais plus de 10 billions de dollars…
La richesse milliardaire a atteint des niveaux records au milieu de la pandémie COVID-19, selon un rapport d'UBS et de PwC, alors qu'une remontée des cours des actions et des gains dans la technologie et la santé ont aidé la richesse des plus riches du monde à franchir la barre des 10 billions de dollars.
Le rapport, couvrant plus de 2000 milliardaires représentant environ 98 % de la richesse totale de la cohorte, a révélé que la richesse des milliardaires avait augmenté de plus d'un quart au cours des premiers mois de la pandémie pour atteindre 10,2 billions de dollars en juillet, battant le précédent record de 8,9 billions de dollars à la fin. de 2019.
RépondreSupprimerPendant ce temps, les Américains font la queue pendant des kilomètres pour obtenir des aides dans les banques alimentaires de tout le pays, et il est prévu que plus de 50 millions d'Américains n'auront bientôt pas assez de nourriture à manger régulièrement.
Mais les médias grand public continueront d'essayer de donner un visage heureux aux choses. En fait, ils nous disent que «les actions augmenteront probablement, peu importe qui remportera l'élection présidentielle», et cela doit être une musique aux oreilles de la plupart des investisseurs fortunés.
Bien sûr, ce n'est qu'une question de temps avant qu'un jour de calcul ne vienne aussi pour ces riches investisseurs.
Je crois que les mois à venir vont représenter un tournant majeur pour notre pays. Des millions d'Américains verront leurs espoirs brusquement anéantis par le résultat de ces prochaines élections, et des millions d'autres seront plongés dans le désespoir alors que notre nation continue d'être secouée par une crise majeure après l'autre.
Si votre vie est définie par le système que l'élite a créé, les temps qui approchent vont être extrêmement difficiles pour vous parce que ce système échoue.
Mais si vous choisissez de vivre pour les choses qui comptent vraiment, vous ne serez pas submergé, quelle que soit la gravité des choses.
Et aussi mauvais que soient les choses en ce moment, la vérité est que tout cela n'est rien comparé à ce qui est finalement à venir.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-number-of-new-claims-for-unemployment-benefits-in-2020-is-greater-than-the-number-of-americans-that-voted-for-trump-in-2016
SupprimerPrimo, la différence entre les riches milliardaires et les banques est que les milliardaires ont de l'argent vrai tandis que les banques prêtent ce qu'elles n'ont pas !
Secundo, être milliardaire et le rester n'est pas pareil !
D'où les questions à se poser avant d'investir et dans quoi.
(...) 59 Américains ont autant de richesse que les 165 000 000 Américains les plus pauvres réunis. (...)
Si, 165 millions d'Américains donnent chacun $10 cela fera 1650 millions de dollars. De quoi faire une super-grande entreprise !
Oui mais, ces pauvres (financièrement) le sont aussi intellectuellement ! C'est là que l'union fait la farce !
Astuces Covid - les pointes bloquent la voie de la douleur - cachant l'infection
RépondreSupprimerOctober 11th, 2020
Un autre jour dans le monde étrange de Covid
Une nouvelle découverte suggère que Covid-19 ne se lie pas seulement au récepteur ACE2, il se lie également à un récepteur clé de la douleur appelé récepteur de la neuropiline-1 (NRP-1). Cela pourrait expliquer pourquoi certaines personnes ayant une charge virale élevée sont asymptomatiques et infectieuses mais ignorent qu'elles sont malades. C’est comme si le virus arrivait avec sa propre morphine. En théorie, cela pourrait être une adaptation réussie du point de vue du virus, car cela peut augmenter la propagation de la maladie si les personnes infectées errent et sont capables de répandre le virus plus longtemps.
En dépit d'être fatigué du WuFlu, la perfidie efficace est quelque chose à voir (au moins pour un microbiologiste). C’est comme un couteau de poche.
Par contre, le virus peut encore endommager les tissus dans cet état indolore, ce qui pourrait expliquer certaines de ces découvertes de lésions pulmonaires et cardiaques, même dans les cas légers ou asymptomatiques.
Il y a au moins une récompense potentiellement très intéressante. La découverte de l'Université de l'Arizona, peut conduire à la conception de tout nouveaux analgésiques basés sur le pic de coronavirus qui est «meilleur que les opioïdes». L'auteur principal dit avoir été contacté par des personnes souffrant de douleur chronique, mais qu'il a remarqué qu'elle avait disparu alors qu'elles étaient infectées. La douleur est revenue plus tard alors qu'ils se rétablissaient.
Peut-être pouvons-nous doser les gens sur de petites parties des pointes de Covid et arrêter beaucoup de douleur et de souffrance dans d'autres maladies. Nous tirerons le meilleur parti de cette boîte de malwares.
Le virus causant COVID-19 bloque les récepteurs de la douleur
Les neuropilines (NRP1 et NRP2) sont également associées à l'une des voies de la douleur du corps.
Selon l'étude publiée dans Pain, le journal de l'Association internationale pour l'étude de la douleur, le 1er octobre 2020, les protéines de pointe du SRAS-CoV-2 se lient également aux récepteurs de la neuropiline exactement au même endroit que le VEGF-A, interférant ainsi avec la voie de la douleur.
Pour confirmer leur découverte, les scientifiques ont mené une série d'expériences sur des modèles de rongeurs dans les laboratoires, où ils ont utilisé le VEGF-A comme déclencheur pour provoquer l'excitabilité des cellules nerveuses, créant ainsi de la douleur. Après cela, les scientifiques ont injecté aux rongeurs la protéine de pointe du SRAS-CoV-2.
Les scientifiques ont conclu qu'en concevant de petites molécules contre les récepteurs de la neuropiline, ils seraient capables de former un analgésique mieux que les opioïdes.
Mieux que les opioïdes ?
RépondreSupprimerIl a reçu des dizaines de courriels anecdotiques depuis son étude publiée par des patients souffrant de douleurs chroniques avant de tomber malade. Ensuite, ils ont eu COVID et maintenant leur douleur est partie », a-t-il déclaré. «Je reconnais pleinement que ce sont des anecdotes… mais c’est un thème récurrent. C'est époustouflant! » Une fois que l'infection au COVID-19 a disparu chez les patients, leur douleur chronique réapparaît, a-t-il déclaré.
Gardez à l'esprit que la plupart des symptômes sont dus à notre propre réponse immunitaire. La fièvre, la toux, le nez qui coule, sont tous les efforts de notre propre système immunitaire pour vaincre les germes. Vraisemblablement, ces symptômes finissent toujours par apparaître, malgré le soulagement de la douleur.
Je m'attends à ce que le covid-analgésique n'explique pas la plupart des vrais cas asymptomatiques. Cela peut peut-être empêcher les gens de continuer à répandre des germes pendant les premiers jours de leur maladie, alors qu'ils sont également les plus contagieux. Les vrais cas asymptomatiques ont probablement un autre moyen de vaincre le virus - ou qui ont eu de la chance avec une très petite dose.
RÉFÉRENCE
Moutal et al (2020) SARS-CoV-2 Spike protein co-opts VEGF-A / Neuropilin-1 receptor signalisant pour induire une analgésie,
http://joannenova.com.au/2020/10/covid-tricks-spikes-block-pain-pathway-hiding-the-infection/#more-73471