le 13 octobre 2020
L’Organisation mondiale de la santé a enfin confirmé ce que de nombreux experts et études disent depuis des mois : le coronavirus n’est ni plus mortel ni plus dangereux que la grippe saisonnière. Les hauts gradés de l’OMS ont fait cette annonce lors d’une session extraordinaire des 34 membres du Conseil exécutif de l’OMS le lundi 5 octobre 2020. Personne n’a semblé vraiment le comprendre. En fait, les membres de l’OMS n’ont pas semblé le comprendre complètement eux-mêmes !
Lors de la session, le Dr Michael Ryan, chef des urgences de l’OMS, a révélé qu’à son avis, environ 10% de la population mondiale avait été infectée par le SARS-Cov-2. Il s’agit de leur « meilleure estimation », et une énorme augmentation par rapport au nombre de cas officiellement reconnus (environ 35 millions). Le Dr Margaret Harris, porte-parole de l’OMS, a confirmé plus tard le chiffre, déclarant qu’il était basé sur les résultats moyens de toutes les grandes études de séroprévalence ( https://swprs.org/studies-on-covid-19-lethality/ ) réalisées dans le monde. Autant l’OMS tentait de considérer cela comme une mauvaise chose – le Dr Ryan a même déclaré que cela signifie que « la grande majorité du monde reste à risque » – autant c’est en fait une bonne nouvelle. Et il s’agit d’une confirmation, une fois de plus, que le virus n’a rien d’aussi mortel comme tout le monde l’avait prédit.
La population mondiale est d’environ 7,8 milliards de personnes et si 10% ont été infectés, c’est 780 millions de cas. Le bilan mondial actuellement attribué aux infections à SARS-Cov-2 est de 1061539 décès (au 8 octobre 2020). C’est un taux de létalité (nombre de morts rapporté au nombre de cas positifs) par infection d’environ 0,14%, ce qui est en accord avec les prévisions de nombreux experts du monde entier et identique à la grippe saisonnière. 0,14% c’est 24 fois plus faible que le « chiffre provisoire » de l’OMS de 3,4% en mars. Ce chiffre a été incorporé dans les modèles qui ont été utilisés pour justifier les confinements et autres politiques draconiennes. En fait, compte tenu de la sur-déclaration de décès présumés de Covid comme a eu le courage de le reconnaître le gouvernement britannique , le taux de létalité est probablement même inférieur à 0,14% ce qui pourrait montrer que Covid est beaucoup moins dangereux que la grippe.
Aucun média grand public européen n’a fait part de ces données chiffrées. Ces médias ont rapporté les propos du Dr Ryan en tentant d’en faire un titre effrayant et de semer la panique. Apparemment, ni eux ni l’OMS n’étaient capables de faire ces calculs simples qui montrent que c’est une bonne nouvelle et que les sceptiques du Covid ont eu raison. Dans un souci de rigueur, un désir de s’appuyer sur des sources primaires et de ne pas dépendre uniquement de sources grand public (qui peuvent supprimer ou modifier les informations), il a été décidé de trouver la vidéo réelle des remarques du Dr Ryan. Pour une raison mystérieuse, bien qu’il s’agisse d’une réunion importante de l’OMS lors d’une pandémie prétendument hyper-grave, la vidéo est difficile à trouver. Le seul endroit où vous pouvez la voir est le site Web de l’OMS, et même dans ce cas, vous devez parcourir près de 6 heures d’images. Eh bien cela a été fait, et vous êtes les bienvenus : https://www.who.int/news-room/events/detail/2020/10/05/default-calendar/executive-board-special-session-on-the-covid19-response
Vous n’êtes pas obligé d’ingurgiter tout le flux de l’OMS, mais je peux vous dire d’aller sur cette page, de cliquer sur « Session 1 » et de passer à 1:01:33 pour entendre la citation exacte : « Nos meilleures estimations actuelles nous disent qu’environ dix pour cent de la population mondiale pourraient avoir été infectés par ce virus. Cela varie selon les pays, cela varie des villes aux campagnes, cela varie entre les différents groupes ».
Source: article de Kit Knightly paru sur le site off-guardian.org . Bref commentaire de votre serviteur. Si mes lecteurs nécessitent encore d’être convaincus de l’influence qu’a eu et a toujours le très puissant lobby de l’industrie pharmaceutique je leur suggère de regarder cet exposé du Docteur allemand Reiner Fuellmich qui organise une « class-action » internationale pour poursuivre l’OMS et divers gouvernements européens et d’Amérique du Nord pour leur gestion tendancieuse de la grippe coronavirale : https://www.youtube.com/watch?v=Nm8s0TSl9Hw .
Je rappelle à mes lecteurs que seulement pour la France le gouvernement a déjà dépassé le seuil des 2 milliards d’euros pour les tests PCR qui sont dans l’état actuel de la situation totalement inutiles puisqu’ils sont effectués en routine avec 40 cycles d’amplification, du jamais vu dans les annales de la science. C’est tout simplement une escroquerie organisée pour le plus grand profit du lobby pharmaceutique. Cette situation surréaliste ne fait que confirmer la totale corruption du gouvernement français qui accepte cette situation que devront un jour ou l’autre payer les contribuables. Il faudra comme l’a suggéré le Docteur Fuellmich que les gouvernements occidentaux rendent un jour des comptes aux peuples. Je sais malheureusement de quoi je parle au sujet des tests PCR car j’ai moi-même utilisé cette technique il y a plus de 20 ans pour « pêcher » le gène d’un enzyme sur lequel je travaillais. Et pour être vraiment assuré de la spécificité du test nous n’effectuions au laboratoire « seulement » entre 16 et 20 cycles d’amplification soit au plus 1 million de fois la séquence du gène recherché. Au delà on risquait de trouver n’importe quoi … Je reviendrai dans un prochain billet sur cet aspect de la propagande gouvernementale.
Autant que faire se peut rereregarder le clip de:
RépondreSupprimerKary Mullis : « Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade »
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/kary-mullis-le-test-pcr-ne-permet-pas.html
Faites vos propres recherches ?
RépondreSupprimerKip Hansen
12 octobre 2020
Judith Curry a récemment souligné l'article du Wall Street Journal du 9 octobre 2020 de Matt Ridley intitulé: «Ce que la pandémie nous a appris sur la science». [Il est ennuyeusement payant, donc le Dr Curry propose de nombreux extraits sur son propre blog, Climate Etc.]
[La version complète de l'article de Matt Ridley est disponible sur son propre site Web ici. - h / t à Malcolm Robinson]
L'article de Ridley, intentionnellement ou non, est un clin d'œil à une chronique scientifique publiée dans Forbes le 30 juillet 2020 par Ethan Siegel, contributeur principal, qui a déclaré dans son titre «Vous ne devez pas 'faire vos propres recherches' quand il s'agit de la science». La pièce est marquée par Forbes comme un "Choix de l'éditeur".
J'encourage les lecteurs à prendre le temps de lire ces deux beaux essais dans leur intégralité. S'il vous plaît, ne vous arrêtez pas simplement lorsque vous trouvez quelque chose avec lequel vous n'êtes pas d'accord (et vous trouverez des choses, je le promets). Si vous avez accès au Wall Street Journal, lisez l'intégralité de l'article de Ridley. Sinon, vous pouvez lire les extraits complets fournis par Judith Curry ici. La colonne Siegel est disponible chez Forbes.
Ce qui suit est un article d'opinion assez long sur le sujet:
Devrions-nous «faire nos propres recherches en matière de science»?
Ces deux essais sont précieux - et contiennent des vérités dont nous devons être conscients et accepter. Mais ils représentent aussi le problème que nous voyons à travers les efforts humains dans le monde plutôt compliqué d’aujourd’hui, et en particulier dans les domaines scientifiques: ce n’est pas si simple.
Les arguments en opposition peuvent être simplifiés à ces deux citations:
SIEGEL - «Vous ne devez pas« faire vos propres recherches »quand il s’agit de la science»:
«La raison est simple: la plupart d’entre nous, même ceux d’entre nous qui sont nous-mêmes des scientifiques, ne disposent pas de l’expertise scientifique nécessaire pour évaluer adéquatement cette recherche par nous-mêmes. Dans nos propres domaines, nous sommes conscients de l'ensemble des données, de la façon dont ces pièces de puzzle s'emboîtent et quelles sont les frontières de nos connaissances. Lorsque des profanes expriment des opinions sur ces questions, il est immédiatement clair pour nous où se trouvent les lacunes de leur compréhension et où ils se sont trompés dans leur raisonnement. Lorsqu'ils reprennent les arguments d'un scientifique contrariant, nous reconnaissons ce qu'ils négligent, interprètent mal ou omettent. À moins que nous ne commencions à évaluer l'expertise réelle que les experts légitimes ont passé toute leur vie à développer, «faire nos propres recherches» pourrait entraîner des souffrances incommensurables et inutiles. » [le lien est donné par Siegel dans l'original - kh]
RIDLEY - «Ce que la pandémie nous a appris sur la science»
:
RépondreSupprimer«La pandémie de Covid-19 a resserré le lien entre le public et la profession scientifique comme jamais auparavant. Les scientifiques se sont révélés être ni des demi-dieux omniscients dont les opinions l'emportent automatiquement sur tout désaccord politique, ni des fraudeurs sans scrupules poursuivant un programme politique sous le couvert de l'impartialité. Quelque part entre les deux se trouve la vérité: la science est une affaire imparfaite et trop humaine, mais elle peut générer des vérités intemporelles et des conseils pratiques fiables, d'une manière que d'autres approches ne peuvent pas.
«La science organisée est en effet en mesure de distiller une expertise suffisante hors du débat de manière à résoudre des problèmes pratiques. Il le fait de manière imparfaite et avec de mauvais virages, mais il le fait toujours. …. Comment le public devrait-il commencer à comprendre la rafale de points de vue scientifiques parfois contradictoires engendrés par la crise du Covid-19? La seule façon d'être absolument sûr qu'une déclaration scientifique est fiable et qu'une autre ne l'est pas est d'examiner les preuves vous-même. Se fier à la réputation du scientifique, ou du journaliste qui la rapporte, est la voie à suivre pour beaucoup d'entre nous, et c'est mieux que rien, mais ce n'est pas infaillible. En cas de doute, faites vos devoirs. [mon audacieux - kh]
Je suis d'accord avec ces deux personnes bien intentionnées.
Qui sont-ils ?
Matt Ridley est un scientifique (DPhil ou PhD en zoologie d'Oxford), auteur de plusieurs livres scientifiques, journaliste britannique renommé et pair conservateur héréditaire depuis 2013, avec un siège à la Chambre des lords du Royaume-Uni. Il a été appelé «un hérétique dans la plupart des cas».
Ethan Siegel est un astrophysicien théoricien et un écrivain scientifique professionnel. Il a étudié la physique à Northwestern et a obtenu son doctorat en astrophysique à l'Université de Floride. Pour avoir une image plus complète de l'homme, consultez son blog scientifique personnel: commence avec un coup !.
Je suis d'accord . . . mais . . .
Ethan Siegel fait valoir la plupart des points que je voudrais faire sur le Joe ou Jill moyen «faisant leurs propres recherches». Je parle d'expérience… Je fais beaucoup de mes propres recherches. Et je traite avec la famille, les amis et les lecteurs de WUWT qui «font leurs propres recherches». J'ai écrit le commentaire suivant en réponse à la réédition WUWT de l'essai de Judith Curry sur l'article de Matt Ridley:
«Faites vos propres recherches !
Même cette idée de bon sens est fortement contestée.
Vous ne devez pas «faire vos propres recherches» quand il s’agit de la science par Ethan Siegel - Contributeur principal - Choix des rédacteurs en chef de Forbes - 30 juillet 2020 [lien dans le texte ci-dessus]
Je fais toujours mes propres recherches lorsque cela est important ou qu'une proclamation ou une déclaration actuelle épingle mon BS Meter à fond.
Mais dans le monde réel, beaucoup de gens sont incapables de faire leurs propres recherches - soit par manque d'éducation générale et / ou spécifique adéquate, soit par (et il est dangereux de même dire ceci…) faible QI (c'est-à-dire ici: incapacité à comprendre / comprendre des données complexes).
Ces personnes, au lieu de «faire leurs propres recherches», font quelque chose qui, selon elles, est [de faire leurs propres recherches], mais ne fait en réalité que surfer sur le Web ou sur la chaîne en cherchant à la télévision des opinions qui correspondent à leurs propres préjugés ou de nouvelles informations cela leur «semble vrai» - quelque chose qui se mélange bien dans leur compréhension confuse de la réalité.
RépondreSupprimerGads - cela semble si élitiste, n'est-ce pas ? Malheureusement, ce n’est que trop vrai.
J'ai des proches qui sont des gens formidables - qui font tout pour aider quiconque dans le besoin - mais qui, pour diverses raisons, trouveraient totalement impossible de faire des recherches et d'arriver à toute sorte d'opinion raisonnable fondée sur des preuves ou sur des faits sur l'un des complexes problèmes d'aujourd'hui. Ils n’ont tout simplement pas le bagage éducatif, n’ont pas une compréhension fondamentale suffisante de la science fondamentale, de la théorie et de la pratique politiques, de la biologie, de la physique, de la philosophie, etc. - et, à vrai dire, ils n’ont jamais appris à penser clairement ou de manière critique. Cela inclut les personnes qui sont des «professionnels» - mais uniquement dans leurs domaines restreints.
Demander à beaucoup de nos voisins et parents - des gens de la rue - ou même des journalistes et chroniqueurs professionnels - de «faire vos propres recherches», c'est comme YoYo Ma leur demandant de «jouer du violoncelle comme moi !».
Je suis d'accord avec le Dr Curry et Matt Ridley - avec la mise en garde ci-dessus.
À première vue, je suis d'accord avec Siegel pour dire que de nombreuses personnes sont incapables de «faire leurs propres recherches». L'appel lancé aux gens pour qu'ils fassent leurs propres recherches est entravé par les points ci-dessus et par d'autres facettes simples de la condition humaine. Qu'est-ce que ça veut dire ?
FIERTÉ: Beaucoup, sinon la plupart, sinon la totalité, des gens souffrent de fierté. En ce sens, cela signifie qu'ils pensent déjà savoir et ne veulent pas lire, rechercher ou accepter des informations qui ne correspondent pas à leurs «connaissances» préexistantes - entre guillemets parce que ces connaissances deviennent, presque toujours, un biais qui empêche davantage apprentissage et compréhension. Cela est vrai même pour les scientifiques et les professionnels qui sont encore plus enclins à croire que leurs connaissances existantes sont supérieures à toute connaissance contraire offerte par d'autres, même par d'autres professionnels du même domaine d'études.
Paresse: admettons-le - beaucoup trop d’entre nous (y compris parfois moi-même) sommes tout simplement trop paresseux pour se soucier de vérifier les faits, de lire des sources originales ou de comparer la valeur des preuves offertes par diverses voix - trop paresseux même lorsque cela est important. Cette paresse conduit souvent à une acceptation immédiate de la «science du consensus» - nous sommes assurés que ce que «les experts disent…» est correct - même lorsque nous sommes pleinement conscients que le consensus est politiquement et non scientifiquement fondé.
OCCUPATION: De nombreuses personnes n’ont tout simplement pas le temps de «faire leurs propres recherches», même si elles sont motivées à le faire. Professionnels occupés, étudiants occupés, mères et pères occupés. Combien d'entre nous ne parviennent même pas à lire l'intégralité de l'essai ou la colonne sur des sujets qui nous intéressent, sautant plutôt pour écrire un commentaire, pour se faire dire que la réponse se trouve dans l'essai? Vous n'êtes pas sûr du réchauffement climatique? Sûr! Faites vos propres recherches! Si vous avez déjà toutes les sciences de base et les mathématiques sous votre ceinture et avez un an à perdre….
Comme le souligne Ridley, nous sommes humains. Les scientifiques sont humains. Les médecins sont humains. Les astrophysiciens sont des humains. Et nous sommes tous faillibles. Nous faisons des erreurs, nous comprenons mal les choses, nous sommes fiers, nous sommes hubristiques, nous tombons amoureux de nos propres théories et opinions, nous avons «de meilleures choses à faire». Et, étant humains, nous avons tous des capacités différentes - certaines sont mathématiques, certaines artistiques, certaines philosophiques, certaines spirituelles, certaines intellectuelles, certaines mécaniquement pratiques.
RépondreSupprimerDonc, en ce sens, Ethan Siegel a raison. Cependant, la chronique de Siegel est gâchée par sa sélection d’exemples (il faut vraiment lire son essai) qui expose ses préjugés et ses malentendus et l’amène à une conclusion non étayée par son argumentation.
Cela ne suit pas que
Parce que «faire ses propres recherches» est difficile, voire «impossible» pour de nombreuses personnes
Et «faire vos propres recherches» peut être mal fait, même par des scientifiques
Qu'ainsi «il faut… se tourner vers le consensus des experts scientifiques» et que nous devons «tous convenir que nous devons fonder nos politiques sur le consensus scientifique».
C'est ce que j'appelle «presque vrai». Le genre de mensonge le plus dangereux. Certes, nous pouvons tous être d’accord avec les lois du mouvement de Newton dans un sens pratique. Mais pas parce qu'il existe un «consensus scientifique» sur la question, mais plutôt parce qu'ils ont été jugés vrais (assez) dans la pratique réelle grâce à d'innombrables tests et essais.
Siegel, en effet, conclut: «Toujours s'en tenir au consensus apparent.»
Je dis «apparent», car dans de nombreux domaines, il y a presque toujours une grande différence entre le consensus apparent perçu publiquement - les médias présentés - et le consensus réel des scientifiques à l'échelle du domaine professionnel. Voir ma série sur les controverses scientifiques modernes.
Pire encore est la proposition de Siegel selon laquelle «Lorsqu'ils [les gens] reprennent les arguments d'un scientifique contrariant, nous reconnaissons ce qu'ils oublient, interprètent mal ou omettent.» En cela, Siegel utilise le «nous royal» si souvent vu dans les déclarations à l'appui de la science du consensus - un usage avec la définition ici de «nous, élites scientifiques bien pensantes». D'une manière ou d'une autre, Siegel oublie que son propre domaine, l'astrophysique théorique, est lui-même rempli de théories contradictoires, de «scientifiques contrariés» et que beaucoup attribueraient Siegel lui-même à cette catégorie.
Matt Ridley a raison: il nous demande «d'examiner les preuves vous-même. …. En cas de doute, faites vos devoirs.
Pourquoi ? Parce qu'en fin de compte, «la seule façon d'être absolument sûr qu'une déclaration scientifique est fiable et qu'une autre ne l'est pas, c'est d'examiner les preuves vous-même. Se fier à la réputation du scientifique, ou du journaliste qui la rapporte, est la voie à suivre pour beaucoup d'entre nous, et c'est mieux que rien, mais ce n'est pas infaillible. En cas de doute, faites vos devoirs.
Matt Ridley est pragmatique. Par exemple, sur le virus, son point de vue est simple:
«La santé de la science dépend de la tolérance, voire de l’encouragement, du moins de certains désaccords. Dans la pratique, on empêche la science de se transformer en religion non pas en demandant aux scientifiques de contester leurs propres théories, mais en les amenant à se défier les uns les autres, parfois avec enthousiasme. Là où la science devient politique, comme dans le changement climatique et Covid-19, cette diversité d'opinions s'éteint parfois dans la recherche d'un consensus à présenter à un homme politique ou à une conférence de presse, et à refuser l'oxygène de la publicité aux manivelles. Cette année, plus que jamais, le message selon lequel «la science» n’existe pas; il existe différents points de vue scientifiques sur la manière de supprimer le virus. »
RépondreSupprimerJe soutiens qu'il existe «des points de vue scientifiques différents» sur presque toutes les questions scientifiques modernes. Pourquoi ? Parce que pour ces questions, nous commençons tout juste le chemin scientifique nécessaire pour découvrir les vérités fondamentales de ces sujets. Lorsque nous ne savons pas quoi croire, quoi penser ou comment comprendre l'un de ces sujets, nous pouvons, comme le suggère Matt Ridley, essayer: «S'appuyer sur la réputation du scientifique, ou du journaliste qui le rapporte, est la manière dont beaucoup d'entre nous allez, et c'est mieux que rien ».
Ou, si c'est assez important pour nous individuellement ou socialement et que nous sommes capables de le faire, nous devrions examiner les preuves nous-mêmes - nous devrions faire nos propres devoirs.
Nous devons cependant reconnaître que tout le monde n’est pas capable de le faire, pour les raisons que j’ai identifiées au début de cet essai. Certaines personnes peuvent surmonter leurs carences, elles peuvent étudier, lire largement, recycler leur esprit pour penser clairement et de manière critique et apprendre à ignorer leurs propres préjugés. D'autres peuvent ne pas être en mesure de le faire. Dans ce cas, ils doivent faire appel à d'autres, qui sont capables, pour les aider à examiner les preuves - des courtiers d'information honnêtes.
Cette tâche devient la responsabilité des journalistes scientifiques. Des gens comme moi et de nombreux autres auteurs professionnels, rémunérés ou non. Ce n'est pas notre travail de dicter ce que dit «la science». Il est de notre devoir d'examiner publiquement les preuves sur différents sujets de manière à ce que le grand public puisse les comprendre - en donnant soigneusement les différents points de vue principaux et en exposant les preuves à la vue de tous, de manière à ce qu'ils puissent les comprendre et en venir à leurs propres compréhensions.
https://wattsupwiththat.com/2020/10/12/do-your-own-research/
Notons tout de même que chacun a sa liberté de porter un regard sur ce qui l'entoure et d'en faire sa propre opinion. Mais, quant à savoir si cette opinion est juste, là nous devons demander à qui s'occupe de la chose.
SupprimerOn ne va pas porter sa voiture à réparer au boulanger ni au maçon pour lui demander de parler de maladies.
Donc, en ce qui concerne la science, l'on s'adressera plutôt à un scientifique plutôt qu'à un journaliste ou politicien qui n'ont pas fait même 1 h de science dans leur vie !
(mis à part que ce sont des députés et sénateurs qui proposent et votent leurs lois alors qu'ils n'ont même pas fait 1 h de Droit !).
Mais, depuis l'arrivée de l'Internet les choses ont changé. Chacun est libre de s'instruire à n'importe quel âge sur n'importe quel sujet. C'est ainsi qu'en l'an 2000 l'on révélait qu'il y avait dans le monde plus de 4 % de surdoués (soit environ 280 millions de personnes !). Ce chiffre est certainement à multiplier par 4 ou 5 en 20 ans.
Et c'est çà qui dérange les 'pouvoirs publics' ! Car eux, en sont restés au stade des dites 'grandes écoles' et en ressortent avec un zéro en économie et en toutes autres matières ! Çà alors !
Mais pourquoi donc ? Parce qu'ils ne demandent jamais l'avis du Peuple de 7 milliards de cerveaux et d'instruction certainement 7 milliards de fois la leur !
L'Internet c'est la Démocratie où chacun peut parler, discuter et en faire sa propre synthèse tandis que la dictature c'est l'opinion qui ne doit pas être discutée ou contestée !
Ce que la pandémie nous a appris sur la science
RépondreSupprimerle 10 octobre 2020
par curryja
La méthode scientifique reste le meilleur moyen de résoudre de nombreux problèmes, mais les préjugés, l'excès de confiance et la politique peuvent parfois induire les scientifiques en erreur
Cela fait longtemps que je n’ai pas été si frappé par un article que je me suis senti ému de publier immédiatement un article de blog. Eh bien, peut-être parce qu'aujourd'hui est samedi et que c'est un jour après le débarquement de l'ouragan Delta, j'ai en fait une demi-heure pour le faire.
Matt Ridley a publié un article dans le WSJ Ce que la pandémie nous a appris sur la science, qui est très pertinent pour le changement climatique ainsi que pour Covid-19. C'est excellent, je suis d'accord et j'approuve chaque mot de ceci.
Le journal est derrière le paywall; Dan Hughes m'a gentiment envoyé un sujet du texte. Voici de nombreux extraits
La pandémie de Covid-19 a resserré le lien entre le public et la profession scientifique comme jamais auparavant. Les scientifiques se sont révélés être ni des demi-dieux omniscients dont les opinions l'emportent automatiquement sur tout désaccord politique, ni des fraudeurs sans scrupules poursuivant un programme politique sous le couvert de l'impartialité. Quelque part entre les deux se trouve la vérité: la science est une affaire imparfaite et trop humaine, mais elle peut générer des vérités intemporelles et des conseils pratiques fiables, d'une manière que d'autres approches ne peuvent pas.
Dans une conférence à l'Université Cornell en 1964, le physicien Richard Feynman a défini la méthode scientifique. D'abord, vous devinez, dit-il, à une vague de rire. Ensuite, vous calculez les conséquences de votre supposition. Ensuite, vous comparez ces conséquences avec les preuves d'observations ou d'expériences. "Si [votre estimation] n'est pas d'accord avec l'expérience, c'est faux. Dans cette simple déclaration se trouve la clé de la science. Cela ne fait aucune différence à quel point la supposition est belle, à quel point vous êtes intelligent, qui a fait la supposition ou quel est son nom ... c'est faux. "
Ainsi, lorsque les gens ont commencé à tomber malades l'hiver dernier avec une maladie respiratoire, certains scientifiques ont deviné qu'un nouveau coronavirus était responsable. Les preuves leur ont donné raison. Certains ont deviné qu'il provenait d'un animal vendu sur le marché de la faune de Wuhan. Les preuves leur ont donné tort. Certains vaccins supposés pourraient être développés pour prévenir l'infection. Le jury est toujours dehors.
Voir la science comme un jeu de devinettes et de tests clarifie ce qui s'est passé ces derniers mois. La science ne consiste pas à se prononcer avec certitude sur les faits connus du monde; il s'agit d'explorer l'inconnu en testant des suppositions, dont certaines s'avèrent fausses.
Une mauvaise pratique peut corrompre toutes les étapes du processus. Certains scientifiques tombent tellement amoureux de leurs suppositions qu'ils ne les testent pas contre des preuves. Ils calculent simplement les conséquences et s'arrêtent là. Les modèles mathématiques sont des suppositions formelles élaborées, et il y a eu une tendance inquiétante ces dernières années à décrire leur production avec des mots comme données, résultat ou résultat. Ils ne sont rien de tel.
Un modèle épidémiologique développé en mars dernier à l'Imperial College de Londres a été traité par les politiciens comme une preuve tangible que sans verrouillage, la pandémie pourrait tuer 2,2 millions d'Américains, 510 000 Britanniques et 96 000 Suédois. Les Suédois ont testé le modèle contre le monde réel et l'ont trouvé insuffisant: ils ont décidé de renoncer à un verrouillage, et moins de 6000 y sont morts.
RépondreSupprimerEn général, la science est bien meilleure pour vous parler du passé et du présent que du futur. Comme Philip Tetlock de l'Université de Pennsylvanie et d'autres l'ont montré, prévoir des événements économiques, météorologiques ou épidémiologiques à plus d'un court laps de temps continue de s'avérer extrêmement difficile, et les experts sont parfois pires que les amateurs, car ils surestiment leurs théories causales préférées.
Une deuxième erreur est de rassembler des données erronées. Le 22 mai, les revues médicales respectées The Lancet et le New England Journal of Medicine ont publié une étude basée sur les dossiers médicaux de 96 000 patients de 671 hôpitaux du monde entier qui semblait réfuter l'hypothèse selon laquelle l'hydroxychloroquine pourrait guérir Covid-19. L'étude a amené l'Organisation mondiale de la santé à interrompre les essais du médicament.
Il est alors apparu, cependant, que la base de données provenait de Surgisphere, une petite entreprise avec peu d'antécédents, peu d'employés et aucun conseil scientifique indépendant. En cas de contestation, Surgisphere n'a pas réussi à produire les données brutes. Les articles ont été retirés avec des excuses abjectes des revues. L'hydroxychloroquine n'a pas non plus fait ses preuves depuis1. L'incertitude à ce sujet persiste.
Un troisième problème est que les données peuvent être fiables mais insuffisantes. La médecine factuelle enseigne aux médecins à ne faire pleinement confiance qu'à la science basée sur l'étalon-or des essais contrôlés randomisés. Mais il n'y a pas eu d'essais contrôlés randomisés sur le port de masques pour prévenir la propagation des maladies respiratoires (même si un est actuellement en cours au Danemark). En Occident, contrairement à l'Asie, il y a eu des mois de désaccord cette année sur la valeur des masques, culminant dans l'argument quelque peu désespéré des ennemis des masques selon lequel les gens pourraient se comporter de manière trop complaisante lorsqu'ils les portent. Le consensus scientifique est que les preuves sont suffisamment bonnes et les inconvénients suffisamment petits pour que nous n'ayons pas besoin d'attendre une certitude absolue avant de conseiller aux gens de porter des masques2.
Il s'agit d'une forme inversée du soi-disant principe de précaution, selon lequel l'incertitude quant aux dangers potentiels est une raison forte pour limiter ou interdire les nouvelles technologies. Mais le principe va dans les deux sens. Si un plan d'action est connu pour être sûr et bon marché et peut aider à prévenir ou à guérir des maladies - comme le port d'un masque facial ou la prise de suppléments de vitamine D, dans le cas de Covid-19 - alors l'incertitude n'est pas une excuse pour ne pas l'essayer.
Une quatrième erreur est de rassembler des données compatibles avec votre supposition mais d'ignorer les données qui la contestent. C'est ce qu'on appelle le biais de confirmation. Vous devriez tester la proposition selon laquelle tous les cygnes sont blancs en recherchant des noirs, et non en trouvant plus de blancs. Pourtant, les scientifiques «croient» en leurs suppositions, de sorte qu'ils accumulent souvent des preuves compatibles avec eux, mais ils écartent comme des aberrations des preuves qui les falsifieraient - en disant, par exemple, que les cygnes noirs en Australie ne comptent pas.
Les partisans de théories concurrentes sont susceptibles de voir les mêmes données de différentes manières. En janvier dernier, des scientifiques chinois ont publié une séquence génomique connue sous le nom de RaTG13 du virus le plus étroitement lié à celui qui cause le Covid-19, isolé d'un chauve-souris en fer à cheval en 2013. Mais il y a des questions autour des données. Lors de la publication de la séquence, les chercheurs n'ont fait aucune référence au nom antérieur donné à l'échantillon ou à l'épidémie de maladie en 2012 qui a conduit à l'enquête sur la mine où vivait la chauve-souris. Il est apparu seulement en juillet que l'échantillon avait été séquencé en 2017-2018 au lieu de post-Covid, comme initialement affirmé.
RépondreSupprimerCes anomalies ont conduit certains scientifiques, dont le Dr Li-Meng Yan, qui a récemment quitté l'École de santé publique de l'Université de Hong Kong et est un fervent critique du gouvernement chinois, à affirmer que la séquence du génome du virus de la chauve-souris a été fabriquée pour détourner l'attention. du fait que le virus SARS-CoV-2 a été fabriqué à partir d'autres virus dans un laboratoire. Ces scientifiques continuent de rechercher des preuves, telles qu'un manque d'ADN bactérien attendu dans l'échantillon supposé fécal, qui jette un doute sur l'histoire officielle.
En revanche, le Dr Kristian Andersen de Scripps Research en Californie a examiné les mêmes annonces confuses et a déclaré qu'il «ne croyait pas qu'un type de scénario basé sur un laboratoire soit plausible». Après avoir vérifié les données brutes, il n'a «aucune inquiétude quant à la qualité globale du [génome de] RaTG13».
Comme l'illustre cet exemple, l'une des questions les plus difficiles auxquelles un commentateur scientifique est confronté est de savoir quand prendre un hérétique au sérieux. Il est tentant pour les scientifiques confirmés d’utiliser des arguments de l’autorité pour rejeter les défis raisonnables, mais tous les non-conformistes ne sont pas un nouveau Galileo.
L'examen par les pairs est censé être le dispositif qui nous éloigne des hérétiques peu fiables. Les enquêtes montrent que l'examen par les pairs est souvent superficiel plutôt que complet; souvent exploités par des copains pour s'entraider; et fréquemment utilisé par les gardiens pour exclure et éteindre les opinions scientifiques minoritaires légitimes dans un domaine.
Herbert Ayres, un expert en recherche opérationnelle, a bien résumé le problème il y a plusieurs décennies: «En tant qu'arbitre d'un article qui menace de perturber sa vie, [un professeur] se trouve dans une position de conflit d'intérêts, pure et simple. À moins que nous ne soyons convaincus que lui, nous et tous nos amis arbitres avons l'intégrité dans le cinquième percentile supérieur de ceux qui se sont jusqu'à présent qualifiés pour la sainteté, il est au-delà de la naïveté de croire que la censure ne se produit pas. " Rosalyn Yalow, lauréate du prix Nobel de médecine, aimait afficher la lettre qu'elle a reçue en 1955 du Journal of Clinical Investigation, notant que les critiques étaient «particulièrement catégoriques en rejetant» son article.
La santé de la science dépend de la tolérance, voire de l’encouragement, au moins de certains désaccords. En pratique, on empêche la science de se transformer en religion non pas en demandant aux scientifiques de remettre en question leurs propres théories, mais en les amenant à se défier, parfois avec enthousiasme. Là où la science devient politique, comme dans le changement climatique et le Covid-19, cette diversité d'opinions s'éteint parfois dans la recherche d'un consensus à présenter à un homme politique ou à une conférence de presse, et à refuser l'oxygène de la publicité aux manivelles. Cette année, plus que jamais, le message selon lequel «la science» n’existe pas; il existe différents points de vue scientifiques sur la manière de supprimer le virus.
Anthony Fauci, le conseiller scientifique en chef aux États-Unis, a insisté au printemps sur le fait qu'un verrouillage était nécessaire et continue de défendre la politique. Son équivalent en Suède, Anders Tegnell, en revanche, avait insisté sur le fait que son pays n'imposerait pas de verrouillage formel et maintiendrait les frontières, les écoles, les restaurants et les centres de remise en forme ouverts tout en encourageant la distanciation sociale volontaire. Au début, l’expérience du Dr Tegnell semblait insensée alors que le nombre de cas en Suède augmentait. Maintenant, avec des cas bas et une économie suédoise en bien meilleure santé que les autres pays, il semble sage. Les deux sont de bons scientifiques qui examinent des preuves similaires, mais ils sont arrivés à des conclusions différentes.
RépondreSupprimerLe professeur Ritchie soutient que la façon dont les scientifiques sont financés, publiés et promus est corrompue: «L'examen par les pairs est loin d'être la garantie de fiabilité qu'il est censé être, alors que le système de publication qui est censé être une force cruciale de la science est devenu son talon d'Achille. Il dit que nous nous sommes "retrouvés avec un système scientifique qui ne fait pas que négliger nos faiblesses humaines mais les amplifie."
La science organisée est en effet en mesure de distiller une expertise suffisante hors du débat de manière à résoudre des problèmes pratiques. Il le fait de manière imparfaite et avec de mauvais virages, mais il le fait toujours.
Comment le public devrait-il commencer à comprendre la rafale de points de vue scientifiques parfois contradictoires engendrés par la crise du Covid-19 ? La seule façon d'être absolument sûr qu'une déclaration scientifique est fiable et qu'une autre ne l'est pas est d'examiner les preuves vous-même. Se fier à la réputation du scientifique, ou du journaliste qui la rapporte, est la voie à suivre pour beaucoup d'entre nous, et c'est mieux que rien, mais ce n'est pas infaillible. En cas de doute, faites vos devoirs.
https://judithcurry.com/2020/10/10/what-the-pandemic-has-taught-us-about-science/
1 - Téléphonez vite au Pr Raoult !
Supprimer2 - Les masques proposés (et proposables) ne sont PAS anti virus ! Il suppriment 30 % de l'oxygène respiré et occasionne des pertes de mémoire irrévocables !
Se débarrasser du coronavirus en 10 minutes
RépondreSupprimer22:46 12.10.2020
Par Youlia Zvantsova
Alors que les experts du monde entier parlent de plus en plus souvent d’une deuxième vague de Covid-19 dans le monde, un médecin russe dévoile le moyen de tuer le virus rapidement au moyen de températures élevées.
Le docteur en biologie Alexandre Chestopalov, chef du laboratoire de modélisation expérimentale et de pathogenèse des maladies infectieuses du Centre d’étude de médecine fondamentale et translationnelle, a déclaré, dans une interview au journal russe Komsomolskaïa Pravda, que le coronavirus responsable du Covid-19 ne pouvait résister à des températures élevées.
«Selon les scientifiques, dans l'environnement externe, les coronavirus deviennent inactifs sur les surfaces en 16 heures à une température de +33 degrés et en 10 minutes à +56 degrés. Autrement dit, plus il fait chaud, plus vite il est possible de s’en débarrasser», a-t-il indiqué.
https://fr.sputniknews.com/sante/202010121044566607-se-debarrasser-du-coronavirus-en-10-minutes/
SupprimerIl est certain que plus il fait froid plus les bactéries se conservent. Notez que le permafrost à révélé la présence de bactéries encore vivantes après 3 millions d'années ! Les moustiques malgré leur maigreur squelettique se comptent par milliards au pôles Nord.
C'est pourquoi il vous ait demandé de réduire votre chauffage ! (constatez que lorsque vous entrez par mégarde dans un bureau de l'administration il y fait généralement 35°C et fenêtres ouvertes !).
Les médias australiens annoncent enfin le programme de «grande réinitialisation» de Davos
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 10/12/2020 - 23:20
Via 21stCenturyWire.com,
Cette semaine, le contributeur de Sky News Australia et ancien sénateur australien Cory Bernardi, a déchiré le débat sur COVID après avoir appelé un agenda mondialiste que peu de médias grand public ont osé mentionner jusqu'à présent.
Depuis le début des verrouillages en mars 2020, peu ont contesté la justification du gouvernement pour imploser volontairement leurs économies et détruire des communautés et des sociétés - sur la base d'une supposition que le coronavirus pourrait tuer des dizaines de millions de citoyens.
Cependant, Bernardi pense que l'hystérie pandémique COVID-19 est utilisée comme cheval de Troie pour un agenda mondialiste issu du Forum économique mondial de Davos. Il s’appelle The Great Reset, et il a été conçu par des milliardaires d’élite censés provoquer un «changement social et économique».
«Il y a quelque chose d'inhabituel dans la panique pandémique continue», a déclaré Bernardi.
«Les experts médicaux reconnaissent désormais que les verrouillages ne fonctionnent pas ...
Désormais, rien de tout cela n’a de sens tant que vous n’aurez pas ouvert votre esprit pour déterminer s’il y a un autre programme à l'œuvre.
Selon le technocrate Klaus Schwab, fondateur et président du Forum économique mondial, «les cas COVID 19 nous ont montré que nos anciens systèmes ne sont plus adaptés pour le 21e siècle, il a mis à nu un manque fondamental de cohésion sociale, d'équité, d'inclusion et l'égalité. »
«Le moment historique est venu non seulement de combattre le ... virus mais de façonner le système ... pour l'ère post-corona», affirme Schwab.
"(M. Schwab) admet que COVID est la nouvelle excuse pour inaugurer le Green New Deal que les alarmistes climatiques, les profiteurs et le grand gouvernement poussent depuis des années", a déclaré Bernardi.
"Pensez-y, la réponse mondiale au COVID a été le rêve d'un socialiste vert."
Bernardi cite le fait que des politiques de fermeture gouvernementales coordonnées (et non COVID) ont réduit la consommation de carburant et annulé les voyages internationaux et déjà mis en faillite de nombreuses compagnies aériennes et agences de voyage.
En outre, les gouvernements utilisent la «pandémie» pour restreindre de manière permanente les libertés civiles et la liberté de mouvement et de réunion.
«Pourquoi pensez-vous que les Verts australiens ont été si calmes ces derniers mois… c'est parce que leur programme politique prend vie ?» Il a demandé.
«Après des décennies de colportage de mensonges sur le changement climatique et de propagande pour forcer le gouvernement par les élites, les socialistes ont utilisé une hystérie induite par les médias sur la santé publique comme leur dernière arme de destruction économique.
Le jeu final de créer l'illusion d'une urgence pandémique mondiale est d'inaugurer rapidement l'introduction d'une politique de 'Green New Deal' - où les milliardaires cherchent à restructurer notre système capitaliste en une nouvelle 'économie verte' - promettant l'égalité et le «climat justice »en cours de route.
RépondreSupprimerIl souligne également le fait que bon nombre des mêmes scientifiques et institutions impliqués dans la modélisation abusive frauduleuse des décès par COVID - sont également impliqués dans les projections modélisées par ordinateur de l'IPCC sur le futur changement climatique supposé.
Dans ce segment, M. Bernardi explique ce qui se cache réellement derrière la panique de masse fomentée par certains gouvernements et médias grand public, faisant valoir l’idée que le monde est au milieu d’une «peste mortelle» et d’une crise de santé publique.
- voir clip sur site -
https://www.zerohedge.com/political/australian-media-finally-calls-out-davos-great-reset-agenda
Rouge comme un GretaQI !
SupprimerPrésenté sans commentaire
RépondreSupprimerBill Sardi
13 octobre 2020
TOTAL DE DÉCÈS AUX ÉTATS-UNIS (TOUTES LES CAUSES)
ANNÉE --TOTAL DÉCÈS --DÉCÈS AUX ÉTATS-UNIS PAR MOIS
2020--- 2 838 000 * ---236 000 CDC DATA
2019--- 2 855 000 -----238 000 CDC DATA
2018 ---2 839 205 -----237 000 CDC DATA
2017--- 2 813 503 -----234 000 CDC DATA
* En moyenne sur 12 mois
Nombre total de décès signalés par coronavirus COVID-19 au 1er octobre 2020 207008
(÷ 9 mois = + 23 000 / mois).
Source: PatientCareOnline.com
Origine: KnowledgeofHealth.com
https://www.lewrockwell.com/2020/10/no_author/771239-2/
Le faux coronavirus et l'étude manquante: le secret en pleine vue
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
13 octobre 2020
REMARQUE: les lecteurs m'ont envoyé des images au microscope électronique de ce que l'on prétend être un «virus COVID isolé». Une image ici, une image là - ce n'est PAS la façon dont la science est faite, comme je l'expliquerai en détail dans cet article.
On m'a également envoyé un document du CDC affirmant que le virus COVID a été isolé. Cependant, ce document est daté de deux mois plus tôt que le document CDC qui admet qu'ils n'ont pas le virus. Donc ça ne veut rien dire.
La semaine dernière, j'ai écrit et publié deux articles (ici et ici) exposant la racine de l'arbre vénéneux: le CDC admet qu'il n'a pas de virus COVID isolé.
Par conséquent, l’existence du SRAS-CoV-2, le virus pandémique, n’a jamais été prouvée.
Ce fait bouleversant révèle que toute la pandémie est une fraude. Le virus, le test, les numéros de cas - toutes des fraudes. Et les verrouillages étaient inutiles et criminels.
Maintenant, je veux révéler l'étude qui aurait dû être menée, au départ, lorsque les scientifiques ont déclaré pour la première fois qu'il y avait une pandémie basée sur la découverte d'un «nouveau virus».
Voici ce que vous feriez si vous étiez un véritable scientifique: vous aligneriez au moins 500 personnes qui ont reçu un diagnostic de maladie épidémique. De chacun d'eux, vous extrairiez des échantillons de tissus.
Ensuite, vous soumettriez correctement et méticuleusement chaque échantillon à une procédure qui aboutirait à 500 photographies visibles au microscope électronique, une de chaque patient. Vous mettriez toutes ces photos côte à côte.
Vous répondriez à trois questions brûlantes: voyez-vous, sur chaque photo, BEAUCOUP de particules du même virus? Voyez-vous, sur les 500 photos, ce même virus? Voyez-vous, sur les 500 photos, un virus que vous n’avez jamais vu auparavant ?
Si votre réponse à l'une de ces questions est non, vous retournez à la planche à dessin. Vous n’avez pas trouvé de preuves suffisantes d’un nouveau virus qui cause une maladie généralisée.
Si votre réponse est oui à chaque question, d'autres chercheurs aligneront alors 500 nouveaux volontaires qui ont été diagnostiqués avec la maladie épidémique, et ils réaliseront cette même expérience, afin de confirmer ou infirmer les conclusions de la première équipe de scientifiques.
S'ils répondent eux aussi à toutes les questions brûlantes par un oui, une troisième équipe de chercheurs effectue sa propre expérience sur 500 autres volontaires. Et si leur réponse à chaque question est oui, alors vous avez quelque chose. Ensuite, vous avez une indication, selon les méthodes conventionnelles et traditionnelles, qu'une nouvelle maladie pourrait être en augmentation.
Les gens continuent de m'envoyer occasionnellement une photo au microscope électronique d'une étude de recherche sur «le coronavirus». Bien sûr, comme vous pouvez le voir, ce n’est pas du tout ce dont je parle. Une seule photo d'ici, de là - sans importance.
RépondreSupprimerSi vous étiez un chercheur médical honnête, affirmeriez-vous que le résultat de l’administration d’un nouveau médicament à trois patients justifiait l’approbation de ce médicament chez quelques centaines de millions de patients ? Aucune chance. Le même principe de base s'applique ici.
L'étude que je viens de décrire, avec 500 patients à chaque fois, réalisée plusieurs fois avec de nouvelles équipes, c'est ce qu'exige la méthode scientifique: de grandes études; des résultats clairs; puis la confirmation ou le rejet de la découverte initiale, par davantage de scientifiques utilisant les mêmes méthodes et matériaux.
Un critique, après avoir lu ma description de la bonne façon de faire une étude sur le prétendu «nouveau coronavirus», a déclaré: «Cela ne fonctionnerait pas car cela demande beaucoup de travail.» Bien devinez quoi? Le résultat de la déclaration d’une pandémie causée par un virus qui n’est pas là… et les verrouillages et les destructions économiques et humaines qui en résultent… demandent beaucoup plus de main-d’œuvre.
Arrêter le moteur de production du monde sous prétexte de trouver un nouveau virus, alors qu'aucun nouveau virus n'a été correctement trouvé et isolé, est un crime qui remplace la sueur et l'effort de faire de la science appropriée.
Quant à ce qui se passe réellement dans les laboratoires où les chercheurs tripotent des séquences génétiques de ceci et cela et font de vastes proclamations; ne me parlez pas de science. Parlez-moi de la responsabilité et de la prison.
Reproduit avec la permission du blog de Jon Rappoport.
https://www.lewrockwell.com/2020/10/jon-rappoport/the-fake-coronavirus-and-the-missing-study-the-secret-in-plain-sight/
La science du climat est exagérée, remplie de contes de fées et l’Accord de Paris est « déjà mort »
RépondreSupprimerle 12 octobre 2020
Dans une interview avec le publiciste Roland Tichy, le professeur Fritz Vahrenholt – l’un des fondateurs du mouvement environnemental moderne allemand – a déclaré que nous avions devant nous trois générations pour réorganiser le système mondial actuel d’approvisionnement énergétique en un système plus propre et durable. Il rejette l’affirmation de Fridays-For-Future selon laquelle il ne reste que 12 ans.
La catastrophe climatique n’a pas lieu
Dans l’interview (voir lien en allemand), le modérateur Tichy a rappelé que la civilisation a commencé il y a 7000 ans, une époque où il faisait « 3 °C plus chaud qu’aujourd’hui », et Vahrenholt a répondu en disant qu’il s’attend à ce que la civilisation se poursuive encore sept mille ans. Il n’y avait pas de point de basculement à l’époque, pourquoi y en aurait-il un aujourd’hui ? « La chaleur et l’humidité ont toujours été bonnes pour l’humanité », a déclaré Vahrenholt : « Le froid a été le pire ennemi de l’homme ». Le professeur allemand a également déclaré que la prétendue catastrophe « n’avait pas lieu » et que les décideurs politiques essayaient d’utiliser « la panique et la peur pour amener les gens à agir ». Une grande partie du réchauffement mesuré depuis 1850 est le résultat d’un réchauffement naturel dû à la fin du petit âge glaciaire, a-t-il expliqué.
La fantaisie verte de l’Allemagne
Plus tard, le professeur allemand de chimie qualifie la croyance que le vent et le soleil sont capables de remplacer les combustibles fossiles de « fantasme » et prétendre que l’Allemagne, avec sa part de 2,3% des émissions mondiales de gaz carbonique, peut sauver le climat mondial est « un conte de fées ». Pendant ce temps, le réchauffement des 150 dernières années est en grande partie causé par des cycles naturels. « Au XXe siècle, le soleil était plus actif qu’à tout moment au cours des 2000 dernières années ». Sur le plan économique, Vahrenholt estime qu’une ruée frénétique vers les énergies renouvelables entraînera des conséquences économiques « horribles » pour l’industrie européenne. Au sujet d’un consensus scientifique, le professeur allemand dit qu’il s’agit d’une affirmation du GIEC, organisme géré par l’ONU avec une idée sous-jacente.
Les voitures électriques, une « idée folle »
Vahrenholt pense également que les voitures électriques alimentées par des batteries ne sont pas une technologie réaliste, et que d’autres experts l’appellent tranquillement « une idée folle » mais ne s’expriment pas ouvertement de peur de perdre tout financement de leur recherche. La grande majorité du financement provient du gouvernement allemand.
« L’accord de Paris est déjà mort »
Le professeur de chimie, co-auteur d’un récent best-seller « Les vérités que l’on ne veut pas entendre. Ce que vous devriez savoir au sujet du changement climatique », décrit également l’Allemagne comme un pays dans le déni en ce qui concerne le débat mondial plus large sur la science du climat, et a déclaré l’Accord de Paris comme étant « déjà mort ». « L’Accord est déjà mort. Poutine dit que c’est un non-sens. […] Les Américains en sont sortis. Les Chinois n’ont rien à en faire. Tout est concentré sur une poignée de pays européens. La Commission européenne en parle massivement. Et je prédis qu’ils n’atteindront les objectifs que s’ils détruisent les industries européennes », a déclaré Vahrenholt. Il caractérise la récente poussée de l’Europe en faveur d’objectifs de réduction des émissions encore plus stricts à une folie semblable à la planification centrale soviétique, vouée à un échec spectaculaire comme on le sait.
Source : notrickszone.com et https://youtu.be/hG6fq3M_IzY
RépondreSupprimerNote de votre serviteur. À la suite de l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima et la fermeture de tout le parc nucléaire nippon, le Japon a construit une série de centrales électriques brûlant du charbon. La remise en fonctionnement des installations nucléaires restantes, pour la plupart très récentes, se heurte à l’opinion publique insidieusement manipulée par des groupes écolo-gauchistes totalement déconnectés de la réalité économique. De ce fait le Japon s’est tout simplement désolidarisé du protocole de Kyoto ainsi que des accords de Paris. Il en est de même pour l’Inde et les pays d’Asie du Sud-est, la totalité des pays d’Afrique et d’Amérique du Sud. Il apparaît donc clairement que cette « crise climatique » ne concerne que les pays européens comme le dit clairement le Professeur Vahrenholt.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/10/12/la-science-du-climat-est-exageree-remplie-de-contes-de-fees-et-laccord-de-paris-est-deja-mort/
« Mignonnes » ? Ce qu’une polémique idiote a masqué
RépondreSupprimerLe propos que dénonce le film « Mignonnes » mérite plus que la campagne de calomnie dont il fait l’objet par les ligues de vertu.
13 OCTOBRE 2020
Par David Monnier.
J’ai vu deux ou trois cents films sur la danse similaires à celui-ci. Le scénario au cahier des charges immuable présente la danse comme forme d’expression d’un malaise lancinant et moyen d’émancipation d’une oppression.
Chaque nouvelle danse dans l’air du temps, du charleston au hip-hop, en passant par le be-bop et le jerk électronique, suscite son lot de produits dérivés, 45 tours ou mp3, téléfilms, clips, panoplies, accessoires, pour ne pas dire dommages collatéraux. Mignonnes ne déroge pas à la règle conventionnelle.
Il n’y a pas de quoi fouetter un chat, ni lapider une femme en place publique comme ici ou là ces jours-ci dans l’indifférence quasi générale. Je ne me serais pas attardé sur cet objet de consommation courante culturelle s’il n’avait été couvert d’opprobre et livré à la vindicte populaire par quelques ligues de vertu américaines et leurs affidés.
HYPERSEXUALISATION DES CORPS ?
Sur quoi porte la polémique ? Si j’ai bien compris, ces personnes lui reprochent de mettre en scène une « hypersexualisation du corps », comme disent les journalistes peu avares de truismes. Évidemment qu’un corps est sexuel. Si le corps n’est pas sexuel, qu’est-ce qui l’est ? Comment pourrait-il alors l’être davantage, à une puissance seconde ?
De même, la danse ne fonde-t-elle pas son origine d’un sexuel à sublimer, sur fond de parade nuptiale ou fusion tribale ? On dirait que ces gens viennent de le découvrir et qu’ils veulent aussitôt recouvrir ce qu’ils ne sauraient voir sans de coupables pensées. Personne ne les force à regarder.
Dès lors, toutes choses égales par ailleurs, j’ai l’impression que le seuil de tolérance a baissé. Ce qui serait passé allègrement il y a encore peu de temps n’est plus accepté par un certain ordre moral. Hélas, pas toujours à juste titre. En l’occurrence, cette nouvelle bien-pensance progressiste se retrouve dramatiquement dans la même position que celle des régressistes, conservatistes, rigoristes et autres puristes.
Et si justement tel était le propos subtil du film que de dénoncer ce background idéologique ; le sort des danseuses n’étant alors qu’un divertissement, qu’une habile diversion ? J’eusse aimé que les bien-pensants condamnent le milieu mortifère qui étouffe ces danseuses plutôt que leurs velléités à s’en sortir, leurs tentatives plus ou moins maladroites et abouties d’exister.
CE QU’ON PASSE SOUS SILENCE
Ne serait-ce que compatir au lieu de cette complaisance sordide, ce silence complice. J’espère me tromper mais je n’ai pas entendu beaucoup de monde s’offusquer de ce qui est pourtant au premier plan. En effet, le film montre des femmes africaines quasiment réduites à l’esclavage par des hommes africains absents de l’image mais omniprésents par leur discours religieux.
Le film parle des femmes maltraitées, excisées, immigrées, polygamées, mariées de force. Ce n’est même pas qu’elles doivent se marier afin d’avoir des relations sexuelles mais avant de subir celles-ci, leur sexualité ne venant même pas à l’esprit.
RépondreSupprimerLà, que je sache, personne ne moufte guère. Au contraire, tout se passe comme si les néo bien-pensants s’allient désormais de fait aux traditionalistes pour s’en prendre aux danseuses et bien au-delà d’elles, faisant ainsi front commun pour aliéner les femmes. Chacun bien sûr avec ses bonnes raisons et ses bons sentiments.
Ensuite, on s’étonne que ces danseuses soient au bord de la crise de nerfs ! Le titre est ironique : elles ne sont pas soumises, dociles, mignonnes, pas même entre elles, et c’est souvent tant mieux. Parfois, mieux vaut être victime de la mode que victime de l’obscurantisme. Free your ass and the rest will follow1.
Allusion à une maxime célèbre de George Clinton dont la musique, voire la philosophie, a inspiré tout un pan de la danse contemporaine depuis les années 1970.
https://www.contrepoints.org/2020/10/13/382043-mignonnes-ce-quune-polemique-idiote-a-masque
SupprimerCe que les critiqueurs reprochent au film c'est de faire la publicité pour la femme libérée de la dictature criminelle de l'excision et bien sûr de la religion qui l'ordonne.
Chaque personne doit s'idéaliser personnellement et non sous une contrainte extérieure indiscutable.
Trop d’impôt sur le capital tue le capital et l’impôt
RépondreSupprimerEn 2018, il y a eu près de 250 retours de contribuables devenus assujettis à l’IFI au 1er janvier 2019. Pour la première fois depuis le début des années 2000, le nombre de retours de redevables excède celui du nombre de départs.
13 OCTOBRE 2020
Par Jean-Philippe Delsol.
Un article de l’Iref-Europe
Un second rapport du Comité d’évaluation des réformes de la fiscalité du capital a été publié ce 8 octobre pour poursuivre l’analyse des réformes engagées notamment au titre de la transformation de l’ISF en IFI et de l’instauration du Prélèvement forfaitaire unique et libératoire de 30 % -le PFU- sur les revenus du capital mobilier. Ce Comité conclut globalement, et avec prudence bien sûr, que trop d’impôt sur le capital peut aussi tuer le capital et coûter à l’État.
LA BAISSE DE L’IMPOSITION DES REVENUS MOBILIERS
En 2018, les taux implicites d’imposition sur le capital (revenus et stocks) étaient en France les plus élevés d’Europe selon les travaux de la Commission européenne (2020).
Ils s’élevaient à 55,1 %, contre 33,9 % au Royaume-Uni, 30,6 % en Allemagne, 29,9 % en Italie et 25,9 % en Espagne. Et la part des prélèvements sur le capital (ménages et entreprises) dans le PIB était encore en France de près de 11 % tandis qu’elle était à 8,5 % en moyenne dans l’UE et de 7 % en Allemagne.
Le Comité constate que les réformes de 2018 ont conduit à ramener à des niveaux proches de la moyenne les taux des prélèvements français sur les actifs mobiliers, notamment pour les contribuables les plus aisés : « Avec la mise en place du PFU et la suppression de l’ISF, la France rejoint de fait la situation majoritaire des pays où les revenus de capitaux mobiliers sont imposés à un taux unique (flat tax) et où il n’existe pas d’imposition annuelle sur le patrimoine mobilier ». Ce qui a induit des effets bénéfiques.
STOP AUX EXILS FISCAUX
Depuis le passage de l’ISF à l’IFI, le Comité observe une baisse du nombre d’expatriations et une hausse du nombre d’impatriations fiscales de ménages français fortunés. Déjà l’annonce faite par Emmanuel Macron pendant sa campagne présidentielle de supprimer l’ISF avait réduit le nombre de départs à l’étranger de redevables, à moins de 400, soit un niveau inconnu depuis 2005.
En 2018, le nombre de départs recensés a encore diminué de plus de moitié, à un peu plus de 150. Selon le Comité, « Les ménages les plus fortunés sont beaucoup plus nombreux que les autres à être restés imposables à l’IFI. S’ils sont par ailleurs les plus susceptibles de partir à l’étranger pour des raisons fiscales, alors la baisse observée du nombre de départs en 2018 devient un fait significatif ».
Le nombre de redevables à l’IFI ayant quitté le territoire durant l’année 2018 s’établit à 163 alors qu’il a été de l’ordre de 700 à 900 durant les années noires des mandats Sarkozy et Hollande. D’autant que par ailleurs, la trajectoire des retours de contribuables français fortunés est à la hausse depuis deux ans.
Chacune des deux années 2016 et 2017, il avait été enregistré une centaine de retours de contribuables devenus assujettis à l’ISF ou à l’IFI, selon les cas, au 1er janvier de l’année suivante.
RépondreSupprimerEn 2018, il y a eu près de 250 retours de contribuables devenus assujettis à l’IFI au 1er janvier 2019. Pour la première fois depuis le début des années 2000, le nombre de retours de redevables excède celui du nombre de départs.
Certes, ces chiffres peuvent mélanger des choux et des carottes car parmi ceux qui partent et qui reviennent, se trouvent aussi ceux qui le font dans le cadre de leur situation professionnelle, personnelle ou familiale indépendamment de tout mobile fiscal. Mais les chiffres sont néanmoins suffisamment significatifs pour que la conclusion puisse en être tirée que c’est bien l’effet Laffer qui a fonctionné.
Le remplacement de l’ISF par l’IFI devait coûter 3,2 milliards au budget de l’État. Mais les recettes de l’IFI ont été supérieures aux prévisions. Au lieu de 850 millions de recettes d’IFI attendues en 2018, le produit en a été de 1,2 milliard d’euros en 1918 et de 1,6 milliard en 2019.
Certes, c’est moins que ce que rapportait l’ISF (4,1 milliards en 2017), mais si on prend en compte les avantages indirects (emplois, revenus, investissements…) liés à l’arrêt de l’exil fiscal, voire au retour des exilés fiscaux, c’est un gain annuel de long terme sans doute très supérieur.
LA HAUSSE DES PRODUITS DE L’IMPÔT SUR LES DIVIDENDES
L’analyse du rapport fait également ressortir, suite à la baisse du taux d’imposition des dividendes, une forte hausse des dividendes reçus par les ménages en 2018, même si d’autres causes peuvent aussi y avoir contribué. À l’inverse d’ailleurs, il avait été constaté une forte baisse des dividendes versés notamment aux personnes physiques lors de la réforme de 2013 qui avait rehaussé sensiblement les taux d’imposition des dividendes.
En 2013, à comportements inchangés, la suppression du Prélèvement Forfaitaire Libératoire, PFL, et la mise au barème des dividendes auraient dû engendrer un gain de recettes pour les finances publiques autour de 425 millions d’euros. Mais la suppression du PFL a en fait entraîné une contraction de la base fiscale, soit une réduction de 70 % des dividendes, conduisant à une perte sèche pour les finances publiques entre 1,1 et 2,1 milliards d’euros.
C’est évidemment l’inverse pour le PFU en 2018. Celui-ci a abaissé le taux marginal supérieur d’imposition des dividendes reçus et rapproché la fiscalité du capital de la France de celles des autres pays industrialisés (telles qu’elles étaient en 2016), notamment de l’Allemagne, du Royaume-Uni et des États-Unis.
Cette baisse de la fiscalité a conduit à des hausses sensibles de dividendes versés en 2018 et 2019 pour dépasser les 40 milliards d’euros (9 milliards de plus en 2018 par rapport à 2017, et encore 3 milliards de plus en 2019) et le niveau atteint en 2012, qui ont généré d’importants revenus fiscaux.
Le coût budgétaire du PFU avait été estimé à un montant de 0,8 à 0,9 milliards (hausse de CSG concomitante comprise) hors effet de comportement. Mais eu égard aux effets de comportement ayant généré cette hausse des dividendes, les experts du Comité notent qu’en définitive, « on ne peut pas exclure que la perte d’impôt sur le revenu pour l’État puisse même être nulle ».
D’autant que cette hausse des dividendes ne semble pas avoir eu d’effets sur les politiques d’investissement des entreprises et n’a pas été compensée par une diminution par les chefs d’entreprise de leurs autres revenus d’activité.
RépondreSupprimerENCORE UN EFFORT, MONSIEUR LE PRÉSIDENT !
Laffer avait raison quand, avant l’élection de Reagan, il avait soutenu qu’au-delà d’un certain niveau d’imposition, excessif et variable selon les pays et les époques, l’augmentation des taux d’imposition réduit le revenu fiscal car il modifie les comportements et pèse sur l’activité économique, et vice-versa.
Les réformes de l’ISF et du PFU le démontrent. Malheureusement, la position de la France reste en revanche inchangée sur les actifs immobiliers. L’imposition du capital immobilier locatif reste environ deux fois plus élevée que celle sur le capital mobilier pour les revenus supérieurs. Encore un effort, monsieur le Président.
https://www.contrepoints.org/2020/10/13/382100-trop-dimpot-sur-le-capital-tue-le-capital-et-limpot
Supprimer(...) STOP AUX EXILS FISCAUX (...)
??! Celles et ceux qui ont gagné de l'argent se doivent de protéger leur avoir. Elles ou ils sont dans l'obligation de ne pas céder leur avoir aux escrocs ce qui renforcerait le crime politique de se le laisser voler.
Oui, les riches doivent mettre leur argent à l'abri ! Elles ou ils l'ont bien compris avec cette 'proposition' de supprimer le papier-monnaie après les faux cours de l'or annoncés 2 fois par jour.
Nous (7 milliards) avons toutes et tous compris que les chefs d'État ne prélèvent pas l'impôt pour en redistribuer les richesses à tel ou tel ministère mais pour supprimer définitivement cette richesse. Aujourd'hui, les pays les plus peuplés devraient être TOUS milliardaires car, nous sommes aussi à l'heure des machines ! des ordinateurs ! des robots !
Mais, que constatons nous ? Nous constatons qu'avec les millions de taxes et d'impôts plus personne n'est riche !!! Çà alors !!! Mais où va donc l'argent ?
Çà, faut pas le demander à une dictature ! Une république est le contraire d'une Démocratie.
La simulation de pénurie alimentaire prévoit une augmentation de 400 % des prix des denrées alimentaires d'ici 2030
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 10/12/2020 - 17:20
Rédigé par Robert Wheeler via le blog The Organic Prepper,
Récemment, j'ai écrit un article sur la crise alimentaire imminente aux États-Unis et dans le reste du monde. Bien que cela puisse sembler de la paranoïa à certains lecteurs, les informations fournies dans cet article sont très réelles. En fait, je ne suis pas le seul à y penser.
En 2015, 65 personnes se sont présentées au siège du World Wildlife Fund à Washington D.C. Ces personnes étaient des décideurs internationaux, des hommes d'affaires, des universitaires et des «leaders en pensée». Leur objectif ? Lancer une simulation d'une crise alimentaire mondiale qui commencerait en 2020 et se poursuivrait jusqu'en 2030.
Le communiqué de presse de l'événement a été publié sur le site Web de la société Big Ag Cargill et a révélé que la simulation de pénurie alimentaire selon laquelle la décennie entre 2020 et 2030 verrait deux crises alimentaires majeures. Pendant ce temps, les prix augmenteraient de 400 % de la moyenne à long terme, il y aurait un certain nombre d'événements météorologiques liés au climat, les gouvernements seraient renversés en Ukraine et au Pakistan, et la famine forcerait les réfugiés du Myanmar, du Tchad, du Soudan et du Bangladesh.
Est-ce que tout cela vous semble familier ?
Dans la simulation, une solution gouvernementale était une taxe sur la viande. Un autre ? Une taxe carbone mondiale.
Une taxe sur la viande. Une taxe carbone.
Sérieusement. Cela doit paraître familier maintenant.
Le communiqué de presse déclarait:
Lundi et mardi, 65 décideurs politiques internationaux, universitaires, entreprises et leaders d'opinion se sont réunis au siège du World Wildlife Fund à Washington DC pour déterminer comment le monde réagirait à une future crise alimentaire.
Le jeu a amené les joueurs de 2020 à 2030. Comme prévu, la décennie a entraîné deux crises alimentaires majeures, avec des prix approchant 400 pour cent de la moyenne à long terme; une série d'événements météorologiques extrêmes liés au climat; les gouvernements renversés au Pakistan et en Ukraine; et les crises de famine et de réfugiés au Bangladesh, au Myanmar, au Tchad et au Soudan.
Le climat, la faim, les troubles civils et la flambée des prix des denrées alimentaires se sont réunis lors du match Food Chain Reaction à Washington DC cette semaine. La coopération l'emporta principalement. Avec le WWF, le Center for American Progress et le Center for Naval Analyses, Cargill a été l’un des organisateurs de Food Chain Reaction. La société était représentée dans le jeu par le vice-président d'entreprise Joe Stone.
. . . . .
Pendant deux jours, les acteurs - répartis en équipes pour l'Afrique, le Brésil, la Chine, l'UE, l'Inde, les États-Unis, les entreprises et investisseurs internationaux et les institutions multilatérales - ont élaboré leurs réponses politiques alors que les délégations se livraient à des négociations intensives.
Bien sûr, travailler «globalement» s'est avéré être le plus avantageux.
RépondreSupprimerLa coopération l'emporta principalement sur l'avantage individuel à court terme. Les équipes se sont engagées à construire ensemble des réseaux d'information internationaux et des systèmes d'alerte rapide sur la faim et les cultures, à investir conjointement dans des technologies agricoles intelligentes et à constituer des stocks alimentaires mondiaux comme amortisseur contre les chocs climatiques.
Face à une forte hausse des prix avec des pénuries alimentaires mondiales imminentes en 2022, l'UE a à un moment donné suspendu ses règles environnementales pour l'agriculture et introduit une taxe sur la viande. Les deux mesures ont été rapidement inversées en 2025, alors que les récoltes sont revenues à la normale et que les tensions se sont apaisées dans l'univers hypothétique.
Les taxes sur le carbone et la viande sont «une possibilité».
Le résultat le plus accrocheur, cependant, a été un accord entre les États-Unis, l'UE, l'Inde et la Chine, représentant les 20 principaux émetteurs de gaz à effet de serre, pour instituer une taxe mondiale sur le carbone et plafonner les émissions de gaz carbonique en 2030.
«Nous avons appris qu’une taxe sur le carbone est une possibilité dans les années à venir», a reconnu Stone. «Mais avant d'envisager d'aller de l'avant avec une mesure comme celle-là, nous devons l'étudier et la comprendre beaucoup mieux. Nous devons éviter les distorsions soudaines du marché et les conséquences imprévues. »
Stone s'est dit impressionné par la complexité du jeu et les conséquences de deuxième et troisième ordre de certaines des décisions qui ont été prises. «Prenez la taxe sur la viande que l'Europe voulait imposer et réfléchissez-y. Quelle viande allez-vous taxer - cela signifie-t-il également la volaille et le bœuf ou l'aquaculture? Où percevez-vous la taxe, où va l'argent, quelles sont les conséquences imprévues ? »
Le jeu a été construit au fil des mois, avec un réalisme maximal à l'esprit. Le scénario a été extrapolé à partir d'événements qui se sont réellement produits dans le monde réel, comme la crise alimentaire de 2008-2009 ou la récente série d'années et de mois les plus chauds jamais enregistrés.
L'économiste de Cargill, Tim Bodin, qui a aidé à concevoir le jeu et siégé au jury qui a évalué les mouvements de l'équipe, s'est dit surpris par le degré de coopération. «La plupart des gens ont commencé avec une perspective à court terme, mais sont passés à une mesure à long terme assez rapidement - ils ont commencé à travailler pour renforcer la résilience au lieu de simplement éteindre les incendies.»
Gardez à l'esprit que ce communiqué de presse et l'exercice ont eu lieu en 2015, mais c'est presque comme s'ils lisaient le scénario de 2020.
Il y a un programme clair.
Le fait est que nous savons qu'il y a un programme pour toutes ces choses - les pénuries alimentaires, la taxe sur la viande, la taxe mondiale sur le carbone et si COVID a été quelque chose, c'est le petit virus le plus utile qui ait jamais existé. Autrement dit, tant que vous êtes membre des seigneurs féodaux mondiaux. Si vous avez lu mes articles récemment, je vous encourage à faire attention à ce qui est dit. L'autonomie est sur le point de devenir beaucoup plus importante.
https://www.zerohedge.com/political/food-shortage-simulation-predicts-400-increase-food-prices-2030
SupprimerPetit à petit les dictateurs ont fait disparaître les paysans, et, ceux qui restent, se voient infliger des prix d'engrais hors budget, des produits de traitements contre les maladies interdits et des impôts de plus en plus lourds !
Où va t-on ? On va à la famine ! A la famine mondiale ! Une famine mondiale programmée où SEULS les riches pourront bouffer et se défendre.
Comment nous avons institutionnalisé l'incompétence
RépondreSupprimer12 octobre 2020
Et nous sommes donc confrontés à l'ironie ultime: «tout renflouer» détruit tout le système pourri.
Vous avez probablement remarqué que les choses ne fonctionnent plus aussi bien qu'autrefois. Par exemple, l'inventaire en ligne du magasin indique que quelque chose est en stock et que lorsque vous arrivez au magasin, ce n'est pas sur l'étagère. Un petit problème, mais révélateur quand même.
Ou vous pouvez appeler une agence gouvernementale locale pour obtenir une explication sur la façon dont une nouvelle taxe est calculée, et personne n'est jamais disponible pour l'expliquer - ou régler vos frais de retard punitifs même si vous avez payé à temps.
Vous avez probablement remarqué que les services coûtent beaucoup plus cher maintenant, mais la qualité s'est érodée. Bien sûr, il est facile de tout attribuer à la pandémie, mais la qualité s'érode à mesure que les coûts augmentent depuis des années.
Vous avez probablement remarqué des dépassements de coûts massifs dans les projets publics. Ce pont de 1 milliard de dollars est maintenant de 3 milliards de dollars - oh, désolé, faites ces 4 milliards de dollars. Si jamais nous le finissons, mieux vaut estimer 5 milliards de dollars.
Vous avez probablement remarqué que d'énormes investissements dans les infrastructures, l'éducation, la réduction de l'itinérance, etc. n'améliorent pas réellement la situation ou ne réparent pas ce qui est cassé. Même les projets les plus élémentaires prennent des années ou des décennies, la congestion et le sans-abrisme augmentent, et l'éducation qui n'est pas alignée sur l'économie réelle se débat.
Vous avez probablement remarqué que tous les analystes, universitaires, gourous des groupes de réflexion, les hotshots du secteur privé, etc., sont soit ignorants, incohérents ou délirants. Toutes leurs «solutions» se résument à une seule recommandation: garder la mangeoire remplie à ras bord, quel que soit le nombre de porcs se gorgeant.
L'incompétence est maintenant si omniprésente, si ancrée, si évidente et si insoluble que nous devons enfin reconnaître que l'Amérique a institutionnalisé l'incompétence. Pourquoi ? C'est une question intéressante sans réponse unique.
D'une manière générale, l'intérêt personnel est tout ce qui compte. Chaque décision est prise pour maximiser l'intérêt personnel tout en dissimulant la prédation avec une propagande maladive du type le plus transparent.
Les institutions protègent les initiés parce que chaque initié doit masquer son intérêt personnel et l'échec général de l'institution. Les initiés protègent les autres initiés de peur que la transparence ne révèle les écorchures et les escroqueries des initiés et l'incapacité de l'institution à remplir son objectif.
Le risque doit être évité à tout prix car toute défaillance peut révéler la défaillance systémique de l'ensemble de l'organisation. Ainsi, comme l'a récemment expliqué Louis-Vincent Gave, CYA est le principe directeur de notre temps. Si les initiés maintiennent simplement le statu quo et ne font pas basculer le bateau avec des innovations ou des politiques risquées, personne ne regardera trop profondément les échecs systémiques ou les risques croissants de l'effondrement de tout le désordre pourri.
C'est ainsi que nous avons décidé de faire plus de ce qui a échoué de façon spectaculaire. En effet, l'échec spectaculaire est l'excuse pour des budgets plus importants, plus de personnel, plus d'études, etc.
RépondreSupprimerLes activités principales de l'Amérique sont le monopole et la corruption. Dans les deux cas, le client / utilisateur final peut être ignoré car il n'a pas vraiment le choix. Ou le choix est faux: votre choix de fournisseur d'assurance maladie, de fournisseur d'accès Internet, etc. se situe entre deux sociétés également prédatrices.
Du fait de l'effet de réseau, les quasi-monopoles abondent dans la Big Tech. Oui, il existe des plates-formes alternatives pour publier des vidéos autres que YouTube, mais peu verront votre contenu car «tout le monde va sur YouTube». Les fournisseurs de contenu doivent donc non seulement promouvoir leur contenu, ils doivent promouvoir la plate-forme alternative dans un système truqué pour favoriser les plates-formes monopolistiques.
La corruption limite également la transparence et la concurrence, tout comme les monopoles et les cartels. Les initiés truquent le processus d'embauche pour que les copains et les parents obtiennent les emplois, et ainsi de suite. Ceux qui sont chargés de la surveillance regardent de l'autre côté parce que leur poste de post-retraite pépère les attend s'ils se taisent.
Ensuite, il y a les élites incompétentes au sommet. Ils ont frappé toutes les bonnes cartes - université d'élite, diplômes multiples, stage avec les bons juges, banque d'investissement, etc. - mais ils n'ont absolument rien appris d'autre que comment naviguer dans un système corrompu qui protège ou même récompense l'incompétence.
Ce que les élites dirigeantes apprennent en Amérique, c'est que quelqu'un me renflouera. Le gouvernement financera le renflouement financier, les amendes seront des gifles, l'université me mettra dans une position hautement rémunérée hors des feux de la rampe, et ainsi de suite.
Et toujours, toujours, toujours, la mangeoire sera remplie à ras bord, quel que soit le coût ou l'incompétence. Le sacrifice et la discipline ont été réduits à des platitudes dans les élites américaines, dont la compétence principale est de délivrer des mea culpas lorsqu'ils sont pris.
Un pourcentage énorme de «travail» bien rémunéré est lié à la conformité. Alors que la poursuite de l'intérêt personnel a affaibli la compétence, nous sommes devenus obsédés par la surveillance et le fait de cocher des cases sans fin pour nous conformer aux pratiques acceptées, qu'elles aient un sens ou non.
C'est l'essence même du travail de BS: tout le travail de conformité n'a rien à voir avec la production réelle de biens et services ou l'innovation ou l'excellence; comme l'a dit le regretté David Graeber à propos du travail de BS: tous ceux qui le font savent que cela ne vaut rien.
La conformité est la couverture parfaite de l'incompétence institutionnalisée. L'ironie est plutôt riche: l'incompétence systémique est masquée par des mesures de conformité incompétentes, toutes vidant la mangeoire.
Il ne reste plus qu'une seule façon de remplir la mangeoire qui est vidée par l'incompétence systémique: des milliards de dollars «d'argent gratuit» pour toujours. Que cette extravagance de «l'argent gratuit» sans fin débauche la monnaie est ignoré, parce que tous les incompétents au pouvoir ont été formés pour être totalement convaincus que quelqu'un me renflouera.
Et nous sommes donc confrontés à l'ironie ultime: tout renflouer détruit tout le système pourri. La compétence signifie désormais naviguer avec succès dans des systèmes incompétents corrompus par l'intérêt personnel. Cela signifie éviter tout risque et tout laisser tel quel, de peur que quelqu'un ne remarque l'échec systémique.
RépondreSupprimerCe que nous avons institutionnalisé est un échec: nous continuerons simplement à faire plus de ce qui a échoué de façon spectaculaire jusqu'à ce que tout le statu quo s'effondre dans un tas fétide de cupidité, d'intérêt personnel et d'incompétence flagrante.
https://www.oftwominds.com/blogoct20/incompetence10-20.html
Avec l'escroquerie du 'Global Warming' lancé à Kyoto par Al Gore en 1997, s'en sont suivies des millions de nouvelles mesures pour engouffrer et faire disparaître à tout prix la totalité de l'argent produit par les humains + machines + ordis qui se transforment très vite en machines + ordis parce que çà va plus vite et moins cher.
SupprimerPuis il y a eu les 'réfugiés climatiques' + allocs (2000 à 3000 euros minimum par mois et par tête de bêtail sur pattes), puis, comme nous sommes déjà plus de 90 % de la population du globe à vivre dans l'hémisphère Nord, pourquoi pas lancer l'Opération-Corona' ?
Qui se dirait pourtant mondiale, "mais si mais si maintenant il y a les drones qui apportent à domicile !"
Faut dire aussi que tant qu'il n'y a pas la Démocratie mondiale, les dictatures refuseront toujours de parler de la Suisse qui est le seul pays au monde à l'avoir !
DES AISÉS QUI METTENT TROP DE CÔTÉ AUX DICTÉES AMÉNAGÉES !
RépondreSupprimerpar CHARLES SANNAT
13/10/2020
Près de 70 % du surcroît de l'épargne ont donc été faits par 20 % des ménages.
Vous vous demandez sans doute comme ma femme juste avant vous, quel est le point commun et le rapport entre les aisés que j'appellerais les zézés pour me moquer fort aimablement du « pauvrisme » ambiant et dégoulinant sur ce pays, et… les dictées aménagées de nos enfants.
Et bien vous allez voir, le rapport est évident, étroit, et c'est exactement les mêmes idées mortifères qui sous-tendent tout ce qui se passe.
Je m'explique… enfin j'essaie !
Les méchants zézés!
Le CAE qui est le Conseil d'Analyse Economique un machin qui dépend du Premier Ministre qui fait face à toute une série de Castex chinois, a rédigé un rapport sur l'épargne et la consommation des Français pendant le confinement ici.
La conclusion du rapport est assez facile à comprendre. Figurez vous que les zézés mettent vachement plus de sous de côté que les po-povres… c'est sans doute pour ça que d'un côté on a des zézés et de l'autre des po-povres. Mais bon, passons. Ce que dit surtout ce rapport que je cite très précisément c'est que :
« L'accumulation d'épargne pendant la période récente a donc été très inégale. Si l'épargne globale des ménages pendant la période a été massive (près de 50 milliards d'euros de plus que ce qu'aurait prédit la continuation de la tendance pré-Covid), elle a été très fortement concentrée sur les deux derniers déciles. Le surcroît d'épargne des deux déciles les plus aisés s'élève en effet à 32 milliards d'euros. Près de 70 % du surcroît de l'épargne ont donc été faits par 20 % des ménages. Les deux premiers déciles ont en revanche beaucoup moins pu épargner sur cette période « .
Logique, quand vous gagnez 5 000 euros par mois, et que vous n'êtes pas un milliardaire mais un enfoiré de riche selon la définition d'Hollande (plus de 4 000 euros par mois pour un couple) et que l'on vous empêche de sortir, de faire vos courses, d'aller au restaurant ou en vacances et bien oui… vous mettez un sacré paquet de côté, paquet que vous auriez dépensé en dehors de tout confinement et qui aurait utilement irrigué l'économie pour le bien de tous, les zézés comme les po-povres.
Mais, surtout le rapport ne dit à aucun moment que les zézés sont méchants, non, le rapport note factuellement les taux d'épargne par catégorie ce qui est factuel et rajoute surtout que…
« Ainsi, nous regardons l'impact de la distribution de l'ARS (Allocation de rentrée scolaire) sur les ménages éligibles. Nous calculons une propension marginale à consommer, c'est-à-dire la part du montant reçu qui est dédié à la consommation. Cette analyse confirme la grande sensibilité des ménages à bas revenus et à faible épargne aux variations du revenu. En effet la propension marginale à consommer est par exemple plus élevée chez les ménages disposant de moins d'épargne liquide.
Elle suggère qu'un soutien beaucoup plus franc aux ménages les plus modestes, plus exposés aux conséquences économiques des mesures sanitaires, va très rapidement s'avérer nécessaire « .
Pour résumer, le rapport du CAE ne dit pas que les zézés prennent le pain de la bouche des po-povres, mais que compte tenu des disparités ce sont les deux premiers déciles (en langage de gueux nous dirions les plus po-povres d'entres nous qui doivent-être aidés) qui malgré les aides supplémentaires ont clairement été fragilisées et appauvries. Il est donc pertinent d'orienter plus de politiques publiques prioritairement vers ces personnes. A aucun moment le rapport n'oppose les uns aux autres.
RépondreSupprimerLe journal Le Monde, lui, dans un excès de po-povrisme épuisant, nous serine toujours la même petite musique du « les x % les plus riches ont pris les Y % du tout ». Sauf que plus nous redistribuons, plus nous taxons, plus nous luttons chaque année contre la pauvreté, plus nous avons de pauvres l'année suivante, alors navré, mais je n'achète plus ces raisonnements aussi lénifiants que faux.
Et c'est là que l'on en arrive aux dictées aménagées dans nos écoles.
En l'an de grâce 2020, un bon élève fait une dictée normale, il fait des fautes normales. Il perd des points normalement, et revient chez lui avec de mauvaises notes (-de 10) demandez à mon fils qui en sait quelque chose. De l'autre côté l'élève « po-povre » -ici l'élève po-povre peut avoir des parents zézés mais po-povres intellectuellement ou grammaticalement parlant si vous voyez ce que je veux dire - Donc l'élève po-povre, lui, a droit à une dictée aménagée. Une dictée aménagée c'est encore pire que le Canada Dry pour le whisky ! Cela ne ressemble même plus à une dictée, on ne compte plus les fautes, et on en fait 10 fois moins, mais on obtient une bonne note.
C'est pour encourager le po-povre élève me dit-on !
Sauf que l'on arrive au résultat suivant…
La note de mon fils est mauvaise pourtant il travaille bien. La note du mauvais élève est bonne pourtant il travaille mal…
Alors en ce qui me concerne, j'ai compris le petit cirque malsain qui se joue dans nos écoles où se développe une forme de quasi haine des « zézés » et c'est ainsi que l'on crée une terrible fabrique à po-povres de masse !
Plus grave, quand le petiot rentre chez lui et dit « maman j'ai eu 7… » et que la maman demande et machin il a eu combien ? 18 ! Quoi ? Ce nul a eu 18 et toi que 7, mais alors tu es plus nul que nul… et c'est ainsi qu'en voulant réconforter l'un on détruit l'autre sans rendre meilleur le premier tout en dégradant les relations entre les parents et les enfants.
Sacré bilan, dont seul les bonnes âmes bien-pensantes, et lénifiantes de culculgnagnantisme de l'éducation nationale ont le secret.
Nous n'aurons pas moins de po-povres parce que nous tuerons et détruirons nos zézés.
Nous n'aurons pas moins de mauvais élèves parce que nous casserons, briserons et réduirons les bons !
Castrer les bons élèves ne rendra pas les cancres meilleurs.
Ce pays développe, chaque jour un peu plus, un esprit de castration vis-à-vis de ceux qui ont sans avoir rien volé, et développe aussi un niveau d'assistanat devenu également ahurissant.
Demain je vous parlerai de ce qu'il se passe dans une commission de surendettement de notre pays. C'est la déresponsabilisation totale à tous les niveaux, et cela n'aidera pas notre pays, au contraire, cela creuse notre tombe collective.
Il est déjà trop tard, mais tout n'est pas perdu. Préparez-vous !
http://www.economiematin.fr/news-des-aises-qui-mettent-trop-cote-aux-dictees-amenagees
Hausse de la taxe sur l'essence la plus vendue en France: le gouvernement tranche
RépondreSupprimer14:34 13.10.2020
Par Irina Tarassova
Après que les producteurs d'alcool agricole se sont alarmés de la prévision d’une hausse de la taxe en 2021 sur l'essence SP95-E10, la plus vendue en France, le gouvernement renonce au projet, se disant prêt à accueillir les propositions parlementaires visant à «maintenir le niveau actuel de fiscalité de l’E10 et de l’E5».
Le tarif réduit de l'essence SP95-E10, qui contient 10% d'éthanol, sera maintenu en 2021, annonce le gouvernement dans un communiqué.
Dans un tweet publié ce mardi 13 octobre, Olivier Dussopt, ministre délégué aux Comptes publics, assure que «conformément à notre choix de ne pas augmenter les impôts, il n’y aura pas de changement de fiscalité sur l’essence SP95-E10 et E5».
Le ministre ajoute que le «gouvernement accueillera favorablement les propositions parlementaires».
Une hausse contraire aux engagements du gouvernement
Le projet de loi de finances pour 2021-2022, dont l'examen a débuté le 12 octobre à l'Assemblée nationale, prévoit d’augmenter les taxes sur l’essence SP95-E10 malgré les engagements du gouvernement à ne pas augmenter les impôts des Français. La taxe intérieure de consommation des produits énergétiques devait être augmentée d'un centime d'euro par litre sur les deux prochaines années, notamment de 0,5 centime en 2021, puis encore de 0,5 centime en 2022.
Comme l’indique Sylvain Demoures, secrétaire général du SNPAA (Syndicat national des producteurs d'alcool agricole) et membre de la Collective du bioéthanol, cité par le Parisien, cette hausse serait «loin d'être négligeable», car l'éthanol ajouté à l'essence compose jusqu'à 7,5% du SP95 et du SP98, et jusqu'à 10% du SP95-E10. Il entre aussi dans la composition à 85% du superéthanol-E85.
https://fr.sputniknews.com/france/202010131044567930-hausse-de-la-taxe-sur-lessence-la-plus-vendue-en-france-le-gouvernent-tranche/
L'éthanol use et casse TOUS les moteurs !
Supprimer
RépondreSupprimerLes trois messages de l’OMS à l’Assemblée générale des Nations Unies (septembre 2020): vaccins, Agenda 2030, "prochaine pandémie" et gouvernance mondiale. La finale de l'article résume précisément les trajectoires de notre "avenir collectif"...
mardi 13 octobre 2020
En voici des extraits:
1- Le premier concerne l’accès équitable aux outils de lutte contre la COVID-19. À l’occasion de l’Assemblée générale, l’OMS appellera les dirigeants mondiaux à soutenir le Dispositif pour accélérer l’accès aux outils de lutte contre la COVID-19 (ACT), une collaboration internationale unique en son genre visant à accélérer le développement, la production et l’accès équitable aux tests, traitements et vaccins contre la COVID-19 dans le monde, mais aussi à renforcer les systèmes de santé.
2- Le deuxième message concerne le maintien de la dynamique en vue d’atteindre les objectifs de développement durable. La pandémie risque de réduire à néant des décennies de progrès en matière de santé et de développement.
3- Enfin, nous devons nous préparer ensemble à la prochaine pandémie, et ce dès à présent. La pandémie de COVID-19 nous a montré que le monde était loin d’être préparé - malgré les nombreux signes et avertissements.
En début de semaine, le Conseil mondial a publié son rapport 2020, intitulé "Un Monde en Désordre". Ce rapport examine un monde désorienté par la pandémie de COVID-19, qui souffre d’un manque de leadership et de mesures urgentes. Il appelle à renouveler l’engagement en faveur du multilatéralisme et de l’OMS.
Lors de l’Assemblée générale des Nations Unies, l’OMS appellera tous les citoyens et dirigeants à soutenir les cinq actions décrites dans le rapport 2020 : un leadership responsable ; une action citoyenne engagée ; des systèmes nationaux et mondiaux solides et souples pour la sécurité sanitaire mondiale ; un investissement durable et une gouvernance mondiale solide de la préparation aux urgences sanitaires.
Les mesures que nous prenons aujourd’hui détermineront notre avenir collectif.
https://www.who.int/fr/news/detail/15-09-2020-who-s-three-messages-for-unga75
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/10/les-trois-messages-de-loms-lassemblee.html
Les mesures que nous prenons aujourd’hui détermineront notre avenir cadavrique !
SupprimerL'illusion de la sécurité: les trains de banlieue britanniques laisseront les fenêtres ouvertes en hiver pour lutter contre le COVID-19
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 13/10/2020 - 02:45
Alors que Boris Johnson force des centaines de bars à fermer alors que les cas de COVID-19 reviennent, les points chauds du nord de l'Angleterre menant la charge, le Telegraph rapporte que les exploitants de trains de banlieue mettent en place de nouvelles mesures de sécurité douteuses, comme garder toutes les fenêtres des trains ouvertes pendant l'hiver froid pour essayer de 'protéger COVID-19' leurs trains et rendre les navetteurs plus à l'aise avec les risques pour la sécurité.
La nouvelle survient malgré de nouvelles recherches confirmant que le virus peut survivre pendant des semaines sur les billets de banque et que des températures plus basses améliorent les chances de survie du SRAS-CoV-2.
Au cours du week-end, le Royaume-Uni a finalement dépassé les 600000 cas alors que la flambée de nouveaux cas a commencé à diminuer.
Mais alors que les valeurs de l'immobilier commercial de Londres chutent et que les entreprises du centre-ville qui s'adressaient autrefois principalement aux navetteurs ferment les unes après les autres, les politiciens sont également sous pression pour commencer à pousser les travailleurs plus jeunes et en meilleure santé à retourner au bureau.
Le directeur du régulateur britannique de la sécurité ferroviaire a tenté de rassurer les navetteurs sur le fait que les trains de banlieue sont sûrs et que «la route n'est pas la panacée qui était à l'origine, sans justification, proposée».
Ali Chegini, directeur du Rail Safety and Standards Board, a déclaré: «Même s'il fait froid, même s'il faut envelopper et mettre des chaussettes en laine, il vaut mieux garder les fenêtres ouvertes que d'être exposé au risque d'infection. "
Il a dit que quatre trains sur cinq avaient des systèmes de ventilation appelés HVAC, et que même si les fenêtres ne s'ouvraient pas, "l'air en mouvement est mieux que de ne pas déplacer l'air dans des espaces clos".
M. Chegini a admis que bien que l’objectif n’ait pas été de «ramener tout le monde dans le train», il a déclaré: «Si vous avez besoin de retourner au travail et que vous avez le choix entre la route et le rail, la route n’est pas la panacée. était à l'origine, sans justification, mis là-bas. "
Les scientifiques du gouvernement britannique ont déterminé que le COVID-19 se propage le plus rapidement à 4 degrés Celsius (39,2 Farenheit), et c'est leur position depuis juillet.
Un membre senior du Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage) a déclaré que Covid-19 «aime» le mieux quatre degrés - «il survit bien à quatre degrés [celsius]».
Les scientifiques sont également de plus en plus convaincus que les pays aux climats tempérés et aux saisons grippales relativement sévères, comme la Grande-Bretagne, seront également plus affectés par Covid-19 en hiver.
La capacité maximale des trains a chuté de 45 à 50 %, les règles de distanciation sociale entraînant une perte de revenus des billets estimée à 700 millions de livres sterling par mois.
La capacité maximale des trains a chuté de 45 % à 50 %, les règles de distanciation sociale entraînant une perte vertigineuse des revenus des billets estimée à 700 millions de livres sterling par mois. Pourtant, ouvrir les fenêtres est une meilleure stratégie pour nettoyer les trains du virus que de faire fonctionner des unités de climatisation qui peuvent ou non absorber l'air de l'extérieur.
RépondreSupprimerPlus tôt cette année, des experts ont déclaré au Telegraph que les unités de climatisation qui ne disposent pas d'une "source dédiée d'alimentation en air extérieur dans une pièce ... pourraient être responsables de la recirculation et de la propagation de particules virales en suspension dans l'air sur le chemin des utilisateurs socialement éloignés."
Le Dr Shaun Fitzgerald, membre de la Royal Academy of Engineering, a déclaré que même lors de l'utilisation d'unités de climatisation, l'ouverture d'une fenêtre serait le meilleur moyen d'atténuer le risque d'infection.
Huw Merriman, président du comité restreint des transports de la Chambre des communes, a déclaré: "Les entreprises de l'hôtellerie et des loisirs dans les villes meurent parce que nous n'avons pas de navetteurs. Les navetteurs sont un groupe robuste et stoïque, mais nous sommes également prévenants. réaliste avec l'ensemble de règles et alors les gens ne sont pas considérés comme enfreignant quoi que ce soit. "
https://www.zerohedge.com/geopolitical/illusion-safety-commuter-trains-will-leave-windows-open-all-winter-fight-covid-19
Mort de froid19 !
SupprimerChez soi: Verrouillage des portes
en train: déverrouillage... des fenêtres !
RépondreSupprimerTrump: "J'avais raison de nuire aux verrouillages"
par Tyler Durden
Mar, 13/10/2020 - 09:25
Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Lors de son premier rassemblement depuis la vaincre rapidement le coronavirus, le président Trump a de nouveau critiqué les politiques de verrouillage et a déclaré qu'il avait raison de leur résister tout le temps, après que l'Organisation mondiale de la santé a admis que les pays ne devraient pas utiliser les verrouillages comme moyen de contrôler le virus.
«L'Organisation mondiale de la santé est sortie il y a quelque temps et a admis que Donald Trump avait raison. Les verrouillages causent d'énormes dégâts à ces États dirigés par les démocrates où ils sont en lock-out », a déclaré Trump à l'immense foule en Floride lundi soir.
«Ils se sont corrigés aujourd'hui et ont dit que j'avais raison», a répété le président:
Trump faisait référence à l'envoyé de l'OMS, le Dr David Nabarro, disant au Spectator: «Nous faisons vraiment appel à tous les dirigeants du monde: arrêtez d'utiliser le verrouillage comme méthode de contrôle principale.»
Nabarro a ajouté: "La seule fois où nous pensons qu'un verrouillage est justifié est de vous donner du temps pour vous réorganiser, vous regrouper, rééquilibrer vos ressources, protéger vos agents de santé qui sont épuisés, mais dans l'ensemble, nous préférons ne pas le faire."
Au cours du rassemblement, Trump a en outre attaqué l'OMS, notant qu'elle est dominée par la Chine, bien que ce pays paie beaucoup moins en financement à l'organisme mondial de santé que les États-Unis.
«Je nous ai fait sortir de l'OMS parce qu'ils se trompaient sur tout. Bien qu'ils se soient corrigés eux-mêmes - ils disent que j'avais raison au sujet des verrouillages. (J'ai demandé) Pourquoi payons-nous 500 millions de dollars par an et la Chine, qui compte 1,4 milliard d'habitants, paie 39 millions de dollars par an - ils ne pouvaient pas expliquer, alors je nous ai fait sortir », a exhorté Trump.
«La Chine les domine et j'ai dit que cela ne fonctionnait plus comme ça. Ils nous ramèneront si vite avec moins d'argent », a ajouté le président.
Le président a également brossé un tableau sombre de ce qui se passera si Joe Biden est élu.
«Biden mettrait fin à notre rétablissement, retarderait le vaccin, prolongerait la pandémie et anéantirait l'économie de la Floride avec un verrouillage draconien et non scientifique - c'est ce qu'il veut faire, verrouiller, verrouiller tout le monde», a déclaré Trump à la foule.
"Et tu sais quoi ? Si vous n’avez pas envie de sortir, restez, détendez-vous, restez. Vous connaissez les groupes à risque, vous connaissez les personnes âgées », a ajouté le président.
https://www.zerohedge.com/political/trump-i-was-right-about-damaging-lockdowns
Pourquoi l'or ne protège pas d'un effondrement monétaire autre que les USA ?
RépondreSupprimerCharles Dereeper
lundi, 12 octobre 2020 18:20
L'or n'est produit que dans une minorité de pays.
Dans la grande majorité des pays du monde, l'or est importé.
Son prix en valeur nominale locale augmente quand il y a une dévaluation massive.
Mais sa fabrication reste dans les mains des producteurs.
Alors que la bouffe dans une ferme est toujours produite localement.
Du coup une dévaluation monétaire massive ne change rien à la structure des coûts qui est la quantité de travail et des inputs comme semences, fertilité de la terre...
En outre ce qu'on voit dans les effondrements monétaires, c'est la panique et le rush sur la bouffe. L'inflation dépend de la demande in fine.
Quand une population entière panique et stock pour cause d'hyper inflation, les prix montent plus vite que la dévaluation nationale de la monnaie.
Implicitement, l'or est dévalué nominalement en local. Et les pigeons sont baisés.
C'est moins vrai pour l'énergie. L'énergie est importée, mais personne ne fait le même rush en cas de panique que sur la bouffe.
Le grand winner au Liban est le fermier local. Lui, ses coûts ne sont pas modifiés, mais sa marge explose par rapport aux autres, y compris par rapport à l'or.
A vrai dire, il est le seul player qui peut se permettre d'acheter de l'or en monnaie locale pour attendre des jours meilleurs. En échangeant au prix maxi sa bouffe contre de l'or dévalué.
charles
http://www.objectifeco.com/economie/inflation-deflation/monnaie/pourquoi-l-or-ne-protege-pas-d-un-effondrement-monetaire-autre-que-les-usa.html
L'effondrement de la lire du liban de 80 % produit les mêmes effets que sur les autres pays
RépondreSupprimerlundi, 12 octobre 2020 17:52
Et voilà un énième pays entraîné dans une énième spirale : LE LIBAN
-80% depuis de le début de l'année sur la devise du pays contre USD
lebanese
J'étudie les conséquences sur la population locale. Pour vérifier qu'un effondrement monétaire produit bien toujours les mêmes conséquences et surtout pour vérifier que les solutions pour survivre à un effondrement monétaire sont toujours les mêmes...
Pour le programme les 3S... http://formation.objectifeco.com/charles-dereeper-les-3-s-formation/
Ce que je peux dire, c'est encore une fois que personne n'a réussi à survivre en mangeant de l'or...
Dans le bordel mondial actuel, posséder une ferme est la stratégie la plus sérieuse. Au Liban, le prix de la bouffe et de l'énergie importée explose à la hausse. Juste... je rappelle que la France n'est plus positive dans ses échanges agro alimentaires... ce qui ne manque pas de piquant puisqu'elle est le grenier de l'Europe en matière première agricole...
Concernant l'or, les mecs sont baisés. Exactement ce que je raconte depuis des années. Le prix de l'or est en USD et n'a aucun rapport avec la situation d'un pays autre que les Etats Unis. Du coup, quand un effondrement monétaire surgit, l'or est massivement dévalué par rapport à la bouffe et l'énergie. Il n'y a que les escrocs vendeurs de rêves, de peurs et de formations ou d'or qui agitent cette histoire d'or comme solution.
Charles
http://www.objectifeco.com/bourse/forex/analyse-des-news/l-effondrement-de-la-lire-du-liban-de-80-produit-les-memes-effets-que-sur-les-autres-pays.html
Ce n'est pas parce que tout est accessible que tout le monde peut y accéder
RépondreSupprimerlundi, 12 octobre 2020 16:28
Il me parait que là est le problème qui va engloutir notre société.
Trois confusions aboutissent à l’impasse dans laquelle nous sommes, quel que soit l’objectif visé :
– L’accès à une situation est à 90% lié au hasard. Ceux qui prétendent le contraire, Education Nationale en tête, sont des charlatans. Le travail, la passion, l’intelligence, l’énergie, la compétence, voire la connivence, la combine, les relations, etc… sont hélas peu de chose si l’on analyse froidement les trajectoires.
En fait les analyses postérieures des réussites, toujours subjectives, sont en général trompeuses et marginales, explications destinées justement à faire oublier la force du hasard initiateur en effet objectivement désespérante.
Le monde est plein d’hommes et de femmes, voire de “genres”, qui ont brillamment travaillé toute leur vie, avec intelligence et compétence, ou d’autres qui ont combiné, intrigué, sollicité, avec acharnement, sans pour autant accéder au but qu’ils convoitaient.
– La présentation des situations idéales est falsifiée. Les contraintes liées à ces situations exemplaires sont occultées, leur relativité notamment temporelle est oubliée. Ceux qui occupent ces situations enviées, bien que vivant ces contradictions ne peuvent en faire état, ils sont tenus de faire : comme si…
Le cirque se nourrit de cette omission, quel qu’en soit le prix à payer pour ceux qui regardent ou pour ceux qui sont regardés.
Dans cet espace fantasmagorique tout le monde est dupe. L’envie crée la réalité, la transforme, elle n’est alors que mirage auquel chacun est obligé de croire. Le réel devient marginal, l’irréel le remplace d’abord dans les esprits, puis dans les faits. Tous les repères explosent.
– Tous les coups sont permis. La morale ne tient pas le choc. Elle souffre des dérapages de ceux qui sont prêts à tout pour accéder à l’idéal qu’ils imaginent.
“Comme sur la photo” est le mantra de notre société. Il justifie tous les moyens, qui d’ailleurs sont oubliés, ignorés, une fois sur “la photo”.
Ainsi donc se présente le problème.
Tous courent pour atteindre l’instant qu’ils imaginent essentiel, car c’est ainsi qu’il est vécu par l’opinion publique. Ils s’occultent la puissance du hasard, la temporalité de l’instant vers lequel ils courent, pour in fine s’apercevoir que leur but est inaccessible.
Et pourtant
Leur vie leur appartient, elle n’est pas le fruit du regard des autres mais la résultante de leur personnalité qu’ils ignorent, de leur environnement qu’ils méprisent, de leur engagement qu’ils trahissent, de leur morale personnelle qu’ils bafouent.
Au bout, la déprime, la dévalorisation de leur personne, le mal être.
RépondreSupprimerS’ils intégraient que la conscience de ses limites est le secret de l’altérité, on pourrait espérer.
Mais rien n’est fait dans ce sens. C’est ce qui fait les pauvres de plus en plus pauvres et les riches de plus en plus riche, c’est ce qui ne permet pas la discussion, c’est ce qui nous mène droit vers la guerre civile.
Bien à vous. H. Dumas
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/liberalisme/ce-n-est-pas-parce-que-tout-est-accessible-que-tout-le-monde-peut-y-acceder.html